• L’hypocalcémie :

    symptômes de cette maladie silencieuse à connaître

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le déficit de calcium ou l'hypocalcémie est une condition qui n'affecte pas seulement les os et les dents, mais qui a aussi des répercussions sur notre santé au niveau général.
     

    L’hypocalcémie est une maladie qui affecte particulièrement les femmes. Cette affection a pour origine un déficit de calcium dans le sang et provoque beaucoup plus de symptômes que l’ostéoporose.

    Le fourmillement dans les bras et dans les jambes, les difficultés dans la concentration, la douleur musculaire ou même le fait d’avoir des palpitations sont d’autres indicateurs de l’hypocalcémie, dont nous devons aussi tenir compte.

    Cependant, le plus difficile dans cette maladie, c’est qu’elle peut affecter notre qualité de vie sans que nous en connaissions la raison. Nous allons dans cet article vous donner ses symptômes pour que vous puissiez avoir plus de clés en main.

    Souvenez, de plus, que face à n’importe quel doute ou gêne, le mieux est de consulter un médecin. Cette maladie peut être diagnostiquée rapidement avec une simple analyse de sang.

    Voyons les informations à connaître plus en détails.

    Qu’est-ce que l’hypocalcémie ?

    Nous parlons d’hypocalcémie lorsqu’il y a un déséquilibre dans un élément très concret du sang : le calcium.

    Ce minéral a des fonction basiques et essentielles dans notre santé et notre bien-être. Mais il faut savoir, de plus, que le calcium n’est pas uniquement nécessaire pour avoir des os et des dents résistants.

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    • Le calcium aide certaines hormones à bien travailler dans les reins et les intestins notamment. 
    • Ce minéral est indispensable pour favoriser la coagulation du sang.
    • Il est également important pour une bonne transmission de l’influx nerveux et la contraction musculaire.
    • De plus, il contribue à l’activation de nombreuses enzymes basiques de notre organisme.
    • Il aide aussi aux tâches intérieures des membranes cellulaires : il favorise l’échange d’oxygène et de nutriments.
    • Il favorise l’absorption d’une vitamine essentielle comme la vitamine B12.

    Quels sont les symptômes de l’hypocalcémie ?

    • Le stress et l’anxiété. On commence par passer par des périodes où nous ne pouvons pas affronter nos responsabilités quotidiennes : on a du mal à se concentrer, on se sent confus-es, perturbés…
    • L’un des symptômes les plus courants est le fourmillement musculaire. Nous ressentons des gênes dans le visage, dans les extrémités… C’est comme si nous avions des fourmis sous la peau.
    • La fatigue, les crampes musculaires, l’engourdissement dans les mains…
    • Les problèmes dans les dents : elles sont très fragiles.
    • La fragilité des cheveux. on peut notamment souffrir d’alopécie.
    • De plus, l’hypocalcémie entraîne aussi divers problèmes de peau. Elle semble très sèche et on peut souffrir d’eczéma ou de dermatite.
    • Les ongles sont également fragiles.

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    Que cause l’hypocalcémie ?

    L’une des causes les plus courants de l’hypocalcémie est un déficit en vitamine D. Un manque de ce minéral affectera, par exemple, la glande parathyroïde et empêchera la régulation du métabolisme du calcium dans l’organisme.

    De plus, il existe aussi d’autres causes que seuls les spécialistes peuvent diagnostiquer :

    • L’insuffisance rénale chronique.
    • Le déficit de magnésium est également une cause très courante de l’hypocalcémie.
    • Certains médicaments (diurétiques, traitements hormonaux, antibiotiques…) peuvent aussi générer des problèmes dans la synthèse du calcium dans notre corps.
    • Consommer de la caféine à l’excès ou des boissons gazeuses est également dangereux. 

    Comment traiter l’hypocalcémie ?

    Le traitement de l’hypocalcémie est décidé par les spécialistes en fonction des besoins particuliers de chaque patient.

    Cependant, cette maladie est combattue grâce à l’administration de compléments de calcium par voie orale et de vitamine D. 

    • L’objectif est de maintenir les niveaux de calcium à la limite de la normalité. Le problème, lorsqu’on ingère du calcium, c’est que cela peut, à long terme, provoquer des calculs rénaux.

    Pour éviter la lithiase, le mieux est de suivre un régime adapté, faible en sel et avec des liquides en abondance.

    Pouvons-nous prévenir l’hypocalcémie ?

    Tout d’abord, il est important d’éclaircir quelque chose : il ne faut jamais prendre des compléments de calcium de son propre chef. C’est le médecin qui doit décider. L’auto-médication est dangereuse et peu recommandable.

    Puisque nous ne pouvons pas véritablement savoir si nous souffrons d’hypocalcémie, nous ne devons pas courir le risque d’élever nos niveaux de calcium arbitrairement.

    Le mieux est de consulter un médecin et de connaître ses besoins particuliers.

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    • Rappelez-vous que le calcium ne se trouve pas seulement dans les produits laitiers. 

    On peut trouver ce minéral dans les légumes secs comme les lentilles ou les pois-chiches. Les œufs, les noix et le brocoli sont aussi des aliments très conseillés.

    • Il s’agit, tout simplement, d’avoir un régime varié et équilibré où aucun nutriment ne manque.
    • Pour prévenir l’hypocalcémie, il est important de consommer suffisamment de vitamine D et de magnésium.
    • N’hésitez pas non plus à réaliser des exercices. Sortez marcher et profitez des rayons du soleil pour synthétiser de la vitamine D.

    Une fois de plus : si vous avez un doute, le mieux est de consulter votre médecin.

    Il saura si vous devez prendre ou pas des compléments riches en calcium.

    De même, il est important de prendre soin de la santé de votre thyroïde puisqu’elle a aussi une fonction importante qui impliquent les niveaux de calcium.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 6 choses à savoir sur la maladie de Hashimoto

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si la maladie de Hashimoto n'a pas de remède, un diagnostic précoce et un traitement adapté peuvent aider à la supporter et évitent des risques supplémentaires.
     

    En 1912, le docteur japonais Hakaru Hashimoto a découvert une affection qui touche le système immunitaire.  Selon ses recherches, lors de cette maladie, le système immunitaire attaque la glande thyroïde.

    Découvrez-en plus sur la maladie d’Hashimoto dans cet article.

    1. Que se passe-t-il réellement dans la maladie d’Hashimoto ?

    Quand Hashimoto a réalisé son étude, il a découvert que le système immunitaire se comportait parfois comme un attaquant des tissus du corps, au lieu de le protéger.

    Dans le cas de la maladie de Hashimoto, la glande thyroïde est l’organe affecté par cette attaque.

    Le résultat immédiat est une diminution considérable de la production d’hormones dont nous avons besoin pour nombre des fonctions habituelles du corps.

    2. Les causes de la maladie de Hashimoto

    Les causes exactes de cette maladie ne sont pas déterminées, mais il y a des aspects qui semblent importants dans son développement.

    Avec la seule présence des quatre caractéristiques suivantes, il est conseillé de consulter un-e spécialiste qui pourra déterminer si la maladie est présente ou s’il y a un risque.

    La génétique

    Cette maladie se présente très souvent dans les familles où il y a des cas de maladie de Hashimoto ou d’autres maladies similaires.

    Il est important de parler ouvertement avec votre famille et de réaliser les tests adéquats pour écarter tout risque.

    L’excès d’iode

    Les études du docteur Hashimoto ont démontré que la présence d’iode en excès dans le corps peut déclencher cette maladie.

    Même si nous devrions toujours éviter la consommation d’iode à l’excès, il faut aussi prêter une attention spéciale aux antécédents familiaux.

    Les altérations hormonales sans explication

    Puisque la maladie de Hashimoto affecte la glande thyroïde, les niveaux d’hormones peuvent être altérés sans qu’il n’y ait d’autre raison.

    On sait que la plupart des cas de cette maladie sont détectés chez les femmes, entre un et cinq ans après l’accouchement, même si elle peut aussi se présenter avant la grossesse.

    L’exposition aux radiations

    Cette maladie est l’un des effets les plus courants dans les cas d’exposition à la radiation.

    Plusieurs études réalisées après les explosions de Hiroshima, Nagasaki et Tchernobyl l’ont démontré.

    Les patients qui ont subi une radiothérapie pour le traitement de la leucémie et d’autres types de cancer peuvent aussi souffrir de cette maladie.

    3. Symptômes de la maladie de Hashimoto

    Les symptômes de la maladie apparaissent très lentement, ce qui rend la détection difficile.

    Voici les changements auxquels vous devez être attentif :

    • La fatigue extrême ou la fatigue quotidienne et continue
    • La sensibilité aux faibles températures
    • La constipation chronique qui apparaît soudainement
    • Un visage à l’aspect gonflé
    • Un enrouement constant
    • La peau pâle et sèche
    • Les muscles des épaules et des hanches rigides
    • Les extrémités inférieures fragiles
    • La prise de poids à cause de la rétention de liquides
    • Les articulations des mains, des pieds et des genoux rigides
    • Des états constants de dépression
    • L’excès de saignements menstruels

    4. La détection de la maladie de Hashimoto

    La maladie de Hashimoto peut être détectée très simplement avec quelques examens.

    • Test T3 : C’est un examen qui permet de détecter des problèmes dans la glande pituitaire et de vérifier les niveaux de l’hormone triiodothyronine.
    • TSH sérique : La TSH est l’hormone qui stimule la glande thyroïde pour produire et libérer le sang des autres hormones. Avec cet examen, on vérifie que ses niveaux n’en sont pas altérés.
    • T4 libre : L’équilibre de cette hormone est très important pour l’organisme.
      Il est fréquent qu’elle augmente à cause de médicaments comme les contraceptifs. D’autre part, des drogues comme les barbituriques la diminuent. En l’absence de ces facteurs extérieurs, ses niveaux doivent être corrects.

    5. Quel est le problème de cette maladie ?

    Le risque de la maladie de Hashimoto se trouve dans le fait qu’il s’agit d’une maladie auto-immune. Comme nous l’avons dit, c’est une condition dans laquelle le propre corps se rebelle contre les tissus et les organes, en les attaquant.

    Cela implique que les tissus affectés perdent leur capacité à réaliser leurs fonctions naturelles.

    Avec le temps, cela peut provoquer d’autres maladies auto-immunes, telles que :

    • Le diabète de type I
    • Le lupus érythémateux
    • Les problèmes d’ovaires
    • Les problèmes de cœur
    • L’arthrite rhumatoïde
    • Le myxœdème
    • Le goitre
    • La maladie de Addison

    Prévenir la maladie de Hashimoto

    La prévention de la maladie de Hashimoto n’existe pas vraiment. Ce que vous pouvez faire, c’est prendre en compte les facteurs de risque et rester attentif aux symptômes.

    Si vous avez des antécédents familiaux ou que votre médecin pense qu’il existe un risque, vous devrez faire des tests chaque année pour vérifier que tout va bien.

    Si vous voulez éviter ou réduire les risques, un style de vie sain qui intègre une bonne alimentation, des exercices, du repos et du calme sont d’une grande aide.

    Mais sachez aussi que les symptômes de la maladie sont assez clairs pour les spécialistes et qu’elle peut donc être détectée suffisamment à temps.

    Les tests sont très exacts et un diagnostic précoce aide à surmonter la maladie sans risques, tout en évitant le développement d’autres maladies.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Découvrez comment prévenir le cancer du sein

    avec une détoxification des aisselles

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sachez que dans l'aisselle, il y a une multitude de ganglions qui finissent par absorber les produits que nous appliquons dans la zone, et qui peuvent dériver en problèmes cancérigènes.
     

    Lorsqu’il s’agit de cancer, la prévention peut être vitale, alors toute précaution est importante. 

    En plus des check-up réguliers que toutes les femmes doivent faire, il y a une série de gestes qui peuvent nous aider à prévenir le cancer du sein.

    L’un d’entre eux est la détoxification des aisselles.

    Les données se basent sur une étude publiée dans le Journal of Inorganic Biochemistry.

    Pour ce dernier, des chercheurs ont analysé des tests des seins de 17 patientes atteintes de ce type de cancer et qui avaient été soumises à une mastectomie.

    Les femmes qui avaient utilisé des anti-transpirants avaient des dépôts d’aluminium dans leur tissu mammaire extérieur. 

    Parmi les données récoltées, on pouvait voir que les concentrations en aluminium étaient plus élevées dans le tissu plus proche de l’aisselle que dans le sein central.

    On peut donc en déduire que cela est dû à l’usage de substances comme le déodorant, qui contient des restes d’aluminium.

    Selon cette étude, il a été démontré que le nombre de tumeurs, plus élevé dans le carré supérieur externe du sein peut être dû à l’usage excessif de déodorant qui contiennent de l’aluminium.

    Ils contribueraient donc à développer le cancer du sein. Mieux vaut donc cesser ce type de substances pour une prévention responsable.

    Les effets de l’aluminium sur la peau

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    L’aluminium agit dans notre organisme comme une neurotoxine.

    De même, son lien avec plusieurs maladies a été démontré, et même avec certaines de caractère neurologique, comme Alzheimer.

    Comme nous l’avons indiqué, les sels d’aluminium contenus dans les déodorant ont un lien avec l’incidence du cancer du sein dans les sociétés occidentales. 

    C’est pour cela que réaliser périodiquement une détoxification des aisselles est fondamental.

    Comment peut-il tant affecter la peau ?

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    Les restes d’aluminium finissent par s’introduire dans le tissu mammaire.

    Cette infiltration a une influence sur l’augmentation des fluides kystiques, qui sont plus nombreux que la normale dans le sérum sanguin ou le lait. 

    De plus, les déodorants contiennent aussi l’un des ingrédients déconseillés : le triclosan.

    Selon une étude publiée dans la revue Chemical Research in Toxicology, ce produit chimique est capable de stimuler la croissance de cellules cancéreuses. Il faut donc l’éviter à tout prix.

    Comment prévenir le cancer du sein avec une détoxification de l’aisselle ?

    Prévenir grâce à la détoxification des aisselles est vital. On peut ainsi éviter que les toxiques s’accumulent via les différentes voies qui peuvent entrer dans notre flux sanguin et dans notre peau.

    La meilleure méthode est la transpiration, qui permet d’expulser les toxines du corps. 

    Tout cela est excellent pour la bonne santé de la fonction immunitaire et pour prévenir des maladies qui pourraient être liées à la surcharge toxique.

    Rien de tel que les bains et les exercices. Vous réussirez à tout faire disparaître.

    Recette maison pour détoxifier les aisselles

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    Voici une autre manière de détoxifier la zone des aisselles : une recette maison. Vous pourrez la préparer rapidement chez vous.

    Ingrédients

    • 1 cuillerée de vinaigre de cidre de pomme biologique (10 ml)
    • 3 gouttes d’huile essentielle de romarin
    • 5 gouttes d’huile essentielle de coriandre
    • 1 cuillerée d’argile de bentonite (10 g)

    Préparation

    • Mélangez le vinaigre et l’argile dans un récipient en verre. Souvenez-vous d’utiliser des ustensiles en bois, car le métal peut endommager l’argile.
    • Ensuite, ajoutez les huiles essentielles pour que le tout forme une crème.

    Application

    • Mettez une fine couche de ce mélange sur l’aisselle et laissez agir pendant quelques minutes.
    • Une fois que vous avez laissé reposer, lavez-vous et répétez cela tous les jours.

    Buvez également beaucoup d’eau, car le corps en a besoin pour éliminer toutes ces toxines.

    Vous devez savoir que la meilleure manière de prévenir la surcharge toxique passe par le fait de recourir le moins possible à ce type de produits et de se procurer ceux qui ont une composition 100% naturelle. 

    Un déodorant naturel

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    Vous pouvez également élaborer un déodorant naturel chez vous.

    Ingrédients

    • 1 cuillerée de bicarbonate de soude (10 g)
    • 1 cuillerée d’huile de coco (15 g)

    Préparation

    • Mélangez les deux ingrédients pour former une pâte douce et facile à malaxer, pour l’enduire sur vos aisselles. Ce n’est pas collant et cela a un effet déodorant.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 conseils pour éviter la rétention de liquides

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    La pratique habituelle d'exercices physiques et un bon repos sont fondamentaux pour éviter la rétention de liquides, car ils favorisent leur élimination et nous aident à détoxifier l'organisme.
     

    L’œdème, aussi connu sous le nom de rétention de liquides, est l’un des troubles qui a augmenté en nombre considérable ces derniers temps.  Même s’il ne s’agit pas d’une maladie en tant que telle, son apparition déclenche une série de réactions qui, entre autres choses, peuvent alerter sur des pathologies plus graves, comme l’insuffisance rénale ou l’arthrite.

    Elle a lieu quand les fluides du corps sont retenus dans les tissus, augmentant alors leur niveau d’inflammation et provoquant des difficultés au niveau circulatoire et lymphatique.

    Son symptôme le plus courant est le gonflement des extrémités même si elle peut aussi générer des douleurs, une sensation de fatigue et des difficultés à exécuter certains mouvements.

    La bonne nouvelle est qu’il existe certaines pratiques saines qui peuvent aider à prévenir son apparition quand elles sont effectuées régulièrement.

    Dans cet article, nous voulons partager en détail avec vous les 7 principales pour que vous puissiez les connaître avant de souffrir de cette condition.

    1. Augmentez votre consommation d’eau

    Même si beaucoup ont du mal à ingérer suffisamment d’eau chaque jour, il est primordial de savoir que c’est l’une des habitudes les plus efficaces pour prévenir l’inflammation et l’excès de liquides dans les tissus.

    L’eau n’augmente pas la quantité de fluides dans l’organisme, bien au contraire : elle soutient les fonctions rénales pour stimuler leur élimination à travers l’urine.

    Son pouvoir détoxifiant et diurétique aide à éliminer les déchets qui voyagent dans le sang et qui, d’une certaine manière, influent sur ce trouble.

    2. Réduisez votre consommation de sel

    La consommation excessive de sel est l’un des facteurs lié à la rétention de liquides à l’âge adulte.

    L’accumulation de sodium provoque un déséquilibre dans les niveaux d’électrolytes et influe sur l’altération des processus inflammatoires.

    À cause de cela, il est essentiel de diminuer sa consommation dans les repas principaux et de tenir compte qu’il y en dans les aliments suivants :

    • La charcuterie
    • Les boîtes de conserve
    • Les sauces et assaisonnements
    • Le pop-corn
    • Les fritures et snacks
    • Les fromages

    3. Évitez les vêtements trop ajustés

    L’usage de vêtements près du corps est si courants que la plupart des gens ignorent les conséquences qu’ils ont pour la santé.

    S’ils peuvent sembler inoffensifs, la pression qu’ils produisent sur le corps affecte la circulation sanguine et les processus qui impulsent l’élimination des liquides.

    Ainsi, l’idéal est de choisir des tailles plus grandes ou des vêtements dont les matières ne serrent pas le corps.

    4. Faites des exercices régulièrement

    Adopter un programme d’exercices physiques est une bonne alternative pour prévenir la rétention de liquides et autres troubles liés.

    Les mouvements exécutés pendant chaque activité peuvent aider à augmenter les fonctions circulatoires et lymphatiques, et ainsi, favoriser l’élimination des fluides et des déchets.

    L’exercice a aussi des bienfaits sur la santé rénale, améliore la production d’urine et renforce les voies urinaires.

    5. Réactivez la circulation sanguine

    Les habitudes saines et quotidiennes, comme les massages et les douches froides, sont des thérapies simples pour stimuler la circulation sanguine face aux difficultés qu’elle présente à cause de la rétention de liquides.

    Même s’il est facile de les ignorer ou de les confondre avec d’autres affections, les problèmes de drainage des fluides ont parfois un lien avec l’insuffisance circulatoire.

    C’est pour cela que pour prévenir et traiter cette condition, il est nécessaire d’adopter des mesures qui favorisent une bonne circulation sanguine.

    6. Dormez bien

    Avoir une bonne qualité de sommeil influe aussi sur la prévention de l’œdème et autres affections inflammatoires.

    Pendant la période de sommeil, les muscles se détendent, la circulation sanguine est plus facile et le corps entreprend des processus essentiels pour sa détoxification.

    Cela promeut l’élimination des fluides contenus et au passage, augmente le niveau d’énergie pour une meilleure productivité.

    7. Consommez plus de fruits et de légumes

    La consommation quotidienne d’aliments frais comme les fruits et les légumes apportent au corps une grande quantité de bienfaits pour soulager l’œdème et l’inflammation.

