• Un mal pour un bien "vivreaujourd'hui"

    31 Juillet 2014
     
     

    Je te guérirai, je panserai tes plaies, dit l’Éternel.
    Jérémie 30.17

    Lorsque nous subissons des examens médicaux, nous pensons souvent, inquiets : « J’espère qu’il n’y a rien de grave ! » Imaginons que nous souffrons du cœur. Même si cela nous fait mal, le médecin devra nous parler avec franchise ; sinon, comment prendrions-nous le traitement qui combattra la maladie ?
    Ainsi en est-il de l’Évangile, le message de Dieu pour les hommes. Il ne nous annonce pas ce que nous voudrions entendre, mais ce que nous avons besoin d’entendre. Dieu ne nous flatte pas pour nous faire plaisir. Sa Parole est vérité. C’est pourquoi elle dévoile le cancer qui ronge notre être intérieur : le péché. Il dit que nous sommes séparés de lui, sans but véritable dans la vie ni certitude pour l’éternité. Diagnostic sévère. Dur à entendre.
    Mais le but de Dieu est de nous faire du bien ! S’il met la plaie à nu, c’est pour la panser. Il a déjà pourvu avec amour à notre rétablissement spirituel. Son « médicament » est disponible et à prendre de toute urgence.
    Ne restons pas fermés à l’amour de la vérité qui nous aurait sauvés1. Au contraire, aspirons à connaître Jésus-Christ, le Sauveur plein de grâce et de vérité.
    Demandez à Dieu d’ouvrir vos yeux sur le parfait salut qu’il offre à ceux qui désirent un cœur nouveau. Et vous serez guéri.

    Françoise L.

    1 2 Thessaloniciens 2.10

     

    Livre du prophète Ésaïe 61. 1- 7 : "1 L’esprit du Seigneur Dieu est sur moi. Oui, il m’a consacré pour apporter une bonne nouvelle aux pauvres. Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour annoncer aux déportés : « Vous êtes libres ! », et à ceux qui sont en prison : « Vous allez revoir la lumière du jour. » 2 Il m’a envoyé pour annoncer : « C’est l’année où vous verrez la bonté du Seigneur ! », « C’est le jour où notre Dieu se vengera de ses ennemis ! » Il m’a envoyé pour redonner de l’espoir à ceux qui sont en deuil. 3 Ils sont en deuil à cause de Sion. Mais je dois leur donner un beau turban, pour remplacer la cendre sur leur tête. Je dois verser sur eux une huile parfumée qui marque la joie et non le deuil, je dois leur mettre un vêtement de fête pour remplacer le découragement. Alors on les comparera à des arbres qui honorent Dieu, à une plantation qui montre la gloire du Seigneur. 4 Ils relèveront les murs écroulés d’autrefois, ils reconstruiront les maisons détruites depuis longtemps. Ils redresseront les villes démolies, ce qui est resté en ruines pendant plusieurs générations. 5 Des étrangers seront là pour garder vos moutons et vos chèvres. Des gens venus d’ailleurs laboureront vos champs et cultiveront vos vignes. 6 Mais vous, vous aurez pour nom « Prêtres du Seigneur ». On vous appellera « Serviteurs de notre Dieu ». Vous profiterez de la fortune des autres peuples et vous vous vanterez de leurs richesses. 7 Le Seigneur dit : « Vous avez été complètement couverts de honte. Votre part, c’étaient les horribles insultes que les gens vous lançaient. C’est pourquoi vous recevrez une double part dans leur pays et vous vivrez dans une joie sans fin."

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  • Sollicités, pourtant inutiles "vivreaujourd'hui.com"

     
    30 Juillet 2014

     

    Ainsi mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement.
    Philippiens 2.12

    Nous avons parfois l’impression que Dieu ne nous accorde pas ce que nous avons demandé. C’est que nous n’avons peut-être pas tout considéré. À ce sujet, voici ce que dit la sagesse malgache : « J’ai demandé à Dieu une fleur ; Il m’a donné un cactus. Je lui ai demandé un papillon ; Il m’a donné une chenille. Mais le cactus a donné une fleur et la chenille s’est muée en papillon. »
    La fleur était dans le cactus et le papillon dans la chenille. La sagesse divine offre rarement les choses toutes faites. Tout ce qu’il donne doit prendre le temps de la maturation ou conduire à produire la nôtre. On peut aussi dire sans craindre de se tromper qu’il fait tout, mais rien sans nous.
    Ainsi nous accorde-t-il son salut, mais il nous appartient de le travailler comme on travaille la terre pour qu’elle porte ses fruits. N’est-il pas exaltant de se trouver ainsi collaborateurs de Dieu ?
    Il nous fait donc confiance. N’est-ce pas un honneur inimaginable ?
    Il nous l’accorde effectivement, mais dans la mesure où nous nous en reconnaissons indignes et incapables ; et qu’après avoir fait tout ce qui nous était ordonné, nous disions : Nous sommes des serviteurs inutiles1.

    Richard Doulière

    1 Luc 17.10

     

    Lettre aux Philippiens 2. 12-16 : "12 C’est pourquoi, amis très chers, obéissez à Dieu comme vous l’avez toujours fait. Obéissez-lui, non seulement quand je suis là, mais encore plus maintenant que je suis absent. Avec un grand respect pour Dieu et en tremblant, travaillez pour être sauvés. 13 Dieu travaille en vous et il vous rend capables de vouloir et de faire les actions qui lui plaisent. 14 Faites tout sans vous plaindre et sans discuter. 15 Ainsi vous serez innocents, on n’aura rien à vous reprocher. Vous serez des enfants de Dieu sans défaut, au milieu de gens malhonnêtes et mauvais. Parmi ces gens-là, vous brillez comme des lumières dans le monde, 16 parce que vous apportez la parole de vie. Le jour où le Christ viendra, je pourrai être fier de vous. Et, on le verra bien : je n’aurai pas travaillé pour rien, je ne me serai pas fatigué pour rien !"

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  • L’amour ne faiblit jamais "vivreaujourd'hui.com"

     
     
    29 Juillet 2014

     
     

    L’amour espère, persévère.
    1 Corinthiens 13.7-8

     

    Lorsque George Romney, le grand artiste-peintre anglais, était jeune, il tomba follement amoureux d’une jeune fille du nord de l’Angleterre. Ils se marièrent, mais la véritable passion de Romney était la peinture.
    Un jour, il apprit que Sir Joshua Reynolds avait dit : « Il est dommage que Romney soit marié. Il a le talent d’un grand peintre, mais il n’ira pas loin s’il continue à être embarrassé d’une femme. » Du coup, il délaissa sa jeune épouse et s’en fut à Londres où il pouvait se livrer corps et âme à sa passion. Il devint célèbre, fit le portrait des gens importants de la cité, peignit des paysages qui valent des milliers de livres sterling aujourd’hui. C’était un vrai lion à Londres – pour un temps. Puis il devint vieux et tomba malade. Alors il ramassa ses affaires et retourna auprès de sa femme dans le nord. Elle l’accueillit avec amour et le soigna tendrement jusqu’à sa mort. Quelqu’un a dit que l’esprit manifesté par cette femme valait plus que toutes les œuvres que Romney avait produites.
    Nous traitons souvent Jésus de cette manière. Nous le délaissons pour suivre nos passions. Lorsque nous récoltons le fruit de nos égarements, nous repensons à lui, et nous nous réfugions auprès de lui – et il nous accueille avec amour. Cet amour dont l’apôtre écrit qu’en toute occasion, il pardonne, il fait confiance, il espère, il persévère. L’amour n’aura pas de fin.1
    Jésus-Christ : comment l’aimez-vous ?

    Alfred K.

    1 1 Corinthiens 13.7-8

    Un tableau de Romney

     

    Lettre aux Éphésiens 2. 3-7 : "3 Autrefois, nous aussi, nous faisions tous partie de ces gens-là quand nous vivions selon nos désirs mauvais. Nous obéissions à ces désirs et à nos pensées mauvaises. À cause de notre nature, nous méritions la colère de Dieu comme les autres. 4 Mais Dieu est riche en pitié et il nous aime d’un grand amour. 5 C’est pourquoi, à nous qui étions morts à cause de nos fautes, il nous a donné la vie avec le Christ. Oui, vous êtes sauvés grâce à la bonté de Dieu. 6 Avec le Christ Jésus, il nous a réveillés de la mort et avec lui encore, il nous a fait asseoir dans les cieux. 7 Ainsi, en montrant sa bonté pour nous dans le Christ Jésus, Dieu a voulu prouver pour toujours la richesse extraordinaire de ses bienfaits"

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    MES CHEVEUX ME PARLENT  

     

     

    MES CHEVEUX ME PARLENT

     

     

    Michel Odoul, (professionnel de coiffure de haut niveau et propriétaire d’un salon à MES CHEVEUX ME PARLENTParis),  et Rémi Portrait,  expliquent dans leur ouvrage, Cheveu, parle-moi de moi. Le cheveu, fil de l'âme, paru en 2002, que sans  le savoir, nous bénéficions, d’un détecteur, baromètre, naturel intégré, sur la qualité de notre être : nos cheveux ! Ils nous parlent et traduisent ce que nous pensons, ressentons et vivons. Autant la vie et nos émotions ont un impact sur nos cheveux, autant, ils traduisent ce dont nous sommes inconscients. Rappelez-vous que la recherche d’ADN se fait aussi par le cheveu, or celui-ci porte notre histoire, nos gènes, ce qui nous définit.  

     

    Qu’est-ce que vos cheveux ? 

    Le cheveu est plus complexe qu’on ne le pense. Il est en fait un ensemble de fibres de kératine.  
     
    Chaque cheveu a trois couches : la cuticule (gaine extérieur du cheveu faite de couches d’écailles de kératine) qui servent à donner l’aspect des cheveux, s’ils sont soyeux, agressé, abîmés. En général, si les cuticules se cassent et que vos cheveux sont ternes et fourchus, il faut vite s’en préoccuper…  

    Le cortex, placé sous la cuticule, c’est un peu comme une écorce de fibres de protéines qui veille à l’élasticité, la vigueur et la couleur des cheveux.  
     
    Enfin la moelle, au centre du cheveu, est reliée au bulbe, c’est elle qui fournit les nutriments à la cuticule et au cortex.  

    La qualité et le type de nos cheveux dépendent essentiellement  dépend surtout de nos gènes et de nos hormones. En fait, Le sébum, un fluide gras sécrété par les glandes sébacées, protège le cuir chevelu en lui donnant brillance. S’il y en a trop les cheveux paraissent gras, s’il est en quantité normal, c’est que le cheveu est correctement lubrifié. 

     

    Le cycle de votre cheveu 

    Comme tout vivant,  le cheveu a un cycle qui se décline aussi en 3 phases :  

    > La phase de croissance (anagène) dure 2 à 7 ans, et concerne 85 % des cheveux. 
     
    > La phase d’involution (catagène) dure 2 à 3 semaines et concerne 1% des cheveux. 
     
    > La phase de chute (télogène) dure quelques mois et concerne 14% des cheveux. 
     
    Ce cycle intervient pour chaque cheveu. Mais comme il y en a qui poussent et qui tombent en même temps aussi ils sont à des stades différents et donc de longueurs différentes. C’est pourquoi il est normal d’en perdre chaque jour 30, 50, voire plus…. Pas d’affolement !  

    Un cheveu pousse en moyenne 1 à 1,5 cm par mois. Sans oublier qu’ils sont à des stade différents sur l’ensemble de la tête. On n’agit pas sur la croissance du cheveu en les coupant court puisque c’est par la racine qu’il pousse, mais on peut avoir une action bénéfique sur sa croissance  par :  

    1. Notre alimentation saine, équilibrée, riches en acides aminés pour soutenir la fabrication de kératine. Ex : Les lentilles,  

     

    Les besoins du cheveu dans notre alimentation :  

    Protéines : soya, haricots, amandes, pistaches,  

    Vitamine B : levure alimentaire, céréales, noix, champignons, chou-fleur,  

    Fer : germe de blé, pistaches, cacao, légumes verts feuillus,  

    Zinc : graines de citrouille, noisettes, germe de blé,  

    Soufre : noisettes, céréales, riz brun, pois, brocoli,  

     

    Les anti-stress de nos os et nos cheveux apporteront du fer, calcium et magnésium en apaisant le système nerveux et en évitant l’acidité du corps :  

    • Légumes verts, feuillus et colorés 
    • Germinations 
    • Fruits sucrés : pommes, melons, pêches, poires, kakis, dattes et bananes 
    • Céréales entières 
    • Amandes, noix du brésil et noix de coco 
    • Tisanes d’ortie, de prêle (riche en silice), d’avoine, de trèfle rouge ou de plantain 
    • Vinaigre de cidre de pommes 
    1. Une cure de compléments alimentaires pour booster la croissance, surtout les acides aminés souffrés, du zinc, du fer, de la vitamine B6 et bien sûr le silicum qui les renforce notamment en élasticité.  
    1. Le massage régulier du cuir chevelu, pour favoriser la circulation sanguine, l’élimination des cellules mortes et défectueuses pour faire la place aux nouveaux cheveux. Il s’agit de maintenir l’équilibre de vos cheveux et amène l’oxygène aux cellules capillaires. Réalimente le cuir chevelu en nutriments. Mais attention pour les personnes aux cheveux gras, de ne pas activer trop de sécrétion de sébum…Le recours à un professionnel est préférable. 

