• 4 causes du mal du bas du dos et 10 manières d’y faire face

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Quelle que soit l'origine du mal de dos, la première chose à faire et la plus conseillée, à part consulter un médecin, est de se reposer et d'alterner chaud et froid sur la zone affectée.
     

    La douleur du bas du dos est l’une des gênes les plus courantes chez la population actuelle. 

    Une posture inadaptée, une mauvaise nuit ou même un mouvement incorrect dérive souvent en un brûlure indéfinissable située dans la zone la plus basse de notre colonne vertébrale.

    Sachez, de plus que cette condition musculo-squelettique affecte aussi bien les personnes jeunes que plus âgées, celles qui ont une vie sédentaire et celles qui consacrent leur vie au sport.

    Nous ne sommes pas toujours conscient-e-s de la délicatesse de cette structure parfaite qui entoure la colonne.

    Cet ensemble de vertèbres, de disques, de nerfs, de ligaments et d’articulations qui forment un pilier de base pour nos mouvements et notre capacité à interagir avec notre milieu.

    Si vous avez souffert de cette douleur, vous savez sûrement de quoi nous parlons.

    Découvrons à présent les origines les plus communes de ce mal, et la manière dont on peut y faire face pour réduire les conséquences douloureuses.

    Douleur du bas du dos : causes les plus communes

    1. L’élongation musculaire

    Imaginez que vous êtes assis-e sur la chaise de votre bureau et à un moment donné, vous vous tournez rapidement sur vous-même en pliant le dos et un peu le torse.

    • Vous le faites si brusquement que vous sentez immédiatement une chaleur lancinante dans la zone basse du dos. Plus tard, lorsque vous vous levez, la douleur s’intensifie à tel point qu’elle irradie la jambe et une partie de votre tour de taille.
    • Les élongations musculaires peuvent avoir lieu lorsqu’on se repose ou qu’on est en mouvement après une action brusque ou un coup.
    • Les symptômes peuvent inclure les spasmes musculaires jusqu’à la complète restriction des mouvements.
    • L’élongation musculaire affecte aussi les tendons et les ligaments de cette zone, ce qui provoque une inflammation.

    Comment traiter l’élongation musculaire ?

    • Dès que vous sentez l’élongation, appliquez immédiatement un sac de glace dessus. Plus tard, alternez avec des sacs d’eau chaude.
    • Gardez le repos pendant 24 heures. Une fois ce temps écoulé, vous pouvez faire des exercices doux pour retrouver une mobilité.
    • Les gels ou les traitements naturels à base d’arnica sont merveilleux pour ces cas car ce sont des grands anti-inflammatoires.

    2. La hernie discale

    Nos disques inter-vertébraux sont de petites poches pleines de liquides qui se trouvent entre les vertèbres, comme de petits coussinets qui permettent d’amortir nos mouvements.

    • Si nous souffrons d’une hernie discale à cause d’un coup ou d’un mauvais mouvement, nous ressentons non seulement une douleur, mais également un fourmillement, des crampes et on peut aussi remarquer une petite protubérance sur le dos.
    • La douleur est plus intense le matin.
    • Cette affection est très commune chez les sportifs.

    Comment traiter la hernie discale

    • Il faut tout d’abord un bon diagnostic médical car parfois la lésion peut être grave et il est indispensable de faire une intervention chirurgicale.
    • Dans ce cas, la rééducation et l’aide d’un bon physiothérapeute sont importantes.

    3. Les lésions à cause d’efforts répétés

    Toujours travailler dans la même position ou faire des tâches qui demandent de gros efforts physiques impliquent forcément une fragilisation du dos, qui peut générer des maux chroniques.

    • Tout modèle de mouvement, comme tourner du côté droit du dos, a pour conséquence que beaucoup de nos structures de la colonne finissent comprimés et enflammés.
    • Petit à petit, on souffre d’une lésion progressive et fragilisante.

    Comment traiter les lésions dues aux efforts répétés ?

    • Massages
    • Pratique du yoga ou de la natation
    • Utiliser des ceintures lombaires correctes ou de compression
    • Prendre soin au maximum de son hygiène posturale

    4. Les maladies dégénératives des articulations

    Plus nous vieillissons, plus les disques inter-vertébraux deviennent fragiles et minces, et plus les articulations sont comprimées.

    • De plus, le cartilage perd en élasticité, devient rigide et petit à petit, donne lieu à la fameuse ostéoarthrite.
    • Facteurs génétiques, obésité ou même lésions du passé ont pour conséquence la lente avancée de cette maladie.

    Comment traiter les maladies dégénératives

    Il est nécessaire de savoir, tout d’abord que ce type de maladies dégénératives n’a pas de remède : on ne guérit de ces maladies.

    Ce qui est possible, cependant, c’est de contrôler la symptomatologie afin de réduire la douleur et ainsi jouir d’une meilleure qualité de vie.

    Prenez note de ces conseils :

    • Soyez toujours en mouvement : l’inactivité rend les articulations plus rigides, et rester assis pendant de longues périodes de temps comprime davantage le disques inter-vertébraux.
    • Sortez marcher tous les jours.
    • Il existe des exercices très adaptés pour soulager le mal du bas du dos, comme par exemple, le « Qi Gong ». Il s’agit d’une pratique chinoise d’exercices qui mélange des positions et des techniques de respiration.
    • Consommez des aliments aux propriétés anti-inflammatoires, comme tous ceux qui sont riches en acides gras oméga-3.
    • Faites des exercices d’étirements chaque matin dès que vous vous levez.
    • Consultez votre médecin pour savoir si vous devez prendre des compléments en vitamine D et du magnésium. Ils sont excellents pour renforcer os et articulations.

    Pour conclure, nous sommes conscient-e-s que la douleur du bas du dos nécessite des soins spéciaux et un bon suivi médical.

    Ici, nous vous recommandons d’essayer tout type de thérapies, sans exclure le traitement pharmacologique, ainsi que les exercices physiques.

    De même, il est important de suivre un régime alimentaire équilibré et de prendre soin de son hygiène posturale.

    Toute bonne prise en compte de votre colonne vertébrale se traduit en bien-être.

     

    Images principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 clés de la névralgie du trijumeau : la pire douleur du monde

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il s'agit d'une douleur faciale très intense, comme une crampe violente, qui ne touche généralement qu'un côté du visage. La névralgie du trijumeau peut être très handicapante, mais elle peut être soignée.
     

    Il existe de multiples douleurs, qui ont toutes une intensité et des caractéristiques différentes. Pour autant, lorsqu’on parle de la névralgie du trijumeau, il n’est pas rare d’entendre qu’il s’agit de la pire douleur du monde.

     

    Nous disposons de 12 paires de nerfs dans notre boîte crânienne et l’une d’entre elle peut provoquer une névralgie très incapacitante, dont on parle depuis l’Antiquité. Le médecin Arétée de Cappadoce, auteur d’un traité de médecine entre le 1er et le 2ème siècle de notre ère, a été le premier à en décrire les symptômes.

    Il s’agit d’un tic douloureux, comme une sorte de décharge électrique qui irradie le visage, qui se propage du menton jusqu’aux pommettes.

    Puisqu’il est toujours utile de connaître les pathologies médicales qui peuvent nous frapper, nous allons vous détailler aujourd’hui, dans la suite de cet article, les 5 caractéristiques principales de la névralgie du trijumeau.

    1. Qu’est-ce que la névralgie du trijumeau ?

    La névralgie du trijumeau est une douleur chronique qui affecte le nerf qui lui donne son nom. Il s’agit du cinquième nerf crânien, l’un des plus longs de notre tête.

    • La névralgie du trijumeau apparaît sous forme de tics d’une grande intensité. Elle provoque des contractions à intervalles courts, entre deux secondes et une minute. La personne qui en est victime est paralysée, elle ne peut plus mâcher ou parler, en raison de la forte douleur qu’elle ressent.
    • La crise est généralement courte, mais la névralgie du trijumeau a pour mauvaise habitude de progresser et de durer de plus en plus longtemps.
    • Ce nerf, comme son nom l’indique, dispose de trois ramifications qui se propagent dans les globes oculaires, le cuir chevelu et la partie frontale de notre boîte crânienne.
    • Voilà pourquoi la névralgie touche tout notre visage. En plus des zones que nous venons de citer, les mâchoires, les lèvres, les dents et les gencives peuvent aussi être touchées.

    Le coupable est un vaisseau sanguin

    • Cette névralgie est provoquée par un vaisseau sanguin, qui comprime le nerf du trijumeau lorsque celui-ci sort du tronc cérébral.
    • L’enveloppe du nerf va s’user peu à peu, au fur et à mesure que le temps passe, ou bien à cause d’une maladie qui va détériorer la myéline du nerf.
    • Cette usure progressive du nerf du trijumeau provoque l’envoi de signaux anormaux jusqu’au cerveau.

    C’est le mal de tête le plus intense qui puisse être ressenti.

    2. Quels sont les symptômes de cette pathologie ?

    Voici la manière dont cette pathologie se manifeste :

    • Tout commence par des épisodes douloureux très aigus, qui sont comparables à des décharges électriques. La personne qui en souffre ne se rend pas bien compte de ce qui lui arrive et ne donne pas d’importance au phénomène, car il est extrêmement bref.
    • Peu à peu, les attaques se répètent. Dès que la personne touchée se touche la tête, qu’elle mâche, qu’elle parle ou qu’elle se brosse les dents, une décharge apparaît.
    • Les crises peuvent durent quelques secondes, comme plusieurs minutes.
    • Dans les cas les plus graves, ils peuvent durer plusieurs jours, pour disparaître subitement et revenir au bout d’un mois. Les patient-e-s les moins chanceux-ses peuvent en souffrir pendant plusieurs mois.
    • La douleur, comme nous vous l’avons déjà dit, peut irradier la mâchoire, les pommettes, les dents, les gencives et les lèvres. Dans de plus rares cas, les yeux et le front peuvent être touchés.
    • La douleur ne touche généralement qu’un côté de la tête.
    • Les crises sont de plus en plus fréquentes et de plus en plus intenses avec le temps.

    3. Quels sont les publics les plus vulnérables face à la névralgie du trijumeau ?

    • La névralgie du trijumeau affecte principalement les personnes âgées de plus de 50 ans. Cependant, il n’est pas rare qu’elle touche des personnes plus jeunes.
    • Ce trouble est plus fréquent chez les femmes que chez les hommes.
    • Il est bien souvent héréditaire.

    4. Comment la névralgie du trijumeau est-elle détectée ?

    Le diagnostic médical de la névralgie du trijumeau se base sur trois critères clés, qui vont permettre de la différencier d’une simple migraine.

    • Le type de douleurs : si elles sont brèves et violentes, il s’agit de la névralgie du trijumeau.
    • La localisation des douleurs : les médecins vont se demander quelles sont les parties du visage touchées par les douleurs pour établir leur diagnostic.
    • Les facteurs déclencheurs : cette névralgie est déclenchée par une stimulation lumineuse des joues, par la mastication et par la parole.

    Dès lors que les médecins ont un doute sur la présence d’une névralgie du trijumeau, ils vont réaliser deux tests :

    • Un examen neurologique.
    • Une IRM.

    5. La névralgie du trijumeau peut-elle être traitée ?

    Le traitement pharmacologique

    Seuls les professionnels de santé sont habilités à prescrire un traitement pour lutter contre cette maladie. Les anti-inflammatoires et les analgésiques de base ne sont d’aucune utilité face à la névralgie du trijumeau.

    • Les médecins prescrivent souvent des anti-convulsivants pour bloquer le déclenchement nerveux de cette structure cérébrale.
    • L’utilisation d’antidépresseurs tricycliques est également efficace pour soulager les patients dont les douleurs sont constantes.

    L’opération chirurgicale

    Si les médicaments ne font pas effet, les médecins vont prescrire une intervention neurochirurgicale.

    Les techniques sont différentes en fonction des cas, et peuvent aller de simples opérations à des interventions très complexes.

    • Une rhizotomie : il s’agit d’un procédé qui permet de détruire les fibres nerveuses, dans le but de stopper totalement la douleur.
    • La compression du ganglion de Gasser par un ballonnet gonflable : il s’agit d’une technique simple et rapide. Une canule est insérée dans la boîte crânienne. Elle va permettre au chirurgien d’insérer un ballonnet dans le but de comprimer le nerf du trijumeau, afin de réduire la douleur.
    • L’injection de glycérol : c’est une technique qui permet d’isoler les fibres du nerf trijumeau et d’empêcher les décharges électriques que leur usure provoque.

     

    Enfin, si toutes les techniques que nous venons d’évoquer échouent, ce qui est tout de même assez rare, les médecins pratiquent une décompression micro-vasculaire. C’est une intervention très délicate, mais également très efficace. Lorsqu’elle est mise en œuvre, la névralgie ne réapparaît plus.

    Concluons avec optimisme en nous disant que la pire douleur du monde a donc une solution. Si vous en souffrez, vous devez être patient-e et suivre les conseils de votre médecin. Avec l’utilisation des techniques que nous venons de vous lister, et même si cela peut prendre un peu de temps, vous allez pouvoir retrouver une bonne qualité de vie.

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  • 7 complications graves causées par l’hypertension

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Bien que dans ses premières phase l’hypertension ne présente aucun symptôme visible, elle peut affecter de manière négative les organes principaux comme le cœur, les reins et même les yeux.

    La forte pression artérielle ou l’hypertension est un trouble cardiovasculaire qui se développe lorsqu’il y a des difficultés dans le transport du flux sanguin du corps, que ce soit à cause de l’étroitesse des artères ou d’un quelconque type d’obstruction.

    A mesure que ce problème se développe, le cœur doit dupliquer ses efforts pour pomper le sang à travers des espaces plus réduits, ce qui fait que la pression augmente.

    Certains l’ont catalogué comme « l’assassin silencieux », du fait que dans ses premières étapes il soit asymptomatique et de nombreuses personnes ignorent qu’elles en souffrent jusqu’à ce qu’elle montre des conséquences plus graves.

    Et bien qu’au début elle ne génère pas de dommages majeurs, avec le temps elle provoque des changements dans plusieurs systèmes du corps, et peut dériver sur de graves maladies.

    En partant du fait que beaucoup l’ignorent, nous allons ci-dessous vous donner en détail 8 complications qui peuvent se présenter lorsqu’on ne lui apporte pas le bon traitement.

    1. Crise cardiaque

    La crise cardiaque est l’une des pathologies graves liées à la forte pression artérielle incontrôlable.

    Ce problème, dont on peut mourir, se produit lorsque les artères se bouchent et se rétrécissent, ce qui affecte le transport du flux sanguin.

    2. Accident vasculaire cérébral

    Les accidents vasculaires cérébraux peuvent survenir lorsque le flux sanguin est limité dans l’un des points qui permettent son passage vers le cerveau.

    Comme la pression affecte de manière directe la circulation du sang vers cet organe principal, les patients souffrant d’hypertension ont davantage de probabilité de développer cette pathologie.

    3. Insuffisance cardiaque

    L’insuffisance cardiaque est liée à l’effort supplémentaire que doit faire le cœur pour pomper le sang à travers les artères dures et étroites.

    De fait, ce problème est l’une des causes principales de mort chez celleux qui souffrent d’hypertension artérielle, car elle affecte directement le muscle cardiaque.

    Parmi les symptômes on remarque :

    • Difficultés à respirer
    • Inflammation des extrémités
    • Distension abdominale
    • Problèmes pour dormir
    • Incontinence urinaire
    • Fatigue ou sensation de faiblesse

    4. Diabète

    A la différence d’autres troubles causés par un problème de pression artérielle, le diabète peut en être le résultat ou la cause.

    Le chaos dans les niveaux de sucre dans le sang peut affecter le flux sanguin et la santé artérielle, et interrompre le passage correcte du sang vers le cœur.

    Cependant, la pression causée par d’autres facteurs peut aussi affecter le sang qui arrive à diminuer la capacité à utiliser les sucres comme source d’énergie.

    Souvent, le diabète s’aggrave chez les patient-e-s souffrant d’hypertension car la pression affecte le métabolisme, la fonction du pancréas et les reins.

    5. Artériosclérose

    L‘artériosclérose est un problème qui survient lorsque la forte pression artérielle demeure sans aucun type de traitement significatif.

    Cela amène à un durcissement des artères, ce qui peut engendrer des blocages et des troubles dangereux comme la maladie artérielle coronaire.

    6. Maladies des reins

    Les reins, des organes situés sur les côtés du dos, ont pour but de filtrer le sang de ses déchets, réguler les électrolytes et expulser l’excès de liquides à travers l’urine.

    L’hypertension affecte directement ses fonctions, en limitant le flux sanguin qui lui permet de travailler dans des conditions optimales.

    Avec le temps, il se créé une forte détérioration dans la santé des reins, surtout car l’oxygénation se réduit ainsi que le passage des nutriments vers ces organes.

    De plus, les artères situées dans cette zone peuvent se rétrécir et limiter la capacité à éliminer les déchets en générant des insuffisances et des dommages irréversibles.

    7. Maladies des yeux

    De nombreuses personnes n’arrivent pas à imaginer combien la forte pression artérielle peut être dangereuse pour tout ce qui concerne la santé visuelle.

    Bien que cela ne semble pas lié, les restrictions du flux sanguin vers n’importe quelles parties du corps peuvent amener à des dommages dans les vaisseaux de la rétine.

    Les patients diagnostiqués avec de l’hypertension développent en général des maladies visuelles de manière progressive, qui commencent par des symptômes communs comme l’inflammation, la vision trouble ou la perte d’acuité.

    Cependant, il existe des médicaments utilisés pour le contrôle de cette maladie qui peuvent voir un effet notable dans la réduction des symptômes de pathologies comme la rétinopathie hypertensive.

    Les consultations médicales régulières et les examens pertinents sont fondamentaux pour détecter de manière opportune les irrégularités dans la pression artérielle.

    Il est primordial de lui accorder beaucoup d’attention, spécialement lorsque des difficultés commencent à se manifester dans d’autres systèmes du corps.

    Attention !

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Un ex-employé de chez Coca-Cola parle :

    « ce que j’ai vu m’a horrifié »

     

     

     

     

     

    coca_temoignage

     

    Il y a quelques temps, Chris Hemmings travaillait encore pour l’une des multinationales les plus tentaculaires et puissantes du monde : Coca-Cola. Une entreprise qui va bien au-delà de la simple vente de boissons. Après avoir quitté son travail sous le poids des remords, il a décidé de livrer son témoignage, que chacun soit libre de juger.

     

    Certains diront qu’il est bien trop convenu de casser du sucre sur le dos des grands noms comme Mcdo, Coca, Nestlé et autres multinationales de renom. Et pourtant, ceux-ci constituent les symboles forts d’un capitalisme industriel débridé où l’humain est dissous derrière la personne « morale » de l’entreprise cotée en bourse dont le seul but est d’accroitre la croissance de ses bénéfices pour le plus grand bonheur des actionnaires. Là où les moyennes et petites entreprises vont généralement tenter de répondre à un besoin par une simple offre, les multinationales détiennent un pouvoir tel qu’elles tentent d’imposer leur marque dans les esprits, usant de tous les subterfuges possibles, du neuromarketing à des contrats d’exclusivité, en passant par la manipulation des études, au lobbying auprès des gouvernements jusqu’à l’accaparement des terres.

    En tant qu’ex-employé de Coca-Cola, l’entreprise aux 3500 sous-marques de boissons à travers le monde, Chris Hemmings livre son témoignage sur le site d’information anglais The Independant. Celui-ci se penche particulièrement sur les moyens mis en œuvre par l’entreprise pour imposer sa marque partout où elle le peut, y compris au cœur des écoles quand cela est faisable, refusant évidemment d’admettre toute responsabilité vis à vis des problèmes de santé en expansion dans les pays où la malbouffe est devenue culturelle. Il titre son pamphlet : « Coca-Cola payerait des experts de l’alimentation pour contrer les revendications concernant l’obésité ? Je ne suis pas surpris, ce que j’y ai vu m’a horrifié ! » Voici une traduction sommaire de son propos.

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    Illustration : Latuff

    Le texte (à lire en anglais sur The Independant)

    « Telle une canette trop secouée, l’indignation se répand désormais partout. Une enquête menée par The Times a dévoilé la façon dont Coca-Cola dépense des millions de dollars chaque année pour essayer de réfuter l’irréfutable. Franchement, quiconque est assez crédule pour croire aux «études» suggérant que ces canettes de sucre pétillantes ne font pas grossir est un idiot. Mais ce n’est pas le véritable problème ici. Le vrai problème, c’est ce que Coca-Cola fait jour après jour, et personne ne trouve rien à redire sur le sujet.

    Quand on m’a offert mon tout premier job en 2009, c’était, à mon plus grand malheur, chez Coca-Cola Enterprises (une branche anglaise de Coca-Cola Company). J’étais un représentant des ventes sur le territoire. Avec une camionnette pleine à craquer de toutes les boissons que j’avais l’habitude d’avaler quand j’étais gamin (Fanta, Sprite, Capri Sun, et, bien sûr, l’arc en ciel de variétés de type Coke). Je partais donc joyeux avec l’objectif de vendre, vendre, vendre… Il ne fallut pas deux jours pour que mon enthousiasme soit complètement détruit.

