• SCARLATINE :

    LA MALADIE QUI EXPLOSE À CAUSE DU FROID, EN ANGLETERRE

     

     

     

     

    En Angleterre, les cas de scarlatine aurait bondi de 55% en une semaine, selon des chiffres officiels publiés par le gouvernement. Le froid serait particulièrement propice au développement de cette maladie infectieuse.

     
     

     

    Elle n'a pas disparu en France mais reste suffisamment rare et bien prise en charge pour que nous n'ayons pas de raisons de nous inquiéter. Par contre, en Angleterre, la scarlatine connaît une recrudescence inquiétante depuis 2014, particulièrement l'hiver. D'après les chiffres publiés par le gouvernement britannique, depuis la semaine dernière, une augmentation de 55% des cas aurait été notée. Soit 544 personnes contaminées contre 350 les jours précédents. Au total, 19 000 cas ont été recensés en 2016 (le plus haut niveau depuis 1967) et un peu plus de 17 000 en 2015. 2017 devrait être la deuxième année la plus forte. Plusieurs causes sont évoquées pour expliquer ce retour virulent de la scarlatine en Angleterre : une baisse du niveau de vie, une modification de l'immunité des habitants, des changements environnementaux et la chute des températures.

    Comment attrape-t-on la scarlatine ?

    La scarlatine est une maladie infectieuse qui affecte la peau. Cette pathologie est due à la diffusion de toxines émises par les streptocoques de groupe A et concerne essentiellement les enfants ayant entre cinq et dix ans. Les cas de scarlatine chez les adultes restent rarissimes. La scarlatine est une maladie qui se transmet par inhalation de gouttelettes de salive émises par les personnes malades. C’est au cours de la période d’incubation (pas plus de 5 jours), avant que n’apparaissent les premiers symptômes, que les personnes infectées sont les plus contagieuses.

    Quels sont les symptômes de la scarlatine ?

    La scarlatine entraîne une série de symptômes à la fois classiques et spécifiques. Ainsi on peut observer, lorsque la maladie se déclare, une fièvre d’apparition brutale pouvant atteindre les 40 °C , une inflammation de la gorge (gonflement des amygdales et angine), de s maux de ventre , des nausées et des vomissements, une augmentation de la fréquence cardiaque 
    Plus spécifiquement, la scarlatine provoque l’apparition d’un exanthème scarlatiniforme due à la diffusion dans l’organisme de la toxine sécrétée par le streptocoque A. Concrètement, la peau se couvre d’une multitude de points rouges et devient légèrement granuleuse. Cette atteinte cutanée qui intervient deux jours après l’angine s’observe au niveau du torse, aux épaules et aux hanches, aux plis de flexion (genoux, coudes). Elle s’étend ensuite à l’ensemble du corps en 48 heures. De plus, la langue et les muqueuses se couvrent d’un enduit blanchâtre avant de devenir d’un rouge luisant (énanthème) au bout du cinquième jour.

    Comment soigne-t-on la scarlatine ?

    Le traitement de la scarlatine est un traitement antibiotique. La scarlatine disparaît spontanément en 6 jours . La fièvre tombe alors, l’énanthème disparaît et l’exanthème laisse place à une peau qui se détache en petits morceaux, excepté au niveau de la paume des mains et de la plante des pieds où la peau part en lambeaux. Cette desquamation intervient une semaine après l’apparition des premiers symptômes de la scarlatine.

     

    Aurélie Blaize, journaliste santé

     

     

     

     

     

    Source : medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • ET SI NOUS ETIONS TOUS MEDECINS !

     

     

     

     

     

    ET SI NOUS ETIONS TOUS MEDECINS !


    De nombreuses personnes me sollicitent pour certains conseils d'ordre physique ou psychique et j'ai longtemps cherché un outil efficace que je pourrais partager, en attendant que j'écrive mon propre livre. 
    Un partage  avec mon réseau et tous ceux qui sont en quête de bien-être, pour leur permettre d'être en pleine santé... Alors, vous qui recevez cette information, vous êtes privilégiés, partagez-la à votre tour, de telle sorte que cela devienne la vague du bien-être ! 
    Je propose, depuis des années mes expériences quotidiennes, mes découvertes, mes formations, aujourd'hui je vous fais le cadeau le plus fantastique qui soit, parce que certains des meilleurs médecins du monde ont aussi choisi de le faire : 
    "La Bible de Poche des 501 plus puissants remèdes naturels de Médecins"REMEDES NATURELS


    Quand on trouve une perle, on la montre, on la partage... n'est-ce pas ? 
    Je suis partisane depuis quelques années d'une santé responsable !  Et c'est ce que j'ai envie de vous transmettre  ! 
    Imaginez-vous que nous soyons tous médecins pour nous-mêmes, pour nos proches, comment vivrions-nous ? 
    Certains s'opposeraient en disant :  mais ce serait un manque à gagner pour une partie de l'économie !  On ne joue pas avec la vie de ceux que l'on aime, on ne peut pas être tous médecins !  
    Et bien NON ! Détrompez vous !  Cela nous aiderait à changer le monde de l'intérieur de nos maisons aux sphères les plus hautes de cette société.  Et vivre mieux les uns avec les autres, nous rendrait plus empathiques, soucieux les uns des autres, compatissants et voire même faiseurs de miracles dans nos vies ! 
    Eh quoi ! Vous feriez davantage confiance à ce médecin, cette pharmacienne, cette industrie pharmaceutique, que vous ne connaissez pas, plutôt qu'à vous même ! Tout est en nous : médecin, pharmacie, industrie... Certains se spécialisent plus que d'autres, voilà tout, et nous les remercions...
    Vivre plus longtemps ! Avoir une meilleure qualité de vie ! Aider nos médecins à nous aider ! ne sont-ce pas là les meilleures missions de vie.
    Car croyez-le ou non, la discipline n'est pas toujours notre plus grande vertu à long terme, quand il s'agit de notre santé ! Nous avons besoin d'entraide, de conseils et d'une main sur l'épaule  
    Le dicton : "faîtes ce que je dis, pas ce que je  fais" est encore très présent dans chacune des familles....
    Mais plus encore, ce que les médecins nous conseillent en soins allopathiques, ils se le refusent, eux-mêmes... 
    Nous aurons toujours besoin de nos médecins, mais nous serions plus conscients des choix thérapeutiques qu'ils nous proposent et nous serions plus heureux de mieux comprendre nos malaises et maladies. 

    LES 501 PLUS PUISSANTS REMEDES NATURELS DE MEDECINS

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    LA BIBLE DES 501 PLUS PUISSANTS REMEDES NATURELS DE MEDECINS

    Naturellement vôtre, 

    Camille 

    GVFmédia

     
     
     
     
    Le Spécialiste de l'Information de la Santé Globale
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  • Lorsque nous mangeons nos émotions

     

     

     

     

    Si nous mangeons nos émotions, nous consommerons bien plus d'aliments que nécessaire et n'opterons probablement pas pour les plus sains, car la nourriture deviendra un refuge.

    Lorsque nous mangeons nos émotions

    Nous ne mangeons pas seulement de la nourriture. Parfois, nous mangeons aussi nos émotions. Nous les ingurgitons de manière compulsive dans un accès afin d’exprimer quelque chose que nous refoulons.

    C’est dommage car depuis tout petits, au lieu de nous apprendre à exprimer ce que nous ressentons, on nous incite à le garder bien au fond de nous.

    Nous cessons ainsi de pleurer, nous avons honte d’être triste et nous manifestons notre rage sur ceux qui le méritent le moins, car nous ne savons pas être assertifs et dire ce que nous ressentons vraiment.

    Mangez-vous parce que vous avez faim ou pour rassasier vos émotions ?

    Mangez-vous parce que vous avez faim ou pour rassasier vos émotions ?

    Parfois, nous mangeons nos émotions lorsque nous allons à la cuisine sans avoir faim et que nous mangeons la première chose qui nous tombe sous la main (la plupart du temps, ce n’est pas quelque chose de sain).

    C’est une manière de recouvrir un vide émotionnel qui nous accable.

    Au lieu de le regarder, nous l’évitons, en faisant inconsciemment ce que nous pensons devoir faire parce que nous avons faim alors qu’en réalité, cette faim est émotionnelle.

    Les troubles de l’hyperphagie sont un type de maladie qui affecte de nombreuses personnes qui ingèrent de manière compulsive de la nourriture jusqu’à n’en plus pouvoir.

    Elles n’ont pas faim et ne sont pas non plus de grands mangeurs. Mais elles ressentent au fond d’elles une grande tristesse qu’elles essaient de combler avec d’énormes quantités d’aliments.

    Vous vous rappelez avoir vécu une rupture amoureuse et vous être dégouté de la glace ? Ce que l’on voit si souvent dans les films et qui arrive parfois dans la vie réelle.

    C’est l’anxiété qui en est la cause. L’anxiété d’avoir perdu son partenaire et de se retrouver seul, l’anxiété d’avoir perdu son travail ou un être cher…

    Nous avons perdu quelque chose, le vide s’empare de nous et la manière (erronée) de solutionner cela est de manger, même sans avoir réellement envie de manger.

    De quelles manières mangeons-nous nos émotions ?

    De quelles manières mangeons-nous nos émotions ?

    Si nous voulons identifier le type d’émotion qui nous accable et que nous n’arrivons pas à libérer correctement, il nous faut observer notre manière de manger.

    • Stress : nous mangeons très vite, sans déguster.
    • Peur : la cuisine et ses aliments deviennent notre « refuge ».
    • Culpabilité : nous mangeons plus que nous ne devrions et en conséquence, nous prenons du poids.
    • Tristesse : nous nous dirigeons toujours vers quelque chose de sucré ou vers « de mauvais aliments ».
    • Vide : nous mangeons de manière compulsive pour se sentir bien et rassasiés.

    Vous avez réussi à identifier votre manière de manger ? Nous devons être très honnêtes envers nous-mêmes et ne pas essayer de nous fourvoyer. C’est seulement de cette manière que nous pourrons savoir ce qu’il se passe.

    N’oublions pas que la nourriture est un refuge. C’est au travers d’elle que nous essayons de lutter contre ces émotions qui se battent pour sortir et être résolues.

    Pourquoi avons-nous envie de nous sentir coupables ? De quoi avons-nous si peur ? Pourquoi nous sentons-nous vides ? La réponse à ces questions sera la clé pour libérer toutes ces émotions.

    Lorsque nous mangeons nos émotions, nous cherchons un remède à nos douleurs, mais en réalité nous nous faisons bien plus souffrir en mangeant plus que ce que nous devrions, en quantité inadaptée et sans avoir réellement faim.

    Ne gardez rien pour vous

    Ne gardez rien pour vous

    Lorsque nous mangeons nos émotions, nous les réprimons. Il est possible que nous ne sachions pas comment les exprimer, parce que nous avons peur de le faire ou parce que nous les réprimons.

    Le plus important, c’est de commencer à être conscient que nous nous réfugions dans la nourriture pour éviter d’avoir à gérer une émotion qui se trouve en nous et qui, même si nous l’esquivons, sera toujours présente.

    Nous n’avons aucune raison de garder ce que nous avons au fond de nous.

    Il est possible que vous deviez regarder jusqu’à l’enfance pour découvrir une blessure qui provoque cette sensation de culpabilité ou le fait que vous gardiez en vous cette tristesse parce que vous avez honte de l’exprimer et de l’accepter.

    Il est nécessaire d’apprendre à se regarder et à analyser ce que nous ressentons afin de gérer nos émotions d’une manière bien plus saine.

    Je suis énervé ? Je me sens coupable ? Eh bien je me permets de l’exprimer, que ça sorte sans que ça ne blesse personne.

    Les émotions viennent, puis s’en vont. Si elles ne le font pas, elles perdurent, voire s’enkystent. C’est à ce moment-là que nous mangeons nos émotions.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • TRIGLYCÉRIDES ÉLEVÉS :

    LA COMPLICATION QUI TOUCHE LE PANCRÉAS

     

     

     

     

    Quand les taux de triglycérides grimpent, le risque d’inflammation du pancréas augmente dangereusement. Comment prévenir cette maladie parfois mortelle, et comment la reconnaître ? 

     

     

    Ils viennent à la fois de l’alimentation et d’une fabrication interne par le foie, l’intestin et le tissu adipeux. Les triglycérides, des graisses qui circulent dans le sang, sont facilement mesurables grâce au bilan lipidique. Mais attention : quand les taux de ce lipide s’envolent, les risques d’inflammation du pancréas augmentent.

    La pancréatite : 5 à 10 % de mortalité

    En effet, selon le portail des maladies rares Orphanet, "l’hypertriglycéridémie majeure constitue un groupe de maladies endocriniennes caractérisé par l' augmentation permanente du taux sanguin de triglycérides au-dessus de 4 grammes par litre (g/L), après 12h de jeûne, et un risque accru de pancréatite aiguë , rendant le dépistage essentiel." La pancréatite aiguë se définit par une inflammation du pancréas, une glande digestive qui régule le taux de sucre dans le sang et fabrique des molécules digestives. Cette inflammation correspond à "une auto-digestion de la glande et, éventuellement, des organes de voisinage. Elle peut se compliquer de nécrose, d'infection et de défaillances viscérales multiples", précise la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie (SNFGE). Et cette pathologie n’est pas anodine puisque la mortalité liée à une pancréatite atteint 5 à 10 %.

    "Le risque augmente après un repas chargé ou arrosé"

    Comment éviter cette complication ? Dans les formes majeures d’hypertriglycéridémiele taux de triglycérides peut parfois dépasser les 50 ou 100 g/L et engendre un risque réel de pancréatite . "Mais on ne peut pas prédire quand cette complication va survenir, même si le risque augmente forcément après un repas chargé ou une soirée trop arrosée" souligne le professeur Michel Krempf, endocrinologue et responsable du service Endocrinologie et métabolismes au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Nantes. Surveiller sa triglycéridémie et adopter une hygiène de vie plus saine va donc permettre de limiter les risques de pancréatite. La Haute Autorité de Santé (HAS) recommande ainsi "d'associer une diminution de la consommation des graisses alimentaires et des glucides simples". En effet, "les triglycérides sont très sensibles à l’alimentation et au mode de vie", précise le professeur Krempf. Des mesures diététiques, une activité physique régulière et, si besoin, un traitement médicamenteux à base de fibrates vont donc constituer les principales mesures de lutte contre l’hypertriglycéridémie majeure et, a fortiori , contre la pancréatite aiguë. 
    En cas d’inconfort digestif, de douleur dans l’abdomen et de somnolence après le repas, prenez garde : la pancréatite a peut-être déjà démarré. "Mais l’alerte est surtout donnée grâce à la prise de sang : le plasma sanguin habituellement clair prend, en cas d’hypertriglycéridémie majeure, une couleur laiteuse", révèle l’endocrinologue.

     

    Laurène Levy, journaliste santé

     

     

     

     

    Sources : - Merci au professeur Michel Krempf, endocrinologue et responsable du service Endocrinologie et métabolismes au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Nantes.
    - Haute Autorité de Santé : Principales dyslipidémies : stratégies de prise en charge – février 2017. 
    - Société Nationale Française de Gastro-Entérologie (SNFGE) : La pancréatite aiguë – septembre 1999
    - Société européenne de l’athérosclérose (EAS) - 2016 ESC/EAS Guidelines for the Management of Dyslipidaemias
    - Portail des maladies rares Orphanet : L’hypertriglycéridémie majeure 

    medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est ce que la dysfonction érectile ?

     

     

     

     

    La dysfonction érectile est un problème qui affecte plus de 50% des hommes de plus de 60 ans, bien que très souvent ils ne consultent pas à cause de la gêne que cela provoque. Elle peut provenir de multiples facteurs, aussi bien physiques que psychologiques.

    Qu’est ce que la dysfonction érectile ?

    La dysfonction érectile consiste en l’incapacité de maintenir une érection suffisamment forte pour pouvoir avoir une relation sexuelle satisfaisante.

    Bien qu’il s’agisse d’un problème communément associé au vieillissement, ce n’est pas le seul facteur qui intervient. C’est une maladie dans laquelle rentrent en compte à la fois des facteurs physiques et psychologiques. D’un autre côté, certaines habitudes telles que le tabagisme, l’alcoolisme, la toxicomanie et le mode de vie sédentaire sont des facteurs à risque associés à cette maladie.

    Certaines pathologies constituent également des facteurs affectant la dysfonction érectile. Les plus communs sont ceux liés au cœur, à l’hypertension et au diabète. Même des facteurs psychologiques tels que le stress, l’anxiété, la dépression et même les traumatismes d’événements passés peuvent conduire à un dysfonctionnement érectile.

    À qui la dysfonction érectile affecte-t-elle ?

    On estime que la dysfonction érectile affecte entre 10 et 52% des hommes âgés de 40 à 70 ans. En général, cet état est plus fréquent chez les personnes âgées, de sorte que plus de 50% des hommes de plus de 60 ans en souffrent.

    Dysfonction érectile et l’âge

    Au fil des ans, la force de l’érection diminue et le temps nécessaire pour l’atteindre augmente, tout comme la période réfractaire. Cependant, tous ces changements ne sont ni pathologiques ni ne diminuent la sexualité des personnes.

    Qu’est-ce qui peut provoquer un dysfonctionnement érectile ?

    les raisons du dysfonctionnement érectile
    • L’âge.
    • Les pathologies mentionnées ci-dessus.

    La dépression, l’apathie, l’anhédonie et la tristesse diminuent le désir d’avoir des relations sexuelles et le plaisir qu’elles procurent. En outre, la dépression provoque une forte diminution de la libido.

    • La prise de médicaments, tels que ceux pour traiter l’hypertension artérielle, l’excès de cholestérol, entre autres. Certains traitements tels que la chimiothérapie, la radiothérapie, la dialyse et certaines interventions chirurgicales affectent également cet état.
    • Les lésions traumatiques spinales. Même ainsi, tous les patients handicapés ne sont pas en mesure d’avoir des rapports sexuels. La possibilité d’avoir une érection ou un orgasme dépend du point médullaire dans lequel la blessure s’est produite.
    • La consommation d’alcool et de drogues. Bien que l’alcool agit comme un désinhibiteur, en réalité, il est l’un des principaux facteurs qui diminuent les érections.

    Diagnostic

    diagnostic de la dysfonction érectile
    • Dossier clinique. Le diagnostique devrait être exhaustif et aborder toutes les causes possibles. Il est également important de faire participer le partenaire sexuel.
    • Examen physique (incluant les parties génitales et un examen rectal).
    • Examens de laboratoire. Puisque ceux-ci servent à exclure une altération hormonale, mesurer les taux de testostérone et ceux de la prolactine.

    Traitement

    Normalement, les problèmes sexuels sont une source d’embarras et dans de nombreux cas, ils ne sont pas vérifiés auprès d’un spécialiste, par conséquent, ils ne reçoivent pas de traitement à temps. En ce sens, il faut se rappeler qu’en cas de problème de santé, qu’il soit sexuel ou non, il faut s’adresser à un professionnel et rester ouvert pour trouver facilement les solutions.

    Cependant, ce ne sont pas seulement les patients qui éprouvent de la honte lorsqu’il s’agit de régler ces problèmes. Beaucoup de spécialistes éprouvent des scrupules ou de la pudeur quand il s’agit de demander à leurs patients de parler de leur vie sexuelle, ce qui rend difficile l’approche correcte de la maladie. Heureusement, ce n’est pas toujours le cas.

    En ce qui concerne le traitement de la dysfonction érectile, le patient doit savoir qu’il existe plusieurs solutions. Le médecin déterminera celle qui est la plus indiquée, en fonction des résultats de l’examen physique et des tests de laboratoire, ainsi que des antécédents médicaux du patient.

    Médicaments oraux

    Médicaments oraux pour traiter la dysfonction érectile

    Le citrate de sildénafil (mieux connu sous le nom de viagra) est le traitement de premier recours. C’est un vasodilatateur puissant des vaisseaux sanguins du pénis, c’est le mécanisme par lequel une érection se produit.

    Il existe quelques inconvénients. Il devrait être pris trente minutes avant l’acte et nécessite également une stimulation sexuelle. Il est totalement contre-indiqué chez les personnes pouvant souffrir de crise cardiaque et chez celles traitées avec de la nitroglycérine.

    D’autres thérapies

    • Thérapie intracaverneuse. Cela consiste à utiliser des injections, qui sont placées directement sur les sinus caverneux du pénis (dans le corps). Ce n’est pas une méthode indiquée pour tous les patients, ni très demandée par eux.
    • Dispositifs de vide. C’est l’un des premiers choix pour le traitement de la dysfonction érectile. Le pénis est inséré dans un cylindre, à la fin duquel il y a un mécanisme d’aspiration. Lorsqu’il est activé, le sang entre dans le pénis et une érection se produit. Après cela, un anneau de silicone est placé à la fin du pénis, empêchant le sang de fluer et de maintenir l’érection.
    • Implant de prothèse dans le pénis. Ce traitement est réservé aux cas les plus graves.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est-ce que la cataracte ?