     

    Nos cheveux attaqués 

    Jours après jours, semaines, mois, années, nos cheveux sont agressés au quotidien : soleil, froid, brossage, élastiques, coupes inadaptés aux cuticules, mouillés, démêloir à petites dents, chaleur (sèche cheveux, fer à lisser), colorants, produits chimiques, défrisants etc.  

    http://ad.doctissimo.fr/5c/www.doctissimo.fr/pages_beaute/cheveux/exclu/1136223258/Middle/OasDefault/default/empty.gif/6745396538314e724d7a7341424b4c65Conseils pratiques 

    -Eviter de garder les cheveux mouillés ou de les mouiller systématiquement, ils sont plus vulnérables ! 

    -Préférez un démêloir à grosses dents  

    - Utilisez périodiquement les appareils à chaleur, comme, le sèche cheveu ou le fer à lisser car ils les dessèchent et tenez le sèche cheveu 10 à 15 cm du cheveu.  

    - L'automassage du cuir chevelu convient aux personnes qui ont les cheveux secs et le cuir chevelu déshydraté.  Comment faire ? 

     

    La technique de l'automassage 

    « Le massage se pratique avec la pulpe des doigts, les extrémités souples afin d'exercer une pression douce qui va réveiller le cuir chevelu. Les coudes sur la table pour bien répartir la pression de vos doigts, commencez l'exercice : SCE 

    1. Posez les doigts des deux mains, légèrement écartés, sur la tête au niveau de la zone frontale ; 
    1. Exercez une pression sur la peau avec un très léger mouvement de va-et-vient des doigts, pratiquement sans les bouger. C'est le cuir chevelu qui doit bouger et non les doigts ; 
    1. Varier la pression des doigts pendant cette exercice jusqu'à ressentir une impression de chaleur diffuse ; 
    1. Répéter cette mobilisation sur les autres zones du cuir chevelu, le dessus de la tête, les zones temporales, derrière les oreilles, et terminer par la nuque. 
    2.  

    Nos cheveux nous parlent  

    Selon Julien Allaire Naturopathe - Iridologue, nos cheveux et particulièrement leur chute, témoignent d’émotion de peur ou de colère. Ils dévoilent des informations, que nous cherchons à taire.  Selon l’ouvrage  « Selon la façon de se coiffer, selon le type de cheveu ou la couleur, selon les épis, selon l’implantation, le cheveu nous parle, il dévoile des informations sur notre organisme, sur notre vécu psycho émotionnel. […] Il exprime souvent un déséquilibre, une peur, une émotion à gérer et cela dépend de sa qualité, du type de cheveu »  

    C’est ce que l’on appelle le décodage biologique.  

    Il explique que la chute de cheveux « dépend de la zone de perte, les chutes correspondent à des peurs, il faut apprendre à se faire confiance ! Si la perte est centralisée sur le devant il s’agira peut-être de peur ou de colère. Si c’est sur le dessus, l’individu se dévalorise peut-être trop ! Lui a-t-on trop souvent dit « tu n’y arriveras jamais, tu n’as pas le niveau… Si par exemple nous avons des fourches ? Le cheveu exprimera peut-être la recherche de la direction à prendre ? Cherchons-nous notre chemin ? Que signifient des cheveux fins ? Quand le cheveu est plaqué au crane c’est un manque d’énergie vitale. Est-ce une personne qui a du mal à se positionner dans la vie ? Et les cheveux gras ? Ils sont en lien avec le foie, avec d’éventuelles colères rentrées. Et si l’on a des pellicules, elles pourraient avoir un lien avec l’élément Terre, Estomac, rate, pancréas et probablement au niveau émotionnel avec des problèmes de famille à régler ? Et au niveau du Coiffage ? Une coiffure en arrière peut signifier que l’on va de l’avant, alors qu’une frange dévoilerait que l’individu cherche à se protéger. Une mèche sur les yeux cachant le visage exprimerait un mal-être (exemple type de l’adolescent) » sce 

    Alors certainement, vos cheveux vous parlent par l’inconscient. Vous donnent des informations sur votre état de santé, l’état de vos phanères, comme le font nos poils ou nos ongles.  Car ces phanères, ont un rôle principal de protection contre les chocs thermiques, physiques. Mais ils servent aussi à plaire, à séduire. On y met du vernis, des nouex ou barrettes, des couleurs.  

    Mais ce que l’on sait le moins, c’est que ce sont des zones riches en énergie. Que le cheveu est directement lié à l’énergie du rein, lié souvent à la décision. Que le poil est lié à l’énergie des poumons, qui gère l’espace. Les ongles à l’énergie du foie, qui traduit un manque ou un besoin de prendre.  

    Tous sont liés entre eux, car les reins éliminent les toxines du sang et donc ont besoin des poumons centrale de traitement de l’oxygène nécessaire au sang pour faire exploser ces toxines, qui réduites en taille, sont plus facilement éliminées par les reins.   Une hygiène physique du rein qui va directement agir sur le cheveu et lui permettre d’éclore ou de faner.  

    S’ajoute l’hygiène de l’esprit régie par le système hormonal. Par exemple il est pruvé que la présence excessive d’hormones mâles est à la l’origine de la calvitie.  Attention, depuis quelques années on remarque que le phénomène d’alopécie, qui était plutôt masculin est de plus en plus féminin. Notamment chez les femmes qui ont de plus en plus de responsabilités et vivent un peu comme des hommes… 

    Blague à part, nous pouvons en savoir plus sur nous-mêmes en écoutant chaque parcelle de notre corps, car elle parle.  

    Que vous disent vos cheveux aujourd’hui ?  

    cvfg 

      

    MES CHEVEUX ME PARLENT

     

     

      

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  • Comment se débarrasser de ses ennemis "vivreaujourd'hui.com"

     
     
    28 Juillet 2014
     
     
     

    Aimez vos ennemis. Bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent.
    Matthieu 5.44

    Quelques courtisans voulaient faire comprendre à l’empereur Sigismond (1387-1437) qu’il ne leur semblait pas juste qu’il ait comblé ses ennemis de bienfaits, au lieu de les faire mettre à mort, comme ils l’avaient mérité.
    – Quoi ! leur dit l’empereur, n’est-ce pas détruire mes ennemis que de savoir les convertir en autant d’amis ?
    Jésus, le premier, a transmis à ses disciples cet enseignement révolutionnaire : Aimez vos ennemis.
    À sa suite, Paul recommande au disciple de Jésus-Christ de donner à manger à son ennemi s’il a faim, et de lui donner à boire s’il a soif. En agissant ainsi, ce sera des charbons ardents qu’il amassera sur sa tête1. Ainsi l’ennemi aura honte de ce qu’il a fait ; on le mettra mal à l’aise ; on l’amènera à prendre conscience qu’il a mal agi et à trouver le chemin de la repentance.
    Voulons-nous être débarrassés de nos ennemis ?
    Aimons-les, faisons-leur du bien et faisons en sorte qu’ils deviennent même nos amis.

    Lucien C.

    1 Romains 12.20

     

    Évangile selon Matthieu 5. 43-48 : "43 « Vous avez appris qu’on a dit : “Tu dois aimer ton prochain  et détester ton ennemi.” 44 Mais moi, je vous dis : aimez vos ennemis. Priez pour ceux qui vous font souffrir. 45 Alors vous serez vraiment les enfants de votre Père qui est dans les cieux. En effet, il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons. Il fait tomber la pluie sur ceux qui se conduisent bien et sur ceux qui se conduisent mal. 46 Si vous aimez seulement ceux qui vous aiment, quelle récompense est-ce que Dieu va vous donner ? Même les employés des impôts font la même chose que vous ! 47 Et si vous saluez seulement vos frères et vos sœurs, qu’est-ce que vous faites d’extraordinaire ? Même les gens qui ne connaissent pas Dieu font la même chose que vous ! 48 Soyez donc parfaits, comme votre Père dans les cieux est parfait ! »

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  • PERSÉVÉRANCE "YouBibleVersion.com"

     

    27 Juillet 2014

     

    Ne vous relâchez ni dans la prière, ni dans les autres attitudes à avoir pour tenir dans l'adversité. Vous devez toujours persévérer dans la joie, la reconnaissance à Dieu, la foi, la relation avec Dieu, les bonnes actions jusqu’à remporter la victoire. Persévérez comme David qui fut poursuivi par les hommes de Saül dans les grottes et déserts pendant 17 ans avant d’accéder au trône, sans pour autant attenter à la vie de Saül quand il en a eu l'occasion. Tout comme Joseph qui, depuis le puits où il a été jeté jusqu’au palais de Pharaon a eu plusieurs raisons d’abandonner, mais s’attacha à ses rêves, à la vision que Dieu lui avait donnée en gardant la bonne attitude. Courons donc comme Paul jusqu’à remporter le prix, que rien ne nous arrête, espérons contre toute espérance et nous irons de gloire en gloire avec Dieu. Dans les épreuves, le diable attaque notre détermination, notre foi, et nos espérances. Son objectif est de nous faire lâcher prise pour nous amener à faire une croix sur nos rêves. Regarder aux circonstances revient à écouter les pensées et paroles négatives qui suscitent le découragement, la voie royale vers l’échec. Le passage de Pierre marchant sur la mer illustre bien cela: notons que Pierre ne remarqua la violence du vent et des vagues que lorsqu’il commença à marcher sur les eaux. Autrement dit, les éléments contraires ne s’intensifient que lorsqu’on est en train d’accomplir quelque chose de grand ou lorsqu’on est porteur d’une grande vision. Il en fut de même pour Jésus pendant qu’il dormait paisiblement près de ses disciples dans la barque pendant la tempête; aussitôt réveillé, il ordonna aux vents et à la mer de se calmer, et ceux-ci lui obéirent, suscitant ainsi même l’étonnement de Ses disciples. Il est clair que la barque ne transportait pas un passager lambda: il y avait les disciples mais il y avait également Jésus-Christ le Fils de Dieu, d’où la manifestation du diable. Si votre cœur était porteur d’un projet sans importance, vous ne verriez ni ne sentiriez aucun vent ni tempête, en revanche chaque fois que vous serez sur le point d’enfanter un projet majeur et que son aboutissement sera proche, vous aurez à confronter l’adversaire. Le diable distingue le vase d’honneur de celui qui dont l’usage est vil: il ne vous attaque que si vous représentez une menace pour lui.

    Conclusion : Loin d’abandonner, nous devons nous rapprocher de Dieu, car Il permet l’adversité pour développer notre maturité et aussi pour que nous ayons une relation plus étroite avec Lui. Plus nous sommes près de Lui, plus Il se révèle à nous et plus notre confiance en Lui grandit alors que nos épreuves perdent de leur ampleur. Pour ceux qui savent discerner le but de l’adversité dans leur vie, pour ceux qui comprennent que Dieu utilise l’adversité pour façonner leur caractère, et qui obéissent aux principes spirituels même dans les moments difficiles comme Job qui ne laissa pas l’amertume gagner son cœur et maudire Dieu; pour ceux-là, Dieu retournera toujours la situation en leur faveur et leur donnera une victoire éclatante. Si vous comptez sur Lui, Il écrasera vos ennemis sous vos pieds et fera briller votre justice comme le soleil à son midi. Comptez sur le Seigneur, recommandez Lui votre sort, mettez en Lui votre confiance et Il agira (Ps 37 :5).

    Prière : Seigneur, je me confie en toi, je me repens de mes mauvaises attitudes. Manifeste à mon égard Ta grâce et Ta miséricorde, délivre moi de cette situation qui s’oppose à mon avancée, accorde moi de triompher de mon adversaire. Au nom de Jésus, j’ordonne à toute opposition d’être brisée et à toute montagne de s’aplanir, je déclare que je marche dans ma victoire au nom de Jésus. Amen!

     

    Bonne Nouvelle selon Luc 18:1  : "1 Jésus raconte une histoire aux disciples pour leur montrer ceci : il faut toujours prier et ne pas se décourager."

    Bonne Nouvelle selon Matthieu 14:28-31 : " 28 Alors Pierre lui dit : « Seigneur, si c’est bien toi, donne-moi l’ordre de venir vers toi sur l’eau. » 29 Jésus lui dit : « Viens ! » Pierre sort de la barque et il se met à marcher sur l’eau pour aller vers Jésus. 30 Mais, en voyant qu’il y a du vent, il a peur, il commence à s’enfoncer dans l’eau. Alors il crie : « Seigneur, sauve-moi ! » 31 Aussitôt, Jésus tend la main à Pierre, il le saisit et lui dit : « Tu n’as pas beaucoup de foi ! Tu n’as pas eu confiance. Pourquoi ? »

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  • AGIR SUR LA PAROLE "YouBibleVersion.com"

     

    26 Juillet 2014

     

    Lorsque Dieu nous a parlé et que nous avons prié avec foi, nous devons nous lever pour agir, il ne se passera rien tant que nous resterons confortablement assis dans notre salon à regarder la télé. Tous ceux qui ont expérimenté des choses extraordinaires avec Dieu, ont à un moment donné, provoqué leur miracle. La femme qui perdait le sang depuis 12 ans n’est pas restée chez elle, se contentant d’espérer mais elle est sortie, s’est encouragée toute seule et a bravé la foule, bousculé quelques personnes pour toucher Jésus. La foi sans les œuvres est vaine: la foi ne s’active qu’avec des actes concrets alors nous devons faire preuve de diligence et d’empressement une fois que les instructions du Seigneur sont clairement établies. Les signes accompagnent et marchent avec ceux qui sont en action, car lorsque Dieu parle, il donne également un plan d’action, alors levons nous et agissons!

