• CANCER DU THYMUS : LES SYMPTÔMES

     

     

     

     

     

     

     

    Le thymus est une glande qui se trouve dans le thorax. Un cancer du thymus est très rare mais est cependant très agressif. Se propageant notamment aux poumons, certains symptômes peuvent être reconnus. Etat des lieux avec le Pr Nicolas Girard, médecin pneumologue, spécialiste du cancer du poumon et de tumeurs rares thoraciques à l'Institut Curie.

     

    Qu'est-ce qu'un cancer du Thymus ?

    © Istock

    C’est où ? Le thymus est une petite glande située dans le cou en haut du thorax dans un couloir qui sépare les deux poumons. Dans ce couloir appelé aussi médiastin, on retrouve la trachée, l’œsophage, des vaisseaux, ganglions etc.

    Quel est son rôle ? Le thymus se développe et grossit dès le plus jeune âge jusqu’à la puberté. Puis, il rétrécit petit à petit à l’âge adulte jusqu’à devenir un petit morceau graisseux. Constitué de cellules épithéliales (cellules qui recouvrent la surface du thymus) et de cellules lymphocytes qui jouent un rôle majeur dans l’immunité, on peut en déduire que le thymus permet alors l’installation et le bon fonctionnement du système immunitaire chez l’enfant. En France, on observe 250 nouveaux cas par an du cancer du thymus. D’après le Pr Nicolas Girard "les tumeurs thymiques surviennent essentiellement chez l’adulte entre 40 et 50 ans. Les circonstances de découverte sont variables. La plupart des tumeurs du thymus sont découvertes de façon fortuite".

    Les chances de survie ? Les statistiques de survie de ce cancer sont des estimations très générales qui doivent être interprétées avec prudence car il est rare et touche le système immunitaire. Les causes qui le provoquent peuvent donc provenir de plusieurs facteurs qui ne sont pas encore bien reconnus par les professionnels de santé. Cependant, d’après la Société canadienne du cancer, "après cinq ans la chance de survie est de 66 %, ce qui signifie qu’une personne ayant reçu un diagnostic de cancer du thymus aurait, en moyenne, six chances sur dix de vivre au moins cinq ans à la suite de son diagnostic comparativement à une personne dans la population générale. Aux États-Unis, la survie relative après dix ans est de 51 %". Pour le Pr Nicolas Girard, pour 30% des patients les tumeurs ne sont pas opérables car le diagnostique étant difficile, les médecins s’aperçoivent souvent trop tard de la présence de la tumeur. Cependant, dans 80% des cas, "la chimiothérapie permet de diminuer la taille de la tumeur, qui peut mesurer entre 4 cm et 20 cm et qui permet ensuite de l’opérer. Malheureusement, les rechutes sont très fréquentes et très tardives 10-15 ans plus tard", explique notre pneumologue.

     

    Fièvres et sueurs nocturnes

    © Istock

    La tumeur du thymus est une maladie très rare. Il est donc difficile de découvrir les causes du développement de ce cancer. Cependant, "nous savons que certains symptômes distincts peuvent être liés à la tumeur", explique le Pr Girard. 

    Le syndrome paranéoplasique est l’ensemble de ces symptômes provoqué par des substances qui s’échappent de la tumeur ou bien d’une réaction du système immunitaire qui veut se défendre. Ainsi, ils peuvent être le premier signe d’une tumeur cancéreuse. La plupart du temps on observe "une forte fièvre, des sueurs nocturnesanorexie et une cachexie (affaiblissement profond de l'organisme avec perte brutale de poids, fatigue, atrophie musculaire, etc.)", explique notre expert.

     

    Une grande faiblesse musculaire

    © Istock

    La myasthénie est un des symptômes lié à une tumeur thymique. C’est une maladie auto-immune rare qui cause de la faiblesse musculaire. Pour se défendre contre le cancer, le système immunitaire du corps va fabriquer des anticorps qui peuvent bloquer ou changer certains des signaux nerveux transmis aux muscles. Dans ce cas, il y a un défaut de transmission entre le nerf et le muscle, ce qui affaiblit ces derniers.

    Liste des symptômes :

    • faiblesse du cou, des bras et des jambes
    • paupières tombantes
    • troubles de la vision, dont une vision légèrement floue ou double
    • voix enrouée
    • difficulté à parler
    • difficulté à avaler
    • difficulté à respirer

    Peu de douleurs sont associées à cette maladie. Cependant, "si une grande fatigue musculaire est ressentie et qu’elle atteint les muscles liés à la respiration, cela peut devenir très grave", explique le Dr Nicolas Girard. Les patients qui ont des difficultés à la mastication et à l’élocution sont plus susceptibles d’avoir des difficultés respiratoires. Selon l’Association des myasténiques isolés et solidaires (AMIS), "bien que la myasthénie puisse être fatale en cas de crise non traitée immédiatement, une vie normale est possible avec un traitement adapté", ajoute-t-il.

     

    Fatigue et manque total d'énergie

    © Istock

    Un taux anormal de globules rouges dans la moelle osseuse peut donner naissance à de l’érythroblastopénie. C’est une affection rare qui cause l’anémie. La réduction du taux d'hémoglobine ne va plus permettre au sang de transporter correctement l'oxygène. L’anémie est très fréquente puisqu'on estime qu'elle touche près d'un quart de la population mondiale selon les informations de l'Assurance Maladie.

    La plupart des personnes atteintes d’érythroblastopénie sont susceptibles d’avoir un thymome (cancer du thymus).

    Les symptômes sont entre autres ceux-ci :

    • fatigue et manque d’énergie
    • pâleur de la peau
    • faiblesse
    • difficulté à respirer
    • étourdissements

     

    Infections des voies respiratoires

    © Istock

    L’hypogammaglobulinémie est une affection caractérisée par une quantité insuffisante de cellules B (globules blancs) qui fabriquent les anticorps pour combattre une infection. La baisse de ces cellules provoque la plupart du temps des infections à répétions, notamment des infections des voies respiratoires créant ainsi une insuffisance des défenses naturels de l’organisme.

    Une étude publiée dans la revue de médecine interne en juin 2018 a permis de déterminer les signes cliniques et les anomalies biologiques de cette pathologie. La participation de 48 patients (25 hommes et 23 femmes) a pu révéler l’âge moyen au moment du diagnostic : 55 ans avec des extrêmes entre 17 ans et 90 ans.

    Les symptômes étaient des manifestations respiratoires (12,8 % des cas), des diarrhées chroniques (12,5 %), des douleurs articulaires et des douleurs musculaires (25 %). Les signes généraux étaient retrouvés chez 29 patients (61,7 % des cas) et une fièvre était notée chez 12 patients (25,5 %).

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : Remerciements au Pr Nicolas Girard, médecin pneumologue, spécialiste du cancer du poumon et de tumeurs rares thoraciques à l'Insitut Curie.
    Syndromes paranéoplasiques, Le manuel MSD
    myastenie.fr
    L’hypogammaglobulinémie dans un service de médecine interne : à propos de 48 cas, La revue de Médecine Interne, juin 2018
    Comprendre l’anémie, Amelie.fr
    Réseau tumeurs et THYMiques et Cancer, Rytmnic.org
    Cancer du Thymus, Société canadienne du cancer

    medisite.fr 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 9 problèmes de santé signalés par les mains

     

     

     

     

     

     

     

     

    Observer l'aspect de ses mains peut donner des pistes sur son état de santé général, et ainsi nous permettre d’obtenir un diagnostic précoce d'une éventuelle maladie.

    9 problèmes de santé signalés par les mains

    Les mains en disent beaucoup plus sur nous que ce que nous pensons, notamment sur une éventuelle maladie dont nous serions atteint sans le savoir.

    Nos mains peuvent signaler jusqu’à 9 problèmes de santé.

    1. Une douleur au pouce et à l’index

    Si vous avez des douleurs au pouce et à l’index, ainsi que des engourdissements et des fourmillements, il se peut que vous souffriez du syndrome du canal carpien.

    Si c’est le cas, vous remarquerez une bosse au niveau du poignet qui exerce une pression sur le nerf, provoquant ainsi des sensations plutôt désagréables.

    C’est un problème dont souffre généralement les personnes qui travaillent avec les mains de façon très mécanique. C’est le cas des musiciens ou des personnes travaillant sur l’ordinateur.

    2. Des blessures qui mettent du temps à cicatriser

    Des blessures aux mains

     

    Si vous avez des blessures qui ne cicatrisent pas, cela peut être un signe d’un problème de santé. Si vous avez des bleus et des lésions sur vos mains qui ne guérissent pas, il se peut que vous ayez du diabète.

    Lorsque c’est le cas, la personne remarque également une sensation constante de soif et de faim, ainsi que des engourdissements et des fourmillements au niveau des mains et des pieds. Si c’est votre cas, vous devez vous rendre chez le médecin au plus vite, car ce sont des signes clairs de la présence de sucre dans le sang.

    3. Les doigts changent de couleur

    Un changement de couleur au niveau des doigts peut s’expliquer de différentes façons. Si cela est dû à une longue exposition à de basses températures, au stress, ou à de lourdes charges sur les poignets, cela n’est alors pas grave.

    En revanche, si ce changement s’accompagne de démangeaisons, de douleurs, d’engourdissements et de fourmillements au niveau des doigts, alors vous devriez consulter un spécialiste.

    Cela pourrait être le symptôme d’une maladie de la colonne, d’un problème dans les vaisseaux sanguins ou d’une modification cutanée.

    4. Une sueur excessive

    doigts fripés

     

    Si vos mains suent excessivement de façon anormale, cela peut être un symptôme de l’hyperhidrose palmaire.

    Si cette sueur excessive ne semble pas dépendre de facteurs externes tels que la chaleur ou vos émotions, il se peut que vous vous trouviez face à ce problème.

    5. Des ongles fragiles

    Si vos ongles sont cassants, il se peut que cela soit simplement la conséquence d’un contact constant avec l’eau, avec des produits nettoyants et d’autres produits chimiques, ainsi qu’à de mauvais traitements.

    Toutefois, si vos ongles sont cassants et que vous ressentez de la fatigue ainsi que des douleurs au niveau des articulations, rendez-vous chez le médecin, car cela pourrait être également un symptôme d’un problème de thyroïde.

    6. Des mains toujours froides

    Mains de femme

     

    Si vous avez toujours les mains froides, ou si votre peau change de couleur, vous devriez consulter un médecin.

    Ces symptômes sont généralement associés à des problèmes de circulation du sang et du système nerveux.

    7. Les doigts qui tremblent

    Le tremblement des doigts est une sensation assez désagréable. Ce tremblement peut s’expliquer par une tension excessive ou une grande pression. Si c’est le cas, la sensation disparaîtra avec le repos.

    Si ce n’est pas le cas, autrement dit, si vos mains tremblent sans raison apparente, il se peut que vous souffriez d’une carence en vitamines B1, B6, B12 et E.

    8. La présence d’une bosse

    Mains de femme jointes

     

    Une bosse au niveau des mains peut être la conséquence de plusieurs facteurs : une forte chaleur, une consommation excessive de sel… Si c’est le cas, la bosse disparaîtra rapidement.

    Toutefois, si cela arrive fréquemment, vous devriez consulter un médecin, car une bosse qui ne disparaît pas peut être le signe de maladies vasculaires.

    9. Des ongles qui changent de couleur

    Si vous observez un changement de couleur au niveau de vos ongles, il se peut que vous ayez un faible taux d’hémoglobine, ou un problème d’anémie. Dans les deux cas, les ongles sont généralement bleus.

    Ce changement s’accompagne d’une certaine maladresse des mains, ainsi que de sensations désagréables et de légers fourmillements au niveau des doigts.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 10 RÉACTIONS BIZARRES DE NOTRE CORPS

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pourquoi éternue-t-on ? D’où vient le hoquet ? Faut-il s’inquiéter d’une paupière qui tressaute souvent ou de bâillements à répétition ? Medisite vous explique les phénomènes biologiques qui se cachent derrière les réactions les plus étranges de notre corps.

     

    La chair de poule

    Un courant d’air froid, une température qui chute brusquement, et vous voyez aussitôt se dresser tous les poils de votre corps. La chair de poule, également appelée pilo-érection ou horripilation, est un mécanisme de régulation de la température du corps. Cette réaction est un réflexe que les humains partagent avec les animaux : "le dressement des poils ou des plumes sert à augmenter la couche d’isolation de l’air autour du corps" rappellent ainsi les docteurs Benedek et Kaernbach des départements de psychologie des universités de Graz (Autriche) et de Kiel (Allemagne), dans une étude* publiée en 2011. 
    Concrètement : Sous l’action du froid, les cellules nerveuses de la peau envoient un signal au cerveau. Celui-ci transmet le signal aux neurones moteurs, les cellules nerveuses responsables des mouvements des muscles. Un mécanisme nerveux involontaire déclenche alors la contraction des muscles situés sous les poils appelés muscles horripilateurs. Leur contraction entraîne le redressement des poils à la verticale, et la couche d’air ainsi formée sur l’ensemble du corps a un effet isolant contre le froid. 
    Bon à savoir : Le froid n’est pas le seul élément déclencheur de la chair de poule. La colère, la peur mais aussi les émotions déclenchées par l’écoute d’un morceau de musique ou la lecture d’un livre peuvent entraîner cette réaction, expliquent par ailleurs les docteurs Benedek et Kaernbach.

    *Physiological correlates and emotional specificity of human piloerection, Benedek&Kaernbach, Biological Psychology (83;6), mars 2011. 
    Source : Manuel d’anatomie et de physiologie humaine, Tortora & Derrickson, éditions Deboeck supérieur, 2016.

     

    Le hoquet

    Le hoquet correspond à une contraction involontaire et spasmodique des muscles du diaphragme situés entre les organes de l’abdomen et ceux du thorax. Quand le diaphragme se bloque, la glotte (la partie du larynx formant un orifice entre les deux cordes vocales) se ferme brusquement : l’air ne passe alors plus dans la trachée, ce qui entraîne le bruit caractéristique du hoquet. 
    Les principales causes du hoquet : un repas copieux ou avalé trop rapidement, un stress, les boissons sucrées ou alcoolisées*. 
    Attention : Le plus souvent, le hoquet est bénin et passe en quelques minutes. N’hésitez cependant pas à consulter un médecin si votre hoquet dure plus de deux jours, car il peut être le signe de diverses maladies : un trouble gastro-intestinal (reflux gastro-œsophagien, obstruction ou inflammation de l'œsophage, tumeur au thorax, maladies de l'estomac, du pancréas et de la vésicule biliaire), une atteinte du système nerveux (maladie de Parkinson, tumeur, hémorragie ou thrombose cérébrale), une maladie métabolique (diabète, insuffisance rénale), ou encore des troubles psychologiques comme une anxiété sévère ou des troubles de la personnalité, selon le site du ministère de la santé du Luxembourg.

    Prise en charge du hoquet, C. Woelk, Canadian Family Physician 2011.

     

    Le sursaut à l’endormissement

    Alors que vous vous endormez, vous sursautez brusquement, comme si vous tombiez de votre lit. Rien d’inquiétant, il s’agit de sursauts du sommeil, "de brèves secousses corporelles, généralement isolées, [qui] impliquent principalement les jambes, mais peuvent aussi impliquer les bras et la tête et parfois être accompagnées de symptômes sensoriels tels des éclats de lumière et la sensation de tomber", définit la Société canadienne du sommeil. Ces sursauts, aussi appelés myoclonies, peuvent être causées par une brusque contraction musculaire ou par l'interruption de l'activité musculaire. 
    Comment faire ? "Le traitement inclut l’évitement de facteurs précipitants tels les stimulants et les horaires de sommeil irréguliers", conseille cette société. 
    Faut-il consulter ? Ces sursauts sont le plus souvent bénins. Un examen de polygraphie n’est pratiqué "que s’il existe un doute diagnostique, notamment quant à la nature épileptique de ces myoclonies", précise le professeur Paul Krack dans son cours Les troubles du sommeil, Corpus Médical de la Faculté de Médecine de Grenoble.

     

    Les doigts fripés quand on sort du bain

    Après un bon bain, nos doigts de pieds et de mains sont totalement fripés. Comme vous l’apprenait récemment Medisite, cette déformation viendrait d’un avantage évolutif. Selon des chercheurs de l’institut de neuroscience de l’université de Newcastle (Royaume-Uni)*, la peau fripée des doigts permettrait en effet aux baigneurs de mieux manipuler les objets dans l’eau et de mieux se déplacer en milieu humide.

    *Water-induced finger wrinkles improve handling of wet objects, Kareklas, Nettle et Smulders, Biology Letters2013.

     

    Les larmes

    Sous l’effet d’un facteur psychologique (tristesse, émotion) ou physique (oignon, poussière dans l’œil…), les glandes lacrymales s’activent et remplissent les yeux de larmes. Comme vous l’apprenait récemment Medisite, pleurer en réaction à une émotion forte permettrait de retrouver plus rapidement un bien-être mental en changeant la composition chimique du cerveau. 
    Bon à savoir : Mais, même sans émotion forte ou gêne physique, "vos yeux produisent constamment des larmes à un rythme lent et régulier afin qu’ils restent humides et confortables", explique la Société canadienne d’ophtalmologie sur son site internet. Si l’œil est trop sec, il va produire un excès de larmes pour l’hydrater : c’est le phénomène de larmoiement. La fréquence de ce phénomène augmente avec l’âge, mais aussi lorsque l’air est trop chaud, trop froid, ou sous l’effet de produits cosmétiques. 
    Quid de l’oignon qui fait pleurer ? Certaines larmes sont dites larmes réflexes. C’est le cas des larmes provoquées par la manipulation d’un oignon. Vous pouviez le lire récemment sur Medisite : lorsqu’il est épluché ou coupé, l’oignon libère de l’acide sulfurique, un composé volatile qui irrite les glandes lacrymales et entraîne donc la libération de larmes.

     

    Le bâillement

    Impossible à contenir, le bâillement est souvent interprété comme de l’ennui ou de la fatigue. Une récente étude* relayée sur Medisite nous apprenait pourtant que le bâillement serait déclenché par notre cerveau lorsqu’il chauffe trop. Il permettrait alors de faire chuter la température de la tête. 
    En cas de fatigue : Si nous bâillons lorsque nous sommes fatigués, c'est parce que le manque de sommeil est un facteur d’augmentation de la température cérébrale. 
    Pourquoi est-il si contagieux ? Vous voyez quelqu’un bailler et, aussitôt l’irrépressible envie de l’imiter vous prend ? Ce phénomène est normal, et même rassurant : il s’agirait de l’expression de votre empathie, selon des chercheurs américains en psychologie et en neurosciences**.

    *A thermal window for yawning in humans: Yawning as a brain cooling mechanism. Massen et al., Physiology & Behavior 2013. 
    **Contagious yawning and psychopathy. Rundle, Vaughn & Stanford, Personality and Individual Differences2015.

     

    L’éternuement

    A vos souhaits ! L’éternuement est un mécanisme de défense qui permet d’expulser les particules étrangères qui se logent dans votre nez. Grâce à la vitesse de l’air expiré pendant l’éternuement, ces particules indésirables sont décrochées et propulsées vers l’extérieur. 
    Attention : Le flux d’air qui sort du nez pendant un éternuement contient des germes si vous êtes malades. Le mieux est donc d’éternuer dans un mouchoir pour limiter la propagation de ces microbes, comme vous l’apprenait Medisite.

     

    La paupière qui saute

    Un tressaillement de la paupière, également appelé fasciculation, est dérangeant mais généralement bénin. "Il peut s’agir de stress, de fatigue, de dépression ou de problèmes neurologiques", confiait à Medisite le docteur Jean-Antoine Bernard, ophtalmologiste et directeur scientifique de la Société Française d’Ophtalmologie (SFO). 
    Que faire ? N’hésitez pas à en parler à votre médecin traitant si ce phénomène survient fréquemment. Un tremblement récurrent de la paupière peut refléter une fatigue, un stress ou une carence en vitamines ou en oligoéléments.

     

    Le rougissement

    Sous l’effet de l’embarras, du plaisir ou de la colère, certaines personnes voient leurs joues se teinter de rouge. Cet érythème appelé érythème pudique touche principalement le visage, le cou ou décolleté. 
    Pourquoi ? En cas de gêne ou d’émotions fortes, le corps libère de l’adrénaline. Une hausse de cette hormone induit alors une dilatation des vaisseaux sanguins (vasodilatation). Ils se gorgent de sang, donnant à la peau une coloration rouge.

     

    La transpiration

    La transpiration est un phénomène naturel qui permet de réguler la température du corps, rappelle le Syndicat National des Dermatologues –Vénéréologues (SNDV) sur son site internet. "Lors d’un effort physique ou quand il fait chaud, le corps produit plus de sueur, sous la commande d’une glande nommée hypothalamus", précise le SNDV. 
    Attention : Une transpiration excessive doit alerter. Il peut s’agir d’une pathologie, appelée hyperhidrose ou hypersudation. Elle peut être localisée au niveau des mains, des pieds ou des aisselles, ou généralisée à l’ensemble du corps. "Des traitements existent à la fois pour l’hyperhidrose localisée et pour l’hyperhidrose généralisée", rassure le SNDV.

     

    Publié par Laurène Levy, journaliste santé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 10 changements dans votre corps

    lorsque vous arrêtez de manger de la viande

     

     

     

     

     

     

     

    Arrêter de manger de la viande peut avoir ses points positifs et négatifs, il est donc essentiel de connaître tous les aspects avant de décider de suivre un régime végétarien ou végétalien.

    10 changements dans votre corps lorsque vous arrêtez de manger de la viande

    La viande est une excellente source de protéines. Elle contient des vitamines B et des minéraux tels que le fer et le zinc. Sa consommation est particulièrement importante dans la phase accélérée de croissance et de développement.

    L’élimination complète de la consommation quotidienne de viande a des conséquences pour votre corps.

    Vous devez être clairs qu’un régime sans viande n’est pas synonyme de santé, car il ne comprend pas les aliments d’origine animale, laissant de côté les vitamines, les minéraux et les fibres.

    Faites attention à ces exemples de comment votre corps et votre vie changent lorsque vous décidez d’arrêter de manger de la viande.

    1. Quelques kilos de moins

    Perte de poids

     

    Les personnes qui arrêtent de manger de la viande peuvent perdre jusqu’à 4 ou 5 kilos par mois, car le corps cessera d’absorber les graisses de ces aliments.

    2. Bactéries intestinales

    La microflore des personnes qui prennent de la viande et des végétariens est très différente. Il semble que les personnes qui prennent plus d’aliments à base de plantes ont des bactéries plus bénéfiques.

    Cependant, reconstruire et améliorer votre flore n’est pas quelque chose que vous pouvez faire en un jour, de sorte que le gonflement et les gaz ne disparaissent pas instantanément.

    C’est parce que l’intestin et le pancréas vont s’habituer aux plantes et aux aliments et les enzymes seront réduites.

    3. Peau libérée des toxines

    Peau plus belle

     

    Les personnes qui cessent de prendre de la viande veillent à ce que leur peau s’améliore.

    L’acné, les taches noires et les boutons disparaitront. Si vous remplacez complètement la viande par des fruits, vous éliminez les toxines du derme.

    4. Plus d’énergie sans viande

    • En éliminant la consommation de viandes, la contribution du cholestérol est réduite à zéro.
    • L’apport de fibres contenues dans les produits intégraux est également augmentée, ce qui est très apprécié par ce mode de vie et est un facteur déterminant pour réduire la fatigue pendant la journée.
    • Manger plus d’épinards, de chou frisé, de haricots et d’autres aliments riches en nitrates dans l’alimentation peut vous aider à vous sentir plus énergiques avec le temps.

    5. Le niveau de cholestérol sera réduit de trois fois

    Le cholestérol

     

    Les végétariens et les végétaliens font moins d’hypertension que les consommateurs de viande.

    Les chercheurs disent que cela est dû à un poids moyen plus faible et une consommation plus élevée de fruits et de légumes. Ainsi, vous perdrez du poids, éliminerez les toxines et sentirez de la légèreté dans votre corps.

    Les niveaux de cholestérol dans le sang sont considérablement réduits. Pour les personnes ayant une prédisposition à l’athérosclérose, le régime alimentaire à base de plantes est la meilleure option.

    6. Activer vos gènes positifs

    L’environnement a certainement un fort impact sur le fonctionnement des gènes négatifs et positifs dans votre corps. Si vous menez un mode de vie malsain, vous activez les « mauvais gènes » responsables des maladies chroniques et de l’obésité.

    Au contraire, un mode de vie sain active de bons gènes. Changer la viande pour la nourriture végétale nourrit les gènes positifs.

    7. Vous réduisez le risque de diabète

    Le diabète

     

    Les personnes qui suivent un régime végétarien ont un risque plus faible de syndrome métabolique.

    Il s’agit d’un ensemble de facteurs de risques liés au diabète de type 2 (non insulino-dépendant), aux accidents vasculaires cérébraux et aux maladies cardiaques.

