• Qu’est-ce que la maladie de Crohn ?

     

     

     

     

     

    Qu’est-ce que la maladie de Crohn ?

    La maladie de Crohn est une pathologie inflammatoire intestinale chronique qui affecte le système gastro-intestinal et qui se manifeste de manière intermittente tout au long de la vie de l’individu.

    La maladie de Crohn est une pathologie qui consiste en une inflammation chronique de la paroi du système digestif, à plusieurs endroits mais généralement au niveau de l’intestin. Ceci provoque des symptômes comme des diarrhées, des douleurs abdominales, de la fièvre, etc.

    La maladie inflammatoire intestinale

    La maladie inflammatoire intestinale (MII) se caractérise par l’inflammation chronique de la paroi intestinale d’étiologie non spécifique et qui présente des récidives. Au sein de la MII, nous trouvons deux grandes pathologies, la colite ulcéreuse et la maladie de Crohn.

    maladie de crohn
    Tandis que la colite ulcéreuse n’affecte que la muqueuse de la paroi du colon, la maladie de Crohn affecte toute l’épaisseur de la paroi intestinale et tous les segments intestinaux, bien qu’elle le fasse habituellement de manière segmentée et asymétrique.

    Nous ne connaissons pas avec certitude l’étiologie de la maladie, et la théorie la plus acceptée jusqu’à aujourd’hui est la multifactorielle, c’est-à-dire que la maladie de Crohn serait la conséquence de facteurs génétiques, environnementaux, microbiologiques et immunologiques.

    Les symptômes de la maladie de Crohn

    • Diarrhée, normalement sanguinolente
    • Douleur abdominale
    • Masse abdominale
    • Perte de poids
    • Fatigue
    • Ténesme fécal
    • Fièvre

    La maladie de Crohn peut amener à des complications du type :

    • Abcès
    • Fistules
    • Obstruction intestinale
    • Sténose
    • Maladie péri-anale
    • Mégacôlon toxique

    De plus, la maladie de Crohn est liée à une plus grande prédisposition à souffrir du cancer du côlon, même si les études n’ont pas été concluantes face à l’ignorance de l’étiologie de la maladie.

    Les manifestations extra-intestinales

    Liées au degré d’activité :

    • Artériopathie périphérique
    • Erythème noueux
    • Episclérite
    • Stomatite aphteuse
    • Foie gras
    artériosclérose

    Indépendamment du degré d’activité :

    • Pyodermie gangréneuse
    • Psoriasis
    • Spondylite anquilosante
    • Uvéite et sacro-iléite

    Diagnostique de la maladie de Crohn

    Le diagnostique de la maladie inflammatoire intestinale se réalise par des informations cliniques, de laboratoire et histologiques, et par les examens endoscopiques et radiologiques mais il n’existe aucun examen spécifique pour détecter la maladie.

    Il est nécessaire de toujours écarter l’entéropathie céliaque et les infections intestinales car ces deux pathologies peuvent enflammer la muqueuse.

    Le manque d’examen efficace pour la détection de la maladie inflammatoire intestinale donne lieu à un important retard dans le diagnostique.

    Endoscopie

    L’endoscopie est utilisée pour le diagnostique initial et différentiel, afin de déterminer le degré d’extension et de sévérité des lésions, ainsi que la présence ou non de néoplasies, afin de valoriser la réponse au traitement, et comme méthode thérapeutique dans certains cas.

    endoscopie

    L’iléo-colonoscopie est l’examen que l’on choisit pour l’évaluation initiale de la maladie de Crohn.

    Radiologie

    Nous réalisons plusieurs études radiologiques, parmi lesquelles nous trouvons les études de cas, les échographies, le TAC et la résonance magnétique. Les études radiologiques nous aident à détecter les œdème, les ulcères, la sténose, les fistules et les affections extra intestinales.

    Histologie

    La biopsie dans la maladie de Crohn est un examen très important pour le diagnostique différentiel avec d’autres pathologies possibles. Les principales caractéristiques anatomo6pathologiques de la maladie de Crohn sont :

    • Affectation discontinue de la paroi
    • Présence de granulomes
    • Présence de lymphocytes et de cellules plasmatiques
    • Irrégularité des cryptes intestinales

    Examen de laboratoire

    On réalisera l’examen de la calprotectine qui déterminera s’il y a ou non une inflammation intestinale selon la présence ou non de cette protéine dans les selles.

    De plus, on réalisera un examen général pour évaluer l’état du patient.

    Classification de la maladie de Crohn

    On distingue les patients selon l’âge de la première apparition, selon la localisation de la pathologie et selon le type de modèle de la maladie, d’après la classification de Montréal.

    • Age :
    • A1 : Moins de 16 ans.
    • A2 : De 16 à 40 ans.
    • A3 : A partir de 40 ans.

    L’indice d’activité d’Harvey permet de connaître l’état de la maladie de Crohn selon des critères cliniques.

    • Localisation :
    • L1 : Iléon
    • L2 : Côlon
    • L3 : Iléon et côlon
    • + L4 : Si le tube digestif supérieur est touché.

     

    • Type d’affectation :
    • B1 : Type inflammatoire
    • B2 : Type sténosant
    • B3 : Type fistuleux
    • + P : s’il y a des symptômes péri-anaux

    Indice d’activité de la maladie de Crohn

    L’indice d’activité d’Harvey permet de connaître l’état de la maladie de Crohn selon des critères cliniques.

    On évalue le bien-être général du patient, les douleurs abdominales, le nombres de dépositions liquides par jour, c’est-à-dire, le nombre de diarrhées et la présence de masses abdominales et de complications.

    La ponctuation totale de l’indice peut nous indiquer si la maladie est en rémission, modérément active ou très active, ce qui établira la gravité et le traitement de la maladie de Crohn.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 troubles digestifs qui peuvent influencer la perte de poids

     

     

     

     

     

    Saviez-vous que la constipation peut être l'une des causes des ballonnements et de la difficulté à perdre du poids ? L'excès de déchets affecte le fonctionnement de notre métabolisme.

    5 troubles digestifs qui peuvent influencer la perte de poids

    Le surpoids est un trouble qui est provoqué par l’accumulation de graisses et de toxines dans le corps, ce qui élève le poids corporel au-dessus de ce qui est considéré comme sain.

    Sa principale cause est la consommation excessive de calories dans l’alimentation, bien qu’elles son également influencées par les modes de vie sédentaire, les changements hormonaux et les difficultés métaboliques.

    En fait, certains patients souffrent de cette maladie en raison du mauvais travail de leur système digestif, étant donné que leurs fonctions sont décisives pour bien décomposer les graisses et absorber les nutriments.

    Pour cette raison, bien qu’il soit toujours essentiel de revoir notre régime alimentaire, certains troubles gastriques devraient être considérés comme responsables.

    À ce titre, nous voulons partager avec vous dans cet article les 5 principaux troubles gastriques pour que vous puissiez les identifiez et preniez des mesures à cet égard.

    Découvrez-les tous !

    1. Le reflux gastro-œsophagien

    Le reflux gastro-œsophagien peut provoquer la prise de poids

    Le reflux gastro-œsophagien est un trouble digestif qui provoque une sensation de brûlure inconfortable dans la poitrine, puisque les sucs acides retournent vers l’œsophage en raison de l’affaiblissement des valvules qui les maintiennent dans l’estomac.

    Sa relation avec l’augmentation du poids corporel provient de l’anxiété provoquée par la nourriture, puisque certains aliments calment temporairement les symptômes.

    Bien que, la nourriture consommée en petites portions ne soit pas un problème, une fois digérée, les symptômes persistent et le désir de continuer à manger réapparaît.

    Recommandations

    • Contrôlez les symptômes du reflux avec des infusions naturelles ou des remèdes maison faibles en calories.
    • Évitez de consommer des aliments gras ou irritants, car, loin d’atténuer le problème, ils aggravent cet état.

    2. Les ulcères

    Les ulcères, ces lésions qui surviennent habituellement dans la muqueuse de l’estomac ou de l’intestin grêle, sont la conséquence la plus fréquente de la production excessive d’acide.

    Comme le trouble précédent, ils peuvent influencer le gain de poids car ils conduisent à des épisodes d’anxiété alimentaire.

    L’ulcère se manifeste par un gonflement abdominal et une nausée constante, qui diminue habituellement après avoir mangé certains aliments.

    Pour cette raison, les patients ont tendance à consommer plus de calories qu’ils ne le devraient et, comme ils ne contrôlent pas rapidement cet état, ils souffrent d’une augmentation significative de poids.

    Recommandations

    • Évitez l’utilisation de médicaments anti-inflammatoires, d’analgésiques et d’antibiotiques pendant le traitement des ulcères.
    • Excluez les produits laitiers, épicés et autres aliments irritants de votre alimentation.
    • Consommez des remèdes maison aux propriétés alcalines, comme le bicarbonate ou le gel d’aloe vera.
    • Augmentez la consommation d’eau et d’infusions digestives.

    3. La constipation

    La constipation peut provoquer la prise de poids

    La constipation est l’un des problèmes digestifs qui influence le plus le surpoids car, en accumulant des déchets dans l’intestin, elle affecte le fonctionnement du métabolisme et entrave les processus qui transforme les nutriments en sources d’énergie.

    La rétention des toxines dans le côlon provoque une inflammation du ventre et déclenche une sensation de lourdeur qui peut vous faire penser que d’autres habitudes pour perdre du poids ne fonctionnent pas.

    Néanmoins, ce n’est pas que le corps absorbe plus de calories, mais qu’à cause de l’excès de déchets, il est difficile de voir les résultats lorsque l’on veut perdre du poids.

    Recommandations

    • Augmentez votre consommation de fibres alimentaires. Pour cela, n’hésitez pas à incorporer des légumes frais, des fruits et des céréales entières dans votre alimentation.
    • Consommez entre 6 ou 8 verres d’eau par jour.
    • Faites de l’exercice régulièrement, au moins 30 minutes par jour.
    • Préparez des laxatifs naturels, en infusion ou liquéfiés.

    4. L’altération de la flore bactérienne

    Les altérations de la flore bactérienne de l’intestin sont un autre facteur influent lorsqu’il s’agit de prendre du poids.

    Celles-ci interfèrent dans le rythme du métabolisme et, en même temps, génèrent des difficultés pour absorber et utiliser correctement les nutriments qui proviennent de la nourriture.

    Ces déséquilibres se produisent parce que les micro-organismes se développent de manière excessive, ou parce leur présence dans le côlon diminue.

    Par conséquent, des problèmes tels que la constipation se développe et, en outre, la tendance à consommer et à accumuler des graisses augmente.

    Recommandations

    • Évitez la consommation excessive d’aliments qui modifient le pH de l’intestin (graisses, farines raffinées, sucres, etc.)
    • Augmentez la consommation d’aliments probiotiques tels que le yaourt naturel ou les choux fermentés.
    • Buvez entre 1,5 et 2 litres d’eau chaque jour.

    5. Le syndrome du côlon irritable

    Le syndrome du côlon irritable peut provoquer la prise de poids

    Le syndrome du côlon irritable est une affection gastro-intestinale qui, en raison de la pratique de mauvaises habitudes alimentaires, a considérablement augmenté ces dernières années.

    Son apparition s’accompagne d’autres difficultés dans le système digestif, qui comprennent des déséquilibres inflammatoires et des altérations de la flore microbienne.

    Il peut provoquer la constipation, un gonflement abdominal et des difficultés dans la digestion de certains aliments.

    Ainsi, dans le cas d’ignorer leurs symptômes et de ne pas adopter de traitement, les patients affectés peuvent prendre du poids et se sentir malades de façon récurrente.

    Recommandations

    • Consultez votre médecin en cas de doute de souffrir cet état.
    • Incorporez des aliments probiotiques et des sources d’enzymes digestives dans votre alimentation.
    • Évitez tous les types d’aliments et de boissons inflammatoires au maximum.

    Identifiez-vous l’un de ces troubles ? Si vous avez des symptômes de problèmes digestifs, ou si vous pensez que vous ne perdez pas de poids à cause de ces types de maladies, suivez les recommandations données et consultez votre médecin pour obtenir un diagnostic plus précis.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 MALADIES QUE VOUS POUVEZ AVOIR SANS LE SAVOIR

     

     

     

     

     

     

    Ostéoporose, diabète, insuffisance rénale, hémochromatose... Certaines maladies évoluent silencieusement... et ne sont découvertes qu'à des stades avancés, graves, voire parfois sans guérison possible. Pour certaines, ce sont des milliers de malades qui s'ignorent. Voici leur liste et comment savoir si on en est atteint.

     

    L'ostéoporose : le voleur d'os silencieux

    150 000 fractures liées à l'ostéoporose sont causées chaque année en Fance. Selon l'Association française antirhumatismale, c'est une pathologie "inapparente jusqu'à l'apparition de la fracture". Surnommée "le voleur d'os silencieux", elle touche 40% des femmes de 50 ans et 14% des hommes. 
    Qu'est-ce que cette maladie ? Cette maladie cause une disparition de la masse osseuse et une altération de la qualité des os conduisant à une fragilité à risque de fracture, douleurs et tassements osseux. Les principales causes sont : l'avancée de l'âge, la maigreur, le tabagisme, l'acloolisme et certains médicaments nocifs pour les os... 
    Comment savoir si on est atteint ? L'examen préconisé par les associations dans le cadre des campagnes de prévention est l'ostéodensitométrie qui permet de déceler une diminution de la densité minérale osseuse. 
    A savoir : si on présente plusieurs facteurs de risques (fracture, pré-ménopause, maigreur...) elle peut être remboursée par la Sécurité Sociale.
     
     

    Diabète : 700 000 personnes ne le savent pas

    Plus de 4 millions de personnes sont atteintes de diabète en France, dont 700 000 s'ignorent, énonce la Fédération française des diabétiques. Le problème avec cette maladie c'est que les symptômes et complications apparaissent une fois qu'elle est avancée. Une responsabilité portée en grand partie aux manques d'informations de la population sur le sujet. 
    Qu'est-ce que cette maladie ? Le diabète est une pathologie qui altère le système de régulation du taux de stockage des sucres apportées par l'alimentation. Cela entraîne un taux de glucose trop élevé dans le sang qui cause des complications graves comme : la perte de la vue, des problèmes de pieds pouvant aller jusqu'à l'amputation, des infarctus ou encore des AVC
    Comment savoir si on est atteint ? Grâce à des analyses sanguines faites en laboratoires qui permettent d'évaluer si votre taux de glycémie est au-dessus de la moyenne c'est-à-dire supérieur ou égal à 1,26g/l à deux reprises ou égale ou supérieure à 2 g/l à n’importe quel moment de la journée, explique la Fédération française des diabétiques. A l'issu de cet examen, il sera déterminé si on est atteint d'un diabète de type 1 ou diabète de type 2 ( le plus fréquent).
     
     

    Excès de choléstérol : pas de symptôme probant

    Infarctus du myocarde, AVC, artérite des membres inférieurs... La gravité des complications de l'hypercholestérolémie a de quoi faire paniquer. Heureusement il existe des traitements pour prévenir les risques d'accumulation de plaques de graisses dans les organes. Mais encore faut-il savoir qu'on est touché car c'est une maladie qui n'a aucun symptôme d'alerte. 
    Qu'est-ce que cette maladie ? Le cholestérol est une lipoprotéine dont le corps a besoin. Il en existe deux types : le HDL dit "bon cholestérol" qui aide les organes à fonctionner notamment le foie et le LDL dit "mauvais cholestérol" (HDL) qui augmente la stagnation de graisses dans les organes et surtout dans les artères, notamment celles du coeur. Lorsqu'on a un excès de HDL on parle alors d' hypercholestérolémie
    Comment savoir si on est atteint ? "Il est important de contrôler régulièrement ses taux de cholestérol en effectuant un bilan lipidique", conseille la Fédération française de cardiologie. C'est un bilan sanguin qui peut être remboursé par la Sécurité sociale si prescrit par votre médecin.
     
     

    Hypertension : 4 millions de personnes ne sont pas dépistées

    L'hypertension fait partie des principales causes d'accidents cardiaques ! Même si, selon la Fédération française de cardiologie, on peut compter quelques motifs d'alerte comme les maux de tête, des difficultés de concentration, des vertiges... ils sont facilement assimilés à d'autres maladies. Selon la Fédération française de cardiologie, 4 millions de personnes ne seraient pas dépistées. 
    Qu'est-ce que cette maladie ? Lorsqu'on est hypertendu, la pression sanguine augmente donc le coeur travaille trop, accélère, se fatigue très vite à cause de l'effort fournit et devient donc moins performant. Le sang arrive donc plus difficilement aux autres organes et altère leur fonctionnement correctement. 
    Comment savoir si on est atteint ? Il est indispensable de penser à mesurer au moins une fois par an votre pression artérielle chez votre médecin traitant", avertit la Fédération française de cardiologie.
     
     

    Insuffisance rénale : quand on s'en rend compte il est souvent trop tard

    Chaque minute, les reins filtrent environ 1 litre de sang, et produisent l'urine pour éliminer les déchets du corps (empêchant ainsi l'accumulation de toxines dans le sang). Lorsqu'ils fonctionnent mal de nombreuses toxines peuvent s'infiltrer dans l'organisme et créer de nombreux troubles sérieux. Pire encore l'insuffisance rénale chronique est une maladie silencieuse qui peut entraîner la mort. 
    Qu'est-ce que cette maladie ? Il s'agît d'une pathologie irréversible qui entraîne progressivement le déclin de l'organe. Il n'y a presque aucun symptôme au cours des premières années, car les reins s’adaptent et compensent leur perte de fonction. Certains patients ne prennent connaissance de leur pathologie que lorsque leurs reins sont à près de 20% de leur capacité normale, prévient l'Association France Rein
    Comment savoir si on est atteint ? Suite à un interrogatoire, le médecin demandera un examen sanguin et d'urines. Il pourra prescrire des examens complémentaires comme une radiographie ou une échographie qui permettent de mettre en évidence une diminution de la taille des reins.Si vous êtes déjà suivi pour un diabète ou une hypertension artérielle, ces bilans sont régulièrement conseillés.
     
     

    Hémochromatose : trop de fer dans le sang

    © Adobe Stock
    Fatigue, douleurs articulaires, troubles sexuels... Les symptômes de l'hémocrotamose font partie des signes d'alerte de maladie bien plus connues ce qui explique que peu de patients ou médecins ne la soupçonnent avant qu'elle ne soit avancée. Généralement c'est vers 50-70 ans que le diagnostic se fait. 
    Qu'est-ce que cette maladie? Une mutation génétique qui entraîne la suppression de l'hepcidine une hormone chargée de réguler le fer. Résultat, le patient a un niveau trop élevé de fer dans tous les organes ce qui entraîne leur destruction progressive."Contrairement aux autres métalloïdes, le fer qui a pénétré dans l'organisme ne ressort jamais", explique l'association Hémocromatose France
    Comment savoir si on est atteint ? En effectuant trois tests biologiques une saturation de la transferrine à jeun, la férritinémie et le gène HFE.
     
     

    Chlamydiose : une maladie sexuelle très contagieuse

    La chlamydiose est une maladie qui peut abîmer de façon irréversible l'appareil génitale féminin. C'est une maladie extrêmement contagieuse qui s'attrape par rapports sexuels non protégés, mais la plupart du temps on ne le sait pas car elle est asymptomatique. 
    Qu'est-ce c'est que cette maladie ? Elle est causée par la bactérie chlamydia transmise par une autre personne porteuse. Les bactéries se multiplient ensuite dans l'appareil génital, provoquent une inflammation des organes reproductifs et peuvent déclencher une salpingite (inflammation des trompes utérines, les trompes de Fallope). 
    Comment savoir si on est atteint ? Divers examens de laboratoire servent à diagnostiquer la chlamydiose. Le médecin utilise un échantillon d'urine ou un prélèvement cervical pour la femme et urétral pour l'homme (prélèvement d'un échantillon à l'aide d'une tige de coton ouaté ou d'une petite brosse de la zone infectée), qui seront ensuite analysés en laboratoire.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : L'Association française antirhumatismale : http://www.aflar.org/
    Fédération française de cardiologie : https://www.fedecardio.org/Je-m-informe/Reduire-le-risque-cardio-vasculaire/le-cholesterol
    L'Association France Rein : https://www.francerein.org/articles/les-maladies-renales
    Hémochromatose France. : https://www.hemochromatose.fr/
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • La scoliose, un problème majoritairement féminin

     

     

     

     

    Pour les femmes, la scoliose peut devenir encore plus problématique et douloureuse en raison de la ménopause et de l'ostéoporose, même s'il est possible de tenter de la soulager par différentes approches.

    La scoliose, un problème majoritairement féminin

    La scoliose se réfère à une courbure anormale de la colonne vertébrale.

    Il est probable qu’en entendant parler de cette maladie, on pense directement aux enfants, qui peuvent naitre dans beaucoup de cas avec ce problème congénital. Il est alors simple à corriger à l’aide d’un dispositif orthopédique classique.

    Cependant, une bonne partie des personnes touchées par la maladie ne sont pas des enfants. Son origine n’est alors ni congénitale, ni idiopathique.

    En réalité, un pourcentage important de la population présente un certain type de scoliose suite à un long processus d’ostéoporose.

    Il concerne ces femmes qui déjà ménopausées, subissent des torsions ou des rotations de la courbure de leur colonne vertébrale. A tel point que leurs radiographies décrivent des courbes caractéristiques sous forme de « C » ou de « S ».

    Il faut ajouter que cette déformation est en plus douloureuse, puisqu’elle affecte l’axe postural. Elle peut être grave dans certains cas et donner lieu à une déformation frappante. La personne remarquera alors que sa colonne vertébrale s’enfonce vers l’intérieur ou que son bassin se désaxe.

    C’est un sujet dont on ne parle que peu souvent, et nous pensons qu’il est nécessaire d’aborder ses symptômes et son traitement.

    La scoliose affecte d’avantage les femmes

    la scoliose affecte majoritairement les femmes

    La scoliose congénitale affecte également légèrement plus les filles que les garçons.

    De la même manière, lors de l’âge adulte, ce sont aussi les femmes qui éprouvent le plus de problèmes osseux et articulaires.

    Ainsi, la scoliose est une maladie qui peut apparaitre de manière frappante une fois la ménopause arrivée.

    Grâce à une étude menée à l’hôpital  John Hopkins et publiée dans l’American Journal of Neuroradiology, ces données ont été confirmées une fois de plus.

