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Par Life Stance Academy le 26 Juin 2018 à 08:34
6 changements à faire dans votre alimentation
pour alcaliniser votre corps
Si vous égalisez le pH de votre corps, vous l'alcaliniserez de la même manière, de cette façon vous pourrez profiter d'une vie plus saine.
Nous vous proposons les changements que vous pouvez faire dans votre alimentation pour alcaliniser le corps. De cette façon, vous pouvez profiter de nouveaux bienfaits pour votre santé. La clé de ces lignes directrices est de réguler le pH de notre corps, de sorte qu’il soit légèrement incliné vers l’alcalinité.
Pour y arriver, il faut changer certaines habitudes et suivre certains conseils afin que notre pH ne soit pas acide ou neutre. Avec ces conseils, vous pouvez augmenter ces niveaux d’alcalinité sans attendre longtemps et sans souffrir d’anxiété.
1. Commencez avec un bon petit-déjeuner
Le premier conseil pour alcaliniser le corps est basé sur le démarrage de la journée avec un copieux petit-déjeuner. Dans le monde occidental, le petit-déjeuner est considéré comme le repas le plus acide de toute la journée, bien que cela dépende aussi du pays dans lequel vous vous trouvez.
Certaines nations profitent de ce moment pour manger plus que pendant les autres repas. Tandis que d’ autres modèrent un peu plus, comme par exemple en Espagne.
Dans les pays qui, par tradition, ne considèrent pas le petit déjeuner comme le repas le plus important de la journée, le menu consiste en du pain, des céréales, du café, des confitures, du beurre, du jus d’orange, des gâteaux et des biscuits. Dans le cas où on accorde plus d’importance à ce repas, on peut ajouter du bacon, des œufs frits et des tortillas.
La plupart de ces aliments sont acides, et c’est précisément ce qui nous empêche d’améliorer notre système à un état plus alcalin. Si vous voulez inverser cette situation et commencer à ressentir les avantages d’un corps alcalin, la première chose à faire est de commencer la journée de la bonne manière.
De cette façon, avant d’entrer dans la cuisine, la première chose que vous devez faire est de boire un verre d’eau, soit de l’eau alcaline, de l’eau avec du citron ou une infusion d’herbes. Ainsi, vos cellules se réhydrateront et se reconstitueront après avoir passé de longues heures de sommeil et d’immobilité, et contribueront à une augmentation de l’alcalinité du corps.
2. Respirez de manière adéquate
Beaucoup de personnes ignorent les avantages que ce point fournit. Mais nous ne pouvons ignorer un facteur aussi important que la respiration. Pour cela, nous pouvons fréquemment effectuer l’exercice suivant :
- Inspirez pendant 1 seconde.
- Retenez votre souffle pendant 4 secondes.
- Expirez pendant 2 secondes.
Vous pouvez augmenter les temps suivant le ratio. Autrement dit, si vous inspirez pendant 4 secondes, vous devrez contenir votre souffle jusqu’à ce que vous atteigniez 16 secondes. Dans tous les cas, essayez de ne pas faire de trop grandes intervalles, principalement parce que vous n’y serez pas habitué.
3. Hydratez-vous
Une bonne hydratation est essentielle pour le bon fonctionnement de notre corps. Une petite baisse du niveau de nos fluides corporels peut entraîner de grandes pertes d’énergie.
L’eau nettoie les toxines acides et accélère le métabolisme. En outre, la sensation de soif est confondue avec la faim, c’est pourquoi nous mangeons souvent plus. Cela génère un gain de poids, ce qui n’est pas recommandé pour notre besoin car il élimine les acides et n’aide pas le pH alcalin.
4. Pariez sur les graisses saines
Une autre façon d’aider à alcaliniser le corps est de consommer une plus grande quantité d’acides gras essentiels, tels que les oméga 3. Ceux-ci sont très importants pour les réactions chimiques de notre corps.
En outre, ils aident à renforcer notre système immunitaire, aident à améliorer la digestion et préviennent le vieillissement.
5. Offrez-vous un bon massage pour alcaliniser le corps
En plus du confort et de la relaxation, un bon massage permet au corps de récupérer, de prendre de la force et de se libérer les fardeaux qui s’accumulent au fil des jours.
D’un autre côté, permettez à votre corps d’agir. C’est-à-dire d’activer les mécanismes nécessaires pour permettre l’élimination des acides stockés dans les muscles.
6. Prenez soin de votre peau
Garder la peau propre, douce et exempte de toute trace d’impuretés procure une immense quantité d’avantages. Cela contribuera également à notre pH alcalin. C’est pourquoi une simple recommandation telle qu’un brossage fréquent peut nous apporter plusieurs avantages :
- Le brossage de la peau élimine souvent les cellules mortes, de sorte que cet organe est activé et en génère de nouvelles.
- Le brossage favorise également la circulation du sang, de sorte qu’il atteint toutes les couches de la surface de la peau.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 25 Juin 2018 à 08:38
5 causes des élancements crâniens
Lorsqu'un mal de tête se produit, une attention immédiate à ce problème est nécessaire pour éviter qu'il ne se transforme en migraine et n'affecte notre vie quotidienne.
De nos jours, les élancement crâniens sont l’un des symptômes qui déclenchent le plus de consultations médicales. Souvent, ils se manifestent si fréquemment et si intensément qu’ils provoquent des troubles et de l’inquiétude chez ceux qui en souffrent.
Dans la plupart des cas, ces élancements dans la tête peuvent être liés à :
- Stress
- Rhume
- Déshydratation
- Ils sont également associés à des symptômes secondaires d’autres affections telles que des contractures cervicales.
Selon la région spécifique de la tête où ils se produisent, ils peuvent être très légers, mais aussi aigus et intenses. Certains patients les décrivent simplement comme une oppression dans une certaine zone de la tête qui cause un inconfort presque insupportable.
Cependant, dans la plupart des ces, les élancements crâniens ne représentent pas une pathologie qui devrait être considérée comme une préoccupation trop importante ou urgente.
Causes possibles des élancements dans la tête
1. Migraines de tension
Cette affection est l’une des causes les plus fréquentes des élancements crâniens et l’une des consultations neurologiques les plus fréquentes.
Elle se manifeste par des douleurs dans les tempes ou autour des yeux, provoquant des tensions au niveau du cou et du visage. Comme vous pouvez le voir, cela génère aussi une sensibilité extrême dans le cuir chevelu.
La migraine de tension survient habituellement en fin de journée, lorsque la fatigue et le stress se sont accumulés. Par conséquent, son principal déclencheur est un repos insuffisant, l’insomnie, les changements hormonaux, les situations stressantes ou bien une dépression possible.
2. Migraine occipitale
C’est une pathologie qui conduit à l’apparition d’élancements à la base du crâne.
Pendant qu’elle en souffre, la personne se plaint habituellement de douleurs dans la partie supérieure du cou et, dans certains cas, la douleur est transférée à la mâchoire.
3. Névralgie migraineuse focalisée
C’est un type de maux de tête dans le cadre duquel la douleur se produit sur un côté de la tête et progresse pour affecter l’autre moitié.
Elle survient habituellement après la libération soudaine d’histamine ou de sérotonine dans l’organisme causée par une consommation excessive d’alcool ou de drogues ou par une activité physique excessive.
4. Céphalées vasculaires
Les élancements crâniens liés aux céphalées vasculaires doivent être surveillés de près afin d’éviter les complications futures.
Dans la plupart des cas, il n’ y a pas de quoi s’inquiéter. Cependant, il est important de connaître ces signes qui peuvent être liés à un AVC :
- Vous ressentez une augmentation de la douleur en vous penchant, en toussant ou bien en vous allongeant.
- Vous avez de la difficulté à faire des mouvements ou à parler.
- Les douleurs durent plus de 3 jours.
- Vous avez des convulsions ou des évanouissements.
- Fièvre, nausées ou vomissements.
Consultez un médecin si vous éprouvez l’un de ces problèmes et surtout si vous avez des problèmes vasculaires. N’oubliez pas que la prévention est la clé.
5. Cervicalgie
Une autre cause des élancements crâniens qui passe généralement inaperçue dans les examens cliniques est la cervicalgie. Cette pathologie est causée par des accidents mineurs ou de mauvaises postures.
Elles se caractérise par une altération des muscles du cou et un affaiblissement de la stabilité des vertèbres. Par conséquent, cela provoque des spasmes du cou qui irradient des douleurs dans différentes zones de la tête.
Apportez des changements à votre routine quotidienne
Changer vos habitudes peut aussi aider à soulager les élancements dans la tête. Par exemple, ayez une alimentation saine, avec beaucoup de fruits et de légumes. Suivre des horaires de repas réguliers peut aussi aider à réduire les épisodes de maux de tête.
Garder votre corps suffisamment hydraté est un autre facteur à considérer. Buvez 2 litres d’eau par jour pour rester en bonne santé. Évitez aussi de consommer des produits contenant de la caféine et de l’alcool.
Faites souvent de l’exercice. Cela réduira le stress et les épisodes de tension qui se manifestent par des élancements dans la tête.
Évitez de vous coucher à l’aube. Se reposer et dormir pendant les heures dont votre corps a besoin, optimise vos performances quotidiennes et contribue à la disparition des malaises liés aux maux de tête.
Si vous avez des élancements récurrents dans la tête, dans les yeux, la mâchoire ou le bas du crâne, consultez un médecin. Le professionnel de santé est la bonne personne pour écarter toute pathologie pouvant être considérée comme plus préoccupante.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 22 Juin 2018 à 07:55
Découvrez les symptômes d’une crise cardiaque
Renseignez-vous sur les symptômes d'une crise cardiaque afin de savoir comment l'éviter. N'oubliez pas que votre santé passe toujours en premier.
La santé n’est jamais un problème mineur. C’est pourquoi il est important de connaître les symptômes d’un arrêt cardiaque, afin de savoir ce que vous devez faire si vous êtes touché par cette affection. Et en apprenant comment les détecter, vous pourrez aider votre médecin à recueillir des renseignements précieux sur ce qui se passe et sur ce qui doit être pris en compte.
Qu’est-ce qu’un arrêt cardiaque ?
Tout d’abord, et avant de voir exactement quels sont les symptômes d’une crise cardiaque, nous devons vous rappeler de quoi il s’agit. Une crise cardiaque ou un arrêt cardiaque est cet inconfort qui se produit lorsqu’un caillot bouche les artères et empêche donc le sang de passer dans le cœur.Lorsque ce blocage se produit, le cœur ne reçoit pas assez d’oxygène et les cellules cardiaques meurent.
Symptômes de l’arrêt cardiaque
1. Des problèmes respiratoires
Si vous vous sentez fatigué et que vous avez des difficultés à respirer, soyez très prudent, car cela pourrait être le symptôme d’un arrêt cardiaque. Scientifiquement connu sous le nom de dyspnée, c’est un symptôme qui a une incidence plus élevée chez les femmes. Il n’est pas nécessaire que ce soit immédiat ; cela peut se produire des mois avant que vous souffriez d’une crise cardiaque.
Le symptôme sans équivoque est qu’il s’accompagne généralement d’une grande fatigue. Donc, si vous sentez que vous êtes épuisé sans raison apparente, consultez votre médecin le plus tôt possible.
2. Une transpiration excessive
La transpiration excessive est un autre symptôme indiquant la possible imminence d’un arrêt cardiaque. Si vous voyez que vous transpirez très souvent et abondamment, alors même que vous ne faites pas d’exercice, cela peut être le signe que votre cœur souffre d’un problème quelconque.
Si vous avez des artères obstruées, le pompage se produit avec plus de difficulté et exige que le cœur fasse un plus grand effort, ce qui a pour résultat l’apparition d’une transpiration plus abondante qu’à l’accoutumée. Il s’agit d’une conséquence de la réponse de l’organisme qui tente de maintenir la température corporelle.
3. Des indigestions et des vomissements
Bien qu’il ne semble pas y avoir de lien apparent entre les crises cardiaques et les problèmes digestifs, ce peut être le cas. Souvent, les crises cardiaques sont précédées de problèmes digestifs, y compris des nausées et des vomissements.
Il est très difficile d’identifier si les vomissements ou les nausées peuvent être le symptôme d’un problème coronarien, mais si vous avez habituellement un estomac de fer et que vous n’avez rien ingéré d’inhabituel, soyez très prudent parce que vous pourriez souffrir d’un problème plus grave.
4. Des douleurs thoraciques
C’est l’un des symptômes d’une crise cardiaque les plus faciles à reconnaître et l’un des plus fréquents. Cependant, il faut noter que toute crise cardiaque n’est pas forcément accompagnée de douleurs thoraciques. Dans tous les cas, une douleur à la poitrine, si elle est due à une crise cardiaque, dure habituellement environ 15 minutes. Elle se caractérise par une pression intense sur la poitrine qui peut dériver vers les bras et les épaules. Il est à noter que ces douleurs se manifestent la plupart du temps sur le côté gauche du corps et qu’elles peuvent apparaître plusieurs jours avant la crise.
5. Des douleurs au dos et à la mâchoire
Vous pouvez également souffrir de douleurs au dos et à la mâchoire en cas de crise cardiaque imminente. Ces symptômes ont tendance à apparaître plus souvent chez les femmes que chez les hommes, alors si vous remarquez que vous ressentez soudainement ces gênes, consultez votre médecin.
6. Des étourdissements
L’étourdissement peut également être l’un des symptômes d’un arrêt cardiaque. Il peut être accompagné de vertiges qui peuvent être en augmentation constante. La personne touchée perd alors l’équilibre et se retrouve dans un état de grande confusion. Il est donc important de rester calme et de ne pas faire de mouvements brusques si vous vous retrouvez face à cette situation.
Recommandations
Si vous remarquez l’un ou l’autre de ces symptômes et que vous savez qu’ils ne sont pas associés à quelque chose de particulier qui a pu récemment vous arriver, comme des problèmes d’estomac ou un état de stress diagnostiqué, il est indispensable que vous consultiez votre médecin pour découvrir la cause de ces problèmes.
La prévention est essentielle pour détecter une éventuelle maladie cardiaque ou simplement pour améliorer votre mode de vie avant qu’une crise cardiaque ne survienne. Les habitudes saines qui vous aideront à éviter une crise cardiaque comprennent une alimentation saine, le fait de ne pas fumer, de faire de l’exercice et d’éviter un mode de vie sédentaire au maximum.
Si vous connaissez les symptômes d’une crise cardiaque et que vous les détectez, vous pouvez prévenir quelque chose d’aussi grave qu’un infarctus du myocarde, l’une des principales causes de décès dans le monde. N’hésitez pas à noter tous les signaux que votre corps vous envoie et votre vie sera meilleure.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 20 Juin 2018 à 09:05
L’herpès chez l’enfant : comment le traiter ?
L'herpès n'a pas de remède et est rare chez les enfants. Cependant, voici comment traiter et prévenir la propagation de ce virus chez les plus jeunes.
L’herpès chez l’enfant est une affection causée par le virus de l’herpès. Il y a quelques décennies, il n’était pas courant chez les nourrissons ; cependant, sa propagation a gagné du terrain au cours des dernières années. Cela peut être dû aux facteurs de risque auxquels les enfants sont actuellement exposés.
Pour l’instant, il n’existe pas de remède, mais ses symptômes peuvent être traités. D’autre part, il est important de noter que le virus reste latent tout au long de la vie de la personne qui le porte, jusqu’à ce qu’un incident l’active.
Quels sont les différents types de virus de l’herpès ?
Il existe différents types de virus de l’herpès, que l’on distingue en fonction l’impact qu’ils ont sur les personnes qu’ils affectent. Ils se manifestent par des symptômes et dans des zones différentes. Dans la suite de cet article, nous allons tout vous dire à leur sujet.
Le virus de l’herpès simplex de type I (HSV-I)
Ce virus est habituellement le virus le plus commun qui affecte les enfants. Il est responsable des plaies dans la bouche ou sur le visage qui peuvent se manifester chez les patients. Il peut également causer des ulcères buccaux ou des boutons de fièvre. Il se propage par contact direct et ne présente généralement pas de symptômes au début.
Le virus de l’herpès simplex de type II (HSV-II)
Il est également connu sous le nom d’herpès génital. Il se produit dans les organes génitaux et n’est pas commun chez les enfants, cependant, certains cas existent. Il est généralement transmise par contact sexuel. Dans le cas des enfants, le viol n’en est pas nécessairement la cause.
Le zona
Le zona, comme la varicelle, est induit par le virus de la varicelle-zona. Pour cette raison, il est nécessaire d’avoir eu la varicelle dans le passé pour être victime de ce type d’herpès. Ce virus demeure inactif pendant des années et l’individu devient plus vulnérable à mesure qu’il vieillit.
Le zona n’est pas courant chez les enfants. Cependant, chez les enfants qui le développent, les symptômes sont très légers et guérissent rapidement. Des précautions doivent également être prises car l’herpès zona est très contagieux. Si votre enfant a un système immunitaire très affaibli, ce virus peut entraîner des complications.
Comment traiter l’herpès chez l’enfant ?
La transmission du type le plus courant (HSV-I) se produit par contact direct avec la peau infectée, la salive ou la manipulation d’un objet précédemment touché par une personne infectée. L’herpès labial se manifeste par des ampoules sur les lèvres et les gencives. L’enfant peut avoir de la fièvre, des maux de gorge et des glandes enflées.
Ces lésions disparaissent en quelques semaines, mais doivent être traitées pour soulager les symptômes gênants. Les antiviraux topiques ou oraux diminuent l’intensité et la durée de la première phase. L’aciclovir, le valaciclovir et le famciclovir sont utilisés avec beaucoup de succès.
L’application de glaçons ou de gel froid procure un effet analgésique et soulage les démangeaisons causées par les plaies. D’autre part, la consommation d’aliments froids comme la crème glacée et certains smoothies soulage les douleurs aux lèvres et prévient la déshydratation. En outre, si votre enfant souffre de ce type d’herpès, vous devriez éviter les agrumes ou les aliments acides, car ce sont des irritants.
L’acétaminophène est un analgésique que votre pédiatre peut prescrire si votre enfant souffre d’une douleur ou d’un inconfort grave qui l’empêche de manger. Assurez-vous que votre enfant dort suffisamment, car le fait de se reposer et d’éviter les situations stressantes l’aidera à s’améliorer rapidement.
Si votre enfant présente des symptômes du virus de l’herpès de type II (HSV-II) ou du zona, il est recommandé de ne pas le traiter à la maison, car il peut avoir des complications. De plus, avant de traiter le virus de l’herpès simplex de type I (HSV-I), consultez votre pédiatre pour obtenir un diagnostic et un traitement adapté à votre enfant.
Comment réduire la propagation du virus de l’herpès ?
Bien que l’herpès chez les enfants soit habituellement de courte durée, tous les efforts doivent être faits pour prévenir sa propagation. Il est particulièrement sage de ne pas emmener votre enfant à la garderie ou à l’école pendant cette période. Il est également important d’éviter que d’autres personnes partagent des ustensiles tels que des verres et des couverts avec l’enfant infecté.
D’autre part, vous devriez empêcher votre enfant de gratter la zone affectée ou d’enlever les croûtes, car cela pourrait propager le virus à d’autres parties du corps. Il est d’une importance vitale que le virus ne se propage pas jusqu’aux yeux, de sorte que le lavage des mains de l’enfant est souvent la meilleure prévention.
Votre enfant ne doit pas embrasser d’autres personnes pendant que les plaies sont actives, ou partager des jouets qui ont été dans sa bouche.
Les signes de l’herpès chez l’enfant
Lorsque l’herpès se développe chez les enfants, il n’y a généralement pas de complications. Toutefois, consultez le médecin de votre enfant si ce dernier présente l’un des signes suivants :
- Si un nouveau-né présente une éruption cutanée ou des ampoules accompagnées de fièvre, cela peut indiquer une infection chronique à l’herpès simplex.
- Si l’enfant a des ampoules près des yeux. Ce virus est souvent l’une des principales causes d’infections cornéennes.
- Si l’enfant signale un mal de tête et a des convulsions, une forte fièvre et de la confusion. Le pédiatre doit exclure tout type d’infection cérébrale causée par le VHS.
- Si la zone autour de l’herpès est rouge, elle est chaude au toucher et les lésions restent plus de 10 à 14 jours. Vous devriez faire attention, car cela peut indiquer une infection bactérienne secondaire.
Enfin, il est vrai que certains traitements peuvent aider à soulager la douleur de l’herpès chez les enfants. Cependant, nous devons souligner que la chose la plus importante est de consulter un médecin spécialisé dans ce type de virus. De cette façon, vous pourrez avoir le bon diagnostic et le bon médicament pour traiter votre tout-petit.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 18 Juin 2018 à 09:38
10 symptômes du cholestérol à connaître
Puisque le cholestérol élevé ne donne pas de signes évidents, il est très important d'apprendre à identifier les symptômes subtiles qui peuvent nous alerter.
Le cholestérol est un lipide présent dans toutes les cellules du corps. Même si beaucoup de gens le considèrent comme un élément nocif pour la santé, il s’agit en réalité d’une substance essentielle pour le fonctionnement optimal de l’organisme.
Le foie se charge de sécréter la plus grand partie, même s’il est aussi absorbé via la consommation de certains aliments qui en contiennent.
Il est nécessaire pour la formation d’acides biliaires, responsables de la digestion des graisses : il intervient aussi dans la production de certaines hormones et dans la santé cardiovasculaire.
Le problème est que bien que beaucoup d’organes en ont besoin, son accumulation excessive génère des dommages irréparables, et il peut facilement se transformer en un assassin potentiel.
Le plus inquiétant, c’est que beaucoup de gens ignorent qu’ils en ont en quantités élevées car en général, il ne se manifeste pas avec des symptômes clairs.
Pourtant, il conduit au développement de troubles graves de santé comme, par exemple, l’athérosclérose, l’hypertension et l’insuffisance rénale.
Il est donc essentiel de savoir identifier certains signes qui peuvent être déterminants pour sa détection.
1. L’inflammation et l’engourdissement des extrémités
L’inflammation et la sensation d’engourdissement des extrémités est l’un des symptômes initiaux du fort cholestérol.
Cette réaction a lieu car les lipides accumulés empêchent une circulation sanguine optimale, ce qui bloque le passage de l’oxygène et des nutriments vers les muscles.
2. L’halitose
La mauvaise haleine, connue sous le nom d’halitose est un signe très commun chez les patients qui ont des problèmes de cholestérol.
Puisque cette substance est sécrétée par le foie, son accumulation excessive génère de graves difficultés dans le processus digestif, ce qui se manifeste par de la sécheresse et des odeurs désagréables dans la bouche.
3. La lourdeur et l’indigestion
Les déséquilibres dans les niveaux de mauvais cholestérol (LDL) sont un déclencheur des épisodes continus d’indigestion et de lourdeur.
L’excès de lipides dans le sang et le foie affecte le métabolisme, et empêche un bon processus digestif, surtout lorsqu’on ingère des aliments aux fortes teneurs en graisse.
4. Les nausées et les maux de tête
Puisque le cholestérol se dépose dans les artères, la circulation sanguine est rendue difficile et l’oxygénation cellulaire est interrompue.
Cela se manifeste par des nausées continues, la perte de l’équilibre et de fortes céphalées de tension.
5. Les problèmes visuels
L’excès de cholestérol conduit au développement de problèmes visuels qui, s’ils ne sont pas contrôlés à temps, peuvent déboucher sur des dommages irréversibles.
Il est fréquent que les patients présentent un grossissement jaune sur les yeux, une irritation, ou qu’ils souffrent d’une vue floue.
6. La constipation
L’accumulation de lipides dans les artères affecte les fonctions digestives.
Puisque la motilité intestinale diminue, de forts épisodes de constipation surviennent.
Si cette affection peut se développer à cause de multiples facteurs, il ne faut pas oublier qu’elle peut être le symptôme de déséquilibres des taux de cholestérol.
7. La douleur dans la poitrine
La douleur dans la poitrine est un symptôme très facile à percevoir. De même, c’est presque toujours un motif de consultation médicale.
- Même si les maladies liées à son apparition sont nombreuses, la plupart des cas ont un rapport avec les effets du fort taux de cholestérol.
- L’accumulation de graisses dans les artères rend le pompage du sang difficile et peut même provoquer de l’hypertension.
8. La fragilité et la fatigue
La sensation de fragilité, la fatigue et l’envie de dormir à des heures non habituelles peuvent être provoquées par :
- Des déficiences nutritionnelles
- Un excès d’activité physique
- Une maladie
Ce que peu de gens savent, c’est que lorsque cet état dure dans le temps, cela peut être un signe contondant de l’augmentation des niveaux de cholestérol.
Puisque cette substance intervient dans la circulation et le processus d’oxygénation cellulaire, une fragilisation physique et mentale a lieu.
9. Les affections cutanées
L’urticaire et d’autres affections cutanées peuvent apparaître quand le corps a des difficultés à réguler les niveaux de cholestérol.
Ces conditions se manifestent avec des taches rougeâtres, de l’inflammation et une sensation gênante de démangeaison qui est souvent difficile à contrôler.
10. Les intolérances alimentaires
Les personnes qui souffrent tout d’un coup d’intolérances alimentaires peuvent avoir des niveaux élevés de cholestérol.
Ces conditions peuvent venir de nombreux facteurs et l’accumulation excessive de graisse dans les artères et le foie en font partie.
Il s’agit souvent d’intolérances à la suite d’ingestion de viandes ou d’aliments riches en graisse.
Au vu de la gravité des forts taux de cholestérol dans le corps, il est fondamental de consulter un médecin et de solliciter les examens correspondants à sa détection.
Même si au début, il ne semble pas influer sur la santé, avec le temps, le cholestérol peut provoquer de graves altérations dans les systèmes du corps.
Attention !
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 17 Juin 2018 à 08:59
Comment identifier les parasites intestinaux ?
Quels sont les symptômes fréquents ?
Bien que nous ne fassions pas le lien, il existe de nombreux symptômes qui peuvent nous alerter de la présence de parasites intestinaux, tels que la fatigue extrême et même les démangeaisons nasales.
Les parasites intestinaux sont un trouble très gênant qui provoque un ensemble de symptômes qui rendent le diagnostic difficile, car ils peuvent être confondus avec d’autres maux, tels que :
- Problèmes digestifs
- Nervosité
- Changements d’appétit
- Augmentation ou diminution de poids
Découvrez dans cet article tous les symptômes qui vous aideront à savoir si vous souffrez de parasites intestinaux.
Que sont les parasites intestinaux ?
Les parasites intestinaux sont des micro-organismes qui vivent dans l’intestin et qui altèrent notre flore bactérienne, ainsi que l’assimilation naturelle des nutriments et l’expulsion des déchets.
Les plus communs sont les suivants :
- Giardia
- Ténia
- Amibe
- Ascaris
- Lambliase
Dans de nombreux cas, les parasites qui atteignent notre corps sont expulsés.
Cependant, les toxines qui s’accumulent dans notre corps affaiblissent le système immunitaire. Ainsi, ces parasites se nourrissent de ces toxines et peuvent se développer et modifier l’endroit où ils se trouvent.
Comment savoir si nous avons des parasites intestinaux ?
Les parasites intestinaux sont, dans la plupart des cas, très difficile à détecter, car comme nous l’avons indiqué précédemment, les symptômes peuvent être confondus avec d’autres maladies ou un simple inconfort.
C’est pourquoi il est important de connaître ces signes du corps qui, s’ils n’ont pas de motifs apparents, devraient néanmoins nous aider à déterminer leur cause.
