• Tout type de cancer peut être guéri en 2 à 6 semaines

     

     

     

     

     

     

    « Le  peut être guéri ! » affirme le Dr Leonard Coldwell. La vidéo à la fin de cet article est très importante. Tout le monde devrait la voir. Le  peut être guéri !  Vous pouvez imaginer la surprise s’afficher sur mon visage quand j’ai vu cela. En fait, beaucoup d’entre vous devez être aussi surpris que moi. 

    Ma mère est morte du  au moment où je terminais le lycée. Cette expérience a complètement changé ma vie. Depuis ce jour-là, j’ai dû regarder ma mère se rapprocher littéralement de plus en plus de sa mort. Franchement, je n’ai pas envie de parler de cette expérience.

     

    Mais je peux vous dire ceci – cela a été très douloureux. Je sais aussi que beaucoup d’entre vous ont perdu quelqu’un à cause du cancer – un ami, un membre de la famille, un enfant, un parent – la liste s’allonge encore et encore. Le cancer peut attaquer quiconque – vous ne savez jamais si vous serez la prochaine victime.

    Les tumeurs peuvent être traitées. Il y a une industrie de plusieurs milliards de dollars pour le traitement du cancer

    J’ai entendu cela de nombreuses fois ! Mais croyez-vous réellement que ces traitements vont guérir les tumeurs ? Mon père a sacrifié presque tout ce qu’il avait pour payer les médicaments de ma mère. Nous avons fait tout ce qu’il nous était possible de faire. Le cancer est traité depuis longtemps. Le traitement de ma mère a duré très longtemps aussi. Mais à la fin, malheureusement, ma mère a succombé à son cancer.

    Il y a quelques jours, je suis tombé sur cet article

    « A CAUSE DU TERRIBLE PROTOCOLE, DES MILLIONS DE PERSONNES SONT MORTES ET DES MILLIERS N’ONT ÉTÉ GUÉRIES QUE PARTIELLEMENT. TOUT AU LONG DE NOTRE HISTOIRE, LA FOOD AND DRUG ADMINISTRATION A DÉLIBÉRÉMENT EMPOISONNÉ NOTRE PEUPLE. CES ENTREPRISES FERONT TOUT POUR FAIRE DE L’ARGENT. S’IL-VOUS-PLAÎT, RÉAGISSEZ ». VOILÀ CE QUE L’ARTICLE AFFIRME.

    Imaginez les pensées qui m’ont traversé l’esprit quand j’ai vu cet article. Je décidai donc d’y jeter un coup oeil

    Le Dr Leonard Coldwell a traversé beaucoup plus d’ « expériences du cancer » que vous ou moi. Les sept frères et soeurs de sa mère ont tous souffert d’un carcinome. Son père et sa grand-mère sont morts aussi à cause du cancer. Il a été témoin de la façon dont le cancer a entraîné lentement les membres de sa famille, et même son fils et son petit-fils dans la mort. Je suppose qu’on peut dire sans grand risque de se tromper qu’il a acquis une expérience que très peu ont eue.

    Et en effet, le Dr Leonard Coldwell a vu en consultation plus de trente-cinq mille patients, environ 2,2 millions de participants à ses ateliers qui lui écrivent pour lui envoyer l’histoire de leur vie, et il a plus de sept millions d’admirateurs qui lisent ses bulletins et rapports. Selon les experts mondiaux, le Dr Leonard Coldwell a les meilleurs taux de réussite pour guérir le cancer globalement. Et il se trouve que son site web a été bloqué par le gouvernement fédéral. Pourquoi ? En raison de son énorme succès dans le traitement du cancer.

    « EN L’ABSENCE DE CHIMIOTHÉRAPIE ET DE RADIOTHÉRAPIE, IL EST ÉVIDENT QUE LE CANCER PEUT ÊTRE GUÉRI CHEZ LA PLUPART DES PATIENTS. JE SAIS QUE JE PEUX GUÉRIR UN PATIENT EN QUELQUES SEMAINES OU PEUT-ÊTRE EN QUELQUES MOIS. MAIS À CAUSE DES GENS QUI PROFITENT DES PATIENTS ATTEINTS DE CANCER ET EN RAISON DE LA LOI, JE NE SUIS PAS AUTORISÉ À DIRE CE QU’IL FAUT FAIRE OU PAS », EXPLIQUE CE MÉDECIN.

    La profession de la  et l’ perçoivent d’énormes quantités d’argent grâce à cette industrie. Oui, le cancer est devenu une industrie pour eux. Dans la situation actuelle, le Dr Coldwell souligne qu’ils « font faire des lois aux législateurs, lois qui vont nous tuer, ou à tout le moins faire tomber malade et les lois qui sont censées nous ‘protéger’ ne permettent pas le traitement adéquat du cancer. Ils vous rendent affreusement malade et finalement, vous êtes entraîné à la mort en raison du traitement toxique, dangereux et très pénible. »

    Pour être honnête, j’ai été stupéfait à la lecture de ces revendications. Le souvenir de ma mère dans ses souffrances et de sa mort a commencé à hanter mon esprit. J’ai continué à lire.

    Voici la méthode du Dr Coldwell

    Selon ce médecin, toute tumeur maligne peut être traitée en deux à 16 semaines. Il y a des types de cancers qui, traités correctement, peuvent guérir en quelques minutes.

    Tout médecin avec au moins 20 ans d’expérience dans ce domaine a connu beaucoup de guérisons spontanées. Il y a en fait un livre intitulé ‘Spontaneous Healing’ (Guérison Spontanée). Puisque cette méthode est facile à appliquer, la question repose sur les moyens de parvenir à l’appliquer. Souvent, les personnes qui ont l’esprit religieux vont se faire soigner dans des lieux tenus par la religion. Mais ce n’est pas l’endroit qui guérit. C’est l’esprit rempli de positivité et d’espoir qui fait réellement toute la guérison.

    Comme ce médecin le révèle, il convient prioritairement de résoudre le problème de l’acidité et celui des éléments toxiques. Nous devrions manger des légumes, cela fournit au corps beaucoup d’oxygène. Avec cela, suffisamment de calcium et une adaptée, nous alcalinisons notre corps. En quoi cela est-il lié au cancer ? Eh bien, la progression du cancer est stoppée lorsque le corps est alcalinisé.

    Le corps doit maintenir un « niveau de pH thérapeutique ». Le pH est un paramètre qui permet de définir si un milieu est acide ou basique. Le pH se mesure sur une échelle de 0 à 14. Les valeurs les plus basses représentent un milieu acide, et les valeurs les plus hautes représentent un milieu alcalin. Un pH 7 est neutre. Le pH idéal du sang est de 7,36, et il varie en fait très faiblement, car il compense des pertes d’alcalinité en se « rechargeant » dans différents autres endroits du corps. Lorsqu’il s’agit du traitement, un pH plus élevé sera recherché, aux alentours de 7,5 ou plus.

    Alors, quoi d’autre ?

    Ce qu’il faut éliminer ensuite, c’est l’hypoxie. Pour cela, un ami du Dr Coldwell, le Dr Martin, propose une solution – une oxygéno-thérapie qui comporte plusieurs étapes. Dans ce traitement, les sang est prélevé, enrichi avec de l’oxygène pur et ensuite réinjecté dans le corps douze fois.  Lorsque le sang sort du corps, il est très sombre. Mais avec cette thérapie, le sang qui est réinjecté a une belle couleur rose – comme le sang d’un nouveau-né – il est complètement frais. Cela remplit le corps d’énergie.
    L’injection « intraveineuse » de vitamine C est également utile, indique ce médecin. Une dose de 100 cc chaque jour trois fois par jour, ou dans certains cas, davantage, a donné des résultats merveilleux. « Croyez-le,  le cancer disparaît en quelques jours après l’administration de vitamine C de cette manière »,  dit-il.
    Les aliments qui ont une forte teneur en vitamine C comprennent les piments, le chou, le brocoli, la papaye, fraises, le chou-fleur, l’ananas, le kiwi, les oranges et les citrons.

    La vitamine C – le remède miracle…

    Mais attendez, ce n’est pas la seule vitamine qui ait des pouvoirs de guérison merveilleux…

    La vitamine E appartient à la même catégorie aussi. Elle aide surtout la pression artérielle. Utilisée rapidement et efficacement, sous quelque forme que ce soit, la vitamine E a montré qu’elle peut donner des résultats étonnants. Mais la vitamine E produite artificiellement n’est pas la solution. Et effectivement, une étude avec de la vitamine E produite artificiellement a déterminé qu’elle était totalement inefficace.

    Donc voilà. Les produits chimiques n’aident pas du tout. C’est la nature qui aide. La nature fait ressortir toutes ces  et c’est la nature qui va venir à nouveau nous secourir. Le cancer n’existait pas il y a un siècle. Il n’y a aucune raison pour que les cancers existent aujourd’hui. Nous avons causé tous nos problèmes nous-mêmes. Si vous voulez vraiment vous débarrasser du cancer, commencez par consommer des légumes frais et crus.

    Le Dr Coldwell dit aussi qu’un de ses amis est un chef cuisinier, et a écrit un livre sur la préparation des repas crus. « Il ne coûte même pas la moitié de ce que vous consacrez à des médicaments chers qui ne font qu’aggraver votre état. Son site web et ses livres vous enseigneront exactement comment les préparer », ajoute-t-il.

    Le Dr Coldwell insiste ensuite sur l’eau. Oui, vous avez bien entendu. Quatre litres d’eau avec une demi-cuillère à café de sel de mer chaque jour – sauf pour les personnes souffrant de problèmes rénaux.

    Ne dit-on pas que des quantités excessives de sel conduisent à l’hypertension artérielle ? On ne veut quand même pas rajouter des problèmes !

    Le Docteur n’est pas d’accord. Il dit que même si on nous a appris que trop de sel est mauvais, c’est en fait le contraire. En fait, le sel est essentiel. « Les signaux électriques ne sont transmis que si la quantité de sel nécessaire est présente dans notre corps. Par conséquent, le manque de sel crée des problèmes dans le sang »  explique le docteur.

    Maintenant, ce n’est pas un vrai problème. Le vrai problème concerne le sel de table que nous consommons. Le sel de table ne contient souvent qu’un tiers de sel !

    Woah ! Que mangeons-nous donc – en pensant que c’est du sel ?

    Le sel que nous consommons, en fait, contient 1/3 de verre et 1/3 de sable. Et cela engendre des problèmes pour le corps. Le sable et le verre irritent les vaisseaux sanguins qui commencent à saigner. Ensuite, le cholestérol se coagule pour colmater et protéger les vaisseaux sanguins – de façon à ce que nous ne mourions pas d’hémorragie interne.

    Mais le cholestérol peut entraîner une élévation de la pression sanguine en rétrécissant les vaisseaux sanguins, non ?

    Encore faux. « C’est absurde car nous ne pouvons pas mourir d’excès de cholestérol. Avec une carence en cholestérol, oui, c’est nous mettre sur le chemin de la mort », soutient le Dr Coldwell. En réalité, certaines personnes ont eu un taux de cholestérol aussi élevé que 60 et n’ont jamais eu de maladie de toute leur vie.

    Voici pourquoi le manque de cholestérol est mauvais

    Les cellules saines sont rapidement produites par le cholestérol. En fait, 87 % des cellules de notre corps sont constituées à partir du cholestérol. Ainsi, l’absence de cholestérol signifie simplement que le corps n’a aucun moyen de fabriquer de nouvelles cellules. Par exemple, pensons à la façon dont les médecins traitent les brûlures. Ils donnent aux grands brûlés 20 à 25 oeufs. Pourquoi ? Parce qu’ils savent que le cholestérol peut produire de nouvelles cellules.

    « Le cholestérol produit de nouvelles cellules. Wow, je ne le savais PAS… »

    « Lipoprotéines de Haute Densité » (HDL) et « Lipoprotéines de Basse Densité » (LDL) – Nous avons tous entendu parler de ces « bons » et « mauvais » cholestérols. Mais attendez, le Dr Coldwell n’est encore pas d’accord. « Le HDL et le LDL – ce n’est pas le cholestérol. Ce sont des protéines qui bougent le cholestérol », dit-il.

    « Tout ce que nous pensions savoir est en fait complètement faux, alors ? Mais ce sont les médecins qui disent ces choses ! Comment peuvent-ils se tromper ?

    A ce sujet, pensons à l’avis du Dr Gray Neal, entre autres. Il a dit, en se référant aux statistiques, que les médecins ont la plus courte durée de vie. Les médecins vivent environ 56 ans en moyenne (et souvent c’est moins que cela, sauf pour quelques-uns). Ils ont des addictions à l’alcool, aux médicaments, et ont même un taux plus élevé de suicides – c’est plus élevé seulement chez les psychiatres. Mais en dépit de tout cela, nous courons toujours auprès des médecins pour obtenir des  et de l’aide sur une vie plus heureuse, plus saine et plus longue… Vous devriez probablement penser à modifier cette opinion.

     

     

     

     

     

    Source : Health And Love Page

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Cancer de la bouche : symptômes, facteurs à risque et prévention

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    En plus de la prévention, il est également fondamental d’être attentif aux possibles signes que peut nous envoyer notre corps, comme les saignements, pour détecter un éventuel cancer de la bouche.

    Le cancer de la bouche fait partie des types de cancer de la tête et du couLes tumeurs qui se reflètent sur cette zone sont en général de deux types :

    • Carcinomes, qui se trouvent sur les parois internes de la bouche.
    • Adénocarcinomes, localisées dans les cellules glandulaires.

    Tout comme le reste des cancers que nous pouvons développer, il est très important d’en connaître les principaux symptômes et les mesures pour l’éviter.

    Ce qui précède est dû au fait qu’avec un bon diagnostic, les probabilités de réussite du traitement chirurgical sont élevées.

    Principaux symptômes du cancer de la bouche

    Le cancer de la bouche peut être facilement visualisé, car il peut débuter comme une blessure qui ne se referme pas pendant plusieurs semaines.

    Bien qu’il s’agit du symptôme le plus significatif, ce n’est pas le seul, car vous devez également surveiller l’apparition de :

    • Tissus blancs dans la bouche
    • Saignements inexpliqués
    • Difficulté à mastiquer ou à bouger la mâchoire
    • Enrouement ou changement dans la voix
    • Perte de sensibilité ou douleur dans n’importe quelle zone de la bouche, du visage ou du cou
    • Protubérance sur les lèvres, les gencives ou n’importe quelle autre zone de la cavité buccale
    • Douleur dans les oreilles sans raison

    Vous pourrez voir que nombre de ces symptômes peuvent apparaître pour d’autres raisons. Toutefois, si vous en remarquez deux ou trois en même temps vous devez aller consulter votre médecin pour un contrôle.

    Facteurs à risque pour le cancer de la bouche

    Tout comme les autres types de cancer, celui de la bouche se développe plus facilement lorsque l’on présente certaines caractéristiques ou conditions.

    Bien que cette maladie peut apparaître chez des personnes qui ne présentent pas ces facteurs, l’idéal est que vous preniez soin de votre santé, et vous devez faire précisément attention si :

    1. Vous fumez

    On ignore les causes exactes qui provoquent l’apparition du cancer de la bouche mais l’on sait que l’un des facteurs qui influe le plus sur le développement de cette maladie est le fait de fumer.

    La fumée de cigarette affecte car elle irrite les muqueuses de la cavité buccale et est liée à plus de 60 % des cas de cancer de la bouche.

    De son côté, le fait de mastiquer du tabac cause une irritation car il est en contact direct avec les tissus.

    Au cas où vous auriez l’habitude de fumer, il serait bon que vous essayiez d’arrêter progressivement. Il existe plusieurs options qui peuvent vous aider et l’effort en vaudra la peine si vous voulez éviter cette maladie.

    2. Vous buvez souvent de l’alcool

    La consommation excessive d‘alcool fait partie des autres causes que l’on attribue à ce type de cancer. Vous consommez souvent de l’alcool ? En plus de fumer ?

    Dans ce cas vous devez faire attention à votre bouche pour vous assurer qu’aucun symptôme n’apparaît, car vous avez de grandes possibilités de développer ce problème.

    L’idéal serait d’arrêter de consommer de l’alcool le plus rapidement possible. Nous savons déjà que certains types d’alcool peuvent avoir des bienfaits pour la santé, mais vous ne devez jamais perdre de vue la modération.

    3. Vous avez des antécédents familiaux

    Les personnes avec des antécédents familiaux et ce type de cancer sont également propices à souffrir de cette maladie. Si c’est votre cas, essayez de faire une visite médicale chaque année.

    Il est important d’avertir votre dentiste sur les antécédents familiaux pour qu’il soit attentif pendant les consultations habituelles.

    Dans de nombreux cas, les dentistes peuvent être d’une grande aide quant au diagnostic précoce, car iels peuvent observer des zones qui sont difficiles pour vous de surveiller.

    De plus, il serait bon de demander à votre médecin généraliste s’il est nécessaire de réaliser un examen préventif pour écarter toute possibilité.

    4. Contagion de maladies sexuellement transmissibles

    La majorité des gens pensent que la seule maladie sexuellement transmissible (MST) dont ils doivent s’inquiéter réellement est le VIH ou le sida.

    Si cette maladie est grave et que nous ne devons pas l’ignorer, d’autres MST peuvent également engendrer des problèmes grave de santé.

    L’une de ces maladies est le virus du papiloma humain (VPH). Il en existe plusieurs types et ils ne sont pas tous graves.

    Le problème c’est que ceux qui le sont peuvent engendrer le développement du cancer de la bouche lorsque la contagion s’est faite par voie orale.

    Il est également important de consulter régulièrement votre gynécologue pour avoir un bon contrôle de votre santé sexuelle grâce à des examens réguliers.

    Le plus fréquent est d’avoir recours à un papanicolaou chaque année pour écarter le problème.

    Conseils pour prévenir ce type de cancer

    Pour prévenir et combattre à temps le cancer de la bouche il est important que :

    • Vous surveillez et prêtez attention à l’apparition de n’importe lequel des symptômes que nous avons mentionnés auparavant ou à n’importe quel autre.
    • Au moment de vous brosser les dentssoyez attentifs à l’apparition d’un quelconque saignement ou blessure qui ne guérit pas après 10-15 jours.
    • Prêtez attention aux maux de gorge persévérants, enrouements ou difficulté à bouger la mâchoire.
    • Ayez une alimentation équilibrée.
    • Ne fumez pas et ne mastiquez pas de tabac.
    • Consommez des boissons alcoolisées avec modération.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Selon le PDG de Nestlé, l’accès à l’eau ne fait pas partie

    des droits de l’Homme, elle doit être privatisée !!

     

     

     

     

    Le marché du cacao en Afrique est dominé par une poignée de multinationales, les entreprises de transformation (Barry Callebaut, le géant états-unien Cargill, ADM) et les grandes marques de chocolat les plus connues (Kraft Foods, Nestlé, Mars, Hershey’s et Ferrero). Les premières transforment la fève en produit de base pour confectionner le chocolat. La Côte d’Ivoire et le Ghana qui représentent 62% de la production mondiale de cacao sont confrontés à l’esclavage des enfants. La guerre civile en Côte d’Ivoire, financée par le cacao, n’a fait qu’accentuer le phénomène.

     

    Comme indiqué dans le rapport de l’entreprise Watch, le précédent Directeur Général de Nestlé, Peter Brabeck-Letmathe a un long historique concernant la santé publique et a abusé de l’environnement dans le cadre d’un profit étonnant estimé à 26 milliards d’euros de bénéfice annuel provenant de la vente des bouteilles d’eau minérale Nestlé à elles seules.

    Alors l’eau est-elle un droit humain ou doit-elle être possédée par les grandes entreprises?

    Et si l’eau n’est pas là pour nous tous alors peut-être que l’air doit aussi être détenu par de grandes sociétés. Et concernant les récoltes, Monsanto travaille avec acharnement pour s’assurer d’avoir le monopole sur nos aliments de base et il est très bien situé. Il ne faut pas s’étonner que ce président de Nestlé se batte pour conserver les OGM de Monsanto dans l’approvisionnement alimentaire comme son approche idéologique s’aligne avec celle de Monsanto.

    Donc selon le PDG de Nestlé, l’accès à l’eau ne devrait pas être un droit, et… le bio va nous tuer.

