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    17 faits sur le cancer que toute personne doit savoir


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    Que savez-vous à propos du cancer?

    Pas les termes scientifiques et médicaux utilisés pour décrire la maladie, mais les connaissances générales sur le tueur n°2 aux Etats-Unis. Il est incroyable qu’il y ait tellement d’informations en ligne sur le cancer, disponibles en quelques clics, mais combien en savez-vous vraiment?

     

    Il y a tellement de formes de cancer, tous les cas sont uniques, et vous ne saurez jamais tout (bien que ce serait fantastique). Cela peut être étourdissant.

    Ce dont vous avez besoin est de la connaissance pratique sur le cancer. Qui est le plus à risque? Quels facteurs augmentent le risque de cancer dans la population en général? Que pouvez-vous faire pour ne plus ou ne pas avoir le cancer?

    Certains de ces faits sur le cancer sont du bon sens, mais vous avez probablement entendu le dicton, « Le sens commun… n’est pas si commun. » Même quand vous savez, mentalement et physiquement, que des choix spécifiques de style de vie augmentent votre risque de cancer… vous pourriez ne pas agir avant que ce soit trop tard.

     

    17 faits sur le cancer que vous devez savoir maintenant

    1. Les chercheurs du monde entier sont d’accord sur le fait qu’au moins la moitié de tous les cancers et des décès liés au cancer sont évitables. En 2015, environ 1,6 millions de décèsseront attribués au cancer – sauver la moitié avec la prévention est un excellent point de départ.
    2. Le cancer est le nom unique attribué à plus de 100 maladies. Bien que le cancer ait été autrefois considéré comme un « dépérissement », il est en fait le résultat de cellules anormales qui se multiplient et se propagent de manière incontrôlable à différents endroits de votre corps, endommageant les cellules saines en cours de route. La plupart des types de cancer donnent lieu à des tumeurs, mais les cancers qui affectent le sang ne le font pas.
    3. Seul un tout petit pourcentage des cancers (moins de 5%) ont un lien génétique, alors quand les « experts » nous disent que la plupart des cancers sont d’origine génétique, ils ne sont pasdans le vrai. Cependant, malgré le fait que la recherche indique que nous n’héritons probablement pas de mystérieux « gènes du cancer » de nos parents, la plupart d’entre noushéritent du « livre de cuisine de notre maman » et avons probablement été exposés aux mêmes toxines que notre famille proche, donc assainir notre régime alimentaire, faire de l’exercice, et la détoxification sont extrêmement importants.
    4. En parlant de toxines, les facteurs environnementaux peuvent augmenter votre risque de cancer. L’air que vous respirez, l’eau que vous buvez, et la nourriture que vous consommez sont de la plus haute importance. La pollution, la toxicité des métaux lourds, et même les produits d’entretien ménagers peuvent endommager les cellules de votre corps et augmenter votre risque de cancer. Votre maison et votre travail sont les deux endroits où vous passez la majorité de votre temps. Assurer votre sécurité personnelle doit être une priorité absolue.
    5. Plus de 90% de tous les cas de cancer du poumon sont causés par le tabagisme. Fait intéressant,ce n’est en fait pas le tabac lui-même qui provoque le cancer, ce sont les produits chimiques qui sont utilisés dans le procédé de fabrication du tabac qui provoquent le cancer. Arrêter de fumer est la mesure préventive numéro un que vous pouvez prendre dès maintenant pour réduire votre risque de cancer. Même les non-fumeurs sont exposés à la fumée. Une personne meurt d’un cancer du poumon toutes les trente secondes, quelque part dans le monde et c’est la principale cause de décès par cancer des hommes et des femmes aux États-Unis.
    6. La privation de sommeil – définie à moins de six heures par jour – augmente votre risque de cancer du côlon. Des études récentes ont également montré un risque plus élevé de cancer chez ceux qui travaillent en horaires de nuit. Le bénéfice d’un sommeil récupérateur est l’un des moyens les plus sous-estimés de garder votre corps fort et sans cancer.
    7. Chaque jour, plus de quarante enfants sont diagnostiqués du cancer – plus de 14 000 par an aux États-Unis seulement. Le cancer (ou plus exactement les « traitements » classiques du cancer) est le tueur n°1 des enfants suite à une maladie. Aujourd’hui, le cancer (et les traitements du cancer) vont prendre les vies de quatre enfants – plus que les complications de malformations congénitales à la naissance, le diabète de type 1, et l’asthme réunis. Les taux de survie chez les enfants atteints de cancer ne s’améliorent pas parce que les traitements classiques (la chimiothérapie et la radiothérapie) causent en fait le cancer et très peu d’accent est mis sur la recherche de la cause de la maladie plutôt que de simplement traiter les symptômes (les tumeurs) en les rétrécissant avec des produits chimiques cancérigènes comme la chimiothérapie.
    8. Les produits répandus que sont la charcuterie, les saucisses et les hot-dogs contiennent des nitrates – vous les voyez sur l’étiquette en tant que nitrate de sodium et nitrite de potassium. Les nitrates sont des additifs chimiques utilisés dans les viandes transformées afin de les préserver et ajouter de la saveur. La préparation à chaleur élevée et l’ingestion provoque une réaction chimique avec les sucs digestifs de votre corps, convertissant les nitrates en nitrites – un cancérogène connu. Les nitrates s’infiltrent aussi dans les eaux souterraines avec l’utilisation des engrais donc envisagez d’utiliser un filtre pour l’eau potable.
    9. Globalement, environ un décès sur huit est causé par le cancer. En fait, le cancer provoque plus de décès que le paludisme, la tuberculose et le sida réunis. Les pays développés ont une incidence plus élevée de cancer. Les experts estiment qu’il est une combinaison du régime alimentaire et du style de vie qui affecte notre santé globale.
    10. Le cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez les femmes est le cancer du sein. Le cancer du sein est la première cause de décès par cancer chez les femmes. Le cancer du sein, du col de l’utérus et du colon sont les maladies les plus courantes pour lesquelles les femmes sont diagnostiquées.
    11. Le cancer du poumon, de la prostate et de l’estomac sont les maladies les plus courantes pour lesquelles les hommes sont diagnostiqués. Les taux de survie du cancer du poumon sont moins de 20%. Si vous fumez et avez un emploi où vous inspirez des toxines, vos chances de survie chutent à un peu plus de 3%.
    12. Les personnes âgées de cinquante-cinq ans ou plus ont le risque de cancer le plus élevé. Environ 77% de tous les cancers diagnostiqués se trouvent dans les hommes et les femmes de ce groupe d’âge.
    13. La recherche a révélé que l’obésité augmente le risque de cancer. Elle peut également affecter vos chances de survie si vous êtes diagnostiqués de cancer. Dans une étude sur les femmes post-ménopausées ayant un cancer du sein, les taux de survie étaient plus élevés chez les femmes qui ont maintenu un poids corporel sain.
    14. Vous pouvez ne ressentir aucun symptôme du cancer de l’ovaire, du cancer du poumon, ou du cancer du côlon jusqu’à ce que les cellules cancéreuses se propagent à d’autres parties de votre corps. Le dépistage précoce est impératif pour détecter ces cancers à temps.
    15. Le cancer de la peau est le cancer le plus souvent diagnostiqué. Le nombre de cas de cancer de la peau détectés augmente régulièrement chaque année. Le mythe populaire est que l’exposition au soleil provoque le cancer de la peau, mais ce n’est pas tout à fait exact. L’exposition au soleil est réellement bonne pour vous et augmente la production de vitamine D de votre corps (via l’interaction de la lumière ultraviolette avec le cholestérol dans votre peau). Trente minutes tôt le matin ou en fin d’après-midi de soleil sur vos mains et votre visage est suffisant pour obtenir votre dose recommandée de vitamine D. Mais les coups de soleil sont mauvais, car cela peut causer des dommages à l’ADN et éventuellement le cancer, donc soyez prudent. Mais n’utilisez pas de crème solaire, car elle filtre les rayons ultraviolets utiles etprovoque également le cancer. Le principal produit chimique utilisé dans les crèmes solaires pour filtrer la lumière ultraviolette est l’octyl méthoxycinnamate (« OMC ») dont il a été prouvé qu’il tue les cellules de souris, même à faibles doses. De plus, il a aussi été prouvé qu’il est particulièrement toxique lorsqu’il est exposé au soleil. L’OMC est présent dans 90% des marques de crème solaire! Les marques les plus populaires de crème solaire contiennent aussi d’autres produits chimiques toxiques (tels que le dioxybenzone et l’oxybenzone) qui sont absorbés par la peau où ils pénètrent dans le sang, générent des radicaux libres, font des ravages sur le système immunitaire, endommagent le foie et le cœur, et favorisent même le cancer généralisé.
    16. Les cellules saines ont une capacité innée de s’autodétruire. Le nom scientifique de ce processus est appelé apoptose, mais les rédacteurs de santé y font référence sous le nom de « suicide cellulaire« . C’est le processus par lequel la cellule reconnaît que des dommages sont présents et se détruit elle même pour protéger le reste du corps. Dans les cellules cancéreuses, ce processus automatique est absent, mais les scientifiques ne savent pas pourquoi. Le cancer, les maladies neurodégénératives et les maladies du cœur ont toutes été liées à l’échec de l’apoptose.
    17. Il y a des aliments qui peuvent provoquer naturellement l’autodestruction des cellules endommagées par apoptose. Le thé vert, les baies, le curcuma, les avocats, l’ail, le chou frisé, et même le chocolat noir sont quelques-uns des aliments qui ciblent et détruisent les cellules cancéreuses. Restez à l’écoute pour en savoir plus sur ce processus fascinant de la prévention et combattant le cancer de l’intérieur.

     

    De bons choix = Une bonne santé

    Vous le savez déjà mais ça ne coûte rien de vous le dire encore une fois: votre style de vie – ce que vous mangez, buvez et faites avec votre corps – a un impact direct sur votre risque de cancer.

    Une alimentation saine, beaucoup d’eau, suffisamment de repos, de l’exercice régulier, cesser de fumer, limiter l’alcool, et (en général) traiter votre corps aussi bien que vous souhaiteriez que votre corps vous traite sont la première ligne de défense contre toutes les maladies – en particulier le cancer.

    Oui, vous pouvez vivre une vie saine et tomber encore malade, mais tous les experts vous confirmeront que vous réduisez considérablement votre risque de cancer et d’autres maladies simplement… en vous aimant.

    Votre corps est la seule maison que vous avez pour vivre donc traitez-la bien. Ne cessez jamais d’apprendre sur les façons de prévenir, combattre et survivre à un cancer.

     

     

    Source : The Truth About Cancer

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  • medisite.fr

    7 ASTUCES POUR MANGER MOINS SUCRÉ

     

     

    Un repas sans dessert ? Impossible pour vous ! Sans votre dose de sucre quotidienne, vous vous sentez mal. Votre surconsommation est peut-être à l'origine de vos petits bourrelets ou problèmes de santé. Voici quelques conseils pour manger moins sucré sans ressentir le manque, avec les conseils de Valérie Espinasse, micronutritionniste.

     
     

    Manger du chocolat noir

    Parmi les quatre saveurs qui existent, le sucré est celle qui plaît le plus "pour sa douceur, pour le plaisir, parce qu'il nous réconforte également", explique la micronutritionniste dans son livre J'arrête le sucre. Certains l'apprécient tellement qu'ils développent une vraie addiction et ont besoin de leur dose quotidienne de sucre. En cas de crise, pas de panique ! Il est possible de craquer mais pas avec n'importe quoi.

    Ce qu'il faut faire : prendre un ou deux carrés de chocolat noir à 80 ou 90%. Et oui le chocolat est permis, mais seulement le noir car c'est le moins sucré et le plus intéressant pour l'organisme (fibres, bonnes graisses...).Pourquoi pas le lait ou le blanc ? Ils sont enrichis en sucre ajoutés et alimentent l'addiction au sucre.

     

     

    Préférer une entrée à un dessert

    En France, les origines culturelles nous poussent à penser qu'il faut absolument un dessert à la fin du repas, qu'il s'agisse d'un gâteau ou d'un fruit. "Or ce n'est pas une obligation" rappelle notre interlocutrice. Manger un dessert après chaque repas entretient un comportement addict face au sucre qui va augmenter avec le temps. A force si vous ne finissez pas votre repas sur une note sucrée, vous allez ressentir comme un manque et y penser toute la soirée. Il faut remplacer cette habitude par une autre.

    Ce qu'il faut faire : pour que la pulsion soit moins forte, la nutritionniste propose de prendre plutôt une entrée pour être rassasié à la fin du repas et ne pas avoir envie de manger.

     

     

    Fringales : une poignée d'amandes, c'est tout !

    Malgré vos repas, vers 11 heures et 16 heures vous n'y échappez pas : votre ventre gargouille ! Si c'est vraiment une question de faim et non de plaisir, il faut avant tout penser : apport nutritionnel. Prendre l'habitude de manger un encas trop sucré est néfaste pour la santé. Le pancréas qui sécrète de l'insuline se fatigue, du coup la glycémie a du mal à se réguler et on risque du diabète.

    Ce qu'il faut faire : toujours avoir une poignée de 20 amandes, noix ou noisettes à disposition. "Elles permettent de réguler la faim. Résultat : on se sent rassasié. En plus elles contiennent de bonnes graisses bénéfiques à l'organisme", explique Valérie Espinasse.

     

     

    Ne pas se priver pendant le repas

    "Lorsqu'une personne sait qu'elle risque de craquer pour un plaisir sucré dans la journée, elle a tendance à se restreindre pendant les repas pour ne pas grossir", explique Valérie Espinasse, micronutritionniste. Or, en mangeant moins, on risque de s'affamer. C'est la dernière chose à faire car cela provoque des pulsions de sucré. "Quand on est vraiment accro, c'est l'envie qui sera plus forte que la raison", ajoute la spécialiste. Résultat ? On s'est limité sur ce qui est bon pour l'organisme et on ne lui apporte que du néfaste.

    Ce qu'il faut faire : bien manger pendant les repas pour être rassasié et limiter les fringales.

     

     

    Faire le tri dans les placards !

    Gâteaux, chocolats, bonbons... On a beau les cacher au fond du placard, ils ne quittent pas notre esprit. Pour diminuer sa consommation de sucre, la meilleure chose à faire c'est un tri dans son placard à gourmandises. Attention : tout n'est pas à jeter. "Il faut éviter de manger des aliments avec des sucres ajoutés. Lorsque la glycémie est modifiée cela appelle le sucre et donne envie d'en manger plus. A force le corps s'habitue à sa dose et risque d'en demander plus", explique Valérie Espinasse, micronutritionniste.

    Les aliments à bannir : friandises, bonbons, gâteaux industriels, sodas, alcool, sauces (ketchup, mayonnaise, barbecue...) et toutes les préparations industrielles toutes faites.

     

     

    Arrêter de manger du pain blanc

    Selon Valérie Espinasse, micronutritionniste, "les personnes qui ont souvent des envies de sucré ont tendance à manger de grandes quantités de pain blanc". Il contient du gluten, un composé avec des peptides responsables du renforcement de l'addiction au sucre.

    Ce qu'il faut faire : éviter de manger du pain blanc. Si vous ne pouvez pas vous en passer, choisissez du pain sans gluten disponible dans les supermarchés.

     

     

    Ne surtout pas sauter un repas

    Si vous avez tendance à manger trop de sucre, mieux vaut ne pas sauter un repas. Vous êtes peut-être trop occupé ou n'avez pas faim sur le moment mais dans quelques heures votre estomac va vous tirailler. Lorsque le ventre gargouille, on n'écoute que son envie de manger et ses pulsions, c'est-à-dire du sucre pour les accros !

    Ce qu'il faut faire : respecter les trois repas par jour et manger à satiété pour éviter les fringales. Si la faim est quand même là, on peut prendre une poignée d'amandes en collation.

     

    Publié par Bénédicte Demmer, rédactrice santé 

     

     

     

    Source

    Merci à Valérie Espinasse, micronutritionniste auteur du livre J'arrête le sucre, Editions First, 2015

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    COMMENT ENLEVER LE TARTRE SUR LES DENTS

     

     

    Vos dents ont une coloration jaune en bordure des gencives ? Il s'agit de tartre. Ce dépôt inesthétique, secondaire à la formation de la plaque dentaire, favorise les maladies gingivales, les caries et le déchaussement dentaire. Medisite vous explique comment s’en débarrasser.

     
     

    Le tarte c’est quoi ?

    Le tartre désigne de la plaque dentaire qui s’est calcifiée. "La plaque dentaire est un enduit mou et collant formé à partir de la salive, des bactéries et des débris alimentaires" explique le Dr Christophe Lequart, chirurgien-dentiste et porte-parole de l’UFSBD. Elle se constitue après chaque prise alimentaire solide ou liquide.

     

     

    Tartre : limiter les bananes

    Pour réduire la formation du tartre sur les dents, il peut être bon de réduire sa consommation d’aliments collants. Pourquoi ? "Parce qu'ils favorisent la formation de la plaque dentaire et augmentent le risque de dépôts tartriques" répond le Dr Lequart.

    Parmi les aliments à risque : la banane. "Hyper sucrée et collante, ses débris stagnent sur la surface dentaire, ils sont ensuite colonisés par des bactéries ce qui est propice au développement du tartre" justifie le chirurgien-dentiste.

    A savoir : il existe des aliments protecteurs qui peuvent agir contre les bactéries responsables des caries ou des maladies gingivales. Il s’agit par exemple du chocolat noir sans sucre (grâce à ses tanins) et des aliments riches en fluor, qui renforcent l'émail des dents, comme les poissons, les pois chiches ou les haricots blancs.

     

     

    Faire des bains de bouche

    Utiliser un bain de bouche avant ou après le brossage peut limiter les dépôts de tartre. Il faut simplement différencier avant :

    - les bains de bouche à usage quotidien qui peuvent avoir un intérêt pour diminuer la présence de tartre en agissant en amont sur la plaque dentaire. "Ils la déstructurent et diminuent son adhésion sur la surface des dents ce qui favorise son élimination au brossage" explique le Dr Christophe Lequart. En éliminant la plaque avant qu’elle ne se calcifie, on l’empêche de devenir du tartre.

    - les bains de bouche à visée thérapeutique prescrits par le chirurgien-dentiste et qui ne doivent pas être utilisés au long cours.

     

     

    Le plus efficace : le détartrage pour atteindre les zones difficiles

    Le détartrage c’est LE moyen le plus efficace de se débarrasser du tartre. "Quand une personne vient faire sa visite annuelle chez le dentiste, dans 99,9% des cas, il y a toujours du tartre, indique le Dr Lequart. Notamment dans des zones préférentielles au développement du tartre mais difficiles à brosser : l’arrière des incisives inférieures et le côté des molaires supérieures."

    Durée du détartrage : 20 à 30 minutes.

    Fréquence : au moins 1 fois par an. Plus si le patient présente des problèmes de gencives (parodontites…).

    Efficacité : tout dépend ensuite du brossage.

    Remboursement : la sécurité Sociale prend en charge deux détartrages par semestres.

    A noter : "Le détartrage n’abîme pas les dents et les gencives" souligne notre interlocuteur. Et moins il y a de tartre sur les dents, moins il y a de risques de maladies gingivales et de caries.

     

     

    Boire du jus canneberge, anti tartre !

    La canneberge est une plante qui peut être utilisée pour prévenir la plaque dentaire, donc à terme le développement du tartre.

    Mode d’emploi selon le Vidal des plantes : boire 50 cl à 1 litre de jus de canneberge par jour (généralement dilué à 30% de jus de fruits et 70% d'eau).

     

     

    Brossage, fil dentaire : bien nettoyer les dents

    Se brosser les dents ne retire pas le tartre des dents. Par contre, cela permet de prévenir sa formation. Lors de chaque prise alimentaire, solide ou liquide, la plaque dentaire se forme sur les dents. Elle doit être éliminée lors du brossage. Sinon, elle se calcifie et se transforme en tartre.

    Fréquence du brossage : "Une bonne hygiène correspond à deux brossages par jour, matin et soir, pendant 2 minutes" rappelle le Dr Lequart.

    Matériels : une brosse à dents souple et un dentifrice contenant du fluor.

    Technique : il faut brosser les dents en effectuant des mouvements de rouleau du rouge vers le blanc, toujours dans un sens. Le soir, il est conseillé de compléter le brossage par le passage du fil dentaire et/ou des brossettes interdentaires.

     

     

    Quand la salive est responsable du tartre

    La salive peut jouer un rôle dans la formation du tartre dentaire. Par exemple "si elle est plus visqueuse, elle adhère plus facilement à la surface de la dent et favorise la formation de la plaque" explique le Dr Lequart. Or, plus la plaque se forme, plus il y a de risques qu’elle se calcifie et se transforme en tartre. Autre possibilité : que la salive diminue, comme chez les personnes âgées. S’il y a moins de lubrification dans la bouche, les dents sont moins protégées. Enfin, la prise de certains médicaments influence la production de la salive ce qui favorise la formation de la plaque dentaire. C’est le cas notamment des antidépresseurs.

    Une astuce : en prenant le temps de mastiquer, on augmente la production de salive ce qui réduit le risque de tartre.

     

    Publié par Aurélie Blaize, journaliste santé et validé par Dr Christophe Lequart, chirurgien-dentiste

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  • passeportsante.net

    Comprendre la graisse abdominale chez la femme

     

    Si la majorité des femmes stocke la plupart des graisses dans les hanches, les fesses et les cuisses, il peut arriver que d’autres prennent surtout de la graisse dans le ventre, empruntant ainsi aux hommes leur forme en pomme. Comment expliquer l’excès de graisse abdominale chez la femme et comment le réduire ?

     

     

    Un dérèglement hormonal en cause dans l’excès de graisse abdominale chez la femme

    Un dérèglement hormonal en cause dans l’excès de graisse abdominale chez la femme

    La situation hormonale détermine l’endroit du corps où les graisses seront stockées. Chez la femme, c’est l’insuline, le cortisol, les oestrogènes, la progestérone et la testostérone qui jouent un rôle dans la localisation des graisses. Si l’équilibre hormonal d’une femme est bon, les graisses se localiseront essentiellement dans le bas du corps. Les oestrogènes et la progestérone tendent à empêcher l’apparition de graisse abdominale tandis que le cortisol, l’hormone associée au stress, favorise la prise de graisse abdominale, autant chez les femmes minces que chez les femmes en surpoids. L’insuline, l'hormone de stockage de la graisse, est influencée par l’excès de calories venant des féculents et du sucre, sachant que les aliments qui contiennent à la fois des graisses et des sucres sont ceux qui ont le pire impact sur l'insuline. Enfin, contrairement aux hommes, les femmes qui présentent des niveaux élevés de testostérone sont celles qui ont la taille la plus large. C’est pour cette raison que si toutes les femmes ne prennent pas forcément de poids à la ménopause, elles ont tendance à voir leur silhouette se modifier1.

    Pour résumer, plus une femme a un faible ratio œstrogènes/testostérone, plus les aliments gras, sucrés et le stress favoriseront la prise de graisse abdominale. On considère généralement qu’à partir de 89 cm de tour de taille chez la femme, les risques de maladies cardiovasculaires, d’hypertension et de diabète de type 2 sont accrus2.

     

     

    Le rôle du stress dans l’excès de graisse abdominale chez la femme

    Le rôle du stress dans l’excès de graisse abdominale chez la femme

    La graisse abdominale n’est pas qu’une question de calories ou de poids. Une femme de poids normal peut tout à fait avoir une alimentation correcte, se dépenser physiquement et tout de même avoir de la graisse abdominale. Dans ce cas-là, il faut savoir que le problème réside certainement au niveau de la gestion du stress, car ce dernier a une grande influence sur la silhouette. Un stress physique ou psychologique entraîne la libération de cortisol dans l’organisme. Le cortisol possède une action hyperglycémiante (= il augmente le taux de sucre dans le sang) et a pour but de fournir au cerveau un apport d’énergie suffisant pour faire face aux agents de stress. La sécrétion prolongée de cortisol, comme dans les cas de stress chronique, provoque progressivement un épuisement des glandes corticosurrénales et de nombreux problèmes de santé, comme la résistance à l’insuline – qui peut entraîner à terme le diabète de type 2 –, de l’hypertension artérielle, de la dépression, et de l’embonpoint abdominal.

    Vous pensez peut-être que manger moins et faire plus de sport ne pourront en aucun cas empirer votre graisse abdominale ? Détrompez-vous : les régimes hypocaloriques et les séances de cardio-training intensif sont les sources les plus importantes de stress1. Le stress englobe non seulement les situations où on se sent anxieux ou déprimé, mais aussi le souci pour l’apparence physique, les tensions relationnelles, les problèmes professionnels, le manque de sommeil, les régimes extrêmes et le surentraînement, entre autres2.

     

     

    Comment faire fondre la graisse abdominale chez la femme ?

    Comment faire fondre la graisse abdominale chez la femme ?

    Rétablir l’équilibre hormonal pour réduire la graisse du ventre

    Pour rétablir l’équilibre entre les niveaux d’œstrogène et de testostérone, et également réduire le niveau de cortisol, il est important de se reposer et se détendre plusieurs fois par semaine. On peut s’offrir un massage, un sauna, ou tout simplement faire une sieste, prendre un bain chaud, passer un moment agréable avec sa famille, se balader, faire de la méditation… Le fait de faire 2 séances de musculation par semaine permet en outre d’utiliser la testostérone pour la construction du muscle plutôt que pour le stockage de la graisse1.

     

    Réduire le stress pour perdre de la graisse abdominale

    Vous l’aurez compris, il est contre-productif de cumuler entraînement intensif et régime pauvre en calories pour perdre la graisse du ventre. D’ailleurs, il est conseillé d’éviter tout type de régime extrême quel qu’il soit (pauvre en glucides, lipides…). Il vaut mieux faire le choix soit de manger plus en s’entraînant plus, soit de manger moins en s’entraînant moins, sachant que la dernière option montre souvent de meilleurs résultats1. Par ailleurs, le fait de marcher à un rythme lent pour se relaxer une heure par jour permet de faire baisser considérablement le niveau de cortisol et constitue l’un des meilleurs exercices pour les femmes ayant de la graisse abdominale récalcitrante.

    Et comme une hygiène de vie saine passe également par une bonne alimentation, il vaut mieux essayer de réduire autant que possible les aliments à la fois gras et sucrés, et d’augmenter la part des aliments riches en flavonoïdes car ils permettent de réduire l’activité globale du cortisol dans l’organisme. Mettez donc au menu les myrtilles, les groseilles, les pêches, nectarines, et le chocolat noir, entre autres.

