• Qu’est-ce que la maladie de Crohn ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Il y a quelques mois à peine fut célébré la « Journée Mondiale de la Maladie Inflammatoire Intestinale » (EII).

    On estime qu’au niveau mondial, il y a près de 5 millions de personnes touchées par ces maladies affaiblissantes et qui affectent énormément le mode de vie.

    C’est pourquoi il faut donner davantage de visibilité à ce problème et de fait, la prise de conscience doit être le point de départ grâce auquel la science, les institutions médicales et les politiques sociales soient capables de se réunir pour offrir de nouveaux traitements et espoirs à cette partie de la population.

    Pour les personnes qui n’ont jamais entendu parler de la maladie de Crohn, il faut préciser que nous sommes face à l’un des problèmes les plus complexes et les plus méconnus.

    • Il s’agit d’une maladie inflammatoire chronique qui peut affecter n’importe quelle partie du système gastro-intestinal, c’est-à-dire, de la bouche à l’anus.
    • Elle affecte fréquemment l’extrémité inférieure de l’intestin grêle et le début du gros intestin.
    • On ignore ses origines et ses éléments déclencheurs, mais elle est liée aux problèmes génétiques qui affectent les fonctions immunitaires, et provoquent une réaction inflammatoire en réponse à la présence de certains agents nocifs.

    Facteurs liés à la maladie de Crohn

    Cette pathologie fait partie de ce que l’on appelle les maladies auto-immunes, car le système immunitaire attaque par erreur l’organisme, en l’enflammant et en générant des dommages dans les tissus sains du système digestif.

    Ce gonflement, qui survient de manière permanente lorsqu’il n’est pas traité, fait grossir les parois intestinales et affecte les fonctions gastro-intestinales.

    Parmi les facteurs qui influent sur son apparition nous trouvons :

    • Les gênes et antécédents familiaux : il existe jusqu’à 10 fois plus de probabilités d’en souffrir si un proche au premier degré en souffre également.
    • Facteurs environnementaux : la consommation de tabac et les toxines dérivées de la pollution sont liées à la tendance à souffrir de cette maladie.
    • Virus et bactéries : la croissance excessive de virus et de bactéries dans le système digestif active les mécanismes du système immunitaire.
    • Alimentation : l’organisme n’est pas capable, ou a des difficultés à digérer, certains types de protéines provenant des aliments.
    • Age : bien qu’elle peut survenir à n’importe quel âge, elle est souvent diagnostiquée chez les personnes entre 15 et 35 ans.

    Symptômes de la maladie de Crohn

    Les symptômes de cette maladie peuvent varier chez chaque patient, en fonction de la partie du tube digestif atteinte.

    Ils varient de légers à graves et, bien qu’ils sont parfois permanents, ils apparaissent et disparaissent en général avec des périodes plus aigues que d’autres.

    Une personne peut souffrir de la maladie de Crohn si elle perçoit :

    • Des douleurs abdominales fortes
    • Une sensation de fatigue
    • Perte d’appétit
    • Sensation de déféquer, même quand les intestins sont vides
    • Diarrhée aqueuse, parfois avec des saignements
    • Perte de poids
    • Fièvre

    Bien entendu ils doivent être analysés par un-e spécialiste, car ils sont également liés à d’autres problèmes digestifs.

    De plus, dans certains cas les symptômes peuvent également inclure :

    • Des périodes de constipation
    • Une inflammation et des douleurs articulaires
    • Des ulcères buccaux
    • Des saignements rectaux
    • Des protubérances rouges et sensibles sous la peau
    • Des ulcères cutanés

    Examens et diagnostics

    les douleurs abdominales de la maladie de Crohn

    En plus de l’évaluation des symptômes par le médecin, le diagnostique de la maladie de Crohn s’établit grâce à des examens du type :

    • Lavement opaque ou transit oeso-gastro-duodénal
    • Colonoscopie ou sigmoïdoscopie
    • Tomographie de l’abdomen
    • Endoscopie par capsule
    • Résonance magnétique (RM) de l’abdomen
    • Entéroscopie

    Traitement de la maladie de Crohn

    Même si dans de nombreux cas la maladie de Crohn amène les patients vers une chirurgie pendant laquelle on extrait la partie malade de l’intestin, la majorité des patients arrivent à la surmonter grâce à quelques médicaments et à un changement de mode de vie.

    Médicaments

    • Les traitements pharmaceutiques incluent des anti diarrhéiques et des anti-inflammatoires.
    • Les suppléments en fibre aident à réduire la sévérité des symptômes.
    • La paracétamol peut réduire les douleurs légères. On ne doit pas consommer d’aspirine, d’ibuprofène ou de naproxène, car ils empirent les symptômes.

    Alimentation

    Une alimentation équilibrée, contrôlée en calories et qui inclut tous les groupes de nutriments peut améliorer la qualité de vie des patients souffrant de ce problème.

    En général, on recommande :

    • Eviter la consommation d’aliments transformés, des fritures et des produits raffinés
    • Augmenter la consommation d’eau
    • Eviter la consommation excessive d’aliments riches en fibres
    • Limiter la consommation de produits laitiers si vous souffrez d’intolérances
    • Réduire la consommation d’aliments qui provoquent des gaz comme les condiments et les légumes

    Comment puis-je collaborer avec l’initiative de Janssen en soutien à la maladie de Crohn ?

    La campagne de Janssen a pour but de nous faire prendre conscience de ces réalités aussi intimes que difficile que nous pouvons voir à travers les vidéos testimoniales réalisées avec de vrais patients, associés à l’ACCU Espagne, la Confédération des Associations des Malades de Crohn et de la Colique Ulcéreuse de notre pays.

    La compagnie pharmaceutique, leader en innovation en Immunologie, recherche également à renforcer son accord sur des initiatives qui améliorent la qualité de vie des patients atteints par la Maladie Inflammatoire (EII).

    Nous pouvons tous le faire, nous pouvons tous donner davantage de visibilité à la « Maladie Inflammatoire Intestinale » (EII) à travers le hashtag #1minutepourEII. Prendre une minute de notre temps pour eux représente beaucoup.

    Si nous promouvons un peu plus ce type d’initiatives, nous aiderons également les institutions à investir davantage de fonds, à faciliter le diagnostic précoce et à permettre à ces personnes de faire un peu plus face à leur charges sociales et psychologiques…

    Mettons notre grain de sable, partageons cette information et offrons un souffle d’espoir aux milliers de personnes qui souffrent en silence de cette maladie chronique, douloureuse et qui ont tant besoin de la science pour avoir une meilleure qualité de vie.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    L’hypothyroïdie est une maladie du système endocrinien. Le terme « hypothyroïdie » décrit l’ensemble des manifestations cliniques résultantes d’une plus faible action des hormones thyroïdiennes sur les tissus.

    Fonctionnement de l’axe de l’hypothalamus – hypophyse – tyroïde

    La TSH (Thyrotropine, Hormone Stimulante de la Tyroïde) se libère dans l’hypophyse antérieure en réponse à la TRH (Hormone Libératrice de la Thyrotropine) hypothalamique.

    hormones de la thyroïde

    La TSH s’unit à ses récepteurs spécifiques, localisés dans les cellules de la thyroïde. En réponse, une série de processus dont le résultat final est la synthèse et la libération d’hormones thyroïdiennes.

    • La T4 (Thyroxine ou Tétraïodothyronine) se synthétise à 100% dans la thyroïde.
    • Environ 20% de la T3 (Triiodothyronine) se synthétise dans la thyroïde. Les 80% restants se synthétisent dans les tissus en cible au détriment du T4, processus qui intervient en faveur d’une déiodinase.
    • Une partie de la T4 passe à sa forme inactive, la T3r, également à cause d’une action déiodinase.

    La régulation s’établit par le biais d’un mécanisme de rétro alimentation (feedback) négative. Lorsque la concentration de T3 et de T4 atteint des valeurs physiologiques, la sécrétion de TSH et de TRH est inhibée, c’est à dire qu’on arrête d’en stimuler la libération.

    hyperthyroïdie

    Quelle est la cause de l’hypothyroïdie ?

    La principale cause est la diminution de la sécrétion hormonale, c’est ce qui arrive dans la majorité des cas. Selon le niveau anatomique où s’est produit l’altération, nous pouvons classer l’hypothyroïdie comme primaire, secondaire ou tertiaire.

    Hypothyroïdie primaire

    L’altération s’installe dans la propre thyroïde. Dans ce sens, la glande diminue la production d’hormones thyroïdiennes :

    • Face à une perte de masse glandulaire. Si le nombre de cellules glandulaires diminue, la quantité d’hormones produites diminue. C’est ce qui arrive dans la thyroïdite auto-immune (principale cause d’hypothyroïdie chez l’adulte). C’est également une conséquence des traitements à l’iode radioactif ou suite à une thyroïdectomie (extraction totale ou partielle de la thyroïde).
    • A cause d’un défaut congénital du développement de la thyroïde.
    • A cause d’un apport insuffisant d’iode dans l’alimentation, étant la cause principale dans les pays en voie de développement.
    • A cause d’un blocage dans la synthèse des hormones thyroïdiennes. Le processus de production d’hormones thyroïdiennes peut s’altérer à n’importe quelle étape pour des raisons internes ou externes. Lorsque c’est externe, cela est dû, dans la majorité des cas, à la prise de certains médicaments (sels de lithium).

    Comme l’axe de l’hypothalamus – hypophyse – thyroïde obéit à un mécanisme de rétro alimentation négative, une baisse des hormones thyroïdiennes a pour résultat final une augmentation de la TSH (dans le but d’augmenter les hormones thyroïdiennes).

    L’augmentation de la TSH au-dessus des valeurs normales est l’information analytique la plus sensible pour le diagnostique de l’hypothyroïdie primaire.

    hyperthyroïdie

    Hypothyroïdie secondaire

    La sécrétion d’hormones thyroïdiennes diminue, en conséquence d’un manque dans la sécrétion de TSH dans l’hypophyse. Comme la sécrétion de TSH diminue en-dessous des niveaux normaux, on stimule la thyroïde de la mauvaise manière (qui fonctionne correctement). C’est pourquoi le résultat final est une moindre production de T3 et de T4.

    Cela peut être dû à :

    • Une nécrose ischémique de la glande (mort cellulaire à cause d’un manque de flux sanguin).
    • La présence de certaines tumeurs.
    • A un manque global de l’hypophyse antérieure, ce que l’on connaît sous le nom de syndrome de Sheehan.

    A cause du mécanisme de rétro alimentation négative qui régule l’axe, le résultat est une augmentation de la TRH (pour stimuler la sécrétion TSH). Toutefois, cette augmentation n’aura aucun effet sur l’hypophyse car c’est là où se trouve le problème.

      axe hypophyse thyroïde

    Il n’y a donc pas de réponse à une augmentation de TRH propre ou administré de manière exogène dans l’hypothyroïdie secondaire.

    hyperthyroïdie

    Hypothyroïdie tertiaire

    L’hypo fonction thyroïdienne est due dans ce cas à une diminution de la sécrétion de TRH dans l’hypothalamus. Comme la stimulation de l’hypophyse diminue, elle sécrète une moindre quantité de TSH. En conséquence, la stimulation de la thyroïde diminue également, et sécrète donc moins de T4 et de T3.

    Dans ce cas, même si les hormones thyroïdiennes diminuent, il n’y a pas d’augmentation de la TRH hypothalamique. Toutefois, le défaut peut être corrigé par l’administration exogène de TRH car l’hypophyse y répond.

    hyperthyroïdie

    Résistance périphérique des tissus aux hormones

    Cela arrive très rarement. Des mutations dans les gênes se produisent en lien avec les récepteurs thyroïdiens présents dans les tissus. En conséquence, ces récepteurs altèrent leur fonctionnement normal et provoquent que les tissus ne répondent pas aux hormones.

    Dans d’autres cas, également très rares, le problème peut être dû à l’inactivation périphérique des hormones thyroïdiennes. Il peut y avoir des altérations dans les processus de conversion du T4 au T3 et du T4 au T3r. Ainsi est inhibé le passage du T4 au T3, et il y a donc une diminution du T3 dans l’analytique. Le T3r augmente également, forme inactive des hormones.

    Manifestations cliniques de l’hypothyroïdie

    D’une part, elles sont liées au déficit hormonal, qui traduisent un ralentissement des processus métaboliques :

    • Sensation de froid constante indépendamment de la température ambiante.
    • Peau pâle, froide et rugueuse. Les cheveux, les sourcils et les cils se fragilisent et ont tendance à tomber.
    • Diminution de la fréquence cardiaque et hypertension artérielle.
    • Constipation à cause d’un ralentissement intestinal.
    • Diminution de la concentration, altérations de la mémoire et du langage.
    • Le/la patient-e se trouve en état léthargique. Si ce n’est pas contrôlé et que cela évolue sur le long terme, un type de coma peut apparaître, que l’on appelle coma myxœdémateux.
    • Goitre dans les cas d’un apport insuffisant en iode ou d’un manque dans le processus de la synthèse du T3 et du T4.
    • Anémie ou hypocholestérolémie.
    • Chez les enfants : retard dans la croissance.

    D’autre part, une série de manifestations apparaissent en conséquence du dépôt tissulaire de la substance mucoïde. Elle se compose d’eau et d’acide hyaluronique. Elle se dépose sur les tissus en conséquence d’un plus faible métabolisme des polysaccarides.

    • Œdème facial qui ne laisse pas de fovéa et qui peut se répandre dans les extrémités. L’œdème propre à l’hypothyroïdie reçoit le nom de myxœdème.
    • Prise de poids.
    • Augmentation de la taille de la langue et voix rauque.
    • Syndrome du canal carpien.

    Comment est-elle diagnostiquée ?

    Analytique. Il permet de déterminer la concentration d’hormones thyroïdiennes T3 et T4 et de la concentration de TSH. De manière générale :

    • Diminution des T3 et T4 libres et augmentation du TSH : Hypothyroïdie primaire.
    • T3 et T4 en dessous de la limite inférieure à la normale + diminution du TSH sans réponse au TRH exogène : Hypothyroïdie secondaire.
    • Diminution du T3 et du T4 + diminution de TSH en réponse au TRH exogène : Hypothyroïdie tertiaire.

    Etudes morphologiques par le biais de gammagraphie à l’iode radioactif et écographie thyroïdienne.

       test hormones thyroïde

    Traitement de l’hypothyroïdie

    Le traitement de l’hypothyroïdie consiste au remplacement de la production d’hormone thyroïdienne T4, la thyroxine. Le médicament utilisé par excellence est la lévothyroxine, dont la prescription doit comporter la plus faible dose possible pour rétablir les niveaux normaux de T4.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     



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  • Les 4 maladies vasculaires cérébrales les plus communes

    que vous devez connaître

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Il existe de nombreux problèmes vasculaires cérébraux qui ne présentent pas de symptômes spécifiques, c’est pourquoi il est fondamental de se soumettre à des consultations régulières et d’avoir des habitudes de vie saines pour éviter les complications.

    Les maladies vasculaires cérébrales (MVC) font référence à tous ces problèmes liés à une circulation du sang difficile de manière momentanée ou permanente dans une zone concrète de notre cerveau.

    Nous connaissons tous, directement ou indirectement, quelqu’un qui a souffert d’un ictus, d’un anévrisme ou d’un petit épanchement cérébral.

    Toutes ces maladies peuvent nous laisser des séquelles permanentes voire nous ôter la vie.

    Dans le meilleur des cas, ce sera plus de peur que de mal, mais elle nous obligera à prendre soin de nos habitudes de vie.

    De la même manière, il faut également signaler que la majorité d’entre nous n’a pas assez conscience de ces maladies.

    A moins que nous ayons vécu l’une de ces expériences dans notre entourage, en général nous n’accordons pas assez d’importance à l’impact qu’ont sur notre santé cérébrale des facteurs comme la tension artérielle, le cholestérol élevé ou le surpoids.

    Une grande partie des morts qui surviennent chaque année à cause des maladies vasculaires cérébrales pourraient être prévenues.

    Le reste, comme les ictus qui affectent des patients encore très jeunes ou des personnes qui prennent grandement soin de leurs habitudes de vie, sont des réalités qui, sans aucun doute, échappent encore à notre compréhension voire à notre logique.

    Quoiqu’il en soit, il existe certains aspects sur lesquels nous devrions réfléchir : la prévention, le fait de nous soumettre à des consultations périodiques pour mesurer par exemple, notre pression artérielle et d’autres indices associés permettraient sans aucun doute, que bon nombre de ces tristes réalités aient moins d’impact sur nous.

    C’est un sujet à propos duquel il serait bon d’accorder du temps et avant tout de la volonté.

    Les 4 maladies vasculaires cérébrales les plus fréquentes

    Comme nous l’avons signalé au départ, toute maladie vasculaire cérébrale apparaît à cause d’un problème dans le flux sanguin.

    Aussi, n’importe quel problème dans le flux sanguin peut amener à deux types de maladies : les ischémiques et les hémorragiques.

    Il faut préciser que les ischémiques sont, sans aucun doute, les plus fréquentes et la majorité d’entres elles ont la même origine : l’artériosclérose.

    Nous vous avons déjà parlé à plusieurs reprises sur notre espace de l’artériosclérose : elle apparaît lorsque les niveaux de cholestérol sont très élevés et qu’à cela s’ajoute une inflammation des artères du cerveau.

    Tout cela amène à une maladie lente, progressive et très affaiblissante : l’accumulation de plaque dans les vaisseaux sanguins.

    Celle-ci engendre des problèmes de circulation sanguine vers le cerveau et, à long terme, peut provoquer des problèmes cognitifs et de démence.

    Nous ne sommes pas face à quelque chose de léger, que nous pouvons ignorer : la prévention et les bonnes habitudes de vie que nous pratiquerons aujourd’hui se remarqueront demain.

    maux de tête

    1. La thrombose cérébrale

    • La thrombose est un accident vasculaire cérébral ischémique.
    • Les ictus, dans 80% des cas, ont la même origine.
    • Elle survient après le rétrécissement de l’une des artères cérébrales à cause de l’apparition d’un thrombus qui bloque le flux sanguin.

    Il faut dire qu’en général ce type de maladie donne des petits signes avant que n’apparaisse la fermeture complète des vaisseaux cérébraux.

    C’est pourquoi il est vital que nous soyons attentifs face à ces symptômes :

    • Engourdissement d’une partie du visage ou d’un côté du corps.
    • Maux de tête très intenses.
    • Difficultés à communiquer et à comprendre.
    • Nausées et problèmes pour marcher.
    • Problèmes de vue.

    2. L’embolie cérébrale

    embolie cérébrale

    L’embolie cérébrale est un autre type de problème vasculaire cérébral d’origine ischémique. Mais si dans le cas précédent nous avions un « thrombus », l’origine se trouve dans une « embolie ».

    Pour mieux comprendre : un thrombus est une coagulation de sang qui se forme dans la paroi d’une artère importante et qui obstrue la circulation.

    L’embolie, se produit à cause d’une coagulation, c’est-à-dire qu’un morceau d’artère se détache et arrive au cerveau.

    Toutefois, à la différence de la thrombose cérébrale, cette embolie est ensuite à l’origine de l’obstruction en elle-même – normalement dans le cœur -.

    Quant à la symptomatologie, nous pouvons dire qu’elle est très similaire à la thrombose : engourdissement d’un côté du corps, difficulté à s’exprimer et à communiquer…

    Mais si l’on s’occupe d’un patient atteint d’embolie rapidement, il peut recevoir un médicament appelé « tPA » capable de dissoudre ces embolies. L’espérance de vie s’améliore donc notablement.

    3. Hémorragie cérébrale ou intracérébrale

    Nous avons parlé des deux maladies cérébrales d’origine ischémique les plus communes. Nous nous arrêtons désormais sur ces problèmes dont les éléments déclencheurs sont dus à une hémorragie.

    Les anévrismes sont les plus fréquents. Dans ce cas, nous sommes face à une dilatation anormale d’une zone fragile d’un vaisseau sanguin dans le cerveau.

    • Au moment ou un anévrisme se rompt, l’hémorragie cérébrale apparaît.
    • Malgré l’impact que peut avoir un anévrisme, il faut dire que les accidents vasculaires cérébrales sont toujours les plus nocifs, ceux qui laissent le plus de séquelles et ceux qui prennent le plus de vie chaque année.

    De la même manière, il faut dire que le plus gros problème d’un anévrisme c’est qu’il n’a pas de symptômes excessifs.

    Certaines personnes peuvent souffrir d’une dilatation dans certains vaisseaux sanguins du cerveau pendant des années et ne rien remarquer jusqu’à ce qu’à un moment donné, et à cause de la pression, il se rompt.

    4. Hémorragie méningée

    hémorragie méningée

    Les hémorragies méningées se produisent bien souvent à cause d’une pression artérielle non contrôlée : c’est une information que nous ne pouvons pas négliger.

    Dans ce cas nous avons également la rupture d’un vaisseau sanguin, bien que pour ce type de problème ils se situent toujours à la surface du cerveau.

    L’épanchement se situe sur l’espace existant entre le cerveau et le crâne, l’espace sous-arachnoïdien, sans arriver à s’introduire dans le cerveau.

    L’espérance de vie après avoir souffert de ce type d’hémorragie dépend toujours de la rapidité de l’attention médicale. Aussi est-il vital que nous sachions en reconnaître les symptômes :

    • Problèmes de concentration
    • Gêne sur les yeux avec une lumière brillante
    • Irritabilité, mauvaise humeur, changements de personnalité
    • Douleur dans le cou et les épaules
    • Vomissements, nausées
    • Convulsions

    Le symptôme le plus évident est sans aucun doute lié à la vision : nous pouvons perdre la vue pendant quelques minutes, voir des lumières intenses ou des phénomènes optiques.

    Face à n’importe quel problème ou petite anomalie, il ne faut pas douter : il est nécessaire de consulter immédiatement un professionnel de santé.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 symptômes communs du cancer que la majorité des gens ignore

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Bien qu’ils n’indiquent en général pas de danger, certains problèmes et symptômes communs requièrent une visite chez un-e spécialiste, car ils pourraient être les indicateurs précoces du cancer.

    Le cancer est une maladie grave qui peut toutefois être guérie, tant que le diagnostic est établi à temps.

    C’est pourquoi, la prévention et le fait d’être à l’écoute de notre corps est fondamental pour savoir s’il nous parle. Ce n’est que de cette manière que nous éviterons le diagnostic d’un cancer à un stade trop avancé.

    Par exemple, il existe une série de symptômes que nous ignorons souvent ou que nous mettons en lien avec des problèmes mineurs.

    Prenez-en note et ne les oubliez pas. Rappelez-vous que le plus important dans ces cas-là est la prévention.

    Si vous savez les écouter, ils deviendront une manière d’éviter un problème beaucoup plus grand.

    Toux ou enrouement continu

    Si vous avez de la toux ou que vous êtes continuellement enroué, peut-être que vous l’associez à un rhume mal guéri mais vous devez faire très attention car il peut y avoir quelque chose de très grave derrière cela.

    • Si vous avez de la toux ou que vous êtes enroué depuis longtemps, le mieux serait d’aller consulter un médecin.
    • Et même si le plus normal c’est que ce ne soit rien, c’est l’un des symptômes du cancer de la gorge, du larynx et du poumon.
    • Aussi, que vous soyez fumeur ou non, si vous remarquez ce symptôme et qu’il persiste, consultez un spécialiste.

    Fatigue et fatigue chronique

    homme pensif

    La fatigue et la fatigue chronique peuvent être un symptôme d’un déficit en fer et peut aller au-delà et se révéler être un problème plus grave.

    Si vous souffrez de fatigue extrême constante et latente, cela peut être un symptôme de cancer, alors n’hésitez plus et consultez immédiatement un-e spécialiste.

    Car la fatigue extrême est l’un des symptômes de leucémie, le cancer du sang.

    Saignement en dehors de vos menstruations

    Si vous remarquez un saignement qui ne correspond pas à votre menstruation, consultez immédiatement votre spécialiste.

    C’est l’un des autres symptômes qui indiquent que vous pourriez souffrir d’un cancer, en l’occurrence du col de l’utérus. S’il provient du rectum, il pourrait s’agir du cancer du colon.

    Altérations et taches sur la peau

    taches sur la peau

    Nous avons tous des grains de beauté. Mais si vous voyez que des nouveaux apparaissent ou que ceux que vous avez changent de forme, de taille ou de couleur, consultez votre dermatologue.