    Incroyable de telles déclarations! Il croit que nous sommes tous lobotomisés le « pédégé » de Nestlé? Au vu des réactions « larvaires » des citoyens, ils vont arriver à privatiser l’eau, à faire encore et toujours de faramineux profits, et le mouton bêlera à l’unisson pour protester. Réveillons-nous, avant qu’il ne soit trop tard!!

    Peter Brabeck, le PDG de Nestlé a été enregistré dans une vidéo au début du mois alors qu’il tape assez rudement sur les aliments bio, l’équilibre de l’Homme et de la Nature, et le droit d’une personne à avoir accès à l’eau.

    Dans la vidéo, Brabeck parle de la nourriture bio et affirme que les OGM sont meilleurs car ils ne rendent pas malades.

    « Un bon exemple est le mouvement bio. Le bio est ce qu’il y aurait de mieux maintenant. Mais le bio n’est pas le meilleur.

    Après 15 ans de consommation de produits génétiquement modifiés aux Etats-Unis, pas un seul cas de maladie n’a été déclaré jusqu’à présent pour en avoir mangé. Et malgré cela, nous sommes tous si inquiets à ce sujet en Europe à propos de ce qui pourrait nous arriver. »

    Le PDG de Nestlé poursuit son attaque contre les produits naturels en affirmant que la Nature est là pour nous tuer et finira par nous nuire:

    « Aujourd’hui les gens croient que tout ce qui provient de la Nature est bon. Cela représente un changement énorme car jusqu’à récemment nous avons toujours appris que la nature pouvait être impitoyable. L’homme est maintenant en position de fournir un équilibre à la nature. Mais en dépit de cela, nous préjugeons que tout ce qui provient de la nature est bon. »

    La déclaration la plus troublante et absurde de Peter Brabeck, cependant, porte sur les réserves d’eau dans le monde. Le PDG de Nestlé déclare:

    « L’eau est bien sûr la ressource de base la plus importante dans le monde aujourd’hui. On peut se poser la question de savoir si nous devrions privatiser l’approvisionnement normal de l’eau pour la population.

    Il y a deux opinions différentes à ce sujet. La première opinion, qui est je pense extrême, est représentée par les ONG, qui stipulent que l’eau est un droit public. Cela veut dire qu’en tant qu’être humain vous devriez avoir accès à l’eau. C’est une solution extrême. Et l’autre opinion dit que l’eau est un aliment comme n’importe quel autre. Et comme n’importe quel produit alimentaire, elle devrait pouvoir être sur le marché. Personnellement je pense que c’est mieux de donner à toute denrée alimentaire une valeur marchande… »

    Un article de Inquisitr, publié par blogapares.com et relayé par Jacques pour SOS-planete

    Note de Jacques : incroyable ! De la science-fiction ? Non ! Cet homme a osé le dire, même si nous savons que ces gens-là osent tout ! Nous sommes vraiment idiots de ne pas avoir pensé plus tôt que la Nature avait créé l’eau juste pour NESTLE ! Ben voyons !

    Le bio serait dangereux et les OGM inoffensifs ? Mais c’est Monsieur Peter Brabeck qui est dangereux ! Espérons que les consommateurs sauront choisir leurs marques en connaissance de cause

    « Comment peut-on vendre ou acheter le ciel, la chaleur de la terre ? Cela nous semble étrange. Si la fraîcheur de l’air et le murmure de l’eau ne nous appartiennent pas, comment peut-on les vendre ? Pour mon peuple, il n’y a pas un coin de cette Terre qui ne soit sacré. Une aiguille de pin qui scintille, un rivage sablonneux, une brume légère, tout est sacré aux yeux et dans la mémoire de mon peuple. » Paroles du chef indien Seattle, en 1854.

     

     

     

     

     

    Sources :
    naturalsociety.com
    www.trueactivist.com

    sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 symptômes que vous ressentez lorsque vos reins

    commencent à lâcher

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Parfois, les douleurs récurrentes dans la zone des reins peuvent être dues à un problème avec ces organes, bien qu’elles peuvent également apparaître à cause d’un affaiblissement des muscles.

    Il n’est un secret pour personne qu’un bon fonctionnement rénal nous permet de jouir d’une bonne qualité de vie, quand il s’agit de santé.

    Bien que nous ignorons souvent l’importance de ces organes, leur travail nous aide à éliminer constamment les liquides et les toxines qui peuvent rendre l’organisme malade.

    De fait, pendant la journée ils peuvent traiter jusqu’à 190 litres de sang ce qui, après un processus de filtration, permet d’expulser environ deux litres d’eaux et de résidus.

    De plus, comme ils participent au contrôle de la pression artérielle et à la sécrétion de certaines hormones, il ne fait aucun doute sur le fait qu’ils sont déterminants pour notre bien-être.

    C’est pour cela qu’il est primordial de faire attention à n’importe quel signe d’anomalie ou de maladie, car la moindre faille peut conduire au développement de problèmes chroniques.

    Ci-dessous nous avons rassemblé 7 symptômes qui peuvent se manifester quand quelque chose ne va pas dans le système.

    Ne les ignorez pas !

    1. Rétention d’eau et inflammation

    L’un des signes initiaux de problèmes rénaux sont les désordres au sein des processus inflammatoires du corps qui, en général, s’accompagnent de rétention d’eau.

    Ces symptômes sont le résultat des difficultés qu’ont les reins à filtrer les déchets et à produire de l’urine et c’est la raison pour laquelle ils restent dans les tissus.

    Consultez votre médecin si vous remarquez une inflammation inhabituelle dans :

    • Pieds et chevilles
    • Mains
    • Jambes
    • Visage
    • Abdomen

    2. Désordre dans les habitudes pour uriner

    Les désordres dans les habitudes pour uriner sont des signes qui doivent être pris en compte comme des possibles problèmes du système rénal.

    Augmenter le nombre de fois où l’on va aux toilettes, ou bien, les réduire sans raison apparente, indique une possible anormalité dans la fonction rénale.

    3. Changements notoires dans l’urine

    La texture, la couleur et l’odeur de l’urine sont des caractéristiques qui permettent de détecter si les reins ont des difficultés à remplir leurs tâches.

    Remarquer des changements notoires, comme une coloration plus jaune que la normale, doit être un signal d’alerte d’infections ou de problèmes chroniques.

    Il est également nécessaire de consulter si :

    • L’urine mousse
    • L’odeur est trop forte ou désagréable
    • Des brûlures en urinant
    • Beaucoup de taches de sang dans l’urine

    4. Eruptions cutanées

    Si les éruptions cutanées peuvent apparaître pour de multiples raisons, un mauvais fonctionnement des reins pourrait expliquer leur présence.

    Les toxines qui ne sont pas filtrées par ces organes restent dans le système sanguin et, après avoir été transportées, altèrent la production normale des huiles de la peau.

    En conséquences, des boutons d’acné inesthétiques apparaissent, très souvent accompagnés d’une sensation désagréable de démangeaison et d’irritation.

    5. Douleur dans la zone lombaire

    Une douleur récurrente dans la zone lombaire ou sur l’un des côtés du corps peut être le signe de difficultés rénales.

    Les patients atteints de ce genre de maladies, surtout les adultes, ont ce genre de douleurs manifestes à cause de l’inflammation qu’ils génèrent.

    Si cela peut être dû à un affaiblissement des muscles, il ne faut pas écarter la possibilité qu’elle puisse être due à un problème dans ces organes.

    6. Forte pression artérielle

    Les patients souffrant d’insuffisance rénale ou de pathologies rénales doivent constamment surveiller leur tension artérielle, car elle peut être fortement altérée.

    Les fonctions que jouent ces organes aident à maintenir les niveaux de potassium et de sodium équilibrés, deux minéraux clés pour garder une pression stable.

    Ils gardent également sous contrôle les fluides de l’organisme tout en évitant l’inflammation des tissus et des artères.

    D’autre part, il faut savoir que l’origine de l’hypertension peut être due à un problème connu sous le nom de sténose de l’artère rénale, qui génère une obstruction partielle de l’artère transportant le sang vers les reins.

    7. Sensation de fatigue

    Lorsque les reins ont un quelconque dysfonctionnement il est fréquent que les patients ressentent de la fatigue et un abattement.

    Cela est dû à la diminution de la production d’une hormone connue sous le nom d’érythropoïétine. Elle est responsable d’intervenir dans la création de globules rouges dans le sang pour avoir un transport optimal de l’oxygène et des nutriments.

    Sa diminution peut provoquer des problèmes d’anémie chronique, en plus de nausées et de problèmes de concentration.

    Vous identifiez ces symptômes ? Sachez que de nombreux problèmes rénaux peuvent être corrigés s’ils sont détectés assez tôt.

    Faites immédiatement attention à tous les signaux d’alerte et essayez d’adopter des habitudes saines qui diminuent le risque.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 astuces pour prévenir les maladies neurodégénératives

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    En plus d’avoir une alimentation saine qui nous aide à obtenir les nutriments adaptés et à éviter ceux qui pourraient nous être nocifs, exercer le cerveau peut également nous aider au moment de prévenir les maladies dégénératives.

    Les maladies neurodégénératives les plus connues sont l’Alzheimer et le Parkinson, ainsi que les maladies de Huntington et la Sclérose Latérale Amyotrophique (SLA).

    Bien qu’il s’agit de maladies sans remèdes qui s’aggravent progressivement, il existe certains facteurs qui peuvent nous aider à les prévenir si nous avons des prédispositions génétiques à en souffrir.

    Découvrez dans cet article 7 astuces naturelles pour prévenir ou soulager les symptômes des maladies neurodégénératives avec l’alimentation, les plantes médicinales et quelques conseils très efficaces.

    En quoi consistent les maladies neurodégénératives ?

    Les maladies neurodégénératives sont des troubles graves de la santé qui affectent certaines fonctions de l’organisme, comme le mouvement, l’équilibre, la parole, la respiration ou le rythme cardiaque.

    Elles ont un fort composant génétique, bien que certains facteurs pourraient être décisifs, tels que :

    • L’accumulation de toxines dans le corps
    • La réaction face à certains produits chimiques
    • Les virus

    Parfois, il peut également y avoir un facteur psychologique conditionnant, comme par exemple un type de choc émotionnel qui pourrait avoir eu lieu avant que la maladie n’apparaisse.

    La détérioration progressive produite par les maladies neurodégénératives est très dure pour les personnes qui souffrent de la pathologie, mais également pour leur famille et leurs amis.

    Astuces pour les prévenir

    Ci-dessous nous allons vous donner 7 astuces pour prévenir les maladies neurodégénératives, ou pour soulager leurs symptômes et améliorer la mobilité au cas où vous en souffriez.

    1. Evitez les métaux lourds

    Les maladies neurodégénératives sont liées, entre autres, à la présence de métaux lourds dans l’organisme, surtout dans le cerveau.

    Ces métaux entrent dans notre corps de différentes manières :

    • Consommation de poisson bleu de grande taille, comme le saumon, le thon ou l’espadon. Il est préférable de consommer des poissons bleus de petite taille (maquereau, sardine, anchois, etc.) ou bien des poissons blancs.
    • Pollution de l’air.
    • Pesticides dans les aliments et dans l’environnement.
    • Cassure de produits comme des thermomètres à mercure ou des ampoules.
    • Eau du robinet de certains endroits.
    • Certains médicaments.
    • Casseroles et poêles fabriquées avec des métaux lourds, comme celles en aluminium.

    2. Dépurez-vous avec de la chlorelle

    L’algue chlorelle nous aide à éliminer ces métaux lourds et autres toxines qui s’accumulent dans l’organisme. Toutefois, nous devons être constants dans un traitement d’au moins 3 mois.

    Il existe des suppléments spécifiques qui incluent d’autres ingrédients efficaces comme l’ail, la coriandre ou le magnésium.

    3. Utilisez le cerveau

    La meilleure manière de prévenir la détérioration cérébrale consiste à activer cette fonction et à éviter la paresse.

    Lorsque nous commencerons à remarquer certains symptômes comme des problèmes de mémoire ou un manque de concentration, nous devons, plus que jamais, réaliser des exercices pour faire travailler le cerveau.

    4. Consommez des noix

    La forme de la noix nous indique l’organe pour lequel elle est bonne : le cerveau.

    Elles ont d’excellentes valeurs nutritionnelles, car elles sont riches en vitamines et minéraux, acides gras essentiels et fibres.

    Ainsi, elles jouissent d’un fort pouvoir antioxydant qui prévient la détérioration oxydative du cerveau.

    5. Certaines infusions médicinales

    Il existe deux plantes médicinales qui améliorent la circulation et l’oxygénation cérébrale :

    • Ginkgo Biloba : Très efficace, mais il n’est pas bon d’en prendre pendant plus de deux mois à la suite.
    • Centella asiatica : Egalement connue sous le nom de gotu kola, nous pouvons en prendre de manière continue.

    Nous pouvons les consommer en infusions ou en capsules ou comprimés.

    6. Huiles essentielles

    L’aromathérapie est la méthode curative basée sur l’utilisation d’huiles essentielles de qualité pour traiter tous les types de problèmes de santé physique, mentale et émotionnelle.

    Nous pouvons utiliser les huiles en diffuseurs aromatiques, dans les produits ménagers ou dans nos lotions cosmétiques.

    Ainsi, nous pouvons imprégner un mouchoir et le mettre à côté de l’oreiller en allant nous coucher.

    Nous pouvons choisir parmi les huiles suivantes :

    • Romarin
    • Thym
    • Bois de santal
    • Basilic

    7. Equilibrer l’intestin

    L’intestin est en étroite relation avec la fonction cérébrale à travers la flore bactérienne, comme le démontrent certaines études, qui indiquent que ceux qui souffrent de certaines maladies, comme par exemple les dégénératives, auraient une flore perturbée.

    En plus d’avoir une alimentation équilibrée qui inclut des aliments fermentés comme le yaourt, le kéfir, la choucroute ou le vinaigre cru, nous pouvons également avoir recours aux suppléments à base de probiotiques.

    Il existe de nombreux types de probiotiques, c’est pourquoi nous choisirons ceux qui possèdent une plus grandes quantité et variété de souches.

    Ce remède simple améliorera notre qualité de vie.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Que sont les myomes utérins ?

    Découvrez-les avec 5 données importantes

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si au début, ils sont difficiles à détecter à cause du manque de symptômes flagrants, les femmes affectées par les myomes utérins peuvent ressentir une série de changements dans leur corps, ce qui facilite leur détection.
     

    Les myomes utérins sont de petites grosseurs de tissu musculaire qui grandissent sur la superficie de l’utérus et parfois dans le col de l’utérus.

    Il s’agit d’une affection qui affecte la santé reproductive et hormonale des femmes et malgré la formation de tumeurs, seuls 0.5% débouchent sur des cellules cancérigènes.

    Ainsi, même s’ils ont un lien avec d’autres problèmes gynécologiques, les cas de cancer sont très rares.

    Mais les femmes méconnaissent ce trouble et comment il se développe. C’est pour cela qu’elles ont tendance à le confondre avec d’autres maladies.

    Nous avons donc rassemblé ici une série de données qui répondront peut-être à vos questions autour de ce problème.

    1. Que sont les myomes utérins ?

    Les myomes utérins sont des tumeurs bénignes qui, en général, se développent chez les femmes après 20 ans.

    On les connaît aussi sous le nom de léiomyomes et ce sont des petites grosseurs de tissu fibreux et à l’aspect rond dont la taille peut être microscopique ou grande.

    2. Quels sont les types de myomes utérins ?

    Il existe plusieurs types de myomes utérins, selon le lieu de l’utérus où ils se forment :

    • Les sous-muqueux : ils se trouvent dans le myomètre, la couche protectrice de la paroi intérieure de l’utérus.
    • Les sous-séreux : ils se forment sous la membrane séreuse, le revêtement de la partie extérieure de l’utérus.
    • Les pédiculés : ils sont de types sous-séreux mais à la différence des précédents, ils grandissent et se décollent de l’utérus tout en restant retenus par un cordon appelé pédicule.
    • Les intramuraux : ils se trouvent à l’intérieur de la paroi musculaire de l’utérus et parfois, ils s’agrandissent jusqu’à déformer la paroi extérieure et intérieure de l’organe.

    3. Quels sont les symptômes des myomes ?

    Les myomes font partie de ce groupe d’affections qui sont difficiles à détecter à cause du manque de symptômes flagrants lors des premiers stades.

    Cependant, un grand nombre de femmes peuvent ressentir des changements dans leur corps, ce qui facilite le diagnostic :

    • Des règles irrégulières
    • Des saignements abondants
    • La sensation de gonflement et de douleur au niveau du bas ventre
    • La prise soudaine de poids
    • Les problèmes de fertilité et les grossesse à haut risque
    • La douleur lors des relations sexuelles
    • La douleur dans le bas du dos
    • Les changements dans les habitudes urinaires
    • La sensation de fatigue

    4. Quel lien entre les myomes et les problèmes de fertilité ?

    L’un des aspects que l’on connaît le mieux sur les myomes sont les conséquences qu’ils ont sur la santé reproductive.

    Malheureusement, les femmes diagnostiquées avec des myomes ont de grands risques d’avoir des difficultés à tomber enceintes.

    Même s’il existe un degré de réussite, il existe cependant des risques pendant la période de gestation.

    Un grand nombre de cas ont de grosses probabilités de fausse couche pendant le premier trimestre de grossesse.

    Cependant, ces risques varient d’une femme à l’autre, presque toujours en fonction du nombre de myomes, leur taille et leur localisation dans l’utérus.

    5. Existe-t-il des traitements pour les myomes utérins ?

    Les interventions chirurgicales font partie des méthodes les plus efficaces et connues pour le traitement des myomes utérins.

    Cependant, malgré ce que beaucoup pensent, ce n’est pas le seul traitement pour réduire leurs effets dans l’organisme.

    Il est essentiel de savoir qu’aujourd’hui, il existe des médicaments qui diminuent la sévérité de ses symptômes et les déséquilibres hormonaux qu’ils impliquent.

    De plus, quand ils sont trop petits, nul besoin de recourir à la chirurgie.

    Prenez connaissance des possibilités :

    • Les petites tumeurs sont traitées avec des médicaments prescrits par un médecin.
    • Si les effets des médicaments ne sont pas suffisants, la seule solution est l’ablation.
    • Le procédé se nomme myomectomie et se focalise sur l’élimination des grosseurs sans affecter directement le tissu de l’utérus.
    • D’autre part, il existe un traitement à base d’acétate d’ulipristal qui consiste en un modulateur de progestérone qui aide à empêcher la croissance des grosseurs dans l’utérus.

    Pour conclure, même si ces myomes ne sont pas considérés comme des problèmes graves ou urgents, ils requièrent tout de même une consultation gynécologique.

    Si beaucoup ne grossissent pas et passent inaperçus, le mieux est de trouver un traitement pour éviter qu’ils ne grandissent et ne génèrent des complications.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • N'AYEZ PAS PEUR !

     
     
    "N’aie pas peur, petit troupeau ! Car il a plu à votre Père de vous donner le Royaume."Luc 12.32
     
     

    Dieu nous dit “N’aie pas peur” ou “Ne sois pas effrayé” plus d’une centaine de fois dans sa Parole. Bien entendu, c'est un message important que le Père veut que nous comprenions !

    Ne craignez pas que vos besoins ne soient pas satisfaits ! 

    Tout ce que le diable peut faire est de vous mentir. Il peut vous avoir dit que vos besoins ne seront pas comblés, mais ce n'est rien d’autre qu'un mensonge. L'objectif de Satan est que vous perdiez la foi afin de basculer dans la peur.

    La peur est l’opposé de la foi. La peur est en fait la foi dans le diable et dans ses mensonges. La foi consiste à croire pleinement Dieu et ce qu’il vous dit. Vous ne pouvez pas être, à la fois, dans une attitude de foi et dans une attitude de peur.  

    Ne craignez pas que vos besoins ne soient pas satisfaits ! Vous faites partie du troupeau de Dieu et il est le bon berger. Il n’y a rien à craindre lorsque le troupeau suit son berger de près. Le berger fournit tout ce dont ses moutons ont besoin.