    Leurs apports en substances antioxydantes, eau, fibres et autres éléments essentiels améliorent le fonctionnement rénal et impulsent l’élimination des déchets.

    De plus, leurs propriétés facilitent le contrôle de la pression artérielle élevée, les douleurs musculaires et autres affections en lien avec ce problème.

    Vous avez peur de souffrir de cette condition ? Suivez ces conseils simples et vérifiez par vous-même qu’ils sont excellents pour votre santé.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 symptômes dont il faut tenir compte chez les personnes âgées

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il est fondamental que les personnes âgées se soumettent à des tests réguliers pour vérifier leur bonne santé et pour qu'en cas de maladie, ils puissent prendre des mesures à temps.
     

    Si vous n’êtes pas attentif, vous pourriez facilement considérer comme normaux des symptômes inhabituels. 

    Même si, lorsqu’on vieillit, il est normal d’avoir des baisses de capacités et de les imputer à l’âge, il ne faut pas pour autant tout faire retomber sur la vieillesse.

    Certains symptômes peuvent avoir pour origine de gros problèmes de santé. Il est très important de consulter un médecin si vous ressentez des symptômes étranges. Même si vous pensez que vous ne devez pas les prendre au sérieux.

    Attendre qu’ils disparaissent par magie peut être très coûteux pour votre santé.

    Le manque d’air inhabituel

    La douleur dans le thorax est l’un des nombreux symptômes d’une crise cardiaque. Et ils peuvent varier d’une personne à l’autre.

    Si, par exemple, après avoir fait une petite promenade, vous avez du mal à reprendre votre souffle, peut-être que c’est un signe précoce qui montre que l’une de vos artères est partiellement ou totalement obstruée. Et cela peut générer une crise cardiaque.

    Si vous remarquez une difficulté chronique ou inusuelle, vous devez prendre rendez-vous chez votre médecin. Si vous ressentez une pression dans la poitrine ou des nausées, également.

    Nausées soudaines ou problèmes d’équilibre et de coordination

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    Les symptômes d’une hémorragie cérébrale peuvent être très subtils mais si vous les connaissez, il est moins probable que vous passiez à côté.

    Que ce soit chez les personnes âgées ou chez les adultes jeunes, une hémorragie cérébrale a les symptômes suivants : la difficulté soudaine à marcher, la perte soudaine de l’équilibre et de la coordination. 

    Vous devez aussi prêter attention à ces signes :

    • La sensation de nausée extrême
    • La difficulté à parler
    • La mauvaise prononciation des mots
    • Les changements dans la vision
    • La fragilité ou l’engourdissement du visage, des jambes ou des bras.

    Les saignements vaginaux après la ménopause

    Quand il y a des taches de sang vaginal après la ménopause, mieux vaut consulter un gynécologue le plus tôt possible, car ce n’est pas normal.

    Certains cas de saignements peuvent être moins graves que d’autres. Cependant, vous devez considérer la possibilité qu’il pourrait s’agir d’une maladie grave, comme le cancer.

    Vous ne devez pas les prendre à la légère. De même, il est important que, même si vous n’avez pas ces saignements, vous fassiez ces check-up de routine.

    Le dysfonctionnement érectile

    C’est une condition qui, chez les personnes âgées, est très commune et au fur et à mesure que les années avancent, il est très probable qu’elle apparaisse.

    De fait, autour de 22% des hommes de 60 ans souffrent d’impuissance. En plus d’être une préoccupation évidente en termes de satisfaction sexuelle, elle peut aussi s’associer à des maladies du cœur, du diabète et d’autres conditions.

    Même s’il est commun qu’il apparaisse à cause de l’âge, d’autres causes sont possibles : l’augmentation du stress ou la dépression.

    La constipation

    constipation

    La constipation provoque des efforts plus importants que nécessaires lorsqu’on va à la selle. Cette action accroît les risques de développer des hémorroïdes.

    Quand la constipation est occasionnelle, on peut la considérer comme normale, mais chez les personnes âgées, elle peut être plus fréquent qu’attendu.

    Cela peut aussi être le signe que quelque chose bloque les selles. Cela pourrait être une tumeur, un polype ou une autre obstruction. Quand la constipation est chronique, elle peut générer trop de difficultés à éliminer les selles et celles-ci durcissent.

    L’intestin se remplit alors et on ne peut plus évacuer. C’est ce que l’on appelle la rétention fécale.

    Des selles colorées 

    Cela peut varier selon ce que vous consommez au quotidien. Les compléments en fer et les médicaments anti-diarrhéique peuvent par exemple assombrir vos selles.

    N’importe quelle évacuation d’aspect marron ou vert est considérée comme normale.

    Mais si vous remarquez la présence de selles noires ou avec du sang, cela peut être un symptôme d’une hémorragie dans le tractus gastro-intestinal supérieur.

    Cela peut être provoqué par des ulcères, des hémorroïdes, des diverticules et d’autres maladies gastro-intestinales qui demandent plus d’attention chez les adultes.

    Anomalies au niveau des seins 

    Si un cancer du sein se détecte par des grosseurs, il existe d’autres symptômes moins connus :

    • Le gonflement
    • La sensibilité ou la décoloration des seins
    • La sécrétion du téton
    • Les changements de ton de la peau du sein

    Le cancer du sein est moins commun chez les hommes que chez les femmes, mais il existe. C’est pour cela que les hommes comme les femmes doivent faire des check-up réguliers.

    Les lésions de la peau

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    Chez les personnes âgées, il est très commun de développer un cancer de la peau. Comme on le sait, ce type de cancer peut apparaître indépendamment de la pigmentation de la peau.

    Faites très attention à n’importe quelle lésion soudaine sur la peau et à l’apparition de grains de beauté : quand une lésion de la peau ne se guérit pas, elle peut devenir cancéreuse.

    Il existe une grande quantité d’affections que l’on attribue à la vieillesse mais qui peuvent pourtant mettre votre vie en jeu. Il est important d’être constamment attentif aux petits signes que votre corps vous envoie.

    Souvenez-vous, avant de tirer des conclusions trop hâtives, que vous devez parler avec votre médecin de confiance de n’importe quel doute.

    Sachez aussi que vous devez réaliser des check-up réguliers chez des spécialistes, afin de jouir d’une vie saine et heureuse.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • ALERTE INFO VACCINATION

     

     

     

     

     

     

    Vous avez sans doute entendu la terrible nouvelle à la télévision cet après-midi : le Premier ministre Edouard Philippe a confirmé que l’Etat va rendre obligatoires 11 vaccins pour nos enfants dans les mois qui viennent

    C’est un véritable scandale, un déni de démocratie. 

    Nous pouvons encore l’arrêter. 

    Rassembler des milliers de signatures est notre seul espoir que le gouvernement se dédise publiquement. 

    Nous n’avons aucun autre relais que vous. Si vous ne mobilisez pas toutes vos connaissances et votre entourage, la défaite est certaine ! 

    Signez et partagez le plus largement possible la pétition contre ces 11 vaccins obligatoires, en transférant, en partageant sur Facebook ou sur tout autre réseau social, par n’importe quel moyen à votre disposition, le message ci-dessous. 

    Il s’agit d’un cas d’urgence absolue.

    La Ministre de la Santé veut rendre onze vaccins obligatoires aux nouveaux-nés. 

    En comptant les rappels, imaginez 25 à 40 doses sur des défenses naturelles immatures (avant l’âge de 18 mois, le système immunitaire du bébé n’est pas achevé). 

    --> Or, personne à ce jour n’a étudié les risques d’injecter autant de vaccins en aussi peu de temps ; 

    --> Aucun scientifique ne sait ce que peuvent donner à court et moyen terme tant de vaccins, en termes d'allergies, de maladies auto-immunes, sclérose en plaque ou autre. 

    Rendre obligatoires onze vaccins pour toute la population est un non-sens médical car les réactions à un vaccin sont strictement individuelles. Elles dépendent de l’état physiologique et de l'hérédité de celui qui le reçoit. Les effets secondaires éventuellement dommageables sont donc totalement imprévisibles

    Chers amis, chers patients, parents ou grands-parents, ils n’ont pas le droit de vous imposer par la loi un acte médical dont ils ne maîtrisent pas les risques ! 

    Ces vaccins sont chargés d’adjuvants, aluminium, squalène et contiennent de petites doses de formaldéhyde et d'antibiotiques. Injectés dans le corps des nourrissons, ces substances sont suspectées d’avoir parfois des effets indésirables à moyen ou à long terme. 

    Les accidents sont rares mais ils sont bien réels malheureusement !

    • Où est le consentement libre et éclairé des parents ? Où est l'accès à une information claire et transparente de la balance bénéfice/risque de cet acte (la loi Kouchner de mars 2002) ; 

    • Où est le principe de précaution ? 

    C’est bien simple : rien n’est prévu, à part les sanctions pour les familles récalcitrantes (exclusion des écoles, crèches et autres collectivité, amendes voire peines d'emprisonnement pour les parents). 

    Mais ce n’est pas eux qui se retrouveront en chaise roulante ou sur un lit d’hôpital en cas de réaction imprévue au vaccin !!! 

    Cette décision serait hâtive et gravement imprudente. Il faut la stopper par un barrage de millions de signatures. Signez d’urgence la nouvelle pétition ici : 

    A qui cela profite-t-il ?

    Le débat ne respecte pas l’indépendance. On sait que :

    • Le Président du Comité de Vaccination, le Pr Alain Fischer est en lien étroit avec le laboratoire Sanofi dont il a reçu en 2013 le Prix “Sanofi-Pasteur”;  

    • La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a reconnu dans le journal Le Parisien que « les industriels allaient gagner de l’argent avec cette mesure ». On parle de 110 à 120 millions €/an ; 

    • Elle était au Conseil d’Administration (« board ») de deux laboratoires très impliqués dans les vaccins, Novartis et Bristol-Meyers Squibb, de 2009 à 2011 ;  

    • Emmanuel Macron lui-même a publiquement bénéficié de l’intense soutien pour sa campagne de Serge Weinberg, président de Sanofi, principal producteur français de vaccins !  

    À peine élus, la première mesure évoquée est de généraliser l’obligation vaccinale. C’est trop gros, c’est trop ÉNORME.  

    Ne vous laissez pas faire. Signez et faites signer la grande pétition d’urgence !!! 

    Ils contournent la décision du Conseil d’Etat

    La Ministre de la Santé contourne la décision du Conseil d’Etat du 8 février 2017. 

    Cette décision demandait le retour dans les pharmacies du seul vaccin obligatoire, le DT-P (diphtérie, tétanos, polio) sans qu’il ne soit associé à d’autres vaccins facultatifs. 

    Rendre tous les vaccins obligatoires est frontalement contraire à la volonté de la majorité des Français. La précédente ministre de la Santé Marisol Touraine, qui avait affirmé « la vaccination, ça ne se discute pas », n’a pas été réélue. Pas plus que la majorité du précédent quinquennat qui refusait le débat sur la vaccination. 

    Rappelons que plus de 1 100 000 personnes ont signé la pétition pour le retour du DT-P sans aluminium !

    Une espérance malgré tout

    Notre grand espoir est le nouveau Président Emmanuel Macron qui veut une société plus libre, plus ouverte. 

    Il dit ça pour le droit du travail. Il ne peut pas faire le contraire pour la santé.

    N’oublions pas la présence dans son gouvernement de Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire. Une telle équipe peut-elle opter pour la force 

    • Si la loi passe, vous devrez vacciner votre enfant contre onze maladies dont l’hépatite B (potentiellement dangereux et totalement inutile pour la plupart des enfants). 

    • Vous devrez donner à vos enfants des vaccins chargés d’aluminium (ces vaccins en contiennent forcément). 

    • Vous serez de plus contraint de financer ces vaccins via l’assurance maladie obligatoire

    C’est de l’argent qui tombe directement dans la poche des laboratoires pharmaceutiques !

    • « Comment peut-on nous prendre à ce point pour des idiots ???!!!! Je suis tellement attristée et en colère. Quel pays !!!... » réagissait un auditeur de RMC, qui venait de recevoir la nouvelle sur la tête. 

    • « Clairement c'est du totalitarisme », réagissait-on sur le site du journal 20 Minutes. 

    • « Comment se fait-il qu’en Allemagne ou en Espagne, où les vaccins ne sont pas obligatoires, il n’y ait pas plus d’épidémie que chez nous ?! »  

    Le problème est que ces réactions, bien que nombreuses, resteront lettre morte sans une concertation, une action citoyenne groupée

    Pour montrer notre nombre et notre détermination, il est indispensable de faire monter le compteur de pétitions au maximum

    Il faut faire barrage démocratique !!!!

    Faites barrage démocratique !!

    Agissez vite ! La Ministre de la Santé va décider avant le 8 août 2017, date butoir fixée par le Conseil d’Etat !! 

    Elle pourrait bouger dans les jours qui viennent ! 

    C’est l’urgence absolue. Et les associations doivent : 

    1. Monter une conférence de presse 

    2. Réunir un million de signatures ou plus 

    3. Obtenir audience auprès du Ministère de la Santé 

    4. Monter les dossiers pour contrer les arguments des labos 

    Nous sommes démunis face au lobby pharmaceutique qui finance, à coup de millions, des « experts ». 

    Mais nous avons la solidarité, la force du nombre, l’union de millions de citoyens qui défendent l’intérêt général et la santé de leurs enfants. 

    C’est le combat de David contre Goliath. Mais en nous unissant, nous pouvons renverser des montagnes !!!! 

    Cela ne demande rien d’autre de votre part que d’ajouter votre nom à la liste de protestation, 

    Ne perdez pas une seconde pour signer la pétition et transférer ce message le plus largement possible autour de vous. 

    C’est notre dernière chance de bloquer l’offensive ; sinon, dans quelques semaines, nous pourrions nous réveiller avec l’interdiction de mettre nos enfants dans les écoles, les garderies et toutes les collectivités ! 

    Un grand merci, 



    Jean-Marc Dupuis 



     

     

     

     

     

    Source : santenatureinnovation.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Signes et symptômes de hauts niveaux d’œstrogènes

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les niveaux élevés d'œstrogènes peuvent aussi bien toucher les hommes que les femmes, c'est pourquoi il faut recourir à un spécialiste le plus tôt possible pour obtenir un diagnostique et un traitement.
     

    Toutes les hormones de votre corps fluctuent constamment à la hausse et à la baisse. Lorsqu’elles sont en parfait équilibre, votre organisme fonctionne comme il le devrait.

     

    Le problème apparaît quand les hormones ne sont pas aux niveaux optimum et que votre corps expérimente des problèmes qui sont en relation.

    Savez-vous ce que sont les œstrogènes ? Cette hormone est connue comme l’hormone « féminine ». La testostérone, pour sa part, est l’hormone « masculine ».

    Bien que chaque hormone s’identifie avec un genre, les deux se trouvent aussi bien chez les hommes comme chez les femmes, même si les femmes ont plus d’œstrogènes et les hommes plus de testostérone.

    L’œstrogène est l’hormone qui se charge du développement sexuel chez les femmes, elle régule le cycle menstruel et affecte le système reproductif.
     

    À quoi sont dus les hauts niveaux d’œstrogènes ?

    L’augmentation de l’œstrogène peut être accidentel ou être à l’origine de mauvaises habitudes comme:

    • Abus d’alcool
    • Excès de repas rapides
    • Consommation de certains médicaments

    medicaments-arreter-fumer

    Il existe également d’autres motifs pour lesquels vos niveaux d’œstrogènes augmentent. Les plus reconnues sont :

    • Les maladies cardio-vasculaires
    • Le vieillissement (qui favorise la diminution de la testostérone)
    • L’obésité
    • L’exposition aux phytoestrogènes ou aux xénoestrogènes
    • La diminution anormale des niveaux de progestérone
    • Problèmes avec l’insuline chez les diabétiques
    • Médicaments contenant de l’œstrogène
    • Les stéroïdes
    • La consommation de drogues
    • Les pilules contraceptives
    • Problèmes du système digestif
    • Exposition aux produits chimiques, comme les pesticides dans les aliments

    Une autre raison qui joue sur l’augmentation des niveaux d’œstrogène sont les maladies telles que :

    • Problèmes rénaux
    • L’hyperthyroïdie
    • Tumeurs testiculaires
    • Cirrhose

    foi-desintoxication

    Quels sont les symptômes des niveaux élevés d’œstrogènes ?

    Lorsque vous avez de hauts niveaux d’œstrogènes ou de testostérone dans le corps, ils ne se synchronisent pas correctement. Parmi ces symptômes les plus fréquents sont:

    • Inflammation
    • Inflammation et sensibilité des seins. Développement fibrokystiques dans les seins
    • Augmentation des symptômes prémenstruels et diminution du désir sexuel
    • Menstruations irrégulières
    • Maux de tête. Pertes de mémoire
    • Sauts d’humeur
    • Prise de poids
    • Perte de cheveux
    • Mains ou pieds froids
    • Sensation de fatigue ou de manque d’énergie. Difficultés à dormir

    Les effets de niveaux élevés d’estrogènes chez les hommes

    homme-oestrogene

    • Infertilité: l’œstrogène est, en partie, responsable du développement des spermatozoïdes de bonne qualité. Lorsqu’il existe de hauts niveaux d’œstrogènes les niveaux de spermatozoïdes dans le sperme peuvent chuter, ce qui entraîne les problèmes de fertilité.

    Si votre conjoint et vous avez souhaité une grossesse et qu’elle n’a pas lieu, vous devriez demander à votre médecin de vérifier si les hauts niveaux d’œstrogènes sont la cause.

    • La gynécomastie: L’oestrogène stimule la croissance des tissus mammaires. Chez les hommes, un excès d’oestrogène peut provoquer la croissance de poitrine.

    Ce résultat affectera l’estime d’eux-mêmes de beaucoup d’entre eux. Par chance, il existe de nos jours la possibilité d’être opéré par chirurgie plastique. D’ailleurs, ce type de procédures est devenue très courante.

    • Dysfonction érectile: La balance entre testostérone et œstrogène est importante pour le fonctionnement sexuel aussi bien des hommes que des femmes. Les fonctions sexuelles peuvent êtres affectées lorsqu’il existe un déséquilibre.

    Quand les hommes ont de hauts niveaux d’œstrogènes, ils ont des difficultés à maintenir une érection.

    Comment diagnostiquer les hauts niveaux d’œstrogènes ?

    Il est très probable que votre docteur demande une analyse de sang pour vérifier la quantité  d’œstrogènes présent dans votre organisme. C’est la façon la plus sûre se savoir si vos taux  d’œstrogènes sont élevés, bas ou sont dans un équilibre normal.

    Une fois que vous aurez les résultats, votre médecin pourra travailler sur cette base pour opter et vous prescrire les médicaments qui vous aident  à niveler les taux.

    Peut-être vous demandera t-il de changer certains aspects de votre style de vie pour pouvoir traiter les symptômes.

    Evitez que les taux  d’œstrogènes augmentent

    Il existe de nombreuses manières d’aider notre corps à contrôler les taux élevés d’œstrogènes. Si vous rectifiez certaines habitudes dans votre façon de vivre par des actions simples, vous contribuerez énormément à l’amélioration de votre santé.

    alcool-tabac

    • Diminuez la consommation d’alcool
    • Incorporez plus de fruits et légumes à votre régime
    • Évitez les aliments gras
    • Réduisez votre stress
    • Consommez plus de fibres
    • Pratiquez un sport ou faites de l’exercice, au moins, trois fois par semaine

    Les taux élevés d’œstrogènes peuvent augmenter le risque de souffrir d’autres facteurs délicats tel le cancer mammaire. L’exposition à des taux importants d’œstrogènes prolongé peut produire un cancer de l’endomètre.

    Consultez votre médecin

    Si vous considérez avoir rencontré des symptômes peu courants, il est préférable de prendre rendez-vous avec votre médecin. Lui seul pourra déterminer si les symptômes sont provoqués par les taux élevés d’œstrogènes.

    Il est crucial de traiter les déséquilibres de cette hormone et de ses causes subjacentes.

    Quand on traite ces symptômes à temps, ils peuvent s’éviter, cependant si vous avez de mauvaises habitudes et une vie mal équilibrée, il est compliqué de les éliminer et de les surmonter totalement.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les habitudes qui endommagent nos reins

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Le manque d’activité physique, les mauvaises habitudes comme le tabac ou l’alcool et le manque de repos adapté peuvent se répercuter de manière négative sur nos reins et nuire à notre santé générale.

    Ces organes parfois oubliés et peu soignés sont très importants pour notre organisme. Ils sont chargés de nettoyer le sang des toxines et de réguler l’équilibre de sel et d’eau dans le corps.