    8. Déficit en nutriments

    En ne consommant pas de viande, vous présenterez un déficit en nutriments nécessaires au bon fonctionnement de votre corps.

    Vous aurez une carence en iode, en fer et en vitamines D et B12. Vous pouvez équilibrer cette situation si vous devenez assidus à consommer une quantité importante de légumineuses telles que les haricots et les lentilles.

    Pour parvenir à une alimentation équilibrée, comprenez également les noix, les fruits, les légumes verts foncé, les aliments entiers et les céréales.

    9. Manque de saveur

    Vos papilles réagissent à la consommation de zinc qui se concentrent dans les huîtres et les viandes rouges. Par conséquent, lorsque vous laissez la viande de côté, vous devez chercher de nouvelles sources de nourriture pour absorber ce minéral.

    • Utilisez des haricots blancs, des noix, des grains entiers et des produits laitiers.

    10. Donnez du temps à vos muscles

    Les muscles

     

    Les protéines animales et végétales sont nécessaires pour former et récupérer les muscles après l’exercice. Il est donc conseillé aux athlètes végétariens et végétaliens de consommer des protéines liquides juste après l’exercice.

    Maintenant, vous savez ce qui va arriver à votre corps si vous décidez d’arrêter de prendre de la viande. A la fois les avantages ainsi que le déficit de certains nutriments que cela peut supposer.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • BEDAINE :

    LES 8 RISQUES QUE VOUS NE CONNAISSIEZ PAS MESSIEURS

     

     

     

     

     

    Avoir du ventre ce n’est pas très esthétique mais cela a en plus plein de conséquences néfastes quand le problème empire. Zoom sur les dangers de la bedaine importante.

     

    Plus on a de bedaine, plus on a de risques d'infarctus

    Le périmètre abdominal est corrélé au risque cardio-vasculaire. Plus le périmètre abdominal dépasse la norme (93 à 100cm chez l’homme) plus le risque de maladies cardio-vasculaires est élevé. La graisse abdominale constitue un facteur de risque d’infarctus aussi important que le cholestérol. "La bedaine est la première marche vers le syndrome métabolique, qui est un facteur de risque sur le plan cardiovasculaire et métabolique" explique le Dr Pierre Nys, endocrinologue et nutritionniste. 
    Pour savoir si votre périmètre abdominal est trop important ce qui signifie que vous avez trop de graisse viscéral, le plus simple est de prendre la mesure de votre tour de taille avec un mètre ruban.

     

    Graisse abdominale, un risque d’andropause précoce

    La formation de tissus graisseux, en particulier au niveau de l’abdomen et du thorax, peut entraîner une andropause précoce ou hypogonadisme, cela car elle entraîne une diminution du taux de testostérone. "Il y a des liens entre le métabolisme des hormones stéroïdes et le poids" explique le Dr Pierre Nys, endocrinologue et nutritionniste. "C’est surtout vrai en cas d’obésité abdominale" précise-t-il. Pour ne pas en arriver là, réagissez dès que votre tour de taille s’épaissit !

     

    Bedaine, attention au syndrome d’apnées du sommeil

    Les graisses accumulées au niveau de l’abdomen tout comme celles au niveau du cou et du pharynx sont un facteur de risque d’apnées du sommeil. "Cela a clairement été démontré en cas d’obésité abdominale" L’accumulation de tissu adipeux au niveau de l’abdomen gêne l’expansion de la cage thoracique. Si vous avez un gros ventre et présentez un ronflement important et/ou une fatigue persistante après une nuit de sommeil, vous pourriez avoir un syndrome d’apnées du sommeil. Parlez-en à votre médecin.

     

    Bedaine : davantage de risques de calculs biliaires

    Le risque de faire des calculs de la vésicule biliaire est plus élevé chez les personnes ayant un gros ventre. Les cas étudiés montrent que ce risque est lié à une graisse abdominale importante. "Au départ, la bedaine ce n’est pas grave mais c’est le premier pas vers quelque chose de plus embêtant. Il faut donc être prudent au plus tôt" informe le Dr Pierre Nys.

     

    Gros ventre : un risque augmenté de cancers

    Des études suggèrent que la fréquence de certains cancers est plus élevée chez les personnes ayant un syndrome du gros ventre, en particulier le cancer colo-rectal. "Il est cependant difficile de faire la part des choses entre la responsabilité de l’alimentation - une alimentation excessive en matières grasses, en produits carnés surtout étant liée à un sur-risque de cancer colo-rectal et ce qui revient à l’obésité abdominale elle-même" nuance le Dr Pierre Nys. La bedaine étant souvent liée à une alimentation trop riche, vous savez ce qu’il vous reste à faire !

     

    Un risque accru de diabète

    Avoir un gros ventre est lié à un risque accru de diabète. "La graisse abdominale a une implication dans la régulation de l’insuline notamment" informe le Dr Pierre Nys. Elle augmente la glycémie ainsi que l’insulinorésistance (on devient moins sensible à l’insuline, hormone qui diminue la glycémie). Elle perturbe également l’équilibre des graisses, augmente les triglycérides et diminue le HDL cholestérol ou bon cholestérol. "Là-encore, le risque est surtout lié à une obésité abdominale, la surcharge abdominale étant l’élément principal du syndrome métabolique" précise l’endocrinologue.

     

    Un risque plus important d’hypertension artérielle

    La graisse abdominale est aussi liée à un risque plus élevé de développer une hypertension artérielle.

    "L’hyperinsulinisme favorise de façon modérée mais certaine une hypervolémie, augmentation du volume circulatoire dans les vaisseaux sanguins" explique le Dr Pierre Nys. Avant d’arriver à une obésité abdominale qui s’accompagne de nombreux risques sanitaires, mieux vaut essayer de perdre sa bedaine dès qu’elle apparaît. "A partir du moment où on a une bedaine, surtout si on a des antécédents familiaux cardio-vasculaires ou métaboliques, il est important de réagir" alerte le Dr Pierre Nys.

     

    Graisse abdominale, un risque d’infertilité

    La graisse abdominale a un rôle délétère démontrée sur la fertilité. Les bourses sont comprimées par la graisse abdominale en cas d’obésité abdominale. Il y a aussi des mécanismes hormonaux ayant un impact sur la spermatogenèse. "Cependant, ces effets sont liés à une obésité abdominale morbide" nuance le Dr Pierre Nys. Mais comme une bedaine ne fait en général que prendre de l’ampleur, mieux vaut perdre son ventre débutant.

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Source : Remerciements au Dr Pierre Nys, endocrinologue et nutritionniste, auteur de Ma bible de l’alimentation anti-diabète Editions Leduc.s, septembre 2017

    medisite.fr 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Premiers symptômes hormonaux du cancer du pancréas

     

     

     

     

     

     
    Le cancer du pancréas est l'une des tumeurs ayant le pire pronostic. En effet, il altère la production hormonale de l'organe.

    Le cancer du pancréas est une maladie qui peut affecter la grande majorité des cellules de notre organisme. Dans le cadre de ce trouble, les cellules qui constituent le pancréas commencent à se diviser de manière incontrôlée. Il affecte aussi bien les hommes que les femmes, et peut apparaître à n’importe quelle période de la vie.

    Ainsi, le pancréas est un organe de forme allongée qui se situe derrière l’estomac. Il remplit d’importantes fonctions dans le cadre du maintien de notre corps.

    De cette manière, nous pouvons différencier deux types de cellules dans le pancréas :

    • Endocrines : elles apparaissent sous la forme d’îlots de Langerhans et produisent des hormones qui se libèrent directement dans le sang. Normalement, elles produisent de l’insuline et du glucagon, composés capables de réguler la quantité de glucose dans le flux sanguin.
    • Exocrines : ces cellules synthétisent des enzymes qui voyagent vers le duodénum à travers de minuscules conduits. Elles s’unissent pour former le conduit pancréatique, qui s’unit à son tour au conduit biliaire (provenant du foie) vers l’intestin grêle. Les enzymes produites collaborent afin de procéder à la digestion de certains nutriments tels que les lipides ou les graisses.

    Quels sont les types de cancer du pancréas ?

    cancer du pancréas

     

    Aujourd’hui, les médecins distinguent deux types de cancer du pancréas selon le type de cellules affectées. Ainsi nous trouvons :

    • Le cancer du pancréas exocrine : il s’agit du sous-type de cancer du pancréas qui apparaît le plus fréquemment. Dans la plupart des cas, il se développe à partir des cellules qui produisent les enzymes digestives.
    • La tumeur endocrine pancréatique ou neuroendocrine (maligne ou cancéreuse) : elle affecte les cellules des îlots de Langerhans qui produisent des hormones et les libèrent directement dans le sang. Nous pouvons faire la différence entre différents sous-types en fonction du type de cellule affecté (voir les symptômes les plus fréquents).

    Quels sont les symptômes du cancer du pancréas les plus fréquents ?

    cancer du pancréas

     

    Il est possible que les patients présentent un cadre asymptomatique, ou autrement dit, qu’ils ne montrent pas de signaux de la maladie. D’autre part, les symptômes peuvent varier en fonction du type de cancer du pancréas que présente le patient. Ainsi, nous pouvons faire la distinction entre :

    Cancer du pancréas exocrine :

    • Fatigue ou faiblesse générales
    • Nausées et vomissements
    • Inappétence ou perte d’appétit
    • Augmentation de la taille de la vésicule biliaire et/ou du foie
    • Gênes abdominales qui peuvent s’étendre à des zones proches (telles que le dos)
    • Ictéricie ou jaunissement de la peau : cela est dû au fait que le cancer obstrue le conduit cholédoque, et par conséquent, la bilirubine s’accumule. La bilirubine est un pigment produit par le foie qui atteint normalement le duodénum au travers de ce tube. D’autres symptômes liés sont l’urine plus obscure ou encore des altérations dans les caractéristiques des selles (changement de couleur et de texture).

    Dans les symptômes hormonaux, on peut avant tout souligner :

    • Changement de la texture du tissu adipeux du patient. Ce trouble est dû à la mauvaise libération d’enzymes pancréatiques.
    • Diabète : dans ce cas, les cellules exocrines détruisent les cellules qui synthétisent l’insuline. Par conséquent, les niveaux de glucose augmentent dans le flux sanguin et se produisent aussi les symptômes caractéristiques de cette maladie.
    • Altérations légères des niveaux de glucose dans le sang.

    Tumeur endocrine pancréatique ou neuroendocrine (maligne ou cancéreuse) : elle dépend du type de cellule qui a développé le cancer. Ainsi, nous pouvons trouver :

    • Gastrinome  : la maladie se produit au niveau des cellules qui produisent la gastrine et provoque l’augmentation de sa production. Généralement, cette substance provoque une synthétisation plus acide dans l’estomac. On connaît aussi ce trouble sous le nom de syndrome de Zollinger-Ellison.
    • Insulinome : cette tumeur affecte les cellules qui produisent l’insuline, dont le niveau augmente donc de manière incontrôlée. Les symptômes produits s’associent à l’hypoglycémie ou à de faibles niveaux de glucose dans le sang.
    • Glucagonome : dans ce cas, le cancer se trouve dans les cellules qui produisent le glucagon. Ainsi, les signaux s’associent à l’hyperglycémie ou à des niveaux élevés de glucose dans le sang.
    • Somatostatinome : normalement, la somatostatine aide à réguler d’autres hormones. Lorsque cette pathologie apparaît, il est possible que les niveaux de ces substances soient altérés au niveau général.
    • Cancer touchant le polypeptide pancréatique (PP) : la production de cette substance augmente démesurément. Normalement, elle permet de réguler les fonctions du pancréas.
    • Cancer touchant le peptide intestinal vasoactif (VIP) : il altère les cellules productrices de cette substance. Le symptôme le plus parlant est la diarrhée qui se maintient dans le temps.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Quels sont les signaux d’alerte d’une hémorragie cérébrale

    et comment la prévenir ?

     

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le sport est l'une des meilleures manières de prévenir les accidents vasculaires cérébraux puisque l'on renforce son coeur et on libère le stress, qui peut être un déclencheur évident.
     
     
     
     

    L’accident vasculaire cérébral (AVC), l’ictus ou l’hémorragie cérébrale affectent chaque année près de 15 millions de personnes dans le monde entier, et c’est la seconde cause de mort chez les adultes de plus 60 ans.

     

    Cette maladie se présente quand le flux sanguin vers le cerveau est interrompu, que ce soit à cause d’un blocage dans un vaisseau sanguin du cerveau ou cause d’une rupture de l’un d’entre eux.

    Etant donné que le sang est responsable de transporter l’oxygène vers le cerveau, il ne peut fonctionner sans.

    Celui qui ne perd pas la vie peut souffrir de graves séquelles à cause des dommages qui sont produits dans n’importe quelle zone du cerveau.

    La bonne nouvelle est que dans de nombreux cas, on peut les prévenir et les détecter à temps, afin de réduire les risques et éviter des conséquences tragiques.

     

    Comment détecter une hémorragie cérébrale à temps ?

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    La détection précoce des symptômes d’un accident vasculaire cérébral est très importante, car le temps est déterminant dans la gestion des dommages du cerveau, qui peuvent être mortels ou très graves.

    Les signes qui nous permettent de nous alerter à temps sont les suivants :

    • Un endormissement soudain ou une fragilité à un endroit du visage, de la jambe ou d’un bras.
      En général, cela arrive sur un seul côté du corps.
    • La difficulté à parler, à comprendre ou à se concentrer.
    • La perte de la coordination motrice.
    • Des nausées soudaines et des difficultés à marcher.
    • Des maux de tête sévères et soudains, sans aucune cause. 
    • La perte de la vision à l’un deux yeux, ou aux deux.

    On estime que dans 88% des cas, les accidents vasculaires cérébraux sont de type ischémique, c’est-à-dire qu’ils sont provoqués par un caillot de sang ou l’obstruction d’une artère qui apporte du sang jusqu’au cerveau.

    Les autres 12% sont hémorragiques et sont produits quand les vaisseaux sanguins se rompent, laissant le sang s’écouler dans le cerveau.

    La prévention est certainement le meilleur traitement de cette affection dangereuse.

    C’est pour cela que depuis un moment, on conseille d’adopter des habitudes de vie plus saines et d’éviter tout ce qui pourrait augmenter le risque d’en souffrir.

     

    Comment peut-on prévenir des hémorragies cérébrales?

    Même s’il arrive que les accidents vasculaires cérébraux ne puissent pas être évités et que les symptômes surgissent très rapidement, on peut souvent prévenir cette affection.

     

    1. Connaître sa pression artérielle

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    L’hypertension est l’un des principaux facteurs de risque d’hémorragie cérébrale. 

    Le fait de souffrir d’hypertension artérielle peut multiplier par quatre les probabilités de développer cette affection, car cela oblige le coeur et les artères à faire un effort plus important pour pouvoir transporter le sang à toutes les cellules du cerveau.

     

    2. Faire de l’activité physique

    Les exercices font partie des meilleures habitudes pour jouir d’une bonne santé cardiovasculaire.

    Il est possible de renforcer le coeur et de garder les artères propres pour prévenir leur obstruction.

    Une marche quotidienne d’une heure est plus que suffisante pour que le système travaille dans des conditions optimales.

     

    3. Arrêter de fumer

    Cette habitude est l’un des principaux facteurs de risque d’AVC, surtout si l’on commence à fumer à un âge précoce.

     

    4. Connaître ses niveaux de cholestérol

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    Le cholestérol et la cigarette sont les causes potentielles de plaque athérosclérotique, ce qui entraîne l’apparition d’obstructions dans les artères qui alimentent le cerveau en sang.

     

    5. Perdre du poids

    Le fait de souffrir de surpoids ou d’obésité élève le risque de souffrir de problèmes coronaires.

    Il est recommandé de perdre au moins 4 ou 5 kg pour diminuer ces risques.

     

    6. Eviter le stress

    Le fait de souffrir de stress chronique, physique et mental peut augmenter jusqu’à quatre fois le risque de souffrir d’un accident vasculaire cérébral tout au long de la vie.

     

    7. Eviter la colère ou les émotions fortes

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    La colère et d’autres émotions qui génèrent de la tension sont associées à un plus grand risque de souffrir d’ictus, à cause des altérations qu’elles provoquent sur le coeur et sur le système nerveux.

    Avoir un tempérament tranquille et positif est la meilleure manière de diminuer le risque et de maintenir la pression artérielle à niveau.

     

    8. Contrôler le diabète

    Les problèmes circulatoires liés au diabète de type 2 peuvent augmenter le risque d’hémorragie et d’autres problèmes cardiovasculaires communs comme l’hypertension.

     

    9. Manger des acides gras oméga-3

    La consommation d’acides gras oméga-3 est conseillée pour diminuer le risque de crise cardiaque et d’hémorragie.

    Puisqu’il s’agit de graisse saine, elle prévient la formation de plaque dans les veines cérébrales et maintient le flux sanguin en parfait état.

    De plus, elle permet d’éliminer le mauvais cholestérol (LDL) et de contrôler les triglycérides.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

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  • Le pancréas et ses problèmes : 6 symptômes

     

     

     

     

     
     
     
     
     
     
     
    80 % des cas de pancréatites sont dus à des calculs biliaires, et à de mauvaises habitudes comme la consommation excessive de graisses ou d'alcool.
     

    Le pancréas est un organe indispensable à notre corps. Il est donc impératif de connaître les raisons et les symptômes qui peuvent causer un dysfonctionnement à son niveau afin de prévenir de possibles complications plus sérieuses. Une pancréatite affecte beaucoup nos fonctions digestives, un sujet que l’on va d’ailleurs développer dans les prochaines lignes.

    Le pancréas est situé derrière l’estomac et sa fonction est de produire des enzymes, tout comme l’insuline et le glucagon qui sont très importants pour faire la digestion.Ces derniers arrivent à l’intestin grêle et favorisent l’assimilation des aliments. L’altération de cet organe provoque des effets assez graves, surtout que ces mêmes enzymes peuvent se retourner contre le pancréas et l’attaquer !

     

    Comment savoir si l’on a un problème de pancréas ?

    douleur au ventre

    1. La douleur

    La douleur apparaît dans la partie supérieure de l’abdomen et derrière l’estomac. Il faut savoir également que cette douleur apparaît seulement dans la zone gauche et sous les côtes, provoquant une sensation de brûlure.

    • Cette douleur peut apparaître juste après avoir mangé ou bu. On peut la ressentir surtout après la consommation d’un plat riche en graisses.
    • Cette douleur peut commencer un jour après avoir mangé, et elle peut se propager et se prolonger de jour en jour et devenir plus intense.
    • La douleur est plus intense lorsqu’on dort sur le dos, car cette position gêne le pancréas et lui donne la sensation d’être étouffé.
    • La douleur s’étend jusqu’au dos ou sous l’omoplate gauche.

    2. La fièvre

    Les enzymes qui sont en train d’attaquer le pancréas produisent une inflammation, ce qui va augmenter votre température. Il vaut mieux aller consulter un médecin dans ce genre de cas puisqu’il pourrait s’agir d’une infection.

    3. Les nausées

    Elles peuvent être accompagnées de vomissements, ce qui fait que notre systèmedigestif est dérangé et les aliments ne se digèrent plus bien comme il le faut.Résultat : le pancréas souffre d’une inflammation.

    4. Les maux de tête

    La sensation de fatigue, l’irritabilité, la difficulté de se concentrer ou les maux de tête fréquents sont un signe indiquant que notre système immunitaire est attaqué et que les effets de cette faiblesse se font ressentir immédiatement.

    5. La perte de poids

    On assimile mal les aliments, ce qui fait que l’on n’obtient plus les nutriments adéquats, car notre pancréas est dérangé par des calculs biliaires, ou est détruit par ses propres enzymes. Il est donc normal que personnes qui souffrent d’une maladie associée à cet organe puissent commencer à perdre du poids.

    6. La tachycardie

    Notre rythme cardiaque s’accélère, on se fatigue facilement, et on commence à respirer très vite. Cela veut dire que notre corps souffre de faiblesse et que notre système immunitaire n’a plus assez d’énergie, ce qui fait que le cœur fait plus d’efforts que d’habitude : on s’essouffle et nos battements du cœur se situent à un niveau anormal.

    Pourquoi le pancréas devient-il malade ?

     Medicaments

    Les statistiques disent que 80% des pancréatites sont causées par les calculs biliaires et par de mauvaises habitudes de santé. Les calculs biliaires sont responsables du blocage des conduits et empêchent le pancréas d’assurer ses fonctions bien comme il le faut !

    Concernant l’alimentation, une consommation élevée de graisses et d’alcool finit toujours pas endommager cet organe, mais il existe également d’autres causes qui peuvent affecter le pancréas comme l’insuffisance rénale, le lupus, les kystes et la consommation de certains médicaments.

    Comment prendre soin de son pancréas ?

     Brocoli

    • Limitez la consommation de sucre et de farines raffinées
    • Arrêtez de fumer, cette habitude pourrait provoquer un cancer de pancréas.
    • Évitez l’alcool, car ce dernier pourrait représenter un risque sérieux pour votre pancréas si vous le consommer dans de fortes quantités.
    • Consommez des aliments riches en fibres, surtout les céréales complètes.
    • Évitez la consommation de viande rouge.
    • Consommez surtout des légumes crucifères : le brocoli, le chou-fleur, le cresson et le chou de Bruxelles sont très bénéfiques pour soigner notre pancréas et prévenir le cancer.
    • Évitez de prendre du poids
    • Essayer de prévenir le diabète.
    • L’apport de protéines est indispensable pour soigner ou prévenir les maladies du pancréas : il faut essayer de consommer ces protéines que l’on retrouve dans les légumes et le poisson ou même la dinde, connue pour être très pauvre en graisse.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • INFARCTUS OU CRISE D'ANGOISSE ?

     

     

     

     

     

     

    L’infarctus et la crise d’angoisse peuvent se manifester par des symptômes similaires mais leur prise en charge est bien différente. Savoir les différencier est primordial car l’infarctus du myocarde constitue une urgence qui peut être vitale.

     

    Quels sont les symptômes de l’infarctus ?

    © Adobe Stock

     

    L’infarctus du myocarde correspond à l’obstruction d’une ou plusieurs artères irriguant le cœur et endommage le muscle cardiaque en provoquant l’ischémie. Le cœur ne peut donc plus assurer sa fonction de pompe efficacement et l’apport d’oxygène aux organes est insuffisant. Cela se manifeste par des douleurs dans la poitrine, d’allure oppressante, avec des irradiations dans le bras gauche et la mâchoire. Cette douleur peut persister et s’accompagne de difficultés à respirer et de palpitations. Le teint est pâle et l’état général est altéré. Un malaise et une perte de connaissance peuvent survenir. La douleur thoracique et l’essoufflement peuvent eux-mêmes être à l’origine d’une crise d’angoisse, accompagnant l’infarctus.

     

    Quelle ressemblance entre un infarctus et une crise d’angoisse ?

    Face à une situation de stress aiguë, une crise d’angoisse peut se manifester, surtout chez le sujet naturellement anxieux. Celle-ci provoque des symptômes comme une douleur et une oppression thoracique semblable à celle de l’infarctus. Elle est accompagnée de tremblements, de sueurs, de palpitations et d’un sentiment de danger imminent. C’est pourquoi, elle peut faire croire, à tort, à la présence d’un infarctus. Mais, à la différence de celui-ci, l’état général est conservé et la douleur thoracique va disparaitre spontanément si la personne arrive à se calmer en prenant de profondes inspirations. SI la crise d’angoisse est importante et durable, il arrive que le sujet soit hospitalisé en urgence pour s’assurer de l’absence de pathologie cardiaque.

     

    Que faire face à une douleur thoracique oppressante ?

    © Istock

     

    Lorsqu’une douleur thoracique oppressante se manifeste, il faut rechercher des signes évocateurs d’infarctus avant de conclure à une crise d’angoisse, car celui-ci constitue une urgence vitale. Il faut tout d’abord tenter de calmer le patient et le rassurer. Au moindre doute, et surtout si le patient a des antécédents cardiaques, de la trinitrine en spray ou en comprimé sublingual pourra être administrée. Si les symptômes s’atténuent, il est probable que l’origine de la douleur soit une angine de poitrine et le bilan cardiaque s’impose alors. On peut également administrer un anxiolytique au patient, qui, s’il suffit à calmer les symptômes, permettra de conclure à une crise d’angoisse. La réalisation d’un électrocardiogramme reste l’examen de référence pour faire la différence entre un infarctus du myocarde et une crise d’angoisse. En effet, les signes de l’infarctus apparaissent rapidement sur l’enregistrement électrique du cœur, qui, au contraire, reste normal en présence d’une simple crise d’angoisse. On peut tout au plus observer un rythme cardiaque légèrement accéléré.

     

    Dr Anne-Christine Della Valle, médecin généraliste

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Le lien entre les maux de tête et le foie

     

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si vous avez du mal à y croire, réduire notre stress et notre anxiété peut nous aider à améliorer notre santé, aussi bien au niveau hépatique qu'au niveau émotionnel.
     