Dans ce but, nous allons passer en revue quels sont ces symptômes. Certains d’entre eux sont très fréquents et d’autres vous surprendront. Si vous avez des questions, nous vous recommandons de consulter votre médecin dès que possible.
Troubles digestifs
L’un des parasites intestinaux les plus ordinaires qui provoquent de fréquents symptômes sont les troubles digestifs, en particulier la diarrhée ou la constipation, les gaz et les ballonnements.
Le problème est que beaucoup de gens souffrent de ces inconvénients et que, de plus, ils peuvent être dus à des causes différentes.
Nous devons y prêter attention lorsque nous nous nourrissons de manière équilibrée et que, néanmoins, nous continuons à souffrir de ces troubles.
Altération de l’appétit
Nous pouvons tous avoir des changements d’appétit pour différentes raisons. Cependant, c’est l’un des symptômes de la parasitose. Lorsque nous souffrons d’un excès ou d’un manque d’appétit exagéré et sans en connaître la cause.
Cela peut entraîner une perte rapide ou aussi un gain de poids. Nous devons donc soupçonner des parasites intestinaux dans ces cas.
Nervosité et irritabilité
Les parasites intestinaux provoquent un stress important à notre organisme qui se répercute, à notre insu, par une altération du système nerveux.
Cela provoque une augmentation de nos niveaux de nervosité, d’anxiété, d’irritabilité et de stress.
Il y a des gens qui vivent fréquemment dans ces états psychologiques. Cependant, quand c’est quelque chose d’inhabituel chez ceux qui en souffrent, nous devons faire attention aux autres symptômes possibles.
La nervosité peut également être un signal important chez les enfants, qui peuvent souffrir d’hyperactivité. De plus, ils peuvent également être affectés par une augmentation des pupilles.
Démangeaisons
Les démangeaisons dans la zone entourant l’anus et dans d’autres parties du corps sont aussi un signe que nous pouvons avoir des parasites. En outre, c’est l’une des raisons les plus fréquentes de contagion, en particulier chez les enfants, qui se grattent presque sans que nous le remarquions.
Les démangeaisons peuvent également être fréquentes sur le bout du nez. C’est l’un des symptômes les plus curieux et inconnus et, bien qu’il n’ait aucune base scientifique, nous pouvons en tenir compte.
Son explication réside dans la relation réflexologique entre le bout du nez et l’intestin.
Fatigue chronique
La fatigue chronique et la fibromyalgie sont des pathologies qui ont été reconnues au cours de cette dernière décennie et qui rassemblent une série de symptômes difficiles à diagnostiquer, puisqu’ils peuvent également être confondus avec d’autres maladies.
Bien que la cause soit inconnue, les parasites intestinaux pourraient être responsables de certains des symptômes subis par les personnes affectées.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 15 Juin 2018 à 08:38
Un neurologue de L’INSERM :
« la télévision impacte gravement les enfants »
Michel Desmurget, chercheur en neurosciences à l’INSERM, a compilé dans son livre « TV lobotomie » des centaines d’études scientifiques décrivant l’impact de la télé sur la société et sur les capacités intellectuelles de l’enfant. Le constat est affligeant. La télévision est un fléau pour tous, plus encore pour les enfants dont le cerveau est en développement.
Pour les spécialistes, tel Michel Desmurget, il n’y a plus de doute : la télévision est un fléau. Elle exerce une influence profondément négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l’attention, l’imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme, l’alcoolisme, la sexualité, l’image du corps, le comportement alimentaire, ou encore l’obésité et l’espérance de vie.
Le neuroscientifique de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) s’appuie sur des centaines d’études réalisées, pour son livre « TV lobotomie ». Le constat est accablant. Au fil des pages, il faut se rendre à l’évidence : l’impact de la télévision est nocif pour la société en général, et plus encore pour les enfants. La démarche de l’auteur est de faire la synthèse des très nombreuses études portant sur les effets de la télévision :
« Depuis 15 ans, il ne s’est pas passé une semaine sans que j’extraie au moins un ou deux papiers relatifs aux effets délétères de la télévision sur la santé. »
Avant d’exposer ces effets, l’auteur explique plusieurs faits :
- La télévision supplantée par Internet est un mythe. L’usage des nouvelles technologies ne remplace pas la télé, il s’y additionne.
- Les plus de 15 ans passent chaque jour 3h40 devant un poste de télévision, soit 75 % de leur temps libre !
- Un écolier du primaire passe chaque année plus de temps devant le tube cathodique que face à son instituteur.
Bien sûr, ces situations ne sont pas sans conséquences.
Troubles de l’attention
Les programmes télé impactent le développement des enfants et des adolescents, et laissent une marque indélébile :
« Tous les champs sont touchés, de l’intelligence à l’imagination, en passant par le langage, la lecture, l’attention et la motricité. »
Ces effets s’expliquent notamment, par ce que les chercheurs appellent : « le déficit vidéo » durant lequel l’enfant est passif. Il pourra y apprendre quelque chose, cependant :
« ce quelque chose sera toujours notablement inférieur à ce qu’il aurait appris d’une interaction effective avec son environnement. »
Pourquoi ? Parce que l’on ne se construit pas en restant spectateur explique le neurologue. Car regarder la télévision apparaît comme un moment dépourvu de toute interactivité concrète :
« Le cerveau ne s’organise pas en observant le réel, mais en agissant sur lui »
Les effets dévastateurs de la télé se prolongent une fois qu’elle est éteinte. L’enfant prend en effet l’habitude de maintenir son attention par des sollicitations extérieures. D’autre part, son cerveau, exposé à des séquences courtes, s’habitue à passer du coq à l’âne. Ainsi, le système attentionnel s’hypertrophie, au détriment de la volonté, ce qui est dommageable au processus d’apprentissage et de mémorisation.
La télévision développe le sentiment d’insécurité
La publicité est le fondement du système économique de la télévision. Tant et si bien, que les émissions diffusées servent aujourd’hui à mettre le téléspectateur dans les meilleures conditions possibles, pour recevoir le message publicitaire suivant. A ce sujet, Michel Desmurget précise :
« on sait aujourd’hui qu’un individu soumis à des tensions émotionnelles enregistre mieux les messages publicitaires qui lui sont imposés et s’avère plus aisément conditionnable. »
La télé a un impact scientifiquement avéré sur l’obésité, l’alcoolisme, le tabagisme ; mais pas seulement. La question est posée :
« Sexe, violence, société de consommation… la télévision ne serait-elle que le reflet de la société ? »
Assurément pas selon l’auteur qui remarque que la violence et le sexe sont sur-représentées à la télévision par rapport à la réalité. Tout comme les genres sexuels présentés, qui apparaissent bien plus stéréotypés et inégalitaires à travers le prisme du petit écran.
Quant au lien entre violence et télévision, Michel Desmurget rappelle qu’il n’y a plus de doute au sein de la communauté scientifique, même si :
« Aucun chercheur respectable ne suggère que la violence médiatique est « la » cause des comportements violents. La seule chose qu’osent affirmer les scientifiques, c’est que la télévision représente un facteur de violence significatif, et qu’il serait dommage de ne pas agir sur ce levier, relativement accessible en comparaison à d’autres déterminants sociaux plus profonds ; pauvreté, éducation, cadre de vie, etc. »
La télévision éteint l’imaginaire des enfants
Différentes études prouvent que la télévision bride les capacités intellectuelles des enfants et en particulier : leur imagination. On tente de nous faire croire qu’elle est un média comme un autre, qui stimule l’imagination et la créativité. Mais la réalité est toute autre.
Différentes recherches, présentées dans le livre de Michel Desmurget accréditent la thèse contraire, que l’on peut résumer ainsi : la télévision abrutit nos enfants !
Une étude retient particulièrement l’attention. Elle a été conduite par deux médecins allemands en 2006, sur une population de près de 2 000 élèves, âgés de 5 et 6 ans. Les médecins ont demandé aux bambins de dessiner un bonhomme, le constat est accablant. Plus les enfants regardent la télévision, plus le bonhomme qu’ils dessinent est simpliste : pas de cheveux, pas d’oreilles, jambes représentées par un trait, etc.
Les dessins ci-contre, tirés de l’étude, illustrent la différence des représentations imaginaires entre des enfants soumis à la télévision plus de trois heures par jour, et des enfants dont l’exposition est égale ou inférieure à une heure.
« La petite lucarne ne rend pas les enfants débiles ou visiblement crétins, mais elle empêche assurément le déploiement optimal des fonctions cérébrales. »
Je ne pense pas que cette affirmation soit vraiment rassurante. Peut-être est-il tout simplement préférable de limiter le temps d’accès à la petite lucarne pour nos enfants. De cette façon, vous éviterez d’avoir à répondre à cette question que pose Michel Desmurget :
« Cet écran qu’ils ont tant regardé, que leur a-t-il volé ? »
Le livre : TV Lobotomie : La Vérité scientifique sur les effets de la télévision, paru chez Max Milo Éditions
Article à découvrir : Supprimer la publicité des programmes télé pour les enfants ?
Cet article a été écrit par Fabrice Renault, dont voici la source originale :
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Par Life Stance Academy le 14 Juin 2018 à 08:38
Que faire si mon enfant boit de l’eau de Javel ?
Prévenir l'apparition d'accidents tels que l’ingestion de produits tels que l'eau de Javel ou d’autres aussi toxiques dépend de la prévention. Si cela arrive, agissez rapidement en prenant de bonnes décisions car la santé de votre enfant est en jeu.
Si votre enfant a bu de l’eau de Javel, vous ferez certainement le choix d’aller rapidement au centre d’urgences le plus proche de chez vous. Et c’est effectivement ce que vous devez faire en premier.
Aujourd’hui dans cet article nous voulons simplement analyser les mesures préventives que vous devez prendre pour éviter ces accidents. Il est également très important de se préparer mentalement sur la façon d’agir dans le cas où votre enfant souffre d’une telle intoxication.
Il vaut toujours mieux prévenir que guérir. Pour en savoir plus sur ce sujet, ne manquez pas de lire tous nos conseils.
Pourquoi ces empoisonnements se produisent-ils le plus souvent ?
L’ingestion de produits tels que l’eau de Javel ou d’autres produits de nettoyage a des conséquences graves. L’intoxication n’affecte pas seulement le tube digestif, mais peut également se produire en respirant les gaz émanant de ces produits ou par contact cutané.
L’empoisonnement avec des produits caustiques implique obligatoirement d’aller rapidement aux services d’urgence. L’eau de Javel, le chlore, les nettoyants en général, les cosmétiques ou les produits d’hygiène personnelle sont des produits caustiques.
On les appelle caustiques car ils contiennent des composés chimiques capables de produire des lésions graves sur les tissus du corps. Leurs effets sont semblables à ceux produits par la chaleur directe sur les tissus corporels.
En cas d’ingestion d’eau de Javel, l’enfant doit être hospitalisé d’urgence. Dans un premier temps, on réalisera une endoscopie digestive pour évaluer la gravité des lésions respiratoires et digestives. Si les lésions sont importantes (perforation), il devra être opéré le plus rapidement possible car son pronostic vital sera en jeux.
Généralement, si un enfant a bu de l’eau de javel ou un produit similaire, c’est évidemment un accident. Si votre enfant est un adolescent ou un adulte, l’ingestion de ces produits sera associée à une tentative de suicide. Dans ces cas, les mesures à suivre seront évidemment tout à fait différentes mais aussi urgentes.
Comment prévenir ces empoisonnements ?
Quand un enfant ingère ces produits chimiques, il est très fréquent est que leur contenu ait été remplacé. Les adultes transvasent souvent les produits de nettoyage par négligence et utilisent d’autres flacons ou récipients. Par ailleurs, dans la plupart des cas, ces produits sont également toujours à la portée des enfants.
C’est alors que l’enfant identifie le contenant, l’associe à la boisson qu’il contient habituellement et en teste le contenu. La sécurité à domicile dépend des mesures préventives qui sont prises pour éviter ces types d’accidents.
Les précautions à prendre
Pour éviter ces accidents, nous vous invitons à prendre les précautions suivantes :
- Évitez de laisser les produits caustiques à la portée des enfants.Des produits tels que l’eau de Javel, le chlore, les détergents, le shampooing doivent se ranger dans des endroits inaccessibles.
- Si vous manipulez ces produits et utilisez d’autres emballages, empêchez l’enfant d’identifier le produit comme comestible. Si vous conservez ces produits dans leur emballage d’origine, les recommandations du fabricant doivent être lisibles.
- Essayez de limiter l’utilisation de produits caustiques dans les espaces fréquentés par les bébés et les enfants. En effet, l’empoisonnement peut également se produire par les voies respiratoires ou par la peau.
- Pour assurer l’hygiène et la propreté de votre maison, il est fortement recommandé d’utiliser du vinaigre blanc. C’est un bactéricide puissant qui ne provoque aucun type de gaz toxique et n’endommage pas la peau, même en cas de contact direct.
Que faire si votre enfant a bu de l’eau de Javel ?
- La première chose est de rester le plus calme possible. Le désespoir au lieu d’aider peut aggraver les choses et vous faire prendre de mauvaises décisions. Votre enfant a besoin que vous agissiez le plus vite et le mieux possible. Le premier secours fondamental en cas d’accident par intoxication est le suivant :
- Ne provoquez jamais de vomissements, car vous risquez de déclencher une double lésion. Lorsque le produit pénètre dans l’œsophage, puis lorsqu’il est renvoyé dans l’œsophage.
- Ne lui donnez rien à boire. Vous ne devez rien lui donner à boire, ni eau, ni lait, ni blanc d’œuf. Il n’existe pas de solutions pour traiter ces accidents d’intoxication à la maison.
- Faites appel au service d’urgences de votre lieu de résidence. Vous pouvez aussi appeler un centre antipoison ou le SAMU.
- Emmenez votre enfant au centre d’urgence le plus proche et le plus tôt possible.
- Si vous le pouvez, n’oubliez pas de prendre avec vous le produit toxique que votre enfant à bu par accident.
Si votre enfant est petit, il a probablement simplement bu une très petite quantité. Le goût de ces produits est très désagréable. Les fabricants incorporent à ces produits généralement des substances qui donnent un mauvais goût et empêchent précisément d’être ingérés par erreur.
Si votre enfant est un adolescent et qu’il a bu de l’eau de Javel ou d’autres substances similaires, il est très probable qu’il en ait consommé une quantité importante. Dans ces cas, la personne aura agit avec l’intention de provoquer un suicide. Donc, plus vite vous irez au centre hospitalier, plus vous aurez de chances de lui sauver la vie.
Les symptômes de l’ingestion de produits caustiques
Si vous avez un enfant en bas âge et que vous ne savez pas s’il a bu de l’eau de Javel ou des produits similaires, vous devez rester attentif à l’apparition des symptômes suivants :
- Inconfort immédiat dans la bouche et dans la gorge
- Difficulté à avaler et voix rauque
- Nausées et vomissements. Parfois, il peut y avoir du sang ou pas.
- Douleur thoracique
- Difficulté à respirer et des sons aigus lors de l’inspiration
Si votre enfant entre en état de choc et présente les symptômes suivants : confusion mentale, perte de conscience, transpiration, pâleur, mains et pieds froids, vous devez devons agir très rapidement.
Rappelez-vous : la recommandation fondamentale est d’aller immédiatement au service des urgences le plus proche. Dans les cas où la consommation de la substance est intentionnelle, bien sûr, après les urgences vous devrez aussi faire appel à l’aide d’un professionnel psychologue.
Souvenez-vous : Privilégiez la prévention avant tout !
Le plus efficace pour éviter ces accidents est toujours de privilégier la prévention :
- Ne transvasez jamais d’eau de Javel dans un récipient à usage alimentaire. Les intoxications par ingestion de produits ménagers sont les plus courants.
- Choisissez une eau de Javel non aromatisée : l’eucalyptus masque l’odeur de la Jave et prive d’un signal d’alarme.
- Ne laissez jamais des produits toxiques à la portée des enfants. Entreposez tous ces produits dans un endroit inaccessible aux enfants.
- Privilégiez les récipients pourvus de bouchon de sécurité.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 12 Juin 2018 à 09:55
Tablettes et téléphones. Des « dangers possibles »
pour les enfants. Ce que dit l’étude
Un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail alerte sur les dangers des radiofréquences sur la santé des enfants.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail(Anses) a publié, vendredi 8 juillet 2016, un rapport d’expertise sur l’exposition aux radiofréquences et la santé des enfants. L’agence alerte sur les dangers des technologies sans fil : elle pointe en particulier « des effets possibles sur les fonctions cognitives et le bien-être », qui la conduisent à préconiser « un usage modéré et encadré » de ces technologies. Téléphones portables, tablettes, jouets télécommandés doivent être utilisés avec modération. Explications.
Des enfants très exposés aux radiofréquences
S’il n’existe pas de données chiffrées sur les enfants possédant des téléphones portables et qu’il est difficile de connaître précisément les équipements des foyers, le rapport de l’Anses souligne que « les données disponibles montrent une très forte expansion de l’usage des nouvelles technologies sans fil, notamment chez les très jeunes enfants. » Ceux-ci possèdent leur propre téléphone mobile « de plus en plus précocement, même si la première utilisation se situe rarement avant l’âge de sept ans. » En outre, « la multiplicité et la diversité des lieux fréquentés (domicile, école, lieux publics, installations sportives et culturelles) engendrent des situations d’expositions très variables. »
Les dangers des champs électromagnétiques
Dans le cadre de cette étude, le comité d’experts s’est focalisé sur les enfants de moins de six ans et a pris en compte les données disponibles sur l’exposition aux radiofréquences pendant toutes les phases du développement de l’individu, depuis la période in utero jusqu’à la fin de l’adolescence. L‘Anses recommande de réduire l’exposition des enfants aux champs électromagnétiques et de limiter les usages d’appareils sans fil. Téléphones mobiles et tablettes tactiles pour enfants, mais aussi jouets radiocommandés (voitures, locomotives, peluches…), robots communicants, talkies-walkies, veille-bébés (babyphones) sont susceptibles d’avoir un effet sur les fonctions cognitives de l’enfant, telles que la mémoire, l’attention, le langage et les activités psychomotrices des bambins. Les radiofréquences auraient également des incidences sur le bien-être des enfants : troubles du sommeil, fatigue, stress, irritabilité, ou maux de tête.
Les experts notent que « ces effets pourraient être liés à l’usage des téléphones mobiles plutôt qu’aux radiofréquences qu’ils émettent. » Autrement dit, cernes, migraines et problèmes de concentration résultent peut-être tout simplement du temps volé au sommeil par l’usage des portables, précise Le Monde.
Le comité d’experts appelle à redoubler de vigilance. « Du fait de leur plus petite taille, de leurs spécificités anatomiques et morphologiques et des caractéristiques de certains de leurs tissus, les enfants sont davantage exposés que les adultes. »
Réglementation à revoir
L’Anses préconise que tous les équipements radioélectriques, en particulier ceux destinés à la jeunesse, soient soumis « aux mêmes obligations réglementaires en matière de contrôle des niveaux d’exposition et d’information du public que celles encadrant les téléphones mobiles. »
S’agissant des radiofréquences générées par des sources lointaines (antennes-relais, émetteurs de radio et de télévision), elle recommande de « reconsidérer les valeurs limites d’exposition réglementaires », afin d’assurer « des marges de sécurité suffisamment grandes » pour protéger la santé des enfants. Des pays comme le Canada ou les Pays-Bas ont déjà baissé ces limites, rappelle Le Monde.
Pour les téléphones mobiles, l’Anses rappelle sa recommandation, déjà formulée, invitant à réduire l’exposition des enfants, en préconisant un usage modéré et en privilégiant le recours au kit mains-libres. Elle recommande également que des études complémentaires évaluent l’impact sanitaire et psychosocial (apprentissage scolaire, relations sociales et familiales, etc.) chez les enfants lié à l’usage des technologies de communication mobile, en raison notamment de phénomènes addictifs, de troubles des rythmes du sommeil, etc. Elle invite les parents à être vigilants et à faire de la prévention auprès des plus jeunes, pour qu’ils réduisent les durées et la fréquence des appels, et évitent les communications nocturnes.
Sources : www.normandie-actu.fr
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Par Life Stance Academy le 11 Juin 2018 à 07:52
Traitement du lupus érythémateux disséminé (LED)
Le traitement du lupus érythémateux disséminé consiste à atténuer les symptômes en s'adaptant à la situation clinique de chaque personne affectée, pour lesquelles il existe de nombreux groupes pharmacologiques efficaces.
Le traitement du lupus érythémateux disséminé est symptomatique, ce pourquoi il n’existe pas de traitement étiologique définitif pour guérir cette maladie.
Il existe de nombreux traitements axés sur l’atténuation des symptômes, mais une orientation générale du traitement ne peut être établie, car elle doit être adaptée à la situation clinique de chaque patient. Dans chacun des cas, il sera nécessaire de trouver un consensus et d’évaluer les bénéfices et les risques.
N’oubliez jamais que vous êtes absolument unique, comme tout le monde.
-Margaret Mead-
Traitement du lupus érythémateux disséminé
Les médicaments les plus utilisés pour le traitement du lupus sont les suivants :
- Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
- Glucocorticoïdes
- antipaludiques
- Immunosuppresseurs
- Thérapies biologiques
AINS
Les AINS, tels que l’ibuprofène ou le paracétamol, sont les médicaments adaptés pour le traitement symptomatique des manifestations musculo-squelettiques de la maladie, de la fièvre et de la sérite. Ils sont recommandés pour des périodes limitées dans les cas où le risque de complications est faible.
Lorsque ces médicaments sont administrés, il est nécessaire d’évaluer les effets indésirables des maladies digestives, rénales et cardiovasculaires qui peuvent survenir, et d’éviter de les utiliser en cas d’affection rénale.
Glucocorticoïdes
Ce groupe de médicaments a été le pilier du traitement du lupus érythémateux disséminé en raison de sa capacité anti-inflammatoire et immunosuppresseur, qui restent le traitement le plus important et efficace contre les phases aiguës de la maladie. Ils ont également montré une réduction de la mortalité associée à leurs utilisations.
Un inconvénient des glucocorticoïdes est leur consommation à long terme, car ils présentent une toxicité élevée pouvant entraîner certains effets indésirables, parmi d’autres pathologies :
- Ostéoporose : maladie associée à la prédisposition des os à leur rupture
- Syndrome de Cushing
- Diabète mellitus
- Risque accru d’infections
- Le glaucome : une maladie définie par une augmentation de la pression du globe oculaire qui se manifeste par une détérioration progressive de la rétine accompagnée d’une perte de la vision.
Ces effets indésirables limitent son utilisation : pour ces cas, une dose de ≤5 mg / jour de prednisone (ou équivalent) est recommandée et le traitement doit être interrompu dès que possible.
Malgré sa toxicité élevée, pratiquement toutes les complications de cette maladie sont susceptibles d’être traitées avec succès par des corticostéroïdes.
Antipaludiques
Ce groupe comprend la chloroquine, en particulier l’hydroxychloroquine, qui sont des médicaments prescrits à la plupart des patients atteints de LED et les seuls ayant l’indication spécifique de LED jusqu’à l’approbation du belimumab, un médicament biologique que nous aborderons plus tard dans cet article.
Ces médicaments sont principalement utilisés pour combattre les affections suivantes :
- Arthrite : inflammation des articulations
- Fatigue
- Certaines lésions cutanées
- Péricardite
- Symptômes généraux
Les antipaludiques sont très bien tolérés et leur principal inconvénient est leur toxicité possible de la rétine. Pour cette raison, il est recommandé d’effectuer des examens ophtalmologiques périodiques.
Ils peuvent être administrés même pendant la période de gestation, car ils aident à réguler les niveaux de cholestérol et ont une action anti-agrégante bénéfique pour ces patients.
Immunosuppresseurs
Le traitement du lupus basé sur ce groupe de médicaments est réservé aux patients qui ne répondent pas adéquatement au traitement à based’antipaludéens ou de glucocorticoïdes.
Les immunosuppresseurs les plus utilisés pour combattre cette maladie sont :
- Cyclophosphamide
- Mycophénolate mofétil
- Azathioprine
- Méthotrexate
Thérapies biologiques
Ces types de thérapies sont récentes et sont étudiées par des essais cliniques. Elles sont basées sur l’utilisation de médicaments biologiques, c’est-à-dire d’anticorps monoclonaux, les plus largement utilisés étant le belimumab et le rituximab.
Le belimumab est le premier médicament biologique approuvé comme traitement spécifique du LED, mais ce n’est pas le seul, car les antipaludéens sont également une option, comme nous l’avons expliqué précédemment.
La posologie recommandée pour le belimumab est de 10 mg/kg aux jours 0, 14 et 28, puis à intervalles de 4 semaines et s’il n’y a pas d’amélioration du contrôle de la maladie après 6 mois de traitement, l’interruption du traitement doit être évaluée. Les deux médicaments sont actuellement sous étude.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 10 Juin 2018 à 09:14
Comment le jeûne intermittent peut vous aider
à vivre plus longtemps, en meilleure santé
Dans le documentaire Mangez, Jeûnez et Vivez plus longtemps, l’auteur et journaliste anglais, le Dr. Michael Mosley, décrit son parcours de jeûne, qu’il a décidé d’essayer afin de voir si cela pouvait avoir un effet bénéfique sur sa santé.
À l’origine de ce parcours, son analyse sanguine avait révélé qu’il avait un diabète latent et que son taux de cholestérol était élevé, ce que son médecin proposait de traiter avec des médicaments. Inquiet de ce diagnostic – se considérant en quelques sortes comme un expert en stratégies de santé conventionnelles – le Dr. Mosley entreprend alors d’étudier les alternatives qui s’offrent à lui.
Le corps est conçu pour supporter des cycles périodiques « d’abondance et de famine »
Il s’avère que le jeûne a un certain nombre de bienfaits pour la santé, qui sont recherchés par de nombreuses personnes : de l’amélioration de la santé cardiovasculaire et de la diminution du risque de cancer, à la réparation génétique et à l’augmentation de la longévité.
En bref, il découvre que le processus pathologique est en partie basé sur le fait que nous mangeons trop souvent. Lorsque le corps est en mode « abondance » en permanence, il abandonne une grande partie de son « programme naturel de réparation et de régénération ».
Il est vrai qu’une restriction calorique draconienne favorise à la fois la perte de poids et la longévité chez l’animal, mais ce genre de « régime affamant » n’est généralement pas très prisé des humains.
Toutefois, une étude récente a montré que les avantages du jeûne intermittent sont pratiquement identiques, sinon identiques à ceux d’une restriction calorique draconienne, le jeûne intermittent nécessitant de suivre un programme d’alimentation comportant des jours de repas normaux et des jours d’importante réduction calorique.
Cela s’inspire en réalité des habitudes alimentaires de nos ancêtres, qui n’avaient ni épiceries, ni nourriture disponible à toute heure. Ils vivaient selon un cycle alternant périodes d’abondance et de famine, et la recherche moderne montre que ce type de cycle engendre de nombreux bienfaits biochimiques. En bref, en modifiant ce que vous mangez et le moment auquel vous le mangez, vous pouvez modifier radicalement la façon dont votre corps fonctionne. Et c’est une excellente nouvelle.