    De plus, ils produisent des globules rouges, équilibrent la pression artérielle et évitent les infections.

    Dans cet article nous vous expliquons les habitudes qui endommagent nos reins et les empêchent de faire leur travail comme il faut.

    Quelles habitudes endommagent nos reins ?

    Les reins remplissent de nombreuses fonctions importantes et s’ils sont malades, cela se répercute sur notre santé générale.

    Bien souvent nous ne nous rendons pas compte que certaines habitudes peuvent leur nuire. Pour cela nous vous indiquons les actions quotidiennes qui sont négatives pour ces organes :

    1. Fumer

    La cigarette contient une grande quantité de substances nocives pour l’organisme. Si nous pouvons penser qu’elles vont « seulement » dans les poumons, nous nous trompons.

    Les toxines voyagent dans tout le corps à travers le sang. Lorsqu’elles arrivent aux reins, ces derniers doivent travailler des heures supplémentaires pour éliminer ce qui nous nuit.

    Evidemment ils n’y arrivent pas complètement : il reste des particules qui s’y sont déposé et qui vont les affaiblir.

    2. Boire de l’alcool

    Il arrive à peu près la même chose qu’avec la cigarette, mais dans ce cas l’alcool affecte le foie et les reins en proportions similaires.

    La fonction rénale se dégrade lorsque le corps reçoit trop de substances toxiques ou nocives en continu.

    3. Dormir peu

    Pendant la nuit, les muscles, les cellules et les organes se revitalisent et récupèrent de tout le travail qu’ils ont fait pendant la journée.

    • Si vous ne dormez pas assez (entre 7 et 8 heures continues), le processus de récupération ne s’achève pas.
    • Voyez comment vous vous sentez en arrivant au travail après ne pas avoir dormi… Il en va de même pour vos reins.

    4. Retarder le moment de vous vider la vessie

    Trop se retenir d’aller aux toilettes est très mauvais pour la santé, non seulement au niveau rénal que pour la vessie et les voies urinaires.

    Cela peut dériver en une incontinence ou une insuffisance rénale. N’attendez pas de ne plus en pouvoir et urinez quand vous en avez besoin.

    5. Boire beaucoup de café

    C’est la boisson la plus consommée du moment et, si elle peut être bonne quand sa consommation est modérée, le problème se trouve dans l’excès de caféine dans l’organisme.

    Rappelez-vous que le café déshydrate et fait travailler les reins en excès. Cette charge additionnelle peut être plus que nuisible.

    Sachez également que les sodas (surtout ceux du type cola) contiennent une grande quantité de caféine et qu’ils ont les mêmes effets que le café.

    6. Etre sédentaire

    Avoir une vie trop passive altère le fonctionnement de tous les organes.

    Passer des heures assis devant l’ordinateur au bureau ou devant la télévision chez vous empêche le sang de circuler normalement et provoque une accumulation des liquides dans les extrémités inférieures.

    Il s’agit justement de deux des zones dont s’occupent les reins et qui ne peuvent s’en occuper à cause de notre sédentarisme.

    7. Manger trop de sel

    Le sodium en excès n’est pas bon pour les reins. Ces organes régulent le métabolisme du sel dans l’eau, et s’il y a trop de sel, ils ne peuvent réaliser leurs fonctions comme il se doit.

    • Pour un adulte, la consommation quotidienne de sel ne doit pas excéder les 5 grammes (une demi-cuillère à soupe).

    Il est fondamental d’y prêter attention, car la majorité des plats cuisinés contiennent trop de sel.

    D’autre part, nous recommandons de ne pas consommer des aliments contenant trop de potassium, car cette substance ne peut être éliminée complètement dans les reins et finit par s’accumuler dans le sang.

    8. Ne pas consommer de vitamine B6

    Ce nutriment est fondamental pour le fonctionnement des reins. Chaque jour nous devrions manger des aliments qui apportent de la vitamine B6. C’est le cas de :

    9. Manger trop de protéines

    A la différence des graisses, les protéines ne peuvent s’accumuler dans le corps. C’est pourquoi, celles qui sont de trop doivent être éliminées à travers l’urine ou les selles.

    • Dans le premier cas, les reins en sont responsables pendant leur travail de nettoyage.
    • Lorsqu’il y a trop de protéines dans l’organisme, nous sommes davantage propices à la formation de calculs rénaux.

    10. Ne pas boire d’eau

    Les deux litres d’eau par jour ne sont pas un caprice, une invention ou une campagne publicitaire.

    C’est la quantité adaptée de liquides dont le corps a besoin tous les jours avec ce qu’il perd à travers la transpiration, l’urine ou les différents processus métaboliques.

    De plus, lorsque nous buvons de l’eau, nous aidons les reins dans leur travail de nettoyage tandis que nous éliminons des toxines et des impuretés.

    11. Avoir une alimentation déséquilibrée

    De nos jours nous pouvons trouver de nombreuses sortes de régimes pour perdre du poids ou des alimentations miraculeuses qui promettent des résultats en peu de temps.

    Toutefois, ils peuvent être dangereux pour la santé en général et pour les reins en particulier.

    Lorsque ces organes ne reçoivent pas assez de graisses (qui sont nécessaires même si l’on pense le contraire) le sang est filtré avec un équilibre altéré et l’organisme ne reçoit pas les nutriments nécessaires.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 75% des médecins refusent la chimiothérapie pour eux-mêmes

     

     

     

     

     

     

    “Aucun des principaux media n’a jamais mentionné cette étude exhaustive; elle a été complètement enterrée.” (Tim O’ Shea, “Chemotherapy – An Unproven Procedure”)

    Selon les associations médicales, les effets secondaires notoires et dangereux des médicaments sont devenus la quatrième cause principale de mortalité après l’infarctus, le cancer et l’apoplexie.” (Journal of The American Medical Association, april 15, 1998) Le Dr. Simoncini écrit

    Un grand manque de confiance est aussi évident parmi les médecins. Les enquêtes et les questionnaires montrent que trois docteurs sur quatre (75 pour cent) refusent toute chimiothérapie sur eux-mêmes en cas de cancer en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain.

    Voici ce que de nombreux docteurs et scientifiques ont à dire à propos de la chimiothérapie :
    “La majorité des patients atteints de cancer dans ce pays meurent à cause de la chimiothérapie, qui ne soigne ni les cancers du sein, ni ceux du côlon ou des poumons. Cela été consigné depuis plus de dix ans. Néanmoins les docteurs continuent à utiliser la chimiothérapie pour combattre ces tumeurs.”
    (Allen Lewin, MD, UCSF, “The Healing of Cancer”, Marcus Books, 1990)

    “Si je devais contracter le cancer, je ne recourrais jamais à un certain modèle thérapeutique pour soigner cette maladie. Les patients du cancer qui se tiennent éloignés de ces centres ont une certaine chance de s’en sortir.”
    (Prof. Georges Mathé “Scientific Medecine Stymied”, Médecines Nouvelles, Paris, 1989)

    “Le Dr Hardin Jones, conférencier à l’université de Californie, après avoir analysé pendant de nombreuses décennies les statistiques de survie au cancer, est parvenu à cette conclusion : “ … Quand ils ne sont pas traités, les patients ne vont pas plus mal, ils vont même mieux.” Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées”.
    (Walter Last, “The Ecologist”, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)

    “De nombreux oncologues recommandent la chimiothérapie pour presque tous les types de cancer, avec une foi qui n’est même pas ébranlée par des échecs presque constants.”
    (Albert Braverman, MD, “Medical Oncology in the 90s”, Lancet, 1991, vol. 337, p. 901)

    “Nos prescriptions les plus efficaces sont très risquées, ont des effets secondaires et comportent des problèmes pratiques, et après que tous les patients que nous avons traités ont payé leur dîme, seul un minuscule pourcentage d’entre eux est remboursé par une période éphémère de régression tumorale et généralement partielle.”
    (Edward G. Griffin, “World Without Cancer”, American Media Publications, 1996)

    “Après tout, et pour une majorité bouleversante de cas, il n’y a aucune preuve que la chimiothérapie prolonge les attentes de survie. Et c’est le grand mensonge de cette thérapie, qu’il y a une corrélation entre la réduction des tumeurs et le prolongement de la vie du patient.”
    (Philip Day, “Cancer : Why we’re still dying to know the truth”, Credence Publications, 2000)

     

    “Plusieurs scientifiques à plein temps au Centre du Cancer Mac Gill ont envoyé à 118 docteurs, tous experts du cancer du poumon, un questionnaire pour déterminer le niveau de confiance qu’ils avaient dans les thérapies qu’ils appliquaient; on leur a demandé d’imaginer qu’ils avaient eux-mêmes contracté la maladie et laquelle des six thérapies expérimentales actuelles ils choisiraient. 79 docteurs ont répondu, 64 d’entre eux ont dit qu’ils ne consentiraient pas à subir un traitement contenant du cis-platine – un des médicaments chimiothérapeutiques communs, tandis que 58 sur 79 croient que toutes les thérapies expérimentales ci-dessus ne sont pas acceptables en raison de leur inefficacité et du niveau élevé de toxicité de la chimiothérapie.”
    (Philip Day, “Cancer : Why we’re still dying to know the truth”, Credence Publications, 2000)

    “Le docteur Ulrich Abel, un épidémiologiste allemand de la Clinique des tumeurs de Heidelberg-Mannheim, a étudié et analysé de manière exhaustive les principales études et expérimentations cliniques effectuées sur la chimiothérapie: “ … Abel a découvert que le taux global mondial de résultats positifs résultant de la chimiothérapie était effrayant, parce que, simplement, nulle part nous n’avons de preuve scientifique à notre disposition démontrant que la chimiothérapie est capable de “prolonger d’une manière appréciable la vie des patients affectés par les types les plus communs de cancer des organes.” Able met en lumière le fait que rarement la chimiothérapie améliore la qualité de vie, il la décrit comme désolante du point de vue scientifique et maintient qu’au moins 80% des chimiothérapies administrées dans le monde sont sans valeur. Mais, même s’il n’y a pas de preuve scientifique, quelle qu’elle soit, que la chimiothérapie marche, ni les docteurs ni les patients ne sont préparés à l’abandonner.”
    (Lancet, Aug. 10, 1991)

     

    Dr. Simoncini

     

     

     

     

     

    Source : sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Pourquoi la Suède refuse les obligations vaccinales : des raisons dérangeantes pour Big Pharma !

     

     

     

     

     

    LA SUEDE INTERDIT LES VACCINATIONS OBLIGATOIRES

    Notamment en fonction de « graves problèmes de santé » et le fait que pareilles lois violeraient les droits constitutionnels des citoyens qui doivent avoir leur mot à dire dans leurs soins de santé (Extraits)

     

    Bawter Dimitry News, 12 mai 2017

    La Suède a rejeté les vaccinations obligatoires, après avoir évoqué « de graves problèmes de santé », ainsi que le fait que l’obligation violerait les droits constitutionnels des citoyens de choisir ce qui peut ou non convenir à leur propre santé.

    Le 10 mai 2017, le Parlement Suédois a rejeté sept motions qui auraient inclus des vaccinations obligatoires dans la loi. Le Parlement a fait savoir « Si nous introduisions des vaccinations obligatoires ou forcées, cela violerait notre [Constitution Suédoise] »

    Notant également « la résistance massive à toute forme de coercition en matière de vaccination », le Parlement a aussi fait référence aux « réactions indésirables graves et fréquentes » chez les enfants qui reçoivent les vaccinations.

    « Le NHF Suède a fait parvenir une lettre au Comité en expliquant que l’introduction de vaccinations obligatoires ou forcées telles qu’elles ont été soumises dans la requête d’Arkelsten violerait la Constitution. De nombreuses autres personnes ont fait parvenir une correspondance au Parlement et interpellé les politiciens et le Parlement. Les politiciens n’ont pu faire que remarquer qu’il existait une résistance massive à toutes les formes de coercition en matière de vaccination.

    « Le NHF Sweden a également fait ressortir à quel point les réactions indésirables peuvent être fréquentes au cours d’une année de vaccination. […] En outre, il convient de tenir compte que chaque groupe d’âge recevra deux fois le vaccin ROR, de sorte que les effets secondaires seront multipliés par deux. Il convient aussi de ne pas oublier, qu’en outre des réactions indésirables similaires s’appliquent à d’autres vaccins.

    « Dans la lettre, nous avons même inclus une liste exhaustive d’additifs trouvés dans les vaccins – substances qui ne sont pas des aliments pour la bonne santé et ne doivent certainement pas se retrouver dans le corps des bébés ou des enfants. Nous avons également inclus pour les législateurs une très importante liste d’études qui démontrent que la vaccination est une mauvaise idée.

    On pourra trouver ci-dessous le rapport complet :

    http://www.thenhf.se/riksdagen-rostade-nej-till-alla-vaccinmotioner/

    La décision judicieuse du Parlement Suédois fait fi, et va à l’encontre de ce qui se passe aux Etats-Unis comme dans les autres pays occidentaux. Big Pharma tient les législateurs sous sa coupe ; elle leur dicte sa politique en utilisant les médias corrompus pour calmer les dissidents.

    Robert F. Kennedy Jr. s’est récemment manifesté dans le Show Tucker Carlson où il a courageusement exposé « l’état de cette mafia  sans loi » que représente Big Pharma et leur « très lucrative » escroquerie vaccinale.

    « L’industrie pharmaceutique est si puissante, a expliqué RFK Jr. Elle donne 5,4 milliards de dollars par an aux médias. Elle s’est débarrassée des avocats… Elle a été réellement capable de contrôler le débat et de réduire des gens comme moi au silence. »

    Quand on lui a demandé comment il était possible que la situation soit à ce point si mauvaise, Robert F. Kennedy Jr. a expliqué : « que le Congrès accordait à Big Pharma une immunité légale globale » lorsqu’il s’agit des vaccins.

    Big Pharma est devenue la loi après que le président Reagan ait signé la loi sur les dommages liés aux vaccins infantiles. Ces gens peuvent ainsi mettre des ingrédients toxiques dans les vaccins. Ces éléments peuvent gravement endommager la santé de vos enfants- mais il est impossible de les poursuivre en justice.

    « Ce que vous devez comprendre, c’est que le régime des vaccins a considérablement changé depuis 1989. La raison pour laquelle il a changé, c’est que le Congrès sous l’influence de l’industrie pharmaceutique, a fait ce qui n’a jamais été réalisé pour aucune autre industrie – le Congrès a accordé une immunité légale générale pour tous les fabricants de vaccins.

     

    « Donc peu importe les protocoles, peu importe l’absence de contrôle de la qualité, peu importe la toxicité des ingrédients ou les dommages graves qui peuvent être causés aux enfants, il vous est impossible d’entamer des poursuites à leur encontre.

    « Il n’y a donc pas de témoignage, pas de découverte, pas de recours collectifs et… tout à coup les vaccins deviennent éminemment rentables. »

    Les énormes profits de cette industrie non réglementée ont fait en sorte que les compagnies Big Pharma se sont engagées à produire de nouveaux vaccins parfois inutiles qui sont injectés dans le corps des jeunes enfants – souvent plus de dix à la fois.

    « C’est devenu une véritable ruée vers l’or pour l’industrie pharmaceutique d’ajouter de nouveaux vaccins au schéma de vaccinations. »

    Mais à quel prix ? L’industrie du vaccin, en vertu de ses propres règles – ou plutôt en vertu de l’absence de règles –  nous rend impossible l’accès aux faits. Depuis longtemps, le Président Trump demande une enquête indépendante sur la sécurité des vaccins. Robert F Kennedy Jr. a fait la même demande.

    […] « J’ai reçu trois vaccins et j’étais donc tout à fait en ordre. J’ai maintenant 63 ans. Pour pouvoir être en ordre mes enfants ont dû recevoir 69 doses de 16 vaccins.

    Nombre de ces vaccins ne concernent même pas les maladies transmissibles. Prenons l’exemple de l’hépatite B qui s’attrape par des rapports sexuels non protégés ou chez des personnes qui partagent des aiguilles. – Pourquoi donc administrons-nous ce vaccin à un enfant  le premier jour de sa vie ? Et, en outre, il contient du mercure ! »

    Tucker demande : « Nous administrons vraiment ce vaccin à des enfants ? »

    « Nous continuons à leur administrer ce vaccin. Le mercure a été retiré de trois vaccins, mais il reste présent dans le vaccin contre la grippe et on en trouve encore dans plusieurs vaccins distribués dans le monde. Il faut savoir qu’il s’agit de la plus puissante neurotoxine non radioactive connue.

    « Comment est-il possible que nous injections pareil produit à des enfants ?

    Robert F. Kennedy Jr. a essayé de mettre cette situation scandaleuse dans un contexte.

    « Si vous prenez un flacon de ce vaccin et qu’il vous arrive de le briser, vous devez vous en débarrasser selon les règles légales qui sont d’application pour les produits dangereux. Vous devez, en outre évacuer le bâtiment où l’accident s’est produit. Pourquoi auriez-vous l’audace d’injecter ce produit dans le corps d’un enfant ? »

    VIDEO : RFK Jr. My meeting with President Trump on vaccines

    Source: Yournewswire

    Parmi toutes les formes de tyrannies, celle qui est sincèrement mise en place pour le bien de ses victimes peut être la plus oppressive qui soit. C.S. Lewis

     

     

     

     

     

    Sources : initiativecitoyenne.be

              sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les 8 médicaments les plus dangereux sur terre…

    prenez-vous l’un d’entre eux ?

     

     

     

     

     

     

    « Il est temps de prendre tes médicaments, chéri ». « Mais maman, ça me fait me sentir bizarre et très mal, et je ne vais pas mieux ». « Eh bien, c’est ce que le médecin a prescrit, alors c’est ce que nous devons faire ». Vous a-t-on déjà dit de suivre votre instinct? Il y a une raison à cela. En fait, plusieurs raisons.

     

    Beaucoup de médicaments « occidentaux » sont fabriqués dans des laboratoires utilisant des produits chimiques et sont très expérimentaux, et pire encore, ils ne sont jamais testés sur les humains, sauf lorsqu’ils sont réellement prescrits, appliqués sur eux ou injectés. Les humains sont les cobayes ultimes aux États-Unis, tandis que Big Pharma empoche des trillions en profit. Comment en est-t-on arrivé là? Réponse simple: après la Seconde Guerre mondiale, des scientifiques nazis ont été embauchés à l’extérieur de la prison pour travailler sur des produits pharmaceutiques, des vaccins, la chimiothérapie et des additifs alimentaires chimiques, afin d’alimenter les activités les plus insidieuses de la médecine allopathique. Ce n’est pas une théorie du complot. L’horreur qui a eu lieu lors de l’Holocauste en Allemagne a continué, à moindre échelle, aux États-Unis, pour de l’argent.

    Pensez-y. Il n’y a AUCUNE AUTRE RAISON pour laquelle les sociétés pharmaceutiques américaines aient embauché des meurtriers de masse condamnés pour occuper les meilleurs postes chez Bayer, BASF et Hoechst. Fritz ter Meer, reconnu coupable de meurtre de masse, a purgé seulement 5 ans de prison, puis est devenu le président du conseil de surveillance de Bayer (oui, CE Bayer, qui fabrique des médicaments pour enfants et l’aspirine la plus populaire). Carl Wurster de BASF a contribué à la fabrication du gaz Zyklon-B, le pesticide puissant utilisé pour exécuter des millions de Juifs – ce monstre a travaillé sur la chimiothérapie, la plus grande escroquerie médicale du siècle. Kurt Blome, qui a admis avoir tué des Juifs avec des « expériences horribles », a été embauché en 1951 par le Chemical Corps de l’armée américaine pour travailler sur la guerre chimique. Compris?

    En d’autres termes, les mauvaises graines de Big Pharma, que la FDA appelle la médecine, ont d’abord été plantées aux États-Unis il y a 65 ans. Beaucoup de « savants fous » qui ont torturé des êtres humains innocents lors de l’Holocauste ont été embauchés et promus par les présidents des États-Unis pour propulser ce que nous appelons la « médecine occidentale » et son but ultime de créer des maladies et traiter ses symptômes à des fins lucratives.

    Prenez garde, mes amis, car voilà les 8 MEDICAMENTS LES PLUS DANGEREUX sur la planète Terre. C’est ce qu’on appelle la « guerre contre les faibles ».

    La guerre contre les faibles

    1. Les ISRS – hautement expérimentaux, dont l’innocuité et l’efficacité n’ont jamais été prouvées, peuvent bloquer complètement la sérotonine, entraînant des pensées suicidaires et même des actes épouvantables tels que des suicides et des homicides.