    Des information plus intéressantes ont également été spécifiées.

    L’une d’elle montre que dans de nombreux cas, ces personnes n’étaient atteintes que d’une scoliose légère et seulement 17% d’une scoliose modérée ou sévère.

    Pourquoi la scoliose apparaît-elle ?

    La scoliose chez les adultes est appelée scoliose dégénérative. Rien que ce nom nous renseigne sur l’origine et la cause qui déterminent cette courbure anormale de la colonne vertébrale.

    • En général, la scoliose chez les adultes apparait clairement après 65 ans.
    • Cependant chez les femmes, des indices font leur apparition à partir de 40 ou 50 ans.
    • C’est dans ce cas que les effets de la ménopause aggravent clairement la qualité, la force et l’endurance de nos os et de nos articulations.
    • Il est également important de rappeler que l’arthrose se situe d’une manière très singulière dans les petites articulations de la colonne vertébrale.

    Quels sont les symptômes de la scoliose dégénérative ?

    symptômes de la scoliose

    Au tout début, cette légère déformation ne se remarque pas excessivement. Certaines personnes penseront que c’est un simple problème lié aux ligaments.

    Cependant, petit à petit, peuvent apparaitre des points douloureux dans le bas du dos et des engourdissements dans les mains ou dans les jambes.

    • Il est courant de ressentir une importante fatigue.
    • Il est parfois difficile de respirer.
    • La douleur est plus intense le matin et quand nous sommes assis. C’est à dire que les symptômes s’aggravent au repos.
    • Les symptômes sont évidemment plus forts lorsque la personne s’aperçoit elle-même de la déformation. Elle peut être déviée en arrière, avoir une épaule qui s’élève plus qu’une autre, une légère bosse qui apparait ou remarquer une perte de quelques centimètres…

    Différences entre la scoliose dégénérative et la scoliose juvénile

    La scoliose chez les adolescent-e-s peut apparaitre entre 10 et 18 ans sans raisons apparentes. Comme nous l’avons indiqué au début, la scoliose est dans ce cas la plus part du temps congénitale.

    Pour ce qui est de la scoliose dégénérative, nous en connaissons la cause. De plus, l‘écart observé dans la colonne tend à augmenter d’au moins 1 à 2 degrés chaque année.

    Dans le cas d’une scoliose chez l’adulte, le traitement n’est en général pas prévu pour la correction du problème mais pour prévenir la douleur.

    Le traitement de la scoliose chez les adultes

    traitement de la scoliose

    Le traitement par chirurgie n’est pas toujours possible ou recommandé. Par conséquent, le patient doit aborder le problème d’un point de vue multidimensionnel avec l’aide de professionnels appropriés.

    Il existe différentes approches :

    • L’approche pharmacologique : il existe plusieurs médicaments capables de soulager la douleur tels que l’ibuprofène classique ou l’acétaminophène. Ils réduisent principalement le niveau d’inflammation des articulations. Les injections péridurales sont une autre possibilité.
    • Des thérapies physiques pour la scoliose des adultes. Elles se pratiquent avec l’aide de physiothérapeutes et peuvent consister en des thérapies aquatiques ou chiropratiques. A l’aide de médecines alternatives ou complémentaires, elles aideront à traiter les multiples problèmes neuro-musculo-squelettiques.

    L’idéal est de ne pas se concentrer sur un seul remède. Pour améliorer la qualité de vie en cas de scoliose, il est recommandé de se servir de tous les conseils prodigués par les professionnels.

    Ainsi, ils nous permettront de découvrir des nouvelles thérapies ou stratégies, pour aider au mieux l’amélioration de notre qualité de vie.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Se plaindre affecte la santé de notre organisme

     

     

     

     

     

    Saviez-vous qu'une attitude négative pouvait se ressentir sur votre santé et sur celle de vos proches ? De la même manière, s'entourer de personnes qui ne peuvent s'empêcher de se plaindre peut affecter notre santé mentale.

    Se plaindre affecte la santé de notre organisme

    La santé de notre organisme est un des points déterminants pour mener une vie longue et agréable, quand on sait comment la maintenir.

    Cela reste cependant très instable puisque toute pratique, simple ou complexe, peut affecter notre organisme de manière importante.

    Le fait de se plaindre constamment est un bon exemple de ces pratiques. Ainsi, dire des phrases décourageantes au sein de notre entourage aurait comme résultat d’affecter notre santé.

    Certaines personnes se plaignent souvent sans même s’en rendre compte, elles en font une habitude imperceptible mais agaçante, quand d’autres le font consciemment.

    Se plaindre est une méthode à part entière dans le but de se défouler.

    Se plaindre, une habitude qui affecte la santé

    Il existe d’innombrables habitudes défavorables à l’organisme. Parmi celles-ci, on retrouve le tabac, l’alcoolisme et un mode de vie sédentaire. Ce sont des pratiques connues et étiquetées comme négatives.

    Cependant, alors que les précédentes pratiques sont reconnues comme néfastes pour la santé, il existe des habitudes dangereuses qui restent inconnues ou non perçues comme telles.

    L’une d’elles est le fait de se plaindre.

    Cela peut paraitre étonnant, mais vivre dans un environnement rempli de négativité et la transmettre aux autres ne dérange pas seulement ceux qui nous entourent, mais également notre propre santé.

    L’impact sur le cerveau

    Se plaindre, l'impact sur le cerveau

    Le cerveau remplit la fonction de stocker des informations, des pensées, des données ou des affirmations. Il ne distingue pas le mauvais du bon. C’est pourquoi la plus part du temps, nous interprétons les évènements de la manière la plus simple.

    Maintenir des épisodes constants de plainte ou de négativité affecte l’organisme principal du système nerveux central sans que nous le remarquions.

    Progressivement, on prend l’habitude de ce type de pensées et elles ressortent plus facilement dans le futur.

    La fonction cérébrale

    La fonction cérébrale est composée de multiples synapses (connexions entre neurones) qui sont responsables de transmettre les informations. Elles sont activées par une impulsion électrique lors d’une pensée ou d’une idée.

    • Avec le temps et l’obtention d’informations, les synapses se renforcent.
    • Lorsque nous générons des pensées négatives consécutives, le cerveau remodèle sa structure.

    Ainsi, il finit par en faire une idée commune et facilement accessible aux neurones pour les futures réflexions.

    Pour le dire de manière plus imagée, se plaindre revient à se détruire de l’intérieur. En bref, cela équivaut à détériorer la santé de son organisme.

    Effets secondaires de se plaindre sur la santé

    Se plaindre, les effets secondaires

    Le système nerveux central n’est pas le seul affecté par une attitude négative. D’autres parties du corps subissent également une altération de leur santé en raison de cette mauvaise habitude.

    Des zones telles que le coeur et le système digestif en subissent des conséquences graves. Le probabilité d’être victime de maladies graves telles que le diabète, l’obésité ou l’hypertension est augmentée.

    • Le système immunitaire peut également souvent être affecté si nous nous plaignons continuellement.
    • Ces problèmes sont associés à la sécrétion de cortisol, hormone libérée par la glande surrénale pendant les périodes de stress.
    • Lorsqu’elle est produite en excès, la fonction du système immunitaire est interrompue, et c’est à ce moment là que les problèmes commencent.

    S’entourer de personnes négatives, les conséquences

    Beaucoup de personnes se livrent à une constante critique, que ce soit sur la société ou sur des éléments aussi insignifiants que les vêtements. Critiquer n’est pas mauvais que dans le cas ou la critique aide à s’améliorer.

    La négativité et la critique vont souvent de paire, créant une habitude qui n’apportera rien de bon. Se plaindre n’est pas la seule manière de détériorer sa santé, être en présence d’individus négatifs y contribue également.

    Les plaintes et la tristesse forment une brèche dans le cerveau des autres personnes. Elles vont tenter de comprendre cette attitude et s’efforcent de se « mettre à la place » de la personne qui se plaint.

    Même quand il n’a pas d’intérêt pour la situation, l’organe principal du système nerveux, par pure empathie, va chercher à connaître la raison de la tristesse et des plaintes.

    Pour autant, cela ne se produit pas seulement dans les cas négatifs. La joie peut aussi être transmise et faire naitre des sensations agréables.

    Les sentiments et les émotions

    Se plaindre, les sentiments et les émotions

    Les personnes sont des êtres sentimentaux et émotionnels. Il est donc impossible d’éviter les épisodes de tristesse, de mélancolie ou d’anxiété. Cependant, l’idéal est de maintenir leur équilibre.

    Chaque étape de la vie doit être envisagée progressivement, avec calme et maturité. Si c’est un épisode de tristesse, il faut le vivre pour pouvoir en sortir.

    En outre, se défouler sans en abuser est une très bonne alternative.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est-ce que l’ibuprofène ?

     

     

     

     

     

    Qu’est-ce que l’ibuprofène ?

    Très utilisé, l’ibuprofène est l’analgésique passe-partout par excellence mais que nous devons prendre avec précaution.

    L’ibuprofène appartient au groupe des antiinflammatoires non-stéroïdiens (AINEs) et constitue l’une des premières options face à la douleur (analgésique), à l’inflammation ou à la fièvre.

     

    structure ibuprofène

     

    On estime que presque la moitié de la population souffre de céphalées, 30 millions de personnes souffrent de lombalgie et au moins autant sont touchées par des douleurs liées au cancer, à des cardiopathies et à d’autres maladies. L’ibuprofène fera partie du traitement de la majorité de ces cas-là. Ceci nous donne une idée de l’utilisation de ce médicament.

    A quoi sert l’ibuprofène ?

    L’ibuprofène est un médicament que l’on peut trouver sous forme de comprimés, de poudre ou de sirop. Dans tous les cas c’est un anti-inflammatoire, un analgésique et un antipyrétique.

    Les effets antipyrétiques débutent au bout d’une heure, sont à leur effet maximal entre 2 et 4 heures après la prise et se prolongent jusqu’à 6 ou 8 heures. Pour atteindre les effets anti-inflammatoires cela peut demander jusqu’à 2 semaines de traitement.

    Les principales indications de l’ibuprofène sont les suivantes :

    1. Traitement des situations impliquant des douleurs ou une inflammation comme les céphalées, les migraines, les dysménorrhées, la pharyngite, l’otite ou les douleurs musculaires.
    2. Traitement symptomatique de la fièvre.
    3. Lors de pathologies comme l’arthrite rhumatoïde juvénile et des processus rhumatiques (arthrose).
    4. Traitement des lésions sur des tissus mous comme des entorses ou des foulures.

    Mécanisme d’action de l’ibuprofène

    Le mécanisme d’action de l’ibuprofène consiste à inhiber la synthèse des prostaglandines. Cette inhibition est due à l’union compétitrice et réversible de l’enzyme cilco oxygène, qui se transforme en acide arachidonique dans ces dites prostaglandine.

    cilco oxygène

    Au niveau structurel, l’ibuprofène est un dérivé de l’acide propanoïque. C’est un composé racémique (deux composés qui sont des images spectaculaires l’un de l’autre), son activité est attribuée presque entièrement à l’isomère S.

    Pharmacocinétique : qu’arrive-t-il à l’ibuprofène dans l’organisme ?

    L’ibuprofène est un médicament peu soluble dans l’eau. Toutefois, il est souvent utilisé sous forme de sels d’arginate ou lisinate pour améliorer sa solubilité et son profil pharmacocinétique. Ses caractéristiques les plus importantes sont les suivantes :

    • Absorption : les voies d’administration les plus utilisées sont orales et parentérales. L’administration orale est bonne et rapide et sa biodisponibilité est de 80% (elle varie en fonction de la forme pharmaceutique). Les sels d’arginine et de lisine favorisent la solubilité de l’ibuprofène et il est donc absorbé plus rapidement.
    • Distribution : l’ibuprofène s’unit efficacement aux protéines plasmatiques (90-99%). Il est capable de se répandre à travers les tissus, de passer au liquide synovial mais également de traverser la barrière placentaire. D’autre part, sa présence n’a pas été détectée dans le lait des femmes qui allaitent.
    • Métabolisme : sa métabolisation survient majoritairement au niveau du foie par hydroxylation et carboxylation en générant divers métabolites inactifs.
    • Excrétion : l’ibuprofène est surtout excrété à travers l’urine (90%)et en moindre quantité dans les selles. Son élimination complète de l’organisme prend 24 heures.

    Posologie

    Les règles posologiques dépendent de la forme pharmaceutique que l’on considère la meilleure pour chaque patient. Il est recommandé de consulter la notice de chaque médicament de manière spécifique. Toutefois, de manière générale nous pouvons dire que :

    • Chez les adultes l’administration orale doit se situer entre 400 et 600 mg toutes les 6/8 heures, et ne pas dépasser les 2.400 mg par jour.
    • Chez les enfants de 3 mois à 11 ans il est recommandé d’administrer 20 à 30 mg/kg/jour répartis entre 3 ou 4 prises. Toutefois, la sécurité et l’efficacité chez les enfants de moins de 3 mois n’a pas encore été évaluée.
    posologie 

    La voie parentérale est uniquement recommandée aux adultes, en ne dépassant jamais les 600 mg toutes les 6-8 heures. Vous devrez passer à l’administration orale de l’ibuprofène le plus rapidement possible. Il faudra également prendre en compte l’existence de maladies rénales et hépatiques qui obligeront à toujours l’utiliser avec précaution et dans les plus petites doses possibles.

    Contrindications et précautions de l’ibuprofène

    L’ibuprofène est contrindiqué dans les situations suivantes :

    • Hypersensibilité à l’ibuprofène. Des cas de réactions d’hypersensibilité mélangés à d’autres AINES ont été répertoriés, c’est pourquoi il ne doit pas être utilisé en cas d’allergie à l’acide salicylique. Ces réactions sont particulièrement fréquentes chez des patients asthmatiques.
    • Ulcère peptique, maladie inflammatoire intestinale ou n’importe quel processus qui augmente le risque hémorragique gastro-intestinal. A cause de l’inhibition de la synthèse des prostaglandines, l’ibuprofène pourrait augmenter le risque d’hémorragie digestive et de perforation. C’est pourquoi il est recommandé de prendre l’ibuprofène et n’importe quel autre AINEs au cours des repas pour réduire les problèmes gastriques. Une autre option serait de l’associer à un anti-ulcéreux (anti H2 ou IBP).
    • Altérations de la coagulation. L’ibuprofène présente des effets anticoagulantes plaquettaires et augmente le temps d’hémorragie.
    • Insuffisance rénale. L’ibuprofène est éliminé par l’urine et dans ces cas-là il pourrait s’accumuler dans l’organisme de manière toxique. Il pourrait également diminuer le flux sanguin rénal.
    • Insuffisance hépatique. En parallèle au problème précédent, l’ibuprofène se métabolise dans le foie et en cas d’insuffisance hépatique il pourrait s’accumuler dans l’organisme.
    • Insuffisance cardiaque et hypertension non contrôlée.
    • Grossesse. L’utilisation de l’ibuprofène est contrindiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse. De plus, son utilisation n’est pas conseillée pendant des périodes prolongées durant les deux premiers trimestres.

    Interactions

    Les médicaments pouvant altérer le comportement de l’ibuprofène et des AINEs dans l’organisme sont nombreux, que ce soit dans la réduction de leur efficacité ou dans l’augmentation de la possibilité de souffrir de réactions indésirables. Parmi celles-ci nous trouvons :

    • AINEs. L’ibuprofène pourrait réduire la fonction anticoagulante plaquettaire de l’acide acétylsalicylique lorsqu’ils sont administrés conjointement.
    • Alcool. Sa toxicité peut être augmentée car les deux sont métabolisés dans le foie et nous le surchargeons de travail.
    boissons alcoolisées

     

    • Anti-hypertenseurs. Possible réduction de l’effet antihypertenseur. Chez des patient-e-s dont la fonction rénale est compromise, la détérioration de celle-ci peut s’accélérer (patient-e-s déshydraté-e-s ou âgé-e-s).
    • Anticoagulants oraux, héparine. Possible augmentation de l’effet anticoagulant avec risque hémorragique. Des consultations périodiques sont conseillées afin de suivre les indices de coagulation.
    • Antidiabétiques. Possible augmentation des effets hypoglycémiants en réduisant l’excrétion rénale.
    • Paracétamol. L’usage simultané et prolongé du paracétamol et AINE peut provoquer une augmentation du risque des effets rénaux indésirables.

    Réactions indésirables de l’ibuprofène

    Les effets indésirables sont principalement provoqués par le mécanisme d’action de l’AINE, l’inhibition de la ciclo oxygénase 1 (COX-1) et dans le cas des doses supérieures à 3.200 mg/jour apparaissent souvent des problèmes :

    1. Gastro-intestinaux. Possible apparition de dyspepsie, diarrhée, nausées, douleur abdominale ou hémorragies gastro-intestinales à cause de la suppression des prostaglandines gastro protectrices.
    2. Dermatologiques. Ce sont en général des réactions d’hypersensibilité qui surviennent avec des éruptions, de l’urticaire ou de l’érythème. Les réactions anaphylactiques surviennent normalement chez des patient-e-s qui ont déjà souffert d’hypersensibilité à l’acide acétyle salicylique et à d’autres AINEs.
    3. Système nerveux central : asthénie, somnolence, céphalée, vertiges.
    4. Hématologiques. Peut prolonger le temps de saignement.
    5. Cardiovasculaires. Pourrait apparaître de l’hypertension artérielle ou une insuffisance cardiaque.
    6. Rénaux.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 signes qui indiquent que votre intestin est malade

     

     

     

     

     

    Bien que nous ne fassions pas le lien, certaines éruptions cutanées telles que l'acné ou d’autres réactions allergiques qui apparaissent sur la peau peuvent être dues à un intestin intoxiqué qui n'est pas capable de se purifier par lui-même.

    8 signes qui indiquent que votre intestin est malade

    Les troubles des intestins déclenchent généralement une série de symptômes digestifs qui peuvent interrompre notre vie quotidienne en nous rendant malades.

    Il est fréquent de ressentir des douleurs abdominales, une inflammation et d’autres malaises gastriques qui, en fait, peuvent être récurrents selon le facteur qui les provoque.

    Cependant, puisque la santé intestinale interfère avec des processus tels que la ségrégation de certaines hormones et la santé immunitaire, il est fréquent que ces maladies se manifestent également à cause de réactions dans d’autres systèmes du corps.

    Pour cette raison, il est courant que les personnes confondent leurs problèmes de santé avec certaines pathologies, ignorant qu’en réalité le problème provient des altérations dans cet organe.

    Pour cette raison, à ce titre, nous voulons partager avec vous dans cet article les 8 signes qui, bien qu’ils puissent être dus à d’autres facteurs, indiquent généralement que l’intestin n’est pas en parfaite santé.

    1. L’anxiété et la dépression

    L’anxiété et la dépression peuvent être des symptômes d'un intestin malade

    Il est assez étrange d’associer le fonctionnement de l’intestin avec les émotions, mais, contrairement à ce que l’on pourrait penser, ils sont étroitement liés.

    Cet organe produit environ 70% de la sérotonine du corps, il est pour ainsi dire le neurotransmetteur lié au bonheur et au bien-être.

    La diminution de ce produit chimique provoque une mauvaise humeur et, en même temps, affecte les fonctions physiologiques telles que la digestion.

    2. Les taux de glucose élevés

    Le pré-diabète et le diabète sont des troubles chroniques résultant de l’accumulation excessive de sucre dans le sang.

    Ces états peuvent provenir d’un dysfonctionnement intestinal, puisque les bactéries qui vivent dans le système peuvent s’altérer et provoquer des difficultés dans les processus métaboliques qui transforment le glucose en sources d’énergie.

    3. Les maladies de la peau

    Les maladies de la peau peuvent être dues à un intestin malade

    Les éruptions cutanées, comme celles produites par l’acné, et des troubles tels que l’eczéma peuvent suggérer des difficultés dans l’intestin, en particulier à cause d’altérations de l’activité des bactéries qui le colonisent.

    Par exemple, un trouble connu sous le nom d’intestin perméable, caractérisé par une difficulté dans la digestion de certaines particules de nourriture, déclenche une réponse inflammatoire qui, la plupart du temps, est évidente sur la peau.

    4. Les problèmes digestifs

    L’inflammation abdominale, les gaz et la diarrhée sont des signes évidents d’une forte altération de la flore bactérienne qui protège l’intestin.

    Bien que ce soient des symptômes qui proviennent de diverses maladies de l’estomac, leur origine peut être due à un trouble intestinal.

    Cela peut être provoqué par l’accumulation excessive de déchets, en plus des difficultés de digestion de certains aliments.

    5. La mauvaise haleine

    La mauvaise haleine peut venir d'un intestin malade

    L’halitose, que nous connaissons tout-e-s comme la mauvaise haleine, peut provenir d’un déséquilibre microbien de l’intestin.

    Bien que ces altérations provoquent des réactions dans l’estomac, un grand nombre d’entre elles sont transportées vers d’autres parties du corps, y compris la bouche.

    Nous pouvons l’identifier lorsque, par exemple, malgré l’utilisation de bains de bouche et de remèdes externes, la mauvaise odeur ne disparaît pas.

    6. Les difficultés à dormir

    Les problèmes de sommeil alertent d’un déséquilibre dans les substances chimiques sécrétées par le cerveau pour dormir.

    L’un d’eux est la sérotonine, un neurotransmetteur qui, comme nous l’avons déjà mentionné, est produit en grande partie au niveau intestinal.

    Lorsque ses niveaux diminuent, ou ne sont plus en quantité normale, il est fréquent de souffrir d’insomnie et d’interruptions de sommeil pendant la période de repos.

    7. Le désir de manger du sucre

    Le désir de manger du sucre peut indiquer que l'intestin est malade

    Les déséquilibres dont souffrent les bactéries par la consommation habituelle de sucres et de bonbons, peut se traduire par le désir insatiable de continuer à consommer ces types d’aliments.

    Les bactéries s’adaptent à cette substance pour leur subsistance et, lorsque leurs niveaux commencent à diminuer, elles en demandent plus au cerveau.

    Par conséquent, le désir de manger ces aliments en quantité supérieure se fait sentir et, à moyen et long terme, conduit à un excès de poids.

    8. Les intolérances alimentaires

    Les intolérances alimentaires, telles que la consommation de lactose ou de gluten, sont la conséquence des difficultés que rencontre l’intestin pour digérer complètement ce type de substances.