     
     

    Les maux de tête peuvent avoir diverses origines : migraines, céphalées de tension et également, une douleur associée à un foie malade ou intoxiqué. Nous vous montrons comment reconnaître cela et ainsi à prendre mieux soin de vous.
     

    Pourquoi mes maux de tête peuvent-ils être liés au foie ?

    Maux-de-tête

    Quand un foie est en bonne santé, nous jouissons d’une qualité de vie où nous ne pensons pas à cet organe. Mais parfois, nous commençons à avoir des problèmes digestifs, de fatigue et d’autres symptômes comme par exemple les maux de tête. Il y a un désordre, qui peut être léger ou plus grave mais il faut voir ce symptôme comme important. 

    Mais comment est-ce que ces maux de tête peuvent-ils être associés à un foie malade ? C’est une douleur qui vient et repart, elle apparaît parfois de façon très intense autour des tempes ou dans la partie arrière de la tête. Il est fréquent que nous la confondions avec la céphalée de tension, mais une donnée permet de la différencier : elle arrive avec des douleurs dans le ventre, une sensation d’être rempli, avec un mal-être gênant qui s’accompagne d’un goût amer dans la bouche, une langue blanchâtre ou jaunâtre et un peu de nausées. 

    Les médecins indiquent également que cela est très fréquent de souffrir d’insomnie par exemple durant les premières heures de la nuit et de difficultés à se réveiller le matin. Chez les femmes, il est aussi habituel d’avoir le syndrome pré-menstruel accompagné de symptômes assez forts.

    En général, ce qui arrive c’est que ces céphalées apparaissent quand le foie est intoxiqué ou malade, et ne remplit pas ses fonctions de façon adéquate. Il ne peut donc pas nous donner l’énergie nécessaire jusqu’à la tête et les extrémités. Voilà d’où viennent la douleur et la fatigue.

    Que faire pour prendre soin de son foie et éviter les maux de tête ?

    marcher

    1. Règles alimentaires

    • Evitez de manger de grandes quantités. Le mieux est de manger juste ce qu’il faut mais plusieurs fois par jour, sans sauter de repas. Ne sautez jamais le petit-déjeuner car il est essentiel pour maintenir notre métabolisme en bonne santé.
    • Réduisez la consommation de graisses, de fritures, la consommation de sucre, d’alcool, de sel ainsi que de produits laitiers.
    • Elevez votre dose de légumes et de fruits secs. Il est meilleur de manger des aliments élaborés avec des cuissons douces, comme par exemple à la vapeur.
    • Idéal : les végétaux et les aliments à base de farines complètes, qui ont un effet « rafraîchissant » et surtout, les légumes verts au goût amer. Et pourquoi ? Car ils calment le foie, c’est-à-dire qu’ils ont un effet désenflammant au niveau hépatique, en plus d’aider les fonctions purificatrices. L’un de ces aliments est l’artichaut.
    • Il y a des plantes médicinales qui peuvent être d’une grande aide, comme le chardon-Marie, le gingembre, le pissenlit, le thé vert… ils sont détoxifiants, stimulent le drainage du corps et améliorent les fonctions hépatiques.

    2. Règles comportementales et émotionnelles

    • Comme vous le savez, nos habitudes de vie influencent directement la santé de notre foie. Il serait bon que vous consacriez au moins une demi-heure par jour à faire du sport, à bouger et à améliorer les fonctions de votre coeur. Il suffit de sortir marcher chaque matin, ou d’aller courir à la fin de la journée pendant 15 minutes… n’importe quoi pourvu que vous bougiez. En plus de cela, il est indispensable de prendre soin de nos émotions. Réduisez vos niveaux de stress et d’anxiété en n’oubliant jamais quelles sont les propriétés dont nous devons jouir : la santé, le bonheur et le fait de profiter des siens. Réservez-vous toujours quelques heures de la journée pour vous-même, pour profiter des choses simples, même s’il s’agit de se retrouver seul dans un parc, à penser ou de prendre le café avec des amis (le café est bon pour le foie). Entourez-vous de personnes qui vous aiment, vous respectent et qui veulent le meilleur pour vous. Si vous pensez que vous devez vous éloigner de certaines personnes, faîtes-le avant que votre santé ne s’en voie affectée. Toutes ces petites choses endommagent notre foie et notre équilibre personnel. Ne l’oubliez pas.

    Exemple d’un régime alimentaire adéquat pour éviter les maux de tête

    artichaut

    Nous vous donnons un exemple simple pour un jour « lambda ». Avec ces aliments, vous prendrez soin de votre foie et vous éviterez les maux de tête qui lui sont liés.

    1. Le petit-déjeuner

    • Un verre d’eau tiède avec le jus d’un demi citron
    • Une tranche de pain d’avoine complet avec de la confiture de myrtilles (sans sucre)
    • Une demi-pomme et deux noix

    2. Au milieu de la matinée :

    • Une pomme et une poire
    • Ou une tasse de thé avec une tartine de pain complet grillée avec quelques gouttes d’huile d’olive

    3. Le déjeuner

    • Des légumes grillés (brocoli, choux de Bruxelles…)
    • Du poisson blanc grillé
    • Un petit bol de morceaux de papaye

    4. Le goûter

    • Un verre d’eau à l’avoine avec quelques fraises

    5. Le dîner

    • Quelques artichauts bouillis avec un peu d’huile d’olive et du vinaigre
    • Du riz complet bouilli avec de l’huile d’olive, du sel et du laurier
    • Un kiwi
    • (N’oubliez pas que les salades composés ne sont pas bonnes au dîner, la salade par exemple est difficile à digérer donc réservez-les pour le déjeuner.)

    6. Une heure avant d’aller dormir :

    • Une infusion de mélisse, de menthe et de thym. Vous dormirez mieux.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Autophagie :

    Comment votre corps se détoxifie et se répare lui-même

     

     

     

     

     

     

     

    Bien qu’il existe de nombreuses façons de débarrasser votre organisme des toxines accumulées, au moyen d’aliments et substances chimiques détoxifiants et/ou d’agents détoxifiants naturels, ou encore de saunas, l’autophagie, qui est un processus biologique, joue un rôle clé.

     

    Le terme autophagie signifie « se manger soi-même », et fait référence au processus par lequel votre corps se débarrasse de nombreux déchets, notamment de toxines, et recycle les composants des cellules endommagées.
    Voici ce qu’explique Greatist en termes simples :

    « Vos cellules fabriquent des membranes qui localisent les restes de cellules mortes, malades ou usées ; elles les avalent, les démontent pour récupérer les pièces, et elles utilisent les molécules qui restent comme source d’énergie ou comme pièces pour faire de nouvelles cellules. »

    Le Dr. Colin Champ, radio-oncologue et professeur adjoint au centre médical de l’université de Pittsburgh, l’explique ainsi :

    « Voyez cela comme le programme de recyclage naturel de notre corps. L’autophagie nous transforme en machines capables de se débarrasser des pièces défectueuses, de stopper la croissance cancéreuse, et certains troubles métaboliques tels que l’obésité et le diabète. »

    En stimulant le processus d’autophagie de votre corps, vous freinez l’inflammation, ralentissez le processus de vieillissement et optimisez les fonctions biologiques.

    Stimuler l’autophagie par le sport

    Tout comme les bienfaits du sport, l’autophagie intervient en réponse au stress. Et d’ailleurs, faire du sport est l’une des façons de stimuler l’autophagie. Comme vous le savez sans doute, faire du sport provoque de très légères lésions dans vos muscles et vos tissus, lésions que votre organisme répare, renforçant ainsi votre corps.

    Le sport permet aussi d’éliminer les toxines par la transpiration, et est utile dans pratiquement tous les programmes de détoxification. De nombreuses personnes considèrent d’ailleurs le sport comme l’un des éléments fondamentaux d’une détoxification efficace.

    Le Dr. George Yu, par exemple, qui a participé à des études cliniques pour aider à détoxifier les personnes ayant participé à la guerre du Golfe, recommande une combinaison de sport, de séances de sauna et de supplémentation en niacine pour optimiser l’élimination des toxines par la peau.

    Le sport est un élément important car il provoque aussi une vasodilatation et augmente le flux sanguin.

    Combien de temps d’exercice faut-il pour optimiser l’autophagie ?

    La quantité d’exercice physique nécessaire pour stimuler l’autophagie chez l’homme n’est pas encore connue, mais l’on pense toutefois que les exercices intensifs sont plus efficaces que les exercices doux, ce qui semble parfaitement logique.

    Ceci étant dit, une autre recherche a établi que le temps de pratique idéal de sport, pour en obtenir le plus de bienfaits en termes de longévité, se situe entre 150 et 450 minutes d’exercice modéré par semaine, ce qui réduirait votre risque de mourir prématurément respectivement de 31 et de 39%.

    En consacrant au moins 30% de votre temps d’entraînement à des exercices de haute intensité, il a été prouvé que vous pouviez améliorer encore votre longévité de 13%, par rapport à une pratique modérée constante.

    En suivant ces recommandations générales, vous mettrez certainement toutes les chances de votre côté pour maximiser également votre autophagie.

    Comment inhiber radicalement l’autophagie

    L’une des façons les plus rapides de bloquer l’autophagie est de consommer des protéines en grandes quantités. Cela stimule l’IGF-1 et le mTOR, qui sont de puissants inhibiteurs de l’autophagie.

    C’est pourquoi il est préférable de limiter votre consommation de protéines à environ 40 à 70 grammes par jour, en fonction de votre masse corporelle maigre. La formule précise est d’un gramme de protéines par kilo de masse corporelle maigre, soit un demi-gramme de protéines par livre de masse corporelle maigre.

    On trouve des quantités substantielles de protéines dans la viande, le poisson, les œufs, les produits laitiers, les légumineuses, les noix et les graines. Certains légumes sont également très riches en protéines – comme par exemple les brocolis. 40 grammes de protéines ne représente pas une grosse portion d’aliment – c’est l’équivalent d’un blanc de poulet de 170 grammes.

    Pour déterminer si vos apports en protéines sont trop importants, calculez simplement les besoins de votre organisme en fonction de votre masse corporelle maigre, et notez tout ce que vous mangez pendant quelques jours. Puis calculez la quantité de protéines que vous avez consommé chaque jour, toutes sources confondues.

    Si vous en consommez beaucoup plus que la quantité optimale, revoyez votre consommation à la baisse. Le tableau qui suit donne un bref aperçu des proportions de protéines de divers aliments.

    La viande rouge, le porc, la volaille et les fruits de mer affichent une moyenne de 6 à 9 grammes de protéines par portion de 30 grammes.

     

    La quantité idéale pour la plupart des personnes serait une part de 90 grammes de viande (et non pas des steaks de 250 à 350 g !), ce qui fournit environ 18 à 27 grammes de protéines

    Les œufs contiennent chacun environ 6 à 8 grammes de protéines. Une omelette cuisinée avec deux œufs vous fournit donc environ 12 à 16 grammes de protéines
    Si vous y ajoutez du fromage, il vous faut également tenir compte de ces protéines (vérifiez l’étiquette du fromage)
    Les graines et noix contiennent en moyenne 4 à 8 grammes de protéines par portion de 35 grammes Les haricots cuits affichent environ 7 à 8 grammes par portion de 100 grammes
    Les céréales cuites affichent environ 5 à 7 grammes par portion de 200 grammes La plupart des légumes contiennent environ 1 à 2 grammes de protéines par portion de 30 grammes

    L’importance de la biogénèse des mitochondries

    Des mitochondries saines sont la base d’une bonne santé et de la prévention des maladies. Les dommages mitochondriaux sont susceptibles d’entraîner des mutations génétiques pouvant contribuer au développement d’un cancer ; optimiser la santé de vos mitochondries est donc un élément clé dans la prévention du cancer.

    L’autophagie est l’une des façons de se débarrasser des mitochondries endommagées, mais la biogénèse est le processus par lequel de nouvelles mitochondries saines peuvent être dupliquées.

    Il faut savoir que le sport joue un double rôle car non seulement il stimule l’autophagie, mais c’est aussi l’un des plus puissants stimulateurs de la biogénèse des mitochondries. Le sport permet en effet d’amplifier un signal dans l’organisme que l’on appelle l’AMPK, qui à son tour active le PGC-1 alpha.

    Lorsque vos mitochondries – les organites présentes dans presque toutes les cellules et produisant l’ATP – sont stimulées pour être plus actives, elles commencent à fabriquer des espèces réactives de l’oxygène (ERO), qui agissent comme des molécules de signalisation.

    L’une des fonctions qu’elles déclenchent est la fabrication de mitochondries supplémentaires.

    En substance, la clé pour prévenir les maladies – éliminer pratiquement tout risque de cancer, de maladie cardiaque, de diabète, et de nombreuses autres maladies — et ralentir le processus de vieillissement, réside dans l’optimisation du fonctionnement des mitochondries et de leur nombre. Heureusement, le sport vous aide dans les deux cas.

    Le jeûne intermittent – un autre moyen de stimuler l’autophagie

    Le jeûne est un autre déclencheur biologique aux nombreux résultats bénéfiques, dont l’autophagie fait partie. D’ailleurs, certains des avantages du jeûne – tels qu’une diminution du risque de développer un diabète ou une maladie cardiaque – peuvent être au moins en partie attribués à ce processus.

    Bien qu’il existe de nombres rythmes possibles de jeûne intermittent, si vous êtes résistant à l’insuline, je vous recommande de jeûner tous les jours en prévoyant de prendre tous vos repas dans une fenêtre d’environ 8 heures, voire moins. Vous pouvez par exemple vous restreindre à prendre vos repas entre 11 heures et 19 heures. Cela équivaut à 16 heures de jeûne quotidien.

     

    Je conseillais autrefois de sauter le petit-déjeuner mais j’ai réalisé depuis que peu importe le repas que vous sautez – petit-déjeuner ou déjeuner – tant que vous en éliminez un des deux. Certaines personnes ont vraiment du mal à se passer de petit-déjeuner, faites donc des essais pour déterminer ce qui vous convient le mieux.

    S’alimenter entre 8 heures du matin et 16 heures peut être plus facile pour certaines personnes, et ce rythme présente en plus l’avantage de vous faire jeûner pendant plusieurs heures avant de vous coucher. Je pense qu’il est plus sain pour la plupart des gens d’arrêter de manger trois heures avant de se coucher, car il est parfaitement inutile de produire de l’énergie lorsque vous n’en avez pas besoin.

    Il existe des preuves irréfutables démontrant que lorsque vous fournissez du carburant à vos mitochondries alors qu’elles n’en ont pas besoin, elles perdent de nombreux électrons qui libèrent des espèces réactives de l’oxygène (ERO) telles que des radicaux libres.

    Ces radicaux libres endommagent vos mitochondries et au final, l’ADN nucléaire. Il existe également des preuves indiquant que les cellules cancéreuses endommagent uniformément les mitochondries, un repas trop rapproché de l’heure du coucher n’est donc pas une bonne idée.

    Je m’efforce personnellement de respecter six heures de jeûne avant de me coucher, mais quoi qu’il arrive, j’évite de manger au moins trois heures avant de me coucher.

    Pour stimuler l’autophagie, adoptez un régime riche en matières grasses et pauvre en glucides

    La cétose nutritionnelle est une troisième méthode qui peut stimuler l’autophagie ; pour l’appliquer, vous devez diminuer les glucides non-fibreux et augmenter la quantité de bonnes graisses dans votre alimentation, et y incorporer une quantité modérée de protéines. D’après le Dr. Champ :

    « La cétose est un peu un booster d’autophagie. Vous bénéficiez des changements métaboliques et avantages générés par le jeûne sans jeûner réellement… 60 à 70% des calories que nous consommons devraient provenir de [bonnes] graisses…

    Les protéines devraient représenter 20 à 30% des calories, alors que les glucides ne devraient pas dépasser 50 grammes par jour… Des bienfaits similaires ont été observés chez des personnes suivant un régime dans lequel les glucides n’excédaient pas 30 % de l’apport calorique total. »

    La plupart des gens consomment des graisses nocives telles que des huiles végétales raffinées, qui dégradent immanquablement la santé. Non seulement ces huiles sont raffinées, mais elles sont très riches en oméga-6, et l’excès d’oméga-6 pénètre la membrane mitochondriale et devient hautement sensible aux dommages oxydatifs, provoquant la mort prématurée des mitochondries.

    Il est préférable de maintenir la consommation d’acides-gras oméga-6 à moins de 4 à 5% de votre apport calorique journalier total. Remplacez les acides gras oméga 6 par des bonnes graisses – des graisses naturelles non raffinées que l’on trouve dans les vrais aliments tels que les graines, les noix, le beurre, les olives, les avocats, ou l’huile de noix de coco.

    Il est aussi important de savoir à quels glucides on fait référence lorsque l’on dit « faible en glucides », car les légumes sont aussi des « glucides ».

    Toutefois, les glucides fibreux (c’est à dire les légumes) ne font pas pencher votre métabolisme du mauvais côté – seuls les glucides non fibreux ont cet effet (pensez au sucre et à tout ce qui se transforme en sucre, tel que sodas, céréales raffinées, pâtes, pain et biscuits, par exemple).

    Encore plus important, les fibres ne sont pas décomposées en sucre mais elles traversent le système digestif, sont consommées par les bactéries dans vos intestins, et converties en acides gras à chaine courte, bons pour la santé.

    Si vous consultez les informations nutritionnelles sur l’emballage d’un aliment transformé, vous trouverez la mention des glucides totaux, mais ce n’est pas l’information qui nous intéresse. Pour calculer la quantité de glucides nocifs non-fibreux, il suffit de soustraire la quantité de fibres, en grammes, de la quantité totale de glucides contenues dans l’aliment en question.

    Souvenez-vous que vous avez besoin de glucides, mais surtout de ceux qui proviennent des légumes, qui sont également riches en fibres.

    L’autophagie restaure la fonction des cellules souches musculaires vieillissantes

    On sait depuis longtemps que les cellules souches mésenchymateuses (CSM) des muscles squelettiques ont une part importante dans le processus de réparation musculaire. Une recherche antérieure a montré que le sport affecte le comportement de vos cellules souches musculaires, et peut aider à prévenir ou même restaurer la perte musculaire liée à l’âge.

    Les CSM des muscles sont très réactives aux contraintes mécaniques, et ces cellules souches s’accumulent dans les muscles après le sport.

    Et bien que les CSM ne contribuent pas directement à fabriquer de nouvelles fibres musculaires, elle libèrent des facteurs de croissance, qui encouragent les autres cellules à régénérer les muscles. On sait également qu’avec l’âge, les muscles sont de plus en plus carencés en MSC et que l’efficacité de l’autophagie diminue également. Il en résulte une accumulation de déchets métaboliques dans vos cellules et tissus.

    Une récente étude espagnole a rapporté que les cellules satellites – cellules souches musculaires responsables de la régénération des tissus – dépendent de l’autophagie pour prévenir l’arrêt du cycle cellulaire, c’est à dire de la sénescence cellulaire, un état dans lequel l’activité cellulaire souche diminue de façon significative. En bref, pour améliorer la régénération des tissus musculaires, il faut augmenter l’autophagie.

    Grâce à une autophagie efficace – le mécanisme interne de nettoyage de votre organisme – vos cellules souches sont capables de préserver et de réparer vos tissus.

    La fonction des mitochondries est la base de la santé et de la longévité

    Le message à retenir ici est que votre style de vie détermine votre avenir, à savoir combien de temps vous vivrez, et en quel état de santé. Pour une santé optimale et une prévention efficace des maladies, vous avez besoin de mitochondries saines et d’une autophagie efficace (nettoyage et recyclage cellulaire), et voici trois facteurs de style de vie qui ont un effet bénéfique sur les deux :

    1. Votre alimentation : une alimentation riche en bonnes matières grasses, modérée en protéines et faible en glucides non-fibreux. Consommer des aliments bio et nourris aux pâturages est également important, car des pesticides couramment utilisés, tels que les glyphosates, provoquent des dommages mitochondriaux
    2. Lorsque vous mangez : le jeûne intermittent quotidien est souvent le plus facile à suivre mais tout rythme de jeûne que vous suivrez régulièrement fonctionnera
    3. Le sportl’entraînement par intervalles étant le plus efficace

     

    Dr. Mercola

     

    Références:

    1, 3 Greatist February 29, 2016
    2, 5, 6 Fightaging.org January 7, 2016
    PLoS ONE January 11, 2012; 7(1): e29760

     

     

     

     

     

     

     

    Source : sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Quels sont les signes d’alerte du diabète ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le diabète peut mettre des années à se manifester. C'est pour cela qu'il est fondamental de prêter attention aux signaux d'alerte que notre organisme nous envoie quand la maladie n'a pas encore montré son vrai visage.
     

    Certains des signes d’alerte précoces sont similaires pour le diabète de type 1 et le diabète de type 2.

    C’est pour cela que si vous reconnaissez ces signes, vous pouvez aider votre médecin à vous donner un diagnostic précoce et commencer un traitement le plus tôt possible.

    Le diabète de type 2 se développe lentement et peut ne pas donner de signes d’avertissement.

    Le diabète est une maladie médicale très grave mais très commune.

    Si vous souffrez de diabète, vous avez besoin de contrôler et de surveiller régulièrement vos niveaux de sucre dans le sang pour être sûr qu’ils se trouvent dans la tranche adaptée.

    Beaucoup de gens ne savent pas qu’il existe plusieurs types de diabète. Certains diagnostiqués sont surpris car les symptômes peuvent être graduels pendant plusieurs mois ou années.

    Découvrez certains signes d’alerte du diabète, des signes auxquels vous devez prêter attention.

    Signes d’alerte du diabète 

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    Les signes d’alerte du diabète peuvent se déclarer avec le temps ou, au contraire, apparaître rapidement. Les différents types de diabète peuvent avoir des indicateurs similaires ou distincts.

    Vous devez prêter attention à ces symptômes, car ils alertent d’un danger :

    • La soif extrême
    • La bouche sèche
    • Les envies fréquentes d’uriner
    • La faim
    • La fatigue constante
    • Un comportement irritable
    • Une vision floue
    • Des blessures qui ne cicatrisent pas ou difficilement
    • Une peau qui démange ou qui est très sèche
    • Des infections constantes à causes de champignons

    Les signes d’alerte du diabète de type 1

    Ce type de diabète est généralement diagnostiqué chez les enfants et les adultes très jeunes, même s’il peut quand même survenir à n’importe quel âge.

    Les enfants ressentent souvent les symptômes suivants, en plus de ceux évoqués plus haut :

    • La perte de poids involontaire et soudaine
    • Le fait de faire pipi au lit après avoir cessé de le faire pendant une période
    • Des infections dues aux champignons au niveau des zones intimes des filles avant la puberté
    • Des symptômes similaires à la grippe comme les nausées, les vomissements, la mauvaise haleine, les problèmes respiratoires et la perte de conscience

    Les symptômes grippaux apparaissent quand le diabète de type 1 non diagnostiqué provoque l’accumulation des cétones dans le sang.

    Cette affection se nomme cétoacidose diabétique et est une urgence médicale qui requiert un traitement immédiat sous peine de se compliquer.

    Signes d’alerte du diabète de type 2 

    Ce type de diabète n’a pas de symptômes soudains, mais donne des signes d’avertissements comme ceux mentionnés précédemment.

    Vous pouvez recevoir un diagnostic de diabète de type 2 si vous souffrez des symptômes suivants :

    • Les infections persistantes ou une blessure qui ne guérissent pas, ou dont la guérison est très lente.
    • Des complications liées à des niveaux anormaux de sucre dans le sang pendant une longue période, comme un engourdissement ou des fourmillements dans les pieds. 
    • Des problèmes de cœur.

    Cette maladie développe généralement des symptômes au long de plusieurs années, des symptômes très subtiles et difficiles qu’il est difficile de lire.

    Qui a le plus de risque de souffrir de diabète ? diabete-500x334

    Comme nous l’avons dit, le diabète peut survenir à tout moment. Cependant, il y a certains facteurs de risque pour le diabète de type 1 et le diabète de type 2.

    Ceux dont nous allons vous parler ici ne sont pas exhaustifs, car les adultes peuvent aussi contracter un diabète de type 1, même si c’est peu courant.

    Diabète de type 1 :

    • Enfants
    • Adultes jeunes
    • Personnes ayant des antécédents familiaux de diabète de type 1

    Diabète de type 2 :

    • Personnes de plus de 45 ans
    • Individus en surpoids
    • Personnes qui ont une vie sédentaire
    • Fumeurs
    • Personnes qui ont une histoire familiale de diabète de type 2
    • Hypertension artérielle
    • Niveaux anormaux de triglycérides ou cholestérol HDL
    • Personnes de certains groupes ethniques
    • Personnes ayant un historique de résistance à l’insuline

    Peut-être que vous souffrez d’un ou plusieurs symptômes d’avertissement en lien avec le diabète. Si c’est le cas, consultez votre médecin.

    De même, vous pourriez découvrir que vous souffrez de diabète en vous rendant chez votre médecin pour une autre maladie ou une analyse de sang ordinaire.