    2. Le vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole) – associé à l’autisme et à d’autres troubles du système nerveux central et à une myriade de problèmes de santé. Lorsque le virus VIVANT de la rougeole pénètre dans le corps, le système immunitaire est sérieusement compromis et les adjuvants chimiques et ingrédients génétiquement modifiés attaquent l’enfant, entraînant des résultats permanents et parfois mortels.

    3. Le vaccin antigrippal – contient jusqu’à 50 000 parties par milliard de mercure, en plus du formaldéhyde, du glutamate monosodique et de l’aluminium. Peut provoquer des avortements et des fausses couches chez les femmes enceintes. 

    4. Les antibiotiques – anéantissent les bonnes bactéries intestinales et diminuent fortement le système immunitaire. Les médecins prescrivent de manière inappropriée les antibiotiques pour des infections virales et aggravent les choses!

    5. Le vaccin contre le VPH (papillomavirus humain) – connu pour envoyer des adolescents dans un choc anaphylactique et des comas. Des milliers de familles ont poursuivi les fabricants pour des millions de dollars pour des dommages de santé chroniques et permanents.

    6. La chimiothérapie – anéantit le système immunitaire et conduit souvent le corps à former de nouveaux cancers, en particulier dans le sang. Les scientifiques nazis savaient dans les années 1950 que la chimiothérapie ne fait que diminuer temporairement le cancer, pour revenir en force dans d’autres parties du corps! (Pourtant, la médecine occidentale appelle cela un succès)

    7. Le vaccin contre le rotavirus « RotaTeq » – ce vaccin (oral) extrêmement toxique contient des souches de rotavirus VIVANT(G1, G2, G3, G4 et P1), ainsi que du polysorbate 80 hautement toxique et du SERUM BOVIN FETAL. Contient également des parties du circovirus porcin – un virus qui INFECTE LES PORCS.

    8. Le vaccin contre la polio (oral et injecté avec aiguille) – C’est un fait réel, difficile et effrayant que des millions d’Américains ont été injectés avec le CANCER lorsqu’ils ont reçu le vaccin contre la polio. De plus, les versions orales et nasales du vaccin ont répandu la polio en Inde et laissent beaucoup d’enfants paralysés à vie.

    Bien sûr, les gens sont paranoïaques à propos des maladies infectieuses et pour une bonne raison. L’industrie médicale américaine a exacerbé les cas les PLUS GRAVES enregistrés pour effrayer tout le monde afin d’injecter leurs cancérogènes connus pour leur « protection ». C’est du racket et c’est illégal, mais les fabricants de vaccins sont à l’abri des procès, protégés par une énorme caisse noire et leur propre tribunal secret. Si vous et votre enfant êtes gravement blessés par des vaccins, vous NE POUVEZ PAS poursuivre le fabricant du vaccin. Vous devrez aller à l’Office of Special MASTERS de la Court of Federal Claims des États-Unis, qui est communément appelé le très secret « Tribunal des vaccins ». Ce « tribunal » corrompu administre un régime d’indemnisation post-vaccinale sans égard à la faute (oui, vous avez bien lu), qui sert d’alternative aux droits constitutionnels des citoyens. Établi en 1986, après que les compagnies pharmaceutiques ont perdu des énormes profits dans des poursuites médiatiques en raison de vaccins qui ont gravement endommagé un certain nombre d’enfants, qui ont souffert de convulsions et de lésions cérébrales, liés au vaccin DTP.

    Avant que vous n’envisagiez d’avaler ou d’injecter encore une fois des produits chimiques toxiques appelées « médicaments », allez voir au moins un naturopathe et découvrez si le ou les problèmes de santé reposent sur la nutrition, parce qu’il y a des chances que ce soit le cas !

     

     

     

     

     

     

    Sources : www.naturalnews.com

              sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Le virus du VIH a été complètement éliminé du sang

    d’un patient britannique

     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Selon des données statistiques de l’ONU, le nombre d’infectés par le VIH dépasse les 36 millions en 2015. Si son efficacité se confirme, ce traitement pourrait être un espoir pour beaucoup.

    L’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) est peut-être l’une des maladies les plus craintes par toute la population au niveau mondial.

    Cela arrive quand le VIH arrive à infecter les cellules du système immunitaire, en altérant ou en annulant complètement leur fonctionnement, ce qui empêche qu’elles combattent les infections et les maladies.

    Après avoir été contaminé, le patient-e peut ignorer qu’il en souffre car, au début, les symptômes importants ne se manifestent pas, ou alors on ne souffre que d’une brève période de grippe.

    Cependant, plus la maladie avance, plus le système immunitaire se fragilise et le risque d’infections respiratoires augmente considérablement, ainsi que celui des tumeurs et d’autres pathologies chroniques.

    Le principal mode de transmission sont les relations sexuelles non protégées avec une personne touchée. Toutefois, on peut également le contracter par :

    • La transfusion de sang contaminé.
    • L’utilisation d’aiguilles ou de scalpels infectés.
    • Une mère infectée qui contamine son enfant pendant la grossesse, l’accouchement ou l’allaitement.

    Depuis sa découverte et jusqu’à aujourd’hui le VIH a représenté un défi pour la communauté médicale et scientifique, non seulement pour les différentes manières qu’il affecte les patients, mais également pour la difficulté à le contrôler et son traitement.

    De fait, malgré les avancées très significatives, il n’existe pas encore de traitement définitif pour les personnes touchées.

    Cependant, tout serait sur le point de changer grâce à une nouvelle avancée qui augmente les espoirs.

    La fin du VIH ? Un groupe de scientifiques britanniques est très proche du remède

    scientifiques-britanniques-ont-elimine-vih-patient-britannique

    Le virus du VIH a disparu complètement du sang d’un patient britannique âgé de 44 ans dont l’identité n’a pas été révélée.

    Le traitement fait partie d’un travail expérimental dans lequel sont impliquées des universités prestigieuses du Royaume-Unis comme Oxford, Cambridge, Imperial College de Londres, University College de Londres et King’s College de Londres.

    La première phase consiste à modifier le virus pour qu’il puisse être détecté par le système immunitaire du corps. Ensuite, il génère les anticorps nécessaires pour l’éliminer du sang.

    Pour le moment il est testé sur une cinquantaine de patient-e-s, mais les médecins attendent beaucoup des résultats.

    Le cas de cet homme est le premier à avoir démontré la disparition complète du virus.

    etude-preliminaire

    Malgré cela, les experts signalent qu’il est encore trop tôt pour célébrer le traitement définitif car il faut répéter les examens sur le patient assez régulièrement pour vérifier que le virus ne revienne pas.

    De la même manière ils rappellent que le VIH est un virus qui peut très bien se cacher, c’est pourquoi on arrive à le détecter seulement quelques mois après la contagion initiale.

    « Il s’agit d’une des premières tentatives sérieuses d’une cure complète du VIH. Nous explorons la possibilité réelle de le traiter.

    C’est un grand défi et, même s’il est encore trop tôt, le progrès est notable », a dit Mark Samuels, directeur général de l’Institut National de la Santé britannique.

    En quoi consiste la nouvelle thérapie ?

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    L’une des grandes difficultés qui existe pour les scientifiques quant au développement de la maladie c’est la détection du virus.

    Il a la capacité de s’annexer aux cellules T, lesquelles se transforment en son principal moyen de reproduction.

    Un traitement porteur d’espoir

    S’il existe bien au moins deux autres cas de patients guéris du VIH, ce cas est assez spécial car, en offrant ces résultats, il pourrait être appliqué à des millions de porteurs du virus qui existe dans le monde.

    Selon des estimations de l’ONU, le nombre d’infectés en 2015 avait grimpé à plus de 36 millions et il s’agit d’un des problèmes de santé publique les plus graves.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 signes surprenants du cancer du poumon à ne pas négliger

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Certaines gênes en lien avec le cancer du poumon, comme la toux persistante ou la fragilité musculaire, peuvent passer inaperçues car elles sont considérées comme normales ou sont associées à une activité habituelle.
     

    Le cancer du poumon est l’un des types de cancer qui cause le plus de morts dans le monde entier. Contrairement à ce que l’on pense, il ne se déclare pas uniquement chez les personnes qui fument. 

    Ce type de cancer se développe également chez les non fumeurs car ils sont exposés à d’autres facteurs déclencheurs, tels que :

    • La pollution de l’air
    • Être fumeur passif
    • L’exposition à des chimiques comme l’asbeste ou le radon

    La douleur dans la poitrine est l’un des principaux symptômes mais il ne faut pas négliger les autres signes du cancer du poumon.

    Selon l’étape à laquelle se trouve cette maladie, on peut expérimenter les symptômes suivants.

    La confusion des signes du cancer du poumon

    Certaines gênes qui peuvent être un avertissement de ce type de cancer peuvent passer inaperçues ou être confondues avec une autre maladie.

    On les attribue souvent à un rhume courant ou à la fatigue due à une activité en particulier.

    Pourtant, tenir compte immédiatement des premiers symptômes augmente l’efficacité du traitement.

    Voici les symptômes.

    1. La toux persistante

    C’est souvent une toux sèche qui est parfois accompagnée de sang. Il peut aussi y avoir de la morve de couleur rouge.

    Si la toux dure pendant plus d’un mois et génère des ronflements ou une voix rauque, mieux vaut consulter un spécialiste des voies respiratoires pour faire des tests et écarter la possibilité d’un cancer du poumon.

    Beaucoup de gens oublient et négligent ce symptôme car il est très gênant de faire des examens. Cependant, pensez que plus vous les ferez tôt, plus vos doutes se dissiperont rapidement.

    2. Les infections chroniques

    Vous avez remarqué que la bronchite vous affecte plus souvent sans cause apparente ? Dans ce cas, demandez à votre médecin qu’il vous fasse un check-up complet.

    Ce qui doit impérativement tirer la sonnette d’alarme, ce sont les douleurs dans la poitrine. Ces douleurs ne sont jamais communes.

    • On pense souvent que la douleur dans la poitrine n’a qu’un lien avec les problèmes de cœur.
    • Si votre cardiologue a écarté cette possibilité, vous devriez demander à votre médecin qu’il évalue vos poumons.

    3. La perte de poids

    Si vous avez perdu du poids sans rien changer dans votre régime alimentaire ni avoir débuté un programme d’exercices, vous devez réfléchir à la cause de ce changement.

    Même si à première vue, cela peut sembler génial, avec le temps, cela peut représenter un grand problème.

    4. La douleur des os

    C’est un signe de cancer du poumon qui se présente quand la maladie s’est déjà propagée dans d’autres parties du corps. En général, le dos et les hanches sont les zones qui sont les plus affectées.

    Certaines personnes voient ce symptôme comme quelque chose de commun, surtout quand on est âgé. Mais quel que soit votre âge, vous devez vous assurer que la douleur des os ne cache rien de grave.

    5. L’inflammation du cou et du visage

    Cela arrive quand la tumeur fait pression sur la veine cave, qui est celle qui transporte le sang de la tête et des bras jusqu’au cœur.

    L’inflammation apparaît car la circulation sanguine est plus lente que la normale. Vous ne parviendrez pas à éliminer l’inflammation avec des massages ou d’autres alternatives.

    6. La fragilité musculaire

    C’est un signe du cancer du poumon qui affecte les hanches, les bras, les épaules et les jambes. Il est fréquent de ressentir de la fragilité et un manque de force, ce qui fait que les activités du quotidien deviennent difficiles à réaliser.

    7. De forts niveaux de calcium

    Dans certains types de cancer du poumon, les taux de calcium augmentent et l’afflux sanguin est plus fort. Cela produit les symptômes suivants :

    • La miction fréquente
    • La constipation
    • La soif excessive
    • Les nausées
    • La douleur d’estomac
    • Les nausées

    La seule manière de vérifier et d’être sûr de ce qui arrive dans l’organisme est de réaliser un test sanguin.

    8. La respiration forcée

    Vous ronflez lorsque vous dormez ? Les tâches les plus courantes que vous faisiez avant vous semblent compliquées ? Marcher rapidement vous coupe le souffle alors qu’avant ce n’était pas un problème ?

    Le cancer du poumon affecte la capacité aérobic et vous devez consulter un médecin pour qu’il vous fasse des tests.

    Il n’y a que lui qui pourra déterminer si vous souffrez d’un problème grave ou si la respiration forcée est le fruit de l’âge ou du manque d’activité physique.

    Restez alerte face à tout changement inattendu

    Comme vous le voyez, certains signes peuvent être des symptômes d’autres problèmes que le cancer du poumon.

    Ce qui est important, c’est de rester attentif à tout changement dans votre corps qui ne soit pas le produit d’une modification du régime alimentaire, de l’activité physique ou d’un traitement.

    Si vous détectez l’un de ces changements, mieux vaut consulter votre médecin pour qu’il évalue ses causes.

    Dans le meilleur des cas, ce sera une fausse alerte mais cela peut aussi être l’opportunité de détecter cette maladie ou une autre à temps.

    Souvenez-vous que le cancer est une maladie dont le diagnostic précoce augmente les possibilités de bénéficier d’un traitement qui réussit.

    Évitez aussi l’exposition à des facteurs cancérigènes comme la fumée du tabac et autres agents chimiques toxiques.

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 16 signes qui montrent que vous souffrez d’hypothyroïdie

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Bien que certains symptômes de l’hypothyroïdie coïncident avec ceux d’autres pathologies, si nous en présentons plusieurs à la fois il faut absolument aller consulter un-e spécialiste afin de recevoir un diagnostique adapté.

    La glande thyroïde se trouve dans le cou, devant la trachée. Il s’agit d’un petit organe en forme de papillon qui exerce un rôle fondamental dans le fonctionnement de l’organisme.

    Elle stocke et libère les hormones thyroïdiennes essentielles pour les tissus et les organes de notre corps.

    Cette glande peut présenter deux disfonctionnements : l’hyperthyroïdisme, lorsqu’elle produit un excès d’hormones, et l’hypothyroïdisme, lorsqu’il y a un déficit.

    Ci-dessous nous allons vous indiquer les signes qui montrent que vous souffrez d’hypothyroïdisme.

    Qu’est-ce que l’hypothyroïdisme ?

    L’hypothyroïdie, également appelée thyroïde hypoactive, se présente lorsque la glande thyroïde diminue son activité fonctionnelle.

    Cette glande cesse de produire les hormones thyroïdiennes nécessaires, ce qui ralentit le métabolisme.

    Si on laisse passer le temps et que l’on ne s’occupe pas de ce problème, il peut générer un problème de santé délicat.

    De plus, le problème étant que les personnes souffrant d’hypothyroïdie n’arrivent pas à identifier la maladie, car les symptômes associes peuvent être liés à d’autres pathologies.

    16 signes qui vous montrent que vous souffre d’hypothyroïdie

    Comme ses signes sont très fréquents et qu’ils peuvent être dus à d’autres maladies, il est important de connaître l’ensemble des symptômes de cette altération métabolique.

    Il est recommandé, si vous présentez plusieurs des symptômes que nous allons mentionner ci-dessous, d’aller consulter votre médecin, de solliciter un diagnostique et un traitement postérieur.

    1. Constipation

    Si vous souffrez de constipation malgré une alimentation à base de fibres et de boire beaucoup d’eau, il est possible que cela soit dû à un dérèglement lié à cette glande.

    2. Variations de la couleur de la peau

    Les patients souffrant d’hypothyroïdie ont la peau sèche, pâle et au teint jaunâtre. De plus elles peuvent présenter une chute de cheveux et des ongles fragiles.

    3. Fatigue physique

    Si vous remarquez que vous êtes constamment fatigué-e sans avoir pratiqué d’activité physique significative vous devez aller consulter votre médecin afin qu’il vous fasse les examens nécessaires.

    4. Rétention d’eau

    Si vous vous sentez gonflé le matin et, surtout, si vous sentez votre visage gonflé, des poches sous les yeux et un air fatigué, il se peut que vous fassiez de la rétention d’eau.

    De la même manière, il est possible de présenter un inflammation des mains et des pieds.

    5. Intolérance au froid

    La personne affectée par l’hypothyroïdie a constamment froid, même lorsqu’il fait chaud et que les températures sont élevées.

    6. Prise de poids ou perte de poids

    Il est possible que vous preniez du poids même si vous faites attention à votre alimentation.

    De même il est possible de présenter le cas contraire, lorsque nous ne prenons pas de poids, peu importe ce que nous mangeons, même si ce sont de grandes quantités d’hydrates de carbone, de fibres et de vitamines.

    7. Manque de concentration

    Lorsque l’hypothyroïdie est très avancée, il n’est pas possible de se concentrer et nous avons une mauvaise mémoire.

    8. Maux de tête

    L’hypothyroïdie peut être la cause sous-jacente lorsque nous souffrons de maux de tête ou de migraines sans motifs apparents.

    9. Double menton

    L’une des caractéristiques de l’hypothyroïdie est le double menton.

    Cela ressemble à une boule accrochée au cou, devant la trachée. Ce que l’on voit est tout simplement la glande hypertrophiée.

    10. Grande soif

    Malgré la rétention d’eau, nous avons très soif. De la même manière, la peau est sèche et terne.

    11. Manque de poils dans les sourcils

    Voici une autre caractéristique de l’hypothyroïdie, le manque de poils dans les sourcils.

    Comme il existe peu d’informations sur les symptômes de cette maladie, très peu de personnes savent que ceci est le signe d’un problème métabolique.

    12. Difficultés à tomber enceinte

    A cause des menstruations anormales provoquées par cette pathologie, il est possible de présenter des problèmes de fertilité.

    13. Apathie et indifférence

    L’hypothyroïdie provoque l’apathie, l’indifférence, le découragement et la somnolence. Les personnes affectées ne ressentent que peu d’enthousiasme à réaliser les activités normales du quotidien et peuvent finir par souffrir d’une dépression.

    14. Arythmie

    Ce problème peut provoquer de la bradycardie qui, si elle n’est pas traitée, peut dériver en attaque cardiaque. L’arythmie ou battement irrégulier peut également être due à une complication thyroïdienne.

    15. Problèmes de santé variés

    L’hypothyroïdie peut provoquer des variations dans la pression artérielle, qu’elle soit forte ou faible, des taux élevés de cholestérol et des douleurs musculaires et articulaires.

    16. Diminution du désir sexuel

    L’hypothyroïdie provoque une diminution de la libido. Si vous présentez ce problème, il est recommandé d’aller consulter un médecin afin qu’il confirme si ce symptôme est lié à ce problème.

    Peut-on prévenir l’hypothyroïdie ?

    Jusqu’à aujourd’hui nous n’avons pas encore trouvé le moyen de prévenir cette maladie.

    Le plus recommandé est de contrôler le niveau d’iode dans l’alimentation et de l’adapter à une quantité qui n’affecte pas les glandes thyroïdes.

    Cherchez une aide médicale afin d’adopter une alimentation faible en iode.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 11 raisons pour lesquelles les vaccins contre la grippe

    sont plus dangereux qu’une grippe

     

     

     

     

    vaccin-grippe

    Le verdict est tombé sur le vaccin contre la grippe. De nombreux experts médicaux s’accordent aujourd’hui sur le fait qu’il est plus important pour vous et votre famille de vous protéger du vaccin contre la grippe que de la grippe elle-même.

     

    Chaque année, l’industrie pharmaceutique, les experts médicaux et les principaux médias travaillent dur pour nous convaincre de se faire vacciner contre la grippe. Mais on ne nous dit pas toute l’histoire. Ce que nous n’entendons pas, ce sont des cas sur les effets indésirables ou sur les produits chimiques toxiques qu’on nous injecte.

    1. En fait le vaccin contre la grippe rend malade pour commencer

    Avez-vous déjà remarqué comment les enfants vaccinés tombaient malades, presque immédiatement après une vaccination? C’est parce que le virus de la grippe est introduit dans le corps. Alors plutôt que de vacciner, le vaccin contre la grippe sensibilise seulement le corps contre le virus. Et le fait qu’il rende des personnes malades après la vaccination indique une immunosuppression (suppression médicale du système immunitaire).

    2. Les vaccins antigrippaux contiennent d’autres ingrédients dangereux tels que le mercure

    L’industrie pharmaceutique, les experts médicaux et les grands médias sont sincères en nous disant que les vaccins contre la grippe contiennent des souches du virus de la grippe. Ce qu’ils sont moins susceptibles de nous révéler, c’est la longue liste des autres ingrédients qui viennent avec le vaccin. On sait désormais que les vaccins contre la grippe contiennent du mercure, un métal lourd connu pour être dangereux pour la santé humaine. La toxicité du mercure peut causer la dépression, perte de mémoire, maladies cardiovasculaires, problèmes respiratoires, problèmes de santé bucco-dentaire, déséquilibres digestifs et d’autres problèmes de santé graves.