    C’est une affection connue sous le nom de syndrome de l’intestin perméable qui, en empêchant la décomposition de la nourriture,provoque une réaction inflammatoire qui affecte à la fois la digestion et le système immunitaire.

    Il est essentiel d’identifier ces problèmes, étant donné que leur manque de traitement peut conduire à des maladies plus compliquées.

    En conclusion, bien qu’il soit normal de ressentir un inconfort digestif, un intestin malade peut également affecter la santé émotionnelle, cutanée et métabolique.

    Il est donc primordial de consulter votre médecin si vous avez des doutes, surtout si les symptômes persistent ou apparaissent de façon récurrente.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est-ce que l’arthrose ?

     

     

     

     

    L'arthrose n'est pas considérée comme une maladie grave en tant que telle, mais elle affecte notoirement la qualité de vie des personnes qui en souffrent.

    Qu’est-ce que l’arthrose ?

    L’arthrose fait partie des maladies rhumatismales, qui sont nombreuses et variées. Elles ont en commun le fait qu’elles affectent une partie de l’appareil locomoteur. Cependant, leurs causes peuvent être très différentes, tout comme leurs évolutions et leurs traitements.

    L’arthrose est la plus commune de toutes les maladies rhumatismales. Elle se caractérise par une perte progressive du cartilage des articulations, due à l’usure. Cela, se produit principalement en raison de l’âge, mais d’autres facteurs peuvent également l’influencer.

    Cette maladie est assez fréquente chez les personnes de plus de 50 ans. Selon les données de l’Organisation mondiale de la santé, environ 28% des adultes de plus de 60 ans souffrent d’arthrose.

    On estime que d’ici 2020 cette maladie sera la quatrième cause d’incapacité dans le monde.

    Les causes de l’arthrose

    L’arthrose survient lorsque le cartilage d’une articulation s’use et dégénère. Ce cartilage perd de l’élasticité et de la consistance. Peu à peu il perd de l’épaisseur jusqu’à disparaître pratiquement. Lorsque cela se produit, les extrémités des os ne sont plus protégées et souffrent des frottements les unes contre les autres.

    les causes de l'arthrose

    L’arthrose se manifeste principalement dans les genoux et d’autres zones.

    Les os affectés réagissent à cet effet. Leur réponse est de se densifier ce qui provoque l’apparition de kystes dans ces os. Des pics osseux se forment également au bord des articulationsCela déforme les os.

    Certains des facteurs qui précipitent l’apparition de l’arthrose sont :

    • Âge : l’’arthrose augmente de façon exponentielle après 50 ans
    • Sexe : les femmes de 50 à 55 ans sont les plus touchées
    • Hérédité
    • Activité physique excessive
    • Ménopause
    • Obésité
    • Fractures et blessures

    L’arthrose est une maladie chronique, ce qui signifie qu’elle dure toute la vie. Elle provoque une douleur intense, mais avec le bon traitement, il est possible de la contrôler. D’autre part, il est nécessaire de souligner que l’arthrose n’entraîne pas nécessairement une incapacité ou un handicap chez ceux qui en souffrent.

    Les symptômes de l’arthrose

    L’arthrose est une maladie qui se développe lentement. Les symptômes passent inaperçus au début et deviennent plus intenses au fil du temps. En général, il y a cinq signes qui suggèrent la présence d’arthrose :

    • Rigidité : la personne ressent un manque de souplesse, surtout lorsqu’elle se lève ou après s’être assise pendant une longue période.
    • Gonflement et/ou engourdissement : l’inflammation dans une ou plusieurs articulations peut être observée à l’œil nu, ce qui peut entraîner un engourdissement.
    • Grincement : le patient éprouve une sensation de «frottement» ou de grincement lorsqu’il effectue un mouvement impliquant l’articulation touchée.
    • Inconfort dans les genoux, les pieds, les mains et les hanches.

    Bien que la douleur soit le principal symptôme de l’arthrose, il y a aussi des cas dans lesquels elle ne se manifeste pas. En outre, dans cette maladie alternent des périodes de douleur avec d’autres où elle n’apparaît pas.

    les symptômes de l'arthrose

    Types d’arthrose et diagnostic

    L’arthrose se manifeste principalement dans quatre zones du corps : les genoux, les mains, la hanche et la colonne vertébrale. Le genou est le plus fréquent et peut être primaire ou secondaire. Le premier correspond à la forme typique de la maladie, tandis que le second est dû à une blessure.

    Dans le cas des mains, L’arthrose provient presque toujours d’une articulation et s’étend ensuite aux autres. Cela provoque souvent une déformation et la fonctionnalité peut être affectée. L’arthrose de la hanche génère une douleur qui se situe dans la partie interne de la cuisse ou dans la zone de l’aine. Pour sa part, l’arthrose spinale se manifeste habituellement dans la région lombaire ou cervicale.

    Le diagnostic est généralement fait après une révision clinique. Habituellement, cela est complété par des rayons X, CT et/ou IRM. De même, une échographie à haute résolution peut être indiquée pour évaluer le niveau d’évolution de l’arthrose.

    Pronostics

    La maladie en tant que telle n’est pas considérée comme sérieuse, mais elle peut affecter de manière significative la qualité de vie du patient. Cependant, le pronostic dépend de chaque cas particulier. Fondamentalement, elle dépend de l’articulation impliquée et du rythme de l’évolution du problème.

    Des mesures précoces de diagnostic et de prévention peuvent modifier positivement le pronostic. Avec un traitement approprié, l’arthrose progresse plus lentement et avec moins de complications.

    Le traitement est presque toujours pharmacologique et vise un mode de vie plus sain. Dans certains cas, les mesures normales échouent et finalement le besoin d’effectuer une intervention chirurgicale s’avère la solution. En général, la chirurgie améliore les symptômes et préserve la mobilité.

    L’arthrose est une maladie articulaire dégénérative qui provoque l’usure du cartilage. Sachez comment soulager vos symptômes.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les 7 symptômes de l’appendicite que vous ne devez pas ignorer

     

     

     

     

     

    Les 7 symptômes de l’appendicite que vous ne devez pas ignorer

    Il est important de prendre en compte que si elle n’est pas traitée à temps, l’appendicite peut dériver sur une péritonite qui pourrait même mettre la vie du patient en danger.

    L’appendicite est une maladie qui survient à cause du blocage et de l’inflammation de l’appendicite, un petit organe qui est attaché au gros intestin.

    Ceci provoque des difficultés au niveau du passage du sang et, comme la pression augmente sur cette zone, il se produit une réponse inflammatoire qui nuit à la santé.

    Si l’on ignore encore exactement la fonction de cet organe, le développement de ce problème peut être mortel lorsque l’on n’y apporte pas le bon traitement.

    Ceci est dû au fait que la poche peut éclater et répandre l’infection, en peu de temps, à d’autres parties du système digestif.

    C’est pourquoi il est fondamental de connaître ses symptômes, car l’intervention médicale est déterminante pour éviter les complications.

    Comme nous savons que beaucoup les ignorent, ci-dessous nous allons vous donner les 7 symptômes qui facilitent sa détection.

    Ne les ratez pas !

    1. Douleur abdominale aiguë

    la douleur abdominale est un symptôme de l'appendicite

    L’apparition d’une douleur abdominale aiguë est l’une des premières manifestations de cette maladie.

    Ce symptôme, qui évolue progressivement, est le produit de l’inflammation et de la pression dont souffre l’organe.

    • Elle se situe en général au niveau de la partie inférieure droite de l’abdomen et son degré d’intensité varie selon les heures.
    • Toutefois, dans de nombreux cas la douleur peut également être perçue très proche du nombril ou de la partie basse du dos.
    • Le symptôme a tendance à empirer en éternuant ou en bougeant les jambes et l’abdomen.

    2. Nausées et vomissements

    L’apparition de nausées et de vomissements soudains peuvent être un signal d’alerte de l’inflammation de l’appendice.

    Ces symptômes, ensemble avec la sensation de faiblesse, sont fréquents chez les patients qui développent cette maladie.

    • Ils se manifestent dans plus de 90% des cas, presque toujours après avoir d’abord ressenti une forte douleur dans la partie abdominale inférieure.
    • Ils doivent être soignés par un médecin lorsqu’ils arrivent de manière récurrente, car, même s’ils n’alertent pas toujours de cette maladie, ils peuvent indiquer que quelque chose ne va pas bien.

    3. Constipation et diarrhée

    la constipation et la diarrhée sont des symptômes de l'appendicite

    Tandis que certains patients souffrant d’appendicite ont des difficultés à expulser les selles, d’autres sont confrontés à des épisodes de diarrhée.

    Ces symptômes digestifs, qui peuvent également apparaître lors d’autres maladies, sont le résultat de l’inflammation dont souffre cet organe.

    • Ils ont tendance à gêner les patients au cours de la journée et, bien souvent, ils sont accompagnés de gaz et d’inflammation.

    4. Elongation abdominale

    L’élongation abdominale est une sensation de gonflement gênante et de pression qui se produit en général à cause de problèmes digestifs.

    Elle provoque le gonflement du ventre, même quand vous avez un ventre plat.

    • C’est assez fréquent dans le cas de l’appendicite, car elle est due à la réaction inflammatoire des tissus et à l’accumulation de gaz.

    5. Fièvre

    la fièvre est un symptôme de l'appendicite

    Les symptômes qui surviennent lors du développement de cette maladie ont tendance à être similaires à ceux des infections de l’estomac et des intestins.

    C’est pourquoi il est très fréquent qu’en plus de la douleur, le patient présente une fièvre modérée, des sueurs froides et des tremblements.

    • Il est primordial d’aller consulter son médecin si la fièvre augmente ou qu’elle réapparaît constamment.
    • Si le changement de température est léger, mais que des douleurs abdominales surviennent, il est également nécessaire de consulter.

    6. Perte d’appétit

    Même si la personne est habituée à bien manger, elle peut soudain ne plus avoir d’appétit.

    L’inflammation de cet organe interfère dans les fonctions digestives et, bien souvent elle inhibe la production des hormones de la faim.

    • Nous devons immédiatement consulter pour cela, car ne pas manger correctement amène à souffrir de carences nutritionnelles.
    • Il faut analyser le symptôme avec d’autres signes, car il se manifeste également dans d’autres maladies.

    7. Douleur par ricochet

    la douleur par ricochet est un symptôme de l'appendicite

    La douleur par ricochet est un symptôme qui permet de détecter avec plus de précision les problèmes au niveau de l’appendice.

    Elle survient en général lors de la visite médicale, car elle apparaît lorsque l’on exerce une pression sur la partie inférieure droite de l’abdomen.

    • Il s’agit d’une douleur aiguë et lancinante dont l’intensité varie selon la pression exercée.
    • Lorsque l’on relâche la zone affectée, on ressent une plus grande douleur et cela permet de suspecter la maladie.

    Vous avez détecté plusieurs des symptômes mentionnés précédemment ? Si c’est le cas, il vaut mieux consulter rapidement votre médecin pour déterminer s’ils sont dus à ce problème.

    L’attention immédiate permet une plus grande réussite des traitements.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 DOULEURS QUI DOIVENT VOUS INQUIÉTER

     

     

     

     

     

     

    Dans l'estomac, le dos, la poitrine, le pied... Certaines douleurs ne doivent pas être ignorées parce qu'elles peuvent traduire une maladie, parfois une urgence vitale. 

      

    Douleurs dans le ventre : calculs, ulcères, cancer de l'estomac

    Constipation, diarrhée, indigestion... Le plus souvent les douleurs au niveau du ventre sont causées par une mauvaise alimentation. Malheureusement parfois elles peuvent cacher des troubles plus sérieux. 
    Des calculs dans la vésicule biliaire : ce sont de petits cristaux, semblables à des cailloux qui peuvent obstruer le chemin entre la bile et le foie et provoquer des douleurs sous dorme de crampes à l'estomac avec une sensation de ventre serré qui vont et qui viennent en quelques secondes. 
    Un ulcère : lorsque la paroi de l'estomac est abîmée cela forme des plaies qui peuvent provoquer une brûlure qui part de l'estomac et qui remonte au niveau du torse. Elle devient lancinante, puis aiguë et peut parfois irradier tout l'abdomen. 
    L'appendicite : le symptôme type de cette pathologie est une douleur gastrique qui devient très vite localisée vers le bas sur la droite accompagnée généralement de vomissements, d'une constipation et de la fièvre. 
    Cancer de l'estomac : la manifestation principale d'un cancer de l'estomac est une douleur au creux de l'estomac qui s'atténue après avoir mangé certains aliments ou encore lorsqu'on s'allonge recroquevillé sur soi. En plus de cette douleur on note des ballonnements, une sensation de pesanteur, de l'aérophagie et des problèmes de digestions récalcitrants. Attention ces symptômes peuvent être caractéristiques d'autres maladies tout à fait bénignes. L'important est de consulter votre médecin. 
    Que faire ? Consulter immédiatement ou faire le 15
     
     

    Douleurs dans le dos : arthrose, colique néphrétique

    Les douleurs au dos sont le deuxième motif de consultation en France. Parce qu'il ne s'agit pas forcément d'un simple tour de rein, il est important de connaître les pathologies sérieuses qui peuvent se cacher derrière une douleur lombaire. 
    L'arthrose : une douleur sourde au niveau du bas du dos comme si vous étiez rouillé qui se réveille surtout le matin et se détend petit à petit au cours de la journée. 
    Paralysie : la douleur la plus inquiétante est celle qui réveille la nuit au point de vous empêcher de dormir. Selon le Dr Gilles Mondoloni, médecin ostéopathe "elle peut être associée à des signes de paralysie", il faut consulter rapidement. 
    Une colique néphrétique : une violente douleur dans le bas du dos qui peut cacher un calcul coincé dans les voies urinaires. Généralement la douleur est accompagnée d'une sensation de pression dans le rein et de problème pour aller uriner.
    Que faire ? Consulter immédiatement ou faire le 15 
     
     

    Douleurs musculaires : sclérose en plaques, phlébite...

    Vous souffrez régulièrement de crampes ? De courbatures ? Attention si les douleurs musculaires sont souvent bénignes, elles peuvent être le symptôme d'une maladie grave. 
    Sclérose en plaques : généralement lorsqu'une sclérose en plaques provoque des douleurs musculaires c'est que la maladie est à un stade avancé. La destruction de la myéline, composant qui entoure les fibres nerveuses, due à la pathologie est responsable de ces douleurs. 
    Une artérite :lorsque certaines artères sont obstruées à cause d'un dépôt de graisse, l'oxygène diminue et les muscles qui en ont besoin sont douloureux lorsqu'ils sont sollicités comme les jambes au moment de la marche. 
    Une phlébite : cette complication circulatoire provoquée par l'obstruction d'une veine par un caillot de sang peut entraîner une douleur musculaire semblable à une grosse crampe, mais qui ne se calme jamais. La phlébite dans les cas les plus graves et avancés peut provoquer une embolie pulmonaire, potentiellement mortelle.
    Que faire ? Consulter immédiatement ou faire le 15 
     
     

    Douleurs de règles trop fortes : attention à l'endométriose

    La plupart des femmes pensent que les règles sont douloureuses et qu'il va simplement falloir porter ce fardeau jusqu'à leur fin. Or dans certains cas, quand la douleur est insupportable et ne peut être soulagée par des anti douleurs, cela peut cacher une maladie encore trop peu connue aujourd'hui. 
    L'endométriose : 50 à 91% des femmes atteintes d'endométriose ont comme symptôme commun : des règles extrêmement douloureuses qui ne peuvent être soulagées par la prise de paracétamol. L'endomètre est le tissu qui tapisse l'intérieur de l'utérus et se prépare chaque mois pour l'ovulation et s'élimine s'il n'y a pas de fécondation par le vagin ce sont les règles. Lorsqu'une femme souffre endométriose au lieu de retomber l'endomètre remonte vers les trompes et peut alors tapisser le tissu endométrial, l'utérus, les ovaires, le rectum, le côlon ou la vessie causant des adhérences, des lésions voire des kystes aux endroits où ils se développe. 
    Que faire ? Consulter rapidement un médecin, idéalement le gynécologue.
     
     

    Douleurs à la poitrine : infarctus, embolie pulmonaire...

    Le coeur permet au sang et à l'oxygène de circuler dans l'organisme. Lorsque des douleurs à la poitrine se manifestent, cela inquiète tout de suite. Voici celles qui doivent vraiment alerter : 
    Infarctus : c'est une douleur qui survient brusquement, très violente au niveau du thorax et qui persiste. L'infarctus du myocarde est provoqué par une artère bouchée. L'oxygène n'arrive plus aux cellules du coeur qui souffrent et dépérit s'il n'est pas pris en charge rapidement. 
    Pneumothorax : une douleur violente et subite associée à une toux et des difficultés à respirer sont les deux signes principaux de cette pathologie. C'est une présence d'air entre la plèvre et le thorax qui peuvent compresser le poumon et empêcher la respiration. 
    Une dissection aortique :la douleur type est thoracique, brutale et intense. "Elle peut se déplacer vers le dos, irradier les omoplates et s'associer à des douleurs au cou à la base des mâchoires ou aux bras" explique le Dr Souvet, cardiologue. 
    L'embolie pulmonaire : une douleur à la poitrine accompagnée d'un rythme cardiaque accéléré, une sensation d'angoisse inexpliquée, de la fièvre et des malaises peuvent laisser craindre une embolie pulmonaire, c'est-à-dire une obstruction des artères pulmonaires. 
    Que faire ? Consulter immédiatement ou faire le 15
     
     

    Douleurs aux pieds : phlébite, hallux rigidus

    Quand il s'agit de douleurs aux pieds on a plutôt tendance à s'accomoder en se disant que cela va passer ou qu'il s'agit simplement d'un problème de chaussures. Or les pieds sont une zone du corps très sollicitée. Il faut en prendre soin et certaines douleurs méritent une attention particulière. 
    Hallux rigidus (à distinguer de l'hallux valgus) "Lorsque le gros orteil devient douloureux et raide, il peut s’agir d’un Hallux rigidus, une arthrose touchant l’articulation entre la première phalange et le métatarse (avant pied)", explique le Dr Jean-Pierre Mortier. Il s'agit de la destruction progressive du cartilage au niveau de la première phalange du gros orteil. 
    Phlébite : si la douleur se situe sur un seul pied et que ce dernier est gonflé ainsi que la jambe et la cheville il peut s'agir d'une phlébite, c'est-à-dire la formation d'un caillot veineux susceptible de dégénérer en emboliepulmonaire. 
    La goutte : la douleur typique de la goutte est celle dans le gros orteil, il fait mal , il est rouge, gonflé et chaud. Il s'agit d'une maladie articulaire causée par une accumulation d'acide urique dans les articulations. Elle touche principalement les hommes de plus de 60 ans.
    Que faire ? Consulter immédiatement ou faire le 15
     
     

    Douleurs intercostales : pas toujours bénignes

    Bien souvent elle vous saisissent et vous obligent à vous plier pour ne plus les sentir. Si la plupart du temps les douleurs intercostales sont dues à un faux mouvement, la pratique du sport ou encore la grossesse, dans certains cas elles méritent une consultation, parfois en urgence. 
    L'infarctus du myocarde : dans certains cas la névralgie intercostale peut faire partie des symptômes de l’infarctus. La douleur naît généralement dans le dos puis s'étend dans la région thoracique, si elle est intensément douloureuse, altère la respiration ou empêche de bouger, il vaut mieux consulter immédiatement cela peut être une urgence. 
    Que faire ? Consulter immédiatement ou faire le 15
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Source : medisite.fr
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • Qu’est-ce que la dyslexie ?

     

     

     

     

     

    Qu’est-ce que la dyslexie ?

    La dyslexie est un trouble facilement détectable à l’enfance. Même si ces enfants ont une intelligence normale, leur capacité à apprendre et à lire est affectée.

    Qu’est-ce que la dyslexie ?

    La dyslexie fait partie des troubles spécifiques de l’apprentissage de la lecture. Elle se caractérise par des problèmes de précision et de fluidité pour reconnaître les mots ainsi que des difficultés à épeler.

    En d’autres termes, les personnes souffrant de dyslexie ont des difficultés à apprendre à lire et à prononcer les mots qu’ils voient écrits. Ce trouble s’accompagne en général également de problèmes pour écrire sans fautes d’orthographe, et de difficultés à résoudre les problèmes mathématiques.

    Il est important de signaler que les personnes souffrant de dyslexie ont un développement intellectuel normal. Ils n’ont pas de problème pour lire ni pour écrire qui serait lié à des problèmes intellectuels. Mais au sein d’un développement complètement normal surgit un problème spécifique qui affecte leur capacité à lire et à écrire.

    Qui cela affecte-t-il ?

    La dyslexie est une maladie qui se diagnostique durant l’enfance dans la majorité des cas. Même si elle se diagnostique facilement chez les enfants, c’est un trouble qui persiste à l’âge adulte, ce qui engendre de sérieux problèmes.

     

    femme lisant avec ses enfants

     

    Les données indiquent que la dyslexie affecte entre 5 et 10% de la population. Au niveau pratique : dans une classe de primaire de 25 enfants, au moins 1 d’entre eux est dyslexique.

    Comment la dyslexie affecte-t-elle la vie des personnes ?

    Les premiers problèmes surgissent évidemment lors des premières années scolaires. Les difficultés d’apprentissage de la lecture supposent une terrible barrière pour ces enfants. Non seulement au niveau académique, mais elles affectent également leur développement personnel et bien souvent des problèmes d’auto-estime surgissent.

    Dans de nombreux cas, ces difficultés génèrent un désintérêt pour la lecture. En voici les conséquences :

    • Vocabulaire insuffisant ou pauvre.
    • Problèmes de compréhension à la lecture.
    • Problèmes de compréhension de textes complets, de déduction et de conclusion.

    Les personnes souffrant de dyslexie sont conscientes de leurs limites, dans l’immense majorité des cas. Ceci explique la fréquence à laquelle ces personnes souffrent d’une faible estime de soi, d’anxiété voire de dépression.

    Pourquoi la dyslexie survient-elle ?

    Pour répondre à cette question, nous allons vous présenter les réponses pas à pas.