     

     

     

     

     

    Cette pathologie est associée au vieillissement, étant la première cause de cécité réversible dans le monde.

    Qu’est-ce que la cataracte ?

    La cataracte est une pathologie oculaire très fréquente. Celle-ci est due à une perte de la transparence du cristallin, la structure de l’œil qui permet de focaliser correctement les objets. Compte tenu de cela, il est difficile d’effectuer différentes activités quotidiennes telles que lire, conduire, etc.

    Types de cataracte

    Selon son origine, la cataracte peut se diviser en plusieurs groupes :

    • Congénitale : elle apparaît pendant la petite enfance.
    • Secondaire : elle est la conséquence d’un autre processus et peut être :

    Toxique

    Traumatique

    Dérivée d’une autre pathologie oculaire (telle que l’uvéite)

    • Maladies systémiques qui proviennent de certaines maladies (telles que le diabète mellitus et l’hypoparathyroïdie).
    • Sénile : elles est due au vieillissement et est la plus commune. Elle constitue 90% des cas de cataracte.

    Cataracte sénile

    cataracte sénile

    Avec le vieillissement, la prévalence augmente. Ainsi, 60% de la population âgée de 65 à 74 ans souffre de cataracte et ce pourcentage passe à 70% chez les plus de 75 ans. En effet, avec le vieillissement, la transparence du cristallin diminue progressivement en raison de divers facteurs :

    • Facteurs environnementaux :

    Radiation solaire

    Tabagisme

    • Facteurs métaboliques :

    Nutrition

    • Facteurs génétiques

    Cataracte congénitale

    La cataracte congénitale apparaît dès la naissance ou dans la petite enfance, et peut être unilatérale ou bilatérale. Elle survient en raison de multiples facteurs pendant la grossesse. Certaines maladies métaboliques maternelles peuvent provoquer une cataracte congénitale, telles que le diabète mellitus, l’hypocalcémie ou certaines carences nutritionnelles, telles que la carence en vitamine A ou en acide folique.

    Les infections intra-utérines sont également une cause importante, la plus fréquente étant la rubéole, qui représente entre 30 et 60% des cas. Le cadre associé à la cataracte peut présenter des microphtalmies, des rétinites pigmentaires, la surdité et une cardiopathie congénitale. Les autres infections sont les oreillons, l’hépatite et la toxoplasmose.

    D’autres causes de cataracte, bien que moins fréquentes, sont l’administration de certains médicaments pendant la grossesse, tels que la thalidomide, ou des examens tels que les rayons X. Il convient de noter que certaines maladies chez le fœtus peuvent augmenter le risque de cataracte. C’est le cas de certaines chromosomopathies, telles que le syndrome de Down, ou les maladies métaboliques héréditaires infantiles (celles-ci incluent la galactosémie, l’hypoparathyroïdie ou le syndrome de Lowe).

    Les cas de cataracte dus à des anomalies chromosomiques ou à des maladies métaboliques héréditaires infantiles représentent 1% de la population.

    Qu’est-ce que produit la cataracte ?

    les causes de la cataracte

    La cataracte provoque une diminution de l’acuité visuelle. Selon la partie du cristallin qu’elle affecte, la vision pourra varier d’une façon ou d’une autre :

    • La cataracte nucléaire, représentant 30% des cas, et affectant le centre.
    • La cataracte corticale, qui représente 50% des cas et qui est observée avec une lampe à fente comme des opacités triangulaires et radiales.
    • La cataracte sous-capsulaire postérieure, qui représente 20% des cas, dans lesquels l’acuité visuelle diminue avec une lumière intense. Elle peut survenir en raison de traitements aux corticostéroïdes ou à cause du diabète mellitus.

    La perte d’acuité visuelle est progressive. Ainsi, il existe différentes étapes de l’évolution de la cataracte :

    • Récente : acuité visuelle entre 0,8 et 1,0. C’est ce qu’on appelle la phacosclérose, il y a un durcissement et une raideur dans le cristallin en raison de l’âge.
    • Développée : acuité visuelle entre 0.1 et 0.5. Le centre de la cataracte est dense.
    • Mature : acuité visuelle inférieure à 0,1. On peut percevoir des mouvements et des variations de la lumière. Le cristallin est blanc, appelé leucocorie et intumescent. On ne peut pas  voir le fond avec une lampe à fente.
    • Hypermature : on ne perçoit que des variations de lumière. Le centre est brun et très inhabituel.

    Les symptômes

    Un patient souffrant de la cataracte aura une vision floue, comme s’il voyait à travers un épais brouillard, avec une diminution d’acuité visuelle progressive (plus rapide que la cataracte capsulaire postérieure, qui produit en plus une sensation d’éblouissement).

    Il est important de demander au patient le taux de progression de la perte de vision. D’autre part, il faut évaluer si les conditions d’éclairage influencent la vision du patient, ce qui rend généralement difficile la vision nocturne. Ces patients signaleront également une diminution de la sensibilité au contraste et une altération de la perception des couleurs.

    La cataracte peuvt également présenter d’autres symptômes oculaires, tels que la myopisation ou diplopie monoculaire(communément appelée vision double).

    Analyses

    examens et analyses de la cataracte

    Si une personne soupçonne d’être atteinte de cataracte, il est nécessaire d’effectuer un examen ophtalmologique complet. Lorsque la présence de cataracte est enfin confirmée, d’autres tests seront effectués en cas de chirurgie corrective :

    • Des études biométriques, telles que l’échographie de type A et des études pour déterminer les mesures de la lentille intraoculaire qui sera utilisée pour remplacer le cristallin.
    • Une étude de l’endothélium cornéen avec la microscopie spéculaire. Ceci est important car les cellules de l’endothélium cornéen ne se reproduisent pas. Face à un traumatisme comme la chirurgie de la cataracte, beaucoup de ces cellules se détachent, ce qui peut provoquer des problèmes oculaires à long terme. Il est intéressant de vérifier l’état de ces cellules avant la chirurgie pour éviter de possibles complications.

    Traitement

    Le traitement est fondamentalement chirurgical. Il s’agit d’une procédure simple et peu invasive qui, en fait, est effectuée sans hospitalisation. En outre, il existe d’autres techniques de recherche qui offriront d’autres alternatives dans l’avenir.

    Avant de terminer, ne manquez pas de lire : Ces cornées en hydrogel pourraient rendre la vue à des millions de personnes

    Étant donné qu’elles sont élaborées à partir des cellules mères du patient, les cornées en hydrogel sont compatibles et les possibles rejets du système immunitaire sont ainsi évités.

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 signaux d’un taux de cortisol élevé dans l’organisme

     

     

     

     

     

    Réduire votre ingestion de café et augmenter votre dépense énergétique, grâce à la pratique d'un sport, sont deux aspects essentiels à prendre en compte pour contrôler votre taux de cortisol.

    6 signaux d’un taux de cortisol élevé dans l’organisme

    La cortisol, ou hydrocortisone, est une hormone qui est produite par la glande surrénale.

    Cette hormone permet d’augmenter le taux de sucre dans le sang, mais elle présente plusieurs inconvénients : elle réduit la croissance osseuse et peut provoquer plusieurs maladies, comme le surpoids.

    Lorsque la cortisol est présente à l’excès dans le sang, on parle d’hypercortisolisme ou du syndrome de Cushing. Cette maladie entraîne une accumulation de graisse, une élévation de la pression artérielle et du stress corporel.

    Les signaux que nous allons vous présenter vont vous permettre de savoir si votre taux de cortisol est trop élevé.

    1. Une prise de poids soudaine

    Une prise de poids soudaine est l’un des premiers symptômes d’un taux de cortisol trop élevé.

    • Elle est particulièrement notable dans la partie supérieure du corps, à cause d’une accumulation de graisse au niveau des épaules, de la poitrine et du dos.
    • Le phénomène suivant peut également vous mettre la puce à l’oreille : au contraire du reste de la zone supérieure du corps, les bras et les jambes du patient restent minces.

    2. Des symptômes cutanés

    acné

    La peau est également affectée par l’hypercortisolisme.

    Cela peut provoquer des troubles comme :

    • De l’acné
    • Des lésions violacées sur les seins, le ventre et les cuisses
    • Des hématomes et une grande faiblesse
    • Une augmentation du duvet facial et corporel

    3. Des symptômes musculaires et osseux

    Un taux élevé de cortisol affecte également la santé des muscles et des os. La structure osseuse devient plus faible et cela augmente le risque de fractures, particulièrement au niveau des côtes et de la colonne vertébrale.

    4. Une déficience du système immunitaire

    système immunitaire

    Le thymus, la glande chargée de réguler le système immunitaire chez l’être humain, peut être dérégulée par un excès de cortisol.

    Cette hormone peut causer la mort de certaines cellules et inciter le système immunitaire à attaquer les tissus de notre corps comme s’ils étaient des virus.

    • Les symptômes les plus communs associés à ce trouble sont l’apparition d’allergies et d’asthme.
    • Cependant, le problème peut devenir bien plus grave. Un lupus, la maladie de Crohn ou la fibromyalgie peuvent être provoqués par ce dérèglement.

    5. Une dépression et des changements d’humeur

    L’anxiété est l’un des symptômes les plus fréquents chez les patients qui souffrent de niveaux élevés de stress.

    Elle est généralement accompagnée par des changements d’humeur soudains et réguliers voire, dans les cas les plus graves, par une dépression.

    Certaines études démontrent qu’un taux élevé de cortisol réduit la circulation sanguine et l’administration de glucose dans le cerveau.

    Cette réaction altère la capacité des cellules cérébrales à capter le glucose, ce qui peut entraîner la mort de certaines d’entre elles.

    6. De la fatigue et de l’insomnie

    fatigue

    L’énergie apportée par le cortisol peut être tout à fait contreproductive pour notre organisme.

    Comme il est beaucoup trop actif durant la journée, notre corps ne parvient pas à se reposer correctement. Durant la nuit, l’excès de cortisol empêche le patient qui en souffre de se reposer et il ne parvient pas à trouver un sommeil réparateur.

    • Dans des conditions normales, une personne connaît une montée de cortisol aux alentours de 8 heures du matin, afin de pouvoir être active durant la journée.
    • Mais chez les patients souffrant d’hypercortisolisme actif, c’est l’inverse. L’hormone s’active durant la nuit et le patient est très fatigué dès son réveil.

    Comment réduire la cortisol dans l’organisme ?

    Dans la suite de cet article, nous allons vous présenter quelques conseils qui vont vous permettre de réduire votre taux de cortisol et d’avoir une vie plus saine.

    Dites adieu au café

    La caféine a tendance à augmenter le taux de cortisol dans le sang, d’au moins 30% par heure. Il faut prendre en compte que ses effets peuvent parfois durer jusqu’à 18 heures.

    Si votre intention est de diminuer votre métabolisme catabolique et d’augmenter votre métabolisme anabolique, ne buvez plus de café.

    Essayez de dormir plus

    sommeil

    Améliorez vos cycles de sommeil en buvant des infusions de valériane et de camomille avant d’aller vous coucher. Cela permettra à votre corps de se reposer plus rapidement et plus longtemps.

    En plus de réduire votre taux de cortisol, cela vous permettra de paraître plus jeune et plus sain. Vous minimiserez également l’impact du passage des années.

    Faites de l’exercice

    Les bienfaits d’une routine régulière d’exercices, comme le développement de la masse musculaire et l’augmentation de la production de sérotonine et de dopamine, permet de maintenir éloignées l’anxiété et la dépression.

    De plus, vous allez pouvoir brûler l’excès d’énergie retenu dans votre corps et qui fait exploser votre taux de cortisol.

    Surveillez votre taux de glycémie

    Consommez des repas complets à base de glucides, de protéines et de fibres, afin de maintenir votre taux de glycémie sous contrôle.

    Il est également recommandé de consommer des suppléments de vitamine B, de calcium, de magnésium, de chrome, de zinc, de vitamine C et d’acide alpha-lipoïdique (ALA).

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Mon enfant est-il un psychopathe ?

     

     

     

     

     

    Si vous pensez que votre enfant a des traits de personnalité d’un psychopathe, il ne faut pas faire comme si de rien n'était mais au contraire consulter un professionnel pour pouvoir améliorer son comportement. 

    Mon enfant est-il un psychopathe ?

    Votre enfant ne fait pas preuve d’empathie envers les autres enfants ? Il manipule quelqu’un de son entourage ? Il se peut alors que votre enfant souffre de psychopathie sans que vous ne vous en rendiez compte. En prenant de l’âge, ses actes seront plus graves.

    La psychopathie infantile se caractérise par le manque d’empathie et l’inexistence du sentiment de culpabilité lorsque l’enfant fait du mal à quelqu’un ou tente de manipuler quelqu’un.

    Ce trouble est également connu sous le nom de « trouble de la personnalité antisociale », appellation qui met en évidence un problème au niveau du contact avec les autres.

    Les causes peuvent être d’ordre génétique, mais il a aussi été mis en évidence que certaines lésions dans le lobe frontal du cerveau ainsi que des expériences traumatisantes peuvent être à l’origine de ce trouble.

    La psychopathie durant l’enfance

    Bien que la psychopathie durant l’enfance peut être source d’une grande inquiétude et effraie les parents, cela ne veut pas dire que les enfants vont devenir des assassins comme dans les films.

    Si l’enfant présente des traits de personnalité d’un psychopathe, il est nécessaire qu’un professionnel réalise un suivi, car les caractéristiques que nous allons exposer dans la suite de cet article peuvent ne pas s’étendre dans le temps, et qui plus est, il peut s’agir d’un faux positif.

    1. Votre enfant défie les normes 

    Enfant qui tient un revolver

    Défier tout type de normes est un signe de la psychopathie, notamment si vous tentez de corriger son comportement et que, malgré vos efforts,  il ne parvient pas à agir d’une autre façon.

    Par exemple : il maltraite les autres enfants de son âge, il tente de vous manipuler, il jette la nourriture par terre, ou casse des objets de manière systématique.

    Ce sont des signes qui peuvent indiquer une psychopathie, notamment si vous ne remarquez pas une amélioration dans son attitude malgré vos tentatives de changer son comportement.

    2. Votre enfant maltraite les animaux

    Pour savoir si votre enfant est un psychopathe, vous devez observer comment il se comporte avec les animaux, notamment avec ceux qui ne peuvent pas se défendre.

    A-t-il maltraité des animaux  ? Les a-t-il mutilés ? Leur a-t-il fait du mal de façon volontaire et consciente ? Si c’est le cas, et si cela se reproduit, vous devez consulter un professionnel.

    Il arrive que les enfants souffrant de psychopathie jouent avec les animaux et leur font du mal, ou bien réalisent des expériences avec eux qui finissent très mal.

    Toutefois, si votre enfant parvient à faire preuve d’empathie et se sent mal lorsque vous lui expliquer que les animaux ne sont pas des jouets mais des êtres vivants, il se peut que cela n’indique pas une psychopathie.

    3.Votre enfant n’a pas de remords

    Enfant triste assis par terre, visage caché par ses mains

    En lien avec ce que nous venons de dire ci-dessus, la réaction naturelle attendue lorsque nous disons à un enfant qu’il a fait quelque chose de mal, que ce qu’il a fait n’était pas correct, est qu’il éprouve des remords.

    Les enfants ne naissent pas en sachant tout de ce monde, et parfois ils se trompent. Pour cette raison, il faut leur faire prendre conscience de leurs erreurs. Mais que se passe-t-il si votre enfant n’éprouve pas de remords, et ne parvient pas à faire preuve d’empathie envers les autres ?

    Dans ce cas-là, il est possible que vous vous trouviez face à un trait de personnalité psychopathique, lequel doit être analysé par un professionnel.

    4. Votre enfant souffre d’explosions de violence 

    Autant les enfants que les adultes souffrent d’explosions de violence en raison d’une gestion des émotions inadaptée.

    Toutefois, ce trait de personnalité chez l’enfant peut être un signal d’alerte. Lors de ces explosions de violence, fait-il du mal à un animal ? Utilise-t-il la violence contre un autre être humain sans éprouver une once de remords ?

    Si c’est le cas, vous devez consulter un professionnel sans l’ombre d’un doute. Il est très important que cette situation s’analyse à temps.

    Les parents doivent s’impliquer 

    Mère et enfant qui consultent un spécialiste

    Quelques fois les parents ne disposent pas de temps nécessaire pour analyser la situation et envisager la possibilité que leur enfant souffre de psychopathie.

    De plus, les parents ont tendance à nier tout type de troubles ou problèmes que d’autres remarquent chez l’enfant, même face à certaines attitudes qui le démontrent.

    Tout simplement, les parents ont tendance à penser que leur enfant est parfait.

    Or, une prise en charge rapide de l’enfant peut lui être très bénéfique. Par ailleurs, il pourrait s’avérer qu’il s’agisse d’une fausse alerte, ou alors cela lui permettra de commencer un traitement rapidement afin d’améliorer son comportement.

    Si l’enfant est diagnostiqué psychopathe, les possibilités de « guérison » sont très relatives.

    À l’heure actuelle, il n’existe pas de traitement effectif pour soigner complètement ce trouble. Toutefois, il existe des outils pour améliorer le comportement.

    Vous pensez que votre enfant souffre de psychopathie ? Ne vous mettez pas des oeillères, et demandez de l’aide à un professionnel. Mieux vaut prévenir que guérir.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est-ce que le syndrome d’Asperger ?

     

     

     

     

     

     

    C'est un syndrome difficile à diagnostiquer.

    Qu’est-ce que le syndrome d’Asperger ?

    Le syndrome d’Asperger est un trouble neurobiologique à l’origine d’anomalies, principalement dans le comportement social. Il s’agit d’un problème relativement fréquent : de 3 à 5 enfants âgés entre 7 et 16 ans sur 1000 en souffrent. Ce syndrome est plus important chez les personnes de sexe masculin. 

    Ce trouble a été découvert en 1944 par un pédiatre autrichien, Hans Asperger. Ce médecin a remarqué des anomalies dans le comportement de certains enfants. Récemment, il a été établi que le syndrome d’Asperger suit un cours constant et qu’il peut durer toute la vie. Les symptômes peuvent s’améliorer, selon le traitement reçu par les patients.

    La quatrième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM 4), abordait le syndrome d’Asperger comme un trouble en soi. Cependant, dans le DSM 5 publié en 2013, ce syndrome est considéré comme une forme d’autisme. Depuis lors, une personne qui souffre de ce syndrome est diagnostiquée autiste.

    À l’heure actuelle, une grande variété de troubles sont répertoriés dans ce que l’on appelle le « spectre de l’autisme ». Ce spectre comprend différents types d’anomalies avec différents seuils de gravité.  Les personnes qui souffrent du syndrome d’Asperger font parties du seuil le plus élevé du spectre de l’autisme.

    Les caractéristiques

    Le syndrome d’Asperger n’est pas très connu par la population de façon générale, même au sein du personnel médical. Il n’est pas facile de le détecter, car l’handicap n’est pas évident. D’ailleurs, les personnes qui en souffrent semblent complètement normales. Ils sont suffisamment intelligents, et il est même fréquent qu’ils aient des compétences spéciales dans certains domaines.

    Les difficultés se manifestent dans leurs comportements sociaux qui ne sont pas complètement appropriés. Il réalisent leurs activités normalement dans la vie quotidienne, mais ils font preuve d’un comportement immature dans leurs relations sociales. Bien souvent, ils passent simplement pour des personnes excentriques. À cela, s’ajoutent certaines difficultés motrices, lesquelles sont perçues comme de simples maladresses.

    Les symptômes du syndrome d’Asperger

    Enfant chez un spécialiste du comportement

    Les images cérébrales des personnes souffrant du syndrome d’Asperger ne présentent pas de modèles communs. Les scientifiques suspectent que la cause de ce trouble est d’ordre génétique, car il est habituel que plusieurs personnes d’une même famille souffrent de ce syndrome. Toutefois, il n’existe pas encore de certitudes sur la cause. En revanche, les symptômes typiques, eux, ont été identifiés :

    • des intérêts restreints
    • un manque de capacités motrices 
    • une faible tolérance face à la frustration ;
    • une difficulté à se faire des amis
    • une grande capacité à reconnaître des modèles
    • des réactions émotionnelles démesurées
    • le besoin d’une routine (apparition de l’angoisse si cette routine est rompue)
    • des manifestations émotionnelles peu cohérentes avec la situation
    • une difficulté à établir un contact visuel ou contact visuel forcé
    • un mutisme sélectif, c’est à dire qu’ils parlent seulement avec les personnes avec qui ils se sentent à l’aise (ce symptôme disparaît généralement avec la thérapie)
      • il est aussi habituel que ces personnes parlent beaucoup et le fassent sur un ton très particulier, avec une certaine musicalité, ou bien avec un accent qui semble étranger ou artificiel
      • ils ont une interprétation littérale du langage (ils ne comprennent pas bien le sens figuré)
      • ils manifestent un manque d’intérêt lorsque les autres s’expriment, et il leur est difficile d’avoir une longue conversation
      • ils ne comprennent pas les règles des jeux et veulent imposer les leurs
    • une incapacité à ressentir de l’empathie (difficultés à comprendre le langage corporel des autres et leurs sentiments).