    Il pourra ainsi vous observer et écarter un possible cancer de la peau.

    Changements dans les habitudes de la vessie

    Et si ce symptôme persiste, il peut être le signe d’un cancer de la vessie ou du rein. N’importe quelle altération dans vos habitudes urinaires pourrait indiquer que quelque chose va mal.

    Ce saignement apparaît en général à cause des tumeurs qui sont associées à l’appareil urinaire et c’est un symptôme qui ne laisse que peu de place au doute.

    Maintenant que vous le savez, si vous souffrez de ce problème, consultez votre médecin le plus rapidement possible.

    Apparition d’une grosseur

    douleurs dans les seins

    Parfois des petites grosseurs apparaissent sur le corps et peuvent être confondus avec des petits boutons ou autres. Toutefois, il faut rester très attentifs pour savoir de quoi il s’agit réellement.

    Les types de cancer que l’on peut palper à travers la peau sont nombreux :

    • Seins
    • Testicules
    • Ganglions lymphatiques (glandes)
    • Ceux qui apparaissent dans des tissus mous du corps.

    L’irruption d’une grosseur ou d’un durcissement de la peau peuvent également être les signes précoces ou tardifs d’un cancer. Il pourrait s’agir d’un kyste bénin ou d’un changement cancérigène dans les tissus de la peau.

    Le mieux serait de consulter votre médecin pour qu’il en analyse un échantillon.

    Perte de poids sans raison apparente

    Si vous souffrez d’une perte de poids de 7 kg ou plus sans raison apparente, cela peut être le premier signe d’un cancer. C’est en général caractéristique des cancers du pancréas, de l’estomac, de l’œsophage ou du poumon.

    Douleur pelvienne

    douleur pelvienne

    La douleur pelvienne est très gênante et s’accompagne en général d’une inflammation. Bien qu’il s’agit d’un symptôme que nous pouvons trouver dans de nombreuses maladies, il peut également indiquer un cancer, alors faites-y attention.

    Et il est possible que vous ressentiez cette douleur à cause d’un kyste ovarien ou d’un autre type de cancer lié à l’appareil reproducteur féminin. Consultez rapidement votre médecin en cas de doute.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 exercices qui aident à soulager la douleur de genou

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    La sédentarité et l'obésité peuvent être les principales causes de douleurs de genoux. C'est pour cela qu'il est fondamental de rester actif pour éviter les problèmes.
     
    soulager la douleur de genou

    Les douleurs de genoux sont très communes, aussi bien chez les enfants que chez les personnes à âgées. 

    Il existe une infinité de causes qui peuvent provoquer ce mal être, telles que :

    • L’obésité
    • Les lésions musculaires
    • Les chutes
    • L’ostéoporose
    • Le vieillissement

    La douleur est provoquée par l’usure du cartilage qui recouvre les articulations superficielles du genou. Souvent, la gêne devient si intense qu’elle provoque des problèmes de mobilité.

    Comment soulager la douleur de genou ?

    Le plus recommandé est de consulter un spécialiste, que ce soit un médecin généraliste ou directement un traumatologue pour qu’il analyse la situation et la cause de la douleur.

    Une fois qu’iel aura détecté le problème, iel fera les examens pertinents pour le résorber.

    D’autre part, les douleurs de genoux peuvent être dues à la sédentarité, au fait de passer trop de temps debout ou à l’activité brusque.

    Ce mal être peut se résoudre avec un analgésique pour soulager la douleur.

    Si la douleur est constante, le mieux est de suivre une routine quotidienne qui vous permette de rester en mouvement pour ainsi soulager petit à petit le mal être provoqué par divers problèmes au niveau des genoux.

    Exercices qui aident à soulager les genoux

    Soulager la douleur de genou

    L’exercice est la meilleure manière de conserver ses genoux en bonne santé. Il soulage la douleur et permet de conserver de l’élasticité, aussi bien du cartilage que du muscle.

    En soi, on utilise ces routines pour maintenir le cartilage en mouvement et ainsi donner de la force aux muscles pour éviter les lésions ou l’usure future.

    Si la douleur des genoux est due à une pathologie, il est très probable que votre médecin vous conseille un programme d’exercices en accord avec vos besoins.

    Que ce soit une maladie ou pas, l’important est de résoudre le problème. Pour ce faire, voici 5 exercices efficaces qui luttent contre les douleurs des genoux.

    1. La planche

    Voici une manière très simple de renforcer les genoux mais également les quadriceps.

    • Allongez-vous dans un lieu confortable, sur votre lit ou sur un tapis de sol pour yoga, et levez les jambes.
    • Il est impératif de ne pas plier les jambes. Gardez-les tendues et avec les genoux droits.
    • Il est conseillé de faire cet exercice 3 ou 4 fois d’affilée, avec des intervalles de repos.

    Il est très conseillé pour les personnes qui ont des lésions de genoux, que ce soit à cause du sport ou d’une chute.

    Même si la constance est importante, ne vous épuisez pas en les répétant, car cela pourrait entraîner des maux de dos.

    2. La chaise

    Soulager la douleur de genou

    • Appuyez votre dos contre le mur et écartez-en les pieds.
    • Dans cette position, descendez très lentement jusqu’à ce que vous soyez en position assise, comme si vous étiez sur une chaise.
    • Maintenez cette position pendant 10 ou 15 secondes. Puis, revenez lentement à la position initiale et recommencez.
    • Faites 5 sessions, de 10 répétitions chacune, chaque jour.
    • Si vous suivez ce programme, vous permettrez à vos genoux de retrouver leur flexibilité et leur force.

    3. Les genoux pliés

    • Allongez-vous sur le dos et étirez une jambe tout en gardant l’autre pliée avec le pied posé sur le sol.
    • Levez la jambe tendue et gardez la position pendant 10 secondes.
    • Baissez cette jambe, pliez-la et faites la même chose avec celle qui était pliée précédemment.
    • C’est un exercice un peu fatiguant au niveau abdominal et nous vous recommandons de trouver la position la plus confortable et ne pas faire cet exercice directement sur le sol.
    • Souvenez-vous de réaliser ces exercices avec douceur et sans forcer. Faites-le jusqu’où vous pouvez lever la jambe.

    4. L’extension de jambe

    Soulager la douleur de genoux

    • Vous pouvez vous asseoir ou directement vous allonger sur le sol.
    • Levez la jambe, droite, de 20 centimètres au-dessus du sol.
    • Gardez la position pendant au moins 10 secondes et baissez-la tout en pliant le genou.
    • Faites cet exercice 10 fois pour chaque jambe.

    5. Marcher

    Pour finir, et ce n’est pas moins important, vous pouvez marcher.

    • Marchez pendant 30 ou 40 minutes avec des vêtements confortables, sans accessoires qui vous gênent.
    • Investissez dans de bonnes chaussures de sport, qui vous apportent le confort et le support dont vous avez besoin.

    Marcher, ce n’est pas trotter et encore moins courir, mais ce n’est pas non plus une promenade. Marchez d’un pas ferme et constant tous les jours.

    Cet exercice, en plus de vous aider dans vos problèmes de genoux, aide tout votre corps en général à rester en bonne santé et dans de bonnes conditions.

    Souvenez-vous que le mouvement constant est la seule chose qui améliorera notablement l’état de vos genoux. Consultez votre médecin et débutez votre programme d’exercices dès maintenant.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les risques des antibiotiques

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    La consommation d'antibiotiques, notamment lorsqu'elle n'est pas contrôlée, peut être extrêmement préjudiciable. Les antibiotiques ne sont efficaces que contre les maladies bactériennes et ne peuvent absolument rien contre les virus.
     
     
    Au fur et à mesure de notre existence, nous souffrons de diverses affections, comme des rhumes, des maux de gorge ou des infections que nous traitons, la plupart du temps, avec des antibiotiques.

    Lorsque nous nous rendons malades chez le médecin, nous espérons qu’il va nous prescrire ce type de médicaments. Pour autant, ils ne constituent pas forcément la meilleure option qui s’offre à nous.

    Dans la suite de cet article, nous allons vous parler des risques des antibiotiques.

    Le fonctionnement des antibiotiques

    risque des antibiotiques

    Ces médicaments ont commencé à être produits et utilisés dans les années 1940. Ils sont l’aboutissement, à l’époque, des progrès de la médecine. Cependant, si nous en abusons, ils peuvent entraîner le développement de bactéries résistantes.

    Il ne faut pas oublier non plus que, parmi les risques des antibiotiques, on retrouve certains effets secondaires indésirables. Par exemple, si nos enfants consomment des antibiotiques, ils peuvent expérimenter des réactions désagréables, comme des maux d’estomac ou des diarrhées. Les antibiotiques peuvent aussi provoquer des allergies.

    Virus et bactéries

    Il y a deux types de germes qui peuvent affecter notre santé : les bactéries et les virus. Ces deux éléments causent des symptômes similaires et leur manière de se multiplier, de se propager dans le corps humain, sont également très proches.

    • Les bactéries sont des micro-organismes vivants qui se développent comme des cellules normales, de manière indépendante.

    Elles sont présentes dans tous les lieux que nous fréquentons au quotidien ou dans tous les aliments que nous ingérons, mais elles ne sont pas forcément mauvaises pour notre organisme. Les lactobacillus, par exemple, vivent dans nos intestins et nous permettent de mieux digérer les aliments que nous ingérons.

    Dans d’autres cas, les bactéries sont si nocives qu’elles peuvent provoquer des maladies en envahissant le corps humain. Elles ont la faculté de perturber le fonctionnement de nos organes.

    Lorsque cela se produit, les antibiotiques peuvent être extrêmement efficaces, car ils empêchent les micro-organismes présents de croître et de se développer

    • Les virus ne sont pas vivants et ne peuvent pas exister de manière indépendante. Ce sont des particules qui contiennent un appareil génétique et qui sont recouvertes par une enveloppe.

    Leur développement et leur reproduction se produisent uniquement à travers les cellules vivantes des organismes que les virus tentent de coloniser.

    Notre système immunitaire peut combattre certaines virus afin qu’ils n’affectent pas le fonctionnement de l’organisme. Pour combattre les virus, les antibiotiques, pris seuls, sont inefficaces. 

    Les risques des antibiotiques

    risque des antibiotiques

    La consommation d’antibiotiques dans les cas de rhumes ou de pathologies d’origine virale n’a strictement aucune utilité. Elle peut avoir des effets négatifs à moyen et à long terme.

    Une prise inutile d’antibiotiques peut renforcer le développement de bactéries résistantes.

    L’utilisation fréquente d’antibiotiques peut pousser certaines bactéries à muter et à s’adapter à leur nouvel environnement, ce qui va rendre les antibiotiques totalement obsolètes pour les éliminer.

    Ce phénomène s’appelle la résistance bactérienne, ou résistance aux antibiotiques. Lorsque cela se produit, les médecins ont tendance à augmenter les doses d’antibiotiques prescrites ou à prescrire des antibiotiques plus forts, pour éliminer les bactéries résistantes.

    En plus de la résistance bactérienne, une prise non contrôlée d’antibiotiques peut entraîner d’autres problèmes.

    • Les antibiotiques peuvent éliminer de nombreuses bactéries différentes, mauvaises comme bonnes, dont celles qui sont nécessaires au fonctionnement optimal de notre organisme.
    • Une prise d’antibiotiques déraisonnable peut provoquer des diarrhées importantes, car la personne touchée ne bénéficie plus des bactéries bénéfiques qui lui permettent de bien digérer les aliments.

    Mieux vaut donc chercher des substituts à ces médicaments.

    Plus nous utilisons des antibiotiques pour traiter des pathologies bénignes comme un rhume, une grippe ou d’autres infections virales, plus ils seront inutiles pour lutter contre les bactéries qu’ils sont censés éliminer.

    Si vous adoptez ces mauvais comportements, vous allez vous rendre chez le médecin bien plus souvent pour qu’il puisse trouver un traitement en mesure de vous soigner.

    Quand devez-vous consommer des antibiotiques ?

    risques des antibiotiques

    • Vous ne devez consommer des antibiotiques que pour lutter contre des infections bactériennes.
    • Si vous souffrez d’infections légères, provoquées notamment par des virus, vous devez vous tourner vers d’autres médicaments.

    De cette manière, vous allez pouvoir prévenir le développement de germes résistants aux antibiotiques. Bien évidemment, la décision finale revient toujours à votre médecin, seul capable de vous fournir un diagnostic précis de ce dont vous souffrez.

    Certains antibiotiques naturels peuvent être particulièrement intéressants, par exemple.

    • Posez des questions et demandez conseil. Ne vous contentez pas de vous rendre chez le médecin et de suivre le traitement qu’il vous prescrit.

    N’oubliez pas de demander à un professionnel de santé si la pathologie dont vous souffrez, ou dont souffre votre enfant, est d’origine bactérienne ou virale.

    Vous ne devez jamais demander à ce que votre médecin vous prescrive des antibiotiques face à n’importe quelle maladie. Il est le seul à savoir ce qui est bon pour vous au niveau médical.

    Les résidus d’antibiotiques

    Nous vous conseillons de ne pas utiliser les restes d’antibiotiques que vous pourriez avoir chez vous, ni de consommer les médicaments qui ont été prescrits à une autre personne.

    Vous devez vous débarrasser des antibiotiques que vous n’avez pas consommé et cesser votre traitement dès que vous avez guéri totalement de votre pathologie.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 14 raisons pour lesquelles vous avez les gencives qui saignent

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le saignement des gencives peut être dû à des problèmes ponctuels. Mais si cela se répète souvent, vous devez consulter rapidement un dentiste, afin qu'il vous donne un diagnostic adéquat.
     
    gencives sensibles gencives qui saignent
    Vous vous êtes rendu compte récemment que vos gencives saignaient quand vous vous brossiez les dents ? C’est un phénomène extrêmement commun et fréquent. Si vous n’êtes pas encore touché par ce problème, sachez qu’il peut apparaître à n’importe quel moment de l’existence.

    Les raisons pour lesquelles les gencives peuvent saigner sont relativement nombreuses, mais elles sont généralement liées à un manque d’hygiène buccale.

    Notre bouche est la porte d’entrée de nombreux germes et bactéries, voilà pourquoi il est recommandé de :

    • Changer périodiquement de brosse à dents.
    • Utiliser du fil dentaire pour éliminer les résidus qui restent coincés entre les dents.
    • Consulter au moins deux fois par an un dentiste.

    Même si cela peut paraître parfaitement bénin, avoir les gencives qui saignent n’est pas anodin.

    Si vous remarquez que vous saignez en croquant des aliments ou en vous brossant les dents, ne prenez pas le problème par-dessus la jambe et faites attention à votre santé.

    C’est généralement lorsqu’elles ne sont pas saines que les gencives saignent. Il est probable que ce symptôme vous révèle quelque chose de bien plus grave qu’une simple fragilité. Si vous n’intervenez pas rapidement, vous courez le risque de perdre plusieurs dents.

    Découvrez, dans la suite de cet article, les raisons potentielles pour lesquelles vous avez les gencives qui saignent.

    1. La gingivite

    La gingivite est l’une des principales causes des saignements des gencives et certainement la plus fréquente. Elle se caractérise par une fragilisation et une inflammation des gencives, causées par une accumulation de plaque dentaire d’origine bactérienne.

    • Le remède le plus efficace face à ce problème est d’améliorer votre hygiène buccale.

    2. Une carence en vitamine K

    Une carence en vitamine K peut provoquer des saignements au niveau des gencives. Cette vitamine est fondamentale pour le fonctionnement correct des protéines qui interviennent dans le processus de coagulation du sang.

    3. Le tabagisme

    fumer gencives qui saignent

    Une consommation excessive de tabac est extrêmement nocive pour les dents et peut parasiter les effets des différents traitements buccaux qui peuvent être prescrits par un dentiste.

    • Si vous fumez, il est probable que vos gencives saignent lorsque vous consommez des aliments durs ou lorsque vous vous brossez les dents.  

    Si ce problème est présent dans votre quotidien, vous devez le prendre en considération immédiatement car il est annonciateur de désordres futurs.

    4. L’âge

    Ce facteur compte malheureusement parmi ceux qui sont relativement inévitables. Plus nous vieillissons, plus notre corps se fragilise et plus nous risquons de souffrir de gencives qui saignent.

    5. Le diabète

    diabète gencives qui saignent

    Si vous souffrez de diabète, il est normal que vos gencives saignent, tout du moins dans une certaine mesure.

    Généralement, les saignements se produisent lorsque vous vous brossez les dents de manière énergique ou avec une brosse à poils durs.

    • Brossez-vous délicatement les dents et utilisez une brosse à poils doux. Si vous avez des doutes sur l’origine de vos saignements, consultez votre dentiste.

    6. Une mauvaise alimentation

    Le manque de nutriments nécessaires au fonctionnement de notre corps, comme l’absence de vitamines importantes comme les vitamines A, B et Cpeut provoquer une fragilisation des gencives et, en conséquence, leur saignement.

    Il est important que vous vous assuriez d’inclure dans votre régime alimentaire des aliments variés et sains. Si vous pensez que votre alimentation n’est pas correcte, c’est le moment d’y inclure plus de fruits et de légumes.

    7. Les médicaments

    médicaments gencives qui saignent

    Certains traitements médicamenteux peuvent provoquer des saignements de gencives chez les patients qui y sont astreints.

    Cela est dû à des bactéries qui ont tendance à proliférer à cause de la diminution de la salivation, provoquée par la prise de certains médicaments.

    • Si vous remarquez que vos gencives saignent régulièrement et que vous venez tout juste de débuter un traitement médicamenteux, demandez à votre dentiste si ces deux phénomènes peuvent être liés.
    • Si votre dentiste confirme cette théorie, vous pouvez demander à votre médecin de changer de molécule ou de réguler les doses prescrites.

    8. Le stress

    Même si cela peut paraître incroyable, le stress peut provoquer une fragilisation des gencives et des tissus buccaux, favorisant ainsi leur saignement, à cause d’une diminution des défenses naturelles.

    L’idéal est de trouver des méthodes pour vous relaxer quand vous sentez que vous atteignez les limites du supportable.

    9. La perte de plusieurs dents

    Si vous avez récemment perdu des dents, vous ne pouvez pas croquer et mâcher de manière convenable. Cela provoque une friction anormale entre les aliments et les gencives, ce qui peut entraîner des saignements.

    Si vous êtes dans cette situation, consultez votre dentiste afin de vous faire poser de nouvelles dents.

    10. Un affaiblissement des défenses naturelles

    affaiblissement des défenses naturelles gencives qui saignent

    Notre corps est attaqué par de nombreuses maladies et peut y succomber lorsqu’il ne parvient pas à se protéger correctement.

    • Certains problèmes de santé, comme l’anémie, peuvent provoquer des saignements de gencives, à cause de la prolifération libre de certaines bactéries.

    11. Une certaine négligence

    Si vous ne vous rendez pas régulièrement chez le dentiste pour vérifier que tout va bien, les éventuels problèmes dont vous souffrez ne peuvent être pris à temps.

    • Consulter un dentiste pour éliminer la plaque dentaire bactérienne qui s’accumule sur vos dents est extrêmement important pour votre santé.

    12. Des infections buccales

    Gardez à l’esprit que votre salive est une source de transmission de bactéries. Faites attention à qui vous embrassez, par exemple, pour éviter de souffrir de problèmes bactériologiques, qui peuvent entraîner des inflammations et des affections des gencives.

    13. La grossesse

    grossesse gencives qui saignent

    La grossesse est l’une des raisons probables pour laquelle vos gencives peuvent saigner. Même si votre grossesse se passe bien, elle entraîne fatalement des changements dans le fonctionnement de votre corps. Votre médecin est le seul à pouvoir vous expliquer les mesures à prendre pour éviter ce phénomène.

    14. Des traitements buccaux

    Vous avez récemment subi un traitement dentaire et vos gencives commencent à saigner ? C’est un phénomène fréquent, notamment si vous venez de vous faire poser des prothèses dentaires et qu’elles ne sont pas bien ajustées à votre dentition.

    Consultez rapidement votre dentiste pour qu’il corrige son travail ou demandez un second avis.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 3 conseils pour soulager les crampes qui vous affligent

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    La pratique d'étirements est généralement très efficace pour soulager et prévenir les crampes. Les massages peuvent aussi nous aider à les contrôler et à améliorer cet état.
     
     

    Tout le monde, à un moment de sa vie, a souffert de crampes, bien avant de connaître leur signification.

    Le picotement, l’inconfort et la douleur sont les symptômes habituels des crampes. D’autre part, elles peuvent affecter n’importe quelle partie de notre corps.

    Les «coupables», pour ainsi dire, sont les muscles, car c’est là où tout se produit.

    Toutefois, certaines personnes sont plus susceptibles d’être affectées par ces problèmes que d’autres.

    Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, nous vous invitons à lire cet article.

    Les crampes

    soulager les crampes,ces muscles volontaires et involontaires

    Ce sont des contractions musculaires involontaires. Il est important de préciser qu’il existe deux principaux types de muscles (volontaires et involontaires).

    • Les muscles volontaires : comme leur nom l’indique, sont ceux qui sont déclenchés par la volonté de l’être humain. C’est le cas de ceux qui appartiennent aux extrémités.
    • Les muscles involontaires : sont le contraire des précédents. Dans ce cas, nous ne pouvons pas contrôler leurs mouvements même si nous le souhaitons.

    Malgré le fait de ne pas répondre à nos ordres, ces muscles contribuent à la fonction vitale de l’organisme. Un exemple clair est le cœur, qui fonctionne automatiquement tout seul.

    Pour poursuivre avec le cas des crampes, en dépit de ce que l’on pourrait imaginer, elles ne font pas parties des muscles involontaires.

    D’ailleurs, dans la plupart des cas, les crampes surviennent dans des segments musculaires contrôlés volontairement.

    La durée des crampes est peu variable et elles ne durent jamais plus de 15 minutes.

    Il convient de noter que, même si elles sont exclusives des muscles volontaires,  parfois elles proviennent également des muscles involontaires.

    Ainsi, elles peuvent se produire dans des organes internes tels que les intestins et dans l’arbre bronquial.

    Qu’est ce qui provoque les crampes ?

    Certains facteurs sont souvent considérés comme principaux dans l’apparition de crampes. À cause d’eux, le muscle se contracte excessivement dans les cas suivants :

    • Activité physique excessive ou vigoureuse
    • Lésions musculaires ou osseuses
    • Déshydratation
    • Déficit de potassium, de magnésium et de calcium.

    Conseils pour soulager les crampes

    L’apparition de cette contraction involontaire gênante peut être évitée.

    Pour cela, l’idéal est de garder notre corps dans un état d’hydratation adéquat, en plus de ne pas réaliser des efforts exagérés.

    Cependant, s’ils ne peuvent pas être évités, il est préférable d’essayer de les traiter d’une manière ou d’une autre. Dans ce but, nous allons vous donner d’excellents conseils pour y parvenir.

    1. Les massages à l’huile

    soulager les crampes avec des massages à l'huile

    La crampe est associée à un certain refroidissement dans la zone du muscle, en raison de la faible irrigation sanguine de celui-ci. Le but est donc de promouvoir une sorte d’échauffement pour atténuer la douleur et la contraction.

    Que devons-nous faire?

    • L’utilisation d’un peu d’huile et son application manuelle peut aider à réduire les douleurs provoquées par les crampes.
    • Nous effectuerons un massage dans le sens contraire à celle de la douleur, et exerceront une légère pression en réalisant des mouvements circulaires.

    Peu à peu, le muscle se rétablira et l’inconfort disparaîtra.

    2. Les étirements

    Malgré le fait d’être un ancien remède scolaire pour le traitement des crampes, les résultats de cette technique sont excellents pour ceux qui souffrent de ces contractions involontaires et inconfortables.

    La plupart d’entre elles se manifestent généralement dans les extrémités, et les parties inférieures sont les plus affectées. Ainsi, on peut souffrir de crampes dans : les pieds, les jambes ou les cuisses.

    Que devons-nous faire?

    • Suivant ce que nous avons indiqué, l’idéal est d’effectuer un étirement selon le muscle affecté.
    • Se faire aider par une tierce personne tend à faciliter les choses, car vous pouvez vous blesser en réalisant des étirements.
    • Pour ce faire, il est conseillé d’expliquer à l’autre personne ce que vous ressentez et le lieu spécifique affecté. Cela facilitera sans aucun doute, le processus de rétablissement.