     
    Samira Leroux
     
     
     
     

    Sources

    Un dérèglement hormonal

    1. J. Teta, Female Belly Fat: Stress, Menopause & Other Causes, www.metaboliceffet.com, 2013
    2. Mayo Clinic, Bally fat in women: Taking – and keeping – it off, www.mayoclinic.com, 2013

    Le rôle du stress

    1. Votre métabolisme est-il hors service ?, www.myhomebootcamp.net, 2012
    2. J. Teta, Female Belly Fat: Stress, Menopause & Other Causes, www.metaboliceffet.com, 2013 

    Comment faire fondre la graisse

    1. J. Teta, Female Belly Fat: Stress, Menopause & Other Causes, www.metaboliceffet.com, 2013 

     

     
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  • medisite.fr

    10 CHOSES QUE VOUS NE SAVEZ PAS SUR VOS ONGLES

     

     

    En combien de temps pousse un ongle ? Pourquoi ont-ils des taches blanches ? Pourquoi il ne faut pas toucher aux cuticules ? Quelles maladies peuvent-il révéler ? Beaucoup de fausses informations circulent sur les ongles. Medisite tire pour vous le vrai du faux, avec la dermatologue Nina Roos.

     

    Les taches blanches ne révèlent pas un manque de calcium

    "Contrairement à une idée reçue, les taches blanches sur les ongles ne témoignent pas d’une carence en calcium mais reflètent une moindre adhérence de l’ongle à un endroit localisé", explique la dermatologue Nina Roos. Cela peut être dû à un coup sur la matrice ou le plat de l’ongle. Le choc trouble la kératinisation de l’ongle qui n’apparaît plus transparent à un endroit.

    Rassurez-vous, ce type de problème, fréquent chez les personnes qui se rongent les ongles, est bénin. En revanche, "les ongles blancs de façon diffuse peuvent traduire une mycose locale ou une maladie générale", ajoute notre interlocutrice. Les patients concernés doivent consulter.

     

     

    Les ongles des mains poussent de 3,5 mm par mois

    En moyenne, les ongles des mains poussent de 3,5 mm par mois, d’après l’Académie Américaine de Dermatologie. "Mais ce chiffre peut varier en fonction de certains autres facteurs" indique Nina Roos. Par exemple, certaines personnes peuvent voir leurs ongles pousser plus vite grâce à leur patrimoine génétique. A l'inverse, des maladies (circulatoires notamment ou le diabète), des modifications hormonales, des périodes de stress, des carences en fer ou encore certains médicaments peuvent ralentir la repousse.

    A savoir : la croissance de l’ongle diminue avec l’âge.

     

     

    Les ongles des pieds poussent deux fois moins vite que ceux des mains

    Si vous coupez moins souvent vos ongles des pieds que ceux des mains, c’est normal. Ils poussent naturellement deux fois moins vite : en moyenne 1,6 mm par mois contre 3,5 mm pour ceux des mains.

    A noter : "Le besoin de couper ses ongles régulièrement dépend aussi de leur forme allongée ou arrondie" précise la dermatologue.

     

     

    Les ongles peuvent révéler une maladie

    Rien qu’en observant vos ongles, un dermatologue peut dresser un premier bilan de santé. "Même si c’est rapide et parfois non perçu par le patient, nous observons systématiquement les signes qui orienteraient vers une pathologie générale, en dehors des pathologies unguéales strictes pour lesquelles le patient consulte", explique le Dr Nina Roos, dermatologue.

    - Sur la forme : un ongle bombé peut refléter une maladie pulmonaire, hépatique et même un cancer.

    - Des ongles mal vascularisés, froids et pâles peuvent témoigner d’une artériopathie, d'une insuffisance cardiaque ou pulmonaire.

    - Sur la consistance : des ongles friables, mous ou cassants peuvent traduire des carences, notamment en fer.

    - Sur la couleur : des ongles blancs peuvent révéler une maladie digestive, pulmonaire ou un lymphome. Des ongles bruns peuvent montrer une maladie hormonale. De petites tâches rouges peuvent évoquer des maladies auto-immunes ou systémiques.

    Enfin, des rougeurs sur le pourtour de l’ongle peuvent témoigner d’une dermatomyosite.

     

     

    Il ne faut pas repousser les cuticules des ongles

    Repousser et couper les cuticules des ongles peut paraître normal, voire indispensable, pour les habituées des manucures. Pourtant, ce geste beauté peut être dangereux pour la santé. "Retirer la zone où la peau du doigt adhère à la tablette de l’ongle, c’est enlever l’étanchéité du doigt, prévient la dermatologue Nina Roos. Les cuticules empêchent la pénétration des microbes dans la peau et à la base de l’ongle." Il faut donc éviter de les repousser ou de les décoller, même s’ils vous paraissent disgracieux, sous peine de créer une brèche où les microbes s’inséreront facilement.

     

     

    Les ongles poussent plus vite l’été

    La saison (et le soleil) peut jouer un rôle sur la pousse des ongles. Ainsi, ils grandissent plus vite quand arrivent les beaux jours, comme les cheveux. Pourquoi ? La chaleur stimulerait la circulation sanguine ainsi que la création de kératine qui compose les ongles.

    A noter : les ongles de la main dominante (droite ou gauche) poussent aussi plus vite grâce à une meilleure circulation.

     

     

    Les ongles des mains mettent 6 mois à se régénérer

    Les chocs ou les coups peuvent abîmer ou faire tomber l’ongle. Mais pas de panique, ils repoussent ! Le processus de régénération, soit le temps que la matrice rejoigne le lit de l’ongle, peut mettre entre 5 et 6 moispour les ongles des mains. En revanche, comme les ongles des pieds mettent deux fois plus de temps à pousser, il faut compter entre 9 et 12 mois pour une repousse totale à cet endroit.

     

     

    Les ongles des hommes poussent plus vite

    De manière générale, les ongles des hommes poussent plus rapidement que ceux des femmes.

    Une exception : pendant la grossesse, les ongles des femmes poussent plus vite qu’à l’ordinaire grâce à la production accrue d'oestrogènes.

     

     

    Mettre du vernis à répétition étouffe l’ongle

    Le vernis, comme le dissolvant, agresse et abîme l'ongle. "Les ongles souvent vernis ou manucurés sont plus friables, plus mous ou peuvent souffrir d'une coloration jaune-orange", affirme Nina Roos. Dès lors, si les ongles sont naturellement fragiles ou le deviennent, "mieux vaut cesser de leur infliger des vernis pendant quelques mois" conseille la spécialiste.

     

     

    Les plus longs ongles du monde mesurent 7 mètres

    L’Américaine Chris Walton, surnommée "The Dutchess" détient le record des ongles les plus longs du monde ! Les "griffes" de sa main droite mesurent 3, 625 m, ceux de sa main gauche 3, 689 m. Enregistré dans leGuinness World Book 2015, la longueur de ses ongles atteint ainsi l’incroyable chiffre de 7, 314 m. The Dutchess n’aurait pas coupé ses ongles depuis 25 ans.

     

     

    Remerciements au Dr Nina Roos, dermatologue, pour sa collaboration à cet article.

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  • Comment s'alimenter quand on est fatigué ?

     

     

    Comment s'alimenter quand on est fatigué ?

     

     

    Que de personnes fatiguées, stressées, angoissées je rencontre dans mes conférences ou dans les nombreux mails que je reçois !

    Évidemment, je ne peux pas répondre à tout le monde. Je réponds en priorité aux personnes dont l’état de santé est le plus grave.

    Quand notre organisme doit gérer la fatigue récurrente ou permanente, ses stress, ses angoisses…, il réduit ses défenses immunitaires. Sans le savoir, de mauvaises habitudes alimentaires sont souvent en cause. On peut alors être plus facilement sujet à attraper virus, bactéries, champignons ou, selon nos susceptibilités génétiques, une maladie dite auto-immune qui peut toucher n’importe quel organe de notre corps : de la tête aux pieds (diabète de type II ou III, surpoids-obésité, et des rhumatismes à l’Alzheimer en passant par la thyroïde, le tube digestif, la peau, les articulations, le foie, les reins…).

    C’est la réduction de nos défenses immunitaires qui est aussi en cause dans l’apparition de telle ou telle localisation cancéreuse.

    Notre état immunitaire dépend en particulier :

    • d’une bonne et saine alimentation,

    • d’une saine activité physique,

    • d’activités psychiques et aussi spirituelles de nos choix libres,

    • d’un bon sommeil réparateur.

    Pour la plupart d’entre nous, c’est au niveau alimentaire qu’il faut faire attention et ne pas avoir peur de changer ses habitudes. Cela ne se fait pas du jour au lendemain, peut demander d’être accompagné par un coach compétent, libre des lobbies de l’agro-alimentaire.

    Voici ces quelques conseils alimentaires et les arguments les justifiant. (Rapide résumé du livre « Changez d’alimentation », 7e édition).

    Comment s'alimenter quand on est fatigué ?

    1/ Les aliments positifs pour notre santé, consommés insuffisamment

    LES VÉGÉTAUX

    Ils doivent être issus d’une saine agriculture : bio ou biodynamique avec le minimum de pesticides, insecticides et sans AGM (aliments génétiquement modifiés), donc au plus proche de la nature.

    - Les pains : choisir les pains complets issus de semences anciennes et pas de Monsanto (semences modernes génétiquement modifiées, dégradées, qui ne vivent qu’une année et ne se reproduisent pas…). La baguette de pain blanc même chaude et croustillante ne nous apporte pas les fibres, les minéraux, oligo-éléments et vitamines dont notre organisme a grand besoin.

    Les blés anciens d’Europe et même de Palestine, passés au moulin à meule de pierre, donnent une farine à l'origine de pains succulents, avec un gluten parfaitement digestible déjà dans notre palais des saveurs, grâce à la mastication, et à la salivation qui contient les premières enzymes de la digestion.

    Il en existe au sud de la France, en particulier à Cucugnan, dans le département de l’Aude – un environnement à préserver –, où Roland et Valérie Feuillas savent faire revivre les semences et pains anciens, avec le vrai froment, les levures naturelles sans ajout de gluten. C’est le pain « 100 % Nature ».

    Il apporte, en plus de son goût extraordinaire, les meilleures fibres, les minéraux, la vitamine A, les vitamines du groupe B et même des polyphénols, antioxydants, antivieillissement. Ils jouent donc certainement aussi un rôle préventif de certains cancers liés à l’âge.

    - Les fruits frais de saison et de proximité si possible bio

    Il ne s’agit pas de fruits en compotes ou cuits, car la cuisson détruit les vitamines et fait perdre aux fruits leurs qualités gustatives et les bons nutriments que l’arbre nous donne pour notre santé.

    Les fruits apportent :

    • Le fructose, le meilleur sucre pour le cerveau et le cœur qui d’abord arrive dans l’estomac après que le fruit a été longuement mastiqué et bien goûté.

    • La vitamine C qui dope l’immunité.

    • L’eau et les minéraux : 80 % d’eau et le potassium pour le cœur, le phosphore pour le cerveau, le meilleur calcium (végétal) pour les os absorbé jusqu’à 75 % par le tube digestif (si vous avez bien mastiqué) et le magnésium pour l’équilibre de l’humeur.

    • Les fibres, pour que dans votre intestin (grêle et côlon) se fabrique une flore microbienne en équilibre. C'est le « microbiote » nécessaire pour former des déchets normalement constitués et pas excessivement malodorants.

    Si vous avez des problèmes de côlon (irritable ou des diverticules, petites hernies qui peuvent s’infecter et rétrécir le calibre du côlon surtout à gauche) choisissez des fruits à fibres douces, tels que petites bananes, poires ou pommes sans la peau, kiwis, mandarines mais ni orange, ni pamplemousse ou ananas aux fibres trop agressives.

    Consommez les quand ça vous va bien, au début, au milieu ou à la fin du repas ou encore dans la journée. Si vous préférez en dehors des repas, surtout prenez bien le temps de les mastiquer et de vous en régaler. Pour les enfants, nous avons lancé il y a plus de 15 ans le concept des récrés fruitées dans les écoles primaires, mais tous les maires n’ont pas encore compris leur importance pour la santé de nos chers petits.

    L’idéal est donc de consommer 4 à 6 fruits frais par jour, longuement mastiqués : 2 au petit-déjeuner puis au repas de midi et du soir et/ou entre les repas à la place des viennoiseries, des sucreries, crèmes et autres pâtisseries qui apportent trop de sucres raffinés ou cachés.

    - Les salades contenant des végétaux de toutes les couleurs : laitue (qui possède un excellent antivieillissement, antioxydant, anticancer : la LUTEINE essentielle à l’entretien de notre rétine), les tomates fraîches, en saison évidemment, qui contiennent un excellent antivieillissement, antioxydant, anticancer : le LYCOPENE ; des amandes, noix, noisettes, du persil… avec leurs vitamines et leurs minéraux : le calcium excellent pour les os, le magnésium pour réguler l’humeur ; de l’avocat qui contient d’excellents acides gras, des bonnes fibres, des vitamines C et du groupe B (B1 à B6), nécessaires à votre cerveau, et les vitamines A (vision), E (neurones et fertilité), K (circulation-coagulation).

    Ne pas oublier d’arroser toutes les salades d’huile d’olive (voir plus loin) et de jus de citron. Le citron a un bon goût acide mais n’acidifie pas votre organisme.

    - Les légumineuses : lentilles, pois chiches, haricots qu’il faut faire cuire à la vapeur douce (pas plus de 95-97°C) et rapide de quelques minutes, afin de les consommer al dente, ce qui oblige à mastiquer au moins 20 à 30 secondes chaque bouchée entrée dans notre palais des saveurs. Ainsi les fibres, les nombreuses vitamines, les phytohormones sont conservées et assimilées au mieux par notre organisme.

    Une mastication suffisamment longue est vraiment la première condition d’une bonne digestion et assimilation de tous les aliments, en particulier les végétaux. C’est votre palais des saveurs qui vous dit que le fruit, la salade ou les légumineuses sont délicieux, et pas votre estomac !

    LES PRODUITS ANIMAUX issus d’une saine agriculture : bio ou biodynamique avec le minimum de pesticides, insecticides, antibiotiques, perturbateurs endocriniens (dopage hormonal des animaux…), et de farines animales.

    - Les protéines animales les meilleures sont dans les mers et océans. Elles apportent :

    • Les protéines de haute qualité.

    • Les acides gras marins essentiels (EPA et DHA en particulier).

    • Le fer notamment dans les fruits de mer.

    • La Vitamine D nécessaire à l’absorption du meilleur calcium (le végétal) au niveau du tube digestif.

    • Des Vitamines A et E et aussi B6 et B12 nécessaires au renouvellement de nos cellules, en particulier de nos globules rouges.

    • Les oligo-éléments de la mer, l’iode notamment dont notre thyroïde a besoin pour fabriquer nos hormones thyroïdiennes indispensables à la régulation thermique et au fonctionnement de la réactivité cérébrale.

    Quels poissons ? Les sardines fraiches, les maquereaux, les anchois frais, les dorades, bars, petits thons, flétan. En consommer 2 à 3 fois par semaine, voilà l’idéal.

    - Les protéines animales des animaux sur la terre

    • Choisir en priorité les animaux qui ont des ailes pour leur viande blanche facilement digestible, issus d’élevages bio : poulet, dinde, pintade, pigeon… On vous dira que c’est plus cher, c’est vrai, mais quand vous faites cuire un poulet élevé en batterie, vous obtenez un pigeon et vous devez compléter par 2 poulets en batterie de plus. Autant acheter au même prix un poulet vraiment bio !

    • La viande rouge est indiquée une seule fois par semaine. Elle contient des graisses cachées qui augmentent l’artériosclérose et les risques d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) et/ou d’infarctus du cœur. Une bonne côtelette, un bon steak (non haché), vous apporteront du fer facilement absorbé par le tube digestif (à éviter si vous avez trop de fer dans le sang du fait d’unehémochromatose – 1 personne sur 200 en France – voir ma lettre sur ce sujet sur mon site www.professeur-joyeux.com)

    Comment s'alimenter quand on est fatigué ?LES HUILES vierges, première pression à froid, dans toutes les salades et même sur les viandes et les poissons. Ne pas les chauffer car vous risquez d’atteindre le point de fumée de l’huile qui irrite les muqueuses en libérant des molécules toxiques, les acroléines en particulier.

    * L’huile d’olive apporte l’acide « oléique », acide gras qui facilite le transport du calcium (surtout végétal) vers l’os (l’os se renouvelle sans cesse), et des polyphénols à forte puissance antioxydante et anticancer (tyrosol, hydroxytyrosol et oléocanthal).

    L’huile d’olive la plus concentrée en polyphénols est « Olivie plus » dont je consomme en famille une cuillerée à soupe dans toutes les salades, mélangée à l’huile d’olive classique. Vous la trouvez en Europe sur le site www.medicatrix.be. Elle provient d’oliviers du Sud marocain qui grandissent dans les pierres sous un soleil de plomb et donnent ainsi le meilleur d’eux-mêmes (voir ma lettre spéciale sur mon site Polyphénols de l’huile d’olive, un trésor pour la santé).

    * Les huiles de colza ou de cameline ou de noix (conservées à l’abri de la lumière) apportent, en plus de la vitamine E, les acides gras dits oméga-3, essentiels pour la mémoire et le renouvellement des neurones de l’hippocampe. Nous fabriquons en moyenne 700 nouveaux neurones par jour dans cette zone du cerveau si nous le nourrissons bien et l’entretenons intellectuellement.

    LE SOLEIL (MÉDITERRANÉEN) est le meilleur moyen pour fabriquer la vitamine D.

    Le lien vital vitamine D-cholestérol

    * La fabrication de la vitamine D exige suffisamment de cholestérol. Plus on avance en âge plus on en a besoin. Le bon taux sanguin de cholestérol est entre 2 et 3 g par litre de sang, autour de 2,50.

    * Si le taux dans le sang de vitamine D est inférieur à 35-40 mol/l, il peut être utile de complémenter avec 1 à 5 gouttes par jour (400 UI/goutte) de vitamine D3 sous forme huileuse, associée à la vitamine K2 utile à la coagulation et au système osseux (vitamine D3-K2 chezwww.secure.cellinov.com), ou vitamine D3 seule avec Ergy D à raison d’une goutte par jour de chezwww.nutergia.fr.

    * Attention aux statines, elles peuvent trop abaisser le taux de cholestérol dont vous avez besoin. Il est classique de les prescrire dès qu’il y un peu de surpoids ou le moindre problème cardiaque (alors qu’il faut surtout changer ses habitudes). Ces statines sont délétères pour la santé sauf en cas d’hypercholestérolémie familiale d’origine génétique (dans ce cas, les taux montent très haut, nettement au dessus de 3 g).

    LES MEILLEURS SUCRES sont naturellement dans les miels de proximité : miels toutes fleurs, de romarin (pour le foie), de thym (tonique, anti-infectieux…), de lavande (anti-infectieux, apaisant). Si on est diabétique, on choisira surtout ceux d’acacia et châtaignier qui sont parfaitement tolérés par l’organisme. Évidemment, le miel ne se consomme pas à la louche ! À ce fabuleux produit de la ruche on pourra ajouter les extraits de propolis, la gelée royale (sauf en cas de cancer), les pollens pour stimuler l’immunité. Voir www.pollenergie.fr ; www.APIMAB.fr ; et www.secretsdemiel.com ; www.borda-ambrosi.fr

    LES MEILLEURS PRODUITS LAITIERS

    Les fromages de chèvre et de brebis, voilà l’idéal pour votre palais des saveurs et votre santé. Ils ont du goût, ce qui est intéressant car on est plus vite rassasié par un fromage fort comme le chèvre ou le Roquefort, à consommer avec des fruits comme poire, pomme ou raisin, surtout si on l’accompagne d’un ballon de bon vin rouge, si possible bio sans trop de sulfites.

    Un quart de portion par jour est suffisant pour l’apport protéique et en calcium animal. Les facteurs de croissance du lait sont évidemment en bien plus petite quantité dans les produits à base de lait de petits animaux que dans les produits laitiers de vache.

    2/ Les aliments consommés d’une manière générale en excès

    Comment s'alimenter quand on est fatigué ?

    - Les produits laitiers de vache en excès (les publicités des médias en conseillent 3 à 4 par jour, ce qui est abusif et peut même créer des problèmes de santé – maladies auto-immunes en particulier – au delà d’un produit laitier par jour, disent de récentes études scientifiques).

    * Autrefois, nos mamans faisaient bouillir le lait, et la crème épaisse dont on faisait de bonnes choses contenait les facteurs de croissance du lait détruits par l'ébullition : ces facteurs de croissance étaient et sont toujours destinés au veau, lequel prend 365 kg en une année après sa naissance, quand le bébé humain n’en prend que 5 [1].

    Ces produits laitiers de vache ne sont donc pas nécessaires à notre bonne santé, contrairement à ce que chantent sans cesse les publicités aux allégations nutritionnelles astucieuses, alléchantes mais justes à 50 % seulement.

    À ces facteurs de croissance s’ajoutent souvent des hormones qui perturbent chez l’humain sa digestion, ses métabolismes, sa croissance et nombre de ses organes et tissus (prostate, sein, articulations, cerveau, pancréas, foie…). En effet, après que la vache a mis bas une première fois, elle est réinséminée, à nouveau gestante tandis qu’on lui retire encore son lait pour nous, les humains.

    Son lait contient alors évidemment les hormones de sa gestation dont l’humain n’a pas besoin.

    * Les 24 milliards de litres de lait obtenus chaque année en France sont pour 98 % d’entre eux conservés à ultra haute température (UHT, choc thermique à 130-140°C durant 3 à 4 minutes), ce qui permet d’obtenir un lait stérilisé, mais dans lequel les facteurs de croissance sont toujours présents et actifs alors qu’ils ne sont pas destinés à l’humain. Les demandes officielles faites – concernant les taux des facteurs de croissance présents dans les produits laitiers – auprès des autorités de l’ANSES (Agence nationale de sécurité d’environnement et de santé) n’ont abouti que partiellement.

    En cancérologie, les nouveaux traitements du cancer sont des antifacteurs de croissance qui ont une grande efficacité sur les tumeurs : celles-ci peuvent s’être construites à partir de facteurs de croissance consommés dans notre alimentation. Mieux vaut donc éviter de consommer les produits laitiers animaux qui en contiennent beaucoup.

    Les produits laitiers contiennent du « lactose » (une molécule de galactose liée à une molécule de saccharose) dont le pouvoir sucrant est faible (0,16) par rapport au sucre complet ou raffiné dont le pouvoir sucrant est égal à 1 : ce qui fait que tout en étant riches en sucre, ils n’ont pas le goût sucré, ce qui conduit à ajouter du sucre et à augmenter l’apport de sucre dans l’alimentation. Les addictions au sucre deviennent alors inconscientes.

    Nous déconseillons de consommer les produits laitiers de vache sous forme liquide (lait, yaourts, lacti…, acti…) car ils ne sont pas mastiqués, acidifient l’organisme, contiennent des sucres cachés, sont consommés en trop grande quantité, font fuir une partie du calcium des os et augmentent l’ostéoporose.

    Les pays qui ont le plus de fractures du col du fémur sont les pays scandinaves qui consomment 3 à 4 produits laitiers par jour et pas assez de végétaux frais. Ce ne sont pas les lobbies des produits laitiers qui vous le diront, pas plus que les collègues dont les recherches, les publications ou les passages médiatiques sont soutenus par eux.

    - Les excès de viandes rouges : en consommer 1 seule fois par semaine, car elles contiennent trop d’acides gras saturés qui obstruent à la longue les petits vaisseaux du cœur (infarctus) et du cerveau (AVC) et des autres zones sensibles et intimes de l’organisme.

    - Le gluten moderne peu digeste

    * Dans les pains, autant dans le pain blanc que dans le pain complet. Le pain banc se comporte dans notre organisme comme du sucre (son index glycémique égal à 100 est identique à celui du sucre).

    Donc éviter le pain blanc dont nous faisons du gras (en effet, 1 g de sucre fournit 4 calories, 1 g de graisse fournit 9 calories, 1 g d’alcool fournit 7 calories). L’organisme surchargé en sucres les stocke en gras qui est cancérigène. Les 2 g de sucre + 1 cal font 1 g de graisse (économie de poids). La transformation des sucres et alcool en gras est une façon pour notre organisme de stocker de manière économique, puisque 2 g se transforment en 1 g. C’est évidemment à éviter.

    • Dans les pizzas, chargées de gluten peu digestible.

    • Dans les pâtes souvent trop cuites, qui apportent des glucides transformés en sucres rapides par la cuisson.

    • Dans les biscuits et les viennoiseries, le gluten et le sucre sont présents en trop grande quantité avec souvent du beurre ou des graisses industrielles.

    - Les cuissons excessives (four, micro-ondes, étouffée, cocotte minute…)

    * Ces cuissons détériorent la qualité nutritionnelle des aliments en transformant :

    • les sucres complexes en sucres simples

    • les protéines par glycation en sucres sous formes d’acides aminés glucoformateurs, donc qui s’ajoutent aux sucres.

    * Ces cuissons suppriment les qualités organoleptiques de l’aliment (saveurs, odeurs et aussi couleurs), d’où la nécessité d’ajouter aux plats préparés ou conserves industrielles des exhausteurs de goût qui peuvent être dangereux pour la santé.

    3/ Le mode de cuisson idéal pour votre santé

    Comment s'alimenter quand on est fatigué ?La cuisson à la vapeur douce et rapide permet à l’aliment de garder toutes ses qualités de goût et ses vertus nutritionnelles.

    En faisant subir à l’aliment une sorte de sauna, elle le fait transpirer, ce qui lui permet d'éliminer les pesticides et pollutions environnementales des mers, des airs, des aliments.

    L’aliment cuit à la vapeur douce et rapide est cuit al dente, c’est-à-dire croquant, ce qui oblige le consommateur à le mastiquer longuement et permet de le goûter, de se régaler et d’être plus vite rassasié.

    Ce mode de cuisson respecte les qualités organoleptiques et les meilleurs nutriments qui seront ensuite complètement digérés dans l’estomac puis absorbés par l’intestin grêle pour le plus grand bien de nos tissus et organes.

    4/ Les boissons abondantes pour avoir des urines claires et peu odorantes

    - Les meilleures

    Comment s'alimenter quand on est fatigué ?L’eau est très importante, elle doit être de qualité, éventuellement filtrée avec un filtre à osmose inverse. L’eau en bouteille coûte 10 fois plus cher que l’eau du robinet. Il est raisonnable de boire chaque jour 1 à 2 litres d’eau, pour hydrater correctement notre organisme, de la tête aux pieds. Une peau déshydratée, c’est un cerveau déshydraté qui aura rapidement des problèmes de mémoire…

    Un verre de bon vin rouge ou rosé (ou blanc pour accompagner les poissons et fruits de mer) :

    • Doit accompagner chaque repas, plutôt vers la fin du repas pour qu’il facilite la digestion des aliments et évite la constipation grâce à ses polyphénols.

    • Choisir de préférence les vins bio contenant peu de sulfites et plus rouges que blancs, car ils contiennent plus de polyphénols, antioxydants.

    Un à deux cafés par jour, et du bon, sans capsules (hydroxyde d’aluminium qui est toxique à la longue).