    Une action pour aujourd’hui

    Choisissez la foi au lieu de la peur. Gardez vos yeux fixés sur le berger et non ps sur ce que l’ennemi de votre foi est en train de vous dire. Vous y arriverez ! Dieu répondra à chacun de vos besoins alors que vous chercherez son Royaume et sa justice.

     
    N'ayez pas peur !
     
    Source : topchretien.com
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • 5 problèmes de santé à l’origine des chevilles gonflées

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même s'il existe différents remèdes maison qui désenflamment les chevilles gonflées, si l'inflammation ne se résorbe pas, mieux vaut consulter un médecin pour qu'il fasse un diagnostic.
     

    Vous avez les chevilles gonflées en permanence et vous ne savez pas très bien à quoi cela peut être dû ?

    Eh bien, prenez note car il existe différents problèmes de santé qui se manifestent via le gonflement des chevilles.

    Il existe de nombreuses astuces pour soulager le gonflement, comme lever les jambes, plonger les pieds dans de l’eau tiède avec du sel, boire des infusions anti-inflammatoires comme celle de pissenlit.

    Cependant, si le problème persiste, mieux vaut consulter un-e spécialiste pour connaître la cause du gonflement.

    Ainsi, vous pourrez l’éradiquer à la racine, et vérifier si c’est un avertissement qui veut vous signifier que quelque chose ne tourne pas rond dans votre organisme.

    1. Les vaisseaux sanguins fragiles

    La raison la plus fréquente des pieds gonflés est la mauvaise circulation sanguine. C’est le cas des personnes âgées chez qui les vaisseaux se fragilisent ou qui souffrent d’un problème plus grave.

    Dans les cas des personnes plus jeunes, cela peut provenir d’un problème congénital ou d’autres causes, comme :

    • La posture incorrecte lorsqu’on s’assoit.
    • Passer beaucoup d’heures debout.
    • Dormir dans une mauvaise position.

    Si c’est le cas, il suffit de changer d’habitudes pour résoudre l’affection.

    Mais il n’est jamais de trop de consulter un médecin car cela peut aussi être un signe précoce d’insuffisance veineuse.

    Les maladies vasculaires dans les extrémités inférieures se classent en maladies artérielles et veineuses.

    • Les maladies artérielles peuvent être dues à un défaut localisé sur les artères, par exemple, les anévrismes, ou être la conséquence d’autres douleurs comme l’athérosclérose.
    • Les maladies veineuses comportent les thromboses veineuses.

    2. Les caillots de sang

    Si le gonflement survient dans une seule jambe, cela peut être le signe d’un caillot de sang qui obstrue les veines.

    Ce gonflement peut être accompagné de :

    • La douleur
    • La fièvre de faible degré
    • Les changements de couleur, comme l’obscurcissement ou la pâleur de la peau

    Dans tous les cas, le mieux est de consulter un médecin le plus tôt possible pour obtenir un bon diagnostic.

    3. Mal faire ses exercices

    Si vous faites vos exercices vous-même, peut-être que vous les faites mal.

    Si vous souffrez de gonflement au niveau de chevilles, faites attention car il ne faut pas confondre le gonflement avec l’inflammation d’origine musculaire.

    • Cette dernière est différente car elle est accompagnée de douleur, et elle se ressent de l’intérieur, non pas au niveau de la superficie.
    • Les inflammations musculaires sont plus fréquentes dans une seule extrémité, mais si elles se présentent sur les deux, demandez-vous si vous faites bien vos exercices et si vous utilisez de bonnes chaussures.

    4. Ne pas bien se reposer

    Un repos inadapté peut aussi provoquer un certain gonflement, fruit de la rétention de liquides.

    C’est le signe que l’on se repose peu ou que l’on s’alimente mal.

    • Pour soulager le problème, réduisez votre consommation de sodium, de sucre et de farines.
    • Reposez-vous 15 minutes par jour avec les jambes sur-élevées et bien sûr, n’oubliez pas de dormir entre 6 et 8 heures par jour.

    5. Une réaction à certains médicaments

    Peut-être que si vous prenez un médicament, vous avez eu une réaction indésirable.

    Certains médicaments provoquent en effet des gonflements en guise d’effets collatéraux.

    • Le mieux est de consulter un médecin : dans certains cas, c’est un effet qu’il faudra tolérer, mais dans d’autres, une nouvelle prescription devra réguler la médication ou la changer complètement.

    Remèdes naturels pour soulager les chevilles gonflées

    Heureusement, il existe des solutions naturelles qui vous aideront à soulager ce problème et à diminuer les possibles gênes qu’il peut occasionner.

    Pour cela, vous pouvez profiter de l’huile essentielle de camomille, ou préparer une infusion qui vous servira à faire un léger massage sur la zone en question.

    Ingrédients

    • 2 cuillerées de fleurs de camomille (20 g)
    • 2 tasses d’eau (500 ml)

    Préparation

    • Faites chauffer l’eau et quand elle commence à bouillir, ajoutez-y la camomille.
    • Laissez faire la décoction pendant 10 minutes.
    • Retirez du feu et attendez qu’elle refroidisse.
    • Filtrez et versez sur les jambes petit à petit.
    • Pendant quelques minutes, faites des massages avec des mouvements circulaires, des pieds aux genoux.

    N’oubliez pas que si vous avez les pieds gonflés et que cela ne s’améliore pas avec ces conseils, cela peut être le symptôme de quelque chose de plus grave.

    Dans ce cas, consultez un médecin le plus tôt possible.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 signes d’addiction à l’alcool

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Si l'on cesse de voir l'alcool comme un complément aux réunions et qu'on en fait le personnage protagoniste, il y a un problème.
     

    Pensez-vous que l’addiction à l’alcool est présente dans votre vie ? Parfois, au début de la consommation, on peut douter des risques que l’on a de devenir alcoolique. 

    Pour que vos doutes se dissipent ou qu’ils se confirment et que vous puissiez prendre des mesures, nous vous présentons ici 6 signes qui indiquent que vous souffrez d’addiction à l’alcool.

    Il n’y a que vous qui pouvez en être conscient-e alors ouvrez les yeux et ne niez pas ce qui peut devenir un véritable problème !

    L’addiction à l’alcool et ses signaux

    1. Boire avant l’heure

    Que signifie « avant l’heure » ? Eh bien, par exemple, si vous avez rendez-vous avec vos amis pour regarder un match de foot, que vous allez partager quelques bières ensemble, et qu’avant vous commencez déjà à boire de l’alcool.

    Vous vous prenez un shot d’une boisson qui vous plaît, un cocktail ou vous ouvrez une bouteille de vin.

    Si vous consommez de l’alcool bien avant la rencontre sociale, vous êtes sûrement addict.

    2. Vous commencez à refuser toutes les boissons non-alcoolisées

    Si vous avez déjà un problème d’addiction à l’alcool, ou que c’est le début, vous pouvez vous en rendre compte car vous commencez à vous moquer des boissons faibles en alcool ou sans alcool.

    Même si vous pensez que c’est ridicule ou sans importance, en réalité, c’est grave car c’est une manière de consommer des quantités d’alcool plus élevées ou de choisir les alcools les plus forts.

    3. Boire trop vite

    Il est vrai que dans certains contextes sociaux, il est habituel de prendre un verre de vin, un shot de tequila etc. Mais cela a lieu de manière complètement naturelle et sans anxiété.

    Cependant, vous êtes susceptible de souffrir d’une addiction à l’alcool, si on vous dit ou que vous vous êtes rendu-e compte que vous buvez trop rapidement, comme si vous aviez très soif.

    De fait, dans ce cas, il semblerait que l’important n’est plus de se socialiser mais de boire.

    4. Vous vérifiez le mini-bar ?

    Si la première chose que vous faites en arrivant dans la chambre d’un hôtel, ce n’est pas de regarder la vue, la salle de bain ou le lit, mais que vous allez directement au mini-bar, vous avez un sérieux problème avec l’alcool.

    Vous vous retrouvez dans un espace complètement nouveau avec plein de choses à explorer avant ce réfrigérateur de boissons.

    De plus, pensez à la situation précédant votre entrée dans la chambre : étiez-vous déjà en train de penser et d’imaginer le contenu du mini-bar ?

    5. Vous contrôlez quotidiennement vos réserves d’alcool ?

    Si parmi vos tâches quotidiennes, outre la préparation des repas, le ménage et le rangement de certains espaces, se trouve la vérification de vos réserves d’alcool, attention !

    Ce ne serait pas un problème si cela ne provoquait pas chez vous de l’anxiété et si cela ne vous déconcentrait pas à certains moments de votre vie.

    La peur de se retrouver sans alcool est une alerte d’addiction.

    6. La recherche d’amis qui aiment boire

    Lorsqu’on souffre d’une addiction plus profonde à l’alcool, on commence à mépriser les boissons qui n’en contiennent pas ou peu, mais également les personnes qui n’aiment pas en boire.

    Soudain, on se retrouve à chercher de nouveaux amis qui partagent ce goût et nous laissons de côté ceux qui ne le partagent pas.

    Même si ce sont des amis chers, même si nous les connaissons depuis toujours, l’addiction peut être plus forte que toute relation.

    L’addiction à l’alcool, tout comme toute autre addiction, vous avertit que quelque chose est en train de se passer, avant que vous n’y soyez complètement plongé.

    Mais ses signaux sont parfois si subtils qu’ils peuvent passer inaperçus.

    Quand l’addiction va trop loin, parfois le désir de sevrage est perçu comme quelque chose de quasiment impossible, à cause du pouvoir qu’on lui accorde. On ne parvient plus à la stopper et elle finit par complètement nous contrôler.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Lipœdème : une maladie difficile qu’il faut connaître

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si certains confondent cette maladie avec la cellulite, le lipœdème ne se guérit pas avec un changement de régime alimentaire, puisqu'il s'agit d'une maladie chronique.
     

    Le lipœdème (aussi connu sous le nom de « syndrome de l’inflammation) est une maladie chronique qui affecte majoritairement les femmes. 

    Il est caractérisé par une accumulation démesurée de tissu gras dans la zone des hanches.

    À la différence de la cellulite classique ou des poignées d’amour, il peut également toucher la zone des mollets et des chevilles, et provoquer des douleurs intenses.

    Qui en souffre a un problème esthétique et psychologique puisque presque sans savoir comment et soudainement, il ou elle voit le volume de ses hanches et de ses jambes augmenter au point de limiter sa mobilité.

    Le lipœdème n’est pas très courant chez les hommes mais dans le peu de cas connus, on remarque une inflammation très frappante de la zone du visage.

    Il faut savoir, également, que ce n’est pas un simple problème d’obésité : l’alimentation et les habitudes de vie du patient n’ont rien à voir avec cette accumulation excessive de graisse.

    Il s’agit en effet d’une maladie d’origine génétique qui entraîne aussi de la souffrance physique.

    Aujourd’hui, dans cet article, nous voulons vous parler de cette maladie pour donner aux personnes affectées toute la visibilité qu’elles méritent.

    La vie avec le lipœdème, un défi à affronter au quotidien

    Sara a 29 ans et sa vie était tout à fait normale jusqu’à ce qu’elle accouche. Après son accouchement et alors qu’elle élevait son bébé, elle a commencé à suivre un régime rigoureux pour perdre l’excès de poids qu’elle avait pris pendant la grossesse.

    Mais, au fur et à mesure que les mois passaient, son corps a commencé à subir quelque chose d’inhabituel.

    • Elle a minci du tour de taille, du torse et des bras, qui ont repris leur taille originale, mais ses hanches et ses jambes n’ont cessé d’accumuler de la graisse, et encore de la graisse.
    • Au bout d’un an et demi, elle ne pouvait à peine marcher et a été obligée de se déplacer en fauteuil roulant.

    Les médecins n’ont pas tardé à lui donné le diagnostic : lipœdème. Une maladie dont Sara n’avait jamais entendu parler.

    Sa vie a alors tourné au cauchemar. Son quotidien de réceptionniste et de jeune maman a totalement changé.

    Les options de traitement sont limitées et les seules approches thérapeutiques qu’on lui offre sont des bas de contention et des exercices doux.

    Une autre alternative est la liposuccion. Mais elle n’a pas de moyens économiques pour payer une telle opération.

    De plus, les médecins lui affirment qu’en peu de temps, le lipœdème reviendra : ses jambes gonfleront à nouveau. 

    Sara est consciente qu’elle va avoir besoin d’aide pour s’occuper de son bébé et qu’elle devra sûrement trouver un autre travail.

    Son miroir lui renvoie maintenant l’image d’une autre femme qu’elle va devoir accepter et aider.

    Qu’est-ce qui cause le lipœdème ?

    Aussi curieux que cela paraisse, il n’existe pas beaucoup d’études claires et objectives sur les origines du lipœdème, cette accumulation excessive de graisse dans les jambes, les bras ou le visage dans le cas des hommes.

    On suspecte qu’il y a une cause génétique et que des facteurs métaboliques, inflammatoires et hormonaux peuvent agir.

    Quels sont les symptômes ?

    Cette accumulation anormale de graisse peut commencer dès la puberté, après une grossesse ou même à la ménopause.

    Voici les premières choses que le patient remarque :

    • Des douleurs dans les tissus mous au repos, quand on marche ou quand on les touche.
    • Une accumulation subite de graisse « lipœdèmique », au niveau du tour de taille, des mollets ou des chevilles.
    • Les pieds ne sont pas affectés.
    • La graisse s’accumule en nodules ou en coussinets qui exercent une pression sur les articulations, au point que l’on ne peut plus marcher normalement.
    • La peau perd en élasticité.
    • Des œdèmes et des bleus apparaissent.

    Au bout de quelques mois, après cette première étape, la personne remarque les choses suivantes :

    • La sensation de froid constante
    • La fatigue
    • La peau acquiert une texture similaire à celle de la gomme
    • La douleur chronique et une détérioration progressive de la mobilité. Deux facteurs qui, ajoutés aux problèmes d’image, génèrent des sentiments d’abattement, de colère et de tristesse qui peuvent déboucher sur une dépression.

    Y-a-t-il un traitement pour le lipœdème ?

    Comme nous l’avons signalé précédemment, le lipœdème n’a rien à voir avec une mauvaise alimentation ou avec des habitudes de vie peu saines.

    Il s’agit d’une maladie chronique, limitante et usante pour les personnes qui en souffrent. D’où le fait que l’approche thérapeutique doit être large, individualisée et ne pas négliger la part psychologique.

    Les régimes et les diètes de jeun ne résolvent pas le lipœdème. Il n’existe pas non plus de traitement pharmacologique spécifique qui puisse résoudre cette tendance excessive à accumuler de la graisse.

    Les traitements les plus communs sont les suivants :

    • Les bas de contention qui « drainent » et éliminent la graisse.
    • Les massages focalisés sur le drainage lymphatique manuel.
    • La pressothérapie
    • Les ondes de choc
    • La mésothérapie
    • La radiofréquence

    Sachez aussi que la liposuccion n’aide pas forcément. Ce n’est pas la solution et dans de nombreux cas, elle peut être très négative car la graisse réapparaît au bout d’un moment.

    Beaucoup de patients constatent de très bons résultats avec la natation. Il s’agit finalement de trouver la stratégie qui fonctionne le mieux pour chaque malade.

    Il est important d’aborder chaque approche avec optimisme, en acceptant le changement et la maladie contre laquelle il n’existe pas encore de solution efficace.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 conseils qui vous aideront à surmonter

    les douleurs lombaires de manière naturelle

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Souvent, sans nous en rendre compte, nous adoptons des postures impossibles face à l’ordinateur, en travaillant ou même en marchant. Les lombaires sont directement affectées par ces mauvaises positions.
     

    Les douleurs lombaires sont un des troubles dont la plupart des gens souffrent, surtout lorsqu’ils mènent un style de vie sédentaire.

    Elles se caractérisent pour une sensation incommode de tension et de rigidité dans la zone basse du dos parfois accompagnées de fourmillements et de difficultés de mouvements.

    Leur apparition peut se produire suite à une mauvaise position en marchant ou en restant assis, bien que cela puisse également être un signe de troubles articulaires, osseux ou musculaires.

    Même s’il existe de nombreux traitements conventionnels pour minimiser la sévérité de ces symptômes, il est prudent de suivre certaines recommandations pour y faire face de manière naturelle.

    Étant donné que tout le monde peut en souffrir de manière inespérée, nous voulons partager avec vous dans cet article les 8 conseils utiles pour soulager les douleurs lombaires.

    1. Améliorer la position corporelle

    Garder une bonne position corporelle est une habitude simple et saine qui vous permet de diminuer la fréquence des douleurs lombaires.

    Cette mesure élémentaire maintient les muscles à leur place et les aide à donner un meilleur appui à la colonne vertébrale.

    De cette façon, la silhouette s’améliore esthétiquement et l’exercice physique et mental augmente durant les activités quotidiennes.

    2. Pratiquer un exercice physique

    Bien que le fait de garder le repos peut permettre de diminuer la douleur lorsque l’on souffre d’une forte tension, la pratique d’un exercice physique et d’étirements sert de complément pour soulager et réduire leurs apparitions répétitives.

    Ces activités améliorent la circulation du sang et, en même temps, augmentent la force des muscles et les os pour éviter les lésions ou la détérioration.

    3. Combattre l’excès de poids

    Le sédentarisme et le surpoids qui en découle est étroitement lié aux épisodes continus de douleurs lombaires et articulaires.

    En effet, les muscles doivent réaliser plus d’effort pour supporter le trop de masse corporelle.

    Par conséquent, pour surmonter ces douleurs caractéristiques, il faut perdre du poids.

    Pour y arriver nous devons améliorer notre régime et adopter des bonnes habitudes telles que l’exercice physique.

    4. Utiliser une balle de tennis

    De nombreux physiothérapeutes et d’entraîneurs physiques utilisent des balles de tennis comme élément thérapeutique pour réduire les douleurs lombaires.

    En faisant tomber le corps sur la balle de tennis sur une superficie ferme on peut réaliser des mouvements lents qui, en plus d’améliorer la circulation, calment la rigidité et la tension.

    5. Lever les jambes

    Une simple technique comme celle de lever les jambes en arrivant chez soi peut permettre de détendre le dos pour éviter la sensation de douleur et de fatigue.

    Cet exercice permet d’activer la circulation depuis la partie inférieure du corps et d’optimiser l’oxygénation des muscles et le flux sanguin.

    Il est nécessaire de le pratiquer dans un endroit commode, en essayant de garder le dos droit et d’utiliser un appui ferme.

    6. Bien dormir

    Avoir une bonne qualité de sommeil est étroitement lié aux douleurs qui, très souvent, interfèrent avec les activités quotidiennes.

    Ceux qui dorment moins de 7 heures par jour ont tendance à souffrir plus de douleurs lombaires en comparaison avec ceux qui suivent un horaire de sommeil approprié.

    Cela est dû à ce que, pendant une période de repos, les muscles se détendent et la circulation du dos, du cou et des épaules s’améliore.

    Bien évidemment, il est primordial de vérifier la posture en dormant, car une mauvaise position peut provoquer des effets indésirables.

    7. Boire des infusions calmantes

    La consommation d’infusions aux propriétés anti-inflammatoires et analgésiques est une façon 100% naturelle de contrôler les douleurs lombaires.

    Les composés actifs de certains épices et plantes bloquent la réaction inflammatoire du corps et aident particulièrement à réduire la rigidité des muscles.

    Face aux premiers signes de douleurs n’hésitez pas à consommer ces infusions :

    • Curcuma
    • Gingembre
    • Lavande
    • Piment
    • Écorce d’orange
    • Menthe
    • Réglisse
    • Fenouil
    • Camomille

    8. Appliquer des compresses froides et chaudes

    Les thérapies avec des compresses froides et chaudes sont une bonne solution pour réduire les douleurs musculaires qui affectent la partie basse du dos.

    Ces températures appliquées de manière alternée améliorent la circulation du sang de la zone affectée et atténuent les taux d’inflammation.

    De plus, elles peuvent se compléter avec les propriétés de certaines plantes ou huiles essentielles qui favorisent leurs effets apaisants.

    Vous souffrez fréquemment de ces troubles ? Mettez en pratique tous les conseils que nous venons de vous indiquer et contrôler les douleurs lombaires sans recourir à des traitements plus coûteux.