    Avec ma camionnette aux couleurs de la marque, je m’approchais de mon troisième magasin de la deuxième journée. Mon objectif était clair : faire connaissance avec mon client, apprendre à connaître leurs clients, lui vendre tout ce dont il avait besoin et, enfin, lui vendre tout ce dont il n’avait pas besoin. En arrivant aux abords de la station d’essence, à ma grande consternation, je remarque un jeune garçon, sans doute pas plus vieux que quatorze ans. Quatorze ans, mais surtout lourd comme quatorze pierres (14 stones = 88 kilos). Vêtu d’un affreux uniforme scolaire fluorescent, son visage était rouge vif. Rouge de devoir péniblement se tenir debout.Dans sa main ? Une bouteille de deux litres de Sprite. La teneur en sucre de celle-ci est de 136 grammes. Ceci représente 144 pour cent de son apport journalier recommandé. Et sur ma liste « à vendre », il y avait de nombreux packs de ce type de boisson.

    J’étais devenu le conduit qui mène à l’obésité, et j’ai commencé à me sentir très mal.

    Cela a donc duré – jour après jour, mois après mois. Chaque mois, une nouvelle cible, un nouveau produit ou une nouvelle initiative à vendre à l’un de mes 144 clients. Chaque boisson était individuellement notée,récoltée et marquée par le « grand ordinateur Coke » de retour à la base. Pour toute boisson mise en vente, il y avait une enquête à mener. Un seul produit « non-coke » qui se retrouvait dans un réfrigérateur officiel Coca-Cola et la société pouvait envoyer des lettres de menaces au propriétaire du petit magasin du coin déjà en difficulté. Peu importe si le produit en question ne pourrait pas être vendu, les magasins sont contractuellement obligés de remplir leur réfrigérateur avec tout ce que Coca-Cola leur demande.

     

    Et là est arrivé le nouvel âge d’or : la boisson énergétique. Depuis la venue de Red Bull (distribué par Coca-Cola), le secteur grossissait d’années en années de plusieurs %, sans montrer le moindre signe de ralentissement. Réunions après réunions, on nous présentait toutes les nouvelles variétés de concentrés explosifs de sucre et de caféine que nous devions colporter : quatre saveurs Implacables, trois Monsters, trois Powerade et, pour un bref moment, les « shots » d’énergie. Nos objectifs devaient être respectés, et nos objectifs étaient les enfants. « Il faut connaître où se trouvent les grandes écoles dans votre secteur » nous a-t-on dit. « Montrez aux commerçants ces graphiques, tableaux, chiffres… les enfants adorent ces produits.« 

    Une canette de « Monster » de 500ml ne contient pas seulement 47% de la quantité de sucre recommandée, c’est aussi 160mg de caféine. C’est l’équivalent d’une tasse et demie de café avec dix sucres. Essayez de donner ça à votre adolescent pour voir. Les professeurs ont commencé à se plaindre que les enfants étaient drogués aux boissons énergétiques durant la classe, pour être épuisés plus tard dans la journée. Donc,beaucoup d’écoles ont fait interdire les boissons gazeuses de leurs locaux. Coke a dû commencer à retirer ses distributeurs à travers tout le pays. La réaction fut simple : il faut leur vendre en dehors. Et voilà !Bienvenue dans l’ère des menus spéciaux.

    C’était le nouveau « bébé » des patrons. Dans chaque maison de la presse, sandwicherie ou café, il fallait lier nos produits avec tout ce qui passait, du journal aux chips. On offrait notre image de marque en échange de tarifs préférentiels ou de placements de produits dans les magasins. Coke vous raconte qu’un seule bouteille de 500 ml contient deux portions. Un peu confus quand on devait associer une bouteille avec une seule portion de sandwich.

    Pendant les Jeux Olympiques, notre plan d’action était effrayant. En tant que sponsor officiel, nous avons complètement détourné le sens du relais de la torche olympique. En interne, ce n’était plus une question de torche, mais bien de savoir combien de produits allaient être disponibles sur la route à travers le Royaume-Uni. Alors que je travaillais avec les supermarchés du coin, on m’a dit que je devrais avoir honte de l’offre dérisoire que je faisais aux magasins Tesco. Nous étions censés célébrer une flamme olympique de passage,mais tout ce que Coca-Cola voulait, c’était de pisser leur produit sur toutes les personnes présentes. J’ai commencé à contester notre éthique interne. Mais la réponse était souvent en mode « passif-aggressif » : « Nous voulons tout simplement offrir un choix au client. » Ce que je n’ai jamais cessé de contester jusqu’à aujourd’hui. Avec un tel niveau de publicité, de parrainage et de marketing, c’est moins un choix qu’un réflexe inconscient.

    Nous avons travaillé avec les quatre grands supermarchés pour proposer des offres de Coca avec de la pizza, du Coca avec du poulet, du Coca avec un plat de curry et, bien sûr, du Coca avec toujours plus de Coca. Nous avons du nous battre pour avoir autant d’espace d’affichage publicitaire que possible dans chaque magasin et des collègues ont été salués comme des héros pour la construction d’une maquette d’un stade à partir de boîtes 6-pack de Coca lors de la Coupe du monde. On nous a même demandé de mettre du Capri Sun sur les chemins à la sortie des écoles. Plus on réussissait, plus nous étions payés. Parce que Coca-Cola ne se soucie pas de ses clients, ils se soucient uniquement de ce qui les concerne.

    Mais les gens observent ces problèmes avec le peu d’études qui existent, cachées dans des revues que personne ne lira jamais, ils sont assis silencieusement à ne rien faire alors qu’ils sont giflés au visage par les marques. Nous permettons à des entreprises comme Coca-Cola de parrainer la FIFA, les Jeux olympiques et la Coupe du Monde de Rugby, sans même interroger l’éthique d’une telle décision. En versant des millions de nos dollars de diabétiques dans ces événements, nous commençons à associer l’activité physique avec des boissons gazeuses. C’est totalement ridicule, mais incontesté à ce jour. Leur plan marketing est un mastodonte, écrasant sous son pied toute forme de décence ainsi que notre santé, à la recherche de nouveaux profits.

    L’argent parle, et Coca-Cola en a beaucoup. Notre seule défense est de cesser de leur en donner.

    Oh – et si vous buvez ces fameuses eaux vitaminées, croyant que c’est bon pour vous, vous méritez ce triple pontage. »

    Chris Hemmings

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    Illustration : Latuff

     

     

     

     

     

    Sources : Mr Mondialisation

              sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Pourquoi boire du lait quotidiennement

    peut provoquer de l’ostéoporose ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le calcium contenu dans le lait n'est pas celui qui est assimilé le plus facilement par notre organisme. Pour prévenir l'ostéoporose, nous devons donc opter pour d'autres sources naturelles de calcium.
     
    De nombreuses personnes souffrent d’ostéoporose, notamment des femmes. A partir du climatère et de la ménopause, elles peuvent se demander pourquoi elles manquent de calcium malgré leur consommation quotidienne de lait ou de suppléments enrichis en calcium.
     Dans la suite de cet article, nous allons vous expliquer ce phénomène et vous proposer des alternatives saines pour apporter à votre organisme tout le calcium dont il a besoin, de manière simple et naturelle. 

    Qu’est-ce que l’ostéoporose ?

    L’ostéoporose est une pathologie qui se caractérise par une diminution de la masse osseuse et par une détérioration progressive du squelette.

    Ce trouble augmente la fragilité des os et, par conséquent, le risque de souffrir de fractures.

    Les femmes sont davantage touchées par cette maladie que les hommes, notamment lorsqu’elles atteignent un âge mûr, même si d’autres facteurs, comme l’hérédité, peuvent influencer son apparition.

    Voici d’autres causes probables de l’ostéoporose :

    • La malnutrition
    • Un régime déséquilibré
    • La prise de certains médicaments
    • Le sédentarisme
    • Des questions hormonales

    Le problème principal de l’ostéoporose est qu’elle ne présente pas de symptômes, jusqu’à l’apparition subite d’une fracture ou d’une douleur.

    Voilà pourquoi nous devons être particulièrement vigilants si nous avons des prédispositions familiales à en souffrir.

    Le lait est-il une bonne source de calcium ?

    Pour obtenir une quantité de calcium nécessaire pour prévenir l’apparition de l’ostéoporose, les médecins ont souvent conseillé de boire au moins un verre de lait de vache quotidiennement.

    Cependant, depuis quelques années, nous nous rendons compte que l’ostéoporose est en progression constante, et qu’elle peut même apparaître à un âge plus précoce.

    En premier lieu, nous pourrions expliquer ce phénomène en disant que le lait est de moins en moins riche en nutriments, car il est transformé par des processus qui sont de plus en plus nocifs.

    Cependant, il demeure un produit riche en calcium, sous la forme de sels minéraux (les caséinates et phosphates). Grâce à sa teneur en lactose, il est relativement bien absorbé par notre organisme.

    Pour autant, deux facteurs peuvent réduire drastiquement l’absorption de calcium par notre corps : notre consommation de protéines et notre éventuelle intolérance au lactose.

    Bien des personnes souffrent de ce dernier problème sans même le savoir. Elles continuent à en consommer et fragilisent leurs intestins, qui ne peuvent plus correctement assimiler les nutriments.

    Le lait et l’ostéoporose

    Des études récentes démontrent que la consommation régulière de lait de vache ne prévient pas et ne permet pas de combattre l’ostéoporose. Pire encore, cette habitude augmenterait le risque de souffrir d’un cancer des ovaires ou de la prostate, ainsi que de pathologies cardiovasculaires.

    Il paraît donc intéressant de rechercher des sources de calcium nouvelles, pour remplacer définitivement le lait de vache.

    Les suppléments de calcium

    Lorsque nous consommons des suppléments médicinaux, notre organisme n’assimile pas forcément le nutriment principal qu’ils contiennent de la manière dont nous le désirons.

    Dans le cas du calcium, si nous le consommons sous la forme de suppléments, nous prenons le risque d’augmenter nos chances de souffrir de calcifications, de calculs rénaux et de maladies cardiovasculaires.

    Si nous sommes obligé-e-s d’en consommer, la meilleure chose à faire est de répartir les prises tout au long de la journée et de toujours les ingérer en même temps que nos repas principaux, pour obtenir une bonne quantité de vitamine D.

    Pour autant, si vous recherchez simplement à prévenir l’ostéoporose et que vous n’en souffrez pas encore, nous vous conseillons d’opter pour des alternatives naturelles riches en calcium.

    Des alternatives naturelles riches en calcium

    Si vous souhaitez adopter un régime alimentaire riche en calcium, vous devez intégrer quotidiennement les ingrédients suivants dans votre alimentation. Ils ne contiennent aucun dérivé du lait.

    • Les sardines
    • Les fruits de mer
    • Certains légumes (poireaux, brocolis, épinards ou blettes)
    • Les graines de sésame (crues, grillées, sous forme d’huile de première pression à froid ou de pâte à tartiner, le tahin)
    • Certains fruits secs (amandes, noisettes)
    • Certains fruits séchés (figues, dattes)
    • Certains légumes secs (pois chiche, lentilles)
    • Le cumin
    • Le persil

    D’autres conseils pour éviter l’apparition de l’ostéoporose

    Si nous voulons dresser un portrait complet de l’ostéoporose, nous devons vous signaler que d’autres moyens de la prévenir et de la traiter, que ceux que nous avons déjà évoqués, existent :

    • S’exposer au soleil (régulièrement, mais en faisant attention) et consommer des suppléments en vitamine D3, sous la supervision d’un professionnel.
    • Réguler nos hormones durant les étapes de changement, comme pendant la ménopause, pour les garder sous contrôle (les œstrogènes chez les femmes, la testostérone chez les hommes).
    • Éviter la consommation de boissons alcoolisées.
    • Réduire notre consommation de sucre et d’aliments contenant des sucres ajoutés.
    • Pratiquer une activité physique régulière, au moins deux ou trois fois par semaine, car elle influe grandement sur la qualité de nos os.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 données importantes à connaître sur le cancer de l’ovaire

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Puisque le cancer de l'ovaire ne présente pas de symptomatologie spécifique lors des premiers stades, il est fondamental de tenir compte des possibles facteurs de risque et de consulter un gynécologue régulièrement.
     

    Le cancer de l’ovaire est une maladie chronique et mortelle qui se développe lorsque les cellules de cet organe grandissent de manière incontrôlée.

     

    Tous les ans, des milliers de femmes reçoivent le diagnostic et même si on peut le traiter, c’est la huitième cause de mort féminine dans le monde.

    Le problème, pour les patient-e-s et pour la communauté médicale est qu’il est malheureusement très difficile de le détecter lors de ses stades initiaux et seules quelques femmes parviennent à recevoir le traitement quand il est encore temps.

    De plus, peu s’informent sur son développement et ses facteurs de risques, et ignorent qu’elles ont de gros risques d’en souffrir.

    À cause de toutes ces raisons, nous avons ici rassemblé 7 données importantes que nous devrions tous connaître à propose de ce cancer.

    Découvrez-les !

    1. Symptômes du cancer de l’ovaire

    Le cancer de l’ovaire est une maladie difficile à diagnostiquer à cause de l’absence de symptômes évidents lors des stades initiaux de développement.

    Cependant, plus il avance, plus il peut manifester des choses, auxquelles ils faut prêter attention.

    Voici les plus importantes :

    • L’inflammation abdominale
    • Les douleurs pelviennes
    • Les indigestions fréquentes
    • Les envies fréquentes d’uriner
    • La sensation de fatigue
    • La perte soudaine de poids

    2. Facteurs de risque du cancer de l’ovaire

    Le plus gros facteur de risque du cancer de l’ovaire sont les antécédents familiaux.

    Tout indique que la mutation spécifique de certains gènes, avec le temps, conduit au développement anormal de cellules.

    Cependant, tous les cas ne viennent pas de la génétique et de fait, ils peuvent être associés à certaines habitudes ou agents externes.

    Le risque d’en souffrir augmente dans les cas de :

    • Les femmes de plus de 50 ans
    • Les traitements avec des médicaments ou des drogues pour la fertilisation
    • L’usage de thérapies hormonales
    • La consommation d’alcool et de tabac à l’excès
    • L’obésité

    3. Ce cancer peut affecter toutes les femmes

    Si l’exposition continue à des facteurs de risque suppose un danger pour le développement de cette pathologie, toutes les femmes, dans une certaine mesure, sont exposées à cette maladie à n’importe quel moment de leur vie.

    Les changements hormonaux pendant la ménopause augmentent le risque, mais cela peut aussi arriver à des âges plus jeunes.

    Chaque année, 140.000 femmes meurent de cette maladie et dans le monde entier, on diagnostique presque 250.000 cas nouveaux.

    Les check-up réguliers, ainsi que les habitudes saines, sont déterminantes pour y faire face le plus tôt possible.

    4. On le connaît sous le nom d’assassin silencieux

    Au vu de la manière dont il se développe dans le corps, beaucoup de gens ont catalogué comme un ‘assassin silencieux’, se référant à l’absence de symptômes lors des stades initiaux.

    En effet, peu de personnes ont des signes clairs lors des premiers stages, ce qui empêche de suspecter la maladie.

    Un grand pourcentage des cas montre des réactions claires quand les cellules ont déjà envahi le système et de fait, elles se sont généralement étendues à d’autres parties du corps.

    5. Ce cancer offre une espérance de vie de 5 ans

    46% des femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire continuent à vivre au moins 5 ans après le diagnostic.

    Cette espérance de vie varie en fonction du degré de développement de la tumeur et de l’âge qu’a la patiente quand elle est diagnostiquée.

    6. Sa détection à temps est clé pour le traiter avec succès

    La détection précoce du cancer de l’ovaire est déterminante pour apporter un traitement efficace et moins agressif.

    Lorsqu’on parvient à le diagnostiquer dès les premiers phases, les patient-e-s ont jusqu’à 90% de probabilités de le surmonter.

    Ainsi, il est fondamental de tenir compte de ses symptômes et face à tout doute, de consulter un-e médecin ou un-e gynécologue.

    7. La cytologie ne sert pas à le détecter

    Beaucoup de femmes pensent à tort qu’on peut le détecter grâce à la cytologie vaginale (frottis) et même s’il est important de la faire, elle ne permet pas de détecter des anormalités dans cette partie du système reproducteur.

    Le test de Papanicolaou (frottis vaginal) détecte des changements dans les cellules du col de l’utérus et il ne faut pas le confondre avec l’examen qui détecte le cancer de l’ovaire.

    Ce dernier doit être analysé avec un examen pelvien et une analyse de sang.

    Puisque toutes les femmes ont, dans une certaine mesure, un risque de souffrir de cette maladie, l’idéal est de bien connaître toutes ces données et de consulter un médecin dès que l’on a un doute.

    Plus les examens pertinents seront réalisés tôt, plus vous aurez de probabilités de le détecter tôt, avant qu’il ne soit trop tard.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Décollement de rétine : définition, causes et prévention

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si le décollement de rétine peut être provoqué par l'âge, il est évident que nous pouvons le prévenir jusqu'à un certain point si l'on prend soin de ses yeux et que l'on réalise régulièrement des check-up médicaux.
     

    Le décollement de rétine est une affection grave qu’il faut traiter le plus tôt possible pour éviter les possibles conséquences irréversibles sur la vue.

     

    Il se produit lorsque la couche externe de la rétine se décolle de la partie postérieure, car le liquide interne de l’œil est filtré à partir de la couche postérieure.

    Si vous souffrez de cette condition, vous devez vous rendre immédiatement chez l’ophtalmologue pour réaliser un check-up.

    Il n’y a qu’ainsi qu’il pourra faire un diagnostic, envisager un traitement et les conditions à mettre en place.

    Causes du décollement de rétine

    Vous avez à présent une idée de ce qu’est le décollement de rétine. Approfondissons donc.

    Prêtez attention aux causes de cette condition et prenez les précautions pour éviter qu’il n’apparaisse.

    1. Maladies et antécédents familiaux

    Il existe plusieurs facteurs internes qui peuvent déclencher cette condition. Le plus important est l’antécédent familial.

    Dans le cas où vous ou vos proches souffriraient des maladies, le mieux est d’aller régulièrement chez l’ophtalmologue :

    • Le diabète
    • L’athérosclérose
    • La myopie

    Ces affections ne provoquent pas forcément un décollement de rétine, mais facilitent l’apparition d’infiltrations.

    3. Traumatismes

    Nous savons que les coups dans les yeux sont mauvais mais nous ne savons pas toujours jusqu’à quel point.

    Il y a plus de cas enregistrés de problèmes de rétine, comme étant la conséquence de coups ou de négligences que celle de maladies.

    Une hémorragie interne peut provoquer une pression nécessaire dans la partie postérieure de la rétine pour former une infiltration.

    Cela arrive quand il y a une tumeur située dans cette zone de l’œil (heureusement, c’est très rare).

    Comment détecter le décollement de rétine ?

    La manière la plus efficace de détecter ce problème est via des examens ophtalmologiques pour voir l’état général de vos yeux.

    • Ces check-up doivent être réalisés tous les 1 à 2 ans, chez les personnes qui ne souffrent pas des yeux.
    • Si vous avez des problèmes de vue, votre ophtalmologue est le seul qui peut vous indiquer la fréquence conseillée pour réaliser ces check-up.

    Mais il existe des signes qui peuvent vous informer que vous souffrez de ce problème et qu’il est temps de faire un examen urgent.

    Vous n’avez pas besoin de présenter tous les symptômes, mais si vous vous sentez concerné-e par certains d’entre eux, nous vous recommandons de vous adresser à votre ophtalmologue de confiance :

    • Points noirs : il est normal qu’avec l’âge, des corps flottants (ou mouches) apparaissent.
      Ils sont provoqués par de minuscules cratères dans notre rétine, que nous avons tous, mais faites attention si vous vous rendez compte que ces points grandissent de manière exponentielle.
    • Le scintillement de lumières : cela est dû aux liquides internes de l’œil. Les personnes voient des éclats de lumière dans leur champ périphérique de manière continue ou intermittente.
    • Les ombres sombres : si votre rétine souffre, vous ne verrez pas bien. Vous aurez alors la sensation qu’une masse solide et sombre fait obstacle à votre vision.
    • La vision floue : vous avez des difficultés à voir et des problèmes pour vous concentrer sur des objets, qu’ils soient proches ou loin.

    Comment prévenir le décollement de rétine ?

    À la différence de bien d’autres problèmes d’yeux, le décollement de rétine n’a pas de mesures de prévention à suivre en particulier. C’est une question de soins personnels.

    La meilleure prévention que vous pouvez avoir, c’est la connaissance. Si vous souffrez de l’un des symptômes ou des facteurs de risque mentionnés ci-dessus, rendez-vous chez votre médecin.

    Vous devez à tout prix éviter les coups dans la tête et près des yeux.

    Au moment de réaliser une activité telles que la jardinerie, des réparations, du sport ou autre chose qui pourrait affecter vos yeux, utilisez un équipement de protection.

    Possibles traitements

    Aujourd’hui, il existe deux types de traitements pour guérir le décollement de rétine. Ce sont des opérations ambulatoires qui demandent une anesthésie locale ou générale, et qui peuvent être réalisées sans trop de risque.

    D’un côté, on a l’opération au laser. Ici, on localise les fissures d’infiltration et on les brûle à l’aide d’un laser. Cela cautérise et forme une soudure.

    Le second procédé est la cryosonde. Il est très similaire au précédent mais ici, on congèle l’infiltration.

    Même si ces techniques peuvent sembler invasives, aucune des deux options ne représente un gros risque pour votre vision, car l’opération n’affectera que de petites zones de l’œil.

    Une fois que l’on a réalisé l’une deux possibilités, la vue s’améliorera et le rétablissement aura lieu en 6 mois.

    L’unique risque de ne se rétablir à la suite de ces interventions chirurgicales a un lien avec le diagnostic tardif du décollement de rétine ou si la personne a déjà effectué ces interventions précédemment.