    3. Les massages au romarin

    soulager les crampes avec des massages au romarin

    Nous connaissons désormais tous les avantages des massages en ce qui concerne les crampes. Cependant, l’huile joue un rôle clé dans le réchauffement de la zone  affectée.

    Cet ingrédient possède de grandes propriétés, entre autres, circulatoires et anti-inflammatoires, et est parfait pour combattre les effets produits par les crampes.

    Que devons-nous faire?

    Le massage doit être effectué de la même manière qu’avec l’huile : avec force, en réalisant des mouvements circulaires et dans la direction opposée à l’endroit où la douleur est perçue.

    Vous pouvez vous procurez l’huile de romarin dans n’importe quel magasin spécialisé.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • RECONNAÎTRE LES SYMPTÔMES DU CANCER DE LA GORGE :

    LA RÈGLE DES 1 POUR 3 QUE VOUS DEVEZ CONNAÎTRE

     

     

     

     

     

     

     

    Les médecins de l'hôpital Gustave Roussy lancent une campagne de sensibilisation pour dépister le cancer de la gorge à temps afin d'améliorer le taux de survie et révèle la règle à connaître afin de savoir si on a un risque ou pas.

    ©Adobe Stock

     

    14 750 nouveaux cas de cancer ORL sont diagnostiqués chaque année en France. Lorsqu'il est détecté à temps le taux de survie d'un cancer de la gorge est de 80 à 90%, selon un communiqué de l'hôpital Gustave Roussy. Pour augmenter les chances de survie, l'hôpital lance une campagne de sensibilisation en expliquant la règle du 1 pour 3 aux patients, comme aux professionnels afin d'alerter sur les symptômes qui doivent pousser à consulter.

    Au-delà de 3 semaines ces signes doivent alerter

    La règle est simple et "vérifiée par les plus grands experts des cancers de la tête et du cou" en Europe expliquent les auteurs du communiqué. Ils dressent une liste de symptômes. "Si le patient présente UN de ces symptômes depuis plus de TROIS semaines, il doit demander un avis médical sans tarder. Le médecin généraliste doit, dans ce cas, adresser le patient à un spécialiste des voies aéro-digestives supérieures", explique le communiqué.

    Les signes à surveiller : douleurs à la langue, ulcères de la bouche qui ne guérissent pas, tâches rouges ou blanches dans la gorge, déglutition douloureuse, grosseur dans le cou, douleurs dans la gorge, enrouement persistant, nez bouché d'un côté, écoulement de sang par le nez.

    Cancer ORL : les facteurs de risque prinicpaux

    Selon l'hôpital Gustave Roussy 85% des cancers des voies aéro-digestives supérieures sont dûs au tabac. En parallèle les "hommes qui boivent plus de trois verres d'alcool par jour, et les femmes qui boivent plus de deux verres d'alcool par jour ont significativement plus de risque d'en développer un que les autres. Si l'alimentation et le tabac sont ceux qu'on connait le plus, il existe un facteur lié à la sexualité dont on parle peu : le virus HPV qui peut se développer suite à des pratiques sexuelles bucco-génitales aurait une incidence liée aux cancers de la gorge (langue et amygdale notamment). Des facteurs professionnels sont plus rares mais également à noter.

     

    Publié par Bénédicte Demmer, journaliste santé 

     

     

     

     

     

    Source : medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 choses à savoir sur les maladies auto-immunes

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si les maladies auto-immunes sont chroniques, nous ne devons pas nous désespérer. Il y a de nombreuses choses qui peuvent nous aider à les comprendre et à améliorer notre qualité de vie.
     
    Les maladies auto-immunes sont, dans la plupart des cas, un mystère pour la science. Nous ne savons toujours pas pourquoi notre système immunitaire peut attaquer les cellules de l’organisme, jusqu’à les détruire.

    Des pathologies, comme la sclérose en plaques, la maladie de Crohn ou l’arthrite rhumatoïde en sont quelques exemples.

    Dans de nombreux cas, les prédispositions génétiques sont déterminantes dans leur apparition, même si des facteurs environnementaux peuvent également en être responsables.

    Les personnes qui vivent cette réalité au quotidien voient leur qualité de vie grandement diminuée.

    Ce sont des maladies qui sont généralement chroniques et qui affectent diverses parties de notre corps, comme le lupus érythémateux disséminé (LED).

    Dans la suite de cet article, nous allons vous expliquer 5 choses que vous devez savoir sur ces pathologies.

    Si vous en souffrez ou que vous connaissez quelqu’un dans ce cas, n’hésitez pas à les partager et à vous informer des avancées médicales dans le domaine, qui pourront vous permettre, à vous ou à votre entourage, d’améliorer votre qualité de vie.

    1. Quelles sont les causes des maladies auto-immunes ?

    Comme nous l’avons déjà précisé, la génétique joue un rôle fondamental dans leur apparition.

    De fait, nous savons aussi que les facteurs environnementaux et certains gênes favorisent la survenance de ces maladies. Pourtant, cette corrélation n’est pas présente dans 100% des cas.

    • La théorie qui prévaut en la matière est qu’il existe certains antigènes qui, lorsqu’ils sont absorbés par notre intestin, peuvent déclencher des réactions néfastes.
    • Cette théorie est basée sur la perméabilité intestinale. Une anomalie dans ces organes peut laisser la voie ouverte à ces antigènes, qui passent alors de l’intestin directement dans le sang.

    La réponse immunitaire de l’organisme va alors être totalement déréglée. Notre corps va alors percevoir les tissus de certains de nos organes comme des corps étrangers, puis va les attaquer et les détruire petit à petit.

    2. Les diagnostics de maladies auto-immunes sont en nette augmentation

    Le fait que les professionnel-le-s de santé diagnostiquent de plus en plus de maladies auto-immunes ne veut pas dire qu’il y a plus de cas dans la population mondiale.

    En effet, cette augmentation est davantage imputable aux techniques d’identification de ces pathologies, que l’on associait auparavant à de simples allergies ou à d’autres maladies.

    • De nos jours, les maladies auto-immunes sont reconnues comme un problème de santé majeur. Il est nécessaire de donner plus d’importance à la voix des patient-e-s et de leur permettre d’être mieux accompagné-e-s.
    • La science dispose de mécanismes plus avancés pour comprendre le processus immunitaire, ses défaillances et les symptômes associés aux maladies classées comme chroniques.
    • Il est désormais possible d’identifier ces maladies chez des enfants et de les traiter rapidement pour diminuer leur impact.

    3. Quels sont les grands types de maladies auto-immunes ?

    Nous pouvons diviser les maladies auto-immunes en plusieurs groupes.

    • Les maladies systémiques : elles n’affectent pas un organe en particulier, mais peuvent en attaquer plusieurs. C’est le cas de l’intolérance au gluten et de la sclérose latérale amyotrophique (ELA).
    • Les syndromes locaux : ils touchent un tissu en particulier. Elles peuvent être dermatologiques, hématologiques ou endocriniennes. On retrouve dans ce groupe la thyroïdite de Hashimoto et la colite ulcéreuse.

    Maladie de Crohn

    4. Quels sont les traitements disponibles contre les maladies auto-immunes ?

    Comme nous l’avons signalé tout au début de l’article, les maladies auto-immunes n’ont, pour la plupart, aucun traitement en l’état actuel des connaissances scientifiques. Ce sont des maladies chroniques avec lesquelles nous devons apprendre à vivre.

    Voici quelques conseils que nous pouvons vous donner pour garder votre maladie sous contrôle :

    • Soulagez vos symptômes en vous faisant prescrire le traitement adapté.
    • Prenez soin des organes touchés par votre maladie. Que ce soit votre intestin, votre foie ou votre peau, vous devez lutter pour maintenir votre intégrité et votre qualité de vie, dans la mesure du possible.
    • Essayez les traitements les plus récents. Tous les jours, les médecins font des découvertes sur ces maladies chroniques.

    5. Souvenez-vous que vous n’êtes pas seul

    vous-n-etes-pas-seul

    Vivre avec un lupus ou avec une sclérose en plaques n’est pas facile, que ce soit pour le patient ou sa famille.

    • Pour vous permettre de « survivre » à ces circonstances personnelles difficiles, il est nécessaire de traiter la maladie d’un point de vue holistique.
    • Le traitement médical est une chose, mais le soutien des autres et le volet psychosocial de la maladie ne doivent pas être négligés. Vous devez garder à l’esprit que vous n’êtes pas seul-e. Dans notre communauté, il existe forcément des associations qui seront en mesure de vous apporter tout le soutien dont vous avez besoin.
    • Les groupes de paroles et les associations font un travail formidable dans ce domaine. Ils vous aideront à mieux comprendre votre maladie.
    • Vous allez pouvoir découvrir de nouvelles perspectives. Comme nous vous le disions, des avancées sont réalisées tous les jours dans ce domaine.

    Pour conclure sur le sujet, même si les maladies auto-immunes nous obligent à avoir un style de vie différent, il est nécessaire que nous luttions tous les jours pour notre qualité de vie et notre dignité.

    La science continue à se battre tous les jours pour vaincre ces pathologies. Gardez espoir.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 signes de cancer de la vessie que l’on ne doit pas ignorer

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Bien que certains signes puissent être dus à d’autres problèmes, il est fondamental d’y prêter attention et de ne pas les ignorer afin d’obtenir un diagnostic précoce et un traitement au cas où vous souffririez d’un cancer de la vessie.

    La vessie est un organe musculaire en forme de poche dont la particularité est sa capacité à se rétrécir et à se dilater en stockant l’urine produite par les reins.

    Le cancer qui la touche survient lorsque les cellules de transition grossissent de manière démesurée dans sa membrane interne, en formant des tumeurs au sein de ses tissus.

    Dans la majorité des cas elles se développent dans l’urothelium, c’est-à-dire dans le revêtement le plus interne de cet organe.

    Une bonne détection est la clé pour éviter des conséquences tragiques car, avec le temps, elles peuvent s’étendre à d’autres zones de la vessie et à d’autres structures proches.

    Le problème, c’est que bon nombre des premiers symptômes sont mal interprétés à cause de leur lien avec d’autres problèmes et, malheureusement, cela rend le diagnostic difficile chez de nombreux patients.

    C’est pourquoi il est primordial de rester attentif face à n’importe quel signe, surtout si vous avez des facteurs à risque comme le tabagisme ou l’exposition à des substances chimiques toxiques.

    Ci-dessous nous allons vous donner ne détail les 7 symptômes principaux afin que vous n’hésitiez pas à consulter un médecin si vous en souffrez.

    Découvrez-les !

    1. Saignements dans l’urine

    les saignements dans l'urine sont un signe de cancer de la vessie

    La présence de sang dans l’urine est l’un des premiers symptômes du cancer de la vessie. Sa quantité peut varier et sa présence est, en général, irrégulière.

    • Les patients peuvent remarquer un changement de couleur dans l’urine, qui devient plutôt rose ou, plus rarement, rouge sombre.
    • Dans certains cas la couleur de l’urine est normale à la vue, mais on détecte des petites quantités de sang en réalisant des examens médicaux.
    • Le symptôme peut persister plusieurs semaines de suite, ou bien, apparaître du jour au lendemain.
    • Ce qui est sûr c’est que s’il ne s’agit pas d’une maladie, le sang réapparaitra à l’avenir.

    2. Changements dans les habitudes de miction

    Nous devons prendre en compte les changements dans les habitudes d’uriner comme un signe possible du cancer de la vessie car, même si elles surviennent en général à cause d’une infection, elles peuvent également être déterminantes pour obtenir un diagnostique rapide de ce problème.

    Il est nécessaire de consulter un médecin si :

    • Une sensation récurrente de vouloir aller aux toilettes apparaît, même quand il n’y a pas d’urine à expulser.
    • Augmentation de l’envie d’uriner pendant la nuit.
    • Faible flux d’urine.
    • Brûlures au moment d’uriner.

    3. Douleur sur un côté du dos

    les douleurs d'un côté du dos sont un signe de cancer de la vessie

    Les infections urinaires, ainsi que les calculs et le cancer, provoquent en général une douleur gênante sur l’un des côtés du dos, près de la zone lombaire.

    Bien qu’on la confonde au départ avec une douleur musculaire, sa récurrence et son intensité permettent de savoir qu’il se passe autre chose.

    Il est important d’y faire attention, surtout lorsqu’elle s’accompagne de changements notoires dans l’urine.

    4. Perte d’appétit

    De nombreux facteurs doivent être analysés lorsqu’une personne perd de l’appétit ; toutefois, il faut également savoir qu’elle peut également être due à un cancer.

    Les patients qui développent des tumeurs dans la vessie ont une sensation permanente de lourdeur qui, dans la majorité des cas, les empêche de profiter des repas comme à leur habitude.

    5. Perte de poids

    la perte de poids et un signe de cancer de la vessie

    Conséquence de la perte d’appétit et des dégâts provoqués par le cancer, les personnes touchées par ce problème commencent à perdre du poids de manière alarmante.

    Des déficits nutritionnels sévères se produisent dans l’organisme et, comme les mécanismes de défense diminuent, les cellules malignes ont davantage de possibilité de se développer.

    6. Inflammation

    La rétention d’eau ou les œdèmes sont l’un des conséquences de la réponse inflammatoire qui se produit dans l’organisme à cause de l’attaque des cellules cancéreuses.

    Dans ce cas particulier, elle est fréquente dans le ventre et les jambes, car la vessie n’arrive plus à remplir son rôle de manière optimale dans l’élimination des fluides.

    7. Sensation de fatigue et anémie

    la sensation de fatigue et l'anémie sont des signes de cancer de la vessie

    L’une des autres conséquences de la perte d’appétit à cause du cancer de la vessie est une forte sensation de fatigue, en général associée à l’anémie.

    La perte de nutriments diminue la production de globules rouges dans le sang et, comme l’oxygénation se réduit, la fatigue physique et mentale augmente.

    En conclusion, même si les symptômes mentionnés peuvent apparaître à cause de problèmes bénins ou moins agressifs, il est important de solliciter des examens médicaux pour déterminer s’ils peuvent être liés au cancer de la vessie.

    De la même manière que pour d’autres types de cancer, la détection rapide est la clé pour obtenir un traitement efficace.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Ce que la forme des pieds dit de notre personnalité

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si cela peut paraître sans importance, les différentes formes et longueurs des doigts, qu'il s'agisse des mains ou des pieds, peuvent révéler de nombreuses informations sur notre personnalité.
     
    Même si cela peut paraître sans importance, les différentes formes et longueurs des doigts, qu’il s’agisse des mains ou des pieds, peuvent révéler de nombreuses informations sur notre personnalité.
    Cela va peut-être vous surprendre, mais la forme des pieds donne de nombreuses informations à notre sujet, bien plus que nous ne pouvons le penser.

    Prenez bonne note de toutes les informations que nous allons vous donner sur la forme des pieds, et vous verrez que vous allez être surpris-e de la véracité des informations que cela peut donner sur vous.

    Cela fait de nombreuses années que nous savons que la réflexologie peut nous permettre d’apprendre de nombreuses informations sur notre personnalité.

    Imre Somogyi, président de l’association Reading Toes, nous indique que la réflexologie permet de deviner et d’identifier les caractéristiques de chaque personne.

    Les pieds grecs

    forme des pieds pieds grecs

    Pour savoir si vous avez les pieds grecs, vous devez simplement regarder vos orteils : si votre deuxième orteil, aussi appelé index, est plus grand que votre gros orteil, ou pouce, vous avez les pieds grecs.

    Les doigts restants sont généralement progressivement plus petits.

    • Si vous avez les pieds grecs, vous faites certainement partie des personnes dont la personnalité se caractérise par une grande créativité, une activité constante et une pratique sportive régulière.
    • De plus, les personnes qui ont les pieds grecs sont toujours très enthousiastes, développent sans cesse de nouvelles idées et parviennent à motiver leur entourage.

    D’un autre côté, elles sont également impulsives, peuvent être soumises à un stress excessif et commettent des erreurs à cause de leur empressement à agir.

    Les pieds carrés

    Les pieds carrés ont une forme assez étonnante, car le pouce, l’index et le troisième orteil sont à peu près de la même taille, alors que les deux orteils restants sont à peine plus petits.

    • Les personnes qui ont ce type de pieds se caractérisent par une personnalité très analytique. Elles prennent toujours le temps de réfléchir avant de prendre une décision, elles analysent les choses positives et négatives de leur entourage.
    • Elles ne sont pas du tout impulsives et ne se laissent pas influencer, car leurs décisions ont des bases très solides.

    Elles sont souvent pratiques, fiables et loyales. Vous adorerez avoir un ami avec les pieds qui ont ces caractéristiques !

    Les pieds égyptiens

    Ces pieds sont caractérisés par des orteils qui sont tous de la même taille environ, sauf le gros orteil, qui est bien plus grand et plus long.

    • Ces pieds sont caractéristiques des personnes qui placent leur vie privée et leur intimité au-dessus de tout. Elles aiment avoir un jardin secret et s’évader régulièrement de la réalité.
    • Elles sont souvent très rêveuses, rebelles et impulsives dans leur vie quotidienne. Leur état d’esprit peut changer très fréquemment.

    Les pieds ronds

    Si vous avez des pieds avec une forme assez ronde, vous devez savoir que cela dit de vous que vous êtes une personne bien éduquée, docile et qui a souvent peur d’exprimer ses propres opinions.

    A l’inverse, si vos pieds sont bien carrés, vous êtes une personne qui sait se défendre et qui ne se laisse pas faire par les autres.

    Les pieds allongés

    Les pieds allongés, aux orteils fins et aux talons étroits, appartiennent souvent à des personnes qui aiment réfléchir et qui apprécient les choses exclusives.

    Ces personnes, selon la réflexologie, ont souvent tendance à souffrir de certaines pathologies, comme les gaz, l’anxiété ou le stress.

    Les pieds larges

    Les personnes qui ont les pieds larges, aux orteils courts, sont des personnes qui sont souvent très matérialistes.

    La réflexologie nous indique qu’elles sont très enclines à souffrir de pathologies cardiovasculaires ou d’une mauvaise circulation du sang.

    Les mains sont aussi importantes

    forme des pieds et des mains

    Lorsque nous parlons de ce que peuvent dire de nous nos extrémités, nous ne devons pas oublier que nos mains sont également porteuses d’informations révélatrices sur notre personnalité. Il est possible de la deviner rien qu’en regardant attentivement nos mains.

    Selon une étude menée en 2011, la largeur de notre annulaire est fonction de la quantité d’hormones sexuelles, œstrogène et testostérone, à laquelle nous avons été exposés lorsque nous étions dans le ventre de notre mère.

    De plus, il semble que la plupart disposent d’un doigt annulaire plus large que leur index. Chez les femmes, on peut souvent observer le phénomène inverse.

    Il apparaît donc clairement qu’il est possible de deviner la personnalité d’une personne rien qu’en regardant la forme de ses mains et de ses pieds.

    Cependant, nous devons nous concentrer pour pouvoir analyser finement la personnalité des autres.

    A force de pratique, nous allons pouvoir deviner en un clin d’œil la personnalité de nos interlocuteurs, en observant finement leurs extrémités.

     

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  • Que dit la couleur de votre urine sur votre santé

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Bien qu’elle varie souvent du jaune au transparent selon le degré d’hydratation, la couleur de notre urine peut également nous indiquer différentes carences ou la présence de certaines altération.

    La couleur de notre urine peut être très éloquente si ce que nous cherchons c’est améliorer notre état de santé.

    De plus, nous pouvons désormais savoir en fonction de la couleur de l’urine notre état de santé grâce au travail mené à bien par une équipe de chercheurs de la clinique Cleveland, dans l’Ohio (Etats-Unis).

    Il s’agit d’un infogramme qui aide à visualiser clairement les couleurs que peut avoir l’urine et ce qu’elle indique sur notre santé suivant sa couleur.

    Parmi les couleurs qu’ils ont relevé, nous pouvons observer des nuances allant du transparent, en passant par les jaunes translucides et claires, jusqu’aux tons plus sombres.

    De plus il faut tenir compte du fait qu’elle peut présenter des nuances rosées à rouges, oranges, vertes voire violettes, et la signification variera en fonction de la couleur, comme nous vous le disions.

    différentes couleurs de l'urine

    Urine incolore ou transparente

    Si vous avez cette couleur d’urine cela peut être dû au fait que vous buviez trop d’eau et que vous devriez peut-être contrôler ce que vous buvez.

    Urine jaune

    Il existe différentes nuances qui peuvent indiquer des aspects très différents :

    • Jaune pâle : cela signifie que vous êtes normal et que vous êtes parfaitement hydraté, c’est la nuance la plus recommandée.
    • Jaune sombre : votre corps est normal, mais buvez plus d’eau.
    • Ambre ou miel : votre corps ne reçoit pas l’eau dont il a besoin, vous devez donc boire plus d’eau.
    • Sirop ou bière noire : si votre urine est de cette couleur cela signifie que vous pourriez souffrir d’une maladie hépatique, ou d’un sévère cas de déshydratation. Buvez plus d’eau et si la couleur persiste, consultez votre médecin.

    flacon d'urine

    Urine rouge

    Si vous avez mangé des betteraves ou des cranberries dernièrement, il est normal que votre urine acquiert des tons rougeâtres. Si vous n’avez pas mangé ces aliments, vous avez du sang dans les urines.

    Cela peut ne pas être grave, ou peut impliquer de graves problèmes comme des maladies rénales, des tumeurs, des infections, etc. Dans tous les cas, il est fortement recommandé d’aller consulter votre médecin.

    Urine couleur orange

    L’urine de couleur orange peut être due à plusieurs causes que nous ne devons pas ignorer :

    • Un manque d’hydratation.
    • Le symptôme que vous n’avez pas l’alimentation adaptée.
    • Présence d’un certain type de maladie hépatique.

    flacon d'urine

    Urine couleur bleue ou verte

    Si votre urine est de cette couleur, vous devez aller consulter votre médecin, même si ce n’est qu’en prévention.

    • La couleur verte ou bleutée de l’urine peut être due à une condition génétique peu commune (hypercalcémie), à la consommation d’aliments ou à l’effet de certains médicaments.

    Urine effervescente ou présentant de la mousse

    Si c’est occasionnel, il n’y a aucun problème. Si cela persiste, cela peut signifier un excès de protéine dans votre alimentation, ou une maladie rénale.

    Comme dans les cas précédents, il vaut mieux aller consulter un spécialiste.

    Urine violette

    Bien que selon les spécialistes de la clinique Cleveland il n’existe aucune urine de cette couleur, certaines études affirment que cela peut arriver après la cathétérisation de patients, en général des femmes avec des problèmes rénaux.

    Toutefois, il est extrêmement rare que l’urine acquière une nuance violette.

    Urine blanche

    Si l’urine comporte certaines particules blanchâtres cela signifie la présence d’une infection bactérienne.

    L’urine de l’homme peut également avoir une couleur blanchâtre après le sexe. Cela arrive surtout chez les hommes âgés.

    Les cas dans lesquels vous devez aller consulter un médecin immédiatement

    Si vous présentez certains de ces cas, il vaut mieux aller consulter votre médecin le plus rapidement possible :

    • Si vous observez une couleur anormale de l’urine sans explication et qu’elle ne disparaît pas.
    • Au cas où vous observeriez du sang dans l’urine. Même si ce n’est qu’une fois, cela est suffisant pour prendre contact avec un spécialiste.
    • Si vous avez une urine marron sombre ou de couleur rosée, rouge ou marron clair qui n’est pas due à un aliment ni à un médicament.
    • Si vous voyez que votre urine a en plus une texture très épaisse ou « qui fait des bulles ». Cela pourrait signifier un problème dans les reins.

    De la même manière, si vous observez des odeurs très fortes pendant une longue période, il est également recommandé d’aller rapidement consulter un spécialiste.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Causes des douleurs lombaires chroniques

    et solutions pour y remédier

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si nous les associons souvent à une mauvaise posture, les douleurs lombaires peuvent apparaître pour d'autres raisons, dont il faut tenir compte pour y apporter une solution avant qu'elles n'empirent.
     

    Les douleurs chroniques des lombaires sont fréquentes aussi bien chez les hommes que chez les femmes, et elles touchent tous les âges, même les plus jeunes.

    Ce problème nuit à leur qualité de vie car il conditionne nombre des activités de leur quotidien.

    Découvrez dans cet article quelles sont les différentes causes de la douleur chronique des lombaires, ainsi que les traitements et les remèdes naturels qui traitent chaque cas.