    Le diagnostic et les pronostics

    Le syndrome d’Asperger est très difficile à diagnostiquer. Lorsqu’un enfant présente les symptômes, habituellement ils sont interprétés par les autres comme des problèmes de caractère. Cela représente une grave difficulté, car une intervention précoce améliore significativement le pronostic.

    Le professionnel apte à réaliser un diagnostic est un spécialiste de la santé mentale infantile. Ce spécialiste fait une évaluation psychosociale exhaustive de l’enfant : il examine les capacités de communication, et établit un historique minutieux des symptômes détectés.

    De nombreuses personnes souffrant du syndrome d’Asperger se débrouillent très bien dans la plupart de leurs activités. Pendant l’enfance, les enfants affectés par ce problème ont besoin d’un grand soutien de la part des parents et des professeurs. L’idéal est que les adultes qui entourent l’enfant Asperger se forment pour savoir comment agir dans les différentes situations pouvant se présenter.

     

     

    Références : 

    Asperger Aide France, zoom sur le syndrome d’Asperger

    http://www.aspergeraide.com/index.php

    Wikipedia, Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Manuel_diagnostique_et_statistique_des_troubles_mentaux

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

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  • POURQUOI LES CRISES CARDIAQUES

    ARRIVENT LE PLUS SOUVENT LE MATIN

     

     

     

     

    Des chercheurs anglais déclarent avoir découvert que le potassium est responsable de l'horloge interne des globules rouges et comment cela pourrait expliquer pourquoi les crises cardiaques surviennent principalement le matin.

     
     

     

    © Adobe Stock

     

    Chaque cellule de notre corps vie selon un rythme circadien d'environ 24 heures qui régit les phases d'éveil et de sommeil, une sorte d'horloge interne. Mais pour la première fois, une étude menée par l'université de Surrey au Royaume-Uni, vient de découvrir la clé du rythme circadien des globules rouges : le potassium. Une découverte qui devrait leur permettre, selon eux, de savoir pourquoi "les crises cardiaques arrivent le plus souvent le matin".

    Contrairement aux autres cellules du corps, l'étude explique que les globules rouges n'ont pas d'ADN. Il n'était donc pas possible, jusque-là, d'étudier les gènes responsables de leur horloge interne comme les autres cellules. C'est grâce à une technique appelée diélétrophorèse permettant d'analyser l’électrochimie des globules rouges que les chercheurs ont noté que les globules rouges réagissent au taux de potassium plus élevé le jour que la nuit.

     

    Plus de crises cardiaques entre 1 et 5 heures du matin

    En 2012, une étude publiée dans le journal scientifique Nature, avait identifié un lien entre le rythme circadien et l'incidence plus fréquente de crise cardiaque le matin entre 1 et 5 heure. Les chercheurs avaient noté que les accidents cardiaques le matin seraient plus souvent dû à une fibrillation ventriculaire. Une irrégularité des battements du coeur qui serait causée par un taux trop élevé d'une protéine appelée KLF15 influençant le niveau de potassium dans le corps en fonction du rythme circadien et qui pourrait être responsable du manque d'afflux sanguin vers le coeur et le cerveau.

     

     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : Explaining why so many cases of cardiac arrest strike in the morningACS.org, 8 septembre 2013
    Potassium is critical to circadian rhytms in human red bloods cellsMedical Xpress, 12 décembre 2017

    medisite.fr 

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 choses à savoir sur l’ostéoporose

     

     

     

     

     

     

    L'un des problèmes de l'ostéoporose c'est qu'elle ne présente aucun symptôme contondant jusqu'à ce qu'elle atteigne un stade avancé et que se produisent des fractures qui nous alertent de sa présence.

    6 choses à savoir sur l’ostéoporose

    L’ostéoporose est une maladie du système osseux qui peut se produire à cause d’une décalcification des os, d’une carence en vitamine D ou de facteurs génétiques.

    Elle survient lorsque les os souffrent de dommages dans leur microstructure interne, ce qui diminue leur densité et leur capacité de soutien.

    C’est la raison pour laquelle le risque de fractures augmente ainsi que des réactions inflammatoires et des douleurs sévères.

    S’il s’agit bien d’un trouble fréquent au troisième âge, certaines personnes peuvent en souffrir de manière prématurée à cause de lésions ou de mauvaises habitudes qui détériorent les os.

    Le plus préoccupant c’est que de nombreuses personnes ignorent à quel point elle peut être grave et, à cause de l’absence de symptômes, ignorent qu’elles en souffrent.

    C’est pourquoi il est fondamental de connaître toutes les informations à propos de son développement et au cas où vous auriez des facteurs à risques, consulter un médecin.

    Ci-dessous nous souhaitons partager 6 aspects intéressantes que vous devriez connaître, pour votre santé.

    1. Les facteurs à risque

    Facteurs à risque de l'ostéoporose

    L’affaiblissement des os peut être causé par le manque d’absorption du calcium et de la vitamine D, surtout à l’approche de la vieillesse.

    • Une carence en ces nutriments réduit la densité osseuse et, face à des lésions ou des blessures, cela peut provoquer des fractures ou des dommages irréversibles.
    • Cette situation peut survenir à cause de facteurs génétiques, bien qu’ils soient également associés à des changements hormonaux dont on souffre à l’âge adulte.
    • La consommation excessive de tabac et d’alcool influe également sur son développement.
    • La diminution des niveaux d’œstrogènes pendant et après la ménopause sont d’autres causes qui y sont liées.
    • Il existe davantage de probabilités d’en souffrir si vous êtes anorexique ou boulimique.

    2. Les symptômes

    Malheureusement, cette maladie est l’un des « ennemis silencieux » de l’organisme, car elle ne se manifeste pas avec des symptômes contondants jusqu’à ce qu’elle devienne un problème plus grave.

    • Souvent, on la détecte lorsqu’une personne souffre d’une fracture avant de savoir qu’elle n’est atteinte de la maladie.
    • Cette lésion peut également survenir sans avoir reçu aucun coup ni traumatisme significatif.
    • Il est possible de suspecter sa présence lorsque l’on perd 5 centimètres de notre taille.
    • Certaines personnes développent ce que l’on appelle « la bosse de la veuve », qui se caractérise par une posture courbée.

    3. Le diagnostic

    Diagnostic de l'ostéroporose

    Pour diagnostiquer la maladie, on doit réaliser un examen médical connu sous le nom de DMO, qui consiste à mesurer la densité minérale osseuse.

    • Il s’agit d’une radiographie de faible radiation qui ne prend pas beaucoup de temps et qui est indolore.
    • La révision de la colonne vertébrale et des hanches peut montrer une fracture ou un écrasement de la colonne vertébrale.
    • Les radiographies communes des autres os ne sont pas toujours aussi précises pour savoir si vous souffrez de ce problème.

    4. La prévention

    S’il existe de nombreux facteurs qui peuvent amener à développer ce problème, la pratique régulière d’habitudes saines est déterminante pour réduire les risques.

    • Ainsi, il est fondamental de garantir une absorption optimale du calcium et de la vitamine D, en incluant dans votre alimentation des aliments qui en contiennent.
    • La Fondation Nationale de l’Ostéoporose (NOF, en anglais) recommande de consommer 1000 mg de calcium par jour pour les adultes, et 1200 mg par jour pour les femmes de plus de 50 ans et pour les hommes de plus de 70 ans.
    • Vous devez limiter la consommation de sodium et de graisses saturées, car ils empêchent la bonne absorption du calcium.
    • Il est important d’augmenter l’absorption du magnésium, car il aide également à conserver la densité osseuse.
    • La pratique quotidienne d’une routine d’exercice est bonne car elle sert à renforcer les os et à améliorer la coordination et l’équilibre.

    5. Les médicaments pour stopper ou inverser le problème

    Les médicaments pour stopper ou inverser le problème

    De nos jours, il existe des médicaments dont les propriétés combattent la perte de la densité osseuse, en évitant des conséquences graves comme les fractures.

    • Parmi ces derniers se trouvent les bisphosphonates, dont l’objectif est d’éviter les dommages osseux par l’inactivation de certaines cellules connues comme ostéoclastes, qui ont pour but d’absorber le tissu osseux.
    • Sont également recommandés les compléments en calcium et en vitamine D, surtout lorsque l’absorption des aliments est difficile.
    • Les traitements à base d’œstrogène aident à prévenir et à combattre la maladie chez les femmes ménopausées.

    6. Les effets secondaires du traitement

    Même si les médicaments pour le traitement de cette maladie peuvent être efficaces, il est important de savoir que dans la majorité des cas, leur consommation sur du long terme peut provoquer des effets secondaires.

    Parmi ces effets se trouvent :

    • Douleur articulaire et musculaire
    • Dommage œsophagique
    • Brûlures d’estomac
    • Arythmies et palpitations cardiaques

    D’autre part, il faut mentionner que, même s’il existe un traitement, les médicaments mentionnés ont « une date limite » pour faire effet.

    C’est-à-dire que, 3 ans plus tard, vous devez analyser à quel point ils ont été utiles et quels effets négatifs ils ont provoqué.

    Dans certains cas il est nécessaire de faire des pauses durant le traitement et passer plusieurs périodes sans médicaments, car une prise prolongée peut devenir dangereuse.

    Le meilleur outil pour faire face à ce problème est la prévention.

    C’est pourquoi, si vous présentez des facteurs à risque, nous vous conseillons de réaliser une densitométrie osseuse régulièrement.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 troubles associés aux maladies de la thyroïde

     

     

     

     

     

    La thyroïde est une glande qui intervient dans plusieurs processus métaboliques, par conséquent, tout déficit génère des altérations. Nous vous parlerons des troubles qu'elle provoque et des traitements à suivre.

    7 troubles associés aux maladies de la thyroïde

    Les maladies de la thyroïde présentent un large éventail de symptômes et de troubles associés qui ont généralement un impact sérieux sur la qualité de vie du patient.

    Nous faisons sans aucun doute face à l’une des conditions médicales les plus courantes dans la population, celle qui touche le plus de femmes et qui, bien qu’il soit vrai qu’il y ait un traitement, n’empêche pas que dans de nombreux cas nous sommes confrontés à des processus assez longs et même chroniques qui peuvent nécessiter des interventions chirurgicales.

    De plus, nous ne pouvons pas oublier que cette glande en forme de papillon gère une infinité de processus métaboliques et que tout déficit ou excès d’hormone de la thyroïde engendre des altérations que nous pouvons confondre avec d’autres maladies.

    Par conséquent, il est fréquent que nous ayons des patients fatigués sans en connaitre la cause ou qui expliquent leur prise de poids soudaine au stress.

    Peu de maladies surviennent avec autant de types de troubles associés et, par conséquent, il est intéressant que nous les connaissions. C’est une information qui vaut la peine d’être gardée à l’esprit pour notre santé et notre bien-être.

    1. Constipation, problèmes digestifs ou intestin irritable

    femme ayant des douleurs d'estomac

    Les maladies de la thyroïde se produisent souvent avec diverses altérations de notre système digestif.

    Lorsque nous n’avons pas encore reçu de diagnostique, il est fréquent de passer des périodes ou nous souffrons de mauvaise digestion, ou mêmes de brûlures et d’intestin irritable.

    D’un autre côté, nous pouvons également différencier le type d’altération que nous pouvons subit à cause de la thyroïde à travers les symptômes associés:

    Hypothyroïdie :

    • Constipation
    • Mauvaise absorption des nutriments
    • Indigestion

    Hyperthyroïdie :

    • Episodes de diarrhée
    • Douleur dans la bouche et l’estomac
    • Distension abdominale
    • Vomissements de temps en temps

    2. Problèmes avec la menstruation et infertilité possible

    Les irrégularités de la menstruation sont fréquentes chez les patients atteints de maladies thyroïdiennes.

    • Dans le cas de l’hypothyroïdie, les règles ont tendance à être plus douloureuses, plus longues.
    • Les femmes qui souffrent d’hyperthyroïdie, au contraire, ont tendance à avoir des périodes  plus courtes en plus de périodes moins fréquentes ou pire, elle peuvent atteindre une ménopause précoce.
    • C’est sans doute l’un des troubles les plus graves associés à la maladie de la thyroïde, cependant, il apparait généralement chez les femmes qui ne sont pas diagnostiquées ou qui ne bénéficient pas d’un traitement efficace.
    • Par conséquent, il faut toujours essayer d’être pris en charge par les meilleurs professionnels.

    3. Problèmes musculaires et articulaires

    femme ayant mal aux articulations

    C’est l’un des problèmes les plus communs des maladies de la thyroïde, mais à son tour le plus inconnu. Il est important de garder cela à l’esprit :

    • Les personnes atteintes d’hypothyroïdie, quel que soit leur âge ou leur sexe, souffrent souvent de douleurs musculaires et articulaires persistantes. C’est un tel ennui exténuant que nous pouvons recevoir un diagnostic erroné, comme la fibromyalgie.
    • Cependant, cette symptomatologie est habituellement réduite de manière significative avec le traitement.
    • En outre, les personnes ayant des problèmes de thyroïde développent souvent un syndrome du canal carpien, ainsi qu’une fasciite plantaire.
    • D’autre part, les personnes souffrant d’hyperthyroïdie manifestent habituellement une douleur et une faiblesse dans les bras et les jambes.

    4. Taux élevé de cholestérol

    Nous sommes confrontés à un autre fait qui, sans aucun doute, peut en surprendre plus d’un. Le fait d’avoir un problème de la thyroïde peut-il augmenter le mauvais cholestérol ou LDL ? Eh bien, autre que l’augmenter, il le rend plus résistant.

    • C’est quelque chose que l’on remarque souvent lorsque certains patients n’arrivent pas à réduire leur taux élevé de cholestérol par un régime, de l’exercice ou des statines.
    • Lorsque cela arrive, nous sommes confrontés à une personne souffrant d’hypothyroïdie. En revanche, un très faible niveau (qui n’est pas non plus positif) peut indiquer la maladie inverse.

    5. Altérations dans notre repos en raison de maladies de la thyroïde

    Problèmes de sommeil

    Un des aspects qui affectent le plus la qualité de vie des patients est la mauvaise condition de repos. Cependant, ce n’est pas exactement qu’ils dorment moins, voyons :

    • Parfois même après 10 heures de sommeil, la personne se lève fatiguée, sans force.
    • Parfois, ce sentiment de ne pas s’être reposé fait que le patient a besoin de faire des siestes ou de dormir des week-end entiers. C’est très sérieux.
    • Dans d’autres cas, cependant, la personne peut aller au lit et sentir qu’elle ne peut pas s’endormir parce qu’elle a un tachycardie, une forte nervosité ou de l’anxiété.

    6. Changements dans la peau

    En plus de la perte de cheveux, il est fréquent d’éprouver des changements tout à fait frappants sur la peau.

    • On peut la remarquer plus rugueuse, sèche et écailleuse, surtout sur les talons, les genoux et les coudes. Conditions associées à l’hypothyroïdie.
    • D’autre part, avec l’hyperthyroïdie, la peau peut devenir fragile et très sensible aux changements de température.

    7. Dépression et anxiété

    Dépression

    L’hypothyroïdie causée par une thyroïde sous-active peut avoir comme effet secondaire une altération de nos neurotransmetteurs. La diminution de la sérotonine ou de la dopamine se produit avec la dépression.

    En outre, et c’est un fait que beaucoup de médecins gardent à l’esprit, c’est que lorsqu’un patient souffrant d’un trouble dépressif manifeste une résistance aux médicaments psychotropes, il est courant qu’il ait un problème avec la thyroïde.

    Par conséquent, tout cela nous montre que, à l’occasion, bon nombre des troubles subis par une grande partie de la population tels que la mauvaise humeur, le mauvais repos ou la douleur articulaire, peuvent être dus à ces maladies de la thyroïde qui n’ont pas encore été diagnostiquées et traitées efficacement.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • INSUFFISANCE CARDIAQUE : LA MALADIE DU CŒUR

    QUI TOUCHE 500 000 PERSONNES SANS LE SAVOIR

     

     

     

     

     

     

    Comme l’AVC et l’infarctus, l’insuffisance cardiaque peut représenter une urgence vitale. Apprenez à reconnaître les premiers symptômes de cette maladie cardiaque et à adopter les bonnes habitudes pour prévenir cette pathologie.

     
     

    Elle est responsable de plus de 160 000 hospitalisations et de 24 000 décès par an en France . L’insuffisance cardiaque correspond à "un état pathologique indiquant que la pompe cardiaque n’est plus capable d’assurer un débit de sang suffisant pour satisfaire les besoins des organes en cas d’effort, puis même au repos", selon l’Alliance du cœur. Actuellement, un million de personnes souffrent de cette maladie en France, mais ce chiffre ne correspond qu’aux cas diagnostiqués. "L’insuffisance cardiaque touche probablement plutôt un million et demi de personnes , en comptant les 500 000 cas estimés qui ignorent en être affectés", révèle le docteur Florence Beauvais, cardiologue à l’Hôpital Lariboisière (Paris). Très mal connue, cette pathologie cardiaque peut pourtant revêtir un caractère d’urgence, "au même titre que l’accident vasculaire cérébral (AVC) ou que l’infarctus, car elle provoque des œdèmes pulmonaires", alerte le docteur Beauvais.

    EPOF : le sigle pour reconnaître une insuffisance cardiaque

    Mais comment reconnaître cette maladie ? Le signal d’alerte tient en quatre lettres : EPOF . Un Essoufflement à l’effort , une Prise de poids rapide (1kg par jour), des Œdèmes qui débutent souvent au niveau des jambes et remontent vers le haut du corps et une Fatigue à l’effort constituent en effet les principaux symptômes de l’insuffisance cardiaque. Quel que soit votre âge, l’apparition de ces signes doit vous mettre la puce à l’oreille, et vous inciter à consulter un médecin. Car " l’insuffisance cardiaque ne touche pas que les personnes âgées ", précise le docteur Florence Beauvais. Les hommes et les femmes de plus de 70 ans représentent certes plus d’un cas sur deux, mais les personnes qui ont entre 45 et 70 ans sont également à risque, "notamment si elles fument, ont de l’hypertension ou ne pratiquent pas d’activité physique régulière", précise la cardiologue. Plus rarement, les jeunes de moins de 45 ans peuvent aussi souffrir d’insuffisance cardiaque en cas de cardiomyopathie familiale ou toxique, liée par exemple à une consommation excessive d’alcool. Problème : "avant 70 ans, les sujets se sentent beaucoup moins à risque d’insuffisance cardiaque à cause des idées reçues qui la catégorisent à tort parmi les maux de personnes âgées", déplore la médecin.

     

    Traiter l’insuffisance cardiaque pour éviter le handicap

    Côté prévention, comme pour toute maladie cardiovasculaire, les mots d’ordre comprennent la diminution des substances toxiques (alcool et tabac), la prise en charge du diabète, et la pratique régulière d’une activité physique. Côté traitement, la prise en charge de l’insuffisance cardiaque se décline en trois points : "des médicaments de différentes classes associés entre eux, un régime contrôlé en sel (moins de 6 grammes par jour ou moins de 3 grammes par jour dans le cas d’une insuffisance cardiaque sévère, sachant qu’un Français consomme en moyenne 10 grammes de sel par jour) et, enfin, une activité physique adaptée en endurance", décrit le docteur Beauvais. "Bien traitée, une insuffisance cardiaque peut ne plus donner de poussée d’insuffisance, c’est-à-dire d’œdème pulmonaire", appuie la cardiologue. Le but de ces traitements ?Venir à bout du handicap déclenché par l’insuffisance cardiaque . "Ce type de handicap est moins visible que celui de l’AVC par exemple, mais comporte tout de même une incapacité à se déplacer à cause de l’essoufflement, des hospitalisations fréquentes et, à terme, une perte de vie sociale", dévoile la spécialiste.