    Il est donc extrêmement important que nous nous soumettions à des examens réguliers pour pouvoir prévenir cette condition.

    Prenez toujours soin de vos yeux

    Nous savons que l’obsession pour le soin du corps peut représenter un gaspillage de temps et d’argent.

    Mais il ne faut pas lésiner sur le soin des yeux. Sachez que votre vue est vitale pour nombre de vos activités quotidiennes.

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 MALADIES QUE VOUS RISQUEZ

    SI VOUS NE BUVEZ PAS ASSEZ D'EAU

     

     

     

     

     

     

    Boire quand on a soif, ne suffit pas ! L'eau est un élément vital pour le bon fonctionnement de l'organisme. Crampes, constipation... Medisite et le Dr Daniel Scimeca, médecin généraliste, vous liste les maladies et troubles sérieux que vous risquez si vous ne buvez pas assez. 

     
     

    Des crampes à cause d'un excès d'acide lactique

    ©Adobe stock

    Vous êtes souvent sujet aux douleurs musculaires et aux crampes ? Ce n'est pas une maladie en soi, mais un trouble qui peut être causé par un manque d'hydratation surtout chez les personnes qui pratiquent une activité sportive.
    Pourquoi ? Plus les muscles travaillent, plus ils accumulent de l'acide lactique . Une substance contenant des déchets accumulés lorsque les cellules manquent d'oxygène, responsable des crampes. "Boire participe au phénomène d'évacuation des déchets de l'organisme dont l'acide lactique justement et permet donc de réduire aussi le risque de crampes musculaires", souligne le Dr Daniel Scimeca, médecin généraliste, auteur de Plus jamais fatigué aux Editions Alpen.
    Les signes de crampes musculaires : douleur brutale et lancinante, sensation de tiraillement au niveau d'un muscle.
     
     

    Une constipation : les aliments tombent en blocs dans les intestins

    ©Adobe stock

    "Faut-il boire entre ou pendant les repas ?" La question fait souvent débat, explique notre interlocuteur avant d'ajouter que "la réponse est bien évidemment les deux".
    Pourquoi ? L'appareil digestif a besoin d'eau pour bien assimiler les aliments. "Sinon le bol alimentaire n'est pas assez fluide, les aliments tombent en blocs dans les intestins qui fonctionnent au ralenti."
    Les signes de constipation : réduction de la fréquence de selles, douleurs au ventre, ballonnements, défécation douloureuse.
    A savoir : à l'inverse, boire beaucoup trop peut entraver la digestion et noyer l'estomac.
     
     

    Des maux de tête : un cerveau mal oxygéné

    ©Adobe stock

    Si vous êtes souvent sujet à des maux de tête, c'est peut-être parce que vous ne buvez pas assez d'eau. La douleur la plus fréquente ressemble à ce qu'on appelle une céphalée de tension.
    Pourquoi ? Le manque d'hydratation oblige le corps à puiser dans ses réserves. Même s'il n'y a pas d'étude qui statut scientifiquement sur la raison, plusieurs hypothèses penchent pour un manque d'oxygène causé par la déshydratation altérant l'irrigation du cerveau. "Dans le cas d'une gueule de bois par exemple, on sait que l'alcool déshydrate le cerveau c'est pourquoi on a de violents maux de têtes après. Le meilleur pour s'en remettre c'est de boire 3 ou 4 grand verre d'eau", conseille le médecin généraliste.
    Les signes d'une céphalée de tension : des douleurs au niveau de la nuque, sur les tempes et qui remontent jusqu'au front, une impression de casque qui oppresse la tête.
     
     

    Des calculs urinaires : les sels minéraux s'accumulent sans eau

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    Même si vous n'avez pas souvent soif, pensez à mettre en place des habitudes pour boire quelques verres d'eau dans la journée. Le manque d'hydratation peut causer des troubles douloureux comme les calculs urinaires.
    Pourquoi ? "Les reins filtrent les déchets de l'urine contenant des sels minéraux", explique le Dr Daniel Scimeca. Boire suffisamment aide à les éliminer. Autrement, ils risquent de s'accumuler et former des calculs urinaires, sortes de petits cailloux qui peuvent entraver les voies urinaires.
    Les signes des calculs urinaires : violentes douleurs dans le dos au niveau des reins, brûlures pendant les mictions et du sang dans les urines quelques fois.
     
     

    Des troubles neurologiques et un risque de chute

    ©Adobe stock

    "Plus on vieillit, moins on ressent l'envie de boire", explique le Dr Daniel Scimeca. Pourtant si l'envie n'est pas là le besoin, lui, l'est toujours. Passé un certain âge ne pas boire assez d'eau peut causer des troubles neurologiques.
    Pourquoi ? "Il n'y a pas vraiment de travaux qui expliquent la raison, mais on pense cela entraîne une déshydratation du cerveau et donc une mal fonction des centres d'équilibre entraînant des troubles neurologiques comme des chutes", explique notre interlocuteur.
     
     

    Des cystites : les bactéries ne sont pas évacuées

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    L'eau fait partie des moteurs de notre organisme. Il en a besoin pour fonctionner correctement et surtout pour éliminer les bactéries. Lorsqu'on ne boit pas assez, surtout les femmes, on risque de souffrir d'une infection urinaire ou cystite.
    Pourquoi ? "Les bactéries ont tendance à se fixer sur la vessie et remonter. Plus on boit, plus on rince et nettoie l'appareil urinaire pour éliminer ces microbes, explique le Dr Daniel Scimeca, médecin généraliste. Les femmes sont spécialement touchées par la cystite car elles ont un urètre plus court que les hommes . Les bactéries remontent plus vite et plus facilement que chez les autres."
    Les signes de la cystite : des douleurs à la miction, une envie d'uriner fréquente, maux de ventre, fièvre.
     
     

    Des problèmes de la colonne vertébrale chez les femmes enceintes

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    Quand on est une femme, il n'est pas aussi simple qu'un homme d'aller aux toilettes lorsqu’on n’est pas chez soi. C'est pourquoi les femmes ont tendance à ne pas boire beaucoup pour éviter d'avoir envie de faire pipi et encore plus lorsqu'on est enceinte. Pourtant il est encore plus important de boire pendant une grossesse pour éviter les problèmes de dos.
    Pourquoi ? Le bébé représente une charge à lourde à porter pour les femmes enceintes qui ont tendance à se cambrer. "Ne pas boire assez entraîne une déshydratation des disques intervertébraux qui peuvent causer de sérieux problèmes de colonne vertébrale", affirme le médecin.
     
     

    Diarrhée et bronchiolite qui s’aggravent chez le bébé

    ©Adobe stock

    Contrairement à l’adulte, le bébé a peu de moyen de manifester un besoin ou même de s’en rendre compte. Pourtant le risque de déshydratation est encore plus dangereux et rapide chez un bébé surtout s'il souffre de diarrhée ou d'une bronchiolite.
    Pourquoi ? "Un bébé se déshydrate très rapidement car le risque est proportionnel au poids. Une perte en eau est encore plus énorme sur un petit enfant que sur un adulte», prévient le Dr Daniel Scimeca, médecin généraliste.
    En cas de diarrhée : si un enfant est atteint de diarrhée, il faut particulièrement être vigilant car la maladie entraîne des pertes de liquides corporels le risque de déshydratation est encore plus grand.
    En cas de bronchiolite : chaque hiver 30% des nourrissons sont touchés par cette maladie virale qui provoque des troubles respiratoires. "Il est d’autant plus important de faire boire son enfant dans ce cas, souligne le médecin, car moins on boit plus le mucus qui encombre s’épaissit et bloque la respiration."
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Source : medisite.fr
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • Les 7 symptômes méconnus de l’infarctus chez la femme

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Comme les symptômes de l'infarctus chez la femme peuvent être confondus avec les symptômes d'autres pathologies, il est indispensable d'y prêter une attention toute particulière et de consulter un médecin face au moindre doute.
     
     
    L’infarctus aigu du myocarde est un problème de  santé provoqué par une déficience du flux sanguin dans la zone du muscle cardiaque, généralement engendrée par une obstruction de l’une des artères coronaires.
     Cette obstruction, en règle générale, provoque une pathologie connue sous le nom d’angine de poitrine qui, si elle n’est pas traitée correctement, peut provoquer la mort du tissu cardiaque.

     

    Ses symptômes les plus fréquents sont une douleur oppressante au centre de la poitrine, qui peut irradier l’un ou les deux bras, voire même le dos.

    Les femmes expérimentent souvent des symptômes atypiques qui, comme ils sont similaires à ceux d’autres pathologies, peuvent être négligés.

    Peu de femmes connaissent cette thématique et elles sont nombreuses à penser que seules les douleurs de poitrine caractérisent l’apparition d’une pathologie cardiaque.

    Voilà pourquoi nous avons décidé d’aborder, dans la suite de cet article, les 7 symptômes qui caractérisent l’apparition d’un problème cardiaque chez la femme.

    Découvrez-les sans plus attendre.

    1. De l’insomnie

    L’insomnie et les troubles réguliers du sommeil peuvent être provoqués par un travail harassant, du stress et une utilisation continue d’appareils électroniques.

    Cependant, chez la femme, ils peuvent aussi être engendrés par des changements hormonaux et par l’apparition de pathologies cardiovasculaires.

    Dans plus de la moitié des cas d’infarctus recensés chez des femmes ces dernières années, les patientes expérimentaient ce symptôme avant d’avoir une attaque.

    2. Des difficultés respiratoires

    Les femmes qui expérimentent une toux soudaine et une sensation d’encombrement, sans pour autant souffrir d’une maladie respiratoire, doivent consulter un médecin le plus rapidement possible.

    L’apparition de cette symptomatologie, notamment lors d’activités quotidiennes bénignes, est un signal clair de la présence d’un infarctus du myocarde.

    3. De l’acidité stomacale et un reflux gastrique

    Une production excessive de sucs gastriques, qui peut donner lieu à un reflux acide, provoque une sensation de brûlure dans la partie supérieure de l’abdomen et dans la poitrine, similaires à ce qui peut être expérimenté lors d’un infarctus.

    Même si tous les cas similaires ne sont pas dus à cette pathologie grave, mieux vaut être prudent et consulter un médecin pour écarter l’éventualité de l’apparition de cette maladie.

    4. Une fatigue inhabituelle

    Une fatigue récurrente est souvent mise en relation avec des troubles du sommeil, du stress ou la consommation de certains médicaments.

    Cependant, lorsque le trouble devient quotidien et qu’il n’a aucune raison apparente de se produire, c’est peut-être le signe que le système circulatoire et le muscle cardiaque rencontrent des difficultés inhabituelles.

    L’obstruction des artères coronaires empêche le flux sanguin de parvenir correctement jusqu’au cœur, ce qui complique le processus d’oxygénation des cellules, du cerveau et des muscles.

    De plus, comme le cœur est obligé de fournir des efforts supplémentaires pour pomper le sang, cela augmente la pression artérielle et le risque de souffrir d’un infarctus.

    5. Des sueurs froides et des vertiges

    Ressentir des sueurs froides durant la journée ou pendant la nuit est un signe clair d’un risque d’infarctus chez la femme.

    Si ce symptôme peut être dû à d’autres pathologies, il ne faut surtout pas le négliger car il peut nous avertir sur un risque réel.

    Son apparition est généralement due aux efforts que doit réaliser le corps pour maintenir sa température, car la surcharge de travail expérimentée par le muscle cardiaque pour pomper le sang déséquilibre totalement l’organisme.

    Les difficultés circulatoires, dans le même temps, retardent le processus d’oxygénation cellulaire, provoquant des vertiges et un mal-être général.

    6. Une anxiété soudaine

    Expérimenter une sensation d’anxiété inexplicable est un symptôme qu’il ne faut pas négliger, notamment s’il est accompagné de picotements dans la zone de la poitrine et de vertiges.

    La plupart des femmes qui ressentent ce symptôme font un infarctus du myocarde dans les heures qui suivent.

    Il est primordial de garder à l’esprit que l’anxiété et le stress augmentent grandement le risque d’hypertension artérielle, et donc de souffrir d’un infarctus.

    7. Des douleurs dans les bras et dans le cou

    Les douleurs articulaires, cervicales et dans la mâchoire sont des symptômes très fréquents chez les femmes qui souffrent de troubles cardiovasculaires et dont le muscle cardiaque ne fonctionne pas correctement.

    Les hommes peuvent également les expérimenter, mais dans une moindre mesure.

    Les douleurs se manifestent soudainement, puis deviennent de plus en plus intenses au fur et à mesure que la crise est proche.

    Même si tous les symptômes dont nous venons de vous parler peuvent évidemment être dus à d’autres pathologies, il est nécessaire que vous consultiez un médecin si vous les expérimentez, pour prévenir d’éventuelles complications.

    Adopter des habitudes saines, tout comme contrôler votre taux de cholestérol et votre tension, peut vous permettre de réduire le risque de souffrir d’un infarctus du myocarde.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les symptômes des problèmes de santé relatifs au côlon

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Certains symptômes digestifs, s'ils peuvent être normaux, peuvent indiquer la présence de maladies intestinales graves, comme le cancer du côlon, s'ils se présentent sans raison et qu'ils ne font que s'aggraver.
     

    Lorsque notre côlon est touché par des problèmes de santé, notre rythme intestinal change et nous pouvons expérimenter des douleurs abdominales.

     

    Dans la suite de cet article, nous allons vous révéler les signes qui vous avertissent sur un problème de santé relatif à votre côlon, afin que vous puissiez le détecter à temps et le traiter de manière adéquate.

    Que devez-vous savoir sur le syndrome du côlon irritable ?

    Les problèmes de santé touchant le côlon affecte quasiment un quart de la population mondiale. De plus en plus de personnes sont diagnostiquées avec une pathologie autrefois peu fréquente : le syndrome du côlon irritable.

    Si les femmes en souffrent davantage et qu’il n’est pas forcément uniquement en lien avec l’alimentation, il peut toucher toutes les personnes qui souffrent de stress et de nervosité.

    Cette condition fait partie des troubles fonctionnels de l’appareil digestif, parmi lesquels on retrouve également la constipation et la dyspepsie.

    Dans tous les cas, les mêmes symptômes chroniques sont expérimentés par les patient-e-s, notamment lorsque la lésion s’aggrave et qu’elle devient plus significative.

    Les pathologies touchant le côlon apparaissent généralement chez les jeunes adultes (avant 45 ans). Une mauvaise hygiène de vie peut déclencher ou aggraver la situation.

    • Parmi les aliments que vous ne devez pas consommer si vous êtes dans ce cas, on retrouve les légumes verts, les légumes secs et les pruneaux.
    • Les laitages liquides et les agrumes ne sont pas non plus recommandés et doivent faire l’objet d’une consommation modérée.
    • Tous les aliments qui provoquent des gaz, comme les choux ou les haricots, doivent être éliminés du régime alimentaire des personnes qui souffrent du syndrome du côlon irritable.

    A l’inverse, les ingrédients riches en fibres et en protéines sont vivement conseillés.

    • Le régime méditerranéen est particulièrement bon pour le côlon. Le poisson, l’huile d’olive et la tomate favorisent sa santé.
    • Il est également nécessaire, pour les personnes qui subissent cette situation, de consommer deux litres d’eau par jour, afin de réduire l’irritation intestinale, de faciliter le mouvement du bol alimentaire et d’éviter de souffrir de constipation.
    • Bien évidemment, l’exercice physique est fondamental pour améliorer l’activité intestinale, mais aussi pour réduire le stress et l’anxiété.

    Les facteurs psychologiques peuvent également altérer la motilité et la sensibilité digestive. Voilà pourquoi les personnes stressées, nerveuses et préoccupées sont plus sujettes à souffrir de problèmes intestinaux.

    Parmi les autres causes des problèmes de santé touchant le côlon, on retrouve :

    • Des gastro-entérites aiguës
    • Des intolérances alimentaires
    • Des facteurs génétiques
    • Des altérations hormonales

    Les symptômes des problèmes de côlon

    La plupart du temps, nous attribuons les symptômes dont nous allons vous parler à d’autres conditions, comme à des indigestions, à des repas trop copieux ou à un rythme de vie trop soutenu.

    Cependant, nous devons faire très attention lorsque ces symptômes apparaissent plus d’une fois par semaine et qu’ils deviennent la règle, non plus l’exception.

    Les douleurs abdominales

    • Elles sont localisées dans la partie basse du ventre et sont semblables aux douleurs expérimentées lors des coliques, qui sont oppressantes et lancinantes.
    • Les douleurs abdominales commencent toujours de manière très légère, mais leur intensité ne fait qu’augmenter.
    • Elles durent généralement au maximum 2 heures et disparaissent lorsque nous allons aux toilettes.

    Lorsque les douleurs apparaissent, elles entrainent généralement des envies plus fréquentes d’aller aux toilettes, des changements dans le volume et dans la consistance de nos selles.

    Elles peuvent être également causées par l’ingestion d’un aliment en particulier.

    Des altérations dans le rythme intestinal

    Nous voulons parler ici de la diarrhée et de la constipation, voire d’une association des deux. Les personnes touchées expérimentent une distension abdominale et expulsent une grande quantité de gaz.

    La conséquence de ces altérations est que les patients ont toujours la sensation de ne pas évacuer tout ce qu’ils ont dans les intestins lorsqu’ils vont aux toilettes.

    Des problèmes digestifs

    Les nausées et les vomissements fréquents sont également des signaux que le côlon souffre d’un problème, tout comme les brûlures d’estomac.

    Le fait de ne jamais ressentir une sensation de satiété après avoir mangé, même un repas copieux, est également un facteur qui doit nous inciter à nous inquiéter de la santé de notre côlon.

    Les signaux qui nous avertissent d’un cancer du côlon

    Si les problèmes intestinaux classiques peuvent être traités à l’aide d’une bonne alimentation et d’une réduction des sources de stress, un cancer du côlon est une maladie trop grave pour être envisagée de la sorte.

    Nous allons vous présenter les symptômes qui peuvent vous permettre de la détecter rapidement, dans les premiers temps de son apparition.

    Des crampes abdominales

    Elles sont très fréquentes lorsque nous mangeons plus que de raison lors d’un repas de fête. Cependant, lorsqu’elles deviennent régulières, qu’elles ne sont accompagnées par aucun autre symptôme et que leur intensité ne fait qu’augmenter, elles sont peut-être dues à un cancer du côlon.

    Une fatigue inexpliquée

    A notre époque, il n’est malheureusement pas anormal d’être fatigué-e en permanence.

    Cependant, si nous dormons bien et que nous n’effectuons pas d’activités fatigantes, il n’est pas normal que nous ressentions un épuisement continuel, caractérisé par des somnolences régulières et une faiblesse corporelle généralisée.

    Une perte de poids inexplicable

    Si nous ne faisons pas de régime et que nos habitudes alimentaires n’ont pas changé, mais que nous perdons du poids tout de même, nous devons consulter notre médecin sans attendre.

    Une perte de poids d’au moins 5% du poids corporel en 6 mois est une donnée très inquiétante.

    Les cellules cancérigènes utilisent la graisse stockée dans notre organisme pour se développer. De plus, cela peut être un signe que notre système immunitaire brûle plus de calories que d’habitude, un signe qui ne trompe pas sur la présence d’un cancer.

    Des altérations dans les selles

    L’apparition de sang et des changements dans la couleur, l’aspect et la taille des selles peut être un signal clair que quelque chose ne va pas dans nos intestins.

    Si vous souffrez de polypes intestinaux, vous devez y prêter une attention toute particulière, car ils peuvent devenir cancéreux.

     

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  • 5 remèdes naturels contre la bursite

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Pour soulager la bursite, il est fondamental de recourir à des remèdes naturels et de bien se reposer afin de réduire la mobilité de la zone et renforcer l'articulation.
     

    À l’endroit où les os, les articulations, les tendons et les ligaments s’unissent, se trouvent des petits sachets plein de liquides appelés bourses. S’ils s’enflamment, ils provoquent une douleur connue sous le nom de bursite.

     

    Le frottement continu de nos articulations est presque toujours le déclencheur le plus commun de ce type d’irritation intérieure : c’est quelque chose de douloureux et souvent d’incapacitant.

    Ainsi, il est important de signaler que la bursite n’est pas la même chose que la tendinite. Cette dernière est l’inflammation d’un tendon, la structure fibreuse qui unit le muscle à l’os.

    De son côté, la bursite se concentre sur l’une des 150 bourses qui servent de « coussins » entre les tendons, les ligaments et les os qui entourent l’articulation.

    Si vous en avez souffert, vous aurez sûrement remarqué un gonflement, une rigidité et un rougissement.

    Les médecins sont les personnes les mieux indiquées pour nous prescrire un traitement. Mais, en attendant, chez vous, vous pouvez utiliser des remèdes simples naturels qui vous permettront de réduire l’inflammation et la douleur.

    Prenez note !

    1. Le vinaigre de pomme

    Le vinaigre de pomme est un remède très classique pour le traitement naturel de la bursite.

    • Il permet, avant tout, de restaurer l’alcalinité du corps pour réduire l’inflammation très rapidement.
    • Les minéraux présents dans le vinaigre de pomme comme par exemple le magnésium, le calcium, le potassium et le phosphore nous aident à traiter ce type de processus inflammatoires localisés dans les articulations.

    Nous allons à présent vous expliquer comment utiliser le vinaigre de pomme.

    Ingrédients

    • Une serviette de toilette
    • 1/2 tasse de vinaigre de pomme (125 ml)
    • 1 cuillerée de miel (7,5 g)

    Préparation

    • C’est très simple : tout d’abord, dans une tasse, mélangez le vinaigre de pomme et le miel. Vous obtiendrez ainsi un remède anti-inflammatoire que vous pourrez utiliser tout au long de la journée.
    • Ensuite, imbibez bien votre serviette de toilette ou un linge en coton avec ce mélange.
    • Appliquez-le là où se trouve la bursite pendant 15 minutes.

