• Pourquoi ai-je des sensations de piqures au ventre ?

     

     

     

     

     

     

    Si vous avez des douleurs à l'estomac d'une manière constante, il est important de consulter un médecin afin d'éviter des effets secondaires graves.

    Pourquoi ai-je des sensations de piqures au ventre ?

    Vous avez des sensations de piqûres au ventre de façon récurrente ? Ces troubles peuvent avoir des origines diverses. D’autre part, on les classe selon leur intensité et leur fréquence. Une fois ces aspects déterminés, le médecin peut poser un diagnostic.

    Il est à noter que les sensations de piqure dans le ventre ou les douleurs abdominales peuvent être d’origine digestive ou infectieuse.

    Elles peuvent également se produire à la suite d’un inconfort prémenstruel. Par conséquent, il est important de prêter attention aux piqûres dans le ventre car elles peuvent être révélatrices d’un problème de santé plus sérieux.

    Types de douleur

    • Douleur localisée : les douleurs sont situées d’un côté de l’estomac et peuvent causer des problèmes dans la vésicule biliaire ou l’appendice.
    • Douleur généralisée : la douleur est plus forte au milieu de l’abdomen. Elle est habituellement causée par des virus, des gaz ou une indigestion.
    • Crampes : l’inconfort dure jusqu’à 24 heures et des symptômes tels que fièvre et diarrhée sont ressentis.
    • Coliques : c’est une douleur intense et soudaine.

    Causes des sensations de piqûre dans le ventre

    1. Intoxication

    intoxication

     

    Une intoxication survient lorsque les aliments contiennent des germes ou une substance toxique qui attaque directement l’organisme.

    Le patient souffre de de sensations de piqûre à l’estomac, de gaz et de spasmes dans la région abdominale, parce que les intestins deviennent irrités. Si vous n’avez pas de nausées ou de brûlures en urinant, il peut s’agir d’une gastro-entérite.

    2. Syndrome du côlon irritable

    Ce syndrome provoque des sensations de piqûre dans l’estomac, qui sont en fait des douleurs abdominales et, dans certains cas, elles sont accompagnées de gaz.

    Habituellement, le patient présente une tension abdominale et des problèmes dans le processus digestif, puisque l’accumulation de gaz provoque de la constipation, diarrhée et excès de mucus. Il y a même des cas où les selles causent de la douleur.

    3. Appendicite

    appendicite

     

    L’appendicite se produit lorsqu’il y a une inflammation grave dans le tube qui est attaché à l’intestin long (l’appendice, qui est sur le côté droit de l’abdomen). Il se bloque avec des selles, ou des corps étrangers dans le corps ou encore la présence d’une tumeur.

    La douleur est diffuse et peut aller de faible à sévère et inversement.Cependant, il est également fréquent d’avoir une augmentation de la température, des vomissements et des nausées.

    4. Grossesse extra-utérine

    Cette condition se produit lorsque l’ovule fécondé s’implante à l’extérieur de l’utérus. La grossesse progresse mais cause des douleurs et des saignements. Ceci peut rompre la trompe et causer une défaillance cardiovasculaire avec des conséquences fatales pour la personne.

    Certaines femmes peuvent aussi avoir des saignements vaginaux, mais les douleurs commencent toujours soudainement. Elles surviennent habituellement entre la quatrième et la dixième semaine de grossesse. Ces sensations dans le ventre deviennent des élancements aigus et persistants.

    5. Pancréatite

    pancréatite

     

    Lorsqu’il y a une inflammation du pancréas, vous avez une sensation de brûlure et douleur dans la partie supérieure ou centrale de l’estomac. Parfois, les douleurs se déplacent jusqu’au bas du dos.

    L’inconfort peut être inattendu et disparaît en quelques jours. Mais les douleurs sont aussi chroniques, et peuvent durer pendant des années. Consultez votre médecin si plusieurs des symptômes suivants surviennent en plus de vos douleurs abdominales :

    • Douleur au toucher ou après avoir mangé
    • Perte de poids
    • Tachycardie
    • Vomissements
    • Nausée
    • Fièvre

    6. Diverticulite

    On appelle diverticules ces petites poches (hernies) qui se forment dans la paroi interne de l’intestin. Lorsqu’elles deviennent enflammées ou infectées, une diverticulite apparaît. Vous avez des crampes dans le bas de l’estomac. Les saignements ne surviennent qu’en cas de gravité et nécessitent une hospitalisation immédiate.

    7. Endométriose

    endométriose

     

    Des douleurs pelviennes sont un symptôme très commun lorsque la patiente souffre d’endométriose. Elles surviennent habituellement au cours des jours précédant les menstruations.

    Cependant, certaines femmes n’ont pas de malaise. Cette affection se produit lorsque les cellules de la muqueuse utérine croissent dans d’autres parties du corps, comme les ovaires.

    8. Intolérance au lactose

    Lorsque l’organisme ne produit pas suffisamment d’enzyme lactase, il ne peut pas digérer le lactose, qui se trouve principalement dans le lait et certains produits laitiers.

    Par conséquent, l’intestin ne fonctionne pas correctement et réduit l’absorption des nutriments. La personne atteinte peut avoir des gaz, des gonflements abdominaux et de légères douleurs dans la région abdominale.

    Recommandations

    A la fois pour éviter les douleurs abdominales, mais aussi pour les traiter, il est préférable d’opter pour :

    • Mâcher les aliments lentement pour donner au tube digestif plus de facilité à fonctionner.
    • Éviter d’aller dormir quand vous avez mal à l’estomac ; il est préférable de vous reposer en restant assis et en étirant les jambes.
    • En cas de douleurs, il est nécessaire de réduire l’apport en lait.
    • Éviter les aliments gras ou épicés.
    • Faire de l’exercice au moins 3 fois par semaine.
      Réduire la consommation d’alcool et de tabac.
    • Manger 5 portions de nourriture par jour.
    • Augmenter la consommation d’eau.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 types d’obésité et leurs causes

     

     

     

     

     

     

    L'obésité peut survenir pour diverses raisons. Selon les différents cas, le traitement devra s’adapter à chaque personne.

    6 types d’obésité et leurs causes

    Il existe plusieurs types d’obésité mais tous peuvent être contrôlés si les personnes affectées sont suivies par un spécialiste qui personnalise le traitement.

     

    « Je ne sais pas quoi faire pour perdre du poids », « ma famille mange deux fois plus que moi et ils sont maigres », « je ne peux pas arrêter de manger » etc. Avez-vous déjà entendu ces phrases ? Vous les avez peut-être vous même prononcées.  Elles sont toutes très fréquentes mais sont-elles vraiment toujours rationnelles ?

    En effet, il existe plusieurs types d’obésité et chacun d’eux répond à des causes différentes. Par conséquent, il est probable que même si nous suivions un régime et faisons de l’exercice nous n’obtenions pas de bons résultats.

    Pour éviter une possible frustration, nous allons vous expliquer dans cet article quels sont les différents types d’obésité. Cependant, si vous décidez de perdre du poids, il est préférable de consulter un spécialiste pour savoir quel est votre problème. En outre, il pourra personnaliser le traitement, contrairement à d’autres régimes.

    Découvrez 6 types d’obésité et leurs causes

    1. Obésité génétique

    obésité génétique

     

    Avez-vous déjà remarqué qu’il existe des familles dans lesquelles tous les membres souffrent d’obésité ? Cela peut être dû à deux problèmes. D’une part, la cause peut provenir de mauvaises habitudes alimentaires mais également être à l’origine d’une prédisposition génétique.

    Cependant, cela ne signifie pas que les patients qui souffrent d’obésité génétique doivent abandonner leurs efforts. Même s’il est vrai que ces personnes ont plus de mal à perdre du poids, il existe des méthodes efficaces pour atteindre un poids adéquat.

    Mais pour y parvenir, une étude génétique est indispensable et requiert l’intervention d’un médecin.

    2. Obésité alimentaire

    L’obésité alimentaire est le cas le plus connu. La raison principale est due à une vie sédentaire et à un régime alimentaire trop calorique. En revanche, elle a une solution plus simple que les autres. Il s’agit de restructurer notre façon de manger, ainsi que nos habitudes alimentaires.

    Cependant, les personnes qui souffrent d’obésité alimentaire savent qu’il n’est pas facile d’y faire face. Cela implique un changement complet de leurs habitudes quotidiennes. Il ne s’agit pas d’aller à la salle de sport et de bien manger pendant un an. C’est une discipline pour la vie.

    Avec le temps, vous pourrez vous détendre davantage, puisque votre métabolisme sera plus rapide. Mais en règle générale, si vous voulez continuez d’obtenir de bons résultats et suivre votre régime, vous devez être strict dans vos habitudes.

    4. Obésité nerveuse

    Le fait de manger produit du plaisir. Par conséquent, les personnes qui souffrent d’anxiété ou d’autres problèmes psychologiques compensent leur inconfort avec la nourriture. En général, elles ont tendance à opter pour des produits qui ont le plus de sucres et de graisses.

    En ce sens, il est préférable de réaliser en même temps le régime alimentaire et la thérapie prescrite. Le psychologue ou le psychiatre nous aidera à gérer ces pics de tension et à canaliser l’énergie d’une autre manière. Pour ces patients, le processus est très compliqué, car ils doivent abandonner l’une de leurs rares sources de bien-être.

    5. Obésité endocrinienne

    obésité endocrinienne

     

    L’obésité endocrinienne est provoquée généralement par l’hypothyroïdie et l’hypocorticisme. Le système endocrinien ne fonctionne pas comme il le devrait et cela déclenche un déséquilibre hormonal.

    Dans le premier cas, la glande thyroïde ne produit pas assez d’hormones pour métaboliser de manière correcte les aliments. Dans le second cas, la glande surrénale sécrète des hormones en excès.

    6. Obésité thermogénique

    Comme nous l’avons expliqué antérieurement, le poids est directement lié aux calories que nous consommons et celles que nous brûlons. Eh bien, dans ce cas, le corps n’atteint pas la température nécessaire pour que cette combustion se produise. Par conséquent, presque tout ce que nous mangeons se traduit par une prise de poids.

    Lorsque cela se produit, il est conseillé de consulter le médecin. Si nous suivons uniquement la logique de la diététique, nous pouvons encourir de sérieux problèmes de santé. C’est parce que nous courons le risque de réduire notre consommation au point de tomber dans une extrême minceur.

    Le problème de l’obésité est beaucoup plus grave qu’on ne le pense habituellement. Pour cette raison, il est conseillé de le traiter avec rigueur. D’autre part, le plus recommandé si vous notez que vous prenez du poids est de demander l’avis de votre médecin. Il vous donnera les solutions les plus appropriées à votre cas.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est-ce que le métabolisme ?

    Avez-vous un métabolisme rapide ou lent ?

     

     

     

     

     

     

    Selon notre type de métabolisme, nous devrions suivre certaines habitudes alimentaires pour ne pas prendre ou perdre du poids et rester en bonne santé.

    Qu’est-ce que le métabolisme ? Avez-vous un métabolisme rapide ou lent ?

    Le métabolisme est une fonction de notre corps qui est responsable de la transformation des nutriments en énergie.

     

    Parfois, en raison de différents facteurs qui influent sur notre santé, notre métabolisme peut être plus rapide ou plus lent que la moyenne. Ce déséquilibre du métabolisme peut parfois provoquer des symptômes plus ou moins graves.

    Découvrez dans cet article toutes les informations sur le métabolisme et quelles sont les conséquences d’un métabolisme qui ne fonctionne pas correctement. Cela vous permettra également de suivre un régime le plus approprié possible selon votre cas.

    Qu’est-ce que le métabolisme ?

    Le métabolisme est l’ensemble des processus physiques et chimiques qui se produisent dans les cellules. Grâce à ces changements, les nutriments des aliments sont transformés en énergie.

    L’énergie produite par le métabolisme est utilisée dans différentes fonctions vitales :

    • Respiration
    • Digestion
    • Circulation
    • Température du corps
    • Élimination des déchets par les reins et l’intestin

    Le métabolisme affecte également les dépenses énergétiques. Pour cette raison, cette fonction est toujours prise en compte lorsque certaines personnes ne parviennent pas à perdre du poids malgré des régimes stricts.

    Pour cette raison, il est donc essentiel de suivre un régime approprié afin de réguler naturellement le métabolisme.

    Les symptômes d’un métabolisme lent

    symptômes du métabolisme lent

     

    Les personnes qui ont un métabolisme lent sont affectées par les symptômes suivants :

    • Difficulté à perdre du poids ou des changements de poids fréquents.La graisse s’accumule plus dans les hanches et les jambes
    • Fatigue et épuisement
    • Digestion lente ou difficile
    • Tendance à la constipation
    • Difficulté à se lever le matin
    • Tendance à la dépression, dans certains cas

    Les symptômes d’un métabolisme rapide

    Les personnes qui ont un métabolisme rapide sont affectées par les symptômes suivants :

    • Difficulté à prendre du poids. La graisse s’accumule plus dans les bras et l’abdomen.
    • Appétit constant.
    • Mauvaise absorption des nutriments dans l’intestin.
    • Excédent d’énergie.
    • Tendance à la nervosité et à l’anxiété.
    • Difficulté à s’endormir.

    Métabolisme et alimentation

    métabolisme et alimentation

     

    Il existe une théorie nutritionniste selon laquelle il y aurait une relation entre le type de métabolisme et les préférences alimentaires.

    De ce point de vue, il est essentiel de connaître le type d’aliments qui nous convient le mieux pour être en bonne santé et prévenir le surpoids. Selon votre type de métabolisme, découvrez le régime alimentaire le plus approprié à votre cas.

    Régime pour un métabolisme rapide

    Le type de métabolisme rapide correspond aux personnes ayant un bon appétit qui préfèrent généralement les aliments riches en graisses et en protéines. Ces personnes optent presque toujours pour des options salées plutôt que sucrées.

    Si c’est votre cas, pour garder un poids équilibré, vous devez réduire la consommation de glucides, en particulier les sucreries et les farines raffinées.

    Cependant, il est également très important de ne pas consommer trop de protéines animales. Pour cela, il faudra essayer de les mélanger avec des protéines végétales telles que les légumes secs et les noix.

    Les graisses ne sont pas nocives, tant que nous optons pour celles de bonne qualité :

    • Huiles de pression à froid : olive, noix de coco, sésame, lin
    • Avocat
    • Fruits secs
    • Graines
    • Ghee ou beurre clarifié
    • Jaune d’œuf
    • Poisson bleu

    Vous ne devez pas non plus oublier de combiner les portions de protéines et de graisses avec une bonne quantité de légumes crus. Vous pouvez les consommer dans des jus et des gazpachos, des smoothies ou des salades.

    Si vous avez beaucoup d’appétit, vous devriez faire plusieurs repas par jour sans sauter aucun d’entre eux.

    Régime pour un métabolisme lent

    régime pour un métabolisme lent

     

    Les personnes ayant un métabolisme lent ont tendance à prendre du poids et à ressentir de la fatigue, même si elles ne mangent pas trop. En ce sens, la meilleure solution est de suivre un régime alimentaire approprié.

    • Elles préfèrent généralement les produits sucrés, ce qui est une tentation qui, en général, n’est pas saine. Il serait conseillé de toujours consommer des glucides sains, fabriqués avec des édulcorants tels que la stévia et des farines complètes.

    L’avoine, par exemple, est une excellente céréale pour réaliser toutes sortes de sucreries appétissantes et délicieuses.

    • De plus, vous devrez également réduire la consommation de sel, qui entraîne généralement des gonflements et la rétention de liquides.
    • Lorsque vous avez un métabolisme lent, vous recherchez habituellement de l’énergie dans les stimulants tels que le café ou les boissons sucrées et énergétiques.

    Comme alternative, nous vous suggérons de préparer vos propres boissons énergisantes avec des fruits, du gingembre, du maca, du cacao pur, du ginseng, etc.

    • Par ailleurs, il faudra aussi apprendre à contrôler la consommation de graisses. Vous devrez les consommer en quantités modérées et choisir les mêmes que celles recommandées dans le cas d’un métabolisme rapide.
    • La consommation d’eau tout au long de la journée, à jeun et en dehors des repas, vous aidera aussi à accélérer votre métabolisme.

     

    Même s’il est important de rester actif pour accélérer son métabolisme, il est également fondamental de se reposer suffisamment la nuit. Vous devez dormir environ huit heures, pour que votre horloge biologique ne se dérègle pas.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • AVC : LES PREMIERS SIGNES

     

     

     

     

     

    En France, un AVC survient toutes les 4 minutes. Pour limiter au maximum les risques de séquelles importants, il faut réagir le plus vite possible. Le meilleur moyen étant de savoir exactement à quoi s'attendre. Mal de tête, trouble de la parole, visage qui s'affaisse... Voici les premiers signes de l'AVC qui doivent vous alerter. 

     

    Le visage qui s'affaisse d'un côté

     

    Première cause de handicap physique en France, l'AVC fait partie des situations d'extrême urgence qui nécessitent une prise en charge immédiate. Plus on attend pour prodiguer les premiers soins, plus les séquelles sont importantes. Il est impératif de connaître les premiers symptômes. Parmi eux : savoir qu'un tiers des patients touchés par un AVC ressent une perte de sensibilité de la face, partielle ou complète, d'un coté du visage, rapporte l'Association AVC France.

    Qu'est-ce qu'on ressent ? "La bouche n'est plus homogène entre la gauche et la droite du visage", nous explique le Pr Denis Vivien, spécialiste en neurologie. La victime peut ressentir une impossibilité à sourire et constater qu'un côté de son visage s'affaisse.

     

    Un membre paralysé d'un côté

    L'AVC peut être de deux natures différentes, soit c'est une artère du cerveau qui est bouchée et empêche le sang d'irriguer le cerveau, on parle alors d'AVC ischémique. Soit c'est une hémorragie cérébrale à causée par la rupture d'un vaisseau , c'est un AVC hémorragique. "On ne peut pas dire que certains symptômes sont plus spécifiques à un type d'AVC qu'un autre", précise le Pr Denis Vivien, spécialiste en neurologie. Mais parmi ces signes ont retrouve notamment la paralysie d'un membre du corps.

    Qu'est-ce qu'on ressent ? "C'est une partie du corps qui n'est plus fonctionnelle en fonction de la zone du cerveau touchée, ajoute notre interlocuteur, parfois c'est juste un membre, parfois c'est tout le côté entier. On peut sentir une sensation complètement différente dans un membre d'un seul coup." Attention : dans certains cas la paralysie s'en va puis revient il s'agit d'un AVC transitoire, un caillot qui se forme dans le cerveau puis régresse et revient, cela reste un danger potentiel et constitue un risque de faire un AVC dans les heures ou jours qui suivront.

     

    La perte de la vision

     

    Que ce soit une artère bouchée ou une hémorragie, l'AVC peut survenir dans n'importe quelles zones du cerveau. "Il faut voir les carotides du cerveau comme les deux troncs d'arbre qui irriguent l'organe, explique le Dr Vivien, neurologue. Il y a les grosses et les petites branches. Si l'AVC touche les grosses branches les conséquences seront plus grandes que dans les petites." Si le phénomène se déclenche dans une artère où se trouvent les vaisseaux qui irriguent les zones de l'oeil, par exemple, cela peut causer des troubles de la vision.

     

    Qu'est-ce qu'on ressent ? "Tout dépend de la sévérité, soit on voit trouble, soit on perd carrément la vision. Dans le cas d'un AVC transitoire, la vision peut revenir et repartir." Seul un oeil sera concerné, on ne fait jamais un AVC dans les deux hémisphères du cerveau.

     

    Une incapacité à parler

     

    L'AVC est un accident qui survient brusquement et dans 60% des cas, cela arrive au réveil. Il n'implique pas que des symptômes physiques, il y a également des troubles mentaux : des troubles de la mémoire ou de l'élocution, par exemple.

     

    Qu'est-ce qu'on ressent ? Le symptôme est soudain, la minute précédente la parole est fluide et l'autre on n'y arrive plus. "Tout dépend de la zone touchée, explique le spécialiste. On peut être complètement aphasique, c'est-à-dire incapable de parler, mais on peut également avoir des troubles de la parole, c'est-à-dire qu'on pense le mot mais il ne vient pas."

     

    Un mal de tête comme jamais on a ressenti

    Que ce soit hémorragique ou à cause d'une artère bouchée, tout se passe dans le cerveau. Dans le cas d'un AVC hémorragique, le sang se répand dans la zone touchée et augmente la pression intracrânienne. "Le cerveau est une boîte fermée alors si on y verse du liquide dedans, ça comprime les tissus cérébraux qui vont mourir et créer des troubles", explique notre interlocuteur. Voilà pourquoi il est possible de ressentir un fort mal de tête quand l'AVC se produit.

    Qu'est-ce qu'on ressent ? "Les victimes parlent d'une douleur à la tête comme jamais elles n'ont ressenti", détaille le spécialiste.