Les bienfaits pour la santé du jeûne intermittent
Le jeûne est une pratique courante ancienne, puisqu’il fait partie de certaines pratiques spirituelles depuis des millénaires. Mais la science moderne a confirmé qu’il existait de nombreuses bonnes raisons de pratiquer le jeûne, dont voici quelques exemples :
- Il normalise la sensibilité à l’insuline et à la leptine, stimule l’efficacité énergétique mitochondriale : L’un des principaux mécanismes qui rend le jeûne intermittent si bénéfique pour la santé est lié à son impact sur la résistance à l’insuline.Le sucre est une source d’énergie pour le corps, mais il favorise également la résistance à l’insuline lorsqu’il est consommé en quantité excessive, que l’on trouve dans l’alimentation moderne, basée sur les aliments transformés et la malbouffe. La résistance à l’insuline est elle-même un vecteur important de diffusion de maladies chroniques telles que maladies cardiaques ou cancers.Le jeûne intermittent aide à réinitialiser le corps afin qu’il utilise la graisse comme source d’énergie principale, et des preuves de plus en plus nombreuses confirment que, lorsque le corps prend l’habitude de brûler des GRAISSES plutôt que du sucre comme source d’énergie principale, le risque de maladie chronique s’en trouve considérablement réduit.
- Il normalise le taux de ghréline, connue sous le nom « d’hormone de la faim ».
- Il favorise la production d’hormone de croissance (GH) : La recherche a montré que l’augmentation du taux de GH due à la pratique du jeûne pouvait atteindre 1300 pour cent chez la femme, et 2000 pour cent chez l’homme, cette hormone jouant un rôle important dans la santé, la condition physique, et le ralentissement du processus de vieillissement.
- Il abaisse le taux de triglycérides et améliore les marqueurs d’autres maladies.
- Il réduit le stress oxydatif : Jeûner ralentit l’accumulation des radicaux libres oxydatifs dans les cellules, prévenant ainsi les dommages oxydatifs aux protéines cellulaires, lipides et acides nucléiques, dommages associés au vieillissement et aux maladies.
De nombreuses recherches ont également montré que le jeûne a un impact sur la durée de vie chez l’animal. Un certain nombre de mécanismes contribuent à cet effet.
Le jeûne intermittent est de loin le moyen le plus efficace que je connaisse pour se débarrasser de graisse superflue et des envies de sucre, ce qui est un bienfait vraiment important, la plupart d’entre nous ayant un excès de graisse qui semble impossible à brûler. Si le corps ne consomme pas de sucre comme principale source d’énergie, vous avez moins d’envies de sucre, même si vos réserves diminuent.
Comme indiqué plus haut, l’autre mécanisme qui rend le jeûne si efficace pour perdre du poids, est le fait qu’il provoque la sécrétion de HC – une hormone brûleuse de graisse aux nombreux bienfaits reconnus « anti-âge », et bénéfique également pour la santé et la condition physique.
Dernier bénéfice du jeûne intermittent, mais pas des moindres, il aurait été reconnu comme allié puissant dans la prévention et peut-être même le traitement de la démence. Tout d’abord, les cétones sont des sous-produits naturels du brûlage des graisses, et également la source d’énergie préférée du cerveau (qui n’est pas le glucose).
Ensuite, le jeûne intermittent stimule la production d’une protéine appelée facteur neurotrophique issu du cerveau (BDNF), qui active les cellules souches du cerveau à se transformer en nouveaux neurones, et entraîne de nombreux autres messages chimiques qui favorisent la bonne santé des neurones. Le jeûne protège également les cellules du cerveau de changements associés aux maladies d’Alzheimer et de Parkinson.
Le programme de jeûne intermittent 5:2
Le jeûne intermittent est un terme général qui couvre une grande variété de programmes de jeûne. En règle générale, il s’agit de réduire plus ou moins son apport calorique quelques jours par semaine, ou un jour sur deux, ou même quotidiennement. Le Dr. Mosley est devenu tellement convaincu des bienfaits du jeûne intermittent qu’il a écrit un livre sur le sujet, intitulé Le régime Fast : Perdez du poids, restez en bonne santé et vivez plus longtemps grâce au secret du jeûne intermittent.
Le programme de jeûne qu’il propose dans le livre (après avoir testé plusieurs variantes, relatées dans le documentaire), est de manger normalement pendant cinq jours dans la semaine, et de jeûner pendant deux jours. Ce programme est parfois appelé « le régime 5:2 ». Pendant les jours de jeûne, il recommande de diminuer votre alimentation au quart de votre apport calorique normal, soit environ 600 calories pour les hommes et 500 pour les femmes, et de boire beaucoup d’eau ou de thé. Le Dr. Mosley affirme avoir perdu presque 9 kilos en deux mois en suivant ce régime 5:2.
Une alternative – jeûner un jour sur deux
Une variante assez courante du jeûne intermittent est le jeûne un jour sur deux. Comme son nom l’indique, il s’agit de jeûner un jour, et de manger normalement le deuxième jour. Si vous comptez le temps de sommeil, le jeûne dure finalement de 32 à 36 heures. L’inconvénient est qu’il faut se coucher l’estomac vide un jour sur deux, ce qui peut être pénible pour certaines personnes, du moins au début.
Toutefois, d’après le Dr. Krista Varady, auteure de The Every-Other-Day-Diet (le régime un jour sur deux) : Le régime qui vous permet de manger tout ce que vous voulez (la moitié du temps) et de ne pas reprendre de poids, le programme de jeûne un jour sur deux est bien mieux respecté que la plupart des autres programmes de jeûne. Au final, le meilleur programme de jeûne est celui auquel vous vous tenez. Si vous trichez sans arrêt, il ne fonctionne pas.
Les recherches du Dr. Varady montrent que le jeûne un jour sur deux, au cours duquel vous devez consommer environ 500 calories les jours de jeûne et pouvez consommer ce que vous voulez le deuxième jour, fonctionne aussi bien que le jeûne total pour perdre du poids, et c’est un programme de jeûne bien plus facile à respecter.
Dans son étude, conclue récemment, les participants mangeaient le repas basse-calories du jour de jeûne soit au déjeuner, soit au dîner. Répartir le repas de 500 calories en plusieurs petits repas pris dans la journée n’était pas aussi efficace que de faire un seul repas. Le principal problème réside dans le respect du programme. Si vous ne mangez réellement que 500 calories dans la journée, vous perdrez du poids. Mais en consommant de petites quantités de nourriture plusieurs fois par jour, vous avez tendance à en vouloir un peu plus, et le taux de triche augmente donc considérablement.
Mes recommandations personnelles
Une troisième variante du jeûne intermittent, que je recommande et que je pratique personnellement, consiste simplement à restreindre votre prise alimentaire quotidienne à une période de temps déterminée, comme par exemple une fenêtre de huit heures. J’ai expérimenté plusieurs types de programmes d’alimentation ces trois dernières années et celui-ci est mon préféré car il est vraiment facile à respecter une fois que le corps commence à brûler des graisses au lieu du sucre comme source d’énergie principale.
Le gras ayant une combustion lente, il vous permet de rester actif sans souffrir des brutales baisses d’énergies associées au sucre. Et si vous n’avez pas faim… Ne pas manger pendant plusieurs heures ne sera pas un problème ! Suivez ce rythme tous les jours jusqu’à ce que votre résistance à l’insuline/à la leptine s’améliore (et que votre poids, votre pression artérielle, vos taux de cholestérols se normalisent). Puis continuez à pratiquer ce jeûne aussi souvent que nécessaire pour maintenir votre état de santé.
J’ai observé une fenêtre de six heures d’alimentation jusqu’à ce que mon corps commence à brûler des graisses comme source d’énergie, et j’observe maintenant une fenêtre de 9 à 10 heures, durant laquelle je grignote des noix de macadamia. Je ne mange généralement rien au moins pendant les quatre heures qui précèdent l’heure du coucher.
Que manger les jours où l’on ne jeûne pas ?
Dans son documentaire, le Dr. Krista Varady invite le Dr. Mosley à déjeuner dans un fast-food en précisant que peu importe ce que vous mangez le jour où vous ne jeûnez pas, semble-t-il, tant que vous jeûnez correctement un jour sur deux. Je voudrais ici vous mettre en garde contre les variantes de jeûne intermittent qui vous donnent carte blanche pour la malbouffe les jours où vous ne jeûnez pas, car cela me semble affreusement contreproductif. Pour ma part, je ne peux vraiment pas approuver ni encourager cette idée.
Je considère le jeûne intermittent comme un style de vie, et non comme un régime, ce qui implique de choisir une alimentation saine chaque fois que vous mangez. Le but est de s’inspirer des habitudes alimentaires de nos ancêtres, qui enchaînaient continuellement périodes de faste et périodes de famine. Par ailleurs, si on peut obtenir des résultats bénéfiques pour le métabolisme en alternant malbouffe et jeûne, imaginez les bienfaits pour votre santé si vous choisissez des aliments sains chaque fois que vous mangez !
Malheureusement, le Dr. Varady n’est pas consciente du danger que représentent les aliments transformés, et les graisses trans en particulier. Elle se concentre principalement sur la quantité de calories, et non sur leur qualité. Un régime alimentaire sain est un régime qui écarte les aliments non amylacés, transformés et riches en glucides, et favorise les matières grasses saines telles que l’huile de noix de coco, l’huile d’olive, les olives, le beurre, les œufs, les avocats, et les noix (celles de macadamia sont particulièrement bienfaisantes, car riches en matières grasses et pauvres en protéines).
Je conseille également de consommer des protéines en quantités modérées, et de vous assurer que la viande et tous les produits d’origine animale comme les produits laitiers et les œufs, proviennent d’animaux élevés biologiquement, en pâturages.
Je déconseillerais également de consommer de grandes quantités de fruits, comme Joe Cordelli, le restricteur calorique que l’on voit au début du documentaire. Il commence sa journée avec un énorme bol de fruits, et bien qu’il en élimine certaines parties qui sont particulièrement riches en fructose, je pense que la plupart des gens devraient éviter de consommer de trop grandes quantités de fruits – au moins tant que leur poids et leur santé ne sont pas normalisés.
En parlant de sucre, si vous êtes un bec sucré, ne désespérez pas. Il faut en général plusieurs semaines pour que le corps commence à brûler des graisses comme combustible principal, mais une fois cette étape franchie, les envies d’aliments malsains et de sucres disparaissent automatiquement. De nouveau, ceci s’explique par le fait que vous êtes enfin capable de brûler vos graisses stockées et que vous n’avez plus besoin de sucres rapides comme combustible.
Certaines personnes doivent-elles être particulièrement prudentes pour pratiquer le jeûne, voir l’éviter complètement ?
Le jeûne intermittent convient à la plupart des personnes, mais si vous êtes sujet à l’hypoglycémie ou diabétique, vous devez être particulièrement prudent. Les personnes atteintes de stress chronique (fatigue surrénale) ou souffrant de dérèglement du taux de cortisol, devraient éviter de pratiquer le jeûne, de même que les femmes enceintes et allaitantes. Un bébé a besoin de nutriments en quantités, pendant sa formation et après sa naissance, et aucune recherche ne justifie le jeûne pendant cette étape importante.
Mon conseil serait donc de vous concentrer plutôt sur l’amélioration de la qualité de votre alimentation. Un régime alimentaire riche en aliments biologiques crus, ainsi que des aliments riches en bons gras, associés à des protéines de bonne qualité, donnera à votre enfant un bon départ pour vivre en bonne santé. Assurez-vous également d’inclure à votre régime suffisamment d’aliments fermentés pour optimiser votre flore intestinale – et par conséquent celle de votre enfant.
Dr. Mercola
Source : sante-nutrition.org
Références :
1 PBS.org Michael Mosley
2 Eurekalert April 3, 2011
3 Washington Post December 31, 2012
4 BBC News January 2, 2013
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Par Life Stance Academy le 9 Juin 2018 à 08:28
Les dangers d’une mauvaise alimentation
Au fur et à mesure que le temps passe, les mauvaises habitudes alimentaires entraînent de graves problèmes de santé, tels que l'obésité ou les carences nutritionnelles. Une mauvaise alimentation est également responsable du diabète et affaiblit, qui plus est, le système immunitaire.
La nutrition détermine de nombreux aspects de notre santé physique et mentale. Ainsi, lorsque notre alimentation ne couvre pas tous nos besoins nutritionnels, il est normal que des symptômes et des maladies apparaissent.
De nombreux mythes autour de l’alimentation ayant un impact négatif sur notre santé persistent encore à l’heure actuelle. De plus, la quantité de produits alimentaires industriels augmente, lesquels ont un très faible apport nutritif en comparaison avec les aliments issus de l’agriculture biologique. C’est pourquoi les maladies chroniques, telles que l’obésité et les troubles cardiovasculaires, montent en flèche.
Une alimentation dite mauvaise est une alimentation qui provoque des déséquilibres. Une mauvaise alimentation englobe les excès en sucres et en graisses, les carences nutritionnelles, et les programmes alimentaires excluant certains groupes d’aliments.
L’impact d’une mauvaise alimentation varie en fonction de la personne. Néanmoins, de façon générale, ces mauvaises habitudes entraînent de graves conséquences pour la santé, conséquences qui exigent une plus grande attention.
Vous vous demandez pourquoi les mauvaises habitudes alimentaires sont si dangereuses ? Vous aimeriez savoir comment améliorer votre alimentation ? Découvrez ici quelles sont les principales conséquences d’une mauvaise alimentation.
La malnutrition
Une mauvaise combinaison d’aliments ou l’élimination de certains nutriments donne lieu à des carences nutritionnelles. Les carences constituent un danger pour la santé physique, mentale et émotionnelle.
Les personnes concernées par ce problème peuvent présenter les symptômes suivants :
- perte de poids
- problèmes de croissance
- concentration difficile et mauvaise mémoire
- fatigue chronique
- faiblesse musculaire et osseuse
- peau et cheveux fragiles
L’anémie nutritionnelle
Une faible absorption de certains nutriments essentiels, tels que le fer ou la vitamine C, peut provoquer de l’anémie, un trouble caractérisé par la réduction de globules rouges dans le sang.
Afin de prévenir ce trouble, il est recommandé de consommer les aliments suivants :
- viandes maigres
- poissons et fruits de mer
- légumineuses et fruits secs
- fruits et légumes
L’obésité
Bien que des facteurs génétiques puissent être à l’origine de cet état de santé, de nombreux cas d’obésité sont la conséquence d’une alimentation riche en graisses et en sucres.
Pour éviter cela, il est important de limiter la consommation des aliments suivants :
- repas industriels, charcuterie, pâtisserie industrielle
- sucreries et farines raffinées
- sodas et boissons alcoolisées
- repas avec une forte teneur en sodium
Une pression artérielle élevée
Membre du groupe des « assassins silencieux », une pression artérielle élevée ou hypertension est l’une des principales maladies chroniques liées à de mauvaises habitudes alimentaires.
Une pression artérielle élevée fait partie des conséquences du surpoids, mais cela peut aussi concerner des personnes minces qui consomment trop de sodium ou trop d’alcool.
Le traitement implique les actions suivantes :
- limiter au maximum sa consommation de produits transformés et d’acides gras trans
- augmenter sa consommation de fruits et de légumes frais
- remplacer le sel par des épices saines
Le diabète
Les désordres métaboliques qui surviennent à cause d’une mauvaise alimentation entraînent, à leur tour, des problèmes au niveau de la régulation du taux de glucose dans le sang.
Une consommation de sucres, d’hydrates de carbone raffinés et de graisses excessive est responsable du diabète survenant à l’âge adulte.
Les maladies cognitives
Les maladies cognitives peuvent résulter d’une carence nutritionnelle. Le cerveau et le système nerveux ont tout deux besoin de certains aliments pour fonctionner de façon optimale.
Ainsi, il est important d’inclure les nutriments suivants dans son alimentation :
- vitamines A, B, C et E
- acides gras oméga-3
- fer, zinc, magnésium
- acides aminés essentiels
- antioxydants
Une mauvaise digestion
Les aliments riches en graisses, en sucres et en protéines peuvent compliquer le processus de digestion. Une alimentation pauvre en nutriments, ou basée sur de mauvaises combinaisons d’aliments, peut entraîner des troubles digestifs tels que :
- constipation et diarrhée
- ulcères d’estomac
- gastrite
- syndrome du côlon irritable
Dans ces cas-là, la principale recommandation est d’augmenter sa consommation de fibres, lesquelles favorisent un bon fonctionnement gastro-intestinal.
Un système immunitaire affaibli
Les carences nutritionnelles diminuent la production d’anticorps et, par conséquent, l’organisme est plus susceptible de développer des infections et des maladies.
Une alimentation non équilibrée favorise l’affaiblissement des fonctions immunitaires : les agents pathogènes parviennent à attaquer l’organisme plus facilement.
Le vieillissement prématuré
La peau n’est pas la seule concernée ! Tous les organes peuvent se détériorer à cause d’un manque de nutriments. Une mauvaise absorption favorise l’impact négatif des radicaux libres sur nos cellules, car les mécanismes de défenses sont inexistants.
Un bon programme alimentaire varie d’une personne à une autre en fonction de l’âge et de l’état de santé. Néanmoins, de façon générale, une bonne alimentation doit maintenir un équilibre alimentaire.
Vous alimentez-vous bien ? Si vos habitudes alimentaires ne sont pas idéales, faites en sorte de les corriger avant de souffrir d’une éventuelle maladie liée à une mauvaise alimentation.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 8 Juin 2018 à 08:56
6 causes médicales des sueurs nocturnes
Si des sueurs nocturnes apparaissent à n'importe quel moment, même s'il fait froid ou si nous ne nous sentons pas au chaud, nous devons aller chez un spécialiste pour réaliser des tests afin d'écarter certaines complications médicales.
La transpiration est le processus par lequel le corps régule sa température et les niveaux d’urée, d’acides aminés essentiels et d’autres substances qui sont retenues en son sein.
La sueur est produite généralement dans une large mesure lorsque des activités sportives ou toute autre tâche nécessitant un effort physique important sont exécutées. De plus, elle est associée à la température chaude de certains milieux ou au climat.
Bien qu’il s’agisse d’une réaction normale de l’organisme, elle interrompt parfois les nuits et devient un déclencheur de problèmes de sommeil.
Si nous pouvons négliger les sueurs nocturnes dans un premier temps, leur récurrence est une raison de suspecter la présence d’un dysfonctionnement corporel important.
Comme nous savons que beaucoup ignorent les raisons de ce phénomène, nous allons partager avec vous, dans la suite de cet article, 6 facteurs qui peuvent être à l’origine.
1. La ménopause
La ménopause est la cause médicale la plus fréquente des sueurs nocturnes chez les femmes.
Les changements hormonaux soudains, en particulier la diminution des niveaux d’œstrogènes, en sont le principal déclencheur.
Les femmes qui en souffrent ressentent une sensation de bouffées de chaleur qui perturbe leur période de sommeil et, souvent, leur fréquence cardiaque est également modifiée.
- Pour faire face à ce symptôme, il peut être nécessaire de prendre un complément pour réguler l’activité hormonale.
- En général, il est recommandé de dormir dans un environnement frais, avec des vêtements confortables et des draps en fibres naturelles.
2. La consommation de certains médicaments
Les traitements à base de certains médicaments peuvent avoir ce symptôme comme effet secondaire.
Des études suggèrent que certains médicaments contre l’anxiété et la dépression peuvent causer des périodes de sueurs nocturnes également.
Les autres traitements associés à ce trouble sont généralement basés sur :
- Des médicaments hormonothérapeutiques
- Des médicaments qui abaissent le taux de sucre dans le sang
- De la cortisone, une hormone stéroïde utilisée pour réduire l’inflammation et soulager la douleur
3. La tuberculose
La plupart des facteurs associés aux sueurs nocturnes ne constituent pas un problème grave ou difficile à traiter.
Cependant, elles peuvent parfois être causées par des maladies chroniques, comme la tuberculose.
Cette maladie compromet grandement la santé pulmonaire et s’accompagne presque toujours d’épisodes répétés de transpiration.
Le symptôme peut apparaître avec :
- Des épisodes de fièvre élevée
- Des douleurs thoraciques
- Une toux accompagnée de sang
- Des difficultés à respirer
4. Des problèmes neurologiques
L’anxiété et la nervosité peuvent faire monter la température de votre corps, forçant votre organisme à transpirer pour le ramener à un niveau normal. Cette réaction est tout à fait normale et, en fait, ne se produit pas seulement la nuit.
Cependant, lorsqu’elle se produit pendant la période nocturne, elle peut être récurrente et excessive, et pourrait être liée à des conditions médicales qui affectent le système neurologique, comme la maladie de Parkinson et la neuropathie.
- Les dommages causés au système nerveux par ces maladies peuvent conduire à l’échec des signaux envoyés aux glandes sudoripares, ce qui entraîne cette manifestation.
5. L’hyperhidrose chronique
L’hyperhidrose est le terme médical désignant la transpiration excessive. Il s’agit d’un trouble courant qui, bien qu’il n’ait pas de cause médicale autre que la génétique, est considéré comme chronique.
Pour des raisons évidentes, les patients atteints de cette condition peuvent avoir des sueurs nocturnes, à tel point qu’ils se sentent étouffés.
- Ces personnes ont besoin d’un environnement plus frais pour se reposer, parce que ce que beaucoup considèrent comme des « températures normales » est trop chaud pour elles.
- Il ne s’agit pas d’un problème de santé grave, mais parfois le symptôme est trop inconfortable et difficile à gérer.
6. L’hyperthyroïdie
L’hyperthyroïdie est une condition qui se produit lorsque la glande thyroïde produit des hormones à des niveaux supérieurs à la normale.
Par conséquent, le métabolisme est affecté et la personne commence à ressentir de l’inconfort et des changements dans son corps.
- Une forte sensation de fatigue le jour et une transpiration excessive la nuit peuvent alerter sur la présence de ce problème.
- Une intolérance à la chaleur se produit et la température de la chambre à coucher doit être régulée afin d’atteindre le repos.
- Ces symptômes s’accompagnent de changements dans le poids corporel, de tremblements des mains et d’une perte de cheveux excessive.
Votre sommeil est-il interrompu par la transpiration ? Ce symptôme est des plus handicapants et peut provoquer de l’insomnie s’il n’est pas traité.
Même si elles ne révèlent pas toujours la présence d’un problème de santé autre, les sueurs nocturnes dont vous souffrez doivent être examinées par un médecin si elles se manifestent de manière excessive et prolongée.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 7 Juin 2018 à 08:06
Ce que vous devez savoir avant de nager
dans une piscine publique ou un bain à remous
Pour beaucoup, la natation est un passe-temps favori de l'été, surtout en vacances. Cependant, comme noté par CNN, 1 ce qui peut se cacher dans la piscine de votre hôtel et / ou le spa pourrait littéralement tourner votre estomac. Dans ce cas, il s'agit d'une maladie diarrhéique causée par des parasites microscopiques, ce qui donne des dents à l'expression «Ce que vous ne pouvez pas voir peut vous blesser».
Les infections parasitaires d'origine hydrique sont à la hausse
Le spécialiste des maladies infectieuses Jaime Zapata de l'hôpital universitaire de San Antonio explique que les symptômes les plus courants sont les suivants: «... crampes, nausées, vomissements, fièvre, déshydratation, alors sachez que si vous allez à la piscine, prenez une douche après. "
C'est un bon conseil, selon Susan Scutti de CNN, qui note que jusqu'ici cette année, alors que cet hôpital particulier n'a pas encore vu un cas de Cryptosporidium, souvent surnommé "Crypto", (à ne pas confondre avec la devise) les centres pour Le contrôle et la prévention des maladies (CDC) est inquiet, et il n'est pas étonnant:
"Les hôtels ont ouvert la voie à près d'un tiers de toutes les épidémies de maladies liées aux eaux chlorées ou traitées - comme les piscines et les bains à remous - aux Etats-Unis entre 2000 et 2014, selon un nouveau rapport gouvernemental. Au total, 493 foyers liés aux eaux récréatives traitées ont été signalés dans 46 États et à Porto Rico, indique le rapport. 2
La CDC répartit également les chiffres pour les années 2009-2010 par rapport à 2011-2012: il y a eu 24 éclosions et 90 éclosions, respectivement, de la baignade dans les eaux récréatives comme les piscines et autres plans d'eau aux États-Unis, et la moitié des coupables trouvés dans l'eau de la piscine étaient Crypto.
Les éclosions sont décrites comme se produisant lorsque deux personnes ou plus qui tombent malades sont liées par le lieu et la période au même plan d'eau. Le délai moyen avant qu'une personne infectée par le parasite ne tombe malade est de sept jours, mais il peut varier entre deux et dix. Des cas graves peuvent également infecter les voies respiratoires.
Statistiques et autres données sur le cryptage
Selon le rapport hebdomadaire 3 , 4 , 5 du CDC sur la morbidité et la mortalité entre 2000 et 2014, 493 foyers de maladies ont été détectés dans les piscines publiques et les spas, dont 32% ont été attribués à des hôtels. 6 Au total, ces épidémies d' origine hydrique a conduit à 27,219 maladies et huit décès.
Crypto était le principal coupable dans ces cas, représentant près de 60 pour cent des éclosions liées au pool. Six des huit décès et 16 pour cent des maladies étaient associés à une légionellose bactérienne, une pneumonie parfois fatale , dont on se souviendra peut-être fut la cause d'une épidémie massive en 1976 appelée la maladie du légionnaire .
La fièvre de Pontiac, qui provoque des symptômes bénins de la grippe, est une autre maladie bactérienne d'une bactérie impliquée dans ces cas, de même que la folliculite («hot tub rash») et l'otite externe (« swimmers 'ear ») d'une bactérie appelée Pseudomonas. Legionella et Pseudomonas peuvent à la fois tolérer les désinfectants et conserver leur capacité à rendre les gens malades plus longtemps que vous ne le pensez. Environ la moitié des éclosions ont eu lieu entre juin et août, avec un plus petit pic en mars. Le CDC affirme également:
«Le chlore inactive la plupart des agents pathogènes en quelques minutes, bien que Cryptosporidium extrêmement tolérant au chlore puisse survivre pendant plus de sept jours (et) lorsqu'il se produit un épisode diarrhéique (contamination à Cryptosporidium à risque élevé) dans l'eau et l'eau contaminée est ingéré.
La tolérance au chlore extrême du parasite permet de persister dans l' eau, causer des épidémies qui rendent malades des milliers, et la propagation à de multiples lieux de loisirs aquatiques et d' autres paramètres (par exemple, les paramètres de garde d'enfants). » 7
Crypto s'est fait un nom aux États-Unis au cours des deux dernières décennies comme étant l'une des causes les plus fréquentes de maladies d'origine hydrique, et pas seulement les piscines et les cuves thermales, mais aussi l'eau potable. Il convient de noter que le parasite peut être trouvé dans toutes les régions des États-Unis et dans le monde entier. Inutile de dire que se laver les mains à fond et devient souvent plus urgent une fois que vous êtes conscient que de telles maladies sont causées par un parasite qui se propage essentiellement par l' exposition aux matières fécales .
Il se propage lorsque vous touchez votre bouche avec des mains contaminées. La contamination s'accompagne d'objets touchants que d'autres personnes ont peut-être touchés, comme des rampes d'escalier, des boutons d'ascenseur, des poignées de porte ou des jouets pour bébés. Le CDC note également que vous n'êtes pas toujours capable de dire en regardant quelque chose si elle a été en contact avec des matières fécales.