    2. La thérapie froide lors des premières 48 heures

    Le froid est sans aucun doute le plus conseillé pour réduire le gonflement du début et « endormir » la douleur de la zone affectée.

    Ingrédients

    • 10 glaçons
    • 1 sac en plastique

    Préparation

    • Commencez par introduire les glaçons dans le sac en plastique.
    • Ensuite, mettez le sac sur l’articulation affectée pendant 15 minutes.
    • Une fois ce temps écoulé, levez l’articulation affectée au-dessus du cœur et reposez-vous.
    • Vous pouvez le faire plusieurs fois par jour jusqu’à ce que vous ressentiez un mieux.

    3. Massages aux huiles essentielles

    Il existe des huiles essentielles très intéressantes pour le traitement de la bursite. Voici celles qui peuvent vous aider :

    • L’huile de noix de muscade : cette huile essentielle est très efficace pour le traitement de la douleur des articulations grâce à ses propriétés analgésiques anti-inflammatoires.
    • L’huile essentielle de menthe : elle ne peut pas manquer dans votre pharmacie. Elle est principalement composée de menthol, très utilisé depuis l’Antiquité pour le traitement de la douleur et de l’inflammation.
      Vous pouvez vous faire des massages avec cette huile
    • Autre huile formidable pour la bursite : l’huile de coco. Elle aide à réduire les rougeurs ainsi que la sensation de brûlure.
      Vous n’avez qu’à appliquer quelques gouttes et vous faire un massage circulaire pour vous soulager.

    4. Le gingembre pour la douleur de bursite

    Le gingembre a des propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et analgésiques similaires à l’aspirine ou à l’ibuprofène.

    De plus, il stimule la circulation sanguine et aide à traiter la bursite très efficacement.

    Nous vous expliquons comment réaliser le traitement.

    Ingrédients

    • 3 cuillerées de gingembre râpé (7 g)
    • 1 gaze
    • 1/2 tasse d’eau chaude (125 ml)

    Préparation

    • Tout d’abord, enveloppez le gingembre fraîchement râpé dans un morceau de gaze.
    • Ensuite, plongez cette gaze au gingembre dans une tasse d’eau chaude pendant 2 minutes. Très facile.
    • Laissez refroidir un peu et ensuite, mettez sur la zone affectée pendant 15 minutes.
    • Vous pouvez le répéter 2 ou 3 fois par jour.

    5. Le repos et l’alimentation riche en magnésium

    Cela peut sembler évident mais l’une des conditions fondamentales pour obtenir une guérison de la bursite, c’est de se reposer et prendre soin de ses positions.

    • Les médecins peuvent prescrire des anti-inflammatoires mais il est indispensable de réduire au maximum la mobilité de l’articulation dès que la gonflement apparaît.
    • La bursite apparaît à cause d’une surcharge, du frottement des articulations avec les muscles ou les ligaments qui enflamment cette bourse.

    Ainsi, faire plus de mouvements ne fera qu’intensifier davantage la douleur.

    Reposez-vous autant que vous le pouvez et faites attention à votre alimentation : elle doit être riche en magnésium. Consommez des bananes, des épinards, de l’avoine, les lentilles…

    Ce minéral est indispensable pour les articulations, les muscles et les ligaments.

    Si vous préférez, consultez votre médecin pour savoir si la lait de magnésium est adapté pour vous.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 symptômes de l’appendicite à connaître

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Puisque que les symptômes de l'appendicite peuvent être communs à d'autres maladies digestives, il est important de consulter un spécialiste pour obtenir un diagnostic précoce et pour qu'elle ne se transforme pas en péritonite.
     

    L’appendice est un petit organe en forme de tube qui est rattaché à la première partie du gros intestin. 

    Elle est située dans la partie inférieure droite du ventre et on ne connaît pas sa fonction particulière.

    L’appendicite arrive lorsque quelque chose bloque cette petite bourse, de manière à ce que la pression augmente et rend difficile l’afflux de sang. Cela provoque donc une inflammation.

    Elle peut être mortelle si elle n’est pas traitée dès le début, puisque l’organe explose et peut disséminer l’infection jusqu’à l’abdomen.

    Cependant, avant que cela n’arrive, les médecins peuvent intervenir chirurgicalement et réduire le risque de complications. 

    Elle est assez fréquente entre 10 et 30 ans, mais elle peut survenir à n’importe quel âge (même si elle est très rare chez les enfants de moins de 2 ans).

    Les douleurs abdominales sont le principal symptôme mais au fur et à mesure qu’elle se développe, d’autres signes se manifestent, qui permettent de suspecter la maladie.

    Sachant que son diagnostic précoce est déterminant pour éviter des affections plus graves, nous voulons à présent partager avec vous tous ses symptômes.

    Découvrez-les !

    1. La douleur aiguë

    La douleur provoquée par l’appendicite se produit dans la partie inférieure droite de l’abdomen, à différents degrés d’intensité.

    Mais, dans beaucoup de cas, le premier signe de douleur est perçu près du nombril, et parfois dans le bas du dos.

    Ce symptôme a tendance à empirer quand on bouge les jambes ou le ventre (part exemple, lorsqu’on tousse ou qu’on éternue).

    2. La fièvre et les frissons

    Les symptômes de cette maladie peuvent être similaires à ceux provoquée par l’infection d’un virus stomacal puisqu’en plus de la douleur, elle est accompagnée de fièvre, de frissons et de tremblements.

    Les médecins affirment que les changements alarmants dans la température corporelle, ainsi que la douleur abdominale forte, doivent être examinés en urgence pour prévenir des complications comme la péritonite.

    Mais, il faut savoir que dans la plupart des cas, ce sont des températures modérées comme 37.5°C ou 38°C.

    3. Les nausées, les vomissements et la perte de l’appétit

    Les nausées, les vomissements et la perte de l’appétit sont trois symptômes qui viennent souvent ensemble quand l’appendicite se développe.

    Ils se manifestent dans au moins 90% des cas, presque toujours après le début de la douleur dans la partie inférieure de l’abdomen.

    Le problème, c’est que beaucoup de gens ignorent cette maladie, puisque tous ses symptômes ressemblent à d’autres problèmes médicaux.

    C’est pour cela que s’ils ont lieu de manière récurrente tout au long de la journée, il est essentiel de consulter un médecin pour recevoir un diagnostic précis et rapide.

    4. La constipation ou la diarrhée

    Que ce soit la constipation ou la diarrhée, elles sont habituelles chez les patients qui développent cette maladie dans leur appendice.

    Si, comme les autres symptômes, elles peuvent êtres normales et ne pas forcément représenter un problème grave, mieux les faire analyser par un professionnel, surtout si elles sont accompagnées d’autres gênes.

    5. Les gaz et l’inflammation

    Nombre d’habitudes alimentaires peuvent être les déclencheurs des accumulations continues de gaz intestinaux et de l’inflammation.

    Mais lorsque les deux gênes apparaissent sans raison apparente, il est nécessaire d’y prêter attention.

    Une inflammation persistance, accompagnée de gaz et de douleurs abdominales, peut être générée par des problèmes dans l’appendice.

    6. La perte de l’appétit

    Les patients qui ont une bonne alimentation et qui, soudain, perdent l’appétit doivent consulter leur médecin de confiance pour expliquer cela.

    La diminution de l’envie de manger est liée à de nombreuses maladies chroniques, dont l’appendicite et le cancer du côlon.

    Même si, comme expliqué précédemment, ce n’est pas toujours un indicateur de quelque chose de grave. Le mieux est de ne pas le négliger, dans tous les cas.

    7. La douleur rebond

    La douleur rebond est un symptôme qui est produit lorsque on appuie sur la partie inférieure droite de l’abdomen, juste à l’endroit où se concentre la douleur.

    Il est très important d’éviter de faire plusieurs pressions, puisque cela peut générer des complications dans l’appendice.

    Ainsi, si après avoir relâché la pression, la douleur persiste, mieux vaut consulter le médecin.

    Si vous suspectez cette maladie, rendez-vous immédiatement chez un spécialiste, qui sera chargé de réaliser les examens nécessaires pour le diagnostic.

    S’il vous détecte une inflammation de l’appendice, il procédera à une intervention chirurgicale qui consiste en une petite excision pour son extraction.

    De plus, selon les cas, on prescrit des médicaments antibiotiques par voie intraveineuse, pour éviter le développement d’infections graves.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 RAISONS CACHÉES QUI AUGMENTENT VOS TRANSAMINASES

     

     

     

     

     

     

    Un taux de transaminases trop élevé peut révéler le dysfonctionnement d'un organe ou plusieurs maladies. Cirrhose, hépatites, problème musculaire... Voici 6 causes qui peuvent faire monter vos transaminases en flèche. 

     
     

    Les transaminases c'est quoi ?

    ©Istock

    Elles font partie des grandes lignes à surveiller dans nos analyses sanguines. Les transaminases sont des enzymes présentent dans plusieurs organes comme le coeur, les muscles, mais surtout dans le métabolisme hépatique donc le foie.
    A quoi ça sert ? "En cas de souffrance du foie ou du coeur, par exemple, les cellules lésées créent une augmentation des transaminases. Mesurer leur taux d'activité peut permettre de révéler un trouble dans l'organisme s'il se révèle anormal ", explique le professeur Patrick Marcellin, hépatologue à l'hôpital Beaujon à Paris.
    Comment ça marche ? "L'examen se fait pas prise de sang. On mesure deux types de transaminases : les ASAT et ALAT. Si le taux d'ALAT est plus haut que celui des ASAT c'est un problème de foie. A l'inverse si les ASAT sont plus plus nombreuses que les ALAT c'est musculaire".
    Comment savoir si le taux est élevé ? "Avant tout, il faut savoir que le taux moyen normal varient en fonction des laboratoires car les normes ne sont pas standardisées. Il faut uniquement la valeur limite supérieure du laboratoire qui a effectué l'analyse et ne pas le comparer avec un autre.
     
     

    Surpoids : l'excès de graisse abîme le foie

    ©Istock

    "La surcharge pondérale est l'une des principales causes d'augmentation des transaminases avec le diabète et l'hyperlipidémie", explique le professeur Patrick Marcellin. Ils font partie des symptômes qui peuvent traduire un syndrome métabolique.
    Pourquoi ? "La graisse accumulée autour du foie en grande quantité à cause de ses symptômes provoque ce qu'on appelle une stéatose, elle-même responsable d'une inflammation ", ajoute le spécialiste. Les cellules du foie sont touchées entraînant alors une augmentation du taux de transaminases.
     
     

    La cirrhose augmente les transaminases et les Gamma GT

    ©Istock

    Le foie a pour rôle de filtrer tout ce qui est bon ou mauvais dans notre corps, il est le reflet de notre santé." Une augmentation des transaminases particulièrement des ASAT par rapport aux ALAT associée à une explosion des GAMMA GT est le signe spécifique d'une cirrhose", prévient l'hépatologue.
    Pourquoi ? "Les transaminases sont présentent surtout dans le foie, elles augmentent en cas de lésions cellulaires. En cas d'alcoolisme chronique, une inflammation du foie peut se déclarer entraînant une fibrose et une cirrhose à la longue. A ce stade des complications dangereuses peuvent se déclarer", ajoute le spécialiste.
    A savoir : on considère qu'une consommation excessive d'alcool chez une femme est de trois verres par jour et un homme deux. De plus en plus répandue chez les jeunes qui boivent de l'alcool occasionnellement mais avec une forte dose d'alcool , l'hépatite alcoolique aussi peut être responsable d'une augmentation des transaminases.
     
     

    Des médicaments qui augmentent les transaminases

     
     
    "Beaucoup de médicaments peuvent être la cause d'une augmentation des transaminases", prévient notre interlocuteur. Le foie est un filtre du corps il est donc possible qu'il retienne un microbe créant une réaction qui s'exprime directement dans le foie.
    Pourquoi ? "Un traitement mal supporté peut résulter en une hépatite allergique pouvant être fulminante voire mortelle", ajoute le spécialiste. C'est pourquoi il est utile pour certains traitements de faire des analyses avant et après pour voir si le médicament est bien supporté.
    Quels médicaments en cause ? Selon l'hépatologue "ce sont principalement certains antibiotiques, anti-inflammatoires ou médicaments contre le cholestérol".
     
     

    Un gros effort musculaire

    ©Istock

    Taux de transaminases élevé ne rime pas toujours avec problème grave. Lorsque les ASAT sont à un niveau anormal par rapport aux ALAT, il peut s'agir d'un problème musculaire.
    Pourquoi ? Ce type d'enzyme est aussi présent dans les muscles et réagit lorsqu'il est en souffrance. Un gros effort sportif peut créer une lésion musculaire résultant en une augmentation des transaminases qui redeviendra normale une fois le trouble soigné.
     
     

    Une hépatite virale qui peut-être fulminante

    ©Istock

    L'hépatite étant parfois asymptomatique, le patient se rend compte qu'il est atteint lorsque les complications les plus sévères se déclarent. C'est pourquoi à la moindre élévation d'un taux anormal de transaminases voire même lorsque l'on frôle la limite, il est conseillé de faire plus d'analyses afin de vérifier ce que cela peut traduire.
    Pourquoi ? "Le virus pénètre dans les cellules hépatiques et se multiplie dedans entraînant une inflammation. En réponse à cette "menace" l'organisme se défend et développe plus de globules blancs", explique le Pr Patrick Marcellin, hépatologue.
    Dans le cas d'une hépatite virale : "Une élevation aigüe des transaminases, c'est-à-dire qui monte en flèche puis redescend après traitement peut être causée par les virus d'hépatites A,B,C,D,E."
    Dans le cas d'une hépatite chronique : "ce sont les virus des hépatites B et C qui en sont principalement responsables. On note une augmentation sévère du taux de transaminases qui reste sur la durée. Dans ce cas i l est important d'avoir un suivi sérieux car l'hépatite peut-être fulminante et entraîner une destruction massive à l'intérieur du foie", souligne le spécialiste.
     
     

    Une cirrhose non alcoolique causée par le sucre

    ©Istock

    La cirrhose non alcoolique ou stéatose hépatique non alcoolique (NASH) est la forme de cirrhose la moins connue et pourtant elle est en pleine émergence dans les pays développés et notamment en France. "Le développement des cas est du au nouveau mode de vie moderne. La malbouffe et le manque d'exercice physique sont les principales raisons", avertit le Pr Patrick Marcellin, hépatoloque.
    Pourquoi ? L'incidence de la NASH est provoquée par l'accumulation de sucre et graisses dans le foie. A force, des lésions se forment dans l'organe entraînant une augmentation des transaminases. Si elle n'est pas prise à temps elle peut évoluer en cancer du foie.
     
     

    Publié par Bénédicte Demmer, journaliste santé

    Merci au professeur Patrick Marcellin, hépatologue à l'hôpital Beaujon à Paris et directeur de l'Unité de recherche à l'Inserm.

     

     

     

     

     

    Source : medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 informations sur l’incontinence urinaire que vous devez connaître

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Afin que l’incontinence urinaire ne conditionne pas notre vie, nous devons souvent vider notre vessie, ne pas retenir les envies d’uriner et faire des exercices pour renforcer le plancher pelvien.

    L’incontinence urinaire se traduit par des pertes urinaires involontaires d’urine qui, se produisent régulièrement en toussant ou en faisant un effort.

    Il s’agit d’un problème très fréquent et qui affecte environ 30 % des femmes à l’âge adulte.

    Dans la majorité des cas, elle survient à cause d’un affaiblissement de la musculature de la zone pelvienne, bien qu’elle puisse également se développer après l’accouchement par voie vaginale, la consommation de certains médicaments ou à cause d’infections vaginales.

    Comme les symptômes sont gênants et embarrassants, cela suppose un problème d’hygiène et psychologique pour les personnes qui en souffrent.

    De plus, à cause des difficultés ou de l’incapacité à la contrôler, elle finit la plupart du temps par affecter de manière significative la qualité de vie.

    Ce problème peut se manifester à n’importe quel moment de la vie, bien que ce soit plus fréquent après la grossesse ou la ménopause.

    En prenant en compte que nous pouvons tous en souffrir, il convient de connaître certaines informations importantes sur son développement.

    1. L’incontinence peut se produire si l’on se retient d’uriner

    Se retenir d’uriner pendant longtemps est une habitude très fréquente et qui est directement liée à l’apparition de l’incontinence.

    Bien qu’au début cela ne paraît pas avoir d’effets négatifs, avec le temps cela fragilise la vessie et augmente la pression à laquelle est soumise l’urètre.

    Cela amène aux pertes involontaires d’urine, surtout lorsque l’on fait du sport, que l’on rit, tousse ou que l’on pratique une activité qui implique un peu de force.

    De nombreux-ses expert-e-s assurent que la vessie doit être vidée toutes les 4 heures au minimum, car elle atteint sa capacité maximum de contenance pendant ce laps de temps.

    2. Il s’agit d’un affaiblissement des muscles du plancher pelvien

    3. Certains aliments augmentent le risque

    La consommation excessive de certains aliments est liée à l’augmentation du risque de souffrir de ce problème de santé.

    Cela est dû à leur composition, qui peuvent engendrer une irritation de la vessie, et faire qu’elle se contracte de manière plus continue pour évacuer le liquide.

    Cela arrive également avec la consommation de sodas et de produits diurétiques qui augmentent la production d’urine.

    On retrouve parmi ces boissons :

    • Les agrumes
    • Le jus de tomate
    • Le thé
    • Le café
    • Le chocolat
    • Les sodas
    • Les boissons énergisantes
    • Les piments piquants

    4. Il existe plusieurs types d’incontinence urinaire

    La manière dont se développe l’incontinence urinaire permet de différencier divers types de la maladie.

    • Celle qui se produit en éternuant, toussant ou en soulevant quelque chose de lourd est connue sous le nom « d’incontinence d’effort » et est l’une des plus fréquentes.
    • « L’incontinence d’urgence » est celle où se produit une libération soudaine d’urine, lorsque le patient s’y attend le moins, même dans des moments inopportuns.
    • Il existe également une « incontinence psychogène » qui est liée à des stimulis externes comme le contact du froid ou de l’eau.
    • Enfin on distingue une variété appelée « incontinence neurologique ».

    Elle se développe chez des patients atteints de troubles du système nerveux, d’Alzheimer, de Parkinson ou de lésions médullaires.

    5. Les hommes peuvent également en souffrir

    La population féminine est celle qui présente le plus de risque de développer ce problème urinaire ; cependant, cela ne signifie pas que les hommes soient exempts d’en souffrir.

    Son développement peut être dû à des problèmes sur la vessie ou à certains problèmes de prostate et, de fait, ceci est fréquent chez des patients stressés ou diabétiques.

    6. Il existe plusieurs traitements

    Bien que l’on ne puisse pas toujours contrôler complètement ce problème, il existe certains traitements qui aident à réduire sa récurrence et ses symptômes.

    La pratique régulière d’exercices de renforcement, comme les exercices de Kegel, augmentent la force du plancher pelvien et réduit les pertes d’urine involontaires.

    Des techniques comme la double vidange de la vessie ont également donné des résultats intéressants pour la contrôler.

    Les médicaments anti-muscarine qui bloquent les contractions de la vessie et les médicaments agonistes alpha-adrénergiques servent également à augmenter la force du sphincter.

    En dernier recours il existe aussi la chirurgie, qui consiste à faire une entaille dans le vagin et faire une réparation para-vaginale.

    En plus de prendre en compte les informations mentionnées ci-dessus, il est essentiel de savoir que ce problème peut avoir des conséquences sur la santé émotionnelle, la vie sexuelle et l’entourage social.

    C’est pourquoi si vous pensez en souffrir, il est primordial d’aller consulter un médecin pour un contrôle.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 problèmes liés à un affaiblissement du système immunitaire

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Avoir un système immunitaire fort et sain est indispensable pour faire face aux différents virus et pathogènes qui nous attaquent quotidiennement et qui peuvent menacer notre santé.
     

    Le système immunitaire est chargé de protéger l’organisme des substances nocives appelées antigènes, lesquelles portent les virus, les bactéries, les toxines et tous types de substances étrangères qui peuvent compromettre la santé.

     

    Il est composé par le tissu lymphoïde, qui appartient à la moelle osseuse, les ganglions lymphatiques, faisant partie du tube digestif et les amygdales.

    De plus, il a été prouvé que certaines protéines et cellules du sang sont aussi en relation avec ces fonctions dans le corps.

    Dès qu’il détecte n’importe quel type d’antigènes, notre système immunitaire augmente la production des protéines appelées anticorps et, ainsi il détruit les pathogènes pour éviter qu’ils créent des maladies.

    Le problème est que la continuelle exposition au stress, à une mauvaise alimentation et à certaines maladies peut altérer son fonctionnement jusqu’au point de l’empêcher de réaliser ses tâches principales.

    En conséquence, le risque de souffrir de certaines pathologies augmente et certaines réactions négatives se déclenchent et affectent notre qualité de vie.

    Pour cette raison il est primordial de détecter les signes associés à son affaiblissement et de prendre les mesures nécessaires pour les neutraliser.

    Vous en avez déjà fait l’expérience ?

    1. Infections recurrentes

    Étant donné que le système immunitaire est chargé de protéger l’organisme face à l’attaque des virus, des bactéries et des mycoses, sa détérioration conduit à développer des infections récurrentes.