     

    Bonne Nouvelle selon Luc 5:5  : "5 Simon lui répond : « Maître, nous avons travaillé toute la nuit sans rien prendre. Mais tu nous dis de jeter les filets, je vais le faire. »

    Bonne Nouvelle selon Matthieu 9:20-22 : " 20 Il y a là une femme qui est malade. Elle perd du sang depuis douze ans. Elle s’approche de Jésus par-derrière et elle touche le bord de son vêtement. 21En effet, elle se dit : « Si seulement je touche son vêtement, je serai guérie ! » 22 Jésus se retourne, il la voit et lui dit : « Reprends courage ! Ta foi t’a sauvée. » Et au même moment la femme est guérie."

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  • PRIER POUR LA DIRECTION "YouBibleversion.com"

     

    25 Avril 2014

     

    L’adversité arrive toujours quand nous nous levons pour accomplir une vision, réaliser un rêve, entrer dans le plan de Dieu pour notre vie. Le diable s’oppose à nous pour nous décourager et Dieu le permet comme des tests d’aptitude sur le chemin de notre destinée. Les héros de la Bible, hommes et femmes ont tous été éprouvés dans leur marche avec le Seigneur. Dans ces moments-là, il ont accentué leur vie de prière: leurs expériences doivent nous servir d’exemples et nous encourager à plus de détermination et cela ne sera possible que par la prière. Jacques 5:16 La prière fervente du juste a une grande efficacité, mais pour expérimenter cette efficacité, il faudra prier avec ferveur. Il ne s’agit pas de lire des livres sur la prière mais nous devons faire des supplications si nous voulons provoquer l'intervention divine. Dieu nous donnera alors une direction, un rhéma (la Parole révélée) pour nous aider à sortir de cette situation. Éphésiens 3:20 Or, à celui qui peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment au delà de tout ce que nous demandons ou pensons. Priez et vous trouverez la solution.

     

    Lettre aux Philippiens 4:6  : " 6 Ne soyez inquiets de rien, mais demandez toujours à Dieu ce qu’il vous faut. Et quand vous priez, faites vos demandes avec un cœur reconnaissant. "

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  •  GARDER LES YEUX FIXÉS SUR JÉSUS "YouVersion Bible.com"

     

    24 Juillet 2014

     

     

    Jésus est celui qui suscite la foi et la mène à la perfection, ne regardez pas aux circonstances avec vos yeux naturels mais plutôt avec les yeux de votre cœur, à travers la Parole de Dieu. Ayez les regards non sur les éléments naturels comme le peuple juif devant la mer rouge mais sur Jésus qui est la Parole. La méditation quotidienne de la Parole de Dieu va affecter vos pensées et produire en vous la foi, car la foi vient de ce qu’on entend et ce qu’on entend vient de la Parole de Dieu (Rom 10 :17). La foi vous fera réaliser la puissance contenue dans cette Parole dont Dieu s’est servie pour créer l’univers à partir du néant, vous comprendrez que la Parole est la Vérité qui transcende les faits et donc capable de les transformer. Vous développerez ainsi une attitude d’espérance dans le Seigneur. Dans ce combat sachons que nous partons plus que vainqueurs car à la croix Jésus a dépouillé les puissances des ténèbres en les livrant publiquement en spectacle. Lorsqu’Il s’est écrié tout est accompli, Il nous a acquis un triomphe total sur les maladies, les malédictions et sur toutes formes de montagnes qui veulent s’élever contre nous sur le chemin de notre destinée. Soyons conscients de notre victoire spirituelle et rendons-la manifeste dans le monde naturel par l’obéissance aux principes spirituels.

     

    Lettre aux Hébreux 12:2  : "2 Regardons toujours Jésus. C’est lui qui fait naître la foi et qui la rend parfaite. Il a accepté de mourir sur une croix sans avoir honte. En effet, il voyait d’avance la joie qu’il allait recevoir, et maintenant, il est assis à la droite de Dieu."

    Lettre aux Hébreux 11:1 : "1 Croire en Dieu, c’est une façon de posséder déjà les biens qu’on espère, c’est être persuadé que les choses qu’on ne voit pas existent vraiment."

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  •  ÊTRE À L'ÉCOUTE DE LA VOIX DE DIEU "YouVersion Bible.com"

     

    23 Juillet 2014

     

    Dieu a une parole pour nous chaque jour, nous avons besoin de cette Parole pour vivre pleinement notre héritage ici-bas, d’où l’importance d’apprendre à écouter Sa voix. En dehors des temps de prédication Dieu désire nous parler à tout moment, nous devons tout simplement préparer notre cœur à L’écouter et nous pourrons L’entendre à travers notre pensée. Cette capacité d’écoute se développe dans l’intimité avec Lui par la prière et la méditation de Sa Parole. Il est primordial de garder notre cœur des mauvaises pensées, des murmures et des plaintes. Ces choses ne règlent pas nos problèmes mais nous empêchent d’entendre Dieu nous indiquer les solutions qu’Il nous propose. Tout problème a une solution. Les murmures et les plaintes attirent plutôt la condamnation et la colère de Dieu, comme cela a été le cas pour le peuple d’Israël dans le désert qui par ses murmures a retardé son entrée dans la terre promise. Plus nous serons obéissants à Dieu et à Ses principes plus nous développerons notre sensibilité à L’écouter et à L’entendre. Entendre Sa voix crée en nous de l’assurance et nous donne la paix intérieure pour espérer en Lui.

     

     

    Bonne Nouvelle selon Matthieu 4:4  : "4 Jésus lui répond : « Dans les Livres Saints on lit : “Le pain ne suffit pas à faire vivre l’homme. Celui-ci a besoin aussi de toutes les paroles qui sortent de la bouche de Dieu .”

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  • ATTITUDE DE GRATITUDE "YouVersion Bible.com"
     
    22 Juillet 2014
     
     
     
     
    Si nous n'avions pas été bénis en Dieu, nous ne serions pas l’objet d’attaques de l’ennemi, alors remercions le Seigneur pour toutes Ses œuvres, et ce faisant notre mémoire nous rejouera le nombre de fois qu’Il nous a délivrés de situations similaires. Notre cœur en sera rassuré car s’Il l’a fait une fois, Il peut le faire encore. Puisque Dieu nous a bénis, Il nous donnera également le moyen de garder et protéger ces bénédictions. Lorsque Dieu chassa l’homme et la femme du jardin d’Eden, Il envoya Ses chérubins protecteurs pour garder l’arbre de la vie. Il a les moyens de garder ce qu’Il nous a donné si nous marchons dans Ses voies. Ne soyons pas non plus obnubilés par les choses que nous n’avons pas encore mais plutôt reconnaissants, car c'est alors que Dieu fera davantage. Après avoir offert un cadeau à une personne, vous seriez sensibles à sa marque de reconnaissance et donc plus disposés à lui démontrer plus d’attention que si elle est à l’affût du prochain présent que vous pourriez avoir pour elle. Tel a été le lépreux qui revint glorifier Jésus et qui en plus de sa guérison, obtint le salut de son âme (Luc 17:12-19). 

     

    Première lettre aux Thessaloniciens 5:18  : "18 Remerciez Dieu en toute occasion. C’est ce qu’il attend de vous qui êtes unis au Christ Jésus."

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  • Questions premières "vivreaujourd'hui.com"

    21 Juillet 2014
     
     
     

    Oui, le bonheur et la grâce m’accompagneront tous les jours de ma vie…
    Psaume 23.6

    Les définitions du bonheur manquent moins que le bonheur lui-même ! Il y en a une dont je ne connais pas l’auteur, mais qui me semble mériter réflexion : « Le bonheur, c’est d’avoir une raison d’exister. »
    Autant dire avoir une réponse aux questions les plus fondamentales que l’homme se soit jamais posées. Que suis-je ? D’où viens-je ? Où vais-je ? Pourquoi suis-je venu au monde ?
    Tout cela est “bateau”, éculé, à force d’être soulevé. Sans doute. Et pourtant, on n’y échappe pas jusqu’à ce que l’on ait trouvé ou que l’on ait acquis la conviction d’avoir trouvé une réponse.
    C’est la question-clé de la philosophie ; mais aucune philosophie n’y a jamais répondu. De fait, elle aurait perdu sa raison d’être. Aucune religion non plus, si on entend par “religion” l’un des systèmes religieux élaborés par l’homme.
    La réponse est venue d’une personne qui nous a fait découvrir que notre raison d’être, c’est Dieu. Il nous a créés pour Lui, pour que nous trouvions notre bonheur à le connaître comme un Père infiniment aimant. Et son bonheur à Lui, c’est d’assurer le nôtre. Exister par Lui et pour Lui ; savoir que l’on n’est pas un accident, mais le fruit d’un acte volontaire du Créateur de l’univers, voilà qui donne du sens – une justification et un objectif – à mon existence.
    Voulu et aimé… oui, le bonheur m’accompagnera !

    Richard D.

     

    Psaume 36. 5-10 : "5 Quand il est couché, il prépare ses mauvais coups. Il suit une route qui n’est pas bonne, il ne rejette pas le mal. 6 Seigneur, ton amour va jusqu’au ciel, ta fidélité monte jusqu’aux nuages.  7 Ta justice dépasse les plus hautes montagnes, tes décisions sont profondes comme la mer. Seigneur, tu sauves les hommes et les bêtes. 8 Ton amour, mon Dieu, est vraiment précieux, les humains s’abritent à l’ombre de tes ailes. 9 Dans ta maison, tu leur donnes une nourriture abondante, tu les fais boire au fleuve de ta bonté. 10 La source de la vie est en toi, à ta lumière, nous voyons la lumière."

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  •  Garder la joie "YouVersion Bible.com"

    20 Juillet 2014


    Changez de regard sur l'épreuve, voyez-la comme la semence du changement ! Comme cela a été souligné dans les passages de Philippiens et Néhémie, la joie du Seigneur nous donne de la force, de l’audace et de la hardiesse pour affronter les situations comme David devant Goliath, là où la peur et l’incertitude ont tendance à nous faire baisser les bras. C’est pourquoi Paul vous encourage à toujours vous réjouir dans le Seigneur, car en le faisant vous recevrez la force nécessaire pour vous battre et aller de l’avant. Dans Esaie 45 :7 l’Eternel dit : c’est moi qui crée l’adversité. Devant la mer rouge Dieu a permis cette situation d’adversité pour glorifier Son nom et également pour amener Son peuple à se rapprocher de Lui et toujours compter sur Lui. Lorsque nous disons à Dieu de se glorifier dans notre vie, sachons que sans adversité cela n’est pas possible car la gloire de Dieu ne se manifeste que pour triompher en nous délivrant.

    Choisissez de remplacer vos lamentations par une explosion de joie car la gloire de Dieu est à portée de main! 

     

    Pensée

     

    Lettre de Jacques 1:2-4 : "2 Mes frères et mes sœurs chrétiens, quand vous rencontrez des difficultés de toutes sortes, soyez très heureux. 3 Vous le savez, si votre foi reste solide dans les difficultés, celles-ci vous rendent plus résistants. 4 Il faut que vous résistiez jusqu’au bout, alors vous serez vraiment parfaits et vous ne manquerez de rien."

    Lettre aux Philippiens 4:4 : "4 Soyez toujours dans la joie en étant unis au Seigneur ! Je le répète, soyez dans la joie !"

    Néhémie 8:10 : "10 Esdras leur dit encore : « Rentrez chez vous. Faites un bon repas, buvez du vin sucré. Envoyez des plats à ceux qui n’ont rien préparé. Oui, ce jour appartient à notre Seigneur. Ne soyez pas tristes ! La joie qui vient du Seigneur, voilà votre force !"

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  • Se faire une montagne d’un rien "vivreaujourd'hui.com"

     
     
     
    19 Juillet 2014
     

    Veillez à ce qu’aucune racine d’amertume, poussant des rejetons, ne produise du trouble, et que plusieurs n’en soient infectés.
    Hébreux 12.15

    En Angleterre, un couple avait vécu ensemble comme “partenaires silencieux” pendant 12 ans. La femme demanda finalement le divorce. « Pendant douze ans, ils avaient vécu de manière à ne pas avoir à se rencontrer, disait l’avocat qui s’occupait de ce cas. Quand l’un entrait dans la maison, l’autre en sortait. Et lorsqu’ils communiquaient l’un avec l’autre, c’était par des notes. »
    Ils avaient vécu heureux ensemble les 18 premières années de leur mariage et avaient élevé un fils. Au cours des 12 années suivantes, ils ne s’étaient plus parlé. Tragique ironie : ni l’un ni l’autre ne pouvait se rappeler pourquoi ils s’étaient chicanés.
    Garder rancune peut détruire un mariage, ou n’importe quelle relation entre frère et sœur, entre parents et enfants, entre employés et employeur, entre voisins…
    Le verset ci-dessus montre bien que si nous laissons la rancune s’installer, il en pousse des rejetons, un peu comme les racines de mauvaises herbes qui rampent partout et que l’on a du mal à enlever une fois que nous les avons laissé pousser.
    Pour régler la situation, n’attendons pas comme ce couple, risquant nous-mêmes de ne plus savoir ce qui a mis le feu aux poudres !
    Ne faisons pas d’une petite irritation une montagne de rancune. Cette dernière est une des choses qui ne s’améliore pas lorsqu’on la soigne. Ressasser une injustice subie ne fait qu’accroître notre rancune. Nous pouvons assez facilement stopper ce venin qui s’infiltre… en pardonnant.

    Bernard D.