    1. Comment lisons-nous et écrivons-nous les mots ?

    Pour expliquer notre manière d’écrire un mot, l’hypothèse la plus acceptée est celle du modèle à double chemin. D’après ce modèle, pour écrire un mot nous pouvons :

    • Le récupérer dans notre mémoire, dans le cas des mots connus. C’est ce que l’on appelle le « chemin du lexique ».  Il se base sur le stockage lexical visuel orthographique. C’est-à-dire sur l’information que nous gardons en mémoire lorsque nous avons vu un mot écrit. Par exemple, nous apprenons l’écriture du mot « bain ». Le prochaine fois que nous voudrons l’écrire, nous le récupèrerons dans la mémoire de notre « stockage de mots ».
    • L’autre option étant de convertir les phonèmes qui forment le mot en graphèmes. Ou ce qui revient au même, convertir les sons en une représentation graphique leur correspondant. Il s’agit de l’option utilisée pour écrire de nouveaux mots. Durant les premières années de l’enfance, nous acquérons les connaissances pour réaliser cette conversion des phonèmes en graphèmes. Nous apprenons qu’à la lettre « B » correspond un son, et qu’à la lettre « S » en correspond un autre. Nous pouvons ainsi écrire des mots que nous n’avions pas écrit auparavant. D’une manière très simple, nous connaissons les sons qui les composent, et nous les représentons simplement. Cette théorie s’appuie sur les derniers résultats obtenus par les examens d’image du cerveau, car nous avons réussi à démontrer l’existence d’une base anatomique.

    2. Et que se passe-t-il dans le cerveau ?

    De manière très générale, nous pouvons dire que les connexions qui doivent s’établir entre les zones du cerveau impliquées dans le langage diminuent.

    3. Quelles sont les zones du cerveau impliquées dans le langage ?

    Dans un premier temps, la zone du Broca. Elle se trouve dans le lobe frontal de l’hémisphère dominant. C’est-à-dire, dans le gauche pour la majorité de la population, et dans le droit chez un pourcentage de gauchers. De manière générale, elle se charge de l’articulation des mots, de la nomination et de la lecture silencieuse.

     

    cerveau langage

     

    Dans un second temps, la zone de Wernicke. Elle se trouve entre le lobe temporal et pariétal de l’hémisphère dominant. Ses fonctions principales sont liées à la reconnaissance des mots prononcés. De plus, il s’agit de la zone où sont stockées les séquences de sons qui forment les mots.

    Enfin, il existe une zone liée aux cortex parietal et occipital dont la fonction est la formation des mots.

    En connaissant les processus de lecture et d’écriture des mots, et les régions qui en sont responsables, il n’est pas difficile de comprendre les raisons pour lesquelles quand ces zones s’altèrent, la dyslexie apparaît.

    Quels types de dyslexie existe-t-il ?

    • Dyslexie phonologique. Les personnes touchées par ce type de dyslexie utilisent la route visuelle ; c’est-à-dire qu’elles lisent « visuellement » les mots. Ainsi, elles peuvent lire facilement les mots qu’elles connaissent, mais il leur est impossible de lire les mots inconnus.
    • Dyslexie superficielle (visuelle). Les personnes souffrant de ce type de dyslexie utilisent la route phonologique. Ainsi, elles lisent les mots à partir des syllabes qui les composent. C’est pourquoi elles ont des difficultés à lire les mots dont la prononciation ne correspond pas à leur écriture.
    • Dyslexie profonde ou mixte. Ce sont les cas les plus graves, pour lesquels les deux voies sont affectées. En résultat il y a donc d’importantes difficultés pour lire les mots, de nombreuses fautes d’orthographe voire même une confusion dans le signifié de différents mots.

    Traitement

    Le traitement de la dyslexie est fondamental pour palier les possibles problèmes à long terme, autant académiques qu’émotionnels. De fait, il a été prouvé que les traitements de rééducation étaient très efficaces sur ces enfants.

    Le traitement consiste en général principalement au :

    • Soutien avec des professeurs spécialisés.
    • Traitement chez un orthophoniste.
    • Enseignement supervisé des techniques d’apprentissage.
    • Fiches/exercices de soutien après les cours.

    Le soutien familial est également très important dans le traitement de la dyslexie. Non seulement en motivant ces enfants, nous leur permettrons qu’ils avancent dans leur vie académique et personnelle, mais en mettant l’accent sur des activités de soutien académique, leurs techniques d’apprentissage s’amélioreront considérablement. Surtout la lecto-écriture.

     

    lecture et écriture chez les enfants

     

    De plus, en motivant les enfants pour réaliser des activités qui augmentent leur estime d’eux-mêmes (sports, activités extra-scolaires, etc) leur état d’esprit s’améliorera. D’autre part, s’il existe des problèmes importants d’anxiété ou de dépression, une aide professionnelle sera préconisée.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 DANGERS DE LA CODÉINE

     

     

     

     

     

     

    Présentant de nombreux inconvénients, les médicaments à base de codéine ne sont plus en vente libre. Le point sur leurs dangers avec le concours du Pr Nicolas Authier, chef du service de pharmacologie médicale du CHU de Clermont-Ferrand et directeur de l’Observatoire Français des Médicaments Antalgiques (OFMA).

     

    Des risques de surdosage avec des doses normales

    La codéine est un médicament analgésique (pour soulager la douleur). 10% environ de la codéine est métabolisée en morphine. "Une frange de la population peut transformer de façon plus importante la codéine en morphine au niveau du foie avec un risque d'overdose à des doses thérapeutiques" explique le Pr Nicolas Authier. "C'est notamment pour cela que la codéine a été interdite aux enfants de moins de 12 ans" précise-t-il. On estime que 2% de la population surexprime fortement le cytochrome CYP2D6, responsable de la formation de codéine en morphine. A l'inverse, 10% des Caucasiens sont déficitaires en CYP2D6, et sont résistants aux effets analgésiques de la codéine.
     
     

    La codéine ne doit pas être utilisée pour dormir

    "En plus d'être détournée comme drogue, la codéine peut être utilisée pour un usage thérapeutique mais pas dans l'indication initiale, soit la lutte contre la douleur" informe le Pr Nicolas Authier. Certaines personnes prennent de la codéine pour dormir, pour obtenir un effet anxiolytique ou antidépresseur. "Or, ce mauvais usage associé à son potentiel de dépendance peut faire le lit de réelles addictions et retarder d’autres diagnostics "explique le Pr Nicolas Authier.
     
     

    La codéine dangereuse en cas de problèmes respiratoires

    "La codéine comme toute cette famille de molécules ralentit la fréquence respiratoire" informe le Pr Nicolas Authier. C'est pourquoi elle est dangereuse et donc contre-indiquée chez les insuffisants respiratoires, les personnes dont l'asthme est mal contrôlé, celles qui ont un syndrome d'apnées du sommeil (SAOS). "Cela peut provoquer des états d'hypoxie si la saturation en oxygène est moins bonne" explique ce spécialiste en pharmacologie des antalgiques.
     
     

    Des risques de constipation avec la codéine

    Autre risque de la codéine, la constipation. "C'est l'effet indésirable le plus fréquent de la codéine" souligne le Pr Nicolas Authier. "C'est rarement grave mais lorsque la constipation est sévère cela peut aller jusqu'à l'occlusion intestinale" informe-t-il. Si vous prenez de la codéine, il est important de connaître cet effet et de suivre quelques règles d'hygiène de vie (régime alimentaire riche en fibres, bonne hydratation, exercice physique) en prévention ou de prendre ponctuellement un laxatif sur conseil médical pour lutter contre la constipation.
     
     

    La codéine passe la barrière placentaire, un danger pour le fœtus

    La codéine passe la barrière placentaire et dans le lait maternel. Il y a un risque de symptômes de sevrage et d'apnées chez le nouveau-né exposé pendant plusieurs mois à la codéine. "Comme nous n'avons pas beaucoup de choix thérapeutique pour traiter la douleur, nous essayons d'espacer les prises de codéine pendant la grossesse" informe le Pr Nicolas Authier. "Il faut anticiper et traiter un syndrome de sevrage à la naissance en cas d’exposition prolongée du fœtus" ajoute-t-il.
     
     

    La codéine peut rendre dépendant

    "La codéine est un opioïde qui agit sur les récepteurs morphiniques. Si on en consomme trop longtemps, une accoutumance peut se développer" informe le Pr Nicolas Authier. La dépendance physique se manifeste de deux façons : il en faut de plus en plus pour obtenir un effet antalgique et il y a un syndrome de manque à l'arrêt. "Cette accoutumance peut parfois basculer en une véritable addiction, associant dépendance physiqueet psychologique avec une perte de contrôle des consommations" souligne le Pr Nicolas Authier.
     
     

    La codéine peut être détournée en drogue

    "La codéine est un opioïde, elle a des effets psycho-actifs, tout comme l'héroïne" indique le Pr Nicolas Authier.Ce médicament peut donc être détourné à des visées récréatives. Des jeunes en particulier en utilisent dans des cocktails comme le Purple Drank (mélange de sirops antitussifs à base de codéine avec un soda). Des dizaines d’overdoses et deux décès d'adolescents rapportés par l’ANSM et son réseau d’addictovigilance ont récemment fait l'actualité. Les médicaments à base de codéine ne sont plus en vente libre pour cette raison depuis le 12 juillet 2017.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Source : medisite.fr
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • La cervicobrachialgie : cette douleur qui part du cou jusqu’au bras

     

     

     

     

     

    La cervicobrachialgie peut apparaître à cause d'une lésion ou comme une conséquence de périodes prolongées de stress. Les douches alternées, avec des températures chaudes et froides, peuvent permettre de soulager la douleur.

    Son nom est un peu barbare, mais la cervicobrachialgie est bien plus commune que ce que vous pouvez penser.
    Il s’agit d’une douleur qui prend sa racine dans le cou et qui se propage, via la colonne vertébrale, jusqu’aux bras, voire jusque dans les doigts dans les cas les plus graves.

    Elle est très invalidante. Beaucoup de personnes pensent qu’elle n’affecte que les personnes qui pratiquent un sport de manière très régulière.

    Mais des facteurs comme le stress, l’anxiété chronique et l’arthrose peuvent provoquer ce trouble si douloureux.

    La bonne nouvelle est que la cervicobrachialgie se soigne très bien avec des médicaments pharmacologiques. Cependant, dans les cas les plus graves, les patients se voient obligés d’avoir recours à la chirurgie.

    Dans la suite de cet article, nous vous proposons d’en découvrir plus sur ce problème qui fait rarement la une de l’actualité médicale.

    La cervicobrachialgie : lorsque le moindre mouvement devient douloureux

    Bouger la tête, saisir un objet, s’asseoir, lire, s’allonger…voire même respirer, tous ces gestes bénins peuvent causer une intense douleur si vous souffrez de cervicobrachialgie, car elle se focalise sur la colonne vertébrale.

    Il ne s’agit donc pas d’une lésion cervicale ou d’une contracture. C’est bien plus grave que cela.

    Visualisez la zone supérieure de votre colonne vertébrale. C’est celle qui s’étend de la vertèbre C1 à la vertèbre C7, qui sont les plus petites de toute la colonne.

    • Ces petites vertèbres sont composées de ligaments, de tendons, de muscles et de fibres nerveuses.
    • Lorsqu’elles s’enflamment, la douleur peut alors se répandre à travers plusieurs zones de notre corps.

    Il est donc très fréquent que l’inflammation débute dans la colonne et qu’elle parvienne jusqu’aux épaules, aux omoplates, aux bras et au thorax.

    Quelles sont les causes de la cervicobrachialgie ?

    • Les lésions traumatiques causent souvent cette pathologie. Comme nous vous le disions au début de l’article, il s’agit de l’une des principales causes de la cervicobrachialgie. Les lésions sont souvent provoquées par un accident ou par la pratique régulière d’un sport. Les luxations, les fractures ou les usures musculaires sont les lésions les plus fréquentes.
    • Mais des périodes de stress et d’angoisse prolongées peuvent également provoquer cette situation. Il faut donc bien apprendre à gérer nos émotions.
    • Les processus inflammatoires, comme les rhumatismes, ne sont pas non plus à négliger.
    • Les personnes touchées par des maladies dégénératives, comme l’arthrose, peuvent aussi souffrir de cervicobrachialgie.
    • Les processus infectieux, comme la tuberculose, sont également susceptibles de la provoquer.

     

    cervicobrachialgie

    Quels sont les symptômes de cette pathologie ?

    Vous avez déjà entendu quelqu’un vous dire qu’il ressentait des coups de poignard dans le dos. La cervicobrachialgie provoque plus ou moins cette sensation.

    Mais la douleur ne se limite pas à sa zone d’origine, elle se répand dans d’autres parties du corps sous la forme d’une chaleur très intense.

    • La cervicobrachialgie, en plus des douleurs que nous venons de décrire, se caractérise également par des crampes intenses, par une sensibilité accrue, par une grande sensibilité musculaire, par des rougeurs ou par une sensation de froid ou de chaud intense, similaire à celle provoquée par une brûlure.
    • Il est également possible qu’elle provoque des maux de tête, des difficultés à bouger le cou, des vertiges et des nausées. Le moindre mouvement peut devenir la source de gênes intenses.

    Quels sont les traitements qui permettent de soigner la cervicobrachialgie ?

    La cervicobrachialgie requiert un traitement personnalisé, que seuls des professionnels de santé sont à même d’offrir. Il est nécessaire pour le patient de prendre des médicaments adaptés à son problème, pour réduire l’inflammation à la source du problème.

    • La physiothérapie, de son côté, peut permettre d’apaiser les douleurs et de restaurer le bon fonctionnement des extrémités du corps.
    • La thérapie du chaud-froid est également une excellente idée. Les douches chaudes, l’application d’une bouillotte et les massages à l’alcool de romarin sont très efficaces.
    • Lorsqu’une personne souffre de ce problème, elle doit absolument garder le repos pendant un certain temps. Tous les troubles musculo-squelettiques entraînent les patients qui en souffrent à changer de mode de vie.
    • Les spécialistes recommandent aux patients de dormir sur le dos, en plaçant le bras qui les fait souffrir derrière leur tête.

    La cervicobrachialgie se soigne bien

    Le pronostic des médecins sur la cervicobrachialgie est généralement positif. Cela signifie que les personnes qui n’ont pas d’antécédents cliniques trop lourds ont tendance à guérir rapidement, entre 4 et 6 semaines.

    • Les patients qui souffrent d’arthrose ou d’arthrite vont avoir plus de difficultés pour se débarrasser de cette pathologie. S’ils en souffrent de manière chronique, ils vont alterner des phases d’intenses douleurs avec des semaines plus calmes.
    • Si vous êtes dans cette situation, vous devez accorder un soin tout particulier à votre style de vie. Une bonne alimentation, de l’exercice modéré et un contrôle sur votre stress et votre anxiété devraient permettre d’améliorer votre situation.

    Chez les patients qui ont une symptomatologie plus complexe, la chirurgie est le dernier recours contre ce problème. Cependant, seuls les médecins peuvent prendre une décision d’une telle gravité.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Comment éviter les poisons du supermarché

     

     

     

     

     

     

     

    Que de produits chimiques utilisés dans l’industrie agro-alimentaire !

    Au nom du sacro-saint rendement, les volailles et les animaux de boucherie reçoivent trop souvent :

    • Des médicaments, dont beaucoup sont des molécules de synthèse n’existant pas dans la nature.
    • Des hormones, pour les faire grossir,
    • Des antibiotiques, qui accélèrent leur croissance,
    • Des tranquillisants, administrés avant l’abattage pour diminuer le stress qui fait noircir la viande de boucherie et altère son goût.

    Mais il y a aussi les additifs antioxydants, colorants, émulsifiants ou autres conservateurs.

    Il est difficile de discerner dans toutes ces molécules celles qui sont cause de troubles et celles qui ne le sont pas.

    Alors je vous propose de voir ensemble les plus dangereuses, celles à éviter en priorité :

    Quels additifs éviter en priorité ?

    La liste des additifs toxiques à éviter est malheureusement très longue :

    • Les additifs à base d’aluminium tels que le sulfate d’aluminium (E520) ;
    • Le phosphate d’aluminium acide sodique (E541) ;
    • On retrouve également dans ces produits du buthylhydroxyanisol (E320), que le Centre international de recherche sur le cancer a classé comme « probablement cancérigène » ;
    • Les additifs alimentaires néfastes pour la santé peuvent aussi être présents dans les alcools : dans les apéritifs à base de vin se cachent ainsi de la tartazine (E102), du jaune de quinoléine (E104) ou de l’azorubine (E122)

    Les plus ravageurs

    1. Le glutamate (E122 à E625), faiseur d’obèse

    On trouve du glutamate de sodium dans tous les potages en sachets, les bouillons cubes, les sauces toutes prêtes, certaines charcuteries et certains jambons, dans le surimi et dans la plupart des plats asiatiques.

    Notez bien que le monosodium glutamate (MSG) est un neurotransmetteur du cerveau qui présente bien des inconvénients. Dans certaines conditions, il détruit les neurones du cerveau par excitation.

    Les neurotransmetteurs sont à comparer aux fils qui relient entre eux les transistors que seraient nos neurones. Tout le monde en possède et en fabrique.

    Cependant, à haute dose, et spécialement chez les personnes sensibles et les jeunes enfants, le glutamate empêche le passage des informations vitales du corps humain, d’où les symptômes qui peuvent varier selon la dose avalée et la sensibilité, du simple mal-être au petit malaise éventuel (en général 1 ou 2 jours après) jusqu’à la syncope.

    Mais le plus grave, c’est l’action du MSG sur la « glycémie », c’est-à-dire votre capacité à maîtriser votre sucre sanguin et à stocker les graisses.

    Et c’est peu dire que le MSG fait des dégâts. Il est même utilisé par des scientifiques pour recréer artificiellement le diabète chez des animaux (pour mieux étudier la maladie) !

    Le MSG augmente la production d’insuline, donne faim et conduit les animaux à manger très fréquemment, et à devenir obèses.

    Or le MSG est pratiquement partout dans la restauration, particulièrement bien sûr dans les fast-food. Et le pire est que les industriels avouent franchement sur leurs sites Internet que le MSG est destiné à donner de l’appétit aux gens afin qu’ils mangent plus !

    On en est actuellement en France aux publicités montrant que lorsque le consommateur goûte le produit, il ne peut plus s’arrêter et mange toute la boîte ou le paquet ; et tout le monde rigole…

    Et pendant ce temps-là, tout le monde se demande pourquoi le nombre d’obèses augmente en flèche en France ! Une sombre croissance qui va de pair avec celle des troubles métaboliques et des maladies dégénératives.

    2. Aspartame : faux sucre et faux frère

    L’aspartame est un leurre de la sensation sucrée. Ce produit chimique actuellement fabriqué par la fameuse firme Monsanto de sinistre réputation, est donc un pur produit de synthèse.

    Voici pour l’essentiel de ce qu’il faut savoir sur ce poison confirmé comme tel par de nombreuses études indépendantes.

    L’aspartame est un édulcorant de synthèse à haut pouvoir sucrant (200 % celui du sucre) composé de deux molécules d’acides aminés : l’acide aspartique, associé à la L-phénylalanine contenue à très faible dose dans la viande, le poisson et le lait.

    Mais à forte dose, ces acides aminés sont neurotoxiques. L’aspartame aggrave littéralement les pré-diabétiques (souffrant de diabète latent type 2 dit diabète gras), on constata que sur 80 000 femmes suivies durant 6 ans par l’American Center Society, celles qui prenaient de cet édulcorant de synthèse ont pris encore plus de poids que celles utilisant du sucre ordinaire.

    L’aspartame induirait une fringale maladive de glucides (hydrates de carbones) en générant des excitotoxines cérébrales. En sevrant des personnes de l’aspartame, certains médecins ont obtenu des pertes de poids moyennes de 10 kg!

    Rappelons que beaucoup de troubles de santé causés par l’aspartame sont englobés dans une catégorie de maladie nommée « fibromyalgie » comprenant aussi : spasmes, douleurs lancinantes et diffuses, engourdissement des jambes, crampes, maux de tête, tinnitus, vertiges, douleurs articulaires, attaques d’anxiété, déprime, confusion, troubles d’élocution, de la vue ou de la mémoire, excès de violence ou de panique.

    À noter également que selon les références du Département de la Défense des Etats-Unis, le fameux « Pentagone », l’aspartame est enregistré comme arme chimique avec 4 200 autres produits alimentaires, boissons et médicaments vendus librement dans plus de 90 pays !

    Néanmoins, de très nombreux produits sont édulcorés à l’aspartame, notamment tous les produits labellisés « light » ou « sans sucre » (chewing-gums, sodas, etc.). Imaginez l’avenir de ceux qui en consomment chaque jour…

    Vous comprenez pourquoi il faut se méfier des additifs !

    Alors bien sûr, il est sans doute impossible de les supprimer totalement. Mais je vous recommande de consommer au maximum des produits frais et faits maison pour éviter de multiplier les sources d’exposition à ces produits toxiques

    Voici également quelques astuces pour limiter l’impact des polluants alimentaires sur votre santé :

    Votre armure anti-poison !

    Pour l’ensemble des pollutions, je vous conseille de recourir aux produits bio et au régime hypotoxique du docteur Seignalet.

    Ce régime comporte six directives essentielles :

    • Supprimer toutes les céréales, à l’exception du riz et du sarrasin.
    • Supprimer tous les laits animaux et leurs dérivés.
    • Manger un maximum d’aliments crus ou cuits à une température inférieure à 110°C.
    • Choisir si possible des aliments biologiques proches des produits originels.
    • Consommer des huiles de première pression à froid.
    • Prendre des sels magnésiens, des oligo-éléments, des vitamines à doses physiologiques et des ferments lactiques.

    Dans une prochaine lettre, j’aborderai une pollution encore bien pire : les métaux lourds ! Je vous donnerai des conseils pour vous en protéger, pour les éliminer, et pour restaurer le bon fonctionnement de votre organisme.

    Dans les jours et les semaines qui viennent, je traiterai aussi la question des intolérances alimentaires, celles des régimes alimentaires, et du jeûne, le plus efficace des « médicaments » !

    Portez-vous bien.

     

    Dr Jean-Pierre Willem

     

    PS : Deux livres à lire

    Pour ceux qui aimeraient en connaître davantage, je vous recommande le livre Les dégâts des métaux lourds aux éditions Trédaniel.

    Par ailleurs, les éditions Dangles sortent mon livre en avril : Pollution et santé.