    Cependant, si les douleurs persistent, consultez votre médecin pour en déterminer l’origine.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 signes surprenants du cancer du poumon à ne pas négliger

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Certaines gênes en lien avec le cancer du poumon, comme la toux persistante ou la fragilité musculaire, peuvent passer inaperçues car elles sont considérées comme normales ou sont associées à une activité habituelle.
     

    Le cancer du poumon est l’un des types de cancer qui cause le plus de mort-e-s dans le monde entier. Contrairement à ce que l’on pense, il ne se déclare pas uniquement chez les personnes qui fument. 

    Ce type de cancer se développe également chez les non fumeur-se-s car iels sont exposé-e-s à d’autres facteurs déclencheurs, tels que :

    • La pollution de l’air
    • Être fumeur-se passif-se
    • L’exposition à des chimiques comme l’asbeste ou le radon

    La douleur dans la poitrine est l’un des principaux symptômes mais il ne faut pas négliger les autres signes du cancer du poumon.

    Selon l’étape à laquelle se trouve cette maladie, on peut expérimenter les symptômes suivants.

    La confusion des signes du cancer du poumon

    Certaines gênes qui peuvent être un avertissement de ce type de cancer peuvent passer inaperçues ou être confondues avec une autre maladie.

    On les attribue souvent à un rhume courant ou à la fatigue due à une activité en particulier.

    Pourtant, tenir compte immédiatement des premiers symptômes augmente l’efficacité du traitement.

    Voici les symptômes.

    1. La toux persistante

    C’est souvent une toux sèche qui est parfois accompagnée de sang. Il peut aussi y avoir de la morve de couleur rouge.

    Si la toux dure pendant plus d’un mois et génère des ronflements ou une voix rauque, mieux vaut consulter un spécialiste des voies respiratoires pour faire des tests et écarter la possibilité d’un cancer du poumon.

    Beaucoup de gens oublient et négligent ce symptôme car il est très gênant de faire des examens. Cependant, pensez que plus vous les ferez tôt, plus vos doutes se dissiperont rapidement.

    2. Les infections chroniques

    Vous avez remarqué que la bronchite vous affecte plus souvent sans cause apparente ? Dans ce cas, demandez à votre médecin qu’il vous fasse un check-up complet.

    Ce qui doit impérativement tirer la sonnette d’alarme, ce sont les douleurs dans la poitrine. Ces douleurs ne sont jamais communes.

    • On pense souvent que la douleur dans la poitrine n’a qu’un lien avec les problèmes de cœur.
    • Si votre cardiologue a écarté cette possibilité, vous devriez demander à votre médecin qu’il évalue vos poumons.

    3. La perte de poids

    Si vous avez perdu du poids sans rien changer dans votre régime alimentaire ni avoir débuté un programme d’exercices, vous devez réfléchir à la cause de ce changement.

    Même si à première vue, cela peut sembler génial, avec le temps, cela peut représenter un grand problème.

    4. La douleur des os

    C’est un signe de cancer du poumon qui se présente quand la maladie s’est déjà propagée dans d’autres parties du corps. En général, le dos et les hanches sont les zones qui sont les plus affectées.

    Certaines personnes voient ce symptôme comme quelque chose de commun, surtout quand on est âgé. Mais quel que soit votre âge, vous devez vous assurer que la douleur des os ne cache rien de grave.

    5. L’inflammation du cou et du visage

    Cela arrive quand la tumeur fait pression sur la veine cave, qui est celle qui transporte le sang de la tête et des bras jusqu’au cœur.

    L’inflammation apparaît car la circulation sanguine est plus lente que la normale. Vous ne parviendrez pas à éliminer l’inflammation avec des massages ou d’autres alternatives.

    6. La fragilité musculaire

    C’est un signe du cancer du poumon qui affecte les hanches, les bras, les épaules et les jambes. Il est fréquent de ressentir de la fragilité et un manque de force, ce qui fait que les activités du quotidien deviennent difficiles à réaliser.

    7. De forts niveaux de calcium

    Dans certains types de cancer du poumon, les taux de calcium augmentent et l’afflux sanguin est plus fort. Cela produit les symptômes suivants :

    • La miction fréquente
    • La constipation
    • La soif excessive
    • Les nausées
    • La douleur d’estomac
    • Les nausées

    La seule manière de vérifier et d’être sûr de ce qui arrive dans l’organisme est de réaliser un test sanguin.

    8. La respiration forcée

    Vous ronflez lorsque vous dormez ? Les tâches les plus courantes que vous faisiez avant vous semblent compliquées ? Marcher rapidement vous coupe le souffle alors qu’avant ce n’était pas un problème ?

    Le cancer du poumon affecte la capacité aérobic et vous devez consulter un médecin pour qu’il vous fasse des tests.

    Il n’y a que lui qui pourra déterminer si vous souffrez d’un problème grave ou si la respiration forcée est le fruit de l’âge ou du manque d’activité physique.

    Restez alerte face à tout changement inattendu

    Comme vous le voyez, certains signes peuvent être des symptômes d’autres problèmes que le cancer du poumon.

    Ce qui est important, c’est de rester attentif à tout changement dans votre corps qui ne soit pas le produit d’une modification du régime alimentaire, de l’activité physique ou d’un traitement.

    Si vous détectez l’un de ces changements, mieux vaut consulter votre médecin pour qu’il évalue ses causes.

    Dans le meilleur des cas, ce sera une fausse alerte mais cela peut aussi être l’opportunité de détecter cette maladie ou une autre à temps.

    Souvenez-vous que le cancer est une maladie dont le diagnostic précoce augmente les possibilités de bénéficier d’un traitement qui réussit.

    Évitez aussi l’exposition à des facteurs cancérigènes comme la fumée du tabac et autres agents chimiques toxiques.

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 bienfaits surprenants de la respiration profonde

    d’après la science

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Saviez-vous que la respiration profonde peut nous aider à éliminer les toxines de manière efficace ainsi qu’à combattre la douleur grâce à la libération d’endorphines ?

    La respiration profonde ou la respiration lente confère calme et bien-être à la personne qui la pratique de manière régulière.

    Ce type de technique, où la personne s’habitue à prendre des grandes bouffées d’air profondes, en retenant cet oxygène et en l’exhalant pendant le plus longtemps possible, est très fréquente dans le yoga ou le mindfulness.

    Toutefois, il faut dire qu’au-delà de ces pratiques qui disposent de ce lien classique avec le bouddhisme et la méditation, elles ne sont pas très fréquentes dans notre quotidien.

    Ainsi, nous nous demandons rarement « comment nous respirons ».

    Cependant, il est important de savoir à titre d’information, que des scientifiques de l’Université de Stanford ont élaboré une étude intéressante au cours de laquelle ils ont démontré à quel point ce type de respiration pouvait être important.

    Mark Krasnow, biochimiste et directeur de ce travail, nous explique même qu’ils ont identifié un petit groupe de neurones qui interviennent entre ce type de respiration et la relaxation, l’attention et même l’efficacité pour réguler les émotions et réduire l’anxiété.

    Nous sommes, sans aucun doute, face à une stratégie simple et accessible que nous devrions tous pratiquer.

    Il suffit d’ouvrir la bouche et de respirer profondément, doucement et posément.

    Vous le faites déjà ? Formidable ! Ci-dessous nous vous expliquons en quoi elle peut vous être bienfaitrice.

    1. Respiration profonde pour réguler le stress et l’anxiété

    La respiration est une action que nous faisons de manière involontaire. Nous inhalons de l’oxygène pour obtenir et créer de l’énergie au niveau cellulaire.

    Ensuite, nous exhalons du dioxyde de carbone, ce sous-produit provenant de la respiration cellulaire.

    Ce processus presque magique nous apporte des bienfaits notables tant qu’il est effectué de manière posée, rythmée et profonde.

    • Toutefois, nous avons tous déjà ressenti ceci : lorsque nous prenons peur ou que nous sommes paniqués, notre respiration devient saccadée et très rapide : ce processus signalé auparavant se rompt et s’altère en provoquant un « arrêt » du cœur.
    • De son côté, la respiration profonde a la capacité de réguler le système nerveux parasympathique pour stimuler un état de relaxation : le cœur se calme, ainsi que l’esprit.

    En apportant à notre corps de l’oxygène de manière calme, constante et régulière, nos muscles cessent également d’être tendus.

    C’est alors que notre système sympathique, de son côté, cesse d’envoyer ses pics élevés de cortisol et d’adrénaline à notre corps.

    Notre corps entier et notre esprit entrent dans un état de calme très adapté.

    2. Nous éliminons des toxines

    Cette information est intéressante : nos corps sont conçus pour libérer une grande partie de leurs toxines à travers la respiration.

    • Le dioxyde de carbone est un résidu toxique naturel qui provient des processus métabolique de notre corps et qui, pour autant, doit être expulsé régulièrement.
    • Toutefois, lorsque nos poumons sont habitués à exercer des respirations rapides, nous n’arrivons pas à expulser entièrement ces déchets.

    Aussi serait-il bon que nous prenions conscience de cela et qu’au moins deux ou trois fois par jour, nous prenions au moins 10 minutes pour respirer profondément.

    3. Nous diminuons la sensation de douleur

    Ce que nous faisons presque toujours de manière inconsciente lorsque nous ressentons de la douleur c’est contenir notre respiration.

    Il s’agit d’un mécanisme naturel de notre cerveau lorsque nous recevons un coup, un impact, lorsque nous sommes blessés…

    Toutefois, et si nous souffrons de douleurs chroniques et régulières dues à l’arthrite, au lupus ou à la fibromyalgie, cette technique nous soulagera :

    Essayez de contenir la respiration pendant quelques secondes et respirez de manière profonde et posée.

    De cette manière, nous libérerons des endorphines, ces analgésiques naturels du corps.

    4. Cela nous aider à améliorer notre posture

    Quelque chose d’aussi simple que de pratiquer la respiration profonde dès à présent nous permettra d’améliorer notre schéma corporel et, surtout, l’axe dos-cou.

    En remplissant nos poumons d’air nous arriverons à stimuler la colonne vertébrale afin de la mettre dans une posture plus harmonieuse, équilibré et correcte.

    N’hésitez pas à l’essayer.

    5. Nous stimulons le système lymphatique

    Le système lymphatique est une partie essentielle du système immunitaire du corps et il est composé d’un réseau complexe de vaisseaux lymphatiques, de tissus, d’organes et de ganglions qui remplissent de nombreuses fonctions.

    L’une d’entre elles, celle qui est chargée du liquide lymphatique, libère notre organisme du reste des cellules mortes et des autres déchets.

    La respiration profonde nous aidera à y arriver, en permettant que la lymphe coule de manière adaptée pour notre corps puisse travaille de manière plus efficace.

    6. Prend soin de notre cœur

    Ce qui est également intéressant de savoir c’est que l’exercice aérobic (le cardio) utilise la graisse comme de l’énergie, tandis que l’exercice anaérobic (entraînement de force) utilise le glucose comme énergie.

    Toutefois, si nous nous habituons tous les jours à pratiquer « l’exercice » de la respiration profonde, nous pratiquerons une fabuleuse routine cardio.

    Elle améliorera notre santé cardiovasculaire et nous aidera à brûler les cellules graisseuses.

    7. Nous améliorons la digestion

    La respiration profonde améliore notre digestionVous devinez comment ?

    • C’est très simple. En apportant à notre corps plus d’oxygène et de manière plus régulière, nous l’administrons également aux organes digestifs pour qu’ils travaillent plus efficacement.
    • De plus, nous augmentons le flux sanguin et nous stimulons également l’action intestinale.
    • Nous ne devons pas non plus oublier que ce type de respiration régule le système nerveux, de cette manière nous nous sentons plus calmes et la digestion se fait plus tranquillement et plus efficacement.

    Nous absorbons même mieux les nutriments !

     

    Maintenant, dites-nous. Vous êtes déjà convaincu des incroyables bienfaits de cette simple respiration ? Commencez dès aujourd’hui à la pratiquer, et vous vous sentirez beaucoup mieux au quotidien.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 choses à éviter après manger

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    La plupart d'entre nous font des erreurs après manger, ce qui peut provoquer des gênes, entraver la digestion et même l'absorption des nutriments.
     

    Même si on ne voit pas directement le lien, il y a des erreurs à ne pas commettre si l’on vient de manger.

    Alors si vous voulez préserver votre santé et votre bien-être, prenez note de ces 5 conseils sur les choses que vous devez éviter après manger.

    1. Faire du sport

    Faire du sport après le repas n’est pas du tout conseillé. Le mieux est de le faire avant ou suffisamment après avoir mangé (attendez au moins deux heures).

    Faire du sport le ventre plein peut entraîner le hoquet et des nausées, ainsi que des lésions et des crampes.

    • Si vous n’avez pas le temps de faire du sport à un autre moment, optez pour quelque chose de doux comme la marche.

    2. Fumer

    Le tabac n’est jamais bon mais il est encore pire pendant la digestion.

    Pendant ces moments, tous les systèmes du corps travaillent et si l’on fume pendant cette période, la nicotine sera absorbée beaucoup plus rapidement.

    Les conséquences ? Cela augmentera encore plus son effet négatif.

    • De plus, le tabac peut bloquer le processus d’absorption des vitamines et des minéraux tels que le calcium et les vitamines C et D.

    Évitez de fumer, au moins pendant les 20 premières minutes qui suivent votre repas.

    3. Attention à la sieste

    Manger et aller dormir juste après peut être nocif pour la santé.

    Même si cette habitude ne fait pas prendre de poids, comme on peut le penser, elle augmente par contre l’acidité ainsi que le risque de souffrir d’un accident vasculaire cérébral.

    4. Prendre une douche

    Prendre une douche après manger n’est pas conseillé, tout comme aller à la piscine ou se baigner en général.

    En effet, quand on se baigne ou qu’on se douche, la température de notre corps augmente légèrement et l’organisme a besoin de pomper plus de sang que d’habitude.

    Tout cela peut affecter le processus digestif et ralentir la digestion.

    La solution ? Attendez au moins 30 minutes pour prendre votre douche après le repas et vous éviterez ainsi les possibles contretemps.

    5. Boire du thé

    Boire un thé après avoir mangé est une habitude assez répandue et pourtant peu saine.

    Il s’agit d’une boisson qui empêche l’absorption de fer, et il faut impérativement en tenir compte, surtout si l’on souffre d’anémie.

    Si vous souffrez de déficit en fer ou si vous êtes enceinte, ne buvez pas de thé au moins dans l’heure qui suit votre repas.

    Si vous ne pouvez pas vous passer d’une boisson chaude après le repas, optez pour le café, qui ne présente pas ces inconvénients.

    6. Manger un fruit

    On pense souvent l’inverse mais prendre un fruit à la fin du repas n’est pas une très bonne idée.

    La digestion du fruit n’est pas aussi simple qu’on pourrait le penser : les fruits requièrent différentes enzymes pour être digérés.

    De plus, les sucres simples que l’on trouve dans les fruits ont besoin de temps pour être complètement absorbés par le corps.

    Le mieux est donc d’opter pour des fruits le ventre vide : vous profiterez ainsi de tous leurs nutriments, leurs fibres et leurs sucres simples.

    Souvenez-vous que les fruits sont composés principalement de fructose. Celui-ci peut se transformer rapidement en glucose. Pour éviter cela, consommez les fruits le ventre vide.

    Mangez des fruits au moment où votre corps peut assimiler de manière efficace tous les nutriments que le fruit apporte.

    7. Attention à votre ceinture

    Si vous avez tendance à porter une ceinture, surveillez bien qu’elle ne serre pas trop votre ventre après manger. Cela peut en effet provoquer des problèmes intestinaux indésirables.

    Tenez compte de ces conseils pour améliorer votre digestion et votre bien-être.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les causes méconnues de migraines

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    L'un des déclencheurs les plus communs de la migraine sont les changements de pression atmosphérique. De même, on peut souffrir de ce mal les week-ends, quand notre cerveau se détend.
     

    Le mal de tête est si habituel que nous n’y prêtons pas toujours l’attention qu’il mérite.

    Les migraines peuvent être provoquées par différents facteurs, dont des facteurs génétiques et artériels.

    Découvrez certains des déclencheurs de ce problème qui affecte des milliers de personnes dans le monde entier.

    Quels sont les causes des migraines ?

    Même si la principale cause des migraines est inconnue, il existe certains facteurs qui déclenchent cette condition qui peut souvent être incapacitante.

    Si vous souffrez de cet fort mal de tête, cela peut être dû aux facteurs suivants :

    1. Le climat

    Le changement de température et le niveau d’humidité dans l’environnement peuvent influer sur le moral, sans aucun doute.

    Mais ils peuvent aussi avoir une incidence sur l’apparition ou le degré des migraines.

    • Ainsi les céphalées empirent quand ont lieu des chutes dans la pression atmosphérique, qu’il fait trop chaud ou que l’humidité est très élevée.

    Si on ne peut pas contrôler le climat, on peut au moins se préparer à affronter la situation.

    • Par exemple, en été, il faut éviter de sortir le midi ou faire des activités trop physiques jusqu’au soir.

    2. Les aliments

    Certains plats peuvent augmenter le mal de tête comme, par exemple, le fromage très affiné, les légumes en saumure et les aliments frits.

    Si vous êtes sujet à ce type de céphalées, évitez aussi les aliments qui contiennent trop de conservateurs et d’additifs artificiels (la grande majorité de ceux que l’on vend dans le marché actuel).

    Il est donc recommandé d’avoir une vie plus saine et un régime qui inclut beaucoup de légumes et de fruits crus, surtout pendant une période de migraines.

    3. Les week-ends

    Même si cela semble étrange, les samedis et dimanches sont les journées de mal de tête. Ce sont les jours les plus attendus de la semaine et ce sont pourtant les points de départ de la douleur.

    En effet, entre le lundi et le vendredi, on subit les effets élevés du stress à cause du travail, des responsabilités, des études etc.

    Quand le week-end arrive, l’organisme se détend trop et change beaucoup d’habitudes : on se couche et on se lève plus tard, on sort faire la fête, on mange mal, on fait trop d’activités d’un coup etc.

    4. La caféine

    Elle n’est pas uniquement présente dans le café, mais également dans les sodas (de type Coca-cola).

    La caféine produit de la déshydratation dans l’organisme et va directement dans le sang. De là, elle va jusqu’au cerveau et l’altère.

    C’est pour cela qu’après avoir bu une tasse de café, on se sent excité. Cependant, cela a des conséquences : l’apparition de migraines.

    Il faut aussi faire attention à l’abstinence de caféine, car elle peut aussi entraîner des maux de tête.

    • Si vous aimez le café, ne cessez pas d’en boire du jour au lendemain. Le processus doit être progressif.

    5. Trop dormir

    Cela arrive par exemple pendant les vacances ou pendant les week-ends.

    Si, lorsque nous avons mal à la tête, nous ne pensons qu’à nous allonger et à nous reposer, cela ne fera qu’accentuer le mal.

    Plus que tout, il faut tenir compte des altérations du sommeil dans le quotidien.

    • Dormir plus de 8 heures d’affilée une fois de temps en temps n’est pas mauvais si on en a besoin, mais si cela devient une habitude, ce n’est pas bon.
    • Souvent, la personne ne veut pas se lever ou ses siestes sont trop longues. Il est important d’éviter ces comportements.

    6. Les boissons alcoolisées

    Elles ont un effet similaire sur le corps que celui de la caféine.

    Les personnes qui boivent de l’alcool de temps en temps sont exposées au mal de tête et aux migraines car les substances qu’il contient sont toxiques pour l’organisme, déshydratent et mettent beaucoup de temps à être éliminées.

    De plus, cela génère un plus grand travail des reins et du foie. Un verre de vin rouge lors des repas n’est pas mauvais mais sortir faire la fête tous les jours, si.

    7. Le stress

    Les conséquences du stress prolongé sur l’organisme sont très nombreuses.

    Même si on peut penser que personne n’échappe à ce problème et que l’on ne peut rien faire pour cela, nous avons à notre disposition des dizaines de techniques pour cesser d’être stressé-e et ainsi ne pas souffrir de migraines.

    Par exemple, on peut pratiquer de la méditation ou du yoga, prendre un bain moussant en arrivant chez soi, aller en campagne le week-end ou choisir des activités agréables après le travail.