Comment combattre le cryptage
Vous pourriez penser que les piscines d'hôtel auraient du chlore et des filtres qui prendraient soin des germes qui engendrent de telles épidémies, et vous auriez raison, mais la partie inquiétante est que les deux sont inefficaces pour traiter la cryptosporidiose. Les parasites crypto peuvent vivre dans les intestins des humains et des animaux et être transmis dans les excréments d'une personne ou d'un animal infecté. 8
Les parasites peuvent rester dans l'intestin grêle des gens pendant aussi longtemps que deux semaines, ce qui provoque la réapparition des symptômes pendant des jours avant que la personne infectée ne se rétablisse complètement. Comme le note le Conseil de la qualité de l'eau et de la santé: 9
«Bien que le chlore détruise la plupart des germes pathogènes dans les eaux récréatives traitées en quelques minutes, Crypto présente un défi unique: le parasite est protégé contre les désinfectants chimiques par une enveloppe extérieure dure, appelée« oocyste ». . ' Grâce à cette coque résistante, Crypto peut survivre plusieurs jours dans une piscine correctement chlorée. "
"Vraiment, la première ligne de défense est que si quelqu'un a la diarrhée ou est malade, ne les laissez pas dans votre piscine", a déclaré Ursula Pari, présentatrice CNN. Alors que de nombreux bassins communautaires ont des lignes directrices si strictes qu'ils vont fermer si elles soupçonnent la contamination, une grande partie du poids de la responsabilité incombe aux parents de petits enfants. Zapata note que si vous avez des enfants de moins de 2 ans avec vous à la piscine, ils devraient souvent être amenés aux toilettes.
«Sachez que cet enfant pourrait faire quelque chose dans la piscine», dit-il. Alors que la règle n ° 1 serait «Ne buvez pas l'eau dans laquelle vous nagez», il est très difficile de la transmettre aux bébés, aux tout-petits et aux autres jeunes enfants. Ne pas utiliser la piscine comme une toilette est difficile à trouver.
Selon Michele Hlavsa, auteur principal du rapport et chef du programme de natation en bonne santé du CDC, la plupart des personnes en bonne santé récupèrent de la contamination crypto sans traitement, mais si la diarrhée ne disparaît pas d'elle-même dans les trois jours, vous devriez appeler votre médecin. D'autres recommandations de bon sens comprennent :
Enseignez à vos enfants à ne pas avaler d'eau en nageant
Emmenez vos enfants aux pauses-toilettes toutes les heures, et vérifiez les couches dans la zone de changement de couches désignée (pas à côté de la piscine)
Gardez vos enfants hors de la piscine s'ils ont la diarrhée, ou ont eu une diarrhée au cours des deux dernières semaines
Évitez d'utiliser des jouets de piscine qui pourraient encourager votre enfant à avoir de l'eau dans la bouche, comme des tasses et des seaux
Si vous savez que vous avez eu une infection parasitaire, attendez au moins deux semaines après l'arrêt de la diarrhée avant de plonger dans l'eau
Douche avant et après l'entrée dans la piscine ou le bain à remous
Ne jamais uriner (ou déféquer) dans l'eau
Ne buvez pas l'eau mais vérifiez-la d'abord
Une autre étape peu connue mais protectrice que vous pouvez prendre avant d'entrer dans l'eau: Consultez les résultats d'inspection qui peuvent être affichés par le département de la santé, près de la piscine. Ils ressemblent à la façon dont les restaurants affichent les scores des pratiques de salubrité des aliments et d' hygiène de leurs cuisines . Gardez à l'esprit que si les piscines publiques peuvent être soumises à des tests, les piscines privées ne le sont généralement pas. Une autre option qui peut faciliter votre esprit est de vérifier l'eau vous-même. Comme le note CNN:
«Après tout, les hôtels, les piscines communautaires et les zones de loisirs ne vérifient probablement pas leur eau tous les jours, et la chimie de la piscine change tout le temps Les magasins d'approvisionnement en piscines et les grandes surfaces vendent des bandelettes d'analyse peu coûteuses. sont dangereux ... ne pas nager. " dix
Bien que vous puissiez acheter des bandelettes de test à peu de frais dans les piscines et les grandes surfaces, des bandelettes d'analyse gratuites sont disponibles sur le site Web du Conseil de la qualité de l'eau et de la santé (WQHC). 11 Voici une des raisons pour lesquelles vous pourriez vouloir le prendre au sérieux:
"Pourquoi s'inquiéter?" Ces résultats d'enquête sont particulièrement préoccupants à la lumière d'un rapport de CDC 2016 qui a constaté que près de 8 inspections de routine de piscines publiques au moins une violation des règles de santé et de sécurité, et 1 sur 8 a dû être fermé immédiatement. " 12
Selon Chris Wiant, président du WQHC, ce n'est pas seulement le chlore qui fait rougir les yeux des gens, mais aussi les contaminants comme la sueur, la saleté et le pipi des autres nageurs mélangés au chlore qui cause les yeux injectés de sang. Vous voulez que tout le monde adhère aux règles, mais dans la mesure où cela dépend de vous, Wiant dit: "Protégez-vous et vos proches en prenant une douche avant d'aller dans la piscine, et ne pas faire pipi dans l'eau."
Quelques statistiques plus déconcertantes
L'une des règles de base pour l'étiquette de la piscine est de prendre une douche avant d'entrer dans la piscine. Personne ne surveille cela, évidemment; C'est plus comme s'appuyer sur le système d'honneur. Comme vous pouvez l'imaginer, la plupart des gens pensent qu'il y a un problème causé par quelqu'un d'autre - ce ne peut pas être eux.
Gardez à l'esprit que beaucoup d'enfants se demandent pourquoi il y a une règle en premier lieu; ils s'imaginent que s'ils avaient besoin d'une douche, est-ce qu'un bain dans la piscine ne ferait pas le travail pour eux? Penser en termes de la façon dont les maladies comme Crypto ont lieu n'est pas un qu'ils sont en mesure de relier tous les points. Mais ce sont des enfants pour vous. Malheureusement, les statistiques disent que les adultes sont tout aussi mauvais, et peut-être pire. Selon un sondage WQHC réalisé en 2017:
- 25% des adultes nageraient dans les 30 minutes suivant la diarrhée
- 52 pour cent passent régulièrement la douche avant de nager dans une piscine
- Un incroyable 60 pour cent avouent avaler l'eau pendant qu'ils nagent
- 72% des adultes ne savent pas qu'il existe une maladie connue sous le nom de Crypto; qu'il est causé par un parasite et qu'il peut se propager dans l'eau de la piscine
- 84% des adultes ne réalisent pas que des agents comme le chlore, même utilisés aux niveaux recommandés par les CDC, n'éradiqueront pas Crypto dans les piscines
Science News soutient que vous pouvez aussi faire face au fait que si vous nagez dans une piscine, que ce soit privé, dans un hôtel ou utilisé par une communauté entière, il y aura de l'urine. Dans une certaine mesure, il y aura probablement de la matière fécale , disent-ils, ainsi qu'une bonne quantité de sueur humaine avec des cellules de peau mortes. Ils ne s'arrêtent pas là:
«Les piscines sont d'énormes bols de toilette bleus, nous avons tous fait pipi - soyons honnêtes - et une nouvelle étude remue notre culpabilité en montrant que uriner dans une piscine chlorée crée un produit chimique toxique appelé chlorure de cyanogène. le chlore de la piscine réagit avec l'azote dans l'urine, il agit comme un gaz lacrymogène, en rendant rugueux les yeux, le nez et les poumons, et il est classé comme agent de guerre chimique. 13
L'étude 14 note que «l'introduction de l'acide urique dans les piscines est ... une action volontaire pour la plupart des nageurs»; "Ces résultats indiquent des avantages importants pour la piscine ... qui pourraient résulter de meilleures habitudes d'hygiène de la part des nageurs."
Comment tuer Crypto dans l'eau potable
Crypto, comme indiqué, est notoire pour être imperméable au chlore. Le conseil du CDC pour les personnes qui veulent tuer ou inactiver la crypto dans l'eau potable implique d'amener votre eau à bouillir pendant une minute. À des altitudes supérieures à 6 500 pieds, faire bouillir pendant trois minutes.
L'eau doit ensuite être refroidie et stockée dans un récipient propre et aseptisé avec un couvercle étanche et réfrigérée. Lorsque vous utilisez l'eau d'un cours d'eau lors d'un voyage de camping, par exemple, un filtre au point d'utilisation est une bonne chose à avoir. Gardez à l'esprit, cependant, que tous les filtres à eau à usage domestique n'éliminent pas cryptosporidium. Pour se protéger contre Crypto, le CDC recommande d'utiliser: 15
- Osmose inverse
- Taille absolue des pores de 1 micron ou moins
- Testé et certifié selon la norme NSF / ANSI 53 ou la norme NSF / ANSI 58 pour l'élimination des kystes
- Testé et certifié selon la norme NSF / ANSI 53 ou la norme NSF / ANSI 58 pour la réduction des kystes
ANSI, l'American National Standards Institute, est l'agence de certification officielle aux États-Unis, mais la NSF (National Sanitation Foundation, ou NSF International) n'est pas une agence gouvernementale. 16 L'Environmental Protection Agency des États-Unis, ainsi que tous les États américains, le Conseil canadien des normes (CCN), Santé Canada et toutes les provinces du Canada comptent sur ANSI et SCC pour déterminer les normes acceptées pour la certification de produits tiers. Voici d'autres stratégies de désinfection de l'eau recommandées par le CDC: 17
- Systèmes utilisant la lumière ultraviolette
- Ozone
Des méthodes de désinfection plus sûres pour votre piscine privée ou votre spa
Bien que vous puissiez vous sentir en sécurité dans votre piscine ou votre spa, des infestations parasitaires peuvent survenir ici, surtout si les enfants utilisent votre piscine et / ou si les recommandations de sécurité standard ne sont pas respectées, comme une douche avant d'entrer. Évitez l'hyperchlébration - zappez votre eau avec de fortes doses de chlore - car cela peut produire des gaz extrêmement toxiques bien pire qu'une infection parasitaire.
Entre 2008 et 2015, il y a eu 156 incidents dans la seule Californie où des personnes ont été rendues malades par l'inhalation toxique de chlore gazeux sur les sites d'eau publics. 18 , 19
Un exemple d'une telle urgence est survenu quand environ 34 des 50 personnes dans une piscine extérieure dans le comté de Contra Costa, en Californie, ont commencé à éprouver une irritation des yeux, de la toux ou des vomissements. Un dysfonctionnement du contrôleur chimique avait permis la libération d'hypochlorite de sodium, qui réagissait avec l'acide muriatique et la libération de chlore gazeux toxique. Selon le CDC, plus de 4 800 personnes à travers les États-Unis ont visité les salles d'urgence pour des problèmes de santé similaires liés aux produits chimiques en 2012. 20
Les symptômes varient selon que l' empoisonnement au chlore implique la forme liquide ou gazeuse, la quantité, la durée d'exposition et la proximité de la source. Le gaz chloré a été utilisé comme arme chimique durant la Première Guerre mondiale. L'exposition peut provoquer des rougeurs, des brûlures et des cloques, une vision floue, une sensation de brûlure dans le nez, la gorge et les yeux, des difficultés respiratoires, de la toux et / ou des liquides dans les poumons.
Le chlore réagit également avec les fluides corporels, provoquant la production de centaines de sous-produits 21, y compris le chlorure de cyanogène, qui est hautement toxique et volatil. Certains de ces sous-produits de désinfection sont plus de 1000 fois plus toxiques que le chlore lui-même. Dans les piscines, les matières organiques qui peuvent provoquer une réaction croisée avec le chlore pour former des sous-produits toxiques comprennent les cheveux, la peau, la sueur séchée, la saleté et l'urine. Les lotions peuvent également provoquer des réactions chimiques nocives.
Un rapport du CDC sur les notes de chlore, 22 "Lorsque le chlore gazeux entre en contact avec des tissus humides tels que les yeux, la gorge et les poumons, il se produit un acide qui peut endommager ces tissus." Pour éviter ce genre d'exposition, les produits chimiques de la piscine doivent être manipulés et stockés correctement, et toute personne travaillant avec eux doit être formée à la sécurité chimique des piscines et au bon fonctionnement et à l'entretien de l'équipement. Cela s'applique aussi à la maison.
Sur une note positive, vous avez plus d'options et le contrôle de votre piscine privée ou un bain à remous. Par exemple, les piscines d'eau salée 23 sont une option plus saine. Il y a aussi des désinfectants à l'ozone et à la lumière ultraviolette 24 que vous pouvez utiliser. Les systèmes d'ozone et d'UV peuvent réduire le besoin de chlore de 50 à 90%, selon un rapport d'Aqua Magazine. 25
Comprenez que l'accès public peut apporter plus que ce que vous avez négocié. Quant à vous, prenez ces recommandations au sérieux :
- Si vous avez la diarrhée ou si vous l'avez eu au cours des deux semaines précédentes, restez à l'écart des piscines, des cuves thermales et de tout autre plan d'eau.
- Douchez-vous avant d'entrer dans la piscine; même une minute enlèvera presque tout de votre corps.
- N'avalez pas l'eau. Déjà.
- Celui-ci est peut-être le plus difficile, mais si vous êtes témoin, ou si vous êtes victime d'un «incident de diarrhée», signalez-le immédiatement au personnel de la piscine.
S'il y a de bonnes nouvelles, c'est ceci: Les personnes dont le système immunitaire est en bonne santé sont moins susceptibles de tomber malades à cause de Crypto. Donc, en plus de se laver les mains et de respecter la liste de recommandations précédente, garder votre système immunitaire en pleine forme pourrait être meilleur pour votre santé que vous ne le pensiez.
Par le Dr Mercola
Sources et références- 1, 2, 10 CNN 17 mai 2018
- 3 CDC.gov MMWR 18 mai 2018
- 4 PBS.org 23 mai 2018
- 5 WHIO.com 21 mai 2018
- 6 Kfvst12.com 21 mai 2018
- 7 CDC 17 mai 2018
- 8 CDC 2 novembre 2010
- 9 Conseil sur la qualité et la santé de l'eau 26 mai 2017
- 11 Conseil de la qualité de l'eau et de la santé 2018
- 12 Conseil de la qualité de l'eau et de la santé 2018
- 13 Nouvelles scientifiques 8 avril 2014
- 14 American Chemical Society 1er août 2016
- 15 CDC Guide des filtres à eau 3 avril 2015
- 16 The Pure Water Gazette 12 septembre 2013
- 17 CDC.gov, Maladies et contaminants dans l'eau potable
- 18, 20 CDC MMWR 2008-2015
- 19 CNN 19 mai 2017
- 21 Medical Daily 17 mai 2013
- 22 CDC.gov Faits sur le chlore
- 23 Livestrong, Chlorine Vs Piscines à eau salée
- 24 spectralight, Comment fonctionnent les désinfectants pour piscines UV
- 25 Aquamagazine Septembre 2008
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Par Life Stance Academy le 5 Juin 2018 à 09:38
80% des crises cardiaques pourraient être évitées
si tout le monde faisait ces 5 choses faciles
Les maladies cardiaques coûtent la vie à environ 1 millions d’Américains chaque année, ce qui en fait la principale cause de décès chez les hommes et les femmes. La forme la plus courante de maladie cardiaque est la maladie coronarienne, qui peut conduire à une crise cardiaque.
Cette année seulement, 920 000 Américains auront une crise cardiaque, et près de la moitié d’entre elles se produisent soudainement sans signes avant-coureurs.1
Une crise cardiaque survient lorsque le flux sanguin vers une partie de votre coeur se bloque. C’est souvent le résultat de l’accumulation de plaque dans vos artères (athérosclérose), qui peuvent se rompre et former un caillot de sang qui bloque le flux sanguin.
Si le blocage ne est pas éliminé rapidement, une partie de votre muscle cardiaque commence à mourir et être remplacé par du tissu cicatriciel, ce qui peut causer de graves problèmes à l’avenir.
Par exemple, une crise cardiaque passée (surtout si une grande partie de votre cœur a été endommagé) est un facteur de risque d’arrêt cardiaque soudain,2 qui est causé par des rythmes cardiaques anormaux et peut être mortelle.
5 changements de mode de vie pourraient prévenir 80% des crises cardiaques
Il est remarquable que les crises cardiaques sont si communes et causent tant de douleur (physique et émotionnelle) et de handicap alors qu’elles sont presque toujours évitables. Vous êtes probablement déjà au courant que votre mode de vie joue un rôle dans votre risque de maladie cardiaque (et de crises cardiaques), mais peut-être que vous n’avez pas encore pris cela à cœur…
Si vous avez besoin de motivation, considérez une nouvelle étude menée à l’Institut Karolinska. Elle a constaté que s’engager dans cinq habitudes de vie saines pourrait prévenir près de 80 pour cent des crises cardiaques qui surviennent pour la première fois chez les hommes. Même les chercheurs ont été surpris par la puissance qu’un mode de vie sain pouvait être, en notant: 3
« Il n’est pas surprenant que des choix de vie sains conduiraient à une réduction des crises cardiaques … Ce qui est surprenant, c’est la façon dont le risque a chuté considérablement en raison de ces facteurs. »
Pourtant, ce n’est pas la première fois qu’une telle réduction drastique des risques a été découverte. L’étude INTERHEART 2004, qui portait sur les facteurs de risque cardiaques de la maladie dans plus de 50 pays à travers le monde, a révélé que 90 pour cent des cas de maladies cardiaques sont complètement évitables par la modification des facteurs de régime alimentaire et de style de vie. 4
Malheureusement, la plupart des gens n’utilisent pas les habitudes de vie à leur avantage. L’étude présentée a impliqué des hommes âgés de 45 à 79 ans… et seulement 1 pour cent d’entre eux se sont engagés dans les cinq comportements « à faible risque » qui pourraient empêcher une crise cardiaque. Alors, quels sont les cinq habitudes de vie saines?
- Une alimentation saine
- Être physiquement actif (marcher / faire du vélo ≥40 min / jour et faire de l’exercice ≥1 h / semaine)
- Tour de taille sain (tour de taille <95 cm ou 37,4 pouces)
- Consommation modérée d’alcool (10 à 30 g / jour)
- Ne pas fumer
Qu’est-ce qu’un régime alimentaire sain pour votre cœur?
La plupart des habitudes de vie saines pour le cœur sont explicites, mais le terme « alimentation saine » est ambigu… et quand il s’agit de la santé du cœur, ce n’est probablement pas ce que vous pensez. Contrairement à la croyance populaire, les glucides raffinés, le sucre et les aliments transformés sont les véritables ennemis – pas les graisses saturées présentes dans les aliments comme le beurre, le saindoux, ou les œufs.
Une partie de la confusion sur les graisses tourne autour de son impact sur le cholestérol LDL, souvent appelé « mauvais » cholestérol. Selon le point de vue conventionnel, un LDL élevé est en corrélation avec les maladies cardiaques et les gras saturés ont tendance à augmenter le LDL. Cependant, nous comprenons maintenant qu’il y a deux types de particules de cholestérol LDL:
- Le cholestérol LDL petit et dense
- Le cholestérol LDL grand et léger
Ce dernier ne est pas « mauvais » du tout. Des études ont confirmé que les grandes particules de LDL ne contribuent pas aux maladies cardiaques. Les particules petites et denses de LDL, cependant, contribuent à l’accumulation de plaque dans les artères, et les gras trans augmentent le LDL petit et dense. Les graisses saturées, d’autre part, augmentent le LDL grand et léger.
Plus important encore, la recherche a également montré que les particules petites et denses de LDL sont augmentées en mangeant du sucre et des glucides raffinés, tels que le pain, des bagels, et les sodas. Ensemble, les gras trans et les glucides raffinés font plus de mal que les graisses saturées ne pourraient le faire.
Malheureusement, lorsque l’hypothèse du cholestérol a pris le dessus, l’industrie alimentaire est passé aux aliments faibles en gras, en remplaçant les graisses saines saturées comme le beurre et le saindoux par des graisses nocives trans (huiles végétales hydrogénées, margarine, etc.), et beaucoup de sucre raffiné et de fructose transformé.
Les taux d’obésité et de maladies cardiaques sans cesse croissants illustrent clairement les ramifications de cette approche erronée. J’ai récemment interviewé le Dr Fred Kummerow sur ce sujet. Si vous l’avez manqué, je vous recommande fortement de prendre un moment pour écouter cela maintenant.
Un vrai régime alimentaire bon pour le coeur
Si vous voulez protéger votre cœur, vous devez éviter les gras trans en éliminant tous les aliments transformés (ce qui inclut également la plupart des aliments des restaurants). Vous devez également vous occuper de votre résistance à l’insuline et à la leptine, qui est le résultat d’une alimentation trop riche en sucres et en céréales. Pour réduire votre risque de maladie cardiaque, vous devez respecter les suggestions suivantes, qui sont expliquées en détail dans mon plan de nutrition.
- Évitez le sucre, le fructose transformé, et les céréales. Cela signifie concrètement que vous devez éviter plupart des aliments transformés
- Ayez une alimentation saine avec des aliments entiers, idéalement biologiques, et remplacez les glucides des céréales avec:
- De grandes quantités de légumes
- Un quantité faible à modérée de protéines de haute qualité (pensez élevage biologique, animaux de pâturage)
- Graisse saine de haute qualité (saturée et monoinsaturée de sources animales et d’huiles tropicales). La plupart des gens ont réellement besoin d’augmenter à 50 à 85 pour cent de graisses dans leur alimentation pour une santé optimale – très loin des 10 pour cent actuellement recommandés. Les sources de graisses saines à ajouter à votre alimentation comprennent:
Avocats Beurre fabriqué à partir de lait cru bio nourri à l’herbe Produits laitiers crus Jaunes d’œufs bio de pâturage Noix de coco et huile de coco Huiles de noix bio non chauffées Noix brutes, comme les amandes, noix de pécan, noix de macadamia, et graines Viandes nourries à l’herbe L’équilibre de votre ratio oméga-3 et oméga-6 est également essentiel pour la santé du cœur, car ces acides gras aident à construire les cellules de vos artères qui fabriquent la prostacycline qui permet votre sang s’écouler facilement. La carence en omega-3 peut causer ou contribuer à des problèmes de santé très graves, à la fois mentaux et physiques, et peut être un facteur sous-jacent important à jusqu’à 96 000 décès prématurés chaque année. Vous pouvez le faire en évitant la plupart des huiles végétales et en augmentant votre consommation de petits poissons gras sauvages (sardines et anchois) ou en prenant un supplément d’huile de krill de haute qualité.
Devriez-vous manger plus de fruits pour votre cœur?
Une étude présentée cette année au congrès ESC à Barcelone en Espagne a constaté que les gens qui mangeaient des fruits tous les jour avaient un risque 40 pour cent plus faible de maladie cardiaque, et un risque 32 pour cent plus faible de décès de toutes causes, que ceux qui n’en mangeaient pas. En outre, plus de fruits ils mangeaient, plus leur risque de maladie cardiaque est devenu bas.5 Les fruits peuvent être une excellente source d’antioxydants, de vitamines, de minéraux et d’autres composés phytochimiques, dont beaucoup ont des effets anti-inflammatoires bons pour la santé cardio-vasculaire. Par exemple, une recherche publiée dans le British Medical Journal (BMJ)6 a révélé que manger simplement une pomme par jour peut aider à prévenir les décès d’origine cardiovasculaire chez les personnes de plus de 50 ans à un degré similaire que prendre une statine quotidiennement.7
Je voudrais mettre en garde contre la consommation excessive de fruits, cependant, en particulier les fruits sucrés qui sont monnaie courante aujourd’hui. Beaucoup des phytonutriments les plus bénéfiques présents dans les fruits ont en fait un goût amer, aigre, ou astringent, et se trouvent dans la peau et les graines. Pour satisfaire les palais modernes, les agriculteurs ont, à travers le temps, choisi de faire se reproduire sélectivement les variétés les plus sucrées, ce qui rend les fruits beaucoup moins nutritifs que par le passé. Pourtant, les fruits choisis avec soin – comme les pommes, les myrtilles, les cerises bio – peut certainement être bénéfique lorsqu’ils sont consommés avec modération. Les fruits contiennent des niveaux variés de fructose, et vous devriez éviter la surconsommation de fructose pour protéger votre coeur. Mes recommandations sur les fruits (et la consommation de fructose) sont comme suit:
- Si vous êtes résistant à l’insuline ou à la leptine (êtes en surpoids, diabétique, hypertendu, ou avez un taux de cholestérol élevé), ce qui comprend environ 80 pour cent des Américains, alors il serait préférable pour vous de limiter votre consommation de fruits. En règle générale, je recommande de limiter votre consommation de fructose à un maximum de 15 grammes de fructose par jour de toutes sources, y compris les fruits entiers. Vous pouvez trouver un tableau des taux de fructose dans les fruits courants ici.
- Si vous n’êtes pas résistant à l’insuline ou à la leptine, (avez un poids normal sans diabète, hypertension ou hypercholestérolémie) et vous vous livrez régulièrement à une activité physique ou un travail manuel intense, une plus grande consommation de fructose est peu susceptible de causer des problèmes de santé. Dans ce cas, vous pouvez probablement manger plus de fruits sans trop y réfléchir.
- Toutefois, si vous êtes dans la catégorie deux ci-dessus, vous pourriez bénéficier d’un affinement supplémentaire. Les fruits vont quand même augmenter votre taux de sucre dans le sang et de nombreux experts croient que cela augmente la glycosylation des protéines. Donc, mon approche est de consommer des fruits généralement après une séance d’entraînement, car votre corps va utiliser le sucre comme combustible plutôt que d’augmenter votre taux de sucre dans le sang.
- En outre, si vous êtes un athlète d’endurance, vous pouvez probablement vous en sortir en mangeant de grandes quantités de fruits puisque votre corps utilisera la plupart du glucose durant l’exercice, et ils ne seront pas stockés sous forme de graisse. (Cela dit, je crois toujours que les athlètes seraient bien avisés d’envisager de devenir adaptés aux graisses plutôt que de compter sur les sucres rapides).
- Si vous n’êtes toujours pas sûr d’à quel point vous devez être rigoureux, faites vérifier vos niveaux d’acide urique et utilisez-les comme guide.
Les médicaments contre le diabète augmentent le risque de maladie cardiaque
La metformine, un médicament qui rend les tissus de votre corps plus sensibles à l’insuline, est l’un des médicaments contre le diabète les plus courants sur le marché. Cependant, une nouvelle étude montre que parmi les personnes souffrant d’hypothyroïdie, l’utilisation de la metformine a été associée à un risque accru de faible TSH (thyroid-stimulating hormone).8 Si votre taux de TSH deviennent trop faible, cela peut entraîner des dommages graves, y compris des problèmes cardiaque tels que la fibrillation auriculaire, ce qui pourrait conduire à une insuffisance cardiaque congestive.9 Une recherche indépendante a également montré que le traitement du diabète de type 2 avec des médicaments hypoglycémiants a montré en fait le potentiel d’augmenter votre risque de décès de causes cardiaques et tout autres causes. Les chercheurs ont noté:10
« Les résultats globaux de cette méta-analyse ne montrent pas d’avantage au traitement de diminution intensive du glucose sur la mortalité toutes causes confondues ou de décès d’origine cardiovasculaire. Une augmentation de 19% de la mortalité de toutes causes et une augmentation de 43% de la mortalité cardio-vasculaire ne peut être exclue. »
Ces risques sont généralement inutiles, car le diabète de type 2 est facile à inverser sans médicaments. Si vous voulez la version courte… échanger simplement les aliments transformés par des aliments bio entiers plus bas en sucre et en glucides formant des sucres – combinés avec quelques minutes d’exercices de haute intensité réguliers – va rapidement vous mettre sur la route d’inverser le diabète. Consultez mon plan de nutrition pour un guide d’alimentation saine et, pour plus de détails, lisez mon plan de prévention (et de traitement) du diabète ici.