    Où se situent les lombaires ?

    Le lombaire est la partie la plus basse du dos, qui comprend la frange qui va des dorsales jusqu’à la base de la colonne ou du sacrum. Cette partie a une courbe naturelle qui, si elle est trop exagérée, se nomme lordose.

    • Les douleurs qui affectent les lombaires peuvent être liées aux questions musculaires ou vertébrales.
    • Cependant, elles peuvent aussi être dues à un mauvais fonctionnement d’un organe, comme les reins ou l’intestin.

    Alors que la mauvaise posture peut être à l’origine du problème, dans d’autres cas les questions émotionnelles peuvent aussi être déterminantes.

    médecin soignant les douleurs lombaires

    1. Les problèmes rénaux

    Pour savoir si les douleurs lombaires sont liées aux reins, il faut mettre les paumes des mains ouvertes sur la zone la plus étroite de la ceinture.

    Le lieu où les pouces doivent se placer est, approximativement, l’endroit où se trouvent les lombaires.

    Si lorsque vous appuyez sur cette zone, c’est douloureux, il est possible que vous deviez recourir à un traitement naturel pour désenflammer les reins.

    • Vous pouvez prendre des bouillons d’oignon et des infusions de pissenlit et de bardane pendant plusieurs jours, tout au long de la journée, jusqu’à ce que vous ressentiez un soulagement dans la zone lombaire.

    2. La sensibilité au froid et à l’humidité

    Il y a des gens qui, à cause d’un trouble du métabolisme ou d’autres raisons, peuvent être très sensibles au froid et à l’humidité, surtout quand les changements sont brusques.

    Les lombaires sont, de plus, l’une des zones les plus vulnérables aux agents extérieurs, avec les articulations.

    • Il faut bien protéger la zone lombaire avec un tissu en laine, comme une ceinture. Cette matière est excellente pour protéger de la température extérieure, calme aussi la douleur et apporte une agréable sensation de bien-être.

    3. La mauvaise posture

    Si l’on observe les mannequins, on se rend compte que l’on a tendance à trop cambrer le corps, en poussant les lombaires vers l’avant de manière forcée et peu conseillée.

    Cette mauvaise posture est la cause de nombreuses douleurs de dos, aussi bien chez les adultes que chez les jeunes. Elle est également fréquente chez les femmes enceintes, à cause du poids du ventre.

    • Pour résoudre la mauvaise posture, il faut faire des exercices de rééducation posturale et d’étirements  qui nous permettent de bien étirer la colonne vertébrale.
    • Les tables d’inversion sont profitables (sauf pour les femmes enceintes).

    femme souffrant de douleurs lombaires

    4. Les troubles intestinaux

    Les troubles intestinaux comme la constipation, la diarrhée ou les états alternés de ces deux déséquilibres peuvent impacter la zone postérieure, c’est-à-dire les lombaires.

    Pour résoudre cela, on peut recourir à la médecine naturelle :

    • La constipation : Les graines de chia et de lin, les compléments probiotiques, les fruits, les légumes crus et riches en fibres, et l’eau entre les repas.
    • La diarrhée : Les infusions de thé vert, le riz blanc, les compléments en charbon végétal et probiotiques.
    • Les états alternés : Les fleurs de Bach, l’homéopathie, le kuzu, les graines de chia.

    5. Les questions émotionnelles

    Les questions émotionnelles peuvent affecter directement la zone lombaire. Concrètement, elles sont liées aux peurs, surtout à la peur des problèmes d’argent.

    Pour traiter ces douleurs, il faut consulter un thérapeute professionnel qui vous donnera des remèdes personnalisés à base de fleurs de Bach, d’homéopathie, de phytothérapie etc.

    femme souffrant de douleurs lombaires

    6. Les lésions

    Pour finir, voici une raison très courante des douleurs chroniques de lombaires : les lésions qui sont le fruit d’exercices, d’accidents, de mauvais mouvements etc.

    Ces lésions doivent toujours être traitées dès le début et bien, pour ne pas qu’elles se transforment en douleurs chroniques. 

    En plus de consulter un médecin et de faire les tests pertinents, nous devons aussi prendre quelques compléments pour faciliter la récupération :

    • Le remède homéopathique à l’arnica
    • Le silicium organique liquide
    • La levure de bière
    • Le cartilage de requin

    Dès le début de la lésion, appliquez du froid pour calmer la douleur. Ainsi, si vous appliquez plus tard de la chaleur localement, avec une bouillotte, un petit chauffage ou de la crème, ce sera beaucoup plus efficace.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Un médecin prend l’engagement de ne plus vacciner :

    « Je ne veux plus participer à ce génocide »

     

     

     

     

     

    Quand, rarement, la réalité se heurte à des croyances de longue date, il arrive que seuls quelques rares individus soient épargnés d’un apprentissage très douloureux. 

    Ces réveils ne sont nulle part plus dramatiques que quand ils se produisent au sein d’une communauté médicale contrainte de modifier ses croyances invétérées. Les Etats-Unis et le reste du monde sont en train de vivre une évolution rapide qui les éveille à la dure réalité que les produits pharmaceutiques peuvent mettre la santé en péril, et à la prise de conscience que les vaccins ne sont pas efficaces, ni sans danger.

    Le mouvement qui entend traiter les causes de la maladie par un régime alimentaire et des méthodes naturelles, ainsi que par une profonde compréhension du fonctionnement du corps ne cesse de se développer. Ce mouvement n’en est pas moins combattu par certains. Cependant, comme c’est le cas pour le Dr Travis Stork (dans « Les médecins ») – et d’innombrables autres qui ne veulent pas faire face à la réalité – leur raisonnement égoïste, leurs éclats de crises de colère ne servent qu’à illustrer l’absurdité du système conventionnel de santé dont le temps est révolu. Un appui de taille, mais aussi de pardon a été donné au coprésentateur du Dr Stork, le Dr Rachel Ross quand elle a eu le courage de déclarer publiquement ce qui suit à un public de Chicago dont les familles avaient des enfants handicapés par les vaccins :

    « Regardant maintenant les choses de l’extérieur, j’ai maintenant l’impression de me sentir presque comme un âne… C’est un peu aussi comme si, un jour, vous vous réveilliez en vous imaginant être Dieu ! Je me suis évertuée à suivre aveuglément comme un robot tout ce qui concerne la vaccination sans chercher à disposer de nouvelles informations, de nouvelles données, sans même savoir ce que ces vaccins contenaient… Tout ceci fait partie des raisons qui font que les médecins sont tellement résistants à cette information parce qu’il s’agit en fait de réapprendre et digérer tout ce qu’ils avaient jadis appris, comme aussi de se réconcilier avec les dégâts qu’ils auraient possiblement causés au cours de leur carrière. »

    Il n’y a pas si longtemps que la quatorzième conférence annuelle sur l’autisme (AutismOne) à Chicago s’est terminée. La marque laissée par les messages d’espoir et les échos révolutionnaires continue à résonner dans toutes les parties de la société, comme dans la communauté médicale. Au carrefour d’une épidémie d’autisme, l’élan grand public commence à mettre en lumière ce qu’ont annoncé les lanceurs d’alerte quant à la corruption et aux dommages causés par les vaccins. Toutes les personnes présentes à la conférence de Chicago ont pu sentir que quelque chose d’énorme était en train de se passer. Au fil de la conférence de cinq jours, des rapports racontant l’histoire de nombreux professionnels de santé qui avaient commencé à circuler, ont fait comprendre au public qu’on lui avait menti.

    Il est possible que ce soit le succès grand public du film VAXXED qui ait attiré ces médecins, ces infirmières et ces chercheurs désireux de démystifier, une fois pour toutes, les dommages causés par les vaccins, dénoncés par tant de lanceurs d’alerte. C’est ainsi que la plupart des personnes qui assistaient à cette conférence ont, à leur corps défendant, fait l’expérience d’un douloureux et rapide apprentissage.

    Il est possible que l’éveil du public se soit principalement produit quand le Dr Daniel Kalb a assisté à la conférence : Dissecting Whistleblower Documents : A Story of Corruption, (la dissection des documents des lanceurs d’alerte : une histoire de corruption) au cours de laquelle, le Dr Brian Hooker, le Dr Judy Mikovitz et Michael Hugo ont présenté des preuves accablantes et quantités de documents à une salle pratiquement debout qui n’a pas cessé d’applaudir pendant une heure et demi. Il est aussi possible que quantités de personnes se soient réveillées au cours de la session « questions-réponses » qui a suivi la projection du film documentaire VAXXED. Peu importe. Ce qui est certain, c’est que le Dr Kalb ne sera plus jamais le même médecin de famille. La preuve de sa transformation est le document qui a été rendu public et qui dit : « Plus jamais de vaccins à la Médecine Familiale de Cool Springs »

    Dans le document, « Cool Springs Family Medicine » présente huit raisons pour lesquelles les soignants ne feront plus vacciner leurs patients.

    Le document rendu public conclut par ces mots :

    « …Comme je l’ai toujours fait, et comme c’est ma responsabilité en tant que médecin de famille, je serai, le mieux que je pourrai, le défenseur de chacun de mes patients. Je continuerai toujours à respecter les choix éclairés de mes patients. »

    Nous avons tous, au cours de notre vie, vécu des événements si puissants qu’ils laissent une impression permanente. Dans ces cas, il y a toujours un avant et un après. Une fois que pareil événement est gravé dans notre âme, il nous devient impossible de comprendre pourquoi nous n’avons pas pu voir clair plus tôt. La communauté médicale, et toutes les personnes touchées par son influence, sont en train de connaitre un réveil rapide vers une conscience plus élevée et la véritable guérison. Il appartient à la masse critique de l’opinion publique de soutenir avec pardon et amour ceux qui se trouvent encore au sein de ce système médical étroitement contrôlé et qui veulent se lever pour sortir de ce sombre âge médical et prendre distance de toutes ces forces qui en sont responsables.

     

     

     

     

     

     

    Sources :
    initiativecitoyenne.be
    www.jeffereyjaxen.com

    sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Des effets secondaires graves du vaccin contre le papillomavirus volontairement minimisés par les laboratoires ?

    Des chercheurs dénoncent une manipulation des chiffres dans les études de référence

     

     

     

     

     

    Le flou volontairement entretenu sur les effets secondaires du Gardasil appelle à une vigilance citoyenne accrue

    Les laboratoires Merck et GlaxoSmithKline ont utilisé de faux placebos et manipulé les résultats de plusieurs études pour minimiser les risques liés à leurs vaccins contre le papillomavirus, le Cervarix et le Gardasil.

     

    C’est la principale conclusion d’un article paru le 20 juillet dernier dans la revue Clinical Rheumatology. Menée par deux chercheurs de l’Institut national de cardiologie du Mexique, l’enquête passe au crible pas moins de 28 études récentes (16 tests randomisés et 12 études de cas réalisés après la mise sur le marché desdits vaccins). Ce qu’elle montre est inquiétant.

    Les auteurs se sont intéressés aux « événements indésirables graves » survenus lors de tests effectués avant et après la mise sur le marché du Cervarix, du Gardasil et du Gardasil 9, trois vaccins contre le papillomavirus (virus sexuellement transmissible favorisant, dans certains cas, le développement du cancer du col de l’utérus).

    Leur méta-analyse montre que les laboratoires n’ont pas craint de multiplier les petits arrangements avec la méthodologie scientifique (et l’éthique) pour limiter artificiellement l’importance de ces cas d’effets indésirables graves dans leurs études pré- et post-commercialisation.

    Cette découverte ne fait que confirmer ce que nous savions déjà concernant le manque de données cliniques sérieuses et indépendantes sur les dangers des vaccins. Dans le cas français, elle conforte la position qu’Alternative Santé et de son collectif d’associations et de lanceurs d’alerte qui s’opposent à l’extension de l’obligation vaccinale à 11 voulue par le gouvernement.

    Faux placebos et innocuité invérifiable des vaccins.

    Premier problème des études analysées : les placebos utilisés dans les groupes contrôle n’en étaient pas vraiment. Sur les 16 tests randomisés passés en revue par les chercheurs mexicains, deux seulement ont utilisé des placebos normaux (des doses de solution saline ne contenant aucune substance active). Dix autres comportaient de l’aluminium, adjuvant également présent dans les vaccins qu’il s’agissait de tester. Les quatre restants ont utilisé en guise de placebo… un autre vaccin, déjà approuvé par la FDA (l’agence du médicament américaine), et contenant bien sûr, lui aussi, de l’aluminium. Difficile, dans ces conditions, de mesurer avec précision l’éventuel sur-risque induit par cet adjuvant, pourtant très controversé.

    Chez les jeunes filles auxquelles ce placebo « chargé » en aluminium a été administré, le nombre d’événements indésirables est d’ailleurs assez proche de celui du groupe ayant reçu le vrai vaccin. Les labos présentent ces taux comparables comme un indice de la relative innocuité de leurs vaccins. Ce serait bien sûr le cas… si on avait affaire à d’authentiques placebos !

    Manipulation des chiffres

    En se penchant sur les résultats des essais cliniques du Gardasil publiés sur le site de l’instance officielle qu’est la FDA, les deux chercheurs mexicains ont mis au jour une autre manipulation des chiffres. Dans le cadre de ces tests dits « randomisés » (répartition aléatoire des personnes dans les différents groupes), trois groupes de sujets se sont vu administrer, respectivement le vaccin, un placebo contenant de l’aluminium, un vrai placebo.

    Étrangement, ce dernier groupe est beaucoup plus restreint que les autres : un peu moins de 600 sujets pour le groupe placebo réel, contre plus de 15 000 pour le groupe vaccin et plus de 13 000 pour le groupe « placebo à l’aluminium ».

    Dans les résultats des essais, un premier tableau comptabilise les réactions bénignes (gonflements dans la zone où le vaccin a été administré) constatées après la vaccination chez les sujets des trois groupes : on y voit très clairement que l’incidence de ces épisodes est très nettement inférieure, en proportion, au sein du groupe ayant reçu le vrai placebo.

    En revanche, le tableau suivant qui recense les réactions plus graves, n’est pas organisé de la même façon :

    Sur ce 2ème tableau, le groupe ayant reçu le vrai placebo a disparu : ses résultats ont été purement et simplement fusionnés avec ceux du groupe placebo-aluminium.

    Quelques centaines d’individus rajoutés à un échantillon de plus de 13 000… cela se voit à peine. Pourtant, cela fausse complètement la signification du résultat et rend invisibles les réactions graves liées aux injections « chargées » en aluminium ! Le groupe présenté comme « contrôle » n’en est plus un, et sa comparaison avec le groupe vaccin ne nous apprend plus grand-chose.

    La balance bénéfice-risque en question

    Que penser par exemple des 2,3 % de femmes ayant signalé, dans les six mois après la vaccination par le Gardasil, un nouveau problème de santé indicateur d’une possible maladie auto-immune ? Significatif ou pas ? En l’absence de vrai groupe placebo, impossible de l’affirmer catégoriquement. Pendant ce temps, ces vaccins continuent à être vendus et injectés en quantité astronomique.

    Que penser en outre des très nombreux d’effets indésirables – handicaps permanents, hospitalisations, décès – mis en évidence par les chercheursaprès la vaccination par le Cervarix, le Gardasil ou le Gardasil 9 ? Significatif ou pas ?

     

    Comment décider, tant individuellement qu’à l’échelle d’une société, à quel risque il est préférable de s’exposer lorsqu’on sait que, dans ce même pays, le nombre de décès par cancer du col de l’utérus est, lui, de 2,4 femmes pour 100 000 d’après le National Institute of Health.

    Surtout compte tenu de la dernière anomalie soulignée par les auteurs mexicains ; la brièveté de la période considérée pour comptabiliser les réactions négatives aux vaccins à l’issue des tests : quelques mois seulement, voire quelques jours, au lieu de plusieurs années, comme c’est généralement le cas pour les médicaments sur lesquels la FDA doit statuer.

    Des études post-commercialisation inquiétantes…

    L’analyse des douze études réalisées après la commercialisation des vaccins apportent quant à elles d’autres révélations inquiétantes. Ainsi, en Espagne, une étude comparant les complications post-vaccinales des vaccins anti-HPV à celles causées par d’autres types de vaccins a montré qu’elles étaient dix fois plus nombreuses pour les premiers.

    Une autre étude, réalisée cette fois au Canada, montre qu’une jeune fille vaccinée contre le papillomavirus sur dix a fait une visite aux urgences dans les 42 jours suivant sa vaccination…

    Dans ce contexte d’opacité, défendre la liberté vaccinale.

    En 2015, nous pointions du doigt avec d’autres les problèmes soulevés par une étude française concernant le Gardasil. Dans les débats français autour du projet gouvernemental d’extension de l’obligation vaccinale à 11, et contre lequel Alternative Santé et un collectif d’associations se sont mobilisés par le biais d’une pétition, on oppose souvent l’irrationalité des peurs citoyennes à la prétendue robustesse incontestable des études scientifiques.

    Cette opposition commode, qui voudrait faire de tout vaccino-sceptique en indécrottable paranoïaque, ne tient plus, tant il devient clair qu’elle fait totalement l’impasse sur :

    1/ La réalité des conflits d’intérêts dans les instances de décision médicale

    2/ L’effondrement d’une recherche publique indépendante et le recours systématiques aux recherches privées des laboratoires pour fonder les autorisations de mise sur le marché.

    3/ Les énormes lacunes de nos systèmes de pharmaco-vigilance.

    Bien qu’il n’en prenne pas la direction avec son projet de loi autoritaire et liberticide, le gouvernement dit vouloir rétablir la confiance dans les vaccins : force est de constater qu’en « l’état actuel de la science », les conditions pour que cette confiance s’établisse ne sont pas réunies. Dans ce contexte, il est plus important que jamais de défendre la liberté vaccinale.

     

    – Nous vous appelons à lire, signer et faire signer notre pétition.

     

     

    Références :

    – Serious adverse events after HPV vaccination: a critical review of randomized trials and post-marketing case series,     Manuel Martínez-Lavín, Luis Amezcua-Guerra, Clinical Rheumatology, Juillet 2017

    – Vaccine-related serious adverse events might have been under-recognized in the pivotal HPV vaccine randomized trial, Manuel Martínez-Lavín, Clinical Rheumatology, Avril 2017

     

    Crédit : Alternative Santé

     

     

     

     

     

    Source : sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Chimiothérapie : 35 ans de mensonge

    ou lorsque Big Pharma danse au bord de la falaise

     

     

     

     

     

     

    Une sagesse populaire dit « la vérité c’est comme l’huile elle vient toujours au-dessus ». Cela fait environ 4 décennies que la médecine conventionnelle nous vend l’idée que la chimiothérapie est l’arme fatale contre les cancers, aujourd’hui la vérité émerge de plus en plus des décombres de l’ignorance dans laquelle l’orthodoxie médicale veut nous enfermer: même les professionnels de la santé ne croient plus à son efficacité.

     

    Pire, ils estiment qu’elle est dangereuse, une chaîne d’information libanaise Al Manar vient de publier un rapport montrant que même les médecins ne croient pas à la chimiothérapie. Et pourtant pendant 35 ans environ l’industrie pharmaceutique nous sert le même plat sans cesse réchauffé. Et nous, les « moutons de Panurge » suivons toujours.

    Si l’histoire  de la chimiothérapie nous était contée !

    Selon la médecine conventionnelle les traitements par chimiothérapie consistent à injecter, le plus souvent par voie intraveineuse, des substances chimiques dans l’organisme. Le but de la chimiothérapie serait donc d’enrayer ou de ralentir l’évolution de la prolifération des cellules tumorales. Les médicaments employés agissent surtout sur l’ADN, sur l’ARN ou sur les protéines des cellules, pour bloquer certaines étapes de la division cellulaire.

    Mais cette définition de la médecine conventionnelle cache une vérité bien plus cruelle et ne répond pas non plus à la question essentielle sur cette maladie qui, au fil des années, a pris des proportions épidémiques:

    • Comment naissent les cancers ?
    • Pourquoi le cancer est-il devenu, aujourd’hui la première cause de mortalité i en France et dans les autres pays dits développés ainsi qu’aux Etats Unis ?
    • Pourquoi, après des années et des années de « progrès de la médecine », le cancer avance toujours ?
    • Pourquoi la médecine conventionnelle, qui a bénéficié et continue de tirer profit des fonds publics pour ses travaux de recherche dans le domaine du cancer, refuse toujours, avec les même arguments de charlatanisme, de prendre en considération les travaux de tant de chercheurs écartés des organismes subventionnés pour avoir osé fait preuve d’originalité en explorant des zones de recherche jamais touchées ?
    • Pourquoi tant de chercheurs continuent-ils à être traînés dans la boue par les assauts médiatiques des chercheurs de la cancérologie officielle ?
    • Pourquoi les médias officiels refusent ils de donner la parole aux chercheurs dont le seul tort est d’être allé plus loin dans l’étude des mécanismes du cancer au lieu de se contenter d’étudier les tumeurs ? Autrement dit pourquoi la cancérologie officielle se contente toujours de confondre le cancer avec la tumeur, de confondre la cause avec l’effet. Ne faudrait-il pas davantage se préoccuper d’étudier les conditions favorisant l’éclosion du cancer ?

    Lorsqu’on répondra à cette série de questions et à beaucoup d’autres on réalisera alors qu’il nous faut un autre Nuremberg, un Nuremberg de la santé. En effet est-il acceptable que l’on continue d’accepter les mêmes méthodes de traitement des cancers – la chimiothérapie, radiothérapie & immunothérapie – dont on sait d’avance qu’elles engloutissent beaucoup d’argent  et sont vouées à l’échec ?

    Pour comprendre le contexte du maintien d’une méthode de traitement inefficace et contre-productive il est intéressant de savoir qu’au cours des  années qui ont précédé la Première Guerre mondiale, il y eut l’existence d’un cartel pharmaceutique international basé en Allemagne, qui a dominé les industries de médicaments chimiques et de l’ensemble du monde entier. Il avait étendu ses opérations à quatre-vingt-trois pays et fut la force économique et politique la plus puissante du moment. Il était connu sous le nom de IG Farben.

    Le livre Le Relais de Les Racines nazie de l’Union Européenne de Bruxelles explique comment ce fut le même IG Farben qui fabriqua les instruments de guerre chimique d’Hitler comprenant le poison gaz moutarde et l’infâme Zyklon B utilisé dans les camps de concentration.

    Mais bien avant la seconde guerre mondiale un industriel américain John D Rockefeller à la tête d’un empire industriel s’était associé, en 1928 avec IG Farben, le plus grand cartel pharmaceutique d’alors (…) dont les branches jouèrent un rôle primordial aussi bien en politique que dans les thérapies cancéreuses.

    En tant qu’industriels les Rockefellers connaissaient la science de création de besoins artificiels et la façon de les maintenir tant que le profit y était. Dès ce moment plusieurs substances chimiques furent inventoriées et obtinrent des brevets approuvés par « l’American Medical Association and Food &Drug Administration » sponsorisé par les Rockefellers dont les membres étaient des médecins et spécialistes travaillant dans des institutions sous perfusion financière des fondations Rockefeller et Carnegie. Rockefeller a transformé à lui seul le visage de la médecine allopathique en la faisant passer d’un atelier de production de comprimés en un monstre industriel pharmaceutique que nous connaissons aujourd’hui .

    L’histoire de la prise en main et le contrôle de la médecine par une famille, les Rockefeller, est assez révélatrice de la terrible et grave évolution des structures actuelles de soins de santé dans le monde et en particulier dans les pays occidentaux. De plus en plus de structures de santé suivent malheureusement le modèle Rockefeller en choisissant de confier les structures hospitalières à des patrons choisis en fonction de leur capacité de gestion et de rentabilité économique plutôt qu’en fonction de la fonctionnalité de leurs structures. Les patrons de ces structures réduisent ainsi le personnel en augmentant le luxe des locaux comme la mise à disposition des patients d’écrans plats dans les chambres ou l’achat d’instruments coûteux pour bombarder les tumeurs cancéreuses de rayons. Le monde a besoin de plus de santé et moins d’hôpitaux luxueux pour abriter davantage de malades que l’on ne saurait éviter si on ne change pas de stratégie. Le monde a besoin de plus de prévention des maladies de civilisation, nous pouvons y parvenir grâce à l’adoption des technologies propres et la lutte contre l’analphabétisme.

    Le monde se réveille, un Nuremberg de la santé se profile à l’horizon.