    Le manque de magnésium

    Si vous n’ingérez pas la quantité suffisante de ce nutriment, il est probable que vous soyez exposé aux maux de tête. Augmentez votre consommation d’aliments riches en magnésium, tels que :

    • Le son de blé
    • Les herbes sèches (coriandre, menthe, entre autres)
    • Les graines de courge, de tournesol, de lin et de sésame
    • Les amandes, les noix de cajou, les noix du Brésil

    9. La stimulation sensorielle

    Quand une lumière nous aveugle, quand nous entrons dans une parfumerie ou que nous regardons un film d’action au cinéma, nous pouvons souffrir de migraines, à cause de ces stimulations sensorielles.

    Les membranes qui recouvrent le système nerveux central sont irritées face à certains sons, lumières ou odeurs et stimulent les récepteurs de douleur situés dans le cerveau.

    10. La sensibilité au gluten

    Cela ne signifie pas être cœliaque, mais être intolérant-e au gluten.

    Vous pouvez savoir si vous souffrez de ce problème en cessant de consommer les aliments qui contiennent cet ingrédient : les gâteaux, le pain, les pizzas etc. et en analysant l’évolution de votre mal de tête.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 10 symptômes rares du reflux gastrique

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Si nous présentons les symptômes du reflux gastrique, bien que nous pouvons les attribuer à d’autres motifs, il est conseillé de consulter un spécialiste pour suivre un traitement approprié et soulager ces maux.
     

    Le reflux gastrique ou gastro-œsophagien se produit quand le contenu de l’estomac, aliments, jus et acides gastriques remontent par l’œsophage vers la bouche.

    Même s’il n’arrive pas toujours jusqu’à la bouche, il parcourt généralement en moyenne 40 centimètres de l’œsophage et peut produire une sensation d’ardeur, de brûlure ou d’acidité.

    Le reflux gastrique se manifeste généralement quand le corps s’incline ou se couche après avoir ingurgité un repas abondant ou gras. Il survient plus facilement pendant la nuit au moment où l’on va se coucher.

    Si vous avez ressenti ce problème, nous vous recommandons de dormir avec une certaine inclinaison de la partie supérieure de la tête du lit, mais de manière horizontale.

    La sensation d’acidité est le signe le plus fréquent de tous, cependant il existe d’autres symptômes rares de reflux gastrique que nous allons traiter dans cet article.

    1. Augmentation de la salivation

    Un des premiers symptômes rares du reflux gastrique que vous pouvez expérimenter est un excès de salivation et il peut survenir pendant les repas.

    Vous noterez alors que la quantité de salive est supérieure à la normale. C’est un mécanisme des glandes salivaires qui se préparent pour digérer le mieux possible le repas ingéré.

    2. La pneumonie

    Si nous parlons de symptômes rares du reflux gastrique, la pneumonie est un des états les moins connu.

    • Cela se produit parce que quand les acides voyagent à travers l’œsophage, ils ne l’irritent pas uniquement mais peuvent parfois arriver dans les poumons.
    • Si cela arrive, vous pouvez souffrir d’une infection pulmonaire et une pneumonie à cause du reflux gastrique.

    3. Douleurs de poitrine

    Le troisième des symptômes rares du reflux gastrique est plus étroitement lié à une attaque cardiaque qu’à un reflux.

    Néanmoins, dans la plupart des cas, la douleur de poitrine est due à l’acidité et bien que ce ne soit pas grave, il est préférable de se rendre à l’hôpital ou aux urgences les plus proches.

    4. Saveur amère dans la bouche

    L’action des acides gastriques peuvent laisser une saveur amère dans la partie supérieure de la gorge lorsqu’ils remontent à travers l’œsophage.

    • Cette saveur restera plusieurs heures et le principal problème est qu’elle affectera la dégustation des aliments.
    • Certaines personnes associent ce problème avec le manque d’hygiène buccale ou avec des problèmes de foie. Avant de rester sur le doute, surveillez de près que vous ne présentez pas d’autres symptômes rares associés au reflux gastrique.

    5. Ronflements et problèmes respiratoires en dormant

    Vous souffrez de problèmes respiratoires ? Ils augmentent ou empirent durant la nuit ? Cela peut être à cause du reflux gastrique qui, en remontant depuis l’estomac, provoque comme un « sifflement ».

    De plus, les acides peuvent passer dans les voies respiratoires et déclencher des irritations et des infections associés à des épisodes de toux et d’étouffements pendant la nuit.

    6. Difficultés pour digérer les aliments

    Lorsque le reflux est silencieux et que nous ne l’avons pas traité depuis longtemps, les acides gastriques de l’œsophage laissent des cicatrices et des brûlures.

    Cela affectera le passage des aliments et vous commencerez à ressentir des sensations gênantes en mangeant.

    • Le plus habituel est de sentir des « écorchures » lorsque vous ingérez les aliments.
    • Les aliments qui présentent le plus de problèmes sont les acides et piquants.
    • Pour éviter que cela devienne un problème qui vous empêche de suivre un régime varié, essayez de traiter le plus vite possible le reflux gastrique.

    7. L’acidité gastrique

    Un autre des nombreux symptômes du reflux gastrique s’origine quand les acides gastriques remontent dans l’œsophage. La sensation peut varier d’une personne à une autre et peut s’avérer difficile d’identifier au début.

    Selon son intensité, vous pouvez ressentir un léger mal-être jusqu’à une douleur intense dans la poitrine.

    8. La régurgitation

    Cette sensation apparaît quand l’acide gastrique remonte et peut même parfois provoquer des vomissements.

    • S’ils sont fréquents ils peuvent éroder l’émail des dents et provoquer certains problèmes dentaires.

    9. La dyspepsie

    La dyspepsie est l’indigestion accompagnée d’un mal être dans la partie supérieure de l’estomac. Dans certains cas elle est douloureuse et représente presque toujours un symptôme du reflux gastrique.

    Certaines personnes peuvent sentir les symptômes suivants :

    • Inflammation
    • Sensation d’être trop rassasié
    • Douleur d’estomac
    • Éructation

    Si vous souffrez un de ces symptômes il est préférable de consulter votre médecin pour éviter des complications comme un ulcère ou un cancer.

    10. La toux sèche

    Le dernier des symptômes rares du reflux gastrique peut souvent provoquer une sensation de boule dans la gorge.

    Cette sensation est très gênante et provoquera le besoin de tousser ou de s’éclaircir souvent la gorge.

    Restez attentifs aux symptômes rares du reflux gastrique

    Vous avez identifié un ou plusieurs de ces symptômes ou connaissez quelqu’un de proche qui pourrait en souffrir ? Si c’est le cas, il est recommandable de faire appel à l’aide d’un-e spécialiste pour écarter la présence de reflux gastrique en réalisant les examens spécifiques.

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

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  • 7 raisons pour lesquelles vos articulations vous font souffrir

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Face au moindre signe de douleur dans les articulations qui ne se calme pas, il est fondamental d’aller voir un-e spécialiste pour écarter toute complication possible et obtenir un traitement adapté.

    Les articulations font partie du système locomoteur du corps humain et grâce à elles vous pouvez bouger. Vous souhaitez connaître les principales raisons pour lesquelles vos articulations vous font souffrir ?

    Ce que devez d’abord savoir c’est qu’il n’y a pas qu’une seule raison, mais qu’il peut y avoir plusieurs éléments déclencheurs.

    Aujourd’hui ci-dessous nous allons vous donner les plus fréquents.

    1. Infections

    C’est l’une des raisons les plus fréquentes pour laquelle vos articulations vous font souffrir.

    Si vous avez eu une blessure qui ne s’est pas bien nettoyée, il se peut qu’elle ait été infectée par des bactéries communes comme le Staphylococcus aureus ou Streptococcus.

    Au début elle vous fera mal, puis la fièvre apparaîtra ainsi que les frissons qui y sont liés. Dans ce cas l’intervention médicale est nécessaire. Le plus normal c’est que le médecin vous prescrive des antibiotiques par voie intraveineuse pour combattre les bactéries.

    Il est important d’aller consulter un médecin spécialisé. Dans le cas contraire, l’infection pourrait augmenter et envahir le reste du corps et provoquer une septicémie qui pourrait être mortelle.

    La bonne nouvelle c’est que le traitement médical est très simple, facile à faire et économique s’il est prescrit à temps.

    2. Goutte

    Lorsque l’on consomme trop de protéines, le corps produit de l’acide urique comme une partie du processus métabolique pour les éliminer.

    Malheureusement, si votre consommation de protéine est trop haute elles ne sont pas dépurées correctement. Cela signifie que la protéine s’accumule et provoque une inflammation des articulations.

    Ce problème médical s’appelle la goutte. Ses symptômes sont :

    • Chaleur et gonflement
    • Sensibilité du tube digestif et rougeurs

    Il est important que vous sachiez qu’une consommation élevée de protéines n’est pas la seule raison de ce problème mais l’une des principales.

    D’autres facteurs liés à la goutte et pour lesquels vos articulations vous font souffrir sont la consommation d’alcool, l’excès de sucre et le surpoids.

    Pour éviter ce problème, il suffit de manger sain et d’avoir un style de vie sain.

    3. Maladie de Lyme

    La maladie de Lyme est une autre des raisons pour lesquelles vos articulations vous font mal. Il s’agit d’une maladie infectieuse qui se produit par la piqûre d’une tique infectée.

    Cette maladie survient lorsque la tique extrait le sang de la personne et y introduit une bactérie.

    Les symptômes sont :

    • Eruptions cutanées
    • Fièvre
    • Douleurs dans le corps
    • Rigidité du cou
    • Fatigue

    Si vous pensez que vous pouvez souffrir de ce problème, il est nécessaire d’aller voir le médecin pour obtenir un bon diagnostique.

    Heureusement, il suffit d’un traitement aux antibiotiques pour éliminer l’infection et pour éviter qu’elle ne se répande vers d’autres articulations et organes internes.

    4. Lupus

    Le lupus est une maladie répertoriée comme auto-immune et c’est l’une des autres raisons pour laquelle vos articulations vous font souffrir.

    Et s’il n’est pas soigné correctement, il peut affecter toutes les articulations.

    En effet le système immunitaire attaque différentes parties de l’organisme comme s’ils étaient des agents externes nocifs.

    Cela signifie que le lupus peut affecter les articulations, la peau, le sang, les reins, le cœur, les poumons et d’autres organes. 

    Ceux qui souffrent de cette maladie peuvent présenter :

    • Eruptions cutanées
    • Chute de cheveux
    • Plaies buccales
    • Problèmes respiratoires
    • Problèmes de mémoire

    5. Gonorrhée

    La gonorrhée est une maladie sexuellement transmissible qui affecte les parties génitales et les articulations et provoque ce que l’on connaît comme l’arthrite gonococcique.

    Si vous souffrez de cette maladie et que vos articulations vous font mal vous devez en parler à votre gynécologue pour analyser si vous avez besoin d’un changement de traitement.

    Si vous n’êtes pas sûr-e d’en souffrir mais que vous avez ou que vous avez eu une vie sexuelle très active et avec peu de précautions, vous devez prêter attention aux symptômes suivants :

    • Fièvre.
    • Douleur abdominale faible et articulaire.
    • Douleur dans les mains et les poignets à cause d’une inflammation.
    • Brûlure au moment d’uriner et éruption cutanée.

    6. Arthrite rhumatoïde

    L’arthrite rhumatoïde est une autre des raisons possibles pour laquelle vos articulations vous font mal.

    Ce type d’arthrite est une maladie auto-immune qui se caractérise principalement par un gonflement et une rigidité matinale des articulations.

    D’autres facteurs peuvent également se présenter comme de la fièvre, de la fatigue et une perte de poids.

    L’arthrite rhumatoïde commence en générale de manière légère et, avec le temps, elle peut arriver à provoquer des difformités dans les mains.

    Le traitement est long et consiste en :

    • Physiothérapie
    • Médicaments
    • Exercices
    • Chirurgie

    L’idéal est de la traiter depuis le début pour que ses effets soient les plus faibles possibles.

    7. Mouvements répétés

    Il est possible que les raisons que nous avons mentionnées ci-dessus pour lesquelles vos articulations vous font mal n’aient rien à voir avec vous.

    Dans ce cas vous devez y prêter attention pour découvrir si vous faites des mouvements répétitifs de la zone qui vous fait souffrir ou qui vous gêne.

    Parfois nous nous habituons tellement à certaines activités que nous ne les remarquons même plus et nous les associons encore moins aux problèmes de santé que nous avons.

    Les mouvements répétitifs peuvent engendrer :

    • Tendinite. C’est une inflammation du tendon qui connecte le muscle et l’os. Il empêche que l’articulation ne bouge correctement.
    • Inflammation des ligaments. Les ligaments font partie de l’appareil locomoteur et s’ils sont endommagés cela peut provoquer le mouvement de l’articulation.

    Si vous avez remarqué que vos articulations vous faisaient souffrir, nous vous recommandons d’aller consulter votre médecin pour en déterminer la raison et trouver la solution.

    Peut-être qu’au début vous pensez que ce n’est rien mais, avec le temps, les problèmes peuvent s’aggraver jusqu’à en affecter votre vie quotidienne.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 SIGNES QUI MONTRENT

    QUE VOUS AVEZ TROP DE SUCRE DANS LE SANG

     

     

     

     

     

     

    Soif intense, grande fatigue, changement de poids… Quels sont les symptômes d’une hyperglycémie, définie par un excès de sucre dans le sang ? Et comment réagir pour limiter au mieux le risque de diabète ? On fait le point, avec les explications du docteur Pierre Nys, endocrinologue et nutritionniste.

     

    Trop de sucre dans le sang : ça veut dire quoi ?

    ©iStock

    Le taux de sucre dans le sang s’appelle la glycémie. "Il peut être inquiétant lorsqu’il dépasse 1,10 gramme de sucre par litre de sang ", révèle le docteur Pierre Nys, endocrinologue. "S’il atteint 1,15 ou 1,20 g/L chez une personne possédant des antécédents familiaux et une obésité androïde*, il faudra prendre beaucoup de précautions", ajoute le médecin. Ces valeurs d’hyperglycémie peuvent en effet témoigner d’un prédiabète, une condition définie par une glycémie plus élevée que la normale, mais pas suffisamment pour établir le diagnostic du diabète
    Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le diagnostic du diabète est confirmé par "une glycémie à jeun supérieure à 1,26 g/L à deux reprises".

    * Excès de masse graisseuse localisée principalement au niveau de l’abdomen.

     

    Le premier signe : une grande fatigue

    ©iStock

    Les signes physiques d’un excès de sucre dans le sang n’apparaissent que tardivement, "quand le déséquilibre glycémique est ancien et qu’il n’a pas été pris en charge", explique le docteur Nys. 
    Si les débuts d’une hyperglycémie ne présentent généralement pas de symptôme, "le premier signe le plus commun consistent en une grande fatigue et une somnolence", dévoile le médecin. 
    Bon à savoir : "La fatigue peut s’accompagner d’autres symptômes tels que des palpitations ou une transpiration excessive. Ils ne sont pas spécifiques mais peuvent alerter" ajoute l’endocrinologue.
     
     

    Une perte de poids

    ©iStock

    Un deuxième signe évoquant un excès de sucre dans le sang peut être un "amaigrissement spontané", nous apprend le docteur Nys. 
    Il ne s’agit en général que d’une discrète perte de poids, de un à trois kilos, parfois associée à une grande fatigue "mais le malade peut se sentir en parfaite forme physique", détaille le professeur André Grimaldi dans son Guide pratique du diabète *.

    Guide Pratique du diabète , 3e édition. Pr André Grimaldi, Editions MASSON 2005

     

    Une sensation de soif intense

    ©iStock

    La soif intense est un signe souvent évocateur de diabète, mais reste un symptôme tardif qui ne survient que pour des hyperglycémies supérieurs à 3g/L*. 
    Pourquoi ? "Lorsqu’il y a trop de sucre dans le sang, le corps produit plus d’urine pour éliminer cet excès. C’est cette polyurie qui entraîne une soif secondaire appelée polydipsie", décrit le docteur Nys.

     

    Une grande faim

    ©iStock

    Comme la soif intense, la sensation de faim est un signe relativement tardif de l’hyperglycémie. 
    Pourquoi ? "Elle résulte d’une anomalie de diminution du taux de sucre au niveau cellulaire et cérébral", selon le docteur Nys.
     
     

    Des infections uro-génitales

    ©iStock

    Des infections cutanées ou uro-génitales telles que des balanites (des inflammations du gland et du prépuce), des mycoses vaginales ou des cystitespeuvent être le signe d’une hyperglycémie et ainsi être à l’origine de la découverte d’un diabète.
     
     

    Des problèmes de vue

    ©iStock

    Si le diabète a été largement méconnu et s’est installé, l’hyperglycémie peut se manifester par des complications typiques du diabète. Il peut s’agir par exemple d’une cruralgie, de plaies au pied, d’une baisse de l’acuité visuelle ou encore d’un accident cardiovasculaire.
     
     

    Que faire en cas de doute ?

    ©iStock

    Une hyperglycémie n’est jamais à prendre à la légère. En cas de symptômes d’excès de sucre dans le sang ou de doute , "le plus simple sera de consulter son médecin traitant", conseille le docteur Nys."L’examen qu’il pratiquera consistera tout simplement à vérifier la glycémie, soit pendant la consultation au moyen d’un appareil capillaire s’il en est équipé, soit grâce à une prise de sang qu’il prescrira. Les résultats seront alors obtenus dans la journée", souffle le spécialiste. 
    Et ensuite ? "Si le taux de sucre dans le sang est supérieur aux valeurs normales, il faudra surveiller régulièrement ces valeurs, surtout s’il existe un contexte familial de diabète ou si la personne présente une obésité de morphologie androïde", avertit le docteur Nys. 
    Mais rien ne sert d’attendre les symptômes : "Chez les personnes présentant des antécédents et de prédispositions au diabète, la meilleure solution consiste à réaliser un dépistage systématique en vérifiant régulièrement la glycémie", préconise le médecin.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : Merci au docteur Pierre Nys, endocrinologue et nutritionniste à Paris, auteur de l’ouvrage Ma bible de l'alimentation antidiabète, Leduc's éditions 2017.
              Guide Pratique du diabète, 3e édition. Pr André Grimaldi, Editions MASSON 2005
              Organisation Mondiale de la Santé
              medisite.fr
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • Pourquoi et comment éliminer le pH acide du corps ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le pH alcalin est synonyme de bonne santé, et il est donc important de l'équilibrer pour éloigner l'acidité et se sentir bien.
     
      

    Le pH du corps peut être beaucoup plus important que ce que l’on peut croire.

    Il détermine si votre corps se trouve dans un état sain d’alcalinité.

    Les bactéries et les micro-organismes ont besoin d’un pH acide pour se développer, et il faut donc éviter l’acidité à tout prix.

    Tout ce que nous mangeons ou buvons affecte notre pH. Certains aliments nous rendent plus acides, alors que d’autres nous rendent plus alcalins.

    En général, les aliments d’origine animale comme la viande et les produits laitiers sont acides, alors que les aliments d’origine végétale tels que les fruits et les légumes sont alcalins.

    Mais les facteurs environnementaux jouent aussi un rôle important.

    Les produits de nettoyage comme le savon, la lessive, les désodorisants, les nettoyants pour vitres et d’autres produits de ménage contiennent des chimiques, toxiques pour le corps et qui contribuent à son acidité.

    Vous pouvez surveiller la quantité d’acidité dans votre corps vous-même.

    Qu’est-ce que le pH ?

    Pour les personnes qui se demandent en quoi consiste le pH, sachez que ces deux lettres représentent le potentiel d’hydrogène, qui est une mesure de la concentration d’ions d’hydrogène dans le corps.

    • L’échelle du pH va de 1 à 14, 1 étant le plus acide, 7 le neutre et 14 le plus alcalin.
    • La quantité de pH idéal est de 7,3 à 7,45, qui est la base, légèrement alcalin.

    À cause de notre alimentation, et surtout de notre consommation excessive d’aliments transformés, et des environnements plein de chimiques, notre organisme a tendance à être trop acide.

    Comment évaluer son pH ?

    Pour connaître la quantité de pH que vous avez dans le corps, vous pouvez vous procurer des pansements prévus à cet effet, disponibles en pharmacie.