     

     

     

     

     

     

    Sources : lettre-medecin-sante.com

              sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 symptômes du syndrome des ovaires polykystiques

    que vous ne devez pas négliger

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si, séparément, ils peuvent être associés à d'autres pathologies, le fait de souffrir de plusieurs de ces symptômes de manière simultanée doit vous amener à consulter un médecin afin qu'il puisse s'enquérir de la santé de vos ovaires.
     
    syndrome des ovaires polykystiques symptômes

    Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est un problème d’origine hormonale qui, du fait de ses conséquences sur la santé humaine, affecte la qualité de vie des femmes qui en souffrent.

    C’est une condition qui entraîne la formation de petits kystes ou de follicules dans les ovaires, ainsi qu’un grossissement de leur revêtement.

    Ce phénomène est provoqué par une hausse du niveau d’androgènes, des hormones masculines, et cela peut entraîner les femmes à souffrir d’infertilité.

    A cause de ce déséquilibre, d’autres symptômes peuvent apparaître et empêcher les femmes de vivre une vie pleine et en bonne santé.

    Fort heureusement, si les ovaires polykystiques sont détectés à temps, les traitements médicamenteux existants peuvent permettre de maintenir le syndrome sous contrôle.

    Pour pouvoir les détecter à temps, nous allons vous dévoiler 6 symptômes qui révèlent leur apparition.

    1. Des taches sur la peau

    taches sur la peau en raison du syndrome des ovaires polykystiques

    De multiples facteurs peuvent influer sur l’apparition de taches sombres sur la peau. Lorsqu’elles se forment soudainement, dans des zones visibles, il est fort probable qu’elles soient provoquées par un déséquilibre hormonal.

    Les femmes dont la production d’androgènes est hors de contrôle ont généralement un taux d’insuline dans le sang bien trop élevé. Voilà pourquoi des taches peuvent se former sur :

    • Leur cou
    • Leurs aisselles
    • Leur visage
    • Leurs mains
    • La zone supérieure des cuisses

    2. Des difficultés à enfanter ou de l’infertilité

    La plupart des femmes qui souffrent du syndrome des ovaires polykystiques ont généralement des ovules et un utérus en mauvaise santé.

    Dans la majorité des cas, la conséquence de cette condition est une baisse de l’ovulation. Elles ont donc très rapidement des problèmes pour tomber enceinte et pour enfanter.

    Les déséquilibres hormonaux rendent la conception difficile et, même si elle intervient, elle peut être minée par des complications et des risques importants.

    Cependant, grâce aux avancées médicales, des traitements peuvent permettre aux femmes de retrouver une ovulation normale.

    3. Une prise de poids

    surpoids dû au syndrome des ovaires polykystiques

    Une prise de poids incontrôlée peut trouver ses origines dans des déséquilibres hormonaux qui sont la conséquence du syndrome des ovaires polykystiques.

    Malheureusement, plus de la moitié des patientes souffrant de cette condition présentent ce type de symptômes.

    Si ce problème peut être réduit grâce à l’adoption d’un régime sain et d’exercices physiques réguliers, il est fondamental, si vous souffrez de cette pathologie, de consulter un professionnel pour réguler votre production hormonale.

    4. De l’acné chronique

    L’acné est un problème cutané qui peut avoir différents niveaux de gravité, qui sont généralement fonction du facteur qui le provoque.

    L’acné provoque des boutons disgracieux qui apparaissent souvent sur le visage, voilà pourquoi ceux qui en souffrent ont des problèmes d’estime d’eux-même et d’insécurité.

    Dans le cas qui nous intéresse, l’acné est déclenchée par une production excessive de testostérone, une hormone qui, chez la femme, n’est pas normalement sécrétée de manière abondante.

    5. Une croissance excessive de duvet

    duvet et syndrome des ovaires polykystiques

    Les femmes qui souffrent du syndrome des ovaires polykystiques peuvent également être touchées par de l’hirsutisme, c’est-à-dire par une croissance dérégulée de duvet corporel.

    Même s’il est parfaitement normal que des poils poussent chez les femmes sur certaines parties de leur corps, il n’est pas normal qu’une grande quantité de duvet épais fasse soudainement son apparition.

    C’est encore une production hors de contrôle de testostérone qui est à l’origine de ce phénomène, car l’hormone modifie la peau et les follicules pileux.

    6. Une chute des cheveux

    Une chute excessive de cheveux peut avoir de multiples causes. Il est nécessaire d’analyser, dans un premier temps, si l’origine du phénomène est interne ou externe.

    Dans certains cas, cela peut être le fait de l’anémie ou de carences nutritionnelles, car les cheveux ont besoin de nutriments pour rester forts.

    L’usage de certains types de cosmétiques et d’appareils générant de la chaleur peuvent aussi fragiliser les fibres capillaires.

    Cependant, lorsqu’une chute excessive de cheveux est accompagnée de l’un des autres symptômes que nous venons d’évoquer dans notre article, il est fondamental de vérifier si son apparition est la conséquence directe du syndrome des ovaires polykystiques.

    Les déséquilibres hormonaux peuvent affecter directement la santé capillaire, mais ils peuvent également interférer avec la capacité d’absorption des nutriments. 

    7. De l’anxiété et de la dépression

    anxiété provoquée par le syndrome des ovaires polykystiques

    L’activité hormonale des patientes qui souffrent de ce trouble peut provoquer des changements d’humeur brusques. Elles ont donc tendance à exprimer de la colère et de l’irritabilité.

    Les patientes peuvent également sombrer rapidement et facilement dans des états de dépression et d’anxiété, car les symptômes de leur pathologie affectent leur image corporelle, leur vie sexuelle et leur fertilité.

    Il faut faire très attention à ce phénomène. Voilà pourquoi nous vous recommandons, si vous souffrez de ce syndrome, de suivre un traitement médicamenteux, mais également d’avoir recours à un soutien psychologique.

    En conclusion, même si les symptômes que nous venons de mentionner peuvent être dus à d’autres pathologies, il est fondamental de vérifier s’ils ne sont pas en lien avec cette condition.

    Les médecins peuvent s’en rendre compte grâce à divers tests médicaux et peuvent, dès lors, prescrire un traitement adapté à la situation.

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  • Le traitement de la maladie de Crohn

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le traitement de la maladie de Crohn a pour but de soulager les symptômes ressentis par les patients et se base sur diverses méthodes qui lui permette d'atteindre ses objectifs.
     
    traitement de la maladie de crohn intestins  

    Le traitement de la maladie de Crohn a pour but d’éviter l’apparition de nouvelles poussées et de contrôler celles qui sont déjà apparues. L’origine de cette pathologie étant inconnue, il n’existe pas de traitement permettant de la guérir définitivement. Mais certaines méthodes peuvent permettre de soulager les symptômes expérimentés par les patients.

     

    Le traitement de la maladie de Crohn doit prendre en compte les dimensions suivantes :

    • Pharmacologique
    • Diététique
    • Chirurgicale
    • Autres

    maladie de crohn

    Le traitement pharmacologique

    Le traitement de la maladie de Crohn qui se base sur des médicaments est bien évidemment la première des alternatives à prendre en compte.

    Les groupes pharmacologiques utilisés le plus fréquemment pour traiter la maladie de Crohn sont :

    • Les antibiotiques
    • Les 5-ASA
    • Les glucocorticoïdes
    • Les immunosuppresseurs
    • Les thérapies biologiques

    Les antibiotiques

    Ces médicaments sont généralement prescrits pour traiter une poussée bactérienne excessive dans l’intestin grêle. Cette prolifération inhabituelle est provoquée par des complications de la maladie de Crohn (restrictions, fistules ou chirurgie), ou en cas de présence d’une condition anale ou péri-anale.

    Parmi les antibiotiques les plus utilisés par le traitement de la maladie de Crohn, on retrouve :

    • Métronidazole
    • Ciprofloxacine
    • Ampicilline
    • Sulfamides

    Leurs effets secondaires notoires sont :

    • Des nausées
    • Un goût métallique
    • Des interactions avec l’alcool

    Les 5-Aminosalycilates

    Les 5-ASA ou 5-aminosalycilates sont des anti-inflammatoires non-stéroïdiens qui sont utilisés contre la maladie de Crohn, dans le but de réduire l’inflammation qui se produit dans le côlon.

    La chirurgie ne permet pas de guérir définitivement le patient atteint de la maladie de Crohn, mais elle est nécessaire en cas de perforation, d’abcès, d’hémorragie, d’échec du traitement médicamenteux, d’obstruction intestinale et de fistules.

    Les plus communs sont la sulfasalazine et la mésalazine. Ces deux médicaments sont administrés par voie orale, même s’ils existent également sous la forme de suppositoires ou de lavements. Ce sont d’excellentes alternatives pour les personnes qui ne réagissent pas correctement aux stéroïdes.

    Leurs effets secondaires notoires sont :

    • Des nausées
    • De la diarrhée
    • Des maux de tête

    Les glucocorticoïdes

    Il s’agit d’un traitement hormonal qui permet de réduire les inflammations. Ils sont généralement utilisés pour traiter les phases aiguës de la maladie, mais ils sont rapidement retirés du traitement de la maladie de Crohn car leurs effets secondaires sont potentiellement dangereux.

    ostéoporose

    Les plus utilisés sont :

    • La bubdésonide : elle est utilisée pour traiter les problèmes touchant l’iléon, grâce à son action spécifique.
    • La prednisone : elle est utilisée dans les cas les plus graves.

    Les effets secondaires de ces médicaments sont :

    • De la rétention d’eau
    • De l’ostéoporose
    • De la gastrite
    • De l’acné
    • Des cataractes

    Il faut prendre en compte que les stéroïdes ont des effets secondaires extrêmement néfastes. Voilà pourquoi les personnes qui suivent ce traitement ne doivent pas l’arrêter soudainement et qu’elles doivent diminuer progressivement les doses.

    Les immunosuppresseurs

    Ces médicaments désactivent le système immunitaire pour supprimer la réaction inflammatoire, ce qui permet donc de réduire l’inflammation sur du long terme.Ils sont généralement utilisés lorsque les corticoïdes n’ont plus d’effets ou pour éviter de nouvelles poussées.

    Les médicaments les plus utilisés de ce groupe sont :

    • L’azathioprine
    • La mercaptopurine : ce médicament est généralement utilisé dans le traitement contre la leucémie. Dans le traitement de la maladie de Crohn, il joue le rôle d’immunosuppresseur. Il présente des effets secondaires notoires, parmi lesquels on retrouve :
      • Des nausées
      • De la fatigue
      • De l’infertilité
    • Le méthotexate : si ce médicament est prescrit à un patient, il doit l’arrêter trois mois avant de concevoir un enfant, qu’il soit un homme ou une femme, car il peut entraîner des dysfonctionnements génétiques chez l’embryon (tératogénie).  :

    Comme ces médicaments ont pour but d’inhiber le système immunitaire, ils rendent les patient-e-s bien plus vulnérables aux infections.

    Les thérapies biologiques

    Il s’agit d’anticorps monoclonaux anti-TNS α qui éliminent le TNF (Facteur de Nécrose Tumorale, une molécule qui renforce les processus inflammatoires).

    Infliximab

    Ils sont utilisés en association avec les immunosuppresseurs si ces derniers ne sont pas suffisants ou chez les patients qui n’ont pas répondu positivement à une opération chirurgicale.

    Parmi les produits pharmaceutiques les plus utilisés de ce groupe dans le traitement de la maladie de Crohn sont :

    • L’infliximab : il est administré sous la forme d’infusion et peut provoquer des réactions allergiques.
    • L’adalimumab : il est administré par injection, une fois toutes les deux semaines.
    • Le certolizumab

    Le traitement diététique

    Le régime alimentaire est un facteur très important pour les patients atteints de la maladie de Crohn, car ils souffrent souvent d’un manque d’appétit et d’une mauvaise absorption des nutriments.

    L’alimentation des patients doit être équilibrée, tout comme chez les personnes saines, mais iels doivent obéir à des règles bien plus drastiques, car ils peuvent souffrir de complications dues à leur maladie.

    Un régime équilibré se base sur une équation relativement simple. 50 à 55% des nutriments doivent être des glucides, 30 à 35% des lipides ou des graisses et 12 à 15% des protéines. Le/la patient-e doit également s’assurer de consommer suffisamment de fibres, de vitamines et de minéraux, en fonction de sa situation. Iel doit prendre plusieurs repas par jour et boire beaucoup d’eau.

    panier d'aliments

    Les patients atteints de la maladie de Crohn doivent éviter de consommer des aliments riches en fibres et piquants. Les boissons gazeuses, ainsi que celles qui contiennent du gaz et de l’alcool, doivent totalement être éliminées de leur alimentation.

    Même s’ils suivent à la lettre les recommandations de leur nutritionniste, les patients peuvent souffrir d’une malnutrition grave. Ils peuvent avoir besoin d’aliments spécialisés ou d’une nutrition par intraveineuse dans certains cas.

    « Que ton aliment soit ton seul médicament. »

    -Hippocrate-

    Certains aliments peuvent provoquer des effets dévastateurs chez les patients atteints de la maladie de Crohn. Ils doivent donc absolument les éviter. Parmi ces aliments, on retrouve :

    • La caséine (une protéine présente dans le lait)
    • Le gluten
    • Le blé
    • Le maïs
    • La levure
    • Certains fruits et légumes

    Deux régimes ont fait leurs preuves pour venir en aide aux patients atteints de la maladie de Crohn. Il s’agit du régime sans gluten et du régime sans FODMAP(glucides à chaîne courte et dérivés alcoolisés qui sont mal absorbés par l’intestin grêle).

    Les patients peuvent consommer des suppléments vitaminiques pour soulager les symptômes des poussées de la maladie ou pour impulser une rémission. Selon des études récentes, la vitamine D serait étroitement en lien avec la maladie de Crohn.

    La consommation de suppléments de calcium est remise en question car elle peut provoquer des calcifications artérielles et des infarctus du myocarde.

    Le traitement chirurgical

    L’objectif principal de la chirurgie, dans le cadre du traitement de la maladie de Crohn, est de permettre aux patients d’être en meilleure santé et de diminuer les symptômes dont ils souffrent. Une intervention chirurgicale permet également de diminuer l’impact des complications éventuelles de la maladie ou de ne pas prolonger un traitement pharmacologique inutile.

    La chirurgie ne peut pas guérir définitivement la maladie, mais elle est absolument nécessaire en cas de perforation, d’abcès, d’hémorragie, d’échec du traitement médicamenteux, d’obstruction intestinale ou de fistules.

    L’opération consiste à retirer la section enflammée du système digestif et à refermer l’intestin.

    Les traitements alternatifs de la maladie de Crohn

    Il n’existe pas d’autres traitements qui permettent de soulager les symptômes de la maladie, mais certaines habitudes saines peuvent être adoptées par les patients. Parmi elles, on peut distinguer :

    • L’arrêt du tabagisme
    • Le repos : cela permet de diminuer la tension émotionnelle, ce qui peut diminuer les poussées et améliorer l’efficacité du traitement pharmacologique.

    Même s’il s’agit d’une maladie chronique, qui peut être marquée par des épisodes très graves, les patients qui en souffrent peuvent avoir des activités quotidiennes parfaitement normales.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Tout ce que vous devriez savoir sur le lupus

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le lupus est une maladie chronique dans laquelle le système immunitaire attaque les cellules saines et qui peut affecter de multiples organes.
     

    Dans le monde, il existe une infinité de maladies, certaines beaucoup plus préoccupantes que d’autres et donc plus connues, plus dangereuses et aux symptômes très complexes.

    Cependant, cette vérité générale ne s’applique pas à toutes les maladies. Voici un exemple parfait : le lupus.

    Peut-être que vous avez déjà entendu parler de cette maladie ou peut-être même que vous en êtes atteint-e sans le savoir.

    Qu’est-ce que le lupus ?

    Il est considéré comme l’une des maladies les plus dangereuses et instables que l’on trouve dans le corps. Tout cela à cause de sa caractéristique principale : elle est auto-immune.

    Les souffrances liées à cette maladie sont peu communes et sont donc imprédictibles, puisqu’elles affectent le système immunitaire.

    Le lupus se charge d’attaquer et d’affecter les cellules qui appartiennent à ce système.

    Le lupus détruit les défenses corporelles, qui ne sont pas capables de faire face à des bactéries et d’autres types de substances nocives pour l’organisme.

    Le système immunitaire et le lupus

    Ils sont donc très liés. Évoquons rapidement le système immunitaire et son importance pour l’organisme.

    • Il est formé d’organes particuliers, de cellules, de tissus, de protéines, entre autres.
    • Cet ensemble a pour principale fonction de protéger tout le corps des éléments étrangers.
    • Dans ces éléments, on trouve les bactéries, les germes et les micro-organismes. Et on les trouve quasiment dans chaque endroit où nous nous déplaçons.

    En résumé, le système immunitaire est un ensemble de fonctions du corps chargées de le protéger. Mais quel rapport avec le lupus ?

    Même si ce n’est pas une maladie contagieuse, elle affecte toutes les défenses du corps. D’où son lien étroit avec avec le système immunitaire. Petit à petit, il attaque les cellules et les tissus.

    Types de lupus

    Cette maladie se divise en trois types, dont nous allons parler ici.

    1. Le lupus érythémateux systémique

    Aussi connu sous le nom de LES, selon son sigle anglais, ce type de lupus est le plus commun. Les spécialistes l’appelle simplement « lupus ».

    • Il affecte régulièrement les systèmes les plus importants, notamment les organes comme le cœur, le cerveau et les reins.
    • Ses symptômes sont assez variés. Chez certaines personnes, il devient extrêmement sévère et chez d’autres, il est beaucoup plus léger.

    2. Le lupus cutané discoïde

    Comme son nom l’indique, ce type de lupus affecte avant tout les tissus de la peau.

    Si l’on sait qu’il couvre 100% du corps notamment de façon externe, n’importe quelle partie peut être affectée. Cependant, ses symptômes sont plus présents sur le visage et le cuir chevelu.

    Les principaux symptômes sont les éruptions cutanées de couleur rouge ou les changements dans le ton de la peau.

    3. Le lupus induit par certains médicaments

    Ce type de lupus est similaire au lupus systémique mais est provoqué par le rejet de certains médicaments par l’organisme.

    Heureusement, la suspension du traitement peut être suffisant pour améliorer la condition, car il disparaît immédiatement.

    Les symptômes du lupus induit sont souvent moins sévères que ceux du lupus systémique.

    Est-il possible de reconnaître le lupus ?

    Cette maladie est complexe, non seulement pour ceux qui en souffrent, mais aussi pour les professionnels de santé.

    Et il est parfois difficile de donner un diagnostic sûr.

    Malgré tout, le lupus offre certains signaux qui aident à l’identifier.

    Voici les plus communs :

    • Les douleurs articulaires
    • Les inflammations articulaires
    • Le gonflement de la glande thyroïde
    • La fatigue extrême et sans raison
    • La chute des cheveux
    • La tristesse et l’inquiétude à l’extrême
    • Les affections du visage
    • La douleur dans la poitrine

    À savoir

    Ses symptômes arrivent par poussées, peuvent apparaître et disparaître. Il est recommandé, dans ce cas, de consulter un médecin de confiance.

    Cette maladie peut se présenter chez n’importe quel être humain. Son origine est méconnue mais est liée à des facteurs héréditaires.

    Même s’il n’a pas de remède, il existe de nombreuses manières de le traiter. Pour cela, il faut consulter un spécialiste.

    En discuter avec d’autres personnes atteintes de cette maladie peut aussi permettre de la surmonter.

     

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  • Qu’est-ce que le vitiligo ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Le vitiligo est considéré comme une maladie bégnine qui, sans aucun doute, génère de grands problèmes psychologies et sociaux chez les personnes qui en souffrent.

    Le vitiligo est une maladie chronique qui provoque une pigmentation anormale de la peau. Se forment ensuite des taches blanches de différentes tailles et réparties sur le corps. Il est fréquent qu’elles soient plus visibles sur les zones les plus pigmentées ou exposées aux frottements, comme le visage, les aisselles, les lèvres, les parties génitales, les mains, etc.

    La maladie affecte entre 1% et 2% de la population. Elle attaque généralement des personnes entre 20 et 30 ans, ou de plus de 50 ans. Toutefois, elle peut survenir à n’importe quelle étape de la vie. Elle prévaut davantage chez les femmes que chez les hommes.

    Le vitiligo n’est pas contagieux. Il évolue forcément, même s’il a, en général, tendance à progresser. Seul un très faible pourcentage de personnes touchées génère une repigmentation spontanée. Les rares fois où cela arrive, ce sont des enfants dans la majorité des cas.

    L’origine de la maladie

    Jusqu’à aujourd’hui, la science ignore les causes du vitiligo. On pense qu’il pourrait s’agir d’une maladie auto-immune, mais nous n’avons pas encore assez de preuves. Nous avons également trouvé une relation avec le facteur génétique, car une personne sur cinq touchée par cette maladie a un proche qui en souffre également.

    L’hypothèse la plus acceptée étant celle selon laquelle la perte de pigmentation se produit à cause des mélanocytes qui développent des processus d’autodestruction. Nous savons également qu’il existe d’autres facteurs associés comme les brûlures du soleil et le stress émotionnel.

    Le degré de perte de pigmentation varie d’un patient à l’autre. Parfois elle commence rapidement puis elle s’arrête subitement. On ignore pourquoi. Dans la majorité des cas il y a une évolution cyclique : les périodes actives de la maladie alternent avec des périodes de stabilité.

    Les symptômes du vitiligo

    La principale manifestation du vitiligo sont les taches blanches sur la peau. Elles apparaissent principalement sur les zones les plus exposées au soleil. Comme nous l’avons mentionné auparavant, elles apparaissent également sur les muqueuses et les zones de frottement.

    vitiligo mains

    La quantité des taches et leur étendue augmente en général avec le temps.Toutefois il y a de grandes différences d’une personne à une autre, mais ce qui est sûr c’est que l’on remarque davantage la maladie chez les personnes à la peau sombre. Les patients qui ont la peau plus claire ne voient les taches que lorsqu’ils ont un épiderme qui rougit.

    Bien que le cuir chevelu n’est pas touché par le vitiligo, il est fréquent de voir les patients avoir des cheveux blancs plus précocement. Quoiqu’il en soit, cette maladie est considérée comme bégnine, car elle ne provoque pas de dommages graves pour l’organisme. Le plus grand problème est esthétique et psychologique.