    « En présence des Maîtres de cette école, de mes chers condisciples et devant l’effigie d’Hippocrate, je promets … » ii C’ est ainsi que commence le serment d’Hippocrate, celui que tous les médecins font avant leur entrée en fonction avant d’ajouter « je donnerai mes soins gratuits à l’indigent, et n’exigerai jamais un salaire au-dessus de mon travail ». Et pourtant certains professionnels de la santé continuent à se faire les apôtres et les défenseurs d’une politique médicale inepte et criminelle dont les scandales comme le Vioxx et le Mediator ne sont que des minuscules parties émergées de l’iceberg de la désinformation médicale. Pire encore, les partisans de la pensée unique dominante continuent d’organiser des campagnes de dénigrement des chercheurs originaux et tant d’autres anonymes incapables parfois de mener leurs travaux à terme.

    Combien faudra-t-il sacrifier de Galilée pour dire que le monde sache ce que la pensée dominante vous cache: « certaines molécules présentes dans notre alimentation (les micronutriments) sont en mesure de bloquer les mécanismes biologiques responsables de la propagation des cellules cancéreuses » iii. Comme vous pouvez le constater, il ne reste qu’à briser les chaines de l’ignorance dans laquelle l’orthodoxie médicale veut nous enfermer. Les lobbies clinico-pharmaceutiques se réjouissent du profit gargantuesque qu’ils réalisent sur le dos des citoyens et des contribuables, ils dansent mais c’est au bord de la falaise. Nous encourageons les médecins intègres à continuer la bataille en faveur de ce qui compte, la bataille pour la santé et la vie. Et comme disait Platon, « il ne dépend que de nous de suivre la route qui monte et d’éviter celle qui descend ». Et si vous souhaitez que le cancer avance et continue à être ce le « Terminator », ne faites rien. Mais si vous pensez comme nous, que les maladies de civilisation comme le cancer, le diabète, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires peuvent être réduites à leur portion congrue, si vous pensez qu’il vaut mieux prévenir que guérir, rejoignez nous. La médecine conventionnelle devrait dès maintenant préparer sa dernière épitaphe sur la chimiothérapie « ci git les méthodes d’un autre âge ».

     

     

    Références:

    1. Rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé ,Base de données européennes de la santé pour tous , Copenhague, Bureau régional de l’OMS pour l’Europe, janvier 2012.
    2. En présence des Maîtres de cette école, de mes chers condisciples et devant l’effigie d’Hippocrate, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité dans l’exercice de la médecine. Je donnerai mes soins gratuits à l’indigent, et n’exigerai jamais un salaire au-dessus de mon travail. Je ne permettrai pas que des considérations de religion, de nation, de race, viennent s’interposer entre mon devoir et mon patient.
      Admis dans l’intérieur des maisons, mes yeux ne verront pas ce qui s’y passe. Ma langue taira les secrets qui me seront confiés, et mon état ne servira pas à corrompre les mœurs, ni à favoriser le crime. Respectueux et reconnaissant envers mes Maîtres, je rendrai à leurs enfants l’instruction que j’ai reçue de leur père. Que les hommes m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses, que je sois couvert d’opprobre et méprisé de mes confrères si j’y manque.
    3. Matthias Rath, M.D. et Aleksandra Niedzwicki,Ph.D 1ère Ed.2011 Dr Rath Education Services pp.51

     

     

     

     

     

     

    Sources : Dr Rath Health Foundation

              sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • L’autisme est bien causé par les vaccins

     

     

     

     

     

     

    CNN révèle la fraude du CDC : ils ont dissimulé au public 340% de risque d’ lié aux  !

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    Le lanceur d’alerte du CDC, le Dr William Thompson a publié une déclaration officielle confirmant que l’étude originale avait montré un lien entre le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et l’, plus spécialement chez les enfants afro-américains, et que le CDC en avait caché les résultats.

    Un éminent chercheur aux Centres de Contrôle et de Prévention des  (CDC), le Dr William Thompson admet qu’il a joué un rôle clé en aidant à faire apparaître au grand jour la  des données par le CDC. Cette fraude a consisté à dissimuler une incidence plus élevée de l’autisme due au vaccin ROR chez les garçons afro-américains. Le lanceur d’alerte, le Dr William Thompson a avoué les faits après que le Dr Brian Hooker ait réclamé et obtenu, en vertu de la Loi sur la Liberté de l’Information (Freedom of Information Act ou FOIA), les données originales d’une étude portant sur l’autisme, avec l’aide du député américain Darrell Issa, président de la Chambre de surveillance et de la réforme du gouvernement. Les documents du CDC, ainsi que les discussions avec le lanceur d’alerte révèlent une  généralisée des données scientifiques, ainsi qu’une pression (du haut vers le bas)  sur le scientifique du CDC pour supprimer tout lien de causalité entre le vaccin ROR et le diagnostic ultérieur d’autisme, en particulier dans un groupe d’hommes afro-américains qui avaient reçu leur vaccin « à temps » en conformité avec le calendrier recommandé par le CDC.

    Les documents reçus du CDC montrent qu’en 2003, on a découvert comme étant lié au vaccin ROR un risque d’autisme chez les garçons afro-américains de 340%. La découverte de ce risque a été cachée sous la pression de hauts fonctionnaires. Les chercheurs du CDC ont alors recalculé leurs résultats en omettant d’inclure une population donnée afin de pouvoir obtenir les résultats désirés. Mais même en recalculant ainsi les données après avoir omis cette population, un risque significatif d’autisme est encore retrouvé en lien avec le vaccin ROR. La mention d’un tel risque se retrouve par ailleurs également dans la présentation de l’étude originale faite par l’Institut de  (IOM) (cf. pages 29 et 31 de cette présentation)

    Le Dr William Thompson qui a travaillé pour l’Agence gouvernementale pendant plus d’une décennie  a confirmé que :

    « Depuis les débuts de 2003, le CDC était au courant de la relation qui existait entre l’incidence de l’autisme et l’âge auquel le premier vaccin ROR était administré chez les garçons Afro-Américains, mais a choisi de dissimuler la chose. »

    Il a fait remarquer :

    «  Nous avons perdu dix années de recherche parce que le CDC est actuellement tellement paralysé par tout ce qui touche à l’autisme. Ils ne font pas ce qu’ils devraient faire parce qu’ils ont peur des conclusions qui pourraient être tirées. »

    Il prétend que ses supérieurs ont commis des actes criminels et a exprimé son profond regret quant à son rôle qui a contribué à masquer les données du CDC.

    Cette augmentation du taux d’autisme régressif chez les Afro-Américains a bel et bien été trouvée. L’association Autisme Speaks (fondée en 2005 par les grands-parents d’un enfant autiste) signale que « la question du risque d’autisme régressif chez les enfants Afro-Américains a déjà été posée deux reprises ».

     

    Il semble que la chose soit directement liée à la sortie récente des documents du CDC, ainsi qu’aux aveux du chercheur du CDC, le Dr William Thompson.

    Les révélations du Dr Thompson remettent en question les neuf autres études citées par le CDC comme preuves permettant de nier un lien entre autisme et . Ces révélations ont également suscité une pétition (sur change.org) pour que l’étude frauduleuse soit retirée du journalPediatrics qui fut publié en 2004.

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    Une note de service de 2004 dans laquelle le Dr Thompson exprimait déjà au Dr Gerberding (chef du CDC à l’époque) ses inquiétudes sur cette étude problématique, a été récemment publiée. Cette étude a bouleversé les citoyens. Cela signifierait-il que le Dr Gerberding aurait commis un parjure au cours d’une audition au Congrès? Un examen plus approfondi sera nécessaire pour le savoir.

    Lire ici la copie de la lettre obtenue grâce à la Loi sur la Liberté de l’Information (FOIA)

    Quoi qu’il en soit, de nombreux citoyens qui considèrent la chose comme un méfait délibéré, à la charge des contribuables, ont entamé une campagne médiatique (Twitter etc.) pour informer le public de cette  et de ses conséquences. Les parents espèrent que l’Agence sera tenue responsable des dissimulations qui ont été effectuées. Ils réclament également une enquête pour que l’on puisse savoir si le Dr Coleen Boyle  aurait aussi commis un parjure dans son témoignage devant le Congrès, quand elle avait été publiquement interrogée sur la question des liens possibles entre les vaccins et l’autisme.

    Le Département Américain des Ressources de  et des Services de l’Administration a déjà reconnu que l’autisme pouvait être une conséquence indirecte de dommages vaccinaux comme ce fut documenté dans la mise à jour du tableau « Dommages vaccinaux » qui a fait suite au rapport de l’Institut de Médecine (IOM) de 2011. Ils ont rejeté l’autisme comme effet secondaire direct et spécifique de la vaccination ROR mais au vu des dernières révélations, les textes pourraient subir des modifications.

    Le CDC a répondu à ces allégations en indiquant qu’ils reconnaissaient que cette étude avait montré une augmentation du risque d’autisme avec le ROR :

    «  Les résultats des recherches ont révélé qu’entre 24 et 36 mois, la vaccination était légèrement plus fréquente chez les enfants atteints d’autisme, et que cette association était la plus forte chez les enfants de 3 à 5 ans. »

    Ils ont rejeté la chose en avançant l’hypothèse que les parents dont les enfants sont autistes se sont précipités pour les faire vacciner avant de rentrer à l’école.

    « La chose la plus probable est que tout résulte des exigences de vaccinations préscolaires »

    Programme spécial d’éducation pour les enfants atteints d’autisme

    Cela soulève des questions parce qu’il y a des exigences de vaccination pour tous les enfants qui fréquentent l’école publique et que les enfants qui disposent d’une exemption pour les vaccins ont déjà été exclus du compte (de l’étude réalisée).

    Deux-bebes1

    Le CDC indique également que :

    « Des études complémentaires, ainsi qu’un examen rigoureux plus récent de l’Institut de  ont établi que le vaccin ROR ne pouvait pas augmenter le risque d’autisme. »

    Les études sur lesquelles le CDC se base pour affirmer qu’il n’y a aucun lien entre le vaccin ROR et l’autisme sont au nombre de 4. Le CDC reprend ces études sur son site. Un rapide coup d’œil à ces 4 études soulève plusieurs questions.

    * La première étude montre un lien significatif (entre les vaccins et l’autisme)

    * La seconde étude a été réalisée par l’infâme Dr Thorsen qui attend son extradition vers les Etats-Unis pour cause de fraude. Il est repris sur la liste du CDC comme l’homme le plus recherché – l’instance ayant remis tout son travail en question- et ceci sans parler des autres problèmes potentiels qui ont été soulevés au sujet de cette étude.

     

    La troisième étude est de nature préparatoire/préliminaire. Elle se base sur de très faibles échantillons : 28 enfants au total, ce qui est très peu.

    La dernière étude a porté sur 31 enfants pour l’échantillon de contrôle et s’est appuyée sur des entrevues avec les parents pour fournir des renseignements médicaux et comportementaux. Ensuite, ils ont constaté que plus de la moitié (50%) des enfants atteints d’autisme ont régressé peu de temps après la vaccination ROR ((dans un délai de moins de 5 mois après la vaccination), alors même qu’ils ont conclu qu’il n’y avait pas de connexion.

    Cela pose la question de savoir pourquoi il n’y a que quatre études qui ont été utilisées pour appuyer les allégations que le ROR est un vaccin sûr. Une recherche rapide sur PubMed permet de tomber sur un document de recherche de 2012, revu par les pairs et qui a porté sur l’étude de plus de 500.000 enfants. Cette recherche a mis en évidence une augmentation significative des effets secondaires après la vaccination ROR: 22 fois plus de risques de méningite, 500% d’augmentation du risque de convulsions fébriles et autres effets secondaires majeurs, y compris des troubles de la coagulation.

    La déclaration complète du CDC peut être lue ici.

    La récente publication d’un autre document, relatif à une enquête du Ministère de la Justice en 2002, a montré que le Dr William Thompson était à ce point préoccupé par ce rapport qu’il a envisagé de retirer son nom du document. A la lumière de ses récentes déclarations et des documents publiés sur cette affaire, ne serait-on pas en droit de se demander si tous les avocats concernés n’auraient pas tenté  d’empêcher la  de cette information ?

    L’information divulguée par NaturalNews peut être consultée ici.



     

     

     

     

     

    Sources : CNN

              onsaitcequonveutquonsache.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Obligation vaccinale : Une employée de l’industrie pharmaceutique fait des révélations scandaleuses !

     

     

     

     

     

     

    Brandy Vaugham est une ancienne représentante de ventes pour le fabricant de  Merck & Co.

    Elle explique en détails comment les fabricants de  se servent précisément des  pour réaliser d’énormes profits et non pour la  publique. Brandy a effectué des recherches sur la sécurité des . Elle a trouvé que, non seulement les  contenaient des produits toxiques connus qui pouvaient provoquer des dégâts neurologiques, mais aussi que les fabricants de  ne réalisaient pas les mêmes études de sécurité pour les  comme ils le font pour les autres médicaments.

     

    Ce manque de recherches sur la sécurité des vaccins ajouté aux effets secondaires de la vaccination a contribué à faire prendre à Brandy la décision de ne jamais faire vacciner son enfant. Brandy déclare qu’administrer des vaccins à nos enfants, c’est comme jouer à la roulette russe avec eux. Elle ajoute que la vaccination obligatoire est simplement un moyen pour les fabricants de vaccins de faire de plus amples bénéfices encore sur le dos de nos enfants. S’il vous plaît, ne soyez pas dupes : nous n’avons aucun besoin de vaccination obligatoire.

    Mon premier engagement dans l’ comme représentante pour la firme Merck date de l’époque où le Vioxx était sur le marché. J’étais, en fait, représentante pour le Vioxx de Merck. Quand il est apparu que Merck avait falsifié ses données de sécurité, et que le Vioxx provoquait deux fois plus de crises cardiaques et accidents vasculaires cérébraux chez les personnes qui prenaient le médicament, j’ai commencé à réaliser qu’il y avait beaucoup de  dans les coulisses et que ce n’était pas parce qu’un médicament était sur le marché qu’il pouvait être considéré comme sûr.

    Après avoir travaillé pour Merck, je fus assez désabusée par l’ensemble du scandale. J’ai vécu à New-York pendant huit ans, et c’est là que j’ai eu mon fils. A six mois, je l’ai ramené avec moi à San Francisco sans qu’il soit vacciné. Quand je me suis rendue à la visite médicale, ils ont essayé de nous fourguer les vaccins. A cette époque, je n’avais pas encore fait énormément de recherches, mais j’en savais déjà assez pour ne pas faire aveuglément confiance aux médicaments. Au cours de la visite médicale, j’ai demandé à voir la notice du vaccin. Le médecin a éclaté en colère, prétendant que je ne lui faisais pas confiance. Il sortit en claquant la porte et une infirmière me fit savoir que je ne serais désormais plus jamais la bienvenue dans cette clinique. Sachant tout ce que j’avais déjà appris en tant que représentante, ce fut pour moi un fameux et énorme signal. Je poursuivis donc mes recherches sur les vaccins, les ingrédients et les données inexactes de sécurité.

    Je découvris beaucoup de choses. L’une d’elles était que l’aluminium était le principal adjuvant des vaccins pour enfants. J’avais déjà fait certaines recherches sur l’aluminium et avais donc déjà une certaine expérience. Ma grand-mère avait eu un  du sein. La biopsie avait montré des taux élevés d’aluminium dans ses tissus.  Le médecin nous expliqua que ma grand-mère devait abandonner les déodorants traditionnels parce que l’aluminium qui s’y trouvait était susceptible de provoquer le . C’était un produit cancérogène. Ce fut encore un fameux signal d’avertissement pour moi quand je réalisai que ces produits se trouvaient dans les vaccins pour les enfants. Je parvenais à peine à y croire !

    J’ai continué à faire de plus en plus de recherches et je finis par réaliser qu’aux États-Unis on administrait deux fois plus de vaccins que dans la plupart des autres pays développés, et que la véritable crise de  était le fait que nos enfants étaient plus malades que dans n’importe quel autre pays développé, en dépit du fait que plus d’argent était, par habitant, dépensé pour les soins de . Aux Etats-Unis, nous avons les taux les plus élevés de mort subite du nourrisson, d’asthme, d’allergies alimentaires, de TDAH, de leucémie infantile, et du type 1 de diabète. Pour moi, c’était cela la véritable crise de .

    Au plus j’approfondissais le sujet, au plus je réalisais que les vaccins ne concernaient guère la santé publique. Il s’agit surtout des profits de l’. Ce qui est intéressant avec les vaccins, c’est que les mêmes études rigoureuses de sécurité qui sont réalisées pour la plupart des médicaments ne se font généralement pas pour les vaccins parce que tout simplement les vaccins sont considérés être une mesure de santé publique contrairement aux différents médicaments. Les études des vaccins durent en général peu de temps. Ce se sont pas des études en double aveugle avec véritable placebo comme c’est pourtant la norme d’or pour les médicaments. Pour les vaccins,  on n’exige pas les mêmes études rigoureuses que pour les médicaments. Il est aussi très facile de manipuler les données et de les présenter comme étant sans danger. Si on analyse les études en étant particulièrement attentifs à la toxicité des adjuvants et des additifs, on s’aperçoit que les études dites de sécurité ne prouvent pas du tout la sécurité des vaccins. En fait,  il existe pas mal d’études qui montrent que quantités d’additifs des vaccins sont très toxiques, tout spécialement pour les enfants dont le système immunitaire est encore particulièrement immature.

    Au plus j’approfondissais les études de sécurité et me rendais compte à quel point elles étaient défectueuses, au plus j’étais en quelque sorte mise en garde. Mon fils a maintenant 4 ans ½, et n’est toujours pas vacciné. Je me suis sentie d’autant plus motivée dans cette lutte que j’ai appris que des projets de loi rendant les vaccinations obligatoires commençaient à émerger un peu partout dans le pays, dans plus de 138 états. Il est clair pour moi maintenant qu’il s’agit d’une question de profit avant d’être une question de santé publique. Je sais que de nombreuses compagnies pharmaceutiques ont perdu leurs médicaments vedettes. Au cours de ces dernières années, elles ont perdu leurs brevets. C’est la raison pour laquelle ces compagnies cherchent à augmenter leurs profits.

    Pour les vaccins, les études de sécurité sont moins rigoureuses et donc moins coûteuses, il y a moins d’obstacles pour en obtenir la mise sur le marché. En outre les sociétés pharmaceutiques sont dégagées de toute responsabilité, de toute poursuite possible. En fait, les vaccins sont le seul produit aux États-Unis pour lequel vous ne pouvez engager de poursuites judiciaires normales s’il y a dommage ou décès. Si vous réunissez tous ces éléments vous avez alors un produit avec la marge bénéficiaire la plus élevée possible. En rendant les vaccins obligatoires et en n’arrêtant pas d’élargir le calendrier vaccinal, ce sont nos enfants qui sont utilisés dans des buts de profit. C’est là exactement ce qui se cache derrière les projets de loi visant à rendre la vaccination obligatoire.

    Une des choses que l’on me demande souvent c’est pourquoi on n’entend pas plus souvent parler de la chose si elle était vraie. Au cours de ma recherche, j’ai découvert que les États-Unis étaient l’un des deux seuls pays au monde qui autorisaient les entreprises pharmaceutiques à faire directement de la publicité aux consommateurs. Nous avons tous vu des publicités pour médicaments dans les . Cela permet aux compagnies pharmaceutiques de dicter essentiellement ce qui est présenté dans les . Si vous leur accordez 30 à 40% de leur publicité, vous contrôlez pratiquement tout ce qu’ils annoncent. Combien de journalistes et d’articles n’ont-ils pas été censurés, y compris le lanceur d’alertes du CDC, fin de 2014 qui a révélé que le CDC avait camouflé des données qui montraient que le vaccin ROR provoquait des dommages neurologiques (). Récemment, il y a eu beaucoup d’histoires de différents pays qui poursuivaient les fabricants de vaccins pour des dommages et des décès. Certains vaccins n’ont plus été conseillés comme le Gardasil au Japon, le Prevenar en , le Rotavirus en France. L’Espagne aurait fait un procès à Merck pour le Gardasil.

     

    Au travers des  traditionnels, les compagnies pharmaceutiques dépensent chaque année 18 milliards de dollars en frais de marketing. Pour les médecins, les compagnies dépensent six fois ces sommes en plans d’assurance santé, conférences éducatives, études publiées dans des revues médicales, etc., etc. Tout cela revient à dire que nous avons des vaccins exemptés de toute responsabilité pour le fabricant, très peu de données montrant que ces vaccins sont sûrs et efficaces, avec d’énormes dépenses de marketing. Aux États-Unis notre système vaccinal est délabré. Il n’est pas possible de rendre un produit obligatoire quand tant de questions restent sans réponse et quand tant de choses se passent dans les coulisses dont le public n’est pas conscient, comme par exemple les ingrédients des vaccins. Rappelez-vous qu’un pédiatre n’a pas voulu me montrer la notice du vaccin ! Il y avait évidemment de bonnes raisons pour cela : la présence d’aluminium, de formaldéhyde, de cellules de fœtus avortés, de cellules animales. Ces vaccins comprennent quantités d’autres éléments que d’autres pays refusent pour la consommation et pour l’incorporation dans les vaccins. Il y a aussi des éléments dont on ne connait pas les conséquences, et pour lesquels on ne possède pas suffisamment de données. N’est-ce pas jouer à la roulette russe avec la santé de nos enfants ?

    Les compagnies pharmaceutiques disent que tout cela concerne l’aide apportée au public, concerne la sécurité publique. Je me demande alors pourquoi nous ne disposons pas de plus de données sur les effets que vont avoir tous ces éléments, pourquoi nous n’avons pas d’études long-terme, des études sur les effets qu’ont ces produits dans le corps même de nos enfants. Aujourd’hui, nous avons les enfants les plus malades du monde. Il y a quelque chose qui ne tourne plus rond. Il ne s’agit peut-être pas uniquement des vaccins. C’est aussi le cocktail de pesticides et de polluants dans l’eau, dans l’air. Mais les vaccins représentent souvent un déclencheur parce que génétiquement le corps a besoin d’un  déclencheur pour exprimer ce genre de  et de problèmes que nous connaissons aujourd’hui. Les vaccins sont souvent en cause parce que ces produits chimiques sont injectés dans le flux sanguin, de sorte qu’ils peuvent ne pas nécessairement passer par une grande partie des processus de détoxification. Il arrive que ces produits pénètrent directement dans le cerveau au travers de la barrière hémato-encéphalique. Ce sont ces questions difficiles qu’il nous faut poser. Avant cela, avant que nous ne disposions de plus d’information, il n’est absolument pas possible de rendre les vaccins obligatoires. Il doit y avoir le choix. Là où il y a risque le choix s’impose.

    Une ancienne employée de Merck l’avoue « l’obligation vaccinale, c’est pour le profit et pas pour la santé publique »

    Une ancienne employée de Merck l’avoue « l’obligation vaccinale, c’est pour le profit et pas pour la santé publique »

    Remarque :

    Toute personne qui souhaite vivre dans un monde ou personne n’invente des , des causes pour une raison non souhaitée devrait créer une association à cet encontre et partager ses informationsLes parents qui prennent des décisions sans aucune réaction ne peuvent être que conscient de sa démarche avant de l’administrer à son enfant.

    La médecine à ce jour procède par de multiples moyens pour soigner ses patients. Ce qui est une bonne chose.

    Pour autant, 

    si l’on soustrait le fait qu’il faut toujours avoir un patient malade pour pouvoir le soigner. Alors dans ce cas tout le monde peut être considéré comme malade. Ils ont trouvé l’astuce ( pour vous faire croire que ..) en écrivant ce livre ↓

    Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux.

    est un ouvrage de référence publié par la Société américaine de psychiatrie (APA) classifiant et catégorisant des critères diagnostiques et des recherches statistiques de troubles mentaux spécifiques.

    Le manuel évolue à partir des statistiques collectées depuis des hôpitaux psychiatriques et depuis un manuel diffusé par l’armée de terre des États-Unis, qui a radicalement été révisé en 1980.

    DSM – Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux …

    Les médicaments, les vaccins dont diverses pathogènes ne facilitent pas la maladie  » au contraire elles la renforcent, amènent de nouveaux produits non souhaités par votre corps – Un poison a éviter et ceci pour tout les produits pharmaceutique.