    Attention à ne pas paniquer au moindre mal de tête : dans le cas de l'AVC la douleur est très forte, explosive, soudaine et non progressive comme pour la migraine.

     

    Une difficulté à marcher ou des pertes d'équilibre

     

    Selon une enquête de Handicap Santé, dans 42% des cas d'AVC, les difficultés à marcher font partie de la liste des séquelles. Mais les troubles de l'équilibre ne sont pas seulement une conséquence de l'accident cardiovasculaire cérébral, ils font également parties des signes d'alerte.

    Qu'est-ce qu'on ressent ? Tout dépend de la zone du cerveau touchée mais qu'il soit hémorragique ou ischémique, l'AVC peut endommager les fonctions d'un ou plusieurs membres mais d'un seul côté. De ce fait le patient peut avoir des difficultés à marcher ou des pertes d'équilibre.

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : Merci au Pr Denis Vivien, spécialiste en neurologie 
    France AVC, Prévenir les AVC

    medisite.fr 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • L’eczéma : causes, symptômes, diagnostic et traitement

     

     

     

     

     

    L'eczéma peut s'améliorer avec des changements au niveau de son alimentation. Néanmoins, il est tout de même indispensable de consulter un dermatologue, afin d'obtenir un diagnostic personnalisé et quelques conseils pour soulager cette maladie de peau.

    L’eczéma : causes, symptômes, diagnostic et traitement

    L’eczéma est une maladie de peau fréquente. Cette pathologie cutanée a augmenté de façon considérable dans les zones industrielles à cause de facteurs environnementaux. Entre 10 et 20 % de la population des pays ayant un fort taux de pollution souffre d’eczéma.

    La peau est le plus grand organe de l’organisme. Étant la couche du corps la plus exposée aux attaques extérieures, elle est en contact avec tout type d’agents externes. C’est aussi l’organe à travers lequel nous pouvons découvrir les signaux d’alerte de nombreuses maladies.

    Découvrons ensemble, dans cet article, quelles sont les causes de l’eczéma, ainsi que les symptômes et le traitement le plus approprié pour traiter cette maladie de peau.

    L’eczéma, qu’est-ce que c’est ?

    L’eczéma est une inflammation de la peau qui peut apparaître dans n’importe quelle zone du corps.

    Dans la plupart des cas, cette inflammation s’accompagne de démangeaisons, de rougeurs, d’ampoules et de taches dans la zone affectée.

    Ce trouble de la peau peut survenir à tout âge, et sans raison claire. Il peut disparaître au bout d’un certain temps, ou bien être très résistant face à tous les traitements possibles. Lorsque c’est le cas, cela s’explique généralement par la difficulté à déterminer la cause à l’origine de l’eczéma.

    Les types d’eczéma 

    de l'eczéma sur les mains

     

    L’eczéma présente un patron clinique très large. Les zones du corps affectées peuvent varier.

    Les types d’eczéma se divisent selon :

    • les facteurs exogènes : eczéma de contact irritatif ou allergique
    • les facteurs endogènes :  la dermatite séborrhéique, la dermatite atopique et l’eczéma nummulaire

    Les causes

    Il existe une longue liste de facteurs qui provoquent ou aggravent l’eczéma. Parmi eux, se trouvent les facteurs suivants :

    • la pollution environnementale
    • le contact avec des substances toxiques
    • une alimentation peu équilibrée
    • des intolérances alimentaires
    • des produits de cosmétique, des crèmes ou des lotions après-rasage
    • des émissions industrielles ou des émissions de véhicules à moteur
    • des résidus environnementaux de centrales électriques
    • la consommation de tabac
    • des facteurs génétiques
    • des shampoings, des teintures pour les cheveux, des produits pour les cheveux, etc.

    Les symptômes 

    de l'eczéma sur les bras

     

    Les symptômes de cette maladie cutanée sont très faciles à identifier, car les signaux d’alerte sont visibles :

    • des plaques rouges, des ampoules ou des croûtes
    • des zones de la peau irritées, notamment au niveau des coudes et au niveau des genoux
    • des squames au niveau du cuir chevelu
    • des ulcères aqueux, lesquels ont tendance à souffrir d’infections bactériennes

    Le diagnostic

    Pour diagnostiquer un eczéma, il faut prendre en compte l’aspect de la lésion, mais il est possible de confondre avec d’autres troubles cutanés.

    Les seuls tests cutanés existants déterminent seulement si la cause à l’origine de l’eczéma a un lien avec une allergie.

    Le mode de vie moderne et les mauvaises habitudes nutritionnelles a augmenté la susceptibilité des personnes face aux allergènes.

    Le traitement

    panier de fruits et légumes

     

    Le traitement consiste à éliminer les facteurs à l’origine de l’eczéma, lesquels, comme vu précédemment, peuvent être très variés.

    Les médicaments traditionnels sont les suivants : les corticostéroïdes, les antihistaminiques et les antibiotiques. Néanmoins, ces médicaments ne sont pas toujours efficaces, notamment en cas de diagnostic difficile, raison pour laquelle les symptômes peuvent réapparaître. De plus, ces médicaments ont des effets secondaires pour la santé.

    À l’inverse, la médecine naturelle se base sur l’alimentation pour déterminer un traitement approprié selon le cas.

    Une alimentation spécifique 

    Les personnes qui souffrent d’eczéma ou de problèmes de peau de façon générale ont tendance à abuser des produits laitiers, du sucre, des farines raffinées, et du gras.

    La desquamation de la peau a un lien avec l’abus de gras : ce symptôme indique une accumulation de graisse sous la peau et une surcharge du système digestif et du système lymphatique.

    Il faut éliminer de son alimentation les produits néfastes tels que les produits raffinés et les plats préparés (pizzas, pommes de terre, hamburgers, glaces, etc.), et augmenter sa consommation d’aliments naturels, frais et nutritifs tels que :

    • les fruits et les légumes crus (salades, smoothies, jus) et cuisinés
    • les céréales complètes tels que le riz, le maïs, le quinoa et le sarrasin
    • les légumineuses
    • les fruits secs et les graines
    • les graines germées
    • les aliments fermentés tels que la choucroute ou le kéfir
    • les champignons
    • les algues
    • les huiles végétales obtenues par première pression à froid telles que l’huile de lin, l’huile d’onagre, l’huile d’olive ou encore l’huile de coco

    Des plantes dépuratives

    Pour combattre la surcharge de toxines dans la peau et dans les autres organes, il est possible de trouver des remèdes naturels élaborés à partir de plantes médicinales dépuratives. Les plantes les plus bénéfiques sont les suivantes :

    Vous pouvez les consommer sous forme d’infusions, d’extraits ou de comprimés pendant au moins trois mois.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 MALADIES QUE L'ON PEUT ATTRAPER

    PAR LA SALIVE

     

     

     

     

     

     

    La salive joue un rôle essentiel pour notre corps. Mais elle peut, en même temps, être porteuse d’agents pathogènes responsables de maladies. Découverte de sept d’entre elles avec le Dr Christophe Lequart, chirurgien-dentiste et porte-parole national de l’UFSBD (Union française pour la santé bucco-dentaire). 

     

    La mononucléose

    C’est quoi : la mononucléose est causée par le virus d’Epstein-Barr, un virus qui fait partie de la famille des virus de l’herpès. C’est une maladie en général sans gravité, même si des complications peuvent survenir (enflure de la rate par exemple).

    La transmission : il est contagieux, mais moins que ceux qui provoquent la grippe, car il ne provoque pas d’éternuements ou de toux. Il se transmet par un contact direct avec la salive d’une personne infectée, par un baiser (d’où son surnom de maladie du baiser), mais aussi en partageant des ustensiles de cuisine (cuillères, fourchettes, verres…).

    Sachez-le : on estime que 90% des adultes de 40 ans seraient immunisés contre cette maladie.

     

    L’herpès labial

    C’est quoi : connu sous le nom de "bouton de fièvre", l’herpès labial est une infection causée par un virus, l’herpès simplex de type 1. Une fois infectée, le virus se loge dans les ganglions nerveux à la base du crâne et persiste toute la vie dans le corps, sans pour autant causer des symptômes permanents. "Le virus 'se réveille' et déclenche un bouton d’herpès dans certaines circonstances (stress, fatigue, soleil…)" explique le Dr Lequart.

    La transmission : celui-ci se transmet par la salive ou par contact avec des objets contaminés (ustensiles de cuisine, verre, canette…) lorsqu’une autre personne présente un ou des boutons de fièvre avec des vésicules éclatées. Les lésions sont contagieuses tant qu’elles ne sont pas complètement asséchées. Le virus peut aussi se transmettre en l’absence de symptômes mais cela reste rare.

    Sachez-le : un herpès labial peut entraîner un herpès génital.

     

    Les maladies carieuses et parodontales

    Lesquelles :

    - La carie : "la transmission d’un adulte à un autre adulte est très faible. En revanche, celle d’un adulte à un jeune enfant (jusqu’à l’âge de 3 ans) est très importante. En effet, les bactéries cariogènes qui entraînent la carie présentes chez l’adulte peuvent coloniser les bouches des jeunes enfants à travers une cuillère sucée ou une tétine nettoyée avec sa propre salive. Les parents doivent alors être vigilants sur ces petits gestes, mais aussi par l’importance d’avoir une bonne hygiène dentaire" explique le Dr Lequart.

    - La parodontite : "cela se caractérise par une infection de la gencive et de l’os qui entoure les dents. L’infection entraîne une destruction des tissus qui soutiennent les dents comme les gencives, les os de la mâchoire… La transmission des bactéries peut se faire par un simple baiser. Il est important que les personnes qui présentent des symptômes de l’infection (déchaussement des dents…), ainsi que les personnes proches se fassent suivre".

     

    La grippe

    C’est quoi : il s’agit d’une maladie infectieuse respiratoire très contagieuse, provoquée par un virus du genre Influenza. Elle évolue par épidémies, en général de novembre à avril (sous nos latitudes).

    La transmission : le virus de la grippe se transmet par l’inhalation de gouttelettes de salive, d’éternuements ou de postillons émis par une personne infectée. Celle-ci est contagieuse du jour précédant l’apparition des symptômes et jusqu’à 7 jours après.

     

    L’hépatite B

    C’est quoi : il s’agit d’une maladie d’origine virale qui se traduit par une inflammation du foie. Chez certaines personnes (10 % des personnes infectées), elle peut devenir chronique et entraîner des complications graves comme la cirrhose ou le cancer du foie.

    La transmission : "l’hépatite B se transmet par le sang et les rapports sexuels, mais cela peut arriver qu’il y ait transmission par un baiser entre deux personnes (l’une porteuse du virus, l’autre pas), qui présentent toutes deux des gencives abîmées et qui saignent" explique le Dr Lequart.

     

    L’angine à streptocoque

    C’est quoi : les angines peuvent être virales ou bactériennes. Les plus contagieuses sont celles à streptocoque (bactérie).

    La transmission : elle se fait par le contact avec les sécrétions respiratoires et la salive. "Quelques mesures d’hygiène sont alors indispensables comme éviter d’embrasser la personne malade, se laver les mains régulièrement, ne pas utiliser les mêmes couverts ou verres…" explique le Dr Lequart.

    Sachez-le : une fois que le traitement antibiotique est commencé, 24 à 48 heures suffisent pour que la personne ne soit plus contagieuse.
     
     
     

    La gastro-entérite

    C’est quoi : il s’agit d’une infection du système digestif. Il existe des gastro-entérites virales, bactériennes ou parasitaires.

    La transmission : cette maladie se transmet principalement par l’eau et les aliments. Elle se fait également par le contact, et notamment par les mains souillées de traces de selles (invisibles). Tout ce qui est touché par les mains comme les poignées de portes, téléphones, aliments…(mains qui sont ensuite portées à la bouche), devient un facteur de transmission en colonisant la salive.

    Un conseil : une des préventions les plus efficaces est le lavage des mains.

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : Remerciements au Dr Christophe Lequart, chirurgien-dentiste et porte-parole national de l’UFSBD (Union française pour la santé bucco-dentaire) - www.ufsbd.fr

    medisite.fr 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • MISE EN GARDE SUR 6 MÉDICAMENTS CONTENANT DES NANOPARTICULES CANCÉRIGÈNES

     

     

     

     

     

     

    Le magazine 60 millions de consommateurs révèle la présence de nanoparticules potentiellement cancérigènes dans 6 médicaments utilisés couramment, comme le Doliprane®, l'Efferalgan® ou encore le Nurofen®.

     

    Les nanoparticules sont considérées comme potentiellement dangereuses pour la santé. Après avoir détecté la présence de cette substance susceptible d'être cancérigène dans des confiseries ou des gâteaux , 60 millions de consommateurs a décidé de mener l'enquête parmi des spécialités pharmaceutiques suspectant la présence de dioxyde de titane sous forme de nanoparticule. Sur les six médicaments évalués, tous en contiendraient.

    Les nanoparticules de dioxyde de titane sont-elles nocives ?

    Parmi les médicaments analysé, des traitements contre la douleur et la fièvre chez l'adulte, contre l'allergie ou encore contre l'insomnie. Les résultats ont justement montré la présence de dioxyde de titane sous forme de nanoparticules dans les six médicaments et dans une dimension de l’ordre du milliardième de mètre, selon les informations du magazine. Les spécialités concernées sont :

    - Efferalgan® 1g - 8 comprimés pelliculés du laboratoire Upsa : "20% des particules de dioxyde de titane (TiO2) sont sous forme nano"

    - Spasfon® - 30 comprimés enrobés du laboratoire Teva : "16% des particules de dioxyde de titane (TiO2) sont sous forme nano"

    - Zyrtecset® 10 mg - 7 comprimés pelliculés sécables du laboratoire UCB Pharma : "36% des particules de dioxyde de titane (TiO2) sont sous forme nano"

    - Nurofen® 400 mg - 12 comprimés enrobés du laboratoire Reckitt Benckiser Healthcare France : "17% des particules de dioxyde de titane (TiO2) sont sous forme nano"

    - Doliprane® enfant en poudre - 12 sachets-dose de 200 mg du laboratoire Sanofi : "20% des particules de dioxyde de titane (TiO2) sont sous forme nano"

    - Euphytose® - 120 comprimés enrobés du laboratoire Bayer : "44% des particules de dioxyde de titane (TiO2) sont sous forme nano"

    Le problème ? Une étude datant de 2017 réalisée par l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) de Toulouse a identifié, chez le rat, un danger associé à un colorant alimentaire courant : le dioxyde de titane (E171). Les recherches ont montré que l’exposition chronique de rats au E171 par voie orale favorisait la croissance de lésions colorectales précancéreuses. "On ne peut pas extrapoler les résultats obtenus chez le rat à l’Homme. Cette étude constitue un premier élément de vigilance. Elle indique les directions à suivre pour les études ultérieures" nuance l'Inra.

    Une mention nano absente des notices

    La présence de dioxyde de titane est notifiée sur les notices de chaque spécialité car l'additif E171 est un colorant autorisé dans les médicaments. Néanmoins, la mention "nano" n'apparaît sur aucune des notices, rapporte 60 millions de consommateurs . Le magazine réclame une mention obligatoire pour avertir de la présence de nanoparticules dans les médicaments.

     

     
     

     

     

     

     

     

     

    Sources : 60 millions de consommateursMédicaments : des nanos dans l'Efferalgan et le Nurofen, 22 mars 2018
    INRA, E171 : un danger identifié chez le rat, un risque à évaluer chez l’homme, 1 février 2017

    medisite.fr 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Découvrez les 8 premiers symptômes du diabète

     

     

     

     

     

     

    Si nous identifions certains de ces symptômes du diabète, il est important de consulter le médecin pour effectuer les tests pertinents et confirmer ou bien écarter le diagnostic.

    Découvrez les 8 premiers symptômes du diabète

    Le diabète mellitus ou sucré désigne les troubles qui affectent la façon dont l’organisme utilise le glucose dans le sang. Peu importe comment il se manifeste, l’apparition de diabète signifie qu’il y a une accumulation excessive de sucre dans le corps.

     

    Lorsque l’organisme ne parvient pas à traiter correctement le glucose, des conséquences graves peuvent survenir pour notre santé car celui-ci interfère avec les fonctions d’autres organes.

    La détection du diabète réalisée à temps est la clé de la réussite du traitement. Pour cette raison, nous examinerons dans cet article les causes et les symptômes précurseurs qui peuvent aider à identifier cette maladie.

    Quelles sont les causes du diabète ?

    les causes du diabète

     

    Le diabète se manifeste lorsque l’organisme ne produit pas assez d’insuline ou perd sa capacité à l’utiliser de manière optimale.

    L’insuline est une substance qui provient du pancréas, dont la fonction principale est de réduire la quantité de glucose dans le sang.

    • Jusqu’à présent, il n’existe pas de cause précise qui puisse expliquer le développement du diabète de type 1. Apparemment, cela est dû à un manque de contrôle du système immunitaire, qui conduit à l’autodestruction des cellules qui produisent l’insuline dans le pancréas.
    • Le prédiabète et le diabète de type 2 surviennent lorsque les cellules deviennent résistantes à l’insuline et que le pancréas n’en produit pas assez pour empêcher leur développement.
    • Les changements hormonaux de la grossesse produisent une résistance des cellules à l’insuline. Si le pancréas ne génère pas la quantité nécessaire d’insuline, le glucose s’accumule dans le sang et le diabète gestationnel peut se produire.

    Les premiers symptômes du diabète

    Une grande variété de manifestations initiales du diabète peut facilement se confondre avec d’autres maladies. Pour cette raison, une fois que nous les avons identifiés, il est conseillé de réaliser des examens médicaux pertinents pour confirmer le diagnostic.

    1. Soif excessive

    soif excessive et diabète

     

    Lorsque le glucose n’est pas utilisé correctement, son accumulation dans le sang peut entraîner une déshydratation. Cet état modifie la production normale de salive et augmente la sensation de soif.

    2. Miction fréquente

    Les patients atteints de diabète souffrent généralement de mictions fréquentes en raison de l’effort que les reins réalisent pour essayer de filtrer l’excès de sucre dans le sang.

    Cette substance retenue dans le corps diminue la capacité à décomposer les toxines et provoque des difficultés dans les fonctions du système urinaire.

    3. Troubles du sommeil

    Lorsque les taux élevés de sucre dans le sang ne sont pas contrôlés à temps, la personne commence à éprouver des troubles du sommeil continus.

    Le diabète de type 2 s’accompagne habituellement d’insomnie ou de certaines interruptions pendant la période de repos.

    4. Cicatrisation lente

    cicatrisation lente et le diabète

     

    L’un des principaux signes de diabète est l’apparition de lésions ou d’ulcères sur la peau. Celles-ci sont généralement très longues à cicatriser et ne cicatrisent même parfois pas du tout.

    5. Infections urinaires

    Si le corps réduit sa capacité à utiliser le glucose dans le sang, le système immunitaire s’affaiblit. Ceci, ajouté aux effets subis par les reins, augmente la possibilité de souffrir d’infections des voies urinaires.

    6. Problèmes des pieds

    Les diabétiques doivent faire extrêmement attention à l’état de leurs pieds. En cas de diabète, cette partie du corps est particulièrement sujette aux problèmes circulatoires, à la rétention d’eau et à d’autres types de symptômes qui les affectent petit à petit.

    7. Vision floue

    vision floue et diabète

     

    La déshydratation produite par un taux élevé de sucre peut aussi influencer l’apparition de problèmes de vision. En outre, cela endommage très souvent les vaisseaux sanguins et diminue également la capacité à se concentrer.

    8. Peau sèche

    Le développement du diabète provoque de manière parallèle des problèmes circulatoires qui affectent la santé de la peau. C’est pourquoi, les patients affectés souffrent souvent de sécheresse et de perte de fermeté de la peau.

    Comment diagnostiquer le diabète ?

    comment diagnostiquer le diabète

     

    Si vous craignez de souffrir de diabète, il est très important de consulter votre médecin dès que possible. Après avoir reçu un diagnostic, vous pourrez accéder à un traitement pour réduire l’impact négatif que le diabète produit sur l’organisme.

    Le médecin peut vous suggérer les tests suivants pour confirmer la maladie :

    • Test de de l’hémoglobine glyquée (A1C). Il s’agit d’une analyse qui indique le taux moyen de sucre dans le sang des deux ou trois derniers mois.
    • Examen aléatoire de sucre dans le sang.
    • Test du taux de sucre dans le sang réalisé à jeun.
    • Contrôle de la tolérance au glucose par voie orale.

    Une fois le diagnostic confirmé, la personne affectée doit s’engager à améliorer de manière globale son style de vie.

    De plus, les patients atteints de diabète devront suivre régulièrement les médicaments prescrits, ce qui leur permettra également de jouir d’une meilleure qualité de vie.