    Que savoir de plus ?

    Si vous suspectez l’existence de signes d’alerte de diabète, votre médecin voudra sûrement savoir :

    • Quels sont vos symptômes
    • Votre historique familial
    • Quels sont les médicaments que vous consommez
    • Si vous souffrez d’une allergie

    Souvenez-vous que vous devez parler rapidement à votre médecin si vous pensez souffrir de diabète. Recevoir une attention rapide et une gestion efficace est clé pour contrôler les symptômes et prévenir de graves problèmes futurs.

    Si vous souffrez de diabète de type 1, vous aurez besoin de gérer vos niveaux de glucose. C’est pour cela que vous devez réguler vos niveaux d’insuline dans votre régime alimentaire et la rendre plus active dans le sang.

    Si vous souffrez de diabète de type 2, vous pouvez administrer du sucre dans le sang grâce à un régime spécial ou prendre des médicaments qui remplissent cette fonction.

    Avoir du diabète ne signifie pas que vous ne pouvez pas avoir une vie active et heureuse, mais seulement que vous devrez prendre un peu plus soin de votre santé.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 symptômes du cancer de l’ovaire

    que chaque femme devrait connaître

     

     

     

     

     

     

     
    Comme les symptômes du cancer de l'ovaire peuvent être semblables à d'autres maladies, il est toujours important de consulter un gynécologue pour éviter des complications et obtenir un diagnostique précoce.

    Le cancer de l’ovaire est l’une des maladies chroniques du système reproducteur féminin, qui, par sa forme de développement, est également connu sous le nom de « tueur silencieux ».

    C’est le deuxième cancer gynécologique le plus fréquent, mais son taux de mortalité est le plus élevé en raison de l’absence de symptômes forts dans ses premiers stades.

    Il se produit lorsque les cellules de cet organe se développent de manière excessive, ce qui provoque des tumeurs malignes qui peuvent se propager à d’autres parties du corps.

    Sa cause exacte n’est pas définie, mais il y a un plus grand risque d’en souffrir avec des antécédents familiaux, des changements hormonaux soudains et de mauvaises habitudes de vie.

    Bien qu’il soit nécessaire d’effectuer des tests médicaux pour le détecter, il existe certains signes qui peuvent aider à suspecter la maladie pour faciliter son diagnostic.

    C’est pourquoi nous partageons avec vous 7 symptômes principaux pour que vous puissiez vous soigner rapidement si vous les ressentez.

    1. Distension abdominale

    Inflammation et cancer de l'ovaire

     

    La distension abdominale est l’un des symptômes initiaux du cancer de l’ovaire.

    Malgré cela, c’est l’un des signes les plus ignorés, étant donné qu’il est également commun dans les conditions courantes telles que les difficultés digestives et le syndrome prémenstruel.

    • Il est important de savoir lorsqu’il se produit de façon récurrente. Il est pratique de demander des examens médicaux pour connaitre son origine.
    • La croissance excessive des cellules cancéreuses produit plusieurs réactions inflammatoires dans le corps. Et parmi celles-ci, la distension abdominale se démarque.

    2. Changements dans le cycle menstruel

    L’analyse des changements dans le cycle menstruel pourrait également être utile pour suspecter une anomalie dans les ovaires.

    • D’abord, vous devez considérer à que point vos règles sont régulières et à partir de là, vérifier s’il y a des changements qui vont au-delà de la normale.
    • Si vous commencez à remarquer qu’elles sont trop irrégulières, il est préférable de consulter un gynécologue pour vérifier ce qui peut les produire.
    • Gardez un calendrier menstruel à portée de main afin que vous puissiez enregistrer avec plus de précisions les dates entre un cycle et un autre.

    3. Douleur pelvienne

    douleur pelvienne et cancer de l'ovaire

     

    Il est un peu alarmant de considérer que la douleur pelvienne est due au cancer du système reproducteur.

    Cependant, il est bon de considérer cela comme une possibilité, surtout si elle s’accompagne d’autres symptômes irréguliers.

    • Souvent, ceux qui développent un cancer de l’ovaire ressentent des douleurs pelviennes ou abdominales de façon récurrente, sans cause apparente.
    • La douleur persiste pendant plusieurs semaines, se manifestant presque toujours par intermittence.

    4. Difficultés digestives

    Les femmes qui développent un cancer de l’ovaire commencent également à avoir des tensions et un sentiment de pression dans l’estomac.

    En raison de cette maladie, d’autres difficultés digestives peuvent survenir, qui sont souvent confondues avec des infections ou des pathologies de ce système.

    Il est important de consulter en cas de :

    • Nausées et vomissements
    • Episodes continues de constipation chronique
    • Indigestion et coliques
    • Changements dans les selles

    5. Sensation de satiété

    Les changements dans l’activité cellulaire des ovaire s’accompagnent souvent d’une perte d’appétit et d’une diminution marquée du poids corporel.

    • Le développement de cellules malignes entraîne des séquelles dans l’activité digestive. Par conséquent, le patient se sent rassasié, même en mangeant de petites portions de nourriture.
    • Cette situation est assez dangereuse car, dans de nombreux cas, elle provoque de graves carences nutritionnelles et de l’anémie.

    6. Douleur pendant les rapports sexuels

    Comme déjà mentionné, le cancer entraîne des réactions inflammatoires dans les tissus qui, dans ce cas, pourraient être la cause de la douleur pendant les rapports sexuels.

    • Bien qu’il existe de nombreuses raisons pour lesquelles ce symptôme peut se produire, il est essentiel de savoir que l’une d’elle peut être cette maladie.
    • La douleur se manifeste de manière récurrente lors de rapports sexuels et, en général, elle s’accompagne d’une sécheresse vaginale.

    7. Miction urgente et incontrôlable

    Lorsque cette maladie survient dans le système reproducteur, il est fréquent qu’il y ait des changements soudains dans les habitudes d’urination, devenant même un acte incontrôlable.

    • L’inflammation qui se produit provoque un affaiblissement des muscles et du plancher pelvien, réduisant la capacité de la vessie à retenir l’urine.
    • En conséquence, il y a un besoin constant d’aller aux toilettes, même à quelques minutes d’intervalle.
    • Comme la maladie progresse, les patients peuvent également avoir plus d’épisodes de cystite et d’infections des voies urinaires.

    Connaissez-vous ces symptômes ?

    Rappelez-vous que bien qu’ils puissent alerter cette maladie, il est nécessaire de les analyser avec l’aide d’un professionnel. Car ils sont également fréquents dans d’autres infections du système.

    Si vous présentez des facteurs de risque ou si vous avez d’autres raisons de le suspecter, consultez un médecin régulièrement à titre préventif.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 signes qui indiquent une intolérance au gluten

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Si vous souffrez de l'un de ces symptômes, cela ne veut pas dire que vous devez éliminer le gluten de votre régime alimentaire. Si vous en identifiez plusieurs, mieux vaut consulter un médecin.

    Puisque l’on connaît de mieux en mieux ce problème et que les cas se multiplient, beaucoup de gens se demandent s’ils doivent éliminer le gluten de leur régime alimentaire.

    Il y a des personnes qui ont opté pour l’élimination complète, sans avoir détecté aucun problème. C’est pour cela que nous souhaitons aujourd’hui parler de ce sujet.

    Nous pensons qu’il est nécessaire de signaler quels sont les principaux indices qui montrent que l’on a des difficultés à métaboliser le gluten.

    Tout d’abord, sachez que la sensibilité au gluten et la maladie cœliaque sont deux choses différentes.

    Dans le cas de la première, quelques symptômes se manifestent alors que dans la deuxième, il y a tout un processus auto-immunitaire qui est concerné.

    • Il s’agit d’une série de réactions adverses qui parcourent le corps pour vous avertir que quelque chose va mal. Elles peuvent être si intenses, que votre vie peut se retrouver en danger pendant l’une de ces crises.
    • Cependant, quand vous présentez une certaine intolérance, les effets secondaires sont gênants mais pas à ce point.

    Alors, qu’est-ce que le gluten ?

    Il s’agit d’une glycoprotéine. Il lie les molécules d’eau, et gélifie donc les aliments que l’on consomme.

    Le résultat est qu’il rend la digestion difficile, car la décomposition des aliments est bien plus compliquée. Qu’elles soient transformées ou non, les céréales sont celles qui en contiennent le plus.

    Sachez que la grande majorité des aliments industriels en contiennent.

    C’est pour cela que les docteurs recommandent de bien vérifier les emballages des aliments, que vous soyez sensible au gluten ou que vous ayez la maladie cœliaque.

    Quand éliminer le gluten du régime alimentaire ?

    1. Les gênes digestives

    C’est l’un des signes les plus évidents. Cela peut apparaître sous forme de gaz, de constipation ou de diarrhée, et pas toujours de la même manière.

    Il est possible que vous ayez des flatulences, et qu’à d’autres moments vous souffriez de constipation. Mais, cela peut aussi suivre un épisode de diarrhée, sans que votre alimentation n’ait variée.

    2. Vous avez la chair de poule au niveau de la partie arrière des bras

    Le nom scientifique de ce phénomène est kératose pilaire, mais vous le reconnaîtrez car il s’agit de chair de poule.

    Comme vous le savez, cela peut aussi apparaître sans raison apparente et soudainement sur la zone avant du bras.

    Si cela vous arrive fréquemment, vous devriez peut-être envisager d’éliminer le gluten de votre régime alimentaire. La cause de ces épisodes est le manque de vitamine A, qui provient d’une synthèse inefficace des nutriments. 

    3. La fatigue

    Il est normal de ressentir une certaine fatigue après les repas. Mais quand cette sensation est intensifiée à l’excès, il y a autre chose.

    Observez quand cela arrive et s’il y a un lien avec les aliments contenant du gluten.

    4. Les nausées ou les maux de tête

    Les problèmes neurologiques sont très habituels chez les cœliaques ou les personnes sensibles au gluten. Cela est dû au fait que le sang qui arrive au cerveau n’arrive pas dans l’état où il devrait et des troubles apparaissent donc dans la zone.

    À la différence du cas précédent, la réaction n’est pas immédiate, et si vous vous débarrassez de la glycoprotéine, surveillez vos réactions.

    Si votre état s’améliore, vous devrez probablement éliminer le gluten de votre régime alimentaire.

    5. Les complications hormonales

    Les déséquilibres hormonaux les plus communs qui ont lieu à cause de cette intolérance sont les suivants :

    • Des syndromes prémenstruels exagérés
    • Un ovaire polykystique
    • Une infertilité sans cause apparente

    Quand ces obstacles sont liés au gluten, le gynécologue saura vous trouver une solution naturelle. Souvenez-vous que vous devez consulter ce spécialiste une fois par an.

    La sensibilité au gluten et la maladie cœliaque sont faciles à détecter d’un point de vue médical.

    Ainsi, si vous avez identifié l’un de ces signes, l’idéal est de consulter un spécialiste pour faire les tests nécessaires.

    Heureusement, vous pouvez compter sur le nombre de produits vendus en supermarché pour ce type de maladie.

    De plus, les efforts pour augmenter l’offre des marques importantes sont de plus en plus nombreux. Les vicissitudes d’il y a quelques années sont reléguées au passé.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Comment réanimer un bébé ?

     

     

     

     

     
    Les bébés sont souvent exposés de manière régulière à divers accidents qui peuvent mettre leur vie sérieusement en danger. Connaître les techniques de réanimation cardio-pulmonaire peut être vital, lors d’une situation qui affecte la respiration et le rythme cardiaque d’un bébé ou d’un enfant en bas âge.

    Les techniques pour réanimer un bébé répondent à des situations dans lesquelles personne ne désire en faire l’expérience et encore moins avec un enfant en bas âge. Cependant, savoir comment réaliser correctement ces procédures de réanimation peut, sans aucun doute, faire la différence entre la vie et la mort.

     

    La réanimation cardio-pulmonaire, ou RCP, est une procédure de sauvetage qui se réalise lorsque la respiration ou les battements de cœur ont cessé de fonctionner. La procédure décrite ici ne remplace pas une formation en RCP.

    Si vous êtes un parent ou si vous vous occupez d’un bébé, assister à un cours de formation sur la réanimation d’un bébé peut vous être très utile dans une situation d’urgence. Par ailleurs, il faut savoir que la RCP appliquée à un bébé varie également au fur et à mesure que l’enfant grandit.

    Quand faut-il réanimer un bébé ?

    techniques pour réanimer un bébé

     

    Les bébés sont des explorateurs nés. Leur intérêt de connaître le monde qui les entoure, peuvent les pousser à être victimes d’accidents mettant leur vie en danger. C’est pourquoi il est tellement important que les parents ou les personnes qui gardent les bébés minimisent et soient conscients des facteurs de risque de l’environnement d’un bébé. D’autre part, il faut également être toujours attentif à leurs déplacements et mouvements constants.

    En cas d’accident, le temps est très important. Quand il faut réanimer un bébé car il est inconscient et ne respire plus, s’il reste ne serait-ce que 4 minutes sans oxygène, il pourrait souffrir de lésions cérébrales irréversibles et mourir entre 4 et 6 minutes plus tard.

    La réanimation cardio-pulmonaire chez les bébés

    Si un bébé commence à faire des bruits étranges ou ne fait pas de bruit, ou bien s’il a des nausées ou que sa peau commence à changer de couleur, il est probable qu’il soit en train de s’asphyxier. Dans ce cas,vous devez agir rapidement et rester calme pour être le plus efficace possible en réalisant les techniques de réanimation d’un bébé.

    Qu’est-ce qui peut empêcher le bébé de respirer ou de souffrir d’une crise cardiaque ?

    Quelles sont les étapes pour réanimer un bébé ?

    Découvrez à la suite les différentes étapes qui peuvent vous aider à réanimer un bébé en cas d’asphyxie.

    1. Évaluez rapidement la situation

    Si votre bébé tousse et ne peut pas respirer, que sa peau change de couleur, vous devez l’aider à expulser ce qui bloque le passage de l’air. La toux est le mécanisme naturel pour éliminer l’obstruction.

    Si le bébé est inconscient, réalisez la réanimation cardio-pulmonaire pour qu’il retrouve la respiration et son pouls. Demandez à quelqu’un d’appeler les services d’urgence dans votre communauté pendant que vous l’assistez.

    Si vous êtes seul, ne négligez pas le bébé lorsque vous réalisez un appel d’urgence. Commencez par appliquer deux minutes de RCP, puis passez l’appel sans perdre le bébé de vue. Toutes ces procédures doivent être effectuées avec un soin extrême et beaucoup de douceur.

    2. Si votre bébé est conscient, aidez-le à expulser ce qui l’étouffe

    • Placez le bébé face visible sur votre avant-bras et tenez lui la tête et le cou avec la même main. Placez l’autre main et avant-bras sur l’enfant, de manière à ce qu’il se retrouve au milieu de vos avant-bras.
    • Avec l’autre main, utilisez le pouce et l’index pour tenir la mâchoire du bébé. Retournez-le et placez-le de l’autre côté, en le reposant sur votre autre avant-bras. Soutenez le bras qui retient le bébé sur votre cuisse. La tête du bébé devrait être sous votre poitrine.
    • Avec votre main libre, donnez cinq coups fermes entre les omoplates du bébé pour l’aider à expulser le possible objet. Tenez fermement sa mâchoire, et suffisamment pour tenir en même temps sa tête et son cou.
    • Si le bébé n’expulse pas d’objet, placez votre main libre (avec laquelle vous avez donné des coups sur le dos) sur la nuque et soutenez ce bras le long de la colonne vertébrale de votre bébé. Puis, tournez-le en tenant votre autre main et l’avant-bras sur votre poitrine.
    comment réanimer un bébé s'il s'étouffe ?

     

    • Avec la main qui soutient la tête du bébé, utilisez votre pouce et votre index pour tenir fermement sa mâchoire. Soutenez le bras qui retient le dos de votre bébé sur votre cuisse. Assurez-vous que la tête du bébé reste bien en dessous de son corps.
    • Placez deux ou trois de vos doigts au centre de la poitrine du bébé, au niveau de son torse. Appuyez sur la poitrine en essayant de faire une pression d’environ 3 à 4 centimètres. Relâchez cette pression pour que la poitrine revienne à sa position normale, sans retirer vos doigts du sternum.
    • Effectuez 5 autres pressions pectorales, douces et jamais brusques. Répétez la procédure et retournez le bébé en lui donnant 5 coups légers sur le dos, puis répétez les compressions pectorales. Continuez la réanimation, jusqu’à ce que l’objet soit expulsé de sa bouche ou que votre bébé commence à tousser ou à respirer par lui-même.

    3. Si vous devez réanimer un bébé inconscient, réalisez la réanimation cardio-pulmonaire

    • Vérifiez tout d’abord si le bébé est inconscient. Vous pouvez crier son nom par exemple. Notez si sa poitrine bouge et essayez d’écouter sa respiration.
    • Placez délicatement le bébé sur le dos sur une surface dure. D’une main, vous tiendrez le front du bébé en inclinant sa tête en arrière. De l’autre main, vous appliquerez une pression sur la poitrine du bébé. Cette pression devra faire descendre de 3 à 4 centimètres la poitrine du bébé avant de la laissez remonter complètement.
    • Effectuez ensuite 30 pressions de la même manière. Comptez et réalisez les pressions rapidement et sans faire de pause (« et 1, et 2, et 3 », jusqu’à atteindre 30).
    • Ouvrez les voies respiratoires du bébé. Pour cela, vous devrez soulever son menton avec une main, pendant que vous poussez sa tête en arrière sur le front avec votre autre main.
    • Vérifiez si le bébé reprend sa respiration correctement. Placez votre oreille près du nez et de la bouche du bébé, vérifiez si sa poitrine bouge et s’il reprend son souffle en respirant normalement. Rapprochez-vous de ses joues pour l’examiner en détail.
    • Si le bébé ne respire pas, posez votre bouche sur la sienne ainsi que sur son nez ou seulement sur son nez en lui faisant garder la bouche fermée. Puis, réalisez deux inspiration ou deux expirations, qui doivent durer une seconde et faire lever la poitrine du bébé.
    • Si le bébé ne respire toujours pas, vérifiez si vous voyez ce qui pourrait bloquer ses voies respiratoires. Si vous pouvez le voir, essayez de l’extraire avec votre petit doigt. Répétez les compressions et 2 respirations jusqu’à ce que le bébé récupère ou que l’aide arrive.

    Autres précautions à prendre avant de réanimer un bébé

    Quelles autres précautions faut-il prendre avant de réaliser la réanimation cardio-pulmonaire ?

    En cas de risque de blessure à la colonne vertébrale, évitez de tordre la tête et le cou du bébé. Pour essayer de réanimer un bébé dans cet état, vous devrez le déplacer avec l’aide d’une autre personne. De plus, si le bébé saigne, vous devez d’abord vérifier le saignement avant de réaliser la technique de réanimation cardio-pulmonaire.

    Le bébé ne doit jamais rester tout seul en cas d’accident. Appelez les services d’urgence de votre région est très important, car plus vite vous réagirez, plus votre bébé aura de chances de sortir indemne. Mais si vous êtes seul, rappelez-vous : appliquez les deux premières minutes de réanimation cardio-pulmonaire, puis réalisez l’appel téléphonique sans jamais négliger le bébé une seconde.

    Dans le cas où vous disposez d’un défibrillateur externe automatique et qu’il est prêt à être utilisé, vous pouvez le faire sans réaliser de RCP. Un défibrillateur automatisé externe (DAE) est un appareil portable, fonctionnant au moyen d’une batterie. Son rôle principal est d’analyser l’activité du cœur d’une personne en arrêt cardio-respiratoire. Ces machines ont des coussinets ou des palettes qui se placent sur la poitrine et contrôlent automatiquement la fréquence cardiaque.

    Cet appareil enverra un choc soudain s’il détecte que le cœur en a besoin. Il permet de rétablir un rythme cardiaque normal si celui-ci est affecté. Cependant, vous devez vous assurer qu’il peut s’utiliser pour l’âge de votre bébé. Dans tous les cas, vous devez suivre à la lettre les instructions d’utilisation de cet appareil pour réanimer un bébé. La défibrillation précoce associée à la réanimation cardio-pulmonaire augmente fortement les chances de survie d’une personne en arrêt cardio-respiratoire.

    Afin de pouvoir effectuer ce geste médical le plus rapidement possible,  il existe des appareils simplifiés nommés défibrillateurs entièrement automatiques (DEA) ou défibrillateurs semi-automatiques (DSA). Ces appareils procèdent automatiquement au diagnostic de la fibrillation ventriculaire, grâce à un logiciel d’analyse de tracé électrocardiographique. Ils peuvent être utilisés par les secouristes et les sapeurs-pompiers, mais aussi par le grand public sans formation nécessaire.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les médicaments qui pompent les réserves de vitamines

    et nutriments

     

     

     

     

     

     

    Nous avons appris à nous méfier des effets indésirables des médicaments, mais peu d’attention est portée sur la perte de nutriments essentiels qu’ils entraînent.

     

    De nombreux médicaments sont des molécules nouvelles dans la nature, qui n’ont jamais existé dans l’histoire du monde jusqu’à ce qu’un laboratoire pharmaceutique les mette au point. Lorsque le corps les absorbe, il doit ensuite les métaboliser (les transformer pour les assimiler) puis, comme tout nutriment, évacuer des déchets, ce qui implique des enzymes et des réactions chimiques faisant appel à des vitamines et à des minéraux.

    Certains médicaments entraînent une forte consommation de vitamines et nutriments. C’est pourquoi il n’est pas étonnant que la prise de médicament, surtout lorsqu’elle est régulière, provoque des déficits et carences.

    Même lorsque le médicament est une réplique d’une molécule naturellement présente dans le corps ou dans la nature, il peut augmenter les besoins du corps en certaines molécules.

    Pilule et antibiotiques réduisent les réserves de magnésium

    Par exemple, quand une femme prend des œstrogènes, cela appauvrit son corps en magnésium et en vitamines B, quelle que soit la forme (pilule contraceptive, traitement hormonal de substitution, œstrogènes synthétiques ou bio-identiques). De nombreux antibiotiques réduisent également les réserves de magnésium.

    Or, le magnésium est un minéral très important : il entre dans plus de 300 réactions chimiques dans le corps. C’est un cofacteur de l’adénosine-triphosphate (ATP), qui fournit l’énergie cellulaire. Les vitamines B le sont tout autant. La vitamine B6 intervient dans environ 130 réactions. Si vous en manquez, cela peut provoquer de l’anxiété, diminuer la libido, réduire vos niveaux de sérotonine et de mélatonine.

    Pour compenser, vous êtes obligé de prendre toutes les vitamines du groupe B, parce qu’elles fonctionnent ensemble. Par exemple, vous ne pouvez pas bien utiliser la vitamine B6 si vous manquez de vitamine B2. Et vous ne pouvez pas bien utiliser la vitamine B3 si vous manquez de B6.

    Les statines détruisent les réserves de CoQ10

    Des médicaments très répandus, les statines (médicaments contre le cholestérol), sont bien connues pour réduire les réserves de coenzyme Q10 (CoQ10), ce qui provoque des douleurs musculaires et de la fatigue.

    Le CoQ10 est indispensable à la production d’ATP à partir du glucose dans les mitochondries, les petites « centrales électriques » qui fabriquent l’énergie dans les cellules. Pour apporter du bon « carburant » à l’organisme, il faut non seulement une bonne alimentation, mais aussi du CoQ10 si nos réserves sont attaquées par des médicaments.

    Le cas de la cortisone et de l’aspirine

    Les dérivés de la cortisone, comme la prednisone (Cortancyl) et la triamcinolone, utilisés pour traiter de très nombreuses maladies allergiques, immunologiques, inflammatoires ou cancéreuses, font baisser les réserves de calcium, magnésium, acide folique (vitamine B9), potassium, sélénium, vitamine C et vitamine D.

    Pourtant, il est très rare que les médecins l’indiquent à leurs patients et prescrivent ces nutriments sous forme de complément alimentaire à ceux qui prennent ces médications.

    Même un médicament aussi répandu que l’aspirine diminue les réserves d’acide folique, de fer, de potassium, de sodium et de vitamine C. Quant au paracétamol (Efferalgan), il diminue le niveau de glutathion, un très important antioxydant qui protège les cellules contre les attaques des radicaux libres.

    Références à conserver

    Les exemples de médicaments sur ordonnance qui détruisent les nutriments essentiels sont extrêmement nombreux. Les conséquences peuvent porter sur votre énergie, votre humeur, votre libido, votre système immunitaire, bref, sur votre vie ! Il est donc très important de vous renseigner chaque fois que vous prenez des médicaments.

    Il n’est probablement pas utile de l’acheter vous-même, mais sachez qu’il existe une encyclopédie médicale consacrée à ce sujet, intitulée « Drug-Induced Nutrient Depletion Handbook », de Pelton et LaValle. Elle est déjà ancienne (2001) mais tous les médecins pourraient l’avoir dans leur cabinet.