    3. Le vaccin contre la grippe peut causer la maladie d’Alzheimer

    Maintenant, des preuves indiquent que les vaccins contre la grippe peuvent causer la maladie d’Alzheimer. Des recherches menées par le Dr Hugh Fudenberg, spécialiste en immunologie, montrent que ceux qui font régulièrement le vaccin contre la grippe augmentent leur risque d’avoir la maladie d’Alzheimer par 10. Il croit que cela est dû à la combinaison toxique de l’aluminium et du mercure dans le vaccin. En outre, le fait de le faire à une personne âgée (qui avec l’âge va naturellement avoir un système immunitaire plus faible) ne fera qu’augmenter ses chances d’avoir cette maladie.

    4. Les mêmes personnes qui poussent à se faire vacciner contre la grippe se font des milliards de dollars chaque année

    En Août 1999, le Comité sur la réforme du gouvernement a lancé une enquête sur la politique fédérale de vaccination. Cette enquête a porté sur d’éventuels conflits d’intérêt de la part de la Food and Drug Administration (FDA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC). L’enquête a conclu que de nombreuses personnes siégeant dans les deux principaux comités consultatifs avaient des liens financiers avec les compagnies pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins. Souvent, on a accordé des dérogations à ces personnes pour participer pleinement aux discussions qui ont abouti à des recommandations en matière d’homologation des vaccins et de vaccins pour l’immunisation des enfants. Ce qui en soi crée de sérieux doutes quant à la réelle efficacité des vaccins contre la grippe.

    5. Manque de preuves réelles alors que même les jeunes enfants bénéficient de vaccins contre la grippe

    51 études impliquant 260 000 enfants âgés de 6 à 23 mois ont établi qu’aucune preuve que le vaccin contre la grippe n’était plus efficace qu’un placebo. En outre, les vaccins contre la grippe ne protègent que contre certaines souches du virus ce qui signifie que vous pouvez encore facilement attraper la grippe si vous entrez en contact avec une souche différente du virus.

    6. Le vaccin vous rend plus sensible à la pneumonie et à d’autres maladies contagieuses.

    Pour quelqu’un qui a un système immunitaire déjà affaibli, l’injection de souches du virus de la grippe peut avoir des conséquences dévastatrices. Si votre corps est déjà au travail pour lutter contre un virus ou qu’il fonctionne simplement avec une faible immunité, l’injection d’un vaccin pourrait l’exposer gravement à contracter la grippe avec des symptômes plus forts, ou encore pire la pneumonie et d’autres maladies contagieuses.

    7. Troubles vasculaires

    La recherche médicale montre que les vaccins contre la grippe sont associés à un risque accru d’inflammation vasculaire. Les symptômes comprennent notamment la fièvres, des douleurs de la mâchoire, des douleurs musculaires, des douleurs et des raideurs dans le cou, les bras, les épaules et les hanches et des maux de tête.

    8. Les enfants de moins de 1 an courent un risque

    Les enfants de moins de 1 an sont très vulnérables à une violation du centre nerveux sensible qui entoure le cerveau et le système nerveux central. Le premier vaccin contre la grippe est administré à l’âge de 6mois. Un enfant de moins de 1 manque de protection pour se prémunir contre une détérioration prématurée de la barrière hémato-encéphalique.

    9. Risque accru de narcolepsie

    Il y a eu des dizaines de cas signalés d’enfants dans 12 pays différents qui ont développé la narcolepsie (un trouble du sommeil chronique) après avoir reçu le vaccin contre la grippe. L’étude, qui eut lieu entre Octobre 2009 et Décembre 2011, a comparé 3,3 millions de Suédois vaccinés avec 2,5 millions de personnes qui n’ont pas été vaccinées. Le risque a été jugé plus élevé chez les plus jeunes qui se sont fait vacciner. Pour les moins de 21 ans, le risque de contracter la narcolepsie était trois fois plus élevé.

    10. Il affaiblit les réactions immunologiques

    Il ya eu des milliers d’articles de revues médicales qui ont publiées que les vaccins conduisent à des réactions immunologiques nocives et une foule d’autres infections. En outre, les réponses immunologiques affaiblissent et diminuent la capacité d’une personne à combattre les maladies que le vaccin était censé nous protéger.

    11. Troubles neurologiques graves

    Des preuves indiquent maintenant que les ingrédients qui sont dans les vaccins contre la grippe peuvent effectivement causer des troubles neurologiques graves. En 1976, un nombre important de ceux qui ont reçu le vaccin contre la grippe on eu le syndrome de Guillain-Barré (SGB), une affection caractérisée par des lésions nerveuses permanentes et même la paralysie. Les vaccins antigrippaux peuvent contenir de nombreux composants nocifs, y compris des détergents, du mercure, du formaldéhyde et des souches de virus vivant de la grippe.

     

     

     

     

     

    Sources :

    H1N1 Vaccine Ingredients and Warnings

    H1N1 Expert Says Scientists Are Clueless About Immune Reactions to Vaccinations

    Study Again Finds Narcolepsy Risk With H1N1 Flu Vaccine

    Inflammatory Response After Influenza Vaccination in Men With and Without Carotid Artery Disease

    Conflicts of Interest in Vaccine Policy Making

    VRM: 5 Reasons Not To Get The Flu Shot

    Is Your Child High-Risk for an Adverse Vaccine Reaction?

    Natural Alternatives to the Flu Shot Prove Just as Effective

    sante-nutrition.org

     

    Credits: Whydontyoutrythis, Swagactu

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 causes potentielles de l’insuffisance cardiaque congestive

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    L'insuffisance cardiaque congestive peut apparaître comme une conséquence de différentes maladies qui, a priori, n'ont pas de relation directe avec la santé de notre cœur.
     

    L’insuffisance cardiaque est un trouble chronique qui se développe lorsque notre cœur présente des difficultés à pomper le sang vers toutes les parties de notre corps. 

    Lorsqu’elle survient, l’oxygénation des cellules devient plus compliquée.

    Elle peut affecter seulement un des deux côtés du cœur, mais elle peut aussi toucher l’intégralité de cet organe.

    Au fur et à mesure qu’elle se développe, le sang peut s’accumuler dans certaines zones du corps, ce qui augmente la rétention d’eau et peut impacter négativement d’autres organes.

    Des parties importantes de notre corps, comme nos poumons, notre foie et notre tractus gastro-intestinal, peuvent déclencher une réponse inflammatoire, par exemple.

    L’insuffisance cardiaque congestive n’est pas facile à détecter dans les premiers moments de sa survenance, car elle n’entraîne pas de symptômes clairs et évidents. Mais, plus elle progresse, plus la personne touchée a des difficultés à respirer, ressent de la fatigue, a un pouls irrégulier et souffre de divers problèmes de santé.

    De plus, dans la majorité des cas, elle survient en conséquence de l’apparition d’autres pathologies cardiovasculaires qui n’ont pas été correctement soignées.

    Dans la suite de cet article, nous allons partager avec vous 7 causes potentielles de cette pathologie que nous devons prendre très au sérieux.

    1. Une maladie des artères coronaires

    La maladie des artères coronaires se produit lorsque des plaques de graisse s’accumulent dans les parois des artères qui mènent directement au cœur.

    Cette condition est très dangereuse, car elle peut bloquer totalement le flux sanguin et, dans les cas les plus graves, entraîner une crise cardiaque.

    Cette attaque peut causer la mort de la personne qui en souffre, même si lorsque les cas sont pris à temps, les patients ont de bonnes chances de survie.

    Un fort taux de cholestérol, de l’hypertension artérielle et du diabète augmentent de manière considérable le risque de souffrir de ce problème.

    2. L’hypertension artérielle

    L’hypertension artérielle se produit lorsque la pression augmente dans le flux sanguin qui traverse les artères coronaires.

    C’est un problème de santé publique dans la plupart des pays du monde, car il touche des millions de personnes et qu’il peut être mortel.

    Il s’agit d’un trouble asymptomatique, qui peut présenter des complications graves et létales, si un traitement adéquat n’est pas rapidement prescrit aux patients qui en souffrent.

    Il est fondamental de maintenir l’hypertension artérielle sous contrôle pour éviter des problèmes cardiaques graves, des troubles rénaux et des difficultés cognitives.

    3. La cardiomyopathie dilatée

    La cardiomyopathie dilatée est une maladie progressive du muscle cardiaque qui se caractérise par une dilatation ventriculaire.

    C’est la troisième cause la plus fréquente de l’insuffisance cardiaque congestive et l’une des raisons les plus habituelles des transplantations cardiaques.

    Son principal facteur de risque réside dans l’hérédité, mais elle peut aussi être provoquée par des infections et une forte exposition à des toxines dangereuses.

    4. Les pathologies thyroïdiennes

    Les changements métaboliques et hormonaux qui sont expérimentés par les patient-e-s qui souffrent de troubles thyroïdiens sont étroitement liés à l’augmentation du risque d’insuffisance cardiaque.

    L’hypothyroïdie et l’hyperthyroïdie peuvent provoquer des changements dans le système cardiovasculaire et dans la circulation sanguine, qui peuvent endommager le muscle cardiaque.

    En règle générale, elles se manifestent à travers une série de symptômes internes et externes qui facilitent leur détection et leur mise sous contrôle.

    5. Les troubles rénaux

    Même si beaucoup de gens l’ignorent, un bon fonctionnement rénal peut avoir un impact fondamentalement positif sur la santé cardiovasculaire, lymphatique et circulatoire.

    A l’inverse, lorsque les reins sont malades, ils ne peuvent plus filtrer de manière optimale les toxines et ne sont plus capables d’équilibrer les sels minéraux.

    A cause de cela, des problèmes de pression artérielle peuvent apparaître. Les pathologies rénales peuvent également augmenter le risque de survenance du diabète, de crises cardiaques et de problèmes urinaires.

    Les maladies rénales aiguës et chroniques figurent parmi les principales responsables de l’insuffisance cardiaque à l’âge adulte.

    6. Le diabète

    Le diabète est une maladie qui se caractérise par l’augmentation des niveaux de glucose dans le sang, que ce soit à cause d’une résistance du corps à l’insuline, ou de l’absence de production naturelle de cette hormone régulatrice.

    L’insuline, sécrétée par le pancréas, est chargée de maintenir le sucre sous contrôle dans l’organisme, et de le transformer en une source d’énergie.

    Les patients diabétiques doivent être surveillés par leur médecin, car l’avancée de cette maladie peut provoquer des dommages oculaires, des dysfonctionnements du système nerveux et des problèmes cardiaques.

    7. L’hémochromatose

    L’hémochromatose est une maladie héréditaire qui se caractérise par une accumulation anormale de fer dans les tissus et les organes du corps.

    Comme ce minéral ne peut être métabolisé de manière correcte, il devient un véritable produit toxique pour les organes comme le foie, le cœur et le pancréas.

    Ces complications engendrent des maladies de la thyroïde, du diabète, de l’insuffisance cardiaque et d’autres pathologies graves, qui affectent sans aucun doute la qualité de vie des personnes qui en souffrent.

    Le contrôle et le traitement opportun de toutes ces pathologies est déterminant pour éviter l’insuffisance cardiaque congestive.

    Face au moindre doute, nous vous conseillons de consulter votre médecin sans plus attendre.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Conseils pour un cerveau en bonne santé

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    N'oublions pas qu'un cerveau en bonne santé est fondamental pour profiter d'une vie agréable. Aussi bien l'alcool, que le tabac et le stress, nuisent à cet organe de manière considérable.
     

    Nous savons tous qu’il est important d’avoir un cerveau en bonne santé. Cependant, nous nous concentrons souvent sur les soins apportés au foie, à l’estomac, aux poumons ou à tout autre organe, et nous négligeons le cerveau. 

    Peu de personnes considèrent l’importance d’en prendre soin et oublient qu’il peut être affecté. Il faut savoir qu’il peut être endommagé. C’est en effet l’un des organes les plus importants du corps.

    Le cerveau est tout simplement ce qui vous fait être vous. Sans lui, à la différence de nombreux organes, nous ne pouvons pas vivre.

    Il est tellement important que n’importe quel dommage peut engendrer un grave problème qui dure toute la vie. Nous allons ici vous donner quelques conseils pour avoir un cerveau résistant et en bonne santé.

    1. Une bonne alimentation

    Peu de gens voient le lien entre le cerveau et le système digestif, et ne comprennent pas comment les mauvaises décisions dans l’alimentation peuvent les affecter.

    Mais le cerveau est fortement impacté par ce que nous mangeons. Vous avez donc besoin de bien vous alimenter pour avoir un cerveau en bonne santé.

    Vous devez comprendre qu’à chaque fois que vous alimentez votre corps, il y a des réactions chimiques qui affectent tout votre organisme.

    • Si votre régime alimentaire est riche en farines, comme les pâtes ou le pain, vous avez plus tendance à vous endormir car ces aliments génèrent des hormones de fatigue et de sommeil.

    Vous devez donc manger très peu d’aliments forts en farines et augmenter votre consommation de légumes, de protéines et de fruits.

    Bien sûr, nous ne disons pas qu’il faut arrêter de manger sa pizza préférée. Mais comprenez que la meilleure manière d’avoir un cerveau en bonne santé est de manger équilibré et sans excès.

    2. Faites de l’exercice chaque jour

    L’exercice réalisé régulièrement ne réduit pas seulement le risque de souffrir de maladies neurodégénératives mais peut aussi retarder l’avancement de maladies existantes, comme Alzheimer.

    • L’exercice peut améliorer vos niveaux d’énergie, votre sensation de bien-être, votre sommeil et la santé de votre cerveau.
    • De plus, le risque de dépression et d’anxiété est réduit.

    Pour avoir un cerveau en bonne santé, commencez par vous concocter un programme sportif. Il est très simple de commencer par des marches de 30 minutes, que l’on peut augmenter progressivement.

    3. Dites adieu aux vices pour un cerveau sain

    Les substances qui altèrent le moral, comme les drogues et la cigarette, peuvent affecter le fonctionnement de votre cerveau. Elles diminuent aussi votre motivation, nuisent à vos processus cognitifs et altèrent vos émotions.

    • Tout cela nuit à vos pensées car en découlent une réduction de la concentration, de l’attention, de la mémoire et de la capacité à mettre des choses en œuvre.
    • Si vous pensez que fumer est une habitude qui ne vous affecte pas : vous avez tort. Fumer affecte directement vos neurones.
    • De plus, ces habitudes nocives font partie des principales causes de développement de cancers, comme ceux des poumons, de la bouche, de l’estomac ou du foie.

    4. Exercez votre esprit

    Ce monde est plein de technologies, de films, de télé-réalité, de réseaux sociaux et de mille autres choses…

    S’en déconnecter et lire un bon livre, faire des mots croisés ou faire un casse-tête peut être très difficile.

    Il a été découvert que les personnes au faible niveau d’éducation ont plus de risque de développer des maladies cérébrales comme Alzheimer.

    Ces risques se réduisent à mesure que les personnes ont des habitudes qui exercent leur cerveau.

    Ainsi, nous vous invitons aujourd’hui, tout comme une bonne alimentation et des exercices physiques sont indispensables, à vous laisser embarquer par les aventures d’un bon livre.

    Apprenez à vous divertir avec :

    • Des mots croisés
    • Des casses-têtes
    • Une bonne partie d’échecs
    • Des sudokus

    Peut-être qu’ils vous paraîtront un peu ennuyeux au début et que vous voudrez arrêter… Mais ne le faites pas ! Avec un peu d’effort, vous trouverez un passe-temps qui vous détendra, face à la routine et aux préoccupations de la vie quotidienne.

    5. Octroyez-vous des moments de repos dans votre vie agitée

    Notre société évolue à un rythme de plus en plus soutenu, nous laissant peu de temps pour nous détendre et assimiler notre environnement.

    C’est pour cela que vous devez donner du temps à votre cerveau pour assimiler les informations en profondeur, dans le but d’obtenir plus de bienfaits des expériences quotidiennes.

    Au moment de prendre un moment de repos, vous avez plein d’options différentes :

    • Voyager une journée, un week-end ou quelques semaines pour vous déconnecter.
    • Éteignez les réseaux sociaux pendant un moment.

    6. Respectez les horaires de sommeil

    Dormir est non seulement un plaisir, mais aussi un besoin pour notre corps et notre esprit.

    Quand vous dormez, votre cerveau fait une série de réparations et d’assimilations pour rester en bonne santé, aussi bien physiquement  que mentalement.

    Au moment où vous dormez, votre cerveau a la possibilité d’organiser les expériences et les apprentissages de la journée, en créant les souvenirs et en renforçant les neurones en même temps.

    La prochaine fois que vous souhaitez réduire vos heures de sommeil, rappelez-vous que cela infligera des dommages aussi bien à votre corps qu’à votre esprit.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les responsables de l’autisme identifiés :

    toxines, bactéries intestinales, et vaccins

    fabriqués à partir de lignées de cellules de fœtus humains

     

     

     

    Des recherches toujours plus nombreuses indiquent que les troubles du cerveau sont le résultat d’une exposition excessive à des toxines de sources multiples – notamment la mère, lors du développement in utéro.

    Un autre facteur essentiel semble être lié aux bactéries intestinales, qui sont bien entendu perturbées par les expositions toxiques de toutes natures, en provenance de l’alimentation, de l’environnement et de la médecine.

    Plus on en apprend sur les fonctions du microbiome humain, plus on comprend que les bactéries sont probablement responsables d’une grande majorité de nos problèmes de santé.

     

    Les chercheurs confirment le lien entre les troubles intestinaux et l’autisme

    Les chercheurs commencent aujourd’hui à comprendre comment le microbiome d’un enfant peut jouer un rôle, en exacerbant ou même en provoquant des symptômes autistiques. Comme indiqué dans le magazine Scientific American :

    « L’autisme est principalement un trouble de fonctionnement du cerveau, mais la recherche suggère que jusqu’à 9 personnes sur 10 atteintes de la maladie souffrent également de problèmes gastro-intestinaux tels que maladies intestinales inflammatoires et ‘hyper perméabilité de l’intestin’…

    Les scientifiques se sont longtemps demandés si la composition des bactéries présentes dans les intestins, le microbiome intestinal, pouvait être anormale chez les personnes atteintes d’autisme et provoquer certains de leurs symptômes.

    Une série de nouvelles études supportent aujourd’hui cette théorie et suggèrent que la restauration d’un bon équilibre microbien pourrait atténuer certains des symptômes comportementaux de la maladie. »

    C’est en effet exactement ce que le Dr. Natasha Campbell a supposé lorsqu’elle a créé son Programme Nutritionnel du syndrome entéropsychologique, qui est conçu pour restaurer l’intégrité de votre muqueuse intestinale.

    D’après le Dr. Campbell-McBride, la plupart des problèmes du cerveau sont généralement liés à ce qui se passe dans votre système digestif. Elle est également probablement parmi les premières personnes à avoir découvert qu’il y existe un lien très important entre une flore intestinale détériorée chez une femme enceinte et les troubles du développement de son enfant, en particulier l’autisme.

    Chez les enfants atteints du syndrome entéropsychologique (GAPS), les substances toxiques circulant depuis leurs intestins à travers leur organisme jusqu’au cerveau défient leur système nerveux en permanence, l’empêchant de fonctionner normalement et de transmettre les informations sensorielles.

    Le GAPS peut se manifester à travers une variété de symptômes différents, correspondant au diagnostic de l’autisme, du trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH), du trouble du déficit de l’attention (TDA) sans hyperactivité, de la dyslexie, de la dyspraxie ou des troubles obsessionnels compulsifs, entre autres nombreuses possibilités.

    Les enfants autistes possèdent moins de bonnes bactéries et ont un taux plus élevé de toxines

    Au cours d’une expérience menée par des chercheurs de l’Université de l’état de l’Arizona, les selles d’enfants autistes et d’enfants sains ont été comparées pour déterminer la composition de leur flore microbienne. Sans surprise, le nombre de colonies bactériennes était nettement différent d’un groupe à l’autre.

    Une autre étude, publiée l’année passée dans le magazine PLOS One, a découvert également que les enfants autistes présentent un microbiome très différent des enfants sains. Ils possèdent notamment moins de bactéries saines telles que les Bifidobacterium. Les enfants autistes présentaient également un taux nettement plus élevé de composés organiques volatiles toxiques (COV).