     

    Le diabète est une maladie qui peut affecter sérieusement la qualité de vie des personnes affectées. Avant d’apparaître en tant que tel, le diabète peut dévoiler certains symptômes que nous devons être en mesure de reconnaître afin d’obtenir un diagnostic précoce et d’accéder à un traitement adéquat.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les types d’infections vaginales et leurs causes

     

     

     

     

     

     

    Les infections vaginales sont dues à plusieurs causes que l'on peut identifier par des symptômes spécifiques. Pour cela il est fondamental de reconnaître les symptômes afin de réaliser un diagnostic rapide ainsi qu'un traitement.

    Les types d’infections vaginales et leurs causes

    Le vagin est un organe génital peu profond et est donc exposé à plusieurs types d’infections. Les infections vaginales génèrent des mal-êtres qui varient selon le type. C’est pourquoi les sécrétions peuvent être différentes selon leur odeur, leur couleur et la consistance, en plus des démangeaisons ou de la douleur que peuvent provoquer certaines infections.

    Les principaux types d’infections vaginales et leurs causes

    Les mal-êtres ou symptômes spécifiques aident à diagnostiquer le type d’infection vaginale, ainsi que leurs causes. Parmi les infections vaginales les plus communes et leurs causes se trouvent :

    1. Candidose vaginale

    Candidose vaginale

     

    Ce type d’infection, en plus d’être très fréquent, se caractérise par des symptômes du type :

    Cause

    La cause est clairement mycosique. Elle est causée par le champignon Candida Albicans, même s’il fait partie de la flore du vagin, du système digestif et de la cavité buccale. Quand ce champignon augmente dans les tissus vaginaux, il provoque cette symptomatologie caractéristique à travers des sécrétions.

    Il apparaît en général à la suite d’une dépression du système immunitaire provoquée par des maladies comme le diabète, la leucémie, entre autres. Bien qu’il puisse également apparaître à la suite d’un contact sexuel.

    2. Vaginose bactérienne

    Cette infection est l’une des autres infections vaginales les plus communes. Les caractéristiques des sécrétions qu’elle génère sont déterminantes pour le diagnostic. Le flux sécrété en conséquence d’une vaginose bactérienne se caractérise par :

    • Odeur de poisson à cause des amines qui émanent
    • Démangeaison vaginale intense
    • Couleur blanc-jaune
    • Dyspareunie ou vaginisme

    Cause

    Elle est causée par une combinaison de bactéries qui grandissent de manière incontrôlée dans la flore vaginale, ce qui rompt complètement l’équilibre vaginal. La vaginose bactérienne ne se transmet pas par le contact sexuel mais il a été prouvé que son apparition à répétition touche les femmes sexuellement actives.

    3. Trichomonas

    Infections vaginales : Trichomonas

     

    Elle génère de nombreuses gênes chez les femmes qui en souffrent. C’est une infection d’intensité modérée et doit donc être traitée à temps. Dans le cas contraire, elle peut provoquer une maladie inflammatoire pelvienne, qui peut déclencher une septicémie ou une infection généralisée.

    La sécrétion que provoque ce type d’infection vaginale se caractérise par :

    • Couleur verdâtre
    • Odeur intense nauséabonde
    • Totalement liquide
    • Démangeaison vaginale
    • Douleur en urinant

    Cause

    Elle est causée par un parasite appelé Trichomonas Vaginalis qui se transmet par contact sexuel. Ce parasite peut se trouver autant sur les parties génitales masculines que féminines. Sa sécrétion  a des caractéristiques très spécifiques, ce qui contribue à un bon diagnostic et ainsi à un traitement adapté.

    4. Vaginite à chlamydiae

    Vaginite à chlamydiae

     

    C’est une autre des infections vaginales les plus communes. Elle est très fréquente chez les femmes entre 18 et 35 ans. Au départ, elle peut être une affection asymptomatique, mais elle finit par provoquer les symptômes suivants :

    • Douleur vaginale
    • Léger saignement pendant les relations sexuelles
    • Douleur dans le bas du ventre
    • Démangeaison au niveau de la vulve

    Cause

    Le microorganisme à l’origine de cette infection vaginale s’appelle Chlamydia Trachomatis, qui se transmet par contact sexuel. Cette infection vaginale peut être asymptomatique. C’est une infection vaginale à haut risque qui provoque des lésions microscopiques au niveau du col de l’utérus, ce qui peut avoir des répercussions sur la capacité à concevoir. C’est pourquoi un traitement adapté est fondamental.

    En conclusion, toutes les infections vaginales requièrent un traitement immédiat à cause des complications qu’elles peuvent supposer à long terme. Si vous souffrez de l’un des symptômes précédents, consultez votre spécialiste afin qu’il vous prescrive un traitement le plus rapidement possible, selon le type d’infection vaginale que vous présentez.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 10 symptômes qui alertent d’un ulcère gastrique

     

     

     

     

     

     

    Bien que l’ulcère gastrique puisse provenir d’autres problèmes de santé, si nous présentons plusieurs symptômes, nous devons consulter le spécialiste pour réaliser un examen et obtenir un traitement adéquat.

    10 symptômes qui alertent d’un ulcère gastrique

    Un ulcère gastrique est une lésion qui se produit dans la paroi interne de l’estomac. C’est un type de lésion qui est provoquée par une production excessive de jus acides qui peuvent être altérés par de multiples facteurs.

     

    Sa principale cause est l’infection par la bactérie H. pylori, un micro-organisme qui parvient à proliférer dans certaines conditions particulières. C’est aussi le résultat d’une consommation excessive de médicaments et de nombreuses autres maladies digestives.

    Bien que la consommation d’alcool, d’aliments irritants et le tabagisme ne soient pas une cause directe, leur consommation régulière peut aggraver les symptômes et augmenter la tendance à souffrir d’autres complications.

    Bien que l’ulcère gastrique ne se manifeste pas toujours par de forts symptômes, sa détection et son traitement à temps sont essentiel pour éviter que d’autres problèmes ne se développent postérieurement.

    Pour cette raison, dans cet article nous voulons partager avec vous en détail les 10 symptômes qui alertent d’un ulcère gastrique pour vous aider à les identifier à temps.

    Découvrez-les tous !

    1. Inflammation abdominale

    inflammation abdominale et ulcère gastrique

     

    Il existe plusieurs causes d’inflammation abdominale. Cependant, nous ne devrons pas la négliger car c’est l’un des premiers symptômes des ulcères gastriques.

    • L’inflammation abdominale se manifeste par un gonflement important du ventre, et s’accompagne presque toujours de lourdeurs d’estomac ou d’inconforts.
    • Elle provient d’une réponse inflammatoire déclenchée comme mécanisme de lutte contre les agressions provoquées par l’acidité.

    2. Brûlure et douleur abdominale

    Une sensation de brûlure inconfortable dans l’estomac peut indiquer le développement d’un ulcère gastrique. Ce symptôme, également interprété comme une douleur, est le résultat de la lésion qui affecte la muqueuse gastrique.

    • Une sensation d’inconfort se produit entre le sternum et le nombril. Parfois, selon l’emplacement de l’ulcère gastrique, cet inconfort se fait ressentir également sur les côtés du corps.
    • De plus, il empire généralement lorsque vous mangez des aliments épicés ou trop chauds.

    3. Perte d’appétit

    perte d'appétit et ulcère gastrique

     

    De nombreux patients atteints d’ulcères gastriques souffrent de perte d’appétit en raison des effets qui se produisent dans le système digestif lors des repas.

    • La brûlure et l’inflammation qui se produisent après avoir mangé deviennent une raison d’arrêter d’ingérer des quantités normales.
    • Parfois, cela devient un problème chronique, étant donné que le manque d’appétit entraîne certaines carences nutritionnelles.

    4. Nausées ou vomissements

    Comme c’est le cas avec de nombreux autres problèmes digestifs, les ulcères gastriques peuvent se manifester accompagnés par des nausées et des vomissements.

    • La production excessive de sucs acides irrite la muqueuse de l’estomac et déclenche un mécanisme de défense que les personnes affectées perçoivent comme le besoin de vouloir vomir.
    • Parfois, la lésion peut même se compliquer et produire des vomissements en consommant certains aliments.

    5. Indigestion

    indigestion et ulcère gastrique

     

    Une mauvaise association d’aliments ou des plats trop copieux peut être la cause de l’indigestion. Cependant, ce problème est plus fréquent lorsque l’on souffre d’un ulcère gastrique.

    • Les lésions dans l’estomac produisent des irritations et des douleurs lors de la consommation d’aliments acides ou difficiles à digérer.
    • Les patients affectés par un ulcère gastrique peuvent ressentir des gaz, des maux d’estomac et d’autres symptômes associés à cette maladie.

    6. Modifications des selles

    Si un changement de couleur ou de consistance des selles se produit, une analyse doit être réalisée. Ces modifications n’indiquent pas toujours la présence d’un ulcère gastrique, mais elles peuvent se développer en raison de nombreuses maladies du système digestif.

    • Dans ce cas, il est possible de remarquer des selles foncées et denses. Lorsque la lésion est plus grave, les selles peuvent également contenir du sang.

    7. Intolérances alimentaires

    intolérances alimentaires et ulcère gastrique

     

    Les personnes souffrant d’ulcères gastriques peuvent éprouver certaines intolérances alimentaires, même lorsqu’elles n’ont jamais eu ce type de problème. Cela s’explique par la grande sensibilité que développe l’estomac à cause des lésions provoquées.

    • De plus, certains aliments contiennent des composants qui aggravent l’inflammation, ce qui augmente encore plus la douleur et provoque d’autres inconforts.
    • Généralement, les personnes affectées développent une intolérance aux graisses, aux aliments épicés et aux repas sucrés.

    8. Perte de poids importante

    Lorsque les ulcères gastriques ne sont pas détectés et opérés à temps, les personnes qui en souffrent subissent une perte de poids importante et alarmante.

    • Ce symptôme est souvent lié à un manque d’appétit qui empêche les patients de manger correctement.
    • Par ailleurs, une perte importante de poids requiert une analyse approfondie, car elle peut parfois provenir d’autres maladies chroniques telles que le cancer.

    9. Mal-être général

    mal être général et ulcère gastrique

     

    Très souvent, les symptômes des ulcères gastriques se confondent avec ceux de la grippe. Bien qu’ils n’aient pas de relation, beaucoup de personnes pensent que ce malaise général est lié à un problème respiratoire.

    • Les manifestations cliniques comprennent une sensation de fatigue, une faiblesse musculaire et une légère fièvre.

    10. Sensation de faim

    Alors que chez certains patients, il provoque un manque d’appétit, chez d’autres en revanche il peut provoquer une sensation de faim, même après avoir terminé un repas.

    • Ce symptôme n’est pas vraiment la faim, mais la réaction du corps à l’augmentation des sucs gastriques.

    Si vous remarquez plusieurs des symptômes mentionnés dans cet article, c’est une raison suffisante pour consulter votre médecin. Il est important de traiter ce problème le plus rapidement possible, surtout si la douleur réapparait après avoir reçu un traitement initial.

     

    Bien que très souvent, on sache quels sont les aliments les plus adaptés pour combattre ce problème, nous vous présentons dans cet article les plus recommandés en cas d’ulcère gastrique.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • DON DE MOELLE OSSEUSE :

    QUI, QUOI, COMMENT, QUELS RISQUES ?

     

     

     

     

     

    Qui peut donner, comment se passe le prélèvement, est-ce que ça fait mal, quels sont les risques pour le donneur ? Le don de moelle osseuse souffre de nombreuses idées reçues. Il est pourtant simple à réaliser, comporte peu de risques et permet de sauver des vies. Voici ce qu’il faut savoir sur la greffe de moelle osseuse. 


     

     

    Le don du sang, le don d’organes, c’est assez clair. Mais le don de moelle osseuse , en quoi ça consiste vraiment ? Première confusion à éliminer : qui dit moelle osseuse ne dit pas moelle épinière . Oubliez donc tout de suite l’image d’une grande aiguille qui viendrait s’insérer dans votre colonne vertébrale, le don de moelle osseuse est le plus souvent indolore et se fait soit par un prélèvement sanguin, soit par un prélèvement dans l’os du bassin.

    Trois conditions pour pouvoir donner sa moelle osseuse

    Avant toute chose, pour faire don de votre moelle osseuse, vous devez remplir trois critères : avoir plus de 18 ans et moins de 51 ans au moment de l’inscription (mais vous pouvez donner votre moelle jusqu’à 60 ans ), être en parfaite santé (pas de problème cardiaque ou respiratoire, pas d’hypertension, pas d’antécédents de cancers, pas de diabète, pas de surpoids important, pas de troubles circulatoires, pas de comportements sexuels à risque…) et accepter de répondre à un questionnaire de santé et de faire une prise de sang .

     

    Outre ces conditions, le don de moelle osseuse est régi par trois principes : l’ anonymat du donneur et du receveur, le consentement à faire valider auprès du Tribunal de Grande Instance de son domicile et la gratuité(prise en charge de tous les frais médicaux et indemnisation de la perte de rémunération subie par le donneur pendant la période du don). Au 31 décembre 2017, le registre français des donneurs de moelle osseuse comptait 278 125 inscrits , répartis inégalement entre 35% d’hommes et 65% de femmes . L’objectif 2018 annoncé par l’Agence de la Biomédecine, qui régit les dons en France, est de recruter 20 000 nouveaux donneurs.

    Une chance sur un million de trouver deux personnes compatibles entre elles

    Une fois inscrit sur la liste des donneurs, vous serez contacté par un centre donneur lorsqu’un patient compatible avec vous aura besoin d’une greffe. Cela peut prendre du temps, car la probabilité de trouver deux individus compatibles entre eux (en dehors des frères et sœurs) n’est que d’une chance sur un million . Le prélèvement sera fixé un à trois mois plus tard et, trois semaines avant le don, vous passez un examen médical et des examens sanguins pour s’assurer de l’absence de contre-indications.

    Quand vous donnez votre moelle osseuse, vous donnez en réalité des cellules appelées cellules souches hématopoïétiques : ces cellules vont elles-mêmes produire les cellules sanguines à savoir les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes, mais aussi les lymphocytes, des globules blancs particuliers qui jouent un rôle dans le système immunitaire. Les cellules souches hématopoïétiques sont présentes en grande quantité dans les os plats comme les os du bassin.

    Prise de sang ou prélèvement dans l’os du bassin

    C’est pourquoi une des deux méthodes possibles de prélèvement est le prélèvement par ponction dans les os postérieurs du bassin . Cette action nécessite 48 heures d’hospitalisation : le donneur est placé sous anesthésie générale , et le prélèvement a lieu dans un bloc opératoire. Le second prélèvement est appelé prélèvement par aphérèse . Dans ce cas, le donneur reçoit quelques jours avant le don un médicament par injection qui va stimuler la production de cellules souches hématopoïétiques et les faire passer des os vers le sang. Le prélèvement aura alors lieu par voie sanguine, en une ou deux prises de quatre heures environ . A noter : ce n’est pas le donneur qui décide de la méthode de prélèvement, mais le médecin greffeur, selon les conditions exigées par l’état de santé du malade receveur.

    Aucun risque de paralysie

    Pendant le prélèvement, il n’existe pas de risque particulier pour le donneur en dehors des risques liés à toute anesthésie générale dans le cas de la méthode par ponction. En aucun cas le donneur court un risque de paralysie car la colonne vertébrale n’est jamais touchée et la santé du donneur n’est pas mise en danger car les cellules de la moelle osseuse se reconstituent rapidement. Certains donneurs comparent la sensation qui suit le prélèvement par ponction à un "gros bleu" et la sensation liée à la technique par aphérèse à des symptômes grippaux, mais ils ne sont pas systématiques.

    Leucémie, anémie, aplasie médullaire… Le don de moelle osseuse sauve des vies

    Une fois le prélèvement effectué, qui va recevoir ce don ? La moelle osseuse ne se conserve pas longtemps, elle est donc transférée du donneur au receveur dans un délai de 12 à 36 heures. La moelle osseuse contenant les cellules capables de se différencier en cellules sanguines, elle est d’un grand recours pour toutes les personnes souffrant d’une maladie du sang ou du système lymphatique. Un don de moelle osseuse pourra ainsi sauver la vie de patients atteints de leucémie (ou cancer du sang), d’ aplasie médullaire (un arrêt du fonctionnement de la moelle osseuse), d’ anémie de Fanconi (une maladie génétique entraînant une défaillance sévère de la moelle osseuse), de déficits immunitaires (par exemple les enfants-bulles), de drépanocytose (anomalie héréditaire des globules rouges) ou encore de bêta-thalassémie (déficience héréditaire de la fabrication de l’hémoglobine). Ainsi, en France, 193 donneurs ont été prélevés en 2017 et 999 patients ont déjà reçu une greffe de moelle osseuse grâce à un don anonyme.

    Et après ? Une fois le don de moelle osseuse effectué, vous aurez trois questionnaires à remplir : le jour du prélèvement, un mois après et un an plus tard. Le don est généralement unique, il n’existe que deux situations dans lesquelles vous pourrez donner votre moelle osseuse plusieurs fois : si l’état du malade nécessite un second don ou si un membre de votre famille avait besoin d’une greffe de moelle osseuse, sous réserve bien sûr que vous soyez compatibles.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Ce qu’il faut savoir sur la fibromyalgie pour la combattre

     

     

     

     

     

     

    La fibromyalgie est une maladie chronique qui peut diminuer la qualité de vie des patients. Découvrez dans cet article, ce qu'il faut savoir pour pouvoir la combattre.

    Ce qu’il faut savoir sur la fibromyalgie pour la combattre

    La fibromyalgie est une maladie plus fréquente que nous ne le pensons, parce que beaucoup de gens en sont atteints et ne s’en doutent même pas. C’est pour cette raison qu’elle est connue sous le nom de « handicap invisible ». Elle ne peut être détectée par aucune radiographie ou analyse sanguine.

    Les patients atteints de cette maladie n’arrivent à avoir un repos récupérateur. Lorsque vous vous endormez, votre corps transpire excessivement (hyperhidrose) et, en général, cet inconfort peut s’aggraver.

    Il s’agit d’une maladie rhumatismale chronique caractérisée par la présence d’une douleur généralisée et un épuisement constant, ainsi que des symptômes supplémentaires.

    Par conséquent, les patients n’ont aucune altération visible, malgré les nombreux symptômes dont ils souffrent, comme des douleurs chroniques dans différentes parties du corps.

    En plus de la fatigue, la fibromyalgie comprend des contractures musculaires, des hernies discales et des problèmes rhumatismaux qui peuvent éventuellement mener à l’immobilité.

    Causes de la fibromyalgie

    fibromyalgie

     

     

    La cause de la fibromyalgie est inconnue, mais on pense qu’elle est due à un fonctionnement anormal du système nerveux central.

    Il existe une hypothèse que cette maladie apparait lorsque les parois intestinales deviennent inflammées et hyper-perméables. C’est fréquent chez les gens qui ont une paroi intestinale plus mince que la normale, ce qui fait passer les déchets et les substances toxiques à travers la paroi intestinale en plus des nutriments.

    Tout cela finit par atteindre le foie et les reins, ce qui fait entrer en action le système immunitaire qui les considère comme des ennemis et tente de lutter contre ces éléments. Il est donc extrêmement important de prendre soin de votre alimentation.

    Une autre cause possible de la fibromyalgie peut être un déséquilibre des neurotransmetteurs. On croit que les altérations respectives produiraient les différents symptômes de cette pathologie.

    Par exemple, une douleur généralisée peut survenir à la suite d’une altération des voies de la modulation de la douleur. Toutefois, il n’existe pas de preuves scientifiques permettant de valider pleinement cette hypothèse.

    Types de fibromyalgie

    fibromyalgie

     

    La fibromyalgie ne se produit pas de la même manière dans tous les cas. Il en existe différents types, de sorte que le traitement est axé sur l’atténuation des symptômes présentés par chaque patient. Voici la classification des types de fibromyalgie.

    • Type 1. Regroupe les patients sans maladie concomitante.
    • Type 2. Regroupe les patients souffrant de rhumatismes et de maladies auto-immunes.
    • Type 3. Comprend les personnes qui présentent une altération grave de la sphère psychopathologique.
    • Type 4. Comprend des patients appelés simulateurs.

    Les sueurs nocturnes : une des conséquences de la fibromyalgie

    sueurs nocturnes

     

     

    Même s’il parait impossible de lutter contre les sueurs nocturnes, c’est quelque chose de faisable. Comment ? C’est facile. Il vous suffit d’essayer de maintenir une alimentation équilibrée et, particulièrement, de prendre soin des aliments qui composent le dîner.

    D’autre part, vous pouvez vous doucher avec de l’eau chaude avant de vous coucher et appliquer une petite couche d’huile d’eucalyptus sur différentes parties de votre corps. Cela vous aidera à garder une sensation de fraicheur.