    Des tisanes le matin de thé vert, thym, romarin… Le soir de verveine, camomille, tilleul… selon ses goûts. Deux à trois grands bols de tisane sont un excellent moyen pour rester bien hydraté.

    - Les boissons les moins bonnes sont très connues : coca, sodas, red bull… et toutes les boissons industrielles, y compris les jus de fruits en bouteille qui sont dégradés en sucre et en acide. Tous contiennent trop de sucres ou faux sucres, et souvent des produits excitants destinés à multiplier la consommation et toxiques pour le système nerveux, le foie et les reins.

    Il me reste à vous souhaiter un bon appétit, une réduction de vos stress, de votre angoisse… bref une meilleure santé en mangeant mieux et meilleur.

    Le semaine prochaine je vous informerai sur une découverte récente du système immunitaire.

    Belle semaine à tous.

    Professeur Henri Joyeux

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  • wikihow.com

    Comment réduire naturellement la taille d'un fibrome

     

     

     

    Jusqu’à 30% des femmes entre 35 et 50 ans ont un fibrome, une excroissance bénigne qui se forme sur la paroi de l’utérus. Dans bien des cas, les fibromes sont trop petits pour être détectés et ne causent aucun symptôme. Cependant, quand les fibromes deviennent plus grands et se manifestent, il est nécessaire de suivre un traitement contre la douleur ou d’autres inconvénients liés au fibrome. Comme les médicaments pour traiter les fibromes présentent souvent des effets secondaires indésirables, bien des femmes recherchent une méthode naturelle pour réduire un fibrome. Voyez la première étape pour en savoir plus sur les fibromes et comment les traiter.

     
     

    Sachez ce qu’est un fibrome

    1.  
      Sachez à quoi vous avez affaire. Les fibromes sont des excroissances élastiques qui se forment sur la paroi de l’utérus. Ils se produisent le plus souvent chez les femmes en âge de se reproduire, surtout après 35 ans. Dans la plupart des cas, ces excroissances bénignes restent de petite taille et ne conduisent quasiment jamais à un cancer. Cependant, les fibromes peuvent sérieusement porter atteinte à la qualité de vie de certaines femmes. Les femmes d’origine africaine sont trois fois plus susceptibles de développer un fibrome que celles qui appartiennent à un autre groupe ethnique.
      • Les fibromes peuvent avoir la taille d’un melon, provoquant l’élargissement de l’utérus de la taille d’une grossesse de six mois. Bien que cela soit un cas extrême, il n’est pas rare qu’un fibrome atteigne la taille d’une balle de tennis ou d’un pamplemousse – donc assez large pour provoquer un réel inconfort et avoir un impact sur la silhouette.
      • Les fibromes peuvent obliger l’utérus à se coller contre l’intestin grêle ou la vessie, causant des problèmes tels qu’une constipation et un besoin fréquent d’uriner. [1]
      • Les fibromes peuvent parfois conduire à une fausse-couche ou un accouchement prématuré. [2]
      • Les fibromes peuvent épaissir démesurément la paroi utérine pendant le cycle menstruel, ce qui peut engendrer des règles plus importantes. Les fibromes peuvent provoquer chez certaines femmes des saignements importants, au point que les tampons ou serviettes hygiéniques sont trempés toutes les heures ou même des saignements tels qu’un tampon et une serviette cumulés ne parviennent pas à éponger le sang menstruel au bout d’une heure.
       
       
       
    2. Sachez ce qui provoque des fibromes.
       
       
      Certaines facteurs semblent être en jeu, tandis que les scientifiques ne savent toujours pas au juste ce qui cause des fibromes. Vous pouvez mieux savoir quel type de traitement peut vous convenir en étant mieux informée sur le sujet.
      • Il est possible que des anomalies présentes dans les vaisseaux sanguins de l’utérus puissent encourager l’apparition de fibromes.
      • La cause peut provenir de gènes qui provoquent une accélération de la croissance des cellules du muscle utérin.
      • Comme les fibromes semblent être en relation avec le cycle de reproduction féminin, qu’ils apparaissent rarement avant les premières règles et que le processus s’accélère souvent pendant une grossesse, les scientifiques supposent une implication hormonale des œstrogènes et de la progestérone. Ces hormones sont ciblées quand il s’agit de tenter des moyens naturels pour réduire la taille des fibromes.

       

       
    3. Sachez de quels traitements vous pouvez bénéficier. Pour les femmes qui vivent les pires effets secondaires des fibromes, l’hystérectomie était habituellement le premier traitement envisagé. Comme une hystérectomie consiste à enlever l’utérus, ce qui annule toute possibilité de grossesse pour une femme, ce traitement est à présent réservé aux cas où il n’existe pas d’autre solution. [3]
      • Les médecins travaillent à présent avec les femmes pour essayer une variété de traitements différents, allant de méthodes non invasives à la chirurgie afin de gérer un fibrome.
      • On teste constamment des médicaments ainsi que de nouvelles méthodes de traitement, avec l’émergence fréquente de nouvelles solutions.

       

       
    4. Prenez note des avancées de la recherche dans ce domaine. Il n’existe malheureusement aucune preuve scientifique de l’efficacité de n’importe quel traitement naturel pour un fibrome. [4] Il n’y a eu assez de recherches conduites sur l’une ou l’autre méthode, qu’il s’agisse de recommandations diététiques, de traitements homéopathiques, de sport ou autre. Cela signifie que si vous vivez une situation difficile avec un fibrome devenu inconfortable ou préjudiciable pour votre santé, vous devriez discuter de traitements de base avec votre médecin. Néanmoins, si votre fibrome n’est pas douloureux ou ne vous complique pas trop l’existence, il n’y a pas de mal à essayer quelques méthodes naturelles qui semblent soulager bien des femmes.
      • Pour votre sécurité, parlez à votre médecin des méthodes de traitement que vous voulez essayer pour vous assurer qu’elles n’auront aucune incidence sur votre santé.
       
     

    Essayez des méthodes naturelles

    1.  
      Essayez la méthode qui consiste à surveiller votre fibrome. Les médecins avaient l’habitude d’avoir une approche de prévention vis-à-vis des fibromes en les traitant souvent avec des remèdes invasifs, lesquels n’étaient pas vraiment nécessaires. Aujourd’hui, bien des médecins préfèrent attendre et voir l’évolution du fibrome quand ce dernier n’est pas assez grand pour causer de réels problèmes. La plupart des fibromes finissent par se dissoudre d’eux-mêmes, la patience peut donc être payante dans ce cas de figure. ref>http://www.drweil.com/drw/u/ART03122/Fibroids.html</ref>
      • Les fibromes ont tendance à se former lors du cycle de reproduction de la femme, à grossir lors d’une grossesse pour diminuer après la ménopause. Il est souvent préférable d’attendre plusieurs années plutôt que de prendre des médicaments qui ont des effets secondaires ou de recourir à la chirurgie.
      • Comme un fibrome ne devient quasiment jamais cancérigène, il n’y a pas de mal à le laisser sur l’utérus tant qu’il ne pose pas d’autres problèmes. Même avec un fibrome sur votre paroi abdominale que vous pouvez sentir quand vous touchez votre ventre – ou même voir si vous y regardez de près – vous pourriez ne pas avoir besoin de le faire enlever sauf si c’est vraiment nécessaire.
      • Si vous préférez attendre et voir évoluer votre fibrome, voyez d’abord un médecin et assurez-vous de bien avoir un fibrome. Tout autre type d’excroissance ou de grosseur nécessite une intervention chirurgicale immédiate.

       

       
    2. Be Vegetarian on a Budget Step 6.jpg
       
       
      Envisagez de manger le plus possible d’aliments biologiques. C’est une méthode naturelle qui ne peut vous faire aucun mal – et cela pourrait finir par faire réduire votre fibrome. Bien des aliments non biologiques contiennent des hormones de croissance ajoutées ainsi que des pesticides, lesquels peuvent aussi contenir des hormones. Comme il est possible que les taux d’œstrogènes soient liés aux fibromes, il est très indiqué d’éviter l’ingestion d’hormones synthétiques.
      • Assurez-vous que la viande que vous achetez soit sans hormones. Cela vaut aussi pour les produits laitiers.
      • Faites vos courses sur les marchés locaux auprès de fermiers bio et assurez-vous de bien demander au vendeur si les aliments sont bien issus de l’agriculture biologique.

       

       
    3. Mangez plus de légumineuses. Les haricots secs et autres légumineux sont censés réduire le taux d’œstrogènes dans l’organisme. Essayez de manger au moins une fois par jour des haricots blancs, des petits pois, des lentilles, des pois chiches, des pois cassés ou tout autre type de légumineuse que vous appréciez.
      • Évitez néanmoins de consommer des pousses de soja ou tout autre produit au soja non fermenté lequel contient des taux d’œstrogènes élevés.

       

       
    4. Essayez des compléments alimentaires et des plantes pour réduire le fibrome. Bien qu’il n’y ait aucune preuve scientifique que les plantes et les compléments alimentaires soient efficaces, cela vaut la peine d’essayer certaines plantes et compléments qui font diminuer les taux d’œstrogènes et peuvent éventuellement freiner la croissance d’un fibrome. Essayez les remèdes naturels suivants :
      • L’extrait de pépins de raisins est censé réduire les taux d’œstrogènes dans l’organisme. [5]
      • La teinture mère de gattilier pourrait réduire la taille d’un fibrome en réduisant le taux d’œstrogènes. [6]
      • L’agripaume peut aider à réduire un fibrome. Essayez sa version en teinture mère.
      • Buvez du jus de framboise ou une tisane d’actée à grappes noires pour réduire la taille d’un fibrome. [7]
      • Les compléments alimentaires à base d’Omega-3 peuvent aussi réduire les taux d’œstrogènes.
       
    5. Lose 20 Pounds in 30 Days Step 2.jpg
      Gardez un poids correct. Comme une masse graisseuse importante est liée à un taux d’œstrogènes élevé, vous pouvez réduire votre fibrome en perdant du poids et en gardant un poids correct. Mangez beaucoup de céréales complètes, de fruits frais et de légumes, des fruits secs et des graines ainsi que de la viande maigre afin de ne pas reprendre de poids. Il est tout aussi utile de faire régulièrement un sport d’endurance.
       
     

    Essayez d’autres solutions de traitement

    1. Songez à la voie médicamenteuse. La plupart des médicaments prescrits pour réduire un fibrome sont conçus pour modifier votre bilan hormonal. Ils empêchent le développement des hormones qui provoquent le fibrome, ce qui permet à la longue de réduire le fibrome. #* L’hormone qui libère des gonades (gonatropine) est le médicament le plus couramment prescrit pour réduire un fibrome. Ce produit met l’organisme dans un état de post ménopause, ce qui bloque la production d’œstrogènes. Il comporte plusieurs effets secondaires à court et à long terme. [8]
      • Un contraceptif oral est souvent prescrit à des femmes ayant un fibrome et souffrant de règles très abondantes, même si la pilule ne change rien à la taille du fibrome.
       
    2. Voyez pour un acte chirurgical par IRM avec des ondes sonores. Il s’agit d’une opération non invasive qui ne demande aucune incision. Les ondes sonores sont utilisées pour localiser, chauffer et détruire les fibromes.[9]
       
    3. Voyez pour une intervention très peu invasive. D’autres interventions nécessitent une incision, mais elles détruisent le fibrome sans acte chirurgical pour l’enlever. Ces méthodes fonctionnent assez bien et ne demandent aucune intervention chirurgicale importante.
      • La myomectomie est une intervention qui permet de retirer un fibrome sans toucher à l’utérus.[10]
      • L’embolie utérine consiste à injecter une substance dans les artères utérines pour couper l’afflux de sang en direction du fibrome.
       
    4. Voyez si la chirurgie est la meilleure solution. Dans des cas extrêmes, un acte chirurgical d’importance peut être le meilleur moyen d’enlever un fibrome qui compromet la santé de l’organisme. On peut procéder à un acte chirurgical majeur pour s’assurer que le fibrome soit bien enlevé, qu’il s’agisse d’une myomectomie abdominale ou d’une hystérectomie. [11]
       
       

    Conseils

    • Essayez de manger le plus possible d’aliments crus.
     
     

    Avertissements

    • Évitez de manger des aliments préparés comme le bacon, les saucisses et de la viande trop grasse.
    • Ne cuisez pas trop vos aliments.
     
     

    Édité par WikiHow Traduction, Chmuller, WikiQualité

     

     
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  • sante-nutrition.org

    5 parties du corps que vous ne saviez pas que vous pouviez guérir


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    Il y a des choses étonnantes que le corps fait avec lui-même. Une chose étonnante est qu’il ya des parties du corps qui peuvent se guérir.

     

    Le corps est un organisme incroyable en raison de sa capacité de se guérir. Le corps ne peut pas se régénérer comme certains lézards. Cela ne signifie pas que le corps ne peut pas se guérir. Beaucoup de parties du corps comme les poumons, les artères, les os et le cerveau ont des pouvoirs de guérison. Voici la liste de ce que ces parties du corps peuvent faire.

    Façons dont vous pouvez garder votre corps en bonne santé:

     

     

    1. Nettoyer les poumons: Les poumons sont importants pour garder l’air que nous respirons propre. Les cils dans les poumons ont la capacité de déplacer les produits toxiques des alvéoles à la trachée. La façon dont vous pouvez vous rendre service est de faire de l’exercice régulièrement. La respiration profonde détend tout et permet à tout de bouger. Mangez beaucoup de carottes, de patates douces, de mangues et d’autres sources de vitamine A.

     

     

    2. Reconstruction des os: Les os sont notre fondation. Lorsque les os cassent, les ostéocytes sont libérés de la structure osseuse. Consommez plus de vitamine K en mangeant des légumes-feuilles et du brocoli, des épinards, des avocats, et des tomates.

     

     

    3. Stimuler l’intestin: Si nous avons une mauvaise alimentation, alors nous nous sentons mal parce que la flore intestinale est infectée. La muqueuse de l’intestin peut être endommagée si vous mangez des aliments nocifs. Mangez des fibres qui proviennent des fruits et légumes crus peut aider à réparer la muqueuse de l’intestin endommagée.

     

     

    4. Développer le cerveau: Les scientifiques ont longtemps pensé que les cellules du cerveaux mouraient lentement en vieillissant. Des recherches récentes suggèrent que le cerveau est comme la peau et tente de se guérir après avoir été lésé. L’exercice est bénéfique pour le cerveau. Les neurones du bulbe olfactif et de l’hypothalamus jouent un rôle clé dans l’apprentissage et la formation de nouveaux souvenirs.

     

     

    5. Elargir les artères: La graisse et le cholestérol se durcissent dans les artères après des années d’accumulation. Le corps a la capacité naturelle d’élargir les artères existantes et même à en créer de nouvelles grâce à un processus appelé angiogenèse. Maintenez vos artères en bonne santé en limitant les aliments pro-inflammatoires, en évitant les graisses trans et en consommant des aliments anti-inflammatoires et des fruits et légumes.

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  • sante-nutrition.org

    Tu bois du lait ? Pourquoi ?


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    Le principe de précaution est une manière élégante de dire « mieux vaut prévenir que guérir ». Souvent appliqué lors de décisions à risque d’affecter la santé publique ou l’environnement, le principe de précaution affirme que des preuves rigoureuses – et non la preuve absolue – devraient suffire à orienter les politiques publiques concernant les enjeux majeurs.

     

    La santé des enfants de notre nation est un de ces enjeux d’importance majeure. Ceux et celles d’entre nous engagés dans le débat sur le petit déjeuner à l’école peuvent ne pas s’entendre sur plusieurs points, mais quand il s’agit de la santé de nos enfants, nous sommes tous d’accord avec « mieux vaut prévenir que guérir. »

    Du moins, nous devrions l’être.

    La semaine dernière, mes collègues et moi avons publié un rapport intitulé « Appliquer le principe de précaution à la nutrition et au cancer » dans le Journal de l’American College of Nutrition. Le rapport met en garde contre la forte association entre le cancer et le lait, un aliment de base des repas des écoliers.

    Nous avons découvert que la consommation de 35 g de protéines laitières chaque jour, l’équivalent d’une tasse de mozzarella faible en gras, augmente le risque de cancer de la prostate de 32 pour cent. Boire seulement deux verres de lait par jour augmente le risque de 60 pour cent.

    La connexion entre produits laitiers et cancer n’est pas nouvelle. Les chercheurs de Harvard ont constaté que les hommes buvant deux verres de lait ou plus par jour sont presque deux fois plus susceptibles de développer un stade avancé ou une propagation du cancer de la prostate que ceux qui ne boivent pas de lait. Une autre étude publiée plus tôt cette année a révélé que les régimes riches en viande et produits laitiers étaient liés à un quadruplement du risque de décès par cancer – ce qui signifie que manger beaucoup de produits animaux peut être tout aussi dangereux que de fumer.

    Nous ne sommes pas à 100 pour cent sûr pourquoi les produits laitiers sont si dangereux, mais leur haute teneur en matières grasses est du moins partiellement à blâmer. Une étude menée sur plus de 90 000 femmes a démontré que celles dont le régime est élevé en gras de source animale avaient un risque de 40 à 50 pour cent plus élevé de cancer du sein par rapport aux femmes qui en mangeaient le moins.

    Certes, nous ne pouvons pas affirmer avec une certitude absolue que les produits laitiers causent le cancer. Afin de prouver cela au-delà de tout doute, il faudrait mener un essai randomisé contrôlé: le standard élevé en matière de recherche. Mais lorsque la probabilité de causer du dommage est élevée, une telle étude défie les règles de l’éthique. C’est pourquoi aucun ERC n’a été mené afin de prouver que le tabac cause le cancer du poumon.

    Au lieu de cela, nous disons « mieux vaut prévenir que guérir » et nous fions à notre bon jugement – et aux preuves scientifiques rigoureuses que nous avons déjà.

    Alors pourquoi appliquons-nous tout le contraire en exposant les enfants à des aliments nocifs? Bourrer les repas des enfants de produits laitiers cancérigènes équivaut à les souscrire à une expérience grande échelle tout à fait contraire à l’éthique, dont les résultats apparaissent déjà sombres.

    La réponse est que, avec la politique d’aujourd’hui, le profit l’emporte sur la précaution. Malgré le risque plus-que-probable, le ministère de l’agriculture des États-Unis admet ouvertement que « le gouvernement fédéral encourage la consommation de produits laitiers. » Depuis le milieu des années 1990, l’industrie laitière a reçu plus d’un milliard de dollars en subventions fédérales et a gagné des milliards de plus de la part du « National School Lunch Program. »

    L’USDA gère également un programme laitier de contributions obligatoires faisant la promotion d’un large éventail de produits, en passant des hamburgers MacDonald par la pizza Domino. Le programme a aidé MacDonald à vendre 6 millions de livres de fromage supplémentaires en 2009 et a permis d’intégrer la pizza Domino dans plus de 2000 écoles en 2011. Il continue de promouvoir aux enfants d’autres produits laitiers malsains, y compris le lait et le yogourt sucré, en passant par le déjeuner et le dîner à l’école.

    Non seulement ces programmes sont de toute évidence des revenus corporatifs, mais ils sont d’autant plus en contradiction directe avec les directives diététiques établies par l’USDA elle-même. Ces directives, conçues pour aider les américains à « maintenir un poids santé, promouvoir la santé et prévenir la maladie, » invitent les consommateurs à limiter leur consommation de graisses saturées, de sodium et de sucre.

    Il s’avère que les produits laitiers sont la principale source de gras obstruant les artères, tout en étant aussi l’une des principales sources de sucre et de sodium dans l’alimentation des américains. En grande partie à cause du lait et du fromage, un enfant d’âge scolaire sur cinq a désormais un taux de cholestérol élevé – un précurseur de maladies cardiaques. Un tiers des enfants est obèse ou en surpoids alors qu’un enfant sur trois développera le diabète au cours de sa vie.

    Face à ces épidémies, je mets au défi le Congrès Américain et mes collègues défenseurs de repas scolaires sains à penser au-delà des normes en vigueur. Il est temps d’ouvrir un débat plus large sur ce qui devrait et ne devrait pas être dans les assiettes de nos enfants – et de laisser la précaution nous guider.

     

     

    Levin, M.S., R.D., est directrice de l’éducation en nutrition pour l’organisme à but non lucratif Physicians Committee for Responsible Medicine.

    Article original: The Hill

    Traduction: Santé Radieuse

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  • sante-nutrition.org

    Endométriose : enfin un traitement qui marche


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    L’endométriose est une maladie peu connue des femmes qui en sont atteintes et des médecins qui les soignent. Les gynécologues, eux, connaissent bien cette affection dont ils constatent l’inexorable progression chez leurs patientes mais, bizarrement, ils ne s’interrogent pas systématiquement dès lors qu’une de leurs patientes déclare souffrir pendant ses règles et ressent également des douleurs lombaires, a des saignements, ou se plaint d’une fatigue persistante.
    Ainsi, de très nombreuses femmes souffrent d’une maladie qu’elles ignorent et que personne n’a diagnostiquée. Mais celles qui savent qu’il s’agit d’une endométriose ne sont pas beaucoup plus avancées car aucun traitement ne semble vouloir venir à bout de cette maladie qui use le moral car elle rend difficile les rapports sexuels, la vie professionnelle et la vie de famillle.

     

    Toutes les malades le disent, les douleurs pelviennes engendrées par l’endométriose sont parfois si violentes qu’elles entraînent une incapacité totale ou partielle pendant quelques jours voire, dans les cas les plus sévères, qu’elles nécessitent le recours à des antalgiques puissants et même morphiniques. Bien plus grave, une proportion importante des patientes atteintes d’endométriose souffrent de problèmes d’infertilité.

    « C’est normal que vous ayez mal pendant vos règles ! »

    C’est inlassablement ce que les médecins disent aux patientes quand elles parlent de douleurs pelviennes au moment de la menstruation, car si l’endométriose est bien souvent sous-estimée par les patientes, elle est aussi  méconnue des médecins et le diagnostic est parfois très tardif.

    On considère qu’en moyenne, il faut six ans avant que la découverte de la maladie ne soit avérée. Les douleurs apparaissent avec les premières règles et, si rien n’est fait, durent pendant des années, parfois jusqu’à la ménopause. Pendant tout ce temps donc, des femmes souffrent de douleurs parfois invalidantes dont elles ignorent la cause et qui influent directement sur leur vie professionnelle et personnelle.

    Une sous-évaluation du nombre de cas

    Les différentes statistiques, en France, comme à l’étranger, rapportent qu’une femme sur 10 en âge de procréer souffrirait d’endométriose. Spécialiste du département gynécologie-obstétrique de Clermont-Ferrand, le Docteur Michel Canis déclare, en outre, que l’on peut considérer qu’environ 20 à 40% des femmes stériles pourraient être atteintes d’endométriose et la proportion, chez les femmes souffrant de douleurs pelviennes, serait de 40 à 50%.

    Pour le Docteur Canis, les chiffres pourraient être bien plus élevés car il y a un sous diagnostic de la maladie. Cette sous-évaluation du nombre de cas est d’ailleurs confirmée par Delphine Ludzay, présidente d’Endofrance, l’association de lutte contre l’endométriose. De plus, des études tendent à prouver que la maladie serait en progression car, si autrefois elle était diagnostiquée chez les femmes à partir de 35 ans, l’âge moyen est désormais à la baisse et la maladie serait maintenant diagnostiquée chez les femmes à partir de 25 ans.

    Que se passe-t-il pendant le cycle ?

    Durant le cycle menstruel, la muqueuse utérine, appelée endomètre, va réagir aux hormones ovariennes. Les œstrogènes lui permettent de se développer et la progestérone va aider à l’implantation de l’œuf en cas de fécondation. Quand il n’y a pas de grossesse, la couche superficielle de l’endomètre se décompose, saigne et est éliminée sous la forme des règles.

    Un mécanisme qui ne marche pas chez 10 à 15% des femmes

    Chez la plupart des femmes, le sang contenant les cellules muqueuses, s’écoule par le vagin, mais par un phénomène de reflux, passe aussi par la cavité abdominale, les trompes et les ovaires. Ce reflux est tout à fait normal. Le sang et les cellules endométriales finissent par être éliminés naturellement par l’organisme. Mais, chez la femme qui souffre d’endométriose, cette élimination ne se produit pas. Pire encore, les cellules endométriales qui devraient être évacuées, se fixent sur des zones où elles ne devraient pas se trouver, comme les ovaires, le vagin, les trompes, le rectum, la vessie et l’intestin.

    Des muqueuses migrantes qui colonisent les organes

    Ces bouts de muqueuse qui adhèrent à certains organes du bas ventre, à un endroit où ils ne devraient pas être, suivent le rythme hormonal du cycle, comme s’ils se trouvaient dans l’utérus. Ils se mettent à saigner au moment des règles, en déclenchant des réactions inflammatoires qui créent des lésions. En se désagrégeant, ces lésions laissent une cicatrice fibreuse à chaque cycle menstruel. C’est l’inflammation des tissus qui va être source de douleurs, tout comme les cicatrices qui peuvent se superposer et former des nodules et des kystes, eux aussi à l’origine de souffrances parfois aigües.

    Aucun traitement curatif à ce jour ?

    Quand une endométriose est détectée chez une patiente, on lui propose en première intention un traitement hormonal visant à empêcher le saignement des lésions. Cette hormonothérapie est une sorte de ménopause chimique destinée à créer une aménorrhée qui, certes, va réduire les douleurs, mais n’empêche pas la progression des lésions. On soigne la conséquence, mais pas la cause !

    En outre, ce traitement hormonal présente de nombreux effets secondaires mal tolérés, sans compter que son effet contraceptif est évidemment incompatible avec une grossesse.

    Une autre solution est l’intervention chirurgicale qui permet de retirer les kystes et lésions provoqués par la maladie, mais des études scientifiques indiquent que le taux de récidive est d’environ 20% et que, tant que toutes les lésions n’ont pas été supprimées, la maladie peut réapparaître et se propager à d’autres tissus.

    Des causes environnementales pointées du doigt

    Les chercheurs soupçonnent que la migration de l’endomètre hors de l’utérus est en fait liée à plusieurs facteurs : génétiques, immunitaires, hormonaux et environnementaux.

    Marina Kvaskoff est épidémiologiste doctorante au laboratoire « Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations » (Inserm) de Villejuif. Selon elle, l’exposition a des produits comme les Bisphénols A, les phtalates, les pesticides organo-chlorés et les dioxines, qui sont des perturbateurs endocriniens, peuvent jouer un rôle sur le risque d’apparition de la maladie.Une étude récente réalisée chez la souris montre par exemple que l’exposition prénatale des souris au Bisphénol A pourrait favoriser une pathologie ressemblant à l’endométriose chez les souris femelles.