    SE FAIRE UNE MONTAGNE D'UN RIEN

     

    Lettre aux Éphésiens 4. 25-27 et 31-32 : "25 Alors ne mentez plus. Chacun doit dire la vérité à son prochain, parce que tous ensemble, nous faisons partie d’un même corps. 26 Quand vous vous mettez en colère, ne commettez pas de péché. Votre colère doit cesser avant le coucher du soleil. 27 Ne laissez aucune place en vous à l’esprit du mal.

    31 Ne gardez pas dans votre cœur le mal qu’on vous a fait. Ne vous énervez pas, ne vous mettez pas en colère, faites disparaître de chez vous les cris, les insultes, le mal sous toutes ses formes. 32 Soyez bons les uns pour les autres, ayez un cœur plein de tendresse. Pardonnez-vous les uns aux autres, comme Dieu vous a pardonné dans le Christ."

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  • Être présent "vivreaujourd'hui.com"

     
     
     
    18 Juillet 2014
     

    Abraham se tint en présence de l’Éternel.
    Genèse 18.22

    Jean Vanier, fondateur de l’Arche (communautés d’accueil de handicapés), écrivait : « Le mot qui vient et revient à mon esprit et mon cœur est “présence”. Être présent à la réalité et aux autres, ne pas fuir dans l’imaginaire et dans des idées. Vivre l’instant présent, ne pas s’échapper dans les rêves du futur ou s’enfermer dans le passé. M’accepter comme je suis avec mes fragilités, mes difficultés et mes dons et m’ouvrir à la présence de Dieu. »
    Le chrétien n’est pas du monde, mais Jésus l’a laissé dans le monde. C’est certainement pour qu’il y soit présent, mieux encore, pour qu’à travers lui, Jésus lui-même y soit présent.
    Être présent, c’est comme l’écrivait Vanier, ne pas fuir l’instant, l’autre, la responsabilité ni les simples vérités et évidences qui concernent mon entourage aussi bien que moi. L’imagination est une fuite. Rêver n’est pas construire. C’est aussi une forme d’absence.
    Mais je ne serai réellement présent aux autres et pour eux, que dans la mesure où ma propre présence se nourrit de celle de Dieu, où c’est dans cette proximité-là, comme jadis Abraham, que je puise le sens et la raison d’être de ma présence au monde et aux autres.
    Je n’ai évidemment pas besoin d’être disciple du Christ pour être présent et utile aux autres. Mais si ma présence n’est pas nourrie de l’essentiel, elle ne portera pas de fruit durable.

    Richard D.

     

    ÊTRE PRÉSENT

     

    Évangile selon Jean 15. 1-8 : "1 « La vraie vigne, c’est moi, et mon Père est le vigneron. 2 Il enlève toutes mes branches qui ne donnent pas de fruits et il taille toutes les branches qui donnent des fruits. Ainsi elles en donneront encore. 3 Les paroles que je vous ai dites vous ont déjà taillés. 4 Restez attachés à moi, comme moi je reste attaché à vous. Une branche ne peut pas donner de fruits toute seule, elle doit rester sur la vigne. De la même façon, vous ne pouvez pas donner de fruits, si vous ne restez pas attachés à moi. 5 « Je suis la vigne, vous êtes les branches. Si quelqu’un reste attaché à moi comme je suis attaché à lui, il donne beaucoup de fruit. En effet, sans moi, vous ne pouvez rien faire. 6 Celui qui ne reste pas attaché à moi, on le jette dehors, comme les branches. Alors les branches deviennent sèches, on les ramasse, on les jette dans le feu, et elles brûlent. 7 Si vous restez attachés à moi, et si mes paroles restent en vous, demandez ce que vous voulez, et vous l’aurez. 8 Donnez beaucoup de fruits et soyez ainsi mes disciples, alors vous montrerez la gloire de mon Père."

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  • Dieu a un projet pour moi "vivreaujourd'hui.com"

     
     
    17 Juillet 2014
     

    Jésus le regarda et dit : « Tu es Simon, fils de Jonas, tu seras appelé Céphas – ce qui se traduit : Pierre. »
    Jean 1.42

    En ce matin d’automne, je lis le début de l’Évangile selon Jean, assis sur un banc devant la maison de vacances dans les Hautes-Vosges.
    Le verset ci-dessus m’interpelle. Le nom de Simon signifie « celui qui entend ». Je comprends que ma responsabilité première est de me rendre disponible pour entendre la Parole de Dieu. Cela implique de m’éloigner de la cacophonie du monde qui m’environne, des bruits qui m’empêchent d’entendre distinctement Dieu me parler. Lorsque je ne sais pas m’isoler, je ne reçois pas Dieu cinq sur cinq.
    Le Seigneur Jésus révèle son projet à son disciple lorsqu’il l’appelle Céphas, ce qui signifie Pierre. Dieu désire faire de lui un chrétien solide, sur lequel les autres peuvent s’appuyer. Je suis concerné de la même façon : après avoir entendu le message, il me reste à accepter ce qu’il a prévu pour moi et d’y entrer.
    Quels que soient nos dons, notre histoire personnelle, nous sommes tous invités d’abord à entendre la Parole de Dieu, puis à entrer dans son plan de salut.
    Dieu en effet nous veut à son service, nous des êtres humains imparfaits : quel puissant encouragement de pouvoir devenir ses collaborateurs !

    Francis P.

     

    Évangile selon Jean 1. 35-51 : "35 Le jour suivant, Jean est là de nouveau avec deux de ses disciples. 36Il regarde avec attention Jésus qui passe et il dit : « Voici l’agneau de Dieu. » 37 Les deux disciples de Jean entendent ces paroles et ils suivent Jésus. 38 Jésus se retourne. Il voit que les disciples le suivent et il leur demande : « Qu’est-ce que vous cherchez ? » Ils lui répondent : « Rabbi, où est-ce que tu habites ? » Le mot « Rabbi » veut dire « Maître ». 39 Jésus leur répond : « Venez, et vous verrez. » Ils viennent, ils voient où Jésus habite et ils restent avec lui ce jour-là. Il est environ quatre heures de l’après-midi. 40 L’un des deux hommes qui ont entendu les paroles de Jean et qui ont suivi Jésus s’appelle André. C’est le frère de Simon-Pierre. 41 André rencontre d’abord son frère Simon et il lui dit : « Nous avons trouvé le Messie. » Le mot « Messie » veut dire « Christ ». 42 Il conduit Simon auprès de Jésus. Jésus regarde Simon avec attention et il lui dit : « Tu es Simon, le fils de Jean. Tu t’appelleras Céphas. » Ce nom veut dire « Pierre ». 43 Le jour suivant, Jésus décide de partir pour la Galilée. Il rencontre Philippe et il lui dit : « Suis-moi ! » 44 Philippe est de Bethsaïda, le village d’André et de Pierre. 45 Ensuite, Philippe rencontre Nathanaël et il lui dit : « Dans la loi, Moïse a parlé de quelqu’un. Les prophètes aussi en ont parlé. C’est Jésus, le fils de Joseph. Il est de la ville de Nazareth. » 46 Nathanaël dit à Philippe : « De Nazareth, est-ce qu’il peut sortir quelque chose de bon ? » Philippe lui répond : « Viens, tu verras. » 47 Jésus voit Nathanaël qui vient à lui et il dit à son sujet : « Voici un vrai Israélite. Cet homme-là ne sait pas mentir. » 48 Nathanaël demande à Jésus : « Comment est-ce que tu peux me connaître ? » Jésus lui répond : « Avant que Philippe t’appelle, je t’ai vu. Tu étais sous le figuier. » 49 Alors Nathanaël lui dit : « Maître, tu es le Fils de Dieu, tu es le roi d’Israël ! » 50 Jésus lui répond : « Je t’ai dit : “Je t’ai vu sous le figuier”, et c’est pour cela que tu crois ? Tu verras des choses beaucoup plus grandes ! » 51 Et Jésus ajoute : « Oui, je vous le dis, c’est la vérité, vous verrez le ciel ouvert et les anges de Dieu qui montent et descendent au-dessus du Fils de l’homme. »

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  • Fait divers ? "vivreaujourd'hui.com"

    16 Juillet 2014
     
     
     

    Maintenant, Seigneur, que puis-je espérer ? En toi est mon espérance.
    Psaume 39.7

    La voiture de gendarmerie s’arrête devant la maison, les gendarmes accompagnés du maire en descendent. Coup de sonnette…
    – Madame votre mari a eu un accident !
    La femme écoute abasourdie, puis réalise et se met à crier. Les trois hommes baissent la tête. Une vie a cessé, hélas…
    La douleur est là, brutale. Les enfants accourent, il faut leur dire aussi. C’est dur ! Terrible, incompréhensible, tragique. La quiétude d’une famille détruite en un instant. Pourquoi ?
    Cet événement, j’en étais témoin ce soir. Un sentiment de révolte me secoue : un homme sympathique dans la force de l’âge, courageux, sportif, bon père de famille, mari attentionné, ouvrier consciencieux…
    Du temps de Jésus, la tour de Siloé s’était effondrée et avait écrasé dix-huit personnes1. Elles n’étaient pourtant ni meilleures ni pires que leurs contemporains.
    Pourquoi ? Pourquoi Dieu permet-il cela ? La réponse est difficile. Un accident peut arriver à quiconque, à tout moment.
    Alors je me suis posé la question : « Moi, suis-je prêt ? Prêt à rencontrer mon Créateur ? »
    Vivre le présent à fond, c’est formidable, préparer le proche avenir, c’est normal. Mais bien plus : il est essentiel de savoir notre vie et celle des nôtres entre les mains de Dieu et de placer notre espérance en lui pour maintenant et pour l’éternité.

    Bernard D.

    1 Luc 13.4

     

    Psaume 39 : "2 J’avais dit : « Je vais faire attention pour ne pas pécher en paroles. Je vais garder la bouche fermée tant qu’un homme mauvais sera devant moi. » 3 Je suis donc resté muet, silencieux. Je me suis tu, mais je n’ai rien gagné : ma souffrance a augmenté. 4 Mon cœur était en feu, chaque plainte était comme une brûlure. Alors je me suis mis à parler : 5Seigneur, apprends-moi le moment où ma vie va finir, oui, fais-moi connaître le temps qui me reste. Ainsi, je saurai combien je suis peu de chose. 6 La largeur d’une main, voilà le temps de ma vie. Devant toi, elle ne dure presque pas. Même si l’homme est bien vivant, il n’est qu’un souffle. 7 Il va et il vient, mais il n’est qu’une ombre. Il se fatigue beaucoup, mais tout part en fumée. Il amasse des richesses, mais qui en profitera ? Il n’en sait rien. 8 Maintenant, Seigneur, qu’est-ce que je peux attendre ? Je compte sur toi : 9 délivre-moi de toutes mes fautes, ne laisse pas les gens stupides m’insulter. 10 Maintenant, je reste muet, je n’ouvre pas la bouche, puisque c’est toi qui agis. 11 Arrête de me frapper, tes coups m’enlèvent toutes mes forces. 12 Pour corriger l’homme, tu punis sa faute. Comme un insecte, tu ronges ce qu’il a de précieux. Oui, tous les humains ne sont qu’un souffle. 13 Écoute ma prière, Seigneur, ouvre l’oreille à mes cris, entends mes larmes. Chez toi, je suis un étranger, un passant, comme tous mes ancêtres. 14 Ne me regarde plus, alors je pourrai sourire avant de m’en aller et de disparaître."

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  • Last Chance for Love

     

     

    • Réalisateur: Joel Hopkins
    • Avec: Dustin Hoffman, Emma Thompson, Eileen Atkins
    • Genre(s): Comédie dramatique, Romance
    • Origine: Américain
    • Synopsis : Alors qu'il passe quelques jours à Londres pour assister au mariage de sa fille, un Américain d'une cinquante d'années, divorcé et malchanceux dans le travail rencontre par hasard une Londonienne tout aussi seule que lui, qui pour de son côté subit la tyrannie de sa mère. Ils feront un bout de chemin ensemble et plus si affinités...

     

     

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  • DERNIÈRE CHANCE  

     

     

    DERNIÈRE CHANCE

     

     

    Qu’est-ce que la chance ? Existe-t-elle ?  

    Superstition ou fait ? Croyance ou réalité ? Certains pensent qu’un événement bon ou mauvais peut nous arriver sans qu’il y ait de lien de cause à effet alors c’est le fait du hasard (de la chance). Ainsi il semblerait que nous n’ayons aucun contrôle sur ce qui nous arrive. D’autres croient qu’une personne à de la chance, la cultive ou la provoque. Enfin certains crient au blasphème autour de l’expression « chance ou hasard », parce que Dieu contrôle tout, il permet tout, il ne peut donc y avoir de hasard.  

     

    La chance existe-t-elle ?  

    Quelques croyances sociétales ont longtemps été classées dans les faits hasardeux ou chanceux… Et puis une autre compréhension est intervenue et a tout changé… 

    « Le cas le plus célèbre de ce type de situation s'est déroulé aux Pays-Bas. À une certaine époque, le nombre de cigognes dans les villages variait de la même façon que le nombre d'enfants. Certaines personnes prétendaient que les cigognes apportaient les enfants, c'est-à-dire qu'elles étaient la cause de ces naissances. Aujourd'hui, nous savons que le toit plat de ces maisDERNIÈRE CHANCEons favorise la sécurité des cigognes. Également, les familles chauffaient plus régulièrement la maison lorsqu'un nouveau-né était présent et les cigognes nichent près des cheminées chaudes. Il s'agit d'événements corrélés, mais pas causals. 