    Nous vous présentons ci-dessous d’autres mesures que chaque patient atteint de fibromyalgie doit mettre en œuvre pour jouir d’une meilleure qualité de vie, en général.

    Votre propre traitement

    1. Prenez soin de votre alimentation

    Il est essentiel d’être particulièrement prudent dans votre alimentation si vous souffrez de fibromyalgie. Évitez donc les produits laitiers, le sucre, le gluten, la viande rouge, les pommes de terre, les tomates, les aubergines et les poivrons. Quant aux fruits, nos vous recommandons de les manger plutôt en compotes pour maintenir la santé intestinale.

    Évitez les boissons contenant de la caféine. Le café, mais également les boissons telles que le thé, le maté, les boissons sucrées. D’autre part, les aliments qui contiennent une forte teneur en vitamine C, comme les agrumes, ne sont pas non plus recommandés parce qu’ils peuvent affecter le sommeil.

    2. Faites du sport

    sport

     

    Le sport peut être une excellente thérapie pour les patients souffrant de fibromyalgie. Les experts recommandent l’exercice physique de type aérobique de façon progressive et constante.

    En effet, les exercices en piscine (baignade ou autres sports nautiques) sont particulièrement recommandés car ils permettent d’acquérir une plus grande agilité. L’hydrothérapie est également une excellente option.

    3. Suivez une réadaptation

    massage

     

    Si vous pensez que la douleur est trop forte, vous pouvez consulter un physiothérapeute pour évaluer un programme de réadaptation qui vous aidera à soulager l’inconfort. Courage! Il existe une grande variété de possibilités.

    Les professionnels de la réadaptation physique connaissent bien la fibromyalgie et sauront ce dont vous avez besoin selon votre état. Suivez les instructions de votre médecin, suivez régime alimentaire approprié, faites de l’exercice et vous surpasserez cette maladie beaucoup plus facilement.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 symptômes qui indiquent que votre taux de sucre

    dans le sang est trop élevé

     

     

     

     

     

     

    L'hyperglycémie est une condition silencieuse à laquelle il faut prêter attention. Si elle n'est pas traitée à temps, elle peut provoquer le diabète. C'est pourquoi il est fondamental de connaître les symptômes décrits dans cet article. 

    7 symptômes qui indiquent que votre taux de sucre dans le sang est trop élevé

    Le sucre dans le sang appelé glucose est la principale source d’énergie pour les cellules de notre organisme. Ce type de sucre est présent dans les farines, le miel, les carottes, le riz, entre autres.

    Cette source d’énergie permet de réaliser les fonctions importantes du corps telles que la digestion, le pompage cardiaque et la synapse, entre autres. Le taux de sucre présent dans notre sang doit se situer entre 70 et 110 mg/dl, afin de bénéficier de tous ses bienfaits sans conséquences négatives pour la santé.

    Une hausse du taux de glucose dans le sang, ce qui correspond à l’hyperglycémie, endommage plusieurs organes. Lorsque le glucose présent dans le sang dépasse les 180 mg/dl, le diabète sucré est diagnostiqué. Il est fondamental que les patients qui en souffrent soient sous surveillance médicale stricte, car ce diabète peut entraîner de graves complications.

    Qu’est-ce que l’hyperglycémie ?

    On parle d’hyperglycémie lorsque le taux de sucre dans le sang dépasse les 140 mg/dl. Cette condition peut apparaître pour deux raisons spécifiques :

    • le pancréas rencontre des problèmes pour produire la quantité suffisante d’insuline, une hormone chargée de réguler le sucre dans le sang
    • l’organisme ne parvient pas à utiliser l’insuline correctement

    Dans les deux cas, il est fondamental de consulter un médecin, afin qu’il vous prescrive les médicaments à prendre, et qu’il vous indique les changements à adopter dans votre alimentation ainsi que la quantité d’exercice physique à pratiquer.

    Les symptômes qui indiquent que votre taux de sucre dans le sang est trop élevé 

    L’hyperglycémie présente des symptômes qui sont difficiles à détecter sans un minimum d’attention. L’idéal est de faire un contrôle médical tous les six mois, afin de diagnostiquer à temps un éventuel changement dans l’organisme.

    L’examen pour mesurer le taux de glucose dans le sang est généralement peu coûteux et simple. Il suffit d’une légère piqûre, afin d’obtenir une goutte de sang.

    1. La polydipsie

    Verre d'eau

     

    La polydipsie correspond au besoin urgent et exagéré de boire de l’eau, besoin généralement accompagné d’une sensation de bouche sèche. Il est important que vous buviez de l’eau dès que vous en ressentez le besoin, car la soif correspond au besoin du corps de normaliser le taux de glucose dans l’organisme.

    Toutefois, ayez à l’esprit que le problème persistera tant que le taux de sucre dans le sang reste élevé. Afin d’y remédier, pratiquez une routine d’exercices tous les jours et prenez les médicaments prescrits par votre médecin.

    2. Des lésions sur la peau 

    Un excès de sucre dans le sang peut entraîner l’apparition de lésions cutanées telles que des tâches de couleur café sur les jambes ainsi que des rougeurs sur le visage, et favoriser la sécheresse de la peau.

    Par ailleurs, les ongles, les paumes des mains ainsi que les plantes des pieds peuvent prendre une couleur jaunâtre.

    Si vous remarquez l’apparition de bleus qui disparaissent au bout de quelques jours, rendez-vous chez votre médecin. N’ignorez pas ce problème, car cela peut être le symptôme de dommages veineux.

    3. Des sautes d’humeur

    Femme en colère

     

    Ceux qui souffrent d’hyperglycémie font souvent face à des sautes d’humeur sévères, telles que l’irritabilité ou la dépression

    Les émotions dépendent des processus chimiques du cerveau ; ces processus sont influencés par le taux de sucre dans le sang.

    4. Faiblesse et somnolence

    Les cellules étant incapables d’absorber efficacement le sucre dans le sang, l’énergie produite diminue. Cela se traduit par l’apparition des symptômes suivants :

    • une sensation de faiblesse musculaire
    • une fatigue extrême
    • un état de somnolence
    • des évanouissements

    Pour réduire ces symptômes, il est important de consommer suffisamment de légumes frais apportant des vitamines et des minéraux de qualité. Si le problème est plus sérieux, votre médecin peut vous conseiller certains compléments alimentaires.

    5. Une cicatrisation lente des blessures

    L’hyperglycémie provoque une sévère altération de la coagulation sanguine. Cette altération se manifeste par l’apparition d’hématomes et de bleus sur la peau, ainsi que par une cicatrisation lente des blessures.

    Si vous remarquez que vos blessures saignent plus que d’habitude, et que vos cicatrices mettent un certain temps à disparaître, vous devez prendre certaines mesures. Lorsque votre taux de glucose dans le sang sera à nouveau normal, ce symptôme disparaîtra.

    6. Des problèmes de vision

    Oeil

     

    Les petites artères et veines situées dans la rétine, la macula lutea (ou tache jaune), les vaisseaux de la rétine et la tête du nerf optique subissent généralement des dommages, conséquence de l’hyperglycémie. Voici quelques exemples de problèmes :

    • une vision floue
    • la présence de taches sombres dans le champ visuel
    • des douleurs dans la zone oculaire
    • une difficulté à discerner les objets éloignés avec la vision latérale ou périphérique

    Des visites régulières chez l’ophtalmologue permettent d’identifier ces problèmes, et ainsi éviter que le taux de sucre dans le sang augmente considérablement.

    7. Des problèmes sexuels

    Les lésions au niveau des nerfs et des vaisseaux sanguins comme conséquence d’un taux de sucre élevé dans le sang provoquent différentes altérations au niveau de la fonction sexuelle, autant chez les femmes que chez les hommes.

    Chez les hommes, l’hyperglycémie peut être à l’origine des dysfonctionnements suivants :

    • une incapacité à atteindre ou à maintenir une érection suffisamment ferme pour avoir un rapport sexuel
    • une éjaculation rétrograde, éjaculation au cours de laquelle le sperme circule vers la vessie au lieu de sortir par l’extrémité de la verge

    Chez les femmes, l’hyperglycémie peut être à l’origine des dysfonctionnements suivants :

    • la sécheresse vaginale
    • l’absence ou une diminution du désir sexuel
    • des rapports sexuels douloureux

    Vous présentez ces symptômes ? Si c’est le cas, ne les ignorez pas et rendez-vous chez votre médecin le plus rapidement possible.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 causes des élancements crâniens

     

     

     

     

     

    Lorsqu'un mal de tête se produit, une attention immédiate à ce problème est nécessaire pour éviter qu'il ne se transforme en migraine et n'affecte notre vie quotidienne.

    5 causes des élancements crâniens

    De nos jours, les élancement crâniens sont l’un des symptômes qui déclenchent le plus de consultations médicales. Souvent, ils se manifestent si fréquemment et si intensément qu’ils provoquent des troubles et de l’inquiétude chez ceux qui en souffrent.

    Dans la plupart des cas, ces élancements dans la tête peuvent être liés à :

    • Stress
    • Rhume
    • Déshydratation
    • Ils sont également associés à des symptômes secondaires d’autres affections telles que des contractures cervicales.

    Selon la région spécifique de la tête où ils se produisent, ils peuvent être très légers, mais aussi aigus et intenses. Certains patients les décrivent simplement comme une oppression dans une certaine zone de la tête qui cause un inconfort presque insupportable.

    Cependant, dans la plupart des ces, les élancements crâniens ne représentent pas une pathologie qui devrait être considérée comme une préoccupation trop importante ou urgente.

    Causes possibles des élancements dans la tête

    1. Migraines de tension

    homme ayant la migraine en consultation médicale

     

    Cette affection est l’une des causes les plus fréquentes des élancements crâniens et l’une des consultations neurologiques les plus fréquentes.

    Elle se manifeste par des douleurs dans les tempes ou autour des yeux, provoquant des tensions au niveau du cou et du visage. Comme vous pouvez le voir, cela génère aussi une sensibilité extrême dans le cuir chevelu.

    La migraine de tension survient habituellement en fin de journée, lorsque la fatigue et le stress se sont accumulés. Par conséquent, son principal déclencheur est un repos insuffisant, l’insomnie, les changements hormonaux, les situations stressantes ou bien une dépression possible.

    2. Migraine occipitale

    C’est une pathologie qui conduit à l’apparition d’élancements à la base du crâne.

    Pendant qu’elle en souffre, la personne se plaint habituellement de douleurs dans la partie supérieure du cou et, dans certains cas, la douleur est transférée à la mâchoire.

    3. Névralgie migraineuse focalisée

    manifestations cliniques de la migraine

     

    C’est un type de maux de tête dans le cadre duquel la douleur se produit sur un côté de la tête et progresse pour affecter l’autre moitié.

    Elle survient habituellement après la libération soudaine d’histamine ou de sérotonine dans l’organisme causée par une consommation excessive d’alcool ou de drogues ou par une activité physique excessive.

    4. Céphalées vasculaires

    Les élancements crâniens liés aux céphalées vasculaires doivent être surveillés de près afin d’éviter les complications futures.

    Dans la plupart des cas, il n’ y a pas de quoi s’inquiéter. Cependant, il est important de connaître ces signes qui peuvent être liés à un AVC :

    • Vous ressentez une augmentation de la douleur en vous penchant, en toussant ou bien en vous allongeant.
    • Vous avez de la difficulté à faire des mouvements ou à parler.
    • Les douleurs durent plus de 3 jours.
    • Vous avez des convulsions ou des évanouissements.
    • Fièvre, nausées ou vomissements.

    Consultez un médecin si vous éprouvez l’un de ces problèmes et surtout si vous avez des problèmes vasculaires. N’oubliez pas que la prévention est la clé.

    5. Cervicalgie

    homme ayant la migraine au travail

     

    Une autre cause des élancements crâniens qui passe généralement inaperçue dans les examens cliniques est la cervicalgie. Cette pathologie est causée par des accidents mineurs ou de mauvaises postures.

    Elles se caractérise par une altération des muscles du cou et un affaiblissement de la stabilité des vertèbres. Par conséquent, cela provoque des spasmes du cou qui irradient des douleurs dans différentes zones de la tête.

    Apportez des changements à votre routine quotidienne

    Changer vos habitudes peut aussi aider à soulager les élancements dans la tête. Par exemple, ayez une alimentation saine, avec beaucoup de fruits et de légumes. Suivre des horaires de repas réguliers peut aussi aider à réduire les épisodes de maux de tête.

    Garder votre corps suffisamment hydraté est un autre facteur à considérer. Buvez 2 litres d’eau par jour pour rester en bonne santé. Évitez aussi de consommer des produits contenant de la caféine et de l’alcool.

    Faites souvent de l’exercice. Cela réduira le stress et les épisodes de tension qui se manifestent par des élancements dans la tête.

    Évitez de vous coucher à l’aube. Se reposer et dormir pendant les heures dont votre corps a besoin, optimise vos performances quotidiennes et contribue à la disparition des malaises liés aux maux de tête.

    Si vous avez des élancements récurrents dans la tête, dans les yeux, la mâchoire ou le bas du crâne, consultez un médecin. Le professionnel de santé est la bonne personne pour écarter toute pathologie pouvant être considérée comme plus préoccupante.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Que sont les anxiolytiques ?

     

     

     

     

     

    Les benzodiazépines, malgré leur tolérance et leur dépendance, sont les anxiolytiques les plus utilisés.

    Que sont les anxiolytiques ?

    L’anxiété est un comportement naturel qui englobe les réactions que les humains ont face à toute menace physique ou psychologique. Le problème se pose lorsque cette réaction devient excessive ou en désaccord avec le stimulus qui la déclenche. Il en résulte l’apparition d’un état pathologique d’anxiété pouvant nécessiter l’utilisation de médicaments tels que les anxiolytiques.

     

    La frontière entre un état d’anxiété pathologique et un état normal est confuse mais peut être établie quand les symptômes interfèrent avec la vie quotidienne de l’individu.

    anxiolytiques et le système nerveux

     

    Les anxiolytiques sont des médicaments qui agissent sur le système nerveux central.

    L’anxiété est un trouble mental qui augmente de jour en jour dans le monde entier. Le nombre de personnes souffrant de dépression ou d’anxiété est passé de 416 à 615 millions entre 1990 et 2013.

    Pour comprendre pourquoi certains médicaments sont plus indiqués que d’autres en fonction du type d’anxiété subi par les personnes affectées, il faut différencier :

    • Les troubles qui impliquent la peur telles que les crises de panique, l’anxiété sociale et les phobies.
    • Touts les troubles qui entraînent un sentiment d’anxiété générale sans raison ou origine claire.

    Traitement de l’anxiété

    Les médicaments anxiolytiques soulagent ou suppriment le symptôme d’anxiété sans produire de sédation ni de sommeil. Les benzodiazépines s’approchent de l’anxiolytique idéal car, bien qu’à des doses élevées, ils provoquent la sédation et le sommeil, il est possible de les gérer de manière efficace.

    Cependant, ce type de médicaments a l’inconvénient de produire des effets indésirables notoires tels que l’amnésie ou la tolérance et la dépendance physique.

    En outre, dans la plupart des cas, le traitement pharmacologique doit également être associé à une approche psychologique.

    Au cours de la dernière décennie, le traitement de l’anxiété est passé de l’utilisation de médicaments anxiolytiques et hypnotiques à l’utilisation d’une grande variété de médicaments utilisés dans d’autres troubles du système nerveux central qui n’ont pas d’effet hypnotique.

    Benzodiazépines

    La première benzodiazépine synthétisée fut le chlordiazépoxide en 1961. Ces anxiolytiques agissent en se liant sélectivement aux récepteurs GABA. Ce neurotransmetteur physiologique intervient dans l’inhibition du système nerveux central. Ainsi, ce groupe de médicaments facilite l’ouverture des canaux de chlore activés par le GABA et accentue son effet inhibiteur. Ils ont également d’autres actions sédatives, anti-convulsives et myorelaxantes.

    Les benzodiazépines sont fréquemment utilisées pour traiter l’anxiété aiguë. Elles ont également une application contre les attaques de panique en combinaison avec les ISRS et sous forme de lavement chez les enfants épileptiques. Pour les classer, on prend généralement en compte le temps qu’elles mettent à exercer leurs effets :

    • Benzodiazépines à action brève : midazolam, triazolam.
    • Action intermédiaire : alprazolam, bromazépam, lorazépam, lormétazépam…
    • Longue durée d’action : clobazam, clorazépate, diazépam, chlordiazépoxid …

    Ce sont des anxiolytiques ont une bonne absorption orale, mais présentent des interactions avec les psychotropes, l’alcool, les barbituriques, les opiacés et les antiallergiques H1. Ils doivent être administrés avec prudence chez les personnes âgées pour éviter leur accumulation dans le corps.

    Pour le traitement des personnes âgées, on recommande généralement l’administration de lorazépam, d’oxazépam et de témazépam.

    Les principaux effets secondaires de ces anxiolytiques sont :

    • Somnolence
    • Confusion
    • Amnésie
    • Déficience de la coordination

    En outre, toutes les benzodiazépines donnent lieu à une tolérance (ce qui implique une augmentation progressive de la dose nécessaire pour produire l’effet) et à une dépendance. C’est pourquoi, lors de l’arrêt du traitement, il est recommandé de retirer progressivement les benzodiazépines, en diminuant lentement leur dose.

    anxiolytiques et benzodiazépines

     

    Le surdosage de benzodiazépines est considérablement moins dangereux que celui d’autres anxiolytiques. Cependant, une surdose de benzodiazépines peut entraîner une crise respiratoire sévère. Dans cette situation, un traitement au flumazénil est généralement employé, un médicament utilisé pour inverser les effets en cas d’intoxication.

    Buspirone

    Le buspirone est un agoniste anxiolytique des récepteurs de la sérotonine 5-HT1a. Il est utilisé pour traiter le trouble d’anxiété généralisée mais pas les phobies ni le trouble d’anxiété sociale. Il n’a pas d’action sédative, anticonvulsivante ni relaxante. En même temps, il présente un profil bas d’interactions médicamenteuses. Ses principaux effets indésirables sont la nausée, les vertiges, les maux de tête et l’agitation.

    Les antidépresseurs utilisés comme anxiolytiques

    Ces médicaments sont efficaces contre les troubles anxieux généralisés, sociaux et phobiques. En revanche, les antidépresseurs tricycliques et les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) ont plus d’effets secondaires mais peuvent également être utilisés.

    Dans cette catégorie sont souvent utilisés :

    • Des inhibiteurs sélectifs de la récupération de la sérotonine (ISRS) tels que la fluoxétine ou la sertraline.
    • D’autres inhibiteurs de la récupération de la sérotonine et de la noradrénaline tels que la venlafaxine ou la duloxétine.

    Antiépileptiques

    Les antiépileptiques gabapentine, prégabaline, valproate et lévétiracétam sont également efficaces dans le traitement du trouble anxieux généralisé.

    Antipsychotiques atypiques

    Certains antipsychotiques atypiques tels que l’olanzapine, la rispéridone, la quétiapine et la ziprasidone sont efficaces dans certaines formes d’anxiété, y compris le trouble d’anxiété généralisé et de stress post-traumatique.

    Antagonistes béta-adrénergiques

    Le propranolol est largement utilisé comme anxiolytique dans le traitement de certaines formes d’anxiété. Il est surtout utile face à des symptômes physiques tels que la transpiration, les tremblements et la tachycardie.

     

    L’anxiété est un trouble psychologique qui peut affecter la qualité de la vie quand elle n’est pas contrôlée. Découvrez 5 bons remèdes pour contrôler vos symptômes. L’anxiété est un trouble psychologique qui affecte de plus en plus de personnes, notamment celles qui habitent dans les pays développés, où le style de vie est assez agité.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • MALADIES DES REINS :

    5 CAUSES QUI AUGMENTENT LE RISQUE CHEZ LES FEMMES

     

     

     

     

     

    Insuffisance rénale, calculs rénaux, pyélonéphrite… Les maladies rénales affectent les hommes et les femmes, mais possèdent des spécificités chez ces dernières.  