    Deux minéraux essentiels dans la régulation des facteurs de l’endométriose

    Le zinc et le manganèse sont deux minéraux qui jouent un rôle essentiel dans la limitation des facteurs qui favorisent l’endométriose. En effet :

    • L’endométriose est liée aux œstrogènes : Le zinc participe à une meilleure synthèse des hormones limitant, entre autre, une production accrue d’œstrogènes. C’est justement cette production trop importante d’œstrogènes qui favorise la croissance et le développement de l’endométriose.
    • L’endométriose se caractérise par une prolifération continue : Le manganèse agit sur la prolifération des cellules endométriales en réduisant le stress oxydatif. Son action antioxydante va diminuer les implants endométriosiques, ainsi que les effets inflammatoires locaux.
    • L’endométriose induit une résistance à la mort cellulaire : L’apoptose, ou mort cellulaire programmée, est régulée par le zinc car il agit sur les protéines engagées dans la régulation de l’apoptose. Quant au manganèse, il limite les perturbations de la fonction immunitaire. Or, l’apoptose est la base des maladies auto-immunes.
    • L’endométriose possède un pouvoir métastasique : Le zinc va limiter les propriétés invasives des lésions endométriques, qui sont liées en partie à leur capacité à sécréter en continu les métalloprotéinases.
    • L’endométriose entraîne l’infertilité : Dans une étude faite en 2013, un lien entre la fertilité et le zinc a été clairement établi. Il protège les follicules des risques d’oxydation, augmentant ainsi leur fertilité.

    L’endométriose et le cuivre, une association à gérer finement

    Le cuivre se trouve en quantité infime, mais essentielle, dans le sang et dans les autres tissus au niveau du cytoplasme, du noyau et des mitochondries de la cellule. Il est donc indispensable au métabolisme cellulaire où il concourt, en tant que cofacteur, dans un grand nombre d’enzymes. Or, une étude menée chez 72 femmes, dont 31 au stade III/IV d’endométriose et 41 femmes contrôlées, a démontré que le cuivre (et le fer) jouent un rôle dans l’endométriose. Les taux de cuivre sont effectivement significativement plus élevés chez les patientes souffrant d’endométriose.Un excès de cuivre peut, par ailleurs, favoriser l’angiogenèse (la croissance de nouveaux vaisseaux sanguins à partir d’un réseau capillaire existant), un processus fortement impliqué dans l’inflammation et dans le développement de l’endométriose. L’augmentation duVascular endithelial growth factor (VEGF) est le facteur angiogénique principal de l’endométriose. Moduler le taux de cuivre permet de réguler le VEGF.

    Calcium et magnésium, les « indispensables » dans la lutte contre l’endométriose

    Ces deux minéraux jouent un rôle essentiel dans le bon fonctionnement et l’équilibre de notre organisme. De façon générale, on peut dire que partout où le calcium joue un rôle dans la contraction, le magnésium agit pour faciliter la relaxation. Tous deux participent à de nombreux processus enzymatiques.

    Le magnésium est le stabilisateur des différents compartiments cellulaires (noyau, mitochondries etc…), il fixe le calcium et contrôle puis régule son entrée dans la cellule et les liquides intracellulaires. C’est aussi un anti-stress naturel, sa présence est donc essentielle au bon fonctionnement des muscles, des artères et des cellules nerveuses.

    Le calcium est, lui,indispensable à la coagulation du sang, à la perméabilité des membranes cellulaires, au maintien de la pression sanguine et aux contractions musculaires. Son action anti-inflammatoire permet de soulager les douleurs liées à l’endométriose.

    La formule d’oligo-éléments qui peut tout changer

    Pourrait-on traiter l’endométriose avec ces simples nutriments ? C’est la question que s’est posée le laboratoire Nutri Lab qui a mis au point une combinaison de nutriments, en associant les macros et oligo-éléments essentiels qui permettent de combattre les facteurs favorisant l’endométriose.

    Le protocole Nutri Endo est une synergie globale de tous ces nutriments, qui optimise les critères de biocompatibilité et de biodisponibilité. En effet, prendre un seul de ces oligoéléments ne permet pas de résoudre un problème de santé comme une endométriose. De même, associer de façon aléatoire plusieurs oligo-éléments peut avoir de graves répercussions. Nous savons que les effets de ces derniers varient en fonction de leur combinaison et de leur dilution (notamment, dans le cas de l’endométriose, le cuivre).

    C’est pourquoi Nutrilab a associé ces macros et oligo-éléments essentiels, selon une formulation étudiée et des ratios très précis, afin de créer une synergie globale qui va optimiser l’apport de ces nutriments, leur synergie et leur assimilation. Ainsi, la combinaison des informations contenues dans chacun de oligo-éléments, délivre à l’organisme des instructions de fonctionnement correct afin de permettre l’autorégulation et de faciliter la communication cellulaire.

    C’était un pari, mais il semble qu’il soit réussi.

    Ce protocole 100% naturel a déjà fait ses preuves

    Une étude observationnelle du protocole Nutri Endo a été faite en 2014 et rapporte des résultats qui vont donner un réel espoir à toutes les femmes souffrant d’endométriose. On pourrait même parler de miracle !

    27 gynécologues, répartis sur tout le territoire français, ont participé à cette étude sur des patientes âgée de 25 à 52 ans. L’étude a été faite sur la base du score AFSr (American Society Fertility), sorte d’échelle de Richter de la sévérité de l’endométriose. T1 indique une endométriose minime, T2 modérée, T3 est le stade d’endométriose moyenne et T4 d’endométriose sévère.

    • Pour les stades 1 :
      100% des douleurs (moyennes et forts) ont disparu
      après 30 jours de prise du protocole Nutri Endo.
    • Pour les stades 2 :
      100% de réduction des douleurs a été constaté après un mois de prise et 100% de disparition des douleurs après 60 jours de prise.
    • Pour les stades 3 :
      100% des douleurs (moyennes et fortes) ont disparu après 30 jours de prise
      .
    • Pour les stades 4 :
      chez 76% des patientes, une réduction de près de 50% des douleurs après 30 jours de prise a été constatée et un taux de 100% de disparition des douleurs après 60 jours et 90 jours de prise.

    Des résultats indubitables pour les stades les plus sévères

    L’étude a rapporté des observations particulièrement saisissantes chez les patientes atteintes d’une endométriose stade 4.

    Chez une patiente stade 4 inopérable, les douleurs ont commencé à réduire dès le 1er mois et ont disparu à 100% après 60 jours de prise. Les résultats sont maintenus et stables après 10 mois. En outre, chez 24% des patientes sévèrement atteintes, une réduction progressive des douleurs sur 90 jours de prise a été observée, ramenant l’intensité des douleurs à 2 sur 5, avec une très nette amélioration de la dyspareunie.

    Chez deux patientes, présentant une endométriose invalidante, depuis plus de 10 ans (12 ans pour l’une et 14 ans pour l’autre), les douleurs ont été réduites à proche de zéro après 60 jours de prise.

    Chez une patiente stade 4 ayant subi 4 opérations infructueuses, les douleurs ont été réduites de 80 % après 60 jours de prise.

    Enfin, chez une patiente présentant une endométriose invalidante depuis 8 ans, une réduction de 90% des douleurs et de tous les foyers endométriaux a été constatée après 120 jours de prise.

    Ces résultats peuvent sembler incroyables pour une maladie qu’on pensait difficile, voire impossible à soigner. Et je ne finirai pas cet article sans vous avoir parlé de cette patiente allemande, atteinte trop sévèrement pour être opérable et touchée par l’endométriose jusque dans les poumons.Après avoir pris le protocole Nutri Endo, ses douleurs ont disparu et l’on pouvait même parler de rémission. La patiente qui enfin retrouvait le goût à la vie, n’a pas pu s’empêcher de prendre un train d’Allemagne pour venir jusqu’au laboratoire Nutrilab de Paris pour « embrasser » toute l’équipe qui lui avait rendue la vie. Si ça lui est arrivé, pourquoi cela n’arriverait-il pas à d’autres ?

    PS : le protocole n’est pas donné, 180 euros pour 28 jours de traitement*. Mais il est pour le moment le seul traitement crédible de l’endométriose. Et nous ne pouvions pas manquer de vous en parler.

    * 144 euros chez la-vie-naturelle.com

     

    Caroline Morel

    Alternative Santé

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  • medisite.fr

    8 ASTUCES POUR DÉTOXIFIER SA PEAU

     

     

    Teint terne, rougeurs, peau granuleuse, pores bouchés... C'est peut-être le signe d'une surcharge en toxines. Voici les meilleures astuces détox pour une peau nettoyée, purifiée et sans défaut.

     
     

    10 verres d'eau par jour

    Cellulite, boutons, rides... L'eau est indispensable à la peau pour aider le corps à éliminer les toxines qui peuvent ressortir de manière déplaisante sur votre silhouette lorsqu'elles s'emmagasinent trop. Pour cela, deux gestes sont à effectuer quotidiennement :

    - Boire 8 à 10 verres d'eau par jour : c'est le minimum pour une hydratation normale du corps. Cela permet à la peau de garder son élasticité et sa souplesse, et d'empêcher le stockage des toxines dans l'épiderme.
    - Mettre une crème hydratante : pour maintenir l'eau à l'intérieur de la peau et favoriser son système d'élimination, il faut appliquer une crème hydratante quotidiennement.

     

     

    Un sauna faciale pour libérer les pores

    Prendre soin de sa peau ne doit pas être une corvée. Pour allier détox et plaisir, il faut penser aux bains vapeur. La chaleur humide va permettre de faire transpirer les pores de la peau pour éliminer les toxines qui les bouchent et donnent un aspect dilaté. Une fois les pores ouverts, les huiles essentielles vont pénétrer à l'intérieur, raffermir les tissus et éliminer les excès de sébum grâce à leurs propriétés assainissantes.

    En pratique : bien nettoyer sa peau. Faire bouillir 720 ml d'eau minérale. Une fois l'eau hors du feu, ajouter 1 cuillère à café d'achillée millefeuile, 1 cuillère à café de sauge, 1 cuillère à café de romarin et 1 cuillère à café dementhe poivrée. Laisser infuser 5 minutes. Mettre ensuite le visage à 25 cm au-dessus de la casserole avec les yeux bien fermés, pendant une dizaine de minutes. A la fin, le nettoyer à l'eau froide et tamponner simplement avec une serviette pour essuyer sans frotter.

     

     

    Un brossage à sec pour mieux éliminer les toxines

    Le brossage à sec de la peau est une technique japonaise pour éliminer les toxines. En frottant, la circulation du sang est activée, les tissus sont mieux nourris et oxygénés, et les pores grands ouverts. Ils éliminent mieux les toxines.

    En pratique : tous les matins avant la douche, se frictionner les bras, les cuisses et le ventre à l'aide d'une brosse à poils souples en faisant des mouvements circulaires. Puis bien rincer sans savon.

    A noter : pour le visage, faire pareil mais en utilisant une brosse à poils ultra-doux.

     

     

    Un massage à l'huile d'olive pour retrouver de l'éclat

    Votre teint est terne, il manque de souplesse ? C'est certainement à cause d'une accumulation de mauvaise nourriture, d'alcool et/ou de cigarette et d'un manque d'hydratation. Pas de panique ! L'huile d'olive est émolliente. Elle va permettre d'éliminer toutes les erreurs accumulées et de les réparer grâce à sa puissante action hydratante.

    En pratique : se nettoyer le visage. Verser de l'huile d'olive extra-vierge (de préférence biologique) sur la pulpe des doigts. Masser le visage en pratiquant de petits cercles pour bien faire pénétrer.

     

     

    Manger du poisson et des noix pour désengorger le foie

    L'aspect de la peau résulte à la fois de l'extérieur (pollution...) et de l'intérieur. Une mauvaise alimentation peut engorger les organes principaux comme le foie et les intestins qui servent à éliminer les toxines. Du coup, si leur fonction est altérée, la peau est davantage sollicitée pour l'élimination. Et les effets des déchets accumulés sont directement visibles dans le miroir.

    Les aliments à favoriser : ceux qui sont riches en graisses poly-insaturées et Oméga 3 comme les poissons gras, l'huile de colza et les noix. Beaucoup de fruits et de légumes aussi car ils contiennent des antioxydants qui luttent contre les toxines.

    Les aliments à éviter : les laitages entiers, la viande rouge, les boissons sucrées et les aliments industriels.

     

     

    Un masque à l'argile pour purifier et assainir

    Les pores de la peau constituent une double porte pour les toxines. C'est par là qu'elles s'évacuent avec la transpiration, mais aussi qu'elles y entrent à cause de la pollution extérieure. Lorsque le système d'élimination est trop sollicité ou bouché, les impuretés ressortent et se manifestent par des boutons, rougeurs voire même des plaques rouges allergiques. Pour nettoyer et désincruster les pores, voici un soin à l'argile connu pour purifier et assainir la peau.

    En pratique : verser 2 cuillères à soupe d'argile et 1 cuillère à café d'huile de jojoba dans un récipient. Mélanger le tout avec une spatule en bois et ajouter une 1 cuillère à café d'eau. Appliquer la pâte obtenue sur le visage en couche épaisse. Laisser poser 10 minutes puis rincer à l'eau tiède. A réaliser 2 fois par semaine.

     

     

    De la racine de bardane pour drainer la peau

    Transpiration, excès de sébum, squames rouges... Tous ces signes indiquent que les glandes de la peau qui servent à éliminer les toxines sont bouchées ou enflammées. Pour l'aider à respirer de nouveau, rien de mieux que la bardane. Cette plante est connue pour son action sudorifique, elle favorise l'élimination des déchets.

    En pratique : faire bouillir un demi-litre d'eau et y verser 10 g de racines de bardane. Laisser le tout réduire d'un tiers, filtrer puis verser dans un récipient. Boire une tasse tiède de la préparation 3 fois par jour.

     

     

    Stopper la cigarette : elle bouche les pores de la peau

    La peau est la première barrière face à la pollution extérieure, il ne faut pas lui en ajouter plus. Pourtant c'est malheureusement ce qu'il se passe avec la cigarette. Nickel, plomb, hydrocarbure... La fumée du tabac contient plus de 5000 substances chimiques qui sollicitent beaucoup le système d'élimination du foie et le drainage pulmonaire. Lorsqu'ils sont encombrés, la peau doit se charger d'évacuer l'excédent de déchets. Si on lui en demande trop, les toxines restent dans les pores.

     

    Publié par Bénédicte Demmer, rédactrice santé 

     

     

    Sources

    - Les meilleures cures détox par les plantes, Dr Franck Gigon, Editions Rustica, 2006

    - Sos peau aunaturel, Julien Kaikbeck, Editions Quotidien Malin, 2014

    - Beauté et soins au naturel, Stéphanie Tourles, Prat éditions, 2010

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  • sante-nutrition.org

    Le fluor, ce poison mortel qui vous veut du bien !

     

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    Il est tout de même très étrange — vous en conviendrez — que l’on puisse vendre le fluorure de sodium comme un très bon remède contre les caries, en en mettant dans l’eau, le sel et le dentifrice, alors que le produit lui-même, comme le démontre l’illustration ci-dessus, est un poison extrêmement toxique (raticide, souricide…). C’est le même schéma intellectuel et scientifique absurde que l’on retrouve pour le mercure des amalgames dentaires ! C’est pourquoi nous estimons opportune la rediffusion des deux vidéos concernant le fluor, réalisées en 2008 (la deuxième est accessible à la fin de cet article). Il n’est jamais trop tard pour comprendre et réagir.

     

    Et vous pensiez que tout ce que le gouvernement fait, il le fait pour vous ? Vous devriez changer d’idée… La première fois que de l’eau potable a été fluorée, c’était dans les camps de concentration de l’Allemagne nazie. La Gestapo ne pensait pas aux présumés bienfaits du fluor sur les dents des enfants. Du fluorure de sodium était ajouté à l’eau afin de rendre les humains stériles et forcer les prisonniers des camps de concentration à demeurer dociles. (Source : The Crime and Punishment of I.G. Farben – Le crime et la sentence de I.G. Farben de Joseph Borkin).

    Voici une lettre qu’un chimiste nommé M. Charles Perkins a envoyé à la Lee Foundation for Nutritional Research (Fondation Lee pour la recherche en nutrition) de Milwaukee, Wisconsin, le 2 octobre 1954 :

    « Dans votre lettre du 29 septembre, vous me demandiez plus de documentation sur une déclaration que j’ai faite dans mon livre The Truth About Water Fluoridation (La vérité sur la fluoration de l’eau), comme quoi ce serait le communiste russe Kreminoff qui aurait importé en Angleterre l’idée d’ajouter du fluor à l’eau.

    Dans les années 1930, Hitler et les Nazis  envisageaient d’imposer une philosophie nazie de pangermanisme au monde entier. Les chimistes allemands avaient mis au point un plan très ingénieux de grande portée permettant de contrôler la masse. Ils l’ont présenté à l’état-major allemand et il a été adopté. Ce plan consistait à contrôler la population de n’importe quel endroit en contaminant les réserves d’eau potable. De cette façon, ils pouvaient, entre autres, contrôler la population de régions entières et réduire la population en ajoutant des substances à l’eau causant la stérilité chez les femmes. Dans ce projet de contrôle de la population, le fluorure de sodium occupait une place de choix. » (…)

    L’ingestion régulière de quantités infinitésimales de fluor réduit la capacité d’une personne à résister à la domination en empoisonnant et en intoxiquant lentement une certaine partie du cerveau. Cette personne devient donc soumise à la volonté de ceux qui désirent la gouverner. » (Une lobotomie légère pratique).

    L’eau n’est pas fluorée pour améliorer la santé dentaire des enfants. Si c’était la raison véritable, cela pourrait se faire beaucoup plus facilement à des coûts moindres et de façon plus efficace. La fluoration de l’eau a comme but véritable de contrôler et dominer la population plus facilement et de lui faire accepter la perte des libertés individuelles. »

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    Quand les Nazis d’Hitler ont envahi la Pologne, les États-majors allemand et russe ont discuté de science et de guerre et ils ont échangé des idées, des plans et du personnel. Le projet de contrôler la masse par la contamination de l’eau a particulièrement intéressé les communistes russes qui y voyaient une façon idéale d’imposer le communisme au monde entier. » (…)

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    J’ai été informé de tous les aspects de ce plan par un chimiste allemand qui travaillait pour l’important consortium chimique I.G. Farben et qui était actif dans le mouvement Nazi à l’époque. J’affirme ceci avec toute l’ardeur et la sincérité d’un scientifique qui a passé presque vingt ans de sa vie à étudier la chimie, la biochimie, la physiologie et la pathologie du fluor : une personne qui boit de l’eau fluorée artificiellement pendant un an ou plus ne sera plus jamais la même physiquement ou mentalement.  » – CHARLES E. PERKINS, Chimiste, 2 octobre 1954.

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    Dans une lettre parue en janvier 1952 dans The Catholic Mirror à Springfield, au Massachusetts, E.H. Bronner (un chimiste qui a été fait prisonnier de guerre durant la Deuxième Guerre mondiale) cite le neveu d’Einstein. Des extraits :
    « Il semble que les citoyens du Massachusetts sont les suivants à l’ordre du jour des empoisonneurs d’eau. »

    « Aujourd’hui, dans notre pays, travaille un réseau sinistre d’agents subversifs et de parasites ‘intellectuels’ sans Dieu. Les ramifications de ce réseau deviennent de plus en plus importantes, efficaces et alarmantes d’année en année. Son objectif véritable est de démoraliser, paralyser et détruire notre grande République – selon leurs plans, de l’intérieur si c’est possible – afin de s’en approprier.
    Le succès tragique qu’ils ont déjà obtenu durant leur long siège pour détruire le courage moral de la vie américaine est maintenant l’un de leurs meilleurs atouts pour leur victoire finale sur nous. La fluoration de l’eau de notre communauté peut très bien devenir leur arme la plus subtile qui nous détruira physiquement et mentalement de façon certaine. (…) »

    Je suis un chercheur en chimie dont la réputation n’est plus à faire. Pendant les 22 dernières années, j’ai construit trois usines américaines de produits chimiques et j’ai accordé des licences pour six de mes 53 brevets. Selon l’expérience pratique que j’ai acquise au cours des années dans les domaines de l’alimentation biologique et de la chimie, laissez-moi vous avertir : la fluoration de l’eau potable est une folie criminelle, un suicide national certain. Ne le faites pas.

    Même en petites quantités, le fluorure de sodium est un poison mortel contre lequel aucun antidote efficace n’a été trouvé. Tous les exterminateurs savent qu’il est la substance la plus efficace pour tuer les rats… Le fluorure de sodium est complètement différent du fluorophosphate de calcium organique fourni par la nature, grâce à l’amour et la providence de Dieu, dont notre corps a besoin pour bâtir et renforcer nos os et nos dents. Ce fluorophosphate de calcium, lorsqu’il provient des aliments appropriés, est un sel organique comestible qui ne se dissout pas dans l’eau et qui peut être facilement assimilé par le corps humain, tandis que le fluorure de sodium non organique utilisé pour fluorer l’eau est un poison instantané pour le corps et il est complètement soluble dans l’eau. Le corps refuse de l’assimiler.

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    Des expériences méticuleuses et objectives en laboratoire effectuées par des ingénieurs chimistes consciencieux et patriotiques ainsi que l’expérience médicale actuelle ont démontré qu’au lieu d’aider à conserver une bonne santé dentaire, l’eau potable fluorée détruit les dents, avant et après l’âge adulte, en les tâchant et en leur causant des maladies. Elle provoque aussi d’autres maladies graves aux organes internes de la personne qui la boit. Comment peut-on dire que c’est un projet  « sain » ? Que se cache-t-il derrière tout cela ?

    Il est incroyable que des soi-disant  « médecins » puissent convaincre une nation civilisée d’ajouter volontairement un poison mortel à son eau potable. C’est le comble de la folie criminelle.

    Il n’est pas surprenant qu’Hitler et Staline se soient entendus de 1939 à 1941 sur un point, citant Le dernier testament de Lénine et Mein Kampf (Mon combat) d’Hitler :  « L’Amérique que nous démoraliserons, diviserons et détruirons de l’intérieur. » (…)

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    Est-ce que nos organisations de Protection Civile et nos agences sont au courant des dangers de l’empoisonnement de l’eau par fluoration ? D’autres pays fluorent leur eau potable.

    Selon les chimistes, les mélanges d’eau et de fluorure de sodium sont les plus efficaces et les moins coûteux pour tuer les rats : sans couleur, sans odeur, sans goût ; pas d’antidote, pas de remède, pas d’espoir : une extermination complète et instantanée des rats.

    La fluoration de l’eau peut être un suicide national lent ou une liquidation nationale rapide. C’est de la folie criminelle. Une trahison ! – E.H. BRONNER, Ingénieur chimiste, Los Angeles.

    La plus vieille preuve russe disponible sur la fluoration :

    « Moi, Oliver Kenneth Goff, étais membre du Parti Communiste et de la Youth Communist League (Ligue de jeunesse communiste) du 2 mai 1936 jusqu’au 9 octobre 1939. Durant cette période, j’opérais sous l’alias John Keats et mon numéro était 18-B-2. Ma déposition devant le Gouvernement se trouve dans le Volume 9 du Un-American Activities Report for 1939. (Rapport sur les activités anti-américaines en 1939).
    Pendant que j’étais membre du Parti Communiste, je suis allé à des écoles enseignant le communisme à New York et au Wisconsin (…) et on nous préparait pour le renversement révolutionnaire du gouvernement américain. (…) Nous avons amplement discuté de la fluoration des réserves d’eau et de la façon dont on s’en servait en Russie comme tranquillisant dans les camps de prisonniers. Les dirigeants de notre école étaient d’avis que si du fluor était ajouté aux réserves d’eau des américains, un esprit de léthargie envahirait la nation, ce qui rendrait les gens dociles pendant l’intrusion progressive du communisme. Nous avons aussi discuté du fait que garder du fluor mortel près du réservoir d’eau serait avantageux pendant la révolution car il serait possible de verser ce poison dans les réserves d’eau et ainsi tuer la population ou bien la menacer de liquidation. Elle se rendrait donc pour obtenir de l’eau fraîche. »

     

    Le libre penseur

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  • passeportsante.net

    Vrai - Faux sur la viande

     

    C’est un fait : la consommation de viande n’en finit pas de grimper dans le monde. La progression est telle que beaucoup imaginent déjà un monde végétarien dans les décennies à venir. Les chercheurs sont même parvenus à créer de la viande synthétique en se passant totalement de chair animale en 2013. Mais, pour l’heure, la viande fait encore partie de notre quotidien et de multiples croyances continuent de circuler à son sujet. Sont-elles toujours vraies ?

    Manger un steak haché saignant peut être risqué

    Manger un steak haché saignant peut être risqué

    Vrai.
    Il n’existe aucun risque à manger une pièce de viande saignante car les bactéries présentes à sa surface sont rapidement détruites par la chaleur. En revanche, lorsqu’il s’agit de viande hachée, les bactéries se retrouvent à l’intérieur, du fait des multiples manipulations subies par la viande. Un simple aller-retour à la poêle ne suffit donc plus à les éliminer. La bactérie appelée Escherichia Coli entéro-hémorragique est souvent impliquée dans des gastro-entérites plus ou moins sévères du fait de mauvaises cuissons de viande hachée (on la surnomme la « maladie du hamburger »). Certaines populations sensibles (les enfants en bas âge, les immunodéprimés, etc.) peuvent même connaître de sérieuses complications telles qu’un syndrome hémolytique. Voilà pourquoi il est plus prudent de bien cuire la viande hachée : le centre ne doit plus être rosé et le jus qui s’en écoule doit être clair.

     

     

    Une grande consommation de viande rouge augmente le risque de cancer

    Une grande consommation de viande rouge augmente le risque de cancer

    Probablement Vrai.
    L’impact d’une consommation importante de viande sur l’incidence de divers cancers est très controversé. Néanmoins, il existe suffisamment d’études ayant rapporté une association entre les deux pour se montrer prudent. Plusieurs d’entre elles ont notamment rapporté un lien entre viande rouge et cancer colorectal1-4, aussi bien chez l’homme que chez la femme. Cette relation serait particulièrement marquée au-delà d’une consommation quotidienne de140 grammes de viande rouge. Dans d’autres recherches, cette dernière a aussi été reliée à un risque plus élevé de cancer du pancréas5, du poumon6, du sein7, de la vésicule biliaire8, de l’estomac9 et de l’œsophage10, sans que l’on ne puisse conclure à un lien définitif pour l’heure.

     

     

    La viande saignante contient plus de fer que la viande bien cuite

    La viande saignante contient plus de fer que la viande bien cuite

    Vrai.
    Si la cuisson permet une meilleure tendreté de la viande, elle transforme inévitablement le profil des nutritionnels des aliments. Et le fer n’y fait pas exception ! Des chercheurs ont fait cuire des morceaux de bœuf à différentes températures et durées de cuisson. Ils se sont aperçus que le fer héminique soluble devenait insoluble (donc beaucoup moins assimilables) au fil de la cuisson. A des températures plus élevées, il se transforme même en fer non-héminique, c'est-à-dire sous la même forme que dans les végétaux1. Ainsi, pour les cuissons les plus longues (pot-au-feu, cuisson braisée), la réduction de la teneur en fer héminique atteint pratiquement 50 % !