    • Pour cela, il suffit de mettre le pansement dans la bouche, pour qu’il ait un contact avec la salive pendant deux ou trois secondes.
    • Une fois le temps écoulé, comparez-le avec le tableau de couleurs et surveillez votre pH.
    • Il est conseillé de le faire aux premières heures du matin, avant de manger ou de boire, car les aliments et les boissons peuvent altérer la lecture du pH de la salive.

    Une autre manière d’évaluer le PH est à travers l’urine et cela doit aussi être effectué le matin.

    • Le premier test d’urine peut être un peu plus acide car le corps nettoie l’acide quand vous dormez la nuit. Ainsi, le mieux est de le faire avec la deuxième urine de la journée.

    Pourquoi est-il important de connaître ses niveaux de pH ?

    La lecture du pH est un grand indicateur de l’état de santé du corps.

    Voici certaines maladies et troubles qui sont liés à l’excès d’acidité :

    • Le diabète
    • L’obésité
    • Les migraines et les nausées le matin
    • La cataracte
    • Le cancer
    • L’arthrite, l’ostéoporose et la goutte
    • L’ictus
    • Les allergies

    Comment éliminer le pH acide pour être plus alcalin ?

    Il existe plusieurs manières de parvenir à éliminer le pH acide pour être plus alcalin-e.

    Voici deux des manières quotidiennes les plus simples et efficaces :

    • Mélangez le jus d’un citron dans un verre d’eau tiède et consommez-le aux premières heures de la matinée.
    • Mettez une demi-cuillerée de bicarbonate de soude (2 g) dans un verre d’eau et buvez.

    De même, vous pouvez opter pour les alternatives suivantes :

    Augmentez votre consommation de fruits et de légumes

    • Mangez plus d’aliments d’origine végétale et si vous consommez des aliments biologiques, optez uniquement pour les animaux alimentés en plein air.
    • Ajoutez de l’orge, du piment de Cayenne et des algues chlorelle et de la spiruline à votre régime alimentaire.
    • Consommez un régime riche en fruits et en légumes nutritifs et alcalins. Les jus verts sont idéaux pour bénéficier de toutes les vertus des légumes.

    Évitez le sucre et les aliments transformés ou frits

    • Le sucre, aussi bien que les produits transformés et frits élèvent le niveau d’acidité de l’organisme. À la place, optez pour des édulcorants naturels et d’autres méthodes de cuisson.

    Buvez de l’eau de qualité

    • Dans la mesure du possible, essayez de consommer de l’eau du robinet car elle contient du fluor et elle est toxique pour le corps.
    • À la place, optez pour des eaux minérales ou de l’eau fraîche de source.

    Choisissez un ménage écologique

    • Que ce soit pour nettoyer son corps ou sa maison, mieux vaut toujours éviter les produits commerciaux.
    • Utilisez des produits ménagers naturels comme le vinaigre de cidre de pomme dilué.

    Lorsque vous choisissez des shampooings, des gels douche, des dentifrices et d’autres produits d’hygiène intime, prenez des produits biologiques.

    Les produits du commerce classique sont fabriqués avec des produits chimiques qui contiennent une charge toxique massive pour le corps et le rendent acide.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 symptômes qui peuvent vous aider à reconnaitre l’hypothyroïdisme

     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Même si bon nombre de ces symptômes peuvent aussi être dus à des problèmes communs, il est bon de consulter un spécialiste pour écarter le problème d’hypothyroïdie.

    L’hypothyroïdisme est un trouble qui affecte le fonctionnement de la glande thyroïdienne, responsable des processus importants comme le métabolisme et la production d’hormones.

    C’est une maladie commune dans la population actuelle, qui affecte en majorité les femmes, et qui se produit lorsque le niveau des hormones thyroïdiennes diminue ou qu’elles ne sont plus produites en quantités suffisantes.

    Cela génère une série de changements dans de nombreux systèmes principaux de l’organisme et, comme si ce n’était pas suffisant, cela réduit la capacité à maintenir un poids sain et équilibré.

    Le problème c’est qu’elle se développe progressivement et, à cause de ses symptômes, on la confond souvent avec des problèmes plus communs et sporadiques.

    Pour cette raison aujourd’hui nous souhaitons partager les 8 symptômes qui pourraient être déterminants pour reconnaître la maladie et recevoir le diagnostique adapté.

    1. Prise de poids soudaine

    L’excès de poids arrive souvent à cause des mauvaises habitudes alimentaires et du style de vie sédentaire.

    • Toutefois, lorsque la personne a une alimentation saine et qu’elle prend quand même quelques kilos, il est fort probable que cela soit dû à l’hypothyroïdisme.
    • Cette maladie influe directement sur les fonctions métaboliques, en ralentissant les processus chargés de brûler des graisses.

    2. Sensation de fatigue

    La sensation de fatigue physique et mentale, ou de fatigue chronique, est commune chez les patients qui commencent à avoir des problèmes de thyroïde.

    S’il s’agit d’un symptôme lié à de nombreux problèmes de santé, il ne faut pas écarter le fait qu’il soit lié à ce problème.

    3. Cholestérol élevé

    Les niveaux élevés de mauvais cholestérol peuvent être causés par la consommation d’aliments riches en graisses, en hydrates de carbone et d’autres substances qui affectent l’activité du métabolisme.

    Toutefois, lorsqu’il s’accompagne des symptômes précédents, ou qu’il se produit sans raison apparente, il est possible que l’hypothyroïdie se développe.

    Et l’organisme réduit sa capacité à éliminer ce lipide des artères, ce qui rend le nettoyage du sang difficile.

    4. Changements d’humeur soudains

    Lorsque les glandes thyroïdiennes cessent de sécréter la quantité nécessaire d’hormones, apparaissent souvent des changements d’humeur brusques et soudains.

    • Les patients souffrant d’hypothyroïdisme sont fortement sujets aux périodes d’anxiété, de dépression et de stress.
    • Si ces problèmes peuvent avoir de nombreux facteurs à leur origine, il ne faut pas écarter le fait que ce problème est une cause possible.

    5. Problèmes de mémoire

    Les troubles des fonctions thyroïdiennes influent directement la santé du système nerveux et du cerveau.

    • Les déséquilibres hormonaux qui se produisent avec ce problème influent en général sur la fragilité du cerveau et la perte de mémoire.
    • Cela est dû au fait que les neurones tardent davantage à envoyer des signaux au cerveau et, celui-ci à tendance à se fatiguer plus facilement.

    6. Peau sèche

    La diminution des hormones qui se produit avec l’hypothyroïdisme engendre des réactions négatives sur la peau, ce qui affecte la production naturelle des huiles.

    Ceci provoque un excès de sècheresse et, avec le temps, la peau est rugueuse et avec des imperfections.

    De plus, dans de nombreux cas, ce symptôme s’accompagne d’une fragilité des ongles, de la chute excessive des cheveux et de difficultés dans le processus de régénération et de cicatrisation.

    7. Constipation

    La constipation est un problème qui se produit lorsque le corps a des difficultés à éliminer les déchets retenus dans le colon.

    Bien que ce soit un symptôme habituel dans de nombreux troubles digestifs, son développement peut également être dû à une réduction des hormones thyroïdiennes.

    • Cela est dû au fait que la glande thyroïdienne participe au métabolisme et aux activités du tube digestif, deux éléments clés pour une élimination optimale des déchets.
    • De plus, ce problème fragilise la capacité de contraction de l’intestin, ce qui affecte le passage des résidus à travers celui-ci.

    8. Douleurs musculaires

    Les douleurs musculaires sont fréquentes chez ceux qui souffrent de problèmes inflammatoires ou bien, chez ceux qui pratiquent du sport intensément.

    Toutefois, quand ces deux possibilités ne font pas partie des causes, il faut analyser si cette récurrence est liée à l’affaiblissement et au dysfonctionnement de la thyroïde.

    • Bien que nous sommes nombreux à l’ignorer, lorsque les hormones qui régulent le métabolisme diminuent, les muscles et les articulations ont tendance à se fragiliser.

    Toutefois, il s’agit d’un symptôme que nous pouvons soulager grâce à la pratique d’habitudes saines comme les exercices et les étirements de faible impact.

    En conclusion, bien que les symptômes mentionnés correspondent également à d’autres maladies, il est important de prendre en compte qu’ils peuvent être liés à des problèmes de thyroïde.

    Si vous avez des antécédents familiaux ou des facteurs à risque associés à l’hypothyroïdisme, consultez votre médecin.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Signes et symptômes de hauts niveaux d’œstrogènes

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les niveaux élevés d'œstrogènes peuvent aussi bien toucher les hommes que les femmes, c'est pourquoi il faut recourir à un spécialiste le plus tôt possible pour obtenir un diagnostique et un traitement.
     

    Toutes les hormones de votre corps fluctuent constamment à la hausse et à la baisse. Lorsqu’elles sont en parfait équilibre, votre organisme fonctionne comme il le devrait.

    Le problème apparaît quand les hormones ne sont pas aux niveaux optimum et que votre corps expérimente des problèmes qui sont en relation.

    Savez-vous ce que sont les œstrogènes ? Cette hormone est connue comme l’hormone « féminine ». La testostérone, pour sa part, est l’hormone « masculine ».

    Bien que chaque hormone s’identifie avec un genre, les deux se trouvent aussi bien chez les hommes comme chez les femmes, même si les femmes ont plus d’œstrogènes et les hommes plus de testostérone.

    L’œstrogène est l’hormone qui se charge du développement sexuel chez les femmes, elle régule le cycle menstruel et affecte le système reproductif.

    À quoi sont dus les hauts niveaux d’œstrogènes ?

    L’augmentation de l’œstrogène peut être accidentel ou être à l’origine de mauvaises habitudes comme:

    • Abus d’alcool
    • Excès de repas rapides
    • Consommation de certains médicaments

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    Il existe également d’autres motifs pour lesquels vos niveaux d’œstrogènes augmentent. Les plus reconnues sont :

    • Les maladies cardio-vasculaires
    • Le vieillissement (qui favorise la diminution de la testostérone)
    • L’obésité
    • L’exposition aux phytoestrogènes ou aux xénoestrogènes
    • La diminution anormale des niveaux de progestérone
    • Problèmes avec l’insuline chez les diabétiques
    • Médicaments contenant de l’œstrogène
    • Les stéroïdes
    • La consommation de drogues
    • Les pilules contraceptives
    • Problèmes du système digestif
    • Exposition aux produits chimiques, comme les pesticides dans les aliments

    Une autre raison qui joue sur l’augmentation des niveaux d’œstrogène sont les maladies telles que :

    • Problèmes rénaux
    • L’hyperthyroïdie
    • Tumeurs testiculaires
    • Cirrhose

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    Quels sont les symptômes des niveaux élevés d’œstrogènes ?

    Lorsque vous avez de hauts niveaux d’œstrogènes ou de testostérone dans le corps, ils ne se synchronisent pas correctement. Parmi ces symptômes les plus fréquents sont:

    • Inflammation
    • Inflammation et sensibilité des seins. Développement fibrokystiques dans les seins
    • Augmentation des symptômes prémenstruels et diminution du désir sexuel
    • Menstruations irrégulières
    • Maux de tête. Pertes de mémoire
    • Sauts d’humeur
    • Prise de poids
    • Perte de cheveux
    • Mains ou pieds froids
    • Sensation de fatigue ou de manque d’énergie. Difficultés à dormir

    Les effets de niveaux élevés d’estrogènes chez les hommes

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    • Infertilité: l’œstrogène est, en partie, responsable du développement des spermatozoïdes de bonne qualité. Lorsqu’il existe de hauts niveaux d’œstrogènes les niveaux de spermatozoïdes dans le sperme peuvent chuter, ce qui entraîne les problèmes de fertilité.

    Si votre conjoint et vous avez souhaité une grossesse et qu’elle n’a pas lieu, vous devriez demander à votre médecin de vérifier si les hauts niveaux d’œstrogènes sont la cause.

    • La gynécomastie: L’estrogène stimule la croissance des tissus mammaires. Chez les hommes, un excès d’estrogène peut provoquer la croissance de poitrine.

    Ce résultat affectera l’estime d’eux-mêmes de beaucoup d’entre eux. Par chance, il existe de nos jours la possibilité d’être opéré par chirurgie plastique. D’ailleurs, ce type de procédures est devenue très courante.

    • Dysfonction érectile: La balance entre testostérone et œstrogène est importante pour le fonctionnement sexuel aussi bien des hommes que des femmes. Les fonctions sexuelles peuvent êtres affectées lorsqu’il existe un déséquilibre.

    Quand les hommes ont de hauts niveaux d’œstrogènes, ils ont des difficultés à maintenir une érection.

    Comment diagnostiquer les hauts niveaux d’œstrogènes ?

    Il est très probable que votre docteur demande une analyse de sang pour vérifier la quantité  d’œstrogènes présent dans votre organisme. C’est la façon la plus sûre se savoir si vos taux  d’œstrogènes sont élevés, bas ou sont dans un équilibre normal.

    Une fois que vous aurez les résultats, votre médecin pourra travailler sur cette base pour opter et vous prescrire les médicaments qui vous aident  à niveler les taux.

    Peut-être vous demandera t-il de changer certains aspects de votre style de vie pour pouvoir traiter les symptômes.

    Evitez que les taux  d’œstrogènes augmentent

    Il existe de nombreuses manières d’aider notre corps à contrôler les taux élevés d’œstrogènes. Si vous rectifiez certaines habitudes dans votre façon de vivre par des actions simples, vous contribuerez énormément à l’amélioration de votre santé.

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    • Diminuez la consommation d’alcool
    • Incorporez plus de fruits et légumes à votre régime
    • Évitez les aliments gras
    • Réduisez votre stress
    • Consommez plus de fibres
    • Pratiquez un sport ou faites de l’exercice, au moins, trois fois par semaine

    Les taux élevés d’œstrogènes peuvent augmenter le risque de souffrir d’autres facteurs délicats tel le cancer mammaire. L’exposition à des taux importants d’œstrogènes prolongé peut produire un cancer de l’endomètre.

    Consultez votre médecin

    Si vous considérez avoir rencontré des symptômes peu courants, il est préférable de prendre rendez-vous avec votre médecin. Lui seul pourra déterminer si les symptômes sont provoqués par les taux élevés d’œstrogènes.

    Il est crucial de traiter les déséquilibres de cette hormone et de ses causes subjacentes.

    Quand on traite ces symptômes à temps, ils peuvent s’éviter, cependant si vous avez de mauvaises habitudes et une vie mal équilibrée, il est compliqué de les éliminer et de les surmonter totalement.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Des Millions d’italiens s’élèvent contre la nouvelle Loi

    rendant la vaccination obligatoire

     

     

     

     

    Des millions d’italiens s’élèvent contre un gouvernement déterminé à leur enlever les droits les plus élémentaires en adoptant une loi brutale de vaccination obligatoire. Les rues des grandes villes de tout le pays sont bourrées de monde, alors que les médias traditionnels continuent de taire l’ampleur des événements. 

    Pendant plus d’un mois, les Italiens ont manifesté dans toutes les grandes villes du pays contre la loi qui devait rendre 53 doses de vaccins obligatoires pour tous les enfants. Les enfants qui ne seraient pas vaccinés ne seraient pas autorisés à fréquenter l’école.

    « En 2014 à Washington, lors de la visite de Morenzin (Ministre Italien de la Santé), l’Italie a été choisie pour être le leader mondial de la stratégie vaccinale. » Cette information a été évoquée à l’occasion de la manifestation de Rome.

    « Le problème n’est pas le problème des vaccins en eux-mêmes ; le problème est que Glaxo est à l’intérieur de notre Ministère ! »

    L’Italie est à l’avant-garde d’une expérience de vaccination menée par un gouvernement italien corrompu par les dollars de Big Pharma. En permettant aux compagnies pharmaceutiques de créer des lois et de forcer toute la gamme de leurs produits sur l’ensemble de la population contre leur consentement, le gouvernement italien a trahi son peuple.

    Les manifestants en Italie, toutes les personnes de la classe ouvrière unies, se sont mobilisées et résistent à la cupidité de la classe dirigeante et des élites corporatistes. En soutenant activement la loi rendant les vaccinations obligatoires, les médias traditionnels luttent avec acharnement contre ces personnes qui protègent les intérêts de la classe dirigeante.

    Le Sénateur Bartolomeo Pepe dit que les italiens se lèvent parce que le gouvernement veut les priver de leurs droits. La souveraineté de l’individu est érodée en faveur des entreprises. La cupidité a dépassé la dignité.

    Pepe a dit : « Ce pourquoi nous nous battons maintenant n’est pas uniquement le problème des vaccins, mais ce qui est en jeu, c’est la liberté du peuple, parce que les gens sont mis de côté pour favoriser les intérêts de corporations multinationales, comme les banques, les compagnies pétrolières. Nous aurons bientôt à nous battre sur beaucoup d’autres fronts. »

    Cependant, comme le gouvernement et les médias persistent à supprimer cet important mouvement de masse, le peuple ne baisse pas les bras et continue de se soulever, déterminé à résister à la pire fraude médicale de l’histoire.

    Gabriele Milani, père d’un enfant handicapé par un vaccin, s’est adressé à la foule mettant en garde les médecins contre la tolérance qui semble de mise par rapport aux pratiques dictatoriales de Big Pharma. Il est possible que les médecins remplissent leurs poches grâce aux compagnies pharmaceutiques, mais demain, ils risquent aussi de perdre leur propre liberté.

    « Je m’adresse aussi aux professionnels médicaux qui semblent ignorer que nous sommes aujourd’hui les pionniers d’une bataille qui finalement les concerneront tous. Ils risquent de perdre leur liberté de pensée, ils risquent de ne plus pouvoir choisir les thérapies qu’ils voudraient recommander. Chacun de nous est un individu unique, avec son patrimoine génétique unique. Il est donc évident que le même médicament ne peut convenir à tout un chacun. »

    Les médias occidentaux traditionnels continuent de supprimer les informations concernant l’ampleur et l’intensité de la révolution qui est en train de se dérouler dans les rues d’Italie. De ce fait, ils affichent aussi leur refus de défendre les personnes dont les droits constitutionnels sont érodés par un gouvernement corrompu par les dollars de Big Pharma.

    « Un mandat est inconstitutionnel. Ce nouveau décret est inconstitutionnel car il n’existe aucune urgence. Il est inconstitutionnel parce qu’il interdit l’accès à l’éducation, il est inconstitutionnel parce qu’il viole l’intégrité du corps ratifiée par la Convention européenne des Droits de l’Homme. Il y a lieu de faire appel à la Cour Européenne de Justice » a déclaré un manifestant.

    CONNEXION : La Suède a interdit les vaccinations obligatoires

    Alors que le monde est distrait par le G20, et la menace d’un conflit géopolitique, les élites essaient de retirer les droits du peuple.

    Mais une puissante vague de liberté a été générée par la première marche de Rome. D’autres marches de protestation se déroulent à travers tout le pays. Le mouvement ne cesse de prendre de l’ampleur et se poursuivra jusqu’à ce que le gouvernement italien recule et écoute la volonté du peuple.

    Le rassemblement de toutes ces personnes a démontré que l’unité était une force puissante que l’élite ne pourra plus longtemps ignorer. Suite à la pression du peuple, le gouvernement a annoncé des révisions de la loi, mais il continue à maintenir le caractère obligatoire des vaccinations.

    La lutte n’est pas encore terminée. Nous devons tous nous unir pour que cette loi d’obligation vaccinale ne passe jamais en Italie. Et pour qu’aucun autre pays ne tolère que Big Pharma s’infiltre dans leurs institutions d’Etat.

    Source : Yournewswire.com

    Pise : marche au flambeau pour la liberté vaccinale

    Pise : marche au flambeau dans le centre historique de la cité toscane avec comme slogan unique: “LIBERTE”, “LIBERTE”!

    Plusieurs milliers de personnes ont participé à la marche au flambeau pour protester contre l’obligation vaccinale. En tête du cortège, une grande banderole:” On ne badine pas avec la santé – Liberté de Choix et Sécurité”. Les deux mille personnes, dont plusieurs familles avec des enfants n’arrêtaient pas de scander: LIBERTE, LIBERTE ! Cette manifestation qui s’est déroulée dans le Centre historique fut entièrement pacifique.