    « N’oublions pas que les druides d’hier sont les médecins de demain»

     

     

     

     

     

    Sources : Freewiseman

              onsaitcequonveutquonsache.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Des milliers de personnes sont déprimées sans le savoir :

    est-ce votre cas ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Si rien de ce que vous faites ne vous comble, si vous ressentez une apathie constante et que du jour au lendemain, vos problèmes commencent à se transformer en douleurs physiques, il est possible que vous souffriez de dépression.
     

    Cela peut sûrement paraître contradictoire : il y a des personnes profondément déprimées qui ne sont pas conscientes de leur réalité intérieure.

    Elles ne perçoivent pas le poids de leurs émotions négatives ni cette contradiction psychologique qui tourbillonne dans le nœud de leur esprit.

    Cependant, il est évident qu’elles consultent de nombreux psychologues ou médecins traitants alors qu’elles devraient traiter les symptômes secondaires associés.

    La douleur musculaire, la mauvaise humeur, la colère, la haine envers soi-même, les changements d’humeur ou le mépris envers tout ce qui les entoure sont des symptômes liés à la dépression.

    Les personnes ressentent que quelque chose se passe, que la vie semble désaccordée et étrange, que tout coule dans la direction opposée que ce qu’elles attendent.

    Cependant, elles continuent à avancer. Elles le font car elles sont munies de mécanismes de défense grâce auxquels elles s’adaptent bon gré mal gré.

    C’est de cette manière que nous taisons nos émotions, que nous avalons nos amertumes, que nous dissolvons notre stress avec l’anxiété. Et l’anxiété, à son tour, débouche sur de nombreuses douleurs psychosomatiques.

    Cela peut vous surprendre mais c’est un fait : la dépression cachée existe et des milliers de personnes en souffrent en silence sans le savoir.

    Dans cet article, nous allons vous expliquer quelles sont les principales caractéristiques de cette situation complexe.

    Les personnes déprimées développent leur vulnérabilité et leur mal être lentement et progressivement

    Une grande partie des dépressions n’ont pas de déclencheur ponctuel et objectif, comme une perte, une rupture affective ou le fait de devoir faire face à une situation de chômage.

    • Le plus difficile est que les gens les plus déprimés sont ceux qui, à première vue, ont presque « tout » pour être heureux : une famille, un toit, un emploi…
    • Les psychologues nous indiquent souvent que les sentiments dépressifs poussent comme de la mauvaise herbe dans un beau jardin : il arrive un jour où elles recouvrent tout avec leur épaisse broussaille, leurs épines et leurs arbustes.
    • C’est un mélange subtil où s’entremêlent l’insatisfaction, la léthargie émotionnelle, la sensation de perdre le contrôle sur notre vie.
      On remarque que nous ne faisons rien de qui nous plaît car les obligations nous dépassent un jour, puis un autre et indéfiniment.

    Presque sans nous en rendre compte, nous avons tant normalisé ces sensations négatives qu’elles sont devenues quotidiennes et attendues. Nous cessons donc de réagir face à elles.

    C’est de là que vient le problème…

    Nous n’associons pas forcément ces symptômes à la dépression

    Nous allons dans les centres médicaux d’attention primaire car nous sommes épuisé, sans énergie.

    Le médecin, comme à son habitude, nous fait une prise de sang et après les résultats, nous dit que nous n’avons rien, qu’il suffit d’améliorer son régime alimentaire, de se reposer et de prendre des vitamines.

    • Au bout de quelques mois, nous revenons car nous avons très mal au dos. Le médecin, alors, nous recommande de consulter un-e physiothérapeute.
    • Mais nous demandons rapidement un nouveau rendez-vous car nous souffrons d’insomnie et de nervosité. C’est alors qu’on nous prescrit des benzodiazépines.
    • Pour finir, et face au conseil de cesser le traitement de ces psychotropes pour éviter la dépendance, le médecin nous envoie chez un psychiatre qui fera le diagnostic final : dépression.

    Il est très probable que pour arriver jusqu’au diagnostic final et sûr, il se passe entre 1 et 2 ans en moyenne, sans que la personne ne sache vraiment ce qui lui arrive.

    Une réalité très complexe à laquelle nous devrions faire plus attention.

    Les personnes déprimées n’acceptent pas leur état

    Le mot dépression fait peur. Ce qu’il génère avant tout, c’est du rejet, aussi bien de la part de la personne qui en souffre que de la société et de l’entourage.

    • Nous sommes dans un monde qui continue à penser que « Les personnes déprimées sont tristes et ce n’est rien d’autre qu’une attitude faible et défaitiste car elles ne savent pas faire face aux choses différemment. »
    • Pensez ainsi est une erreur. La dépression, dans n’importe laquelle de ses formes, est une maladie qui doit être traitée de manière multi-disciplinaire, c’est-à-dire avec des médicaments, une psychothérapie et un bon soutien social.
    • Cependant, quand une personne reçoit son diagnostic, elle sent que le monde s’arrête et que tout change.
    • Accepter le problème réel l’oblige à devoir affronter ses démons intérieurs, ses vides, ce tissu brisé du cœur et à mettre de l’ordre dans cet esprit obsédé par la dissimulation des émotions.
      Elle ne doit pas faire comme si de rien n’était pour continuer à être « fonctionnelle ».

    Accepter la dépression n’est facile pour personne. Mais il arrivera un moment où il devient impossible d’avancer.

    Comment reconnaître que l’on souffre de dépression ?

    Les psychologues ont des points clés qui les orientent pour pouvoir établir un possible diagnostic.

    Voici les signes principaux :

    • L’insomnie
    • L’apathie
    • Les changements d’humeur constants
    • Le manque de défense, la sensation que, quoi qu’on fasse, rien ne se passera bien
    • La sensation que l’on n’a le contrôle sur rien.

    Ce sont, sans aucun doute, les facteurs les plus récurrents. On peut leur ajouter d’autres problèmes plus graves qui ne passent pas inaperçus pour le/la patient-e, comme les auto-lésions ou les pensées suicidaires.

    Apprenons donc à identifier ces facteurs le plus tôt possible et à demander de l’aide. 

     

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  • 7 astuces pour prévenir un anévrisme

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Comme cela arrive avec les autres problèmes de santé, la meilleure manière de prévenir un anévrisme est de suivre un régime alimentaire sain, pratiquer des exercices et éviter l'alcool et le tabac.
     

    L’anévrisme est un globe qui s’est formé dans un vaisseau sanguin. Il peut apparaître aussi bien dans le cerveau que dans le cœur ou le ventre, et n’occasionne pas forcément de problèmes à moins qu’il ne grandisse.

    S’il augmente, il peut finir par se rompre et par provoquer un saignement interne.

    Continuez à lire cet article et nous vous donnerons quelques astuces pour prévenir un anévrisme.

    Pourquoi un anévrisme apparaît-il ?

    Il existe des facteurs qui peuvent vous prédisposer au développement de ce type de malformation. Les plus communs sont :

    • L’hypertension artérielle
    • Le cholestérol élevé
    • Le tabagisme
    • La grossesse

    Il est important de se souvenir qu’un anévrisme peut être dû à différentes raisons car tout facteur qui affecte votre sang ou vaisseaux sanguins peut le provoquer.

    Une fois que ce problème apparaît, il est difficile à traiter, et mieux vaut alors le prévenir.

    1. Suivre un régime riche en fruits et légumes

    Une forte consommation de fruits et de légumes au quotidien apporte à votre corps les nutriments nécessaires pour une bonne santé cardiovasculaire.

    Il est important de manger des aliments riches en vitamines, en minéraux et en antioxydants car ils aident à réduire l’inflammation dans les parois des artères. En faisant cela, vous contribuez directement à la prévention de l’anévrisme.

    Le conseil général est de consommer au moins deux portions de fruits par jour.

    Vous pouvez choisir ceux que vous préférez, même si les meilleurs sont les suivants :

    • Les framboises
    • Les mûres
    • Les fraises
    • Les myrtilles
    • Les raisins

    N’oubliez pas qu’au moment de choisir vos fruits, le mieux est d’opter pour ceux de saison. Plus ils sont frais, plus grands seront leurs bienfaits.

    Il est également important d’éviter les fruits en conserves car ils contiennent des conservateurs qui peuvent affecter votre santé et augmenter les risques de maladies.

    2. Évitez la consommation d’alcool et la cigarette

    Pour prévenir un anévrisme, il est important d’avoir une vie sans mauvaises habitudes pour la santé, comme le tabac ou l’alcool.

    Ces deux habitudes sont des facteurs qui peuvent prédisposer à un grand nombre de maladies chroniques.

    Il est également essentiel d’éviter l’exposition à la fumée de cigarette car le fumeur passif présente le même risque de développer un anévrisme que le fumeur actif.

    D’autre part, l’alcool fragilise les parois des vaisseaux sanguins.

    3. Évitez l’usage fréquent de médicaments

    La consommation excessive de médicaments, avec ou sans prescription médicale, peut provoquer l’inflammation des artères. C’est pour cela qu’il est important de ne rien prendre que votre médecin ne vous ait pas indiqué.

    À l’inverse, concernant les médicaments prescrits, il est important de les prendre selon les indications de votre médecin.

    De plus, renseignez-vous pour savoir s’il existe un antécédent d’anévrisme dans votre famille pour qu’il en tienne compte au moment de vous prescrire les médicaments.

    4. Exercez votre corps

    Réaliser un programme d’exercices quotidien aide à conserver une bonne santé cardiovasculaireen plus de maintenir un poids corporel stable et un esprit en bonne santé.

    Il s’agit de faire le plus d’activité physique possible.

    Même si un programme sportif doit être planifié selon vos besoins et vos caractéristiques, vous pouvez profiter de n’importe quelle opportunité pour monter les escaliers ou marcher.

    Le minimum requis pour prévenir un anévrisme est de 30 minutes par jour. Cependant, vous devez vous assurer de ne pas vous excéder et tenir compte des problèmes qui vous limitent.

    Si c’est nécessaire, débutez avec des programmes plus courts.

    Si vous n’êtes habitué à aucun exercice, faites trois marches courtes de 10 minutes par jour.

    Avec le temps, vous pourrez augmenter selon ce que votre corps vous permet.

    5. Faites vos check-up médicaux

    Il est important de contrôler vos niveaux de tension artérielle, de cholestérol et de poids fréquemment.

    Si vous souffrez de fort cholestérol et que vous avez développé un anévrisme, vous devez réduire votre consommation d’aliments gras comme les fritures, la charcuterie, la nourriture rapide et les viandes grasses.

    De plus, il est important de consulter votre médecin à la fréquence que l’on vous indique. Souvenez-vous que si Vous ne parvenez pas à prévenir un anévrisme, il est au moins vital que vous le surveilliez pour réduire les risques.

    Si vous êtes en bonne santé, vous devez aller au moins 2 fois par an faire un check-up médical pour gérer votre santé avec régularité.

    6. Réduisez le stress

    Chaque jour, il y a des situations qui peuvent développer de forts niveaux de stress. Il est important d’apprendre à les identifier et à les contrôler pour prévenir un anévrisme.

    Problèmes de couple, de travail, financiers et traumatismes émotionnels font partie des exemples de situations qui peuvent augmenter les niveaux de tensions dans votre vie quotidienne.

    Il est essentiel de faire des activités qui vous détendent et vous entourer de gens positifs.

    2. Ne négligez pas l’importance de votre historique familial

    Même si les anévrismes peuvent faire peur, il est important de leur donner l’importance juste. Si dans votre famille, il y a des antécédents, parlez-en avec votre médecin et assurez-vous de bien contrôler les facteurs de risque.

    Souvenez-vous que le fait qu’il existe ce risque ne signifie pas que vous allez en souffrir. Discutez-en avec votre médecin pour qu’il y soit attentif à tout moment.

     

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  • 12 millions de femmes ignorent ces symptômes du trouble

    de la thyroïde

     

     

     

     

     

    On estime que 27 millions d’Américains vivent avec une maladie thyroïdienne et ils ne le savent même pas! Les chiffres seraient très élevés si vous considérez le monde dans son ensemble. Heureusement, les maladies thyroïdiennes sont traitables avec des méthodes 100% naturelles. Elles peuvent être difficiles à diagnostiquer car les symptômes ont tendance à être subtils et peuvent facilement être confondus avec les symptômes d’autres problèmes de santé. Voici quelques-uns des signaux d’alerte les plus courants à surveiller.

     

    1. Modification des cycles du sommeil

    Vous dormiez bien, mais soudain, vous n’arrivez plus à bien dormir pendant la nuit. Une thyroïde hyperactive pompe les hormones T3 et T4 en excès, ce qui peut stimuler le système nerveux central, ce qui entraîne l’insomnie. Si vous finissez par passer nuit après nuit dans votre lit en vous souciant de choses aléatoires, vous pourriez avoir un problème. L’insomnie, si elle n’est pas traitée, pourrait entraîner de nombreux autres troubles de santé comme la perte de poids, le gain de poids, la perte de cheveux, la fatigue, l’anxiété et la dépression.

    2. Anxiété pour aucune raison

    Si vous êtes une personne qui ne s’affole pas facilement, mais que maintenant vous vous inquiétez de tout, alors vous devenez plus mature OU vous souffrez d’un problème de thyroïde. Bien que la première raison soit tout à fait naturelle, la deuxième devrait être soignée rapidement. Bien que cela fasse partie de la nature humaine de s’inquiéter de certaines choses dans la vie, une inquiétude constante peut vous faire glisser dans l’anxiété ou la dépression.

    3. Changement dans les habitudes intestinales

    Un changement soudain dans vos mouvements intestinaux est un symptôme sûr d’une thyroïde défaillante. Cela se produit généralement lorsque votre thyroïde est sous-active. Des épisodes fréquents de constipation sont un signe d’une thyroïde sous-active, alors qu’une thyroïde hyperactive ne nuira pas à vos mouvements intestinaux. Si vous remarquez un changement soudain dans la fréquence de vos selles, même si vous n’avez pas modifié vos habitudes alimentaires, il est possible que votre glande thyroïde nécessite des soins.

    4. Perte de cheveux

    La croissance inégale des cheveux est un grand dilemme à laquelle font face de nombreuses femmes qui souffrent d’une thyroïde défaillante. Cela peut particulièrement affecter leurs sourcils. Une thyroïde sous-active ou hyperactive pourrait affecter le cycle de croissance de vos cheveux. Il en résulte qu’une petite partie de vos cheveux restent rabougris tandis que le reste de vos cheveux poussent. La perte de cheveux est également un symptôme qui peut tourmenter les femmes qui font face à des problèmes de thyroïde car le manque d’hormones rendrait les cheveux fragiles.

    5. Transpiration à des moments aléatoires

    La transpiration inopinée ou la transpiration excessive lorsque vous ne le devriez pas montrent des signes d’une thyroïde hyperactive. Les niveaux d’hormone supérieurs à la normale peuvent augmenter votre métabolisme, ce qui vous fait avoir trop chaud et être épuisé. Vous pourriez également finir par vous sentir fatigué et déshydraté. Si vous avez l’impression que vous suez plus que d’habitude, il est conseillé de se pencher plus attentivement sur la question.

    6. Un gain de poids surprenant

    Un gain de poids soudain est un autre symptôme courant et criant de trouble de la thyroïde. Si vous pensez que vous avez pris des kilos inutiles bien que vous n’ayez pas modifié vos habitudes alimentaires, alors votre thyroïde est peut-être la coupable. Lorsque vous avez une thyroïde sous-active, vos niveaux d’hormone chutent rapidement, ce qui réduit votre métabolisme. Le faible métabolisme ralentit la combustion des calories par votre corps, ce qui entraîne la prise plus rapide de poids.

    7. Perte soudaine de poids

    Tout comme le gain de poids, une diminution soudaine de votre poids est un autre symptôme important de trouble de la thyroïde. Une thyroïde hyperactive sécrète plus d’hormones, ce qui fait monter en flèche votre métabolisme, ce qui permet à votre corps de brûler des calories plus rapidement. Bien que cela puisse sembler un bon effet secondaire, ce n’est certainement pas le cas. Si vous êtes capable de rentrer dans de plus petits vêtements sans régime ni exercice, il est préférable de faire examiner votre thyroïde.

    8. Cerveau embrouillé

    Un autre symptôme commun d’une glande thyroïde qui ne fonctionne pas correctement est le cerveau embrouillé. Souvent, vous rencontrez des épisodes où vous n’arrivez pas à réfléchir ou oubliez des choses simples comme votre date de naissance. Votre cerveau ne fonctionne pas correctement lorsque votre thyroïde remplit mal ses fonctions, entraînant un cerveau confus. Une perte subite de mémoire et une fatigue mentale générale sont des signes qui ne doivent jamais être négligés. Faites en sorte de faire tester vos niveaux thyroïdiens immédiatement si vous rencontrez ces symptômes.

    9. Un excès d’énergie

    Une thyroïde hyperactive pourrait également vous faire avoir une énergie soudaine, en accélérant votre corps sans que vous ne le sachiez. Dans un tel cas, vous vous sentirez agité, comme si vous aviez consommé trop de caféine, même si vous êtes détendu. Tout ce qui est en excès n’est pas bon, pas même l’énergie. Consultez votre médecin pour savoir ce qui se passe réellement dans votre corps lorsque vous ressentez des symptômes inexplicables.

    10. Avoir envie de faire la sieste l’après midi

    Si vous êtes une personne qui n’est pas habituée à faire des siestes, mais que vous ressentez soudainement le besoin d’en faire tous les jours, cela pourrait signifier que votre glande thyroïde est en mauvaise santé. Une fatigue accrue que vous ressentez pendant la journée pourrait être un signe d’une glande thyroïde sous-active. Votre corps dépend des hormones thyroïdiennes pour produire de l’énergie, et un manque d’énergie pourrait entraîner l’épuisement rapide de votre corps.

    11. Règles précoces et tardives

    Il y a des jours où vos règles pourraient arriver quelques jours plus tôt ou quelques jours en retard. Mais si vos règles ne sont jamais ponctuelles et sont abondantes, il est probable que votre thyroïde pourrait ne pas produire suffisamment d’hormones. Cela se produit lorsque votre thyroïde est sous-active. Dans le cas d’une thyroïde hyperactive, vos règles sont plus faibles et beaucoup plus espacées. C’est un signe de mauvaise santé dans les deux cas et vous devriez demander des conseils d’experts dès que vous constatez ces symptômes.

    12. Infertilité ou fausse couche

    Si vous avez fait une fausse couche ou souffrez d’infertilité, mais que vous n’avez pas d’antécédents familiaux, il est recommandé de faire tester votre thyroïde. Les faibles niveaux d’hormones peuvent fortement affecter vos cycles d’ovulation et même augmenter vos risques de fausse-couche. Ce problème peut être corrigé avec l’aide de l’alimentation et de plantes médicinales. Même si vous avez des antécédents familiaux de stérilité, il est préférable de faire tester votre thyroïde pour être sur le côté plus sécurisé.

    Pour soigner tous vos problèmes de thyroïde de manière 100% naturelle, consultez ces articles instructifs :

     

     

     

     

     

     

    Sources : Curejoy

              sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 causes de surpoids qui ne sont pas liées à l’alimentation

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Si vous avez un régime équilibré et que vous continuez à souffrir de problèmes de poids, consultez un spécialiste pour faire des tests et écarter le risque de possibles maladies.
     

    Nous avons tendance à associer le surpoids à une mauvaise alimentation et même s’ils sont bien évidemment liés dans une certaine mesure, ce n’est pas toujours le cas.

    Certaines causes de surpoids n’ont rien à voir avec une mauvaise alimentation. Prenez note car vous pourriez être concerné ou quelqu’un de votre entourage pourrait l’être.

    1. Le foie

    Le déclencheur du surpoids peut être le foie. C’est l’un des organes les plus importants que nous avons dans le corps et qui se charge de veiller sur notre santé et notre bien-être.

    Si le foie commence à défaillir, le corps a tendance à accumuler des graisses au niveau de la partie centrale de l’estomac.

    Symptômes

    • Des taux de sucre élevés dans le sang
    • L’hypertension artérielle et le fort cholestérol
    • La douleur dans les articulations
    • Les allergies
    • Les problèmes cutanés

    Si vous observez que vous avez plus de graisse accumulée dans la zone du ventre et que vous n’avez pas changé de régime alimentaire (et que vous vous alimentez bien), le mieux est de consulter un médecin car vous pourriez avoir un problème de foie.

    Les ovaires

    Dans le cas des femmes, les ovaires peuvent provoquer des problèmes de surpoids.

    Cela serait en effet lié à un déséquilibre hormonal. Les hydrates de carbone que l’on consomme deviennent alors des réserves de graisse, indépendamment du fait que l’on ait ou pas une bonne alimentation.

    Symptômes d’un mauvais fonctionnement des ovaires :

    • L’augmentation de la masse corporelle même si l’on fait des régimes et du sport.
    • L’envie de manger du sucré et des produits laitiers.
    • Le poids s’accumule dans la partie inférieure du corps.
    • Les douleurs aux ovaires.

    Les problèmes de thyroïde

    Comme nous le savons, la thyroïde peut nous faire prendre du poids.

    Grâce à la glande thyroïde, le corps régule en effet la vitesse d’utilisation de l’énergie et cela fait que l’on consommera plus ou moins de calories.

    Dans le cas où elle ne fonctionne pas bien, on peut souffrir de surpoids, même si l’on mange peu.

    Symptômes

    • La fragilité musculaire
    • La flaccidité
    • La fatigue chronique
    • L’augmentation de la masse corporelle
    • La chute des cheveux
    • Le rythme cardiaque plus lent
    • La dépression

    Une solution à ce problème est de consulter très régulièrement un-e endocrinologue.

    Si vous pensez que vous pourriez souffrir d’un problème de thyroïde, c’est la meilleure solution. Vous pourrez ainsi détecter à temps les failles dans le fonctionnement de votre glande thyroïde et prendre des mesures pour les atténuer.

    Un problème surrénal

    Peut-être que votre surpoids est lié à un problème surrénal.

    Les glandes surrénales sont les glandes qui participent à la réaction de « lutte ou de fuite », c’est-à-dire qu’elles réagissent face à un stress.

    Quand nous traversons des situations de stress, le corps peut répondre avec un déséquilibre hormonal et cela provoque des failles dans différentes parties de l’organisme.

    De plus, ces glandes surrénales sont aussi responsables de la production de l’hormone du stress (cortisol). Un niveau élevé de cortisol entraîne du surpoids dans la partie centrale du corps.

    Symptômes

    • L’accumulation de graisse au niveau du tour de taille et de l’estomac.
    • Le visage et le cou qui gonflent, mais les bras et les jambes qui sont minces.
    • L’hypertension artérielle.
    • Des taux élevés de sucre dans le sang.
    • Les muscles fragiles.
    • Les changements d’humeur.

    Si vous pensez que vous souffrez de surpoids à cause d’un mauvais fonctionnement de vos glandes surrénales, consultez votre médecin et éloignez au maximum le stress de votre vie avec des habitudes saines et des exercices comme le yoga.

    Le diabète de type 2

    Le diabète de type 2 peut aussi être la cause de l’obésité. Il s’agit d’une maladie caractérisée par une augmentation de la concentration en glucose dans le sang.

    Cette augmentation a lieu à cause du manque de réponse des cellules de l’organisme face à l’insuline (ce que l’on connaît comme « résistance à l’insuline »).

    Les personnes qui souffrent de résistance à l’insuline ont une plus forte concentration de glucose dans le sang, ce qui peut déclencher chez elles des problèmes de surpoids ou d’obésité.

    Si vous pensez que ce pourrait être votre cas, n’hésitez pas à consulter votre médecin.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur :

    «On ne sait pas comment marchent les vaccins»

     

     

     

     

     

    Pour être un scoop, ça en est un (du moins pour ceux qui ne savaient encore rien sur les vaccins). Le Dr Jean-François Saluzzo, Directeur de Production des vaccins viraux et chef de projet Recherche & Développement pour les vaccins anti-SIDA, anti-dengue et contre le SARS chez Sanofi Pasteur mais également consultant pour l’OMS, a notamment déclaré dans une vidéo sur la fabrication et le contrôle des vaccins qu’ils ne savaient pas comment marchent les vaccins. Ils ne savent pas comment ça fonctionne mais il faut cependant qu’on continue absolument à vacciner sans savoir, dogme et idéologie obligent!!