     

    Le sport santé, l’allié du cœur

    Actuellement, le taux de décès 5 ans après l’apparition des premiers symptômes est de 50% . Un chiffre que les médecins espèrent bien faire chuter, grâce à une prévention accrue et à un suivi plus efficace au moyen d’une meilleure coordination entre les différents acteurs du parcours de soin (cardiologue, médecin généraliste, infirmier, diététiciens, kinésithérapeutes et pharmaciens). Mais la clé de la lutte contre l’insuffisance cardiaque reste l’activité physique , "indispensable pour reconditionner les muscles et augmenter leur tonus", relève le docteur Patrick Assyag, cardiologue à Paris et vice-président de la Fédération Française de Cardiologie(FFC). Les patients traités pour une insuffisance cardiaque bénéficient ainsi d’un accès à 250 centres "Cœur et santé" en France. Dans ces clubs, à l’aide d’un professionnel, le patient pratiquera l’activité la mieux adaptée à son cas. "Actuellement, même lorsqu’ils sont prescrits par un médecin, les séances dans ces clubs ne sont pas remboursées par la sécurité sociale. Néanmoins, certaines mutuelles commencent à proposer des contrats qui indemnisent les séances de sport santé" nous apprend le docteur Assyag. Un constat prometteur pour le combat contre l’insuffisance cardiaque.

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources :  Conférence de presse organisée par l’Alliance du cœur le 7 décembre 2017. Intervention des docteurs Florence Beauvais et Patrick Assyag, cardiologues.
    Alliance du cœur – Union nationale des fédérations et associations de maladies cardiovasculaires.
    Fédération Française de Cardiologie.

    medisite.fr 

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est-ce que le cancer du sein ?

     

     

     

     

     

     

    C'est un des cancers les plus fréquents chez les femmes et bien qu'il touche également les hommes dans une moindre mesure, c'est la deuxième cause de décès dans la population.

    Qu’est-ce que le cancer du sein ?

    Le cancer du sein est une maladie chronique qui commence lorsque les cellules du tissu mammaire commencent à changer et à croitre de façon incontrôlable. Ceux-ci forment un conglomérat de cellules connu sous le nom de tumeur, qui peut être bénigne ou maligne, en fonction de sa forme de développement.

    Si les cellules continuent à croitre et à se propager dans d’autres parties du corps, une tumeur maligne se produit.

    Types de cancer du sein

    Le cancer du sein peut se développer de manière invasive ou non invasive. L’invasif est celui qui se propage dans les tissus adjacents, tandis que le non-invasif se développe uniquement dans les canaux galactophores et les lobules du sein. En tenant compte de la zone du sein où se forme la tumeur, on peut distinguer les types de cancer du sein suivants :

    Carcinome canalaire 

    Types de cancer du sein

    C’est le type le plus commun de cancer du sein. Il provient des cellules qui tapissent la partie interne des canaux lactés. S’il est localisé uniquement dans le conduit, il est connu sous le nom de carcinome canalaire in situ (CCIS). D’autre part, si le cancer se propage à l’extérieur du canal, il est appelé carcinome canalaire invasif.

    Carcinome lobulaire

    C’est un type de cancer qui provient des lobes mammaires.

    D’autres types

    Dans certains cas, dont l’incidence est considérablement inférieure à celles mentionnées ci-dessus, le cancer du sein peut être : un cancer du sein spinal, mucineux, tubulaire, ou également métaplasique ou papillaire.

    Causes du cancer du sein

    Causes du cancer du sein

    Un grand nombre de cas de cancer du sein sont le résultat de mutations que les gènes peuvent subir après la naissance. Les facteurs héréditaires du cancer du sein sont moins fréquents, mais peuvent survenir lorsque des changements génétiques sont transmis au sein d’une famille, d’une génération à l’autre.

    D’autre part, il est important de noter que le risque de cancer du sein augmente à partir de 50 ans, surtout s’il y a des antécédents familiaux de cancer de l’ovaire et une ménopause tardive.

    Les autres facteurs de risque sont :

    • L’obésité
    • L’alcoolisme
    • L’exposition aux rayonnements ionisants
    • Utilisation d’une homonothérapie substitutive
    • Apparition précoce des premières menstruations

    Symptômes du cancer du sein

    Dans la plupart des cas, le cancer du sein ne se manifeste pas avec des symptômes importants à ses débuts. Pour cette raison, il est essentiel d’examiner régulièrement les seins, à la fois à la maison (auto-examen) et avec l’aide d’un professionnel. A mesure que le cancer progresse, les symptômes peuvent inclure :

    • Une tumeur dure dans l’aisselle, avec des bords irréguliers, et indolore.
    • Des variations au niveau de la taille, la forme ou la texture de la poitrine ou du mamelon.
    • L’apparition d’un nodule palpable, qui ne provoque généralement pas de douleur.
    • Le liquide malodorant qui sort du mamelon, qui peut être sanglant, jaunâtre ou verdâtre.

    Dans le cas des hommes, le cancer du sein peut causer de la douleur et de la sensibilité dans le sein, en plus de l’apparition de bosses. Les symptômes du cancer du sein avancé comprennent :

    • Ulcères de la peau
    • Douleur dans les os
    • Ainsi qu’une douleur dans les seins
    • Faiblesse et fatigue
    • Egalement une perte de poids notoire
    • Inflammation des ganglions lymphatiques dans l’aisselle

    Diagnostic

    Diagnostic

    Le processus de diagnostic du cancer du sein commence par un examen physique qui comprend l’examen des deux seins, des aisselles, de la zone du cou et du thorax. Il est recommandé que les femmes effectuent un auto-examen des seins tous les mois pour détecter d’éventuelles anomalies.

    En cas de suspicion de la maladie, ou si le patient présente des facteurs de risque importants, le spécialise peut effectuer une série de tests qui aident à confirmer le cancer. Ceux-ci peuvent inclure :

    • La mammographie, qui détecte par rayons X les zones anormales du sein.
    • La résonance magnétique des seins : un examen radiologique qui utilise l’action d’un champ électromagnétique pour obtenir des image. Son objectif est d’identifier avec plus de précision la tumeur ou d’évaluer un changement anormal de la mammographie.
    • L’échographie des seins : ce sont des tests complémentaires de la mammographie qui permettent de distinguer si la tumeur est liquide ou solide.
    • La biopsie mammaire, qui utilise des méthodes telles que la biopsie par aspiration, guidée par ultrasons, stéréotaxique ou ouverte.
    • La tomographie informatisée : elle est utilisé pour savoir si le cancer s’est propagé en dehors du tissu mammaire.
    • La biopsie du ganglion lymphatique sentinelle, dont l’objectif est ici d’identifier si les cellules cancéreuses se sont propagées aux ganglions lymphatiques.

    Traitement

    Le traitement du cancer du sein est effectué en tenant compte de facteurs tels que : le type de cancer, le stade du cancer, la sensibilité du cancer à certaines hormones et si le cancer produit en excès ou non une protéine appelée HER2/neu. Certains des traitements les plus importants sont :

    • La chimiothérapie : une méthode dans laquelle les médicaments sont utilisés pour détruire les cellules cancéreuses.
    • La radiothérapie : son objectif est de détruire le tissu cancéreux.
    • La chirurgie pour enlever les tissus cancéreux : il peut s’agir d’une tumorectomie si la masse mammaire est retirée, ou d’une mastectomie si l’ensemble du sein ainsi qu’éventuellement des structures voisines sont retirés.
    • Le traitement dirigé : l’hormonothérapie est également l’un des exemples. Elle sert à bloquer certaines hormones qui stimulent la prolifération des cellules malignes. On utilise la médecine pour attaquer les changements dans les gènes des cellules cancéreuses.

    Après avoir reçu le traitement le plus approprié, certaines femmes doivent continuer à prendre des médicaments pendant un certain temps. Tous les patients doivent continuer les examens médicaux pour effectuer des tests appropriés afin de surveiller le retour du cancer ou le développement d’un autre cancer du sein.

    Références

    « Cancer du sein » (2009) meclinePlus Medical Encyclopedia en espagnol.

    « Informations générales sur le cancer du sein » (2010) Institut national du cancer.

    Image principale de wikiHow.com

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Que manger pour combattre les allergies saisonnières ?

     

     

     

     

     

    Pour éviter l'allergie saisonnière et ses symptômes, il est essentiel d'identifier l'agent qui produit la réaction et de l'éviter. De plus, il y a quelques solutions pour vous aider à la contrôler.

    Que manger pour combattre les allergies saisonnières ?

    L’allergie saisonnière est causée par une exposition à des substances en suspension dans l’air, comme le pollen. Elles surviennent à certaines périodes de l’année.

    Elles sont particulièrement fréquentes au printemps, en été ou en automne, selon la substance qui cause l’allergie.

    En fait, vous pourriez être allergique à un ou plusieurs types de pollen sans le savoir.

    Lorsque les spores de champignons sont présentes dans l’air pendant de longues périodes, elle peuvent déclencher ces symptômes.

    Symptômes de l’allergie saisonnière

    allergie

    Voici les symptômes les plus courants:

    • L’ écoulement nasal
    • L’irritation des yeux
    • La congestion
    • Les mucosités
    • L’inflammation nasale
    • Les éternuements et les rougeurs

    Le système immunitaire réagit réagit toujours lorsqu’une substance nocive est présente l’environnement extérieur. Or, c’est peut-être une substance étrangère qui a pénétré dans votre corps qui déclenche cette réponse immunitaire.

    Cependant, il faut savoir que 80% des éléments de votre système immunitaire se trouvent dans l’intestin.

    Votre corps interagit avec le monde extérieur en absorbant les nutriments des aliments que vous consommez. Et également en expulsant les bactéries, les agents pathogènes et les aliments non digérés de votre organisme.

    Le système immunitaire est très sensible aux allergènes saisonniers. Et donc, sa réponse se manifeste par des symptômes de défense.

    A ce stade, il est important d’avoir un régime d’élimination sain. Et d’éviter bon nombre d’aliments toxiques et inflammatoires pendant quelques semaines, pour minimiser les symptômes.

    En revanche, si les symptômes ne s’améliorent pas après l’élimination de certains de ces aliments, vous pouvez les ajouter à nouveau.

    Au contraire, si les symptômes disparaissent, c’est que vous êtes susceptible d’être sensible à un de ces aliments. Vous devriez donc en limiter la consommation.

    Revoyez votre alimentation dès les premiers symptômes d’allergie saisonnière

    allergie

    Il n’existe pas de régime alimentaire spécifique pour soulager les symptômes de l’allergie. Mais certains aliments contiennent des nutriments qui agissent comme antiallergiques.

    Ce sont ceux qui contiennent les nutriments naturels, comme la vitamine C ou l’acide folique, qui aident à diminuer les symptômes.

    Aliments à haute concentration en vitamine C

    Ces nutriments ont des propriétés anti-inflammatoires. Ils aident aussi à diminuer les symptômes, en particulier les symptômes respiratoires, qui sont fréquents surtout au printemps.

    • Le cresson
    • Le kiwi
    • Le brocoli
    • Les oranges et citrons
    • Le chou-fleur
    • Les épinards
    • La courgette
    • Le chou

    Aliments contenant des concentrations d’acide folique

    Parmi les aliments qui nous fournissent la plus grande quantité d’acide folique, nous trouvons :

    • Les lentilles
    • Les pois chiches
    • Les épinards
    • Les châtaignes
    • Les asperges
    • Les haricots blancs
    • La laitue
    • Les petits pois

    Aliments contenant des flavonoïdes

    mangue

    Il est recommandé d’incorporer des aliments riches en flavonoïdes, en particulier la quercétine. Car c’est une substance qui a un grand pouvoir antiallergique. On en trouve dans les aliments suivants:

    • L’ail
    • Les oignons
    • Les pommes
    • La poire
    • Les cerises
    • La mangue
    • L’avoine

    Le régime alimentaire doit être riche en fruits et légumes. Il est bien connu qu’il est nécessaire d’incorporer à son alimentation la consommation régulière de légumes et de fruits.

    • 3 portions de légumes et 2 portions de fruits par jour, selon les recommandations des autorités sanitaires.

    Conseils alimentaires pour éviter les allergies saisonnières

    • Augmentez les aliments riches en acides gras oméga-3 et en vitamine C.
    • Consommez 5 portions de fruits et légumes par jour.
    • Préparez des infusions de thé vert, car il agit également comme antioxydant.
    • Équilibrez l’apport en graisses acides (réduire la consommation d’huile de tournesol et d’autres graines équivalents, et choisissez l’huile d’olive).
    • Augmentez la consommation de poissons gras et d’œufs.
    • Mangez des aliments probiotiques, comme le yogourt.

    Vitamines et minéraux incontournables 

    vitamines E

    Vitamine E

    Elle aide à réduire les substances inflammatoires responsables des symptômes. Pour en bénéficier, nous pouvons consommer :

    • Des graines complètes
    • Du soja
    • Des huiles végétales
    • Tous les légumes à feuilles vertes et des légumes frais
    • Des fruits secs

    Vitamine C

    C’est un est antioxydant. Il aide à renforcer les tissus prédisposés aux allergies et stimule le système immunitaire.

    Bêta-carotène

    C’est un pigment que l’on retrouve dans tous les légumes de couleur jaune et orange.

    On le trouve donc dans les carottes, citrouilles, mangues, abricots.

    Dans l’organisme, le bêta-carotène est transformé en vitamine A, essentielle à la protection des muqueuses et à la réparation des membranes respiratoires.

    Il est aussi antioxydant et protège les tissus.

    Magnésium

    C’est un oligo-élément dont la fonction est de détendre la musculature des bronches, améliorant ainsi la ventilation pulmonaire. On le trouve en plus grande concentration dans les noix.

    Aliments épicés et épices

    Ils peuvent vous aider à ouvrir les fosses nasales et à réduire la congestion. Ce sont des suppléments naturels qui peuvent être efficaces pour soulager certains des symptômes de l’allergie saisonnière.

    Votre consommation et les quantités dépendront de votre tolérance aux aliments épicés:

    • Le wasabi
    • La moutarde de Dijon
    • Les radis
    • Les piments forts
    • Le curcuma
    • Le gingembre

    Ces aliments contiennent un composé chimique naturel appelé capsaïcine, qui aide à expulser les allergènes par la transpiration et les éternuements.

    Ils sont donc très efficaces pour soulager la congestion et réduire l’inflammation.

    Curcuma

    curcuma

    C’est une épice de couleur jaune qui se distingue par sa teneur en curcumine, un ingrédient actif à fort pouvoir antioxydant et anti-inflammatoire.

    Il agit comme décongestionnant pour soulager la réaction allergique. Vous pouvez faire la préparation suivante pour tirer bénéfice du curcuma.

    Ingrédients

    • 1 cuillère à soupe de curcuma en poudre (10 g)
    • 1 verre de lait (200 ml)

    Préparation

    • Chauffez le lait et ajoutez la poudre de curcuma.
    • Mélangez bien et buvez une fois par jour pour soulager les symptômes d’allergie.

    Gingembre

    Il possède de nombreuses propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes qui en font un puissant antiallergique.

    Il aide à dégager les voies respiratoires et à prévenir et soulager les symptômes de l’asthme.

    Ingrédients

    • 1 tasse d’eau
    • 1 cuillère à café de gingembre moulu (10 g) ou 4 fines tranches de racine

    Préparation

    • Chauffez une tasse d’eau et, quand elle bout, ajouter le gingembre (dans la forme que vous préférez).
    • Laissez infuser 5 minutes, filtrez et buvez.
    • Vous pouvez prendre jusqu’à deux tasses par jour pour soulager la congestion.

    En suivant tous ces conseils, vos symptômes doivent s’améliorer. Si vous ne remarquez aucun changement au bout de quelques jours, il est conseillé de consulter votre médecin de famille pour un traitement médicamenteux.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • À quel moment une température corporelle élevée

    est-elle considérée comme dangereuse ?

     

     

     

     

     

     

    A quel moment une température corporelle élevée est-elle considérée comme dangereuse ?

    Si les personnes sont exposées à de fortes températures environnementales, elles peuvent souffrir de fatigue car elles perdent des quantités considérables d’eau et d’électrolytes.

    Dans le corps humain, une température considérée comme normale se situe entre 35,8°C et 37,2°C.

    Pour maintenir cette température il est nécessaire de s’adapter aux conditions environnementales. Toutefois, lorsqu’une altération survient dans la perte et la production de chaleur, la température augmente.

    Si la personne a très chaud, les vaisseaux sanguins se dilatent afin de transporter l’excès de chaleur vers la surface.

    Le corps finit par sécréter de la transpiration afin que la chaleur s’évacue et qu’il génère du froid.

    Toutefois, lorsque l’organisme est exposé à des températures froides, les vaisseaux sanguins se contractent. Dans ce cas, le flux sanguin se réduit et les muscles tremblent afin de générer de la chaleur.

    La température est ainsi régulée par le biais de 3 mécanismes :

    • Thermorécepteurs : ils se trouvent dans la peau et au centre de l’hypothalamus.
    • Effets thermorégulateurs : la transpiration et l’augmentation du flux sanguin.
    • Contrôle depuis le cerveau.

    Comment savoir si c’est de la fièvre ?

    Comment savoir si c'est de la fièvre ?

    La température du corps est contrôlée par l’hypothalamus et ses mécanismes qui permettent d’équilibrer la production de chaleur.

    On dit que la température est élevée lorsqu’elle dépasse les 38°C mais le patient présente en général d’autres symptômes. Elle est de caractère urgente lorsque la vie du patient est en danger.

    Parmi les signes qui indiquent que la température est supérieure à celle recommandée, nous trouvons :

    • La température dans la bouche est supérieure à 38°C.
    • Dans le rectum ou l’oreille elle est supérieure à 38,8°C.
    • Sous les aisselles elle est supérieure à 36,7°C.

    Signes et symptômes

    • Température corporelle supérieure à 38°C
    • Tachycardie
    • Frissons
    • Transpiration
    • Douleur musculaire
    • Manque d’appétit
    • Augmentation de la fréquence respiratoire
    • Vertiges
    • Nausées

    Facteurs à risque

    Les facteurs à risque
    • Infection : c’est une réaction du système immunitaire qui signale qu’une substance étrangère attaque l’organisme.
    • Médicaments : les antibiotiques, narcotiques ou antihistaminiques, entres autres, provoquent une fièvre médicamenteuse, car ces substances élèvent la température corporelle.
    • Blessures : souffrir d’un traumatisme corporel peut déclencher de la fièvre. Cela peut aller d’une crise cardiaque à une attaque cérébrale, une brûlure ou un coup de chaleur.
    • D’autres maladies peuvent également prédisposer à la fièvre, telles que l’arthrite, l’hyperthyroïdie voire même le cancer.

    De plus, l’augmentation de la température inférieure à 38°C peut être due à des causes simples comme le stress, les changements hormonaux chez la femme, un excès d’exercice ou une température environnementale élevée.

    Qu’est-ce que l’hyperthermie ?

    Elle survient lorsque la thermorégulation dépasse la production de chaleur, c’est-à-dire que la température corporelle dépasse les niveaux normaux.

    Vous pouvez la détecter lorsque le thermomètre dépasse les 41°C. Parmi les principaux symptômes nous trouvons :

    • Saignement
    • Urine foncée
    • Douleur musculaire
    • Evanouissement
    • Désorientation

    Causes

    • Infarctus cérébral
    • Tumeurs
    • Encéphalite
    • Hémorragies
    • Séquelles suite à une neurochirurgie

    Complications

    complications de l'hyperthermie

    Lorsque le patient ne soigne pas à temps une hyperthermie, il est possible que la température continue d’augmenter pendant les deux heures qui suivent.

    Ceci peut être dangereux car les mécanismes de thermorégulation peuvent échouer.

    C’est pourquoi il est indispensable de faire baisser la température afin de sauver la vie de la personne touchée car il est possible que des convulsions apparaissent.

    Traitement

    Le traitement doit être immédiatement administré. Des mesures de refroidissement agressif doivent être mises en place en plus d’une hyperventilation avec de l’oxygène 100 %.

    • Refroidissement immédiat de la peau à l’aide de couverture hypothermiques.
    • Immergez le patient dans l’eau glacée.
    • Utilisez des ventilateurs.
    • Lavages gastriques à l’aide de solution glacée.
    • Si les étapes précédentes ne fonctionnent pas, on effectue une hémodialyse qui aide à éliminer les substances toxiques présentes dans le sang.

    Comment prévenir ?

    comment prévenir l'hyperthermie ?
    • Evitez de vous exposer au soleil pendant de longues périodes, surtout si vous réalisez une activité physique.
    • Utilisez un protecteur solaire pour vous protéger des brûlures, car elles empêchent la dissipation de la chaleur.
    • Il est important de boire au moins 2 litres d’eau par jour afin de rester hydraté.
    • Si vous faites de l’exercice et que vous sentez que la température monte ou que vous avez des sensations d’humidité, arrêtez l’activité.
    • Réduisez votre consommation d’alcool, car il favorise la déshydratation.
    • En saison chaude, portez des vêtements légers et aux couleurs vives.
    • N’oubliez pas de ventiler votre maison et de consommer des électrolytes.