     

    Un urètre plus court chez les femmes que chez les hommes

    Si les femmes sont moins nombreuses que les hommes à souffrir d’insuffisance rénale chronique (40% de femmes contre 60% d’hommes parmi les malades) et si les deux sexes possèdent les mêmes symptômes de maladies rénales (œdèmes, urines qui moussent indiquant une présence d’albumine, hypertension artérielle et pâleur indiquant une anémie), les femmes présentent des facteurs de risque spécifiques. Une des premières spécificités est anatomique : "L’urètre ( le canal qui conduit l’urine de la vessie vers l’extérieur du corps, via le méat urinaire, ndlr ) est plus court chez la femme que chez l’homme. Cette caractéristique rend les femmes plus sujettes aux infections urinaires qui augmentent elles-mêmes le risque d’infection et de maladies rénales" décrit la docteure Brigitte Lantz, néphrologue et secrétaire générale de la Fondation du ReinEt ce risque existe dès le plus jeune âge : "Même en France, 85% des toilettes dans les écoles sont considérées insalubres. Les petites filles sont nombreuses à adopter la mauvaise habitude de se retenir de boire et d’uriner pendant la journée et développent des infections urinaires en conséquence. Les garçons, quant à eux, sont protégés par leur anatomie qui leur offre un urètre plus long" souligne la docteure Isabelle Tostivint, néphrologue.Comment éviter les infections urinaires ? "Il faut tout d’abord apprendre aux petites filles à s’essuyer d’avant en arrière quand elles sont aux toilettes pour éviter la colonisation des bactéries du côlon vers l’urètre, une contamination à l’origine des infections" répond Isabelle Tostivint. "Les femmes doivent également boire plus d’eau, prêter attention aux signes d’alerte des infections urinaires et penser à uriner dans les trois à cinq minutes qui suivent un rapport sexuel pour chasser les éventuelles bactéries qui se trouveraient à l’entrée de l’urètre" ajoute la néphrologue. Attention : "Beaucoup de femmes se sentent sales quand elles ont une infection urinaire. C’est faux, et au contraire il faut respecter les bactéries urétrales, vaginales et vulvaires qui constituent notre microbiote et ne pas céder à un excès d’hygiène qui pourrait aggraver la situation. C’est pourquoi il est notamment déconseillé d’utiliser de savon à pH neutre pour réaliser la toilette intime" rappelle la docteure Tostivint.

     

    Grossesse : un risque multiplié par 6 pour les reins

    "Une femme enceinte voit son risque de maladie rénale multiplié par un facteur cinq ou six" alerte la docteure Tostivint. Pendant la grossesse, les femmes sont ainsi plus à risque de développer une toxémie gravidique (ou pré-éclampsie) qui atteint les reins de façon transitoire, une pyélonéphrite mais aussi une septicémie (infection du sang) à départ urinaire. Par ailleurs, "une maladie rénale chronique peut s’aggraver pendant la grossesse, et ce parfois de manière irréversible" révèle le professeur Maurice Laville, néphrologue et président de la Fondation du Rein. Bon à savoir : "Pendant la grossesse, l’utérus comprime davantage l’uretère droit que l’uretère gauche. Le risque de pyélonéphrite du rein droit est donc plus élevé que pour le rein gauche" détaille Isabelle Tostivint. Même l’accouchement représente un risque pour le rein . En effet, "en cas d’hémorragie de la délivrance, la femme souffre d’un important saignement après le travail. Les vaisseaux des reins se contractent alors, ce qui occasionne une nécrose des tissus du rein ou des tubules rénaux" décrit la néphrologue. Cette atteinte correspond à une insuffisance rénale et la femme qui en est victime devra avoir recours à des dialyses.Quel suivi rénal pendant une grossesse ? "Il est important de tester les taux d’albumine et d’acide urique dans les urines dès le début de la grossesse. En cas de résultats anormaux, d’antécédents de maladies rénales et/ou de pression artérielle élevée, le médecin recommandera à sa patiente un suivi particulier avec un dosage régulier de la créatinine" détaille Isabelle Tostivint.

     

    La ménopause, une période à risque pour les reins

    "A la ménopause, de nombreuses femmes prennent du poids et se tournent vers des compléments alimentaires pour retrouver la ligne. Attention, cette pratique comporte des risques, car la prise répétée de compléments alimentaires peut générer une réaction inflammatoire au niveau du rein, ce qui conduira à une défaillance de cet organe" alerte la docteure Tostivint. Attention notamment aux compléments alimentaires vendus sur internet, car leur composition n’est pas toujours fiable et vérifiée.

     

    Reins et automédication : attention, danger

    Les compléments alimentaires ne sont pas les seuls comprimés qui représentent un danger pour les reins. De manière générale, tous les compléments ou médicaments pris en automédication augmentent le risque de maladies rénales. Or, comme le dévoilait un rapport du Conseil de l’Europe en 2015, les femmes sont plus nombreuses que les hommes à avoir recours à l’automédication. Exemple : Les pyélonéphrites, fréquentes chez les femmes jeunes, peuvent se manifester par des douleurs au dos. "La prise d’anti-inflammatoires contre le mal de dos en automédication risque d’aggraver la situation plutôt que de la soulager, et de faire progresser les calculs rénaux" déplore la docteure Tostivint. De même , des antibiotiques non adaptés pris pour soulager une infection urinaire entretiennent le problème plutôt que de le résoudre "puisqu’ils éliminent les bonnes bactéries au profit des bactéries responsables de l’infection comme Escherichia coli ou Proteus mirabilis " ajoute la spécialiste. Naturel = sans danger ? La réponse est non. "Ce n’est pas parce que des compléments sont fabriqués à base de plantes qu’ils sont forcément bons pour la santé et sans danger pour les reins" alerte la néphrologue. " Même la vitamine C consommée en grande quantité en hiver ne doit pas être prise à la légère : l’acide ascorbique de la vitamine C produit de l’acide oxalique dans l’organisme, un composé délétère pour les reins qui risque d’aggraver à petit feu une fonction rénale déjà endommagée" déplore la médecin.

     

    Reins et maladies génétiques

    Certaines maladies liées aux chromosomes sexuels affectent les reins. C’est par exemple le cas du lupus , une maladie auto-immune qui touche 10 fois plus de femmes que d’hommes selon le portail des maladies rares Orphanet. La docteure Brigitte Lantz, néphrologue et secrétaire générale de la Fondation du Rein, nous confie son témoignage : "J’ai un lupus et j’ai eu une pyélonéphrite à Proteus mirabilis . J’ai été dialysée, j’ai eu un traitement à l’Endoxan® (de la ciclophosphamide) qui guérit le lupus mais qui cause une stérilité. Résultat : à 28 ans j’ai eu une ménopause précoce, je n’ai pas pu avoir d’enfant car il était impossible à l’époque d’avoir un projet de grossesse en ayant une dialyse. En somme, je suis née trop tôt pour recevoir les bons traitements. Aujourd’hui on peut s’en sortir et on peut faire une dialyse tout en ayant un projet de grossesse, notamment grâce aux dialyses quotidiennes qui augmentent les chances que le bébé survive. Je n’ai par ailleurs pas pu adopter, mon dossier ayant été refusé puisque que je souffrais d’une maladie chronique. J’ai depuis participé à faire réformer cette loi concernant l’adoption et, quand je m’en suis sortie, je suis devenue néphrologue."

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : -Conférence de presse organisée le 26 février 2018 par la Fondation du Rein. Interventions des docteures Isabelle Tostivint et Brigitte Lantz et du professeur Maurice Laville.
    -Communiqué de presse de France Rein : Le Rein et la santé de la femme. Février 2018
    -The Gender Dimension of NonMedical Use of Prescription Drugs (NMUPD) in Europe and the Mediterranean Region. Groupe Pompidon, Conseil de l’Europe. Professeure Marilyn Clark, Avril 2015.
    -Le lupus systématique. Encyclopédie Orphanet Grand Public, Juillet 2008.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • 4 secrets sur les bouteilles d’eau en plastique

    que vous ne connaissiez pas

     

     

     

     

     

    Afin d'éviter les divers risques auxquels nous pouvons être exposés lorsque nous buvons de l'eau en bouteilles plastique, la meilleure solution est peut-être d'acheter des contenants en verre.

    4 secrets sur les bouteilles d’eau en plastique que vous ne connaissiez pas

    Aujourd’hui, l’achat d’eau minérale est synonyme de l’acquisition d’un contenant en bouteilles plastique. Derrière cet acte d’achat, il y a toute une série de secrets liés à ce matériau que l’on ne connaît pas ou qui n’ont pas encore été dévoilés.

    Lisez cet article attentivement et évitez d’être contaminé par des bactéries. Voici quatre secrets qui vous permettront de le faire.

    1. Ne réutilisez les bouteilles en plastique

    recyclez les bouteilles en plastique

     

    Vous ne devez pas réutiliser les bouteilles en plastique, car elles peuvent libérer des produits chimiques dangereux. Il est donc important de faire attention aux symboles sur le fond de l’emballage.

    • Par exemple, vous trouvez sur la bouteille des triangles avec des chiffres à l’intérieur. Cela se réfère au type de plastique utilisé pour la fabriquer.
    • A cet égard, les contenants portant la mention « 1 » (PET ou PETE) ne peuvent pas être utilisés sans danger sauf pour un usage jetable.
    • En effet, dans un environnement contenant de l’oxygène, un récipient chauffé ou exposé à la lumière du soleil finit par émettre des substances toxiques qui vont passer dans l’eau.

    De la même façon, vous devriez éviter les contenants marqués « 3 » ou « 7 » (PVC et PC) parce qu’ils dégagent aussi des substances toxiques qui peuvent pénétrer dans les aliments et les boissons.

    Si nous exposons l’organisme à ce type de substances pendant une longue période, cela peut conduire au développement de maladies dangereuses.

    • Si vous voulez remplir à nouveau vos bouteilles, n’oubliez pas que pour cet usage, les plus recommandées sont celles fabriquées à partir de polyéthylène : elles sont marquées de « 2 » et « 4 ».
    • Les contenants en polypropylène marqués « 5 » et les lettres PP sont également recommandés. Ce type de récipient est relativement sûr si vous l’utilisez pour stocker de l’eau froide et que vous le désinfectez souvent.

    2. Attention aux bactéries

    bactéries

     

    Une bouteille en plastique peut être un véritable nid de bactéries. À tel point que le niveau de micro-organismes dans ces bouteilles dépasse souvent les quantités préconisées par les services de santé.

    Donc, n’allez pas créer vous-même les conditions idéales pour la croissance des microbes. Par exemple, lorsque vous prenez une bouteille avec les mains sales, que vous ne la rincez pas suffisamment ou que vous y stockez de l’eau à température ambiante.

    La meilleure solution pour conserver les bouteilles dans un état sain est de les laver avec de l’eau savonneuse tiède. Ou bien du vinaigre blanc ou un bain de bouche antibactérien.

    Le plus grand risque pour la santé associé à la réutilisation des bouteilles en plastique est d’ordre microbiologique. Cela est du à la détérioration normale des bouteilles.

    Cela peut être dû à une petite fissure dans le matériau. Ce qui devient un endroit parfait pour la concentration et la prolifération de bactéries.

    Mais le fait de bien laver la bouteille ne garantira rien. Car on peut quand même finir par s’intoxiquer ou aller jusqu’à attraper l’hépatite A.

    Selon diverses recherches, la plupart des bactéries vivent dans le goulot des bouteilles. Et il n’est pas toujours possible de maintenir une hygiène adéquate dans ces zones.

    Par conséquent, la méthode la plus efficace et la plus sûre est d’utiliser une paille.

    3. Vérifiez la provenance de l’eau

    bouteille en plastique sur la plage

     

    Parfois, certaines entreprises mentionnent sur leurs emballages que l’eau qu’elles vendent provient d’un beau ruisseau très sain. Cependant, la vérité est que parfois l’eau que nous achetons en bouteille est identique à celle que nous avons dans le robinet de la maison.

    Il convient de garder à l’esprit que les entreprises sont obligées de mentionner l’origine de l’eau qu’elles vendent et quel est leur principal canal d’approvisionnement.

    4. Méfiez-vous de l’eau aromatisée

    bouteille en plastique remplie par l'eau du robinet

     

    Les marques d’eau en bouteille vendent également des dérivés dans lesquels elles ajoutent à l’eau minérale des saveurs diverses. Ainsi, avec ces produits, elles cherchent à conquérir le marché lucratif des jeunes et des sportifs.

    Donc, ce qu’ils font, c’est vendre cette eau embouteillée avec des goûts attirants. Et, de plus,  elles affirment que leurs boissons sont « plus saines que certaines boissons sucrées ».

    Attention cependant, car cette eau peut parfois contenir autant de sucre qu’un soda.

    Évitez d’être trompé par la publicité. Il faut toujours lire les informations sur l’étiquette et vérifier la quantité réelle de sucre que la bouteille contient.

    Une bonne habitude à garder à l’esprit !

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est-ce que le rayonnement électromagnétique

    et comment nous affecte-t-il ?

     

     

     

     

     

    La technologie est venue littéralement révolutionner la vie humaine. Mais plus les appareils sont innovants, plus les rayonnement électromagnétiques autour de nous augmentent.

    Qu’est-ce que le rayonnement électromagnétique et comment nous affecte-t-il ?

    Aujourd’hui, beaucoup de chercheurs se concentrent sur l’étude des rayonnements ionisants, laissant de côté les rayonnements non ionisants.

    Un rayonnement électromagnétique consiste en l’ensemble du processus dans lequel l’énergie est émise, sous forme d’ondes ou de particules matérielles dans l’espace.

    Pour les différencier, il faut tenir compte de leur fréquence : plus la fréquence est grande, plus leur énergie est importante.

    Les ondes électromagnétiques sont des vibrations qui se déplacent dans le vide à la vitesse de la lumière et sans que nous puissions les percevoir.

    Il y a des radiations inoffensives pour les êtres vivants. On dit qu’elles sont non ionisantes.

    Elles ne présentent aucun danger parce qu’elles n’affectent pas les liaisons atomiques des molécules du corps. Ce sont les ondes électromagnétiques.

    Nous sommes continuellement exposés aux ondes radio AM et FM, aux micro-ondes, aux rayonnements infrarouges, aux rayons ultraviolets.

    À l’autre extrémité du spectre se trouvent les rayonnements ionisants qui modifient les atomes et décomposent les molécules. De ce fait, ils peuvent causer des dommages irréversibles et même parfois la mort des personnes exposées.

    Ces rayonnements résultent de la désintégration d’atomes instables dans les substances radioactives (par exemple l’uranium).

    Il existe essentiellement trois types de rayonnement : alpha, bêta et gamma

    • Alpha (α) : Ils ne sont pas très pénétrants et peuvent juste passer à travers une feuille de papier.

    Ils sont extrêmement nocifs parce que cela signifie qu’une fois qu’ils imprègnent un site, ils contaminent les aliments ou les boissons qui se trouvent à proximité.

    En touchant ou en ingérant l’un de ces aliments, on est contaminé.

    • Bêta (β): Ils sont beaucoup plus pénétrants que les ondes alpha et peuvent traverser une feuille d’aluminium. Cependant, ils sont moins dangereux.

     

    • Gamma (γ): Ils sont très pénétrants et d’origine nucléaire, donc des blocs épais comme le béton sont nécessaires pour les empêcher de pénétrer.

    Effets nocifs

    jeune homme qui écoute de la musique

     

    Le rayonnement électromagnétique cause des effets biologiques chez l’homme, mais il n’est pas nécessairement nocif.

    Par exemple, lorsque vous écoutez de la musique, que vous faites de la danse ou que vous lisez un livre, il y a un changement biologique qui n’affecte pas le corps, car il a la capacité de compenser l’effet.

    Cependant, lorsque le corps est exposé aux ondes électromagnétiques et que l’effet biologique se situe en dehors du niveau normal, cela affecte la santé.

    Selon des rapports scientifiques sur l’effet des champs électromagnétiques sur le système endocrinien humain et les pathologies associées, il y a eu des cas de :

    • Cancer du sein, leucémie et tumeurs
    • Sclérose en plaques
    • Perte de mémoire
    • Cancer du cerveau
    • Troubles cardiopulmonaires : tachycardie et tension artérielle
    • Réduction des globules rouges dans le sang

    De même, ils peuvent également causer d’autres troubles, certains plus légers, tels que :

    • Problèmes de vision : cataracte et perte de vision
    • Problèmes de développement chez les enfants
    • Hypertension
    • Fatigue
    • Troubles neurologiques : confusion mentale, irritabilité, céphalées et insomnie
    • Douleur articulaire
    • Problèmes de reproduction : altération du cycle menstruel, fausse couche, infertilité
    • Dermatites et troubles de la peau

    Comment réduire les rayonnements électromagnétiques ?

    mobile

     

    Bien que les grandes entreprises contestent que les appareils électroménagers, les téléphones portables ou les ordinateurs aient une incidence sur la santé, des études sont en cours d’analyse pour étudier ces effets. Malheureusement, les conséquences peuvent mettre 10 ou 20 ans à se manifester.

    Il est pratiquement impossible d’éliminer l’exposition aux ondes électromagnétiques, mais elle peut être réduite avec quelques habitudes simples :

    • Éteignez et déconnectez les périphériques non utilisés.
    • Il est recommandé de mettre à charger un appareil, puis de le débrancher lorsque la charge est complète.
    • S’il doit rester branché, éloignez-le de vous.
    • Si vous utilisez un appareil de chauffage ou un ventilateur, placez-le à au moins 1 mètre du lit.
    • Évitez d’utiliser des couvertures électriques.
    • Pour les lampes de bureau, il est important qu’elles soient munies d’ampoules à incandescence.
    • Lorsque vous chauffez quelque chose au four à micro-ondes, éloignez-vous tant qu’il est en fonctionnement.
    • Ne vous approchez pas de la télévision, car elle génère des ondes autour d’elle.
    • Éteignez le Bluetooth si vous n’en avez pas besoin.
    • Évitez les endroits fermés et climatisés.
    • Ne placez pas le lave-linge ou le sèche-linge près des chambres, car les rayonnements traversent les murs.
    • Les enfants, les femmes enceintes et les personnes âgées sont les plus susceptibles d’être affectées par les radiations.
    • Réduisez l’utilisation des téléphones portables, surtout pour les enfants de moins de 14 ans.
    enfants et appareils électroniques

     

    En bref, on peut dire que les êtres humains sont exposés à des millions de radiations, bonnes ou nocives.

    Cependant, tout ce que nous pouvons faire, c’est essayer de les réduire au maximum en suivant les recommandations énoncées dans cet article.

    Même si le problème n’est pas visible aujourd’hui, il est possible que dans quelques années, nous devions vivre avec toutes les conséquences.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 symptômes qui vous alertent d’une infection dentaire

     

     

     

     

     

     

    Face à tout dérèglement qui se produit dans notre bouche, nous devrions consulter un  spécialiste et exclure une éventuelle infection ou d'autres problèmes bucco-dentaires.

    7 symptômes qui vous alertent d’une infection dentaire

    Nos dents sont en contact permanent avec les résidus alimentaires, les bactéries, la salive et une grande variété d’autres composants qui peuvent à un moment donné affecter votre santé.

    Bien que la pratique quotidienne des habitudes d’hygiène contribue à les maintenir propres et saines, il arrive parfois que l’environnement buccal soit altéré et que des infections se produisent et doivent être rapidement soignées.

    Celles-ci peuvent être légères ou sévères. Dans certains cas, elles peuvent même compromettre la santé globale du corps.

    La chose la plus inquiétante est que, si elles sont laissées longtemps sans soins, elles peuvent conduire à de graves maux et la perte totale des dents.

    C’est pourquoi il est essentiel d’en connaître les symptômes et surtout de consulter un professionnel lorsqu’un problème sérieux est identifié.

    Soyez attentif !

    1. Mauvaise haleine

    mauvaise haleine

     

    L’halitose est l’un des symptômes les plus courants d’une infection dentaire.

    Elle est due à une prolifération excessive de bactéries, en particulier dans les zones où la brosse n’élimine pas complètement les résidus.

    Elle est habituellement maîtrisée avec des produits d’hygiène bucco-dentaire, mais elle revient constamment jusqu’à ce que l’infection soit éliminée.

    La mauvaise haleine peut indiquer :

    • Une gingivite
    • Une carie dentaire
    • Des abcès dentaires
    • Du tartre bactérien
    • Des modifications de la salive

    2. Détérioration de l’émail des dents

    Lorsqu’une infection dentaire se produit, les bactéries dans la bouche produisent de l’acide qui finit par affecter l’émail qui protège les dents.

    • Ces substances s’accumulent en une plaque à texture rugueuse, ce qui génère des taches jaunâtres dues aux résidus de certains aliments.
    • Leur présence constante peut provoquer un affaiblissement sévère de la dent, entraînant une perte de densité et une cassure.

    3. Douleur à la mâchoire et aux dents

    douleur à la machoire

     

    Une sensation constante ou intermittente de douleur dans la mâchoire et les dents peut alerter sur le développement de maladie parodontales ou d’une infection des dents.

    • Celles-ci sont habituellement liées à l’accumulation de plaque bactérienne, un ensemble de résidus qui facilitent la croissance des micro-organismes pathogènes.
    • Le symptôme devrait être vérifié par un dentiste, car cela peut déclencher d’autre affections ou maladies bucco-dentaires.

    4. Gencives saignantes

    Les gencives saignantes apparaissent habituellement lorsqu’il y a un type de lésion ou d’infection impliquant les tissus.