     

     

     

     

     

    Sources : Anteprima.it

              initiativecitoyenne.be

              sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’arrive-t-il à mon organisme lorsque je ne bois pas assez d’eau ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Plus encore que de nous ôter la soif, l’eau nous aide à maintenir notre cerveau actif, lubrifie les muscles et favorise la purge des résidus de l’organisme.

    L’eau est un liquide fondamental pour notre vie, car notre corps en a besoin pour effectuer les procédés chimiques, comme l’absorption des nutriments des aliments ou l’élimination des résidus, entre autres.

    Malgré cela, la majorité des gens ne consomme pas assez d’eau et, plus le temps passe plus ils présente une série de problèmes de santé.

    Même si l’organisme a la capacité de s’auto nettoyer, le manque d’eau peut lui compliquer la tache et provoquer à son tour une augmentation des niveaux de toxines.

    En conséquence, augmentent le niveau d’inflammation, le risque de maladies chroniques et une série de symptômes qui affectent la qualité de vie.

    Généralement, on recommande de boire au moins deux litres d’eau par jour, incluant celle des fruits, des jus naturels, des soupes etc.

    En ingérer moins du taux recommandé peut provoquer la déshydratation et quelques réactions qui se manifestent autant au niveau interne qu’externe.

    En prenant en compte que beaucoup méconnaissent ces effets, nous allons ici partager avec vous en détail les conséquences d’une mauvaise hydratation.

    Soyez attentifs !

    Problèmes digestifs

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    Les difficultés dans le tube digestif sont l’une des premières manifestations de la déshydratation du corps.

    Environ 98 % de la superficie de la muqueuse de l’estomac est composée d’eau et lorsqu’elle diminue, l’acide peut affecter le revêtement et provoquer l’indigestion, la pyrosis et la constipation.

    Douleurs articulaires

    On estime que 80 % de la composition du cartilage qui protège les articulations est fait d’eau. Aussi, lorsque l’on ne consomme pas assez d’eau, les articulations sont directement engagées.

    Un personne avec une déshydratation chronique a plus de 60 % de risque de souffrir d’arthrose et d’autres problèmes inflammatoires.

    Cela peut également affecter les disques de la colonne vertébrale et provoquer une hernie discale.

    Sécheresse de la bouche et de la peau

    bouche-seche-deshydratation

    Au niveau esthétique la déshydratation est très évidente. La délicate couche qui recouvre la bouche se dessèche et, en n’étant pas assez humidifiée elle peut se creuser.

    De la même manière cela va provoquer des altérations pour la production d’huiles de la peau et en conséquence, elle sera opaque et sèche.

    Même si les produits d’application locale contribuent à y pallier, il est important de l’hydrater depuis l’intérieur pour la soulager.

    Bas niveau d’énergie

    Environ 90% du plasma sanguin est composé de ce liquide et, face à un bas niveau d’eau, le cœur aura des difficultés pour pomper le sang et envoyer l’oxygène à chaque cellule du corps.

    A cause de cela, les niveaux d’énergie diminuent et la personne aura des problèmes pour atteindre un bon rendement physique et mental.

    Problèmes de reins

    reins

    Comme les reins sont les organes qui se chargent de filtrer les déchets et de produire l’urine, une part très importante de leur santé dépend de l’eau.

    Les individus qui ne la consomment pas en quantité suffisante ont de forts taux de toxines dans le sang et ont tendance à souffrir de rétention d’eau et d’inflammation.

    De plus, ils deviennent davantage sujets aux infections urinaires et aux calculs rénaux.

    Problèmes circulatoires

    La circulation du corps devient lente à cause de la déshydratation et plus les jours passent, plus le sang peut se retenir et former des varices.

    Le contrôle de ce problème est très important, car à long terme il peut augmenter le risque d’une haute pression artérielle, de crise cardiaque et d’accident cérébral.

    Diminution de la masse corporelle

    renforce-les-muscles

    Les muscles ont besoin d’eau pour absorber de manière adaptée les nutriments et conserver leur force.

    Un organisme déshydraté peut perdre de manière significative sa masse musculaire et en même temps, être plus flasque et courir un risque de lésions.

    Il est primordial d’augmenter la consommation de liquides tous les jours, surtout lorsqu’on réalise des entraînements à fort impact.

    Ceci va maintenir à des niveaux adaptés les électrolytes, compensera la perte de liquides et évitera la future inflammation.

    Augmente la dépression

    Une déficience dans la consommation d’eau affecte également directement la santé émotionnelle. Sa carence dans le tissu cérébral augmente les niveaux de cortisol et, en plus d’augmenter le stress, elle peut amener à de forts épisodes de dépression.

    Sensation de faim plus grande

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    Le manque de liquide dans l’organisme augmente la sensation de faim et, dans la majorité des cas, conduit à une plus grande consommation de calories que la normale.

    Durant la journée on ressent le besoin d’ouvrir le frigo de manière continue et de choisir des aliments avec un quelconque contenu de liquide.

    Le problème c’est que, par manque d’eau, ces aliments mettent du temps à se digérer et peuvent provoquer une augmentation significative de poids.

    Combien d’eau consommez-vous par jour ? Maintenant que vous connaissez certains effets de la déshydratation, essayez de boire suffisamment pour garder une bonne santé.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 choses à savoir si vous prenez des antidépresseurs

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Outre les antidépresseurs, on peut tester des techniques de relaxation et des exercices physiques qui, associés aux médicaments, font du bien. Il faut les envisager comme des activités complémentaires.

    Il existe de nombreux types de maladies qui requièrent une attention permanente.

    Dans ces cas, les traitements ressemblent au mariage : jusqu’à ce que la mort nous en sépare.

    Quiconque traverse une situation grave et se confronte à la dépression comme un problème médical constant, doit accepter les antidépresseurs comme partie intégrante de sa vie.

    La dépression n’est pas une maladie dans un premier temps, mais peut évoluer dans ce sens si elle n’est pas contrôlée.

    On ne juge personne qui prend des médicaments pour traiter une maladie physique. Alors, pourquoi juger quelqu’un qui fait pareil pour une maladie mentale ?

    Le diagnostic de la dépression peut être aussi difficile que son traitement.

    C’est ce dont vous devez vous souvenir si vous prenez ou que vous envisagez de prendre des médicaments.

    1. Les antidépresseurs ne sont pas des remèdes

    On pense que la dépression est un mélange de causes génétiques, environnementales et psychologiques, aux effets négatifs. Elle conduit à de profonds sentiments de tristesse, de désespoir et de pessimisme.

    Le médicament qui combat la dépression est l’antidépresseur, qui affecte un grand nombre de substances chimiques du cerveau, nommées neurotransmetteurs.

    Ces substances participent à la régulation de notre moral. Mais il ne faut pas se laisser tromper par elles.

    Si ces médicaments peuvent nous aider à nous sentir bien, au point de sauver notre vie en améliorant notre état, cela ne signifie qu’ils marquent la fin des problèmes. Ce ne sont pas non plus des pilules de bonheur.

    Ils vous aideront simplement à réveiller votre esprit et vous permettront d’avoir une vision plus claire des choses.

    2. Les effets secondaires peuvent être inoffensifs jusqu’à très nocifs

    Les antidépresseurs sont des médicaments qui ont des effets secondaires, comme tous les autres médicaments.

    Ils peuvent notamment provoquer une prise de poids, des insomnies, des nausées ou des diarrhées, entre autres. Ils peuvent être désagréables et il est donc important que ce soit un médecin qui vous les prescrive.

    Si vous souffrez d’effets secondaires, vous pourrez consulter ce spécialiste et il saura ce qui est le plus approprié pour vous.

    Peut-être aussi que les antidépresseurs produiront en vous des maux de tête ou une sensation de nervosité. En général, ces symptômes disparaissent dans les premières semaines.

    Mais la prise de poids ou l’impulsion sexuelle décuplée peuvent être plus difficiles à affronter.

    Les médecins ne connaissent pas encore la raison de ces effets secondaires, même s’il y a plus de risques d’aggraver la situation si l’on consomme des drogues ou de l’alcool.

    Si c’est votre cas, soyez honnête avec votre médecin et avec vous-même, et choisissez les drogues ou votre santé.

    3. En général, il y a une marge d’erreur et des essais avant de trouver la dose correcte

    Certaines personnes remarquent que les antidépresseurs produisent des cauchemars et les voient comme quelque chose de normal. Ce n’est pas le cas. Même une mauvaise nuit est l’un des effets secondaires qu’il faut pouvoir éviter.

    D’autres peuvent provoquer des palpitations, mais ce n’est pas parce qu’un antidépresseur a cet effet sur vous que tous aurons le même effet.

    Cela vaut la peine d’essayer avec un autre si vous n’obtenez pas immédiatement les effets désirés. C’est un peu triste mais c’est un jeu de hasard : on ne sait jamais comment va réagir notre corps à l’antidépresseur.

    Il y a des antidépresseurs qui n’auront aucun effet secondaire désagréable sur vous, mais qui ne vous aideront pas non plus à améliorer votre situation.

    Ne vous avouez pas vaincu, car il existe plusieurs options et il est fréquent d’en tester plusieurs. Malheureusement, il est possible de mettre plusieurs années avant de trouver le médicament et la dose parfaite.

    Cela est dû au fait que la chimie du cerveau varie d’une personne à l’autre. Il est même possible qu’un même individu doive changer sa dose avec le temps ou lors de certains moments. Pour toutes ces raisons, la communication honnête et régulière avec le médecin est vitale.

    4. Le yoga et la méditation face aux antidépresseurs

    Oui, le yoga et la méditation sont des options très adaptées pour maintenir votre paix intérieure. Ce sont de bonnes manières d’améliorer votre style de vie. Mais cela ne signifie pas que les antidépresseurs et la thérapie n’aident pas.

    Au lieu de remplacer une option par une autre, vous pouvez travailler avec toutes, comme des outils complémentaires. Souvenez-vous que vous ne devez jamais stopper les antidépresseurs du jour au lendemain.

    Si vous avez décidé de ne pas continuer à les prendre, vous devez avertir votre médecin pour qu’il vous donne les indications correspondantes. Certains de ces médicaments doivent être arrêtés graduellement pour que la chimie du cerveau ne s’en voie pas affectée soudainement.

    5. On ne sait pas comment ils fonctionnent, mais ils fonctionnent

    Si on savait comment ils fonctionnent, les médicaments nommés inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine seraient des solutions faciles.

    Mais il est évident que la dépression est bien plus compliquée de que cela. La sérotonine n’est pas le seul neurotransmetteur impliqué.

    Bien sûr, cela ne signifie pas que les antidépresseurs sont de fausses gélules qui n’ont aucun effet réel. Au contraire, ils fonctionnent très bien. Mais ils doivent être pris uniquement sous prescription médicale.

    Vous avez à présent plus d’informations sur les antidépresseurs, pour savoir si vous pouvez en prendre ou si vous pouvez les arrêter.

    Souvenez-vous que la seule personne qui peut vous les prescrire est un psychiatre.

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Vous souffrez de fibromyalgie ?

    5 conseils simples pour le petit-déjeuner

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les agrumes sont très conseillés pour les personnes qui souffrent de fibromyalgie car ils apportent des vitamines et des minéraux qui aident à contrôler les processus inflammatoires et à réduire la douleur.
     

    Ces dernières années, et grâce à l’avancée des techniques d’imagerie cérébrale, on a pu découvrir de nombreux aspects de la fibromyalgie.

    On sait, par exemple, qu’il existe un certain dysfonctionnement pathologique des réponses cérébrales du système nocicepteur.

    Cela explique le fait que certaines stimulations peuvent être douloureuses, et qu’il existe certains points du corps où se concentre un plus grande charge de douleur.

    On sait aussi que les personnes qui souffrent de fibromyalgie ont en elles une plus forte proportion de petites fibres de type C (en lien avec la neuropathie de la douleur) et moins de fibres neurovégétatives autour des petits vaisseaux sanguins.

    Tout cela fait que l’on comprend de mieux en mieux cette maladie qui n’a rien à voir avec le moral ou n’importe quel trouble psychologique.

    Il s’agit d’une condition qui requiert avant tout d’ajuster ses habitudes de vie, d’être en contact avec les spécialistes, de surveiller les déclencheurs et de prendre soin de son alimentation.

    Par exemple, éviter les aliments qui sont à l’origine de l’inflammation aident les patients à contrôler une partie des déclencheurs liés à la douleur.

    Il est donc important que la personne choisisse bien ses aliments.

    Il faut opter pour ceux qui combattent la souffrance et qui prennent soin des vaisseaux sanguins qui déclenchent souvent une grande partie de cette douleur usante et incapacitante.

    Ici, nous vous proposons des recettes de petits-déjeuners pour commencer vos journées de la meilleure des manières.

    1. Orange au miel et à la cannelle

    Délicieux, naturel et magnifique pour toute personne qui souffre de fibromyalgie. Consommer des agrumes régulièrement et tout au long de la semaine peut réduire considérablement la symptomatologie de cette maladie.

    • Cette douleur qui tenaille comme une « toile d’araignée » dans tout le corps trouve dans la vitamine C un soulagement grâce à son action anti-inflammatoire.
    • Un orange avec un peu de miel et de cannelle est une excellente option pour un petit-déjeuner sain et thérapeutique.
    • Le miel et la cannelle sont également anti-inflammatoires et apportent à la personne une grande énergie pour commencer la journée sur les chapeaux de roue !

    Souvenez-vous qu’il sera toujours mieux de manger un fruit entier. Il suffit de couper l’orange en quartier et d’y ajouter une cuillerée de miel et un peu de cannelle. Vous allez adorer !

    2. L’avocat aux fruits rouges

    Les avocats nous apportent un type de graisses saines essentielles pour tout le monde mais particulièrement pour les patients qui souffrent de fibromyalgie.

    • La vitamine E contenue dans l’avocat nous permet de lutter contre les crampes et les spasmes musculaires.
    • De plus, sa richesse en vitamines B, C et K, et en minéraux comme le manganèse et le fer, ainsi que son apport en fibres, en font des options sensationnelles pour commencer la journée.

    Vous pouvez vous préparer un jus délicieux et y ajouter des fruits rouges. Les fraises, les cerises ou les myrtilles sont pleines de fabuleux antioxydants, indispensables pour les patients atteints de fibromyalgie.

    3. Le jus de citron aux graines de chia

    Nous savons déjà que les agrumes sont très adaptés à cette maladie. Grâce à leurs vitamines et leurs minéraux, nous contrôlons les processus inflammatoires, et donc nous réduisons « un peu » l’impact de la douleur.

    • À présent, pour profiter au maximum des citrons, consommez leur jus naturel associé à une cuillerée de graines de chia.
    • Les graines de chia font partie des aliments les plus nutritifs qui existent car elles nous apportent des protéines, des fibres, des minéraux et des acides gras oméga-3.

    Ces fabuleux nutriments aideront les personnes atteintes de fibromyalgie à débuter la journée avec le maximum d’énergie.

    4. La papaye aux amandes

    Presque 70% des personnes atteintes de fibromyalgie souffrent aussi de côlon irritable. Il est donc nécessaire de prendre soin de sa santé intestinale et d’éviter les aliments qui ont tendance à enflammer.

    Il est évident que chaque personne possède ses propres caractéristiques et ce qui fera du bien à certains, enflammera ou gonflera les autres. Mais, s’il y a un aliment qui fait du bien à tout le monde, c’est bien la papaye !

    • Elle est nutritive et digestive. Si vous l’associez également à quelques amandes, vous obtiendrez un petit-déjeuner nutritif et très sain.

    5. Galettes d’avoine pour réduire l’impact de la fibromyalgie

    Vous êtes prêt-e à les tester ? Vous n’avez besoin que d’un œuf et de farine d’avoine. C’est original et nutritif, et apporte une grande quantité de protéines pour se sentir bien et en forme.

    • N’ayez pas peur de consommer des œufs deux ou trois par semaine. Ce sont des sources naturelles d’énergie et de protéines qu’il ne faut pas rejeter.
    • De son côté, l’avoine nous est très utile par son action purifiante, par sa grande quantité d’acides aminés et car elle aide à contrôler les niveaux de sucre dans le sang.

    À cette galette d’avoine, vous pouvez ajouter, si vous le souhaitez, un peu de fruit nature, comme quelques fraises, un peu de mangue ou même un melon. Vous pouvez inclure un peu de miel et vous aurez une option supplémentaire pour votre petit-déjeuner, que vous adorerez tester.

    Pour conclure, si vous souffrez de fibromyalgie, n’hésitez pas à essayer plusieurs thérapies. Il y en aura toujours une qui s’ajustera à vos caractéristiques pour améliorer votre qualité de vie. 

    De plus, il est indispensable de prendre soin de votre régime alimentaire et de commencer la journée de la meilleure de manière avec ces propositions toutes simples.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 choses à savoir sur les maladies auto-immunes

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si les maladies auto-immunes sont chroniques, nous ne devons pas nous désespérer. Il y a de nombreuses choses qui peuvent nous aider à les comprendre et à améliorer notre qualité de vie.
     
     
    Les maladies auto-immunes sont, dans la plupart des cas, un mystère pour la science. Nous ne savons toujours pas pourquoi notre système immunitaire peut attaquer les cellules de l’organisme, jusqu’à les détruire.

    Des pathologies, comme la sclérose en plaques, la maladie de Crohn ou l’arthrite rhumatoïde en sont quelques exemples.

    Dans de nombreux cas, les prédispositions génétiques sont déterminantes dans leur apparition, même si des facteurs environnementaux peuvent également en être responsables.

    Les personnes qui vivent cette réalité au quotidien voient leur qualité de vie grandement diminuée.

    Ce sont des maladies qui sont généralement chroniques et qui affectent diverses parties de notre corps, comme le lupus érythémateux disséminé (LED).

    Dans la suite de cet article, nous allons vous expliquer 5 choses que vous devez savoir sur ces pathologies.

    Si vous en souffrez ou que vous connaissez quelqu’un dans ce cas, n’hésitez pas à les partager et à vous informer des avancées médicales dans le domaine, qui pourront vous permettre, à vous ou à votre entourage, d’améliorer votre qualité de vie.

    1. Quelles sont les causes des maladies auto-immunes ?

    Comme nous l’avons déjà précisé, la génétique joue un rôle fondamental dans leur apparition.

    De fait, nous savons aussi que les facteurs environnementaux et certains gênes favorisent la survenance de ces maladies. Pourtant, cette corrélation n’est pas présente dans 100% des cas.

    • La théorie qui prévaut en la matière est qu’il existe certains antigènes qui, lorsqu’ils sont absorbés par notre intestin, peuvent déclencher des réactions néfastes.
    • Cette théorie est basée sur la perméabilité intestinale. Une anomalie dans ces organes peut laisser la voie ouverte à ces antigènes, qui passent alors de l’intestin directement dans le sang.

    La réponse immunitaire de l’organisme va alors être totalement déréglée. Notre corps va alors percevoir les tissus de certains de nos organes comme des corps étrangers, puis va les attaquer et les détruire petit à petit.

    fortifier-le-systeme-immunitaire

    2. Les diagnostics de maladies auto-immunes sont en nette augmentation

    Le fait que les professionnel-le-s de santé diagnostiquent de plus en plus de maladies auto-immunes ne veut pas dire qu’il y a plus de cas dans la population mondiale.

    En effet, cette augmentation est davantage imputable aux techniques d’identification de ces pathologies, que l’on associait auparavant à de simples allergies ou à d’autres maladies.

    • De nos jours, les maladies auto-immunes sont reconnues comme un problème de santé majeur. Il est nécessaire de donner plus d’importance à la voix des patient-e-s et de leur permettre d’être mieux accompagné-e-s.
    • La science dispose de mécanismes plus avancés pour comprendre le processus immunitaire, ses défaillances et les symptômes associés aux maladies classées comme chroniques.
    • Il est désormais possible d’identifier ces maladies chez des enfants et de les traiter rapidement pour diminuer leur impact.

    3. Quels sont les grands types de maladies auto-immunes ?

    Nous pouvons diviser les maladies auto-immunes en plusieurs groupes.