    Il est très important que vous compreniez bien la différence entre fièvre et hyperthermie.

    En plus d’une augmentation de la température, vous ne pourrez réduire votre température chez vous en cas d’hyperthermie.

    Alors n’attendez pas et consultez immédiatement un médecin, surtout si cela arrive à des enfants ou à des personnes âgées.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 habitudes curieuses qui nuisent à la santé de notre coeur

     

     

     

     

     

    Ignorer certains inconforts ou des symptômes tels que la fatigue permanente ou le ronflement peut être très préjudiciable à la santé de notre coeur.

    7 habitudes curieuses qui nuisent à la santé de notre coeur

    La santé de notre coeur représente notre compte à rebours.

    Actuellement, et selon les données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les maladies cardiovasculaires demeurent la principale cause de décès dans le monde.

    De même, ces rapports laissent en évidence une série d’idées qui devraient nous inviter à une profonde réflexion.

    On sait, par exemple, qu’une bonne partie de ces pertes humaines auraient pu être évitées.

    Des facteurs tels que le tabagisme, un régime alimentaire inadéquat, l’obésité, la sédentarité ou l’alcool sont des déclencheurs qui surviennent avec l’apparition de maladies cardiovasculaires qui, à long ou à court terme, peuvent avoir des effets graves.

    Cependant, malgré le fait qu’une petite partie des décès ne soit pas liée à ces facteurs et puis répondre à des facteurs congénitaux, il est nécessaire d’assumer de nouvelles perspectives et responsabilités.

    Nos habitudes de vie donneront une santé cardiaque plus ou moins bonne.

    Prenons soin de nous, faisons de petits efforts quotidiens et réfléchissons à ces facteurs que nous allons maintenant détailler.

    Parfois, il y a des habitudes ou des situations que nous négligeons et qui ont de graves conséquences.

    1. Ignorer notre ronflement

    Ignorer le ronflement

    Nous pouvons le considérer comme normal, et nous dire que tout le monde ronfle plus ou moins.

    Peu importe que notre partenaire se plaigne le matin ou que nous nous réveillions fatigués avec mal à la tête, nous avons la ferme conviction que ce n’est pas quelque chose de dangereux.

    Penser cela est une grosse erreur.

    • Dans une bonne partie des cas, ces ronflements peuvent être dus à l’apnée obstructive du sommeil.
    • Cette interruption soudaine de notre respiration, qui finit par modifier la pression artérielle.
    • Ce fait, éprouvé nuit après nuit, affecte sérieusement la santé du coeur.

    2. Négliger notre santé buccodentaire

    Ces données sont importantes et nous devons les garder très présentes dans notre quotidien. La maladie des gencives peut affecter la santé de notre coeur.

    • Les maladies parodontales peuvent aller d’une simple inflammation des gencives à des évènements plus graves entraînant, dans de nombreux cas, la perte de dents.
    • Nous ne pouvons pas oublier que la bouche est pleine de bactéries, et que la plaque ou le tartre peut passer dans notre corps, provoquant une inflammation.
    • Ces bactéries dans le sang peuvent endommager la santé de notre coeur.
    • N’hésitez donc pas à rendre visite à votre dentiste régulièrement.

    3. Manger de la viande rouge en excès

    Les viandes rouges

    La viande rouge n’est pas nuisible tant que nous n’en consommons pas fréquemment.

    Il ne s’agit donc pas de l’éliminer complètement de notre alimentation, mais de comprendre qu’elle contient une teneur élevée en graisses saturées qui affectent notre santé cardiovasculaire.

    Donc, elle ne devrait pas être régulièrement dans nos assiettes, ainsi que les produits tels que le bacon, les saucisses ou les viandes riches en produits chimiques, qui sont très négatifs pour notre santé.

    La clé, comme toujours, est dans la balance.

    4. Ne pas être fumeur mais vivre avec d’autres fumeurs

    Nous pouvons être actifs, des athlètes, en bonne santé. Des personnes soucieuses de prendre soin d’elles-mêmes et d’échapper à ces mauvaises habitudes.

    Cependant, nous pouvons avoir un collègue fumeur. Ou notre partenaire peut l’être.

    Nous ne pouvons pas laisser de côté un fait, et c’est celui qui fait référence au fait que les fumeurs passifs développent également des maladies cardiovasculaires associées au tabac.

    Par conséquent, et dans la mesure où nous le pouvons, nous devons veiller à ce que les personnes les plus proches de nous laissent cette habitude nuisible à tous de côté.

    5. Ne pas consommer de fruits et de légumes nuit à la santé de notre coeur

    Le manque de fruits et de légumes

    Nous connaissons tous quelqu’un qui nous dit « je n’aime pas le vert, tout ce qui n’est pas de la viande pour moi ce n’est pas de la vraie nourriture ».

    Cependant, la « vraie nourriture » est celle qui, en raison de ses propriétés nutritionnelles, est bonne pour notre santé, pour le bon fonctionnement du coeur et notre équilibre interne.

    Les fruits et légumes sont essentiels à une alimentation saine. Faire sans eux et opter pour la malbouffe ou la viande est un risque élevé de développer un problème cardiovasculaire.

    6. Les problèmes émotionnels affectent la santé cardiaque

    Les problèmes dans notre travail, les désaccords avec nos patrons ou collègues, les pressions familiales. Les soucis, problèmes existentiels, le malheur, le sentiment de solitude…

    Toutes ces dimensions, maintenues en permanence, ont un impact sérieux sur la santé du coeur.

    Le stress, l’anxiété ou l’insatisfaction se traduisent par un taux élevé de cortisol dans le sang et d’autres altérations hormonales qui, à long terme, causent de graves dommages à notre santé en général.

    7. Laisser pour demain l’inconfort que je ressens aujourd’hui

    La douleur

    Douleurs dans la poitrine ou les bras, fatigue excessive lors de la montée d’escaliers. Douleurs au creux de l’estomac, tension dans le cou ou la mâchoire, étourdissements, évanouissements occasionnels, tachycardie…

    • Tous ces facteurs sont associés, dans de nombreux cas, à la symptomatologie qui accompagne un problème cardiaque.
    • Cependant, une bonne partie d’entre nous avons à peine le temps de nous arrêter pour demander un rendez-vous avec notre médecin.
    • Ce n’est rien, nous nous disons que c’est seulement le stress. Nous pensons que demain ce sera passé, jusqu’à ce que finalement quelque chose de plus grave se produise.

    Evitons ces situations, consacrons du temps et comprenons que ces petits symptômes ont un but bien précis : nous avertir qu’il se passe quelque chose dans notre corps.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est-ce que l’asthme ?

     

     

     

     

     

     

    Qu’est-ce que l’asthme ?

    L’asthme est une maladie chronique du système respiratoire. Face à certaines stimulations endogènes (internes) et exogènes (de l’environnement), les voies respiratoires de moindre calibre réduisent leur diamètre ; c’est-à-dire que les bronches se réduisent mais également le débit d’air vers les poumons.

    L’origine du problème est plutôt complexe et implique une irritation, des processus inflammatoires, des obstructions intermittentes et de l’hyperactivité bronchiale ou une augmentation de la réponse broncho-constrictrice des voies respiratoires.

    De nombreux patients présentent des symptômes légers et irréguliers. Toutefois, certains ont tendance à présenter des complications, ce que l’on appelle « les crises d’asthme », lors desquelles apparaissent des gênes plus sévères et plus longues. En conséquence, la respiration est difficile.

    Qui est touché par l’asthme ?

    Qui est touché par l'asthme ?

    Selon les informations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), environ 235 millions de personnes dans le monde souffrent d’asthme, ce qui correspond à 5% de la population mondiale. Indépendamment du degré de développement des pays, il est nécessaire de signaler qu’environ 80 % des décès à cause de l’asthme surviennent dans les pays ayant de mauvais services de santé.

    L’asthme est une maladie présente dans tous les pays et affecte des personnes de tous les âges, même s’il apparaît plus fréquemment à l’enfance. A ce stade, les cas d’asthme sont souvent associés à des problèmes d’allergies.

    Les causes de l’asthme

    L’origine de l’asthme n’est pas correctement déterminée ; cependant, il est important de distinguer les facteurs étiologiques (comme la génétique) des facteurs déclenchants qui, même s’ils ne produisent pas en soi la maladie, ils sont responsable de certaines crises chez les patients diagnostiqués.

    Facteurs étiologiques

    • Composants génétiques. Antécédents familiaux d’asthme ou d’allergies et de difficultés respiratoires.
    • Exposition à des allergènes. A cause des substances qui produisent des allergies et des problèmes respiratoires. Les plus importants sont :
    • Champignons microscopiques (produit de l’humidité)
    • Squames, pelage et peau des animaux domestiques
    • Tissus (comme la laine)
    • Tabac
    • Sciure
    • Acariens
    • Poussière
    • Pollen

    Facteurs déclenchants

    Facteurs déclenchants

    Les facteurs déclenchants, ceux qui sont associés à l’apparition des symptômes sont en général de type environnemental. En voici certains :

    • Infections virales
    • Fumée du tabac
    • Cœliaque ou intolérance au gluten
    • Environnements pollués et air de faible qualité
    • Changements de climat brusques (froid intense, humidité ou neige)
    • Utilisation prolongée de certains antibiotiques et médicaments

    Les symptômes de l’asthme

    Les symptômes peuvent se manifester de manière légère ou chronique, suivant chaque patient. Dans la majorité des cas en fonction de l’activité du système immunitaire. S’ils se manifestent selon le type d’asthme et le niveau de gravité, la personne souffre en général de :

    • Toux. Elle est en général irritante, avec peu de glaires, et parfois totalement sèche.
    • Difficulté à respirer. Cela arrive en général au cours d’un entraînement ou d’activités physiques très exigeantes. Dans des cas graves elle apparaît en parlant, voire même au repos.
    • Sifflements dans la poitrine. Ces sons se produisent à cause du passage de l’air dans les voies respiratoires les plus étroites. Elles sont facilement détectables en explorant les voies avec un phonendoscope.

    Voici d’autres symptômes à prendre en compte :

    • Sensation de fatigue
    • Douleur et irritation de la gorge
    • Sensation de pression dans la poitrine
    • Respiration irrégulière (plus ou plus rapide de la normale)
    • Congestion nasale (mucosité épaisse, difficile à éliminer) et éternuements
    • Difficulté à marcher ou à parler car il est très difficile de respirer (symptôme de cas graves)

    Diagnostic de l’asthme

    diagnostic de l'asthme

    Le diagnostic de cette maladie débute par une évaluation du cadre clinique, de l’historique familial et d’autres antécédents, grâce auxquels sont surtout évalués les facteurs à risque. Dans le cas où le patient a déjà été diagnostiqué, les crises précédentes sont évaluées.

    De nombreux cas sont liés à des problèmes d’allergies, c’est pourquoi un cas de rhinite ou d’eczéma suppose la présence de la maladie chez le patient. De plus, le médecin peut solliciter les examens suivant afin de préciser le diagnostique :

    • Examens allergiques
    • Analyses de sang
    • Epreuves de la fonction pulmonaire
    • Radiographie de la poitrine et des sinus paranasaux
    • Gazométrie artérielle (lorsque la crise d’asthme est grave)

    Traitement

    Traitements de l'asthme

    Malheureusement l’asthme est l’une des maladies chroniques qui n’a pas de remède ; toutefois, il existe des traitements qui aident à la contrôler. L’objectif des traitements consiste à diminuer la gravité de l’affection ainsi que la récurrence des symptômes.

    Les objectifs du traitement sont :

    • Prévenir et soulager les symptômes chroniques comme la toux et les difficultés respiratoires
    • Aider à maintenir le bon fonctionnement des poumons
    • Réduire le besoin de prendre des médicaments qui soulagent rapidement
    • Eviter les attaques chroniques

    Le traitement médical inclut :

    • Anti-inflammatoires : les corticoïdes sont les plus utilisés (béclométasone, budésonide, fluticasone).
    • Bronchodilatateurs : ils contiennent des bêta-2 agonistes (salbutamol, terbutaline, salmétérol et formétérol), des anticholinergiques (bromure d’ipratropium) et des méthylxantines.
    • Antihistaminiques : s’ils ne contrôlent pas la maladies, ils sont en revanche utiles pour neutraliser les symptômes allergiques.

    Il est également important de suivre un plan d’action comportant les mesures suivantes :

    • Prendre correctement les médicaments, aux bonnes heures et en suivant les recommandations médicales
    • Consulter immédiatement lorsque cela est nécessaire
    • Savoir jusqu’à quel stade la maladie est contrôlée
    • Eviter les facteurs environnementaux déclenchants
    • Savoir comment prendre soin de soi en faisant du sport

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Tout ce qu’il faut savoir sur le prurit anal

     

     

     

     

     

    Voici tout ce qu'il faut savoir sur le prurit anal. S'il peut avoir différentes causes, un régime alimentaire et une bonne hygiène sont fondamentaux pour l'éviter. Il est également essentiel d'ajouter des fibres dans son alimentation.

    Tout ce qu’il faut savoir sur le prurit anal

    Probablement n’avez-vous jamais entendu parler du prurit anal. Pourtant, beaucoup de gens en souffrent. 

    De fait, cette affection beaucoup plus courante que ce que l’on imagine.

    Le prurit anal

    Si en termes médicaux, on l’appelle prurit anal, ce nom n’est pas tellement commun.

    Les personnes touchées parlement même plutôt de démangeaisons anales.

    Cela donne un peu plus de renseignements sur la nature du mal mais de quoi s’agit-il exactement ?

    Le prurit ou les démangeaisons anales, comme leur nom l’indique, sont des démangeaisons qui se présentent dans la zone de l’anus ou autour.

    Cela provoque des rougeurs, des gonflements et bien sûr de fortes démangeaisons.

    Les hommes comme les femmes peuvent être touchés par cette affection gênante, même si ce sont les hommes qui en souffrent plus.

    Causes du prurit anal

    causes du prurit anal

    Selon les informations médicales, le prurit anal n’est pas lié aux déficiences ou aux maladies de l’anus. Il s’agit d’un symptôme d’une affection propre aux tissus cutanés de la zone.

    Les causes de son apparition peuvent être nombreuses. Voici les plus fréquentes.

    L’irritation ou l’allergie à cause de substances chimiques

    Il existe un grand nombre de produits chimiques en lien avec la zone de l’anus. Beaucoup sont même inconnus du grand public.

    Divers produits d’hygiène personnelle contiennent ce type de composants qui peuvent provoquer des réactions allergiques sur les tissus cutanés.

    Voici des exemples clairs de produits qui contiennent des chimiques :

    • Le papier toilette
    • Les talcs médicinaux
    • Les savons (intimes ou classiques)
    • Les parfums
    • Les crèmes

    Se laver trop et trop souvent

    causes du prurit anal

    L’hygiène est un facteur fondamental pour l’être humain, surtout lorsqu’il s’agit de la zone de l’anus. Cet endroit a tendance à être plus sale qu’ailleurs surtout à la suite de l’expulsion des selles.

    Ainsi, l’idéal est de se laver juste après. Mais parfois l’exagération est telle que l’hygiène finit par être nocive pour la peau.

    Lorsqu’on utilise du papier hygiénique, on peut exercer trop de force et cela peut conduire à des lésions ou à des irritations à cause des frictions, ce qui génère du prurit anal.

    Une mauvaise hygiène

    Pour aller à l’encontre de l’argument précédent, le prurit anal peut aussi être dû à un manque d’hygiène. Adopter de mauvaise habitudes d’hygiène dans la zone de l’anus peut provoquer divers problèmes.

    L’idéal est d’enlever tous les excès de selles de la zone, bien sûr, en n’exerçant pas trop de pression.

    La matière fécale, lorsqu’elle n’est pas retirée complètement, se loge au niveau de l’ouverture de l’anus et cela provoque immédiatement une sensation de démangeaison ou de prurit.

    Cependant, cette situation se présente encore davantage lorsque la matière fécale expulsée est liquide.

    Les régimes alimentaires irritants

    causes du prurit anal

    Il existe des aliments peu favorables à l’organisme. Cependant, cela dépend de chaque personne car ils n’affectent pas tout le monde de la même manière.

    L’anus peut être irrité par certains produits quelles que soient les affections dont souffre l’individu.

    Voici les ingrédients qu’il vaut mieux éviter :

    • Les aliments piquants ou acides (piment de Cayenne, piments, agrumes ou tomates)
    • Les boissons à base de caféine (sodas, café, thé)
    • Les épices

    Manières de lutter contre le prurit anal

    Heureusement, il existe des alternatives naturelles pour contrecarrer les effets du prurit.

    L’ail

    Les propriétés antiseptiques et antibactériennes de cet ingrédients sont parfaites pour traiter les démangeaisons de la zone de l’anus.

    On peut en consommer directement ou l’ajouter dans les recettes en tant que condiment.

    L’aloe vera

    aloe vera contre le prurit anal

    Le gel de l’aloe vera a des propriétés calmantes et adoucissantes qui stoppent la douleur, l’inflammation et le prurit anal.

    De plus, l’application du cristal contribue au traitement des hémorroïdes.

    Le yaourt

    Il faut savoir que tous les types de yaourt ne sont pas adaptés aux démangeaisons de l’anus.

    • Le yaourt nature est conseillé dans ce cas car il contient beaucoup de probiotiques (bactéries saines pour l’organisme)
    • Ces micro-organismes favorisent le bien-être de la zone et combattent les problèmes en lien avec le prurit anal.
    • Pour obtenir ses bienfaits, on peut appliquer le yaourt directement ou en consommer au moins deux pots par jour.

    Les fibres

    Augmenter sa consommation de fibres contribue également au travail digestif. De cette manière, vous parviendrez à rendre les selles pas trop liquides.

    Au bout d’un moment, cela peut aussi contribuer à l’assainissement de la zone et à la disparition du prurit anal.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 symptômes de la pneumonie que vous ne pouvez pas ignorer

     

     

     

     

     

    Des infections peuvent affecter les poumons très facilement, notamment chez les personnes qui ont un faible système immunitaire. C’est pourquoi il est nécessaire de prévenir ces infections avec des soins adaptés.

    8 symptômes de la pneumonie que vous ne pouvez pas ignorer

    La pneumonie est une maladie infectieuse qui attaque directement les poumons.

    Cette maladie touche plus régulièrement les personnes qui ont un faible système immunitaire, comme c’est le cas chez les personnes âgées ou les jeunes enfants.

    L’évolution de la pneumonie peut causer différents problèmes de santé. C’est pourquoi, il est important de la détecter le plus tôt possible.

    Si vous désirez connaître les symptômes de la pneumonie, vous trouverez toutes les réponses dans cet article. Ne manquez pas ça !

    La pneumonie, qu’est-ce que c’est ?

    Les poumons réalisent l’un des processus les plus importants du corps humain qui est la respiration : ils distribuent l’oxygène, et expulsent le dioxyde de carbone qui se trouve dans le corps.

    La pneumonie est une infection pulmonaire ; elle peut toucher un seul poumon ou bien les deux.

    Les poumons d’un patient atteint d’une pneumonie se remplissent de liquide et de pus, ce qui provoque des difficultés respiratoires considérables : l’oxygène diminue, et le dioxyde de carbone s’accumule dans le corps, mettant ainsi en danger la vie du patient.

    Quelles sont les causes de la pneumonie ?

    Femme qui tousse

    Habituellement, la pneumonie est causée par des microbes, des bactéries, des virus ou des champignons qui peuvent être contractés de nombreuses façons :

    • des bactéries et des virus qui se trouvent dans le nez, dans la bouche ou dans les sinus paranasaux et qui se distribuent vers les poumons
    • l’inhalation de microbes
    • l’inhalation d’aliments, de liquides ou de sécrétions, entre autres
    • une infection à pneumocoque
    • des complications d’une grippe
    • une infection fongique

    Quels sont les symptômes de la pneumonie ?

    1. Des frissons

    Femme malade

    Normalement, les personnes atteintes d’une pneumonie ont des frissons plusieurs fois dans la journée, frissons qui durent généralement 30-60 minutes.

    2. De la fièvre et de la toux

    Ces symptômes sont généralement les deuxièmes symptômes constatés chez les patients atteints d’une pneumonie : de la fièvre constante qui atteint les 40 degrés, une sensation de malaise général et de la toux.

    • La toux peut être accompagnée de mucus et de flegme de couleur marron-rougeâtre ou jaune-verdâtre, et dans certains cas, de mucus avec du sang.
    • La fièvre et la toux peuvent être précédées d’une infection de la gorge.

    3. Des difficultés respiratoires

    Enfant malade

    Cela s’explique par la faible quantité d’oxygène que le corps reçoit lorsqu’il souffre d’une maladie telle que la pneumonie. Cela est d’autant plus considérable lorsque le patient effectue une activité qui demande un effort, tel que monter des escaliers, marcher rapidement ou lever beaucoup de poids.