Un avertissement sur les bêta-bloquants et la faute scientifique
Les bêta-bloquants sont des médicaments couramment utilisés dans le traitement de l’hypertension artérielle et de l’insuffisance cardiaque congestive. Ils fonctionnent principalement en empêchant les neurotransmetteurs norépinéphrine et épinéphrine (adrénaline) de se lier aux récepteurs bêta, dilatant ainsi les vaisseaux sanguins, ce qui réduit la fréquence cardiaque et la pression artérielle. Jusqu’à récemment, la Société Européenne de Cardiologie a recommandé d’utiliser des bêta-bloquants chez les patients subissant une chirurgie non cardiaque. Plus tôt cette année, cependant, les chercheurs ont calculé que cette directive, qu’ils ont trouvé être fondée sur « une recherche douteuse et probablement frauduleuse, » pourrait avoir causé jusqu’à 800 000 décès en cinq ans seulement en Europe.11
Les lignes directrices des bêta-bloquants ont été fondées en grande partie sur des recherches effectuées par un scientifique qui a été congédié pour faute scientifique en 2011, et qui était aussi le président du comité qui a rédigé la directive de traitement européenne. On pourrait penser qu’une fois que cela a été connu, une action immédiate aurait suivo. Cependant, il a fallu deux ans avant que l’ESC retire la recommandation des bêta-bloquants une fois que le scandale soit démêlé. C’est absolument scandaleux que près d’un demi-million de personnes soient mortes inutilement en raison de ce retard.
Dans ce laps de temps de deux ans, de nombreux cliniciens européens ont peut-être estimé qu’ils avaient les mains liées, car ne pas suivre les directives peut conduire à être pénalisé, même si le médecin sait que les lignes directrices sont susceptibles de faire plus de mal que de bien. Le mois dernier, une version révisée de l’article a été publiée,12 qui a explicité encore plus en détail les méfaits qui se produisent lorsque une recherche frauduleuse est publiée et mise en pratique clinique… même des années après que la faute soit découverte. Comme rapporté par Forbes:13
« Ils écrivent sur une culture de la négligence dans laquelle peu ou pas de participants n’ont quoi que ce soit à gagner en trouvant ou en rapportant une faute scientifique. Ils citent de nombreux exemples dans lesquels une faute a été alléguée mais les acteurs responsables – les auteurs, les établissement, les revues et les sociétés médicales – ont seulement répondu de la façon la plus minime et modérée. Le portrait qu’ils dressent est celui d’un établissement scientifique et médical consacré à ne pas faire de vagues. »
Évitez de devenir une autre statistique de crise cardiaque
Il existe de nombreuses stratégies qui peuvent protéger votre cœur et pratiquement éliminer votre risque de maladie cardiaque. S’il vous plaît, n’attendez pas de souffrir des symptômes d’une crise cardiaque pour prendre des mesures parce que le symptôme le plus fréquent de la maladie cardiaque est la mort subite, donc vous serez mort avant même de savoir que vous avez un problème. Agissez de la sorte maintenant afin de prévenir tout dommage durable:
- Mangez des graisses animales saturées non transformées, et ignorez les médias, car vous allez tirez profit de ces graisses. Beaucoup de gens peuvent également tirer profit d’augmenter la graisse saine dans leur régime alimentaire pour atteindre de 50 à 85% des calories quotidiennes
- Évitez tous les sucres, y compris le fructose et les céréales transformés si vous êtes résistant à l’insuline et à la leptine. Cela n’a pas d’importance s’ils sont conventionnels ou biologiques, car un régime alimentaire riche en sucre favorise la résistance à l’insuline et à la leptine, qui est le principal moteur de maladies cardiaques
- Faites de l’exercice régulièrement, car l’activité physique avec une alimentation saine composée d’aliments entiers, de préférence biologiques, peut être tout aussi puissante – sinon plus puissante – que les médicaments anti-cholestérol. Utilisez une combinaison d’entraînement par intervalles à haute intensité, de musculation et d’étirements.
- Évitez l’excès de position assise; visee trois heures par jour ou moins de position assise et essayez de faire 10 000 pas par jour (en plus de votre exercice).
- Évitez les statines, car les effets secondaires de ces médicaments sont nombreux, tandis que les avantages sont discutables. À mon avis, généralement, le seul groupe de personnes qui peut bénéficier d’un médicament anti-cholestérol sont ceux atteints d’hypercholestérolémie familiale génétique. C’est un état caractérisé par un taux de cholestérol anormalement élevé, qui tend à être résistant aux stratégies de style de vie comme l’alimentation et l’exercice
- Optimisez vos niveaux de vitamine D, soit par l’exposition appropriée de soleil, un lit de bronzage, ou en dernier recours un supplément de vitamine D3 oral
- Marchez régulièrement pieds nus pour vous mettre à la terre. Lorsque vous le faites, des électrons libres sont transférés de la terre dans votre corps, et cet effet de mise à la terre est l’un des antioxydants les plus puissants que nous connaissons, et aide à soulager l’inflammation dans tout votre corps
- Gérez votre stress quotidien. Mon outil de prédilection pour la gestion du stress est l’Emotional Freedom Technique (EFT).
par le Dr. Mercola
Source : sante-nutrition.org
Références:
Canadian Medical Association Journal September 22, 2014
Journal of the American College of Cardiology September 30, 2014
Business Standard September 23, 2014
RTT News September 24, 2014
Forbes September 23, 2014
Business Standard September 2, 20141. The Heart Foundation Heart Disease Facts
2. WebMD Sudden Cardiac Death
3. RTT News September 24, 2014
4. Lancet. 2004 Sep 11-17;364(9438):937-52.
5. Business Standard September 2, 2014
6. BMJ2013;347:f7267
7. Science Daily October 28, 2013
8. Canadian Medical Association Journal September 22, 2014
9. Circulation. 2007; 116: 1725-1735
10. BMJ 2011;343:d4169
11. European Heart Journal 2014: 35(3); 131-137
12. Eur Heart J (2014) 35 (36): 2433-2440.
13. Forbes September 23, 2014
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Par Life Stance Academy le 4 Juin 2018 à 08:22
Découvrez 10 symptômes pour savoir
si vous souffrez d’hypothyroïdie
Si vous présentez plusieurs de ces symptômes sans raison apparente, il est conseillé d'aller chez un spécialise pour effectuer des tests pertinents afin d'obtenir un diagnostic précoce d'hypothyroïdie.
L’hypothyroïdie est l’un des troubles qui peuvent affecter les fonctions de la glande thyroïde. Elle se produit par une faible ségrégation des hormones, ce qui déclenche des problèmes dans divers systèmes du corps.
C’est une maladie courante chez les femmes de plus de 60 ans.Cependant, elle peut se produire à des âges plus jeunes en raison de l’exposition à des facteurs qui interfèrent avec l’activité de la glande.
Dans ses phases initiales, elle peut passer de manière asymptomatique, mais, à mesure qu’elle progresse, de nombreuses conditions et symptômes interfèrent avec la qualité de vie.
Il est très important de savoir comment l’identifier afin de trouver un traitement qui minimise l’impact qu’elle produit sur le corps.
Pour cette raison, nous voulions examiner certaines de ces causes et 10 symptômes pour suspecter son développement.
Découvrez-les !
Quelles sont les causes de l’hypothyroïdie ?
La thyroïde est une petite glande en forme de papillon située à la base du devant du cou.
Sa principale fonction est de sécréter des hormones telles que la triiodothyronine (T3) et la thyroxine (T4), qui sont impliquées dans de nombreuses fonctions du corps.
Ils agissent principalement sur la santé métabolique, en maintenant le rythme qui permet au corps de traiter les graisses et les hydrates de carbone. Ils contrôlent également la température corporelle, la fréquence cardiaque et la production de protéines.
L’hypothyroïdie survient lorsque la glande ne produit pas suffisamment d’hormones ou perd sa capacité à les utiliser correctement. Cette situation, à son tour, peut être produite par :
- Les maladies auto-immunes telles que la thyroïde de Hashimoto
- Chirurgie thyroïdienne
- Traitement pour l’hyperthyroïdie
- Radiothérapie pour le cancer de la tête et du cou
- La consommation de certains médicaments psychiatriques
- Carence en iode
- Troubles de la glande pituitaire
- Grossesse ou post-partul
- Antécédents familiaux de maladie thyroïdienne
Les symptômes pour reconnaitre l’hypothyroïdie
Pour de nombreux patients, il est difficile d’identifier l’hypothyroïdie en raison du développement lent des symptômes dans les premiers stades. Cependant, il y a plusieurs signes qui, bien qu’ils puissent indiquer d’autres conditions, sont utiles pour leur détection.
1. Prise de poids soudaine
Les altérations subies par le métabolisme dû à la faible production d’hormones thyroïdiennes peuvent entrainer une augmentation soudaine de poids, même si la personne a de bonnes habitudes alimentaires.
2. Sensation de fatigue
L’hypothyroïdie affecte la circulation sanguine et diminue la capacité du corps à oxygéner de façon optimale les cellules et les tissus.
Par conséquent, à la suite de cela, il est habituel d’être dans un état de fatigue.
3. Taux élevés de cholestérol
De nombreux facteurs influent sur l’augmentation du taux de cholestérol. Cependant, il ne faut pas ignorer que ce problèmes de la thyroïde peut être un déclencheur possible.
4. Mauvaise humeur ou irritabilité
Les changements hormonaux qui sont produits par le dysfonctionnement de la glande thyroïde peuvent induire des sauts d’humeur soudaines avec une tendance au stress, à la dépression et à l’irritabilité.
5. Difficultés de concentration
Les altérations produites par l’hypothyroïdie produisent un impact sur l’activité du système nerveux et du cerveau. Par conséquent, il est fréquent que les patients ayant ce problème aient du mal à se concentrer.
6. Sécheresse de la peau, des cheveux et des ongles
La beauté est également affectée en raison de ce trouble. Les changements qui se produisent dans le corps sont reflétés avec un excès de sécheresse sur la peau, les cheveux et les ongles.
7. Transit intestinal lent
Le transit intestinal lent ou la constipation peuvent se produire en raison de la réduction d’hormones thyroïdiennes. C’est parce qu’elles participent aux activités du tube digestif, ce qui est essentiel pour éliminer les déchets.
8. Douleurs musculaires
Il est difficile d’interpréter la douleur musculaire comme un signe de problèmes thyroïdiens.
Malgré cela, il est essentiel de prendre en compte que parfois, c’est le résultat de l’affaiblissement des muscles dû à la faible production d’hormones thyroïdiennes.
9. Périodes menstruelles irrégulières
L’altération des fonctions hormonales de la thyroïde peut influencer le manque de contrôle de la période menstruelle. La femme peut avoir des règles prolongées ou trop abondantes.
10. Sensibilité au froid
Les patients atteints d’hypothyroïdie ont des difficultés de circulation qui augmentent la sensibilité au froid. Ceux-ci peuvent sentir leurs extrémités froides et rigides.
Reconnaissez-vous plusieurs des symptômes mentionnés ? Si vous pensez être atteint de cette maladie, consultez votre médecin et demandez les examens appropriés.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 1 Juin 2018 à 10:16
Connaissez-vous les signes les plus communs
d'une tumeur au cerveau ?
Selon la National Brain Tumor Society, environ 700 000 Américains vivent avec une tumeur cérébrale primaire et plus de 79 000 autres recevront un diagnostic de tumeur en 2018. 1 Au minimum, une tumeur cérébrale de toute sorte aura un impact radical sur votre qualité de vie , tandis que la variété maligne vous offre un peu plus de 1 chance sur 3 de survie. 2
Parce que la forme la plus commune de tumeur cérébrale maligne se traduit par un taux de survie relatif à cinq ans inférieur à 6% 3,vous voudrez faire tout votre possible pour protéger la santé de votre cerveau. Cela comprend la reconnaissance des signes les plus courants d'une tumeur au cerveau. Plus loin dans cet article, je vais partager des conseils sur la façon de réduire votre exposition aux champs électromagnétiques (CEM) - l'un des nombreux facteurs considérés comme contribuant aux tumeurs cérébrales et à d'autres problèmes de santé graves.
Huit symptômes communs d'une tumeur au cerveau
Alors que certains de ces symptômes peuvent signaler un état de santé différent nécessitant une attention, vous trouverez ci-dessous une liste des symptômes que vous pouvez ressentir si vous avez une tumeur au cerveau. Très souvent, plus d'un de ces symptômes seront présents, aidant votre médecin à faire un diagnostic précis. Huit des symptômes les plus communs d'une tumeur au cerveau sont: 4 , 5
Perte d'équilibre
Problèmes persistants avec l'équilibre, mis en évidence par la maladresse par rapport à vos bras et vos jambes, ainsi que des problèmes avec la motricité fine, peuvent être des signes d'une tumeur au cerveau. Si vous avez déjà eu une bonne coordination et que vous commencez soudainement à trébucher et à trébucher lorsque vous effectuez des activités routinières comme prendre un verre, attacher vos chaussures ou marcher, vous pourriez avoir une tumeur au cerveau.
«Les symptômes dépendent souvent de l'emplacement de la tumeur», explique le Dr Donald O'Rourke, neurochirurgien et directeur de la banque de tissus de tumeurs cérébrales humaines chez Penn Medicine à Yardley, en Pennsylvanie. "Par exemple, si vous avez une tumeur sur votre cervelet - la partie de votre cerveau impliquée dans la coordination des séquences de mouvements - vous pouvez avoir du mal à contrôler vos bras et vos jambes." 6
Problèmes de mémoire et de langue
Les épisodes de confusion et d'oubli peuvent être des signes d'une tumeur au cerveau, surtout s'ils s'accompagnent de graves pertes de mémoire et de problèmes de langage. À titre d'exemple, oublier soudainement les mots pour des objets communs comme «boule» ou «tasse» ou être incapable de reconnaître des mots ou des chiffres sur une page peut être des signes d'une tumeur au cerveau. 7 La perte de mémoire peut être accompagnée de changements dans votre langage, tels que des problèmes de compréhension ou de récupération de mots, ainsi que des troubles ou des bégaiements.
«Les problèmes de langage tels que le bégaiement, la difficulté à nommer les objets ou à comprendre ce que disent les autres sont des symptômes clés d'une tumeur dans les lobes frontaux ou temporaux, des régions du cerveau associées à la motricité», explique Christopher Carrubba, un consultant en soins de santé et en éducation médicale de Jacksonville, en Floride. 8
Humeur et / ou changements de comportement
Un changement dramatique de l'humeur et une augmentation notable des comportements à risque et d'autres comportements d'acting out peuvent être des signes d'une tumeur au cerveau. «Les patients souffrant d'une tumeur au cerveau peuvent développer une dépression , de la colère ou de l' anxiété , même s'ils ne présentent pas souvent ces types d'émotions», explique le Dr Sumeet Vadera, neurochirurgien à l'Université de Californie à Irvine Health. "Ceci est lié à l'irritation de la tumeur ou à la compression de parties du lobe frontal, qui est responsable de plusieurs de nos traits de personnalité." 9
"Une grande tumeur qui se développe lentement dans le lobe frontal peut même altérer la personnalité et le jugement jusqu'à être confondue avec un comportement criminel ou psychiatrique", note le Dr Mike Chen, neurochirurgien et professeur agrégé de neurochirurgie à l'hôpital City of Hope près de Los Angeles. 10 Cela dit, l' humeur non caractéristique / signes de comportement à rechercher qui peuvent indiquer la présence d'une tumeur au cerveau comprennent:
• Agir ouvertement sexuel
• de plus en plus en plus facilement agité et mis en colère
• S'engager dans des comportements à risque
• Montrer moins d'inhibition
Nausée et vomissements
Alors que les nausées et les vomissements peuvent être associés à de nombreuses maladies, des nausées et / ou vomissements fréquents et inexpliqués ont été associés à des tumeurs cérébrales. Si vous avez des nausées persistantes qui n'ont pas de cause apparente - et surtout si elles s'accompagnent de maux de tête ou d'autres symptômes - assurez-vous de prendre rendez-vous avec votre médecin pour qu'il soit examiné.
Faiblesse unilatérale ou engourdissement
Si vous ressentez une faiblesse ou un engourdissement, en particulier d'un côté de votre corps, vous pouvez avoir une tumeur dans la région du lobe frontal de votre cerveau. Très souvent, la tumeur présente sur le côté de votre cerveau en face de la faiblesse corporelle ou de l'engourdissement. "Le cortex moteur droit contrôle le côté gauche de votre corps et le cortex moteur gauche contrôle le côté droit de votre corps", explique Chen. "S'il y a des tumeurs n'importe où le long de cette voie, ces signaux sont complètement perturbés, et le résultat est une perte de fonction." 11 Si vous remarquez que l'un de vos bras ou de vos jambes ne répond plus soudainement comme avant, cela peut être un signe qu'une tumeur exerce une pression sur votre cortex moteur. Gardez une trace de vos symptômes et examinez-les avec votre médecin.
Maux de tête persistants
Alors que les maux de tête persistants peuvent être associés à une tumeur au cerveau, même les médecins ont du mal à distinguer les maux de tête ou les migraines généralisées causées par les tumeurs cérébrales et celles qui en résultent pour d'autres raisons. Apportez tout nouveau mal de tête persistant qui ne répond pas aux analgésiques en vente libre à l'attention de votre médecin.
"Le meilleur indicateur est un nouveau mal de tête quotidien qui ne semble pas disparaître", déclare Chen. «Ces maux de tête ont tendance à s'aggraver avec le temps et sont souvent présents lorsque vous vous réveillez le matin, lorsque la pression intracrânienne est élevée parce que vous êtes allongé dans votre lit pendant de longues périodes. 12
Il est important de noter que l'intensité de la douleur de votre mal de tête n'est pas nécessairement corrélée à la taille ou au taux de croissance de la tumeur. «Une petite tumeur à croissance rapide peut causer une céphalée aussi grave qu'une tumeur de grande taille et à croissance lente», explique le Dr Santosh Kesari, neurologue, neuro-oncologue et président du département de neurosciences translationnelles et neurothérapeutiques chez John Wayne Cancer. Institut à Santa Monica, en Californie. 13
Saisies
Alors que les convulsions sont liées à d'autres états de santé autres que les tumeurs cérébrales, les convulsions soudaines, les changements de conscience et les mouvements involontaires connus pour caractériser les crises peuvent être attribués à la présence d'une tumeur cérébrale. A propos de saisies, les chercheurs impliqués dans une étude de 2014 publiée dans la revue Oncologue a déclaré: 14
"Les crises sont généralement observées dans les tumeurs cérébrales, généralement de l'ordre de 40 à 60%, elles représentent souvent le premier signe clinique d'une tumeur cérébrale et constituent un facteur pronostique favorable, bien que la réapparition ou l'aggravation des crises puisse indiquer une récidive tumorale."
Les crises, qui ne durent que peu de temps, sont causées par une activité électrique anormale dans votre cerveau. Parmi les nombreux types de crises, le type que vous éprouvez dépend de la zone de votre cerveau qui envoie les signaux électriques anormaux.
Changements de vision
Alors que votre vision peut changer pour un certain nombre de raisons, obtenir des examens oculaires réguliers est une façon de surveiller les changements dans votre cerveau qui peuvent signaler la présence d'une tumeur au cerveau. Si vous avez une vision floue, une double vision ou une perte de vision partielle ou complète, vous devez prendre rendez-vous avec votre ophtalmologiste immédiatement. Le Dr Adam Rubin, spécialiste de l'optométrie à Gaithersburg, au Maryland, a déjà passé un examen de la vue pour un garçon de neuf ans se plaignant de maux de tête sévères et d'une vision floue dans un œil.
À propos de l'examen Rubin a déclaré: «Tout de suite, j'ai remarqué que son élève droit ne réagissait pas à la lumière, c'était alarmant, et j'ai continué à regarder de plus près l'œil droit. Après un examen plus approfondi, Rubin remarqua quelque chose d'encore plus troublant. "Le nerf optique était complètement décoloré, un signe qui peut indiquer une croissance dans cette zone.Une tumeur ou une grande masse peut appuyer sur le dos de l'œil, provoquant une tête de nerf optique de couleur pâle", at-il dit. 15
Compte tenu de ces préoccupations, Rubin a référé le garçon à un spécialiste du cerveau qui a été en mesure d'identifier la source des problèmes - une tumeur bénigne qui pousse près de la glande pituitaire du garçon. Heureusement, il a été enlevé chirurgicalement, et le garçon a retrouvé la santé. Les types de changements de la vision connus pour signaler la présence d'une tumeur au cerveau comprennent: 16
• La double vision peut être un symptôme d'une tumeur dans votre tronc cérébral
• La perte de votre capacité à regarder vers le haut peut être causée par une tumeur de la glande pinéale
• Une perte de vision partielle ou complète peut résulter d'une tumeur du lobe occipital ou du lobe temporal de votre cerveau.
Il n'y a pas de doute: les EMF endommagent votre santé
Les effets négatifs des champs électromagnétiques continuent d'enflammer les conversations et les controverses dans le monde entier. À mesure que la société devient de plus en plus avancée sur le plan technologique, vous (et votre cerveau) êtes exposés aux champs électromagnétiques tout au long de la journée, à l'intérieur et à l'extérieur de votre maison, que vous le réalisiez ou non. Dans le cas où vous ne savez pas ce que sont les EMF ou comment ils vous affectent, Dave Asprey, fondateur et PDG de Bulletproof et auteur du best-seller du New York Times, "The Bulletproof Diet", fournit une définition de travail utile: 17
«Une CEM fait référence au nuage d'électricité invisible qui entoure les particules chargées électriquement.Quand les particules chargées se déplacent (et elles le sont toujours), elles produisent des champs magnétiques.Toute chose vivante et non vivante avec laquelle vous entrez en contact possède son propre champ électromagnétique.
Votre corps est conçu pour gérer une bonne quantité de CEM. Même si vous avez vécu une existence complètement débranchée au milieu de la jungle, la planète sur laquelle vous vous trouvez vous expose aux CEM. Nous, humains, émettons de l'énergie électromagnétique, et nous ne pouvons pas nous échapper. "
La plupart des rayonnements EMF émettent depuis les tours de téléphonie cellulaire, les téléphones cellulaires, les ordinateurs, les compteurs intelligents et le Wi-Fi, pour ne nommer que quelques-uns des coupables. Parce que la technologie sans fil est là pour rester, il est impératif de vous renseigner sur les effets négatifs des champs électromagnétiques sur votre santé et de prendre des mesures pour réduire autant que possible votre exposition aux champs électromagnétiques. Si l'on vous a dit que les champs électromagnétiques sont sûrs et ne constituent pas un danger pour les humains, vous pouvez envisager:
- L'industrie des télécommunications a manipulé les organismes de réglementation fédéraux, les autorités publiques et les professionnels de la santé grâce à des efforts de lobbying puissants et sophistiqués, qui ont laissé les consommateurs confus et inconscients des risques pour la santé associés aux CEM
- Comme ce fut le cas avec le tabagisme, les effets négatifs sur la santé des CEM peuvent ne pas être immédiatement perceptibles, mais ils se développeront probablement graduellement et seront reconnus au fil du temps.
- Sans aucun doute, parmi tous les autres EMF, l'utilisation des téléphones portables figure parmi les principales menaces pour la santé publique du 21ème siècle
L'effet de la radiothérapie cellulaire sur votre santé et votre cerveau
Comme mentionné dans la vidéo ci-dessus, une étude de 2015 publiée dans la revue Pathophysiology 18 indique que l'utilisation de téléphones portables lourds avant 20 ans augmente le risque de développer un cancer du cerveau à la fin de la vingtaine, à un taux quatre à cinq fois plus élevé. Des études plus récentes sur des animaux de laboratoire, complétées par le National Toxicology Program 19 des États-Unis et l'Institut italien Ramazzini, sont résumées dans mon article «Les téléphones cellulaires fortement liés au cancer - une nouvelle étude reproduit les résultats du gouvernement ». 20
Ces études ont révélé «des augmentations statistiquement significatives dans le développement du même type de tumeur très rare et très maligne dans le cœur des rats mâles - schwannomes." 21 A propos des résultats, les auteurs de l'étude Ramazzini ont dit: 22
"Les résultats de l'étude Ramazzini sur l'exposition au rayonnement radiofréquence (RFR) sont cohérents avec les résultats de l'étude du National Toxicology Program sur l'exposition en champ proche, qui ont tous deux montré une augmentation de l'incidence des tumeurs du cerveau et du coeur. -exposé ... des rats.
Ces tumeurs sont du même histotype que celles observées dans certaines études épidémiologiques sur des utilisateurs de téléphones portables. Ces études expérimentales fournissent des preuves suffisantes pour demander la réévaluation des conclusions de l'Agence internationale de recherche sur le cancer concernant le potentiel cancérogène de RFR chez l'homme. "
À mon avis, le principal danger du rayonnement des téléphones cellulaires n'est pas le cancer du cerveau en tant que tel, mais plutôt les dommages systémiques cellulaires et mitochondriaux . De tels dommages sont non seulement nocifs pour votre cerveau, mais ont également été impliqués pour sa contribution à un large éventail d'autres problèmes de santé et de maladies chroniques. Tenir un téléphone portable directement sur votre tête et sur votre conduit auditif le met dans la position idéale pour envoyer de grandes quantités de radiations dans les zones sensibles de votre corps.
Conseils sur la réduction de votre exposition aux champs électromagnétiques
Il ne fait aucun doute que l'exposition aux champs électromagnétiques est un risque important auquel vous devez faire face pour protéger votre santé. Voici quelques conseils pour vous aider à limiter les CEM dans votre vie:
Cherchez à réduire radicalement l'utilisation de votre téléphone portable et évitez de le porter sur votre corps; utilisez-le uniquement sur le haut-parleur et tenez le téléphone à au moins 3 pieds de vous
Éteignez votre téléphone cellulaire, Wi-Fi et l'électricité de votre chambre la nuit et pensez à utiliser un réveil alimenté par batterie
Échangez les ampoules CFL et LED avec des ampoules à incandescence et retirez toutes les lumières fluorescentes de votre maison
Refusez les compteurs intelligents aussi longtemps que possible ou ajoutez un blindage à un compteur intelligent existant
Remplacez votre four à micro-ondes par un four à convection de vapeur, qui chauffera votre nourriture aussi rapidement et de manière beaucoup plus sûre
Utiliser des connexions Internet filaires pour tous les appareils, moniteurs pour bébés, ordinateurs, systèmes de jeux, claviers, souris, téléphones, imprimantes, thermostats et téléviseurs; réglez vos ordinateurs câblés sur "mode avion"
Bien que davantage de recherches soient nécessaires pour établir un lien concluant entre les tumeurs cérébrales et les champs électromagnétiques, y compris l'utilisation des téléphones cellulaires, vous ne regretterez pas de prendre des mesures préventives dès maintenant pour réduire votre exposition. Les avantages pour votre santé globale feront plus que la valeur de votre temps et de votre énergie.