    Voici toutefois un tableau qui vous résume les principaux cas :

    Catégorie de médicaments Nutriments diminués
    Inhibiteurs de l’ECA (maladies cardiovasculaires) : Lopirin®, Xanef® Zinc, sodium
    Antibiotiques : Pénicilline, érythromycine Calcium, magnésium, potassium, vitamine K, flore intestinale
    Benzodiazépines (contre l’anxiété) : Valium, Xanax Mélatonine
    Bêtabloquants (pour les maladies cardiaques) Coenzyme Q10, mélatonine
    Pilule contraceptive Acide folique, vitamines B1, B2, B3, B6, B12, C, zinc, sélénium, minéraux trace
    Bronchodilatateurs (pour l’asthme et les problèmes respiratoires) : Ventoline, Serevent Potassium
    Inhibiteurs calciques (pour les maladies cardiaques) Potassium
    Médicaments contre le diabète : Glucophage®, Stagid® et leurs génériques Vitamines B12 et B6, acide folique, coenzyme Q10, zinc, magnésium, potassium
    Œstrogènes : Premarin, Prempro Vitamin B6
    Anti-inflammatoires non stéroïdiens : Ibuprofène, Naproxène Acide folique, fer, vitamine C
    Diurétiques épargneurs de potassium : Aldactone, Soludactone Acide folique, fer, vitamine C, zinc
    Antidépresseurs ISRS : Prozac, paroxétine Acide folique, mélatonine
    Statines (pour diminuer le cholestérol) : Zocor, Lipitor Coenzyme Q10
    Diurétiques thiazides : hydrochlorothiazide (Esidrex) Magnésium, coenzyme Q10, potassium, sodium, zinc, thiamine, vitamines B6 et C
    Médicaments anti-ulcéreux (anti-H2) Vitamine B12, vitamine D, calcium, fer, zinc, acide folique.

     

    À votre santé !

    Jean-Marc Dupuis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : Santé nature innovation

             sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 raisons expliquant la déficience en magnésium

    et des solutions pour la résoudre

     

     

     

     

     
     
     
     
     
     
     
    Le magnésium est un minéral fondamental pour notre organisme. C'est pour cela que nous devons favoriser les aliments qui en contiennent et éviter les habitudes qui l'éliminent.
     

    Le magnésium est un minéral essentiel pour notre santé, car il participe à la régulation du système nerveux, à la détente et à la contraction des muscles, ainsi qu’à plus de 300 réactions chimiques du corps.

    Il y a des experts qui suggèrent que presque toutes les maladies ont un rapport avec les déficiences de ce nutriment.

    Et, en plus d’être le plus important pour l’équilibre électrique de l’organisme, c’est l’un des plus difficiles à absorber, puisque les reins en excrètent une bonne partie.

    Les problèmes de mémoire, les difficultés d’apprentissage et les crampes musculaires constantes font partie des signaux de la diminution ou du manque de ce minéral.

    Même si au début, cela semble normal, le mieux est d’identifier la cause le plus tôt possible et de débuter un traitement adapté.

    Dans cet article, nous avons réuni les 8 raisons pour lesquelles les niveaux de potassium baissent et quels sont les aliments qui en contiennent et qu’il faut consommer.

    1. Une faible ingestion de potassium dans le régime alimentaire

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    L’une des causes les plus fréquentes de ce type de déficience est la faible consommation de certains aliments qui en donnent naturellement.

    Les régimes déséquilibrés et basés sur des aliments peu sains rendent difficile l’absorption des niveaux de magnésium adaptés.

    2. Les problèmes intestinaux

    Les affections qui touchent la santé intestinale et tout le système digestif sont également responsables de la diminution de ce minéral.

    Comme le corps a des problèmes pour mener les processus digestifs et la bonne absorption des nutriments, le magnésium finit par être perdu.

    3. La consommation d’alcool et de laxatifs

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    Les toxines qui s’accumulent à cause de la consommation excessive d’alcool et les altérations que provoquent les laxatifs empêchent aussi une bonne filtration du magnésium.

    L’alcool altère la fonction des reins et c’est aussi l’un des coupables de l’épuisement de ce minéral dans les tissus du corps.

    4. L’insuffisance rénale

    Le déficit de magnésium est l’un des signes de l’insuffisance rénale. Cependant, on le détecte rarement car les médecins ne le prescrivent pas souvent dans les examens ordinaires.

    Mais tout problème dans le système rénal indique qu’il faut augmenter sa consommation de magnésium.

    5. Certains médicaments

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    Des médicaments tels que le cisplatine et certains antibiotiques altèrent le fonctionnement rénal et inhibe l’assimilation du magnésium.

    Cela est plus fréquent chez les patient-e-s qui sont sous traitement et qui doivent donc en ingérer pendant un temps prolongé.

    6. Les troubles endocriniens

    Les maladies endocriniennes comme le dysfonctionnement de la glande thyroïde, les parathyroïdes et le diabète rendent aussi difficile l’absorption de ce nutriment.

    Leurs réactions dans le corps conduisent à l’expulser plus rapidement, ce qui a une grande influence sur sa diminution.

    7. Les trop gros efforts physiques

    Il est clair que le magnésium est l’un des minéraux essentiels pour avoir un bon rendement physique et mental.

    Cependant, quand de trop gros efforts sportifs ou professionnels son réalisés, il est fréquent que ses niveaux diminuent.

    8. L’abus de diurétiques

    Une partie importante du magnésium est éliminée à travers l’urine. C’est pour cela que lorsqu’on consomme des diurétiques à l’excès, des déficiences importantes sont présentes.

    Peu importe si ce sont des diurétiques conventionnels ou naturels : leur ingestion excessive peut être mauvaise pour la santé.

    Comment résoudre une déficience en magnésium ?

    chlorure-de-magnesium

    La quantité quotidienne de magnésium recommandée pour les hommes est de 350 mg, alors qu’elle st de 330 mg pour les femmes.

    On peut l’obtenir grâce à des compléments alimentaires, des bains de sels et des lotions spéciales. Cependant, la meilleure manière de l’obtenir est grâce aux aliments sains qui en contiennent.

    Ceux que nous allons mentionner ici sont parmi les meilleurs. Chaque quantité apportée équivaut à 100 grammes d’aliment ingéré.

    • Le cacao ou le chocolat amer : 420 mg
    • Les noix du Brésil : 410 mg
    • La farine de soja : 230 mg
    • Les amandes : 230 mg
    • Les cacahuètes : 180 mg
    • Les noix :  180 mg
    • Les noisettes : 180 mg
    • Les haricots verts :  60 mg
    • Les pistaches : 160 mg
    • Le gingembre : 130 mg
    • Les légumes secs : 120 mg
    • Les céréales complètes : 120 mg
    • Les graines de tournesol : 420 mg
    • Les algues séchées : 770 mg
    • Le son de blé : 611 mg
    • Le caviar : 300 mg
    • Le sel de table : 290 mg
    • L’origan sec : 270 mg

    Sachez que les niveaux mentionnés sont approximatifs et peuvent varier selon la qualité de l’aliment.

    De plus, souvenez-vous que cette quantité se trouve dans 100 grammes de l’aliment, et que tous ces aliments ne peuvent être ingérés en de telles quantités.

    Faites en sorte d’équilibrer votre régime alimentaire pour inclure plusieurs aliments qui apportent des quantités significatives.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les 8 médicaments les plus dangereux sur terre…

    prenez-vous l’un d’entre eux ?

     

     

     

     

     

     

    « Il est temps de prendre tes médicaments, chéri ». « Mais maman, ça me fait me sentir bizarre et très mal, et je ne vais pas mieux ». « Eh bien, c’est ce que le médecin a prescrit, alors c’est ce que nous devons faire ». Vous a-t-on déjà dit de suivre votre instinct? Il y a une raison à cela. En fait, plusieurs raisons.

     

    Beaucoup de médicaments « occidentaux » sont fabriqués dans des laboratoires utilisant des produits chimiques et sont très expérimentaux, et pire encore, ils ne sont jamais testés sur les humains, sauf lorsqu’ils sont réellement prescrits, appliqués sur eux ou injectés. Les humains sont les cobayes ultimes aux États-Unis, tandis que Big Pharma empoche des trillions en profit. Comment en est-t-on arrivé là? Réponse simple: après la Seconde Guerre mondiale, des scientifiques nazis ont été embauchés à l’extérieur de la prison pour travailler sur des produits pharmaceutiques, des vaccins, la chimiothérapie et des additifs alimentaires chimiques, afin d’alimenter les activités les plus insidieuses de la médecine allopathique. Ce n’est pas une théorie du complot. L’horreur qui a eu lieu lors de l’Holocauste en Allemagne a continué, à moindre échelle, aux États-Unis, pour de l’argent.

    Pensez-y. Il n’y a AUCUNE AUTRE RAISON pour laquelle les sociétés pharmaceutiques américaines aient embauché des meurtriers de masse condamnés pour occuper les meilleurs postes chez Bayer, BASF et Hoechst. Fritz ter Meer, reconnu coupable de meurtre de masse, a purgé seulement 5 ans de prison, puis est devenu le président du conseil de surveillance de Bayer (oui, CE Bayer, qui fabrique des médicaments pour enfants et l’aspirine la plus populaire). Carl Wurster de BASF a contribué à la fabrication du gaz Zyklon-B, le pesticide puissant utilisé pour exécuter des millions de Juifs – ce monstre a travaillé sur la chimiothérapie, la plus grande escroquerie médicale du siècle. Kurt Blome, qui a admis avoir tué des Juifs avec des « expériences horribles », a été embauché en 1951 par le Chemical Corps de l’armée américaine pour travailler sur la guerre chimique. Compris?

    En d’autres termes, les mauvaises graines de Big Pharma, que la FDA appelle la médecine, ont d’abord été plantées aux États-Unis il y a 65 ans. Beaucoup de « savants fous » qui ont torturé des êtres humains innocents lors de l’Holocauste ont été embauchés et promus par les présidents des États-Unis pour propulser ce que nous appelons la « médecine occidentale » et son but ultime de créer des maladies et traiter ses symptômes à des fins lucratives.

    Prenez garde, mes amis, car voilà les 8 MEDICAMENTS LES PLUS DANGEREUX sur la planète Terre. C’est ce qu’on appelle la « guerre contre les faibles ».

    La guerre contre les faibles

    1. Les ISRS – hautement expérimentaux, dont l’innocuité et l’efficacité n’ont jamais été prouvées, peuvent bloquer complètement la sérotonine, entraînant des pensées suicidaires et même des actes épouvantables tels que des suicides et des homicides.

    2. Le vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole) – associé à l’autisme et à d’autres troubles du système nerveux central et à une myriade de problèmes de santé. Lorsque le virus VIVANT de la rougeole pénètre dans le corps, le système immunitaire est sérieusement compromis et les adjuvants chimiques et ingrédients génétiquement modifiés attaquent l’enfant, entraînant des résultats permanents et parfois mortels.

    3. Le vaccin antigrippal – contient jusqu’à 50 000 parties par milliard de mercure, en plus du formaldéhyde, du glutamate monosodique et de l’aluminium. Peut provoquer des avortements et des fausses couches chez les femmes enceintes. 

    4. Les antibiotiques – anéantissent les bonnes bactéries intestinales et diminuent fortement le système immunitaire. Les médecins prescrivent de manière inappropriée les antibiotiques pour des infections virales et aggravent les choses!

    5. Le vaccin contre le VPH (papillomavirus humain) – connu pour envoyer des adolescents dans un choc anaphylactique et des comas. Des milliers de familles ont poursuivi les fabricants pour des millions de dollars pour des dommages de santé chroniques et permanents.

    6. La chimiothérapie – anéantit le système immunitaire et conduit souvent le corps à former de nouveaux cancers, en particulier dans le sang. Les scientifiques nazis savaient dans les années 1950 que la chimiothérapie ne fait que diminuer temporairement le cancer, pour revenir en force dans d’autres parties du corps! (Pourtant, la médecine occidentale appelle cela un succès)

    7. Le vaccin contre le rotavirus « RotaTeq » – ce vaccin (oral) extrêmement toxique contient des souches de rotavirus VIVANT(G1, G2, G3, G4 et P1), ainsi que du polysorbate 80 hautement toxique et du SERUM BOVIN FETAL. Contient également des parties du circovirus porcin – un virus qui INFECTE LES PORCS.

    8. Le vaccin contre la polio (oral et injecté avec aiguille) – C’est un fait réel, difficile et effrayant que des millions d’Américains ont été injectés avec le CANCER lorsqu’ils ont reçu le vaccin contre la polio. De plus, les versions orales et nasales du vaccin ont répandu la polio en Inde et laissent beaucoup d’enfants paralysés à vie.

    Bien sûr, les gens sont paranoïaques à propos des maladies infectieuses et pour une bonne raison. L’industrie médicale américaine a exacerbé les cas les PLUS GRAVES enregistrés pour effrayer tout le monde afin d’injecter leurs cancérogènes connus pour leur « protection ». C’est du racket et c’est illégal, mais les fabricants de vaccins sont à l’abri des procès, protégés par une énorme caisse noire et leur propre tribunal secret. Si vous et votre enfant êtes gravement blessés par des vaccins, vous NE POUVEZ PAS poursuivre le fabricant du vaccin. Vous devrez aller à l’Office of Special MASTERS de la Court of Federal Claims des États-Unis, qui est communément appelé le très secret « Tribunal des vaccins ». Ce « tribunal » corrompu administre un régime d’indemnisation post-vaccinale sans égard à la faute (oui, vous avez bien lu), qui sert d’alternative aux droits constitutionnels des citoyens. Établi en 1986, après que les compagnies pharmaceutiques ont perdu des énormes profits dans des poursuites médiatiques en raison de vaccins qui ont gravement endommagé un certain nombre d’enfants, qui ont souffert de convulsions et de lésions cérébrales, liés au vaccin DTP.

    Avant que vous n’envisagiez d’avaler ou d’injecter encore une fois des produits chimiques toxiques appelées « médicaments », allez voir au moins un naturopathe et découvrez si le ou les problèmes de santé reposent sur la nutrition, parce qu’il y a des chances que ce soit le cas !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sources : www.naturalnews.com

              sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Que se passe-t-il dans notre corps si nous n’évacuons pas les gaz?

     

     

     

     

     

     

     

    Retenir les gaz dans notre corps a des effets négatifs sur la santé. Découvrez ce qui se passe quand nous ne les expulsons pas normalement.

    De nombreuses fois, l’expulsion des gaz est honteuse. Surtout quand nous sommes entourés par d’autres personnes. Dans ces moments, nous essayons de les réprimer pour éviter de donner une mauvaise impression.

    Uriner, déféquer, vomir, et en particulier, tout ce qui est lié à l’expulsion des déchets est désagréable et défavorable à notre image. Cependant, c’est quelque chose de naturel.

    Peu de personnes savent vraiment à quel point il est dangereux de retenir les gaz. De même, les conséquences sur la santé varient en fonction de la fréquence de rétention des gaz. Plus vous le faites souvent, et plus il y a de dégâts.

    Pourquoi est-ce mauvais de retenir ses gaz ?

    pourquoi ne faut-il pas se retenir d'évacuer les gaz ?

     

    La flatulence peut être générée par des aliments ingérés, par l’air produit lorsque l’on parle ou par les bactéries générées au cours du processus de digestion.

    Il est nécessaire d’expulser les gaz afin que votre santé ne soit pas affectée. Parmi les conséquences de retenir les gaz, nous trouvons :

    • Douleur abdominale
    • Odeur plus intense
    • Maux de ventre
    • Péritonite (dans les cas très graves)
    • Inflammation de l’abdomen

    La libération de gaz est quelque chose de naturel et chaque personne doit expulser entre 14 et 18 gaz par jour. Si vous avez consommé des aliments riches en fibres ou en gaz, comme c’est le cas avec les boissons gazeuses, ce chiffre augmente.

    Problèmes de santé

    Les médecins disent qu’à travers les flatulences, nous pouvons connaître l’état de notre corps. L’odeur et les composants qui les provoquent, ainsi que la quantité expulsée quotidiennement, montrent comment le processus digestif est effectué.

    Retenir un gaz peut vous empêcher de bien reconnaître ces symptômes. Les crampes abdominales ou les ballonnements peuvent être générés par des milliers de pathologies, mais si nous avons cette mauvaise habitude, nous ne savons pas ce que c’est réellement. Si vous avez d’autres symptômes associés à des gaz tels que :

    • Changements de température
    • Eruptions sur la peau
    • Sang dans les selles
    • Perte de poids
    • Diarrhée
    • Fatigue

    Il est important que vous consultiez un médecin immédiatement. Evaluer les symptômes et faire des examens et les tests pertinents pour exclure toute maladie. D’un autre côté, la chose la plus conseillée, au lieu de les retenir, est d’éviter leur production, et cela peut être réalisé en suivant plusieurs règles.

    Comment prévenir les gaz

    1. Prenez soin de votre alimentation

    l'alimentation peut jouer sur les gaz

     

    Tous les aliments génèrent des gaz dans le processus de décomposition dans notre corps. Cependant, il y en a quelques-uns qui augmentent ce processus et font que le gros intestin travaille deux fois plus.

    Tout d’abord, vous devez réduire votre consommation de produits laitiers, tels que le lait, le fromage, le beurre, la crème glacée, entre autres. Vous devriez également éviter de consommer certaines légumes, fruits et légumineuses :

    • Chou
    • Concombre
    • Maïs
    • Brocoli
    • Oignon
    • Radis
    • Chou-fleur
    • Raisins secs
    • Pruneaux
    • Haricots, petit-pois, lentilles

    En dehors de la nourriture, il existe d’autres mesures que vous pouvez appliquer pour aider votre processus de digestion et éviter les flatulences excessives.

    2. Ne mangez pas en excès

    La suralimentation, en particulier les aliments gras ou les aliments à forte teneur en blé ou le mélange de ceux-ci (lait, haricots ou lentilles), augmenteront la production de gaz.

    3. Evitez les boissons gazeuses

    Les boissons gazeuses, les rafraîchissements ou les bières contiennent beaucoup d’air. Cet air va directement à votre estomac et génère un gonflement et, par conséquent, des gaz. Prenez-les avec modération et essayez de le faire sans utiliser de paille, car elles vous font avaler plus d’air.

    4. Mâchez bien

    Il est recommandé de ne pas parler pendant que vous mangez. En parlant beaucoup ou en consommant des liquides tout en mangeant, vous générez un apport d’air qui peut conduire à l’inconfort et saboter le sentiment de plénitude.

    5. Ne buvez pas de boissons froides la nuit

    Ce la rendra votre estomac « froid ». La chose la plus recommandée après l’après-midi, est que vous buviez des boissons chaudes ou à température ambiante.

    Il est toujours important d’écouter notre corps. Prenez la question naturellement, parce que nous sommes tous humains et que nous devons expulser les gaz. Rappelez-vous : bien qu’il soit bon d’avoir de la pudeur et d’être prévenant, vous ne devez pas interférer avec les processus naturels de votre corps.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les 9 principaux changements de style de vie pour prévenir la maladie d’Alzheimer et la démence

     

     

     

     

     

     

     

    La maladie d’Alzheimer est la 5ème cause de décès en France. En réalité, elle tue plus de personnes que le cancer du sein et le cancer de la prostate réuni (1).

    Au lieu de mettre l’accent sur la prévention de la maladie d’Alzheimer, la communauté médicale met l’accent sur le ralentissement de la progression de la maladie après son apparition avec des médicaments et une thérapie.

    Cependant, si vous comprenez vraiment la démence, vous pouvez changer votre style de vie pour protéger votre cerveau du déclin cognitif avant qu’il ne se produise.

     

    Qu’est-ce que la démence

    Selon l’Alzheimer’s Association: « La démence est un terme général pour un déclin de la capacité mentale assez grave pour interférer avec la vie quotidienne… La démence n’est pas une maladie spécifique. C’est un terme général qui décrit un large éventail de symptômes associés à un déclin de la mémoire ou des capacités de réflexion assez grave pour réduire la capacité d’une personne à effectuer des activités quotidiennes. » (2)

    La démence se caractérise par une altération d’au moins deux de ces fonctions mentales:

    • Mémoire
    • Communication et langue
    • Capacité de se concentrer et de faire attention
    • Raisonnement et jugement
    • Perception visuelle

    La démence est une maladie progressive, ce qui signifie qu’elle s’aggrave à mesure qu’elle progresse. Cela peut commencer par oublier où vous avez mis vos clés et peut finir par oublier votre famille ou en oublier de manger.

    Cette maladie cause des dommages aux cellules du cerveau et interfère avec la communication cellulaire. Elle affecte la pensée, le jugement, les mouvements, le comportement et les sentiments.

    Les facteurs de risque de démence comprennent (3):

    • Blessures à la tête
    • Fonctionnement altéré de la thyroïde
    • Dépression
    • Faible activité physique
    • Obésité
    • Mauvaise alimentation et carences en vitamines
    • Certains médicaments
    • Taux de cholestérol élevé
    • Hypertension
    • Diabète
    • Utilisation d’alcool
    • Fumer
    • Vieillesse
    • Antécédents familiaux de maladie d’Alzheimer

    Si vous vous trouvez dans ces catégories de facteurs de risque, prendre des mesures maintenant pour prévenir la maladie d’Alzheimer peut améliorer votre fonction cognitive à un âge plus avancé.

    D’autres types de la maladie comprennent (4):

    • Démence vasculaire
    • Démence avec des corps de Lewy
    • Démence mixte
    • Maladie de Parkinson
    • Démence fronto-temporale
    • Maladie de Creutzfeldt-Jakob
    • Hydrocéphalie à pression normale
    • Maladie de Huntington
    • Syndrome de Wernicke-Korsakoff

    Les premiers signes de la maladie d’Alzheimer incluent des difficultés à se souvenir des conversations récentes, des noms ou des lieux, ainsi que l’apathie et la dépression. Plus tard, les symptômes peuvent inclure une communication altérée, un jugement insuffisant, de la désorientation, de la confusion, des changements de comportement et des difficultés à parler, à avaler et à marcher.

    La maladie d’Alzheimer se caractérise par des dépôts de bêta-amyloïde dans le cerveau, des brins torsadés de la protéine tau, ainsi que des dommages aux cellules nerveuses et à la mort.

    Astuces naturelles pour prévenir la maladie d’Alzheimer

    Si vous avez un risque élevé de démence ou si vous avez des antécédents familiaux de la maladie, il existe plusieurs choses que vous pouvez faire régulièrement pour réduire le risque de développer une démence.

    Prévenir la maladie d’Alzheimer est simple, il suffit de se mettre au travail!

    1. Arrêtez de fumer

    Comme le dit Web MD: « Bien que le tabagisme soit depuis longtemps connu pour augmenter le risque de décès par cancer et maladies cardiaques, des chercheurs en Finlande disent qu’ils ont trouvé de bonnes raisons de croire que le tabagisme de plus de deux paquets de cigarettes tous les jours entre 50 et 60 ans augmente le risque de démence plus tard dans la vie. » (5)

    Il n’est jamais trop tard pour arrêter de fumer: « les anciens fumeurs ou les personnes qui ont fumé moins d’un demi-paquet par jour ne semblent pas avoir un risque accru de développer une démence ».

    Les chercheurs ont estimé que le risque accru est en partie dû au fait que le tabagisme contribue au stress oxydatif et à l’inflammation. Beaucoup d’autres études ont également confirmé le lien entre le tabagisme et la maladie d’Alzheimer (6,7).

    Si vous avez de la difficulté à arrêter de fumer, il existe de nombreuses herbes naturelles qui peuvent soutenir vos efforts pour abandonner cette mauvaise habitude et éliminer certaines toxines dans vos poumons après avoir arrêté.

    2. Soyez physiquement actif

    L’activité physique a un impact positif sur chaque partie de votre corps, y compris votre cerveau. En fait, elle stimule la circulation de l’oxygène et des nutriments dans votre cerveau et aide à prévenir les facteurs de risque comme le diabète, l’hypertension et plus (8).

    Dans une étude, des chercheurs de la clinique de Cleveland aux Etats-Unis ont recruté près de 100 hommes et femmes âgés de 65 à 89 ans, dont certains avaient des antécédents familiaux de maladie d’Alzheimer. La moitié de ces participants étaient porteur du gène e4, qui augmentait considérablement leur risque de développer la maladie (9).

    Les participants ont été divisés en quatre groupes:

    • Groupe e4-positif qui a fait de l’exercice
    • Groupe e4-positif qui n’a pas fait d’exercice
    • Groupe e4-négatif qui a fait de l’exercice
    • Groupe négatif e4 qui n’a pas fait d’exercice

    Le groupe e4-positif qui n’a pas fait d’exercice a subit une atrophie significative de leur hippocampe en seulement 18 mois. En fait, la structure cérébrale avait diminué de 3% en moyenne. Le groupe e4 qui a fait de l’exercice n’a connu aucun changement dans leur hippocampe et les groupes e4 négatifs non plus.

    Pour faire du bien à votre cerveau, faites de l’exercice de façon modérée au moins 3 fois par semaine et bougez au moins 30 minutes par jour. Essayez de marcher dans le quartier, de nager ou de faire du vélo afin de faire circuler votre sang.