    Types de vitiligo

    Il existe deux types de vitiligo : non segmentaire, ou de type A ; et segmentaire, ou de type B. Le type A est le plus fréquent et c’est celui où l’on observe un facteur génétique. Il se divise en quatre sous-types, selon la distribution du processus de dépigmentation :

    dépigmentation

    • Localisé. Les taches sont rares et se trouvent à des endroits spécifiques.
    • Il apparaît entre les doigts et dans les orifices du visage
    • Il n’apparaît que sur les pieds et les mains.
    • Généralisé. La distribution des taches est aléatoire et recouvre la majeure partie du corps. C’est la forme de vitiligo la plus courante.

    De son côté, le vitiligo de type B est plus rare. Il apparaît généralement à de jeunes âges, chez des enfants. Il commence presque toujours par la propagation rapide des taches, puis s’arrête, en général après un an.

    Diagnostic et attentes

    Le plus fréquent c’est que le médecin réalise un examen physique et un entretien clinique pour faire le diagnostique. Ce qui inclut une inspection détaillée des taches pour vérifier si elles correspondent à la maladie. De plus, on vous pose également des questions sur les antécédents familiaux et l’état général du patient.

    Au cas où vous auriez un doute ou une suspicion que les symptômes puissent correspondre à une autre pathologie, le médecin ordonnera d’autres examens comme ceux-ci :

    • Biopsie de la peau.
    • Lampe de Wood.
    • Analyse de sang.
    • Examen des yeux.

    De nos jours plusieurs recherches sont en cours sur le vitiligo. Elles se concentrent essentiellement sur trois fronts. Le premier étant de déterminer l’incidence du stress et des traumatismes sur la maladie. Le second est d’établir l’influence de la génétique sur l’apparition du vitiligo. Enfin, des études sont élaborées sur des rats de laboratoire pour développer de nouveaux traitements.

     

     

     

     

     

     

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  • 7 signes de problèmes de thyroïde

    que nous négligeons fréquemment

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il est essentiel d'identifier les symptômes des déséquilibres de la thyroïde pour obtenir un diagnostic précoce afin de commencer un traitement qui nous aide à réguler ces glandes.
     

    Les problèmes de thyroïde ne montrent pas de signes très clairs. Cependant ces indices vous aideront à savoir si, à part ce problème, il existe d’autres complications plus graves que vous pourriez ne pas soupçonner. Prenez note de tout cela.

    Que sont les thyroïdes ?

    La thyroïde est une glandule en forme de papillon située sur le cou, juste au-dessus de la clavicule. C’est une glande endocrinienne qui produit des hormones.

    Les hormones thyroïdiennes sont chargées de contrôler le rythme de nombreuses activités du corps, y compris la vitesse à laquelle les calories sont brûlées et le rythme cardiaque.

    Tous ces facteurs constituent le métabolisme du corps.

    Lisez aussi : voulez-vous plus d’énergie ? Délicieuse boisson naturelle pour réguler la glande thyroïde

    1. Fatigue et irritabilité

    la fatigue et l'irritabilité sont des problèmes de thyroïde

    Les maladies qui affectent les thyroïdes peuvent avoir des conséquences sur le niveau d’énergie que vous avez, ainsi que sur votre humeur.

    • Dans le cas où vous souffrez d’hypothyroïdie, vous pouvez ressentir une grande fatigue ainsi qu’une perte de forces.
    • De plus, d’autres problèmes surviennent souvent avec le sommeil, l’anxiété et l’irritabilité.

    2. Changements de rythme cardiaque

    La thyroïde affecte pratiquement tous les organes et peut également déstabiliser votre fréquence cardiaque. Vous devez savoir que les pulsations normales se situent entre 60 et 100 par minute.

    Il est relativement simple de contrôler son rythme cardiaque, qu’il soit plus faible ou nettement plus rapide.

    Il suffira de s’observer régulièrement dans ce sens.

    3. Changements de poids

    le changement de poids peut être lié a un problème de thyroïde

    Les changements de poids soudains sont l’une des caractéristiques principales des problèmes liés aux thyroïdes. C’est l’un des symptômes les plus courants.

    En effet, prendre ou perdre du poids en peu de temps peut signaler un déséquilibre de l’hormone thyroïdienne.

    4. Peaux sèches et ongles fragiles

    La peau sèche et les démangeaisons peuvent être un signe de problèmes de thyroïde.

    Dans ce sens, vous verrez que les ongles se fragilisent et qu’apparaissent de grandes rainures.

    5. Dérèglement de la température corporelle

    température corporelle et problème de thyroïde

    Un mauvais règlement de la température corporelle est également un symptôme de problème lié aux thyroïdes.

    Les complications de ces glandes peuvent affecter la capacité à réguler la température corporelle.

    Ainsi, les personnes affectées peuvent avoir spécialement froid ou chaud, ce qui peut se refléter par une transpiration excessive et une répulsion à la chaleur.

    6. Protubérances dans le cou

    Les protubérances dans le cou sont un autre signe visible qui peut vous faire penser que vous avez un problème de thyroïde.

    Si vous remarquez que des bosses apparaissent dans votre cou, consultez un spécialiste pour vérifier si vous avez un déséquilibre.

    7. Douleurs musculaires

    douleurs musculaires et problème de thyroïde

    Les douleurs musculaires sont un autre symptôme de l’hypothyroïdie. En outre, ils peuvent également se manifester sous la forme de multiples douleurs dans tout le corps.

    Ces symptômes seraient liés à un gonflement des muscles ou de bosses qui oppriment les nerfs, donc si vous les observez, consultez votre médecin.

    Moyens de vérification

    S’il nous souffrons de problèmes d’hypothyroïdie, il existe plusieurs façons de le vérifier, en particulier si cela se produit le soir ou la nuit.

    Si cela se passe pendant la nuit, buvez une solution à base de 5% d’iode et dessinez plusieurs lignes d’iode dans le creux de vos deux mains.

    L’une des raisons est que la glande thyroïde est un organe pair et que chaque composant de ce pair fonctionne différemment.

    Le lendemain matin, vérifiez quelle main a le mieux absorbé l’iode, et celle dans laquelle il a complètement disparu.

    Les zones où l’iode aura le plus été absorbé, seront celles qui auront un besoin accru d’iode.

    • Si vous voyez que les traits ont disparu dans la main droite, alors vous devez savoir que les déséquilibres hormonaux se produisent du côté droit de la thyroïde.
    • Si cela se produit dans la main gauche, le problème devrait être recherché sur le côté gauche. Mais en général, la pathologie n’existe que d’un côté.

    Cependant, bien que ces symptômes en soi ne puissent pas uniquement servir de base pour réaliser un diagnostic par vous même, ils peuvent coïncider avec les symptômes d’autres maladies. Si vous les remarquez, ne les ignorez pas.

    La meilleure chose à faire est de vérifier auprès de votre médecin et d’obtenir des examens médicaux.

    Les problèmes de thyroïde provoquent des troubles hormonaux qui peuvent affecter la santé de diverses façons.

     

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  • Santé des femmes : 8 symptômes à ne pas ignorer

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si la plupart de ces symptômes peuvent être dus à des raisons sans importance, nous vous conseillons de consulter un spécialiste pour obtenir un diagnostic adéquat et éviter des problèmes futurs.
     
    santé des femmes symptômes
    Si les femmes sont très occupées par leur famille, par leur travail et par des milliers d’autres occupations, elles ne doivent pas pour autant négliger leur santé, au risque de souffrir de maladies graves.

    Si nous pouvons tous tomber malades d’une manière ou d’une autre, certaines pathologies sont propres au genre féminin et leur développement peut affecter significativement la qualité de vie des femmes.

    Le plus inquiétant est que la plupart de ces pathologies ont des symptômes qui peuvent être associés à des maladies bénignes. Pour autant, s’ils sont ignorés, ils peuvent donner naissance à des maladies graves qui mettent en danger la santé des femmes.

    Voilà pourquoi il est primordial que toutes les femmes sachent reconnaître les signaux qui indiquent que quelque chose ne va pas.

    Dans la suite de notre article, nous allons vous parler des 8 symptômes principaux qui peuvent vous indiquer la présence d’une pathologie grave.

    Découvrez-les sans plus attendre.

    1. Une inflammation des extrémités

    l'inflammation des extrémités est un mauvais signe pour la santé des femmes

    Une inflammation soudaine des extrémités est généralement le symptôme principal de la rétention d’eau.

    Ce trouble est souvent provoqué par une consommation excessive de sel, mais il peut être également le symptôme de maladie comme :

    • Un œdème périphérique
    • Une bursite du genou
    • De l’arthrite ou de l’ostéoarthrite
    • Une maladie rénale chronique
    • Une cirrhose hépatique
    • Une thrombose veineuse profonde
    • Une rupture du tendon d’Achille
    • Une entorse de la cheville
    • Un cancer

    2. Des douleurs abdominales

    Les douleurs abdominales peuvent affecter les hommes comme les femmes.

    Cependant, elles sont plus récurrentes chez les femmes. Elles ne sont pas forcément le symptôme de troubles digestifs, car elles peuvent aussi nous alerter sur le développement d’affections comme :

    • Un cancer des ovaires
    • De l’endométriose
    • Une maladie inflammatoire pelvienne
    • Le syndrome prémenstruel
    • Un kyste ovarien
    • Des myomes utérins
    • La maladie cœliaque
    • Le syndrome de l’intestin irritable
    • Les ulcères stomacaux

    3. Des saignements inhabituels

    les saignements inhabituels sont un mauvais signe pour la santé des femmes

    Les saignements inhabituels sont très fréquents chez les femmes qui souffrent de dysfonctionnements hormonaux.

    Ils peuvent se manifester en dehors de leur cycle menstruel, voire dans les premières étapes du développement de la ménopause.

    Dans tous les cas, il est important d’y faire très attention, car ces saignements peuvent nous alerter sur la présence :

    • D’un cancer (de l’endomètre, du col de l’utérus ou du vagin)
    • D’infections vaginales chroniques
    • De fibromes et de polypes utérins
    • D’infections de la muqueuse utérine
    • D’un traumatisme pelvien
    • D’hyperplasie endométriale

    4. Des grosseurs dans les seins

    Les changements de texture ou de forme des seins sont des symptômes qui ne doivent absolument pas être pris à la légère.

    S’il est certain que toutes les protubérances ou que toutes les grosseurs ne sont pas cancérigènes, elles sont tout de même les principaux signes avant-coureurs du cancer du sein.

    • Les femmes doivent réaliser des palpations de leurs seins et de leurs aisselles, pour détecter des changements de leurs tissus mammaires.
    • Si vous détectez des grosseurs, ou si votre peau est rouge et irritée, vous devez immédiatement consulter un médecin.

    5. Des migraines

    les migraines sont un mauvais signe pour la santé des femmes

    Les maux de tête importants, comme ceux causés par des migraines, peuvent être causés par un excès de stress ou par certaines carences nutritionnelles.

    Les femmes doivent absolument y prêter attention car, s’ils sont réguliers, ils peuvent les alerter sur l’apparition de conditions comme :

    • Une hémorragie cérébrale
    • De l’hypertension artérielle
    • Une crise cardiaque
    • Des caillots sanguins
    • Des maladies digestives
    • Des problèmes visuels

    6. Des relations sexuelles douloureuses

    Si vos relations sexuelles sont régulièrement douloureuses, vous devez y prêter attention.

    Même si elles peuvent être dues à une baisse de votre libido, elles sont souvent le signe d’une maladie ou d’un changement hormonal.

    Les femmes qui se trouvent au stade de la ménopause peuvent ressentir des douleurs durant le coït, car la lubrification naturelle de leur vagin faiblit à cause d’une diminution de leur production d’œstrogènes.

    Voici les autres pathologies que des relations sexuelles douloureuses peuvent révéler :

    • Des kystes ovariens
    • Des infections vaginales
    • Des infections dans l’utérus ou dans les trompes de Fallope
    • Une inflammation de la vessie
    • Une endométriose
    • Des fibromes

    7. De la fatigue chronique

    la fatigue chronique est un mauvais signe pour la santé des femmes

    La fatigue chronique est l’un des symptômes les plus ignorés parmi ceux dont souffrent les femmes au quotidien.

    Même si les femmes qui travaillent beaucoup ou qui ont une activité physique intense en souffrent de manière logique, la fatigue chronique peut apparaître lorsqu’une pathologie grave fait son apparition.

    La permanence d’un état d’épuisement avancé peut nous alerter sur la présence :

    • D’insuffisance hépatique
    • D’insuffisance rénale
    • D’anémie
    • D’un cancer
    • De maladies cardiovasculaires
    • De maladies thyroïdiennes
    • D’apnée du sommeil
    • De diabète

    8. Une perte de poids inexpliquée

    Une perte de poids inexpliquée est celle qui se produit rapidement, alors même que la personne qui en fait l’expérience suit un régime alimentaire sain.

    Elle ne suit pas un régime spécifique lui permettant de perdre du poids, mais elle continue pourtant à mincir sans aucune explication raisonnable.

    Même si certaines personnes peuvent penser qu’il s’agit d’un point positif, des maladies graves peuvent se cacher derrière ce phénomène.

    Si la personne qui subit cette perte de poids expérimente également une perte d’appétit, il peut peut-être s’agir :

    • De la maladie cœliaque
    • De diabète
    • De rétention d’eau
    • D’une dépression
    • De maladies digestives
    • D’un cancer
    • De maladies thyroïdiennes
    • De problèmes cardiovasculaires
    • De maladies respiratoires

    Gardez à l’esprit que ces symptômes ne sont pas forcément dus à des maladies graves. Pour autant, si vous en souffrez, nous vous recommandons de consulter un médecin, surtout si vous avez des antécédents familiaux.

    Ne négligez pas votre santé !

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

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  • 8 signes surprenants du cancer du poumon à ne pas négliger

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Certaines gênes en lien avec le cancer du poumon, comme la toux persistante ou la fragilité musculaire, peuvent passer inaperçues car elles sont considérées comme normales ou sont associées à une activité habituelle.
     

    Le cancer du poumon est l’un des types de cancer qui cause le plus de mort-e-s dans le monde entier. Contrairement à ce que l’on pense, il ne se déclare pas uniquement chez les personnes qui fument. 

    Ce type de cancer se développe également chez les non fumeurs car ils sont exposés à d’autres facteurs déclencheurs, tels que :

    • La pollution de l’air
    • Être fumeur passif
    • L’exposition à des chimiques comme l’asbeste ou le radon

    La douleur dans la poitrine est l’un des principaux symptômes mais il ne faut pas négliger les autres signes du cancer du poumon.

    Selon l’étape à laquelle se trouve cette maladie, on peut expérimenter les symptômes suivants.

    La confusion des signes du cancer du poumon

    Certaines gênes qui peuvent être un avertissement de ce type de cancer peuvent passer inaperçues ou être confondues avec une autre maladie.

    On les attribue souvent à un rhume courant ou à la fatigue due à une activité en particulier.

    Pourtant, tenir compte immédiatement des premiers symptômes augmente l’efficacité du traitement.

    Voici les symptômes.

    1. La toux persistante

    C’est souvent une toux sèche qui est parfois accompagnée de sang. Il peut aussi y avoir de la morve de couleur rouge.

    Si la toux dure pendant plus d’un mois et génère des ronflements ou une voix rauque, mieux vaut consulter un spécialiste des voies respiratoires pour faire des tests et écarter la possibilité d’un cancer du poumon.

    Beaucoup de gens oublient et négligent ce symptôme car il est très gênant de faire des examens. Cependant, pensez que plus vous les ferez tôt, plus vos doutes se dissiperont rapidement.

    2. Les infections chroniques

    Vous avez remarqué que la bronchite vous affecte plus souvent sans cause apparente ? Dans ce cas, demandez à votre médecin qu’il vous fasse un check-up complet.

    Ce qui doit impérativement tirer la sonnette d’alarme, ce sont les douleurs dans la poitrine. Ces douleurs ne sont jamais communes.

    • On pense souvent que la douleur dans la poitrine n’a qu’un lien avec les problèmes de cœur.
    • Si votre cardiologue a écarté cette possibilité, vous devriez demander à votre médecin qu’il évalue vos poumons.

    3. La perte de poids

    Si vous avez perdu du poids sans rien changer dans votre régime alimentaire ni avoir débuté un programme d’exercices, vous devez réfléchir à la cause de ce changement.

    Même si à première vue, cela peut sembler génial, avec le temps, cela peut représenter un grand problème.

    4. La douleur des os

    C’est un signe de cancer du poumon qui se présente quand la maladie s’est déjà propagée dans d’autres parties du corps. En général, le dos et les hanches sont les zones qui sont les plus affectées.

    Certaines personnes voient ce symptôme comme quelque chose de commun, surtout quand on est âgé. Mais quel que soit votre âge, vous devez vous assurer que la douleur des os ne cache rien de grave.

    5. L’inflammation du cou et du visage

    Cela arrive quand la tumeur fait pression sur la veine cave, qui est celle qui transporte le sang de la tête et des bras jusqu’au cœur.

    L’inflammation apparaît car la circulation sanguine est plus lente que la normale. Vous ne parviendrez pas à éliminer l’inflammation avec des massages ou d’autres alternatives.

    6. La fragilité musculaire

    C’est un signe du cancer du poumon qui affecte les hanches, les bras, les épaules et les jambes. Il est fréquent de ressentir de la fragilité et un manque de force, ce qui fait que les activités du quotidien deviennent difficiles à réaliser.

    7. De forts niveaux de calcium

    Dans certains types de cancer du poumon, les taux de calcium augmentent et l’afflux sanguin est plus fort. Cela produit les symptômes suivants :

    • La miction fréquente
    • La constipation
    • La soif excessive
    • Les nausées
    • La douleur d’estomac
    • Les nausées

    La seule manière de vérifier et d’être sûr/e de ce qui arrive dans l’organisme est de réaliser un test sanguin.

    8. La respiration forcée

    Vous ronflez lorsque vous dormez ? Les tâches les plus courantes que vous faisiez avant vous semblent compliquées ? Marcher rapidement vous coupe le souffle alors qu’avant ce n’était pas un problème ?

    Le cancer du poumon affecte la capacité aérobic et vous devez consulter un médecin pour qu’il vous fasse des tests.

    Il n’y a que lui qui pourra déterminer si vous souffrez d’un problème grave ou si la respiration forcée est le fruit de l’âge ou du manque d’activité physique.

    Restez alerte face à tout changement inattendu

    Comme vous le voyez, certains signes peuvent être des symptômes d’autres problèmes que le cancer du poumon.

    Ce qui est important, c’est de rester attentif à tout changement dans votre corps qui ne soit pas le produit d’une modification du régime alimentaire, de l’activité physique ou d’un traitement.

    Si vous détectez l’un de ces changements, mieux vaut consulter votre médecin pour qu’il évalue ses causes.

    Dans le meilleur des cas, ce sera une fausse alerte mais cela peut aussi être l’opportunité de détecter cette maladie ou une autre à temps.

    Souvenez-vous que le cancer est une maladie dont le diagnostic précoce augmente les possibilités de bénéficier d’un traitement qui réussit.

    Évitez aussi l’exposition à des facteurs cancérigènes comme la fumée du tabac et autres agents chimiques toxiques.

     

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  • 9 effets surprenants associés à une baisse de sérotonine

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Au-delà des problèmes d'anxiété ou de dépression, une carence en sérotonine peut envoyer de nombreux signaux que nous ne devons pas négliger, car ils peuvent nous indiquer que quelque chose ne va pas avec ce neurotransmetteur.
     
    baisse de sérotonine effets
    La sérotonine est la substance chimique qui nous rend heureux, qui déclenche en nous une agréable sensation de bien-être général.

    Cependant, ses fonctions vont bien au-delà de la gestion de cet état émotionnel agréable.

    La sérotonine, ou 5-hydroxytryptamine (5-HT), en plus d’agir dans notre cerveau comme un neurotransmetteur, joue également le rôle d’une hormone lorsqu’elle parvient dans notre flux sanguin.

    Elle a donc un impact important et de nombreuses fonctions dans le fonctionnement de notre corps et de notre esprit. Nous savons qu’elle est, entre autres, indispensable à notre santé osseuse, à la régénération hépatique et à la division cellulaire.

    Ce composé chimique de notre organisme est aussi fascinant que merveilleux. En effet, grâce à la 5-HT, nous pouvons disposer d’un équilibre interne qui garantit le bien-être de tous les processus qui sont indispensables à notre santé globale.

    Dans la suite de cet article, nous allons vous expliquer les effets que peut avoir une baisse de sérotonine sur notre organisme.

    Il est important de prendre en compte que ces symptômes sont souvent attribués à d’autres maladies, alors qu’ils peuvent simplement être dus à un dysfonctionnement au niveau des neurotransmetteurs ou des hormones.

    1. Un faible taux de sérotonine provoque des problèmes digestifs

    Il est possible que vous n’ayez jamais entendu parler des péristases. Ce terme fait référence aux contractions qui se produisent dans notre tractus digestif et qui ont un but simple : transporter les aliments et les liquides que nous ingérons à travers notre système digestif.

    Lorsque nous connaissons une baisse de sérotonine, nos cellules produisent moins de calcium.

    Moins nous disposons de calcium, plus nos muscles digestifs se relâchent. Ils ne se contractent plus suffisamment et notre digestion peut nous paraître plus lente et plus lourde.

    2. La relation entre une baisse de sérotonine et le syndrome du côlon irritable

    baisse de sérotonine et syndrome du côlon irritable

    Voici une donnée très intéressante : environ 95% de la sérotonine que nous produisons est stockée dans nos intestins. Une carence en sérotonine peut donc avoir un impact majeur sur le fonctionnement de ces organes si précieux pour notre organisme.

    • Il est fort probable que nous souffrions d’épisodes de constipation si nous subissons une baisse de sérotonine .
    • De plus, à cause de la détérioration musculaire du système digestif que nous avons pu évoquer précédemment, nous nous exposons à souffrir du syndrome du côlon irritable.

    Si vous souffrez des troubles dont nous venons de parler, demandez à votre médecin qu’il vous prescrive des analyses de sang pour voir si vos symptômes sont potentiellement en lien avec une baisse de sérotonine dans votre organisme.

    3. Un affaiblissement du système immunitaire

    Si vous vous sentez très fatigué en ce moment, que vous souffrez d’une faiblesse musculaire, d’une fatigue extrême et d’une mauvaise humeur constante, et que vous êtes en plus victime d’infections ou de rhumes fréquents, vous devez rapidement consulter votre médecin.