    Les auteurs ont suggéré qu’une cure de pre- et probiotiques pourrait être un traitement utile pour restaurer l’équilibre microbien. Ils ont également remarqué que certains indices microbiens pouvaient être des signatures de l’autisme.

    La montée de la psychiatrie nutritionnelle

    L’étude Caltech publiée dans le magazine Cell semble être la première à prouver que les modifications au sein des bactéries intestinales peuvent directement influencer l’autisme. Une précédente recherche a montré que les probiotiques peuvent être utilisés comme traitement alternatif aux antidépresseurs chez les personnes souffrant de dépression et d’anxiété.

    Nous sommes en fait en train d’assister aujourd’hui à l’émergence de la « psychiatrie nutritionnelle », ce qui est à mon sens un grand pas en avant. Dans un article publié dans le Journal of Physiological Anthropology en début d’année, les auteurs débattent de l’importance des aliments fermentés pour la santé mentale.

    Ils soulignent que la fermentation produit une variété de composés phytochimiques et de flavonoïdes qui sont rares dans l’alimentation humaine et qui peuvent rapidement modifier en bien le profil microbien de vos intestins. Voici ce qu’ils écrivent :

    « [L]a consommation d’aliments fermentés peut être particulièrement intéressante dans les recherches émergentes liant les pratiques diététiques traditionnelles à une bonne santé mentale. La mesure dans laquelle les éléments diététiques traditionnels peuvent atténuer l’inflammation et le stress oxydatif peut être contrôlée, jusqu’à un certain point au moins, par le microbiote.

    La carence en fer augmente également le risque d’autisme

    Sur le même sujet, une autre étude récente suggère que les femmes de plus de 35 ans et présentant une carence en fer pendant leur grossesse, parallèlement à un trouble du métabolisme, ont un risque cinq fois plus élevé d’avoir un enfant autiste. D’après The Scotsman :

    « Un faible apport en fer est associé avec un risque plus élevé si la mère a 35 ans ou plus à la naissance de l’enfant ou si elle souffre d’un trouble métabolique tel qu’hypertension, obésité ou diabète. »

    Il y a trois ans, la professeure assistante Rebecca Schmidt, de l’université de Californie, a rapporté une association entre la supplémentation en acide folique et une réduction du risque d’autisme. Dans sa dernière étude, il a été découvert que les apports en fer de la mère pendant la grossesse jouent également un rôle.

    Autisme et cancer pourraient avoir un lien avec l’ADN fœtal humain présent dans les vaccins

    Jusqu’à présent, les preuves ont pointé du doigt la toxicité environnementale, les troubles gastro-intestinaux et certaines carences nutritionnelles comme facteurs d’autisme. Mais il faut évoquer également la question des dommages provoqués par les vaccins. Une étude publiée dans le numéro de septembre 2014 du Journal of Public Health and Epidemiology a révélé une importante corrélation entre l’autisme et trois vaccins spécifiques :

    • ROR (rougeole, oreillons, rubéole)
    • Varicelle
    • Vaccins contre l’hépatite A

    Le nombre de cas d’autisme augmente chaque fois qu’un vaccin utilisant des lignées de cellules fœtales humaines est commercialisé

    Le principal élément déclencheur fût l’introduction des vaccins fabriqués à partir de lignées de cellules fœtales humaines et de contaminants rétroviraux. La lignée de cellules en question est appelée WI-38. D’après les auteurs, le nombre de cas d’autisme a nettement augmenté chaque fois qu’un autre de ces vaccins a été lancé.

    Aux États-Unis, le nombre de cas d’autisme a fait un bon en 1980 et 1981 suite à l’approbation du MeruvaxII et du MMRII, tout deux fabriqués à partir de la lignée de cellules fœtales humaines WI-38. Un autre bon de la prévalence de l’autisme a eu lieu en 1988, correspondant à trois facteurs :

    • L’ajout d’une seconde dose de MMRII
    • Une campagne de vaccination contre la varicelle très réussie qui a fait passer le taux de vaccination de 50 à 82 % entre 1987 et 1989
    • L’introduction du Poliovax en 1987

    En 1995, le nombre de cas d’autisme fit encore un bon suite à l’introduction du vaccin contre la varicelle Varivax. En conclusion, les auteurs indiquent que « l’augmentation de la prévalence des troubles autistiques est directement liée à la fabrication des vaccins à base de cellules fœtales humaines. » La période au cours de laquelle cette étude accablante a été conduite est troublante.

     

    Fin août, le Dr. William Thompson, un chercheur scientifique du National Center for Immunizations and Respiratory Diseases (NCIR), faisant partie du CDC (centre américain de prévention et de contrôle des maladies), déclarait que le CDC avait caché l’existence d’un lien entre vaccin et autisme à propos du vaccin MMR.

    Le protocole GAPS pourrait être la clé du ‘traitement’ de l’autisme

    Au cours de ses recherches, le Dr. Campbell-McBride a découvert que presque toutes les mères d’enfants autistes ont une flore intestinale anormale, ce qui est significatif car les nouveaux nés héritent leur flore intestinale de leur mère au moment de la naissance.

    Établir une flore intestinale saine dans les 20 premiers jours joue un rôle crucial dans la maturation du système immunitaire d’un bébé. Il est important de comprendre que les bébés qui développent une flore intestinale anormale ont un système immunitaire affaibli, ce qui les rend plus susceptibles de souffrir de réactions aux vaccins.

    Si votre bébé n’a pas une flore intestinale optimale, les vaccins pourraient bien être le « coup de grâce » – le déclencheur qui pousse son système immunitaire à développer des problèmes de santé chroniques.

    La meilleure façon de prévenir le GAPS est pour la mère d’éviter tous les aliments industriels, le sucre, les antibiotiques (de même les viandes provenant des CAFO et les savons antibactériens), et la prise d’une pilule contraceptive avant la conception car tous ces éléments favorisent la croissance des levures et champignons et provoquent également une hyper-perméabilité des intestins.

    De même, il est conseillé d’allaiter son bébé et d’éviter la prise d’antibiotiques pendant et après l’accouchement.

    Il est également judicieux de vous assurer que le microbiome de votre enfant est sain avant toute vaccination. Heureusement, il est possible à peu de frais d’identifier le GAPS dans les premières semaines de vie de votre enfant, ce qui peut vous aider à prendre des décisions plus avisées à propos des vaccins et à propos de la marche à suivre pour mettre votre enfant sur la voie d’une vie saine.

    Le processus complet permettant d’identifier les enfants qui courent le risque de développer un autisme à partir d’un vaccin est décrit dans son livre Gut and Psychology Syndrome, mais pour le résumer, elle commence dans la pratique par rassembler un historique complet de la santé des parents et par évaluer la santé de leurs intestins.

    Puis, pendant ses premiers jours de vie, les selles de l’enfant peuvent être analysées pour déterminer l’état de sa flore intestinale, et ses urines sont analysées également pour vérifier les métabolites, ce qui donne une image d’ensemble de l’état du système immunitaire de l’enfant.

    Il est à mon avis absolument VITAL de faire ces analyses AVANT d’envisager de faire vacciner votre enfant. Si les résultats des tests sont normaux, les risques d’autisme provoqué par la vaccination sont nettement réduits. Ainsi que l’indique le Dr. Campbell-McBride, elle n’a encore jamais rencontré d’enfant autiste présentant une flore intestinale normale.

    Si vous découvrez que votre enfant a une microflore intestinale anormale, ou commence à développer des symptômes d’autisme après un an ou deux, il convient de démarrer le programme GAPS immédiatement, car plus le traitement est commencé tôt, meilleurs sont les résultats.

    Vos bactéries intestinales sont sensibles à votre alimentation et à votre style de vie

    Les aliments industriels et raffinés en général détruisent la flore saine et nourrissent les mauvaises bactéries et les levures, il est donc prioritaire de les éliminer de votre alimentation. Les aliments industriels font de nombreux dégâts dans vos intestins :

    • Tout d’abord, ils sont généralement très riches en sucre, et éviter le sucre (en particulier le fructose) est à mon sens, en me basant sur des preuves, un aspect essentiel de la prévention et/ou du traitement de la dépression. Non seulement le sucre compromet vos bonnes bactéries intestinales en fournissant leur carburant préféré aux bactéries pathogènes, mais il contribue également au développement de l’inflammation chronique à travers tout l’organisme, y compris dans le cerveau.
    • De nombreux aliments industriels contiennent des édulcorants artificiels et d’autres additifs synthétiques qui peuvent sérieusement compromettre la santé du cerveau. D’ailleurs, dépression et crises de panique sont deux des effets secondaires connus de l’aspartame.
    • Les aliments industriels sont en général également riches en céréales raffinées, qui sont transformées en sucre par l’organisme. Le blé , en particulier, a été incriminé dans certains problèmes psychiatriques, allant de la dépression à la schizophrénie, provoquées par l’agglutinine de germe de blé (AGB), à l’action neurotoxique.
    • La majorité des aliments industriels contiennent également des ingrédients génétiquement modifiés (principalement du maïs et du soja), dont il a été démontré qu’ils sont particulièrement nocifs pour les bonnes bactéries. Plusieurs mécanismes nuisibles entrent ici en jeu. En voici des exemples :
      • Consommer du maïs Bt génétiquement modifié peut transformer votre flore intestinale en un genre « d’usine vivante à pesticides », fabriquant essentiellement des toxines Bt à l’intérieur de votre système digestif, en permanence.
      • Les bonnes bactéries intestinales sont très sensibles au glyphosate résiduel (l’ingrédient actif du Roundup). Les mauvaises herbes étant de plus en plus résistantes, les cultures génétiquement modifiées pour résister au Roundup sont aspergées de quantités toujours plus importantes de cet herbicide toxique.
      • La recherche récente révèle également que vos bactéries intestinales sont un composant clé du mécanisme nuisible du glyphosate, car vos microbes intestinaux ont le même fonctionnement que celui du glyphosate pour tuer les mauvaises herbes.

    Vos bactéries intestinales sont également très sensibles et peuvent être endommagées par :

    Les antibiotiques, à moins qu’ils ne soient absolument nécessaires (et si vous en prenez, assurez-vous de réensemencer vos intestins avec des aliments fermentés et/ou un supplément de probiotiques) Les viandes élevées de façon conventionnelle et les autres produits d’origine animale, car les viandes provenant des CAFO sont régulièrement nourries d’antibiotiques à faibles doses et de céréales génétiquement modifiées, qui ont aussi été mises en cause dans la destruction de la flore intestinale
    L’eau chlorée et/ou fluorée Le savon antibactérien

     

    par le Dr. Mercola

     

     

     

     

     

    Source : sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • ARTHROSE DE LA MAIN : LES SYMPTÔMES

     

     

     

     

     

     

    L’arthrose altère le quotidien de nombreux Français. Si cette dégradation du cartilage touche souvent la hanche ou les genoux, elle affecte également les mains, 3ème localisation la plus fréquente. Le Pr Francis Berenbaum, chef du service de rhumatologie de l’hôpital Saint-Antoine (Paris), dresse la liste des symptômes à ne pas négliger.

     

    Deux types d’arthrose de la main

    © iStock

    L’arthrose de la main qui touche le pouce s’appelle la rhizarthrose. Dans ce cas, elle est d’origine mécanique et peut être la conséquence d’une activité professionnelle ou de loisirs qui a trop sollicité le pouce. Dans d’autres situations, l’arthrose affecte l’ extrémité des autres doigts. A l'atteinte articulaire s'ajoute l'apparition de nodules ou nodosités. Dans ce cas il existe souvent un terrain familial et héréditaire , avec une composante inflammatoire. Les radiographies confirment le diagnostic. Les patients en surpoids ont deux fois plus de risques que les autres de souffrir d’arthrose. De plus, les affections métaboliques augmentent elles aussi le risque (diabète, hypertension artérielle, etc). L’arthrose de la main affecte surtout les femmes. Parfois, le rhumatologue devra rechercher d'autres pathologies pouvant affecter les articulations des doigts, comme lapolyarthrite rhumatoïde, le rhumatisme du psoriasis ou la goutte.
     
     

    Des difficultés à ouvrir une bouteille

    © iStock

    L’arthrose de la main provoque une gêne de la fonction de la pince pouce/index. Il est par exemple difficile pour le patient de décapsuler une canette, d’ouvrir une bouteille ou de faire de la couture.
     
     

    Une importante douleur au pouce

    © iStock

    En plus de la gêne fonctionnelle, l’arthrose provoque également une importante douleur au pouce. Cette douleur est, la plupart du temps, progressive et part de la base du pouce. Elle survient souvent spontanément. Le pouce peut aussi se déformer.
     
     

    Des douleurs inflammatoires dans les autres doigts

    © iStock

    Si la douleur du pouce affecte le quotidien des patients atteints d’arthrose, ce n’est pas la seule douleur qu’ils doivent affronter. L’arthrose provoque également une douleur inflammatoire dans les autres doigts de la main. Chez certains patients, cette douleur peut même réveiller la nuit et elle est encore plus importante au réveil. Ces inflammations se caractérisent par un gonflement et des rougeurs localisées sur les articulations. L’arthrose évolue par poussées et les douleurs sont intermittentes. En première intention, des antalgiques ou des médicaments anti-inflammatoires locaux et oraux peuvent aider à soulager la douleur. Dans certains cas, le médecin peut pratiquer des infiltrations de corticoïdes.
     
     

    Des doigts qui se déforment

    © iStock

    Les doigts des patients atteints d’arthrose sont déformés ce qui rend difficile leur utilisation au quotidien . Pour mieux vivre, il est recommandé de continuer à utiliser ses doigts tout en apprenant à ménager ses mains. Le port d’orthèse au pouce peut soulager la douleur. De plus, les attelles aident à lutter contre les déformations et à reposer les articulations. Face aux cas les plus sévères, une chirurgie peut être proposée mais le résultat est incertain. Finalement, le pronostic de l’arthrose des mains reste mal connu. C’est la raison pour laquelle un suivi standardisé est proposé dans le cadre de la cohorte DIGICOD.
     
     

    La peur de montrer ses mains

    © iStock

    Si les patients se plaignent d’une importante douleur, ils évoquent aussi une gêne esthétique. Ils subissent souvent des déformations osseuses causant un handicap social. De nombreuses personnes cachent leurs mains et n'osent plus les montrer de peur du regard des autres.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Source : medisite.fr
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • 6 symptômes du cancer du col de l’utérus à connaître

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Connaître les symptômes du cancer du col de l'utérus est fondamental pour freiner son développement et vaincre la maladie. Le diagnostic précoce a réussi à diviser par deux le nombre de décès.
     

    Le cancer du col de l’utérus est l’un des plus craints, à cause de son fort indice de mortalité.

    Selon la American Cancer Society, on estime qu’autour de 4120 femmes sont mortes du cancer du col de l’utérus en 2016.

    Peut-être que ces chiffres vous semblent scandaleux, mais il est évident que lors des dernières 30 années, l’indice de mortalité s’est réduit de 50%.

    Les raisons sont très variées, mais les spécialistes se concentrent sur le développement de tests diagnostics et sur une plus grande connaissance des facteurs qui le provoquent, ainsi que des symptômes.

    Grâce à cela, les femmes ont à leur disposition plus d’instruments pour s’observer et consulter un médecin dès lors qu’elles détectent quelconque altération.

    Les statistiques peuvent donc varier si ces méthodes d’auto-évaluation tombent dans le domaine public. 

    Même s’il a tendance à survenir à des âges avancés, il n’est jamais trop tôt pour savoir où regarder, que ce soit pour soi-même ou pour aider une proche.

    L’information est le pouvoir, non seulement pour contrôler sa propre vie, mais également pour l’utiliser quand les autres en ont besoin.

    Symptômes les plus importants du cancer du col de l’utérus

    1. Les verrues

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    Le papillomavirus se manifeste avec la présence de verrues, surtout au niveau de la zone vaginale.

    C’est un important déclencheur du cancer du col de l’utérus. Même si le papillomavirus n »implique pas forcément un cancer, les probabilités sont bien plus élevées que les autres femmes.

    Si vous percevez une nouvelle verrue, n’hésitez donc pas à consulter un médecin pour qu’il vérifie votre état de santé.

    2. Des sécrétions étranges

    L’une des premières actions de la maladie est la destruction des parois de l’utérus. Cela produit l’élimination des déchets via le vagin.

    Les pertes de chaque femme sont différents, non seulement concernant l’aspect mais également l’odeur. Elles changent en fonction du moment du cycle ovulatoire dans lequel nous sommes. Mais chacune connaît le sien.

    Ainsi, si vous remarquez des changements, nous vous suggérons de consulter un-e spécialiste. Sachez que cela est censé vous indiquer que quelque chose fonctionne mal en vous.

    3. Douleur et saignement anormaux

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    Comme nous l’avons dit, les parois de l’utérus se défont à cause de cette maladie. Il est donc fréquent de ressentir une douleur aiguë dans la zone.

    De même, du sang peut apparaître, fruit de la lacération de l’organe. Des cas de saignements dans la vessie ou le rectum ont été enregistrés.

    Le sang peut également apparaître dans l’urine et les autres excrétions. 

    4. L’anémie

    Produit des symptômes du cancer du col de l’utérus, l’anémie est l’une des complications les plus fréquentes.

    Elle est accompagnée de fatigue et de tachycardie, sans qu’il n’y ait eu d’effort hors norme.

    Si, par exemple, vous sentez que votre cœur accélère soudainement lorsque vous montez les escaliers que vous avez l’habitude de monter, c’est le signe que vous devriez faire des tests pour vérifier vos niveaux de fer.

    5. Les problèmes au moment d’uriner

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    Quand l’utérus se gonfle, il aplatit les organes qui sont autour de lui, concrètement les reins et la vessie. Puisqu’il s’agit d’éléments essentiels dans l’expulsion de l’urine, leurs fonctions sont altérées.

    En plus de provoquer de la douleur, vous n’êtes donc jamais satisfait lorsque vous faites pipi, car la vessie ne peut pas se vider complètement. Si cela vous arrive, vous devriez consulter un médecin.

    Sachez que l’appareil excréteur est très important pour la santé. Si les déchets restent à l’intérieur, ils passent dans le sang, et se répartissent dans tout l’intérieur.

    6. La perte de poids

    Quand vous commencez à perdre du poids sans changer vos habitudes alimentaires ou votre style de vie, demandez-vous pourquoi.

    Nous savons que nous devons être mince, mais la perte de poids est toujours due à quelque chose. Elle n’est jamais spontanée.

    Dans le cas du cancer du col de l’utérus, elle va de pair avec la baisse de l’appétit, un phénomène qui doit inquiéter.

    Voici les principaux symptômes de cette terrible maladie. Ne reportez pas vos check-up médicaux par peur de ce qui peut arriver.

    Beaucoup d’entre eux sont des indices d’autres affections mineures qui nécessitent aussi un traitement. N’ayez pas peur. 

    Dans tous les cas, le temps est un allié lorsqu’il s’agit de santé. Mieux nous savons où nous nous trouvons, mieux nous pourrons lutter contre ce qui nous attaque.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les 9 effets secondaires les plus dangereux des pilules contraceptives que votre médecin ne vous dira peut-être pas

     

     

     

     

     

    La pilule contraceptive est considérée comme la méthode la plus efficace pour prévenir les grossesses non désirées, mais n’est absolument pas la plus saine. En fait, la pilule contraceptive a des effets secondaires nocifs et elle perturbe également les fonctions physiologiques naturelles de votre corps.

     

    Cette méthode de contrôle des naissances peut engendrer divers effets secondaires négatifs. Elle est souvent utilisée pour atténuer vos crampes menstruelles, et réduire le cycle prémenstruel. Cependant, même si c’est le cas, elle va véritablement affecter les processus naturels de votre corps.

    Voici 9 effets indésirables de la pilule contraceptive:

    1. Caillots sanguins – C’est l’effet indésirable le plus courant de la pilule contraceptive. La pilule triple le risque d’avoir des caillots sanguins, alors que la grossesse et l’accouchement augmentent ce risque de cinq à dix fois. Si vous ressentez des signes de caillots sanguins tels que les jambes gonflées ou des douleurs thoraciques, arrêtez immédiatement la pilule et consultez votre médecin pour une évaluation.

    2. Saignements intermenstruels (ou métrorragie) – Ceci se produit le plus couramment avec des pilules faiblement dosées. Il est considéré qu’ils sont dus à des hormones rendant la paroi endométriale plus mince et plus fragile et d’autant plus exposée à d’autres affections. Cependant, certaines études ont montré que ce risque diminuait en poursuivant la prise de la pilule.