     

     

    Le porc est une viande grasse

    Le porc est une viande grasse

    Faux.
    On considère souvent le porc comme une viande grasse mais, en réalité, on confond la teneur en gras global de la carcasse et la teneur en lipides de la viande. Il se trouve que le gras du porc se trouve majoritairement en périphérie et qu’il est donc facile de dégraisser les morceaux avant la cuisson. De plus, la teneur en lipides est extrêmement variable selon les coupes de viandes. Par exemple, le bacon contient jusqu’à 45 % de lipides, alors que le filet de porc et le jambon n’en contiennent pas plus de 4 %. Il faut également préciser que le porc est une viande plus riche en acides gras insaturés qu’en acides gras saturés (globalement néfastes pour la santé cardiovasculaire) que ne l’est par exemple la viande de bœuf, même si le rapport reste défavorable.

     

     

    Les protéines de la viande sont nutritionnellement plus intéressantes que les protéines végétales

    Les protéines de la viande sont nutritionnellement plus intéressantes que les protéines végétales

    Vrai.
    Contrairement aux protéines végétales, les protéines animales contenues dans la viande sont complètes, c'est-à-dire qu’elles contiennent tous les acides aminés non synthétisés par l’organisme et essentiels au maintien de son intégrité. Il est néanmoins possible de pallier les déficiences en certains acides aminés des végétaux en exploitant leur complémentarité : l’association des légumineuses aux produits céréaliers ou aux noix permet est un choix très intéressant car, contrairement aux viandes, les végétaux sont riches en fibres, en glucides complexes et en phytonutriments, et faibles en gras saturés. Il n’est par ailleurs pas nécessaire de faire ces associations au même repas : la recherche a démontré que ces aliments étaient complémentaires lorsqu’ils sont consommés durant une période de 24 heures. Enfin, il faut noter que le soja est le seul aliment d’origine végétale à échapper à cette règle puisqu’il contient tous les acides aminés essentiels.

     

     

    Le fer contenu dans la viande est mieux assimilé que celui contenu dans les végétaux

    Le fer contenu dans la viande est mieux assimilé que celui contenu dans les végétaux

    Vrai.
    On sait aujourd’hui qu’il existe deux types de fer : le fer héminique que l’on trouve dans la viande mais aussi les poissons, et le fer non héminique que l’on trouve dans les fruits, les légumes et les céréales. Dans les deux cas, seule une fraction de ce fer est réellement absorbée par l’organisme. Mais il y a une réelle différence de « biodisponibilité » entre les deux fers précédemment évoqués : le fer héminique est plutôt bien assimilé (20 à 30 % du fer contenu dans la viande traverse réellement les barrières digestives) alors que l’absorption du fer non héminique est faible et variable (de 1 à 5 %) en fonction du repas. Certains facteurs contenus dans l’alimentation vont en effet augmenter ou réduire cette biodisponibilité. Par exemple, la vitamine C et le poisson l’améliorent tandis que les polyphénols comme les tannins (contenus notamment dans le thé ou le vin) la réduisent.

    Ce n’est donc pas la teneur réelle du fer dans les aliments qu’il faut considérer : la qualité du fer prévaut sur sa quantité. Par exemple, le bœuf ne contient que 2 à 4 mg de fer pour 100 g, mais il s’avère plus intéressant (sur le strict plan du fer) que les germes de blé qui en contient pourtant 3 fois plus.

    Attention, il reste tout à fait possible pour les végétariens de combler les besoins en fer à condition de composer les repas en conséquence et d’effectuer des contrôles réguliers : la carence en fer constitue le trouble nutritionnel le plus répandu dans le monde.

     

     

    La cuisson excessive des viandes (grillades, friture) est cancérogène

    La cuisson excessive des viandes (grillades, friture) est cancérogène

    Vrai.
    Lorsque les viandes sont cuites à des températures élevées, des composés potentiellement cancérogènes se forment à la surface : ce sont les fameux brunissements qui accompagnent la peau croustillante d’un poulet à la broche ou les grillades du barbecue. Leur formation dépend à la fois de la méthode et de la température de cuisson. Ainsi, le grill, le barbecue et la friture provoquent généralement l’apparition massive de ces composés, alors que plats mijotés ou cuits au four n’en contiennent que très peu. Sur ce sujet, la littérature scientifique est formelle : le lien entre la consommation régulière de ces composés (dont on a identifié les amines hétérocycliques (AHC) et les hydrocarbones aromatiques polycycliques) avec divers types de cancers est établi.

     

     

    La consommation de la viande a fortement augmenté depuis 2000 en France et au Canada

    La consommation de la viande a fortement augmenté depuis 2000 en France et au Canada

    Faux.
    Dans les pays développés comme la France et le Canada, la consommation de viande ne progresse plus depuis le milieu des années 2000. Elle a même tendance à diminuer légèrement, probablement du fait des préoccupations en matière de nutrition, de bien-être animal et d’environnement ! Aujourd’hui, cette consommation se situe autour de 80 kg par an et par habitant, ce qui est largement au dessus des recommandations alimentaires prônées par le PNNS ou Santé Canada. On note que la consommation de la viande bovine tend à diminuer contrairement à celles du poulet et surtout des préparations à base de viande qui occupent une place de plus en plus importante. De manière surprenante, on s’aperçoit que sur la même durée, les consommations de poissons et de substituts de viande comme les légumineuses ou les noix, diminuent également.

     
     
     
     
     

    Sources

    La viande rouge augmente le risque de cancer

    1. 1. Norat T, Bingham S, Ferrari P et al. Meat, fish, and colorectal cancer risk: the European Prospective Investigation into cancer and nutrition.J Natl Cancer Inst 2005 June 15;97(12):906-16.
    2. Larsson SC, Rafter J, et al. Red meat consumption and risk of cancers of the proximal colon, distal colon and rectum: the Swedish Mammography Cohort. Int J Cancer 2005 February 20;113(5):829-34.
    3. English DR, MacInnis RJ, et al. Red meat, chicken, and fish consumption and risk of colorectal cancer. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev 2004 September;13(9):1509-14.
    4. Seow A, Quah SR, Nyam D, et al. Food groups and the risk of colorectal carcinoma in an Asian populationCancer 2002 December 1;95(11):2390-6.
    5. Seow A, Quah SR, Nyam D, et al. Food groups and the risk of colorectal carcinoma in an Asian populationCancer 2002 December 1;95(11):2390-6.
    6. Pellegrini H, De SE, et al. Meat consumption and risk of lung cancer; a case-control study from Uruguay. Lung Cancer 1996 June;14(2-3):195-205.
    7. Holmes MD, Colditz GA, Hunter DJ et al. Meat, fish and egg intake and risk of breast cancer. Int J Cancer 2003 March 20;104(2):221-7. Missmer SA, Smith-Warner SA, et al. Meat and dairy food consumption and breast cancer: a pooled analysis of cohort studies. Int J Epidemiol 2002 February;31(1):78-85.
    8. Pandey M, Shukla VK. Diet and gallbladder cancer: a case-control study. Eur J Cancer Prev 2002 August;11(4):365-8.
    9. Ward MH, Sinha R, Heineman EF et al. Risk of adenocarcinoma of the stomach and esophagus with meat cooking method and doneness preference.Int J Cancer 1997 March 28;71(1):14-9.
    10. Michaud DS, Augustsson K, et al. A prospective study on intake of animal products and risk of prostate cancer. Cancer Causes Control 2001 August;12(6):557-67.

    La viande saignante

    1. Gandemer G, Scislowski V., Duchène C. , Kondjoyan A. Devenir du fer héminique de la viande bovine au cours de la cuisson. Incidences nutritionnelles. 

     

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  • sante-nutrition.org

    Pourquoi le sucre est appelé « La Mort Blanche »

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    Aussi bon qu’il soit, le sucre n’est PAS votre ami. Vous pouvez « le ressentir » comme un ami quand il vous réconforte (en raison de l’afflux de béta-endorphine dans votre cerveau), mais le sucre est vraiment votre ENNEMI. La vérité est que la consommation régulière d’aliments sucrés est une des pires choses que vous puissiez faire pour votre santé. La recherche scientifique moderne nous a montré, sans l’ombre d’un doute, que le sucre dans votre nourriture (dans toutes ses innombrables formes) produit un effet dévastateur sur votre santé.

    Jetez un coup d’œil aux tendances de consommation de sucre des 300 dernières années:

    • En 1700, la consommation moyenne par personne est d’environ 2 kg de sucre par an.
    • En 1800, la consommation moyenne par personne est d’environ 9 kg de sucre par an.
    • En 1900, la consommation individuelle était montée à 45 kg de sucre par an.
    • En 2012, plus de 50 % de tous les Américains consomment plus de 100 g de sucre par jour — soit plus de 81 kg de sucre par an!

    En 1890, seulement 3 personnes sur 100,000 avaient le diabète. En 2012, presque 8,000 personnes sur 100,000 ont été diagnostiquées avec le diabète!

    La « ruée sur le sucre » a atteint nos enfants. Les enfants américains consomment ENVIRON 10 FOIS plus de sucre qu’en 1900, surtout sous forme sirop de maïs à haute teneur en fructose (HFCS), qui est la plus grande source de calories de l’Américain moyen! Extrêmement addictifs les HFCS contiennent du fructose et du glucose, mais ils ne sont pas liés entre eux (comme ils le sont dans le sucre de table) donc le corps n’a pas besoin de le décomposer. Donc, le fructose est absorbé immédiatement, en allant directement au foie, qui le transforme en GRAISSE (VLDL et triglycérides).

     

     

    Selon le Dr Joseph Mercola:

    « Le fructose dupe aussi le corps dans sa capacité à prendre du poids en trompant votremétabolisme (il inhibe le système de contrôle de l’appétit). Le fructose ne stimule pas convenablement l’insuline, qui en retour ne supprime pas la ghréline (« l’hormone de la faim ») et ne stimule pas la leptine (« l’hormone de la satiété »), de ces deux phénomènes il résulte que vous mangez plus et développez une résistance à l’insuline. » Ce processus réprime aussi le système immunitaire.

    Mais ce n’est pas parce que parce que vous évitez les HFCS que vous êtes dans le juste. La consommation excessive de TOUS les sucres traités a pour résultat la compromission de la fonction immunitaire (en diminuant la capacité des leucocytes à détruire des bactéries), l’obésité et le diabète.

    Et si cela ne suffit pas, mettez-vous dans la tête que le sucre est EXTRÊMEMENT addictif! C’est vrai! Le Dr Serge Ahmed de Bordeaux a travaillé avec les rats et leur a donné le choix entre la cocaïne et le sucre. Devinez lequel a gagné, maintes et maintes fois?

    C’est juste … le sucre!

    Il se trouve que le goût doux de sucre est plus gratifiant que la cocaïne.

    Vous voyez, le sucre produit la dopamine – un produit chimique qui provoque du bonheur du bien-être – dans le cerveau. Les gens deviennent addicts au sucre, par le fait qu’ils en ont besoin pour se sentir « normaux » et ils subissent « le manque » s’ils suppriment le sucre de leurs régimes. S’ils subissent « un sevrage brutal » de quelques jours, leur cerveau commencera à produire la dopamine tout seul, mais la gêne provoquée par le sevrage laisse beaucoup de « drogués de sucre » piégés par leur addiction.

    Le sucre est aussi la nourriture préférée du cancer, en raison du mécanisme respiratoire anaérobique relevé dans TOUTES les cellules cancéreuses. Et comme la moitié du sucre blanc aux États-Unis vient des betteraves à sucre, vous devriez vous souvenir que la plupart des betteraves sont maintenant génétiquement modifiées. C’est une autre raison de rester en dehors de la « Mort Blanche » n’est-ce pas?

    Je recommande personnellement que vous évitiez le sucre blanc, le sucre brun, l’agave et tous les édulcorants artificiels tels que l’aspartame/AminoSweet, le sucralose et la saccharine. Si vous aimez les sucreries, il est préférable de prendre de la stévia pure à 100%, du xylitol, du miel cru, du pur sirop d’érable, de la mélasse et du sucre de coco. En conclusion: Si vous voulez être en bonne santé, vous DEVEZ prendre le contrôle de votre consommation de sucre pour qu’il ne prenne pas le contrôle sur vous.

     

     

    En finir avec la confusion sur le sucre

    On confond facilement les différents sucres et les édulcorants, dont voici une vue d’ensemble:

    • Saccharide = sucre
    • Le glucose (alias « le dextrose » ou « le sucre de raisins »), galactose (« le sucre de lait ») et fructose (« le sucre de fruit ») et tous « les monosaccharides » (c.-à-d. les molécules de sucre simples), connus comme les « sucres simples.  » La première différence entre eux est la façon dont votre corps les transforme par métabolisme.
    • Le glucose est la forme d’énergie conçue pour vous maintenir en forme. Chaque cellule dans votre corps utilise du glucose pour produire de l’énergie.
    • De grandes quantités de fructose sont très nuisibles au corps s’il n’est pas brûlé immédiatement pour produire de l’énergie parce qu’il va directement au foie où il est transformé en triglycérides (les graisses). L’excès de triglycérides augmente la résistance à l’insuline (et la production d’insuline), en contribuant ainsi au diabète à d’une manière « dérobée ».
    • Les sucres simples peuvent se combiner pour former des sucres plus complexes, comme le saccharose (« le sucre de table ») qui est un « disaccharide » composé de 50 % de glucose et 50 % de fructose.
    • Le sucre blanc « raffiné » (le saccharose pur) est lavé dans une solution de sirop, puis avec de l’eau chaude, clarifiée (en général chimiquement) pour enlever les impuretés, décoloré, concentré, fait évaporé, refait bouillir jusqu’à la formation de cristaux, centrifugé de nouveau pour se séparer, ensuite séché. De ce fait, tout ce qui restait de « bienfait naturel » et de « valeur nutritive » ont complètement disparu! À vrai dire, le sucre blanc devrait être considéré comme un « produit industriel », plutôt qu’un « aliment ».
    • « Le sucre brun » est du sucre blanc mélangé avec de la mélasse.
    • Le sucre « cru » n’est pas vraiment cru — on l’a fait cuire et la plupart des minéraux et des vitamines s’en sont allés. Mais c’est probablement un peu mieux que le sucre blanc raffiné parce qu’il a conservé un peu de mélasse.
    • L’Aspartame ou AminoSweet est une mort-aux-rats neurotoxique… inutile d’en dire plus? L’aspartame se retrouve dans de nombreux produits pharmaceutiques, plats préparés, même salés, produits « light », dentifrices, etc.
    • Le Splenda (sucralose) n’est pas un sucre, en dépit de son slogan marketing mensonger, « fait à base de sucre ». C’est un édulcorant artificiel chloré identique à l’aspartame, bien que pas tout à fait aussi malfaisant.
    • Le miel est environ 50% fructose, mais au naturel (pur et non pasteurisé) cette forme offre beaucoup d’avantages pour la santé. Le mieux est d’acheter du miel local et non pasteurisé.
    • La stévia est une plante extrêmement douce tirée de la feuille de la plante sud-américaine, la stévia, qui est parfaitement saine (dans sa forme naturelle). la stévia verte est la plante entière, alors que la stévia blanche est traitée et peut souvent contenir d’autres ingrédients comme des arômes naturels ou du dextrose – une forme de sucre. La stévia verte à 100% à l’état naturel est ce qui va vous convenir.
    • Le nectar d’agave est fait à partir de la plante d’agave, qui est un cactus. Ce qui semble naturel, n’est-ce pas? Comme le sirop d’érable d’un arbre ou le miel d’une ruche. Seulement c’est faux. L’agave est HAUTEMENT traité pendant que le produit fini ne ressemble pas même de loin à la plante d’agave originale. En outre, l’agave est environ 80% fructose (beaucoup plus élevé que le miel et le sirop d’érable).
    • Le HFCS – le sirop de maïs à haute teneur en fructose – contient 55% fructose et 45% de glucose. Il est surtout génétiquement modifié. Abstenez-vous!
    • Le rapadura est du pur jus extrait de la canne à sucre (utilisant une presse), qui est ensuite évaporé à basse température, remué avec les pagaies, puis répandu sur le sol pour produire du sucre granuleux. Il n’a pas été cuit à hautes températures ou étendu pour le transformer en cristaux et la mélasse reste dans le sucre. « Sucanat » est le nom de la marque des États-Unis pour Rapadura.
    • Le sucre de coco est fait de la sève saturée d’eau douce qui tombe goutte à goutte des bourgeons de fleurs coupées du cocotier. Il a un index glycémique (IG) bas et est riche en acides aminés. Il contient en général moins de 10% de fructose, le saccharose étant la composante principale.
    • Le xylitol est un édulcorant connu comme un « alcool de sucre » (ou polyol). Les alcools ne sont pas des sucres, ni des alcools – ils sont des hydrates de carbone (avec les structures qui arrivent à ressembler à du sucre et à de l’alcool). Le Xylitol est extrait de la cellulose de bouleau. À la différence du sucre, le Xylitol est absorbé lentement, ne provoque pas une augmentation rapide de la glycémie et n’exige pas une réponse immédiate de l’insuline pour être transformé par le métabolisme. De plus, beaucoup d’études ont montré qu’il aide en fait à prévenir des caries dentaires, les infections des oreilles et il parait évident qu’il aide à prévenir la gingivite parce que le Xylitol est un antibactérien.

     

     

     

    Sources:
    The Truth About Cancer
    Association Cancer & Métabolisme
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  • sante-nutrition.org

    Les meilleurs aliments pour le nettoyage du côlon

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    Les problèmes gastro-intestinaux prolifèrent dans la société d’aujourd’hui, et cela est largement dû au fait que la façon dont les gens se nourrissent et les produits que nous achetons sont grandement dépourvus des nutriments nécessaires à une digestion saine. Et de plus, nous sommes surchargés de toxines des vaccins, produits pharmaceutiques et pesticides.

    La bonne nouvelle, c’est que les troubles digestifs chroniques n’ont pas à régler votre vie, car de simples changements d’alimentation peuvent améliorer significativement et même guérir la plupart des problèmes digestifs.

    Le nettoyage du côlon est un FORMIDABLE MOYEN d’améliorer la santé et le bien-être de votre corps, et peut même réduire vos risques de cancer du côlon. Lorsqu’on débarrasse le côlon des déchets et des toxines en relâchant les plaques qui y adhèrent, nous éprouvons des sensations de légèreté, de force et de bonne santé globale.

    Stimule la perte de poids

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    Ce diagramme montre où vont vos repas après les avoir ingérés, et comment ils remontent dans le côlon lorsque les fibres ne sont pas assimilées.

    Le côlon humain pèse environ 2 kilos vide et peut contenir jusqu’à l’équivalent de 8 repas avant que la digestion soit terminée. Un nettoyage du côlon peut entraîner une perte de poids significative et stimuler votre métabolisme, ainsi que recentrer votre attention sur de meilleurs choix alimentaires et un bien-être global.

    Les aliments dépourvus de fibres se déplacent dans le tube digestif beaucoup plus lentement, environ un quart de la vitesse des aliments riches en fibres. Les repas pauvres en fibres remontent dans le côlon et ces aliments lents à avancer produisent des excès de mucus qui collent aux parois intestinales et alourdissent le tractus intestinal avec des KILOS de matières fécales TOXIQUES.

    Le nettoyage du côlon a le potentiel de stimuler la perte de poids, et certaines personnes ont pu perdre jusqu’à 10 kilos en un mois.

    Améliore la digestion

    Au fur et à mesure que le côlon est nettoyé, il pousse les déchets non digérés le long de votre système, permettant ainsi l’absorption des bons nutriments, et stimulant la perte de poids énergétiquement. Si des déchets restent dans le corps trop longtemps, ils deviennent un terrain fertile pour les mauvaises bactéries et les maladies. Un côlon propre, après un nettoyage, laisse passer les déchets non digérés plus facilement pour les évacuer.

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    comment les repas doivent progresser dans le côlon

    Un côlon qui a été nettoyé ne laisse passer et absorber par le système sanguin que l’eau, les vitamines et les nutriments, plutôt que de laisser passer les toxines et les bactéries par les parois intestinales. Lorsque le côlon est détoxifié, cela permet aux nutriments essentiels de franchir la paroi intestinale qui n’est plus obstruée.

    Cela supprime aussi la constipation, surtout si elle est chronique, car c’est ce qui provoque une réponse digestive lente et maintient des déchets dans le système bien trop longtemps. Ceci cause des gains de poids, ainsi que bien d’autres problèmes comme les toxines libérées dans la circulation sanguine. C’est également une cause d’autres maladies et irritations telles que les hémorroïdes et les varices.

    Maintient l’équilibre du pH sanguin

    Les aliments qui causent des blocages du côlon sont acidifiants, en particulier dans les régimes riches en protéines et pauvres en fibres. Cela conduit à un inconfort dans le corps et provoque l’inflammation du côlon, ce qui réduit sa capacité à remplir ses fonctions. Si des levures, des moisissures, des champignons, des bactéries, des parasites ou des matières fécales pénètrent dans le sang et les tissus connectés, le pH du corps sera complètement déséquilibré. La médecine conventionnelle ne tient pas compte de l’équilibre acido-basique (pH : potentiel Hydrogène), alors que les médecins holistiques reconnaissent que notre corps oeuvre continuellement pour cet équilibre, et qu’un déséquilibre chronique nous rend vulnérables aux maladies. L’équilibre acido-basique est facile à régulariser, et en apportant des modifications très simples à votre alimentation, vous pouvez améliorer l’équilibre du pH de votre corps en quelques heures.

    L’équilibre du pH de l’organisme a un impact considérable sur le risque de sérieux problèmes de santé comme l’ostéoporose, la sarcopénie (perte musculaire), les fractures et la formation des calculs rénaux, le diabète, l’hypertension artérielle, les maladies cardiaques, les problèmes de thyroïde, le cancer ainsi que d’autres maladies insidieuses.

    Quand le corps devient trop acide, les sels minéraux sont extraits des os et des tissus pour compenser, ce qui conduit à des os fragiles, moins denses et une masse musculaire réduite. Trop de tissus acides nous rendent également vulnérables aux inflammations, ce qui  est un risque connu pour de nombreuses maladies chroniques, des réactions enzymatiques déficientes dans les cellules et une surcharge du système lymphatique, ce qui entrave les processus naturels de désintoxication du corps.

    Réduit le risque de cancer du côlon

    Nous avons tous besoin de comprendre que toutes les toxines que nous mangeons, buvons, respirons et absorbons par la peau finissent par être traitées par le système digestif et le foie. S’ils ne sont pas poussés à quitter le côlon et le foie assez rapidement, ils peuvent causer des ravages sur les systèmes de notre corps. En libérant rapidement les déchets du corps, nous réduisons les causes ainsi que les risques de polypes, de kystes et de tumeurs cancéreuses dans le côlon et le tube digestif.

    Augmente l’énergie

    C’est un processus de rajeunissement de débarrasser le corps des toxines car cela recentre l’énergie habituellement consacrée à repousser les déchets de vos intestins vers d’autres fonctions de votre corps. Les personnes qui ont eu une détoxification du côlon disent qu’elles ont une meilleure circulation sanguine, un sommeil plus réparateur et un regain d’énergie.

    Meilleure concentration

    Le nettoyage du côlon, ainsi que des apports accrus de fibres et d’aliments sains, améliorent sa régularité et aident à garder votre poids sous contrôle.

    La plupart des graisses sont à base d’oestrogènes, et s’il y en a trop, cela peut rendre l’objectif de maternité difficile. Un côlon qui est alourdi par des années d’accumulations peut également appuyer sur l’utérus et les organes reproducteurs chez les femmes, causant des tensions. Le nettoyage du côlon débarrasse le corps de nombreux produits chimiques et de toxines qui affectent l’ovule et le sperme. Beaucoup de naturopathes recommandent aux deux partenaires de bénéficier d’un nettoyage du côlon avant de tenter la grossesse.

    Aliments qui aident à nettoyer le côlon

    Un régime de nettoyage du côlon consiste tout simplement en un plan de repas bien équilibré et nutritif comprenant des aliments qui nettoient le côlon. En incluant davantage de fruits et légumes biologiques à vos repas, vous ajoutez beaucoup de fibres, et une bonne quantité de fibres aide à régulariser les mouvements de l’intestin et contribue à rendre les selles molles et faciles à évacuer.

    Les fruits, les légumes et une grande quantité d’eau aident aussi à maintenir le système digestif et le corps hydratés toute la journée, ce qui aide également à entraîner tous les déchets qui adhèrent aux parois du système digestif. Eviter trop de gras, les aliments raffinés, transformés ou frits est également impératif car ces aliments accélèrent l’accumulation de toxines dans le corps et ralentissent les mouvements du côlon. En augmentant résolument la consommation des aliments décrits ci-dessous dans vos repas quotidiens, vous nettoierez votre côlon rapidement et facilement tout en contribuant à votre détoxination, à votre lutte contre les maladies chroniques, à la perte de poids et même au ralentissement du vieillissement.

    Les aliments fermentés

    Le système digestif humain est composé d’un vaste réseau de bactéries bénéfiques qui sont responsables de la digestion des aliments, l’absorption des nutriments, la lutte contre les bactéries nocives, et l’élimination des toxines. Lorsque les proportions de ces bactéries sont déséquilibrées, la santé digestive peut en souffrir et si cette condition se prolonge, de sévères dommages peuvent s’ensuivre.

    Pour aider à compenser les dommages causés à votre flore intestinale par des produits chimiques environnementaux et alimentaires, les médicaments antibiotiques, les aliments transformés et d’autres facteurs, il est important de se complémenter avec des bactéries probiotiques et de manger beaucoup d’aliments riches en probiotiques fermentés. Ceux-ci comprennent les cultures telles que le kimchi, le tempeh, le yaourt grec, la choucroute et les boissons fermentées comme le kombucha et le kéfir.

    Les légumes à feuilles vertes foncées

    Pour aider à nettoyer votre côlon et à protéger le tractus digestif de différentes affections, rien de tel que de consommer les légumes verts à feuilles comme les épinards et le chou frisé. Les fruits et les légumes verts sont riches en chlorophylle et favorisent une bonne digestion et le nettoyage quotidien du côlon. La chlorophylle liposoluble adhère à la muqueuse de la paroi intestinale et retarde la croissance bactérienne, élimine les bactéries putréfiées dans le côlon, et aide à guérir la muqueuse du tractus gastro-intestinal.

    En plus des épinards et du chou frisé ou du chou kale qui sont les choix optimaux, les olives vertes, les asperges, les choux de Bruxelles, le céleri, les choux verts, les légumes de la mer comme les algues, les poireaux, les petits pois, et les blettes sont tous riches en chlorophylle, ce qui signifie qu’ils peuvent aider à nettoyer votre système digestif et détoxifier votre foie.