    Un faible taux de sérotonine peut fragiliser la réponse immunitaire de notre corps, qui ne nous protège alors plus aussi bien contre les maladies.

    4. Des altérations de l’horloge biologique

    baisse de sérotonine et insomnie

    Un taux bas de sérotonine peut totalement altérer notre rythme circadien. La plupart du temps, les personnes qui en souffrent peuvent avoir davantage envie de dormir le jour que la nuit.

    • Cependant, il nous faut signaler que cette somnolence diurne peut aussi être la conséquence d’un état de dépression.
    • Les dépressions endogènes peuvent également être causées par une baisse de sérotonine.

    5. Un goût prononcé pour les aliments salés

    Voici une information assez étonnante : les personnes qui souffrent d’une carence en sérotonine dans leur organisme ont davantage besoin de sodium que les autres, voilà pourquoi elles sont très attirées par les aliments salés.

    Cependant, ce symptôme seul n’est pas suffisant pour diagnostiquer immédiatement un déficit en 5-HT. Il doit être associé à d’autres processus comme une mauvaise humeur constante, de la fatigue, de troubles digestifs…

    6. Une dépression

    baisse de sérotonine et dépression

    Nous l’avons déjà signalé au cours de cet article. Une baisse de sérotonine peut provoquer une chute drastique de notre état d’esprit.

    • De fait, il existe une relation directe entre la sérotonine et le développement de la dépression.
    • Cette relation puise sa source dans la baisse du nombre de récepteurs capables de recevoir la sérotonine et, à l’inverse, dans l’augmentation du taux de tryptophane, un acide aminé qui permet de réguler la sérotonine.

    Parfois, le simple fait d’améliorer notre alimentation et de pratiquer un sport est suffisant pour améliorer notre état d’esprit, si la dépression ressentie est légère.

    Cependant, dans la majorité des cas, il est nécessaire d’avoir recours à des médicaments pour rétablir notre taux de sérotonine à un niveau normal.

    7. De l’anxiété

    Notre corps dispose environ de 14 récepteurs différents de la sérotonine, le 5-HT1A étant le récepteur le plus important.

    Si, à un moment donné de notre existence, ce récepteur expérimente des dysfonctionnements, nous allons devenir bien plus susceptibles, nerveux, préoccupés et anxieux.

    C’est un phénomène très curieux que nous devons prendre en compte. En effet, l’anxiété, tout comme la dépression, peuvent avoir des origines chimiques.

    8. La migraine

    baisse de sérotonine et migraines

    La sérotonine joue un rôle clé dans le développement et l’apparition de migraines.

    L’origine de la plupart de ces céphalées incapacitantes serait à rechercher du côté d’une carence en tryptophane, le précurseur de la sérotonine, qui régule sa production.

    9. Des troubles de la mémoire

    Un manque d’attention, de la fatigue, des difficultés à nous concentrer sur certaines informations et à les retenir sont des troubles qui peuvent également être en lien avec la sérotonine.

    Ces symptômes sont fréquents chez les personnes qui souffrent de dépression. Pour autant, lorsque le patient touché consomme des médicaments adaptés, il peut rapidement être résorbé.

    Pour conclure, nous avons pu constater que la sérotonine intervient dans un grand nombre de nos processus corporels. Les 9 aspects que nous venons de citer ne sont que la partie immergée de l’iceberg.

    Voilà pourquoi il est nécessaire, si vous souffrez d’un quelconque mal-être physique ou émotionnel, de consulter votre médecin.

    Un régime alimentaire équilibré, des exercices physiques et la prise de médicaments adaptés peuvent rapidement vous rendre le bien-être que vous avez perdu.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 signes de maladies cardiaques que vous ne devez pas ignorer

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    De nombreux symptômes des maladies cardiaques peuvent coïncider avec d’autres problèmes moins graves, mais ce n’est pas pour autant que nous ne devons pas y faire attention.

    Les maladies cardiaques sont devenues l’une des principales causes de décès dans le monde entier et, de fait, le nombre de patient-e-s diagnostiqué-e-s augmente tous les jours.

    Elles affectent directement le fonctionnement du cœur et compromettent également la santé des artères, de la circulation et du cerveau.

    Leurs causes principales sont liées au sédentarisme et à la mauvaise alimentation, bien que d’autres facteurs influent également : génétiques, stress et les mauvaises habitudes de vie.

    Le plus préoccupant c’est que bien souvent, elles se développent de manière silencieuse, ce qui rend sa détection et son traitement opportun impossibles.

    En conséquence, d’autres complication se développent dans l’organisme et, avec le temps, la qualité de vie se réduit.

    C’est pourquoi il est primordial de prêter attention à n’importe quel symptôme qui nous alerte de leur présence, en sachant qu’elles peuvent se présenter de la même manière que d’autres problèmes plus légers.

    Ci-dessous, nous souhaitons vous partager 8 signes fréquents afin que vous les preniez en compte dès aujourd’hui.

    Découvrez-les !

    1. Douleur dans la poitrine

    la douleur dans la poitrine est un signe de maladies cardiaques

    La douleur dans la poitrine est l’un des symptômes les plus fréquents des maladies cardiaques ; toutefois, cette douleur peut survenir à cause de problèmes plus fréquents comme le reflux acide.

    La majorité des gens pense que ce signe est l’un des premiers à se manifester lorsque quelque chose ne va pas bien au niveau du cœur, mais ce qui est sûr c’est qu’il n’apparaît que lorsque la maladie a atteint un autre niveau de gravité.

    Malgré cela, il ne faut pas ignorer ce problème, surtout s’il se produit de manière récurrente et intense.

    2. Douleur dans différentes parties du corps

    Bien que la douleur ou la brûlure dans la poitrine est fréquente lorsque l’on souffre d’une attaque cardiaque, il ne faut pas ignorer qu’il peut également affecter d’autres parties du corps.

    Souvent les problèmes du cœur affectent la circulation et la pression, ce qui peut dériver sur des réactions gênantes dans les systèmes proches.

    Soyez attentifs si vous percevez des douleurs dans :

    • Epaules
    • Bras
    • Dos
    • Cou
    • Mâchoire
    • Abdomen

    3. Pouls irrégulier

    le pouls irrégulier est un signe de maladies cardiaques

    La prise du pouls est l’une des méthodes les plus fréquentes pour détecter s’il y a un problème dans le système cardiaque.

    Bien qu’il soit normal qu’il soit occasionnellement altéré, il est primordial d’établir un suivi s’il est constamment altéré.

    Dans la majorité des cas, ses variations s’accompagnent d’une sensation de faiblesse, de nausées et d’un mal-être général.

    4. Manque d’air

    Perdre soudain son souffle, sans faire d’effort physique particulier, peut se produire comme un signal d’asthme ou d’une maladie obstructive chronique (EPOC)

    De plus, il peut est à l’origine d’une crise cardiaque ou d’une insuffisance cardiaque.

    Sa présence indique que le sang ne transporte pas correctement l’oxygène et c’est pourquoi, la respiration ne se fait pas normalement.

    5. Transpiration

    la transpiration est un signe de maladies cardiaques

    La transpiration anormale, surtout à l’état de repos, peut alerter de difficultés cardiaques et peut-être, d’une crise cardiaque soudaine.

    Dans ce dernier cas elle se manifeste souvent avec une sensation de transpiration froide, quelques instants avant la crise centrale.

    6. Pâleur de la peau

    Lorsqu’une personne souffre de difficultés cardiaques, le sang n’est pas transporté de la bonne manière et, comme l’oxygénation de la peau est difficile, elle a tendance à être pâle ou maladive.

    Le symptôme est beaucoup plus notoire lorsque la personne est sur le point de souffrir d’une crise cardiaque ou que sa pression artérielle est déséquilibrée.

    7. Inflammation des articulations

    les douleurs dans les articulations sont un signe de maladies cardiaques

    De nombreuses maladies chroniques peuvent provoquer une inflammation des articulations ; toutefois, on ne doit pas ignorer qu’elles peuvent également être dues à une pression artérielle élevée.

    Dans ces cas-là elle est due à la rétention d’eau dans les tissus, ce qui affecte la circulation et l’élasticité des artères.

    8. Fatigue

    Ce symptôme a tendance à se manifester plus régulièrement chez les femmes et peut survenir avant une crise cardiaque.

    Toutefois, les personnes qui en souffrent, le développent même quelques semaine avant le problème cardiaque.

    La sensation de fatigue est liée aux difficultés à oxygéner les cellules car la circulation passe plus difficilement à travers les artères.

    Evidemment il s’agit d’une réaction qui doit être évaluée avec les autres symptômes, car elle est commune à la majorité des maladies.

    Vous reconnaissez ces symptômes ? Si c’est le cas, et même si ça ne l’est pas, essayez de consulter régulièrement votre médecin pour déterminer s’il existe un problème qui met en danger votre santé cardiaque.

    Adoptez un style de vie sain et essayez de rester actif pour réduire radicalement le risque.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 RAISONS CACHÉES QUI PEUVENT AUGMENTER

    VOTRE TAUX DE CRÉATININE

     

     

     

     

     

     

     

    Vous avez certainement eu dans vos analyses de sang ou d'urines, un dosage de la créatinine. Cette évaluation sert au dépistage de l'insuffisance rénale, une altération du fonctionnement des reins, qui ne filtrent plus correctement le sang de l’organisme.  Le Dr Isabelle Tostivint, néphrologue à la Pitié-Salpêtrière (Paris), fait la liste des facteurs déclencheurs.

    La créatinine, c’est quoi ?

    ©Istock

    Naturellement présente dans le sang, la créatinine est éliminée par les reins, suite à la dégradation de la créatine. Son dosage permet d’obtenir certaines informations sur le fonctionnement des reins. Elle se dose soit par une prise de sang, soit lors d’une analyse d’urine. C’est d’ailleurs le seul marqueur de la fonction rénale et un indice indispensable pour dépister une insuffisance rénale. "Le dépistage s’avère indispensable. L’insuffisance rénale est une maladie silencieuse. Quand les premiers symptômes apparaissent (anémie, nausées, etc) c’est que 90% des reins sont détruits", alerte le Dr Tostivint, néphrologue à la Pitié-Salpêtrière (Paris) et chargée de la communication scientifique de la Fondation du rein. Afin d’éviter de passer à côté d’une maladie rénale, il est important d’en connaitre les facteurs de risques. "Ce sont quasiment les mêmes que pour une maladie cardiovasculaire", énonce la spécialiste.
     
     

    Avoir des kilos en trop

    ©Istock

    Le surpoids et l’obésité sont des facteurs de risque identifiés des maladies rénales. Il est donc recommandé de veiller à avoir une alimentation variée et équilibrée et de limiter ses apports en sucre, en sel, en graisses. De plus, il est important de veiller à avoir suffisamment d’apports en vitamine D ou en calcium. Mieux vaut également éviter l’alcool et le tabac.
     
     

    La prise d'anti-inflammatoires ou d'antibiotiques

    ©Istock

    Les anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent causer une insuffisance rénale s’ils sont pris de manière excessive et chronique. Attention aux conséquences d’une automédication mal réalisée. Par ailleurs, certains médicaments comme les antitumoraux ou des antibiotiques peuvent être responsables d’une insuffisance rénale.

     

    Avoir une tension trop élevée

    ©Istock

    L'hypertension artérielle correspond à une augmentation anormale de la pression du sang sur la paroi des artères. L’hypertension artérielle touche 20% de la population adulte. Elle est favorisée par l’alcool, une alimentation trop salée, le tabac, le surpoids, etc.

     

    Avoir du diabète et/ou du cholestérol

    ©Istock

    Le diabète est une maladie chronique qui apparait quand le pancréas ne produit plus suffisamment d’insuline, ce qui augmente le taux de glucose dans le sang, c'est l'hyperglycémie. L'une de ses complications est l'atteinte rénale, avec risque d'insuffisance rénale chronique. Afin de dépister le diabète et d’éviter également une maladie rénale, il est donc important de doser sa glycémie. De plus, il est recommandé de contrôler régulièrement son taux de cholestérol, dont l'augmentation du taux sanguin peut également entraîner une obstruction des artères, pouvant aboutir à l'insuffisance rénale.

     

    Ne pas assez bouger

    ©Istock

    Pour limiter le risque de maladie rénale, il est recommandé de lutter contre la sédentarité. Descendre une station de métro plus tôt, prendre l’escalier plutôt que l’ascenseur, faire du sport, tous les moyens sont bons pour se bouger.

     

    Le contact avec des produits iodés

    ©Istock

    Les produits de contraste iodé, utilisés en radiologie et lors d’autres examens (scanners, etc), peuvent induire une perturbation de la fonction rénale.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Source : medisite.fr
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • A quoi les douleurs dans la partie droite de l’abdomen

    sont-elles dues ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    La cause la plus commune de la douleur sur le côté droit de l'abdomen sont les gaz. Cependant, si la douleur s'accompagne d'autres symptômes, il faut consulter un spécialiste.

    Cela nous est déjà arrivé: une douleur soudaine dans l’abdomen, lancinante et très gênante. Parfois, elle se concentre sur le côté droit et son origine nous inquiète et nous angoisse un peu. Ici, nous allons vous expliquer quelles en sont les possibles causes afin que vous puissiez en tenir compte lors que voudrez y remédier.
     

    Les causes de la douleur à droite de l’abdomen

    Nous avons souffrons tous de douleurs à l’abdomen, avec de plus ou moins grosses fréquences. Mais quand cette gêne est concentrée sur un endroit en particulier et qu’elle se répète plusieurs fois, cela peut commencer à nous inquiéter, surtout si la douleur se trouve sur le côté droit, celui du foie, un organe qui, quand il est touché, suscite beaucoup de craintes. Avant toute chose, nous nous devons de vous rassurer et vous dire que cela peut être dû à de nombreuses autre causes que le foie. Nous allons voir quels sont les facteurs dont il faut tenir compte:

    1. Les gaz

    Gaz-stomacaux

    Soyez tranquilles car les gaz sont la cause la plus simple et la plus fréquente. La digestion se déroule mal, ou nous pouvons tout simplement être constipés.Tout cela provoque l’accumulation de gaz qui finissent par gonfler l’abdomen. La douleur est alors courante dans cette zone qui se trouve sous les côtes, et le fait qu’elle soit plus gênante sur la côté droit est fréquent. La première chose à faire est d’apprendre à identifier le type de douleur. Vous vous sentez plein? C’est une douleur qui survient après les repas et le matin? C’est une douleur occasionnelle? Si vous répondez oui à ces questions, ne vous inquiétez pas, ce sont sûrement des gaz.

    2. Les problèmes de côlon

    Les maladies associées à l’intestin peuvent aussi être la cause de douleurs abdominales dans la partie droite. La première cause est quasiment toujours les gaz. Si ce ne sont pas des gaz, il se peut alors que ce soit une inflammation de l’intestin. Quels types de maladies sont associés à l’inflammation des intestins? On peut citer la colite, en passant par l’irritation du côlon et même la grave maladie de Crohn. Toutes ces pathologies affectent la zone du côlon. Afin de pouvoir les dissocier des simples gaz, il est fondamental de savoir si vous avez ou non la diarrhée. Si oui, restez vigilant. Les symptômes de toutes ces maladies sont la douleur abdominale et la diarrhée. Les personnes touchées peuvent aussi ressentir une douleur dans le quadrant supérieur droit de l’abdomen. Ne vous alarmez pas trop non plus étant donné que la colite et la maladie de Crohn peuvent se soigner avec des médicaments qui aident à contrôler les symptômes. L’important est de consulter un médecin.

    3. Les reins

    Reins

    La troisième cause qui peut générer une douleur à droite de l’abdomen peut venir des reins. Cela peut être par exemple une infection du rein ou des calculs rénaux. Lors d’une infection aux reins, nous ressentons un forte douleur abdominale, sévère et très intense qui s’étend même jusqu’au dos. Cela est très significatif. Dans ce cas, nous aurons également du mal à uriner, ce qui paraîtra étrange. La fièvre peut aussi monter. Comme vous pouvez le constater, les symptômes sont très clairs. Les premières phases peuvent être plus douces mais les signes sont tout de même assez nets et ne peuvent pas être confondus avec de simples gaz. Ce sont des maladies douloureuses mais il existe des traitements. Si vous souffrez de calculs rénaux, les symptômes disparaîtront rapidement une fois que les petites pierres seront passées.

    4. Le pancréas

    Pancreas

    Le pancréas a la forme d’une larme et est situé à côté du duodénum (la première section de l’intestin grêle). Il se trouve donc entre l’estomac et la colonne vertébrale, entouré par le foie et les intestins, proche du côté droit. Il faut donc en tenir compte. Il se peut que nous souffrions d’une infection du pancréas si nous ressentons une douleur dans la partie droite de l’abdomen. Les symptômes sont similaires à ceux des maladies de la vésicule biliaire. Nous pouvons ressentir une douleur abdominale qui partirait de l’estomac ou du dos. Pour pouvoir le différencier des autres symptômes, concentrez-vous sur la manière dont vous vous sentez après manger. Si vous vomissez ou que vous avez des nausées, il est possible que vous ayez contracté une pancréatite.

    5. Les ulcères

    Très communs, les ulcères dans l’estomac peuvent provoquer une douleur dans n’importe quelle partie de l’abdomen. Mais les ulcères peptiques ou abdominaux sont justement concentrés sur le côté droit de l’abdomen, il faut le savoir. C’est une douleur qui va et qui vient mais qui se fait plus gênante lorsque nous mangeons des plats épicés par exemple.

    Nous espérons vous avoir éclairés sur les causes d’une douleur à droite de l’abdomen. N’oubliez pas que dans la plupart des cas, il s’agit de gaz. Si la gêne lancinante persiste et qu’elle vous empêche d’avoir une vie normale, consultez immédiatement un médecin.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les 4 maladies vasculaires cérébrales les plus communes

    que vous devez connaître

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Il existe de nombreux problèmes vasculaires cérébraux qui ne présentent pas de symptômes spécifiques, c’est pourquoi il est fondamental de se soumettre à des consultations régulières et d’avoir des habitudes de vie saines pour éviter les complications.

    Les maladies vasculaires cérébrales (MVC) font référence à tous ces problèmes liés à une circulation du sang difficile de manière momentanée ou permanente dans une zone concrète de notre cerveau.

    Nous connaissons tous, directement ou indirectement, quelqu’un qui a souffert d’un ictus, d’un anévrisme ou d’un petit épanchement cérébral.

    Toutes ces maladies peuvent nous laisser des séquelles permanentes voire nous ôter la vie.

    Dans le meilleur des cas, ce sera plus de peur que de mal, mais elle nous obligera à prendre soin de nos habitudes de vie.

    De la même manière, il faut également signaler que la majorité d’entre nous n’a pas assez conscience de ces maladies.

    A moins que nous ayons vécu l’une de ces expériences dans notre entourage, en général nous n’accordons pas assez d’importance à l’impact qu’ont sur notre santé cérébrale des facteurs comme la tension artérielle, le cholestérol élevé ou le surpoids.

    Une grande partie des morts qui surviennent chaque année à cause des maladies vasculaires cérébrales pourraient être prévenues.

    Le reste, comme les ictus qui affectent des patients encore très jeunes ou des personnes qui prennent grandement soin de leurs habitudes de vie, sont des réalités qui, sans aucun doute, échappent encore à notre compréhension voire à notre logique.

    Quoiqu’il en soit, il existe certains aspects sur lesquels nous devrions réfléchir : la prévention, le fait de nous soumettre à des consultations périodiques pour mesurer par exemple, notre pression artérielle et d’autres indices associés permettraient sans aucun doute, que bon nombre de ces tristes réalités aient moins d’impact sur nous.

    C’est un sujet à propos duquel il serait bon d’accorder du temps et avant tout de la volonté.

    Les 4 maladies vasculaires cérébrales les plus fréquentes

    Comme nous l’avons signalé au départ, toute maladie vasculaire cérébrale apparaît à cause d’un problème dans le flux sanguin.

    Aussi, n’importe quel problème dans le flux sanguin peut amener à deux types de maladies : les ischémiques et les hémorragiques.

    Il faut préciser que les ischémiques sont, sans aucun doute, les plus fréquentes et la majorité d’entres elles ont la même origine : l’artériosclérose.

    Nous vous avons déjà parlé à plusieurs reprises sur notre espace de l’artériosclérose : elle apparaît lorsque les niveaux de cholestérol sont très élevés et qu’à cela s’ajoute une inflammation des artères du cerveau.

    Tout cela amène à une maladie lente, progressive et très affaiblissante : l’accumulation de plaque dans les vaisseaux sanguins.

    Celle-ci engendre des problèmes de circulation sanguine vers le cerveau et, à long terme, peut provoquer des problèmes cognitifs et de démence.

    Nous ne sommes pas face à quelque chose de léger, que nous pouvons ignorer : la prévention et les bonnes habitudes de vie que nous pratiquerons aujourd’hui se remarqueront demain.

    maux de tête

    1. La thrombose cérébrale

    • La thrombose est un accident vasculaire cérébral ischémique.
    • Les ictus, dans 80% des cas, ont la même origine.
    • Elle survient après le rétrécissement de l’une des artères cérébrales à cause de l’apparition d’un thrombus qui bloque le flux sanguin.

    Il faut dire qu’en général ce type de maladie donne des petits signes avant que n’apparaisse la fermeture complète des vaisseaux cérébraux.

    C’est pourquoi il est vital que nous soyons attentifs face à ces symptômes :

    • Engourdissement d’une partie du visage ou d’un côté du corps.
    • Maux de tête très intenses.
    • Difficultés à communiquer et à comprendre.
    • Nausées et problèmes pour marcher.
    • Problèmes de vue.

    2. L’embolie cérébrale

    embolie cérébrale

    L’embolie cérébrale est un autre type de problème vasculaire cérébral d’origine ischémique. Mais si dans le cas précédent nous avions un « thrombus », l’origine se trouve dans une « embolie ».

    Pour mieux comprendre : un thrombus est une coagulation de sang qui se forme dans la paroi d’une artère importante et qui obstrue la circulation.

    L’embolie, se produit à cause d’une coagulation, c’est-à-dire qu’un morceau d’artère se détache et arrive au cerveau.