    Les troubles de la tractée urinaire, l’inflammation et les affections du système digestif sont des signes qui identifient qu’il ne répond pas de façon normale face aux agents externes.

    2. Les allergies

    Les réactions allergiques sont plus fréquentes chez certaines personnes que d’autres. Il s’agit d’une réponse du système immunitaire face aux agents externes comme le pollen et la poussière.

    Leur évolution continue peut-être un signe d’affaiblissement de ce dernier.

    Les altérations de la peau, la congestion des voies respiratoires et les éternuements sont des raisons suffisantes pour commencer à adopter de nouvelles habitudes qui le renforcent.

    3. Les plaies tardent plus à cicatriser

    Le temps de guérison des plaies de notre corps varie généralement en fonction de leur origine et gravité.

    Cependant, globalement c’est un temps prudentiel, surtout s’il s’agit d’une lésion superficielle.

    Comme le système immunitaire est une partie fondamentale du processus de guérison et de cicatrisation, ses baisses peuvent provoquer de retards qui, même, augmentent le risque d’infections ou de complications.

    Constater qu’une blessure met plus de temps à guérir doit être suffisant pour soupçonner d’un affaiblissement.

    4. La grippe et les rhumes

    La grippe, les rhumes et autres troubles qui affectent les voies respiratoires sont le résultat de la réduction de la production d’anticorps fabriqués par les mécanismes de défense du corps.

    L’insuffisance de globules blancs, la réduction d’oxygène et les troubles circulatoires influencent les complications de ce genre de problèmes.

    5. La fatigue et l’affaiblissement

    La sensation de fatigue constante peut être provoquée par de multiples facteurs auxquels nous sommes exposé-e-s tous les jours.

    Cependant, quand cela se produit constamment et sans cause apparente, il est fort probable que ce soit lié aux baisses du système immunitaire.

    Dans ces cas, il est commun de les ressentir dès le matin, même quand on a parfaitement dormi.

    Elle est généralement accompagnée d’un affaiblissement physique et mental qui peut interrompre la réalisation des tâches quotidiennes.

    Il peut également se produire des changements de température, des vertiges, des nausées et autres signes que nous ne devons pas sous-estimer.

    6. Les douleurs musculaires

    Les nivaux de stress élevés, l’excès d’activité physique et les déficiences nutritionnelles sont étroitement liées avec la diminution des fonctions de ce système du corps.

    Étant donné que ces derniers influent directement sur la santé musculaire, les affaiblissements peuvent provoquer des douleurs, des tensions musculaires et de forts maux de tête.

    7. Faibles réponses aux traitements

    La plupart des infections et maladies associées au système immunitaire sont traitées avec des médicaments antibiotiques qui aident à détruire beaucoup de virus et de bactéries qui les provoquent.

    Le problème est que, si vous êtes affecté, les effets des médicaments diminuent et rendent plus difficile notre récupération.

    Par conséquent, il est nécessaire de renforcer leurs effets en adoptant une alimentation saine et de haute qualité nutritionnelle.

    Les problèmes ici traités ne doivent pas être ignorés sous aucun prétexte car ils requièrent un traitement opportun et efficace.

    Ne pas y  prêter attention ou attendre qu’ils prennent le dessus peut conduire à des situations plus graves et difficiles à résoudre.

     

    Image principale courtoisie de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Important ! 6 indices précoces d’insuffisance cardiaque

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Parmi les symptômes avant-coureurs d’une insuffisance cardiaque nous pouvons ressentir une fatigue aigüe sans raison apparente, une prise de poids inexplicable ou un manque d’appétit, bien que cela puisse être dû à d’autres pathologies.
     

    L’insuffisance cardiaque fait référence à l’incapacité du cœur de pomper suffisamment de sang pour supporter toutes les taches métaboliques, d’approvisionnement en oxygène et en nutriments à notre organisme.

     

    Si nos cellules ne se nourrissent pas de manière correcte, le corps ne peut pas fonctionner normalement, et les effets se font remarquer.

    La symptomatologie associée à cette maladie est grave et réduit considérablement la qualité de vie du/de la patient-e.

    L’insuffisance cardiaque est, à son tour, une des raisons les plus fréquentes et incapacitantes parmi la population adulte, spécialement les personnes dépassant les 65 ans.

    Bien que cette affection soit généralement chronique, dans de nombreux cas, et grâce à une médication adéquate et un bon suivi médical, on peut avoir une qualité de vie normale.

    Néanmoins, d’autres personnes devront être intervenues pour être aidées d’un petit défibrillateur. Il s’agit d’un dispositif semblable à un stimulateur cardiaque qui contrôle de façon permanente le rythme du cœur.

    La vie change de manière radicale lorsqu’apparaissent ce type de complications cardiaques, si communes mais, en même temps, impactantes pour la personne ainsi que son entourage familial et personnel.

    Toutefois, il est toujours vital de rester attentif aux premiers symptômes. Il est habituel que, pendant les premières phases, certaines anomalies associées avec la fatigue ou le stress passent inaperçues.

    Dans cet article, nous vous invitons à vous souvenir de ces simples informations. C’est important de les connaître pour pouvoir en parler à notre médecin si nécessaire.

    1. Le besoin d’uriner pendant la nuit

    Se lever pour uriner la nuit plus d’une fois n’est pas normal.

    Bien que ce symptôme puisse être dû à plusieurs raisons (un problème rénal, une infection, des problèmes de prostate…), l’insuffisance cardiaque est aussi un facteur à prendre en compte.

    • Lorsque nous nous couchons, le liquide accumulé dans les extrémités inférieures dû à l’insuffisance cardiaque peut revenir vers le flux sanguin et être capté par les reins pour s’éliminer dans l’urine.
    • Nous ne devons pas oublier que cette maladie a tendance à agrandir la chambre du cœur dans un essai presque désespéré pour pomper plus de sang. Cependant, cela provoque aussi une rétention de liquides.
    • Si, d’un jour à l’autre, nous remarquons que nos habitudes quand nous allons aux toilettes changent, le mieux est d’en parler à un-e médecin.

    2. L’insuffisance cardiaque et la perte d’appétit

    Voilà un autre symptôme qui peut être lié avec beaucoup d’autres troubles ou problèmes sans gravité excessive.

    Cependant, quand le cœur arrête de pomper à un rythme et à un fréquence normale, l’accumulation de liquides se produit aussi dans l’appareil digestif et dans le foie.

    On se sent généralement repus et sans appétit. D’ailleurs, nous nous sentons rassasié-e-s avec des quantités chaque fois plus petites.

    3. Une fatigue constante

    La fatigue apparaît sans que nous fassions un effort considérable. Ce qui auparavant ne nous supposait aucun effort, devient dorénavant extrêmement dur et nous laisse sans air ni respiration.

    • Monter un escalier, porter des choses lourdes, sortir faire ses courses et même parler longtemps, nous épuise.
    • L’insuffisance cardiaque réduit la capacité de pompage du cœur, et provoque que moins de sang arrive aux muscles.
    • Nous pouvons imaginer ce que cela suppose pour notre organisme : nous recevons moins d’oxygène et moins de nutriments.
    • Les muscles se surchargent, des crampes apparaissent, la douleur et cette fatigue extrême.

    4. La prise de poids inexplicable

    Cela peut sembler contradictoire, car, si nous mangeons moins, pourquoi avons nous pris des kilos ? La réponse, une fois de plus, se trouve dans la rétention des liquides.

    • La majeure partie de ce volume corporel n’est pas dû à la graisse, mais aux liquides.
    • Dans le cas de constater que nous prenons plus de deux kilos en moins d’une semaine, nous devrons le communiquer immédiatement à notre médecin.
    • De cette manière, il est bon de savoir qu’avec un traitement spécifique et un régime, ces kilos en trop disparaîtront et nous pourrons récupérer notre ligne.

    5. Chevilles enflées

    Les chevilles enflées peuvent être la conséquence de divers facteurs (le surpoids, tomber enceinte, les varices…)

    • Toutefois, s’il s’agit d’un problème constant au quotidien, nous devons savoir que c’est une chose normale. Il est nécessaire de faire un diagnostic pour en découvrir la cause.
    • Cette inflammation ou œdème peut s’étendre des chevilles aux jambes. La plupart du temps, il s’agit d’un signe d’insuffisance cardiaque, rénal ou hépatique.

    Ce sont des problèmes que nous devons communiquer à notre médecin.

    6. La dyspnée ou l’essoufflement

    La dyspnée ne fait pas référence uniquement à une accumulation de liquide. Nous parlons aussi d’une congestion dans les poumons.

    • Il est important de se rappeler que, si nous accumulons du liquide dans les poumons, l’échange d’oxygène ne sera pas possible, donc, il s’agit déjà d’un symptôme grave.
    • Il est commun que la dyspnée apparaisse au début lors d’occasions très particulières : lorsque nous faisons du sport ou, même, en nous levant du lit.
    • Lorsque l’on est allongés, le liquide a tendance à « noyer » les poumons ; par conséquent, nous avons du mal à respirer.

    Nous ne devons jamais considérer normal ce genre de symptômes. Si la respiration nous manque pendant quelques secondes, mais tous les jours, en nous levant, il est préférable de consulter notre médecin.

    Pour terminer, il est important d’informer constamment nos spécialistes de la santé au sujet de n’importe quel problème, une circonstance de notre quotidien et qui nous affecte d’une certaine manière, afin de mener une vie normale.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 MALADIES QUE VOUS RISQUEZ

    SI VOUS VOUS RETENEZ DE FAIRE PIPI

     

     

     

     

     

     

    Pyélonéphrite, infection urinaire, insuffisance rénale... Vous avez l'habitude d'attendre jusqu'à ce que votre vessie ne tiennent plus pour aller faire pipi ? Les maladies qui peuvent se développer en cas de rétention d'urine trop longue risquent de vous faire changer d'attitude. Le point avec le Dr Olivier Dumonceau, urologue.

     

    Infection urinaire : des bactéries qui stagnent trop longtemps

    ©Istock

    Vous avez l'habitude de vous retenir d'uriner jusqu'au dernier moment ? Vous risquez de vous en mordre les doigts.
    Pourquoi ? Les reins filtrent le sang pour le débarrasser des toxines qui restent dans l'urine afin qu'elles soient éjectées lors de la miction. Si on se retient trop longtemps les urines stagnent dans la vessie, or il peut arriver qu'elles contiennent des bactéries qui risquent de germer et déclencher une infection urinaire.
    L'infection urinaire c'est quoi ? Très fréquent chez la femme, cette infection qui se propage dans le tractus urinaire cause des brûlures lors de la miction, une envie persistante d'uriner, des urines troubles et une douleur dans le bas ventre.
    Que faire ? Consulter un médecin qui vous prescrira un traitement antibiotique.
     
     

    Pyélonéphrite : une cystite qui tourne mal à force de se retenir

    ©Istock

    Si la cause la plus courante lorsqu'on se retient volontairement d'uriner est l'infection urinaire, il peut arriver que celle-ci dégénère si elle est mal soignée et que l'on continue de se retenir.
    Pourquoi ? "Aucune étude n'a jamais confirmée l'hypothèse, mais il semble effectivement que se retenir d'uriner fasse partie des causes d'une infection urinaire", tempère le Dr Olivier Dumonceau, urologue. Or lorsqu'une infection urinaire s'aggrave ou est mal soignée, les germes empruntent le chemin inverse des urines et remontent jusque dans l'urètre. On parle alors d'une cystite et plus grave encore ils peuvent arriver jusque dans les reins et causer une pyélonéphrite.
    Une pyélonéphrite c'est quoi ? Une infection bactérienne de la zone rénale et des voies urinaires hautes. Les symptômes principaux sont : fièvre, des urines d'une couleur anormales, du sang dans les urines.
    Que faire ? Consulter votre médecin au moindre doute.
     
     

    Un agrandissement de la vessie définitif

    ©Istock

    "Il est important d'apprendre aux enfants dès qu'ils sont autonomes qu'il faut faire pipi matin, midi et soir et dès qu'ils ont envie", prévient le Dr Olivier Dumonceau, urologue. Cela peut avoir des conséquences définitives sur le développement de leur vessie en tant qu'adultes.
    Pourquoi ? "Ils sont en pleine croissance donc se retenir d'uriner peut détendre les parois de la vessie et créer un agrandissement de l'organe qui restera à l'âge adulte et peut créer des complications", ajoute notre interlocuteur. La vessie étant plus grande les urines stagneront plus longtemps rendant la personne souvent sujette aux infections urinaires.
     
     

    Un adénome de la prostate qui empêche d'uriner

    ©Istock

    Il y a ceux qui ne vont pas assez uriner parce qu'ils se retiennent volontairement et ceux qui ne peuvent pas à cause d'un trouble sérieux. C'est pourquoi il faut être particulièrement attentif à la moindre anomalie de vidange de la vessie.
    Pourquoi ? "Cela concerne surtout les hommes souffrant par exemple d'un adénome de la prostate qui empêche la vessie de bien se vider. Du coup, cette dernière devient de plus en plus tendue et perd de la force de vidange ce qui créer une rétention d'urine . Il est complètement impossible d'uriner.
    Un adénome de la prostate c'est quoi ? Une tumeur bénigne qui se développe fréquemment se développer chez l'homme après 50 ans. Etant donné sa localisation elle constitue un obstacle aux voies urinaires.
    Que faire ? Il faut immédiatement aller aux urgences où l'on pose une sonde au patient pour éliminer l'uriner."
     
     

    Insuffisance rénale : une maladie irréversible

    ©Istock

    Maîtresse d'école, chantiers, taxi...Plusieurs métiers obligent les employés à se retenir plusieurs fois dans la journée avant d'aller aux toilettes. Il est important de penser à sa santé avant tout. Sur du long terme à force de garder sa vessie pleine, les soucis peuvent atteindre les reins, et provoquer une maladie irréversible : l'insuffisance rénale.
    Pourquoi ? "Plus la vessie est pleine plus les parois se contractent", explique le Dr Olivier Dumonceau, urologue. Cela risque d'altérer le fonctionnement des reins qui, eux, filtrent le sang toutes les minutes et produisent de l'urine pour éliminer les toxines en continuent. "Ce phénomène peut provoquer de l'insuffisance rénale", ajoute le spécialiste.
    L'insuffisance rénale c'est quoi ? C'est une pathologie qui entraîne le déclin progressif des reins qui ne peuvent plus assurer leur rôle de filtre. Les toxines s'accumulent dans l'organisme créant des troubles annexes.
    Que faire ? Consulter votre médecin immédiatement.
     
     

    Des calculs rénaux qui se forment

    ©Istock

    Si vous vous retenez souvent d'uriner jusqu'au dernier moment il est temps d'apprendre à y aller plus souvent. Les conséquences d'une rétention d'urine peuvent, à la longue, provoquer des calculs rénaux douloureux.
    Pourquoi ? "Les reins servent à filtrer le sang. Ils enlèvent les déchets de l'organisme et le calcium qui atterrissent dans l'urine, explique l'urologue. Si les urines stagnent trop longtemps le calcium risque de s'accumuler et cela peut parfois former de petits cristaux qui ont du mal à s'éliminer", explique le spécialiste.
    Les calculs rénaux c'est quoi ? Ce sont de petits "cailloux" sous forme de cristaux qui bloquent les voies urinaires. 90% du temps ils s'éliminent tous seuls mais certains de taille plus importante peuvent migrer dans l'urètre et bloquer le canal. Il faut alors passer par un traitement voire une intervention.
    Que faire ? Boire beaucoup d'eau et consulter son médecin au plus vite.
     
     

    Si on ne boit pas assez d'eau

     
     
    L'élimination des toxines par la miction se fait essentiellement grâce à l'hydratation du corps. Une personne qui ne vas pas assez uriner n'est pas forcément quelqu'un qui se retient ou avec un problème de santé, c'est peut être tout simplement parce qu'elle ne boit pas assez. Il est recommandé de boire au quotidien 1,5 à 2 litres d'eau par jour afin d'hydrater suffisamment le corps mais surtout d'assurer le bon fonctionnement de l'organisme et surtout celui des reins.

    "Le rôle principal des reins est de filtrer le sang, explique l'urologue Olivier Dumonceau. A la suite de leur travail le calcium attert6 maladies it dans les urines, or pour l'éliminer facilement ainsi que les déchets qui se trouve dans les urines il faut boire assez d'eau", rappelle le Dr Olivier Dumooceau, urologue.

     

    Publié par Bénédicte Demmer, journaliste santé

     

     

     

     

     

    Source : medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 symptômes très étranges qui vous alertent

    sur un dysfonctionnement de vos intestins

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Saviez-vous qu'une fragilité osseuse peut être due à des problèmes intestinaux ? Lorsque notre corps n'absorbe pas bien les minéraux, c'est toute notre santé qui est mise en danger.
     

    Les problèmes intestinaux ne se limitent pas qu’à des diarrhées ou à des vomissements.

    Sans que nous en soyons conscient-e-s, nos intestins accomplissent de multiples fonctions qui sont essentielles au bon fonctionnement de notre corps.

    Grâce à eux, nous absorbons les nutriments des aliments que nous consommons, comme les minéraux, les vitamines et l’eau. De plus, ils jouent un rôle important dans la santé de notre système immunitaire.

    La flore microbienne qui recouvre leurs parois est indispensable à notre santé, car elle nous permet de faire face à de multiples bactéries et de profiter d’un équilibre intérieur, qui garantit notre qualité de vie.

    Nous ne devons pas oublier que ce que nous désignons comme les intestins et est en fait une série d’organes entremêlés, parmi lesquels on retrouve le côlon.

    Pour garder nos intestins dans un état de fonctionnement optimal, nous devons en prendre soin au quotidien.

    Il est donc nécessaire de connaître la symptomatologie secondaire de cette partie de notre corps, que nous ignorons bien souvent et qui est pourtant indispensable si nous souhaitons détecter un dysfonctionnement éventuel le plus tôt possible.

    Nous vous proposons de prendre bonne note des conseils que nous allons vous donner dans la suite de cet article, car ils vont vous être très utiles.

    1. Des os fragiles

    Imaginez la situation suivante. Un jour, lors d’une randonnée en montagne entre amis, vous trébuchez sur un petit rocher et vous vous brisez la hanche.

    • Cette fracture peut être liée à deux choses : à cette roche inopportune ou à l’ostéoporose, une pathologie très présente chez la femme notamment.
    • Que se passerait-il si demain vous vous fracturiez les poignets, le tibia ou l’épaule ? Quelque chose est en train de se passer en vous et vous devez en prendre la mesure.
    • Une fragilité osseuse peut être due à une acidité stomacale, qui empêche les minéraux comme le calcium et la magnésium d’être bien absorbés par nos intestins.
    • La vitamine K, produite par nos intestins, peut également être en jeu.

    Si ces organes sont plein de toxines, s’ils ne fonctionnement pas comme ils le devraient, notre corps n’a plus la quantité de vitamine K dont il a besoin pour avoir des os forts et sains.

    2. Les épisodes de stress et d’anxiété


    Lorsque la flore microbienne de nos intestins est déséquilibrée, notre état d’esprit peut vite devenir extrêmement négatif.

    Il est intéressant de savoir qu’un long nerf connecte les intestins et le cerveau, et que des signaux circulent dans les deux sens.

    Si nous consommons trop de graisses saturées, la flore microbienne se voit affectée et commence à envoyer des symptômes émotionnels très concrets.

    Pour éviter ce phénomène, nous devons procéder à quelques changements dans notre alimentation :

    • Nous devons manger plus de fruits et de légumes frais.
    • Nous devons boire de l’eau abondamment.
    • Nous devons consommer du kéfir, un produit idéal pour prendre soin de notre flore bactérienne.

    3. Des démangeaisons cutanées

    C’est peut-être l’un des symptômes les plus étranges d’un dysfonctionnement intestinal, alors qu’il s’agit certainement de l’un des plus clairs et des plus évidents.

    • Si nos intestins sont trop perméables, les particules des aliments non digérés correctement vont pénétrer directement dans notre flux sanguin.
    • Le corps va donc se charger de toxines et le système immunitaire va réagir de différentes manières pour nous alerter sur le fait que quelque chose ne va pas. Il va provoquer des démangeaisons, des gonflements ou des inflammations.

    Si nous remarquons un tel phénomène, nous devons rapidement consulter un médecin afin de connaître l’origine véritable de notre condition.

    4. Des ongles fragiles

    Avoir des ongles fragiles et cassants est un signal évident du fait que nous n’absorbons pas correctement les nutriments qui proviennent des aliments que nous ingérons.

    Au lieu de dire « nous sommes ce que nous mangeons« , nous devrions plutôt affirmer « nous sommes ce que nos intestins absorbent« .

    S’ils ne sont pas sains, si notre flore microbienne est déséquilibrée, nous n’allons pas pouvoir décomposer correctement les aliments et nous ne pourrons pas absorber les vitamines et les minéraux qu’ils contiennent de manière optimale.

    5. Le ventre gonflé

    Parfois, lorsque nous regardons notre abdomen, nous nous demandons comment il a pu gonfler autant en si peu de temps.

    • Le gonflement abdominal n’est pas dû à des graisses, mais à des gaz, qui nous indiquent clairement que nos intestins ne fonctionnent pas correctement.
    • Le problème ne réside pas forcément dans le fait que les aliments que nous consommons provoquent naturellement des gaz. Nous devons surtout nous poser la question d’une éventuelle allergie alimentaire.

    Gardez à l’esprit que les laitages sont souvent les allergènes les plus dangereux de notre alimentation quotidienne. Si vous vous sentez mal après avoir mangé un yaourt ou du fromage, consultez votre médecin.