    • Il est courant de les remarquer lorsqu’on utilise une brosse à dents ou un fil dentaire ; parfois, on peut même les remarquer en mangeant certains aliments.
    • Sa principale cause est la formation de toxines qui forment la plaque dentaire et qui causent une faiblesse tissulaire ou des infections parodontales.

    5. Gonflement et rougeurs

    dents sensibles

     

    L’infection parodontale, y compris la carie dentaire, provoque une inflammation et une rougeur des gencives, presque toujours accompagnées de douleur.

    • Une réaction rapide est essentielle pour éviter les complications, car le gonflement peut se propager à la mâchoire.

    6. Dents lâches

    Le fait de sentir l’une des dents lâches est une raison suffisante pour consulter le dentiste le plus tôt possible.

    • Les dents lâches indiquent la progression de l’infection dentaire et, donc, signalent que la structure osseuse du support dentaire s’érode.
    • En effet, c’est fréquent lorsque la gingivite n’est pas maîtrisée à temps et se transforme en parodontite,.
    • Cette affection peut provoquer un déplacement des dents dans la zone affectée et, dans les cas plus graves, une détérioration du tissu osseux.

    7. Pus

    abcès dentaire

     

    L’apparition de pus dans les gencives est un signe précurseur d’une maladie parodontale.

    Il est produit comme une réponse du système immunitaire à l’attaque des bactéries pathogènes qui causent l’infection.

    • Au début, de petites « boules » appelées abcès peuvent être produites, qui contiennent du sang et du pus.
    • Il s’agit d’un processus infectieux complexe qui doit être traité par un professionnel. Car, s’il n’est pas maîtrisé dans le temps, il peut causer des dommages irréversibles.
    • L’infection peut entraîner la destruction de l’os alvéolaire (os qui soutient les dents).

     

    Important !

    Tout soupçon d’infection ou de maladie des dents et des gencives devrait être évalué par un professionnel, car elles ont tendance à présenter des complications en peu de temps.

    Les processus infectieux dans la bouche peuvent affecter d’autres organes importants à travers la circulation sanguine, et il est donc essentiel de les traiter en conséquence.

    Donc, pour réduire le risque d’infections dentaires, il est essentiel de maintenir de bonnes pratiques d’hygiène bucco-dentaire et de consulter régulièrement le dentiste.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 facteurs qui peuvent influencer la ménopause prématurée

     

     

     

     

     

     

    Même si, la ménopause prématurée peut être due à des facteurs que nous ne pouvons pas contrôler, elle peut également être liée à de mauvaises habitudes de vie. Dans ce cas, nous devrions essayer de les modifier pour éviter de possibles complications.

    7 facteurs qui peuvent influencer la ménopause prématurée

    La ménopause se définit comme une étape durant laquelle une femme arrête progressivement d’avoir ses règles et n’est plus fertile. Elle implique une série de changements hormonaux qui se produisent généralement entre 45 et 55 ans.

     

    Cependant, de nombreux facteurs peuvent survenir et perturber le cycle normal du système reproducteur féminin. Ces changements provoquent ce que nous connaissons comme la ménopause prématurée.

    Il s’agit d’un état qui peut commencer à se manifester avant l’âge de 40 ans. Il se caractérise habituellement par des irrégularités dans les cycles menstruels, qui finissent par disparaitre complètement.

    En raison des changements que la ménopause prématurée implique, il existe un risque accru de souffrir de certaines maladies chroniques, de troubles affectifs et d’autres symptômes qui peuvent affecter la qualité de vie.

    Bien que la ménopause prématurée puisse également être due à un problème génétique, de nombreux cas sont le résultat de l’impact que produisent certains facteurs sur l’activité des hormones.

    Découvrez-les tous !

    1. Le tabac

    le tabac influence la ménopause prématurée

     

    Les femmes qui fument ou qui sont exposées à la fumée du tabac sont plus susceptibles de souffrir de ménopause prématurée que celles qui n’ont pas cette habitude ou qui ne sont pas en contact direct avec le tabac.

    La cigarette contient des composés chimiques qui produisent des ovaires et des embryons de mauvaise qualité. De plus, les effets du tabac conduisent aussi à une augmentation des anomalies chromosomiques.

    Ces conséquences altèrent et modifient l’activité des œstrogènes et de la progestérone, ce qui provoque le développement de la ménopause prématurée.

    2. La glande thyroïde

    La glande thyroïde intervient dans de nombreux processus vitaux de l’organisme. Parmi ceux-ci, il faut savoir qu’elle joue un rôle unique et indispensable dans le bon fonctionnement des hormones.

    Pour cette raison, lorsque la glande thyroïde subit une altération, il existe un plus grand risque de souffrir de ménopause prématurée ou d’autres problèmes liés à la santé reproductive.

    Des maladies telles que l’hypothyroïdie peuvent provoquer des symptômes liés à la ménopause prématurée. Parmi les signes les plus fréquents, peuvent survenir l’absence des règles, des changements d’humeur et des bouffées de chaleur.

    3. Interventions chirurgicales

    les interventions chirurgicales peuvent influencer la ménopause prématurée

     

    Les femmes qui subissent certains types d’interventions chirurgicales sont plus susceptibles d’entrer dans le stade de la ménopause prématurée.

    L’ablation d’un ovaire ou de l’utérus réduit les niveaux d’œstrogènes et de progestérone dans le corps, accélérant ainsi la fin de la période fertile chez la femme.

    De plus, l’ablation des deux ovaires provoque la ménopause immédiate. En outre, elle peut également être un effet secondaire d’une chirurgie du cancer du col de l’utérus ou d’une chirurgie pelvienne.

    4. Radiothérapie et chimiothérapie

    Ces deux traitements utilisés dans la lutte contre le cancer pourraient être responsables de l’apparition de la ménopause prématurée.

    Bien qu’ils empêchent la croissance cellulaire, ils peuvent aussi détruire certaines cellules saines, produisant, dans de nombreux cas, la perte précoce des ovaires.

    5. Consommation de viandes transformées

    les viandes transformées peuvent influencer la ménopause prématurée

     

    Parmi les nombreux effets secondaires qui découlent de la consommation de viandes transformées, il faut savoir que ceux-ci influencent également les cas de ménopause prématurée.

    Bien que l’aspect des viandes transformées soit frais et très attrayant, elles contiennent de grandes quantités de produits chimiques appelés nitrates et nitrites qui peuvent produire un déséquilibre hormonal.

    En plus de ces effets, il a été prouvé que leur consommation provoque des conséquences néfastes sur la santé métabolique, ce qui affecte également l’accélération de la ménopause.

    6. Les maladies auto-immunes

    Les maladies auto-immunes se caractérisent par une anomalie dans la production et l’utilisation des anticorps, ce qui conduit à une « auto-attaque » des tissus sains.

    Leur apparition a un impact négatif sur la santé des ovaires et interfère avec l’activité des récepteurs d’œstrogènes.

    Cela provoque une série de déséquilibres qui affectent la santé reproductive des femmes et conduit souvent à la ménopause prématurée.

    Plusieurs affections de ce type sont :

    • Vitiligo
    • Anémie
    • Lupus
    • Syndrome de Sjögren
    • Hépatite chronique
    • Polyarthrite rhumatoïde

    7. L’utilisation de produits cosmétiques et d’hygiène

    certains produits cosmétiques et d'hygiène peuvent influencer la ménopause prématurée

     

    De nombreux organismes régulateurs travaillent actuellement pour empêcher l’utilisation de certains composants nocifs dans la fabrication de produits cosmétiques et d’hygiène. Cependant, il existe actuellement encore sur le marché une multitude de produits qui contiennent des substances pouvant affecter notre santé.

    Ainsi, leur absorption ou leur inhalation constante pourraient influencer l’apparition de troubles thyroïdiens et de maladies hormonales.

    Les shampooings, savons parfumés et autres produits cosmétiques contiennent des substances connues sous le nom de phtalates, dont les effets continus pourraient provoquer la ménopause prématurée.

    Nous pouvons également trouver ces substances dans de nombreux parfums pour le corps, gels pour cheveux et adoucissants de lavage.

    Les effets de la ménopause vous inquiètent-ils ? Même si nous souhaiterions qu’elle se produise à un âge normal, dans de nombreux cas, nous ne pouvons pas empêcher la ménopause de se manifester prématurément.

    Pour cette raison, afin de réduire les risques et d’éviter la ménopause prématurée, il est recommandé de garder un mode de vie sain et de réaliser des suivis médicaux continus.

     

    La ménopause est une étape qui produit de nombreux changements dans la vie d’une femme. Même si nous ne pouvons pas contrôler certains aspects génétiques, il est possible d’agir sur les facteurs externes qui influent sur l’apparition prématurée de la ménopause.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Quel est le traitement approprié pour un grain de beauté suspect ?

     

     

     

     

     

     

    Pour identifier un grain de beauté suspect, il faut analyser sa couleur, les bords, l'asymétrie et son diamètre. Seul un médecin peut déterminer s'il s'agit d'un grain de beauté bénin ou non. 

    Quel est le traitement approprié pour un grain de beauté suspect ?

    Un grain de beauté suspect présente des caractéristiques particulières auxquelles il faut prêter attention. Il ne faut pas ignorer les changements au niveau de l’aspect d’une tache. Tous les grains de beauté peuvent déboucher sur un mélanome ou sur un cancer de la peau.

    Un grain de beauté est un groupement de cellules pigmentées. Dans la majorité des cas, il s’agit d’une formation bénigne qui ne présente aucun risque. Il est normal qu’un adolescent ait entre 15 et 20 grains de beauté. Chez les adultes, le nombre varie entre 20 et 40.

    La majorité des cancers de la peau surviennent après 40 ans. C’est pourquoi vous ne devez pas ignorer un grain de beauté suspect : vous devez consulter un spécialiste le plus rapidement possible. Cela peut être une question de vie ou de mort.

    Identifier un grain de beauté suspect

    Grains de beauté

     

    Pour identifier un grain de beauté suspect et le distinguer d’un grain de beauté normal, il faut prendre en compte quatre principaux aspects. Ce sont les suivants :

    • l’asymétrie
      • un grain de beauté suspect est asymétrique ; les deux moitiés du grain de beauté sont très différentes l’une de l’autre ; cela peut constituer le signal d’alerte d’une tache maligne ;
    • l’irrégularité des bords
      • un grain de beauté normal a une forme circulaire et des bords bien définis ; si ce n’est pas le cas, il faut consulter un spécialiste ;
    • la couleur
      • les grains de beauté qui ont une couleur trop sombre ou une couleur qui tend vers le rouge doivent être examinés ;
    • le diamètre
      • lorsqu’un grain de beauté mesure plus de  6 mm, vous pouvez considérer qu’il s’agit d’un grain de beauté suspect ; toutefois, un grain de beauté de petite taille peut aussi être cancéreux.

    De plus, il est important de surveiller l’évolution d’un grain de beauté suspect. Il est conseillé de le faire examiner tous les mois, afin de détecter un éventuel changement. Il est aussi recommandé d’examiner le dos, car souvent les mélanomes apparaissent dans la partie postérieure du corps.

    Les autres signaux d’alerte d’un grain de beauté suspect

    Mélanomes

     

    Bien que les précédents signaux d’alerte soient les plus caractéristiques, ce ne sont pas les seuls. Dans certains cas, les symptômes sont différents. C’est pourquoi il faut également prêter attention aux signaux d’alerte suivants :

    • la propagation 
      • lorsqu’un grain de beauté ou une tache commence à s’étendre vers une zone environnante, il s’agit d’un signal d’alerte
    • rougissement ou inflammation 
      • lorsqu’une zone environnante devient rouge et/ou est enflammée, il faut consulter un professionnel
    • sensations 
      • un grain de beauté normal ne génère aucun type de sensation; si vous avez des démangeaisons, des douleurs, ou une autre sensation, le grain de beauté est suspect ;
    • modification de la surface 
      • si vous observez un saignement, une exsudation ou une desquamation, il faut être attentif ; idem lorsque des petits nodules ou des protubérances se forment dans un même grain de beauté

    Dans ces cas-là, la démarche à suivre est de consulter un dermatologue le plus rapidement possible. Seul un spécialiste peut déterminer s’il s’agit d’un grain de beauté bénin ou non.

    Les grains de beauté et le mélanome 

    Dermatologue qui analyse les grains de beauté d'une patiente

     

    Un mélanome est une tumeur maligne. Son apparence initiale est très similaire à celle d’un grain de beauté. C’est un type de cancer qui peut survenir à tout âge. S’il est détecté à temps, il peut totalement être traité et soigné. Toutefois, nombreuses sont les fois où un mélanome réapparaît.

    Les personnes à la peau claire présentent plus de risques de souffrir d’un mélanome. Une exposition prolongée au soleil ou à une lampe à rayons ultraviolets sans protection constituent aussi des facteurs de risques. Seulement 10 % des cas sont la conséquence d’un facteur génétique. Les personnes avec un antécédent familial de mélanome ont un plus grand risque de développer un mélanome.

    Se protéger du soleil ainsi que des rayons ultraviolets des lampes sont les mesures de prévention les plus appropriées. Voici d’autres conseils :

    • utiliser une casquette ou un chapeau si le soleil est très agressif
    • appliquer de la crème solaire quotidiennement

    Le diagnostic

    Tout d’abord, le dermatologue examine la peau minutieusement : il observe les grains de beauté et les zones voisines. Il examine également d’autres zones du corps, afin de trouver d’éventuels signaux d’alerte indiquant la présence d’un mélanome.

    Si le dermatologue trouve un grain de beauté suspect, une biopsie de la peau est généralement prescrite. Lorsque cela est possible, le grain de beauté suspect est complètement retiré lors de la biopsie. La zone extirpée sera analysée sous microscope dans un laboratoire, afin de déterminer la présence de cellules cancéreuses ou non.

    Les résultats de la biopsie doivent inclure le niveau de profondeur de la lésion précancéreuse. Ce niveau s’exprime en millimètres. Cette information est décisive : elle oriente le traitement et permet d’établir un pronostic.

    Certains types de mélanome se propagent très rapidement. Dans ces cas-là, il est également nécessaire de réaliser une biopsie des ganglions lymphatiques qui se trouvent près de la lésion. Des examens radiologiques du cerveau, du coup, du thorax, de l’abdomen, du bassin et des os peuvent également être prescrits.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les boissons gazeuses sucrées endommagent votre corps

    et nous vous montrons comment

     

     

     

     

     

     

    Une consommation excessive de boissons rafraîchissantes peut affecter les reins, la dentition et même causer des problèmes cardiaques. 

    Les boissons gazeuses sucrées endommagent votre corps et nous vous montrons comment

    Une consommation excessive de boissons rafraîchissantes génère des difficultés dans l’organisme. Ces produits sont fabriqués à partir de substances chimiques et de colorants qui mettent en danger la santé des organes. Cela se manifeste  par des effets indésirables dans le corps.

    Dans cet article, vous découvrirez les effets les plus indésirables des boissons rafraîchissantes dans certains organes spécifiques.

    Les boissons rafraîchissantes et le foie

    Canettes de sodas

     

    La cirrhose est liée à une consommation excessive de boissons rafraîchissantes de couleur sombre.

    Des spécialistes de la santé signalent que 600 millilitres de sodas par jour accélèrent le processus de cette pathologie.

    Très certainement, vous serez convaincu d’arrêter de consommer ces boissons que lorsque vous saurez comment elles endommagent votre corps. Si vous consommez un litre de soda par jour, la probabilité qu’une quantité raisonnable de graisse s’accumule dans le foie s’élève à 5 fois.

    Les boissons rafraîchissantes et les reins 

    La forte teneur en acide phosphorique de ce type de boissons participe à la production de calculs rénaux. Selon des analyses réalisées par des experts, les personnes qui ne consomment pas de boissons rafraîchissantes ont un moins grand risque de souffrir d’une lithiase.

    Les spécialistes signalent que la consommation quotidienne de sucre ne doit pas dépasser trois cuillères. Une bouteille de soda ainsi qu’une canette contiennent environ sept cuillères de sucre, sans oublier la quantité d’additifs et de conservateurs.

    Ces produits sont fabriqués à partir de sucre raffinés, lesquels manquent de nutriments. Une fois dans l’organisme, le sucre aura besoin de vitamines du groupe B pour pouvoir être utilisé. Cette vitamine sera absorbée du corps, fait à l’origine d’effets indésirables tels que la fatigue et une mauvaise digestion.

    Les boissons rafraîchissantes et le surpoids

    Une boisson gazeuse contenant 500 millilitres suffit à apporter un dixième des calories dont nous avons besoin par jour. Les experts signalent que la consommation d’une canette de soda augmente de 1,6 de fois le risque de souffrir d’obésité.

    Les effets négatifs sur la dentition

    Zoom sur la dentition d'une femme

     

    L’émail tombe peu à peu et les dents prennent une coloration jaunâtre à cause du sucre et des colorants. Souvenez.vous qu’une carie est due à la déminéralisation de la dent occasionnée par la consommation de produits acides, lesquels proviennent de la fermentation des restes alimentaires.

    De plus, nous savons que le pH des boissons rafraîchissantes est de 2,4 en moyenne, ce qui accélère le processus de déminéralisation des tissus durs de la dent.

    Les boissons rafraîchissantes et les os

    En raison d’une consommation excessive de ces boissons, le corps cesse d’absorber le calcium et les os perdent une grande densité. Les enfants sont les plus vulnérables et souffrent également des conséquences.

    Pour les médecins, le risque de souffrir d’ostéoporose dépend de la quantité de masse osseuse que nous parvenons à accumuler au cours des premières années de vie. Le fait suivant est pris pour acquis : une moindre absorption de calcium, conséquence d’une consommation excessive de boissons rafraîchissantes, est en lien étroit avec l’augmentation des fractures chez les enfants et les adolescents.

    Des études indiquent qu’une consommation excessive de sucres raffinés et de caféine favorisent, en grande partie, la perte de calcium lorsque cette substance est en dessous de la normale.

    Les problèmes cardiaques

    Coeur rouge

     

    Des enquêtes montrent que les personnes qui consomment un litre ou plus de boissons rafraîchissantes par jour ont 50 % de probabilités de souffrir d’un syndrome métabolique, lequel, au fur et à mesure que le temps passe, provoque des maladies cardiaques et même du diabète.

    Le contenu des boissons rafraîchissantes

    Ces boissons contiennent de nombreux additifs, d’où leur couleur attrayante. Cela provoque des modifications dans l’organisme, modifications à l’origine d’allergies ou de l’hyperactivité chez les plus petits du foyer.

    • Le colorant caramel. Cette couleur attrayante est utilisée pour les boissons sucrées de couleur caramel. Ce ton s’obtient grâce au mélange du sucre avec des nitrates et des sulfites soumis à haute pression. La consommation de ces substances provoque des modifications au niveau du sang et le cancer chez les animaux de laboratoire.
    • L’acide carminique, E120. Cet acide est à l’origine de la diminution de la croissance des animaux de laboratoire.
    • Le colorant jaune 5, tartrazine ou E102. Il provoque de l’asthme, le nez qui coule et l’urticaire s’il est mélangé avec des analgésiques tels que l’aspirine.

    Il ne s’agit pas d’interdire la consommation de ces boissons sucrées, mais de diminuer sa consommation quotidienne, en prenant en compte les effets négatifs sur le corps et les organes vitaux.

    Les composants chimiques de ces boissons contribuent à accélérer différentes pathologies, comme par exemple le diabète, entre autres.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 9 conseils naturels et simples pour améliorer l’hypothyroïdie

     

     

     

     

     

     

    En cas de souffrir d'hypothyroïdie, l'exercice est également très important, car de cette façon, en plus d'accélérer le métabolisme, il favorise la combustion des graisses et augmente la vitalité.

    9 conseils naturels et simples pour améliorer l’hypothyroïdie

    L’hypothyroïdie est une pathologie caractérisée par une diminution de la fonction de la glande thyroïde.

     Par conséquent, une diminution de la sécrétion des hormones thyroïdiennes provoque des symptômes tels qu’une diminution du métabolisme basal, une prise de poids, de la fatigue, une hypersensibilité au froid, la constipation, l’anémie, etc.

    Découvrez dans cet article plusieurs conseils naturels simples qui peuvent vous aider à améliorer les symptômes les plus courants de l’hypothyroïdie.

    L’hypothyroïdie peut-elle se soigner ?

    L’hypothyroïdie est une pathologie qui, en principe, ne peut pas être guérie. Cependant, une fois diagnostiquée, elle peut être contrôlée dans une large mesure avec un traitement approprié.

    Malgré les différents traitements, de nombreuses personnes continuent de souffrir des symptômes de cette maladie, de sorte qu’elles ne peuvent recourir qu’à des remèdes naturels.

    Ces solutions alternatives sont également très efficaces lorsque nous commençons à souffrir des premiers symptômes de l’hypothyroïdie mais que nous n’avons pas commencé de traitement, car nous pourrions l’empêcher de s’aggraver.