    Toutefois, à la différence de la thrombose cérébrale, cette embolie est ensuite à l’origine de l’obstruction en elle-même – normalement dans le cœur -.

    Quant à la symptomatologie, nous pouvons dire qu’elle est très similaire à la thrombose : engourdissement d’un côté du corps, difficulté à s’exprimer et à communiquer…

    Mais si l’on s’occupe d’un patient atteint d’embolie rapidement, il peut recevoir un médicament appelé « tPA » capable de dissoudre ces embolies. L’espérance de vie s’améliore donc notablement.

    3. Hémorragie cérébrale ou intracérébrale

    Nous avons parlé des deux maladies cérébrales d’origine ischémique les plus communes. Nous nous arrêtons désormais sur ces problèmes dont les éléments déclencheurs sont dus à une hémorragie.

    Les anévrismes sont les plus fréquents. Dans ce cas, nous sommes face à une dilatation anormale d’une zone fragile d’un vaisseau sanguin dans le cerveau.

    • Au moment ou un anévrisme se rompt, l’hémorragie cérébrale apparaît.
    • Malgré l’impact que peut avoir un anévrisme, il faut dire que les accidents vasculaires cérébrales sont toujours les plus nocifs, ceux qui laissent le plus de séquelles et ceux qui prennent le plus de vie chaque année.

    De la même manière, il faut dire que le plus gros problème d’un anévrisme c’est qu’il n’a pas de symptômes excessifs.

    Certaines personnes peuvent souffrir d’une dilatation dans certains vaisseaux sanguins du cerveau pendant des années et ne rien remarquer jusqu’à ce qu’à un moment donné, et à cause de la pression, il se rompt.

    4. Hémorragie méningée

    hémorragie méningée

    Les hémorragies méningées se produisent bien souvent à cause d’une pression artérielle non contrôlée : c’est une information que nous ne pouvons pas négliger.

    Dans ce cas nous avons également la rupture d’un vaisseau sanguin, bien que pour ce type de problème ils se situent toujours à la surface du cerveau.

    L’épanchement se situe sur l’espace existant entre le cerveau et le crâne, l’espace sous-arachnoïdien, sans arriver à s’introduire dans le cerveau.

    L’espérance de vie après avoir souffert de ce type d’hémorragie dépend toujours de la rapidité de l’attention médicale. Aussi est-il vital que nous sachions en reconnaître les symptômes :

    • Problèmes de concentration
    • Gêne sur les yeux avec une lumière brillante
    • Irritabilité, mauvaise humeur, changements de personnalité
    • Douleur dans le cou et les épaules
    • Vomissements, nausées
    • Convulsions

    Le symptôme le plus évident est sans aucun doute lié à la vision : nous pouvons perdre la vue pendant quelques minutes, voir des lumières intenses ou des phénomènes optiques.

    Face à n’importe quel problème ou petite anomalie, il ne faut pas douter : il est nécessaire de consulter immédiatement un professionnel de santé.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • AVC CHEZ LES FEMMES :

    7 CHOSES QUI AUGMENTENT VOTRE RISQUE

     

     

     

     

     

     

     

    L'AVC représente aujourd'hui la première cause de mortalité chez les femmes dans le monde. Certains facteurs de risque de l'AVC sont différents chez les hommes et chez les femmes. 

     

    Un problème au coeur

    ©Istock

     "La fibrillation atriale est un facteur de risque d'AVC plus important chez les femmes que chez les hommes, en partie car plus de femmes ont une fibrillation atriale et en partie car les femmes qui en sont atteintes sont plus à risque que les hommes d'avoir des complications vasculaires" explique le Pr Charlotte Cordonnier. 
    En prévention : un traitement anticoagulant peut être prescrit si le score de risque qui calcule la probabilité d'avoir un problème embolique est élevé (à partir de 2).
     
     

    Ne pas assez bouger

     

    Le fait d'être sédentaire est un facteur de risque reconnu d'AVC.
     
    Or, les dernières données de l'étude Esteban, menée par Santé Publique France, montrent que seulement 53% des femmes atteignent les recommandations de l'OMS en matière d'activité physique. (3) 
    Les adultes âgés de 18 à 64 ans devraient pratiquer au moins, au cours de la semaine, 150 minutes d’activité d’endurance d’intensité modérée ou au moins 75 minutes d’activité d’endurance d’intensité soutenue, ou une combinaison équivalente d’activité d’intensité modérée et soutenue) 
    La prévention ? Une activité physique régulière. Le fait d'avoir une activité physique régulière diminue d'un tiers le risque de survenue d'un AVC. 
    Remerciements au Pr Charlotte Cordonnier, neurologue au CHU de Lille et chercheuse à l’Inserm.

    (1) Ken eld SA, Stampfer MJ, Rosner BA, Colditz GA. Smoking and smocking cessation in relation to mortality in women. JAMA 2008;299:2037-47.

    (2) Prof Valery L Feigin, MD'Correspondence information about the author Prof Valery L FeiginEmail the author Prof Valery L Feigin, Gregory A Roth, MD, Prof Mohsen Naghavi, MD, Priya Parmar, PhD, Rita Krishnamurthi, PhD, Sumeet Chugh, MD, George A Mensah, MD, Prof Bo Norrving, MD, Ivy Shiue, PhD, Marie Ng, PhD, Kara Estep, BA, Kelly Cercy, BA, Prof Christopher J L Murray, MD, Prof Mohammad H Forouzanfar, PhDfor the Global Burden of Diseases, Injuries and Risk Factors Study 2013 and Stroke Experts Writing Group†, Global burden of stroke and risk factors in 188 countries, during 1990–2013: a systematic analysis for the Global Burden of Disease Study 2013, The Lancet Neurology, 10 juin 2016

    (3) Étude de santé sur l’environnement, la biosurveillance, l’activité physique et la nutrition (Esteban 2014-2016) - Chapitre Activité physique et sédentarité

     

    Avoir du diabète

    ©Istock

     Le diabète est un facteur de risque reconnu d'AVC chez l'homme et chez la femme.
     
    "Mais l'effet de ce facteur de risque est plus fort chez la femme que chez l'homme" informe le Pr Charlotte Cordonnier, neurologue au CHU de Lille et chercheuse à l’Inserm.

    En prévention primaire du diabète et donc des AVC, il est important que les femmes aient une activité physique, fassent attention à ne pas prendre trop de poids et fassent vérifier leurs paramètres biologiques (glycémie et tension) de façon régulière. "Pour les femmes ayant du diabète, il est important que le contrôle du diabète soit extrêmement strict car le pouvoir de nuisance du diabète déséquilibré est plus important chez les femmes" recommande le Pr Charlotte Cordonnier.

     

    La prise de la pilule ou d'un traitement à la ménopause

    ©Istock

    "Le risque vasculaire est légèrement augmenté lorsqu'on prend un traitement à base d'œstrogènes" indique le Pr Charlotte Cordonnier.
     
    Pour autant, cela ne veut pas dire que toutes les femmes ne peuvent pas prendre la pilule ! " Certaines pilules sont déconseillés si une femme a des facteurs de risque vasculaires associés , comme le tabagisme ou la migraine" informe cette spécialiste. Cela peut être aussi le cas si vous avez des antécédents familiaux d'accidents vasculaires cérébraux. C'est la même chose pour le traitement hormonal substitutif. Il est totalement contre-indiqué chez les femmes ayant des facteurs de risque vasculaires, par exemple celles ayant déjà eu un infarctus cérébral.
     
     

    Une hypertension au cours de la grossesse

    ©Istock

    L'hypertension artérielle est un facteur de risque d'AVC chez les hommes comme chez les femmes.
     
    Mais chez les femmes, il y a une spécificité. "La grossesse est une période chez les femmes qui est un marqueur de risque d'AVC : les femmes ayant eu de l'hypertension artérielle pendant une grossesse ou une complication liée à l'hypertension artérielle (pré-éclampsie, éclampsie) ont un très haut risque d'AVC 20 ans plus tard" informe le Pr Charlotte Cordonnier. 
    Son conseil : les femmes ayant eu de l'hypertension artérielle pendant la grossesse doivent être très vigilantes sur le dépistage de l'hypertension artérielle tout au long de leur vie (prise de tension de manière régulière).
     
     

    Le tabagisme

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     Le tabagisme est un facteur de risque d'AVC indépendant des autres facteurs de risque cardiovasculaires, chez les hommes comme chez les femmes.
     
    Le fait de fumer multiplie le risque d'AVC par 2, particulièrement chez les personnes de moins de 55 ans.

    En prévention , il est donc important d'arrêter de fumer le plus tôt possible, car il faut plusieurs années de sevrage pour que le risque d'AVC diminue. Une étude de cohorte a montré que la mortalité par AVC chez les femmes était diminuée d'environ 50% après 5 à 10 ans de sevrage tabagique et qu'elle rejoignait celle des non-fumeuses après au moins 20 ans d'arrêt. (1)

     

    La pollution

    ©Istock

     "De nouveaux facteurs de risque de maladies cardiovasculaires émergent de plus en plus au niveau mondial.
     
    C'est notamment le cas de la pollution, notamment celle liée aux particules fines "informe le Pr Charlotte Cordonnier. Une étude publiée en 2016 a révélé que la pollution atmosphérique était devenue un des principaux facteurs de risque des accidents vasculaires cérébraux. (2) 
    En prévention : lorsqu'il y a des alertes à la pollution aux particuliers fines, pas d'activité physique à l'extérieur !
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Source : medisite.fr
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • Qu’est-ce que la candidose ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Les infections provoquées par le champignon Candida sont opportunistes. C’est-à-dire qu’il est nécessaire qu’il y ait des altérations dans les défenses de l’organisme pour qu’elles se produisent.

    Les candidoses sont des mycoses, c’est-à-dire, des infections produites par des champignons qui appartiennent à l’espèce des Candida.

    • Il peut s’agir d’infections aigües, subaiguës ou chroniques.
    • Elles affectent la peau, les muqueuses et les tissus profonds.
    • La symptomatologie est très variable.
    • Le pronostique est également très variable. Depuis des infections légères muco-cutannées jusqu’à la vie du patient compromise dans des cas d’immunosuppression sévère.
    • Ce sont des mycoses opportunistes.

    Candida spp*

    Il s’agit d’un genre formé par des champignons à l’aspect de levure, majoritairement unicellulaires. Au sein du genre, les espèces d’intérêt clinique sont :

    • Candida albicans : c’est l’espèce la plus virulente et la responsable de plus de la moitié des cas.
    • Candida glabrata
    • C. parapsilosis : associée à l’utilisation de cathéthers, sondes et aiguilles.
    • C. krusei : associée à la prise de Flukonazole (c’est un antifongique)
    *Les sigles spp sont utilisés pour indiquer que l’on fait référence à toutes les espèces qui font partie du genre.

    différents genres de candidose

    Quels sont les éléments pathogènes opportunistes ?

    Les éléments pathogènes opportunistes sont ceux qui, dans des conditions normales, n’infectent pas une personne saine. Il doit y avoir une altération dans l’une des barrières biologiques du système immunitaire pour que cela arrive.

    Le genre Candida, tout comme la majorité des champignons et certaines bactéries, appartiennent à ce groupe d’éléments pathogènes. De fait, Candida fait partie de la flore normale de la peau et des muqueuses chez un grand pourcentage de la population.

    Comme se produit la candidose ?

    Par l’altération des barrières mécaniques : dommages sur la peau et les muqueuses (barrières primaires)

    C’est ce qui arrive chez des patients avec des cathéters, des sondes, des prothèses ou qui sont soumis à des dialyses. Cela explique également l’infection des consommateurs de drogues par voie parentérale (injectables).

    Si le champignon passe par la circulation sanguine, cela peut affecter n’importe quel organe. Il apparaît chez des patients souffrant d’immunodépression sévère (VIH mal contrôlé et en phase terminale de leucémie).

    Les dommages sur la peau ou les muqueuses empêchent que cette zone agisse comme une barrière et permet la colonisation par le champignon. C’est pourquoi les piqûres par seringue ou l’érosion de la muqueuse engendrée par un cathéter prédisposent à l’infection.

    A cause des altérations de la flore bactérienne

    Les dommages sur la flore bactérienne se produisent, bien souvent, à cause de la prise d’antibiotiques à large spectre. Ceci s’explique par leur très large champ d’action. Les antibiotiques « attaquent » autant les bactéries responsables de l’infection, que celles qui font partie de la flore. Au moment où disparaît cette barrière, la mycose est rendue possible.

    Par exemple, il est relativement fréquent de trouver des cas de candidose vaginale chez des jeunes femmes après la prise d’antibiotiques.

    Etats d’immunodépression

    Ils peuvent être provoqués par une maladie, comme c’est le cas des patients atteints du VIH, ou être d’origine pharmacologique, comme cela arrive chez les patients transplantés et traités avec des médicaments antirejet.

    comment peut-on contracter une candidose ?

    Clinique : candidoses superficielles

    Muguet (candidose oropharyngée)

    Elle se caractérise par l’apparition de pseudomembranes blanches qui recouvrent la langue, le palais mou et la muqueuse orale. Si elles s’enlèvent, elles laissent à découvert une surface rougie et usée. Elles peuvent devenir très douloureuses et compromettre la déglutition et la respiration.

    Elle apparaît essentiellement chez des patients atteints du VIH (jusqu’à 90%), car c’est l’une des premières manifestations de la maladie. Bien qu’il s’agisse de l’une des infections opportunistes les plus fréquentes qui affectent ces patient-e-s, l’incidence a dernièrement réduit.

    Elle affecte également des patients souffrant de cancer à cause de l’affaiblissement du système immunitaire et les nouveaux-nés pour leur immaturité.

    Vaginite et vulvovaginite par Candidose

    Elle est relativement fréquente. Elle se caractérise cliniquement par :

    • Brûlures vulvaires et vaginales très intenses, surtout au moment d’uriner
    • Aspect congestionné et très rouge de la muqueuse génitale
    • Apparition de plaques blanchâtres sur la muqueuse rougie
    • Sécrétions vaginales blanchâtres et denses, avec des grumeaux. Décrite comme « avec un aspect de fromage blanc« 

    sécrétions vaginales et candidose

    Balanite par Candida

    Elle est moins fréquente que la vaginite. Elle est normalement associée au diabète, chez des individus non-circoncis ou dont le partenaire a déjà souffert de Candidose.

    Sur le gland ou le prépuce des lésions rougeâtres apparaissent à l’aspect érodé ainsi que des pustules superficielles, normalement douloureuses. Elles peuvent s’accompagner de sensations de brûlure qui augmentent en urinant.

    Candidose cutanée

    Elle apparaît fondamentalement dans les plis cutanés et sur des zones où les vêtements très ajustés occluent la peau. Ceci est dû au fait que dans les deux cas, des zones chaudes et relativement humides sont crées.

    Elle se présente avec une éruption rougeâtre qui provoque des démangeaisons intenses et un mal-être. Elle se situe principalement sur les fesses, sous les seins, au niveau des organes génitaux et d’autres zones de la peau. De plus, les follicules pileux peuvent parfois s’infecter et des petits boutons apparaissent.

    La dermatite de la couche est relativement fréquente chez les nourrissons ; celle-ci se surinfecte par Candida, aiguisant les symptômes de la première.

    APECED : Polyendocrinopathie auto-immune de type 1

    Il s’agit d’une maladie très rare, d’origine génétique, due à une mutation du gène AIRE. La maladie débute dès l’enfance avec des candidose à répétition, orales et unguéales, sans motif apparent.

    Plus tard apparaît une dysfonction d’origine auto-immune dans plusieurs glandes. S’ajoutent alors des cadres d’hypoparatyroïdie, d’insuffisance surrénale et de maladie d’Addison.

    Clinique : candidoses profondes

    Œsophagite par Candida

    Elle est typique chez des patients immunodépressifs. Elle apparaît très fréquemment chez les patients atteints du VIH ou de lymphomes, et moins souvent, pendant des traitements aux corticoïdes. La symptomatologie est très particulière :

    • Sensation de brûlure rétrosternale
    • Difficulté à digérer (dysphagie)
    • Pyrosis

    De plus, des pseudomembranes blanchâtres apparaissent tout au long de la muqueuse œsophagique.

    Clinique : candidose invasive

    Dans ces cas-là le champignon passe dans la circulation sanguine et peut affecter presque n’importe quel organe. Elle apparaît chez des patients atteints d’immunodépression très sévère (VIH mal contrôlé et en phase terminale de leucémie).

    C’est un cas très gave, mal pronostiqué dans la majorité des cas.

    Diagnostic

    Le diagnostic est réalisé par l’obtention et l’analyse de cultures. Elles sont prélevées par un frottis sur la zone affectée et sont cultivées dans un milieu adapté. Ensuite, les cultures seront analysées au microscope.

    Prévention et traitement

    Il est important de maintenir une bonne hygiène personnelle. Après la douche, séchez bien les plis cutanés et prenez soin de la zone génitale. Dans le cas des femmes enceintes il est également conseillé de consommer des yaourts bioactifs qui favorisent l’entretien de l’acidité vaginale.

    hygiène intime et candidose

    Le traitement est différent selon les types de mycoses. Le plus commun est le traitement typique au Clotrimazole (voir le traitement de la candidose).

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • La ténosynovite :

    l’inflammation des mains et des pieds à connaître

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Puisqu'elle peut être particulièrement incapacitante, il faut apprendre à identifier les symptômes de la ténosynovite le plus tôt possible pour favoriser un diagnostic précoce et un traitement adapté.
     

    La ténosynovite est une inflammation du revêtement de la gaine qui entoure le tendon. C’est douloureux, incapacitant et touche surtout sur les pieds et les mains.

    De petites protubérances peuvent apparaître, la peau rougit et le patient ne sait pas bien à quoi cela est dû. Il ne s’est pas cogné et la douleur est intense, même au repos. On peut également perdre une partie de sa mobilité.

    Les expert-e-s indiquent qu’il est important d’obtenir un diagnostic précoce. Il n’y a qu’ainsi que l’on peut éviter que l’inflammation nuise encore plus aux tendons et à leurs revêtements, et de souffrir de problèmes plus graves.

    En cas de gênes, n’hésitez pas à consulter un bon spécialiste. Dans cet article, nous allons vous expliquer les données essentielles sur la ténosynovite.

    La ténosynovite, une douleur articulaire incapacitante

    Pour bien comprendre ce qu’est la ténosynovite, imaginons un tendon. Cette structure parfaite qui unit n’importe quel muscle de notre main à l’os.

    Ce tendon a également un revêtement, la gaine synoviale, qui le protège et l’isole. C’est précisément ici que se produisent l’inflammation et la douleur.

    Ce qui peut interpeller en cas de ténosynovite, c’est qu’elle affecte les muscles fléchisseurs, c’est-à-dire que l’on remarquera les premiers symptômes de cette affection lorsqu’on bouge la main ou que l’on marche.

    Au début, c’est une simple gêne mais petit à petit, l’inflammation apparaît, ainsi que l’engourdissement et la fièvre.

    Qui a un risque de souffrir de ténosynovite ?

    La ténosynovite des extrémités supérieures affecte surtout les femmes. Ainsi, les personnes qui font du sport ou des travaux manuels, comme les couturiers, les bouchers ou les dentistes en souffrent souvent.

    Quels sont les symptômes de la ténosynovite ?

    • La douleur dans les poignets, les chevilles ou la plante des pieds, du talon…
    • En peu de temps, apparaissent les rougeurs ou l’inflammation. Quand cela arrive, la douleur peut également apparaître au repos.
    • Les doigts et les orteils craquent lorsqu’on les bouge.
    • De même, il peut y avoir de petites protubérances sur les orteils ou les mains à cause de l’infection.
    • Il peut être difficile de manipuler des objets, de marcher, de réaliser n’importe quelle activité quotidienne… et cela en devient très gênant.

    Qu’est-ce qui cause la ténosynovite ?

    Les principales causes de l’inflammation de la gaine du tendon sont les mouvements répétés des mains ou des pieds, ainsi que les mauvaises postures que nous adoptons sans nous en rendre compte.

    Dans chacun de ces mouvements répétitifs et continus, on souffre d’une excessive friction du tendon avec l’os. Apparaît alors l’usure et de petites lésions dans la gaine qui entoure le tendon, jusqu’à ce que petit petit, l’inflammation s’aggrave.

    La maladie de De Quervain

    L’une des lésions les plus connues liées à la ténosynovite est la maladie de De Quervain.

    Il s’agit d’une maladie inflammatoire des tensons qui affecte les pouces des mains.

    • Il est inquiétant, par exemple, que des faits aussi banals que soulever un enfant, coudre, taper à l’ordinateur ou même faire du piano provoque ce type de ténosynovite.
    • De même, il peut arriver la chose suivante : nous nous cognons le pouce. Nous souffrons d’une petite lésion au niveau du tendon et nous ne nous en rendons pas compte. Nous ressentons de la douleur mais, avec le temps, ce tissu se cicatrise.

    Cependant, ce tissu cicatrisé peut empêcher le tendon de fonctionner correctement. C’est quelque chose que nous devons prendre en compte et qui peut provoquer cette fameuse maladie de De Quervain.

    ténosynovite

    Traitement courant pour la ténosynovite

    Le principal objectif du traitement pour la ténosynovite est de réduire l’inflammation. Et c’est toujours le médecin qui vous proposera la meilleure stratégie.

    Le plus courant est d’associer un traitement pharmacologique à de la rééducation. 

    • Il faut garder la main ou le pied immobilisé pendant quelque chose avec une atèle ou un bandage.
    • La thérapie chaud-froid est également très efficace dans ces cas.
    • Il est aussi intéressant de se faire des bains tièdes d’eau de romarin. Elle est anti-inflammatoire et relaxante.
    • Les infusions au gingembre sont très recommandées. Elles nous permettent de réduire la douleur et les processus inflammatoires. 
    • Les physiothérapeutes sont également d’une grande aide pour traiter la ténosynovite. Ils peuvent nous expliquer quels types d’exercices nous pourrions réaliser chez nous pour récupérer de la mobilité et de la force.

    Pour finir et ce n’est pas moins important, il faut savoir que la ténosynovite peut réapparaître, alors il faut prendre soin de ses postures et de ses mouvements. 

    L’idée de base est de diminuer le stress et la pression sur nos tendons.

    Demandez conseil aux professionnels, évitez les surcharges et avant tout, sachez que vos tendons et vos articulations sont de merveilleuses structures dont vous devez prendre soin.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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