    En plus des difficultés respiratoires, les respirations peuvent être rapides et superficielles.

    4. Des douleurs lors de l’inspiration

    Généralement, les patients atteints d’une pneumonie souffrent de douleurs lorsqu’ils inspirent. Cela est dû à l’inflammation de la plèvre, plus connue sous le nom de pleurésie.

    5. Des engourdissements et les extrémités qui changent de couleur 

    Mains

    Le manque d’oxygène dans le corps peut causer une sensation de froid, une inflammation et des engourdissements. Les parties du corps touchées sont :

    • les lèvres
    • la langue
    • les extrémités
    • les doigts
    • le nez

    De plus, il est possible d’observer un changement de couleur dans toutes ces parties du corps, lesquelles deviennent alors bleues ou violacées.  

    6. Des douleurs articulaires

    Les patients qui souffrent d’une pneumonie peuvent aussi avoir des douleurs articulaires continuelles en raison de la faible quantité d’oxygène qui circule dans le corps.

    7. De la confusion 

    Femme confuse

    Dans certains cas, notamment chez les personnes âgées, la pneumonie provoque des changements mentaux qui génèrent, par exemple, de la confusion ou de la désorientation.

    8. Le syndrome de l’ongle blanc 

    Également connu sous le nom de leuconychie, ce symptôme peut indiquer une intoxication par produits chimiques, une maladie cardiaque, une pneumonie ou une hypoalbuminémie.

     

    En plus des principaux symptômes cités, d’autres signes peuvent apparaître :

    • une transpiration excessive et une peau collante ;
    • une fatigue et un manque d’énergie.

    Si vous avez plusieurs de ces symptômes, nous vous conseillons vivement de vous rendre chez votre médecin de confiance pour qu’il vous prescrive les examens nécessaires. Vous pourrez ainsi commencer le traitement adapté à votre maladie.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 CAUSES QUI PEUVENT AUGMENTER VOTRE TAUX DE PSA AUXQUELLES VOUS NE PENSEZ PAS

     

     

     

     

     

     

     

    Adénome, cancer de la prostate... Quand le taux de PSA est élevé, c'est l'inquiétude. Mais d'autres facteurs peuvent le faire grimper sans qu'on le sache. Explications avec le professeur Emmanuel Chartier-Kastler, chirurgien urologue.

     

    PSA : quelles sont les valeurs normales ?

    Le PSA (pour "Antigène Spécifique de la Prostate" ou "Prostatic Specific Antigen" en anglais) est une protéine produite par les cellules de la prostate. Elle est présente dans le sperme et en plus petite quantité dans le sang. Une prise de sang permet donc d’évaluer son taux. 
    Pourquoi mesurer le PSA ? Le PSA est généralement dosé pour évaluer un risque de cancer de la prostate. Cette protéine est également un marqueur d’hypertrophie bénigne de la prostate (ou adénome). Le taux de PSA est considéré "normal" lorsqu’il est inférieur à quatre nanogrammes par millilitre de sang.
     
     

    Une biopsie de la prostate peut augmenter le PSA

    "Toutes les manipulations de la prostate peuvent augmenter le taux de PSA", révèle le professeur Emmanuel Chartier-Kastler, chirurgien urologue. "Le PSA est en effet fabriqué par les cellules glandulaires de la prostate. Tout traumatisme de ces cellules entraîne une sécrétion de PSA", poursuit-il. C’est pourquoi une biopsie de la prostate, comme tout acte invasif, rend le taux de PSA ininterprétable pendant 8 à 10 jours (durée pendant laquelle le PSA persiste dans le sang). 
    Comment faire ? Pour écarter un biais lié à une biopsie, il est donc préférable d’attendre une dizaine de jours entre une biopsie et un dosage du PSA, "d’autant que le test du PSA n’est jamais une urgence et pourra donc être reporté sans que cela soit lourd de conséquences", rassure le spécialiste. 
    Bon à savoir : "Une endoscopie de l’urètre peut aussi augmenter le taux de PSA mais dans une moindre mesure, car il cause un plus faible traumatisme cellulaire", précise le professeur.
     
     

    Le vélo peut élever le taux de PSA

    "Les hommes qui pratiquent le vélo de manière intensive et quotidienne présentent une légère ascension du taux PSA", confie le professeur Chartier-Kastler.
    Pourquoi ? "La pratique du cyclisme ne génère pas de traumatisme direct sur la prostate mais la selle du vélo appuie sur l’urètre, ce qui peut compresser ce canal et entraîner une inflammation et une sécrétion plus élevée de PSA", détaille le médecin. 
    Bon à savoir : "La variation du taux de PSA liée au cyclisme reste assez faible et ne perturbe donc pas forcément l’interprétation des résultats. En cas de doute, le médecin pourra demander au patient de refaire un deuxième dosage quelques jours plus tard, sans avoir fait de vélo les jours précédents ce test", explique le professeur Chartier-Kastler. 
    Attention : Une situation similaire peut subvenir chez les personnes dont le métier force à une position assise prolongée. "Les chauffeurs routiers ou les chauffeurs de taxi qui restent assis des journées entières risquent par exemple de subir des légères augmentations du taux de PSA à cause d’une congestion veineuse de leur petit bassin", souligne le chirurgien urologue. "L’impact clinique est sans conséquences", assure-t-il par ailleurs.
     
     

    Un massage prostatique récent : gare au pic !

    Le massage prostatique et le toucher rectal constituent une forme de traumatisme de la prostate pouvant conduire à une élévation du taux de PSA.
    Bon à savoir : "Le toucher rectal direct réalisé par un urologue pour détecter une hypertrophie bénigne de la prostate par exemple peut faire grimper ce taux. Il faudra donc attendre quelques jours entre un toucher rectal et un dosage du PSA", conseille le professeur Chartier-Kastler. 
    Par ailleurs, l’influence d’un massage prostatique ou de l’intromission anale dans le cadre d’un rapport sexuel sur le taux de PSA ne font l’objet que de peu d’études actuellement. Mais selon l’Association Française d’Urologie (AFU), "le massage prostatique semble élever [le taux de PSA] de façon transitoire avec un pic sérique maximal à une heure de deux fois le taux de base". Mais le chirurgien urologue rassure : ce pic disparaît rapidement. 
    Quid de l’éjaculation ? "L’éjaculation provoque une contraction prostatique et peut donc à ce titre entraîner une petite variation du taux de PSA. Cette variation est réelle et potentielle mais reste cependant infime, et n’est pas considérée comme significative", rassure le professeur.
     
     

    La norme du PSA peut varier d'un laboratoire à l'autre

    Pourquoi ? "La norme du dosage du PSA varie selon le kit de dosage utilisé par la laboratoire d’analyse", prévient le professeur Chartier-Kastler. 
    Comment faire ? "Si possible, il est recommandé de toujours faire son dosage de PSA dans le même laboratoire", préconise le chirurgien urologue. "Mais si le laboratoire change de marque de kit de dosage, des variations de mesure peuvent survenir. Si le taux change d’un coup, le médecin va donc d’abord regarder si le laboratoire a changé de kit : la norme utilisée est toujours inscrite sur le compte-rendu d’examen. Il saura donc immédiatement s’il y a eu un changement de kit potentiellement responsable de la variation du taux de PSA", dévoile le spécialiste.
     
     

    Une inflammation de la prostate peut élever le PSA de façon majeure

    Une prostatite aigüe - ou inflammation infectieuse de la prostate - est susceptible d’augmenter le taux de PSA de façon majeure, "parfois de 20 à 30 points", souligne le professeur Chartier-Kastler.
    En général, des symptômes cliniques (sensation de brûlure en urinant, douleurs dans le bas ventre, difficulté à la miction, fièvre, frissons) alertent le patient sur la présence d’une telle inflammation. 
    Comment faire ? "Le taux de PSA lié à une prostatite va diminuer dans les semaines qui suivent l’inflammation. Il est donc préférable de laisser un intervalle de quelques semaines entre une prostatite et une mesure du taux de PSA.", préconise le chirurgien urologue.
     
     

    Obstruction de l’urètre : un taux de PSA 6 fois plus élevé

    L’urètre est un canal qui passe dans la prostate et qui conduit l’urine de la vessie jusqu’au méat urinaire. "Une rétention aigüe d’urine en cas d’obstruction de l’urètre peut être à l’origine d’une augmentation du PSA", affirme le professeur Chartier-Kastler. Après une telle pathologie, le taux de PSA peut augmenter jusqu'à 6 à 10 fois son taux de base pour retourner à la normale 48 heures après un drainage de la vessie, selon l’AFU. 
    Comment faire ? Dans ce cas, "il faudra doser le PSA à distance du drainage utilisé comme traitement", conseille le spécialiste.
     
     

    Médicaments et taux de PSA : un lien ?

    Les médicaments généraux (contre le diabète, contre l’hypertension…) ne semblent pas avoir d’influence sur le taux de PSA.
    Mais attention : "Les inhibiteurs de la 5 alpha réductase (finastéride ou dutastéride) prescrits en cas d’hypertrophie bénigne de la prostate diminuent le volume de la prostate et divisent par deux le taux de PSA au bout d’un an" révèle le professeur Chartier-Kastler. "L’incidence est telle que lorsqu’on réalise un dosage du PSA chez un homme qui prend ce type de médicament, on multiplie le résultat par deux pour obtenir une approximation du taux 'normal' ", appuie l’urologue. Il faudra donc signaler à son médecin la prise d’un tel médicament en cas de dosage du PSA s’il n’en a pas déjà connaissance.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : -Merci au professeur Emmanuel Chartier-Kastler, Sorbonne Universités, UPMC, Paris 6 ; chirurgien urologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, APHP (Paris).
    -Association Française d’Urologie (AFU) www.urofrance.org 
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • 8 symptômes notoires des ulcères de l’estomac

     

     

     

     

     

    Il est essentiel d’identifier ces symptômes rapidement afin d’obtenir un diagnostic précoce et un traitement, et éviter ainsi que l'ulcère ne s'aggrave et n'affecte la qualité de vie. 

    8 symptômes notoires des ulcères de l’estomac

    Les ulcères d’estomac, également connus sous le nom d’ulcères peptiques, correspondent à des blessures profondes d’une ou plusieurs zones de la muqueuse qui protège l’estomac.

    Les ulcères se produisent lorsque la production de sucs acides augmente. Ces sucs irritent le revêtement de l’estomac et provoquent une sensation de brûlure et des douleurs.

    Leur apparition est associée à la consommation excessive de certains aliments inflammatoires, mais la cause principale est l‘infection de la bactérie H. Pylori.

    Les personnes qui fument et boivent de l’alcool ont plus fréquemment des ulcères d’estomac que les autres, car les toxines et les produits chimiques ont tendance à fragiliser la paroi de l’estomac.

    Détecter les symptômes rapidement est essentiel pour le traitement, car cela empêchera que la lésion ne s’agrandisse et ne génère des complications digestives.

    Il est ainsi fondamental de savoir comment les ulcères d’estomac se manifestent, et de consulter un médecin si vous identifiez ces symptômes.

    1. La douleur abdominale

    Femme avec des douleurs abdominales assise sur le canapé

    La douleur abdominale est l’un des principaux symptômes des ulcères qui se forment dans le revêtement de l’estomac.

    • L’intensité de la douleur peut varier, de faible à chronique, notamment lorsque le patient consomme des aliments irritants et lorsqu’il passe plusieurs heures sans manger.
    • Ces douleurs surviennent dans la partie supérieure et la partie centrale de l’abdomen, et peuvent s’étendre jusqu’aux côtes.

    2. L’inflammation abdominale

    L’inflammation abdominale est un symptôme commun à la majorité des infections du système digestif.

    • Dans ce cas-ci, il s’agit d’un gonflement notoire du ventre, généralement accompagné d’une pression et d’une sensation de lourdeur.
    • Cette inflammation est une réaction du corps face aux agressions que l’excès de production de sucs acides provoque.

    3. Une indigestion récurrente

    Bien que l’indigestion inclue les deux symptômes relevés antérieurement, il est tout de même important de séparer ce symptôme, car il provoque également une sensation de lourdeur et des gaz.

    • En cas d’ulcère d’estomac, l’indigestion est chose courante, car les lésions de l’estomac génèrent des brûlures et de la douleur dès lors que sont consommés des aliments acides et copieux.
    • Il est fréquent que les ulcères causent des éructations et des maux de ventre, presqu’à chaque fois immédiatement après le repas.

    4. Une perte d’appétit

    En raison de la réaction inflammatoire qui survient après le repas, beaucoup de patients souffrant d’ulcères finissent par perdre l’appétit.

    • La peur de ressentir des brûlures et des douleurs suite à un repas amène les patients à souffrir d’inappétence.
    • Ce symptôme entraîne de graves conséquences, car il conduit au développement de carences nutritionnelles.

    5. Des nausées

    Femme qui vomit aux toilettes

    Les nausées ne sont pas seulement un symptôme indiquant une grossesse ou une gastrite.

    Cette désagréable envie de vomir est également le résultat d’un excès de sucs acides qui irritent la muqueuse de l’estomac.

    • Lorsque la lésion se produit (l’ulcère), elle provoque une rupture de l’équilibre entre les moyens de défense et les facteurs d’agression de l’estomac, générant ainsi ce symptôme.

    6. Des intolérances alimentaires

    Le revêtement de l’estomac étant affaibli par les ulcères, il est très probable que le patient souffre d’intolérances alimentaires.

    • Les composants inflammatoires de certains ingrédients ont tendance à aggraver l’état du patient en provoquant une forte douleur et des symptômes digestifs.
    • Cela survient presqu’à chaque fois immédiatement après le repas, et interfère avec les activités de la journée.
    • Généralement ce sont des intolérances aux aliments riches en graisses, en sucres ou en composants piquants.

    7. Une perte de poids excessive 

    Femme qui tient une balance entre ses mains

    La perte de poids observée chez les patients souffrant d’ulcères d’estomac a un rapport avec l’inappétence provoquée par la maladie.

    • Les personnes affectées cessent de manger de façon appropriée. Ils consomment moins de calories et de nutriments, ce qui provoque une perte de poids notable.
    • C’est un symptôme qui demande beaucoup d’attention, car, en plus d’une diminution de la graisse, il réduit significativement la masse musculaire.
    • Ce symptôme requiert une analyse complète médicale, car il peut également être la cause d’autres maladies chroniques telles que le cancer.

    8. Des saignements

    La présence de sang dans les selles ou dans les vomissures indique que les ulcères sont en train de s’agrandir.

    • Peu de patients ont ce symptôme, car il se manifeste à l’état avancé et grave de la maladie.
    • Toutefois, si ce symptôme apparaît, il est fondamental de se rendre chez un médecin, car cela indique des complications pour la santé.
    • Ce symptôme peut également être le signal d’alerte de maladies digestives chroniques comme le cancer de l’estomac ou du colon.

    La détection de plusieurs des symptômes relevés ici est une raison suffisante qui doit vous pousser à vous rendre chez le médecin le plus tôt possible

    Une fois le diagnostic obtenu, il est fondamental d‘améliorer vos habitudes alimentaires et de consommer des aliments qui aident à neutraliser l’action des acides.

    Il est également essentiel de boire beaucoup d’eau pour réparer les tissus touchés.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Adrénaline : l’hormone de l’activité, du stress et des maux de tête

     

     

     

     

     

    Si la libération d'adrénaline pendant une courte période peut nous aider à nous sentir bien, en revanche, si elle perdure au fil du temps, elle peut aussi avoir des effets négatifs, comme des douleurs musculaires ou des maux de tête.

    Adrénaline : l’hormone de l’activité, du stress et des maux de tête

    Nous avons tous entendu parler de l’adrénaline ou de l’épinéphrine.

    Elle est étroitement liée avec l’activité, la motivation et avec cette énergie dont nous avons besoin au jour le jour pour se sentir bien et assumer avec succès chaque objectif et chaque tâche.

    Cette hormone qui remplit également la fonction de neurotransmetteur peut être notre meilleur allié.

    Par ailleurs, il est intéressant de savoir qu’en même temps, elle peut être cette substance indésirable qui donne lieu au stress chronique, aux maux de tête et à l’anxiété.

    Aujourd’hui dans cet article nous vous proposons d’en savoir plus sur l’adrénaline, cette substance polyvalente et essentielle pour notre corps et notre comportement.

    Qu’est-ce que l’adrénaline ?

    définition de l'adrénaline

    L’adrénaline est, comme nous l’avons dit, une hormone qui agit également comme un neurotransmetteur et qui est produite dans les glandes surrénales et dans certaines régions de notre système nerveux central.

    Nous pourrions la définir comme un médiateur chimique qui agit en modifiant l’activité de plusieurs de nos organes, tels que le cœur.

    • Le but principal de cette hormone est de se préparer à la fuite ou à la lutte quand notre cerveau interprète qu’un certain stimulus peut être une menace pour nous.
    • De plus, elle nous permet de réaliser le maximum de nous-mêmes, en utilisant toutes nos ressources physiques pour atteindre un objectif, que ce soit pour l’éviter ou y faire face.
    • Cette activation est obtenue de différentes façons : en augmentant la fréquence cardiaque, la pression artérielle et la capacité de nos poumons à retenir l’air, en dilatant nos pupilles et en apportant plus de sang aux muscles des bras et des jambes.
    • D’un autre côté, l’un des effets les plus connus de l’adrénaline est sans aucun doute son impact sur notre métabolisme : elle maximise nos taux de glucose pour pouvoir les amener au cerveau.

    Il est aussi curieux de constater que l’adrénaline à des répercutions dans notre système digestif lorsque le cerveau interprète qu’il y a un danger.

    Elle ralentit la digestion et même le mouvement intestinal pour une raison bien précise : toute notre énergie doit être concentrée dans les muscles.

    Ainsi, des tâches essentielles telles que la digestion ou l’absorption des nutriments sont laissées en arrière-plan, puisque ces fonctions, nous ne pouvons pas oublier, nécessitent beaucoup de dépense énergétique.

    Comment la libération d’adrénaline est-elle contrôlée ?

    Quand un risque apparaît, lorsque nous éprouvons de la peur, une émotion intense ou de l’anxiété, les nerfs reliés aux glandes surrénales stimulent la sécrétion d’adrénaline pour la libérer dans notre circulation sanguine.

    • D’ailleurs, on peut dire que la quantité d’adrénaline libérée est juste suffisante pour que nous puissions ressentir son effet pendant 3 ou 5 minutes.

    Cet intervalle de temps est suffisant pour pouvoir réagir sans que nos organes soient affectés.

    • Cependant, le plus gros problème qui existe avec l’adrénaline est que, lorsque nous subissons du stress pendant une longue période, l’hormone du cortisol favorise également l’apparition de l’adrénaline.

    Dans ces cas, sa présence dans notre corps n’est pas limitée à 3 ou 5 minutes. Parfois, il peut durer des jours ou des semaines jusqu’à modifier sérieusement notre santé. Ainsi peuvent apparaître de la tachycardie, des vertiges, une mauvaise digestion, des maux de tête

    Adrénaline : effets positifs et effets négatifs

    Adrénaline : effets positifs et effets négatifs

    L’être humain ne conserverait pas son essence authentique sans cette hormone fabuleuse. Il est possible que toutes les explications données jusqu’ici lui aient donné une image quelque peu négative.

    Cependant, il est nécessaire de comprendre toute la transcendance que cette substance a dans notre quotidien et même dans notre style de personnalité.

    L’adrénaline nous fait nous sentir « vivants »

    Nous avons tous vécu ces « sensations » agréables quand nous faisons du sport, quand nous dansons, quand nous montons à une attraction foraine, quand nous tombons amoureux …

    • Toutes ces sensations constituent ce que les neurologues appellent parfois «notre médicament cérébral».
    • En effet, il y a des personnes qui ressentent une véritable dépendance à ce type de situations où l’adrénaline est déclenchée au maximum, comme cela peut se produire par exemple, en réalisant un sport de risque.
    • Il est également intéressant de savoir que l’adrénaline peut nous tenir à l’écart de la dépression, car elle intervient également dans la production de la sérotonine, l’hormone du bien-être mental.
    • Pratiquer des activités telles que certains sports ou partager de bons moments avec les nôtres sont des moyens sensationnels de produire de l’adrénaline.

    L’excès d’adrénaline et ses conséquences

    L'excès d'adrénaline et ses conséquences

    Des préoccupations excessives, une peur constante, une anxiété persistante et même le fait d’avoir à faire des efforts physiques pendant plusieurs heures entraînent une libération démesurée d’adrénaline.

    Il faut dire que notre mode de vie, caractérisé par de fortes pressions, nos obligations ou ce stress qui nous quitte à peine, génère précisément cette situation «anormale» dans notre corps, c’est-à-dire trop d’adrénaline dans notre sang.