    3. Sautes d’humeur – Des sautes d’humeur, ainsi que des symptômes de la dépression, font partie des autres effets secondaires que certaines femmes peuvent éprouver lors de la prise de pilules contraceptives.

    4. Production de lait – Ceci est très important pour les femmes qui allaitent leur bébé. Les pilules contraceptives peuvent faire baisser de 5% la quantité de lait. Les pilules à base de progestérone uniquement comme la Nor-QD ou Ortho Micronor n’interfèrent pas avec la lactation, mais doivent être prises tous les jours à la même heure, car elles sont légèrement moins efficaces que les pilules combinées.

    5. Faux symptômes prémenstruels – Tout le monde connaît les sensations précédant la menstruation: maux de tête, sensibilité des seins, rétention d’eau, nausées et sautes d’humeur. Alors que tout cela se produit normalement avant la menstruation, avec la pilule contraceptive, vous pourriez éprouver ces symptômes de façon aléatoire à d’autres périodes également.

    6. Détruit les bonnes bactéries digestives – En effet, la pilule contraceptive détruit les bonnes bactéries digestives de sorte que vous serez plus sujette à la prolifération des levures comme le candida, une immunité affaiblie et des infections.

     

    7. Perturbe l’ovulation – Les hormones synthétiques contenues dans la pilule contraceptive régulent la quantité et la régularité des hormones spécifiques produites dans le corps pour empêcher l’ovulation. La pilule évite la maturation d’un follicule pour l’ovulation, c’est l’une des fonctions les plus importantes de l’ovaire. Au fil du temps, les ovaires peuvent « oublier » comment assurer seuls leur propre fonction car ils n’ont pas reçu le signal des hormones adéquates au bon moment du cycle menstruel.

    8. Modification du mucus du col de l’utérus – Il a été démontré que la pilule épaissit le mucus cervical afin d’empêcher le sperme d’atteindre l’ovule. Un mucus cervical sain est important pour la conception, car cela aide le sperme à parcourir le vagin et le mucus cervical pour rencontrer et féconder l’ovule.

    9. Détériore la paroi interne de l’utérus – La pilule modifie la muqueuse utérine afin qu’elle ne puisse recevoir l’implantation d’un ovule fécondé. En contrôlant les niveaux d’oestrogènes et de progestérone du corps avec des hormones de synthèse, la pilule ne permet pas d’atteindre les niveaux adéquats de progestérone pour constituer une paroi utérine saine pour l’implantation de l’ovule fécondé.

    De nombreuses femmes commencent à prendre la pilule très jeunes et ne s’arrêtent que lorsqu’elles souhaitent avoir un enfant. La pilule ne cause pas l’infertilité, mais affecte la fertilité à long terme « en réduisant au silence l’horloge biologique de la femme pendant si longtemps que, dans certains cas, les femmes oublient que le temps passe ». Dans d’autres cas, les femmes ignorent ou oublient qu’elles ont un problème de fertilité du fait que les symptômes ont disparu.

     

     

     

     

     

     

    Sources :
    www.healthyjournalph.com
    www.top10homeremedies.com

    sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Tout ce que vous devriez savoir sur le lupus

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le lupus est une maladie chronique dans laquelle le système immunitaire attaque les cellules saines et qui peut affecter de multiples organes.
     

    Dans le monde, il existe une infinité de maladies, certaines beaucoup plus préoccupantes que d’autres et donc plus connues, plus dangereuses et aux symptômes très complexes.

     

    Cependant, cette vérité générale ne s’applique pas à toutes les maladies. Voici un exemple parfait : le lupus.

    Peut-être que vous avez déjà entendu parler de cette maladie ou peut-être même que vous en êtes atteint sans le savoir.

    Qu’est-ce que le lupus ?

    Il est considéré comme l’une des maladies les plus dangereuses et instables que l’on trouve dans le corps. Tout cela à cause de sa caractéristique principale : elle est auto-immune.

    Les souffrances liées à cette maladie sont peu communes et sont donc imprédictibles, puisqu’elles affectent le système immunitaire.

    Le lupus se charge d’attaquer et d’affecter les cellules qui appartiennent à ce système.

    Le lupus détruit les défenses corporelles, qui ne sont pas capables de faire face à des bactéries et d’autres types de substances nocives pour l’organisme.

    Le système immunitaire et le lupus

    Ils sont donc très liés. Évoquons rapidement le système immunitaire et son importance pour l’organisme.

    • Il est formé d’organes particuliers, de cellules, de tissus, de protéines, entre autres.
    • Cet ensemble a pour principale fonction de protéger tout le corps des éléments étrangers.
    • Dans ces éléments, on trouve les bactéries, les germes et les micro-organismes. Et on les trouve quasiment dans chaque endroit où nous nous déplaçons.

    En résumé, le système immunitaire est un ensemble de fonctions du corps chargées de le protéger. Mais quel rapport avec le lupus ?

    Même si ce n’est pas une maladie contagieuse, elle affecte toutes les défenses du corps. D’où son lien étroit avec avec le système immunitaire. Petit à petit, il attaque les cellules et les tissus.

    Types de lupus

    Cette maladie se divise en trois types, dont nous allons parler ici.

    1. Le lupus érythémateux systémique

    Aussi connu sous le nom de LES, selon son sigle anglais, ce type de lupus est le plus commun. Les spécialistes l’appelle simplement « lupus ».

    • Il affecte régulièrement les systèmes les plus importants, notamment les organes comme le cœur, le cerveau et les reins.
    • Ses symptômes sont assez variés. Chez certaines personnes, il devient extrêmement sévère et chez d’autres, il est beaucoup plus léger.

    2. Le lupus cutané discoïde

    Comme son nom l’indique, ce type de lupus affecte avant tout les tissus de la peau.

    Si l’on sait qu’il couvre 100% du corps notamment de façon externe, n’importe quelle partie peut être affectée. Cependant, ses symptômes sont plus présents sur le visage et le cuir chevelu.

    Les principaux symptômes sont les éruptions cutanées de couleur rouge ou les changements dans le ton de la peau.

    3. Le lupus induit par certains médicaments

    Ce type de lupus est similaire au lupus systémique mais est provoqué par le rejet de certains médicaments par l’organisme.

    Heureusement, la suspension du traitement peut être suffisant pour améliorer la condition, car il disparaît immédiatement.

    Les symptômes du lupus induit sont souvent moins sévères que ceux du lupus systémique.

    Est-il possible de reconnaître le lupus ?

    Cette maladie est complexe, non seulement pour ceux qui en souffrent, mais aussi pour les professionnels de santé.

    Et il est parfois difficile de donner un diagnostic sûr.

    Malgré tout, le lupus offre certains signaux qui aident à l’identifier.

    Voici les plus communs :

    • Les douleurs articulaires
    • Les inflammations articulaires
    • Le gonflement de la glande thyroïde
    • La fatigue extrême et sans raison
    • La chute des cheveux
    • La tristesse et l’inquiétude à l’extrême
    • Les affections du visage
    • La douleur dans la poitrine

    À savoir

    Ses symptômes arrivent par poussées, peuvent apparaître et disparaître. Il est recommandé, dans ce cas, de consulter un médecin de confiance.

    Cette maladie peut se présenter chez n’importe quel être humain. Son origine est méconnue mais est liée à des facteurs héréditaires.

    Même s’il n’a pas de remède, il existe de nombreuses manières de le traiter. Pour cela, il faut consulter une spécialiste.

    En discuter avec d’autres personnes atteintes de cette maladie peut aussi permettre de la surmonter.

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 symptômes qui prouvent que votre cœur ne travaille pas

    comme il le devrait

     
     
     
     
     
     
     
     

    Si vous remarquez une altération ou des symptômes étranges, allez consulter votre spécialiste pour vérifier que votre cœur va bien et pour recevoir un diagnostique adapté afin d’écarter de possibles problèmes graves.

    Vous n’êtes pas sûr que votre cœur travaille comme il le devrait ?  Peut-être que vous ne vous trompez pas, mais vous ne vous êtes pas pour autant arrêté pour l’analyser.

    Pourquoi vous inquiéter lorsque votre cœur ne travaille pas comme il le devrait ?

    Lorsqu’il s’agit de santé, l’organe le plus important et qui inquiète le plus est le cœur, le moteur chargé de nous maintenir en vie.

    Prendre soin de votre cœur est plus facile que ce que vous ne pensez.

    Toutefois, les problèmes cardiaques sont devenus de plus en plus fréquents à cause de ces mauvaises habitudes qui, bien qu’elles soient agréables, sont dangereuses pour votre santé.

    Les problèmes du cœur n’apparaissent pas en général du jour au lendemain.

    Ils sont principalement le résultat de mauvaises habitudes alimentaires, d’habitudes peu saines et d’en ignorer les signes.

    Une fois que les symptômes apparaissent il est nécessaire d’aller consulter un spécialiste.

    Les raisons pour lesquelles votre cœur peut être endommagé sont très variées :

    1. La douleur dans la poitrine ou angine de poitrine

    Les douleurs dans la poitrine peuvent venir de plusieurs problèmes de santé. Toutefois, vous devez faire très attention s’ils deviennent intenses et provoquent une sensation de lourdeur et de contraction.

    Lorsque la douleur dans la poitrine se produit à cause d’un problème cardiaque, le cœur reçoit du sang avec une faible quantité d’oxygène.

    2. Arythmies

    Les battements du cœur ont un rythme assez régulier. Normalement vous ne devez même pas les sentir quand ils sont bons.

    Si vous sentez que vos battements sont très rapides, très lents ou avec des changements irréguliers, consultez un médecin, car votre cœur ne travaille clairement pas comme il le devrait.

    3. Apnée du sommeil

    Parfois on n’y fait pas attention, mais l’apnée du sommeil peut être un signe que votre cœur ne travaille pas comme il le devrait.

    Ce problème génère une détention d’air tandis que vous dormez et peut provoquer des infarctus car il n’arrive pas une quantité suffisante d’oxygène à votre cerveau et votre cœur.

    Même si vous souffrez d’apnées du sommeil depuis peu de temps, vous devez faire attention car cela peut affecter la qualité de votre sommeil et de celui de votre partenaire.

    4. Jambes et pieds gonflés

    Vous consommez beaucoup de sel ? Vous avez beaucoup marché ces derniers jours ? Dans ces deux cas il est fréquent que les jambes et les pieds gonflent, mais en peu de temps ils reviennent à leur état normal.

    Toutefois, vous devez faire attention à ce que le gonflement ne soit pas constant car dans ce cas il peut s’agir d’un symptôme d’une rétention de liquides liée à une insuffisance cardiaque ou un problème artériel.

    5. Agitation et manque d’air

    Il n’est pas normal que vous manquiez d’air constamment, ni que vous vous sentiez fatigué et sans souffle trop souvent. Si cela arrive sans raison vous devez vous demander si votre cœur travaille correctement.

    Dans ce sens il est important que vous ne perdiez pas de vue vos habitudes. Si vous avez changé vos habitudes ou si vous avez intégré une activité physique ces derniers jours, ce manque d’air peut être normal.

    6. Dysfonctionnement sexuel

    L’un des premiers signes qui alertent d’une possible maladie cardiaque est le dysfonctionnement érectile, surtout s’il survient chez des patients entre 40 et 50 ans.

    Au cas où vous souffriez d’un autre problème ou que vous soyez une personne âgée, il est important d’aller consulter votre médecin.

    Ensemble vous pourrez déterminer si le dysfonctionnement sexuel est lié à un quelconque problème de dysfonctionnement de votre cœur ou d’une autre situation.

    7. Le syndrome du cœur brisé

    Ce syndrome est une douleur égale ou plus grande que celle causée par l’infarctus mais il s’agit d’un problème temporaire qui arrive étrangement chez des personnes très saines.

    Ce syndrome a été détecté sans antécédents de cholestérol, de tension haute, de mauvaise alimentation ou de sédentarisme.

    Chez les patients souffrant du syndrome du cœur brisé, près une anémie profonde, la dose de catécholamines – une substance similaire à l’adrénaline – augmente.

    Cette augmentation soudaine est due au fait, que lors de forts taux de stress et d’anxiété, l’organisme cherche à libérer des substances qui ramène le corps à la normalité.

    Heureusement, il s’agit d’une gêne passagère qui, dans 90 % des cas ne présente pas de dommages permanents.

    Conseils généraux pour garder votre cœur sain

    • Essayez d’avoir un style de vie sain avec une bonne alimentation, de l’exercice et un état d’esprit détendu.
    • Si vous remarquez un symptôme étrange, n’hésitez pas à aller consulter un spécialiste. Notre cœur a l’habitude de donner de nombreuses preuves de dérèglement que l’on ne doit pas ignorer.
    • Prenez note des symptômes dont vous remarquez l’apparition soudaine, il existe de nombreuses études médicales qui peuvent détecter des pathologies immédiatement.

    Parfois il suffit d’une analyse de sang pour détecter des anomalies du cœur.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Symptômes des niveaux élevés de sucre dans le sang

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Puisque les niveaux élevés de sucre dans le sang peuvent être des prémisses du diabète, nous devons y faire très attention et les soigner avant qu'ils ne se transforment en affection chronique.
     

    Saviez-vous que le diabète est un assassin silencieux qui peut nous attaquer sans que nous nous en rendions compte ?

    Ainsi, ces symptômes peuvent être confondus avec d’autres problèmes de santé ou des conditions temporaires.

    Dans cet article, nous voulons donc vous expliquer quels sont les symptômes qui alertent des niveaux élevés de sucre dans le sang pour que vous y prêtiez attention et que vous détectiez la pathologie à temps.

    Attention à l’hyperglycémie

    L’augmentation de sucre dans le sang peut provoquer différents changements dans le corps. Dans la plupart des cas, ils sont dus à une altération du métabolisme des hydrates de carbone.

    Toutes les cellules ont besoin de glucose pour obtenir de l’énergie. Pour que toutes reçoivent leur « ration », plusieurs processus sont nécessaires. Cependant, quand, pour une raison ou pour une autre, ce système a une faille, elles ont besoin d’une plus grande quantité d’aliments pour faire leurs activités.

    Quand cela arrive, il n’y a pas de signes notoires ou que la personne puisse considérer comme négatifs. Avec le temps pourtant, ces symptômes augmentent.

    C’est à ce moment-là qu’une consultation chez le médecin a lieu et que l’on reçoit le traitement nécessaire pour le diabète.

    Principaux signaux qui indiquent les forts niveaux de sucre dans le sang

    Quand le glucose augmente, le système immunitaire est fragilisé.

    En conséquence, l’organisme est plus vulnérable à tout type d’infections et de lésions aussi bien sur la peau que sur les membranes muqueuses. De plus, les petits vaisseaux sanguins disparaissent.

    Il est donc fondamental de faire attention aux indices que notre corps nous envoie.

    Si vous avez des niveaux élevés de sucre dans le sang, peut-être que votre organisme vous le dit de la manière suivante :

    Un appétit excessif

    Nous devons tout d’abord savoir faire la différence entre la faim physiologique et la faim émotionnelle. Cette dernière est caractérisée par un manque de rationalité au moment de choisir les aliments ou les quantités.

    Cependant, dans le cas des véritables envies de manger, l’estomac émet certains sons, nous avons mal à la tête et on peut tout avaler, du moment que l’on mange quelque chose.

    • Quand l’organisme contient une forte teneur en sucre, la capacité des cellules à en consommer est saturée.
    • Le corps comprend cela comme un manque de nutriments et « demande » au cerveau d’envoyer les signaux nécessaires pour que nous ayons faim.
    • Ainsi, nous aurons plus de glucose et pour finir, d’énergie pour que tout puisse fonctionner comme il se doit.

    La cicatrisation lente

    Si nous nous sommes coupé en faisant la cuisine, que nous avons eu une intervention chirurgicale ou souffert d’un accident, on peut détecter un diabète quand les blessures ont du mal à cicatriser ou à guérir complètement.

    Cela arrive car les artères et les veines sont bouchées par trop de sucre et ne peuvent pas transporter le sang vers la zone qui a besoin de guérir.

    Les problèmes de peau

    L’un des principaux signes de diabète est la peau sèche et le prurit. Dans certains cas, des taches sombres apparaissent aussi autour du cou et des aisselles.

    Les infections dues aux mycoses

    Puisque le diabète fragilise le système immunitaire, l’organisme n’a pas la capacité à se protéger des attaques de certains micro-organismes nocifs pour la santé.

    C’est pour cela que les infections provoquées par les champignons (notamment Candida) et les bactéries sont fréquentes. Un environnement plein de sucre est un environnement parfait pour la reproduction et le développement de ces nuisibles pour le corps.

    Dans le cas des femmes, pour déterminer si l’on souffre d’infection, comme la candidose, il faut analyser le flux vaginal.

    L’amincissement

    Perdre du poids sans faire de régime ni d’exercices n’est pas sain et c’est un signe qu’il ne faut pas négliger.

    Si vous avez perdu du poids sans raison apparente et en quantité considérable (plus de 3 kilos en un mois), cela peut être dû aux forts niveaux de sucre dans le sang.

    Quand les cellules ne reçoivent pas de glucose comme source d’énergie, elles vont chercher ce combustible ailleurs. Où ? Dans les protéines des muscles.

    D’autre part, les reins doivent plus travailler pour pouvoir éliminer les excès de sucre et dans ce processus nous perdons aussi des calories (en plus d’abîmer les reins).

    La soif excessive

    Nous savons déjà que boire de l’eau est fondamental pour notre organisme et que, dans certaines circonstances (par exemple quand il fait chaud ou que l’on fait du sport), le corps nous en « demande » plus.

    Mais, si vous avez soif tout le temps et que vous buvez déjà beaucoup d’eau, cela doit vous mettre la puce à l’oreille.

    C’est le signal de l’organisme qui dit qu’il a besoin de plus de liquides car ceux qu’on lui donne sont déjà utilisés pour nourrir les cellules pleines de sucre. 

    Les envies d’uriner en permanence

    Le corps a besoin de plus en plus d’eau mais on va également de plus en plus aux toilettes.

    Si vous n’aviez pas l’habitude de vous réveiller la nuit pour faire pipi et que maintenant cela arrive, ou si vous devez arrêter vos activités car vous ne pouvez pas tenir une minute de plus avec la vessie pleine, vous devriez alors consulter un médecin.

    La fatigue excessive

    Peu importe que vous dormiez ou que vous vous reposiez : vous avez toujours sommeil ou vous vous sentez fragilisé-e.

    Les personnes dont les niveaux de sucre sont élevés ressentent généralement une grande fatigue et une démotivation. Comme elles se réveillent la nuit pour uriner, il est probable que leur corps ne récupère pas suffisamment des efforts de la journée.

    Autres symptômes qui alertent de niveaux de sucre trop élevés dans le sang :

    • La vision floue
    • L’irritabilité
    • Les fourmillements dans les extrémités
    • Les crampes dans les jambes
    • Les nausées et les vomissements

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • FUITES URINAIRES CHEZ L'HOMME : ÊTES-VOUS À RISQUE ?

     

     

     

     

     

     

    Même si on en parle moins, l’incontinence urinaire concerne aussi beaucoup d’hommes. Certains facteurs de risques entrent en jeu. Quels sont-ils ? Et êtes-vous à risque ? Explications avec le Dr Adrien Vidart, chirurgien-urologue à l’hôpital Foch à Suresnes. 

     

    L’âge : avoir passé la cinquantaine

    ©iStock

    Pourquoi : "Passé la cinquantaine apparaît l’hypertrophie prostatique bénigne. Il s’agit d’une augmentation du volume de la prostate* non liée au cancer. Cela entraîne une pression sur la vessie entraînant parfois des envies fréquentes et irrépressibles d’uriner. En plus, avec le vieillissement, les besoins de la vessie sont plus difficiles à gérer.", explique le Dr Vidart.
     
     

    Développer une hypertrophie de la prostate

    ©iStock

    Pourquoi : les fuites urinaires chez l’homme sont souvent provoquées par un problème de prostate, cette petite glande située sous la vessie et qui a pour rôle l’élaboration du sperme. "Lorsque la prostate augmente de volume en cas d’hypertrophie de la prostate, cela peut créer une pression sur la vessie et une irritation, entraînant des gouttes retardataires (gouttes d’urine mouillant le slip), des envies fréquentes et irrépressibles qui empêchent de se retenir d’uriner.", explique le Dr Vidart.
     