    Si une personne marche près d'un immeuble briqueté et qu'elle reçoit une brique, il est possible de déterminer les causes physiques qui ont mené à la chute : joints mal faits, immeuble vieillissant, etc. La chute n'est donc plus une fonction des « paramètres » de la personne. Vu de cette façon, toute personne qui marche près de cet immeuble a une chance égale à toute autre de recevoir une brique. 

    Toujours selon cette approche, la chance est une façon d'exprimer une suite d'événements, bons ou mauvais, survenant sur une longue période de temps. Souhaiter « bonne chance » à quelqu'un n'allongera pas cette période, ce n'est qu'exprimer son désir qu'elle soit plus longue. 

    […] En Amérique du sud où les gens se font aider par des prêtres, lors de rituels, etc... où des personnes possédant des "dons, croyant aux anges". Elles affirment qu'il est possible d'augmenter leur chance en évitant certaines situation  

    Certains encouragent la croyance dans la chance comme étant irrationnelle, mais cela peut favoriser la pensée positive et ainsi améliorer les réponses d'une personne face à une maladie, par exemple. D'autres, tels Jean-Paul Sartre et Sigmund Freud, croient que la chance a plus à voir avec un système de contrôle des événements. Selon cette approche, quelqu'un qui affirme qu'il est malchanceux agit probablement de façon à se mettre dans des situations destructrices. De l'autre côté, les personnes qui se croient chanceuses récoltent peut-être le fruit de leurs choix de vie […] Si des personnes vivent des événements « chanceux » et « malchanceux » de façon aléatoire, ceux qui croient en leur chance y verront un bon ou un mauvais augure. Attitude probablement auto-renforcée, elle favorise leur adaptation à l'environnement. » SCE 

    Qu’y a-t-il de vrai dans tout cela ? Celui qui gagne au loto, est-il juste chanceux ? Celui qui a eu une belle vie, une épouse attentionnée, tout ce qu’il voulait dans la vie, est-il juste chanceux ?  

     Vivre sa chance !  DERNIÈRE CHANCE

     

     

    Wiston Churchill disait "La chance n’existe pas; ce que vous appelez chance, c’est l’attention aux détails". Philippe Gabillet, déclarait que « avoir de la chance, c'est avoir la capacité à gagner les concours de circonstances, c'est avoir la capacité à créer autour de soi un environnement favorable[1]. » 

    Qu’elle soit une circonstance favorable ou défavorable, une possibilité que quelque chose se produise, une éventualité, une aubaine, Le mot « chance » vient de l’ancien français « chéance », qui lui-même est tiré du latin « cadere, o, cecidi, casum » qui veut dire « tomber », « façon de tomber » « choir » « façon qu’ont les dés de tomber » et longtemps ce mot a été lié au jeu de dés, puis à la notion de hasard ou d’aléa, pour enfin aboutir à une positivité, un événement positif.  

    Alors comment un concours de circonstance jugé malheureux ou heureux peut avoir une influence sur le succès, la réalisation, la réussite ou l’échec ? Comment un contexte jugé favorable ou non à une action, peut avoir autant d’impact ? Qui crée ce contexte ? Qui amène ces circonstances ?  

    Notre vie serait-elle faîte de probabilités ? Calculons-nous en permanence nos chances de succès dans la vie ? Notre réussite, bonheur et circonstances heureuses seraient-ils faits d’occasions éphémères, de possibilités subjectives estimées ? Des opportunités passagères ?  

     

    Laurence Lemoine, dans son article paru en juin 2013 dans Psychologies, intitulé «La chance existe-t-elle ? » disait « Quand bien même elle ne serait qu'une manière d'interpréter le hasard ou de poser un regard optimiste sur le monde, croire en elle nous est nécessaire. Pour avoir foi en l'existence d'abord. Mais aussi pour œuvrer à notre bonne fortune. » et c’est là toute la différence !  

    Si le hasard ou la chance existait vraiment sans que nous n’ayons aucune interaction dessus, ne parlerait-on pas de prédestination ? D’inégalités entre les opportunités des uns et des autres ? De préférences ? D’inégalités de prédispositions naturelles positives ou négatives ? De contextes culturels ou éducationnels propices ou pas ?  

    « Il existe partout et toujours, de façon inconsciente, une disposition à vivre un miracle », écrivait Carl Gustav Jung selon l’article de Laurence Lemoine. Et parfois, les histoires extraordinaires et invraisemblables, voire, selon nous, inattendues ne sont que le fruit du « destin » ou ce que nous appelons communément « hasard »(« az-zahr » jeu de dés en arabe), parce que nous ne l’avions pas prévu, orchestré, programmé consciemment, mais inconsciemment oui ! Or c’est là que tout ce joue : notre inconscient ou plus précisément subconscient !  

     

    Comprendre notre fonctionnement DERNIÈRE CHANCE

    Les mots et leur signification ayant une importance capitale pour une meilleure compréhension de notre passé, notre présent et notre futur, revenons à notre compréhension de nous-mêmes. L’homme est le résultat de 4 états interdépendants : physique, émotionnel, mental et spirituel.  

    Ce mental en particulier est structuré selon le concept Freudien du Conscient, de l’inconscient et du subconscient. Il enregistre tous les incidents de vie d’une personne. 

    Le conscient est à la fois la zone de nos sensations, de notre perception de la réalité subjective. C’est la matière même de notre corps physique. Il s’organise autour de nos sens, notre mémoire, nous situe dans le temps et l’espace.  

    L’inconscient, signifie absence de conscience. Il est plutôt la zone de pulsion, du plaisir. Il est construit par le processus de refoulement (quand le désir et les pulsions ne sont pas acceptés et doivent être dirigés ailleurs), qui le rend hors de portée du conscient. Il se nourrit de notre hérédité, nos acquis et de nos refoulements. C’est un peu le puits de notre libido, de notre énergie psychique. Ce sont tous les automatismes de l’esprit et du corps. C’est la zone dynamique de l’instinct, du biologique, qui influence en permanence le comportement et les expériences.  

    Le conscient communique avec notre inconscient par le biais du préconscient au travers du langage. 

    Alors que le conscient est formé par les mots. L’inconscient est formé de la représentation de phonèmes, de choses, qui concernent notre corps et ont été vécues avant la parole. Le préconscient est la censure entre les deux, qui ne permet pas le passage de l’un à l’autre, sans transformation.  

    Le subconscient, lui, est la zone se trouvant entre l'inconscient et la conscience claire. Littéralement, il signifie tout ce qui se place juste sous la conscience et donc qui est acquis. Des automatismes que l’on apprend. Le contenu du subconscient est passé par le conscient pour s’inscrire dans l’inconscient. On peut donc dire que le subconscient fait partie de l’inconscient parce qu’il n’est pas conscient.  

    C’est 90 % du cerveau. C’est ce que j’ignore de moi et qui habite au plus profond de moi, dans ma mémoire, mon corps, mes cellules.  

     

    En résumé 

    Notre inconscient régule nos fonctions vitales : la température de notre corps, la circulation sanguine, le rythme cardiaque, la pousse des cheveux, des ongles etc. Il emmagasine tous nos souvenirs depuis notre naissance, tous nos apprentissages, nos ressources, nos savoir-faire. Aujourd’hui vous marcher sans vous soucier mais vous l’avez appris plus jeune. Enfin, il nous protège en refoulant les événements traumatisants, les informations déplaisantes pour qu’elles ne viennent plus bloquer notre conscient.  

    Mais il y a une partie de cet inconscient dont on parle peu, qui est juste sous la conscience, et est souvent inconsciente mais est surper consciente c’est l’esprit infini, l’énergie infinie, la puissance infinie, le divin, le tout, ce que certains appellent Dieu, d’autres Maître, d’autres Seigneur, d’autres Univers…et habite notre subconscient. Car il ne fait aucun doute qu’il y a une puissance plus grande que nous qui harmonise et orchestre, fait fonctionner l’univers ! Cette puissance est présente partout et en nous dans une unicité complète et parfaite.  

     

    C’est le lien entre ces trois parties : conscient, subconscient et inconscient, étroitement liées entre elles et reconnues par la personne qui permet à cette personne d’harmoniser ses ressources et d’obtenir ce qu’elle recherche dans la vie. C’est ainsi qu’elle utilisera son plein potentiel, et tout ce qui alimente ses ressources comme la méditation, la pensée positive, etc. Pour attirer les événements qu’elle souhaite à l’écoute de ses besoins et en conscience du moment présent de la volonté divine.  

    DERNIÈRE CHANCE

    Votre chance ne peut donc être la dernière !  

    Quand vous distinguez que ce qui dépend de nous est plus infini que nous ne le pensons, on se rend bien compte que le discours de la chance perd pied…Et l’expression « je n’ai pas de chance » ne tient plus debout, car en chaque événement jugé négatif paraît une expérience positivDERNIÈRE CHANCEe, constructive et créative. « Toucher du bois » n’est plus qu’une vieille superstition. 

    C’est alors notre regard (subconscient) sur le monde, les autres, notre vie qui change du tout au tout. Tout devient surprises, acceptation et transcendance !  

    Aucun de nous n’est maudit sur cette terre, s’il ne s’accepte comme tel comme une fatalité. Préféreriez-vous remettre votre sort au gri-gri, roulette russe, voyance, numérologie etc. alors que vous pourriez être maître de décider de ce qui vous arrive par un processus totalement divin, dont nous avons naturellement hérité, comme un cadeau d’un grand prix au-delà des erreurs d’éducation, des croyances restrictives de notre culture ou des préjugés si faciles à nous déstabiliser ?  

    La seule voie pour retrouver « notre chance », et la garder, si nous y croyions et estimions nager dans une pseudo malédiction, est de retrouver notre nature profonde.  
     

    Anne-Laure Gannac, journaliste à Psychologie, a interviewé l’ancien tennisman professionnel, amateur de squash et d’échecs, Denis Grozdanovitch et à la question Que conseillez-vous pour apprendre à saisir sa chance ? Considérez sa réponse… 

    « L’observation des animaux. Le chat, par exemple : regardez-le dormir. À la moindre souris qui passe ou feuille qui virevolte, il bondit de manière foudroyante alors qu’on le croyait en pleine léthargie. Le chat ne se pose pas de questions : il ne rate pas une occasion de jouer. Je préconise aussi l’art du jardin – à l’anglaise, surtout pas à la française ! – pour reprendre contact avec la nature, notre nature sauvage. Puis cultiver le goût des temps morts. Je me souviens d’un jour où j’avais fait attendre mon père. J’arrive en m’excusant, il me répond : « Oh non ! Ne t’excuse pas, j’ai appris à aimer attendre. » C’est dans l’attente que l’on se rencontre un peu soi-même, mais aussi que quantité de choses peuvent nous arriver. Avez-vous remarqué que l’on peut passer quinze jours dans un hôtel sans parler avec personne et, au moment de partir, faire une rencontre passionnante ? Parce que, à ce moment-là, on ne court plus après rien, on se détend, on lâche prise… 

     

    Selon vous, pouvons-nous vivre dans cet état d’émerveillement permanent au quotidien ? 

    Attention, il ne s’agit pas non plus de chercher à s’émerveiller sans cesse. Un poète de la Chine ancienne raconte sa visite d’un pays magnifique, où il fait des rencontres sublimes. Pourtant, il termine chaque strophe de son récit par « rien de spécial ». Pour moi, c’est cela, l’état poétique. C’est se rendre disponible à vivre le merveilleux la chance, mais sans pour autant sombrer dans l’idéalisme. Car, alors, on risque de perdre le contentement simple que l’on a à exister dans un moment heureux. 

     

    La chance, un état d'esprit ? 

    « Saisir sa chance demande un esprit poétique » Le poète Denis Grozdanovitch nous invite à « desserrer les mâchoires contraignantes de notre cartésianisme » en vue de nous rendre disponibles pour vivre le merveilleux. » Fin de citation.  

    Notre chance ne sera jamais la dernière, elle n’est que la première d’une nouvelle expérience !  

    Alors saisissons-la !  

    cvfg 

     

    LE DESTIN

    n'est pas une question de Chance

    c'est une question de CHOIX

    Ce n'est pas une chose qui doit être attendue,

    Mais une chose qui doit être accomplie.

    William Jennings Bryan

     

     

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  • Tant qu’il en est temps "vivreaujourd'hui.com"

    15 Juillet 2014
     
     
     

    Conduisez-vous avec sagesse […], et rachetez le temps.
    Colossiens 4.5

    Le temps passe son temps à passer. C’est son passe-temps favori. Le sablier a été inventé autour du 5ème siècle pour mesurer l’écoulement du temps. Belle image ! Comme le sable fin, le temps file entre les doigts. Certaines sculptures représentent le sablier avec des ailes de chauve-souris. Les chauves-souris, je ne les vois pas, je les devine quand elles sont déjà passées, comme je devine la fuite du temps…
    Sur la montre à affichage digital, les secondes se bousculent dans une course effrénée ! Je lui préfère la montre traditionnelle : on y voit le temps qui reste, ce qui donne l’illusion de le maîtriser !
    Que faisons-nous de ce temps qui passe ? Que restera-t-il de nos œuvres et de nos heures gaspillées ? Chaque jour, il reste de moins en moins de sable à écouler. Et à la fin, pas moyen de retourner le sablier !
    Nos temps sont dans la main de l’Éternel. Et Jésus nous invite à travailler non pour ce qui périt, mais pour ce qui demeure pour l’éternité1… tant qu’il en est temps !

    Francis S.