     

    Et cette vidéo, qui fait partie des cours de vaccinologie aux médecins (sic!), comporte bien sûr encore plusieurs autres belles perles que nous tenions à vous faire partager ci-dessous, histoire de ne franchement plus se faire vacciner idiot, comme on dit:

    CIF Vaccinologie 2011- Fabrication et contrôle des vaccins

    4’20’’

    « Quels sont les éléments essentiels du vaccin ? Il y a d’une part les bactéries qui vont servir à produire les vaccins ; il y a aussi les virus, et un point important pour tout ce qui est en particulier les virus, ce sont des cellules eucaryotes, c’est-à-dire que les vaccins sont produits sur des cellules.

    Tout ceci dans le cas des vaccins viraux. Il faut bien comprendre qu’il s’agit du vivant et tout ce qui va servir à cultiver un virus peut-être source de danger.

    Quand vous utilisez par exemple des sérums de veau, et bien vous devez être sûrs que le sérum de veau n’apporte pas un virus de la BSE dans les vaccins (BSE= encéphalopathie spongiforme bovine ou maladie de la vache folle), car c’est du vivant ; vous allez l’incorporer dans votre vaccin et vous risquez de l’avoir au final…

    Au cours de toute cette activité de production vivante, à tout moment il y a un risque d’introduction d’agent contaminant dans le vaccin par l’intermédiaire des techniciens…

    Le risque potentiel qu’il y ait un problème au niveau d’un vaccin, ce n’est pas les effets secondaires ; ça, on connaît les effets secondaires, mais c’est l’accident bête qui serait l’introduction d’un virus à l’intérieur du vaccin final. – Nous avons eu dans les années ’60 un drame qui s’est produit, c’est-à-dire que des cellules de reins de singes étaient contaminées par un virus qui s’appelait le SV40 qui est un virus tumorigène, et on a découvert que ce virus contaminait les vaccins, et notamment les virus utilisés chez les enfants. 60 millions d’Américains ont reçu ce vaccin tumorigène. Par chance, il s’est avéré qu’il n’était pas adapté à l’homme, mais ça a été une grande crainte…ça s’est reproduit, ça se reproduira ! »

    7’18’’

    « Dans le cas des virus aviaires, il y a eu le problème avec la fièvre jaune qui était contaminé avec un virus de leucose aviaire ; ça a été également un drame. Par chance encore une fois, 400 millions de personnes ont reçu ce virus de la leucose aviaire vivant qui s’est multiplié chez l’homme, mais par chance, il n’était pas pathogène. »

    […] « les cellules hétéroploïdes ont constitué une étape essentielle, mais posent encore énormément de questions. C’est une réflexion qu’il faut avoir. Par exemple la cellule MDCK pourrait être utilisée pour la production du vaccin contre la grippe ; c’est un excellent support de production du virus contre la grippe, mais elle est tumorigène et le grand débat philosophique qu’il y a : peut-on utiliser une cellule tumorigène pour faire un vaccin destiné à des enfants ?  13.20 – C’est vous dire qu’au niveau des autorités c’est une énorme discussion et pour les industries aussi. Certains disent que les quantités d’informations génétiques, c’est-à-dire d’ADN sont extrêmement faibles et qu’il n’y a aucun risque ; certains disent « oui, mais attention », on vaccine des enfants de 1 an à 5 ans et… dans 50 ans, qu’est-ce qui va se passer ? Donc, avant d’accepter une cellule comme ça, le débat est très ouvert. C’est actuellement ce qui se passe aux Etats-Unis avec le vaccin de la grippe produit sur MDCK par la société Novartis. Le débat, je peux vous dire, au niveau de la FDA reste très élevé parce que c’est moralement un problème très important. Que vous vacciniez une personne de 75 ans, le risque est très faible, mais quand vous vaccinez des enfants, vous vous posez aussi des questions sur le long terme. »

    (En riant) : « Je ne veux pas dire qu’avec le vaccin il faut éliminer les personnes de plus de 75 ans. »

    « En 1955, le premier vaccin a été mis au point par Jonas Salk, premier vaccin produit sur des cellules de reins de singe. Malheureusement il y a eu un drame qui s’est produit quelque temps après : un vaccin produit par les laboratoires Cutter était mal inactivé et il y a eu plus de 270 enfants qui ont contracté la polio et plusieurs sont décédés. »

    (En ce qui concerne les vaccins mal inactivés) :

    « Pour le vaccin contre la rage ; c’est arrivé au Brésil où il y a eu plusieurs dizaines de personnes qui sont mortes de rage. »

    (Concernant la fièvre jaune) 42’19’’

    « Pendant la guerre, l’armée américaine avait décidé de vacciner tous ses soldats qui partaient, ainsi que les anglais. Donc, on a vacciné et malheureusement, il y a eu une dramatique épidémie d’hépatite B. Il y a eu 28.000 cas d’hépatite B suite à la vaccination contre la fièvre jaune. Parmi les vaccinés, il y en a eu un qui était très fameux : Churchill qui a été vacciné avec un vaccin contre la fièvre jaune contaminé par l’hépatite B. »

    49’20’’

    « Il n’y a pas de solution miracle pour produire un vaccin ; on ne sait pas vraiment comment. »

    50’15’’

    « Une des raisons essentielles de l’histoire des vaccins, c’est qu’on ne comprend pas comment marchent les vaccins. Tout simplement parce que quand un vaccin a été mis au point, plus personne ne s’intéresse au vaccin, si bien que de nos jours quand un nouveau virus apparaît, on ne sait pas comment les autres vaccins ont marché et est-ce qu’on peut s’inspirer d’autres vaccins ? Je pense que si on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie et des vaccins nouveaux, c’est d’étudier d’abord la réponse immunitaire. »

    51’

    « …Jamais on n’a pu faire un vaccin avec une protection mucosale…tout simplement parce qu’on met toujours la charrue avant les bœufs… On ne connaît pas comment marchent les vaccins. »

    Visionnez ici le condensé de ces « perles » du Directeur de la Production des vaccins viraux de Sanofi Pasteur et consultant pour l’OMS :

    Certains trouvent à rire avec la vaccinologie tandis que beaucoup de gens pleurent en silence, sans toujours savoir la raison de leur tragédie de santé personnelle…

     

     

     

     

     

     

    Sources : initiativecitoyenne.be

              sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 signes d’un fort niveau de sucre dans le sang

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si cela peut sembler contradictoire, si vous avez des niveaux de sucre élevés, vous pouvez perdre du poids rapidement et sans raison, car votre organisme dépense plus de calories.
     

    Le corps nous envoie plus de signaux que ce que nous pensons, surtout quand il s’agit de parler de certains problèmes qui peuvent être associés à de forts taux de cholestérol ou de sucre.

    Prenez note de ces fameux signes car ils pourraient être fondamentaux pour consulter un médecin et recevoir un diagnostic précoce.

    Nous associons en effet les forts niveaux de sucre dans le sang aux problèmes tels que le diabète, mais ce que n’est pas la seule raison.

    N’importe qui peut souffrir de ce problème et ne pas le remarquer dans un premier temps. Ainsi, si vous pensez que cela peut être votre cas, prenez note de ces signaux que votre organisme vous envoie.

    1. Avoir faim à toute heure

    Même si c’est quelque chose qui arrive à un grand nombre de personnes âgées, le fait d’avoir faim à toute heure est un signe que quelque chose ne tourne pas rond.

    Si vous avez de forts niveaux de sucre, cela peut empêcher le glucose de se libérer dans les cellules.

    Par conséquent, l’organisme n’obtiendra pas l’énergie dont vous avez besoin et sera dans l’obligation de demander à nouveau de la nourriture, ce qui génère une sensation de faim continue.

    2. Être très fatigué

    Lorsque nous nous sentons très fatigué, nous mettons toujours cela sur le compte d’un excès de travail, ou même de certaines affections comme l’anémie. Cependant, il est évident que cela peut aussi être dû à des niveaux élevés de sucre dans le sang.

    Quand on souffre de ce problème, l’organisme n’est pas capable de conserver et d’absorber le glucose correctement.

    Ainsi, l’énergie n’est pas bien utilisée et les cellules de l’organisme ne reçoivent pas la quantité d’aliments dont elles ont besoin.

    Le résultat n’est donc rien d’autre que la fatigue, sans raison apparente.

    3. Le besoin d’aller aux toilettes très souvent

    La miction fréquente est un autre des symptôme du diabète.

    Si l’on a des niveaux de sucre trop élevés, les reins sont affectés et essaient d’équilibrer la concentration de glucose dans le sang et dans les cellules, à leur manière.

    C’est-à-dire que l’organisme finit par dissoudre le sang avec le liquide intra-cellulaire.

    Il essaie ainsi de faire baisser la concentration en sucre dans le sang à des niveaux plus normaux, ce qui se traduit en envies d’aller aux toilettes plus souvent.

    4. Perdre du poids en peu de temps

    Si vous avez de forts taux de sucre, contrairement à ce que vous pouvez pensez, votre organisme peut perdre beaucoup de poids en très peu de temps.

    Cela est possible même si vous mangez beaucoup et que la valeur calorique des aliments est élevée, et ce pour diverses raisons :

    • Lorsqu’on perd une grande quantité de liquides à cause de la miction fréquente, on ne retient absolument rien en liquide et cela fait perdre du poids.
    • Une grande quantité d’urine avec un fort niveau de glucose fait que l’organisme dépense plus de calories.
    • Tout cela fait que l’organisme essaie de se libérer de l’excès de glucose dont il souffre.

    De plus, si le niveau d’insuline n’est pas suffisant pour le métabolisme, le corps se consacrera à brûler des graisses.

    5. La vision floue

    Si de temps en temps, votre vision devient floue, cela peut aussi être due à un problème de sucre. Dans ce cas, ce problème est le résultat de la déshydratation et entraînera l’augmentation du sucre dans le sang.

    Quand tout cela arrive, tout notre organisme en souffre, dont les cellules des yeux qui, en conséquence, se déforment et perdent la capacité de fixer correctement.

    6. L’irritabilité

    Si vous vous sentez plus irritable que jamais et que ce symptôme s’ajoute à l’un déjà décrit dans cet article, c’est peut-être à cause de forts niveaux de sucre dans le sang.

    En effet, les personnes au fort taux de sucre sont plus anxieuses, irritables et ont plus de risques de souffrir de dépression.

    Le cerveau a besoin d’un apport uniforme et adapté en glucose pour son bon fonctionnement et si cet apport est sensiblement modifié, cela affectera sa fonction et notre état de moral empirera subitement.

    De plus, le sucre est aussi lié à l’absorption d’un autre nutriment responsable de l’état de moral, le chrome, car sans lui, les niveaux d’insuline ne peuvent pas se maintenir stables.

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Prenez vous ces dangereux médicaments contre le cholestérol ?

     

     

     

     

     

     

    Des millions de personnes prennent des médicaments contre le cholestérol – pour la plupart des statines, et certains « experts » prétendent que des millions d’autres devraient en prendre également. Je ne suis absolument pas d’accord.

     

    Les statines sont des inhibiteurs de la HMG-CoA réductase, ce qui signifie qu’elles bloquent les enzymes de votre foie qui sont responsables de la synthèse du cholestérol (HMG-CoA reductase).

    Le fait que les statines provoquent des effets secondaires est reconnu – il existe aujourd’hui 900 études prouvant leurs effets secondaires, allant des douleurs musculaires à un risque accru de cancer. Voici certains des effets secondaires rapportés :

    • Troubles musculaires, polyneuropathie (lésions nerveuses des mains et des pieds), et rhabdomyolyse (grave maladie dégénérative des tissus musculaires)
    • Anémie
    • Acidose Troubles sexuels
    • Immunodépression
    • Cataracte
    • Troubles pancréatiques ou hépatiques, notamment augmentation potentielle des enzymes hépatiques
    • Pertes de mémoire

    Les troubles musculaires sont les plus connus des effets secondaires indésirables, mais on rapporte également de nombreux problèmes cognitifs et pertes de mémoire. Une série d’autres problèmes peuvent également survenir, allant de l’élévation de la glycémie à des troubles tendineux. Il est prouvé que la prise de statine peut même augmenter votre risque de contracter la maladie de Lou Gehrig (ou maladie de Charcot)le diabète, et même le cancer. Voici les statines actuellement disponibles sur le marché américain :

    Les statines : une cause étonnante de diabète

    Il a été démontré que les statines augmentent votre risque de développer un diabète à travers plusieurs mécanismes. Le plus important est qu’elles augmentent votre résistance à l’insuline, ce qui peut être extrêmement mauvais pour votre santé.

    L’augmentation de la résistance à l’insuline contribue à l’inflammation chronique dans votre organisme, et l’inflammation est caractéristique de la plupart des maladies. En fait, l’augmentation de la résistance à l’insuline peut entraîner des maladies cardiaques qui, ironiquement, sont la principale raison qui conduit à prendre un médicament réduisant le cholestérol.

    Elle peut également favoriser l’apparition de graisse abdominale, l’hypertension artérielle, les crises cardiaques, la fatigue chronique, les troubles de la thyroïde et des maladies telles que la maladie de Parkinson, d’Alzheimer et le cancer.

    Ensuite, les statines augmentent votre risque de développer un diabète en augmentant votre glycémie. Lorsque vous prenez un repas contenant des amidons et du sucre, une partie de l’excès de sucre est dirigée vers le foie, qui le stocke sous forme de cholestérol et de triglycérides.

    Les statines empêchent votre foie de synthétiser le cholestérol. La conséquence est que votre foie renvoie le sucre dans le circuit sanguin, ce qui augmente votre glycémie.

    À ce stade, il est important de comprendre qu’un diabète provoqué par un médicament et un véritable diabète de type 2 ne sont pas forcément identiques.

    Si vous suivez un traitement à base de statine et que votre glycémie est élevée, il est possible qu’il ne s’agisse que d’hyperglycémie – un effet secondaire, et le résultat de votre traitement. Malheureusement, de nombreux médecins vont alors vous diagnostiquer à tort un « diabète de type 2 » et éventuellement vous prescrire un autre médicament, alors qu’il vous suffirait d’arrêter les statines pour que votre glycémie revienne à la normale.

    Une importante étude sur les statines se révèle erronée

    Une étude connue sous le nom d’essai JUPITER avait initialement suggéré que les statines destinées à diminuer le cholestérol pouvaient prévenir les décès liés au cœur, sans se limiter aux personnes présentant un cholestérol élevé.

    Mais deux ans après leur publication en 2008, les chercheurs ont déclaré que les résultats de JUPITER étaient erronés – et qu’ils ne soutenaient pas les bienfaits rapportés initialement. Non seulement il n’existe aucune « diminution notable des complications des maladies coronariennes », mais un rapport plus récent à également remis en question l’implication des sociétés pharmaceutiques dans ces essais.

    Si vous prenez des statines, vous DEVEZ prendre de la CoQ10

    Les statines épuisent les réserves de CoQ10 de votre corps, ce qui peut avoir des effets dévastateurs. Si vous prenez des statines sans prendre de CoQ10, votre santé est sérieusement menacée. C’est malheureusement le cas de la majorité des personnes qui en prennent aux États-Unis.

    La CoQ10 est un cofacteur (co-enzyme) essentiel à la création de molécules d’ATP, nécessaires à la production d’énergie cellulaire. Des organes comme votre cœur ont des besoins énergétiques plus élevés, et nécessitent donc plus de CoQ10 pour fonctionner correctement. Produite principalement par votre foie, elle joue également un rôle dans le maintien de la glycémie.

    Les médecins informent rarement leurs patients de ce risque et ils ne leur conseillent que rarement de prendre une supplémentation de CoQ10. À mesure que votre corps s’appauvrit en CoQ10, vous risquez de souffrir de fatigue, de faiblesse musculaire et de douleurs, et à terme de défaillance cardiaque.

    La coenzyme Q10 est également très importante dans le processus de neutralisation des radicaux libres. Donc lorsque vos réserves de CoQ10 sont épuisées, vous entrez dans un cercle vicieux d’augmentation de radicaux libres, de perte d’énergie cellulaire et d’ADN mitochondrial endommagé.

    Si vous décidez de prendre un supplément de CoQ10 et avez plus de 40 ans, il est important de choisir sa forme réduite, l’ubiquinol. L’ubiquinol est une forme BIEN plus efficace – j’en prends personnellement quotidiennement pour ses innombrables bienfaits. Quant au dosage, le Dr. Graveline, médecin et ancien astronaute, a fait les recommandations suivantes au cours d’une interview sur les statines et les CoQ10 :

    • Si vous présentez des symptômes de dommages liés aux statines, tels que des douleurs musculaires, prenez entre 200 et 500mg
    • Si vous souhaitez simplement en prendre à titre préventif, 200 mg voire moins devraient suffire

    Les statines affectent de nombreuses fonctions biologiques

    Voici certains des produits de ces fonctions biologiques sur lesquels les statines ont une incidence négative :

    • Toutes vos hormones sexuelles
    • La cortisone
    • Les dolichols, qui sont chargés de maintenir les membranes internes de vos cellules saines
    • Tous les stérols, notamment le cholestérol et la vitamine D (qui est similaire au cholestérol et est synthétisée au niveau de la peau à partir du cholestérol)

    Il n’a pas encore été établi de façon certaine que les statines épuisent votre corps de ses réserves de vitamine D, mais on sait qu’elles réduisent la capacité naturelle de votre corps à synthétiser de la vitamine D active (1,25-dihydroxycholécalciférol).

    Il s’agit de la conséquence naturelle de la capacité du médicament à réduire le cholestérol, puisque le cholestérol vous est nécessaire pour synthétiser la vitamine D !

    C’est la matière première que votre organisme utilise pour synthétiser la vitamine D après que votre peau ait été exposée au soleil.

    Il est également largement reconnu que la vitamine D améliore la résistance à l’insuline ; inutile donc de vous dire que lorsque vous prenez des statines, vous perdez ce mécanisme interne bénéfique pour la santé, ce qui est une piste supplémentaire pour expliquer que les statines peuvent provoquer le diabète.

    99 personnes sur 100 n’ont pas besoin de statines

    Si votre médecin vous pousse à contrôler votre cholestérol total, sachez que ce test ne vous dira pratiquement rien à propos de votre risque de maladie cardiaque, à moins que votre taux soit de 330 ou plus. Le taux de HDL est un indicateur bien plus révélateur des risques de maladie cardiaque. Voici les deux ratios auxquels il faut être attentif :

    1. Ratio HDL/Cholestérol total : il devrait idéalement être de plus de 24%. S’il est au-dessous de 10% vous présentez un risque significativement élevé de maladie cardiaque.
    2. Ratio Triglycéride/HDL : il devrait être inférieur à 2.

    J’ai vu de nombreuses personnes ayant un taux de cholestérol total de plus de 250 mais un faible risque de maladie cardiaque en raison de leur taux élevé de HDL. Inversement, j’ai vu de nombreuses personnes présentant un taux de cholestérol au-dessous de 200 mais un risque de maladie cardiaque élevé, en raison de leur faible taux de HDL.

    Votre corps a BESOIN de cholestérol – il est important pour la production des membranes cellulaires, des hormones, de la vitamine D, et des acides biliaires qui vous aident à digérer les graisses. Le cholestérol aide également votre cerveau à fabriquer les souvenirs et est essentiel à votre fonction neurologique.

    Il existe également des preuves solides qu’un taux de cholestérol trop faible AUGMENTE votre risque de cancer, de perte de mémoire, de maladie de Parkinson, de déséquilibre hormonal, d’AVC, de dépression, de suicide et de comportement violent.

    Les femmes enceintes ne doivent JAMAIS prendre de statines

    Le problème est, entre autres, que de nombreux médecins ne sont même pas conscients de tous les risques. Une étude publiée au printemps dernier a souligné ce dilemme.

    Le plus troublant est que les chercheurs ont révélé que les médecins n’étaient pas suffisamment au courant des risques tératogènes  (susceptible de provoquer des malformations fœtales) des statines et d’autres médicaments cardiovasculaires qu’ils prescrivent à leurs patientes enceintes.

    L’étude faisait suite à un rapport antérieur qui avait conclu que les statines devaient être évitées en début de grossesse en raison de leur potentiel tératogène. Une étude encore antérieure, menée en 2003, avait déjà établi que le cholestérol joue un rôle essentiel dans le développement embryonnaire, et que les statines pouvaient jouer un rôle dans certaines mutations embryonnaires, voir dans leur décès…

    Il est difficile de faire ces constats sans arriver à la conclusion que l’industrie pharmaceutique n’hésite pas à sacrifier des vies humaines au nom du profit. Les statines sont en effet classifiées comme « médicaments de catégorie X ». Cela signifie qu’ils provoquent de sérieuses malformations congénitales et ne devraient JAMAIS être utilisés par une femme enceinte ou prévoyant de l’être.

    Parents, méfiez-vous de la campagne scandaleuse poussant à mettre les enfants sous statine !

    Dans une tentative audacieuse d’augmenter ses profits avant que le brevet n’expire, Pfizer a commercialisé une version sous forme de gomme à mâcher du Lipitor, à l’intention des enfants.

    Son brevet américain pour le Lipitor a expiré en novembre 2011 et, cherchant à stimuler les ventes du médicament, les enfants sont devenus le nouveau marché cible, et l’establishment médical traditionnel se fait une joie d’abonder dans ce sens.

    Des chercheurs et de nombreux médecins demandent aujourd’hui un dépistage scolaire systématique pour détecter les enfants ayant un taux de cholestérol élevé et déterminer lesquels ont « besoin d’un traitement ».

    De plus, leurs frères et sœurs, parents et autres membres de la famille pourraient être encouragés à être contrôlés également, d’après les chercheurs, ce qui révèlerait d’autres adultes, non encore diagnostiqués, et nécessitant un traitement.

    Ce n’est certainement PAS un bon moyen d’améliorer la santé publique. Cela pourrait au contraire donner lieu à une nouvelle vague de terribles répercussions sanitaires en quelques années à peine.

    Donc plutôt que d’améliorer les repas de cantine, ce qui couterait environ un dollar par jour et par enfant, ils préfèrent « investir » dix fois plus en tests et médicaments qui ne traitent en aucune façon la véritable cause du problème, à savoir une alimentation inappropriée et malsaine !

    Cela permet uniquement à toutes les industries de maintenir ou d’augmenter leurs bénéfices : Les grands de l’industrie pharmaceutique, du sucre, du maïs et l’industrie de la transformation alimentaire.

    Qui paye ?

    Vous et vos enfants ! Et à plus d’un titre !

    Optimiser votre taux de cholestérol de façon naturelle

    • Optimisez votre taux de vitamine D.
    • Réduisez, dans l’optique de les éliminer totalement de votre alimentation, les céréales et les sucres. Idéalement, vous devriez également consommer une bonne proportion de vos aliments crus.
    • Assurez-vous d’avoir un apport suffisant d’acides gras omega-3 d’origine animale de très bonne qualité, comme de l’huile de krill.
    • Parmi les autres aliments sains pour le cœur, on trouve l’huile d’olive, la noix de coco et l’huile de noix de coco, les produits laitiers crus biologiques et les œufs, les avocats, les noix et les graines, et les viandes bio élevées au pâturage.
    • Pratiquez une activité physique quotidienne. Incorporez surtout des exercices de Peak Fitness qui optimisent également votre production d’hormones de croissance (hGH).
    • Réglez vos problèmes émotionnels. Ma technique préférée de gestion du stress est la Technique de Libération Émotionnelle (EFT).
    • Évitez le tabac et la consommation excessive d’alcool.
    • Assurez-vous de dormir suffisamment, d’un sommeil réparateur.

    L’affaire de la sécurité et du retrait du Baycol :

    En août 2001, Bayer AG, le fabricant du Baycol (cérivastatine), un médicament anti-cholestérol répandu et utilisé par environ 700.000 américains, a retiré le médicament du marché après que 31 personnes soient décédées des suites d’une grave destruction musculaire, un effet secondaire reconnu des médicaments anti-cholestérol.

     

    Par le Dr. Mercola

     

    Références:

    (1)  Spacedoc.com Statin Drugs List

    (2)  ABC News June 29, 2010

    (3)  Journal of the American Board of Family Medicine

    (4)  Drug Metabolism Reviews

    (5)  The Journal of Biological Chemistry

     

     

    Source : sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Vous souffrez de stress visuel ?

    Découvrez-le en identifiant ces 8 symptômes

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    La démangeaison des yeux est généralement l'un des symptômes les plus récurrents du stress visuel, mais nous pouvons également en présenter d'autres si nous ne prenons pas les mesures adéquates pour protéger notre vision.
     