    Les légumes crucifères

    Ces aliments sont connus pour être bénéfiques pour aider la digestion en nettoyant le côlon et le foie. Afin d’avoir un corps sain et un beau physique, nous avons besoin d’un système digestif en bonne santé, et l’une des bases est de manger plus de fibres. La bonne nouvelle, c’est que les crucifères contiennent 25 à 40 % de votre apport quotidien en fibres avec seulement 100 calories environ. Cela suffit pour éliminer les effets des « écarts alimentaires » que vous pourriez faire. En mangeant vos légumes crucifères chaque jour vous favorisez votre détoxification quotidienne, même lorsque vous n’avez pas entrepris une démarche globale de nettoyage!

    En outre, avec plus de 600 études de recherche et de statistiques, les conclusions sont claires que les crucifères sont parmi les agents de lutte contre le cancer les plus puissants que vous puissiez trouver. Ils contribuent  à la lutte contre les cancers du côlon, de la vessie, du sein, de l’ovaire et de la prostate, et très honnêtement, il n’y a pas grand-chose que ces légumes soient incapables de faire. Leur activité est attribuée non seulement à leurs composants élevés en antioxydants et en fibres, mais plus encore à leurs glucosinolates qui ne se trouvent dans aucun autre groupe d’aliments dans de telles proportions. Le bonus supplémentaire tient à leur très haute teneur en antioxydants qui aident donc à vous maintenir jeune aussi bien intérieurement qu’extérieurement.

    Ail

    Cette épice n’est pas seulement savoureuse dans vos préparations, mais cet ingrédient piquant est bénéfique pour  le nettoyage du côlon. Cette plante racine a des propriétés antivirales,antibactériennes, et anti-parasitaires qui aident à éliminer les toxines, les agents pathogènes et des parasites du tube digestif, notamment du côlon. L’ail agit également comme antioxydant contribuant à réduire l’inflammation pour une meilleure digestion, absorption des nutriments alimentaires et élimination des déchets et des toxines.

    Aloe Vera

    Le jus d’Aloe vera peut être utilisé pour traiter une multitude de conditions, y compris l’amélioration de la digestion, aider à la détoxification du corps, et le traitement des affections de la peau. Il peut être un important supplément naturel pour un mode de vie sain lorsqu’il est utilisé correctement. Le jus d’aloe vera a des propriétés anti-inflammatoires, c’est-à-dire qu’il peut aider dans de nombreuses maladies, soulager les symptômes provoqués par une inflammation excessive dans le corps.

    De nombreux symptômes sont provoqués ou aggravés par l’inflammation, y compris l’arthrite et même le cancer. Si vous voulez maintenir votre inflammation sous contrôle, l’aloe vera peut aider. On le trouve sous différentes variétés, et chaque fabricant le produit sous des formes un peu différentes. Choisissez des marques biologiques de jus d’aloe vera qui sont sous forme concentrée. (ou faites-en pousser chez vous).

    Pommes et vinaigre de cidre

    De nombreuses techniques de nettoyage du côlon comprennent soit des pommes entières, des compotes de pomme, du jus de pomme ou du vinaigre de cidre, car ce fruit est un aliment de nettoyage puissant. Riche en fibres pour favoriser la digestion saine, les pommes sont également riches en pectine, un glucide qui agit comme agent épaississant à l’intérieur du côlon. Lorsqu’elle est prise à des doses thérapeutiques, la pectine peut aider à éradiquer les toxines accumulées dans le côlon et renforcer la muqueuse intestinale. La pectine qui se trouve également dans les bananes et les zestes d’agrumes, aide à éliminer les métaux lourds et autres toxines du corps.

    Graines de lin et de chia

    Uniques dans leurs profils nutritionnels, les graines de lin et de chia possèdent des graisses et des fibres qui aident à promouvoir une bonne digestion et un côlon propre. Elles sont toutes deux riches en acides gras omega-3 par exemple, et il a été prouvé qu’ils stabilisent les parois des cellules etréduisent l’inflammation. Le lin et le chia contiennent également leurs propres mélanges de fibres solubles, qui se lient avec la nourriture pour optimiser le processus de digestion.

    Thé vert

    Si vous souhaitez vous détoxifier, purifier et perdre du poids, il est important de consommer du thé vert. Le thé vert contient beaucoup d’antioxydants et il est parfait pour le nettoyage du côlon et l’amélioration des fonctions de l’intestin. Le thé vert est très populaire car il est riche en antioxydants ainsi qu’en vitamine C, qui aide à éliminer les toxines du corps. En général, le thé à la menthe, les feuilles de séné (modérément), les graines de lin ou d’autres types de tisanes fonctionneront également pour nettoyer le côlon.

    Fruits

    Les fruits sont une partie indispensable de l’alimentation quotidienne, pour leurs apports en vitamines, nutriments, enzymes, propriétés antioxydantes et hautes teneurs en fibres.

    Citron

    Les agrumes comme le citron sont excellents pour le nettoyage du côlon. Le citron peut débarrasser le gros intestin des accumulations de déchets et est un puissant antiseptique, ce qui entrave la croissance de micro-organismes nocifs. Un simple verre d’eau citronnée tous les matins aidera à détoxiner et nettoyer le système.

    Avocats

    Ce fruit rempli de bienfaits, est riche en acides gras oméga-3 et huiles qui aident à lubrifier les parois des intestins. Ceci empêche les toxines de se coller aux parois, elles sont ainsi facilement évacuées.

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  • sante-nutrition.org

    Cela va vous faire arrêter de nettoyer vos oreilles


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    De nombreuses personnes se lavent régulièrement les oreilles avec les meilleures intentions de les garder propres et saines. Toutefois les oreilles ne sont pas destinées à être nettoyées. En fait, elles ont mis en place leur propre système d’hygiène, et en mettant des objets dans l’oreille, vous perturbez ce processus. Ou pire encore, vous pouvez entraîner une blessure.

     

    L’American Academy of Otolaryngology – Head and Neck Surgery (AAO-HNSF), met en garde contre l’application des cotons-tiges dans les oreilles. Sur leur site officiel, ils relient un nettoyage excessif au risque de perte auditive.

    Le cérumen, est une caractéristique saine de vos oreilles et agit comme un agent d’auto-nettoyage. Il protège, lubrifie et a des propriétés anti-bactériennes. Il migre du tambour de l’oreille jusqu’à l’ouverture de l’oreille, puis sèche et tombe. C’est un processus d’auto-régulation et dans des circonstances normales, il n’est pas nécessaire d’intervenir. S’il n’y a pas de cérumen, les oreilles deviennent sèches et démangent.

    Que se passe-t-il lorsque vous utilisez des cotons-tiges pour nettoyer vos oreilles?

    Lorsque vous les utilisez , en fait vous poussez plus profondément le cérumen dans votre oreille, et dans la zone où il ne devrait pas être. Il peut se coincer et se bloquer contre le tympan, ce qui peut causer toutes sortes de complications.

    Les champignons, bactéries et virus de l’oreille externe sont poussés dans l’oreille et peuvent causer des infections, qui sont extrêmement douloureuses. Deuxièmement, si le cérumen est coincé profondément à l’intérieur du conduit auditif, il peut entraîner une perte auditive. S’il est poussé encore plus loin, il peut endommager le tympan et provoquer une rupture.

    Est-ce que les oreilles ne devraient pas être nettoyées du tout?

    Dans l’idéal, vous ne devriez jamais nettoyer vos oreilles. En nettoyant l’intérieur de vos oreilles vous créez un cercle vicieux. Le Dr Douglas Backous explique que lorsque vous frottez constamment la peau de vos oreilles, vous libérez beaucoup d’histamine. Cela irrite et enflamme la peau. Et plus vous grattez, plus ça vous démange.

    Vous devriez nettoyer le cérumen uniquement si votre médecin a remarqué une accumulation de cérumen. Les symptômes sont des maux d’oreille, une perte d’audition, des acouphènes, des démangeaisons et une mauvaise odeur. L’oreille doit ensuite être nettoyée par un professionnel de la santé.

    Si vous voulez continuer à nettoyer vos oreilles, n’insérez rien dans l’oreille interne! Nettoyez l’oreille externe (ce que recommandent également les fabricants de cotons-tiges), en utilisant un chiffon.

    Vous pouvez aussi utiliser l’irrigation douce si vous voulez vraiment laver vos oreilles. Le Dr Backous recommande de faire un mélange avec une part de vinaigre blanc, une part d’alcool à friction et une part d’eau du robinet. Faites en sorte que le mélange soit à la même température que le corps et mettez quelques gouttes dans chaque oreille.

    Ainsi comme vous l’aurez compris, vous ne devriez jamais rien mettre dans vos oreilles. Laissez simplement le corps faire son travail!

     

     

    Sources:

    www.entnet.org
    www.huffingtonpost.com
    www.fhfn.org

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  • sante-nutrition.org

    10 signes que vous avez BEAUCOUP trop de cortisol


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    Nous savons tous que le stress est mauvais pour nous, mais beaucoup d’entre nous le portons comme un titre d’honneur. Nous prétendons vouloir la paix intérieure, mais si la vie devient trop calme, nous partons à la recherche de notre prochain shoot de cortisol et d’adrénaline.

     

    C’est presque comme si être stressé nous faisait sentir important et utile. Mais le plus gros problème d’être accro au stress est qu’il peut détruire notre santé.

    Le corps est équipé de mécanismes d’auto-réparation naturelle qui peuvent tuer les cellules cancéreuses, lutter contre les infections, et même ralentir le processus de vieillissement.

    Mais ces mécanismes ne fonctionnent que lorsque le système nerveux est détendu. Lorsque le corps ressent un danger immédiat (un patron qui hurle, ou un tigre affamé – la zone de votre cerveau qui contrôle la peur ne sait pas faire la différence!), ces mécanismes d’auto-guérison se bloquent afin que vous puissiez gérer la menace immédiate.

    Comment savoir si vous êtes accro au stress? Voici 10 signes que vous avez fait du cortisol votre drogue de prédilection.

    Vous avez des douleurs dorsales et des maux de tête.

    Quand votre taux de cortisol est élevé sur une longue période, vos glandes surrénales commencent à s’épuiser. Cela élève le taux de prolactine, augmente la sensibilité du corps à la douleur, comme les douleurs dorsales ou musculaires. Le cortisol trop élevé rend également le cerveau hypersensible à la douleur, si bien que le moindre élancement peut exciter les nerfs du cerveau, provoquant des maux de tête.

    Vous avez un mauvais sommeil.

    Le taux de cortisol est sensé baisser la nuit, afin de permettre à votre corps de se relaxer et de recharger les batteries. Mais si votre taux de cortisol est trop élevé, vous pourriez remarquer que, même si vous avez été fatigué toute la journée, vous avez un « second souffle » juste à l’heure du coucher. Ensuite, vous n’arrêtez pas de vous retourner toute la nuit, et vous sentez fatigué le jour suivant.

    Même quand vous dormez bien vous êtes fatigué.

    Au fil du temps, un taux élevé de cortisol épuise les glandes surrénales et vous prédispose à la fatigue chronique. Donc, si vous sentez que vous ne pouvez tout simplement pas vous lever, vous êtes probablement stressé.

    Vous prenez du poids.

    Vous prenez du poids, en particulier autour de votre abdomen, même lorsque vous mangez bien et faites de l’exercice.

    Le cortisol a tendance à vous rendre épais autour de la taille, même si vous faites tout « bien ».

    Vous attrapez facilement des rhumes et d’autres infections.

    Le cortisol désactive les mécanismes d’auto-réparation naturels de votre corps, ce qui signifie que votre système immunitaire, parfaitement conçu par la nature pour vous maintenir en bonne santé, se délite, vous laissant vulnérable à toutes les moindres agressions rencontrées.

    Vous craquez pour des aliments malsains.

    Le cortisol augmente votre taux de sucre sanguin, ce qui présente un risque de diabète. Un taux élevé de glucose stimulent votre taux d’insuline, qui ensuite réduit votre sucre sanguin, et tout-à-coup, oui vous l’aurez deviné, vous êtes saisi d’envies irrépressibles de sucreries.

    Votre libido est en berne.

    Considérez le cortisol comme un anti-viagra. Lorsque les hormones de stress sont élevées, les hormones stimulant la libido comme la testostérone sont en chute et voilà… rien.

    Votre intestin vous joue des tours.

    Votre système gastro-intestinal est très sensible aux hormones du stress comme le cortisol. Vous pourriez éprouver des nausées, des brûlures d’estomac, des crampes abdominales, de la diarrhée ou de la constipation en raison de l’excès d’hormones de stress.

    Vous vous sentez anxieux.

    Le cortisol et l’adrénaline peuvent conduire à la nervosité, à l’estomac à l’envers, à des sentiments de panique et même à la paranoïa.

    Vous vous sentez mélancolique.

    Un niveau élevé de cortisol supprime la production de sérotonine, et alors, vlan, vous avez le blues.

    10 choses que vous pouvez faire pour réduire votre taux de cortisol:

    • Méditez
    • Riez davantage
    • Jouez avec des animaux
    • Donnez généreusement
    • Exprimez votre créativité
    • Pratiquez le Yoga, le Tai chi, le Qigong, ou des formes de danse comme les 5 Rythmes de Gabrielle Roth, ou faites-vous masser
    • Libérez-vous
    • Développez une forme de spiritualité qui développe les qualités positives de joie, de partage et d’amour
    • Atténuez votre solitude
    • Ayez le courage de prendre les bonnes décisions pour réduire la réponse au stress
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  • passeportsante.net

    Courses alimentaires : des astuces pour faire les bons choix

     

     

    On estime qu’un tiers des produits achetés en supermarché sont des achats impulsifs, c’est-à-dire qu’ils ne sont au départ pas prévus par l’acheteur. Or, ces achats sont le plus souvent des « produits plaisir », rarement bons pour la santé et pour la ligne, car il est plus facile de craquer pour une tablette de chocolat que pour un kilo de pommes. PasseportSanté vous donne des conseils pour optimiser vos courses alimentaires.

     

     

     

    Préparer sa liste de courses

    Préparer sa liste de courses

    Aller au supermarché sans liste de courses est le meilleur moyen de flâner dans les rayons à la recherche d’articles qui nous rappelleraient ce que l’on a oublié, et donc de se laisser tenter par des produits qui ne sont non seulement pas nécessaires, mais qui ne sont pas très bons pour la santé. A l’inverse, le fait de préparer sa liste de courses permet d’optimiser son temps, son budget et le contenu de son panier.

    L’idée est aussi d’organiser sa liste de courses en fonction de l’emplacement des rayons dans le magasin. De cette façon, on limite les allers-retours et donc les tentations qui se trouvent dans les autres rayons.

     

     

    Préparer ses menus à l’avance

    Préparer ses menus à  l’avance

    Le fait de planifier ses menus hebdomadaires permet non seulement d’augmenter ses chances d’atteindre une alimentation équilibrée, mais aussi de ne mettre sur sa liste de courses que le strict nécessaire, permettant ainsi de gagner du temps et de réaliser des économies. En effet, aucun risque de faire trop de courses ou, au contraire, de ne pas en faire assez et de repasser du temps en magasin.

    Cette façon de planifier les choses laisse toutefois peu de place aux imprévus, il n’est donc pas exclu d’acheter raisonnablement quelques extras.

     

     

    Se méfier des allégations nutritionnelles ou de santé et des produits allégés

    Se méfier des allégations nutritionnelles ou de santé et des produits allégés

    Certains produits alimentaires peuvent comporter sur leurs emballages des allégations nutritionnelles de type « riche en fibres » ou de santé en marquant la présence de certains minéraux ou vitamines1. Ces allégations sont très réglementées, par exemple un aliment « riche en fibres » signifie qu’une portion de 100 g de ce produit couvre 30 % des apports journaliers recommandés pour le nutriment concerné, alors qu’une même portion d’un aliment « source de fibres » ne couvrirait que 15 % des apports journaliers recommandés pour ce nutriment. La réglementation assure donc que ces informations ne sont pas mensongères. En revanche, on aurait tort de confondre ces allégations santé avec un produit santé. En effet, un produit peut tout à fait être riche en certains nutriments mais être mauvais pour la santé, car ces informations ne disent rien de la teneur en sucres raffinés ou en mauvais gras du produit. S’il est donc tout à fait possible de trouver des muffins sources de fibres dans un rayon, ils n’en restent pas moins des gourmandises à consommer avec modération.

    Dans le même ordre d’idée, les produits allégés en matières grasses, ou light, ne sont pas forcément l’ami des régimes. En effet, les lipides contribuent à renforcer la sensation de satiété après un repas. Consommer un produit allégé nous rassasie donc moins longtemps, ce qui nous incite à grignoter. En outre, pour compenser la perte de consistance ou de saveur, comme dans le cas d’un yaourt, le fabricant peut ajouter des épaississants et du sucre.  Le produit est donc bien allégé en graisses, mais il n’est finalement pas meilleur pour la santé que son équivalent régulier. De la même façon, les produits « pauvres en sucres » ne sont pas nécessairement moins caloriques que leurs équivalents.

     

     

    Lire les étiquettes des produits

    Lire les étiquettes des produits

    Pour éviter de se laisser piéger par des emballages attrayants et des formulations santé, il est primordial d’apprendre à lire les étiquettes des produits.

    Premièrement, il faut savoir que les ingrédients, tels qu’ils apparaissent sur les emballages, sont classés en fonction de leur importance dans le produit. Le premier ingrédient est donc celui qui est présent en plus grande quantité dans le produit final, et le dernier ingrédient celui qui est le moins présent. Les 3 premiers ingrédients permettent généralement de se faire une idée de la qualité du produit.

    Il s’agit également de comprendre les ingrédients présents sur la liste. Certains fabricants peuvent multiplier les appellations pour un même ingrédient de façon à ne pas le faire apparaître en premier dans la liste. Le sucre par exemple peut se décliner en « sirop de glucose », « sirop de fructose », « maltodextrine » ou encore « sirop de maïs ». Dans le même ordre d’idée, la mention « huile végétale » sans précision trahit souvent la présence d’huile de palme, qui peut se trouver en grande quantité dans les produits sucrés et plats préparés, mais qui contribue considérablement à la déforestation1.

    Enfin, il faut se méfier des longues listes d’ingrédients qui risquent fortement de contenir des conservateurs, arômes, colorants et autres additifs chimiques.

    Les valeurs nutritionnelles donnent quant à elle une idée plus précise des proportions en nutriments contenus dans le produit. Toutefois, elles sont souvent données pour 100 g de produit et non pour une portion. Il est donc nécessaire de faire une conversion rapide pour savoir ce que l’on ingère réellement. Il peut aussi être utile de savoir ce que représentent concrètement les quantités : sachez alors que 5 g de sucre représentent une cuillère à café rase de sucre et 5 g de lipides une cuillère à café d’huile.

     

     

    Préférer des aliments bruts

    Préférer des aliments bruts

    Pour être sûr de ce que l’on mange, rien de tel que d’acheter des aliments bruts, c’est-à-dire tous les produits non transformés comme les fruits et légumes, les légumineuses, les céréales, les oléagineux… qui constituent à eux-seuls un ingrédient. On évite ainsi tous les conservateurs, arômes artificiels, colorants, édulcorants, et on maîtrise la teneur en sucres, en graisses et en sel de ce que l’on cuisine. Si le budget le permet, les aliments biologiques – reconnaissables par leur label – garantissent de moindres résidus de pesticides. Il est parfois nécessaire de vérifier les ingrédients des produits surgelés, par exemple les légumes, pour s’assurer qu’ils n’y a pas de matières grasses ajoutées ou d’autres additifs. De toute évidence, il s’agit simplement d’un idéal vers lequel tendre, car préparer ses repas nécessite du temps. Pour les plus pressés, une analyse attentive des étiquettes permettra de bien choisir ses repas.

     

     

    Ne pas aller au supermarché le ventre vide

    Ne pas aller au supermarché le ventre vide

    Entre les rayons de chocolats, pâtisseries, boissons sucrées, les supermarchés concentrent toutes les tentations pour les consommateurs, et il est d’autant plus difficile d’y résister que l’on a faim ou soif. Dans ce cas-là, nous sommes effectivement animés par le seul but de nous rassasier le plus rapidement possible et nous devenons vulnérables aux achats impulsifs1. Notre appétit est d’autant plus stimulé que tout est fait pour donner envie de manger, on pense notamment aux odeurs de pain et de viennoiseries tout juste sortis du four. Une règle simple pour ne pas se jeter sur n’importe quel produit gras et sucré est donc d’aller faire ses courses après avoir mangé ou à un moment de la journée où l’on n’a pas faim. En plus, cela évite de dépasser son budget.

    Plusieurs études sont allées plus loin en montrant que les consommateurs qui mangeaient quelque chose de sain ou supposé sain, comme une pomme ou un « biscuit sain » avant d’aller faire leurs courses, achetaient plus de fruits et légumes que ceux qui ne mangeaient rien, ou rien de sain2.

     

     

    Craquer pour les bons produits

    Craquer pour les bons produits

    Comme la gourmandise n’est pas interdite, et qu’il est au contraire important de se faire plaisir, on peut également prévoir des encas sur sa liste de courses, mais là encore, certains choix sont meilleurs que d’autres, et la lecture des étiquettes est déterminante. Prendre son temps pour comparer les produits permet de choisir au mieux. Si l’on ne peut pas se passer de chocolat par exemple, on préfèrera une tablette de chocolat noir à une tablette de chocolat au lait car la première contient moins de sucre. Et comme c’est la dose qui fait le poison, rien n’empêche de consommer occasionnellement des produits gourmands.

     

    Samira Leroux
     
     
     
     

    Source

    Préparer sa liste de courses

    1. R. Thut Borner, Ne faites jamais vos courses l’estomac vide, www.lemenu.ch, 2012

    allégations nutritionnelles

    1. Autorité européenne de sécurité des aliments, FAQ sur les allégations nutritionnelles et de santé, www.efsa.europa.eu, 2013
    2. Que contiennent vraiment les produits allégés ?, www.consoglobe.com, 2014

    Lire les étiquettes des produits

    1. E. Grundmann, L’huile de palme reste un agent puissant de la déforestation, www.reporterre.net, 2013

    Ne pas aller au supermarché le ventre vide

    1. R. Thut Borner, Ne faites jamais vos courses l’estomac vide, www.lemenu.ch, 2012
    2. L. Meganem, Manger une pomme peut avoir un impact sur votre manière de faire les courses, www.bibamagazine.fr, 2015

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  • sante-nutrition.org

    13 Troubles causés par le manque d’eau


    verres-eau

     

     

    La plupart des gens pensent qu’ils n’ont besoin de se soucier de la déshydratation. Pour eux, la déshydratation, c’est ce qui arrive aux voyageurs dans le désert lorsqu’ils n’ont plus d’eau. Mais il y a une forme chronique de déshydratation qui ne prend pas la forme soudaine et intense d’une déshydratation aiguë. La déshydratation chronique est très répandue à l’époque actuelle et affecte tous ceux qui ne boivent pas assez d’eau.

     

    Cette liste de 13 symptômes vous incitera à aller chercher un verre d’eau, et un autre, et un autre…

    Après chaque symptôme, la liste ci-dessous va montrer comment le manque d’eau entraîne le problème.

    1. Fatigue, perte d’énergie: La déshydratation des tissus ralentit l’activité enzymatique.

     

    2. Vieillissement précoce: Le corps d’un nouveau-né est composé de 80% d’eau, mais ce pourcentage décline jusqu’à 70% ou moins chez l’adulte et continue à diminuer avec l’âge.

     

    3. Excès de poids et obésité: Il se peut que nous mangions trop parce que nous aspirons à des aliments riches en eau. La soif est souvent confondue avec la faim.

     

    4. Hypertension et hypotension: Le volume sanguin de l’organisme ne suffit pas à remplir complètement l’ensemble des artères, veines et capillaires.

     

    5. Cholestérol: Lorsque la déshydratation a pour conséquence d’extraire trop de liquide à l’intérieur des cellules, le corps tente d’arrêter cette perte en produisant plus de cholestérol.

     

    6. Constipation: Lorsque la nourriture mâchée pénètre dans le côlon, elle contient trop de liquide pour permettre de former les selles correctement, et la paroi du côlon se contracte. Dans la déshydratation chronique, le côlon prend trop d’eau pour la distribuer vers d’autres parties du corps.

     

    7. Désordres digestifs: Dans la déshydratation chronique, la sécrétion des sucs digestifs est ralentie.

     

    8. Gastrite, ulcère d’estomac: Pour protéger ses muqueuses de la destruction par le fluide digestif acide qu’il produit, l’estomac sécrète une couche de mucus.

     

    9. Troubles respiratoires: Les muqueuses de la région respiratoire sont légèrement humides pour protéger les voies respiratoires des substances qui pourraient être présentes dans l’air inhalé.

     

    10. Déséquilibre acido-basique: La déshydratation provoque un ralentissement de la production d’enzymes ce qui entraîne l’acidification.

     

    11. Eczéma: Votre corps a besoin de suffisamment d’eau pour produire environ 600 à 700 ml de sueur, quantité nécessaire pour diluer les toxines afin de ne pas irriter la peau.

     

    12. Cystites, infections urinaires: Si les toxines contenues dans l’urine ne sont pas suffisamment diluées, elles attaquent les muqueuses des voies urinaires.

     

    13. Rhumatismes: La déshydratation augmente anormalement la concentration de toxines dans le sang et les fluides cellulaires, les douleurs augmentent en proportion de la concentration des toxines.

     

    Consommation journalière recommandée:

    Chaque jour, nous perdons de l’eau par le souffle, la transpiration, l’urine et les selles. Pour que notre corps fonctionne correctement, nous devons reconstituer son approvisionnement en eau par la consommation de boissons et d’aliments riches en eau.

    Alors, de combien d’eau ou de liquides a besoin un adulte moyen en bonne santé, vivant dans un climat tempéré? L’Institute of Medicine a déterminé qu’un apport adéquat pour les hommes est d’environ 3 litres (environ 13 tasses) de boissons totales par jour. Pour les femmes, 2,2 litres (soit environ 9 tasses) de boissons totales par jour.

     

    Sources : The Healthy Archive, Mayo Clinic
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  • medisite.fr

    RECONNAÎTRE UN MAL DE DOS INFLAMMATOIRE

     

     

    Un mal de dos chronique peut parfois être d'origine inflammatoire et non mécanique. Il est important de distinguer ces deux situations pour poser le bon diagnostic, éviter d'être renvoyé d'un médecin à un autre et trouver le bon traitement. Medisite vous aide à y voir clair avec le Dr Philippe Goupille, rhumatologue.

     

    Il nous réveille la nuit

    "Lorsque le mal de dos vous réveille, en particulier en fin de nuit, c'est souvent le signe qu'il s'agit d'un mal de dos inflammatoire", explique le Dr Philippe Goupille, rhumatologue. En effet, celui-ci se manifeste davantage la nuit que la journée, contrairement aux lombalgies mécaniques type lumbago, sciatique...