    1 Matthieu 6.20

     

    Livre de l’Ecclésiaste 3. 1-14 : "1 Dans ce monde, il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose : 2 Il y a un temps pour naître et un temps pour mourir, un temps pour planter et un temps pour arracher les plantes. 3 Il y a un temps pour tuer et un temps pour guérir, un temps pour démolir et un temps pour construire. 4 Il y a un temps pour pleurer et un temps pour rire, un temps pour les chants de deuil et un temps pour les danses joyeuses. 5 Il y a un temps pour lancer des pierres et un temps pour les ramasser. Il y a un temps pour embrasser et un temps où il n’est pas bon de le faire. 6 Il y a un temps pour chercher et un temps pour perdre, un temps pour garder et un temps pour jeter. 7 Il y a un temps pour déchirer et un temps pour coudre, un temps pour se taire et un temps pour parler. 8 Il y a un temps pour aimer et un temps pour détester, un temps pour la guerre et un temps pour la paix. 9 Quel avantage retire le travailleur du mal qu’il se donne ? 10 J’ai regardé les occupations que Dieu impose aux humains. 11 Dieu fait arriver toute chose au bon moment. Il a donné aussi aux humains le désir de connaître à la fois le passé et l’avenir. Pourtant, ils ne peuvent pas connaître l’ensemble de ce que Dieu accomplit. 12 Ainsi, je le sais, le seul bonheur pour eux, c’est de se réjouir et de profiter de la vie. 13 Quand quelqu’un mange, boit et profite des résultats de son travail, c’est un don de Dieu. 14 Je le sais, tout ce que Dieu fait, cela dure toujours. Il n’y a rien à ajouter et rien à enlever. Et Dieu agit ainsi pour qu’on le respecte."

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  • Commémoration de la prise de la Bastille le 

    14 juillet 1789 

    Et 

    Fête de la Fédération du 14 juillet 1790 

    `COMMÉMORATION DU 14 JUILLET

     

    Que s’est-il passé ? 

     

    Parmi toutes les fêtes nationales de victoire, de commémoration et de paix, celle du 14 juillet reste la plus révolutionnaire à cause de sa portée historique et symbolique.  

    Le contexte chaotique de la prise de la Bastille 

    Nous sommes en plein été. Nous sommes dans une période de vide gouvernemental, de crise économique, de tensions politiques. Le roi vient de renvoyé Necker. Jacques Necker, un financier et homme politique genevois, ministre de Louis XVI. Ex banquier à Paris et suite au succès de ses essais en matière de politique économique[réf. nécessaire], il est nommé par Louis XVI directeur général du Trésor royal en 1776, puis des Finances. Il modernise alors l’administration en l’allégeant des privilèges outranciers, il diminue l’arbitraire, privilégie les provinces en les développant et en leur accordant du pouvoir, il introduit la transparence au sein de l’administration royale, en publiant un compte rendu des finances royales et de la situation financière du pays. Économiquement, Il recherche l’harmonie sociale, dans le droit fil de Colbert, en travaillant en faveur des classes déshéritées, réalise la réforme des hôpitaux et des prisons, abolit la mainmorte (incapacité dont sont frappés les serfs en France au Moyen Âge de transmettre leurs biens à leur décès. L’objectif était d'éviter que les biens passent à des personnes extérieures à la seigneurie : durant sa vie, le serf jouissait librement de ses biens personnels ; il pouvait disposer de son manse avec la permission de son seigneur mais il était privé de la faculté de faire son testament et, à sa mort, ses biens revenaient à son seigneur selon le principe : « Le serf mort, saisit le vif son seigneur ». C’est l'impuissance du serf à transmettre son patrimoine au reste de sa famille, après sa mort.) 

    Necker reprend en main  l’organisation économique du royaume en s’opposant au libéralisme de ses prédécesseurs. En matière financière, la politique de Necker est simple. Il estime que l’État peut emprunter autant qu’il désire dès lors que le budget ordinaire est équilibré et que les impôts n’augmentent pas.  Il faut donc réformer l’administration financière, et réduire les dépenses : réduction des dépenses de la Maison du Roi, révision des pensions pour pourchasser les cumuls et les abus, vérifications des déclarations de revenus et révision des abonnements des pays d’états, qui produisent un revenu supplémentaire de 1,6 million de livres. 

    « Pour financer l’effort de guerre, Necker emprunte des sommes considérables, environ 530 millions de livres, à des taux élevés car le crédit de l’État est alors au plus bas : il faut donc recourir à des formules coûteuses telles que l’emprunt à lots ou l’emprunt viager. En 1780, Necker obtient le renvoi du ministre de la Marine, Antoine de Sartine, accusé d'avoir gaspillé les fonds de son ministère et d'avoir émis des emprunts sans l'en avoir informé. 

    La plupart des emprunts de Necker — 386 sur 530 millions de livres — furent lancés sous forme de constitution de Rentes viagères. Des sept principales émissions de rentes viagères, il tira 260 millions de livres: en 1777 par contrats sur une ou deux têtes, à raison de 10% pour une tête et de 8 ½ pour deux. En 1779, afin d'attirer un plus grand nombre de souscripteurs, il étendit les contrats à trois et même quatre personnes, avec des taux similaires. La Banque Girardot, où ses adversaires l’accusaient d'avoir gardé des intérêts, souscrivit à elle seule pour 14 millions. Les gros souscripteurs taisaient le calcul que Necker ne faisait pas : ils revendaient les contrats à des familles réputées saines, qui les appliquaient à des enfants de sept à dix ans, procédé qui joua un rôle central dans les « grandes vagues des spéculations des années 1780 ». Robert Harris a calculé que Necker emprunta en moyenne au taux de 6 % par an, notamment par l’émission de 150 millions de rentes perpétuelles à 5 % auprès des états provinciaux et des corps intermédiaires. Ce taux s’éleva cependant avec les années de guerre, passant de 7,5 % lors du premier emprunt sous forme de loterie du mois de janvier 1777 pour atteindre 10 % sur une vie avec exemption du dixième lors de son quatrième et dernier grand emprunt en rentes viagères du mois de février 1781. »SCE 

    Ses réformes font son admiration et étonnent, parce qu’elles fonctionnent. Mais Très vite des adversaires font jour à la cour royale, constitués des princes de sang, les frères du Roi, des Grands Seigneurs, qui font rédiger des pamphlets discréditant Necker mais aussi en boycottant ses propositions au Parlement de Paris et en remettant en cause son administration financière saine.  Renvoyé en mai 1781, peu avant les grandes spéculations boursières sous Louis XVI, il est rappelé en août 1788 avec le titre de ministre d’État du fait du soutien indéfectible de l’opinion publique, et de la faillite virtuelle provoquée par Calonne. Il convoque  alors les États généraux en obtenant le doublement du tiers état. Renvoyé par Louis XVI le 11 juillet 1789 pour avoir été absent lors de la séance royale du 23 juin 1789 et pour son soutient excessif aux tiers État, son renvoi est l’une des causes principales des événements du 14 juillet.  

    Les débuts de la Grande Révolution… 

    Le mécontentement populaire agite Paris. Le Roi a réunit les États Généraux. Une assemblée constituée de représentants de la noblesse, du clergé qui réclament des réformes profondes des institutions et se proclament Assemblée Nationale Constituante. Le Roi inquiet fait secrètement appel aux régiments allemands et suisses pour le protéger et les réunis à Versailles.  

    Le 12 Juillet, Le peuple apprend le renvoi de Necker. La nouvelle se répand vite dans le tout Paris. A 12h, Camille Desmoulins, un avocat-journaliste, peu connu, monté sur un tonneau, appelle les passants à réagir contre le gouvernement. Des manifestations éclates partout des les rues avec le buste de Necker en tête des cortèges et dans les jardins du Palais-royal. Le régiment de cavalerie, charge la foule, composée de femmes et d’enfants et fait plusieurs blessés et 3 morts. Le peuple vit dans la peur d’une famine par un complot de l’aristocratie, les échos de l’Assemblée sont plutôt noirs, les troupes mercenaires à l’entrée de la ville, ne les rassurent pas, le prix du pain augmente de manière scandaleuse est programmée pour ce 14 juillet.  

    Comme tout se sait assez vite, la rumeur circule rapidement et anxieusement que des troupes royales mercenaires vont entrer dans Paris et arrêter les députés ! A 1h du matin, les régiments suisses ont l’ordre royal d’intervenir. 40 des 50 barrières qui permettent d’entrer à Paris sont incendiées. La foule réclame la baisse du prix du grain et du pain. Une rumeur circule sur l’entreposage de grain à la Bastille et au couvent Saint-Lazare. Celui-ci est pillé.  

    Le mardi 14 juillet, des Parisiens (artisans, commis de boutiques, salariés de faubourgs, pères de familles), en colère, vont chercher des armes de guerre entreposés aux invalides mais n’ont pas gain de cause. Alors près de 80 000 combattants défoncent les grilles, escaladent les fossés, descendent dans les caves, pour s’en emparer de force. Armés, il leur manque de la poudre à canon et des balles. Ils se  dirigent vers la vielle forteresse royale de La Bastille, vieille prison médiévale de l’ancien régime, défendue par une centaine de gardes, pour prendre de la poudre. Elle ne retenait que 7 prisonniers : 2 fous, 1 noble criminel, 4 faussaires. Elle était quasi vide, mais l’administration juridique française y entretenait une symbolique de terreur, de légende noire faisant croire qu’elle était constituée de cachots où pourrissaient des victimes de la monarchie. Cette initiative est celle d’une lutte pour la subsistance et rien d’autre !  

    De 10h30 à 13h30, la délégation des émeutiers négocie pour obtenir des balles et de la poudre. Des militaires se rallient à la foulés amassée devant les portes de la bastille.  

    A 13h30 les gardes ouvrent le feu sur les émeutiers, qui continuent leur assaut de la forteresse. Pendant 3h et demie le siège perdure, les délégations se suivent malgré les tirs et à 15h30, les négociations sont closes, les tirs se font de plus en plus sanglants directement sur la foule. L’assaut de la forteresse commence. La journée est un vrai carnage, avec des fusillades plutôt sanglantes ! 100 morts chez les insurgés et 6 parmi les gardes. A 17h, les garnisons de la Bastille rendent les armes sur la promesse des émeutiers qu’il n’y aura pas d’exécutions. Les parisiens COMMÉMORATION DU 14 JUILLETs’emparent de la forteresse, des balles et de la poudre, libèrent les 7 prisonniers retenus et démolissent et pillent la forteresse. La garnison est faite prisonnière et emmenée à la bastille pour y être jugée. En chemin les chefs de la prison comme De Launay et Jacques de Flessel, prévôt des marchands de Paris, sont décapités et leur tête promenées au bout d’une pique dans les rues de la capitale. Les archives du préfet de police sont pillées et dispersées par la garde française dans les fossés de la forteresse. La Bastille est ensuite démolie le 15 juillet par l’entrepreneur privé Pierre-François Palloy, dont le chantier est encore visité jusqu’à maintenant.  

    C’est la fin d’un des remparts de l’absolutisme, de l’administration royale et le début de la révolution vers la liberté !  Un fait historique qui a des répercussions dans toute l’Europe. Necker retrouve ses fonctions pour apaiser les révolutionnaires. Car dès le 16 juillet le Roi est obligé de le rappeler et le nomme Premier Ministre des Finances.  Confronté à l'opposition de l'Assemblée nationale qui veut financer le pays par l’assignat, un titre de monnaie fiduciaire qui se fonde sur le gage sur les biens nationaux par assignation, c qui a entraîné une forte inflation. Alors que lui privilégiait le financement par l’anticipation et l’emprunt. Il est contrait de démissionner de nouveau en septembre 1790 et rédige une critique sévère du nouveau principe d'égalité

    En 1880 le 14 juillet devient fête nationale et les républicains instaurent la Marseillaise, hymne national !  

     

    Fête de la Fédération 

    Parallèlement, Depuis le 14 juillet 1789 ; dans toutes les campagnes françaises, se sont multipliées des Fédérations régional de gardes nationaux, en réaction et pour sauvegarder l’affaiblissement du pouvoir central. Afin que reste sous contrôle cette initiative plutôt spontanée dans un pays en crise, une Grande Fédération Nationale réunissant les représentants régionaux est créée et réunit à Paris sous un grand défilé 14 000 soldats fédérés sous la bannière de leur département allant de la bastille au Champs de Mars. Une esplanade est organisée, une Grande messe est célébrée, le Roi Louis XVI promet devant les 400 000 parisiens, le respect des décisions prises par l’Assemblée. La monarchie pour l’instant est sauvegardée. Les cérémonies se terminent par une Grande fête populaire, sont les effets seront de courte durée puisque deux ans après le roi est arrêté et condamné à mort 

    Quel impact pour nous aujourd’hui ? 

    En réalité les festivités modernes actuelles du 14 juillet sont un amalgame des ces deux événements mais plus encore de ces fédérations de soldats garantes de la liberté et de l’ordre.  

    On est loin de la symbolique historico-sociale de cette épisode de l’histoire française dont toute l’Europe fut témoin avec effarement !  

    Dès le lendemain de la prise de la Bastille, des militaires hauts gradés, des Princes, des secrétaires d’État passent la frontière sans tarder. Les officiers n’ont plus confiances en leurs hommes, nombreux d’entre eux ont rejoint les émeutiers, se sont mutinés ou ont désertés. L’armée royale est plus que décimée !  

    On n’en est pas encore à la Révolution française, mais partout circule le mot révolution et non de révolte ! Comme un présage à quelque chose de plus important, de plus profond ! Car contester une situation, un événement, une injustice, sans qu’il y ait substitution pouvoir c’est ce révolter, mais créer, susciter un changement brusque en profondeur c’est la révolution ! Quand elle intervient elle crée un changement radical, c’est la suppression de manière brutale, parfois sanglante et dans la douleur d’un ordre, d’un système, d’une vie, pour les remplacer par un autre système. C’est la « revolutio » ou le « revolvere » en latin chrétien. 