Dr Mercola
Sources et références- 1, 2, 3 Société nationale des tumeurs cérébrales, tumeurs cérébrales rapides
- 4 L'âme copieuse, 7 signes les plus communs d'une tumeur au cerveau
- 5, 8, 9, 10, 11, 12, 13 Reader's Digest, 8 signes silencieux, vous pourriez avoir une tumeur au cerveau
- 6, 7 Penn Medicine 10 juin 2016
- 14 Oncologue Juillet 2014; 19 (7): 751-759
- 15 VSP, examen des yeux conduit à un diagnostic de sauvetage pour Little Boy
- 16 Cancer.Net Novembre 2017
- 17 Bulletproof Blog, Comment se protéger des appareils sans fil et des CEM
- 18 Physiopathologie mars 2015; 22 (1): 1-13
- 19 Programme national de toxicologie, Ébauche de rapports sur la radiofréquence des téléphones cellulaires sur les rats et les souris
- 20, 22 Recherche environnementale 7 mars 2018 [publication électronique avant impression]
- 21 Environmental Health Trust, la plus grande étude mondiale sur les rayonnements dans les tours cellulaires confirme le lien entre le cancer et le cancer
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Par Life Stance Academy le 31 Mai 2018 à 08:39
Vaccins et dommages neurologiques
Les vaccinations sont particulièrement neurotoxiques. Elles ont été associées à de nombreux troubles neurologiques, comme des encéphalopathies, l’épilepsie, les convulsions, l’autisme, la déficience mentale, la dépression, l’anxiété, les troubles du système nerveux central, la paralysie, le Syndrome de Guillain-Barré, la surdité, la cécité, le trouble du déficit de l’attention et la mort subite du nourrisson (MSN). Les troubles neurologiques associés aux vaccinations sont divers et nombreux. Les vaccinations abaissent les niveaux de QI et contribuent à créer des troubles mentaux, ainsi que les maladies neurologiques énumérées plus bas.
La relation entre vaccinations, encéphalopathies et maladies neurologiques ont fait leur apparition dans les revues médicales depuis l’avènement des programmes de vaccination de masse. L’autisme était inconnu avant la vaccination et s’est développé très parallèlement aux vaccinations de masse. Le trouble du déficit de l’attention et les troubles de l’apprentissage chez les enfants sont attribués aux vaccinations de l’enfance, de même que les convulsions, les paralysies et l’épilepsie. Les lésions cérébrales constituent de loin un des effets secondaires graves le plus fréquemment associé à la vaccination, bien que leur nombre exact ne soit pas toujours fidèlement rapporté.
Troubles neurologiques induits par les vaccinations:
- Encéphalite
- Ataxie/apraxie
- Retard de développement
- Méningite/Paralysie
- Polio paralytique
- Syndrome de Guillain-Barré
- Lupus
- Hyperactivité – Trouble de l’apprentissage
- Maladies démyélinisantes
- Maladies auto-immunes, épilepsie
- Convulsions
- Cécité
- Surdité
- Mort subite du nourrisson
- Confusion mentale – Abaissement du QI
- Tumeurs cérébrales (SV-40)
La liste qui provient de différentes sources n’est pas exhaustive.
Les encéphalopathies associées aux vaccinations peuvent aller d’une maladie neurologique manifeste à des pleurs avec cris perçants (fréquents après vaccination) qui sont le signe non reconnu d’une souffrance cérébrale. En d’autres mots, on prétend que ces cris sont juste le signe que l’enfant « a réagi à l’aiguille » !
Il est normal d’avoir peur des vaccinations. Il y a combien d’encéphalites, de neuropathie, de dysfonctions cérébrales, de pleurs avec cris perçants qui ne sont pas normales et qui en outre ne sont pas prises en compte ?
Les lésions cérébrales provenant des vaccins ont un caractère épidémique et pourtant, aux Etats-Unis (mais aussi ailleurs), les médecins ne sont guère prompts à diagnostiquer les troubles neurologiques quand les vaccinations sont en cause, bien que la littérature rapporte cependant de nombreux changements négatifs après les vaccinations.
Ted Koren, DC a déclaré : « La dyslexie, les lésions cérébrales bénignes, les troubles de l’attention, l’autisme, les allergies, les problèmes visuels et autres maladies neurologiques qui sont regroupées sous le vocable « troubles du développement » existaient à peine avant les programmes de vaccination de masse. Il est probable que vingt pour cent des enfants américains, soit un enfant sur cinq souffre de « troubles du développement » C’est là un chiffre stupéfiant. Ces problèmes sont presque toujours générés par des encéphalites. »
La principale cause des encéphalites aux Etats-Unis et autres pays industrialisés, ce sont les programmes de vaccination des enfants.
Pour être plus précis, une grande partie des millions d’enfants et d’adultes américains souffrant d’autisme, de convulsions, de retard mental, d’hyperactivité, de dyslexie et autres troubles du développement, doivent leurs troubles à l’un ou l’autre des vaccins contre les maladies d’enfance. »
Il y a environ 40-50 ans, on ne vaccinait pas les enfants à un âge aussi précoce qu’aujourd’hui. A cette époque, les troubles neurologiques étaient très rares. Aujourd’hui, les enfants sont vaccinés à la naissance pour l’hépatite B. Aujourd’hui, c’est à deux mois, ils commencent leur long périple vaccinal avant que la barrière hémato-encéphalique soit complètement formée. Dans la littérature médicale du monde entier, il est facile de trouver pas mal d’articles qui établissent un lien entre les vaccinations et les dommages neurologiques. Avant les années 1940, l’autisme était extrêmement rare ; certains n’en avaient même jamais entendu parler. C’est au milieu des années 1940 que les programmes de vaccinations massives ont été lancés et que l’autisme est « né ». Au début, l’autisme n’est apparu que chez des enfants de familles riches, du fait que les vaccinations n’étaient pas gratuites ni parrainées par le gouvernement comme c’est le cas aujourd’hui. Plus tard, l’autisme est devenu une maladie qui a touché toutes les classes de la société (avec les programmes de vaccination subventionnés par le gouvernement.)
Au début, les psychiatres ont baptisé l’autisme « Syndrome de la mère- réfrigérateur ». Ils disaient que ces mères n’avaient guère de cœur ce qui favorisait le fait que son enfant se coupe de la société et devienne autiste. Des études n’ont cependant pas pu appuyer ces théories car de nombreuses familles n’avaient qu’un seul enfant autiste parmi d’autres enfants tout à fait normaux. Ces gens n’avaient pas compris que c’étaient les aiguilles froides des médecins qui provoquaient les problèmes et non le cœur froid des mères.
[…] Les enfants autistes produisent des anticorps qui vont attaquer leur propre cerveau, donc créer une maladie auto-immune. Singh a compilé l’étude anecdotique (non scientifique) de 88 enfants autistes dont les familles avaient pris contact avec lui. Parmi ces parents, 51% ont déclaré que les symptômes de l’autisme sont apparus peu de temps après la vaccination ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole). Pour 36% d’entre eux, les problèmes avaient commencé peu de temps après la vaccination DTC (Diphtérie, Tétanos, Coqueluche). Les preuves que présentent ces documents anecdotiques désignent clairement les vaccins comme étant la cause de l’autisme. La relation entre autisme et vaccination ne peut être niée.
Le vaccin contre la coqueluche est particulièrement neurotoxique. Il est utilisé dans les laboratoires pour provoquer des lésions cérébrales chez les animaux de laboratoire afin de pouvoir les étudier. Mais si c’est chez votre enfant qu’apparaissent des problèmes cérébraux après une vaccination DTC, votre médecin vous dira qu’il s’agit d’une coïncidence ou que c’est un problème génétique. On sait que les vaccinations ont contribué à augmenter les problèmes de démyélinisation, un processus lié à de nombreuses maladies neurologiques. La sclérose en plaques est en fait une maladie démyélinisante. La myéline est destinée à protéger le revêtement extérieur des neurones, comme le revêtement extérieur en plastic d’un fil électrique. Lorsque cette myéline est endommagée, des troubles neurologiques peuvent apparaître comme la sclérose en plaques, des paralysies ou des scléroses latérales amyotrophiques (SLA).- (Singh a mentionné l’autisme à la suite de troubles de démyélinisation). Dans ces cas, les nerfs sont en quelque sorte court-circuités et ne fonctionnent plus normalement.
Les encéphalites dues aux vaccinations sont beaucoup plus répandues que ce que peut imaginer le public étant donné que tous les vaccins sont neurotoxiques. Qu’un enfant développe une encéphalopathie à la suite d’un vaccin et qu’un autre enfant reste indemne n’est pas le problème. Tous les enfants sont touchés, mais certains le sont plus que d’autres. Si par exemple, un enfant présente des pleurs avec des cris perçants après un vaccin, la chose sera présentée comme étant une réaction normale et classée comme telle dans les textes médicaux. Mais si le même enfant a un développement plus lent de la parole, de l’apprentissage, de la marche, qui va pouvoir faire le lien ? Les enfants non vaccinés marchent plus tôt, parlent plus tôt, possèdent une dextérité manuelle plus avancée.
Leurs cerveaux ne sont pas attaqués par les neurotoxines que la plupart des enfants « normaux » reçoivent. Les vaccinations provoquent des œdèmes du cerveau ; ce sont en fait des « encéphalites » quel que soit le diagnostic…. Pendant la période qui succède aux vaccinations infantiles, le cerveau des enfants peut perdre de l’espace à l’intérieur du crâne, à cause de la compression due à l’œdème qui augmente. Pourquoi le cerveau d’une personne vaccinée gonflerait-il ? Les quatre points qui signalent une infection sont : la douleur, la rougeur, la fièvre et le gonflement. Les infections du cerveau peuvent aussi produire ces symptômes.
Sources :
Dr. Mercola
Expovaccins
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Par Life Stance Academy le 29 Mai 2018 à 09:14
Le cholestérol n’est PAS à l’origine des maladies cardiaques
Le cholestérol n’est pas le principal coupable dans une maladie cardiaque ou une maladie quelconque. S’il est oxydé, il peut irriter / enflammer des tissus dans lesquels il est déposé, comme l’endothélium (paroi des artères). Ce serait l’une des nombreuses causes de l’inflammation chronique qui peut nuire à la paroi des artères.
En fait, le cholestérol est transporté vers les tissus dans le cadre d’une réponse inflammatoire qui est là pour réparer les dégâts. La fixation sur le cholestérol comme une cause majeure de maladie du cœur défie les 15 dernières années de la science et détourne des vraies causes telles que les dommages (par l’intermédiaire de la glycation) que les sucres comme le glucose et le fructose infligent sur les tissus, y compris la paroi des artères, provoquant l’inflammation chronique et la plaque qui en résulte.
Le cholestérol accusé à tort?
Avant que nous puissions commencer à parler de la cause réelle des maladies du cœur et des vaisseaux et des traitements efficaces, nous devons d’abord regarder ce qui est connu, ou devrais-je dire ce que nous pensons que nous connaissons. La première chose qui vient à l’esprit quand on entend parler de la maladie cardiaque est presque toujours le taux de cholestérol. Le cholestérol et les maladies du cœur ont pratiquement été des synonymes durant les cinquante dernières années. Le cholestérol a été décrit comme le Darth Vader de nos artères et de notre cœur. (ndlr : l’Empire du Mal )
La dernière recommandation d’un soi-disant groupe de soi-disant «experts» formule que le taux de cholestérol d’une personne d’être aussi bas que possible, en fait, à un niveau si bas qu’ils disent qu’il ne peut pas être atteint par le régime alimentaire, l’exercice, ou de toute modification du mode de vie connue.
Par conséquent, ils disent que les médicaments abaissant le taux de cholestérol – en particulier les statines – doivent être donnés à quiconque à un risque élevé de maladie cardiaque. Puisque la maladie cardiaque est la première cause de décès dans ce pays, qui comprendrait la plupart des adultes et même de nombreux enfants.
Le fait que les ventes de statines aient atteint le chiffre de 26 milliards de dollars l’an passé n’a joué, j’en suis sûr, aucun rôle dans leurs recommandations. Ou cela a-t-il joué un rôle ?
Conflits d’intérêts entre experts
Les principaux groupes de consommateurs pensent que Oui. Ils ont constaté que huit des neuf «experts» à l’origine de ces recommandations étaient salariés des entreprises pharmaceutiques qui produisent ces médicaments. De grandes organisations scientifiques ont tancé les revues médicales pour avoir permis à l’industrie pharmaceutique de publier des résultats trompeurs et des demi-vérités. Il y a un mouvement très important en cours pour forcer l’industrie pharmaceutique (et les autres) à publier les résultats de l’ensemble de leurs études, et pas seulement celles qui semblent favorables.
Les études qui ont montré des résultats négatifs seraient forcées d’être également publiées. Il se pourrait que la réduction du cholestérol ne soit pas une aussi bonne chose pour la santé qu’on nous le dit. De plus en plus d’études viennent montrer à quel point la réduction du cholestérol peut être malsaine, notamment par l’utilisation des statines. Particulièrement, les statines se sont avérées nuisibles aux muscles causant des dommages considérables. Un des symptômes fréquents de ces dommages sont des douleurs et des maladies musculaires, bien que la plupart des patients ne se rendent pas compte que ces médicaments en sont responsables. Hmm … le cœur n’est-il pas un muscle?
Les statines, en réalité, augmentent les cardiopathies
En effet, il a été montré qu’un faible taux de cholestérol aggravent les patients avec une insuffisance cardiaque congestive, une maladie dans laquelle le cœur est trop faible pour pomper le sang efficacement. Il a été également montré que les statines provoquaient des lésions nerveuses et de nuisaient grandement à la mémoire.
Une des raisons des effets secondaires graves de ces médicaments est qu’ils inhibent une enzyme vitale qui fabrique le cholestérol dans le foie. En effet, la même enzyme est utilisée pour la fabrication de la coenzyme Q10 qui est biochimiquement nécessaire pour transférer l’énergie de la nourriture vers nos cellules, afin qu’elles restent en vie et en bonne santé. Les statines sont connus pour inhiber notre production essentielle de coenzyme Q10.
Surtout, alors que de nombreux cardiologues insistent sur le fait que l’abaissement du cholestérol est en corrélation avec une réduction du risque de crise cardiaque ; peu d’entre eux peuvent dire qu’il y a une réduction du risque de mortalité (décès). Cela a été beaucoup plus difficile à démontrer. En d’autres termes, il n’a jamais été formellement démontré que l’abaissement du cholestérol sauve des vies. En fait, plusieurs grandes études ont montré que l’abaissement du cholestérol dans la gamme actuellement recommandée est corrélée à un risque accru de mourir, en particulier du cancer.
Il n’y a pas de bon et de mauvais cholestérol
Regardons de plus près le cholestérol, ou, comme Paul Harvey a coutume de dire, « le reste de l’histoire. » D’abord et avant tout, le taux de cholestérol est un élément essentiel de chaque membrane cellulaire de la Terre. En d’autres termes, il n’y aucune vie sur Terre qui puisse exister sans cholestérol. Vous en déduirez automatiquement que, en lui-même, il ne peut pas être mauvais. En réalité, il est l’un de nos meilleurs amis. Rien d’étonnant à ce qu’une trop grande réduction du cholestérol augmente notre risque de mourir. Le cholestérol est également un précurseur de toutes les hormones stéroïdes. Vous ne pouvez pas faire de l’œstrogène, testostérone, cortisone, et une foule d’autres hormones vitales, sans cholestérol.
Le cholestérol est le bon, pas le méchant.
Il a été déterminé il y a plusieurs années que la plus grande partie du cholestérol dans notre sang provient de ce que votre foie fabrique et distribue. La quantité de cholestérol que l’on mange joue un faible rôle dans notre niveau de cholestérol sanguin. On sait également que le HDL transporte le cholestérol présent dans les tissus et les artères vers le foie. C’est pourquoi le HDL est appelé «bon cholestérol» parce qu’il est censé éloigner le cholestérol des artères. Mais voyons cela de plus près.
– Pourquoi votre foie doit-il s’assurer que vous avez du cholestérol en abondance ?
– Pourquoi est-ce que le HDL ramène-t-il le cholestérol vers votre foie ? – Pourquoi ne pas le prendre à vos reins, ou à votre intestin pour s’en débarrasser ?
Il est ramené vers votre foie afin que celui-ci puisse le recycler; il le transforme en d’autres particules qui seront utilisées par les tissus et les cellules qui en ont besoin. Votre corps essaie de produire et de conserver le cholestérol pour la raison précise qu’il est important, en réalité vital, pour la santé. Une des fonctions du cholestérol est d’empêcher vos membranes cellulaires de se désintégrer.
Ainsi, vous pouvez considérer le cholestérol comme une « super glue » de vos cellules. Il est un ingrédient indispensable à toute forme de réparation cellulaire.
La maladie coronarienne associée à des crises cardiaques est maintenant connue pour être causée par des dommages à la paroi de ces artères. Ces dommages provoquent une inflammation. La maladie coronaire à l’origine de crises cardiaques est maintenant considérée comme étant provoquée le plus souvent par l’inflammation chronique.
Qu’est-ce que l’inflammation ?
Pensez à ce qui se passe si vous vous coupez la main. En une fraction de seconde, des produits chimiques sont libérés par les tissus endommagés pour initier le processus appelé inflammation. L’inflammation permet à de petites coupures de guérir et, en fait, vous empêche de mourir. Les petits vaisseaux sanguins coupés se contractent pour vous empêcher de trop saigner. Le sang devient «épais» pour qu’il puisse se coaguler.
Les cellules et les produits chimiques du système immunitaire sont alertés et viennent sur place pour empêcher des intrus tels que les virus et les bactéries d’envahir la coupure. D’autres cellules sont appelées à se multiplier pour réparer les dommages de sorte que vous puissiez guérir. Lorsque la réparation est achevée, vous avez survécu une fois encore, bien qu’il vous reste une petite cicatrice en souvenir. Nous savons maintenant que des événements similaires se déroulent dans la paroi de nos artères. Lorsqu’un dommage se produit à la paroi de nos artères (voire ailleurs), des produits chimiques sont libérés pour engager le processus de l’inflammation. Les artères se contractent, le sang à de plus en plus tendance à se coaguler, les globules blancs sont appelés vers la zone endommagée pour engloutir des débris, et les cellules adjacentes à celles endommagées sont appelées à se multiplier. En fin de compte, sous forme de cicatrices, mais à l’intérieur de nos artères, nous l’appelons la plaque. Et la constriction de nos artères et l’ «épaississement» de notre sang nous prédisposent davantage à l’hypertension artérielle et aux crises cardiaques.
Ainsi quelle est la place du cholestérol dans tout ça ?
Si le dommage est survenu et que l’inflammation est mis en oeuvre, les produits chimiques sont libérés de sorte que les dommages peuvent être réparés. Dans ce cas, le cholestérol est fabriqué et distribué dans la circulation sanguine pour vous aider à réparer les tissus endommagés et, en fait, pour vous garder en vie. Si le dommage est tel qu’il est nécessaire de distribuer plus de cholestérol dans le sang, il ne semble pas très sage de simplement abaisser le taux de cholestérol et d’oublier pourquoi il est là en premier lieu. Il semble beaucoup plus intelligent de réduire les besoins supplémentaires en cholestérol – à l’origine de de l’inflammation chronique.
Alors pourquoi prendre des médicaments anti-cholestérol ?
Les sociétés pharmaceutiques ont pensé que vous pourriez y penser. Elles sont retournées à la planche à dessin. Elles poursuivirent leurs «recherche’» et trouvèrent (par hasard), que les statines avaient des effets anti-inflammatoires.
Par conséquent, nous continuons de préconiser nos médicaments réduisant le cholestérol parce que maintenant ils fonctionnent en réduisant l’inflammation, et peut-être même sans réduire le taux de cholestérol, et peut-être même en dépit de celui-ci.
L’aspirine réduit l’inflammation, pour beaucoup moins d’argent. Il en est de même de la vitamine E, des huiles de poisson et des modifications du régime alimentaire sans les dangers des médicaments et avec de nombreux bénéfices supplémentaires.
Sources :
Dr. Mercola
La grande supercherie du cholestérol
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Par Life Stance Academy le 28 Mai 2018 à 09:05
7 MALADIES QUE VOUS RISQUEZ SI VOUS NE DORMEZ PAS ASSEZ
Se coucher un peu trop tard, se réveiller un peu trop tôt… À mesure que les nuits trop courtes s’additionnent, la dette de sommeil grandit. Mais quel est le risque pour la santé d’un manque de sommeil sur le long terme ? Medisite a interrogé le docteur Lefrançois sur l’impact d’un sommeil insuffisant sur la santé.
Comment reconnaître un manque de sommeil ?
Six heures, sept heures, huit heures par nuit... Comment savoir si nos nuits sont suffisamment longues ? "Le manque de sommeil est une notion très subjective car les besoins diffèrent selon les personnes : chacun naît petit ou gros dormeur, couche-tôt ou couche-tard" nous explique le docteur Jérôme Lefrançois, médecin généraliste co-auteur du livre Le sommeil : mieux dormir (Editions Alpen, 2016). Mais actuellement, le problème le plus fréquent dans notre société est de se coucher trop tard par rapport à notre horloge biologique. Ainsi, "en Occident, il nous manque en moyenne une heure à une heure et demie de sommeil par nuit et cela se fait au dépend du premier cycle du sommeil qui est pourtant le plus important" déplore le médecin.
À savoir : Un sommeil suffisant en qualité et en quantité se traduit par "un réveil frais et dispo en fin de nuit et par l’absence de coup de fatigue dans la journée, à l’exception d’une éventuelle petite somnolence en début d’après-midi" détaille le docteur Lefrançois.
À l’inverse, les symptômes d’une carence en sommeil regroupent "une sensation de fatigue au réveil, l’impression de ne pas avoir récupéré et la sensation d’avoir mal dormi avec le souvenir de s’être réveillé à plusieurs reprises dans la nuit et d’avoir beaucoup bougé". Dans la journée, cela se traduit par une difficulté à se concentrer, une irritabilité et des coups de somnolence. Si une carence en sommeil cause un inconfort diurne et représente même un danger pour certains travailleurs, elle possède également des conséquences sur la santé à moyen et long terme.
Sommeil et stress chronique
Un des premiers marqueurs d’une dette de sommeil en dehors de la somnolence est la survenue de problèmes anxio-dépressifs.
L’explication du médecin : "Le cerveau émotionnel se rééquilibre pendant la nuit. Un manque de sommeil empêche ce rééquilibre et occasionne alors une anxiété, une irritabilité voire une dépression sur le long terme, qui conduisent eux-mêmes à une hausse du stress et du nombre de conflits avec l’entourage" détaille le docteur Lefrançois. "Or le stress chronique nuit au sommeil et un cercle vicieux se met alors en place" ajoute-t-il.
Sommeil et diabète
Une accumulation de carence en sommeil peut conduire progressivement à la survenue d’un diabète.
Pourquoi ? "L’ensemble des sécrétions hormonales est régulé dans le cerveau pendant le sommeil. Un manque de sommeil quantitatif entraine un trouble du métabolisme glucidique, c’est-à-dire de la transformation des sucres par le corps. À long terme, le risque d’établissement d’un diabète augmente, d’abord à cause d’une baisse de sensibilité à l’insuline (l’hormone qui permet d’abaisser le taux de sucre dans le sang et de le stocker dans les cellules adipeuses, ndlr) puis d’un problème de sécrétion d’insuline." répond le docteur Lefrançois.
Sommeil et surpoids
Pourquoi risque-t-on de prendre du poids quand on manque de sommeil ? Tout d’abord, "les hormones régulatrices du métabolisme et de la satiété sont fabriquées la nuit" dévoile le docteur Lefrançois. Des nuits trop courtes sont donc liées à des taux d’hormones plus faibles et cela peut perturber la prise alimentaire notamment si la leptine, l’hormone de la satiété, est présente en faible quantité dans l’organisme. Concrètement, "si on manque de sommeil, on mange plus car les hormones de la satiété fonctionnent moins bien" précise le médecin.
En parallèle, "un manque de sommeil est à l’origine de troubles d’utilisation des graisses par le corps, ce qui augmente le taux sanguin de triglycérides et occasionne une prise de poids progressive" constate le docteur Lefrançois.
À noter : "La prise de poids s’accompagne de la survenue graduelle d’une hypertension artérielle", un facteur de maladies cardiovasculaires telles que l’accident vasculaire cérébral, l’infarctus du myocarde ou encore l’insuffisance cardiaque.
Sommeil et troubles digestifs
Nuits trop courtes et problèmes de digestion vont souvent de pair.
Pourquoi ? "Un manque de sommeil s’accompagne souvent de choix alimentaire inappropriés en quantité et en qualité puisque les hormones de satiété dysfonctionnent" note le docteur Lefrançois. "À cela s’ajoute un impact négatif du stress lié au manque de sommeil sur le tube digestif, et ces facteurs mènent à la survenue de reflux gastro-œsophagiens, de gastrites, de colites, de troubles du transit ou encore de dyspepsie, caractérisée par une lourdeur de l’estomac, des éructations et un ralentissement de la digestion" détaille le médecin.
Sommeil et infections virales et bactériennes
Une accumulation de nuits trop courtes suffit pour que vous attrapiez un rhume ? C’est logique, selon le docteur Lefrançois : "Nos défenses immunitaires se refont une santé au début du sommeil lent et profond. Un manque de sommeil crée donc une chute de l’immunité et accroit la vulnérabilité aux infections virales et bactériennes."
À long terme, cette baisse de l’immunité se traduit par "une plus grande vulnérabilité aux cancers, aux maladies auto-immunes, aux maladies de peau ou encore aux problèmes de thyroïde" déplore le médecin.
Outre la baisse des défenses immunitaires, "le manque de sommeil affaiblit également le processus de cicatrisation et de réparation des microtraumatismes vécus dans la journée au niveau des ligaments, des os, des articulations ou même du cerveau via les agressions chimiques, mécaniques et psychologiques" nous explique le docteur Lefrançois.
Sommeil et maladie d’Alzheimer
"Le sommeil a pour but de réparer ce qu’il s’est passé dans la journée précédent la nuit et de capitaliser l’énergie suffisante pour affronter celle du lendemain" relève le docteur Lefrançois.Mais s’il est insuffisant en quantité ou en qualité, certains processus de réparations ne se dérouleront pas correctement. C’est notamment le cas au niveau du cerveau : "Pendant la nuit, le cerveau élimine les déchets chimiques de la journée précédente, sans quoi ils risquent de s’accumuler. Et une quantité trop élevée de déchets serait associée à une prédisposition à la maladie d’Alzheimer", note le médecin.
Sommeil et vieillissement accéléré
Sous l’effet d’un manque de sommeil se produit une hausse du stress oxydatif, "un phénomène d’agression chimique de l’organisme" constate le docteur Lefrançois. "Habituellement, ce type d’agression est réparé pendant la nuit. Mais en cas de manque de sommeil, le stress oxydatif grandit et entraîne des conséquences néfastes sur le corps comme des pathologies cardiovasculaires, un cancer, des maladies inflammatoires… en somme un vieillissement accéléré du corps" détaille le médecin.
Comment ne plus manquer de sommeil ?
Face à la diversité des maladies liées à un manque de sommeil, comment pouvons-nous agir ? "Pour rembourser sa dette de sommeil, la meilleure solution est de dormir correctement en donnant la priorité au sommeil dans une société où les tentations qui rognent notre temps de sommeil sont nombreuses" conseille le docteur Lefrançois. Il ajoute qu’un bon moyen de combler un manque de sommeil est de "faire une sieste, voire plusieurs siestes de 10 à 15 minutes dans la journée, car la sieste est un palliatif efficace et rapide pour gérer une quantité de sommeil insuffisante à très court terme".
Enfin, selon le docteur Lefrançois, de nombreux problèmes médicaux et psychologiques pourraient se résoudre simplement "en dormant mieux et plus longtemps". Car "le corps et le cerveau savent se réparer seuls pendant la nuit"… à condition de leur en laisser le temps.
Publié par Laurène Levy, journaliste santé et validé par Dr Jérôme Lefrançois, médecin généralisteSources : Merci au docteur Jérôme Lefrançois, médecin généraliste, nutritionniste et membre de la Société française de recherche et de médecine du sommeil (SFRMS), co- auteur avec Véronique Deschamps, psychothérapeute, du livre Le sommeil : mieux dormir(Editions Alpen, 2016).