     

     

    Il faut un moment pour se "déverrouiller" le matin

    La sensation d'être raide et "rouillé" le matin est également un signe typique du mal de dos inflammatoire. "Au moment de se lever, les mouvements sont limités. Ce n'est qu'au fil de la matinée, après au moins une demi-heure d'activité, que l'on retrouve plus de mobilité", décrit le Dr Goupille.

     

     

    On a moins mal en bougeant

    "Contrairement aux lombalgies mécaniques, généralement aggravées par l'effort, les lombalgies inflammatoires sont plutôt améliorées par l'exercice et le mouvement", précise le Dr Goupille. 

    En revanche, le repos ne soulage pas : au contraire, on a davantage mal lorsqu'on reste longtemps assis ou allongé. "C'est pour cette raison que la rééducation par la kinésithérapie et par le sport est un élément important de la guérison", justifie le rhumatologue.

     

     

    Il cède avec les anti-inflammatoires

    Lorsque la prise d'anti-inflammatoires (type ibuprofène ou kétoprofène notamment) apporte un vrai soulagement au mal de dos, cela indique la présence d'une inflammation (même si celle-ci peut aussi être liée à une douleur mécanique type sciatique).

     

     

    Il n'y a pas toujours de signes visibles à la radio

    Un mal de dos d'origine inflammatoire correspond le plus souvent à une spondylarthrite, c'est-à-dire à un rhumatisme qui touche la colonne vertébrale. Beaucoup plus rarement, il peut indiquer une tumeur ou une infection. "Mais dans 80% des cas, les radios sont normales, on ne détecte aucune anomalie au niveau de la colonne. Parfois, c'est l'IRM qui parvient à montrer une inflammation, mais pas toujours" explique le Dr Goupille.

    Il s'agit donc d'une pathologie "invisible", qui ne se voit pas de l'extérieur, ce qui explique les difficultés à faire reconnaître la maladie et ses douleurs, notamment au travail lorsque celles-ci entraînent des arrêts. Au final, le diagnostic se fait essentiellement via l'interrogatoire et un questionnaire sur les signes cliniques, à condition que le médecin soit formé à cette pathologie.

     

     

    Il touche les plus jeunes

    "Dans la majorité des cas, le mal de dos inflammatoire touche des personnes de moins de 40 ans", rappelle le rhumatologue. Y compris des adolescents ou des jeunes actifs. Souvent, la douleur progresse au fil des mois et des années, devenant de plus en plus gênante. Mais il peut également y avoir des périodes de rémission suivies de crises.

     

     

    Un diagnostic qui peut prendre des années

    "Ces difficultés de diagnostic entraînent souvent une errance thérapeutique, les patients sont renvoyés d'un médecin à un autre. Ils attendent en moyenne 7 ans, parfois beaucoup plus, avant de savoir qu'ils souffrent d'un mal de dos inflammatoire. Or, il est toujours important de savoir pourquoi on a mal", regrette le Dr Goupille.

    Le mal de dos inflammatoire peut notamment être confondu avec la fibromyalgie. Entre temps, les douleurs (et les conséquences qui les accompagnent type stress, fatigue, arrêt de travail, dépression...) peuvent s'aggraver. Une fois le diagnostic posé, il permet de suivre le bon traitement, en choisissant le bon anti-inflammatoire à la dose efficace la plus faible possible et en diminuant progressivement le dosage, ou, plus rarement, en ayant recours à des injections sous cutanées d'anti-TNF. Voilà pourquoi il est important de consulter son médecin généraliste, qui pourra orienter vers un rhumatologue, et de ne pas s'automédiquer si l'on souffre de mal de dos depuis plus de 3 mois.

     

    Pour en savoir plus et répondre au questionnaire : http://www.neluitournezpasledos.fr

     

    Publié par Laura Chatelain, journaliste santé et validé par Dr Philippe Goupille, rhumatologue 

     

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  • sante-nutrition.org

    Arthrose : la solution « silicium organique »


     

     

     

    Le silicium organique est une des « tartes à la crème » de la santé naturelle.

    Dans tous les salons bio, vous trouvez des stands animés par des commerciaux professionnels vantant ce produit « miracle » pour soigner à peu près toutes les maladies.

    La vérité, comme toujours, est plus compliquée. Peu de recherches scientifiques ont été faites sur les vertus thérapeutiques du silicium, et même ceux qui croient en ses bienfaits sont incapables d’expliquer comment il agit ou pourquoi il ferait du bien à l’organisme.

    Le résultat est une guerre de l’information sur Internet.

     

    D’un côté, des journalistes balayent d’un revers de la main les fabricants comme les utilisateurs de silicium organique, accusant le produit d’être inutile voire dangereux. Un exemple fort est celui du journal Sciences & Avenir (1), qui, manifestement, ne croit pas du tout aux vertus du silicium… Mais le journaliste ne fait que répéter le discours des autorités sanitaires françaises (AFFSAPS) et européennes (EFSA), ce qui est un peu court quand on connaît leur degré d’ouverture intellectuelle.

    En face, vous avez une prodigieuse abondance de témoignages personnels attestant des effets incroyables de ce produit. Vous en avez un aperçu en allant lire les commentaires de ce même article de Sciences & Avenir, où le journaliste se fait assaillir de critiques par ses propres lecteurs, qui semblent, eux, avoir bel et bien essayé le produit, et en avoir bel et bien observé les bienfaits !

    En tout cas, le silicium organique est un produit sulfureux, notamment du fait des nombreuses affaires liées à ses inventeurs, le chimiste Norbert Duffaut et le géologue Loïc Le Ribault, qui fut l’un des premiers utilisateurs en France du microscope à balayage électronique. Le premier a été retrouvé mort en 1993 (la police conclura à un suicide), le second a été emprisonné et accusé de toutes sortes de fraudes, en particulier d’avoir prétendu améliorer le produit créé par Norbert Duffaut et l’avoir commercialisé en multipliant son prix par douze, sous le nom de G5. Pour tout savoir au sujet de cette ténébreuse affaire, lire « Loïc Le Ribault et le G5 : l’aventure du silicium organique ». (2)

    Il n’en reste pas moins que le silicium organique est peut-être une solution très intéressante pour les personnes soignant l’arthrose, et pourrait soigner de nombreuses autres maladies, comme l’ostéoporose, l’athérosclérose (lésions des artères augmentant le risque d’infarctus), de nombreux problèmes de peau et de cheveux, et renforcer le système immunitaire. C’est pourquoi nous lui consacrons aujourd’hui un article approfondi.

    Les origines du silicium organique

    Le sable, le quartz, et de nombreuses roches sont faites à base de silicium, qui est le deuxième élément le plus abondant dans la croûte terrestre, après l’oxygène et avant l’aluminium.

    Or, il se trouve que vous avez aussi du silicium dans votre corps, et singulièrement dans vos tissus conjonctifs, c’est-à-dire les os, le cartilage, la peau et les tissus de soutien.

    Le silicium est même un des principaux minéraux présents dans le corps humain : l’organisme en contient environ 7 grammes, contre 2 grammes pour le zinc et 4 grammes pour le fer, pourtant très importants eux-aussi.

    Avec l’âge, les réserves de silicium diminuent de façon inquiétante. Et l’alimentation moderne, comme d’habitude, aggrave les choses puisque nous ne consommons plus beaucoup d’aliments riches en silicium : enveloppe des céréales, fruits et légumes de qualité, eau de source. L’eau du robinet, en particulier, est aujourd’hui systématiquement floculée par l’aluminium qui enlève une grande partie des silicates.

    Or, le silicium est nécessaire pour la biosynthèse de nombreuses molécules comme le collagène, l’élastine et l’acide hyaluronique, éléments essentiels des cartilages, des os, de la peau et du système immunitaire. Le silicium intervient également dans la constitution des cheveux et des ongles.

    Passons en revue brièvement ses effets sur les différentes maladies :

    Comment le silicium pourrait soigner plusieurs maladies

    Arthrose : le silicium est indispensable à la synthèse des glucosaminoglycanes, qu’on trouve en abondance dans le cartilage. Le déficit en silicium peut donc provoquer de l’arthrose, qui est causée par un problème de régénération du cartilage. Des études sur les cartilages embryonnaires montrent que leur croissance est liée à la présence de silicium, qui catalyse la prolyl-hydroxylase, indispensable à la biosynthèse du collagène et des glucosaminoglycanes.

    Maladies cardiovasculaires : le silicium intervient dans la synthèse et l’arrangement des fibres d’élastine et de collagène constitutives des parois artérielles, dont elles améliorent la souplesse. Il serait donc un excellent protecteur contre l’athérosclérose, une maladie cardiovasculaire pouvant provoquer l’infarctus, et diminue l’hypertension. Les analyses de la composition d’artères saines et d’artères fortement lésées par l’athérome ont clairement montré une baisse du taux de silicium dans les artères malades.

    Problèmes de peau : plus la peau est riche en silicium, plus elle est souple, épaisse, peu ridée, et cicatrise facilement. En effet, le derme, tissu qui se trouve sous la peau et la nourrit, comporte une matrice extracellulaire qui est constituée de fibres de collagène, d’élastine et de glycosaminoglycanes. Comme nous l’avons vu, le silicium est indispensable à la constitution et au renouvellement de ces fibres. Une faible teneur en silicium est aussi associée aux problèmes de peau comme le psoriasis.

    Cheveux : le silicium prévient la chute des cheveux et pourrait favoriser la repousse, en intervenant sur les phanères.

    Une substance intéressante contre le vieillissement

    Le silicium est donc un outil clé pour lutter contre le vieillissement :

    • le vieillissement au niveau articulaire avec l’arthrose ;
    • le vieillissement osseux avec l’ostéoporose ;
    • le vieillissement de la peau, avec les rides et les problèmes de cicatrisation ;
    • le vieillissement des artères avec l’athérosclérose.

    Différentes études ont montré qu’il y a décroissance importante des taux de silicium, pouvant atteindre 80 %, notamment au niveau de la peau et des artères avec l’âge, et en particulier à partir de la ménopause chez les femmes.

    Faut-il pour autant vous jeter sur le premier tas de sable venu, pour reconstituer vos réserves de silicium ?

    Suffit-il de manger du sable pour rétablir l’équilibre ?

    Hélas non, ce n’est pas si simple. Le sable contient énormément de silicium, mais il s’agit de silicium minéral, c’est-à-dire oxydé et inerte. Il n’a probablement aucune valeur thérapeutique puisqu’il ne peut pas être assimilé par l’organisme.

    J’écris « probablement » car, curieusement, il existe en Afrique du Nord une vieille tradition d’enterrer dans le sable les personnes souffrant de rhumatismes. Or, selon Loïc Le Ribault, les grains de sable auraient justement à leur surface une petite couche de silicium organique, c’est-à-dire actif et assimilable par le corps, et notamment efficaces contre l’arthrose, l’ostéoporose, les problèmes de peau et l’athérosclérose.

    Ces affirmations n’ayant cependant jamais été prouvées par des recherches indépendantes, nous les laisserons de côté ici. Revenons au sable, donc.

    Si vous mangez du sable, vous n’avez aucun effet bénéfique à attendre car celui-ci sera de toutes façons évacué par votre corps sans être assimilé.

    Mais le silicium se trouve également dans la nature sous forme « colloïdale », c’est-à-dire par microparticules en suspension dans un liquide, comme la sève de certaines plantes : l’ortie, la prêle, le bambou.

    Toutefois, même sous forme « colloïdale », il s’agit toujours d’une forme minérale, très mal assimilée par l’organisme. Seul 1 à 10 % parviendra à passer la barrière intestinale. Pour la faible partie qui arrivera à passer dans votre sang, l’essentiel n’entrera jamais au niveau des cellules et du tissu conjonctif. Il sera éliminé par vos reins, dans les urines. Vous avez beau en manger 15 à 40 mg par jour, si vous avez une alimentation normale, vous ne pourrez atteindre les 2 mg par jour qui sont nécessaires.

    Mais le silicium existe également sous forme organique, c’est-à-dire non oxydée (on dit « réduite »), soluble, et donc active et hautement assimilable par l’organisme, y compris au niveau cellulaire.

    Pour les lecteurs qui ont des notions de chimie, il est intéressant de savoir que le silicium organique est constitué d’un groupement méthyl (1 atome de carbone et 3 d’hydrogènes), attaché à un atome de silicium, lui même attaché à une, deux ou trois liaisons alcools (-OH). Plus il y a de liaisons alcools, plus le silicium est actif.

    La molécule principale utilisée en complémentation alimentaire, et développée par Norbert Duffaut, est le monométhyl Silane Triol (MMST), qui compte trois groupements alcools (le maximum).

    A noter que la façon dont le silicium organique apparaît dans la nature est un mystère. Il n’existe à ce jour aucune publication abordant cette question.

    Intérêt pour la santé du silicium organique MMST

    Cette molécule est dotée, grâce à sa structure, d’une double polarité : elle est à la fois hydrophile, grâce à ses liaisons alcool, ce qui lui donne une bonne solubilité dans l’eau, indispensable au passage dans le sang. Mais elle est également hydrophobe, grâce à son groupement méthyle, ce qui lui donne une affinité pour les graisses, et permet le passage à travers le film protecteur de la peau.

    Lorsqu’il est suffisamment dilué dans l’eau, et on ne le trouve de toutes façons dans le commerce que sous forme liquide, le MMST associé aux acides aminés ne se polymérise pas et donc ne précipite pas, ce qui garantit sa très grande biodisponibilité. Une étude rigoureuse des travaux de Duffaut conduit à choisir une concentration de l’ordre de 0,03 % pour garantir cette absence de précipitation, qui neutraliserait les effets du silicium organique.

    Il reste néanmoins fragile, y compris sous cette forme. Le silicium organique MMST ne doit entrer en contact ni avec le verre, ni avec le métal. On doit éviter de l’exposer à de trop grandes chaleurs, au froid et à la lumière. Il doit être conservé à température ambiante, dans un flacon opaque, bouché, et doit être dosé directement avec le bouchon ou un doser plastique.

    Dans ce cas, l’assimilation dans le sang est estimée entre 50 et 70 %, contre 5 % pour le silicium colloïdal.

    Seuls 5 % de la partie assimilée sera éliminée par les urines, le reste étant utilisé par les cellules et les tissus conjonctifs, contre 50 % pour le silicium colloïdal.

    Une cure apportant environ 2 mg de silicium organique par jour permettra de reconstituer les réserves, et de redémarrer la production des tissus conjonctifs, en particulier du cartilage dans le cas de l’arthrose (lorsque la destruction de celui-ci est liée à un déficit de silicium bien sûr).

    Utilisation

    L’usage alimentaire du silicium organique a été interdit depuis le 1er janvier 2010 sur avis de l’agence européenne de sécurité alimentaire (EFSA). Il était toutefois autorisé auparavant sans effets indésirables notoires et sa commercialisation reste autorisée à condition de ne pas le présenter comme un produit alimentaire.

    Le MMST peut-être utilisé sous forme de lotion. On l’applique sur la peau en imbibant une compresse. Comme il pénètre très bien dans la peau, il rejoint le tissu conjonctif le plus proche. C’était le moyen utilisé par Norbert Duffaut.

    Il existe aussi sous forme de gel, plus facile d’utilisation, mais il est alors mélangé à des excipients, dont il faut vérifier qu’ils répondent aux exigences de la charte « Cosmébio » pour avoir un produit optimal.

    Il est aussi diffusé sous le nom de Conjonctyl, qui est un produit à usage injectable, et qui dispose d’une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) dans tous les pays européens.

    Mise en garde

    Les effets très divers relatés par témoignages, le manque de connaissances sur la forme réellement active sur les cellules, et l’absence d’études sur les effets de la complémentation en silicium organique laissent une grande zone de mystère sur la manière dont agit le silicium organique.

    Un aspect qui semble évident est que le silicium a une action nutritive, surtout chez les personnes âgées. Un organisme qui manque de silicium disponible perd une partie de son potentiel et certaines de ses fonctions s’affaiblissent. Lui apporter du silicium assimilable peut avoir des conséquences dans divers domaines (articulations, os, artères, peau, cheveux, système immunitaire, yeux) car le silicium intervient dans de nombreuses structures et fonctions.

    A votre santé !

    Jean-Marc Dupuis

     

     

    Sources :

    (1) Pour consulter l’article de Sciences & Avenir, voici le lien ici.

    (2) Jean-Daniel Metzger, « Loïc Le Ribault et le G5 : l’aventure du silicium organique », éditions Ambre, 2010.

    Pour les spécialistes qui souhaitent en savoir plus, je recommande fortement la lecture de la monographie complète sur le silicium organique ci-après, d’où sont puisées l’essentiel des informations de cette lettre (lien cliquable).

    Article original et nombreux commentaires sur Santé nature innovation

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  • medisite.fr

    MALADIE DE LYME :

    RECONNAÎTRE LA LÉSION TYPIQUE DE L’INFECTION

     
     
     
    La maladie de Lyme est transmise à l'Homme par une piqûre de tiques infectées par la bactérie Borrelia. Elle est reconnaissable par sa lésion cutanée typique.
     

     

    La maladie de Lyme fait peur parce qu'on ne sait pas la prévenir et parce qu'on sait très mal la prendre en charge. Associée à la piqûre d'une tique infectée par la bactérie Borrelia, elle se caractérise par une lésion cutanée typique. Dans son édition de mai 2015, la revue médicale Prescrire rappelle : "L'apparition d'une lésion cutanée, l'érythème migrant, est caractéristique de la première phase, localisée, de l'infection. Il s'agit d'une lésion circulaire d'extension annulaire progressive (au moins 5 cm) centrée sur la morsure. L'érythème migrant survient en général dans les deux semaines suivant la morsure, et doit être distingué de l'inflammation apparaissant rapidement après la morsure." Cette rougeur ne gratte pas, n'est pas douloureuse et siège habituellement au niveau des jambes, parfois des bras, voire au visage chez l'enfant. Des maux de tête, des douleurs musculaires, une fatigue et une petite fièvre, des ganglions proches peuvent être associés à ce symptôme.

    Une maladie en trois phases

    S'en suit une phase secondaire, plusieurs semaines ou mois après la disparition de la première lésion. Elle se manifeste par des lésions cutanées semblables à celles observées lors de la phase primaire, des douleurs articulaires, des problèmes cardiaques comme des pertes de connaissance, des palpitations, des douleurs thoraciques... Cette phase peut guérir spontanément ou évoluer vers la suivante : la phase tertiaire. Elle arrive des mois ou des années après le début de l'infection. Elle correspond à une évolution chronique des symptômes. Elle se manifeste par une arthrite chronique destructive au niveau des grosses articulations, des problèmes cutanés avec de grosses lésions qui fragilisent la peau, une atteinte du cerveau avec des troubles psychiatriques ou neurologiques.

    Un traitement à prendre au plus tôt

    Le traitement de la maladie de Lyme est à base d'antibiotiques (généralement l'amoxicilline ou la doxycycline). Il a pour but de faire disparaître les symptômes et de prévenir la survenue de manifestations tardives en éradiquant la bactérie. Plus le traitement est administré rapidement, plus il est efficace. On estime que le risque de transmission est très faible en cas d'attachement de la tique pendant moins de 24 heures.

    Pour rappel, le taux d'infestation des tiques varie selon les régions, de 5% pour les régions les moins infestées à environ 20% en Alsace et Limousin.

    Vidéo. La maladie de Lyme expliquée en images

     

     

    Publié par Aurélie Blaize, journaliste santé

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  • medisite.fr

    MÉDICAMENTS DE LA THYROÏDE :

    LES EFFETS SECONDAIRES À CONNAÎTRE

     

     

    Quand on présente une hypothyroïdie ou quand on vit sans thyroïde, la prise d'hormones thyroïdiennes sous forme médicamenteuse est indispensable. Cependant, cette prise n'est pas toujours simple et peut entraîner certains effets secondaires. Explications avec le Dr Valérie Foussier, endocrinologue.

     
     

    Parfois des semaines à s'habituer au médicament

    Pourquoi : "Il faut distinguer plusieurs cas. Quand on enlève la thyroïde par acte chirurgical, il n'y a pas de phase d'adaptation. Le médicament remplace les hormones nécessaires à l'organisme et tout se passe très rapidement. Quand il s'agit d'hypothyroïdie fruste*, les personnes ont une amélioration de leurs symptômes très rapidement également. C'est plus en cas d'hypothyroïdie profonde, que l'on peut observer, au début du traitement, un délai d'adaptation par rapport au traitement de 4 à 6 semaines" explique le Dr Valérie Foussier, endocrinologue.

    * L’hypothyroïdie fruste est définie par un taux de TSH > 4 mUI/l, confirmé par un deuxième dosage à 1 mois, sans anomalie de la concentration de la T4L.

     

     

    De nombreuses interactions avec d'autres médicaments

    Il arrive que les différents médicaments à base d'hormones de synthèse pour la thyroïde entrent en interaction avec d'autres traitements. 

    Elles sont nombreuses. C'est le cas notamment avec les pilules contraceptives, les anti-acides pour les aigreurs d'estomac, les suppléments de fer, les anticoagulants, les antihypertenseurs, les anti-inflammatoires...

    Le mieux : "Il est préférable de prendre le comprimé de Lévothyrox® à distance des repas, en général 2h après le petit-déjeuner. En cas d'autres traitements, il est important d'en parler avec son médecin. Certains d'entre eux diminuant l'absorption du Lévothyrox® et obligeant à en augmenter les doses" explique le Dr Foussier.

     

     

    Des risques de troubles cardiaques

    Les médicaments pour la thyroïde peuvent entraîner des douleurs thoraciques, des arythmies et des palpitations chez les personnes ayant une maladie coronarienne reconnue (angine de poitrine...).

    Pourquoi : un traitement pour la thyroïde peut augmenter de façon significative les battements cardiaques et causer une aggravation de leur pathologie avec des signes de crise cardiaque (douleur thoracique qui se propage aux épaules, au cou et à la mâchoire, essoufflement…).
    "Il faut être prudent. En général, on adapte le traitement avec un dosage du médicament pour la thyroïde, moins fort" indique l'endocrinologue.

    Que faire : prévenez votre médecin de votre état. Il vous proposera une surveillance médicale rapprochée et spécifique.

     

     

    Mieux vaut éviter les génériques

    Un médicament de base et son générique ne se ressemblent pas toujours. "C'est le cas pour le Lévothyrox®, prévient le Dr Froussier. Les génériques n'étant pas les mêmes produits, et ne présentant pas le même équilibre au niveau des dosages hormonaux."

    Que faire : parlez-en à votre médecin si vous constatez des troubles depuis la prise du générique. Celui-ci pourra avoir recours à la mention "non-substituable" sur ses ordonnances.

     

     

    Des risques de prise de poids ?

    Beaucoup de personnes atteintes d'hypothyroïdie se plaignent d'une prise de poids importante ou d'une difficulté à perdre du poids.

    Qu'en est-il : "Ce n'est qu'un mythe. Les personnes ne devraient prendre que 3 à 4kg, pas plus. Le corps va réguler également les oedèmes par certains mécanismes internes" explique le Dr Foussier.

     

     

    Chirurgie, réanimation : soyez prudent

    - S'il y a eu une chirurgie ou un traitement lourd des voies digestives ou orales (œsophage, gorge, estomac), l'absorption des médicaments est modifiée. Il est alors important d'utiliser des hormones thyroïdiennes par voie injectable.

    - En cas d'accident et de réanimation, il est préférable d'avoir sur soi une carte qui précise que vous prenez du Lévothyrox®. "Une journée sans prise de traitement, cela passe. Quatre jours et cela dérape, car la personne commence à perdre ses facultés intellectuelles, se sent désorientée et oublie complètement la prise de son traitement. On ne peut pas vivre sans hormones thyroïdiennes" souligne le Dr Foussier.

     

     

    Des effets indésirables en cas de surdosage

    De nombreux effets indésirables peuvent apparaître en cas de surdosage.

    Lesquels : des crampes abdominales, des diarrhées, des maux de tête, des troubles du sommeil, une perte de poids. Mais aussi plus difficiles à gérer : de la confusion, des étourdissements, l'impression de s'évanouir, des sautes d'humeur, une faiblesse musculaire, une psychose, une agitation (extrême), des tremblements.

    Cependant : "C'est rare. En général, les personnes sont suivies. Le surdosage n'arrive bien souvent qu'en cas de non-surveillance pendant des années et en cas d'automédication", précise le Dr Foussier.

     

    Publié par Florence Massin, journaliste santé et validé par Dr Valérie Foussier, endoctrinologue

     

     

    Remerciements au Dr Valérie Foussier, endocrinologue et auteur de nombreux ouvrages dont La thyroïde nous en fait voir de toutes les couleurs : Hyothyroïdie, hyperthyroïdie, nodules,  Coaching diabète et Bien vivre sans surrénales.
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  • passeportsante.net

    A quoi ressemblera l’assiette du futur ?

     

     

    Selon les prévisions démographiques, nous serons 9,6 milliards à nous partager les ressources de la Terre d’ici 2050. Ce chiffre n’est pas sans faire peur compte tenu de ce que cela représente en termes de gestion des ressources alimentaires, notamment du point de vue environnemental. Alors, que mangerons-nous dans un futur proche ? PasseportSanté fait le tour des différentes options.

    Favoriser une intensification durable de l’agriculture

    Favoriser une intensification durable de l’agriculture

    De toute évidence, l’enjeu principal est de nourrir 33 % d’hommes en plus avec les mêmes ressources qu’actuellement. Aujourd’hui, on sait que le problème ne réside pas tant dans la disponibilité des ressources que dans leur répartition à travers le monde et le gaspillage. Ainsi, c’est 30 % de la production alimentaire mondiale qui est perdue après récolte                ou  gaspillée dans les magasins, par les ménages ou les services de restauration1. En outre, une grande partie des céréales et des terres est réservée à l’élevage d’animaux plutôt qu’aux cultures alimentaires2. De ce fait, il semble nécessaire de repenser l’agriculture pour qu’elle soit cohérente à la fois avec les objectifs environnementaux – économie de l’eau, réductions des émissions de gaz à effet de serre, de la pollution, du gaspillage – et les prévisions démographiques.

    Améliorer le système d’élevage des animaux

    Pour une intensification durable du système d’élevage, l’idée est de produire autant de viande en utilisant moins de nourriture. Pour cela, on suggère de produire des races de bétail plus productives en viande et en lait. Aujourd’hui, il existe déjà des poulets pouvant atteindre un poids de 1,8 kg avec 2,9 kilos de nourriture seulement, soit un taux de conversion de 1,6, là où une volaille classique devrait en ingurgiter 7,2 kilos2. L’objectif est de réduire ce taux de conversion à 1,2 pour une rentabilité accrue et une utilisation moindre de céréales.