    En 2014, Le contexte de la Révolution de 1789 n’a guère évolué : injustices frappantes, accaparement du pouvoir par une poignée de privilégiés, la hausse des prix, la corruption de nos dirigeants !  

    Pourtant, depuis le début du XXIè siècle les révolutions ont été sporadiques et peu importantes !  

    Si on en est plus à défendre des valeurs communes collectives, parce que trop moulés, ou trop accaparés à s’en sortir individuellement, (Pourquoi n’y a-t-il plus de révolution ?), L’être humain a aussi ses propres combats à mener pour transcender positivement sa vie, d’abord dans con cœur, sa conscience, ensuite dans son environnement immédiat et élargi. Alors dans notre cadre : famille, profession, vie personnelle, couple, sommes-nous encore à la révolte ou voulons-nous la révolution ? A quand la révolution ?  

    Le proverbe chinois dit : « Avant de faire la révolution, réforme d’abord ton cœur » 

    Et Jean Jaurès s’exclamait avec sagesse « Il ne peut y avoir révolution que là où il y a conscience » 

    S’il n’y a plus de révolution, chez nous comme ailleurs, serait-ce par défaut de conscience ?  

     

    cvfg 

    COMMÉMORATION DU 14 JUILLET

     

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  • Priorités "vivreaujourd'hui.com"

    14 Juillet 2014
     
     

    Attachez-vous aux choses d’en haut et non à celles qui sont sur la terre.
    Colossiens 3.2

    – Papa, j’ai réussi mes examens et le professeur a dit qu’il me recommanderait pour le Lycée. Il va m’aider à obtenir une bourse d’études. Ta contribution se limitera à 10 livres !
    Assis devant sa case dans un petit village africain, le père réfléchissait. Ayant compris qu’il était important d’apprendre à lire et à écrire, il avait fait en sorte que son fils puisse aller à l’école de la Mission. Mais il était temps que le fils commence à y mettre du sien, à s’occuper du bétail et à travailler dans les champs. Quel était l’intérêt d’étudier plus ? Après tout, lui était illettré, et il s’en était bien sorti dans la vie. Dix livres ! Où trouverait-il une somme pareille ? D’ailleurs, il avait d’autres priorités.
    – Calme-toi, je n’ai pas tes dix livres, et si je les avais, je ne les gaspillerais pas pour ton éducation, je les utiliserais pour acheter une autre femme.
    Malgré tout, mon ami réussit à poursuivre ses études, et Dieu l’a utilisé pour servir dans le monde entier.
    Les priorités du père peuvent nous faire sourire, mais quelles sont les nôtres ? Pouvons-nous dresser une liste des 4 ou 5 choses qui nous prennent le plus de temps et d’énergie et qui occupent le plus nos pensées ? Si nous demandions ensuite à un ami qui nous connaît bien de faire la liste de nos priorités, les deux listes se ressembleraient-elles ?
    Quelle place Dieu tient-il dans cette liste ? En a-t-il même une ?
    Il est encore temps de sortir de nos négligences à cet égard.

    Silvano P.

     

    Évangile selon Matthieu 6. 25-34 : "25 « C’est pourquoi je vous dis : ne vous faites pas de souci pour votre vie ni pour votre corps. Ne vous demandez pas : “Qu’est-ce que nous allons manger ? Avec quoi est-ce que nous allons nous habiller ?” Oui, votre vie est plus importante que la nourriture, et votre corps est plus important que les vêtements. 26 Regardez les oiseaux. Ils ne sèment pas, ils ne moissonnent pas. Ils ne mettent pas de récoltes dans les greniers. Et votre Père qui est dans les cieux les nourrit ! Vous valez beaucoup plus que les oiseaux !

     27« Ce n’est pas en vous faisant du souci que vous pouvez ajouter un seul jour à votre vie ! 28 Pourquoi alors vous faire du souci pour les vêtements ? Observez les fleurs des champs, regardez comment elles poussent. Elles ne filent pas et elles ne tissent pas. 29 Pourtant, je vous le dis : même Salomon, avec toute sa richesse, n’a jamais eu de vêtements aussi beaux qu’une seule de ces fleurs. 30 L’herbe est aujourd’hui dans les champs, et demain on la jettera au feu. Et pourtant, Dieu l’habille de vêtements magnifiques. Vous qui n’avez pas beaucoup de foi, vous pouvez être sûrs d’une chose : Dieu en fera au moins autant pour vous !
     31 « Ne soyez pas inquiets en vous demandant : “Qu’est-ce que nous allons manger ? Qu’est-ce que nous allons boire ? Avec quoi est-ce que nous allons nous habiller ?” 32 En effet, les gens qui ne connaissent pas Dieu cherchent tout cela sans arrêt. Vous avez besoin de toutes ces choses, et votre Père qui est dans les cieux le sait bien. 33 Cherchez d’abord le Royaume de Dieu et ce que Dieu demande. Il vous donnera tout le reste en plus.
     34 « Donc, ne vous faites pas de souci pour demain. Demain se fera du souci pour lui-même. La fatigue d’aujourd’hui suffit pour aujourd’hui ! »
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  • Beauté "vivreaujourd'hui.com"

    12 Juillet 2014
     
     
     

    Les réalités visibles sont passagères et les invisibles sont éternelles.
    2 Corinthiens 4.18

    Je me rasais dans la salle de bain lorsque ma petite-fille de 13 ans est entrée. Pendant un instant, nous nous sommes regardés dans le miroir.
    Bien que nous ayons presque la même taille, ma tête dégarnie, mon grand nez et mes gros sourcils contrastaient fortement avec ses magnifiques cheveux longs et blonds, sa peau lisse et ses traits bien proportionnés. C’est étonnant la différence que peuvent faire 60 années !
    Elle mourait d’envie de me poser une question. Finalement, elle s’est lancée :
    – Grand-papa, avons-nous vraiment été créés par Dieu ?
    – Oui, bien sûr.
    – Et bien, il semble avoir fait un bien meilleur travail avec moi.
    Heureusement, la véritable beauté dépasse de loin l’apparence. Car, malgré les affirmations fantastiques de leurs publicités, aucune crème ne peut empêcher le processus de vieillissement. Mais celui qui nous a créés à son image veut opérer en nous un renouveau par son Fils. Si nous l’accueillons, il œuvre en nous par son Esprit et par sa Parole pour faire de nous des porteurs de Sa beauté – une qualité intérieure de vie qui se manifeste dans nos attitudes, paroles et actes.
    L’apôtre Paul l’a exprimé en ces termes : … même si notre être extérieur se détruit, notre être intérieur se renouvelle de jour en jour.1
    Prière : « Seigneur, aide-moi à regarder au-delà de ce que le miroir me révèle et que la beauté de ton caractère devienne de plus en plus visible en moi. »


    Silvano P.

    1 2 Corinthiens 4.16

     

    BEAUTÉ

    2ème lettre aux Corinthiens 4. 16-18 : "16 C’est pourquoi nous ne sommes pas découragés. Et même si notre corps s’use petit à petit, ce qui est au fond de nous devient chaque jour nouveau. 17 Oui, nos souffrances actuelles sont légères et durent peu de temps, mais elles nous préparent une gloire extraordinaire. Cette gloire dure toujours et elle est beaucoup plus grande que nos souffrances. 18 Nous, nous ne cherchons pas ce qu’on peut voir, nous cherchons les choses qu’on ne voit pas. En effet, ce qu’on peut voir ne dure pas longtemps, mais les choses qu’on ne voit pas durent toujours."

     
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  • LA BÉNÉDICTION

     

     

    UNE PAROLE D’HOMME !  

    Notre monde moderne a tendance à croire que le terme et le contexte du terme  bénédiction soient exclusivement réservés au domaine religieux.  Utilisé dans le cercle de l’Eglise, ou de cérémonies religieuses.  Répété 67 fois dans la Bible, La bénédiction (du latin benedictio de bene dicere, bénir), est l'action de bénir par la parole et/ou le geste.  C’est « le fait de dire du bien ». Si on s’attache à sa seule signification, en lui enlevant toute connotation religieuse, Quel est son impact ?  

     

     

    Un terme sacré 

    Dans le texte sacré, notamment dans l'Ancien Testament, la bénédiction fait appel à trois choses : 

    • 1 - une grâce accordée par Dieu, 
    • 2 - un souhait humain que Dieu agisse favorablement envers quelqu'un d'autre, 
    • 3 - une joie de celui qui voit la réussite ou le bonheur d'autrui. LA BÉNÉDICTION

    Les patriarches, Abraham, Isaac et Jacob, bénissent leurs fils afin de leur transmettre la bénédiction qu'ils ont eux-mêmes reçue de Dieu. 

    Dans le Nouveau Testament, nous retrouvons trois termes grecs qui ont été traduits par 'bénédiction'. 

    • 1 - le terme eulogia (qui a donné en français le mot éloge), désigne les grâces spirituelles et matérielles procurées par Jésus-Christ à l'homme. 
    • 2 - Un second terme grec est traduit par bénédiction. Il s'agit du mot 'Makarios' qui revêt une signification spirituelle. C'est ce terme qui a été utilisé par Elisabeth pour bénir Marie, enceinte de Jésus. 
    • 3 - Le dernier terme, 'Eulogetos', s'applique exclusivement à Dieu et à Jésus-Christ. On le retrouve dans l'expression 'Dieu béni éternellement' (Epitre de l'Apôtre Paul aux Romains, Chapitre 9, Verset 5). 

    Finalement les sens connus, selon la tradition religieuse, du terme bénédiction, quelles que soient les confessions religieuses,  sont de deux ordres :  

    1. louange 
    1.  bienfait accordé 

    En général une  prière de bénédiction est une courte prière destinée à remercier Dieu pour son aide et à le louer. 

    Dans la religion chrétienne, le terme désigne également le geste effectué par les célébrants lors de certaines cérémonies ou encore à la fin d'un office et qui consiste à invoquer la bienveillance divine sur une personne ou sur l'assemblée. Dans le catholicisme et les Églises orthodoxes, la bénédiction peut être prononcée au moment de la consécration d'un monument (mémorial, autel, église), d'un objet servant au culte (cloche) ou d'autres objets (champ, maison, drapeau). 

    LA BÉNÉDICTIONC'est de la place Saint-Pierre que le Pape donne ses bénédictions, notamment la bénédiction urbi et orbi, c’est-à-dire les paroles solennelles qu’il prononce du haut de son balcon pontifical lors d’occasions particulières comme Pâques, Noël etc. sur la ville comme sur le monde, en tant qu’évêque de Rome et Pasteur universel du catholicisme.  

    Le bénédicité, (prière)  se récite avant un repas pour rendre grâce de la nourriture et appeler sur elle la bénédiction divine. 

    Les siècles de croissance du christianisme notamment à l’époque romaine,  créent même des prénoms autour du terme. Ainsi, le prénom féminin Bénédicte et du prénom masculin Benoît, issus de la période signifient « béni/bénie (par Dieu) ». 

    Plus généralement, dans la vie quotidienne, le terme est synonyme de « vœu », voire d'« accord ». Sce  

     

    « Tu as ma bénédiction… » LA BÉNÉDICTION

     

     

    En réalité, le terme bénédiction tire sa racine du verbe « Bénir » qui en religion définit l’action de bénir, ex : bénédiction d’une chapelle, des fonts baptismaux, d’un cimetière, du pin, de l’eau, consacrer au culte, au service divin lors de certaines cérémonies. Qui dans les familles, quoique peu utilisé, fait allusion aux grâces ou accord, donnés par les parents à leurs enfants. Plus souvent que rarement, on croit que cette grâce ou faveur particulière est donnée par le Ciel ou Dieu !  

    Plus encore, ce sont des vœux, des souhaits,  que l’on fait pour la prospérité de quelqu’un, en tout cas que l’on forme en sa faveur.  

     Quand on voit une famille qui prospère, qui réussit, on parle souvent de  maison de bénédiction, une Maison qui semble l’objet d’une particulière protection divine ; Une Maison où tout abonde. 

    Mais si l’on croit traditionnellement que la bénédiction reste divine, donc extérieure à nous, on connaît très peut la force spirituelle humaine d’un tel terme !  

    Bene = bien  et dicere = dire, mot à mot : «dire du bien».  

    Male = mal et dicere = dire, mot à mot : « dire du mal » 

    Le mot «bénédiction» évoque un fait réconfortant puisqu'il signifie «action de bénir» qui est associé à Dieu alors que son antonyme malédiction qui vient de maudire est le fait du diable et de tous ceux qui disent du mal et veulent le mal. 

    Concrètement, la bénédiction loin d’être extérieure à nous, est issue de notre esprit, de notre sentiment profond, de nos convictions profondes envers l’autre ou envers Dieu. Elle est davantage une parole humaine et une action humaine que divine, car le divin ne peut dire, vouloir, croire et faire du mal envers l’homme. Au contraire le Divin est l’Essence même du bien : vie, abondance, fécondité.  

    Ce sont nos formules de reconnaissance des autres et du Divin, nos formules cultuelles, nos souhaits en faveur des autres, c’est l’appel du divin dans sa vie et celles des autres. Comme l’explique dans « La bénédiction dans la bible hébraïque » JD Macchi, lors des journées théologiques de 2007, à la faculté autonome de théologie protestante de l’Université de Genève : « La bénédiction formulée d'un homme pour un autre, ou d'un homme pour Dieu, inscrit les protagonistes  dans un système de relation définissant la place des uns par rapport aux autres. Dieu est le pourvoyeur de la bénédiction dont la nature est très variée »  

     

    En réalité, Dieu n’est que « l’exauceur », le pourvoyeur de la bénédiction énoncée, appelée, donnée. Par qui ? L’être humain lui-même !  