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Par Life Stance Academy le 27 Mai 2018 à 08:02
Comment traiter les hernies de manière efficace
avec des remèdes maisons
Même s’il est toujours recommandé de consulter un spécialiste pour traiter les hernies, vous pouvez également profiter des propriétés naturelles de certains remèdes maison pour soulager leurs symptômes.
Une hernie correspond à la sortie d’un organe en dehors de la cavité où il se trouve normalement. Les hernies se produisent généralement lorsqu’une partie du tissu de l’organisme se dilate ou pénètre à l’intérieur d’une région musculaire affaiblie.
En théorie, les hernies peuvent apparaître n’importe où dans le corps, mais elles sont plus fréquentes dans l’abdomen, entre les côtes et au niveau de l’aine.
Si vous avez remarqué une protubérance quelque part dans votre corps, vous pouvez avoir une hernie. Surtout, si vous l’observez après avoir fait un mouvement forcé ou avoir soulevé trop de poids. Puisque c’est l’une des causes les plus fréquentes de hernies.
Dans ce cas vous devrez réaliser des examens spécifiques pour déterminer s’il s’agir d’une hernie. Par ailleurs, vous pouvez aussi recourir à ces remèdes naturels simples et efficaces pour soulager leurs symptômes.
Les différents types de hernies
Nous pouvons classifier les hernies en quatre grands groupes :
- Hernies inguinales et crurales. Ce sont les hernies les plus courantes et se produisent dans la région de l’aine. Une hernie inguinale est plus fréquente chez les hommes et peut descendre parfois jusqu’aux testicules. Une hernie crurale apparaît lorsqu’une partie de l’intestin forme une protrusion dans le passage qui est normalement utilisé par les gros vaisseaux sanguins entre l’abdomen et la jambe.
- Hernies ombilicales et épigastriques. Ces hernies sont très fréquentes et, comme leur nom l’indique, apparaissent au niveau du nombril ou au-dessus. Leur origine est presque toujours liée à la grossesse ou à une prise de poids.
- Eventrations. Ce sont des hernies qui apparaissent sur les cicatrices d’anciennes opérations. Dans la plupart des cas, elles se développent à cause d’une mauvaise cicatrisation lors de la première intervention. Elles se déclenchent souvent en raison de saignements, d’abcès ou d’efforts incontrôlés qui ont provoqué une mauvaise cicatrisation.
- Autres hernies. Il existe beaucoup d’autres types de hernies, qui sont moins fréquentes, telles que les hernies pararectales, les hernies de Spiegel ou les hernies lombaires. Elles sont habituellement provoquées par un effort physique excessif.
Information générale sur les hernies
Lorsque vous souffrez d’une hernie, voici ce qui se passe habituellement :
- Dans la plupart des cas, vous notez l’apparition d’une grosseur de manière soudaine. Cet état vous obligera à réaliser plus d’efforts pour vous lever. En position couchée, les hernies légères disparaissent assez rapidement et se replacent de maniéré naturelle.
- Parfois, leur volume est plus important, ce qui empêche les hernies de revenir à l’intérieur de la cavité abdominale. Elles sont généralement plus douloureuses.
- Il est important de savoir que lorsque les hernies font très mal, elles peuvent s’étrangler. Dans ce cas, il faut consulter immédiatement le spécialiste.
De plus, il faut savoir que nous sommes tous exposés à l’apparition de hernies. Pour cette raison, vous devez particulièrement faire attention aux positions et aux mouvements que vous réalisez pour éviter leur apparition.
La médecine naturelle sera toujours une alternative pour combattre les symptômes de nombreuses maladies ou affections de l’organisme.
Si vous souffrez un jour d’une hernie, vous pourrez avoir recours à des remèdes naturels pour soulager leurs symptômes. Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des remèdes naturels les plus efficaces que vous pourrez préparer chez vous pour améliorer cet état.
Notez bien les différents remèdes naturels qui vous aideront à soulager les symptômes des hernies de manière efficace.
Argile, vinaigre et chou pour traiter les hernies
L’argile est très bénéfique car, tout en absorbant l’eau et les toxines, elle fournit une grande quantité et variété de minéraux à travers les pores de la peau.
Le vinaigre, surtout s’il s’agit du vinaigre de pomme, est un aliment qui régule le pH, active la circulation et réduit l’inflammation.
Le chou possède aussi de nombreux bienfaits parmi lesquelles il faut souligner ses propriétés anti-inflammatoires et analgésiques. Celles-ci auront pour effet de vous aider à calmer de nombreux malaises et inflammations.
Ingrédients
- 5 cuillères à soupe de poudre d’argile (100 g)
- 2 cuillères à soupe de vinaigre de cidre (30 ml)
- 1 verre d’eau (200 ml)
- 2 ou 3 feuilles de chou
Les quantités que vous devrez utiliser dépendront de la taille de la zone touchée par l’inflammation. Vous pourrez les varier aussi longtemps que vous conserverez les proportions indiquées.
Élaboration et application
- Mélangez l’argile, le vinaigre et l’eau. Utilisez de préférence des ustensiles et des récipients en verre et en céramique, mais pas de plastique ni de métal pour ne pas réduire les propriétés de l’argile.
- Vous obtiendrez une masse crémeuse prête à l’application. Si elle est trop liquide, vous pourrez utiliser un peu d’argile. Si, au contraire, elle est trop solide, vous ajouterez un peu plus d’eau.
- Au moment d’utiliser ce remède, vous devrez ébouillanter les feuilles de chou. C’est-à-dire que vous les introduirez quelques secondes dans l’eau bouillante.
- Appliquez ce remède sur toute la zone enflammée. Puis, placez dessus les feuilles de chou chaudes en faisant attention de ne pas vous brûler.
- Laissez agir pendant une demi-heure ou jusqu’à ce que l’argile sèche.
- Vous pouvez répéter l’application deux ou trois fois par jour, jusqu’à ce que vous notiez une nette amélioration.
Infusion de curcuma pour traiter les hernies
La racine de curcuma, grâce à ses propriétés analgésiques et anti-inflammatoires, est une excellente option pour soulager la douleur et l’inflammation provoquée par les hernies.
Ingrédients
- 1 cuillère à soupe de racine de curcuma (15 g)
- 1 tasse d’eau (250 ml)
Préparation
- Chauffez l’eau avec la racine de curcuma et portez-la à ébullition.
- Attendez 3 minutes après le début de l’ébullition.
- Retirez du feu et laisser reposer la préparation.
- Buvez-la pendant que l’infusion est encore chaude.
Il existe de nombreuses plantes naturelles qui possèdent des propriétés anti-inflammatoires et analgésiques. Elles vous seront très utiles pour traiter ce type de symptômes associés aux hernies. N’oubliez pas de rester attentif aux conseils fournis pour éviter les douleurs provoquées par les hernies.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 24 Mai 2018 à 09:17
Si vos reins sont en danger, le corps va vous donner ces 8 signes !
Les organes vitaux suivants sont localisés juste sous la cage thoracique. Ils sont responsables du nettoyage et de la détoxification, à savoir le filtrage de 10 à 150 litres de sang par jour. Cela est essentiel pour toutes les fonctions du corps et maintenir aussi le sang en bonne santé. Les reins sont responsables des fluides ou des déchets excessifs de l’organisme. Ils régulent les niveaux d’électrolytes et maintiennent les os en bonne santé et forts, fabriquent plus de globules rouges et stabilisent la pression artérielle.
Si les reins sont en difficulté et ne peuvent plus fonctionner, comme d’habitude, la santé a de gros problèmes. Lisez attentivement pour reconnaître et prévenir les problèmes liés aux lésions ou à l’insuffisance rénale.
1. Gonflements
Lorsque les reins commencent à échouer dans leur « travail », ils peuvent de moins en moins se débarrasser de l’excès de fluides et cela va rendre le visage gonflé et bouffi, ainsi que les articulations et les membres.
2. Changements dans la miction
Les premiers signes les plus évidents sont les suivants:
- Difficulté à uriner
- Pression pendant le processus
- Urine foncée, uriner moins souvent et en petites quantités
- Couleur pâle de l’urine, souvent et en grandes quantités
- Urine mousseuse
- Beaucoup envie d’uriner pendant la nuit
3. Éruptions cutanées
L’accumulation de déchets dans notre corps peut être liée à une insuffisance rénale – la peau a beaucoup d’éruptions cutanées et de démangeaisons. Tous les déchets s’entassent dans le sang et rend la peau malsaine, sèche et irritée. Les lotions, crèmes et cosmétiques peuvent soulager un peu, mais ne résolvent pas le problème qui vient de l’intérieur – SI l’éruption est directement causée par les problèmes rénaux, bien sûr.
4. Fatigue
Si les reins sont en bonne santé, ils produisent de l’EPO (érythropoïétine), une hormone qui fabrique plus de globules rouges qui apportent de l’oxygène là où c’est nécessaire. Si le nombre de globules rouges diminue, la fatigue se produit et cela aura un impact sur le cerveau et aussi sur les muscles. C’est aussi un signe d’anémie sévère.
5. Essoufflement
C’est un problème courant, mais il pourrait être lié aux lésions rénales. Si le corps n’a pas assez d’oxygène, c’est à cause du faible nombre de globules rouges qui délivrent l’oxygène partout. La quantité de ces cellules sanguines est liée aux toxines nuisibles qui s’accumulent dans les poumons.
6. Goût de métal dans la bouche / goût métallique
Les déchets accumulés dans le sang vont changer votre goût des aliments et même causer la mauvaise haleine tout le temps. Un autre signe de lésions rénales sont des changements marqués dans les préférences alimentaires ou le manque d’appétit.
7. Douleur
La douleur dans le haut du dos ou au niveau des reins est un autre symptôme de cette condition. La douleur peut être déclenchée encore plus par des infections ou des calculs rénaux.
8. Mauvaise concentration et étourdissements
Un mauvais débit d’oxygène au cerveau est un signe clair d’anémie grave, mais aussi d’insuffisance rénale. Cela perturbera l’attention et la concentration, vous rendant étourdi et avec des vertiges et provoquera des troubles de la mémoire.
Incorporez des aliments plus sains dans votre alimentation et consommez plus d’aliments ou de suppléments antioxydants. De cette façon, vos reins fonctionneront au mieux et traiterons beaucoup de toxines également.
Sources : www.fhfn.org
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Par Life Stance Academy le 22 Mai 2018 à 08:39
Pourquoi inclure la carotte dans votre régime alimentaire ?
Bien qu'elles soient bien connues pour leur contribution en bêta-carotène, les carottes ont de nombreux autres avantages pour notre santé en général. Elles devraient donc faire partie intégrante de notre alimentation.
La carotte est un légume très sain et un élément important à ajouter à une alimentation saine et équilibrée. Inclure la carotte dans l’alimentation vous apportera de nombreux bienfaits, grâce à son apport en nutriments essentiels.
Parmi les variétés de carottes, on trouve des carottes blanches, jaunes et même violettes. Cependant, les carottes oranges sont les plus connues et les plus communes.
Son goût agréable et frais permet d’inclure facilement dans une large gamme de recettes, qu’il s’agisse de ragoûts, de soupes ou de desserts.
Propriétés nutritionnelles des carottes
En pourcentage de leur poids, les carottes contiennent 90 % d’eau, 7 % de glucides, près de 1 gramme de protéines végétales et près de 3 grammes de fibres. De plus, elles sont riches en minéraux tels que :
- Potassium
- Sodium
- Phosphore
- Calcium
- Magnésium
- Fer
- Zinc
- Iode
- Sélénium
En termes de vitamines, les carottes contiennent de bonnes quantités de vitamines C et A, ainsi que des vitamines du groupe B (B3, B6, B1, B2, acide folique ou vitamine B9). Enfin, la valeur calorique des carottes est de 35 kcal pour 100 grammes.
Avec tous ses nutriments, la carotte apporte d’importants bienfaits pour la santé. Ci-dessous, nous vous montrons quelques-unes des plus remarquables.
Évite les problèmes oculaires
C’est l’effet bénéfique le plus célèbre de la carotte. Sa haute teneur en vitamine A aide à prévenir les problèmes oculaires qui, logiquement, affecteront négativement la vue.
Parmi ces problèmes, la carotte prévient la cataracte, la dégénérescence de la macula ou la cécité nocturne.
Bien sûr, les carottes ne peuvent pas guérir des problèmes tels que la myopie ou l’astigmatisme, mais leurs effets bénéfiques sur les yeux peuvent prévenir une foule de problèmes.
Prévient les maladies cardiovasculaires
L’inclusion de la carotte dans votre alimentation peut réduire le risque de maladies cardiovasculaires jusqu’à 32 %. Ceci est dû aux propriétés antioxydantes et aux vitamines présentes dans ce légume.
Elle facilite le nettoyage des artères et prévient l’accumulation de plaques graisseuses.
Améliore la santé des os
Les carottes sont riches en calcium, magnésium et vitamine C. Ainsi, en les incluant dans votre alimentation, vous favorisez une meilleure assimilation du calcium, ainsi qu’une bonne reconstruction et un bon entretien des os et des dents.
Ceci, préviendra les fractures possibles et la perte de collagène, car cela vous aidera à augmenter la résistance de ces parties du corps.
Favorise un bon contrôle du cholestérol
En plus des effets bénéfiques des carottes sur la santé cardiovasculaire, ce légume aide l’organisme à réduire l’excès de cholestérol dans le sang.
Ceci est dû à sa teneur élevée en fibres solubles, en particulier la pectine, qui empêche l’accumulation de graisse dans les parois des artères. Cela favorise également l’élimination de cette graisse et la réduction de la pression artérielle.
Bénéfices contre la constipation
Comme mentionné ci-dessus, inclure des carottes dans votre régime alimentaire vous donnera une quantité considérable de fibres.
Ces nutriments sont très bénéfiques contre la constipation, et leur haute teneur en minéraux aidera aussi à prévenir et à réduire les maux d’estomac. La carotte est donc un aliment fortement recommandé pour les personnes souffrant de gastrite.
Prévient l’apparition du cancer et des tumeurs
Les carottes entières cuites aident à améliorer l’absorption du falcarinol dans le tube digestif. Ce composé protège notre organisme de l’attaque de divers types de champignons, ce qui pourrait entraîner l’apparition de certaines tumeurs.
D’autre part, manger des carottes crues aide à prévenir des problèmes graves comme le cancer du sein.
Propriétés diurétiques
La forte teneur en eau des carottes et leur grande variété de sels minéraux aide à désintégrer les calculs rénaux. Cela fait de la carotte un élément très commun dans les régimes purificateurs.
Pour toutes ces raisons, inclure des carottes dans votre alimentation vous apportera beaucoup d’effets bénéfiques et sera une source abondante de vitamines et de sels minéraux.
Comme beaucoup d’autres légumes, cet aliment est un ingrédient commun à tout plat sain et un élément essentiel d’une alimentation équilibrée.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 19 Mai 2018 à 08:08
5 stratégies naturelles pour contrôler un cholestérol élevé
Bien que certains cas de cholestérol élevé exigent un traitement pharmacologique, dans la plupart des cas il est possible de contrôler son taux grâce à des stratégies naturelles. Avoir une alimentation équilibrée et éviter les habitudes nocives, telles que le tabac, en font partie.
Pour contrôler un taux de cholestérol élevé, il n’est pas toujours nécessaire d’avoir recours à des traitements pharmacologiques. Il existe des stratégies 100 % naturelles qui aident à réduire le taux de cholestérol.
Il est essentiel de surveiller son cholestérol, afin d’éviter le développement d’autres complications graves, telles que l’athérosclérose, l’insuffisance circulatoire, ou encore les attaques cardiaques.
Le problème avec le cholestérol, c’est qu’il fait partie de ce qu’on appelle les « assassins silencieux » du corps. Il ne se manifeste pas de façon évidente dès les premières phases. C’est pourquoi il est essentiel d’être attentif aux éventuels signaux d’alerte et, surtout, de faire des contrôles médicaux de façon régulière.
Voyons ensemble, dans cet article, les aspects les plus importants de la maladie, ainsi que quelques recommandations pour contrôler le cholestérol via un mode de vie sain.
Prenez des notes !
Que signifie avoir un cholestérol élevé ?
Le cholestérol élevé est un trouble métabolique dont le terme médical est hypercholestérolémie : ce trouble apparaît lorsque le taux de lipides dans le sang dépasse les 200 mg/dl. Le cholestérol est produit naturellement dans le foie, mais il également possible d’en absorber via certains aliments qui contiennent abondamment cette substance.
On le trouve dans toutes les membranes cellulaires, et une certaine quantité de cholestérol est utilisée pour la synthèse de quelques hormones, pour l’absorption de la vitamine D, et pour la formation des sels biliaires. Selon sa composition, voici les différents types de cholestérol :
- lipoprotéine de haute densité (HDL) – le cholestérol dit « bon »
- lipoprotéine de basse densité (LDL) – le cholestérol dit « mauvais »
- cholestérol total (les deux types combinés)
Bien qu’il s’agisse d’une substance très importante dans le corps, un taux trop élevé entraîne de graves conséquences pour la santé, notamment parce que cela engendre habituellement la formation de plaques qui obstruent les artères. Un manque de contrôle augmente le risque de troubles cardiovasculaires graves, tels que les attaques cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, ou l’angine de poitrine.
De plus, sur le long terme, un taux trop élevé compromet les fonctions d’autres organes vitaux, tels que le foie et les reins.
Les symptômes d’un taux de cholestérol élevé
Nombreuses sont les personnes qui ne contrôlent pas leur cholestérol élevé, tout simplement parce qu’il n’a pas été détecté, et ce, en raison de l’absence de symptômes clairs. Généralement, ces symptômes se manifestent lorsque la maladie est à un stade plus ou moins avancé.
Les symptômes les plus communs sont :
- une sensation de lourdeur abdominale
- des gaz
- une mauvaise haleine
- une inflammation au niveau des articulations
- une douleur à la poitrine
- des maux de tête, des migraines
- des allergies cutanées
- une digestion lente
- la perte d’équilibre
- des nausées
- une vision floue
- une sensation de fatigue
Les meilleures stratégies pour contrôler un cholestérol élevé
Certains cas d’hypercholestérolémie sont d’origine génétique et exigent une attention médicale et pharmacologique, afin de réduire le risque de complications.
En ce qui concerne les cas les plus légers, ceux qui sont la conséquence d’un mode de vie pas très sain, il est possible de contrôler le cholestérol en adoptant des habitudes de vie saines.
1. Faire de l’exercice
L’exercice physique est l’un des meilleurs alliés pour contrôler le cholestérol élevé. Grâce au sport, les mauvaises graisses se décomposent plus facilement, et parallèlement, la synthèse des bonnes graisses augmente.
Il est essentiel de souligner qu’une activité physique est indispensable pour éviter le surpoids et l’obésité, ainsi que des troubles étroitement liés à ce problème.
2. Consommer des acides gras oméga-3
Les acides gras oméga-3 se trouvent dans de nombreux aliments qui apporte des bienfaits pour la santé cardiovasculaire, tels que les poissons, les graines et les fruits secs, entre autres.
L’assimilation de ces acides dans l’organisme augmente la présence de lipides qui nettoient les artères, et, par conséquent, favorise la réduction du cholestérol élevé.
3. Augmenter sa consommation de protéines végétales
Les protéines ne doivent jamais manquer dans son alimentation : ce macronutriment intervient dans de nombreux processus de l’organisme qui sont déterminants pour une bonne qualité de vie.
L’inconvénient est que de nombreuses sources en protéines sont d’origine animale, lesquelles contiennent beaucoup de cholestérol. C’est pourquoi il est préférable de consommer plus de protéines d’origine végétale.
Voici les options les plus recommandées :
- le soja et dérivés
- les lentilles
- les haricots
- les fruits secs
- le riz
- la spiruline
- la maca
- les petits pois
4. Consommer la dose de fibres recommandée
Les aliments riches en fibres, tels que les céréales complètes et les légumes, sont essentiels pour contrôler le cholestérol via l’alimentation. Les fibres solubles en particulier aident à réduire l’absorption du cholestérol dans l’intestin, empêchant qu’il soit réabsorbé dans le sang.
Les aliments suivant contiennent également des fibres :
- les graines et les fruits secs
- les légumineuses
- les algues
- les tubercules
5. Éviter la consommation de tabac
Il est plus difficile pour un fumeur de contrôler un cholestérol élevé. Cet ennemi de la santé concentre environ 19 substances chimiques qui interfèrent de multiples façons dans les fonctions vitales du corps.
Une consommation excessive compromet la santé circulatoire et accélère le dommage artériel causé par l’accumulation du cholestérol.
Vous avez un taux de cholestérol élevé ? Vous présentez des facteurs de risque ? Attention ! Suivez nos simples recommandations, afin d’éviter une maladie plus grave.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 18 Mai 2018 à 08:21
Découvrez les 8 premiers symptômes du diabète
Si nous identifions certains de ces symptômes du diabète, il est important de consulter le médecin pour effectuer les tests pertinents et confirmer ou bien écarter le diagnostic.
Le diabète mellitus ou sucré désigne les troubles qui affectent la façon dont l’organisme utilise le glucose dans le sang. Peu importe comment il se manifeste, l’apparition de diabète signifie qu’il y a une accumulation excessive de sucre dans le corps.
Lorsque l’organisme ne parvient pas à traiter correctement le glucose, des conséquences graves peuvent survenir pour notre santé car celui-ci interfère avec les fonctions d’autres organes.
La détection du diabète réalisée à temps est la clé de la réussite du traitement. Pour cette raison, nous examinerons dans cet article les causes et les symptômes précurseurs qui peuvent aider à identifier cette maladie.
Quelles sont les causes du diabète ?
Le diabète se manifeste lorsque l’organisme ne produit pas assez d’insuline ou perd sa capacité à l’utiliser de manière optimale.
L’insuline est une substance qui provient du pancréas, dont la fonction principale est de réduire la quantité de glucose dans le sang.
- Jusqu’à présent, il n’existe pas de cause précise qui puisse expliquer le développement du diabète de type 1. Apparemment, cela est dû à un manque de contrôle du système immunitaire, qui conduit à l’autodestruction des cellules qui produisent l’insuline dans le pancréas.
- Le prédiabète et le diabète de type 2 surviennent lorsque les cellules deviennent résistantes à l’insuline et que le pancréas n’en produit pas assez pour empêcher leur développement.
- Les changements hormonaux de la grossesse produisent une résistance des cellules à l’insuline. Si le pancréas ne génère pas la quantité nécessaire d’insuline, le glucose s’accumule dans le sang et le diabète gestationnel peut se produire.
Les premiers symptômes du diabète
Une grande variété de manifestations initiales du diabète peut facilement se confondre avec d’autres maladies. Pour cette raison, une fois que nous les avons identifiés, il est conseillé de réaliser des examens médicaux pertinents pour confirmer le diagnostic.
1. Soif excessive
Lorsque le glucose n’est pas utilisé correctement, son accumulation dans le sang peut entraîner une déshydratation. Cet état modifie la production normale de salive et augmente la sensation de soif.
2. Miction fréquente
Les patients atteints de diabète souffrent généralement de mictions fréquentes en raison de l’effort que les reins réalisent pour essayer de filtrer l’excès de sucre dans le sang.
Cette substance retenue dans le corps diminue la capacité à décomposer les toxines et provoque des difficultés dans les fonctions du système urinaire.
3. Troubles du sommeil
Lorsque les taux élevés de sucre dans le sang ne sont pas contrôlés à temps, la personne commence à éprouver des troubles du sommeil continus.
Le diabète de type 2 s’accompagne habituellement d’insomnie ou de certaines interruptions pendant la période de repos.
4. Cicatrisation lente
L’un des principaux signes de diabète est l’apparition de lésions ou d’ulcères sur la peau. Celles-ci sont généralement très longues à cicatriser et ne cicatrisent même parfois pas du tout.
5. Infections urinaires
Si le corps réduit sa capacité à utiliser le glucose dans le sang, le système immunitaire s’affaiblit. Ceci, ajouté aux effets subis par les reins, augmente la possibilité de souffrir d’infections des voies urinaires.
6. Problèmes des pieds
Les diabétiques doivent faire extrêmement attention à l’état de leurs pieds. En cas de diabète, cette partie du corps est particulièrement sujette aux problèmes circulatoires, à la rétention d’eau et à d’autres types de symptômes qui les affectent petit à petit.
7. Vision floue
La déshydratation produite par un taux élevé de sucre peut aussi influencer l’apparition de problèmes de vision. En outre, cela endommage très souvent les vaisseaux sanguins et diminue également la capacité à se concentrer.
8. Peau sèche
Le développement du diabète provoque de manière parallèle des problèmes circulatoires qui affectent la santé de la peau. C’est pourquoi, les patients affectés souffrent souvent de sécheresse et de perte de fermeté de la peau.
Comment diagnostiquer le diabète ?
Si vous craignez de souffrir de diabète, il est très important de consulter votre médecin dès que possible. Après avoir reçu un diagnostic, vous pourrez accéder à un traitement pour réduire l’impact négatif que le diabète produit sur l’organisme.
Le médecin peut vous suggérer les tests suivants pour confirmer la maladie :
- Test de de l’hémoglobine glyquée (A1C). Il s’agit d’une analyse qui indique le taux moyen de sucre dans le sang des deux ou trois derniers mois.
- Examen aléatoire de sucre dans le sang.
- Test du taux de sucre dans le sang réalisé à jeun.
- Contrôle de la tolérance au glucose par voie orale.
Une fois le diagnostic confirmé, la personne affectée doit s’engager à améliorer de manière globale son style de vie.
De plus, les patients atteints de diabète devront suivre régulièrement les médicaments prescrits, ce qui leur permettra également de jouir d’une meilleure qualité de vie.
Le diabète est une maladie qui peut affecter sérieusement la qualité de vie des personnes affectées. Avant d’apparaître en tant que tel, le diabète peut dévoiler certains symptômes que nous devons être en mesure de reconnaître afin d’obtenir un diagnostic précoce et d’accéder à un traitement adéquat.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 17 Mai 2018 à 07:45
Pourquoi la médecine ne veut-elle pas guérir le cancer ?
Imaginez qu’un avion commercial s’écrase et qu’il y a des décès. Vous pouvez être sûr que l’accident fera la une de tous les grands journaux. Eh bien, CHAQUE JOUR l’équivalent de 8 à 10 avions complets « s’écrasent », les passagers mourant tous du cancer.
La médecine occidentale est bien loin de trouver un « remède contre le cancer », tandis que le cancer est devenu une épidémie mondiale aux proportions gigantesques. Les statistiques parlent d’elles-mêmes :
- Au début des années 1900, une personne sur 20 développait un cancer
- Dans les années 1940, une personne sur 16 développait un cancer
- Dans les années 1970, c’était une personne sur 10
- Aujourd’hui, c’est une personne sur trois !
L’épidémie de cancer est un rêve pour les grandes sociétés pharmaceutiques et leurs campagnes pour réduire au silence les remèdes contre le cancer ont été féroces, fait qui est très bien raconté dans le film documentaire, Le Cancer : les remèdes interdits.
La machine à cancer
Il faut comprendre que le cancer est une grosse affaire. L’industrie du cancer ne dépense presque rien de ses ressources de plusieurs milliards de dollars pour les stratégies de prévention efficaces, telles que les directives alimentaires, les exercices et l’éducation contre l’obésité. Au lieu de cela, l’industrie dirige son argent vers le traitement du cancer, et non vers la prévention ou la guérison.