    Nous le remarquerons immédiatement à travers ces symptômes :

    • Douleur musculaire
    • Stress dans le cou, les bras ou les jambes
    • Vertiges
    • Vision floue ou pression dans les yeux
    • Mal de tête
    • Difficulté à dormir
    • Mal au ventre
    • Hypertension
    • Fatigue chronique

    En conclusion, la clé du bien-être serait avant tout de maintenir un équilibre subtil et parfait avec cette hormone.

    Pour mener une vie active où les moments d’exercice ou de socialisation sont complétés avec la relaxation et une bonne gestion du stress serait sans aucun doute un moyen sensationnel de travailler sur notre qualité de vie.

    Rendons cela possible.

    Nous vous expliquons 9 effets surprenants associés à un faible niveau de sérotonine que vous devriez prendre en compte dans votre quotidien. Au-delà des problèmes d’anxiété ou de dépression, une carence en sérotonine peut envoyer de nombreux signaux que nous ne devons pas négliger, car ils peuvent nous indiquer que quelque chose ne va pas avec ce neurotransmetteur.

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • L’hypocalcémie :

    symptômes de cette maladie silencieuse à connaître

     

     

     

     

     

     

    Le déficit de calcium ou l'hypocalcémie est une condition qui n'affecte pas seulement les os et les dents, mais qui a aussi des répercussions sur notre santé au niveau général.

    L’hypocalcémie : symptômes de cette maladie silencieuse à connaître

     

    L’hypocalcémie est une maladie qui affecte particulièrement les femmes. Cette affection a pour origine un déficit de calcium dans le sang et provoque beaucoup plus symptômes que l’ostéoporose.

    Le fourmillement dans les bras et dans les jambes, les difficultés dans la concentration, la douleur musculaire ou même le fait d’avoir des palpitations sont d’autres indicateurs de l’hypocalcémie, dont nous devons aussi tenir compte.

    Cependant, le plus difficile dans cette maladie, c’est qu’elle peut affecter notre qualité de vie sans que nous en connaissions la raison. Nous allons dans cet article vous donner ses symptômes pour que vous puissiez avoir plus de clés en main.

    Souvenez, de plus, que face à n’importe quel doute ou gêne, le mieux est de consulter un médecin. Cette maladie peut être diagnostiquée rapidement avec une simple analyse de sang.

    Voyons les informations à connaître plus en détails.

    Qu’est-ce que l’hypocalcémie ?

    Nous parlons d’hypocalcémie lorsqu’il y a un déséquilibre dans un élément très concret du sang : le calcium.

    Ce minéral a des fonction basiques et essentielles dans notre santé et notre bien-être. Mais il faut savoir, de plus, que le calcium n’est pas uniquement nécessaire pour avoir des os et des dents résistants.

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    • Le calcium aide certaines hormones à bien travailler dans les reins et les intestins notamment. 
    • Ce minéral est indispensable pour favoriser la coagulation du sang.
    • Il est également important pour une bonne transmission de l’influx nerveux et la contraction musculaire.
    • De plus, il contribue à l’activation de nombreuses enzymes basiques de notre organisme.
    • Il aide aussi aux tâches intérieures des membranes cellulaires : il favorise l’échange d’oxygène et de nutriments.
    • Il favorise l’absorption d’une vitamine essentielle comme la vitamine B12.

    Quels sont les symptômes de l’hypocalcémie ?

    • Le stress et l’anxiété. On commence par passer par des périodes où nous ne pouvons pas affronter nos responsabilités quotidiennes : on a du mal à se concentrer, on se sent confus-es, perturbé-e-s…
    • L’un des symptômes les plus courants est le fourmillement musculaire. Nous ressentons des gênes dans le visage, dans les extrémités… C’est comme si nous avions des fourmis sous la peau.
    • La fatigue, les crampes musculaires, l’engourdissement dans les mains…
    • Les problèmes dans les dents : elles sont très fragiles.
    • La fragilité des cheveux. on peut notamment souffrir d’alopécie.
    • De plus, l’hypocalcémie entraîne aussi divers problèmes de peau.Elle semble très sèche et on peut souffrir d’eczéma ou de dermatite.
    • Les ongles sont également fragiles.
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    Que cause l’hypocalcémie ?

    L’une des causes les plus courants de l’hypocalcémie est un déficit en vitamine D. Un manque de ce minéral affectera, par exemple, la glande parathyroïde et empêchera la régulation du métabolisme du calcium dans l’organisme.

    De plus, il existe aussi d’autres causes que seuls les spécialistes peuvent diagnostiquer :

    • L’insuffisance rénale chronique.
    • Le déficit de magnésium est également une cause très courante de l’hypocalcémie.
    • Certains médicaments (diurétiques, traitements hormonaux, antibiotiques…) peuvent aussi générer des problèmes dans la synthèse du calcium dans notre corps.
    • Consommer de la caféine à l’excès ou des boissons gazeuses est également dangereux. 

    Comment traiter l’hypocalcémie ?

    Le traitement de l’hypocalcémie est décidé par les spécialistes en fonction des besoins particuliers de chaque patient.

    Cependant, cette maladie est combattue grâce à l’administration de compléments de calcium par voie orale et de vitamine D. 

    • L’objectif est de maintenir les niveaux de calcium à la limite de la normalité. Le problème, lorsqu’on ingère du calcium, c’est que cela peut, à long terme, provoquer des calculs rénaux.

    Pour éviter la lithiase, le mieux est de suivre un régime adapté, faible en sel et avec des liquides en abondance.

    Pouvons-nous prévenir l’hypocalcémie ?

    Tout d’abord, il est important d’éclaircir quelque chose : il ne faut jamais prendre des compléments de calcium de son propre chef. C’est le médecin qui doit décider. L’auto-médication est dangereuse et peu recommandable.

    Puisque nous ne pouvons pas véritablement savoir si nous souffrons d’hypocalcémie, nous ne devons pas courir le risque d’élever nos niveaux de calcium arbitrairement.

    Le mieux est de consulter un médecin et de connaître ses besoins particuliers.

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    • Rappelez-vous que le calcium ne se trouve pas seulement dans les produits laitiers. 

    On peut trouver ce minéral dans les légumes secs comme les lentilles ou les pois-chiches. Les œufs, les noix et le brocoli sont aussi des aliments très conseillés.

    • Il s’agit, tout simplement, d’avoir un régime varié et équilibré où aucun nutriment ne manque.
    • Pour prévenir l’hypocalcémie, il est important de consommer suffisamment de vitamine D et de magnésium.
    • N’hésitez pas non plus à réaliser des exercices. Sortez marcher et profitez des rayons du soleil pour synthétiser de la vitamine D.

    Une fois de plus : si vous avez un doute, le mieux est de consulter votre médecin.

    Il saura si vous devez prendre ou pas des compléments riches en calcium.

    De même, il est important de prendre soin de la santé de votre thyroïde puisqu’elle a aussi une fonction importante qui impliquent les niveaux de calcium.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est-ce que la méningite ?

     

     

     

     

     

    La méningite est une maladie généralement infectieuse, caractérisée par l'inflammation des méninges, et qui provoque de la fièvre, des céphalées et une perte d'attention. 

    Qu’est-ce que la méningite ?

    La méningite est une inflammation des méninges, c’est à dire des membranes qui recouvrent le système central nerveux. Étant donné que tout ce qui implique une inflammation dans notre corps est anormal, cette inflammation est considérée comme une pathologie ou une maladie. La bonne nouvelle est que, à l’heure actuelle, c’est une maladie peu fréquente.

    La maladie est généralement causée par un agent infectieux. Sa forme virale est la plus fréquente, mais la méningite bactérienne est la forme la plus grave.

    La maladie surgit de manière brusque, avec de la fièvre, des céphalées, des nausées et des vomissements. Chez les jeunes enfants, des symptômes peu spécifiques d’irritabilité et/ou de somnolence peuvent apparaître.

    La méningite peut endommager le cerveau. Elle peut même provoquer la mort, raison pour laquelle il est essentiel d’obtenir un diagnostic et un traitement à temps.

    Méningite

    Les méninges, qu’est ce que c’est ?

    Imaginons un instant que notre cerveau soit un fruit. Ce fruit contient un liquide, lequel parcourt différentes zones du fruit dans le but de le conserver en bonnes conditions.

    Imaginons maintenant que la peau du fruit est un crâne humain. Entre la peau du fruit, la couche externe, et le fruit, il y a trois autres couches, des couches internes parmi lesquelles se trouve le liquide qui préserve le fruit.

    Ces trois couches qui se trouvent sous le crâne correspondent aux méninges, trois membranes qui recouvrent et protègent l’encéphale ainsi que la moelle épinière. 

    L’encéphale et la moelle épinière sont les organes les plus protégés du corps. Les méninges, non seulement amortissent les coups mais exercent également la fonction de « filtre » pour éviter que des micro-organismes nuisibles entrent dans le système nerveux central. Entre les méninges circule le liquide cépahlo-rachidien, lequel a des fonctions également protectrices et immunitaires.

    La répartition géographique de la méningite 

    La méningite est une épidémie fréquente sur le continent africain, notamment en Afrique subsaharienne pendant la saison sèche. Les épidémies de cette zone durent entre deux et trois ans, et s’arrêtent pendant les périodes de pluie. En raison du manque d’attention médicale, le taux de mortalité de la population est élevé.

    L’épidémie de méningite la plus grave de la zone est celle de 1996 : elle a causé plus de 25 000 morts. Dans les pays occidentaux, la méningite bactérienne affecte 3 personnes sur 100 000, et la méningite virale 10 personnes sur 100 000.

    Les facteurs de risque

    • Les saisons sèches
    • Les enfants
    • Les infections contiguës
    • L’immunodépression
    • Les intoxications

    Les causes de la méningite 

    La méningite est généralement la conséquence d’une autre infection, normalement due à un virus, mais il existe des cas de méningite non infectieuse.

    Les virus

    • l’entérovirus
    • le virus de l’herpès
    • le VIH
    • le virus du Nil occidental, lequel se transmet par les moustiques

    Les bactéries

    Selon l’âge de l’individu, il existe un risque différent d’infection par différents microorganismes.

    • Les nouveaux-nés agés de moins de 3 mois
      • Streptocoques de groupe B.
      • Escherichia coli
    • Les bébés de plus de 3 mois
      • Neisseria meningitidis
      • Streptococcus pneumoniae
      • Haemophilus influenzae
    • Les adultes
      • Neisseria meningitidis
      • Streptococcus pneumoniae
      • Listeria monocytogenes

    Comment apparaît la maladie ?

    Les microorganismes arrivent aux méninges par le sang, de façon directe ou par contiguïté.

    Les bactéries qui, normalement, résident dans le nez, la bouche, ou le pharynx (sans causer de dommages) pénètrent dans le flux sanguin, et de là, elles traversent la barrière hémato-encéphalique dans des zones où cette barrière est le plus vulnérable. Les bactéries arrivent au liquide céphalo-rachidien de l’espace sous-arachnoïdien et provoquent l’infection des méninges.

    La voie sanguine est la forme de transmission la plus fréquente.

    Les autres voies de transmission sont la forme directe (fractures du crâne, des interventions chirurgicales, etc.), et la transmission par contiguité depuis certaines zones telles que les sinus paranasaux.

    Les symptômes

    • La fièvre, notamment chez les enfants et les nouveaux-nés
    • Les frissons
    • Les nausées et les vomissements
    • La photophobie
    • La raideur de la nuque
    • Les convulsions
    • Les céphalées
    • La diminution du niveau de conscience 

    La maladie surgit brusquement, avec de la fièvre, des céphalées, des nausées et des vomissements. Chez les jeunes enfants, des symptômes tels que l’irritabilité et la somnolence peuvent apparaître.

    La lésion cérébrale 

    L’oedème cérébral est une lésion qui est associée à l’inflammation. Elle provoque une augmentation de la pression intra-crânienne, rendant difficile l’arrivée du sang au cerveau. Le cerveau ne reçoit pas suffisamment d’oxygène, et, par conséquent, les cellules cérébrales finissent par mourir. Dans certains cas, notamment si la méningite n’est pas traitée, la lésion cérébrale peut être létale.

    Le diagnostic de la méningite

    Bien que le soupçon de méningite soit toujours clinique, le diagnostic sûr s’obtient au moyen de la ponction lombaire.

    La ponction lombaire est un processus qui consiste à extraire le liquide céphalo-rachidien au moyen d’une aiguille que l’on insère dans la colonne vertébrale.

    Ponction lombaire

    Les types de méningite

    Il existe des méningites virales et des méningites bactériennes que l’on peut classifier selon leur agent pathogène. Les premières ont un pronostic léger et ne nécessitent pas de traitement.

    Les méningites bactériennes sont, elles, très graves, et exigent un traitement ainsi qu’une hospitalisation du patient. Le risque de mort est également plus important, même avec un traitement.

    La maladie peut aussi être classifiée selon son évolution (aiguë, subaiguë et chronique), mais ce critère tombe en désuétude.

    Le traitement 

    Il faut tenter d’administrer au patient des antiviraux ou des antibiotiques le plus tôt possible.

    Afin de réduire l’inflammation et l’oedème cérébral, des corticostéroïdes comme la dexaméthasone sont administrés, réduisant ainsi le risque de lésion cérébrale.

    D’autres mesures de soutien général sont prises comme c’est le cas pour toute infection de type aiguë : l’administration de liquides, le contrôle de la fièvre, etc..

    Un traitement administré à temps réduit énormément la présence de séquelles sur le long terme, ainsi que le risque de mort.

    Les conséquences possibles

    Chez les nouveaux-nés et les adultes, la probabilité que la maladie soit létale s’élève à 20-30 % . Le risque s’élève à 2 % pour les enfants plus âgés.

    La prévention 

    À l’heure actuelle, la recherche est orientée sur la vaccination préventive contre la méningite chez les enfants. Le vaccin, lequel est optionnel, peut être administré à partir de deux mois de vie.

    Des programmes de himioprophylaxie avec de la rifampicine sont réalisés pour les personnes présentant un risque de contagion.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Savez-vous ce qu’est une capsulite ?

     

     

     

     

     

     

    Savez-vous ce qu’est une capsulite ?

    Une capsulite est une inflammation localisée dans la « capsule »articulaire, c’est-à-dire dans tous les tissus fibreux qui enveloppent toute articulation mobile : doigts, épaules, hanche…

    Cette affection est très fréquente, par exemple chez les athlètes.

    Il est courant que ceux qui pratiquent le basket-ball, le handball ou le volley-ball souffrent d’une telle inflammation.  La douleur est si intense dans un ou plusieurs doigts, qu’il faut procéder à une immobilisation avec un bandage.

    Cependant, au-delà de la sphère sportive, il est courant de souffrir de capsulite dans les épaules et les hanches lorsque nous atteignons un certain âge.

    Les femmes âgées de 50 à 60 ans sont sans aucun doute le segment le plus fréquent de la population qui souffre de ce type de problèmes articulaires. Dans bien des cas, leur vie limitée en raison de la douleur qu’elles éprouvent continuellement.

    Voici de plus amples informations sur ce sujet :

    Quelle est l’origine de la capsulite ?

    capsule

    Pour mieux comprendre ce qu’est la capsulite, il faut d’abord connaître la capsule articulaire.

    • La capsule articulaire est une membrane qui entoure toutes nos articulations dans un but bien précis : empêcher les segments osseux de bouger.
    • Ces capsules articulaires sont placées à proximité du cartilage et des ligaments, facilitant ainsi la protection articulaire et l’harmonie du mouvement lui-même.

    Lorsque nous souffrons de capsulite, il n’ y a pas de rupture, c’est-à-dire que les tissus ne sont pas déplacés et qu’il n’ y a pas de fracture dans l’os ou l’articulation elle-même.

    Donc, on pourrait donc dire que ce n’est pas grave sauf que cela s’accompagne bien sûr d’une douleur permanente.

    Mais il n’ y a pas un seul symptôme qui détermine l’apparition de la capsulite. De plus, parfois les causes sont même inconnues.

    Voyons maintenant quelles sont les causes connues les plus fréquentes :

    • Un coup traumatisant
    • Des maladies rhumatismales
    • Le diabète
    • Des problèmes thyroïdiens
    • Elle est fréquente chez les femmes de 50 à 60 ans qui ont déjà atteint la ménopause

    Symptômes de la capsulite

    La douleur est localisée dans une articulation spécifique, en commençant presque toujours par la raideur.

    Presque sans savoir comment, nous avons de la difficulté à effectuer des mouvements que nous faisions naturellement, comme se coiffer les cheveux, nous laver le dos, attacher nos vêtements, soulever des poids…

    • La douleur augmente et peut durer des semaines, des mois et des années selon l’origine
    • Un engourdissement et une inflammation peuvent se produire dans la région affectée
    • La récupération est lente

    L' »épaule gelée », un type très courant de capsulite articulaire

    douleur dans l'épaule

    Comme nous venons de le faire remarquer, la capsulite est généralement plus fréquente chez les femmes de plus de cinquante ans qui sont déjà ménopausées.

    Ainsi, l’un des maux les plus courants qui surviennent habituellement dans ce étape de la vie est, sans aucun doute, les douleurs articulaires. A cet âge, « l’épaule gelée » est un trouble plus que fréquent.

    Voyons quelques faits :

    • La capsulite congelée de l’épaule ou capsulite adhésive est une inflammation qui se situe dans tout le tissu conjonctif qui tapisse l’articulation de l’épaule
    • Il s’agit d’une affection qui peut être chronique dans de nombreux cas
    • Elle apparaît comme une conséquence de la perte d’élasticité du tissu
    • La capsule recouvrant l’articulation durcit, il y a moins de liquide synovial, et la structure de l’articulation frotte, se touche, et l’inflammation qui en résulte apparaît

    Symptômes de l’épaule gelée

    Les douleurs de l’épaule gelée commencent habituellement pendant la nuit. Les patients souffrant de ce problème ont du mal à dormir sur le côté.

    • Plus tard, cette nuisance nocturne commence à se manifester dans les tâches quotidiennes : se peigner les cheveux, mettre la ceinture de la voiture…
    • Peu à peu, la douleur s’intensifie et augmente avec les changements de température, le stress, les vibrations, les changements de saison…
    • La douleur ne disparaît pas habituellement avec des analgésiques. En fait, l’épaule gelée peut être une maladie chronique ou disparaître seule au bout de deux ans.

    Traitement de l’épaule gelée

    traitement de la capsulite

    Le traitement de l’épaule congelée ou capsulite adhésive est multidisciplinaire. C’est-à-dire qu’il doit être abordé avec des stratégies diverses et multiples pour améliorer la qualité du mouvement, réduire la douleur et traiter cette inflammation des tissus capsulaires.

    Voici quelques unes des stratégies :

    • Traitement par le froid et le chaud pour réduire l’inflammation
    • TENS (Stimulation des nerfs transcutanée). C’est un type de thérapie très utile dans ces cas précis. La neuro-stimulation est appliquée à travers la peau à l’aide de petites électrodes et est très efficace
    • Une autre façon de traiter ce type de capsulite est d’immobiliser l’épaule elle-même. C’est quelque chose qu’un-e bon-ne kinésithérapeute prend en charge
    • Effectuer des étirements spécifiques quotidiennement est également très efficace
    • Nous ne pouvons pas laisser de côté le traitement par les kinésithérapeutes avec des massages spécifiques pour cette affection
      En revanche, la cryothérapie est un type de traitement qui utilise le froid pour favoriser la récupération de ces tissus enflammés autour de l’articulation de l’épaule

    Dans tous les cas, le plus encourageant, c’est que des techniques nouvelles et différents types de thérapies innovantes sont testées. Les recherches se poursuivent  pour trouver celles qui seront les plus efficaces et ne pas rester uniquement sur l’approche pharmacologique.

    Toutefois, certaines personnes ressentent des améliorations importantes avec des techniques comme l’acupuncture. D’autres avec la natation, le yoga ou la stimulation nerveuse transcutanée.

    N’hésitons donc pas à consulter de bons professionnels pour réduire l’impact de la douleur associée à la capsulite.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Douleur du sacrum iliaque :

    lorsque la position assise devient insupportable

     

     

     

     

     

    La douleur du sacrum iliaque peut répondre à différentes causes, il est important de voir un médecin avant de prendre un médicament ou de subir un traitement alternatif.

    Douleur du sacrum iliaque : lorsque la position assise devient insupportable

    Un endroit très délicat de notre dos est là où la colonne vertébrale lombaire et le bassin sont connectés, le sacrum iliaque.

    Si cet endroit est enflammé, une douleur intense et lancinante apparaît dans le sacrum iliaque, une condition beaucoup plus commune que nous le pensons.

    Cet inconfort est connu sous le nom de sacro-iliite et nous le remarquons surtout lorsque nous nous asseyons et que nous nous levons ou nous retournons dans le lit.