    6. Des selles blanches

    L’apparition de selles blanches est quelque chose que nous ne devons pas prendre à la légère. Dès que cela vous arrive, vous devez immédiatement consulter votre médecin.

    • Les selles blanches apparaissent généralement lorsque nous souffrons du syndrome du côlon irritable. Dans ce cas, elles sont bien souvent accompagnées d’épisodes de diarrhées.
    • Une altération de notre flore bactérienne et des inflammations intestinales peuvent aussi les provoquer, même si elles peuvent aussi être en lien avec des problèmes hépatiques très sérieux, qui requièrent un traitement spécifique.

    Pour conclure, comme nous pouvons le voir, les symptômes dont nous venons de vous parler sont très concrets et nous les attribuons souvent à d’autres problèmes de santé.

    Face au moindre doute, n’hésitez pas à demander l’aide d’un-e professionnel-le de la santé.

    Comme « nous sommes ce que nous mangeons« , pourquoi ne ferions-nous pas plus attention à la manière dont nous nous alimentons ?

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 conséquences inattendues du diabète

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Saviez-vous que le diabète peut aussi affecter votre capacité auditive et l'affaiblir ? Dès le moment où vous percevez un problème d'audition, consultez un médecin pour obtenir un diagnostic.
     

    Le diabète est un problème de santé important qui affecte plus de six millions de personnes dans le monde entier, et de tout âge. 

    C’est une altération métabolique chronique et complexe, qui est caractérisée par le fait de ne pas métaboliser correctement les sucres, les protéines et les graisses que l’on mange régulièrement.

    Le glucose à l’excès dans le sang provoque des dommages dans divers tissus et organes des personnes qui souffrent de cette maladie.

    Ces dernières années, des campagnes ont été lancées pour que les gens prennent conscience de ses risques et pour éviter les problèmes. Aussi bien les gouvernements que les institutions médicales travaillent ensemble, mais beaucoup de personnes se retrouvent quand même confrontées à des conséquences inattendues de cette maladie grave.

    1. Les problèmes buccaux

    Les personnes qui souffrent d’un diabète mal contrôlé ont plus de risque de souffrir de problèmes buccaux, de gencives et de maladies gingivales que les personnes qui ont des niveaux de glucose normaux.

    Si vous êtes diabétique, pré-diabétique ou que cous souffrez du syndrome métabolique, vous devez prêter une attention toute particulière à l’hygiène buccale et consulter votre odontologue régulièrement.

    Il n’est pas rare que les personnes détectent les premières conséquences inattendues du diabète dans leur bouche. Vous pouvez notamment remarquer des caries ou des problèmes de gencives, ou le dentiste peut vous le dire.

    Les problèmes les plus communs sont les suivants :

    • La périodontite : cette maladie affecte l’os qui soutient les dents. Il est important de continuer le traitement prescrit par le dentiste pour éviter de perdre vos dents.
    • Les caries : déjà, ce n’est pas très joli. Mais surtout, les caries provoquent des problèmes comme la sensibilité au froid ou au chaud. Elles peuvent aussi donner une mauvaise haleine qu’un lavage de dents n’améliore pas.
    • Les infections fongiques : l’excès de sucre crée un environnement parfait pour les infections de tout type. Contrôlez vos niveaux de glucose en permanence et assurez-vous toujours d’éliminer les résidus de sucre et les aliments.
    • Les perturbations du palais.
    • La mauvaise haleine ou l’haleine fruitée : parfois, ce symptôme est le premier que l’on remarque chez les personnes diabétiques. Si vous détectez ce problème, consultez un médecin le plus tôt possible pour « checker » votre niveaux de glucose dans le sang.

    2. La perte de la capacité auditive

    Il a été démontré que les personnes diabétiques souffraient d’une perte auditive plus importante que les autres. Cela a pu être découvert grâce à des tests qui mesurent la capacité des participants à entendre des fréquences faibles, moyennes ou fortes dans les deux oreilles.

    Les personnes qui souffrent des conséquences inattendues du diabète peuvent avoir les symptômes suivants :

    • Des vertiges
    • Des bourdonnements
    • L’hypoacousie
    • Les problèmes d’équilibre

    Les niveaux de glucose mal contrôlés peuvent avoir pour conséquence la sclérose de l’artère auditive intérieure, l’atrophie du ganglion spiral et la démyélinisation du huitième nerf.

    Si vous avez plus de 40 ans, les risques augmentent.

    Faites attention si vous remarquez que, dernièrement, vous n’entendez pas bien ou que ceux qui vous entourent doivent crier pour que vous les compreniez. Il est important de consulter un médecin.

    3. Les infections de la peau

    Les infections de la peau font partie des autres conséquences inattendues du diabète. Les problèmes communs peuvent se classer en quatre types :

    • Les lésions
    • Les infections cutanées
    • Les réactions médicamenteuses
    • Le pied diabétique

    Les diabétiques sont particulièrement exposés à la sécheresse de la peau car quand les niveaux de glucose sont très élevés, le corps essaie de libérer du sucre via l’urine.

    Si vos niveaux de glucose ne diminuent pas aux bons niveaux, vous aurez plus envie d’uriner et votre corps perdra plus de liquides. Si vous ne vous rechargez pas en liquides en buvant de l’eau, vous serez déshydraté.

    Dans les cas graves, des lésions rouges, qui démangent et provoquent une desquamation peuvent se former. Souvenez-vous que deux litres d’eau par jour est le minimum.

    Vous pouvez appliquer des crèmes hydratantes sur la peau qui est sèche mais si votre corps a soif, l’effet de la crème durera seulement quelques heures, voire quelques minutes.

    4. L’apnée obstructive du sommeil

    Une autre des conséquences inattendues du diabète est l’apnée obstructive du sommeil. Il s’agit d’un problème respiratoire courant et que l’on a souvent tendance à mettre de côté. Elle se présente quand il y a des paralysions intermittentes et répétées des voies respiratoires pendant le sommeil.

    Elle se présente chez 2% des femmes et 4% des hommes. Les deux facteurs qui facilitent son apparition sont l’obésité et le diabète.

    Si vous remarquez que vous avez des problèmes pour respirer pendant que vous dormez, il est important des faire des exercices pour améliorer votre régime alimentaire et perdre du poids. Le meilleur exercice qui soit est une heure de marche par jour accompagnée d’une alimentation riche en légumes.

    5. Les dysfonctionnements sexuels

    Le diabète peut rendre difficiles les relations sexuelles, aussi bien pour les hommes que pour les femmes.

    Les hommes diabétiques ont trois fois plus de risques de souffrir de lésions au niveau des nerfs et des artères, qui interrompent l’afflux sanguin nécessaire pour obtenir une érection.

    De plus, certains médicaments contre le diabète peuvent avoir des effets secondaires, qui favorisent davantage les dysfonctionnements sexuels.

    Les femmes peuvent souffrir de :

    • Hypoglycémie
    • Lésions au niveau de la zone génitale non liées à une maladie sexuellement transmissible
    • Dépression
    • Infections dans la zone génitale

    Astuces pour contrôler le diabète

    Beaucoup de gens pensent que souffrir de diabète implique de devoir se confronter à toutes ces conséquences inattendues. En réalité, cela va dépendre des soins qu’ils s’apportent.

    Un bon régime alimentaire et un style de vie sain peuvent garantir une vie longue et quasiment normale, sans ces conséquences inattendues.

    Si vous venez d’apprendre que vous souffrez de diabète, nous vous invitons à prendre cette nouvelle comme une opportunité pour améliorer vos habitudes de santé, d’alimentation et de vie.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 causes potentielles de l’insuffisance cardiaque congestive

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    L'insuffisance cardiaque congestive peut apparaître comme une conséquence de différentes maladies qui, a priori, n'ont pas de relation directe avec la santé de notre cœur.
     

    L’insuffisance cardiaque est un trouble chronique qui se développe lorsque notre cœur présente des difficultés à pomper le sang vers toutes les parties de notre corps. 

    Lorsqu’elle survient, l’oxygénation des cellules devient plus compliquée.

    Elle peut affecter seulement un des deux côtés du cœur, mais elle peut aussi toucher l’intégralité de cet organe.

    Au fur et à mesure qu’elle se développe, le sang peut s’accumuler dans certaines zones du corps, ce qui augmente la rétention d’eau et peut impacter négativement d’autres organes.

    Des parties importantes de notre corps, comme nos poumons, notre foie et notre tractus gastro-intestinal, peuvent déclencher une réponse inflammatoire, par exemple.

    L’insuffisance cardiaque congestive n’est pas facile à détecter dans les premiers moments de sa survenance, car elle n’entraîne pas de symptômes clairs et évidents. Mais, plus elle progresse, plus la personne touchée a des difficultés à respirer, ressent de la fatigue, a un pouls irrégulier et souffre de divers problèmes de santé.

    De plus, dans la majorité des cas, elle survient en conséquence de l’apparition d’autres pathologies cardiovasculaires qui n’ont pas été correctement soignées.

    Dans la suite de cet article, nous allons partager avec vous 7 causes potentielles de cette pathologie que nous devons prendre très au sérieux.

    1. Une maladie des artères coronaires

    La maladie des artères coronaires se produit lorsque des plaques de graisse s’accumulent dans les parois des artères qui mènent directement au cœur.

    Cette condition est très dangereuse, car elle peut bloquer totalement le flux sanguin et, dans les cas les plus graves, entraîner une crise cardiaque.

    Cette attaque peut causer la mort de la personne qui en souffre, même si lorsque les cas sont pris à temps, les patients ont de bonnes chances de survie.

    Un fort taux de cholestérol, de l’hypertension artérielle et du diabète augmentent de manière considérable le risque de souffrir de ce problème.

    2. L’hypertension artérielle

    L’hypertension artérielle se produit lorsque la pression augmente dans le flux sanguin qui traverse les artères coronaires.

    C’est un problème de santé publique dans la plupart des pays du monde, car il touche des millions de personnes et qu’il peut être mortel.

    Il s’agit d’un trouble asymptomatique, qui peut présenter des complications graves et létales, si un traitement adéquat n’est pas rapidement prescrit aux patients qui en souffrent.

    Il est fondamental de maintenir l’hypertension artérielle sous contrôle pour éviter des problèmes cardiaques graves, des troubles rénaux et des difficultés cognitives.

    3. La cardiomyopathie dilatée

    La cardiomyopathie dilatée est une maladie progressive du muscle cardiaque qui se caractérise par une dilatation ventriculaire.

    C’est la troisième cause la plus fréquente de l’insuffisance cardiaque congestive et l’une des raisons les plus habituelles des transplantations cardiaques.

    Son principal facteur de risque réside dans l’hérédité, mais elle peut aussi être provoquée par des infections et une forte exposition à des toxines dangereuses.

    4. Les pathologies thyroïdiennes

    Les changements métaboliques et hormonaux qui sont expérimentés par les patients qui souffrent de troubles thyroïdiens sont étroitement liés à l’augmentation du risque d’insuffisance cardiaque.

    L’hypothyroïdie et l’hyperthyroïdie peuvent provoquer des changements dans le système cardiovasculaire et dans la circulation sanguine, qui peuvent endommager le muscle cardiaque.

    En règle générale, elles se manifestent à travers une série de symptômes internes et externes qui facilitent leur détection et leur mise sous contrôle.

    5. Les troubles rénaux

    Même si beaucoup de gens l’ignorent, un bon fonctionnement rénal peut avoir un impact fondamentalement positif sur la santé cardiovasculaire, lymphatique et circulatoire.

    A l’inverse, lorsque les reins sont malades, ils ne peuvent plus filtrer de manière optimale les toxines et ne sont plus capables d’équilibrer les sels minéraux.

    A cause de cela, des problèmes de pression artérielle peuvent apparaître. Les pathologies rénales peuvent également augmenter le risque de survenance du diabète, de crises cardiaques et de problèmes urinaires.

    Les maladies rénales aiguës et chroniques figurent parmi les principales responsables de l’insuffisance cardiaque à l’âge adulte.

    6. Le diabète

    Le diabète est une maladie qui se caractérise par l’augmentation des niveaux de glucose dans le sang, que ce soit à cause d’une résistance du corps à l’insuline, ou de l’absence de production naturelle de cette hormone régulatrice.

    L’insuline, sécrétée par le pancréas, est chargée de maintenir le sucre sous contrôle dans l’organisme, et de le transformer en une source d’énergie.

    Les patients diabétiques doivent être surveillés par leur médecin, car l’avancée de cette maladie peut provoquer des dommages oculaires, des dysfonctionnements du système nerveux et des problèmes cardiaques.

    7. L’hémochromatose

    L’hémochromatose est une maladie héréditaire qui se caractérise par une accumulation anormale de fer dans les tissus et les organes du corps.

    Comme ce minéral ne peut être métabolisé de manière correcte, il devient un véritable produit toxique pour les organes comme le foie, le cœur et le pancréas.

    Ces complications engendrent des maladies de la thyroïde, du diabète, de l’insuffisance cardiaque et d’autres pathologies graves, qui affectent sans aucun doute la qualité de vie des personnes qui en souffrent.

    Le contrôle et le traitement opportun de toutes ces pathologies est déterminant pour éviter l’insuffisance cardiaque congestive.

    Face au moindre doute, nous vous conseillons de consulter votre médecin sans plus attendre.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 conséquences du manque de sommeil

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Si nous nous habituons à peu dormir, nous allons rapidement remarquer des conséquences négatives au niveau de notre concentration et de l'état de notre peau, qui va commencer à être marquée par des rides, de manière prématurée.
     

    Dormez-vous bien ? Pensez-vous que vos habitudes de sommeil sont bonnes ?

    Notre travail et nos activités quotidiennes nous obligent bien souvent à ne pas beaucoup dormir.

    Cette mauvaises habitude est si ancrée dans notre société qu’elle paraît tout à fait normale.

    Mais, vous êtes-vous déjà interrogé sur les conséquences du manque de sommeil ? La plupart des gens oublient à quel point dormir est important, au même titre que manger, boire et se reposer.

    Se reposer et dormir sont deux activités bien distinctes. Vous pouvez vous reposer en regardant la télévision ou en lisant un livre, mais cela ne veut pas dire que vous dormez.

    Dans la suite de cet article, nous allons vous révéler les conséquences du manque du sommeil. Si vous dormez peu et que vous ne voulez pas expérimenter les effets négatifs de cette mauvaise habitude, changez vite votre cycle de sommeil.

    L’anxiété

    Lorsque nous dormons, notre corps répare nos muscles et élimine la tension causée par le stress quotidien.

    Lorsque nous ne dormons pas suffisamment, nous accumulons ce stress et nous le démultiplions. Cela nous empêche d’être en forme et d’accomplir nos objectifs quotidiens.

    La connexion entre notre corps et notre esprit est très étroite. Si vous ne réparez pas votre stress durant votre sommeil, vous allez rapidement souffrir d’anxiété.

    L’anxiété peut également être causée par une libération chronique d’adrénaline, un symptôme très fréquent chez les personnes qui dorment peu la nuit.

    Voilà pourquoi vous devez essayer de bien dormir durant la nuit.

    La dépression

    C’est une autre conséquence du manque de sommeil, qui est en lien direct avec l’anxiété. La dépression peut nous frapper lorsque notre manque de sommeil interfère avec nos neurotransmetteurs.

    La conséquence de ce phénomène est une diminution des connexions synaptiques entre les neurones qui sont chargés de réguler notre état d’esprit.

    Lorsque vous vous sentez un peu déprimé, mal dans vos baskets, essayez de vous souvenir du nombre d’heures de sommeil que vous avez pu avoir dans la nuit. Vous découvrirez certainement que votre vie ne va pas si mal, mais que vous devez agir sur votre sommeil.

    Le manque de concentration

    Même si cela peut vous paraître étonnant, le sommeil est en lien direct avec la pensée et l’apprentissage. Si vous ne dormez pas suffisamment, ces processus cognitifs peuvent commencer à présenter quelques dysfonctionnements.

    Lorsque vous dormez moins de 7  heures par nuit, votre attention, votre état d’alerte, votre raisonnement et la manière dont vous résolvez les problèmes vont s’en trouver gravement affectés.

    Votre faculté d’apprentissage est alors quasi-nulle.

    Les cycles du sommeil jouent un rôle important dans la fixation des souvenirs dans la mémoire. Si vous ne dormez pas suffisamment, vous ne pouvez pas vous souvenir des choses que vous avez apprises.

    L’obésité et l’hypertension artérielle

    La mélatonine régule les hormones qui nous font ressentir la faim (la ghréline) et la satiété (la leptine).

    • Lorsque nous dormons peu, nos niveaux de ghréline augmentent et nos niveaux de leptine diminuent. Les conditions sont donc parfaitement réunies pour prendre du poids et souffrir d’obésité.
    • De plus, les personnes qui ne dorment pas correctement sont moins enclines à pratiquer une activité physique, car elles sont tout simplement fatiguées. Elles ont également plus de risques de manger des aliments riches en graisse saturées et en sucre.

    Si les trois premières conséquences du manque de sommeil ne vous ont pas paru suffisantes pour prendre davantage soin de vos nuits, le fait que cette situation de fatigue peut mettre en danger votre santé cardiovasculaire va peut-être achever de vous convaincre.

    Dormir 5 à 6 heures par nuit augmente la pression artérielle. Le sommeil contrôle les hormones du stress qui, de leur côté, régulent et assurent une pression artérielle saine.

    Un affaiblissement du système immunitaire

    Lorsque nous dormons, notre système immunitaire produit des cytokines protectrices, des anticorps et des cellules qui combattent les infections. Ce processus est nécessaire pour combattre l’invasion de corps étrangers, comme les bactéries ou les virus.

    L’une des conséquences du manque de sommeil est l’affaiblissement du système immunitaire, qui n’a pas le temps nécessaire pour récupérer sa force et sa vitalité.

    Si vous ne dormez pas suffisamment, il est plus que probable que votre corps ne puisse plus se défendre face aux infections. En conséquence, vous allez tomber malade plus souvent et plus gravement.

    La privation de sommeil sur du long terme augmente le risque de développer des pathologies chroniques, comme le diabète et les maladies cardiovasculaires.

    Le vieillissement prématuré de la peau

    Les cernes qui apparaissent sous vos yeux lorsque vous ne dormez pas sont aussi une conséquence du manque de sommeil. Si vous ne dormez pas au moins 6 heures par nuit, le cortisol, l’hormone du stress, est produite en grande quantité par votre organisme.

    Les femmes qui dorment mal ou peu ont plus de chances d’être touchées par des rides, même à un jeune âge.

    Le cortisol a la faculté de détruire le collagène présent dans les cellules de la peau, celle-ci perdant alors de son élasticité, de sa santé et de sa douceur.

    Si vous voulez avoir une peau saine en toutes circonstances, mais qu’aucune crème ou qu’aucun traitement ne vous permet d’y arriver, essayez de vous coucher tous les jours avant 22 heures.

    Gardez à l’esprit que notre peau se régénère entre 22 heures et 2 heures du matin.

    Évitez les conséquences du manque de sommeil !

    Si vous faites partie des gens qui dorment peu, vous vous êtes certainement reconnu-e dans les conséquences que nous venons de lister.

    Si vous devez vous battre avec l’un de ces problèmes, améliorez vos habitudes de sommeil. C’est peut-être la seule chose sur laquelle vous devez travailler pour atteindre vos objectifs.

     

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  • 5 symptômes d’une carence en acides gras essentiels

    oméga-3 et oméga-6

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    L'oméga-3 et l'oméga-6 sont deux acides gras essentiels que notre corps ne produit pas, mais dont il a besoin pour mener à bien certaines de ses fonctions. Si nous n'en consommons pas suffisamment, des conséquences peuvent vite se faire ressentir d'un point de vue médical.
     
    Les acides gras essentiels oméga-3 et oméga-6 sont indispensables à tout régime sain.
    Ils se nomment ainsi car nous sommes incapables de les synthétiser et qu’ils sont des éléments de base de la structure de nos cellules.

    Vous ne vous étiez peut-être jamais posé la question de la raison d’être de ce qualificatif d’essentiel, mais nous vous donnons tout de même la réponse !

    Aussi curieux que cela puisse paraître, beaucoup de personnes refusent d’en consommer, car ce sont des graisses qui sont contenues dans des aliments comme :

    • Les avocats
    • Le poisson
    • Les cacahuètes
    • Les œufs
    • Les olives

    Nous avons peur de consommer ces aliments parce que nous pensons qu’ils nous font prendre du poids. En réalité, notre organisme a fortement besoin de ces graisses saines, essentielles à son fonctionnement.

    Avant d’être stockées, ces graisses facilitent de multiples fonctions, processus, métabolisations et médiations, qui sont autant de mécanismes fondamentaux pour notre santé.

    Dans la suite de cet article, nous vous proposons la chose suivante : augmenter dès aujourd’hui votre consommation d’acides gras essentiels oméga-3 et oméga-6. Vous allez vite vous apercevoir des effets bénéfiques de cette habitude saine et votre corps vous en sera reconnaissant.

    Tout ce que vous devez savoir sur les acides gras oméga-3 et oméga-6

    Nous disposons aujourd’hui, sur le marché, de nombreux produits enrichis, de manière artificielle, en oméga-3 et en oméga-6, qu’il s’agisse de smoothies, de laits végétaux ou de beurres. Les industriels n’hésitent plus à en faire un argument de vente.

    C’est une aide non négligeable, nous ne pouvons pas le nier. Cependant, puisque notre organisme n’en produit pas mais que la nature s’en charge pour nous, mieux vaut opter pour des solutions qui ne sont pas synthétiques, en augmentant notre consommation de saumon, de noix, de graines de lin ou de brocoli.