    Nous sommes donc des créateurs, des fomenteurs, des instigateurs de bénédictions ou de l »inverse… 

     

     

    Quelle est ta bénédiction ?  

    La vraie question se trouve dans ce que nous pensons des autres et disons des autres, voulons pour les autres, à quelles fins et mus par quels mobiles ?  

    Ne sont-ce que du bien que nous leur prodiguons, ou sommes-nous mus par quelque autre sentiment obscur ?  

    Sonder son âme au quotidien est un exercice indispensable à notre bien-être ou mal-être car n’oubliez pas l’adage ; « malédiction mal envoyée revient à son maître »,  

    de même imaginez l’inverse !  

    « Bénédiction bien envoyée revient aussi à son maître » 

     

    cvfg 

     

    LA BÉNÉDICTION

    "Nous sommes ce que nous pensons. Avec nos pensées nous créons le monde."

     

     

     

     

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  • Incroyable ! Oui, mais… "vivreaujourd'hui.com"

    12 Juillet 2014
     
     
     

    Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu.
    Luc 18.27

    Maud Fontenoy, navigatrice admirable qui défend les océans après les avoir affrontés, a pour devise : « Ne laissez personne vous dire que c’est impossible. »
    Les impossibles d’hier se réduisent ; en effet : on a marché sur la lune, on fait en quelques heures le tour de la terre, on modifie l’ADN des êtres vivants, on réduit des bibliothèques entières à quelques millimètres carrés… Tout cela faisait dire à un animateur de radio : « Plus nous regardons autour de nous, plus ce monde nous donne le vertige. »
    Tout serait donc possible, le meilleur comme le pire ? Pas si sûr. Car si le pire paraît réalisé, voire dépassé, le bien reste à la traîne. Les hommes qui ont créé de quoi détruire l’humanité en appuyant sur un bouton n’ont jamais réussi à établir la paix, à assurer la justice, à vaincre la mort, l’égoïsme, l’infidélité, l’indifférence des nantis, l’avidité… N’est-ce pas sur la liste des drames intérieurs que l’on est en droit d’avoir le vertige ?
    Le pire est possible à l’homme. Hélas pas le meilleur.
    À moins… de nous souvenir que celui qui nous a faits est aussi capable de nous réparer. Dieu ne nous avait pas créés incapables du meilleur. C’est nous qui avons “détraqué la machine”.
    Ne nous obstinons pas en vaines tentatives. Laissons-lui prendre les choses en main. À Lui, rien d’impossible.

    Richard D.

     

    INCROYABLE ! OUI MAIS...

    2ème lettre à Timothée 3. 1-5 : "1 Tu dois le savoir : dans les derniers jours, il y aura des moments difficiles. 2 Les gens seront égoïstes, amis de l’argent. Ils se vanteront, ils seront orgueilleux, ils insulteront Dieu. Ils désobéiront à leurs parents, ils ne seront plus capables de dire merci. Ils ne respecteront plus les choses de Dieu. 3 Ils seront durs, sans pitié, ils diront du mal des autres. Ils mèneront une vie de désordre, ils seront cruels, ennemis du bien. 4 Ils trahiront les autres, ils seront violents. L’orgueil les rendra aveugles. Ils aimeront le plaisir au lieu d’aimer Dieu. 5 Ils feront semblant d’être fidèles à Dieu, mais en réalité, ils rejetteront la puissance de la foi. Tourne le dos à ces gens-là."

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  • Une décision cruciale "vivreaujourd'hui.com"

    11 Juillet 2014
     
     
     
    J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives…

    Deutéronome 30.19

    Devant la porte d’une petite église méthodiste de New York passaient en 1900 deux jeunes juifs russes récemment arrivés dans la ville. Ils furent invités à entrer pour écouter un message d’évangélisation. L’un d’eux, Abraham Silberstein, accepta l’invitation et se convertit à Jésus-Christ ce même soir. Il devint un missionnaire parmi les juifs d’Amérique et put amener beaucoup de ses coreligionnaires à la foi en Jésus. L’autre, Léon Trotzki, passa outre. Il devint plus tard le chef du mouvement révolutionnaire russe et un fonctionnaire influent de l’administration communiste – jusqu’au jour où il tomba en disgrâce et dut s’enfuir. Il termina sa vie dans la misère comme réfugié pourchassé.
    Une petite colline de Suisse s’intitule pompeusement « Le milieu du monde ». Pourquoi ? Parce que c’est le point de partage des eaux : les gouttes de pluie qui tombent sur le versant sud partent par le Rhône vers la Méditerranée, celles du versant nord iront rejoindre le Rhin et la Mer du Nord. Quelques mètres seulement séparent ces gouttes les unes des autres, et leurs destinations sont éloignées de centaines de kilomètres. Si elles pouvaient décider, quelle mer choisiraient-elles ?
    Elles ne le peuvent pas ; mais nous, nous pouvons choisir où conduire nos pas ! Et certaines heures sont cruciales pour l’orientation de notre vie entière.

    Alfred K.

     

    UNE DÉCISION CRUCIALE

     

    Livre de Josué 24. 14-24 : "14 Josué dit encore : « Respectez le Seigneur et servez-le fidèlement de tout votre cœur. Quand vos ancêtres étaient de l’autre côté de l’Euphrate ou en Égypte, ils adoraient d’autres dieux. Abandonnez ces dieux et servez le Seigneur. 15 Si le service du Seigneur ne vous plaît pas, alors choisissez aujourd’hui les dieux que vous voulez adorer. Choisissez ceux que vos ancêtres adoraient de l’autre côté de l’Euphrate, ou bien les dieux des Amorites, car vous habitez dans leur pays. Mais ma famille et moi, nous servirons le Seigneur. »

     16 Le peuple répond : « Pas du tout ! Nous n’avons pas l’intention d’abandonner le Seigneur pour servir d’autres dieux ! 17 En effet, le Seigneur notre Dieu nous a arrachés, nous et nos ancêtres, à l’Égypte, où nous étions esclaves. Il a fait alors des actions étonnantes, nous le savons bien. Il nous a protégés tout au long du chemin où nous avons marché, et au milieu de tous les peuples où nous sommes passés. 18 Le Seigneur a chassé devant nous tous les peuples, en particulier les Amorites qui habitaient ce pays. C’est pourquoi nous aussi, nous servirons le Seigneur, parce qu’il est notre Dieu. »
     19 Alors Josué dit au peuple : « Vous ne serez pas capables de servir le Seigneur. C’est un Dieu saint, et il veut être votre seul Dieu. Il n’acceptera ni vos révoltes ni vos péchés. 20 Si vous abandonnez le Seigneur pour servir des dieux étrangers, il se tournera contre vous. Il vous fera du mal et il vous détruira après vous avoir fait du bien. » 21 Le peuple répond : « Mais non ! C’est le Seigneur que nous servirons ! » 22 Josué dit au peuple : « Vous êtes témoins à l’égard de vous-mêmes : c’est vous qui choisissez de servir le Seigneur. » Ils répondent : « Oui, nous en sommes témoins. » 23 Josué dit : « Alors, maintenant, abandonnez les dieux étrangers qui sont chez vous ! Et attachez-vous de tout votre cœur au Seigneur, Dieu d’Israël ! » 24 Le peuple répond : « Nous servirons le Seigneur notre Dieu et nous lui obéirons ! »
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  • Entêtement "vivreaujourd'hui.com"

    10 Juillet 2014
     
     

    Ne me parle plus de cette affaire.
    Deutéronome 3.26

     

    À la croisée des chemins, un homme lance son bâton en l’air, le ramasse et le jette encore et encore.

    – Pourquoi agissez-vous ainsi ? questionne un spectateur de la scène.
    – Je lance mon bâton en l’air pour qu’en retombant il me montre le chemin que je dois prendre.
    – Mais pourquoi le faites-vous plusieurs fois ?
    – J’attends qu’il m’indique le chemin que je veux prendre.
    On dit bien souvent que les enfants sont têtus, que, lorsqu’ils désirent une chose, ils sont capables d’insister et d’insister encore : « Lorsqu’ils ont quelque chose dans la tête, ils ne l’ont pas aux pieds. » Mais est-ce que les enfants ont l’exclusivité de l’entêtement ?
    À Mériba, Dieu avait reproché aux conducteurs du peuple de ne pas l’avoir sanctifié : L’Éternel dit à Moïse et à Aaron : Parce que vous n’avez pas cru en moi, pour me sanctifier aux yeux des enfants d’Israël, vous ne ferez point entrer cette assemblée dans le pays que je lui donne.1 Moïse eut du mal à accepter ce jugement et il insista : Laisse-moi passer, je te prie [...] L’Éternel me dit : C’est assez, ne me parle plus de cette affaire.
    Dans sa Parole, Dieu nous parle. Il nous indique le chemin que nous devrions suivre. Il répond à nos questions, mais ces indications de Dieu ne correspondent pas toujours à ce que nous attendons et désirons. Alors nous posons et reposons les mêmes questions bien que nous ayons Sa réponse.
    Est-ce que Dieu nous a déjà répondu : « Ne me parle plus de cette affaire » ?

    Jack M.

    1 Nombres 20.12

    Ne sommes-nous pas tous de cette famille ?

     

    Livre du Deutéronome 3. 23-29 : "23 Moïse dit : Alors j’ai prié le Seigneur avec force en disant : 24 « Seigneur Dieu, tu as commencé à me montrer ta grandeur et ta puissance. Aucun dieu au ciel ou sur la terre n’est capable d’accomplir des actions ou des exploits comme ceux que tu fais ! 25 Je t’en prie, laisse-moi traverser le fleuve Jourdain. Alors je pourrai voir le beau pays  qui est de l’autre côté, cette belle région montagneuse et les montagnes du Liban ! » 26 Mais le Seigneur s’est mis en colère contre moi à cause de vous. Il ne m’a pas écouté et il m’a dit : « Cela suffit. Arrête de me parler de cette affaire ! 27 Monte en haut du mont Pisga. Tourne tes yeux vers le nord, vers le sud, vers l’ouest et vers l’est. Regarde bien, car tu ne traverseras pas ce Jourdain que tu vois ! 28 Donne tes ordres à Josué. Rends-le fort et courageux. Oui, c’est lui qui traversera le Jourdain à la tête du peuple. Et il donnera en partage aux Israélites le pays que tu vas voir. »

     29 Depuis ce moment-là, nous sommes restés ici, dans cette vallée, en face de Beth-Péor."
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  • Fruit "vivreaujourd'hui.com"

    9 Juillet 2014
     
     

    Je vous ai choisis [...] afin que vous portiez du fruit.
    Jean 15.16

    Le printemps arrivait avec toutes ses promesses. Les arbres fruitiers étaient chargés de fleurs. L’explosion de couleurs des fleurs de pommier, cerisier, poirier, prunier et autres nous laissait entrevoir une récolte magnifique.
    Les arbres avaient été bien taillés, traités et fertilisés. Nous rêvions déjà de tout ce que nous pourrions faire de l’abondante récolte de fruits.
    Le coup de froid nous prit par surprise. Deux nuits avec des températures en dessous de zéro suffirent à briser nos espoirs et nos attentes. À cause du temps froid, il n’y eut presque pas de vols d’abeilles, donc pas de pollinisation pour les quelques fleurs qui avaient survécu au gel. La magnifique récolte serait pour une autre année.
    Nous avons tous connu des hommes ou des femmes dont la vie promettait tant (peut-être est-ce notre cas ?). Dans la jeunesse, il y avait tant de fleurs magnifiques ! Capacité, études réussies, caractère chaleureux. Puis le coup de froid est venu : lassitude, mauvaises compagnies, pressions extérieures, changement de priorités, tentations, déceptions face à l’incompréhension des copains ou copines… tant de “bonnes” raisons qui expliquent peut-être les déceptions, les échecs !
    Mais, pour Dieu, il n’est jamais trop tard. Il est possible, avec lui, de repartir à zéro et de porter enfin les fruits espérés.

    Silvano P.

    FRUIT

     

    Évangile selon Jean 15. 1-8 : "1 « La vraie vigne, c’est moi, et mon Père est le vigneron. 2 Il enlève toutes mes branches qui ne donnent pas de fruits et il taille toutes les branches qui donnent des fruits. Ainsi elles en donneront encore. 3 Les paroles que je vous ai dites vous ont déjà taillés. 4 Restez attachés à moi, comme moi je reste attaché à vous. Une branche ne peut pas donner de fruits toute seule, elle doit rester sur la vigne. De la même façon, vous ne pouvez pas donner de fruits, si vous ne restez pas attachés à moi.

     5 « Je suis la vigne, vous êtes les branches. Si quelqu’un reste attaché à moi comme je suis attaché à lui, il donne beaucoup de fruit. En effet, sans moi, vous ne pouvez rien faire. 6 Celui qui ne reste pas attaché à moi, on le jette dehors, comme les branches. Alors les branches deviennent sèches, on les ramasse, on les jette dans le feu, et elles brûlent. 7 Si vous restez attachés à moi, et si mes paroles restent en vous, demandez ce que vous voulez, et vous l’aurez. 8 Donnez beaucoup de fruits et soyez ainsi mes disciples, alors vous montrerez la gloire de mon Père."
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