    Petit à petit, si elle s’intensifie, il peut arriver un moment où le simple fait de s’asseoir devient presque insupportable.

    De même, certains soutiennent l’idée que ce type d’affection commune est une conséquence directe de notre mode de vie sédentaire.

    Il faut dire que ce n’est pas vrai dans tous les cas.

    En fait, la douleur du sacrum iliaque peut être liée à :

    Aujourd’hui, nous voulons vous parler de ce type de douleur que vous avez pu subir dans votre propre corps plus d’une fois.

    La douleur du sacrum iliaque : quand on vient à penser avoir une hernie discale

    La sacro-iliite

    Fièvre, une douleur lancinante dans le bas du dos qui atteint les fesses et les cuisses… Et si nous avions une hernie discale ?

    C’est sans doute la première idée qui vient au patient atteint d’une sacro-iliite et qui, en général, ressent un inconfort intense lorsqu’il se lève le matin du lit ou lorsqu’il reste assis quelques heures.

    Quelque chose devrait être pris en compte dès le début, ce type d’inflammation localisée dans une ou deux articulations sacro-iliaques n’est pas facile à diagnostiquer.

    Il est fréquent que nous l’associons à d’autres problèmes tels qu’une hernie discale ou même la lombalgie classique.

    De même, il est possible de différencier, à leur tour, deux types de douleurs dans le sacrum iliaque :

    • La première a à voir avec une inflammation simple située dans les articulations qui composent le sacrum.
    • L’autre est liée à un mauvais mouvement ou à des mouvements incorrects effectués depuis longtemps.

    Par exemple, si nous avons un problème à la cheville en raison d’une blessure ou d’une entorse et que nous marchons mal pendant un certain temps, la douleur dans la région du sacrum iliaque apparait (sans inflammation).

    Les symptômes de la douleur dans le sacrum iliaque

     La douleur de dos

    La douleur dans le sacrum iliaque est généralement plus fréquente chez les femmes que chez les hommes (car son origine provient souvent de processus associés à l’arthrite, au lupus, à l’arthrose…).

    • La douleur est visible surtout dans la région des fesses et du bas du dos.
    • L’inconfort rayonne dans les jambes, dans l’aine et même dans les pieds.
    • La douleur est intense quand nous montons les escaliers, quand nous sommes assis-e-s, quand nous nous retournons dans le lit ou faisons des pas plus longs.
    • Nous pouvons avoir de la fièvre.
    • Il est courant de ressentir une raideur du dos.

    Quelles sont les causes de la douleur du sacrum iliaque ?

    Comme indiqué plus tôt, cette douleur n’est pas exclusivement associée au mode de vie sédentaire.

    Il est clair que le maintien d’un mode de vie actif et l’exercice réduit l’incidence de ce type d’infections articulaires, mais il n’est pas toujours dans nos mains de pouvoir prévenir à 100% ce problème.

    Voyons quelques unes des causes associées ci-dessous :

    • Les maladies telles que l’arthrite ou arthrose, déjà mentionnées précédemment.
    • Lupus et psoriasis.
    • La maladie de Crohn, en raison de ses processus inflammatoires, entraîne également des douleurs dans le sacrum iliaque.
    • Traumatismes ou coups dans cette zone. Une mauvaise chute sur le dos, par exemple, est généralement l’une des causes les plus fréquentes.
    • La grossesse, et surtout, le poids du bébé exercé dans cette zone entraine habituellement une douleur intense dans le sacrum.
    • Infections telles que l’ostéomyélite.
    • Infections des voies urinaires.

    Le sacrum iliaque

    Quel type de traitement existe contre la douleur du sacrum iliaque ?

    Avant de recourir à n’importe quel traitement, même s’il est naturel ou fait à la maison, il faut obtenir un bon diagnostic médical. Nous l’avons dit au début : il n’est pas facile de trouver l’origine de cette douleur dans le bas du dos.

    Il sera donc nécessaire d’avoir des radiographies, des tests, un examen physique et une IRM pour diagnostiquer la sacro-iliite.

    De même, et une fois diagnostiquée, il est prioritaire de savoir ce qui cause cette condition. Ce ne sera pas le même traitement pour une douleur du sacrum iliaque liée à l’arthrite qu’à la maladie de Crohn, par exemple.

    Parmi les approches thérapeutiques les plus communes et les plus générales pour réduire la douleur et l’inflammation, nous avons les stratégies suivantes :

    • Anti-inflammatoires, relaxants musculaires ou infiltrations de cortisone.
    • Les massages d’un-e bon-ne physiothérapeute.
    • La natation.
    • Exercices de souplesse et étirements.
    • D’un autre côté, la dénervation par radiofréquence est également une option que nous pouvons envisager. Elle sera évaluée par un-e spécialiste et est basée sur la destruction de tissu nerveux qui provoque des douleurs dans les articulations.
    • L’implantation d’un stimulateur électrique dans la zone problématique est également une autre approche largement utilisée de nos jours.
    Exercices pour le dos

    Pour conclure, nous l’avons vu, la douleur dans le sacrum iliaque peut avoir des origines différentes.

    De temps en temps, elle disparait après quelques jours. Dans d’autres cas, elle peut être une gêne persistante une fois que nous atteignons un certain âge. C’est alors qu’apparaissent les maladies communes, telles que l’arthrite.

    La meilleure chose dans ces cas est d’essayer différentes approches médicales pour trouver celle qui nous permet d’avoir une meilleure qualité de vie.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 TECHNIQUES POUR VOIR SANS LUNETTES

     

     

     

     

     

     

     

     

    Vous avez oublié vos lunettes ? Pas de panique ! Arrêtez de plisser les yeux à vous en donner la migraine. Voici 6 techniques qui devraient vous permettre d'abaisser les tensions au niveau de vos yeux afin de voir plus clair en un rien de temps !

     

    Poser les paumes de mains devant les yeux

    "Une guérison de la vue imparfaite par traitement éducatif sans lunettes". Voilà ce que prônait le Dr William H.Bates. Cet opthalmologiste New-Yorkais de rénommée (1860-1931) a consacré son temps et sa carrière à développer une méthode qui permet d'éduquer ses yeux à voir sans lunettes. Dans son livre Une vue parfaite sans lunettes , (éditions "Le courrier du livre"), il explique notamment la technique des paumes ou "palming".

    C'est quoi le principe ? Myope, presbyte, hypermétrope... Selon le Dr Bates la plupart des gens souffrent des yeux parce qu'ils forcent trop sur ce qu'il ne faut pas pour mieux voir ce qui occasionne une tension au niveau oculaire. Le palming permettrait de soulager les tensions au niveaux des yeux et, dès les premiers essais, de mieux distinguer ce qui est flou pour à la longue retrouver une vue correcte.

    Ce qu'il faut faire ? La tête et le corps doivent être en position confortable, rien ne doit être serré ou oppressé. Mettre les mains devant les yeux fermés en appuyant les paumes sur chaque oeil, cela évite que toutes lumières viennent stimuler l'oeil et diminuent les sur-efforts inutiles. Le but est de se concentrer sur le plus de noir possible et respirer lentement pendant 5 minutes. Pour les personnes qui ont simplement des lunettes de repos cela devrait permettre à l'oeil de s'accommoder plus facilement.

     

    Ne pas rester fixé sur une lettre pour la voir

    Le mouvement est un autre principe de la méthode Bates pour apprendre à voir sans lunettes.

    C'est quoi le principe ? Pour voir; l'oeil a besoin de mouvement. Lorsqu'on a une vision normale; on ne le distingue pas pourtant ce que l'on voit bouge à cause des mouvements naturels de l'oeil. Lorsqu'on a du mal à distinguer des lettres, il peut arriver que celles-ci semblent trembler ou sauter sur la page car on est beaucoup plus concentrer pour déchiffrer la page. Or se concentrer pour distinguer clairement une lettre revient à fixer un point et c'est là que les problèmes commencent. "Il est impossible à l'oeil de fixer un point plus longtemps qu'une fraction de seconde. S'il essaie de le faire, il commence à forcer et la vision diminue ", explique le médecin.

    Ce qu'il faut faire ? Déplacer le regard sur une autre lettre de la même ligne assez loin de la première lettre pour moins bien la voir. Revenir à la première lettre pour cette fois moins bien voir la deuxième. Regarder les deux lettres alternativement. De cette façon pendant quelques secondes. "Lorsque cela réussit, la vision des deux lettres est améliorée" assure l'opthalmologue.

     

    Ne pas regarder immédiatement un objet

    La méthode du Dr Bates repose aussi sur la vision centrale .

    C'est quoi le principe ? Le problème de l'être humain selon le spécialiste c'est qu'il veut voir un ensemble tout de suite. Or lorsqu'on a des troubles de la vue, c'est la vision centrale et non périphérique qui prend d'abord. Au lieu de solliciter les deux visions en voulant absolument voir l'ensemble d'un objet, le médecin conseille de se focaliser sur une petite partie seulement afin de demander le moins d'effort possible à vos yeux. Car plus ils font d'effort plus ils voient flous.

    Ce qu'il faut faire ? Ne pas regarder immédiatement un objet ou un mot quand on lit. D'abord regarder en dehors de l'objet puis revenir petit à petit dessus pour permettre à l'oeil de s'accommoder plus doucement. Il fait moins d'effort, la fatigue visuelle est réduite et on distingue mieux les objets ou lettres.

     

    Visualiser un fond noir pour se détendre

    "Si vous pouvez vous rappeler exactement une odeur ou un goût, votre esprit est parfaitement au repos." Dans son livre Mieux voir sans lunettes , le Dr William Bates explique qu'on distingue mieux les objets connus grâce à la mémoire. Or cette dernière ne fonctionne pas bien lorsqu'on est tendu.

    C'est quoi le principe ? L'ophtalmologue explique que toutes les couleurs mis à part le noir ont besoin de lumière pour être correctement identifiées. C'est donc pour ça que le noir est la seule couleur qui permet de détendre complètement l'esprit, mais surtout les yeux car il n'ont besoin d'aucun effort pour le voir. Se rappeler de la couleur noir est donc le seul moyen d'obtenir la détente absolue de l'oeil. Rappelons que le sur-effort est l'une des causes principales de l'altération des yeux surtout lorsqu'on passe beaucoup de temps devant un écran.

    Ce qu'il faut faire ? Lorsqu'on voit flou ou que l'on ressent une tension visuelle, fermer les yeux et si possible mettre ses mains devant et penser à un fond noir avec une lettre aussi noire que ce fond. Repris régulièrement, cet exercice permet d'abaisser les tensions visuelles et aurait la capacité de restaurer des troubles de la vue.

     

    Faire marcher son imagination

    © Adobe Stock
    "Ce que nous voyons n'est pas cette image mais notre propre interprétation de celle-ci", explique l'ophtalmologue dans son livre. Nous ne voyons pas seulement grâce à nos yeux, la mémoire et l'imagination y sont pour beaucoup aussi. Si l'une est altérée, les autres aussi. Voyons ce phénomène avec l'imagination.

    C'est quoi le principe ? L'imagination permet de déduire certaines choses comme la forme des objets par exemple, en fonction de la mémoire de certains souvenirs et de ses expériences passées.

    Ce qu'il faut faire ? Lorsqu'on a du mal à visualiser certaines lettres sur un mot ou une page, il faut d'abord distinguer les lettres qu'on imagine reconnaître, ou imaginer un seul point parfait de la lettre. Cela permet de soulager l'effort fourni pour tenter de voir plus clair et petit à petit le reste sera facilement visible. Répété sur du long terme, ce genre d'exercice permet, selon le Dr William Bates de chasser les pensées négatives liées au stress quand on essaye de lire sans lunettes et détend l'esprit.

     

    Fermer son poing et regarder à l'intérieur

    Pour rendre une lettre ou un objet plus net, il suffit de limiter le champ de vision autour. Une vidéo consultée des milliers de fois, publiée sur la chaîne Minutephysics et visible ci-dessous détaille la technique.

    Ce qu'il faut faire ? Il suffit de fermer votre poing, l'ouvrir un peu puis regarder à travers. Selon la chaîne scientifique, resserrer le poing limite la diffusion de la lumière dans le globe oculaire. Du coup, la zone de flou est réduite. L’œil se concentre et se force à adapter la netteté de l'image uniquement sur la petite partie qu'il voit. C'est le même principe que le diaphragme d'un appareil photo. Et ça marche de près comme de loin !

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : Une vue parfaite sans lunettes ni traitement ou intervention, Le courrier du livre, Dr William H. Bates, 2014

    medisite.fr 

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • INFARCTUS :

    VOTRE FAÇON DE MARCHER PEUT PRÉDIRE VOTRE RISQUE

     

     

     

     

     

     

     

    Des chercheurs suédois mettent en garde contre cette particularité dans la façon de marcher qui serait reliée à un risque accru de développer une maladie cardiaque. 

     
     

    Et si on pouvait prédire une maladie dangereuse et potentiellement fatale juste en observant sa façon de marcher ? C'est ce que suggèrent les résultats d'une étude menée par l'Institut de Karolinska à Stockholm (Suède). Selon les chercheurs, un déclin de la vitesse de marche pourrait signifier un risque accru de développer une maladie cardiaque.

    Plus le risque est grand moins on marche vite

    Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont regroupé les données médicales de plusieurs volontaires âgés entre 60 ans et 78 ans entre 2001 et 2004. Ils ont alors constaté que plus une personne est à risque de développer une maladie cardiaque plus sa vitesse de marche ralentit. Un lien qui ne serait valable que pour les adultes de moins de 78 ans. En revanche, aucun lien n'a été trouvé entre le manque d'équilibre et le risque cardiaque.

    Pour les chercheurs, le but de cette étude était surtout de montrer à quel point certaines maladies peuvent affecter la condition physique des patients et leur créer des handicap. En réduisant, les facteurs de risques liés au développement de certaines maladies comme la cigarette, le diabète ou le surpoids cela aiderait à pouvoir maintenir une bonne condition physique malgré la maladie.

    Crise cardiaque : les premiers signes

    Chez l’homme, la douleur violente dans la cage thoracique avec irradiation dans le bras gauche est généralement caractéristique d’un infarctus du myocarde imminent. Or, ce symptôme de la crise cardiaque chez la femme est bien plus faible et il ne se manifeste que dans un cas sur deux. Il peut être, à tort, assimilé à une crise d’angoisse. Les femmes présentent au contraire des signes annonciateurs peu significatifs, jusqu’à un mois avant l’accident coronaire. Parmi ces symptômes atypiques, on retrouve majoritairement : 
    - une fatigue intense inexpliquée ; 
    - l’essoufflement non lié à un effort ; 
    - des palpitations ; 
    - une douleur dans le dos ; 
    - des douleurs abdominales ; 
    - des nausées et des vomissements ; 
    - un sommeil perturbé. 
    Le fait de négliger ces symptômes entraîne une prise en charge médicale tardive et, par voie de conséquence, retarde le diagnostic. Ce qui représente un réel danger.

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : Medical Xpress, Journal of American Geriatric Society, novembre 2017, For adults younger than 78, risk for heart disease linked to risk for problems walking

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 symptômes du syndrome de l’intestin perméable

    que vous ne devez pas ignorer

     

     

     

     

     

     

     

     

    8 symptômes du syndrome de l’intestin perméable que vous ne devez pas ignorer

    Certains problèmes inflammatoires ainsi que les mauvaises passes au niveau de notre bien-être émotionnel pourraient être liées au syndrome de l’intestin perméable, c’est pourquoi il est conseillé de recevoir un diagnostic adapté.

    Le syndrome de l’intestin perméable est un problème qui se développe lorsque s’ouvrent des espaces entre les cellules de la membrane qui recouvre le revêtement intestinal.

    Si dans un organisme sain il y a bien un certain degré de perméabilité pour une bonne absorption des nutriments, dans ces cas-là une réaction inflammatoire survient et déclenche des symptômes incommodants.

    Ceci est dû à l’accumulation de bactéries, à des pertes métaboliques et à des résidus alimentaires qui, en étant filtrées dans le sang, arrivent à atteindre d’autres systèmes du corps.

    En conséquence, les fonctions des organes vitaux sont compromises et la majeure partie du temps, le système immunitaire s’embrouille et commence à attaque le corps lui-même.

    C’est pourquoi il est fondamental d’en connaître les manifestations et les signes qui pourraient aider à reconnaître cette maladie.

    En sachant que sa détection rapide est la clé pour le traitement, ci-dessous nous souhaitons vous partager en détail 8 signes qui vous permettront de l’identifier.

    1. Difficultés digestives

    troubles digestifs

    L’altération de la flore bactérienne de l’intestin, en plus de la mauvaise digestion des aliments, provoque des réactions digestives qui permettent de soupçonner la perméabilité intestinale.

    Bien que les symptômes peuvent apparaître face à des dizaines de maladies gastro-intestinales, il est fondamental d’analyser son origine et voir si elle est liée à ce problème.

    Il est fréquent que les patients ressentent :

    • Une distension abdominale
    • Une accumulation de gaz intestinaux
    • Des épisodes de diarrhée
    • Le syndrome du côlon irritable
    • Une sensation de douleur et de lourdeur

    2. Allergies saisonnières

    Les allergies saisonnières, ainsi que l’asthme ou la sinusite chronique, sont plus fréquentes chez les patient-e-s dont l’intestin est malade à cause de sa perméabilité.

    Ces réactions se produisent à cause du dérèglement du système immunitaire, qui cesse de produire suffisamment d’anticorps pour attaquer les allergènes et les agents infectieux.

    3. Maladies inflammatoires

    prévention de l'arthrite

    Un intestin perméable non traité augmente de manière considérable le risque de souffrir de maladies chroniques liées à l’inflammation.

    Ce problème génère un fort déséquilibre au niveau des processus inflammatoires du corps et, avec les toxines, affecte les cellules et provoque des maladies.

    Il faut savoir qu’il s’agit d’un facteur à risque de :

    • Thyroïdite de Hashimoto
    • Lupus
    • D’arthrite rhumatoïde
    • Maladie céliaque
    • Fibromyalgie

    4. Déséquilibres hormonaux

    Les fonctions de l’intestin vont bien au-delà de sa participation au processus digestif.

    Bien que nous le connaissions comme un organe clé dans une bonne digestion, il participe également à l’activité de certaines hormones.

    C’est pourquoi, en souffrant de perméabilité, il peut générer un déséquilibre hormonal qui finit par provoquer des problèmes comme le syndrome prémenstruel et les ovaires polykystiques.

    5. Maladies cutanées

    maladies cutanées

    Lorsque les bactéries intestinales souffrent d’un dérèglement dû à ce problème, il est fréquent que les patients commencent à souffrir de différents problèmes de peau.

    Les éruptions cutanées, comme celles provoquées par l’acné et l’eczéma, sont des symptômes générés par les toxines qui arrivent à s’introduire dans le sang après ne pas avoir été digérées et éliminées dans le système digestif.

    Dans ces cas-là, le problème est plus compliqué à résoudre, car nous devons rétablir les fonctions intestinales afin d’éliminer les résidus et diminuer l’inflammation.

    6. Anxiété et dépression

    Pour de nombreuses personnes il est très étrange que les fonctions intestinales soient liées à l’humeur.

    Toutefois, c’est un lien réel qui, même si beaucoup l’ignorent, est fortement lié au bien-être des gens.

    • Cette partie du corps est à l’origine de plus de la moitié de la sérotonine, la substance chimique associée au bonheur.
    • Les désordres provoqués par la perméabilité affectent la production de cet élément et c’est la raison pour laquelle les patients ont tendance à souffrir d’anxiété et de dépression.

    7. Intolérances alimentaires

    intolérances alimentaires

    Lorsque la santé intestinale est compromise par sa perméabilité, certaines substances des aliments, comme le lactose ou le gluten, provoquent de fortes intolérances qui affectent la qualité de vie des patients.

    Ce problème empêche la bonne décomposition de ces aliments et, en provoquant une réponse inflammatoire de la part du système immunitaire, génère des symptômes digestifs et des attaques auto-immunes.

    8. Halitose

    L’halitose chez les personnes souffrant du syndrome de l’intestin perméable est provoquée par le déséquilibre bactérien qui se produit au sein du système.

    A cause des difficultés à décomposer les aliments et à l’accumulation de toxines, il se produit une mauvaise odeur buccale que l’on peut difficilement contrôler avec les bains de bouche ou les produits d’hygiène externe.

    Vous avez identifié les symptômes mentionnés ci-dessus ? Vous soupçonnez cette maladie ? Si c’est le cas, consultez votre médecin afin de savoir précisément si vous souffrez de problèmes de santé liés à cet état.

    Si vous recevez un diagnostic positif, sachez que la plus grande partie du traitement consiste à modifier vos habitudes alimentaires.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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