    3. Vitamine B

    Les vitamines B réduisent le taux d’une molécule connue sous le nom d’homocystéine dans votre sang. L’homocystéine endommage le système vasculaire et peut conduire à des accidents vasculaires cérébraux, des maladies cardiaques et d’autres problèmes vasculaires. Ces maladies, à leur tour, ont un effet dévastateur sur votre cerveau. En outre, des niveaux élevés d’homocystéine initient des déficiences cognitives et une mauvaise performance cérébrale, augmentent votre risque de démence et augmentent le rétrécissement du cerveau (10).

     

    En fait, des niveaux adéquats de vitamines B (acide folique, vitamines B6 et B12) ralentissent l’atrophie cérébrale chez les patients atteints de déficience cognitive légère. Une autre vitamine B, la thiamine, aide les cellules du cerveau à produire de l’énergie à partir du sucre pour assurer une bonne fonction cérébrale. La carence en thiamine est liée au syndrome de Korsakoff, un trouble de la mémoire chronique dans le cadre de la démence (11).

    Réexaminez votre alimentation pour inclure plus d’aliments riches en vitamine B. La B12 est particulièrement importante pour les végétariens, qui peuvent avoir besoin de manger plus d’œufs et de se supplémenter.

    4. Vitamine D

    La carence en vitamine D est l’une des carences les plus répandues à notre époque, atteignant 40 à 75% de tous les adultes du monde entier. La vitamine est produite par votre corps lorsque votre peau est exposée à la lumière directe du soleil.

    Cette vitamine est cruciale pour la santé mentale et la fonction cognitive. En fait, dans une étude de 6 ans portant sur 1600 personnes âgées, il a été constaté que la carence en vitamine D était liée à la maladie d’Alzheimer.

    « … ceux qui étaient gravement carencés en vitamine D étaient plus de deux fois plus susceptibles de développer la maladie d’Alzheimer et la démence que ceux qui avaient des niveaux adéquats », a écrit Alzheimer’s.net sur l’étude (12).

    Pour avoir votre part, marchez dehors et exposez votre peau (sans écran solaire) pendant au moins 15 minutes par jour.

    5. Entraînez votre cerveau

    Apprendre une nouvelle information oblige votre cerveau à se réorganiser pour faire de la place aux nouvelles connaissances. Il doit également créer de nouvelles voies neurologiques pour relier les informations nouvelles et existantes (13).

    En fait, une étude canadienne a révélé que le bilinguisme soutient la fonction cognitive et retarde même le début de la démence chez les patients avec une maladie d’Alzheimer probable de 4 ans en moyenne. Pour d’autres sortes de démence, l’apparition a été retardée de 3 ans en moyenne.

    Pour plus d’avantages, pratiquez des jeux stimulant le cerveau comme les mots croisés et les sudoku ou jouez à des jeux difficiles comme le scrabble et les échecs. Mieux encore, apprenez à jouer d’un nouvel instrument ou prenez des cours dans votre université locale.

    6. Prévenez les traumatismes crâniens

    Vous blesser la tête provoque des symptômes de démence à court terme comme la confusion, la perte de mémoire et des changements dans la parole, la vision et la personnalité. Certaines lésions de la tête peuvent augmenter votre risque de développer une démence plus tard dans la vie, surtout si elle cause 30 minutes à 24 heures de perte de conscience après la blessure initiale (14).

    Des chercheurs du Duke University Medical Center à Durham, aux Etats-Unis, ont examiné 548 anciens combattants avec une blessure à la tête et 1228 sans blessure à la tête pour produire ces résultats (15).

    Protégez votre tête en portant un casque en faisant du vélo, du patinage, du ski ou des sports nautiques pour réduire votre risque de démence.

    7. Contrôlez votre consommation d’alcool

    Les lésions cérébrales liées à l’alcool, causées par des années d’abus d’alcool, peuvent contribuer au syndrome de Wernicke-Korsakoff et à la démence alcoolique, cette dernière n’étant pas vraiment classée comme « démence ». En  effet ces deux affections sont réversibles si vous réduisez progressivement votre consommation d’alcool. Votre risque de maladie d’Alzheimer et de démence vasculaire augmente également avec une consommation excessive d’alcool (16).

    L’Alzheimer’s Society recommande de ne pas boire plus de 14 unités d’alcool réparties sur 3 jours par semaine. Pour mettre cela en perspective, 125 ml de vin représente environ 1,5 unité, tandis qu’1 pinte de bière ou de cidre représente 2 à 2,5 unités (17).

    8. Surveillez votre état de santé

    Étant donné que le diabète, le taux élevé de cholestérol et l’obésité sont tous des facteurs de risque, il est important de surveiller votre poids, votre tension artérielle et votre cholestérol. Si vous ne savez pas par où commencer, demandez à votre médecin des conseils personnalisés sur vos objectifs quotidiens de calories, d’exercice et d’alimentation.

    9. Augmentez les interactions sociales

    Les êtres humains sont des créatures sociales, donc passer trop de temps isolé use votre cerveau. En fait, être sociable est l’une des étapes les plus faciles et les plus importantes pour prévenir la maladie d’Alzheimer.

    « Se sentir seul plutôt que d’être seul est associé à un risque accru de démence clinique plus tard dans la vie et peut être considéré comme un facteur de risque majeur, indépendamment de la maladie vasculaire, de la dépression et d’autres facteurs confondants », écrit une étude de 2014 publiée dans le Journal of Neurology, Neurosurgery, and Psychiatry. L’étude a suivi 2173 personnes âgées non démentes vivant en communauté pendant trois ans.

    Pour éviter l’isolement, trouvez un voisin pour vous accompagner lors des promenades quotidiennes, inscrivez-vous à une nouvelle classe de cuisine pour rencontrer de nouveaux amis ou organisez des appels téléphoniques hebdomadaires avec vos proches.

    En pratiquant ces habitudes cérébrales, vous pouvez prendre des mesures actives pour prévenir la maladie d’Alzheimer et garder votre esprit vif. Assurez-vous de soutenir la santé du cerveau en complétant votre alimentation avec des aliments anti-inflammatoires, de l’huile de poisson et de l’huile de noix de coco.

    Votre cerveau est essentiellement le centre de commandement de votre esprit, de votre personnalité et de votre capacité à comprendre et à apprécier le monde. Traitez-le bien et vous aurez beaucoup d’années de souvenirs et d’expériences devant vous.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Tumeurs cornéennes : pinguécula et ptérygion

     

     

     

     

     

     

     

    La vision est un sens dont nous devons prendre grand soin. Il est essentiel de prendre des mesures préventives pour prévenir les tumeurs oculaires telles que la pinguécula et le ptérygion. Découvrez-en plus à ce sujet dans notre article.

    Une zone de notre corps que nous ne devons pas négliger est les yeux. En effet, comprendre comment les maladies qui attaquent les yeux surviennent est une tâche importante, afin de les prévenir. Parmi ces problèmes, on retrouve la pinguécula.

    La pinguécula est une proéminence située dans la paupière qui, liée à d’autres problèmes visuels, n’est résolue qu’avec une intervention chirurgicale. Malgré tout, c’est bénin. Elle pousse dans les zones proches de la cornée, elle a un ton jaune et une forme triangulaire.

    La taille de la pinguécula est si insignifiante qu’elle peut passer inaperçue, bien qu’elle puisse augmenter avec le temps. Dans la plupart des cas, son volume n’affecte pas directement la vision. En effet, certaines personnes peuvent en avoir plusieurs sans problèmes.

    Quelles sont les causes de la pinguécula ?

    causes de la pinguécula

     

    Selon les spécialistes de l’American Academy of Ophthalmology, parmi les causes de pinguéculase, on retrouve :

    • Exposition à la poussière et au vent
    • Surexposition à la lumière ultraviolette
    • Graisse corporelle
    • Syndrome de l’oeil sec
    • Changements hormonaux
    • Opérations chirurgicales
    • Consommation de certains médicaments

    Les symptômes de la pinguécula

    • Démangeaisons de l’oeil ou rougeur du globe oculaire, en particulier près de la cornée, de la pupille et de l’iris
    • Sécheresse des yeux
    • Irritation de la zone affectée
    • Inflammation constante
    • Sensation constante de saleté, comme si c’était de la poussière ou du sable

    Comment est traitée la pinguécula ?

    traitement de la pinguécula

     

    Dans la plupart des cas, aucun traitement d’urgence n’est nécessaire. Cependant, vous devriez être très conscients de cette condition quand elle apparaît avec une autre maladie liée aux yeux. Il est important de noter que la pinguécula a tendance à réapparaitre une fois traitée par la chirurgie.

    En raison de cette possibilité, étant de 30% et 40%, certains patients choisissent de subir d’autres types de traitements. Cependant, dans les cas extrêmes, la meilleure chose à faire est la chirurgie.

    Deux de ces cas sont les suivants : le premier, avant une inflammation très grave qui empêcherait tout type de réaction. Le second, lorsqu’elle se produit sur la cornée, puisque la vision serait directement affectée. Dans les deux cas, il y a des rougeurs autour de la zone et de fortes démangeaisons.

    L’intervention chirurgicale pour chaque cas ne dure pas plus de trente minutes. Après l’intervention, le patient doit porter un patch de protection maximale pendant deux jours, sauf avis contraire d’un spécialiste. D’une autre manière, si c’est un cas moins grave, les médecins recommandent généralement un type de pommade ou de collyre particulier.

    Différence entre la pinguécula et le ptérygion

    Bien que ce soient des conditions qui peuvent avoir une certaine similitude, ce sont deux conditions différentes. Le ptérygion consiste en une anomalie visuelle qui se manifeste par la formation d’une chair dans les yeux d’une couleur similaire à celle de la peau, ce qui est très différent du jaune de la pinguécula.

    En outre, il peut germer avec des formes différents de la forme triangulaire ou allongée. Ils ne sont pas non plus situés au même endroit. Le ptérygion est habituellement formé au-dessus de la cornée. Il convient de noter que les ptérygions se forment souvent à la suite d’une pinguécula.

    Si les ptérygions atteignent une taille considérable, ils peuvent altérer la surface de l’oeil, ce qui provoque l’astigmatisme. Cela fait que la personne voit les objets, les images et le contour des choses déformées, en raison d’une courbe irrégulière dans la cornée.

    Similitudes entre la pinguécula et le ptérygion

    Comme nous l’avons mentionné précédemment, des conditions similaires peuvent apparaître, sauf que le ptérygion apparait après des moments constants de stress. Bien que ces conditions soient bénignes,elles ne devraient pas être prises à la légère. Dans ses premiers stades, les symptômes sont les mêmes, ce qui rend plus facile leur confusion.

    Compte tenu de ces conditions, les spécialistes recommandent de prendre des mesures préventives. La lumière du soleil affecte la formation des deux conditions, ainsi que la graisse corporelle et les particules contenues dans l’air. Par conséquent, ils recommandent l’utilisation de lentilles qui protègent la vision.

    En outre, l’âge peut être un facteur intervenant dans l’apparition des deux conditions. Pour cette raison, il est conseillé aux personnes âgées d’effectuer des contrôles oculaires fréquents.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 raisons pour lesquelles vous pourriez souffrir de gastro-entérite

     

     

     

     

     

     

     
    La gastro-entérite est une infection qui représente une inflammation de l'estomac et de l'intestin grêle, qui se manifeste par une perte d'appétit, de la diarrhée, des nausées et des vomissements. Cependant, il existe beaucoup de causes qui peuvent le provoquer. Qu'elles-sont elles pour pouvoir les éviter ?

    Souffrir de gastro-entérite est quelque chose de vraiment inconfortable et ennuyeux. C’est un état reconnu par la perte d’appétit, la diarrhée, la nausée et le vomissement. Cependant, il y a beaucoup de causes qui peuvent le provoquer. Savez-vous les quelles sont-elles et comment pouvez-vous les éviter ?

    La gastro-entérite est l’inflammation des parois gastriques et de l’intestin grêle, en particulier du duodénum. Cette maladie est liée à des infections dues à la consommation d’aliments contaminés par certains micro-organismes.

    Des virus, des bactéries, aux causes non infectieuses, sont parmi les raisons considérées comme pouvant vous faire souffrir d’une gastro-entérite. Vous devez faire assez attention si vous voulez prévenir cette maladie. En plus d’être douloureuse, elle conduit généralement à la convalescence de la victime, quel que soit l’âge du patient.

    Savez-vous quelles sont les premières raisons de la gastro-entérite ?

    Infection par :

    • Virus
    • Bactéries
    • Toxines
    • Parasites
    • Médicaments
    • Substances nocives
    • Intolérance au lactose

    Virus

    le virus de la gastro-entérite

     

    Parmi les virus les plus fréquents associés à la gastro-entérite due à la contamination des aliments, on trouve le rotavirus. Ceci, en général, affecte les bébés qui n’ont pas été vaccinés contre lui.

    D’autre part, l’adénovirus et l’astrovirus sont la cause d’épisodes de diarrhée chez l’enfant, et plus des nausées et des vomissements dus à l’inflammation. Ils ont une incidence de plus de 70% sur les diarrhées d’origine infectieuse et affectent fortement les enfants âgés de 2 à 7 ans exposés à des aliments contaminés.

    Bactéries

    Une longue liste de bactéries couvre les raisons pour lesquelles vous pourriez souffrir de gastro-entérite. La principale est la bactérie appelée Campylobacter jejuni, suivie par Salmonella et Escherichia Coli, qui est directement exposée aux fèces.

    La plupart des bactéries présentes dans les aliments proviennent de l’adhérence à la viande de volaille. Puisque celles-ci sont maintenues à température ambiante même après plusieurs heures de mort, ce qui permet aux bactéries d’adhérer facilement et de coloniser la viande.

    Les toxines

    les toxines et la gastro-entérite

     

    Les toxines causées par des bactéries telles que Clostridium difficiles ont d’autres raisons pour lesquelles vous pourriez souffrir de gastro-entérite. Cela peut se produire en quelques heures, car elles sont une cause importante de diarrhée après avoir consommé des aliments stockés pendant plusieurs jours, sans protection.

    Les parasites

    Les parasites jouent également un rôle important dans les causes de la gastro-entérite. En ce sens, ils sont considérés comme « la mère des infections » de l’Entamoeba histolytica suivie de la Giardia lamblia, car ce sont des espèces qui survivent à cause d’une mauvaise hygiène de la nourriture.

    Giardia lamblia est le parasite qui cause la gastro-entérite sévère chez les personnes qui se rendent habituellement dans des pays ou des endroits où cette infection est très répandue. Contrairement à Giardia, Entomoeba histolytica est le parasite populairement connu sous le nom d’amibe, en raison de la gastro-entérite intense et de la diarrhée abondante qu’il provoque.

    Souffrir de gastro-entérite influe également sur le mode de vie

    Les produits laitiers

    Beaucoup de personnes sont intolérantes au lactose et cette condition se manifeste par la consommation de tout produit laitier, y compris le lait, le fromage, le beurre et le yaourt. N’importe laquelle de ces substances avec du lactose provoque une inflammation du tractus gastro-intestinal qui s’accompagne d’une douleur de type colique, de forte intensité. Cette douleur est seulement soulagée après les mouvements de l’intestin, quand tout la teneur en lait du corps est éliminée.

    Les médicaments

    Certains médicaments peuvent produire des effets indésirables. Ceux-ci incluent des symptômes gastro-intestinaux, qui incluent : la diarrhée, la douleur abdominale, la nausée et le vomissement. Plusieurs fois en raison de l’interaction entre la drogue et l’acide chlorhydrique contenu dans l’estomac, l’un des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) les plus fréquents.

    L’alcool

    Il y a beaucoup d’effets immédiats de l’alcool, car à part l’ivresse, il laisse aussi des séquelles. Il enflamme la muqueuse gastrique et, par conséquent, laisse des images de gastro-entérite non infectieuse, qui se manifeste par des douleurs abdominales et de la diarrhée. La douleur et la diarrhée disparaissent une fois que tout l’alcool a quitté le corps.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Maladie de Crohn : 3 conseils pour y faire face

     

     

     

     

     

     

     
    Si vous avez eu des épisodes récents de diarrhée, de vomissements et de coliques fréquentes, consultez votre médecin, car vous pourriez être atteint de la maladie de Crohn. Bien que ce soit une pathologie chronique, vous pouvez quand même mener une vie normale en suivant certaines directives.

    Maladie de Crohn : 3 conseils pour y faire face

    La maladie de Crohn affecte grandement la qualité de vie des personnes qui en souffrent. Les fortes crampes, les vomissements, la diarrhée et d’autres symptômes réduisent souvent la qualité de vie et la confiance des patients diagnostiqués. C’est pourquoi il est important de suivre certains conseils pour faire face à cette maladie et à ses symptômes.

     

    Comme il s’agit d’une maladie incurable, elle peut engendrer aussi bien du stress qu’une dépression, mais la décision d’y faire face et d’améliorer la qualité de vie incombe à chaque patient. Si vous avez été diagnostiqué par la maladie de Crohn, nous vous donnerons aujourd’hui 3 conseils pour faire face à la maladie de Crohn le mieux possible.

    Mais tout d’abord, nous allons vous parler aujourd’hui dans cet article de cette maladie et de ses différents symptômes. 

    Qu’est-ce que la maladie de Crohn ?

    La maladie de Crohn est une maladie intestinale qui présente des caractéristiques chroniques et auto-immunes. Jusqu’à présent, ses causes sont tout à fait inconnues. On pense qu’il peut exister des causes génétiques mais aussi que cette maladie peut survenir à cause de certaines bactéries que le corps ne tolère pas.

    L’intestin produit une réponse inflammatoire dans la muqueuse intestinale face à l’intrusion d’agents inconnus. Cette inflammation peut survenir n’importe où dans le tube digestif mais affecte généralement le segment distal de l’iléon et du côlon.

    Par ailleurs, cette inflammation peut toucher n’importe quelle partie du tube digestif, en passant de la bouche jusqu’à l’anus. Mais le plus souvent, cette inflammation s’installe à la jonction de l’intestin grêle et du côlon, le gros intestin.

    Évoluant par poussées, elle touche préférentiellement les sujets jeunes, mais peut aussi survenir à tout âge. Ses causes restent en partie mystérieuses. Ses symptômes sont variés mais essentiellement digestifs (diarrhées, douleurs abdominales…). Un suivi et un traitement adapté permettent aux patients de vivre normalement et de réduire le risque de complications.

    Les causes la maladie de Crohn

    La maladie de Crohn est due à une inflammation persistante des parois et des couches profondes du tube digestif. Cette inflammation peut entraîner un épaississement des parois à certains endroits, des fissures et des plaies à d’autres. Les causes de l’inflammation sont inconnues et vraisemblablement multiples, impliquant des facteurs génétiques, auto-immuns et environnementaux.

    Il est possible que l’alimentation trop riche en mauvais gras, en viande et en sucre augmente le risque de souffrir la maladie de Crohn, mais il n’y a pas de preuve absolue. On a longtemps pensé que le stress pouvait déclencher des crises. Cependant, les études réalisées jusqu’à présent semblent réfuter cette hypothèse.

    Les chercheurs se penchent surtout sur la possibilité d’une infection par un virus ou une bactérie (salmonella ou campylobacter) dans le déclenchement de la maladie. Outre une infection par un microbe extérieur, un déséquilibre de la flore intestinale, c’est-à-dire des bactéries naturellement présentes dans le tube digestif pourrait aussi être en cause.

    Bien que la maladie de Crohn ne soit pas une maladie entièrement génétique, certains gènes peuvent augmenter les risques d’en être atteint. Cependant, d’autres facteurs sont nécessaires pour que la maladie survienne. Comme dans bien d’autres maladies, il semble qu’une prédisposition génétique combinée à des facteurs de l’environnement ou du mode de vie déclenche la maladie.

    Tout comme la colite ulcéreuse, la maladie de Crohn a des caractéristiques de maladie auto-immune. Les chercheurs pensent que l’inflammation du tube digestif serait liée à une réaction immunitaire excessive de l’organisme contre des virus ou des bactéries présentes dans l’intestin.

    On remarque que l’incidence de la maladie de Crohn est plus élevée dans les pays industrialisés et tend à augmenter depuis 1950. Cela laisse croire que certains facteurs environnementaux, probablement liés au mode de vie occidental, pourraient avoir une influence importante sur l’apparition de la maladie. Cependant, aucun facteur spécifique n’a encore été décelé. Plusieurs pistes sont cependant à l’étude.

    Dépistage et évolution de la maladie de Crohn

    Le diagnostique de la maladie inflammatoire intestinale se réalise par des test cliniques, de laboratoire et histologiques, et par les examens endoscopiques et radiologiques. Cependant, à l’heure actuelle il n’existe aucun examen spécifique pour détecter la maladie de Crohn. Il est nécessaire de toujours écarter l’entéropathie céliaque et les infections intestinales car ces deux pathologies peuvent enflammer la muqueuse des intestins.

    La biopsie dans la maladie de Crohn est un examen très important pour écarter d’autres pathologies possibles. L’endoscopie est utilisée pour le diagnostique initial afin de déterminer le degré d’extension et de sévérité des lésions.

    Il s’agit d’une maladie chronique qui est présente toute la vie. Le plus souvent, la maladie de Crohn évolue par poussées entrecoupées de périodes de rémission qui peuvent durer plusieurs mois. Les récidives ou crises  se succèdent de façon assez imprévisible et sont d’intensité variable. Il arrive parfois que les symptômes soient tellement intenses (incapacité à s’alimenter, hémorragies, diarrhées, etc.) qu’une hospitalisation devient nécessaire.

    Quels sont vos symptômes de la maladie de Crohn

    symptômes de la maladie de Crohn

     

    La maladie de Crohn se caractérise principalement par des crises de douleurs abdominales et de diarrhée, qui peuvent durer plusieurs semaines ou plusieurs mois. Par ailleurs, fatigue, perte de poids et même dénutrition peuvent survenir si aucun traitement n’est suivi.

    La symptomatologie varie en fonction de la partie affectée du tube digestif. Les principaux symptômes de la maladie de Crohn sont suivants :

    Dans certains cas, des symptômes non digestifs, qui touchent la peau, les articulations ou les yeux peuvent être associés à cette maladie. Parfois, les symptômes peuvent s’aggraver, être plus intenses ou d’autres peuvent apparaître, tels que :

    • Douleurs et inflammations dans les articulations
    • Inflammations dans les yeux
    • Selles sanglantes
    • Éruptions cutanées
    • Aphtes ou plaies dans la
    • bouche
    • Plaies autour de l’anus
    • Constipation intestinale

    Dans la plupart des cas, les symptômes apparaissent et disparaissent en quelques jours. La durée de l’inconfort dépend du degré de complication de la maladie. Certaines personnes ne présentent des complications qu’une ou deux fois par an. Dans les cas les plus graves, des rechutes symptomatiques réapparaissent tous les trois mois ou même moins.

    Les complications de cette affection peuvent déboucher vers une obstruction intestinale, des fissures dans l’anus, des ulcères et des fistules. Bien que cela ne soit pas fatal, une intervention chirurgicale est parfois nécessaire pour soulager les symptômes. Les personnes diagnostiquées présentent un risque plus élevé de cancer du côlon, il est donc important de contrôler l’évolution de la maladie de Crohn.

    Par conséquent, la maladie affecte les patients non seulement physiquement mais aussi psychologiquement. Quand il y a des rechutes à cause de cette maladie, les personnes affectées s’enferment souvent chez elles parce que leur dynamique de vie change. Elles ne peuvent pas sortir travailler, socialiser ou mener toute autre activité nécessitant sortir de la maison, car cela leur provoque généralement de la honte et de l’insécurité.

    Comment faire face à la maladie de Crohn

    Bien que ce soit une maladie incurable, les personnes affectées peuvent réduire les symptômes de cette maladie et y faire face plus facilement. Apprendre à vivre avec cette maladie est essentiel pour améliorer la qualité de vie et rester en bonne santé le plus longtemps possible. Si vous souffrez de la maladie de Crohn, voici quelques conseils à prendre en compte pour réduire les symptômes.

    1. Connaissez bien votre pathologie

    qu'est ce que la maladie de Crohn ?

     

    Si vous voulez faire face à cette maladie, il est préférable que vous la connaissiez très bien. Lisez et apprenez-en plus sur cette maladie afin de comprendre tout ce qui s’y rapporte. Votre médecin sera aussi un grand allié pour vous aider dans ce but. Posez-lui vos questions et demandez-lui conseil si quelque chose vous inquiète pour qu’il puisse vous guider.

    Impliquez votre famille et vos amis dans ce processus informatif pour qu’ils comprennent ce que vous ressentez et vous aident quand vous en avez besoin. Faire face à une maladie avec les personnes qui vous sont chères vous fera sentir accompagné et beaucoup plus soutenu émotionnellement. Vos proches peuvent vous aider quand vous vous sentez physiquement et mentalement faible.