    Conseils pour réduire les symptômes

    1. Les smoothies verts

    les smoothies verts pour traiter l'hypothyroïdie

     

    Les smoothies verts sont une façon délicieuse, facile et saine de consommer une bonne quantité de fruits et de légumes tous les jours, même pour les personnes qui ont du mal à manger des légumes.

    Tous les smoothies verts, que nous pouvons préparer avec une variété d’ingrédients frais et de saison, fournissent de nombreux nutriments, améliorent le fonctionnement du corps et éliminent les toxines, ce qui est très bénéfique pour prévenir toutes sortes de symptômes.

    En outre, ces smoothies aident à maintenir un poids équilibré, combattent la constipation, augmentent les niveaux d’énergie et améliorent l’humeur.

    2. Les épices stimulantes

    Certaines épices aromatiques et culinaires ont des propriétés curatives médicinales préconisées pour de nombreuses maladies, bien qu’elles soient mieux connues pour leur capacité à améliorer la saveur des aliments.

    Dans le cas d’hypothyroïdie fonctionnelle, nous recommandons ces trois épices dans nos repas et infusions :

    • Poivre de Cayenne
    • Gingembre
    • Cannelle de Ceylan

    Nous pouvons les ajouter à la fois aux recettes salées et aux desserts sucrés, à nos smoothies ou aux jus de fruits.

    3. Il est essentiel de faire de l’exercice physique

    l'exercice physique pour améliorer l'hypothyroïdie

     

    Faire de l’exercice est une recommandation valable pour tout le monde. Cependant, les personnes qui souffrent d’hypothyroïdie peuvent constater une grande amélioration de leur état avec le sport, car de cette façon elles accélèrent le métabolisme qui est habituellement faible et préviennent le surpoids.

    Activer le métabolisme permet non seulement de brûler plus de calories, mais aussi d’augmenter la vitalité et de combattre l’hypersensibilité au froid.

    4. L’huile de noix de coco

    L’huile de coco extra vierge est un aliment de plus en plus populaire parmi ceux qui recherchent des super-aliments pour enrichir leur régime alimentaire.

    Cette huile végétale a pour vertu de stimuler la production d’hormones thyroïdiennes, d’accélérer le métabolisme et de lutter contre le surpoids, en dépit d’être une graisse.

    Nous pouvons prendre deux cuillères à soupe par jour d’huile de noix de coco, une à jeun et une autre le soir, bien que nous puissions commencer avec une plus petite quantité et l’augmenter si nous nous sentons bien.

    5. Massage de la thyroïde

    massage de la thyroïde pour améliorer l'hypothyroïdie

     

    Nous ne devrions pas sous-estimer le simple exercice de masser la région du cou où se trouve la thyroïde avec un peu d’huile de coco. Nous réaliserons un doux massage quelques minutes chaque jour.

    Tout auto-massage a des propriétés bénéfiques pour la santé tant qu’il n’est pas inconfortable ni douloureux.

    6. Les acides gras essentiels

    L’un des symptômes de l’hypothyroïdie est la peau sèche. Pour améliorer cet état de la peau, nous devons lui fournir les nutriments nécessaires pour la nourrir et la garder lumineuse, mais aussi pour prévenir les rides prématurées.

    Nous pouvons consommer les aliments suivants tous les jours :

    • Graines de lin
    • Graines de chia
    • Huile de Krill
    • Avocat
    • Ghee ou beurre clarifié
    • Poisson bleu

    7. Les graines de chia

    les graines de chia contre la constipation

     

    Les graines de chia dont nous avons parlé dans la section précédente peuvent aussi être très efficaces en cas de constipation.

    • Pour les consommer il faut les tremper pendant plusieurs heures (toute la nuit, par exemple) et les prendre ensuite avec l’eau.
    • Nous pouvons également les mélanger avec des jus ou des smoothies.

    8. Apprenez à chanter

    Il n’est pas nécessaire d’avoir un grand talent pour chanter en privé chez nous.

    Cependant, cette habitude peut être très utile pour réguler la thyroïde, puisque la vibration a lieu juste dans la zone où se trouve la glande. Même à un niveau énergétique, cela peut être une thérapie très bénéfique pour notre bien-être.

    9. Buvez de l’eau

    boire de l'eau pour améliorer l'hypothyroïdie

     

    L’eau potable est une habitude simple qui améliore le fonctionnement de nos organes, nous aide à activer le métabolisme, à combattre la constipation, à lutter contre la peau sèche et à perdre du poids.

    Pour toutes ces raisons, il est fortement recommandé dans tous les traitements et, surtout, si nous souffrons d’hypothyroïdie.

    L’hypothyroïdie peut entraîner plusieurs problèmes de santé graves. Découvrez comment la traiter avec des aliments qui accélèrent le métabolisme.

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 10 habitudes qui causent des douleurs de dos

     

     

     

     

     

    Les douleurs de dos sont une souffrance qui peut être évitée si nous pratiquons de bonnes habitudes et postures corporelles. L'exercice, la relaxation et les pratiques de méditation peuvent contribuer à leur prévention, leur contrôle et leur dépassement.

    10 habitudes qui causent des douleurs de dos

    Les douleurs de dos ne sont pas toujours causés par les mêmes choses. Même si vous avez des habitudes de vie saines, vous pouvez quand même avoir mal au dos. Lorsque nous avons de mauvaises habitudes ou de mauvaises postures, les maux de dos peuvent devenir plus aigus, nous empêchant parfois de nous déplacer.

    Cet état est connu sous le nom de lombalgie et est très commun dans la société d’aujourd’hui. Il empêche les enfants, les jeunes, les adultes et les personnes âgées de travailler. La douleur peut être légère ou sévère, elle peut disparaître en quelques jours ou semaines. Le repos aide à surmonter cette condition, mais si l’inconfort devient de plus en plus sévère, il est conseillé de consulter un spécialiste.

    10 habitudes à éviter si nous ne voulons souffrir de maux de dos

    Voici certaines des habitudes qui peuvent nous amener à souffrir de maux de dos :

    1. Transport de sacs trop lourds

    sac à main

     

    Qu’il s’agisse de l’épaule ou du dos, le poids cause un déséquilibre : les épaules ont tendance à plier et le corps à se pencher vers l’avant. Il est recommandé que le poids quotidien que nous portons ne dépasse pas 10% de notre poids corporel. Mais nous pouvons le distribuer, le transporter ou en changer la position.

    2. Dormir sur un vieux matelas

    Un matelas doit durer au maximum de 9 à 10 ans afin que nous n’ayons pas de problèmes de sommeil. Une étude à l’Université de l’Oklahoma a révélé que les gens qui changent de matelas tous les 5 ans dorment beaucoup mieux, sans mal de dos.

    3. Porter des talons ou des plates-formes trop hauts

    talons hauts

     

    Lorsque les talons sont trop hauts, le dos devient arqué, il fait pression sur les articulations et force les muscles de notre colonne vertébrale à travailler trop. Il n’est pas conseillé de marcher sur de longues distances avec des chaussures inappropriées.

    4. Surpoids

    L’embonpoint est très destructeur pour la colonne vertébrale et les articulations en général. En forçant sur les genoux, les chevilles soutiennent tout le poids de notre corps, ce qui est très dommageable. Si nous ne perdons pas de poids, les maux de dos et les douleurs apparaîtront bientôt et notre colonne vertébrale en souffrira.

    5. Soulever des objets sur le sol de manière inadéquate

    Pour soulever un objet lourd, nous devons fléchir les genoux, sinon nos vertèbres peuvent endommager un nerf ou un disque. Il est très important d’être prudent lorsque vous soulevez quelque chose de lourd, car cette action peut également générer une douleur intense dans le bas du dos, de la taille jusqu’aux jambes.

    6. Mauvaise posture assise ou en marchant

    mauvaise posture

     

    Une mauvaise posture, des conditions inadéquates dans lesquelles nous sommes assis à un bureau ou à un ordinateur sont les principales causes des maux de dos. Marcher penché, les épaules vers l’avant, est un moyen de se faire mal au dos. Pour cette raison, il est essentiel de pratiquer des exercices pour détendre la colonne vertébrale et renforcer les muscles, ainsi que pour rééduquer la posture.

    7. Vie sédentaire

    Le fait de ne pas faire assez d’exercice a des conséquences pour le dos et le corps en général. La vie sédentaire affaiblit les muscles. De sorte que presque tous les efforts ou les surcharges, peuvent provoquer des contractures. En pratiquant de l’exercice physique, voulez renforcez les muscles et le squelette.

    8. Alimentation inadéquate

    régime inadéquat

     

    Comme nous le savons tous, une mauvaise nutrition entraîne des effets défavorables comme le surpoids, les problèmes de circulation, l’ostéoporose, les niveaux élevés de stress, les problèmes cardiovasculaires. L’excès de poids provoque souvent un mouvement du bassin vers l’avant, créant une tension dans le dos. Par conséquent, une réduction de la masse corporelle de 5% à 10% améliore les douleurs dorsales.

    9. Anxiété et stress

    Si notre corps est stressé, nos muscles seront contractés, particulièrement les muscles du cou et du dos. S’ils ne se détendent pas, cela va donc causer des douleurs. Si on ne traite pas cette douleur correctement, elle pourrait devenir chronique.

    10. Exposer le dos au froid ou aux courants d’air

    séance de kiné

     

    Si nous sommes dans la rue ou si nous travaillons quelque part avec des courants d’air, notre dos ou notre cou peut souffrir de contractures importantes qui causent de la douleur.

    Recommandations

    • Faites de l’exercice physique, parce que lorsque vous ne faites pas assez d’exercice, vos muscles s’affaiblissent.
    • Assurez-vous de ne pas rester assis dans la même position pendant longtemps.
    • Dormez bien, car le repos est essentiel pour que le corps ait une chance de récupérer.
    • Pratiquez des exercices d’étirements et de méditation en insistant sur la respiration. Cela aide à relaxer et à gérer le stress.
    • Surveillez votre poids. Votre alimentation doit être riche en calcium et en vitamine D.
    • Surveillez votre position assise et votre position de marche. Essayez de maintenir un équilibre dans le dos.
    • Dormez dans une position appropriée et avec un oreiller recommandé pour les cervicales.
    • Gérez le stress. Il est essentiel d’éviter les contractures et tous types de douleurs dorsales et cervicales.
    • Faites du yoga ou pratiquez des techniques de méditation. Car elles aident beaucoup à prévenir les maux de dos et à améliorer la qualité de vie.

     

    Image principale avec l’aimable autorisation de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 choses que vous devriez éviter de faire à jeun

     

     

     

     

     

    Bien que beaucoup d'entre nous y soient habitués et que cela puisse sembler inoffensif, le fait de boire du café à jeun, même décaféiné, peut favoriser le reflux gastrique et les brûlures d'estomac.

    7 choses que vous devriez éviter de faire à jeun

    La façon dont nous commençons la journée peut nous aider à maintenir une sensation d’énergie et de vitalité tout au long de la journée.

    Cependant, nous adoptons parfois des habitudes qui, loin de nous offrir des bénéfices, peuvent avoir des effets indésirables, tant sur le plan physique qu’émotionnel.

    Bien que bon nombre de ces pratiques aient fait partie de notre routine ou semblent « inoffensives », elles peuvent, avec le temps, avoir une incidence sur notre bien-être.

    Pour cette raison, aujourd’hui nous voulons consacrer cet article à 7 choses qu’il vaut mieux éviter de faire quand on est à jeun afin de préserver sa santé.

    Découvrez-les !

    1. Prendre des médicaments anti-inflammatoires

    médicaments

     

    Les médicaments tels que l’aspirine, le paracétamol, et en général, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ne doivent pas être pris à jeun. Car ils peuvent causer de graves troubles digestifs.

    Leurs composés peuvent causer un déséquilibre inflammatoire dans la paroi de l’estomac et, dans les cas graves, provoquer des saignements gastriques.

    Recommandations

    • Pour minimiser les effets négatifs des AINS, la consommation de lait est recommandée.
    • Si vous n’en avez pas sous la main, prenez-les avec beaucoup d’eau.

    2. Boire du café

    Certaines personnes ont l’habitude de se « recharger » tôt dans la journée avec une tasse de café, en ignorant ses effets secondaires possibles.

    Bien que nous ne pouvons pas nier qu’il s’agit d’une boisson énergisante, avec de nombreux nutriments et avantages, le prendre à jeun peut être nocif.

    Même dans les présentations décaféinées, il augmente la production d’acide dans l’estomac et peut causer des brûlures et des reflux gastriques.

    Recommandations

    • Si vous ne pouvez pas arrêter de boire du café au réveil le matin, buvez-le avec de la crème ou du lait. La matière grasse de ces ingrédients minimise les effets négatifs de la boisson.
    • Si possible, remplacez-le par une infusion naturelle ou un smoothie.

    3. Boire des boissons alcoolisées

    boire de l'alcool
     

    Boire des boissons alcoolisées à jeun peut être potentiellement nocif pour des organes comme le foie, le cœur et les reins.

    Son absorption à jeun augmente deux fois plus vite l’alcool dans le sang. On peut comparer cela à une prise par voie intraveineuse.

    En outre, l’élimination de ses toxines est plus lente, ce qui entraîne un degré plus élevé d’intoxication éthylique et une gueule de bois sévère.

    Recommandations

    • Si, pour quelque raison que ce soit, vous avez consommé des boissons alcoolisées à jeun, assurez-vous de manger le plus tôt possible, un sandwich qui contienne au moins du beurre.
    • Évitez de combiner l’alcool avec du café ou des boissons gazeuses, car l’effet pourrait être pire.

    4. Mâcher du chewing-gum

    La mastication de chewing-gum produit une substance appelée acide chlorhydrique. Par conséquent, si l’estomac est vide, peut causer des effets secondaires indésirables.

    Cette mauvaise habitude irrite la muqueuse de l’estomac et peut éventuellement entraîner des problèmes graves comme la gastrite.

    Recommandations

    • Si vous avez l’habitude de manger du chewing-gum, choisissez plutôt parmi ses présentations, celles qui contiennent des édulcorants naturels.
    • Évitez les présentations avec du sucre, du cyclamate ou de l’aspartame.
    • Évitez de mâcher du chewing-gum pendant plus de 10 minutes, même si l’estomac est plein.

    5. Pratiquer des sport intenses

    sport intense

     

    Il existe de nombreux mythes sur l’exercice tôt le matin. Certaines personnes disent que l’entraînement à jeun aide à brûler plus de calories.

    Cependant, il est peu probable qu’un estomac vide influence ce fait. Au contraire, cela peut entraîner une réduction de la masse musculaire.

    Il vaut la peine de se rappeler que le corps a besoin de nutriments pour se mettre en route chaque matin. En effet, si vous le forcez à jeun, il va chercher à se maintenir avec les réserves d’énergie existantes.

    Recommandations

    • Remplacez les routines d’exercices intenses par des activités aérobiques à faible impact.
    • Essayez au moins de manger un fruit ou de boire un smoothie avant de faire de l’exercice.
    • Si vous souffrez de maladies digestives, comme la gastrite, mangez bien avant de faire de l’exercice pour éviter les complications.

    6. Boire des jus d’agrumes

    Les jus d’agrumes sont remplis de vitamines, de minéraux et d’autres nutriments essentiels importants. Ils confèrent de nombreux bienfaits à l’organisme.

    Malgré cela, les consommer à jeun n’est pas recommandé. Car ils peuvent irriter la muqueuse gastrique, surtout en cas de gastrite ou de complications digestives.

    Recommandations

    • Si vous voulez prendre un jus d’agrumes à jeun, combinez-le avec une quantité égale d’eau pour éviter ses effets sur l’estomac.
    • Prenez ces jus au petit déjeuner ou en milieu de matinée.

    7. Se disputer

    dispute

     

    Des scientifiques américains ont démontré que la sensation de faim augmente notre irritabilité. Nous sommes donc plus susceptibles d’avoir des disputes avec notre entourage.

    Le cerveau a besoin de sources d’énergie pour se mettre en marche et s’auto-contrôler. Il n’est donc pas recommandé de rester à jeun trop longtemps.

    Recommandations

    • Si vous ne voulez pas ressentir de mauvaise humeur le matin, partagez une infusion ou un verre de boisson saine avec votre partenaire ou les membres de votre famille.
    • Essayez de prendre le petit déjeuner dans l’heure qui suit votre réveil.
    • Cela améliorera sans doute instantanément votre humeur.

    Identifiez-vous certaines des habitudes mentionnées ci-dessus comme les vôtres ? Maintenant que vous connaissez leurs effets négatifs, prenez des mesures pour les corriger avant qu’elles ne vous causent des problèmes.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 400 raisons de prendre du magnésium

     

     

     

     

    Il est difficile d’imaginer l’importance du magnésium pour notre organisme. Et pourtant, ce minéral méconnu intervient dans plus de 400 réactions biochimiques essentielles à la vie !C’est donc 400 raisons de s’y intéresser.En voici quelques exemples :

    • Il est impliqué dans la production d’énergie : Sans magnésium, pas d’énergie !
    • Le magnésium permet d’activer les enzymes, les récepteurs cellulaires, les vitamines,

    On le retrouve dans l’équilibre cellulaire, le rythme cardiaque, la digestion, la régulation de la température corporelle. Le magnésium module aussi toutes les formes de stress. C’est pourquoi il existe un grand nombre de troubles liés à des apports insuffisants en magnésium.

     

    Le déficit en magnésiuLaboratoire Synergiam est la :

    • 1ère cause de fatigue.
    • 1ère cause de douleurs musculaires.
    • 1ère cause d’anxiété.
    • 1ère cause d’infertilité non organique chez la femme (le zinc chez l’homme).
    • 1ère cause de prématurité du nourrisson.
     

    L’alimentation apporte en moyenne 200 mg de magnésium par jour or les besoins journaliers sont évalués à 400 mg. Nous avons donc un déficit chronique important et cela est confirmé par de nombreuses études scientifiques. Les besoins en magnésium dépendent également de l’activité journalière de chaque personne.Ces besoins diminuent en vacances ou au repos et augmentent en période de surmenage, stress au travail, de sport,...Contrairement à des supplémentations ponctuelles, le magnésium doit être apporté tous les jours sous la forme de complément alimentaire.Chacun apprendra très vite à moduler ses apports de magnésium en fonction de ses besoins qui peuvent varier d’une période à l’autre. Pour des raisons de biodisponibilité, la nutrithérapie privilégiera les magnésiums les mieux absorbés par le corps. Les plus adaptés sont le glycérophosphate de magnésium et le citrate de Magnésium.Cependant, le fait d’utiliser un de ces deux magnésiums n’est pas suffisant pour obtenir une efficacité optimale. En effet, pour ne pas être immédiatement rejeté dans les urines, le magnésium doit être impérativement fixé dans les cellules.Le meilleur des fixateurs est un acide aminé naturellement présent dans l’organisme. Cet acide aminé est la taurine. Il est très connu du grand public car il est associé à certaines boissons riches en caféine.En effet, la taurine a la particularité de démultiplier les effets de la caféine. Cela n’en fait pas pour autant un excitant. C’est même l’inverse : la taurine est un calmant cérébral naturel. Présente naturellement dans l’organisme comme neurotransmetteur, on retrouve la taurine dans les laits maternisés pour bébé parce qu’elle aide au développement du cerveau.C’est aussi un puissant fixateur du magnésium :

    • Elle régule l’activité électrique dans les muscles, le coeur et le cerveau.
    • Elle réduit les troubles du rythme cardiaque (palpitation, arythmie,…).
    • Elle accélère l’élimination de l’alcool et du cholestérol oxydé via la vésicule biliaire.

    L’arginine, un autre acide aminé naturellement présent dans notre corps, est aussi un puissant fixateur du magnésium.

     

    Une autre association très intéressante : le magnésium et la vitamine D. Chez les séniors, la vitamine D réduit le risque de décès par maladie cardio-vasculaire. Son action la plus connue : la vitamine D est nécessaire à la robustesse du squelette humain car elle aide d’une part l’intestin à absorber le calcium et d’autre part à fixer le calcium sur l’os. La vitamine D dynamise aussi notre système immunitaire.

     

    Laboratoire Synergia

    Plus la teneur en vitamine D est élevée dans notre organisme (sans évidemment dépasser la zone de toxicité !), plus courte sera, par exemple, une affection rhino-pharyngée, un rhume si vous préférez. Associée à du magnésium, elle booste notre énergie. En effet, le manque d’apport en magnésium affecte les niveaux de vitamine D qui est donc dépendante de taux de magnésium suffisants.Ainsi, il suffira pour atténuer les troubles précédemment mentionnés de rétablir le statut en magnésium par des apports quotidiens adaptés à chacun. La méthode pour atteindre cet objectif est toujours la même : une dose d’attaque de 200 à 400 mg par jour, puis il s’agit de trouver une dose d’entretien pour moduler ses apports en magnésium, tous les jours, en fonction des besoins de chacun.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : synergiashop.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • DIABÈTE : LES 4 BOISSONS DANGEREUSES À ÉVITER

     

     

     

     

     

    Ce ne sera jamais assez répété, les boissons sucrées favorisent la prise de poids et sont dangereuses pour la santé. Florence Foucaut, diététicienne et nutritionniste,  dresse la liste des boissons qui ne veulent pas toujours votre bien.