    L’exposition continue aux écrans des appareils électroniques, aux rayons UV du soleil et aux toxines de l’environnement sont quelques-unes des raisons pour lesquelles les cas de stress visuel ou d’asthénopie ont augmenté ces dernières années.

    Cet état, de plus en plus fréquent parmi la population, se caractérise par une sensation inconfortable de fatigue oculaire, accompagnée d’une vision floue, de difficultés à maintenir la vue et, dans certains cas, d’irritation.

    80% des personnes qui travaillent devant des ordinateurs en souffrent au moins une fois, et elle est également fréquente chez celleux qui forcent leur vision dans des espaces à faible éclairage.

    Le plus inquiétant est que la plupart des personnes affectées ignorent leurs symptômes et, malgré les inconvénients, ne suivent pas de traitement favorable ni approprié.

    Pour cette raison, il est essentiel de savoir comment ce trouble se manifeste depuis ses étapes initiales et après l’avoir l’identifié, consulter un-e médecin spécialiste.

    1. Les yeux secs

    La sècheresse des yeux est un symptôme inconfortable qui, s’il n’est pas traité, peut entraîner des douleurs et des difficultés de vision.

    Cela se produit par le manque de fluides dans les canaux lacrymaux, lesquels sont responsables de garder les yeux protégés et lubrifiés.

    Cela entraîne une sensation gênante de démangeaison et d’irritation, similaire à l’effet de petites particules de poussière tombant dans les yeux.

    Bien que ce soit un symptôme commun de l’exposition à des milieux pollués, cela peut se produire en raison d’un effort trop excessif de la vision provoquée par le stress.

    2. Le prurit oculaire

    La sensation de démangeaison dans les yeux, également connue sous le nom de prurit oculaire, est une réaction d’avertissement contre la baisse de la production de larmes.

    Il est accompagné d’une irritation des lacrymaux et d’un malaise dans les yeux et augmente habituellement lorsque des activités impliquent des efforts de la vue.

    3. Les vertiges

    Le stress visuel est lié dans certains cas à des vertiges et à un manque de coordination dû au surmenage des yeux, ce qui provoque une baisse d’énergie et l’augmentation de la fatigue.

    Dans ce cas particulier, il est accompagné de confusion et de fortes céphalées, puis depâleur et de faiblesse dans les extrémités.

    4. La sécrétion lacrymale

    Alors que certains cas de stress oculaire produisent de la sécheresse, d’autres provoquent des sécrétions lacrymales constantes en raison de l’effort que les yeux doivent faire.

    Ce symptôme est habituellement provoqué par la présence de particules et de substances venant de l’environnement qui atteignent la surface des yeux, même si parfois, cela alerte d’un problème visuel.

    Chaque fois que se problème arrive il sera nécessaire de consulter un spécialiste pour confirmer si son origine est due au stress, à un traumatisme ou à une pathologie oculaire.

    5. La migraine

    Les maux de tête forts comme ceux des migraines peuvent être un signe évident de fatigue oculaire et de fatigue.

    Cette réaction est due à des problèmes de tension et de circulation qui, bien qu’ils ne se remarquent pas, se produisent en raison du surmenage.

    Dans ces cas, il est essentiel d’analyser la présence d’autres symptômes, puisqu’il peut également survenir à cause de multiples autres raisons.

    6. L’hypersensibilité à la lumière

    Les personnes qui passent trop d’heures devant leur ordinateur ont souvent des épisodes récurrents d’hypersensibilité à la lumière.

    Ceci est dû au stress des yeux en raison des lumières émises par les écrans, qui affectent la circulation et leur capacité de lubrification.

    C’est un trouble qui est également connu comme la photophobie et, en plus du stress, il peut alerter d’un traumatisme de la cornée.

    7. La conjonctivite

    Le fait de passer de longues heures devant les écrans des appareils électroniques augmente le risque de souffrir une conjonctivite.

    Cet état se développe lorsque la conjonctive est enflammée, cette fois en raison del’excès de travail auquel les yeux sont soumis.

    Toutefois, il convient de remarquer que la plupart des cas sont produits par l’action de virus, de bactéries et de toxines provenant de l’environnement.

    8. La vision floue

    La vision floue et les difficultés à voir de petits détails sont un signe inquiétant qui met en garde contre les maladies des yeux, des troubles de la réfraction et la perte de vision.

    Après avoir souffert de ce trouble, il faut consulter un-e spécialiste, car c’est un signe précurseur de maladies visuelles majeures.

    La plupart du temps, il est accompagné de migraines, de fatigue et autres symptômes mentionnés ci-dessus.

    Recommandations finales

    • Afin d’éviter tous les symptômes du stress oculaire, il est essentiel de prendre des pauses pendant la journée et, si possible, de pratiquer des exercices visuels avec régularité.
    • Il est également recommandé d’avoir une bonne qualité de sommeil, car le repos est essentiel pour maintenir la santé visuelle.
    • L’idéal est de réaliser des examens et des révisions périodiques. Nous ne devons pas oublier que, parfois, la récurrence de ces troubles peut provenir d’autres maladies.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • L’insomnie augmente les risques d’ictus et d’infarctus

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Selon les données de différentes études, l'insomnie et le manque de repos peuvent entraîner des problèmes cardiovasculaires. De plus, les femmes sont généralement les plus touchées.
     

    À travers nos différents articles, nous avons abordé à maintes reprises les effets négatifs de l’insomnie sur notre santé.

    Ceci est parfaitement logique. C’est un problème qui affecte chaque jour de plus en plus de personnes, malgré la fonction indispensable que le sommeil a dans sur notre organisme.

    Pendant ce temps, le corps se repose et se régénère de toute la fatigue accumulée pendant la journée. Par conséquent, lorsque nous ne dormons pas bien, nous en pâtissons à un point que nous ne soupçonnons même pas.

    Bien que nous sommes de plus en plus conscients de l’importance de prendre soin de nous-mêmes, la compétitivité de nos sociétés et les exigences de notre travail nous obligent à ignorer certains aspects, comme l’hygiène du sommeil.

    Cette idée est tellement implantée que de nombreuses personnes pensent que l’insomnie est le fait de ne pas dormir durant toute la nuit. Néanmoins, son étendue est beaucoup plus importante.

    En résumé, elle regroupe tous les phénomènes qui vous empêchent de vous reposer pendant la nuit de façon continue. Ainsi, chaque fois que cela se produit, vous ne récupérez pas comme vous le devriez.

    Bien que ses conséquences soient très variées, une récente étude réalisée en Chine a révélé que l’insomnie augmente le risque d’ictus et d’infarctus.

    Comment a-t-on prouvé que l’insomnie augmente le risque d’ictus et d’infarctus

    Pour en arriver à cette conclusion, 15 études ont été menées, impliquant l’intervention de 160 798 participant-e-s.

    Au cours de cette période, on a détecté 11 702 cas d’accidents cardiovasculaires ou coronaires. Tou-te-s avaient présenté des symptômes d’insomnie pendant l’étude.

    Il est frappant que ce problème n’affecte pas les personnes qui se réveillent avant que l’alarme ne sonne.

    Cela touche davantage ceux qui ont du mal à s’endormir ou, s’ils y arrivent, ne le font pas de manière continue. Par conséquent, leurs corps souffrent d’un déficit de repos qui peut aboutir à ces types de problèmes.

    Malgré cela, Qiao He, le superviseur de l’étude, affirme qu’il est encore difficile de déterminer la relation exacte entre les deux phénomènes.

    • Cependant, d’un autre côté, nous sommes certains que le manque de sommeil affecte le métabolisme.
    • Par conséquent, la pression artérielle est altérée, tout comme les cytokines inflammatoires et pro-inflammatoires. Tous sont impliqués dans l’infarctus cérébral ou coronaire.

    Pourtant, ce problème n’affecte pas tout le monde de la même façon.

    • Les femmes courent plus de risques d’être atteintes, entre autre, parce qu’elles sont plus sujettes à l’insomnie, en raison des changements hormonaux et de leur réponse au stress.
    • Par conséquent, nous recommandons à tout le monde, et en particulier aux femmes, de faire attention à la qualité de leur sommeil.

    Conseils pour une bonne hygiène du sommeil

    Faire du sport

    L’exercice physique non seulement vous fatigue, mais aussi sécrète des substances dans le cerveau qui empêchent l’insomnie, comme la sérotonine.

    D’autre part, il réduit le cortisol, l’hormone du stress. Par conséquent, après une session de sport, nous nous trouvons dans un état d’esprit plus positif et nous nous détendons.

    De plus, cela augmente l’estime de soi, car nous dépassons nos limites mentales et physiques et améliorons notre silhouette.

    Ne vous couchez pas sans dormir

    Parfois, nous faisons l’erreur d’aller nous coucher quand nous pensons que c’est le moment de le faire. Mais, cela peut devenir un problème si vous souffrez d’insomnie.

    La pression de devoir dormir entraîne l’effet inverse, car nous provoquons le stress de cette façon.

    Ne vous est-il jamais arrivé de ne pas pouvoir dormir parce que vous deviez vous réveiller plus tôt que d’habitude ? En général, nous allons au lit plus tôt que d’habitude et l’obsession du repos provoque l’effet inverse.

    Établissez des horaires pour éviter le risque d’ictus et d’infarctus

    Tout ce que nous avons expliqué dans cet article ne peut pas vous prêter à confusion. L’ordre est essentiel en ce qui concerne le sommeil. Le cerveau s’entend très bien avec la routine. Une fois que vous avez établi une habitude, cela fonctionne toujours de la même manière.

    • Ainsi, vous serez surpris-e-s d’être très actifs à neuf heures du soir et, tout d’un coup, de commencer à bâiller à dix heures de manière inexpliquée.
    • Faites la même chose en ce qui concerne votre réveil. Cependant, prenez quand même votre temps.
    • Si vous ne pouvez pas dormir, levez-vous et lisez quelque chose d’ennuyant. Ce livre que vous ne pourriez jamais terminer.

    Malgré les résultats de la recherche, la bonne nouvelle est que l’insomnie a une solution. Ainsi, si vous dormez bien, vous aurez moins de chances que cette maladie n’apparaisse dans votre vie.

    C’est une raison plus que suffisante pour commencer à avoir une bonne hygiène du sommeil, n’est-ce pas ?

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Un médicament pour réduire la chimiothérapie des poumons

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Réduire la chimiothérapie des poumons consiste à pallier ses effets secondaires et à réaliser la première étape pour que cette maladie, habituellement mortelle, devienne simplement chronique.
     

    Même lorsqu’on nous dit que nous allons guérir, tout le monde a peur du cancer.

    D’ailleurs, les personnes ayant vécu la maladie de près, disent que le pire du processus n’est pas le traitement lui-même, mais ses effets secondaires.

    Dans ce but, la communauté scientifique cherche des solutions efficaces pour réduire la chimiothérapie.

    Ce n’est pas facile, surtout dans le cas du cancer des poumons, mais des progrès très importants ont été réalisés, comme celui que nous présenterons dans cet article.

    Cependant, tout d’abord, nous voulons rappeler les conséquences de la chimiothérapie. Hormis la si courante chute des cheveux, les patients souffrent généralement de:

    • Malaise général
    • Nausées
    • Vomissements
    • Douleurs aiguës
    • Difficultés qui affectent d’autres organes

    C’est un médicament tellement puissant qu’il peut nuire aux organes qui étaient en bonne santé avant de commencer la chimiothérapie.

    Nous devons prendre en compte que, dans notre intérieur, se livre une bataille cellulaire.

    Les cellules atteintes doivent tuer les bonnes cellules pour survivre, et concentrent tous leurs efforts à cette tâche. Ainsi, pour mettre fin aux attaquants, nous sommes forcés de mettre en danger les tissus en bonne santé.

    Pour cette raison, les scientifiques recherchent des alternatives qui éliminent ces inconvénients. L’objectif est clair : il s’agit d’améliorer la qualité de vie des patients et des survivants.

    L’immunothérapie, la clé pour réduire la chimiothérapie des poumons

    Selon ce que nous venons d’expliquer, on a pensé que la meilleure façon de lutter était de renforcer les cellules en bonne santé, au lieu d’essayer de tuer les méchants. C’est ce qu’on appelle l’immunothérapie.

    Cependant, malgré certaines avancées, les progrès attendus dans les poumons n’ont pas été atteints.

    Après avoir observé ce problème, les scientifiques ont étudié comment les tumeurs pulmonaires se comportent afin de surmonter le traitement.

    Ils ont ainsi constaté qu’elles avaient développé des barrières qui empêchaient le médicament d’entrer en contact avec leur cible, tandis que dans d’autres cas, le système immunitaire générait une sorte de tolérance à celles-ci.

    La question suivante était donc claire. « Comment pouvons-nous obtenir un médicament pour réduire la chimiothérapie des poumons en évitant ces obstacles? »

    Une équipe d’oncologues à l’hôpital du 12 Octobre à Madrid (Espagne) a été en mesure de tracer le chemin à suivre.

    Le traitement n’est plus ciblé sur le système immunitaire en général, mais sur une protéine plus spécifique, appelée PD1.

    Le docteur Gil Bazo, spécialiste de l’oncologie médicale, explique que lorsque cette protéine rencontre une autre protéine, la PD-L1, et qu’elles s’unissent, la tumeur ne l’identifie pas comme un ennemi et la laisse passer.

    Et c’est ainsi qu’a vu le jour le médicament qui éveille tant d’espoirs, le Pembrolizumab.

    Cependant, il ne peut pas être utilisé dans tous les cas. Son efficacité dépend de la présence de PD-L1. Celle-ci doit être supérieure à 51%, sinon, l’action de la fusion protéique est insuffisante.

    Le médicament pourrait rendre le cancer des poumons chronique

    Dans d’autres articles, nous avons parlé de thérapies qui, même si elles ne peuvent pas éliminer la tumeur, permettent d’allonger la vie. Il est évident que cette vie ne sera pas asymptomatique, mais ce sera quand même une vie.

    Aussi, à ce stade, il est inévitable de penser à la syphilis, à la tuberculose, à l’asthme… Tous étaient autrefois des maladies incurables et mortelles. Cependant, aujourd’hui c’est très différent.

    Ces états et autres semblables ont disparu ou bien, font partie de la vie des malades, mais ne les empêchent pas de vivre pleinement.

    Ainsi, en plus d’éviter les effets secondaires de la chimiothérapie, cette première étape mènera au contrôle d’une des tumeurs les plus mortelles qui existe actuellement.

    Le cancer du poumon est un cancer très agressif, habituellement lié à des habitudes de vie très spécifiques dû au fait que de nombreuses personnes ont du mal à arrêter de fumer.

    Cela en fait l’une des maladies les plus difficiles à traiter et donc l’une des plus mortelles.

    L’approbation par la Commission européenne du Pembrolizumab nous met dans la ligne de départ d’une carrière passionnante. Une course dans laquelle, enfin, nous avons une chance de victoire.

    Vivre sans renoncer à votre dignité est toujours une victoire.

    Conscients de cela, les oncologues continuent de concentrer leurs efforts pour passer à l’étape suivante. Ils savent mieux que quiconque, en matière de médecine et de science, que le dernier mot n’a jamais été dit.

    En fait, nous en sommes là précisément, parce que nous ne nous rendons pas et n’acceptons pas ce qui est établi comme immuable.

    Bien sûr, ce sont eux qui incarnent le meilleur esprit révolutionnaire, eux qui luttent « face à l’impossible » pour améliorer la vie des autres.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Etude de l’INSERM sur l’impact de la télévision sur les enfants

     

     

     

     

     

    Un livre, nourri de centaines d’études scientifiques, décrit l’impact de la télé sur la société et sur les capacités intellectuelles.

    Affligeant, la télévision est un fléau ! Un chercheur en neurosciences a eu la bonne idée de compiler dans un livre les centaines d’études prouvant les effets toxiques du petit écran, mettant fin au mythe de « la télé, bouc émissaire ».

    A la lecture du livre de Michel Desmurget, « TV lobotomie », on se demande comment on peut laisser faire ça. Le constat est tellement accablant que l’on se demande un moment si l’auteur n’est pas de mauvaise foi. Mais au fil des pages, il faut se rendre à l’évidence : l’impact de la télévision est tellement nocif pour la société qu’on se demande pourquoi il n’existe pas un bandeau quand on appuie sur le bouton, du type « la télévision que vous venez d’allumer est dangereuse pour votre santé ».

    Des preuves à l’appui du discours, il y en a des centaines dans « TV lobotomie ». C’est justement l’idée de l’auteur, docteur en neurosciences à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) : faire la synthèse des différentes études portant sur la toxicité de la télévision. « Depuis 15 ans, il ne s’est pas passé une semaine sans que j’extraie au moins un ou deux papiers relatifs aux effets délétères de la télévision sur la santé », explique-t-il.

    Avant d’exposer ces effets, l’auteur veut battre en brèche le mythe de la télévision supplantée par Internet : l’usage des nouvelles technologies ne remplace pas la télé, il s’y additionne. « Un spectateur « typique » de plus de 15 ans passe chaque jour 3h 40 devant son poste de télévision », soit 75 % de son temps libre ! Quant aux enfants, « un écolier du primaire passe, tous les ans, plus de temps devant le tube cathodique que face à son instituteur », soit plus de 2 heures par jour. Pour quelles conséquences ?

    Troubles de l’attention

    D’abord, l’impact de la petite lucarne sur le développement des enfants et des adolescents. Une « marque » indélébile : « Tous les champs sont touchés, de l’intelligence à l’imagination, en passant par le langage, la lecture, l’attention et la motricité », résume l’auteur (lire ci-dessous). Ces effets s’expliquent notamment par ce que les chercheurs appellent « le déficit vidéo » : passif devant un écran, un enfant pourra apprendre quelque chose, « mais ce quelque chose sera toujours notablement inférieur à ce qu’il aurait appris d’une interaction effective avec son environnement ».

    Pourquoi ? Parce que l’on ne se construit pas en restant spectateur. « Le cerveau ne s’organise pas en observant le réel, mais en agissant sur lui », rappelle le neurologue. Ainsi, regarder la télévision apparaît comme un moment dépourvu de toute interactivité concrète.

    Les effets dévastateurs de la télé se prolongent une fois qu’elle est éteinte. L’enfant prend en effet l’habitude de maintenir son attention par des sollicitations extérieures. Son cerveau, exposé à des séquences courtes, s’habitue à passer du coq à l’âne. Résultat ? Les chercheurs expliquent que le système attentionnel « automatique exogène » (suscité par l’extérieur) s’hypertrophie, au détriment du système « volontaire endogène ». Or, c’est l’attention « volontaire endogène » qui est nécessaire au processus d’apprentissage et de mémorisation.

    Sentiment d’insécurité

    La télé prescrit aussi, à notre insu, une certaine forme de pensée et d’agir via la publicité, qui est au fondement de son système économique. Et alors ? Elle a des impacts scientifiquement avérés sur les problèmes d’obésité, d’alcoolisme, de dépendance au tabac… Mais pas seulement : l’auteur rappelle qu’elle acculture aussi par les programmes entre les pubs, destinés à retenir l’attention des téléspectateurs coûte que coûte, à « le détendre pour le préparer entre deux messages » publicitaires, selon la célèbre expression de Patrick Le Lay, l’ancien PDG de TF1.

    En particulier, Michel Desmurget rappelle que « l’on sait aujourd’hui qu’un individu soumis à des tensions émotionnelles enregistre mieux les messages qui lui sont imposés et s’avère plus aisément conditionnable. S’il s’avère nécessaire, pour favoriser ce dessein, de farcir l’antenne d’un monceau de violence, alors peu importe », écrit-il. Sexe, violence, société de consommation… la télévision ne serait-elle que le reflet de la société ? Assurément pas, selon l’auteur, qui remarque que la violence et le sexe sont sur-représentées à la télévision par rapport à la réalité. Cela pourrait d’ailleurs expliquer le lien établi par des études entre exposition télévisuelle, et grossesse précoce non désirée par exemple.

    Le petit écran « travaille » aussi les représentations sur les genres sexuels, plus stéréotypés et inégalitaires à travers son prisme que dans la réalité. Quant au lien entre violence et télévision, Michel Desmurget rappelle qu’il ne fait désormais plus de doute au sein de la communauté scientifique : la télévision rend agressif, c’est presque aussi certain que le lien entre tabac et cancer du poumon.

    Caricatural, Michel Desmurget ?

    Aucun chercheur respectable ne suggère que la violence médiatique est « la » cause des comportements violents. La seule chose qu’osent affirmer les scientifiques, c’est que la télévision représente un facteur de violence significatif, et qu’il serait dommage de ne pas agir sur ce levier, relativement accessible en comparaison d’autres déterminants sociaux plus profonds (pauvreté, éducation, cadre de vie, etc.). Michel Desmurget

    Non, la télévision n’est pas responsable de tous les maux. Non, la télévision n’est pas seule responsable de l’obésité, ou de la violence. Mais en multipliant les références violentes et anxiogènes pour favoriser l’audience, la télévision rend la société encore plus obèse, encore plus violente. Et parfois, l’influence de la fiction « dépasse la réalité » : le fameux sentiment d’insécurité, qui n’a aucun rapport avec l’évolution des agressions constatées, a par contre un lien avéré avec l’exposition télévisuelle…

    TV et enfants

    Comment la télé éteint l’imaginaire des enfants

    Différentes études prouvent que la télévision bride les capacités intellectuelles des enfants, en particulier leur imagination.

    La télévision, un média comme un autre qui stimule l’imagination et la créativité ? Si ce discours est tenu, en particulier à la télévision, la réalité est toute autre : différentes recherches, présentées dans le livre de Michel Desmurget (ci-dessus), accréditent la thèse contraire, exprimée en termes simples : la télévision abrutit nos enfants !

    Une étude retient particulièrement l’attention du lecteur. Elle a été conduite par deux médecins allemands en 2006, sur une population de près de 2 000 élèves, âgés de 5 et 6 ans. Les médecins ont demandé aux bambins de dessiner un bonhomme. Ils se sont alors aperçu que plus les enfants regardaient la télévision, plus le bonhomme qu’ils dessinaient était simpliste : pas de cheveux, pas d’oreilles, jambes représentées par un trait, etc.

    Les dessins ci-contre, tirés de l’étude, illustrent la différence des représentations imaginaires entre des enfants soumis à la télévision plus de trois heures par jour, et des enfants dont l’exposition est égale ou inférieure à une heure… pas besoin de faire un dessin !

    Pour cette étude, Michel Desmurget ne précise pas si les auteurs ont pris en compte d’autres variables : les enfants regardant la télévision ne seraient-il pas aussi ceux qui vivent dans un environnement socio-éducatif moins stimulant ? La différence de richesse de représentation de l’imaginaire pourrait ainsi s’expliquer principalement par des facteurs socio-éducatifs. La télévision ne serait alors qu’une « variable écran ».

    1973 au Canada : avant et après l’arrivée de la télé

    Mais le doute n’est pas permis pour un autre travail présenté dans « TV lobotomie », dans lequel des chercheurs, dès 1973, ont analysé l’impact de l’arrivée de la télévision (avant, après) dans une ville canadienne de taille moyenne. Ils ont complété leur étude en confrontant les résultats avec des villes comparables ayant déjà la télévision. L’un des travaux consistait à demander à des jeunes de 9 à 12 ans d’imaginer les différents usages possibles de 5 objets (couteau, chaussure, bouton…). Les résultats montrèrent que les enfants de la ville où la télévision était encore absente (NoTel) mentionnaient 40 % d’usages supplémentaires possibles des objets, par rapport aux jeunes de la ville où la télévision était déjà présente. « Et lorsque l’expérience fut reproduite, sur des sujets d’âge similaire, 2 ans après l’arrivée de la petite lucarne dans les foyers NoTel, plus aucune différence ne fut observée entre les différentes villes » souligne Michel Desmurget, qui conclut, un peu plus loin dans le livre :

    La petite lucarne ne rend pas les enfants débiles ou visiblement crétins, mais elle empêche assurément le déploiement optimal des fonctions cérébrales. La vox populi aura évidemment beau jeu de nier l’existence du moindre détriment : voyez, nous dira-t-elle, ils ont regardé la télé et ils ne s’en sont pas mal sortis, ils ne sont pas débiles. Personne cependant ne demandera : cet écran qu’ils ont tant regardé, que leur a-t-il volé ? Michel Desmurget

     

    Fabien Ginisty

     

     

     

     

     

     

    Sources : www.wakeupinfo.fr

              sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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