    2. Apprenez à gérer le stress

    Bien que le stress ne soit pas une cause de la maladie de Crohn, il peut provoquer l’apparition ou l’aggravation des symptômes de cette maladieLe mental a un grand pouvoir et influence aussi la façon dont vous vous sentez physiquement. Ne laissez pas le stress et les soucis vous submerger.

    Vous pouvez pratiquer certaines activités qui vous procureront la tranquillité d’esprit pour vous occuper à de choses positives telles que :

    • Méditation
    • Yoga
    • Écouter de la musique

    3. Interprétez les réactions de votre corps

    Le corps parle toujours, écoute-le ! Vous devez apprendre à détecter les signaux que le corps vous envoie face à  certains stimuli. Lorsque vous consommez de la nourriture, faite particulièrement attention  à ce que vous ressentez après l’ingestion de certains aliments. Cette astuce vous aidera à identifier les aliments que vous pouvez manger et ceux que vous ne tolérez pas.

    Pour faciliter cette tache, faites une liste des aliments que vous ne pouvez pas tolérer et évitez-les à tout prix afin d’éviter l’apparition d’une nouvelle crise. Mangez de manière équilibrée et suivez les recommandations nutritionnelles de votre spécialiste.

    Vous avec le contrôle de votre esprit et votre corps, ne laissez pas la maladie de Crohn prendre le dessus de votre vie, mais apprenez à vivre avec elle. Si vous vous sentez mal, prenez les médicaments prescrits par votre médecin et allez vous promener, écoutez de la musique ou faites n’importe quelle activité pour vider votre esprit.

    Et surtout, n’ayez pas honte de souffrir d’une maladie de l’inflammation intestinale, cela peut arriver à n’importe qui. Continuez à mener une vie normale de la meilleure façon possible en maintenant comme principe de prendre soin de votre santé en premier.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 conséquences du manque de sommeil

     

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Si nous nous habituons à peu dormir, nous allons rapidement remarquer des conséquences négatives au niveau de notre concentration et de l'état de notre peau, qui va commencer à être marquée par des rides, de manière prématurée.
     

    Dormez-vous bien ? Pensez-vous que vos habitudes de sommeil sont bonnes ?

    Notre travail et nos activités quotidiennes nous obligent bien souvent à ne pas beaucoup dormir.

    Cette mauvaises habitude est si ancrée dans notre société qu’elle paraît tout à fait normale.

    Mais, vous êtes-vous déjà interrogé sur les conséquences du manque de sommeil ? La plupart des gens oublient à quel point dormir est important, au même titre que manger, boire et se reposer.

    Se reposer et dormir sont deux activités bien distinctes. Vous pouvez vous reposer en regardant la télévision ou en lisant un livre, mais cela ne veut pas dire que vous dormez.

    Dans la suite de cet article, nous allons vous révéler les conséquences du manque du sommeil. Si vous dormez peu et que vous ne voulez pas expérimenter les effets négatifs de cette mauvaise habitude, changez vite votre cycle de sommeil.

    L’anxiété

    Lorsque nous dormons, notre corps répare nos muscles et élimine la tension causée par le stress quotidien.

    Lorsque nous ne dormons pas suffisamment, nous accumulons ce stress et nous le démultiplions. Cela nous empêche d’être en forme et d’accomplir nos objectifs quotidiens.

    La connexion entre notre corps et notre esprit est très étroite. Si vous ne réparez pas votre stress durant votre sommeil, vous allez rapidement souffrir d’anxiété.

    L’anxiété peut également être causée par une libération chronique d’adrénaline, un symptôme très fréquent chez les personnes qui dorment peu la nuit.

    Voilà pourquoi vous devez essayer de bien dormir durant la nuit.

    La dépression

    C’est une autre conséquence du manque de sommeil, qui est en lien direct avec l’anxiété. La dépression peut nous frapper lorsque notre manque de sommeil interfère avec nos neurotransmetteurs.

    La conséquence de ce phénomène est une diminution des connexions synaptiques entre les neurones qui sont chargés de réguler notre état d’esprit.

    Lorsque vous vous sentez un peu déprimé, mal dans vos baskets, essayez de vous souvenir du nombre d’heures de sommeil que vous avez pu avoir dans la nuit. Vous découvrirez certainement que votre vie ne va pas si mal, mais que vous devez agir sur votre sommeil.

    Le manque de concentration

    Même si cela peut vous paraître étonnant, le sommeil est en lien direct avec la pensée et l’apprentissage. Si vous ne dormez pas suffisamment, ces processus cognitifs peuvent commencer à présenter quelques dysfonctionnements.

    Lorsque vous dormez moins de 7  heures par nuit, votre attention, votre état d’alerte, votre raisonnement et la manière dont vous résolvez les problèmes vont s’en trouver gravement affectés.

    Votre faculté d’apprentissage est alors quasi-nulle.

    Les cycles du sommeil jouent un rôle important dans la fixation des souvenirs dans la mémoire. Si vous ne dormez pas suffisamment, vous ne pouvez pas vous souvenir des choses que vous avez apprises.

    L’obésité et l’hypertension artérielle

    La mélatonine régule les hormones qui nous font ressentir la faim (la ghréline) et la satiété (la leptine).

    • Lorsque nous dormons peu, nos niveaux de ghréline augmentent et nos niveaux de leptine diminuent. Les conditions sont donc parfaitement réunies pour prendre du poids et souffrir d’obésité.
    • De plus, les personnes qui ne dorment pas correctement sont moins enclines à pratiquer une activité physique, car elles sont tout simplement fatiguées. Elles ont également plus de risques de manger des aliments riches en graisse saturées et en sucre.

    Si les trois premières conséquences du manque de sommeil ne vous ont pas paru suffisantes pour prendre davantage soin de vos nuits, le fait que cette situation de fatigue peut mettre en danger votre santé cardiovasculaire va peut-être achever de vous convaincre.

    Dormir 5 à 6 heures par nuit augmente la pression artérielle. Le sommeil contrôle les hormones du stress qui, de leur côté, régulent et assurent une pression artérielle saine.

    Un affaiblissement du système immunitaire

    Lorsque nous dormons, notre système immunitaire produit des cytokines protectrices, des anticorps et des cellules qui combattent les infections. Ce processus est nécessaire pour combattre l’invasion de corps étrangers, comme les bactéries ou les virus.

    L’une des conséquences du manque de sommeil est l’affaiblissement du système immunitairequi n’a pas le temps nécessaire pour récupérer sa force et sa vitalité.

    Si vous ne dormez pas suffisamment, il est plus que probable que votre corps ne puisse plus se défendre face aux infections. En conséquence, vous allez tomber malade plus souvent et plus gravement.

    La privation de sommeil sur du long terme augmente le risque de développer des pathologies chroniques, comme le diabète et les maladies cardiovasculaires.

    Le vieillissement prématuré de la peau

    Les cernes qui apparaissent sous vos yeux lorsque vous ne dormez pas sont aussi une conséquence du manque de sommeil. Si vous ne dormez pas au moins 6 heures par nuit, le cortisol, l’hormone du stress, est produite en grande quantité par votre organisme.

    Les femmes qui dorment mal ou peu ont plus de chances d’être touchées par des rides, même à un jeune âge.

    Le cortisol a la faculté de détruire le collagène présent dans les cellules de la peau, celle-ci perdant alors de son élasticité, de sa santé et de sa douceur.

    Si vous voulez avoir une peau saine en toutes circonstances, mais qu’aucune crème ou qu’aucun traitement ne vous permet d’y arriver, essayez de vous coucher tous les jours avant 22 heures.

    Gardez à l’esprit que notre peau se régénère entre 22 heures et 2 heures du matin.

    Évitez les conséquences du manque de sommeil !

    Si vous faites partie des gens qui dorment peu, vous vous êtes certainement reconnu-e dans les conséquences que nous venons de lister.

    Si vous devez vous battre avec l’un de ces problèmes, améliorez vos habitudes de sommeil. C’est peut-être la seule chose sur laquelle vous devez travailler pour atteindre vos objectifs.

     

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  • 5 conséquences inattendues du diabète

     

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Saviez-vous que le diabète peut aussi affecter votre capacité auditive et l'affaiblir ? Dès le moment où vous percevez un problème d'audition, consultez un médecin pour obtenir un diagnostic.
     

    Le diabète est un problème de santé important qui affecte plus de six millions de personnes dans le monde entier, et de tout âge. 

    C’est une altération métabolique chronique et complexe, qui est caractérisée par le fait de ne pas métaboliser correctement les sucres, les protéines et les graisses que l’on mange régulièrement.

    Le glucose à l’excès dans le sang provoque des dommages dans divers tissus et organes des personnes qui souffrent de cette maladie.

    Ces dernières années, des campagnes ont été lancées pour que les gens prennent conscience de ses risques et pour éviter les problèmes. Aussi bien les gouvernements que les institutions médicales travaillent ensemble, mais beaucoup de personnes se retrouvent quand même confrontées à des conséquences inattendues de cette maladie grave.

    1. Les problèmes buccaux

    Les personnes qui souffrent d’un diabète mal contrôlé ont plus de risque de souffrir de problèmes buccaux, de gencives et de maladies gingivales que les personnes qui ont des niveaux de glucose normaux.

    Si vous êtes diabétique, pré-diabétique ou que cous souffrez du syndrome métabolique, vous devez prêter une attention toute particulière à l’hygiène buccale et consulter votre odontologue régulièrement.

    Il n’est pas rare que les personnes détectent les premières conséquences inattendues du diabète dans leur bouche. Vous pouvez notamment remarquer des caries ou des problèmes de gencives, ou le dentiste peut vous le dire.

    Les problèmes les plus communs sont les suivants :

    • La périodontite : cette maladie affecte l’os qui soutient les dents. Il est important de continuer le traitement prescrit par le dentiste pour éviter de perdre vos dents.
    • Les caries : déjà, ce n’est pas très joli. Mais surtout, les caries provoquent des problèmes comme la sensibilité au froid ou au chaud. Elles peuvent aussi donner une mauvaise haleine qu’un lavage de dents n’améliore pas.
    • Les infections fongiques : l’excès de sucre crée un environnement parfait pour les infections de tout type. Contrôlez vos niveaux de glucose en permanence et assurez-vous toujours d’éliminer les résidus de sucre et les aliments.
    • Les perturbations du palais.
    • La mauvaise haleine ou l’haleine fruitée : parfois, ce symptôme est le premier que l’on remarque chez les personnes diabétiques. Si vous détectez ce problème, consultez un médecin le plus tôt possible pour « checker » votre niveaux de glucose dans le sang.

    2. La perte de la capacité auditive

    Il a été démontré que les personnes diabétiques souffraient d’une perte auditive plus importante que les autres. Cela a pu être découvert grâce à des tests qui mesurent la capacité des participants à entendre des fréquences faibles, moyennes ou fortes dans les deux oreilles.

    Les personnes qui souffrent des conséquences inattendues du diabète peuvent avoir les symptômes suivants :

    • Des vertiges
    • Des bourdonnements
    • L’hypoacousie
    • Les problèmes d’équilibre

    Les niveaux de glucose mal contrôlés peuvent avoir pour conséquence la sclérose de l’artère auditive intérieure, l’atrophie du ganglion spiral et la démyélinisation du huitième nerf.

    Si vous avez plus de 40 ans, les risques augmentent.

    Faites attention si vous remarquez que, dernièrement, vous n’entendez pas bien ou que ceux qui vous entourent doivent crier pour que vous les compreniez. Il est important de consulter un médecin.

    3. Les infections de la peau

    Les infections de la peau font partie des autres conséquences inattendues du diabète. Les problèmes communs peuvent se classer en quatre types :

    • Les lésions
    • Les infections cutanées
    • Les réactions médicamenteuses
    • Le pied diabétique

    Les diabétiques sont particulièrement exposés à la sécheresse de la peau car quand les niveaux de glucose sont très élevés, le corps essaie de libérer du sucre via l’urine.

    Si vos niveaux de glucose ne diminuent pas aux bons niveaux, vous aurez plus envie d’uriner et votre corps perdra plus de liquides. Si vous ne vous rechargez pas en liquides en buvant de l’eau, vous serez déshydraté.

    Dans les cas graves, des lésions rouges, qui démangent et provoquent une desquamation peuvent se former. Souvenez-vous que deux litres d’eau par jour est le minimum.

    Vous pouvez appliquer des crèmes hydratantes sur la peau qui est sèche mais si votre corps a soif, l’effet de la crème durera seulement quelques heures, voire quelques minutes.

    4. L’apnée obstructive du sommeil

    Une autre des conséquences inattendues du diabète est l’apnée obstructive du sommeil. Il s’agit d’un problème respiratoire courant et que l’on a souvent tendance à mettre de côté. Elle se présente quand il y a des paralysions intermittentes et répétées des voies respiratoires pendant le sommeil.

    Elle se présente chez 2% des femmes et 4% des hommes. Les deux facteurs qui facilitent son apparition sont l’obésité et le diabète.

    Si vous remarquez que vous avez des problèmes pour respirer pendant que vous dormez, il est important des faire des exercices pour améliorer votre régime alimentaire et perdre du poids. Le meilleur exercice qui soit est une heure de marche par jour accompagnée d’une alimentation riche en légumes.

    5. Les dysfonctionnements sexuels

    Le diabète peut rendre difficiles les relations sexuelles, aussi bien pour les hommes que pour les femmes.

    Les hommes diabétiques ont trois fois plus de risques de souffrir de lésions au niveau des nerfs et des artères, qui interrompent l’afflux sanguin nécessaire pour obtenir une érection.

    De plus, certains médicaments contre le diabète peuvent avoir des effets secondaires, qui favorisent davantage les dysfonctionnements sexuels.

    Les femmes peuvent souffrir de :

    • Hypoglycémie
    • Lésions au niveau de la zone génitale non liées à une maladie sexuellement transmissible
    • Dépression
    • Infections dans la zone génitale

    Astuces pour contrôler le diabète

    Beaucoup de gens pensent que souffrir de diabète implique de devoir se confronter à toutes ces conséquences inattendues. En réalité, cela va dépendre des soins qu’ils s’apportent.

    Un bon régime alimentaire et un style de vie sain peuvent garantir une vie longue et quasiment normale, sans ces conséquences inattendues.

    Si vous venez d’apprendre que vous souffrez de diabète, nous vous invitons à prendre cette nouvelle comme une opportunité pour améliorer vos habitudes de santé, d’alimentation et de vie.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 symptômes très étranges qui vous alertent

    sur un dysfonctionnement de vos intestins

     

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Saviez-vous qu'une fragilité osseuse peut être due à des problèmes intestinaux ? Lorsque notre corps n'absorbe pas bien les minéraux, c'est toute notre santé qui est mise en danger.
     

    Les problèmes intestinaux ne se limitent pas qu’à des diarrhées ou à des vomissements.

    Sans que nous en soyons conscient-e-s, nos intestins accomplissent de multiples fonctions qui sont essentielles au bon fonctionnement de notre corps.

    Grâce à eux, nous absorbons les nutriments des aliments que nous consommons, comme les minéraux, les vitamines et l’eau. De plus, ils jouent un rôle important dans la santé de notre système immunitaire.

    La flore microbienne qui recouvre leurs parois est indispensable à notre santé, car elle nous permet de faire face à de multiples bactéries et de profiter d’un équilibre intérieur, qui garantit notre qualité de vie.

    Nous ne devons pas oublier que ce que nous désignons comme les intestins et est en fait une série d’organes entremêlés, parmi lesquels on retrouve le côlon.

    Pour garder nos intestins dans un état de fonctionnement optimal, nous devons en prendre soin au quotidien.

    Il est donc nécessaire de connaître la symptomatologie secondaire de cette partie de notre corps, que nous ignorons bien souvent et qui est pourtant indispensable si nous souhaitons détecter un dysfonctionnement éventuel le plus tôt possible.

    Nous vous proposons de prendre bonne note des conseils que nous allons vous donner dans la suite de cet article, car ils vont vous être très utiles.

    1. Des os fragiles

    Imaginez la situation suivante. Un jour, lors d’une randonnée en montagne entre amis, vous trébuchez sur un petit rocher et vous vous brisez la hanche.

    • Cette fracture peut être liée à deux choses : à cette roche inopportune ou à l’ostéoporose, une pathologie très présente chez la femme notamment.
    • Que se passerait-il si demain vous vous fracturiez les poignets, le tibia ou l’épaule ? Quelque chose est en train de se passer en vous et vous devez en prendre la mesure.
    • Une fragilité osseuse peut être due à une acidité stomacale, qui empêche les minéraux comme le calcium et la magnésium d’être bien absorbés par nos intestins.
    • La vitamine K, produite par nos intestins, peut également être en jeu.

    Si ces organes sont plein de toxines, s’ils ne fonctionnement pas comme ils le devraient, notre corps n’a plus la quantité de vitamine K dont il a besoin pour avoir des os forts et sains.

    2. Les épisodes de stress et d’anxiété


    Lorsque la flore microbienne de nos intestins est déséquilibrée, notre état d’esprit peut vite devenir extrêmement négatif.

    Il est intéressant de savoir qu’un long nerf connecte les intestins et le cerveau, et que des signaux circulent dans les deux sens.

    Si nous consommons trop de graisses saturées, la flore microbienne se voit affectée et commence à envoyer des symptômes émotionnels très concrets.

    Pour éviter ce phénomène, nous devons procéder à quelques changements dans notre alimentation :

    • Nous devons manger plus de fruits et de légumes frais.
    • Nous devons boire de l’eau abondamment.
    • Nous devons consommer du kéfir, un produit idéal pour prendre soin de notre flore bactérienne.

    3. Des démangeaisons cutanées

    C’est peut-être l’un des symptômes les plus étranges d’un dysfonctionnement intestinal, alors qu’il s’agit certainement de l’un des plus clairs et des plus évidents.

    • Si nos intestins sont trop perméables, les particules des aliments non digérés correctement vont pénétrer directement dans notre flux sanguin.
    • Le corps va donc se charger de toxines et le système immunitaire va réagir de différentes manières pour nous alerter sur le fait que quelque chose ne va pas. Il va provoquer des démangeaisons, des gonflements ou des inflammations.

    Si nous remarquons un tel phénomène, nous devons rapidement consulter un médecin afin de connaître l’origine véritable de notre condition.

    4. Des ongles fragiles

    Avoir des ongles fragiles et cassants est un signal évident du fait que nous n’absorbons pas correctement les nutriments qui proviennent des aliments que nous ingérons.

    Au lieu de dire « nous sommes ce que nous mangeons« , nous devrions plutôt affirmer « nous sommes ce que nos intestins absorbent« .

    S’ils ne sont pas sains, si notre flore microbienne est déséquilibrée, nous n’allons pas pouvoir décomposer correctement les aliments et nous ne pourrons pas absorber les vitamines et les minéraux qu’ils contiennent de manière optimale.

    5. Le ventre gonflé

    Parfois, lorsque nous regardons notre abdomen, nous nous demandons comment il a pu gonfler autant en si peu de temps.

    • Le gonflement abdominal n’est pas dû à des graisses, mais à des gaz, qui nous indiquent clairement que nos intestins ne fonctionnent pas correctement.
    • Le problème ne réside pas forcément dans le fait que les aliments que nous consommons provoquent naturellement des gaz. Nous devons surtout nous poser la question d’une éventuelle allergie alimentaire.

    Gardez à l’esprit que les laitages sont souvent les allergènes les plus dangereux de notre alimentation quotidienne. Si vous vous sentez mal après avoir mangé un yaourt ou du fromage, consultez votre médecin.

    6. Des selles blanches

    L’apparition de selles blanches est quelque chose que nous ne devons pas prendre à la légère. Dès que cela vous arrive, vous devez immédiatement consulter votre médecin.

    • Les selles blanches apparaissent généralement lorsque nous souffrons du syndrome du côlon irritable. Dans ce cas, elles sont bien souvent accompagnées d’épisodes de diarrhées.
    • Une altération de notre flore bactérienne et des inflammations intestinales peuvent aussi les provoquer, même si elles peuvent aussi être en lien avec des problèmes hépatiques très sérieux, qui requièrent un traitement spécifique.

    Pour conclure, comme nous pouvons le voir, les symptômes dont nous venons de vous parler sont très concrets et nous les attribuons souvent à d’autres problèmes de santé.

    Face au moindre doute, n’hésitez pas à demander l’aide d’un-e professionnel-le de la santé.

    Comme « nous sommes ce que nous mangeons« , pourquoi ne ferions-nous pas plus attention à la manière dont nous nous alimentons ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Important ! 6 indices précoces d’insuffisance cardiaque

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Parmi les symptômes avant-coureurs d’une insuffisance cardiaque nous pouvons ressentir une fatigue aigüe sans raison apparente, une prise de poids inexplicable ou un manque d’appétit, bien que cela puisse être dû à d’autres pathologies.
     

    L’insuffisance cardiaque fait référence à l’incapacité du cœur de pomper suffisamment de sang pour supporter toutes les taches métaboliques, d’approvisionnement en oxygène et en nutriments à notre organisme.

     

    Si nos cellules ne se nourrissent pas de manière correcte, le corps ne peut pas fonctionner normalement, et les effets se font remarquer.

    La symptomatologie associée à cette maladie est grave et réduit considérablement la qualité de vie du/de la patient-e.

    L’insuffisance cardiaque est, à son tour, une des raisons les plus fréquentes et incapacitantes parmi la population adulte, spécialement les personnes dépassant les 65 ans.

    Bien que cette affection soit généralement chronique, dans de nombreux cas, et grâce à une médication adéquate et un bon suivi médical, on peut avoir une qualité de vie normale.

    Néanmoins, d’autres personnes devront être intervenues pour être aidées d’un petit défibrillateur. Il s’agit d’un dispositif semblable à un stimulateur cardiaque qui contrôle de façon permanente le rythme du cœur.

    La vie change de manière radicale lorsqu’apparaissent ce type de complications cardiaques, si communes mais, en même temps, impactantes pour la personne ainsi que son entourage familial et personnel.

    Toutefois, il est toujours vital de rester attentif aux premiers symptômes. Il est habituel que, pendant les premières phases, certaines anomalies associées avec la fatigue ou le stress passent inaperçues.

    Dans cet article, nous vous invitons à vous souvenir de ces simples informations. C’est important de les connaître pour pouvoir en parler à notre médecin si nécessaire.

    1. Le besoin d’uriner pendant la nuit

    Se lever pour uriner la nuit plus d’une fois n’est pas normal.

    Bien que ce symptôme puisse être dû à plusieurs raisons (un problème rénal, une infection, des problèmes de prostate…), l’insuffisance cardiaque est aussi un facteur à prendre en compte.

    • Lorsque nous nous couchons, le liquide accumulé dans les extrémités inférieures dû à l’insuffisance cardiaque peut revenir vers le flux sanguin et être capté par les reins pour s’éliminer dans l’urine.
    • Nous ne devons pas oublier que cette maladie a tendance à agrandir la chambre du cœur dans un essai presque désespéré pour pomper plus de sang. Cependant, cela provoque aussi une rétention de liquides.
    • Si, d’un jour à l’autre, nous remarquons que nos habitudes quand nous allons aux toilettes changent, le mieux est d’en parler à un-e médecin.

    2. L’insuffisance cardiaque et la perte d’appétit

    Voilà un autre symptôme qui peut être lié avec beaucoup d’autres troubles ou problèmes sans gravité excessive.

    Cependant, quand le cœur arrête de pomper à un rythme et à un fréquence normale, l’accumulation de liquides se produit aussi dans l’appareil digestif et dans le foie.

    On se sent généralement repus et sans appétit. D’ailleurs, nous nous sentons rassasié-e-s avec des quantités chaque fois plus petites.

    3. Une fatigue constante

    La fatigue apparaît sans que nous fassions un effort considérable. Ce qui auparavant ne nous supposait aucun effort, devient dorénavant extrêmement dur et nous laisse sans air ni respiration.

    • Monter un escalier, porter des choses lourdes, sortir faire ses courses et même parler longtemps, nous épuise.
    • L’insuffisance cardiaque réduit la capacité de pompage du cœur, et provoque que moins de sang arrive aux muscles.
    • Nous pouvons imaginer ce que cela suppose pour notre organisme : nous recevons moins d’oxygène et moins de nutriments.
    • Les muscles se surchargent, des crampes apparaissent, la douleur et cette fatigue extrême.

    4. La prise de poids inexplicable

    Cela peut sembler contradictoire, car, si nous mangeons moins, pourquoi avons nous pris des kilos ? La réponse, une fois de plus, se trouve dans la rétention des liquides.

    • La majeure partie de ce volume corporel n’est pas dû à la graisse, mais aux liquides.
    • Dans le cas de constater que nous prenons plus de deux kilos en moins d’une semaine, nous devrons le communiquer immédiatement à notre médecin.
    • De cette manière, il est bon de savoir qu’avec un traitement spécifique et un régime, ces kilos en trop disparaîtront et nous pourrons récupérer notre ligne.