    • L’acide linoléique (LA ou oméga-6) est l’acide gras à chaîne longue le plus représentatif. Il est présent dans les graines, les fruits secs et les huiles, comme celle de tournesol.
    • De son côté, l’acide gras oméga-3 se trouve davantage dans le poisson bleu, les fruits de mer, les légumes secs, l’huile d’olive, les noix et les amandes.
    • Les acides gras oméga-3 et oméga-6 sont des composants structurels des membranes de nos cellules. Ils servent de précurseurs pour d’innombrables processus organiques.
    • De plus, ils constituent une source importante d’énergie.

    Les symptômes d’une carence en oméga-3 et oméga-6

    1. Une peau sèche

    L’un des signes cliniques les plus évidents d’une carence en acides gras essentiels est, sans aucun doute, la sécheresse cutanée. C’est un phénomène très courant chez les enfants lorsqu’ils sont très jeunes, car ils ne s’alimentent pas comme ils le devraient.

    Bien des problèmes de peau sont liés à une sous-consommation d’oméga-3 et d’oméga-6. Cette carence se manifeste notamment par une sensibilité aux infections et par une mauvaise cicatrisation des plaies.

    2. Des naissances prématurées

    Même si les facteurs qui font augmenter sensiblement les naissances prématurées d’enfants ne sont pas tout à fait clairs, l’âge de la mère, la consommation de tabac, le stress et une carence en acides gras essentiels oméga-3 et oméga-6 semblent en faire partie.

    Ces graisses favorisent en effet le bon développement du fœtus durant la grossesse.

    Elles agissent comme une sorte de combustible d’excellente qualité, qui permet aux cellules de bien se former et qui influe sur le fait que l’enfant va naître à terme.

    Si toute l’alimentation est déterminante durant la grossesse, des éléments comme la vitamine D, le calcium et les acides gras essentiels ne doivent absolument pas manquer dans le régime de la future maman.

    3. Des problèmes cardiaques

    Consommer des aliments riches en oméga-6 nous aide grandement à créer une barrière protectrice autour de notre cœur. Cette graisse nous offre de l’énergie et nous permet de diminuer deux taux particulièrement sensibles : celui de cholestérol et celui de triglycérides.

    De leur côté, les acides gras oméga-3 permettent de réduire le risque de souffrir de thromboses et de développer une plaque artérioscléreuse, tout en nous aidant à réguler les inflammations qui peuvent nous toucher.

    Il est donc très important de consommer suffisamment ces graisses pour garder notre cœur en bonne santé.

    4. Une fatigue extrême

    N’oubliez jamais la chose suivante : aucun régime amincissant ne doit exclure totalement la consommation de graisses, notamment d’acides gras oméga-3 et oméga-6.

    Si vous suivez un tel régime alimentaire, vous allez rapidement manquer d’énergie.

    La plupart de nos calories proviennent des lipides. Il est donc absolument indispensable d’en consommer au quotidien, de manière raisonnée.

    C’est la manière la plus simple et la plus saine d’obtenir de l’énergie.

    5. Un plus grand risque de développer des maladies inflammatoires

    Lorsque nous parlons de maladies inflammatoires, nous faisons référence notamment à l’arthrite rhumatoïde.

    Les aliments riches en acides gras oméga-3 ont comme principale qualité de nous aider à soulager les articulations enflammées, ainsi que celles touchées par une rigidité matinale.

    Ils réduisent les gonflements et les douleurs ; ils agissent donc comme de véritables anti-inflammatoires naturels. Gardez bien une chose à l’esprit : il est important d’en consommer quotidiennement. Les bienfaits de ces aliments ne proviennent que d’une consommation régulière et constante.

    L’alimentation ne peut faire l’objet de modes ou de tendances : nous devons d’abord penser à notre bien-être et à notre qualité de vie.

    N’hésitez donc pas à augmenter votre dose quotidienne d’aliments riches en acides gras essentiels.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 choses que vous ne devez pas faire après avoir mangé

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si de nombreuses personnes ont pour habitude de sortir marcher ou de faire une sieste après avoir mangé, il y a certaines activités que nous devons absolument éviter pour ne pas interférer avec notre digestion.
     
     

    Nous ne disposons tous, majoritairement, que de quelques minutes de liberté après nos repas principaux. Nous devons les consacrer à des habitudes saines qui nous permettent de nous détendre et de nous relaxer.

     

    Au fur et à mesure des années, avec le rythme de vie que la société nous impose, nous prenons de mauvaises habitudes qui ne favorisent en rien notre bien-être.

    Si elles peuvent nous paraître, de prime abord, totalement inoffensives, elles peuvent durablement influer sur l’apparition de symptômes gênants, voire de graves problèmes de santé.

    Comme nous savons qu’il n’y a que peu d’informations à ce sujet, nous avons choisi de vous présenter, dans la suite de cet article, les plus fréquentes et les plus dangereuses.

    1. Dormir

    Faire une sieste ou aller dormir juste après avoir mangé peut provoquer de graves troubles digestifs.

    Même s’il s’agit d’une activité relaxante et nécessaire, il est primordial de prendre conscience du fait que cette pratique affecte de manière directe le processus de digestion.

    Comme le corps est en position allongée, les sucs gastriques ne couvrent pas complètement les aliments contenus dans l’estomac. Nous ne pouvons donc pas profiter de tous leurs nutriments.

    De plus, cela peut endommager notre œsophage, car la nature acide des sucs occasionne un reflux et une sensation de brûlure.

    2. Fumer

    Ce n’est un secret pour personne que le fait de fumer peut avoir des conséquences très graves sur notre santé pulmonaire et cardiovasculaire.

    Les risques sont encore plus graves lorsque les personnes qui fument le font juste après un repas principal.

    Cela est dû à la nicotine, qui pénètre avec l’oxygène nécessaire au processus digestif. Ce procédé facilite grandement l’absorption de carcinogènes.

    3. Manger des fruits

    Certaines personnes peuvent penser que les fruits représentent des alternatives très saines pour compléter les repas principaux de la journée, en lieu et place de pâtisseries sucrées.

    Ils sont sucrés, versatiles et permettent de remplacer les produits gras traditionnels.

    Cependant, ce que peu de personnes savent, c’est qu’il est préférable de les consommer avec le ventre vide, à jeun ou entre les repas.

    Ces aliments requièrent en effet certaines enzymes pour être bien digérés. Leurs sucres naturels ont également besoin de temps pour être complètement absorbés par notre organisme.

    Si l’estomac ne doit pas digérer d’autres aliments en même temps, il pourra profiter de manière optimale de leurs nutriments, de leurs fibres et de leurs sucres simples, qui améliorent notre énergie.

    A l’inverse, si nous les mangeons après un repas copieux, ils vont demeurer longtemps dans notre estomac et peuvent alors provoquer des indigestions, des gaz ou d’autres troubles stomacaux et intestinaux.

    4. Prendre une douche

    Même si prendre une bonne douche est relaxant et nous permet de dynamiser notre santé circulatoire, il n’est pas conseillé de le faire juste après manger, car cette pratique peut affaiblir grandement notre système digestif.

    En effet, prendre une douche augmente le flux sanguin au niveau des mains et dans les membres inférieurs du corps, et réduit donc de facto celui qui circule dans l’estomac.

    L’organe digestif a alors bien plus de mal à fonctionner correctement, ce qui peut provoquer des douleurs, des inflammations et une sensation de lourdeur.

    5. Boire de l’eau fraîche

    La consommation d’eau fraîche pendant et après les repas peut causer une mauvaise digestion des aliments.

    On pourrait croire que cette habitude favorise la déglutition des aliments, mais elle rend plus difficile l’absorption des nutriments et la séparation des déchets.

    6. Boire du thé

    Même si le thé est une boisson très saine, il n’est pas conseillé d’en ingérer après les trois ou quatre repas principaux de la journée.

    Cet aliment interfère avec l’absorption du fer, à cause d’une substance appelée acide tannique, qui se confond avec ce minéral.

    L’absorption de fer peut diminuer de 87% à cause d’une consommation de thé, ce qui peut occasionner des cas d’anémie.

    Ce nutriment est en effet essentiel pour la production de globules rouges dans le sang. Une carence en fer entraîne donc des symptômes comme :

    • Des douleurs de poitrine
    • Une pâleur cutanée
    • Un affaiblissement généralisé et une fatigue extrême
    • Des ongles cassants
    • Un manque d’appétit
    • Une mauvaise circulation dans les pieds et dans les mains

    7. Marcher ou courir

    C’est une erreur de penser que pratiquer une activité physique après avoir mangé est une bonne idée pour perdre du pois ou pour brûler plus de calories.

    S’il est indéniable que la course et la marche sont des activités saines, les pratiquer juste après avoir consommé un plat copieux peut provoquer une grande indigestion et un certain mal-être stomacal.

    Il est donc conseillé de ne pas faire de sport pendant au moins 30 minutes après un repas, et que la pratique ne doit pas excéder les plus de 10 minutes.

    Vous suivez actuellement certaines de ces mauvaises habitudes ? Si c’est le cas, essayez désormais de faire attention à vos pratiques, pour demeurer en bonne santé.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 habitudes « innocentes »

    qui provoquent des déséquilibres hormonaux

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il existe de nombreuses activités quotidiennes qui nous semblent inoffensives mais qui, sans nous en rendre compte, peuvent provoquer des déséquilibres hormonaux qui affectent notre santé générale.
     

    Les hormones jouent un rôle très important dans tout notre organisme, car elles sont chargés de réguler la plupart des fonctions des systèmes principaux. 

    Il s’agit de transmetteurs chimiques sécrétés par les glandes endocrines dont l’activité stimule le développement des cellules et certains processus cognitifs.

    De plus, elles participent directement au métabolisme, à la croissance et aux fonctions sexuelles, et il est donc essentiel de maintenir leur équilibre pour un bien-être général.

    Le problème, c’est qu’elles ont tendance à être facilement altérées car certains facteurs interrompent leur production ou leurs activités.

    En conséquence, elles déclenchent des réactions négatives dans le corps et lorsqu’elles ne sont pas contrôlées, elles peuvent être à l’origine de maladies.

    Beaucoup de gens ne savent pas que certaines habitudes quotidiennes et apparemment « innocentes » sont liées aux risques de ce type de déséquilibres.

    Découvrez-les !

    1. Mal dormir

    Souffrir de troubles du sommeil ou dormir moins que les heures conseillées augmente considérablement le risque de problèmes hormonaux.

    Il a été démontré qu’il existe une relation étroite entre le cycle du sommeil et la sécrétion de certaines hormones importants, surtout chez les femmes.

    Les déséquilibres liés à ce problème peuvent aussi affecter les humeurs, les niveaux de sucre dans le sang et le poids du corps.

    2. Suivre un régime faible en graisses

    Supprimer toutes les sources de graisses dans le régime alimentaire est l’une des pires erreurs que l’on peut commettre quand on cherche à perdre du poids.

    S’il est vrai que les graisses apportent une quantité significative de calories, il n’est pas juste qu’elles sont toutes nocives pour le corps.

    Les graisses saines, comme les acides gras oméga-3, contrôlent les processus inflammatoires et facilitent la régulation d’hormones comme les œstrogènes et la progestérone.

    Limiter leur consommation augmente le risque de surpoids, outre les troubles tels que les règles irrégulières et les kystes.

    Ce type de nutriments peut être obtenu via :

    • Le poisson bleu
    • Les avocats
    • L’huile d’olive
    • Les fruits secs
    • Les graines

    3. Être une personne sédentaire

    L’inactivité physique ou la sédentarité a un fort lien avec les déséquilibres hormonaux qui affectent aussi bien les hommes que les femmes.

    L’exercice physique stimule la sécrétion d’endorphines, un type de substance chimique libérée dans le cerveau pour encourager la sensation de bien-être et les énergies.

    Cela a aussi un rapport avec le contrôle des hormones sexuelles, car l’exercice favorise leurs activité pour maintenir le désir sexuel.

    4. Abuser des aliments transformés

    Les viandes transformées et les autres aliments industriels sont délicieux et peuvent apporter une touche spécial à certains plats.

    L’inconvénient, c’est qu’ils sont plein de substances chimiques nocives pour le corps et avec le temps, provoquent des déséquilibres hormonaux, outre les problèmes métaboliques et les cancers.

    Leur ingestion est liée à l’augmentation des niveaux de cortisol, une substance chimique liée au stress, à la dépression et à l’irritabilité.

    5. Utiliser trop de désinfectant pour les mains

    Cela semble exagéré mais il a pourtant été démontré que l’usage excessif de désinfectants pour les mains peut provoquer des réactions négatives.

    Alors que beaucoup de gens pensent que c’est une habitude saine d’hygiène, celle-ci altère l’équilibre entre les bactéries saines et mauvaises, et fragilise le système immunitaire.

    De plus, ses composés chimiques sont liés au risque d’inflammation et de désordre dans l’activité de certaines hormones.

    Notamment, des composants comme le triclosan, déséquilibrent les niveaux d’œstrogènes et affectent la fonction des hormones de la thyroïde.

    6. Faire de l’activité physique à l’excès

    Tous les extrêmes sont nocifs et la pratique excessive d’exercice physique n’est pas une exception.

    Alors que la sédentarité fait des ravages sur la santé, l’activité physique excessive a aussi des conséquences négatives.

    Passer trop de temps à la salle de sport ou faire des activités à fort impact physique augmente les niveaux de cortisol, l’hormone liée au stress.

    De plus cela peut, avec le temps, interférer sur les hormones qui régulent le cycle menstruel et la fertilité.

    7. Consommer des aliments en boîtes

    Les aliments en boîte semblent être une option d’alimentation rapide et saine, mais ils ne le sont pas.

    Dans ces boîtes de conserve, on a trouvé des substances chimiques, comme le BPA, liées à plusieurs types de déséquilibres hormonaux et maladies.

    D’autre part, ce sont des produits riches en substances chimiques comme les conservateurs qui, ingérés en quantités excessives, ont aussi des conséquences négatives sur le corps.

    Éviter au maximum ces habitudes est fondamental pour diminuer le risque de développer des maladies liées aux hormones.

    Il est important de consulter un médecin face à n’importe quelle anormalité car une détection précoce est clé pour éviter les complications.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • La FDA approuve le premier vaccin OGM contre la grippe

     

     

     

     

     

     

    Au début de 2013, la Food and Drug Administration (FDA) Etats-Unis a approuvé le premier vaccin contre la grippe génétiquement modifié, connu sous le nom Flublok. Il contient une technologie recombinant de l’ADN et un virus d’insecte appelé baculovirus qui est apparemment censé faciliter une production plus rapide du vaccin. Il a été développé par Protein Sciences Corporation, qui a reçu l’approbation pour le vaccin Flublock en Janvier 2103. Il utilise l’ingénierie génétique pour développer des parties du virus dans des cellules d’insectes.

     

    Le vaccin contient également des protéines à partir de trois souches de grippe différentes, et il est produit par l’extraction de cellules d’un papillon au stade larvaire : Spodoptera frugiperda, un type de chenille, et en la modifiant génétiquement pour produire de grandes quantités d’hémagglutinine, une protéine du virus de la grippe qui permet au virus de la grippe elle-même de pénétrer dans le corps.

    Beaucoup de gens, partout dans le monde, prennent conscience que les OGM sont très dangereux. Il ne faut pas longtemps pour arriver à cette conclusion si l’on regarde simplement les éléments de preuve à l’appui. Si vous êtes à la recherche d’informations, en ce qui concerne l’industrie alimentaire, il suffit d’utiliser notre barre de recherche en utilisant des mots clés comme « OGM », ou tout simplement naviguer à travers nos différentes sections. Vous trouverez de multiples études et le bas de chaque article que vous avez probablement vous remettre en question la légitimité des OGM.

    Le fait que les OGM entrent maintenant dans le monde du vaccin est ridicule, et j’espère que beaucoup de gens s’abstiendront de recevoir le vaccin. J’espère aussi que ce nouveau développement encourage plus de gens à s’interroger et de faire des recherches sur l’industrie des vaccins. La plupart d’entre nous, y compris les professionnels de la santé croient simplement ce qu’on nous dit et ce qu’on nous enseigne sans faire de nouvelles connexions. La recherche médicale financée par l’État n’est pas utilisé pour éduquer ceux qui administrent le vaccin. Tout cela est financé par les grandes compagnies pharmaceutiques et des sociétés de biotechnologie, ceux qui font des milliards de dollars avec la « médecine ».

    La raison invoquée par la FDA pour l’approuver, c’est que ce nouveau vaccin OGM va accélérer la production et permettre à ceux qui sont allergiques aux œufs de le recevoir. Mais est-ce vraiment nécessaire? Les fabricants de vaccins auront désormais la capacité de produire rapidement de grandes séries de protéine du virus de la grippe à partir d’OGM, plutôt que d’utiliser le processus précédent qui utilisait des cultures d’œufs.

     

    Tant de vaccins sont sortis, et de nombreuses études montrent qu’ils sont défaillants, nuisibles et inutiles. Ils continuent de devenir plus nuisibles avec le temps. Le dernier article que nous avons écrit en ce qui concerne les vaccinations était sur le vaccin contre le VPH. Le Neural Dynamics Research Group, dans le département d’ophtalmologie de l’Université de la Colombie-Britannique a publié un excellent article concernant la vérité sur le vaccin Gardasil. Vous pouvez en lire plus à ce sujet ici. N’hésitez pas à parcourir notre site pour plus d’informations sur les vaccinations, comme nous proposons plusieurs articles sur le sujet pour vous permettre d’approfondir et de vous pencher sur la question.

     

     

     

     

     

    Sources :
    www.collective-evolution.com
    www.flublok.com
    www.reuters.com
    www.globalresearch.ca
    www.naturalnews.com

    sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Le désastre de la maladie du soda ravage notre corps…


     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Soda
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Six millions de Français sont atteints par la Nash, pathologie du foie gras humain. Reconnue seulement depuis 2012 comme étant une maladie à part entière, elle pourrait devenir la première cause de greffes de foie d’ici 2020.

    La « NASH », appelée également stéatohépatite non-alcoolique, est une maladie du foie qui associe une accumulation de graisse dans le foie, une inflammation et une dégénérescence des cellules non due à l’alcool mais à la consommation de sucre en quantité importante, par exemple les sodas. Une fois installée, la maladie s’accompagne d’un risque de cirrhose élevé, un état au cours duquel les fonctions se désorganisent pour finalement s’avérer insuffisantes. À cet instant, la NASH peut évoluer vers des cancers du foie. Il faut également savoir que cette maladie se déclare sans causer de douleurs, ni de symptômes, elle reste silencieuse. Le seul moyen de la détecter est la biopsie en prélevant une petite partie de l’organe, en l’occurrence le foie. Complexe à diagnostiquer, cette maladie prend également de plus en plus de place dans notre société, selon une étude, 25 à 30 % de la population seraient concernés, certains pensent que ces statistiques sont largement sous-cotées…

    Notre corps ne suit plus

    Un mode de vie inquiétant serait la cause de l’évolution rapide de cette maladie. Une mauvaise alimentation en hausse combinée à une activité physique en baisse, se traduisent par un surpoids, de l’obésité, du diabète… Arrivées à saturation, les graisses vont être stockées dans le foie, voici les prémices du NASH. À l’heure actuelle, 6 millions de français en sont atteints. À terme, il est indiqué que 5% des malades développeront un cancer du foie, il est grand temps d’agir pour contrer cette maladie.

    Agir

    Pour sensibiliser la population et les professionnels de santé à cette épidémie silencieuse, des scientifiques français et la société Genfit ont créé un fonds de 1,9 million d’euros. Selon eux, il faut lever le voile sur cette pathologie d’un nouveau genre, encore entourée d’une part de honte (car pour la grande majorité des personnes, les maladies du foie sont liées à la surconsommation d’alcool) afin d’améliorer le dépistage, la prise en charge, et trouver un possible remède. Les experts s’attendent à ce que cette maladie deviennent la première cause de transplantation en France, en perpétuelle hausse et présente de plus en plus tôt dans la population française. Il est grand temps d’agir lorsqu’on sait que le seul moyen de prévenir l’apparition de cette maladie ou ralentir son évolution est de manger sainement et effectuer une activité sportive.

    Il y a un rôle de sensibilisation qui doit être mené, nous ne devons pas attendre le dépistage d’une maladie pour la traiter. Nous devons faire en sorte de ne jamais la contracter. Cette maladie se contracte le plus souvent par la malbouffe et la consommation de sodas, il serait impératif de poser des réglementations sur la contenance en sucre pour les grands groupes commercialisant des sodas ou autres fastfoods qui nous détruisent la santé. Il est d’ailleurs navrant et inquiétant de voir l’influence qu’ont ces grandes multinationales car l’on sait pertinemment que certains produits comme le Coca Cola sont saturés en sucre et devraient être réglementés voire supprimer de la vente ! Auparavant, concernant les boissons énergisantes, une limite sur la concentration en taurine avait été fixée, faisons de même pour le sucre.

    Autre moyen de lutter contre cette maladie, pourquoi ne pas promouvoir d’avantage le sport au collège, lycée et université de sorte à inciter les jeunes à pratiquer une activité physique dès l’adolescence, ce qui permettrait de réduire les chances de contracter cette maladie. Si les personnes et organisations érigeant les lois ne font rien pour protéger leur population, alors cette épidémie pourrait toucher plus de la moitié des personnes d’ici cinq ans en augmentant en même temps le risque de cancer de foie.

     

    Yannis Ladghem

     

     

     

     

     

    Source : lareleveetlapeste.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Vous avez des douleurs de hanche ? Découvrez la cause possible !