    • Les maladies systémiques : elles n’affectent pas un organe en particulier, mais peuvent en attaquer plusieurs. C’est le cas de l’intolérance au gluten et de la sclérose latérale amyotrophique (ELA).
    • Les syndromes locaux : ils touchent un tissu en particulier. Elles peuvent être dermatologiques, hématologiques ou endocriniennes. On retrouve dans ce groupe la thyroïdite de Hashimoto et la colite ulcéreuse.

     

    4. Quels sont les traitements disponibles contre les maladies auto-immunes ?

    Comme nous l’avons signalé tout au début de l’article, les maladies auto-immunes n’ont, pour la plupart, aucun traitement en l’état actuel des connaissances scientifiques. Ce sont des maladies chroniques avec lesquelles nous devons apprendre à vivre.

    Voici quelques conseils que nous pouvons vous donner pour garder votre maladie sous contrôle :

    • Soulagez vos symptômes en vous faisant prescrire le traitement adapté.
    • Prenez soin des organes touchés par votre maladie. Que ce soit votre intestin, votre foie ou votre peau, vous devez lutter pour maintenir votre intégrité et votre qualité de vie, dans la mesure du possible.
    • Essayez les traitements les plus récents. Tous les jours, les médecins font des découvertes sur ces maladies chroniques.

    5. Souvenez-vous que vous n’êtes pas seul-e

    vous-n-etes-pas-seul

    Vivre avec un lupus ou avec une sclérose en plaques n’est pas facile, que ce soit pour le/la patient-e ou sa famille.

    • Pour vous permettre de « survivre » à ces circonstances personnelles difficiles, il est nécessaire de traiter la maladie d’un point de vue holistique.
    • Le traitement médical est une chose, mais le soutien des autres et le volet psychosocial de la maladie ne doivent pas être négligés. Vous devez garder à l’esprit que vous n’êtes pas seul-e. Dans notre communauté, il existe forcément des associations qui seront en mesure de vous apporter tout le soutien dont vous avez besoin.
    • Les groupes de paroles et les associations font un travail formidable dans ce domaine. Ils vous aideront à mieux comprendre votre maladie.
    • Vous allez pouvoir découvrir de nouvelles perspectives. Comme nous vous le disions, des avancées sont réalisées tous les jours dans ce domaine.

    Pour conclure sur le sujet, même si les maladies auto-immunes nous obligent à avoir un style de vie différent, il est nécessaire que nous luttions tous les jours pour notre qualité de vie et notre dignité.

    La science continue à se battre tous les jours pour vaincre ces pathologies. Gardez espoir.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Comment détecter un problème de thyroïde ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les complications de la glande thyroïde peuvent passer inaperçues, car elles se confondent souvent avec d'autres douleurs communes qui affectent notre santé générale. Face à tout doute, mieux vaut consulter un spécialiste.
     

    Vous pensez que votre thyroïde ne fonctionne pas correctement ? Nous vous donnons ici une série de clés pour que vous puissiez vérifier par vous-même si elle souffre de problèmes.

    Comme nous le savons tous, la thyroïde est une glande en forme de papillon qui se trouve dans le cou, devant la trachée.

    Elle a un rôle clé dans le corps, car elle est chargée de produire les hormones thyroxine et triiodothyronine, ainsi que de réguler le métabolisme corporel et la fonction de différents organes.

    Elle est essentielle car chaque cellule du corps dépend des hormones thyroïdiennes pour sa croissance et son développement.

    Voici les fonctions du corps sur lesquelles elle a un impact :

    • La fréquence cardiaque
    • Les niveaux de cholestérol
    • Le poids du corps
    • Le niveau d’énergie
    • La force musculaire
    • Les conditions de la peau
    • La régularité menstruelle
    • La mémoire

    La thyroïde utilise l’iode pour produire ses hormones. Cet élément est indispensable pour un fonctionnement correct, et le corps l’obtient à partir des aliments.

    Un apport déficient en iode peut altérer le fonctionnement de la thyroïde ou l’aggraver.

    On peut obtenir de l’iode via des aliments tels que :

    • Les produits laitiers (yaourt, fromage, lait)
    • Les fruits (orange, pomme, ananas)
    • Les légumes (betterave, cardes, oignons)
    • L’ail
    • Les haricots
    • Les algues marines

    Les symptômes les plus fréquents

    Malheureusement, il n’y a pas de symptôme spécifique qui permette de détecter un mauvais fonctionnement de la thyroïde dès le début.

    Mais, les examens de laboratoire clinique sont les tests les plus sûrs.

    Il faut savoir que les anomalies thyroïdiennes ont des symptômes communs qui peuvent être confondus avec d’autres troubles tels que :

    • Le stress
    • La fatigue
    • La dépression
    • La démence

    La thyroïde peut augmenter de volume et modifier sa structure. Dans de tels cas, elle reçoit le nom de « goitre » et présente une petite grosseur dans le cou.

    • Malheureusement, les complications de la glande thyroïde sont souvent sans symptôme, mais peuvent provoquer des difficultés à avaler, à respirer ou produire des changements dans la voix.
    • D’autre part, les altérations de fonctionnement les plus connues sont l’hyperthyroïdie et l’hypothyroïdie, qui peuvent être accompagnées ou pas de l’augmentation de la taille de la glande.

    Symptômes de l’hypothyroïdie

    L’hypothyroïdie est jusqu’à quatre fois plus fréquente que l’hypothyroïdie etimplique la diminution de la production d’hormones thyroïdiennes.

    Le déséquilibre généré peut provoquer un mauvais fonctionnement général du corps.

    Voici certains des symptômes de ce problème :

    • La fatigue
    • L’intolérance au froid
    • La perte de l’appétit
    • La prise de poids (entre 2 et 4 kilos, à cause de la rétention de liquides)
    • La pression sanguine élevée
    • La peau froide, sèche et rugueuse
    • Les cheveux plus fins ou plus épais, et secs
    • La difficulté à se concentrer et les problèmes de mémoire
    • La parole et les mouvements plus lents
    • Les irrégularités dans le cycle menstruel
    • Les douleurs musculaires et articulaires
    • L’abattement et la somnolence

    Dans le cas où vous souffrez d’hypothyroïdie, vous devez avoir une alimentation équilibrée et variée qui contienne des aliments de tous les groupes, notamment ceux qui sont riches en fibres et pauvres en graisses.

    De plus, il est conseillé d’augmenter l’activité physique.

    Symptômes de l’hyperthyroïdie

    L’hyperthyroïdie est un autre des problèmes que peut présenter la thyroïde.

    À la différence de l’hypothyroïdie, ce trouble produit une plus grande quantité d’hormones thyroïdiennes que nécessaires, ce qui provoque une augmentation du taux métabolique général.

    Parmi les symptômes les plus fréquents, on trouve :

    • L’augmentation de la fréquence cardiaque (palpitations) et de la pression sanguine
    • La nervosité et l’anxiété
    • L’insomnie
    • L’augmentation de l’appétit et la perte de poids
    • La sensibilité à la chaleur
    • Les cheveux fins et cassants
    • La fragilité musculaire
    • Les problèmes de vue
    • L’irrégularité menstruelle
    • Les évacuations intestinales fréquentes
    • Les tremblements
    • L’augmentation de la transpiration

    Si vous souffrez d’hyperthyroïdie, vous devez conserver un régime équilibré et énergétique.

    Si vous pensez que vous souffrez d’une irrégularité de la glande thyroïde, consultez votre médecin pour qu’il vous fasse les tests pertinents et qu’il vous dirige vers un-e spécialiste qui vous donnera le traitement adapté.

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Dis-moi où tu as mal, et je te dirai quel problème tu as

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Notre corps est sage et sait quant il doit nous envoyer des signes en cas de problème intérieur que nous n'avons pas su résoudre.
     

    Savez-vous que le problème auquel vous résistez finit toujours par somatiser dans votre corps ? Le corps crie quand votre bouche se tait, quand votre esprit se ferme pour ne pas regarder en face ce que vous redoutez le plus.

    Plus vous continuez à l’ignorer, plus le corps continuera à vous envoyer des signes qui indiquent qu’il y a quelque chose en vous dont vous devez vous occuper.

    La douleur changera mais l’origine reste la même

    Anna (personnage fictif) est une femme qui depuis qu’elle a eu sa première relation, les enchaîne les unes après les autres, pour éviter ainsi d’être seule.

    À partir de sa troisième relation, elle commence à manifester des symptômes d’anxiété. Ils débutent avec un nœud dans la gorge, mais se déclenchent ensuite des problèmes d’eczéma et même de dermatite.

    Ces problèmes ont surgi soudainement et sans un déclencheur qu’Anna pourrait identifier. Elle pensait qu’il s’agissait peut-être d’un problème héréditaire ou que le stress au travail avait ce type de conséquences.

    Cependant, rien de tout cela n’était à l’origine de ces symptômes.

    Le fait qu’ils changent tout le temps rendaient leur source très difficile à détecter. Et Anna ne pouvait pas approfondir en elle-même tant qu’elle n’était pas seule, sans partenaire.

    C’est à ce moment qu’elle s’est rendue compte que son corps manifestait le problème de dépendance émotionnelle qu’elle avait et qu’elle ne voyait pas.

    Quand on ressent une douleur constante, qu’on a peur de perdre ou que l’on vit dans la souffrance, notre corps nous alerte pour changer notre manière de procéder.

    Chaque partie du corps aura beaucoup à dire

    Selon le lieu où se trouve la douleur somatisée, le corps nous alerte d’une chose ou d’une autre.

    L’important est de savoir que la réponse à cette douleur se trouve en vous. Vous n’avez qu’à écouter votre corps, observer votre vie et tirer des conclusions pertinentes.

    Cependant, si vous vous sentez très perdu/e et que vous voulez un petit guide, voici quelques manifestations du corps qui peuvent parler du problème que vous avez :

    • Les gênes dans la gorge : Il y a des choses que vous devez dire et que vous réprimez.
    • La grippe : Il y a quelque chose dans votre vie qui vous déplaît et vous libérez toute votre fatigue à cause de ce problème.
    • La douleur dans les chevilles : Elle représente les résistances que vous avez dans votre vie.
    • Les gênes stomacales : La difficulté à coexister et à digérer les situations.
    • Les problèmes de dos : Le manque de soutien ou le fait de porter des choses qui ne nous correspondent pas.
    • La douleur dans les cuisses : Vous êtes inquiet de ce que les autres attendent de vous.
    • Les migraines ou maux de tête : Ils apparaissent quand les doutes vous assaillent.
    • L’hypertension artérielle : La peur vous accule.

    Voici des exemples de ce que peuvent vouloir dire certaines somatisations du corps.

    Prenez soin de votre esprit

    L’esprit est puissant et nous avons trop tendance à le négliger, et comme nous avons pu le voir, cela peut avoir de graves conséquences sur notre santé.

    Une grippe peut être une grippe banale, mais peut aussi vouloir nous dire que nous devons soigner et guérir une blessure intérieure.

    C’est dans l’esprit que se gèrent les pires tourments, où les pensées ruminantes font leur meilleur travail : provoquer de l’anxiété, se déconnecter du présent et nous faire beaucoup souffrir.

    Si nous prenons soin de notre esprit et que nous le conservons en bonne santé, notre corps cessera de somatiser et de nous envoyer des signes à propos de ce que nous devons lâcher et dépasser.

    Nous avons tendance à prêter trop d’attention à notre corps et pourtant, nous sommes assez réticents à l’idée de demander de l’aide quand nous ne sommes pas capables de calmer notre esprit.

    Il n’y a qu’ainsi que nous cesserons de somatiser et que les problèmes et les inquiétudes nous laisseront tranquille.

    Parfois, nous n’avons pas les outils nécessaires pour mettre en ordre ce tourbillon de pensées et de croyances qui rendent notre vie difficile sous de nombreux aspects.

    Il est temps de cesser de sacrifier son bien-être, et de demander de l’aide si nous en avons besoin. Avoir un esprit sain est très important pour être heureux.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Peut-on prévenir un accident vasculaire cérébral ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Comme il existe de nombreux facteurs que nous ne pouvons contrôler dans l’accident vasculaire cérébral, il est fondamental d’avoir une vie saine, de faire de l’exercice et de manger équilibré pour réduire les risques.

    Il est plutôt logique de penser vivre une vie remplie et saine, personne ne pense avoir un accident dans son avenir. Et l’on ne voit pas les immenses probabilités d’en avoir un.

    Dans la majorité des cas, on présage davantage le positif que le négatif. C’est ce qui arrive avec l’accident vasculaire cérébral ; mais, de quoi s’agit-il en réalité ?

    Accident vasculaire cérébral (AVC)

    Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’accident vasculaire cérébral (AVC) constitue l’un des troubles cardiovasculaires les plus fréquents dans le monde entier, il se situe même au-dessus des maladies cardiaques.

    De la même manière, on affirme qu’il s’agit de l’une des principales causes de décès dans le monde.

    Les personnes les plus touchées par un AVC sont celles qui ont entre 40 et 60 ans. De plus, il se manifeste en général comme une attaque ou une hémorragie cérébrale.

    En soi, un accident vasculaire cérébral est un problème au niveau de la circulation sanguine dans la zone du cerveau.

    Les indices de danger augmentent en fonction de la zone et du manque d’oxygène lié au manque de flux sanguin.

    Types d’accidents vasculaires cérébraux

    L’AVC peut se diviser en deux types :

    • Les accidents ischémiques : ils sont engendrés par l’obstruction artérielle, et selon l’Association Américaine du Coeur, ils représentent 87 % des attaques cérébrales.
    • Les accidents hémorragiques : de leur côté, ce type d’accident est provoqué par des hémorragies sanguines, que ce soit dans la zone du cerveau ou dans la zone méningée.

    Raisons pour lesquelles se présentent l’accident

    Personne n’est exempt de souffrir de ce type de problème dans sa vie. Toutefois, les personnes qui se trouvent dans les âges mentionnés ont davantage de probabilités d’en souffrir.

    De plus, il existe différentes raisons ou facteurs incidents déterminants dans l’accident vasculaire cérébral :

    • Manque d’activité physique : Ne même pas faire le minimum ou la base d’activité physique influe de surcroît.
    • Excès de poids ou obésité : Plus on sera lourd, plus on aura la possibilité de souffrir d’un accident de ce type.
    • Sexe : en termes généraux, être un homme augmente le risque de souffrir d’un accident vasculaire cérébral. Toutefois, les femmes peuvent également en souffrir.
    • Pendant et après la grossesse (quelques semaines), les probabilités de souffrir de ce problème de santé augmente.
    • Héritage génétique : Lorsque l’un des parents en a souffert, il est très probable d’en souffrir également.
    • Certaines maladies : fibrillation auriculaire, diabète, stress, cholestérol à haut niveau, hypertension artérielle.
    • Problèmes liés au système circulatoire : valvules artificielles, transplantations ou artères fragiles.
    • Dépendance au tabac.

    Est-il possible de prévenir l’accident vasculaire cérébral ?

    Pour minimiser les probabilités de souffrir de ce problème, nous devons prendre en compte une série de recommandations :

    Eviter le tabac

    Inutile de mentionner l’immense dommage provoqué par le tabac dans l’organisme, surtout dans le système circulatoire périphérique, lié à la maladie en question.

    Enfin, l’une des recommandations est de ne plus en consommer. S’il nous est difficile d’arrêter d’un coup, nous devrions au moins le réguler petit à petit.

    Faire de l’exercice physique

    Il est recommandé de faire un minimum d’exercice physique pour avoir une vie pleine de bonnes habitudes et un style de vie sain.

    Faire au moins 30 minutes d’effort physique diminuera les possibilités de souffrir de ce problème.

    Maintenir ou diminuer son poids

    Ce conseil dépend de la personne, car nous n’avons pas tous le même poids.

    • Au cas où nous aurions des problèmes d’obésité ou de surpoids, nous devons essayer de le diminuer peu à peu. Si, au contraire, nous avons un poids normal, considéré comme sain, il est nécessaire de s’y maintenir.

    Eviter la consommation de drogues

    Autant pour celles qui sont légales que pour les illégales, elles peuvent représenter un risque énorme pour l’organisme.

    Au cas où vous auriez besoin d’un quelconque médicament, il est fondamental qu’il vous soit prescrit par un spécialiste.

    S’alimenter sainement

    Une alimentation saine et équilibrée est fondamentale pour être en bonne santé.

    Pour diminuer les risques de souffrir d’un accident vasculaire cérébral essayez d’inclure à votre alimentation :

    • Des fruits
    • Des graines complètes
    • Des protéines
    • Du poulet
    • Du poisson
    • Des légumes

    De la même manière, évitez les aliments cuisinés et ceux qui contiennent trop de mauvaises graisses.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Vaccin hépatite B :

    La Cour européenne reconnaît le lien avec la sclérose en plaques

     

     

     

     

    Le vaccin contre l’hépatite B peut-il causer la sclérose en plaques et ouvrir droit à une réparation du préjudice? La Cour de Cassation hésitait à le dire… la Cour de Justice de l’Union Européenne vient de lui confirmer qu’elle avait le droit de le reconnaître. Une décision qui va compliquer l’entrée en vigueur de la vaccination obligatoire annoncée par la ministre Buzyn…

     

    Agnès Buzyn se serait probablement bien passée de cette décision qui va compliquer la mise en oeuvre de sa politique de vaccination obligatoire. La Cour de Justice de l’Union Européenne vient de considérer, dans le cadre d’une question préjudicielle, qu’il était conforme au droit de l’Union Européenne de reconnaître un lien de causalité entre un vaccin de Sanofi Pasteur contre l’hépatite B et la sclérose en plaques.

    L’affaire visait un cas français. Un homme en parfaite santé avait déclaré une sclérose après une vaccination. Il est décédé en 2011.

    Jusqu’ici, la directive de l’Union sur le sujet imposait aux plaignants d’établir la preuve de la causalité entre la vaccination et la maladie. La CJUE vient de reconnaître que cette preuve ne supposait pas forcément un consensus scientifique, mais pouvait simplement s’appuyer sur des présomptions fortes et sérieuses. Il appartiendra à chaque juridiction nationale de vérifier ce sérieux.

    Cette réponse ouvre la voie à une indemnisation des victimes par les fabricants de vaccins incriminés.

    Une très mauvaise nouvelle pour Sanofi… et pour Agnès Buzyn.

    Extrait du communiqué de presse de la Cour de justice de l’Union européenne du 21 juin 2017:

    « Dans son arrêt de ce jour, la Cour estime comme compatible avec la directive un régime probatoire qui autorise le juge, en l’absence de preuves certaines et irréfutables, à conclure au défaut d’un vaccin et à l’existence d’un lien causal entre celui-ci et une maladie sur la base d’un faisceau d’indices graves, précis et concordants, dès lors que ce faisceau d’indices lui permet de considérer, avec un degré suffisamment élevé de probabilité, qu’une telle conclusion correspond à la réalité. En effet, un tel régime n’est pas de nature à entraîner un renversement de la charge de la preuve incombant à la victime, puisqu’il revient à cette dernière d’établir les différents indices dont la conjonction permettra au juge saisi de se convaincre de l’existence du défaut du vaccin et du lien de causalité entre celui-ci et le dommage subi.

    En outre, exclure tout mode de preuve autre que la preuve certaine issue de la recherche médicale aurait pour effet de rendre excessivement difficile voire, lorsque la recherche médicale ne permet pas d’établir ni d’infirmer l’existence d’un lien causal, impossible la mise en cause de la responsabilité du producteur, ce qui compromettrait l’effet utile de la directive ainsi que les objectifs de celle-ci (à savoir protéger la sécurité et la santé des consommateurs et assurer une juste répartition des risques inhérents à la production technique moderne entre la victime et le producteur).

    La Cour précise néanmoins que les juridictions nationales doivent veiller à ce que les indices produits soient effectivement suffisamment graves, précis et concordants pour permettre de conclure que l’existence d’un défaut du produit apparaît, compte tenu également des éléments et des arguments présentés en défense par le producteur, comme étant l’explication la plus plausible de la survenance du dommage. Le juge national doit en outre préserver sa propre liberté d’appréciation quant au point de savoir si une telle preuve a ou non été apportée à suffisance de droit, jusqu’au moment où il se considère en mesure de former sa conviction définitive. »

     

     

     

     

     

    Sources : www.entreprise.news

              sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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