     

    Subir une prostatectomie totale

    ©iStock

    Pourquoi : l’incontinence urinaire d’effort chez les hommes intervient souvent suite à une opération de la prostate (ablation bien souvent suite à un cancer de la prostate, le cancer le plus courant chez l’homme). Suite à l’intervention, certains patients éprouvent des difficultés à retenir leurs urines. En effet, une partie du sphincter vésical peut avoir été supprimée ou endommagée et cela se traduit par des fuites urinaires incontrôlées au moment où la personne court, tousse ou soulève des objets lourds.
    Sachez-le : chez certains hommes, les pertes urinaires seront faibles, occasionnelles et temporaires, quand d’autres souffriront de pertes chroniques régulières.
     
     

    Le surpoids

    ©iStock

    Pourquoi : la pression abdominale est plus forte chez les personnes en surpoids, ce qui peut entraîner une fréquence des fuites plus importante. L’un des meilleurs traitements dans ce cas est la perte de poids, qui permet une amélioration nette des symptômes, et cela quel que soit le type d’incontinence (d’effort, par hyperactivité vésicale…). L’obésité multiplie par 6 les risques d’incontinence.
    "Il est conseillé d’avoir un périmètre abdominal qui ne dépasse pas les 102cm, un taux de sucre sanguin d’1,50g/l de sang, d’éviter de développer un diabète de type 2, une augmentation des triglycérides et de son taux de cholestérol. Toutes ces pathologies augmentent le risque un syndrome métabolique, qui accroît l'incontinence urinaire", explique le Dr Vidart.
     
     

    Souffrir d’un diabète très altéré

    ©iStock

    Le diabète, qui se caractérise par un taux de sucre anormalement élevé dans le sang, est une maladie qui évolue insidieusement et qui peut entraîner sur le long terme de nombreuses complications. Parmi elles, on retrouve les problèmes de fuites urinaires.
    Pourquoi : les phases de remplissages et de vidanges de la vessie sont sous le contrôle du système nerveux autonome et d’une commande cérébrale volontaire. Si elle est mal traitée, la maladie atteint ce système nerveux et le contrôle des mictions s’en trouve altéré. Cela entraîne des fuites urinaires avec une baisse de la sensibilité de la vessie ainsi que des troubles de la contraction du muscle vésical.
    Un conseil : pensez à conserver une bonne hygiène de vie et à vous faire suivre par un spécialiste.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : Remerciements au Dr Adrien Vidart, chirurgien-urologue à l’hôpital Foch à Suresnes et membre de l’association française d’urologie (AFU) - www.urofrance.org
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • 5 symptômes du cancer de l’anus,

    la maladie silencieuse que vous devez connaître

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si nous avons peur de consulter un spécialiste, il est fondamental, face au moindre doute, de demander un diagnostic médical. Notamment si l'on présente des problèmes rectaux.
     

    On ne parle pas suffisamment du cancer de l’anus. C’est l’une de ces maladies silencieuses qui ne présente pas d’incidence aussi élevée que le cancer du poumon ou du sein, mais qui existe et que nous devons connaître.

    Selon l’Association Espagnole contre le Cancer, le cancer de l’anus représente 1,9% du total des tumeurs en lien avec le tube digestif.

    Même si ce n’est pas un chiffre très élevé, nous devons savoir que cette maladie a augmenté ces dernières années, à cause de plusieurs facteurs de risque tels que :

    • Le tabac
    • Une plus grande espérance de vie générale
    • L’infection par le virus du papillomavirus

    Il affecte plus les hommes, mais à partir de 50 ans, il est également fréquent chez les femmes.

    Le plus grand problème du cancer de l’anus, c’est qu’il progresse souvent sans symptomatologie évidente. 

    De plus, les personnes qui souffrent d’hémorroïdes ont tendance à associer les saignements et l’apparition de grosseurs à cette affection et ne leur donnent l’importance qu’ils requièrent.

    Puisque l’information est toujours un outil précieux, nous allons voir dans cet article quelles sont les principales caractéristiques associées à cette maladie.

    Le cancer de l’anus, la maladie silencieuse

    Parfois, nous ne prêtons pas assez attention à certains processus de notre organisme.

    Nous allons aux toilettes et nous nous ne regardons pas si nos selles sont normales, s’il y a ou pas de traces de sang ou un élément peu habituel dans notre corps..

    L’anus n’est pas seulement cette partie d’où nous expulsons la matière fécale. Il faut savoir qu’il fait partie de notre intestin, et plus concrètement du gros intestin.

    Ses muscles, en forme d’anneaux, hébergent de multiples cellules qui, pour différentes raisons, peuvent altérer sa génétique pour produire des cellules anormales et cancérigènes.

    Il existe des facteurs de risque que nous pouvons contrôler, bien sûr, mais comme nous le savons, tout ne dépend pas de notre style de vie.

    Il y a des facteurs qui nous échappent et qui, quelles qu’en soient les raisons, finissent par déclencher cette maladie. Découvrons-en donc les symptômes.

    1. Les saignements

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    C’est le principal indicateur dont nous devons tenir compte. Même si les saignements dans les selles peuvent aussi être dus à d’autres causes.

    • Parfois, ce sont les hémorroïdes, une simple infection ou n’importe quelle autre maladie que les spécialistes détermineront facilement.
    • Il est donc important de consulter son médecin dès que ce problème apparaît.

    2. La sensation de « trop-plein »

    La plupart des patients qui ont développé un cancer de l’anus ressentent une sensation de « remplissage » dans la zone du rectum. C’est comme s’il y avait une masse qui les gênait ou qui leur faisait ressentir des démangeaisons.

    • Ces masses empêchent un transit intestinal correct de manière à ce que la personne peut même perdre le contrôle de ses muscles anaux.
    • Au début, c’est très léger et presque inappréciable. De fait, la majorité des patients attendent jusqu’à 6 mois pour consulter un spécialiste, le moment où la symptomatologie est plus évidente.

    3. L’apparition de « verrues »

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    Le cancer de l’anus a souvent un rapport avec l’apparition de verrues dans la zone anale. Elles peuvent se trouver à l’intérieur de l’intestin ou à l’extérieur, et être très gênantes.

    Beaucoup de patients les confondent souvent avec de simples furoncles, mais il est important de les suivre.

    Il ne faut pas avoir peur ou ressentir de la pudeur lorsqu’on consulte un médecin pour cela. Au moins, vous en aurez le cœur net et vous ne stresserez pas de ne pas savoir.

    4. Changements dans le transit intestinal

    Nous souffrons tous de petits changements dans notre transit intestinal de temps en temps. Nous passons par des périodes de constipation, de diarrhées… C’est normal.

    • Ce qui n’est pas habituel, c’est d’avoir certaines fuites car la rétention ne fonctionne pas bien et que les muscles des intestins font défaut.
    • Quand les tumeurs sont déjà plus avancées, ce type d’altérations surviennent et le patient ressent des fuites au niveau de la zone de l’anus.

    5. Les démangeaisons

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    La partie basse de notre corps est perçu d’une autre manière. Nous ressentons de la fatigue dans la zone lombaire, une certaine pression abdominale et surtout des démangeaisons dans la zone du rectum.

    • Il est commun de les associer aux hémorroïdes. C’est pour cela que beaucoup de personnes ont recours aux crèmes classiques ou aux traitements pour soulager cette gêne intime dont nous ne parlons à personne.
    • Mais, nous insistons une fois de plus : il faut consulter un médecin face à l’un de ces symptômes.

    Si vous obtenez un diagnostic précoce, la possibilité de succès du traitement ultérieur est bien plus élevée.

    Une petite partie des cas reçoivent leur diagnostic à l’étape la plus avancée et quand la tumeur a atteint les ganglions lymphatiques. Dans ce cas, les traitements sont plus agressifs.

    Cependant, aujourd’hui, il existe de nouvelles techniques qui permettent d’apporter de bons soins dans la plupart des cas.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Signaux qui laissent augurer d’une hémorragie cérébrale

     
     
     
     
     
     
     
     
    Pour pouvoir prévenir une hémorragie cérébrale le plus tôt possible et éviter que ses conséquences n'empirent, nous devons connaître ses symptômes précoces et ne sous-estimer aucun signe.
     

    L’accident vasculaire cérébral (AVC) ou hémorragie cérébrale sont en lien avec l’hypertension artérielle, le sédentarisme et l’excès de radicaux libres.

    Les risques d’en souffrir augmentent si on fume, on boit de l’alcool à l’excès et que l’on est exposé-e-s au stress.

    Dans cet article, nous allons vous expliquer quels sont les signes d’alerte qui peuvent nous donner des indices sur l’apparition d’un ictus.

    Que savoir sur l’hémorragie cérébrale ?

    Quand le sang ne coule pas correctement jusqu’au cerveau, les cellules ne reçoivent pas les nutriments et l’oxygène dont elles ont besoin pour fonctionner et meurent.

    Les maladies vasculaires cérébrales sont la troisième cause de mortalité dans le monde occidental et la première cause d’invalidité permanente. C’est également l’un des déclencheurs du déficit neurologique chez les personnes âgées.

    L’hémorragie cérébrale ou ictus est classé en plusieurs catégories, selon la zone encéphalique affectée :

    L’ischémie

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    Aussi nommée attaque occlusive ou infarctus cérébral, elle survient lorsque l’irrigation sanguine vers le cerveau stoppe subitement.

    Elle est due à l’occlusion de certaines artères chargées d’emporter le sang vers la masse encéphalique. Cela peut être généré par une accumulation de calcium, une embolie ou une artériosclérose.

    L’hémorragie

    C’est lorsqu’un vaisseau sanguin encéphalique se rompt, que ce soit à cause d’un anévrisme congénital ou d’un pic d’hypertension.

    Cette hémorragie conduit à un AVC car elle prive la zone cérébrale du flux sanguin ou parce que le sang exerce une pression sur les structures cérébrales.

    Une fois que le caillot a été ôté, il faut entre 24 et 48 heures pour déterminer quelle a été la zone affectée.

    Comment détecter une hémorragie cérébrale ?

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    Quelle que soit la cause ou le type d’ictus, il s’agit toujours d’une urgence médicale car il survient de manière soudaine et en quelques minutes peut provoquer des séquelles graves et permanentes. 

    Selon la quantité de sang impliquée, cela peut être une hémorragie légère ou sévère.

    La gravité des dommages peut varier selon la rapidité avec laquelle on reçoit une aide médicale et c’est pour cela qu’il est extrêmement important d’être attentif aux signes d’alerte. 

    Si vous êtes plutôt susceptible de souffrir d’un AVC, vous devez être plus attentif aux signes suivants :

    Les nausées et les problèmes pour marcher

    • Puisque l’afflux sanguin vers le cerveau a diminué, vous pouvez ressentir des nausées soudainement.
    • Vous pouvez aussi sentir un manque d’équilibre ou de coordination, et trébucher voire tomber.
    • N’importe quel mouvement qui requiert une attention sera affecté.

    La fragilité ou l’engourdissement

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    Vous ne pouvez plus lever les bras (un seul ou les deux en même temps) et vous ne pouvez plus les maintenir en l’air.

    Vous ressentez aussi une somnolence ou vous avez des difficultés à lever un objet, aussi léger soit-il. 

    Beaucoup de gens laissent tomber ce qu’ils ont dans la main car ils ne peuvent plus le porter.

    De plus, le fourmillement ou l’engourdissement des jambes n’aident pas : il faut s’asseoir et rester tranquille quelques secondes, car aucun extrémité ne répond.

    Les problèmes pour parler

    La confusion n’apparaît pas seulement lorsqu’on veut marcher ou bouger, mais aussi lorsqu’on veut s’exprimer.

    Chercher ses mots, ne pas pouvoir trouver les termes adaptés pour expliquer quelque chose ou dire des incohérences peuvent être des signaux d’hémorragie cérébrale.

    La paralysie faciale

    Au-delà de ne pas pouvoir vous exprimer facilement, vous verrez qu’une partie de votre visage se fige.

    Si vous êtes déjà allé chez le dentiste et qu’il vous a fait une anesthésie pour vous enlever une molaire, vous avez sûrement déjà ressenti quelque chose de similaire. Vous ne pouvez pas sourire, ni ouvrir l’un des deux yeux. Presque à chaque fois, les paralysies sont d’un côté du visage.

    Il faut également ajouter les problèmes visuels dus à l’ictus, comme la vision floue, trouble, double ou sombre.

    La migraine intense

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    Nous avons tous déjà ressenti des maux de tête, même très forts. Mais face à une hémorragie cérébrale, la migraine est si intense qu’elle empêche de faire quoi que ce soit. 

    Elle apparaît subitement et est accompagnée de nausées et de vomissements. Dans certains cas (quand il est une attaque cérébrale hémorragique), elle peut même provoquer un évanouissement.

    La principale caractéristique de ces signaux, c’est qu’ils peuvent apparaître sans que la personne ne le remarque. Les autres penseront que l’individu est distrait, fatigué, confus ou même ivre.

    Quand les symptômes apparaissent pendant quelques secondes ou minutes et qu’ils disparaissent, il s’agit d’une apoplexie transitoire. Mais il ne faut pas la sous-estimer pour autant.

    C’est un signal clair que le sang n’arrive pas correctement dans le cerveau et dans le futur, vous pourriez subir une grave attaque.

    Dans tous les cas, il est préférable d’appeler les urgences médicales et de demander un diagnostic auprès de professionnel-le-s.

    Beaucoup d’infirmiers ou de secouristes font un test in situ connu sous le nom de FAST (rapide en anglais) et qui signifie Face Arm Speech Test (Test de Visage, Bras et Parole).

    Il comporte trois parties :

    • Le visage : Analyser s’il y a une asymétrie musculaire involontaire sur les traits du visage.
    • Les bras : Savoir si le/la patient-e peut ou non bouger volontairement les bras, ou s’iel ressent des fourmillements et des engourdissements.
    • La parole : Poser une série de questions pour déterminer s’il a des difficultés à parler ou si sa voix semble être celle d’une personne alcoolisée ou droguée.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 10 bruits du corps qui doivent vous inquiéter

     

     

    Ronflement, sifflement, craquement, gargouillis… Notre corps peut parfois être très bruyant. Mais que signifient ces bruits, et de quoi peuvent-ils être le signe ? Les réponses du docteur Jean-Pierre Rageau, médecin généraliste. 

     

    Un ventre qui gargouille

    Qu’est-ce que c’est ? Les gargouillis du ventre, aussi appelés borborygmes, sont dus aux gaz qui passent à travers le bol fécal grâce aux spasmes de l’intestin.
    Le signe de quoi ? "S’ils sont trop fréquents, ils peuvent être annonciateurs d'une colite spasmodique (une pathologie du côlon) ou simplement d’une gastro-entérite", avertit le docteur Rageau, médecin généraliste.

     

    Des articulations qui craquent

    Quand s’inquiéter ? "Chez une personne jeune, le craquement des articulations est souvent anodin : il résulte simplement du claquement des bulles de gaz présentes dans le liquide synovial", dévoile le docteur Rageau. "Mais avec l’âge, ces craquements peuvent témoigner d’une arthrose, notamment au niveau des genoux ou des cervicales".
    Bon à savoir : "Le craquement du genou est un symptôme typique de la gonarthrose, l’arthrose de cette articulation. On peut l’identifier en plaçant sa main sur la rotule quand on plie le genou : le craquement caractéristique de la gonarthrose génère une petite vibration", souffle le médecin.



    Des éructations et des flatulences fréquentes

    Le signe de quoi ? Les rots et les gaz intestinaux peuvent témoigner d’un problème d’aérophagie, c’est-à-dire la présence anormalement élevée d’air dans le tube digestif.
    D’où vient ce trouble ? D’une ingestion trop importante d’air pendant la prise alimentaire. "Les gaz peuvent aussi se former dans l’intestin grêle où certains aliments peuvent fermenter", révèle le docteur Rageau.
    Bon à savoir : "L’air s’échappe sous forme d’éructations quand il est dans la partie haute du tube digestif. Mais si les gaz descendent dans l’intestin, ils donneront lieu à des flatulences", décrit le médecin.
    Comment faire ? "Manger moins vite, bien mâcher ses aliments et éviter les boissons gazeuses sont les premiers réflexes à adopter pour diminuer les éructations et les flatulences", conseille le docteur Rageau. "Contre les flatulences, pensez aussi à diminuer votre consommation de féculents et de légumineuses".
    Attention : "Des éructations importantes peuvent également être le symptômes d’une hernie hiatale, un mauvais positionnement d’une partie de l’estomac. Pensez à consulter un médecin en cas de renvois importants".



    Un hoquet qui ne passe pas

    Quand s’inquiéter ? Un hoquet doit alerter s’il dure plusieurs heures.
    Le signe de quoi ? "Le hoquet peut résulter d’une irritation de l’estomac, par exemple à cause d’un aliment mal adapté", nous apprend le docteur Rageau. "Mais il peut aussi être le signe d’une irritation du diaphragme ou d’un trouble nerveux", précise-t-il.
    Comment faire ? "Quand le hoquet devient fatiguant et qu’il cause des insomnies, il peut témoigner d’une pathologie digestive ou nerveuse. Consultez rapidement un médecin pour obtenir un diagnostic", conseille le médecin.

     

    Des ronflements sévères

    Le signe de quoi ? "Un ronflement appuyé peut témoigner d’un affaiblissement de la voûte du palais, un phénomène qui s’intensifie quand on prend de l’âge. Ils peuvent également être le symptôme d’une déviation de la cloison nasale", selon le docteur Rageau.
    Attention : Des ronflements importants, persistants et accompagnés de fatigue peuvent être un signe d’apnée du sommeil, une maladie respiratoire aux conséquences lourdes sur la santé.

     

    Un râle au niveau des bronches

    Le signe de quoi ? Un bruit de râle dans les poumons témoigne d’un problème lors du passage de l’air dans les bronches. "Il peut par exemple s’agir d’une bronchite surinfectée", dévoile le docteur Rageau.
    Bon à savoir : Un autre bruit peut survenir au niveau de la base des poumons. "Il s’agit des 'crépitants', qui génèrent un son similaire à celui du sel jeté dans un feu de cheminée. Ils peuvent être le signe d’une insuffisance cardiaque car ils indiquent la présence d’eau dans les alvéoles", révèle le médecin.

     

    Une mâchoire qui craque

    Le signe de quoi ? "Un craquement de mâchoire peut être généré par le glissement des surfaces articulaires et des ménisques* au niveau des articulations mandibulaires", explique le docteur Rageau. "Il peut également s’agir d’une subluxation de la mâchoire, c’est-à-dire du déplacement des os de cette articulation", ajoute-t-il.
    Comment faire ? "En cas de subluxation, si le diagnostic est confirmé par une radio, un ostéopathe pourra intervenir pour replacer l’articulation. Certains cas plus sévères nécessiteront une opération", précise le médecin.
    *les ménisques sont des disques fibro-cartilagineux situés dans de nombreuses articulations, comme le genou ou la mâchoire.

     

    Des sifflements au niveau des poumons

    Le signe de quoi ? Des sifflements qui surviennent au niveau des poumons ou du larynx lors de l’inspiration peuvent être causés par une allergie respiratoire. "Il peut aussi être provoqué par une inflammation de la muqueuse respiratoire, comme dans l’asthme ou dans une laryngite allergique ou infectieuse", précise le docteur Rageau.
    Comment faire ? En cas de difficultés respiratoires importantes, il faut consulter.

     

    Des dents qui grincent

    Le signe de quoi ? Le grincement de dents s’appelle le bruxisme. "Il peut être dû au stress, à un sommeil de mauvaise qualité ou encore à un terrain épileptique" constate le docteur Rageau.
    Comment faire ? "Le principal inconvénient du bruxisme réside dans l’usure des dents. Pensez à consulter un médecin ORL, un dentiste voire un neurologue pour établir un diagnostic", préconise le médecin. Des gouttières anti bruxisme existent pour réduire l’impact des grincements sur les dents.

     

    Des acouphènes persistants

    Le signe de quoi ? "Les acouphènes, des sifflements entendus dans l’oreille, peuvent être consécutifs à un traumatisme auditif (musique trop forte, explosion…) ou causés par un trouble de la microcirculation de l’oreille interne", détaille le docteur Rageau.
    Attention : des acouphènes persistants peuvent aussi avoir une origine neurologique, tel qu’un dysfonctionnement du nerf auditif ou un neurinome, une tumeur du nerf.

     

    Publié par Laurène Levy, journaliste santé et validé par Dr Jean-Pierre Rageau, médecin généraliste

    Merci au docteur Jean-Pierre Rageau, médecin généraliste à Levallois-Perret.



     

     

     

    Source : medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

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