Pourquoi tuer leur vache à lait ? S’ils peuvent garder en marche la machine à cancer bien huilée, ils vont continuer à faire des profits énormes grâce aux chimiothérapies, à la radiothérapie, aux procédures de diagnostic et interventions chirurgicales.
Le patient cancéreux moyen dépensera 50.000 $ dans sa lutte contre la maladie. Les chimiothérapies sont parmi les plus chers de tous les traitements, la plupart coûtant de 3.000 $ à 7.000 $ par mois..
Si l’industrie du cancer permettait la guérison, alors ses patients de base disparaîtraient. Il est plus logique de maintenir un flux constant de patients cancéreux en vie, mais malades et rapportant plus. Comment est né ce monstre de la société ?
Le documentaire cité plus haut est extrêmement instructif. Il présente la façon dont l’industrie pharmaceutique s’est associée avec l’association médicale américaine AMA dans un plan ingénieux pour contrôler le système médical, en quatre étapes rapides, faciles, au début des années 1900. En bref, voici comment nous en sommes arrivés à ce point :
- Les banquiers internationaux qui détiennent les sociétés pharmaceutiques et chimiques ont obtenu le contrôle du système d’éducation médicale, il y a plus de 100 ans.
- Ils ont accordé des subventions à l’AMA et aux principales écoles de médecine en échange de sièges à leur conseil d’administration et du pouvoir de contrôler leur politique.
- Enfin, ils ont habilement orchestré le contrôle de presque tous les organismes de réglementation fédérale visant la pratique de la médecine.
« Ne vous avisez pas de guérir qui que ce soit ! »
Actuellement, en dépit des énormes sommes d’argent consacrées à la recherche contre le cancer, deux patients cancéreux sur trois seront morts dans cinq ans après avoir reçu toute ou partie de la trinité du traitement standard du cancer – chirurgie, radiothérapie et chimiothérapie. Cela n’est pas si surprenant puisqu’on sait que deux des trois sont cancérigènes eux-mêmes ! Une étude indique que la chimiothérapie n’est efficace que pour une personne sur 20.
Au cours des cent dernières années, un certain nombre de traitements naturels du cancer ont été développés et utilisés avec succès pour traiter des patients aux États-Unis et dans d’autres pays. Tous ont été vivement écartés, réduits au silence et camouflés par le monopole médical, des médecins et des chercheurs ont été attaqués, calomniés, envoyés en prison et ruinés du point de vue professionnel pour avoir osé défier l’établissement médical.
À ce jour, pour ce qui est de la crédibilité en médecine, « charlatan » est synonyme de « concurrence ».
Afin de protéger le monopole médical, tout traitement naturel viable rencontre une opposition massive de la part des industries pharmaceutique et médicale. Les sociétés pharmaceutiques n’ont aucun intérêt à promouvoir les agents naturels qu’ils ne peuvent pas breveter, parce qu’ils interfèrent avec leurs sources de bénéfices. Ils vont recourir – et ils ont recouru – à des mesures extrêmes pour empêcher la vérité sur les traitements naturels efficaces (des menaces concurrentielles) de parvenir au grand public.
La FDA est maintenant, grâce à la PDUFA, principalement financée par les sociétés pharmaceutiques et elle est complice de ce processus. Elles restreignent la concurrence sous prétexte de protéger le public, alors que la réalité est qu’ils protègent les bénéfices des sociétés pharmaceutiques.
Mon top 10 des stratégies de prévention du cancer
Vous pouvez faire beaucoup pour réduire le risque de cancer. Mais, s’il vous plaît n’attendez pas de recevoir le diagnostic – vous devez prendre des mesures préventives MAINTENANT. Il est beaucoup plus facile de prévenir que de traiter le cancer, une fois qu’il s’est installé dans votre corps. Je crois que vous pouvez presque éliminer le risque de cancer et de maladies chroniques et que vous pouvez améliorer radicalement vos chances de guérir du cancer si vous en êtes actuellement atteint, à l’aide de ces stratégies relativement simples.
- Préparation des aliments : mangez au moins un tiers des aliments à l’état cru. Évitez les aliments frits ou grillés ;Faites plutôt bouillir, pocher ou cuire les aliments à la vapeur. Pensez à inclure dans votre régime alimentaire des aliments entiers aux propriétés anticancérigènes, des herbes, épices et suppléments, tels que le brocoli, le curcuma et le resvératrol.
- Les hydrates de carbone et les sucres : réduisez ou éliminez de votre alimentation les aliments transformés, le sucre/le fructose et les aliments à base de céréales. Cela vaut aussi pour les grains entiers bio, non-transformés, car ils ont tendance à se dégrader et à élever rapidement votre niveau d’insuline. La preuve est assez claire : si vous voulez éviter le cancer ou si vous en êtes actuellement atteint, vous devez éviter absolument toutes les formes de sucre, notamment le fructose, qui nourrissent les cellules cancéreuses et favorisent leur croissance.
- Assurez-vous que votre consommation de fructose totale est d’environ 25 grammes par jour, fruits compris.
- Les Protéines et les graisses : faites attention à réduire votre taux de protéines à un gramme par kilogramme de poids corporel maigre. La plupart des adultes n’ont pas besoin de plus de 100 grammes de protéines et même près de la moitié de ce montant. Remplacez l’excès de protéines par des graisses de haute qualité, tels que les œufs bio de poules élevées en plein air, les viandes de haute qualité, les avocats et l’huile de coco.
- Les OGM : évitez les aliments génétiquement transformés car ils sont généralement traités avec des herbicides comme le Roundup (glyphosate) et ils sont susceptibles d’être cancérogènes. Une équipe de recherche française qui a beaucoup étudié le Roundup a conclu que le pesticide est toxique pour les cellules humaines et, par conséquent, il est probablement cancérogène pour l’homme. Choisir des aliments frais, bio, préférablement cultivés au niveau local.
- Les Graisses Oméga-3 d’origine animale : normalisez votre ratio de graisses oméga-3 et oméga-6 en consommant de l’huile de krill de haute qualité et en réduisant la consommation d’huiles végétales transformées.
- Les probiotiques Naturels : l’optimisation de votre flore intestinale va réduire l’inflammation et va renforcer votre système immunitaire. Les chercheurs ont trouvé un mécanisme se fondant sur les microbes à l’aide duquel certains cancers développent une réponse immunitaire qui alimente leur développement et leur croissance. Ils suggèrent que l’inhibition des cytokines inflammatoires pourrait ralentir la progression du cancer et améliorer la réponse à la chimiothérapie.L’inclusion d’aliments naturellement fermentés à votre régime alimentaire quotidien est un moyen facile pour éviter le cancer ou pour accélérer la guérison. Vous pouvez toujours ajouter un supplément de probiotiques de haute qualité, mais les aliments fermentés de façon naturelle sont les meilleurs.
- L’exercice : l’exercice diminue les niveaux d’insuline, ce qui crée un environnement à faible teneur en sucre, empêchant la croissance et la propagation des cellules cancéreuses. Dans une étude de trois mois, on a démontré que l’exercice modifie les cellules immunitaires en les rendant plus puissantes dans le combat contre les maladies chez les survivants du cancer qui ont terminé la chimiothérapie.Les chercheurs et les organisations luttant contre le cancer recommandent de plus en plus de donner la priorité aux exercices physiques, car ils réduisent le risque de cancer et contribuent à améliorer les pronosticsdu cancer. La recherche a également trouvé des preuves suggérant que l’exercice peut aider à déclencher l’apoptose (la mort cellulaire programmée) dans les cellules cancéreuses. Idéalement, votre programme devrait inclure des exercices d’équilibre, de force, de souplesse, et un entraînement par intervalles à haute intensité (HIIT).Pour vous aider à démarrer, veuillez consulter mon programme de conditionnement physique.
- La vitamine D : Il est scientifiquement prouvé que vous pouvez réduire de moitié le risque de cancer, simplement en optimisant votre taux de vitamine D par une exposition appropriée au soleil. Votre niveau de sérum doit être maintenu à 50-70 ng/ml, mais si vous êtes traité pour un cancer, il devrait être plus proche de 80-90 ng/ml pour un résultat optimal.Si vous prenez de la vitamine D par voie orale et que vous êtes atteint d’un cancer, il serait prudent de surveiller régulièrement vos niveaux sanguins de vitamine D, ainsi que de compléter la carence en vitamine K2, puisque la carence en K2 provoque les symptômes de toxicité de la vitamine D.
- Sommeil : assurez-vous de dormir suffisamment d’un sommeil réparateur. Un sommeil de mauvaise qualité peut nuire à votre production de mélatonine, ce qui est associé à un risque accru de résistance à l’insuline et au gain de poids, les deux étant des facteurs favorisant le cancer.
- L’exposition aux toxines : réduire votre exposition aux toxines environnementales comme les pesticides, les herbicides, les nettoyants chimiques ménagers, les désodorisants synthétiques et les produits cosmétiques toxiques.
- L’exposition aux radiations : limitez votre exposition et protégez-vous contre les radiations produites par les téléphones cellulaires, les tours, les stations de base et les stations Wi-Fi, minimisez aussi votre exposition aux balayages médicaux à base de radiations, y compris les radiographies dentaires, les balayages CT et les mammographies.
- La Gestion du stress : le stress causé par n’importe quel facteur est un contributeur majeur à la maladie. Même la CDC indique que 85 pour cent de la maladie est provoquée par des facteurs émotionnels. Il est possible que le stress et les problèmes émotionnels non résolus soient plus importants que les problèmes physiques, alors assurez-vous que cet aspect est géré. Mon outil préféré pour résoudre les défis émotionnels est la Technique de libération émotionnelle (EFT).
par le Dr. Mercola
Source : sante-nutrition.org
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Par Life Stance Academy le 16 Mai 2018 à 08:40
Etude : Le cannabidiol (CBD) tue les cellules du cancer du sein
Le Cannabidiol (CBD) – un phytocannabinoide non-psychoactif dérivé de la plante de cannabis – gagne du terrain dans les milieux médicaux et aux yeux du public alors que de plus en plus d’études confirment ses qualités médicinales. Parmi ces dernières figurent les capacités du CBD à contrer l’inflammation, réduire l’anxiété, la dépression, le stress post-traumatique (PTSD), la psychose, et les convulsions.
Plus étonnamment, et peut-être plus urgemment, le CBD se révèle être un agent anticancéreux puissant (comme l’a récemment reconnu l’American Association for Cancer Research – AACR). Un document publié par l’ AACR a constaté que le CBD induit la Mort Cellulaire Programmée (MCP) dans les cellules cancéreuses du sein.
Image: Une cellule de cancer du sein en train de se diviser. Via: royaltystockphoto | Shutterstock
Dans l’introduction, les auteurs notent:
« Le cancer du sein est la deuxième cause de décès liés au cancer chez les femmes aux États-Unis. Les options de traitement conventionnelles sont souvent limitées par la toxicité ou la résistance acquise, et de nouveaux agents sont nécessaires. Nous avons analysé les effets d’un des constituants du Cannabis sativa, le cannabidiol (CBD), un composé naturel puissant à l’activité avérée sur les cellules du cancer du sein, et élucidé ses effets sur les voies néoplasiques clés. »
Un peu plus loin dans cette étude, ils notent:
« Nous avons constaté que le CBD inhibait la survie des deux lignées cellulaires du cancer du sein à récepteurs œstrogéniques positifs et à récepteurs œstrogéniques négatifs, et induisait l’apoptose (forme de Mort Cellulaire Programmée – MCP) en fonction de sa concentration. De plus, à ces niveaux de concentrations, le CBD a eu peu d’effet sur les cellules MCF-10A, les cellules non tumorigènes, mammaires (c-à-d les cellules saines). Ces données vont dans le sens de l’utilité du CBD comme agent anti-cancéreux, car elles suggèrent que le CBD tue de préférence les cellules cancéreuses du sein, tout en minimisant les dommages aux tissus mammaires normaux (sains). »
Si le CBD continue à s’illustrer en laboratoire alors que les recherches se poursuivent, il a le potentiel d’améliorer ou de remplacer les traitements conventionnels, tels que la chimiothérapie, qui provoque souvent des dommages significatifs aux cellules saines et peut provoquer des effets secondaires indésirables et potentiellement dévastateurs.
Les auteurs de l’étude expliquent que le CBD coordonne l’apoptose et l’autophagie, entraînant la mort des cellules cancéreuses du sein. L’apoptose (suicide cellulaire) joue un rôle essentiel dans notre corps. C’est une forme de mort cellulaire qui facilite l’élimination des cellules âgées et anormales sans libération de substances nocives. L’autophagie (recyclage cellulaire) est un autre processus physiologique normal par lequel le corps décompose les cellules indésirables. Il maintient notre homéostasie (équilibre des processus physiologiques), en contribuant à la dégradation des cellules âgées ainsi qu’à la formation de nouvelles cellules.
Les cannabinoïdes, la famille moléculaire dont le CBD fait partie, opèrent en se liant à certains récepteurs cellulaires qui composent le système endocannabinoïde humain. Ce sont les récepteurs CB1 et CB2. Fait intéressant, l’étude note que le CBD a induit ses effets anticancéreux indépendamment de l’activation de ces récepteurs, ce qui porte les auteurs à penser que:
« Les effets de nombreux cannabinoïdes interviennent en se liant aux récepteurs CB1, CB2 ou au récepteur vanilloïde (3, 4); Cependant, nos résultats indiquent que le CBD induit la MCP indépendamment de ces récepteurs. C’est un domaine prometteur pour la recherche future dans la mesure où l’identification du récepteur par lequel les effets anticancéreux du CBD interviennent pourrait contribuer à améliorer la conception de nouveaux médicaments avec un mécanisme d’action similaire au CBD. »
« Dans cette étude, nous avons démontré que le CBD induisait à la fois l’apoptose et l’autophagie, c-à-d la mort induite dans les cellules du cancer du sein. La MCP par apoptose est bien documentée, alors que la mort cellulaire par autophagie est une découverte relativement récente, et il y a encore beaucoup à découvrir au sujet des facteurs qui portent préjudice l’autophagie en faveur de l’auto-protection ou l’auto-destruction. »
Reset a contacté le biochimiste Dennis Hill – qui a traité avec succès son propre cancer en utilisant du cannabis, afin d’en savoir plus à propos du CBD et la façon dont il interagit avec le système endocannabinoïde humain:
« Le CBD est un frère métabolique du THC, en ce qu’ils se ressemblent à bien des égards, mais ils sont également différents quant à leurs modes d’actions », explique le Dr Hill par email. « D’abord, nous constatons que le CBD n’a pas d’effets psychotropes et qu’il y a peu de récepteurs CB2 dans le cerveau et les nerfs périphériques. Il semble y avoir un profil thérapeutique plus large associé au CBD, qui est répertorié ici [Voir le tableau ci-dessous]. »
« L’un des avantages pour la santé les plus importants des cannabinoïdes est leur propriété anti-inflammatoire », poursuit Hill. « En cela, ils sont de très bons modulateurs de la cascade de cytokines inflammatoires. De nombreux états pathologiques découlent de l’inflammation chronique; tels que la dépression, les démences y compris la maladie d’Alzheimer, le cancer, l’arthrite et d’autres maladies auto-immunes… »
« Les cannabinoïdes, en leur qualité d’immunomodulateurs, interrompent la cascade des cytokines inflammatoires de telle sorte que l’inflammation locale ne se traduise pas par une pathologie des tissus. C’est ainsi que nous sommes épargnés des maladies morbides ou terminales. Mais si notre propre système endocannabinoïde peut maintenir l’homéostasie métabolique et même guérir une maladie grave, pourquoi sommes-nous en proie à la maladie? »
« Nous savons que le corps ne produit que de petites quantités d’anandamide et de 2-AG (tous deux des endocannabinoïdes, c-à-d des cannabinoïdes produits par notre corps) – assez pour maintenir le corps, mais pas assez pour surmonter le stress chronique, la maladie, les blessures ou la malnutrition. Le cannabis est la seule plante à notre connaissance qui produit des phytocannabinoïdes qui imitent nos propres endocannabinoïdes. Un des grands avantages de ce médicament mimétique est que les cannabinoïdes sont essentiellement naturels à notre biologie et ne nuisent pas à nos tissus et systèmes. »
« Il est bien connu que la plupart des maladies du vieillissement sont d’origine inflammatoire, ce qui fait potentiellement du cannabis le meilleur supplément anti-âge que nous pouvons consommer pour éviter l’arthrite, la démence, l’hypertension, le diabète, l’ostéoporose, Alzheimer et le cancer. Tout pense à croire que bien utilisé, il peut très largement contribuer à une longue vie en bonne santé. »
Article traduit par Philippe J M Morel – Site internet – Facebook
Traducteur/Interprète/Doubleur-Voix (Anglais-Français/ Français-Anglais) spécialisé dans les secteurs de l’Environement (développement durable, énergies renouvelables, permaculture, solutions alternatives…), la Philosophie (Spiritualité au sens large…) et la Politique (si possible alter-mondialiste…); résidant actuellement à Londres.
Sources : Reset.me
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Par Life Stance Academy le 15 Mai 2018 à 07:53
Apprenez à traiter les mycoses des pieds
avec des remèdes maison
Les cultures vivantes du yaourt sont très indiquées pour lutter contre les mycoses des pieds. Nous pouvons utiliser le yaourt localement sur la zone affectée par les mycoses et renforcer son action en le consommant régulièrement.
Les mycoses des pieds, aussi connues sous le nom de pied d’athlète peuvent apparaître pour différentes raisons. En plus d’être gênants et déplaisants, ils provoquent une série de symptômes qui affecteront considérablement la santé.
Les mycoses des pieds peuvent survenir par contact direct dans les piscines par exemple, mais aussi à cause des chaussures ou des chaussettes.
Les mycoses prédominent dans les endroits humides et chauds, par conséquent, elles peuvent apparaître de manière naturelle si vous ne séchez pas bien vos pieds après vous être douché. Celles-ci prolifèrent généralement entre les doigts de pieds, dans presque tous les cas.
Heureusement, certains remèdes naturels peuvent vous aider à combattre leurs symptômes gênants et à éliminer les mycoses des pieds.
Symptômes des mycoses des pieds
Le symptôme le plus commun des mycoses se caractérise par une peau sèche et rugueuse entre les orteils ou sur les bords des pieds. D’autres symptômes peuvent aussi inclure :
- Peau rouge et démangeaisons
- Brûlures ou picotements
- Ampoules
- Douleurs dans les doigts de pieds
- Mauvaise odeur
- Peau sèche
Lorsque les mycoses se propagent sur les ongles, elles provoquent une décoloration, un épaississement et peuvent même faire tomber l’ongle. Elles peuvent également se propager à d’autres zones de la peau.
Celles-ci ont tendance à se produire plus fréquemment chez les hommes que chez les femmes. En général elles affectent aussi bien les enfants que les adultes.
Les facteurs qui provoquent habituellement la propagation de mycoses sont généralement les suivants :
- La transpiration excessive des pieds
- Les chaussettes qui ne sont pas en coton
- Les chaussures très serrées qui augmentent la transpiration
- La faiblesse du système immunitaire
- Les lésions cutanées
- Les pieds mouillés pendant de longues périodes
Remède naturel à base de thé pour traiter les mycoses
L’acide tannique contenu dans le thé, permet de traiter les mycoses des pieds et de faciliter leur élimination.
C’est un astringent naturel qui empêche la prolifération des mycoses et permet aux pieds d’éliminer l’humidité. Vous pouvez profitez de tous les bienfaits du thé en y plongeant vos pieds.
Ingrédients
- 3 cuillères à soupe de thé noir (45 g)
- 4 tasses d’eau (1 litre)
Préparation
- Versez l’eau dans une casserole, puis ajoutez le thé noir.
- Quand l’eau commence à bouillir, laissez-la reposer encore 5 minutes et retirer-la du feu.
- Puis, laissez infuser le thé quelques minutes hors du feu.
- Dès que l’eau est froide, filtrez le thé et versez-le dans un récipient.
- Puis, trempez vos pieds dans cette préparation pendant une demi-heure.
- Enfin, séchez-les bien avec une serviette, sans oublier la zone entre les doigts.
- Répétez ce processus deux fois par jour jusqu’à ce que vous remarquiez une amélioration.
Remède naturel à base de sel pour lutter contre les mycoses
Le sel a la capacité d’éliminer l’humidité qui est responsable de la prolifération du pied de l’athlète. En outre, il aide à éliminer les mycoses de manière naturelle.
Ingrédients
- 4 tasses d’eau (1 litre)
- 5 cuillères à soupe de sel (75 g)
Préparation
- Versez l’eau dans une casserole et chauffez.
- Lorsque l’eau est chaude, ajoutez le sel.
- Versez ce mélange dans un récipient approprié et immergez les pieds jusqu’à ce que l’eau refroidisse.
- Séchez très bien vos pieds et appliquez du bicarbonate ou du talc sur la zone affectée pour éviter l’humidité.
- Répétez ce processus tous les jours, et pendant environ deux semaines de suite.
Remède naturel à base de yaourt pour traiter les mycoses
Dans les produits laitiers, il existe une grande quantité de bactéries actives. Ce sont d’excellents alliés lorsqu’il s’agit de lutter contre les mycoses ou les infections bactériennes. Le plus conseillé est d’utiliser des yaourts naturels, car ils sont chargés de cultures vivantes actives.
Ce remède naturel fonctionne de deux façons différentes. La première manière consiste à manger du yaourt. Pour cela, vous devrez consommer du yaourt, de préférence le matin à jeun mais aussi le soir avant d’aller dormir.
La seconde manière est le contact topique ou direct, que nous allons vous expliquer ci-dessous.
Ingrédients
- 1 cuillère à soupe de yaourt (20 g)
- 2 cuillères à soupe d’eau (30 ml)
Préparation
- Mélangez bien les deux ingrédients, puis appliquez-les sur la zone des pieds affectée et laissez sécher.
- Rincez abondamment à l’eau tiède.
- Répétez ce processus deux fois par jour jusqu’à ce que vous remarquiez une nette amélioration.
Remède naturel à base d’ail pour traiter les mycoses
Les composants antifongiques de l’ail en font un excellent remède contre les mycoses.
En plus d’ajouter quelques gousses d’ail crues à vos repas, vous pouvez également réaliser des traitements externes pour profiter de ses propriétés antibactériennes et antifongiques.
L’ail possède des propriétés incroyables qui aident non seulement à guérir le pied d’athlète, mais aussi à combattre d’innombrables maladies de façon naturelle.
Ingrédients
- 1 gousse d’ail
- 2 gouttes d’huile d’olive
Préparation
- Écrasez l’ail et ajoutez l’huile d’olive pour former une pâte.
- Appliquez cette pâte sur les zones affectées par les mycoses et laissez agir pendant une demi-heure.
- Retirez avec de l’eau chaude et du savon blanc neutre et séchez-vous bien les pieds.
- Répétez ce processus tous les jours, pendant deux semaines.
N’hésitez pas à essayer ces remèdes naturels incroyables et soyez constant. Suivez bien les recommandations de cet article pour éliminer les mycoses et retrouver des pieds en parfaite santé.
Les mycoses sur les pieds sont une des infections les plus communes et auxquelles nous prêtons peu attention jusqu’à ce qu’elles se propagent sérieusement. En plus des traitements, la prévention est fondamentale pour éliminer les mycoses sur les pieds : portez des chaussettes en coton et mettez vos pieds au soleil. Découvrez dans cet article 3 remèdes naturels pour éliminer les mycoses sur les pieds.
Source : amelioretasante.com
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Par Life Stance Academy le 14 Mai 2018 à 08:54
8 SIGNES QUI PROUVENT QUE VOUS MANGEZ TROP DE SUCRE
Le sucre se cache partout, même dans les aliments que vous n’auriez jamais soupçonnés. Accusé de tous les maux, il est à l’origine de nombreuses pathologies comme le diabète, le surpoids ou encore le cancer. Quels sont les symptômes d’une consommation excessive de sucre ? On fait le point.
Vous êtes fatigué
"On observe parfois des hypoglycémies réactionnelles induites par une élévation soudaine de la glycémie dans le sang, suivie d'une diminution tout aussi brutale accompagnée de vertiges, d'une baisse d'énergie, d'une faim impérieuse" explique Sandra Ferreira, diététicienne-nutritionniste en région parisienne.
Vous avez tout le temps soif
Lorsque l’on a trop de sucre dans le sang, le corps produit des urines pour éliminer l’excès, voilà pourquoi on a souvent soif. "Attention d'ailleurs à ce que ne soit pas un diabète insipide si la soif est excessive et que les urines sont très diluées et excrétées en grande quantité" prévient la spécialiste.
Vous grignotez en permanence
Ne pas pouvoir s’empêcher de grignoter est un signe de dépendance au sucre. "On appelle cela le circuit de la récompense, ce qui pousse votre cerveau à redemander du sucre encore et encore" précise Sandra Ferreira.
Vous avez des problèmes de peau
Si vous souffrez d’acné, de rosacée, de psoriasis ou encore de dermite séborrhéique, il est probable qu’une alimentation trop riche en sucres en soit à l’origine. "Il faut surtout voir les problèmes de peau dans une globalité, il est donc important d'avoir de bonnes règles hygiéno-diététiques, notamment en limitant sa consommation de sucre".
Vous avez pris du poids
Eh oui, le sucre se transforme en gras dans l’organisme. "Il ne faut cependant pas oublier que tout est une question d'équilibre alimentaire général. Inutile donc de diaboliser le sucre s’il est pris de temps en temps et avec plaisir" nuance la spécialiste.
Vous êtes déprimé
Irritabilité, sautes d’humeur, pensées négatives... Autant de symptômes qui sont intimement liés à la variation du taux de sucre dans le sang. "On sait que ce phénomène peut jouer sur l'humeur mais attention à ne pas faire un raccourci trop rapide avec la déprime" corrige la diététicienne-nutritionniste.
Vous avez plus de caries
Le sucre est transformé en acide par les bactéries, ce qui attaque l’émail dentaire et provoque l’apparition de carries. Pour limiter ce phénomène, il est bien sûr recommandé de se brosser les dents matin et soir mais aussi de ne jamais partager ses couverts car les bactéries se nichent dessus.
Votre cerveau fonctionne au ralenti
Le sucre donne "un coup de fouet" mais l'effet est très vite limité, ce qui provoque l'effet inverse, on a tendance à se laisser déconcentrer. "Il vaut mieux choisir des aliments à Index Glycémique (IG) bas comme quelques amandes ou noisettes pour redonner de l'énergie plus intéressante à son organisme" conseille Sandra Ferreira.
L’avis de l’expert : comment diminuer sa consommation de sucre au quotidien ?
Il est important d'être un consommateur averti qui sait ce qu'il mange. Lisez l'étiquetage de ce que vous achetez, vous verrez qu'il y a bien du sucre un peu partout sous différents noms, comme glucose, maltodextrine, xylose, etc. Cuisinez vous-même le plus possible : ainsi, vous saurez ce que vous mettez dans vos plats et détrompez-vous, ce n'est pas si long que cela, il faut juste s’organiser. Vous pouvez aussi diminuer le sucre que vous mettez dans vos gâteaux, vous verrez que cela change peu le goût en fait. Pensez également à ne pas consommer trop de jus de fruits qui contiennent beaucoup de sucre. Enfin, réapprenez à manger l'aliment POUR l'aliment : savourez le goût de votre café sans sucre, le goût de votre brioche sans confiture...Les papilles peuvent "s'éduquer".
Publié par Julie Giorgetta, journaliste santé et validé par Sandra Ferreira, diététicienne nutritionniste
Source : medisite.fr
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