    5. Chevilles enflées

    Les chevilles enflées peuvent être la conséquence de divers facteurs (le surpoids, tomber enceinte, les varices…)

    • Toutefois, s’il s’agit d’un problème constant au quotidien, nous devons savoir que c’est une chose normale. Il est nécessaire de faire un diagnostic pour en découvrir la cause.
    • Cette inflammation ou œdème peut s’étendre des chevilles aux jambes. La plupart du temps, il s’agit d’un signe d’insuffisance cardiaque, rénal ou hépatique.

    Ce sont des problèmes que nous devons communiquer à notre médecin.

    6. La dyspnée ou l’essoufflement

    La dyspnée ne fait pas référence uniquement à une accumulation de liquideNous parlons aussi d’une congestion dans les poumons.

    • Il est important de se rappeler que, si nous accumulons du liquide dans les poumons, l’échange d’oxygène ne sera pas possible, donc, il s’agit déjà d’un symptôme grave.
    • Il est commun que la dyspnée apparaisse au début lors d’occasions très particulières : lorsque nous faisons du sport ou, même, en nous levant du lit.
    • Lorsque l’on est allongés, le liquide a tendance à « noyer » les poumons ; par conséquent, nous avons du mal à respirer.

    Nous ne devons jamais considérer normal ce genre de symptômes. Si la respiration nous manque pendant quelques secondes, mais tous les jours, en nous levant, il est préférable de consulter notre médecin.

    Pour terminer, il est important d’informer constamment nos spécialistes de la santé au sujet de n’importe quel problème, une circonstance de notre quotidien et qui nous affecte d’une certaine manière, afin de mener une vie normale.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 problèmes liés à un affaiblissement du système immunitaire

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Avoir un système immunitaire fort et sain est indispensable pour faire face aux différents virus et pathogènes qui nous attaquent quotidiennement et qui peuvent menacer notre santé.
     

    Le système immunitaire est chargé de protéger l’organisme des substances nocives appelées antigènes, lesquelles portent les virus, les bactéries, les toxines et tous types de substances étrangères qui peuvent compromettre la santé.

     

    Il est composé par le tissu lymphoïde, qui appartient à la moelle osseuse, les ganglions lymphatiques, faisant partie du tube digestif et les amygdales.

    De plus, il a été prouvé que certaines protéines et cellules du sang sont aussi en relation avec ces fonctions dans le corps.

    Dès qu’il détecte n’importe quel type d’antigènes, notre système immunitaire augmente la production des protéines appelées anticorps et, ainsi il détruit les pathogènes pour éviter qu’ils créent des maladies.

    Le problème est que la continuelle exposition au stress, à une mauvaise alimentation et à certaines maladies peut altérer son fonctionnement jusqu’au point de l’empêcher de réaliser ses tâches principales.

    En conséquence, le risque de souffrir de certaines pathologies augmente et certaines réactions négatives se déclenchent et affectent notre qualité de vie.

    Pour cette raison il est primordial de détecter les signes associés à son affaiblissement et de prendre les mesures nécessaires pour les neutraliser.

    Vous en avez déjà fait l’expérience ?

    1. Infections recurrentes

    Étant donné que le système immunitaire est chargé de protéger l’organisme face à l’attaque des virus, des bactéries et des mycoses, sa détérioration conduit à développer des infections récurrentes.

    Les troubles de la tractée urinaire, l’inflammation et les affections du système digestif sont des signes qui identifient qu’il ne répond pas de façon normale face aux agents externes.

    2. Les allergies

    Les réactions allergiques sont plus fréquentes chez certaines personnes que d’autres. Il s’agit d’une réponse du système immunitaire face aux agents externes comme le pollen et la poussière.

    Leur évolution continue peut-être un signe d’affaiblissement de ce dernier.

    Les altérations de la peau, la congestion des voies respiratoires et les éternuements sont des raisons suffisantes pour commencer à adopter de nouvelles habitudes qui le renforcent.

    3. Les plaies tardent plus à cicatriser

    Le temps de guérison des plaies de notre corps varie généralement en fonction de leur origine et gravité.

    Cependant, globalement c’est un temps prudentiel, surtout s’il s’agit d’une lésion superficielle.

    Comme le système immunitaire est une partie fondamentale du processus de guérison et de cicatrisation, ses baisses peuvent provoquer de retards qui, même, augmentent le risque d’infections ou de complications.

    Constater qu’une blessure met plus de temps à guérir doit être suffisant pour soupçonner d’un affaiblissement.

    4. La grippe et les rhumes

    La grippe, les rhumes et autres troubles qui affectent les voies respiratoires sont le résultat de la réduction de la production d’anticorps fabriqués par les mécanismes de défense du corps.

    L’insuffisance de globules blancs, la réduction d’oxygène et les troubles circulatoires influencent les complications de ce genre de problèmes.

    5. La fatigue et l’affaiblissement

    La sensation de fatigue constante peut être provoquée par de multiples facteurs auxquels nous sommes exposé-e-s tous les jours.

    Cependant, quand cela se produit constamment et sans cause apparente, il est fort probable que ce soit lié aux baisses du système immunitaire.

    Dans ces cas, il est commun de les ressentir dès le matin, même quand on a parfaitement dormi.

    Elle est généralement accompagnée d’un affaiblissement physique et mental qui peut interrompre la réalisation des tâches quotidiennes.

    Il peut également se produire des changements de température, des vertiges, des nausées et autres signes que nous ne devons pas sous-estimer.

    6. Les douleurs musculaires

    Les nivaux de stress élevés, l’excès d’activité physique et les déficiences nutritionnelles sont étroitement liées avec la diminution des fonctions de ce système du corps.

    Étant donné que ces derniers influent directement sur la santé musculaire, les affaiblissements peuvent provoquer des douleurs, des tensions musculaires et de forts maux de tête.

    7. Faibles réponses aux traitements

    La plupart des infections et maladies associées au système immunitaire sont traitées avec des médicaments antibiotiques qui aident à détruire beaucoup de virus et de bactéries qui les provoquent.

    Le problème est que, si vous êtes affecté, les effets des médicaments diminuent et rendent plus difficile notre récupération.

    Par conséquent, il est nécessaire de renforcer leurs effets en adoptant une alimentation saine et de haute qualité nutritionnelle.

    Les problèmes ici traités ne doivent pas être ignorés sous aucun prétexte car ils requièrent un traitement opportun et efficace.

    Ne pas y  prêter attention ou attendre qu’ils prennent le dessus peut conduire à des situations plus graves et difficiles à résoudre.

     

    Image principale courtoisie de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Le syndrôme du canal carpien : causes et solutions

     

     

     

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il ne faut pas appliquer de la chaleur sur cette zone, car cela ne fera qu'empirer les choses.
     
     
     

    Il arrive parfois que l’on ressente une sorte de fourmillement et une douleur sourde à la main et dans la zone du poignet, avec une sensation de faiblesse dans la main, comme si nos « pinces » nous faisaient défaut. Peu d’entre nous auront à connaître ces symptômes, mais pour ceux qui sont touchés par cette affection (et lorsque celle-ci devient chronique), elle est très invalidante, puisqu’on ne peut plus se servir de sa main et que la douleur peut devenir très aiguë et même insupportable.

    Que faire si l’on a la malchance d’être touché par ce mal ? Est-il vrai que l’opération est la seule alternative ? Existe-t-il un remède ou un médicament pour soigner cette maladie ?

    La médecine officielle tend à préconiser la chirurgie lorsqu’une maladie a un caractère anatomique comme celui-ci. De la même façon, le mécanicien se limite généralement à commander une nouvelle pièce au fabricant pour remplacer l’ancienne lorsque notre voiture est en panne de moteur. N’avez-vous jamais entendu dire qu’il n’y a plus de bons mécaniciens mais seulement des gens qui se limitent à remplacer les pièces ? Il en est hélas parfois de même pour la médecine.

    Y a-t-il d’autres solutions ? Analysons un peu les causes, les symptômes, les traitements officiels et les traitements alternatifs existants

    Qu’entend-on par syndrôme du canal carpien (SCC) ?

    Carpe

    Le canal carpien est un conduit étroit qui se trouve au centre du poignet. Le long de ce conduit passe le nerf médian, l’un des responsables de l’innervation d’une partie de la main. Nous avons donc affaire à un conduit très étroit dont le diamètre peut se réduire sous l’influence de divers facteurs, se resserrant ainsi sur le nerf en l’empêchant de fonctionner correctement.

    Cette pression sur le nerf médian va avoir une grande répercussion sur la sensibilité et le mouvement d’une partie de la main. On peut ressentir une souffrance qui va d’une simple sensation de fourmillement persistante et tenace à une sensation assez douloureuse et typiquement nerveuse. En même temps, on peut ressentir une faiblesse, un phénomène communément appelé « perdre les pinces », en référence à celles que forment le pouce et l’index.

    Cela se produit parce que les muscles de la main qui sont commandés par le nerf médian ne reçoivent pas les impulsions nécessaires pour fonctionner correctement. À la longue, cette situation peut entraîner une lésion musculaire permanente, et les mains perdent alors leur force de préhension.

    Les causes

    Nous avons déjà expliqué que la zone du poignet le long de laquelle passe le nerf s’appelle le canal carpien. Ce canal étant assez étroit, il arrive qu’une inflammation ou un épaississement de ses parois puisse comprimer ou faire pression sur le nerf. Cela provoque une douleur, un engourdissement, des fourmillements ou une faiblesse : voilà en quoi consiste le syndrôme du canal carpien.

    Canal carpien2

    Il survient généralement chez les personnes de 30 à 60 ans, et il a une plus grande incidence chez les hommes que chez les femmes. Ce n’est pas fréquent, mais il arrive que des personnes qui en souffrent soient nées avec un canal carpien étroit.

    Beaucoup pensent qu’un mouvement très souvent répété de la main et du poignet peut provoquer le syndrôme du canal carpien. Il n’en est pas toujours ainsi, mais il vaut mieux éviter de faire certains mouvements mécaniques et répétitifs. Par contre, il est vrai que l’utilisation d’outils manuels qui vibrent peuvent provoquer ce syndrôme ; c’est par exemple le cas pour les ouvriers qui cassent le bitume sur les routes avec un marteau pneumatique.

    Cependant, il n’existe aucune étude fiable qui puisse démontrer que le syndrôme carpien dérive d’activités habituelles : utiliser l’ordinateur et sa souris, faire des mouvements répétitifs sur son lieu de travail, jouer d’un instrument de musique ou pratiquer certains sports.

    D’autres facteurs peuvent provoquer le syndrôme du canal carpien :

    • Des fractures à répétition et l’arthrite du poignet.
    • Le développement d’un kyste ou d’une tumeur au poignet.
    • L’arthrite rhumatoïde (maladie auto-immune qui affecte les articulations).
    • Le diabète.
    • L’hypothyroïdie.
    • L’obésité et l’alcoolisme.
    • La rétention de liquides durant la grossesse ou à la ménopause.
    • L’amylose.

    De toute façon, la majeure partie des cas sont idiopathiques, ce qui veut dire qu’on n’en connaît pas la cause réelle ; par conséquent, le traitement visera davantage à réduire les symptômes qu’à soigner une cause précise qui reste, comme nous l’avons dit, inconnue dans la plupart des cas. 

    Les symptômes

    • Main maladroite pour saisir les objets de ses doigts ou dans la paume de la main.
    • Engourdissement, fourmillements aux quatre premiers doigts (pouce, index, majeur et annulaire).
    • Fourmillements persistants dans la paume de la main.
    • Difficulté pour saisir ou porter des sacs (il s’agit d’un symptôme courant).
    • Douleur qui s’étend du poignet jusqu’au coude.
    • Douleurs aux mains et aux poignets.
    • Problèmes au niveau de la coordination motrice des doigts.
    • Faiblesse à une main ou aux deux.
    • Atrophie du muscle situé sous le pouce (elle se produit à un stade avancé de la maladie).

    Comment savoir s’il faut consulter un médecin ?

    Afin de ne pas confondre les symptômes du syndrôme du canal carpien avec ceux de l’arthrite (ostéoarthrite), il convient de consulter un médecin si nous observons l’apparition des symptômes suivants :

    • Si l’on ressent une douleur constante et qui semble même s’intensifier malgré une position détendue de la main durant un long moment.
    • Si l’on a la sensation que quelque chose craque ou fait du bruit à l’intérieur du poignet si on le bouge lors d’un mouvement ou d’un exercice.

    Une fois qu’il nous sera confirmé que nous ne souffrons pas d’arthrite mais bien du syndrôme du canal carpien, alors nous pourrons choisir un traitement en fonction de la gravité de notre cas. 

    Tests et examens

    Canal carpien 3

    En dehors des symptômes d’engourdissement et de faiblesse, le médecin peut réaliser le test de Phalen et le dénommé signe de Tinel.

    • Signe de Tinel : donner de petits coups sur le nerf médian à la hauteur du poignet peut faire augmenter la douleur du poignet jusqu’à la main.
    • Test de Phalen : plier complètement le poignet vers l’avant durant 60 secondes pour observer s’il se produit un engourdissement, un fourmillement ou une faiblesse.

    Les examens les plus courants sont :

    • Les radiographies du poignet qui permettent de déceler l’existence d’un rétrécissement des ligaments ou des tendons entre lesquels passe le nerf médian.
    • L’électromyogramme : une technique qui permet d’évaluer et d’enregistrer l’activité électrique produite par les muscles squelettiques.
    • La mesure de la vitesse de conduction du nerf.

    Évidemment, ces deux techniques révèleront des anomalies si l’on a clairement pressenti auparavant ce syndrôme par la réalisation des tests de Tinel et de Phalen.

    Les possibles traitements

    On peut tenter d’immobiliser le poignet en faisant usage d’une attelle (plaque plus ou moins rigide en bois, en métal, en plastique) durant la nuit et pendant plusieurs semaines. Si on ne sent pas d’amélioration, il sera peut-être nécessaire d’utiliser cette attelle jour et nuit et durant un mois entier. Il faut éviter de s’appuyer sur les poignets pendant le sommeil, et les compresses froides sont également conseillées.

    Les médicaments

    Parmi les médicaments utilisés pour traiter le syndrôme du canal carpien figurent les anti-inflammatoires non stéroïdiens comme l’ibuprofène ou le naproxène. Lesinjections de corticostéroïdes peuvent apporter un soulagement durant un certain temps.

    La chirurgie

    La méthode chirurgicale appelée libération du canal carpien consiste à sectionner le ligament qui exerce une pression sur le nerf médian. La chirurgie est généralement efficace, mais pas dans tous les cas, et la cicatrisation complète peut prendre des mois.

    Les symptômes s’améliorent avec le traitement mais à la longue, dans plus de 50% des cas, il faut encore recourir à la chirurgie.

     

     

    Comment prévenir le syndrôme du canal carpien ?

    Conseils pour adopter de bonnes positions

    Nous devons apprendre à changer certaines positions des mains au bureau ou à la maison afin de réduire la tension au niveau du poignet.

    Adopter une position détendue

    • Pensez à vous observer lors d’un moment de détente et à garder les mains ouvertes, relâchées, et à ne pas plier les poignets. Dans la mesure du possible, évitez les mouvements de poignets répétitifs.
    • Placez l’écran de l’ordinateur à la hauteur de vos yeux. Le clavier doit être situé assez bas pour ne pas avoir à plier les poignets vers le haut en écrivant.
    • Évitez de saisir ou de dévisser des objets en ne vous servant que de trois doigts pour le faire, cela augmente la pression exercée sur le poignet. Il faut se servir de la main entière. S’il s’agit d’une activité continue au travail, utiliser une main après l’autre en alternance et se reposer une ou deux minutes de temps à autre.

    Surveiller la position du corps la nuit

    Pour dormir, il convient de garder les bras le long du corps et les poignets droits. Si les poignets restent coincés sous le corps, ils vont subir une pression, ce qui entraînera une douleur et un gonflement associés au syndrôme du canal carpien.

    Utiliser des modèles ergonomiques

    Servez-vous d’outils spécialement conçus pour réduire le risque de lésions au poignet, et de dispositifs spéciaux pour votre ordinateur, comme un tapis de souris ergonomique et un repose-poignet pour le clavier. Reposez-vous de temps à autre et arrêtez d’écrire si vous ressentez une douleur et un fourmillement.

    Des exercices à pratiquer pour les poignets et les mains

    Ces exercices améliorent la circulation et réduisent les tensions aux poignets et aux mains.

    • Décrire des cercles avec les poignets. Les paumes des mains vers le bas, effectuez cinq mouvements de rotation des poignets à gauche, puis cinq à droite.
    • Tendre le pouce. Saisissez avec la main gauche le pouce de la main droite et tirez-le en arrière jusqu’à ce que vous ressentiez une légère tension. Maintenez cette position durant dix secondes. Répétez cinq fois avec chaque pouce.
    • Réaliser une extension des cinq doigts. Étendez la main en séparant bien tous les doigts pendant 10 minutes. Refaites l’exercice de trois à cinq fois.
    • Serrer la main. Serrez fortement la main dix fois de suite sur une petite balle en mousse. Ensuite, étirez les doigts et refaites l’exercice avec l’autre main.

    Un changement de profession ou un changement dans nos activités sportives ou ludiques peuvent se révéler nécessaires. Certaines professions qui impliquent l’utilisation d’outils vibrants sont associées à cette maladie. Il s’agit d’un syndrôme récurrent chez les musiciens professionnels (pianistes, flûtistes, etc.).

     

     

    Des remèdes naturels pour traiter le syndrôme du canal carpien

    Les remèdes populaires permettent de combattre l’inflammation pour soulager la douleur.

    • L’infusion d’herbe de Saint-Jean : faire bouillir 3 feuilles de millepertuis ou herbe de Saint-Jean dans une tasse d’eau, et la boire tiède. Si l’on consomme une tasse de cette infusion chaque jour, la douleur et le fourmillement à la main et au poignet, propres à ce syndrôme, diminuent. De plus, son effet sédatif permet de mieux supporter la douleur, ce qui va contribuer à rompre le cercle vicieux émotif-physique qui bien souvent décuple la douleur ou la fait perdurer.
    • L’huile de lin : prendre une cuillerée par jour d’huile de graines de lin pendant deux à quatre semaines. Selon des informations obtenues à l’issue de recherches relativement récentes, les acides gras contenus dans ces graines ont un rôle prépondérant pour réduire l’inflammation.
    • La vitamine B6 : il faut consommer des aliments qui en contiennent, comme lespommes de terre, le riz complet, les bananes, les légumes verts et le blanc de poulet. Sous forme de gélules, en prendre 2 milligrammes par jour.
    • Les compresses glacées sur la main ou sur le poignet : leur rôle est de faire diminuer l’inflammation. Il ne faut jamais utiliser de compresses chaudes ni de coussins thermiques qui ne feraient qu’aggraver le syndrôme.

    De même, tout ce qui contribue à conserver une bonne circulation sanguine sera utile pour traiter cette maladie. Voilà pourquoi une nutrition correcte et de l’exercice pratiqué régulièrement sont des remèdes indispensables pour notre santé.

    Si ce syndrôme est traité de façon adéquate, aucune complication ne devrait apparaître. Mais si aucun traitement n’est appliqué, le nerf peut être endommagé de façon permanente.

    Dans tous les cas, il ne faut pas oublier que la chirurgie n’est pas toujours l’option la plus valable, quoi qu’en dise notre chirurgien, et que les séquelles peuvent être pires que le mal. Il faut s’efforcer de prendre toutes les mesures auxquelles nous avons fait allusion avant d’avoir recours à la chirurgie. Mais il est vrai que, si l’on n’obtient aucun résultat, il faudra tout de même prendre cette option en compte.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Que peuvent révéler les gaz intestinaux sur votre santé ?

     

     

     

     

     

     

     
    Vous avez sûrement déjà ressenti des maux d'estomac et eu des flatulences. Découvrez ci-dessous ce que les gaz intestinaux peuvent révéler sur votre état de santé.

    Que peuvent révéler les gaz intestinaux sur votre santé ?

    L’excès d’air dans l’intestin provoque une distension abdominale. Le gaz intestinal est causé par des bactéries produites par la nourriture que nous mangeons. Si vous n’avez pas l’habitude d’une bonne nutrition, de l’exercice et de vitamines, les gaz seront constants.

    Parmi les causes possibles, nous pouvons trouver : manger trop rapidement, avaler beaucoup d’air en mangeant (parler en mangeant par exemple) ou consommer des quantités excessives de nourriture.

    Les gaz intestinaux ne sont pas considérés comme une maladie, mais comme les signes avant-coureurs que quelque chose ne va pas bien dans le système digestif.

    D’un autre côté, il est probable que vous mangiez de grandes quantités de sucres et de celluloses. Ces hydrates de carbone ne peuvent pas être facilement digérés ou absorbés, de sorte qu’ils se retrouvent dans les intestins et sortent par l’anus.

    Cependant, il existe d’autres aliments tels que le chou-fleur, les lentilles, les raisins secs ou le brocoli qui provoquent le même effet. Dans ce cas, les gaz sont complètement naturels.

    Quand devrais-je m’inquiéter ?

    les gaz intestinaux provoquent un mal-être

     

    En termes médicaux, les gaz ne sont pas le signe d’une maladie grave. Cependant, une visite chez le médecin ne fait jamais de mal. Surtout si le problème est incontrôlable et affecte les activités quotidiennes. Selon les symptômes, le spécialiste déterminera le traitement.

    Pourquoi ai-je autant d’air dans le ventre ?

    Certaines habitudes encouragent les intestins à expulser de l’air. Comme déjà mentionné ci-dessus, on retrouve :

    1. Manger vite
    2. Mâcher du chewing-gum
    3. Consommer des sucreries
    4. Utiliser des prothèses dentaires

    Cependant, la présence de gaz intestinaux influence également l’humeur de la personne. Pourquoi ? Parce que quand une personne est nerveuse, elle a tendance à avaler plus d’air sans même s’en apercevoir.

    Symptômes alarmants

    symptômes alarmants des gaz intestinaux

     

    • Apparition des gaz après l’ingestion de certains médicaments
    • Douleur abdominale intense et constante, surtout chez les personnes d’âge moyen
    • Manque d’appétit, vomissements, vertiges ou diarrhée
    • Constipation et perte de poids
    • Changement de la couleur des selles
    • Malaise lors du passage de la nourriture
    • Boule dans l’estomac
    • Brûlures d’estomac

    Causes

    • Lorsque la personne ne mâche pas correctement, la nourriture a du mal à atteindre le côlon.
    • Au moment où la nourriture atteint le côlon, elle est digérée par une énorme quantité de bactéries et, plus le processus est difficile, plus il y a de gaz.
    • Les édulcorants tels que le fructose et les produits contenant des conservateurs prennent beaucoup de temps à être digérés.
    • Les personnes qui n’ont pas assez de lactose luttent pour décomposer tout produit laitier.
    • L’agitation de la routine provoque du stress et de l’anxiété qui altèrent inévitablement le fonctionnement de l’intestin qui produit une grande quantité d’air.
    • Si vous souffrez de constipation, les gaz sont une réalité parce qu’ils sont causés par des selles qui stagnent.

    Prévention

    L’objectif est de réduire la quantité de gaz, soit par éructions soit par flatulences. Pour cela, un changement de nourriture est essentiel. Voici quelques recommandations :

    • Evitez de manger des bonbons
    • Mangez des pâtes seulement une fois par semaine
    • Consommez de préférence des fruits mûrs
    • Diminuez la quantité de fromage et de yaourt
    • Limitez la consommation de tomate, de carotte et de céleri
    • Remplacez la friture par une cuisson plus douce
    • Ne consommez pas de produits à haute teneur en sucre

    Aliments non recommandés

    • Les légumes en purée. Restez à l’écart des lentilles, des pois chiches et des haricots
    • Certains légumes produisent beaucoup de gaz. Diminuez la consommation de chou, concombre, laitue ou brocoli
    • Les farines et les céréales ne sont pas un bon complément
    • Evitez les produits laitiers. Surtout le lait
    • Evitez les radis, les pommes de terre et les oignons crus
    • Réduisez ou évitez les boissons gazeuses
    • Consommer moins de chocolat
    • Modérez votre consommation de vin rouge

    Traitement pour les gaz intestinaux

    Faire de l’exercice est fortement recommandé pour améliorer le fonctionnement du système digestif. Non seulement il réduira les gaz, mais aussi la douleur abdominale.

    Cependant, un spécialiste peut prescrire des suppléments contenant des probiotiques élevés qui fournissent des bactéries bénéfiques pour faciliter le processus de digestion.

    D’autre part, si le patient éprouve une douleur intense qui se répète plusieurs fois pendant la journée, l’idéal est de prendre un médicament anti-colique. Cela agit directement sur l’intestin en relaxant les muscles abdominaux.

    Il est important de ne pas procéder à l’automédication, car cela cachera la cause de la douleur, et rendra difficile la détermination d’un traitement approprié. En ce sens, lorsqu’on prend un médicament, on peut croire que les gaz intestinaux ne sont pas dus à d’autres conditions, alors qu’en réalité, cela peut ne pas être le cas.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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