     

    © Adobe Stock

    Les jus de fruit : 1 verre pendant le repas

    Les consommateurs pensent généralement faire le bon geste en se servant un verre de jus de fruit. Erreur. Certains jus industriels contiennent beaucoup de sucres ajoutés et peuvent donc faire varier la glycémie des personnes diabétiques. Il est conseillé de ne pas dépasser deux verres de jus de fruit par jour, un au petit-déjeuner et un dans l’après-midi. "La consommation de jus de fruit doit être raisonnable. En cas de diabète, mieux vaut boire son verre de jus de fruit au cours du repas", conseille Florence Foucaut. La consommation de produits sucrés de façon isolée est déconseillée.

    Le mieux : Quand c’est possible, il est conseillé de remplacer un jus de fruit par des fruits frais ou des oranges pressées. D’autant que les fibres ralentiront l’absorption du glucose et par conséquent les pics de glycémie. Il est fréquent de penser que le nectar est bon pour la santé. Là aussi, c’est une idée fausse puisqu’il est encore plus sucré que les jus de fruits. Enfin, mieux vaut aussi limiter sa consommation de smoothie en raison de sa forte teneur en sucre.

     

    Les sodas

    La consommation de soda favorise la prise de poids et donc l’apparition du diabète de type 2. Par leur forte teneur en sucres et leur pouvoir à faire grimper rapidement la glycémie, les boissons sucrées sont à éviter pour prévenir le diabète. "Pour les personnes diabétiques, le soda est également à consommer avec modération. Mieux vaut privilégier les boissons light ou zéro qui ne contiennent pas de saccharose", détaille Florence Foucaut. Ces boissons sont quand même à consommer avec parcimonie. De même, les boissons énergisantes sont très sucrées et à éviter également.

     

    L’alcool : Porto et Muscat à éviter

    En raison de sa teneur en sucre de certains vins, l’alcool est déconseillé car il favorise également le surpoids. "C’est surtout le cas pour les alcools liquoreux qui sont ceux qui contiennent le plus de sucre comme le porto et le muscat", met en garde Florence Foucaut.

     

    Les eaux aromatisées

    L’eau aromatisée s’avère être un faux-ami. Pensant boire de l’eau, beaucoup de personnes en boivent en grande quantité. Pourtant, qu’elle soit aromatisée à la fraise, au citron aux agrumes ou encore à la pêche, ces eaux contiennent du sucre. Elles peuvent être bues occasionnellement mais ne doivent en aucun cas se substituer à l’eau minérale.

     

    Boissons sucrées : avec modération

    Même s’il n’est pas le seul responsable, le régime alimentaire est souvent en cause dans l’apparition du diabète de type 2. La sédentarité, des aliments trop sucrés, trop gras, les boissons sucrées, etc favorisent la prise de poids. La surcharge pondérale constitue ensuite un important facteur de risque. Pour éviter l’apparition du diabète de type 2, il est donc conseillé de surveiller son alimentation et de pratiquer une activité physique. Une fois que le diabète s’est installé, il est également impératif de surveiller ses apports en sucre. Pour les personnes malades, c’est surtout aux variations de glycémie qu’il faut faire attention. Les boissons sucrées sont à boire avec modération.

     

    Publié par Johanna Amselem, journaliste santé et validé par Florence Foucaut, diététicienne-nutritionniste 

     

     

     

     

     

     

    Source : medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 10 causes à l’origine de la douleur dans le côté droit de l’abdomen

     

     

     

     

     

     

    10 causes à l’origine de la douleur dans le côté droit de l’abdomen

    Une douleur dans le côté droit de l’abdomen peut survenir pour différentes raisons. Cela peut avoir un lien avec une affection rénale, une affection de l’appendice ou encore une affection du pancréas, mais cette douleur peut également être le symptôme d’un problème osseux au niveau des côtes et des hanches. Il est indispensable que vous vous rendiez chez le médecin pour qu’il vous ausculte et écarte les problèmes importants.

    Cette douleur est l’un des troubles les plus traités de façon urgente, et peut être accompagnée des symptômes suivants :

    • étourdissements
    • nausées
    • vomissements
    • constipation
    • diarrhée
    • inappétence
    • gaz
    • fièvre

    Les causes possibles à l’origine de la douleur dans le côté droit de l’abdomen

    1. Les traumatismes osseux

    Femme ayant mal au ventre

     

    Un traumatisme dans la zone de la cage thoracique et des côtes est l’une des principales causes de la douleur dans le côté droit de l’abdomen. Les coups reçus au niveau des côtes sont très douloureux. De plus, l’ouverture de la cage thoracique dans le processus de respiration ralentit la disparition de la douleur dans cette zone.

    2. La pneumonie

    Plus rare, la pneumonie peut être à l’origine d’une douleur dans le côté droit de l’abdomen. Si c’est le cas, la douleur est aiguë et devient plus forte lorsque vous respirez profondément ou lorsque vous toussez.  Cette pathologie est généralement accompagnée des symptômes suivants : toux, mucus jaune, fièvre, frissons et respiration difficile.

    3. La vésicule

    Femme ayant mal au ventre

     

    Une douleur dans le côté droit de l’abdomen peut être due à des problèmes de vésicule tels que les calculs rénaux. Les patients touchés par cette affection présentent les symptômes suivants : peau qui prend une couleur jaune, fièvre, douleur dans la partie supérieure droite ou au milieu de l’abdomen.

    4. Des gaz

    Les gaz sont une cause fréquente d’une douleur dans la partie droite de l’abdomen, conséquence d’une mauvaise digestion, ou d’une constipation.

    5. L’appendicite

    Homme ayant mal au ventre

     

    L’inflammation de l’appendice est la cause la plus commune à l’origine de la douleur dans la partie inférieure droite de l’abdomen. Elle peut se manifester à tout âge, mais plus fréquemment, l’inflammation se produit entre dix et trente ans.

    Une douleur dans la partie centrale du ventre ou dans la partie supérieure de l’abdomen est généralement le premier symptôme. La douleur se déplace ensuite dans la zone inférieure droite de l’abdomen. Si vous exercez une pression avec votre main sur cette zone, vous sentirez une douleur aiguë.

    En plus de la douleur, vous pouvez observer les symptômes suivants : nausées, vomissements, inappétence, diarrhée. Si c’est le cas, rendez-vous aux urgences.

    6. La pancréatite

    Le pancréas se trouve sous le foie et derrière l’estomac. Les maladies du pancréas telles que le cancer du pancréas et la pancréatite peuvent causer une douleur dans la partie supérieure droite de l’abdomen.

    7. L’hernie abdominale

    Gros plan sur le ventre d'une homme avec la main droite posée sur la partie droite de l'abdomen

     

    Les opérations pour traiter une hernie abdominale sont fréquentes et ont pour but d’éviter une hernie étranglée. Selon sa position, une hernie peut provoquer des douleurs dans le côté droit de l’abdomen, douleurs que vous pouvez sentir en exerçant une légère pression sur la zone affectée. Les nausées et vomissements sont d’autres symptômes qui surviennent fréquemment.

    8. Des problèmes rénaux 

    L’infection de la vessie ou d’une autre partie de l’appareil urinaire peut s’étendre aux reins et provoquer une inflammation et des douleurs. Une infection dans cette zone se caractérise par des douleurs dans la partie inférieure droite de l’abdomen, douleurs qui ensuite peuvent s’étendre au dos.

    9. Le côlon

    Femme avec la main droite posée sur la partie droite de l'abdomen

     

    Le côlon ascendant est situé du côté droit de l’abdomen. C’est la partie finale de l’appareil digestif. Une inflammation de l’intestin, telle qu’une colite, le syndrome du côlon irritable ou encore la maladie de Crohn peut provoquer des douleurs.

    10. Les kystes ovariens

    Les kystes sont des petites structures qui peuvent se trouver à la surface ou à l’intérieur d’un ovaire. S’ils sont grands, ou s’ils se brisent, ils peuvent provoquer des douleurs.

    Le diagnostic

    Pour réaliser un diagnostic et trouver l’origine des douleurs, les médecins évaluent trois éléments :

    • la durée de la douleur
    • les symptômes qui accompagnent la douleur
    • l’origine de la douleur selon le patient

    Le traitement dépendra du facteur à l’origine des douleurs.

    Si la douleur est due à un spasme musculaire,  le repos et la physiothérapie sont la meilleure solution.

    Si la douleur se trouve au niveau des côtes, il est nécessaire de vérifier si cette douleur s’accompagne de toux, de fièvre, d’un manque d’air et de lésions cutanées. Le patient peut appliquer de la chaleur sur la zone affectée. Si la gêne est de faible intensité, dans la majorité des cas, elle disparaîtra.

    Les douleurs dans la partie inférieure droite de l’estomac peuvent être la conséquence d’allergies ou d’une inflammation des intestins.

    Dans le cas d’une infection rénale, des antibiotiques peuvent être prescrits.

    Dans le cas d’une appendicite, une opération chirurgicale est souvent nécessaire.

    Faites en sorte de ne pas ignorer les douleurs que vous ressentez. Face à un quelconque symptôme, rendez-vous chez le médecin, afin qu’il détermine l’origine de vos douleurs et, si besoin est, vous prescrive un traitement à suivre.

    Prendre soin de soi et être en bonne santé relève de sa propre responsabilité !

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 symptômes communs de la rétention de liquides

     

     

     

     

     

     

    Saviez-vous que si vous notez une grande fatigue, une sensation de pesanteur, ainsi que l’inflammation de certaines extrémités, cela pourrait être lié à la rétention de liquides ?

    5 symptômes communs de la rétention de liquides

    La rétention de liquides est l’un des maux qui affectent le plus la population actuelle. Il s’agit d’un trouble métabolique qui se caractérise par l’accumulation anormale de liquides dans les tissus sous la peau ou dans certaines zones du corps.

     

    La rétention de liquides se produit plus fréquemment dans les membres inférieurs, bien qu’elle puisse également affecter les mains, les bras, le visage et l’abdomen.

    Même si elle n’est pas classée comme étant une maladie, elle peut aussi être le signe d’états plus graves tels que des difficultés circulatoires, des obstructions dans le système lymphatique et des déséquilibres hormonaux.

    Bien qu’elle puisse passer parfois inaperçue, elle déclenche presque toujours une série de réactions dans le corps en raison des dérèglements qui se manifestent dans les processus inflammatoires.

    Pour cette raison, et afin d’éviter d’autres complications, il est important de savoir comment la rétention de liquides se manifeste et quelles sont les habitudes qui peuvent nous aider à la contrôler.

    Pour cela, nous allons partager avec vous dans cet article les principaux symptômes de la rétention de liquides et une série de conseils pour la prévenir.

    Les symptômes de la rétention de liquides à ne pas ignorer

    Les cas les plus bénins de rétention de liquides passent souvent inaperçus ou sont confondus avec une légère augmentation du poids corporel.

    Cependant, quand cela commence à se compliquer, une série de symptômes se produisent et peuvent réduire la capacité d’effectuer certaines tâches quotidiennes.

    1. Inflammation des extrémités

    l'inflammation des extrémités et la rétention des liquides

     

    Un gonflement accentué dans les extrémités inférieures et supérieures peut être suffisant pour découvrir un problème de rétention de liquides.

    Ces inflammations sont plus importantes que d’habitude et peuvent présenter des difficultés circulatoires en raison de la pression subie par le système valvulaire due à l’excès d’eau.

    Peuvent apparaître également d’autres zones enflammées telles que :

    • Abdomen
    • Poitrine
    • Visage

    2. Sentiment de pesanteur

    À cause de ce trouble, il est fréquent de ressentir un fort sentiment de pesanteur dans le corps, en particulier lors de l’exécution de certaines activités qui demandent un effort physique.

    L’accumulation anormale de liquides représente un poids supplémentaire pour la masse corporelle, ce qui affecte la santé musculaire, lymphatique et circulatoire.

    3. Cellulite

    la cellulite et la rétention de liquides

     

    Il existe de nombreux facteurs qui influencent l’apparition de la cellulite sur les fesses et les jambes. Cependant, si cet état provient de la rétention de liquides, cela peut devenir plus visible et difficile à traiter.

    Bien que de nombreux soins externes aident à réduire la cellulite, il est essentiel de combattre l’accumulation de liquides afin de pouvoir constater une amélioration.

    4. Fatigue et malaises

    En raison des conséquences que la rétention de liquides provoque sur le système circulatoire, ce problème entraîne de forts épisodes de fatigue physique et des malaises.

    Son manque de contrôle interfère avec le transport de l’oxygène et des nutriments vers les cellules, affectant ainsi les performances physiques et mentales.

    5. Réduction de l’urine

    la réduction de l'urine et la rétention de liquides

     

    Comme les reins ne parviennent pas à traiter les liquides présents dans l’organisme de manière optimale, l’urine diminue et le risque d’infections dans le système urinaire augmente.

    Comment prévenir la rétention de liquides ?

    Il existe de nombreuses habitudes et remèdes qui peuvent aider à prévenir et traiter la rétention de liquides. Bien que de nombreux facteurs influencent son apparition, l’amélioration de notre mode de vie peut réduire considérablement ce risque.

    Limiter la consommation de sel

    La consommation excessive de sel produit des déséquilibres dans l’organisme qui conduisent à l’accumulation d’eau dans les tissus.

    Pour cette raison, il est important de limiter sa consommation, non seulement en évitant le sel de table, mais en réduisant aussi les aliments tels que :

    • Saucisses
    • Nourriture en conserve
    • Fromages affinés
    • Aliments sous vide
    • Boissons gazeuses

    Augmenter la consommation d’eau

    boire plus d'eau pour prévenir la rétention de liquides

     

    Une faible consommation d’eau et de boissons saines est la principale raison de la rétention de liquides. L’eau potable régule la circulation et optimise le travail des reins pour éliminer les déchets du corps.

    Consommer des aliments diurétiques

    Il existe une grande variété d’aliments diurétiques qui peuvent faciliter les processus qui éliminent l’excès de liquides dans le corps.

    Les plus recommandés sont les suivants :

    • Ananas
    • Artichaut
    • Betterave
    • Asperges
    • Pastèque
    • Melon
    • Prêle des champs
    • Gingembre

    Éviter l’utilisation de vêtements serrés

    les vêtements serrés et la rétention de liquides

     

    Des vêtements trop serrés empêchent la bonne circulation sanguine et peuvent influencer l’apparition d’œdèmes, de varices et d’autres difficultés.

    Réaliser de l’exercice physique

    Le mode de vie sédentaire, ou le fait de rester longtemps dans la même position, peut produire des déséquilibres inflammatoires dans le corps, et conduire à des problèmes de circulation et de rétention de liquides.

    L’exercice physique régulier, pendant au moins 20 ou 30 minutes par jour, active la circulation, améliore le processus d’oxygénation cellulaire et favorise les processus qui aident à garder le corps propre et équilibré.

    Avez-vous des symptômes de rétention de liquides ? Dans ce cas, commencez à changer vos habitudes quotidiennes et prenez les mesures nécessaires pour la contrôler.

    Si le problème persiste ou s’aggrave, il est conseillé de consultez un médecin.

    La rétention d’eau peut apparaître comme une conséquence de l’accumulation de sel dans notre organisme. Evitez également l’alcool et les graisses saturées.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Fourmillements dans les articulations :

    causes et traitement naturel

     

     

     

     

     

     

    La sensation de fourmillement est fréquente et habituellement temporaire, en raison de plusieurs facteurs. Cependant, cela peut empirer si les picotements sont chroniques. Dans cet article, nous vous montrons les causes et des suggestions pour prévenir les affections articulaires.

    Fourmillements dans les articulations : causes et traitement naturel

    Les fourmillements dans les articulations peuvent être des symptômes inquiétants. Il est assez courant de se réveiller avec cette sensation, ou bien d’en souffrir de manière continue.

    Lorsque les fourmillements ne sont pas causés par des engourdissements dus à une mauvaise posture, des raisons très diverses peuvent en être la cause.

    Que sont les articulations ?

    Une articulation est une zone où se rejoignent les extrémités de deux os, ou bien d’un os et d’un cartilage. Grâce aux articulations, le corps peut bouger ; elles permettent ainsi aux jambes, aux bras et au dos de fléchir et de tourner.

    Entre les os qui forment l’articulation se trouve un tissu élastique et flexible : le cartilage articulaire. Il empêche le frottement entre les os en agissant comme système amortisseur.

    L’articulation est entourée d’une capsule articulaire qui protège tout le système. Des ligaments renforcent cette capsule et empêchent les articulations de s’endommager facilement.

    Pourquoi des fourmillements apparaissent-ils dans les articulations ?

    douleur articulaire

     

    Les articulations peuvent être affectées par différentes troubles. L’un des premiers symptômes qui apparaît est le fourmillement dans les mains, les pieds, les bras et les jambes.

    Il y a des moments où ce symptôme est éphémère et disparaît sans cause apparente. Dans ces cas, l’organisme a sûrement été capable de réagir seul et de résister à la cause qui lui a fait du mal.

    Cependant, lorsque les fourmillements dans les articulations devient chronique et que la personne en souffre depuis longtemps, on doit les traiter par une intervention médicale.

    Maladies qui causent des fourmillements articulaires

    Les plus fréquentes sont :

    1. Polyarthrite rhumatoïde

    ostéoarthrite

     

    • C’est une inflammation de l’articulation qui peut apparaître dans différentes zones : les doigts, les bras et les genoux sont généralement les plus touchés.
    • Elle commence généralement entre 30 et 60 ans et est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes. Il n’ y a pas de différences ethniques ni de régions du monde dans lesquelles elle soit plus fréquente.
    • Les personnes qui en souffrent sont limitées dans leur capacité de mouvement. Après une période de fourmillements , des douleurs plus intenses peuvent apparaître.
    • Cette affection apparaît lorsque des cristaux de calcium s’accumulent dans l’articulation. Alors les fourmillements commencent, le cartilage s’affaiblit et s’use, et les douleurs augmentent.
    • Elle endommage principalement les poignets, les genoux et les doigts, mais elle peut aussi affecter d’autres articulations. Cette maladie est associée à l’arthrose et aux troubles thyroïdiens. C’est une affection gênante, mais elle ne détruit pas les articulations.

    2. Ostéomyélite

    C’est une maladie osseuse causée par des bactéries ou des champignons. Les germes atteignent les os par la circulation sanguine et s’ils pénètrent dans l’articulation, ils causent des lésions.

    Le symptôme initial est un fourmillement , mais ensuite la douleur augmente. L’utilisation d’antibiotiques est très efficace contre cette maladie. Elle touche à la fois les enfants et les adultes.

    3. Lupus

    • C’est une maladie auto-immune. Le système immunitaire, au lieu de jouer son rôle dans la défense de l’organisme, attaque les tissus sains. Il peut endommager différentes parties du corps.
    • Les fourmillements dans les articulations sont l’un des symptômes qui signifie que le lupus a affecté les os ou le cartilage.
    • Il n’existe pas de remède définitif au lupus, mais on peut le contrôler.

    Suggestions pour prévenir les affections articulaire

    santé des articulations

     

    Les habitudes alimentaires sont importantes. Certains aliments fournissent des nutriments qui aident à prévenir les douleurs articulaires et les maladies qui les causent.

    • Oméga 3. Il est extrêmement efficace car il réduit l’inflammation et ralentit l’usure du cartilage articulaire. Les poissons gras et les graines de lin sont riches en oméga-3. On peut également en prendre en capsules comme complément alimentaire.
    • Céleri. Il a des propriétés diurétiques et agit comme antioxydant. On le conseille pour les traitements de désintoxication et de reminéralisation de l’organisme. Il ne devrait pas manquer dans votre alimentation, que ce soit dans des salades, des jus ou des infusions.
      OrtieSes propriétés dépuratives apaisent les symptômes de l’arthrite. On peut la consommer comme un aliment ou préparée dans un mélange de feuilles macérées dans d’alcool. Ensuite on en frotte sur la zone affectée.
      Gingembre. C’est un puissant anti-inflammatoire et analgésique. On peut le consommer en infusion ou le râper avec d’autres aliments.

    Une alimentation saine aide toujours à prévenir les maladies.Cependant, il est important de noter que seuls les médecins peuvent diagnostiquer les causes des fourmillements articulaires. Il est donc conseillé de consulter rapidement si ce symptôme persiste.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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