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si cela peut être dû à des conditions graves et demande une attention médicale particulière, les douleurs de hanche récurrente apparaissent souvent à cause de mauvaises postures ou après un effort trop important.
     

    La douleur de hanche est devenu l’une des raisons principales de consultation médicale, surtout à partir de 60 ans.

     

    Si elle peut affecter tout le monde à toutes les étapes de la vie, il a été démontré que les adultes ont tendance à en souffrir régulièrement.

    Il s’agit d’une douleur intense dans les articulations qui entourent la hanche, presque toujours accompagnée d’une sensation de lourdeur qui peut rendre le mouvement difficile.

    Et même, parfois, les symptômes s’étendent jusqu’au ventre et la partie basse du dos, et peuvent rendre certaines tâches quotidiennes impossibles.

    Les maladies inflammatoires, les traumatismes et la détérioration des articulations sont les principaux facteurs liés à son apparition.

    Cependant, sachant que beaucoup de gens méconnaissent leurs déclencheurs, nous voulons partager avec vous les plus communs.

    La mauvaise posture

    Les mauvaises postures lorsqu’on marche ou qu’on se repose sont l’une des causes les plus fréquentes des douleurs légères et fortes dans le bassin.

    La douleur survient lorsqu’on reste longtemps dans la même position, qui affecte les muscles et les articulations.

    Elle peut aussi être liée à la forme de certains sièges, l’utilisation de talons ou la pratique de certaines activités d’exigence physique.

    La bursite trochantérienne

    la bursite est une maladie inflammatoire qui est caractérisée par le gonflement des petites poches qui contiennent le liquide qui amortit les os, les muscles et les tendons.

    Les bourses sont de petites poches qui sont situées près des grandes articulations, comme le genou, les épaules et les hanches.

    Elles se chargent de réduire la friction pendant les mouvements, et puisqu’elles sont exposées à des traumatismes, il est fréquent qu’elles aient un lien avec les douleurs récurrentes de la hanche.

    L’ostéoarthrite

    L’ostéoarthrite est une condition caractérisée par l’inflammation des os et des articulations, produit d’une détérioration graduelle du cartilage qui les protège de la friction.

    Cette maladie peut se développer dans n’importe quelle articulations du corps, et affecte régulièrement les mains, les genoux et les hanches.

    Ses symptômes se manifestent de manière progressive, et même s’ils ne peuvent pas être contrôlés avec certains médicaments, il n’existe aucun remède définitif.

    Quand elle survient dans la hanche, elle se trouve dans les articulations antérieures et l’aine, et provoque une inflammation et une douleur qui peuvent varier en intensité.

    La fracture de hanche

    La fracture de hanche est une urgence médicale qu’il faut prendre en charge immédiatement, car ses complications peuvent affecter la mobilité de manière définitive et dans les cas extrêmes, menacer la vie.

    Le risque d’en souffrir augmente avec l’âge car le système osseux présente une diminution de sa densité à cause des difficultés du corps à absorber les nutriments.

    Cependant, elle peut arriver à des âges précoces, que ce soit à cause d’une maladie chronique ou d’un traumatisme.

    La tendinite

    La tendinite est une affection qui se produit à cause de l’inflammation des tendons qui soutiennent les muscles des os.

    Elle peut survenir sur n’importe quel tendon du corps, mais elle est plus commune au niveau des coudes, des genoux et des hanches.

    Les plus affectés sont les sportifs et les personnes dont le travail est très exigeant physiquement. Mais la tendinite peut aussi répondre à une traumatisme ou à une maladie.

    Quand elle se produit dans la zone de la hanche, on la nomme tendinite du muscle iliaque et parfois, en plus de la douleur, il y a un craquement inconfortable lorsqu’on bouge.

    La sciatique

    La sciatique se produit à cause de l’irritation ou de l’inflammation du nerf sciatique.

    C’est le nerf le plus grand du corps humain et quand il subit une lésion, il provoque des douleurs dans le bas du dos, les hanches et la partie arrière de la jambe.

    On ne la considère pas comme une maladie en tant que telle car elle est souvent le symptôme d’affections médicales sous-jacentes comme la hernie discale, la sténose spinale et la maladie dégénérative du disque.

    En plus de la douleur de la hanche, il apparaît une sensation inconfortable de fourmillement dans les extrémités inférieures.

    Mais avec du repos, des analgésiques et quelques exercices d’étirement, on peut accélérer la récupération.

    Pour conclure, l’origine de ce type de douleur peut varier dans chaque cas et ne représente pas toujours un problème grave.

    Il est très important de solliciter une attention médicale et physiothérapeutique, surtout lorsqu’elle arrive de manière récurrente.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 RAISONS CACHÉES QUI AUGMENTENT VOS TRIGLYCÉRIDES

     

     

     

     

     

     

    Les résultats de votre dernière prise de sang comportent des taux élevés de triglycérides. De quoi s'agit-il ? Pourquoi avez-vous des taux si hauts ? La faute à votre alimentation ? A vos médicaments ? Pas que... Medisite fait le point avec le professeur Philippe Moulin, endocrinologue et diabétologue. 

     

    Les triglycérides, c’est quoi ?

    ©iStock

    Les triglycérides sont des graisses qui circulent dans notre sang. "Ce sont les mêmes graisses que l’on trouve dans les huiles, le beurre ou encore le gasoil", précise le professeur Philippe Moulin, endocrinologue et diabétologue.

    D’où viennent-ils ? Les triglycérides sont à la fois reçus par l’alimentation et fabriqués par l’organisme au niveau du foie et du tissu graisseux.

    A quoi servent-ils ? Les triglycérides apportent de l’énergie à l’organisme. "Ils sont soit utilisés par les muscles pour fournir de l’énergie, soit stockés dans les tissus graisseux pour constituer une réserve d’énergie, soit recyclés par le foie pour la fabrication de nouveaux lipides", décrit le professeur Moulin.

    Quelles sont les valeurs normales ? Habituellement, le taux de triglycérides contenu dans le sang varie entre 0,7 et 1,75 g/l selon les personnes . Au-delà cette valeur, les médecins parlent d’ hypertriglycéridémie . Cette condition expose à une élévation du risque de maladies cardiovasculaires.

     

    Manger trop d’aliments gras

    ©iStock

    Beurre, huiles, gâteaux, fromages, charcuterie... les aliments gras font grimper la quantité de triglycérides dans le sang et participent à leur fabrication par le foie.

    Bon à savoir : "Quand on mange, la quantité de triglycérides augmente dans le sang car il faut un peu de temps pour qu’ils soient traités dans l’organisme. Ils sont donc en surplus dans le sang ce qui explique que, quatre heures après un repas, leur quantité soit doublée. Par exemple, une personne à 1,5g/l de triglycérides à jeun passe à 3g/l" dévoile le professeur Moulin. "Jusqu’à présent, les médecins recommandent de réaliser les bilans sanguins à jeun mais cela pourrait changer, car un taux élevé de triglycérides après un repas pourrait être un bon indicateur de risque cardiovasculaire élevé" ajoute-t-il.

     

    Prendre des corticoïdes

    ©iStock

    Certains médicaments peuvent jouer sur le taux sanguin de triglycérides.

    Quels sont ces médicaments ? Il s’agit notamment des corticoïdes pris de manière chronique, des pilules contraceptives qui contiennent des œstrogènes ou de quelques médicaments moins répandus comme par exemple certains traitements contre le sida, selon le professeur Moulin.

     

    Avoir une alimentation trop sucrée

    ©Fotolia

    Tout comme le gras, le sucre participe à la fabrication des triglycérides. C’est pourquoi la malbouffe, qui correspond à une alimentation à la fois riche en lipides et en glucides, est une des principales causes d’un taux élevé de triglycérides dans le sang.

    L’explication de l’endocrinologue : "Un excès de sucre chez les personnes prédisposées peut augmenter le taux de triglycérides dans le sang, car le foie utilise les sucres ingérés pour fabriquer des triglycérides", décrit le professeur Moulin.

     

    Avoir un excès de poids

    ©iStock

    Le surpoids et l’obésité sont des facteurs de risque d’une hypertriglycéridémie.

    L’explication de l’endocrinologue : Les personnes qui présentent une obésité abdominale sont à risque de développer un état prédiabétique et donc de voir leur taux de triglycérides grimper. "C’est ce qu’on appelle les triglycérides prédiabétiques, typiques du phénomène de 'diabésité' qui associe diabète et obésité", développe le professeur Moulin.

    Bon à savoir : "L’obésité abdominale est un facteur d’état prédiabétique, contrairement à l’obésité dite gynoïde qui se situe au niveau des fesses et des cuisses, pour laquelle le taux de triglycérides est normal", précise l’endocrinologue et diabétologue.

     

    Boire trop d’alcool

    ©iStock

    Comme le sucre et le gras, l’alcool est un facteur alimentaire qui peut faire grimper le taux de triglycérides.

    L’explication de l’endocrinologue : "Une consommation excessive et chronique d’alcool peut faire monter le taux de triglycérides, car le foie est capable de fabriquer des triglycérides à partir de l’alcool", révèle le professeur Moulin.

     

    Trop de triglycérides, le signe d’une grave maladie ?

    ©iStock

    Un taux élevé de triglycérides peut être engendré par une maladie chronique comme le diabète, la maladie de Cushing ou encore une insuffisance rénale chronique sévère.

    Le cas des maladies génétiques : Certaines maladies génétiques rares peuvent aussi être à l’origine d’une hypertriglycéridémie. "Chez certaines personnes, une mutation génétique est responsable du dysfonctionnement de l’enzyme chargée de détruire les triglycérides. C’est une maladie récessive rarissime (environ 1 cas sur 500 000 personnes), qui cause des taux de triglycérides supérieurs à 15 ou 30 g/l", constate le professeur Moulin.

    Bon à savoir : D’autres mutations annexes peuvent jouer sur le fonctionnement de cette enzyme, provoquant une faible augmentation des taux de triglycérides, autour de 2 g/l. "Mais si en parallèle la personne touchée par ce type de mutation est sédentaire et mange trop sucré et/ou trop gras, elle peut atteindre des taux de 2 à 4g/l", déplore l’endocrinologue. Il faudra alors surveiller le taux de triglycérides et adopter les bons réflexes d’une hygiène de vie saine.

     

    Ne pas faire assez de sport

    ©iStock

    Le manque d’activité physique, que les médecins désignent par le terme de "sédentarité", est une mauvaise habitude qui peut augmenter le taux de triglycérides dans le sang.

    L’explication de l’endocrinologue : "Plus on bouge, plus on active l’enzyme* qui est fabriquée par les muscles et qui détruit les triglycérides dans le sang", dévoile le professeur Moulin.

    *Une enzyme est une protéine qui permet d’activer ou d’accélérer une réaction chimique dans un organisme.

     

    Publié par Laurène Levy, journaliste santé et validé par Pr Philippe Moulin, endocrinologue et diabétologue

     

    Merci au professeur Philippe Moulin, endocrinologue et diabétologue à l’Hôpital Louis Pradel de Lyon.

     

     

     

     

     

    Source : medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 signes de mauvaise santé visibles sur les ongles

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Avoir des ongles fragiles et cassants peut être dû à un déficit de vitamines, et il faut donc améliorer son régime alimentaire. Si le problème ne disparaît pas, mieux vaut consulter un médecin.
     

    Nous voyons souvent les ongles comme des organes esthétiques. Mais les ongles de vos mains nous donnent aussi des signes de mauvaise santé. 

    Avez-vous déjà attentivement regardé vos ongles ? Sont-ils fragiles ? Cassants ?

    Si c’est le cas, ce sont des avertissements d’altérations dans le corps. Peut-être que que vous avez besoin de vitamines ou que vous souffrez d’anémie sans le savoir.

    Dans cet article, nous allons vous expliquer pourquoi les ongles de vos mains peuvent vous crier quelque chose sans que vous vous en rendiez compte.

    Prenez note de cette liste !

    1. Les ongles secs et fragiles

    Cet aspect est lié à :

    • Des problèmes de thyroïde
    • De l’anémie
    • Des mycoses

    Si vos ongles sont devenus extrêmement secs et cassants du jour au lendemain, cela peut être dû à une anémie ou à d’autres problèmes de thyroïde.

    Et sachez que l’huile de la cuticule ne va pas aider seule à résoudre le problème.

    Surveillez vos niveaux hormonaux et assurez-vous que votre thyroïde est sous contrôle.

    Sachez que cela n’a pas de lien avec le poids.

    Il existe une idée reçue qui consiste à dire que seules les personnes en surpoids ont des problèmes de thyroïde ou seules les personnes minces ont un problème d’anémie.

    Pourtant, ces maladies ne sont pas forcément liées au poids.

    Sachez aussi que les mycoses peuvent aussi rendre vos ongles secs et fragiles.

    2. Les ongles décolorés

    Cela doit alerter sur un problème de :

    • Mycoses
    • Diabète
    • Foie, rein, cœur ou poumon
    • Lymphœdème

    Sachez que les ongles sains doivent être roses, avec de petites lunes blanches près de la base.

    Les différentes tonalités que l’on peut trouver signifient des choses :

    • Vert : infection bactérienne
    • Stries rouges sur la base des ongles : infection de la valvule cardiaque.
    • Bleuté : faibles niveaux d’oxygène dans le sang
    • Pâle :  déficience en vitamines
    • Blanc : hépatite ou anémie
    • Rayures sombre sur la partie supérieure : vieillissement et insuffisance cardiaque congestive.
    • Lignes sombres sous l’ongle : cancer de la peau

    Retenez ces couleurs et examinez vos ongles dès que vous y pensez.

    3. Les ongles « écaillés » et fissurés

    Si vos mains sont tout le temps dans l’eau, vos ongles passeront constamment de l’hydratation à la déshydratation. Avec le temps, cela peut les abîmer et les fissurer.

    Si vous avez pour habitude de mettre vos ongles dans votre bouche, cela provoque le même effet.

    L’idéal est de ne pas se ronger les ongles et si vous devez les plonger souvent dans l’eau, d’utiliser des gants.

    Ce problème peut aussi provoquer un décollement des ongles, couche par couche.

    Cette condition peut être l’indicateur de déficience en :

    • Acide folique
    • Vitamine C
    • Protéine

    Si vous voyez l’un de ces symptômes, augmentez votre ingestion de vitamine C. Consommez des fruits comme l’orange ou le pamplemousse, au moins une fois par jour.

    La mangue est aussi riche en acide folique alors n’hésitez pas à l’ajouter à votre liste.

    4. Les ongles trop épais

    Il n’y a aucun problème si vos ongles sont épais mais qu’ils ne sont pas accompagnés de décoloration et qu’ils sont forts et sains.

    Si vos ongles sont trop épais depuis peu de temps et que vous n’avez pris aucun traitement pour les renforcer, il pourrait s’agir d’un type de maladie pulmonaire.

    Les ongles trop épais ne sont pas synonymes d’ongles forts, surtout s’ils déforment jusqu’à ressembler à des griffes.

    Si vous prenez des médicaments et que vos ongles sont soudainement plus épais, vous devriez en parler à votre médecin car cela pourrait être dû à une réaction allergique.

    5. Les ongles avec des stries ou des bosses

    Parfois, à cause de questions professionnelles, les ongles et les mains souffrent de coups et des stries peuvent apparaître.

    Cependant, si vous n’avez reçu aucun coup et que vous remarquez qu’il y a plusieurs stries sur un ou plusieurs ongles, faites attention à vos cheveux et à votre peau.

    La déficience en minéraux et en vitamines peut aussi provoquer du psoriasis et la perte des cheveux.

    Ce problème disparaît avec une amélioration dans l’alimentation ou la consommation d’un groupe de vitamines en particulier.

    Faites attention à vos ongles

    Comme vous le voyez, les ongles ne servent pas uniquement à être décorés par un vernis ou pour mieux fixer les choses.

    Ils peuvent aussi être un moyen de communication grâce auquel le corps nous indique que quelque chose ne fonctionne pas bien.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 choses que vous devez savoir

    pour prévenir un accident vasculaire cérébral

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Même si nous menons une vie saine, il est bon de connaître ses antécédents familiaux pour savoir si nous avons des antécédents d’accident vasculaire cérébral et pouvoir en informer le spécialiste pour qu’ils prennent les mesures en conséquence.

    L’accident cérébral vasculaire est l’une des maladies neurologiques les plus fréquentes.

    Bien qu’elle concerne davantage les personnes de plus de 65 ans, nous ne pouvons oublier que la population jeune n’est pas non plus exempte de souffrir de cette maladie.

    Signalons également qu’il existe deux types d’accidents vasculaires cérébraux : l’ischémique et l’hémorragique.

    Toutefois, aucun de ces deux types ne peut se prévenir à 100%. Nous pouvons tous, peu importe notre âge, notre sexe et notre race, en souffrir à n’importe quel moment.

    Cependant, il ne tient qu’à nous de contrôler ce pourcentage qui est directement associé à nos habitudes de vie.

    Nous savons tous que, d’une certaine manière, il existe des choses que nous faisons au quotidien qui affectent notre santé : le tabac, le sédentarisme…

    Il s’agit simplement d’en être conscient, d’assumer une réelle responsabilité et de contrôler au maximum tous ces facteurs que nous vous expliquons ci-dessous.

    Commencez dès aujourd’hui à prendre davantage soin de vous, à vivre en harmonie avec votre corps et vos émotions pour diminuer le risque de souffrir d’un accident vasculaire cérébral.

    1. Contrôlez votre tension artérielle

    L’hypertension artérielle est un facteur clé dans la prévention d’accident vasculaire cérébral ou cardiovasculaire.

    Le plus compliqué dans cet indice de santé c’est que nous ne le contrôlons pas toujours.

    Parfois, nous associons les maux de tête, la tachycardie ou les nausées à une simple fatigue du quotidien, sans franchir cette étape plus raisonnable : aller consulter le médecin pour contrôler notre tension artérielle.

    Comment réduire ma tension artérielle ?

    • Réduisez le sel dans votre alimentation.
    • Evitez les aliments riches en cholestérol.
    • Augmentez votre consommation de fruits et légumes frais, ainsi que de céréales complètes (elles sont riches en fibres).
    • Evitez le sédentarisme.
    • Si vous êtes fumeur-se, commencez dès aujourd’hui à faire des changements adaptés.

    2. Contrôlez votre poids

    L’obésité, ainsi que les complications associées à un excès de poids (forte pression artérielle, diabète…), augmentent les probabilités de souffrir d’un accident vasculaire cérébral.

    Comment perdre du poids de manière saine

    • Faites de l’exercice aérobique.
    • Buvez de l’eau en abondance.
    • Faites 5 petits repas quotidiens.
    • Consommez des fruits, légumes, sources de fibre comme l’avoine ou les graines de chia.
    • Excluez les graisses saturées de votre alimentation.

    3. Prenez connaissance de vos antécédents familiaux

    Certaines personnes ont un plus grand risque de souffrir d’accident vasculaire cérébral. Nous ne faisons pas référence à nos habitudes de vie ; parfois, un facteur de poids est dû aux antécédents familiaux.

    Il sera toujours bon de connaître les antécédents de nos grands-parents, de nos oncles et, bien évidemment, de nos parents.

    Au cas où il existerait des antécédents de décès associés à des accidents vasculaires cérébraux, nous en ferons part à notre médecin pour qu’il applique les mécanismes de prévention adaptés dans la mesure du possible.

    Précisons qu’avoir des antécédents familiaux ne signifie pas que nous allions souffrir d’une maladie ponctuelle : cela élève le risque mais pas la certitude que nous en souffrions.

    4. La meilleure alimentation pour prévenir un accident vasculaire cérébral

    N’en doutez pas, contrôler vos sources de stress, faire de l’exercice régulièrement et maintenir une alimentation saine et variée peut vous aider à prévenir de nombreux problèmes.

    Dans ce cas, pour réduire le risque de souffrir d’accident vasculaire cérébral, nous devrons inclure les aliments suivants dans notre alimentation :

    • Carottes
    • Choux de Bruxelles
    • Avocat
    • Tomates
    • Melon et pastèque
    • Sardines à l’huile d’olive
    • Thé vert
    • Noix
    • Avoine

    5. Attention à la fibrillation auriculaire

    La fibrillation auriculaire est un type d’arythmie où le battement du cœur n’est pas coordonné.

    Ce problème engendre la formation de caillots dans le cœur. Ceux-ci peuvent à leur tour, voyager jusqu’au cerveau pour produire un épanchement cérébral.

    Si nous remarquons une certaine fatigue, des palpitations, des maux de tête ou une difficulté à respirer, nous devrons le communiquer immédiatement à notre médecin.

    6. L’importance de prévenir et traiter le diabète

    Le diabète provoque un plus grand impact de l’accident vasculaire cérébral.

    Lorsque l’apport en oxygène se coupe, en général, d’autres artères peuvent servir et agir pour minimiser son impact.

    Cependant, si la personne souffre de diabète, les vaisseaux sanguins peuvent s’être endurcis et obstrués à cause de l’athérosclérose.

    Tout cela rendra l’arrivée du sang au cerveau plus difficile.

    7. Arrêter de fumer

    Le besoin d’arrêter de fumer est quelque chose que nous avons répété plusieurs fois au cours de l’article.

    Cependant, nous ne voulions pas le terminer sans mettre l’accent une fois de plus sur le risque que suppose cette habitude si nocive pour notre santé, et surtout, pour la santé vasculaire cérébrale.

    Le tabac accélère la formation de caillots : le sang s’épaissit, augmente l’accumulation de plaque dans les artères ainsi que le risque de souffrir d’épanchements cérébraux.

    Commencez dès aujourd’hui à vivre mieux, à prendre soin de vous, à gagner en santé et en qualité de vie.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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