    Cette alternative pose toutefois des problèmes éthiques : les consommateurs sont de plus en plus sensibles à la cause animale et montrent un intérêt grandissant pour un élevage plus responsable. Ils défendent des conditions de vie meilleures pour les animaux à la place de l’élevage en batterie, ainsi qu’une alimentation plus saine. Cela permettrait notamment aux animaux d’être moins stressés et donc de produire une viande de meilleure qualité3. Ces réclamations nécessitent toutefois de l’espace, impliquent des coûts de revient plus importants pour les éleveurs – et donc un prix de vente plus élevé – et ne sont pas compatibles avec un mode d’élevage intensif.

    Réduire les pertes et la pollution en produisant de meilleures variétés de plantes

    La modification de certaines plantes pourrait aller en faveur d’une agriculture moins polluante et plus rentable. Par exemple, en créant une variété de riz moins sensible au sel, les pertes seraient réduites en cas de tsunami au Japon4. De la même façon, la modification génétique de certaines plantes permettrait d’utiliser moins d’engrais, et donc d’émettre moins de gaz à effets de serre tout en réalisant des économies considérables. L’objectif serait de créer des variétés de plantes capables de capter elles-mêmes l’azote – l’engrais de croissance – dans l’atmosphère et de le fixer2. Cependant, non seulement nous n’y parviendrons sans doute pas avant une vingtaine d’années, mais ces initiatives risquent de se heurter aux législations restrictives (notamment en Europe) vis-à-vis des organismes génétiquement modifiés. En effet, aucune étude à long terme n’a encore démontré l’innocuité de ces derniers sur notre santé. De plus, cette façon de modifier la nature pose des problèmes éthiques évidents.

     

     

    Et s’il fallait manger moins de viande ?

    Et s’il fallait manger moins de viande ?

    Ce  n’est plus un secret, l’élevage de viande nécessite beaucoup plus de ressources – en espace, en céréales, en eau – et sont plus polluantes que les cultures de végétaux. A titre de comparaison, la production de 1 kg de protéines peut nécessiter jusqu’à 100 fois plus d’eau que la production de 1 kg de protéines végétales, et il faut de 6 à 17 fois plus de terres pour produire de la viande que pour produire du soja1. Pour ce qui est des conséquences environnementales de l’élevage, une étude réalisée au Royaume-Uni en est venue à la conclusion que les Britanniques devraient consommer 2 fois plus de légumes et nettement moins de viande qu’actuellement pour ne pas dépasser un réchauffement climatique de 2°C d’ici à 21002.

    Pourtant, non seulement il semble difficile de persuader les consommateurs de manger moins de viande sans la mise en place de politiques et de réglementations précises, mais il ne faut pas négliger le poids des populations des pays émergents qui, en s’enrichissant, consomment davantage de viande et de produits laitiers. Finalement, malgré la prise de conscience grandissante dans les pays développés, la consommation de viande et de produits animaux risque globalement d’augmenter dans les prochaines décennies3.

     

     

    Des insectes dans nos assiettes

    Des insectes dans nos assiettes

    Courants dans les pays du Sud où ils sont consommés par environ 2 milliards de personnes1, les insectes repoussent encore les populations occidentales. Pourtant, les 1 900 espèces d’insectes répertoriées comme étant comestibles regorgeraient de bienfaits : riches en graisses, en vitamines, en minéraux et en protéines, ils pourraient aisément remplacer la viande traditionnelle. Avec un taux de conversion 7 à 8 fois plus élevé que l’élevage – on peut produire 7 kg de vers de farine avec 10 kg de son de blé2 – ils sont également beaucoup plus rentables et respectueux de l’environnement. Plusieurs entreprises ont même commencé à créer le marché en lançant des barres énergétiques, des biscuits salés ou sucrés et autres snacks réalisés à partir de farine d’insectes1. Alors, à quand les insectes grillés à l’apéritif ?

     

     

    Vers une alimentation imprimée ?

    Vers une alimentation imprimée ?

    L’émergence des imprimantes 3D ne laisse pas de surprendre quant au champ des possibilités qu’elles ouvrent. Plusieurs entreprises ont d’ailleurs pour projet de commercialiser à terme des imprimantes 3D spécialisées dans l’alimentaire1. L’imprimante serait alimentée par des substances nutritives telles que les hydrates de carbone ou les protéines, et pourraient reproduire n’importe quel aliment à partir de ses composants élémentaires2. Les plats imprimés seraient entièrement personnalisables, de la composition à la forme. Chaque consommateur pourrait donc aisément adapter ses repas à son régime alimentaire. Normalement imprimés crus, une entreprise a même pour projet d’intégrer une fonction cuisson à son futur prototype.

    Cette idée n’est pas sans rappeler les expériences de chercheurs hollandais sur la création du premier steak in vitro en 2013, créé à partir de cellules souches musculaires prélevées dans la partie comestible de l’animal vivant3.

    Ces initiatives sont prometteuses dans la mesure où elles présentent des avantages écologiques et socio-économiques évidents, mais elles n’en sont encore qu’à leurs balbutiements et demeurent extrêmement coûteuses. A titre d’exemple, un burger artificiel coûte plus de 250 000 €2.

     

     

    L’émergence des poudres nutritives

    L’émergence des poudres nutritives

    La poudre nutritive est certainement l’alternative la plus radicale car la plus éloignée de notre alimentation traditionnelle. En effet, l’idée de la poudre nutritive est de se substituer à toute autre forme d’alimentation. Diluée dans l’eau, elle constitue à elle seule un repas complet, censé contenir tout ce dont le corps humain a besoin : vitamines, minéraux, acides aminés, calories, graisses… et ce sans aucunes toxines. Elle présente donc des avantages pour l’environnement, pour la santé, et représente une solution économique dans la mesure où un repas ne coûterait que 3 dollars, soit un budget mensuel de 100 dollars. Cependant, bien que déjà commercialisé, c’est un produit peu attractif dans le sens où il retire la variété gustative que l’on trouve dans la nourriture et l’aspect convivial d’un repas partagé autour d’une table. Les freins psychologiques sont donc nombreux et il est raisonnable de penser que cette option ne peut pas constituer un repas habituel mais plutôt un repas pris rapidement lorsque c’est nécessaire.

      
     
    Samira Leroux
     
     
     
     

    Sources

    une intensification durable de l’agriculture

    1. ParisTech Review, Viande artificielle et emballages comestibles : un avant-goût de la nourriture du futur, www.paristechreview.com, 2015
    2. M. Morgan, ALIMENTATION : Comment nourrir la future population mondiale, www.irinnews.org, 2012
    3. M. Eden, Volaille : le poulet du futur sera moins stressé, www.sixactualites.fr, 2015
    4. Q. Mauguit, Quelle alimentation en 2050 ? Un expert nous répond, www.futura-sciences.com, 2012

    manger moins de viande

    1. Impact des modes alimentaires sur l’environnement et la disponibilité alimentaire mondiale, www.alimentation-responsable.com
    2. M. Morgan, ALIMENTATION : Comment nourrir la future population mondiale, www.irinnews.org, 2012
    3. ParisTech Review, Viande artificielle et emballages comestibles : un avant-goût de la nourriture du futur, www.paristechreview.com, 2015

    Des insectes dans nos assiettes

    1. ParisTech Review, Viande artificielle et emballages comestibles : un avant-goût de la nourriture du futur, www.paristechreview.com, 2015
    2. R. Vergonjeanne, L’élevage d’insectes valorisera nos déchets pour nourrir nos animaux, www.web-agri.fr, 2015 

    une alimentation imprimée

    1. E. Hong, L’impression 3D, futur de l’alimentation ?, www.atelier.net, 2015
    2. Que mangerons-nous demain ?, www.future.arte.tv, 2014
    3. C. Schweyer, La viande du futur sera-t-elle faite en laboratoire ?, http://sciencespourtous.univ-lyon1.fr, 2015

    des poudres nutritives

    1. ParisTech Review, Viande artificielle et emballages comestibles : un avant-goût de la nourriture du futur, www.paristechreview.com, 2015 

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  • sante-nutrition.org

    Seuls trois vaccins sont obligatoires en France.

    L’imposition de tout autre vaccin est illégale

     

    vaccins15

     

     

     

    Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis médecin généraliste depuis 35 ans, et j’ai vacciné pendant 33 ans, sans état d’âme et en toute innocence coupable, oxymore seulement apparent : l’innocent ne sait pas, mais le médecin qui ne sait pas est coupable.

    Ma seule information a été la faculté (qui glissa joyeusement sur le sujet en 2-3 heures), et surtout la presse médicale et ses valets, les visiteurs médicaux ; jamais le dogme n’a été remis en question.

     

    Il a fallu l’insistance et l’arrogance de Madame Bachelot à l’occasion de la grippe porcine pour que s’ouvre enfin ma machine à penser, à douter. Des ouvrages contestataires me sont tombés dans les mains comme par magie, et j’ai du non seulement remettre en question cette vaccination, mais l’ensemble des vaccins. Chaque nouveau bouquin m’a apporté des révélations, m’a appris le formidable mensonge entretenu depuis Pasteur, dont j’ai découvert qu’il n’était qu’un escroc, avec une nombreuse descendance. J’en parlerai plus tard peut-être.

    Comprenez qu’un médecin qui refuse de vacciner prend quelques risques avec son Ordre, et compromet gravement ses revenus (en 7 ans, un enfant « rapporte » au moins 500 euros sous cet angle) : ce qui n’incite guère ni à la réflexion, ni à la remise en question. J’ai franchi ce pas, après bien d’autres confrères, dans la discrétion. De plus en plus de confrères et de moins en moins de discrétion, pour eux comme pour moi, car les mentalités évoluent. Nos détracteurs nous montrent qu’en fait ils n’ont jamais étudié la question, ou choisi de ne pas l’entendre. En principe, celui qui se donne la peine d’étudier vire sa cuti dans les mois qui suivent.

    J’ai donc vacciné trois fois depuis un an (au lieu de 300), sous contrainte, au désespoir, et non sans avoir tout tenté pour expliquer (Je n’ai pas poussé la seringue à fond, pour me donner bonne conscience, mais c’est quand même trois échecs personnels). Cela ne se reproduira plus. Mon chiffre d’affaire n’a pas baissé, ce qui prouve qu’on peut le faire. Je vois moins d’enfants, et c’est dommage pour eux. Mais je vis, je vis bien, je vis mieux, et je vis avec la conscience de faire ce qu’il faut. Voici, par exemple,  pourquoi j’agis ainsi (mais j’ai des centaines d’articles tout aussi convaincants).

    Un dernier mot : seuls trois vaccins sont obligatoires en France (et aucun dans un grand nombre de pays): Diphtérie, Tétanos et Polio. L’imposition de tout autre vaccin est illégale, dans tous les cas de figure, et même punie par la loi, sauf dans certaines professions (médicale et militaire), ce qui est hautement discriminatoire et contestable.

    Je recommande un petit livre de la collection Jouvence, écrit par un collectif de médecins suisses, très facile à lire, et qui ne vous coutera que 4,90 euros, mais vous amènera en douceur à la raison : « Qui aime bien, vaccine peu » qu’on peut commander sur editions-jouvence . De plus, on ne peut pas ne pas avoir vu le film « Silence on vaccine » (en bas de page)

    De plus, on ne peut pas ne pas avoir vu ce film: « Silence on vaccine »:

    ~~ Doctorix le Gaulois ~~

    Vaccins : accédez à l’entièreté des faits

    Des médecins, des infirmières et des scientifiques engagés pour la protection de votre santé et celle de vos enfants :

    Nicola Antonucci, MD David Ayoub, MD Nancy Turner Banks, MD Timur Baruti, MD Danny Beard, DC Françoise Berthoud, MD Russell Blaylock, MD Fred Bloem, MD Laura Bridgman, FNP, ND Kelly Brogan, MD Sarah Buckley, MD Rashid Buttar, DO Harold Buttram, MD Lisa Cantrell, RN Lua Català Ferrer, MD Jennifer Craig, PhD, BSN, MA Robert Davidson, MD, PhD Ana de Leo, MD Carlos de Quero Kops, MD Carolyn Dean, MD, ND Mayer Eisenstein, MD, JD, MPH Todd M. Elsner, DC Jorge Esteves, MD Edward « Ted » Fogarty, MD Jack Forbush, DO Milani Gabriele, CRNA, RN Sheila Gibson, MD, BSc Mike Godfrey, MBBS Isaac Golden, ND Gary Goldman, PhD Garry Gordon, MD, DO, MD(H) Doug Graham, DC Boyd Haley, PhD Gayl Hamilton, MD Linda Hegstrand, MD, PhD James Howenstine, MD Suzanne Humphries, MD Belén Igual Diaz, MD Philip Incao, MD Joyce Johnson, ND A. Majid Katme, MBBCh, DPM Tedd Koren, DC Alexander Kotok, MD, PhD Eneko Landaburu, MD Luc Lemaire, DC Janet Levatin, MD Thomas Levy, MD, JD Stephen L’Hommedieu, DC Paul Maher, MD, MPH Andrew Maniotis, PhD Steve Marini, PhD, DC Juan Manuel Martínez Méndez, MD Sue McIntosh, MD Richard Moskowitz, MD Sheri Nakken, RN, MA Christiane Northrup, MD Amber Passini, MD Ronald Peters, MD, MPH Jean Pilette, MD Pat Rattigan, ND Zoltan Rona, MD, MSc Chaim Rosenthal, MD Robert Rowen, MD Máximo Sandín, PhD Len Saputo, MD Michael Schachter, MD Viera Scheibner, PhD Penelope Shar, MD Bruce Shelton, MD, MD(H) Debbi Silverman, MD Kenneth « KP » Stoller, MD Terri Su, MD Didier Tarte, MD Leigh Ann Tatnall, RN Adiel Tel-Oren, MD, DC Sherri Tenpenny, DO Renee Tocco, DC Demetra Vagias, MD, ND Franco Verzella, MD Julian Whitaker, MD Ronald Whitmont, MD Betty Wood, MD Eduardo Ángel Yahbes, MD

    Les signataires, ci-dessus, représentent une palette de professionnels comprenant des pédiatres, des médecins de famille, des neurochirurgiens, des professeurs de pathologie, de chimie, de biologie et d’immunologie. Tous ont, de façon indépendante, investigué l’ensemble des données scientifiques relatives à ce sujet et en arrivent aux conclusions que vous pourrez lire dans ce document.

    MD, DO, MB, MBBCh indiquent tous une formation de doctorat en médecine ou de niveau équivalent.

    ND indique une formation médicale du niveau d’un doctorat mais dans des domaines plus spécifiques de la pratique médicale.

    FNP signifie une infirmière pratiquant à domicile.

    Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les médecins n’arrivent pas à trouver la cause de beaucoup de maladies ? C’est parce qu’ils sont conditionnés à ignorer le lien existant entre les vaccins et diverses pathologies. Les maladies suivantes sont celles pour lesquelles il existe une association avec les vaccins, documentée dans la littérature médicale :

    – Allergies et eczema
    – Arthrite
    – Asthme
    – Autisme
    – Reflux acide du jeune enfant nécessitant le cours aux inhibiteurs de la pompe à protons, des médicaments qui ont beaucoup d’effets secondaires
    – Cancer
    – Diabète juvénile
    – Maladies rénales
    – Fausses couches
    – Longue liste de maladies neurologiques et auto-immunes
    – Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson (MSN)
    – Et beaucoup, beaucoup plus

    Il y a certains effets secondaires des vaccins qui sont documentés dans la littérature médicale et/ou dans les notices des fabricants :

    – Arthrite, troubles sanguins, thromboses, attaques cardiaques, septicémie
    – Infections des oreilles
    – Évanouissements (avec rapports de fractures consécutives)
    – Insuffisance rénale nécessitant une dialyse
    – Convulsions/épilepsie
    – Réactions allergiques sévères, comme l’urticaire ou l’anaphylaxie
    – Mort subite
    – Beaucoup de diagnostics habituellement donnés comme motifs d’hospitalisation
    – Le programme national d’indemnisation des accidents post-vaccinaux (NVCIP) a octroyé plus d’1,2 milliard de dollars ($) d’indemnisation aux victimes, enfants comme adultes.

    L’autisme est associé aux vaccins

    L’autisme était rare avant les programmes de vaccination de masse qui ont été amplifiés en 1991, avec l’introduction des vaccins contre l’hépatite B et l’Hib (méningite). Des dizaines de milliers de parents peuvent attester que leurs enfants sont devenus autistes vraiment peu de temps après avoir reçu ces vaccins ou d’autres.

    Prenez connaissance de l’information disponible sur le site fourteenstudies.org. Vous verrez que les études réfutant le lien entre vaccins et autisme, sont hautement contestables. Les compagnies pharmaceutiques, les compagnies d’assurance et le système médical vivent financièrement de vos maladies.

    - Les vaccins ne procurent pas d’immunité à vie, ce qui signifie que des rappels sont recommandés.

    - Chaque injection de rappel accroît le risque d’effets secondaires.

    – Les effets secondaires des vaccins peuvent vous rendre malade pour le restant de votre vie. Et, fort opportunément, il existe beaucoup de médicaments pour traiter les effets secondaires provoqués par les vaccins.

    – Aux États-Unis, vous ne pouvez pas poursuivre le fabricant ou votre médecin lorsqu’un accident survient après une vaccination. L’un et l’autre sont protégés par la loi nationale sur les dommages vaccinaux chez l’enfant (« National Child Vaccine Injury Act ») de 1986. Cette loi signée et rendue effective par le président Ronald Reagan stipule :

    « Aucun producteur de vaccins ne pourra être rendu responsable, dans une action civile, des dommages ou des décès liés à un vaccin. » (Loi publique 99-660)
    Beaucoup de médecins et de professionnels de la santé ne se vaccinent pas et ne font pas vacciner leurs enfants. Pourquoi ne le font-ils pas ?

    – Ils savent qu’il n’est pas prouvé que les vaccins soient sûrs ou efficaces.

    – Ils savent que les vaccins contiennent des substances dangereuses.

    – Ils savent que les vaccins gênèrent de graves problèmes de santé.

    – Ils ont déjà eu à traiter des patients souffrant de graves effets secondaires de vaccins.
    La seule personne qui retire avantage d’être en bonne santé, c’est vous et ceux sur qui vous veillez.

    – Les compagnies pharmaceutiques ont infiltré et pris le contrôle du système médical dans son ensemble, incluant les écoles de médecines, les journaux médicaux, les hôpitaux, les cliniques et les pharmacies locales. Les revenus des médecins dépendent donc d’une foi aveugle, qui implique de ne jamais remettre en question le moindre aspect de la moindre vaccination. Même quand le médecin a sous les yeux les preuves évidentes d’un dommage vaccinal, il/elle est habituellement peu disposé(e) à envisager la vaccination comme en étant la cause. Malgré le fait que la science et la médecine non corrompues confortent l’abandon des vaccins, agir ainsi peut être considéré comme suicidaire pour sa carrière professionnelle. Les signataires de ce document assument définitivement et courageusement ces risques pour votre sécurité et celle de vos enfants.

    – Les hôpitaux tirent financièrement avantage des hospitalisations et des examens.

    - Les compagnies pharmaceutiques retirent des milliards de dollars des vaccins.

    – Les compagnies pharmaceutiques gagnent des dizaines de milliards de dollars grâce à la vente de médicaments destinés à « traiter » les effets secondaires et les maladies chroniques à vie causées par les vaccins.

    – Les vaccins sont la clé de voûte du système médical. Sans vaccins, les coûts des soins de santé diminueraient parce qu’au final, nous aurions une société plus saine dans son ensemble. Nous avons échangé la varicelle contre l’autisme, la grippe contre de l’asthme, des infections ORL pour du diabète,… et la liste pourrait encore continuer. En voulant frénétiquement éradiquer des microbes relativement bénins, nous avons troqué des maladies temporaires contre des maladies chroniques à vie, lourdes, insidieuses, des désordres, des dysfonctions, des inaptitudes et autres incapacités.

    Combien y a-t-il de vaccins ?

    Si les enfants américains reçoivent toutes les doses de tous les vaccins, ils se font administrer 35 injections qui contiennent 113 différentes sortes de particules microbiennes, 59 produits chimiques différents, 4 types de cellules ou d’ADN animal ainsi que de l’ADN humain issu de fœtus avortés et de l’albumine humaine.

    Si vous pensez que vous n’avez pas de souci à vous faire parce que vos enfants sont plus âgés, pensez-y à deux fois. Il y a pas moins de 20 vaccins supplémentaires qui sont actuellement dans le pipeline de développement de l’industrie pharmaceutique pour être mis sur le marché dans les quelques prochaines années, la plupart destinés aux adolescents et aux adultes.

    Certains composants des vaccins : Comment est-il possible que les vaccins ne puissent pas faire de tort à votre santé avec ça ?

    – Des virus ou bactéries adventices issues des milieux de culture à partir desquels les vaccins sont fabriqués

    – Du mercure, un neurotoxique notoire, qui se trouve toujours dans les flacons multi-doses de vaccin contre la grippe utilisés dans le monde entier. En outre, le mercure se trouve toujours, à l’état de trace, dans plusieurs autres vaccins.

    - De l’aluminium, un poison qui cause la dégénérescence des os, de la moelle osseuse et du cerveau.

    – Des cellules animales de singes, de reins de chiens, de poulets, de vaches, et d’humains.

    – Du formaldéhyde (utilisé pour l’embaumement des morts), un cancérigène notoire.

    – Du polysorbate 80, connu pour causer l’infertilité chez la souris femelle et l’atrophie
    testiculaire chez la souris mâle.

    – De la gélatine, issue des porcs et des bovins, connue pour causer des réactions
    anaphylactiques et que l’on retrouve en grande quantité dans les vaccins ROR et ceux contre
    la varicelle et le zona.

    – Du monosodium glutamate (MSG) dans les vaccins à inhaler contre la grippe, une substance
    connue pour causer des perturbations métaboliques (par ex. diabète), des convulsions et d’autres troubles neurologiques.

    Les conflits d’intérêts

    – Les mêmes personnes qui font la réglementation et les recommandations en matière vaccinale tirent aussi avantage de la vente des vaccins. Par exemple, le Dr Julie Gerberding, qui a dirigé le CDC pendant 8 années est, à présent, présidente de Merck Vaccins. Le Dr Paul Offit, membre du Comité de Conseil en matière de pratiques vaccinales (ACIP) a développé et fait breveter son propre vaccin. Selon le CDC, pour un groupe moyen d’environ 10 pédiatres, la valeur approximative du stock de vaccins infantiles à écouler et disponibles dans leurs bureaux, avoisine les 100.000 $. Ces médecins s’enrichissent des visites au cours desquelles vos enfants sont vaccinés et aussi des visites de suivi, qui font suite aux effets secondaires de ces vaccins reçus.

    Les pédiatres reçoivent des primes trimestrielles de la part des « mutualités » (« health maintenance organisations » – HMOs) avec lesquelles ils collaborent pour maintenir des taux élevés de couverture vaccinale dans leur clientèle et ils sont, semble-t-il, réprimandés par les compagnies d’assurance lorsque les taux de vaccination chutent.

    Existe-t-il la moindre étude comparant la santé des enfants vaccinés à celle des non vaccinés ?

    Une étude financée par Generation Rescue, appelée l’ « étude Cal-Oregon » a questionné les parents d’enfants vaccinés vs. ceux d’enfants non vaccinés. Sur les 17.674 enfants inclus dans cette étude, les résultats ont montré :

    – Les enfants vaccinés avaient 120% plus d’asthme.
    – Les garçons vaccinés avaient 317% plus de troubles de déficit d’attention avec hyperactivité (TDAH)
    – Les garçons vaccinés avaient 185% plus de désordres neurologiques
    – Les garçons vaccinés avaient 146% plus d’autisme.

    Les filles représentent seulement 20% du nombre total d’enfants repris dans cette étude. Pour lire la totalité de l’étude par vous-même, allez sur GenerationRescue.org pour  lire un rapport sur la faible incidence de l’autisme parmi les enfants Amish non vaccinés, allez survaccinationcouncil.org. Plus d’études encore au sujet de l’autisme, voir ici , et ici.

    Les exemptions vaccinales aux États-Unis

    Vous avez le droit de refuser ! Utilisez-le. On ne peut pas obliger que votre enfant se fasse vacciner pour fréquenter une école publique. Chaque état rend possible des exemptions et vous avez le droit de refuser les vaccins que vous estimez indésirables (exemptmychild.com) Trouvez un dispensateur de soins qui est en phase avec votre choix de ne pas vacciner et qui vous respectera sur le site  vaccinationcouncil.org

    Beaucoup de gens choisissent la santé et la sécurité en disant NON aux vaccins.

    Les groupes qui ne vaccinent généralement pas incluent les praticiens holistiques, les chiropracteurs, les parents qui donnent eux-mêmes les cours à domicile et ceux appartenant à certaines religions. Des milliers de témoignages écrits par des parents d’enfants non vaccinés au sujet de l’excellent état de santé de leurs enfants sont disponibles sur divers sites internet. Les décisions concernant la vaccination vous appartiennent à vous et à votre époux – (se)/partenaire. Personne d’autre n’a à s’en mêler. Ce n’est pas l’affaire des autres membres de votre famille, de vos voisins ou de votre belle famille !

    Pour avoir une santé brillante, vous aurez besoin de vous investir pour apprendre certaines choses nouvelles.

    – Le choix de santé sûr est de dire NON aux vaccins. Vous avez le contrôle des choix de santé que vous faites pour vous-même et pour vos enfants. Vous n’avez aucun contrôle sur les conséquences d’une vaccination.

    – Vous n’avez pas besoin d’un « pédiatre attitré » pour simplement peser et mesurer votre enfant et faire les injections. Envisagez la possibilité de recourir à un praticien naturopathe, un chiropracteur pour enfants, un praticien en médecine orientale ou un homéopathe. Vous pourrez constater que les praticiens de la famille des ostéopathes sont plus ouverts en ce qui concerne les choix vaccinaux.

    – Les enfants naissent avec de puissantes défenses naturelles. Si cela n’était pas le cas, ils mourraient tous, peu après la naissance. D’énormes cascades de réactions immunitaires complexes commencent dès les premiers cris de la naissance. Ces processus ont besoin de se dérouler naturellement, sans être interrompus par l’injection de substances toxiques.

    – Informez-vous au sujet des maladies que les vaccins peuvent « prévenir ». Votre enfant n’entrera sans doute jamais en contact avec la plupart de ces microbes et si c’était le cas, quasiment tous les enfants sains et non vaccinés s’en remettent sans aucune séquelles avec à la clé, une immunité durable à vie. La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue.

    – Informez-vous au sujet de l’importance de la fièvre, comment en tirer profit chez soi à la maison et quand recourir à un médecin. La plupart des épisodes fiévreux se résolvent d’eux- mêmes en quelques heures quand on se soigne raisonnablement (drtenpenny.com)

    – Comprenez que votre enfant peut être vacciné et malgré tout contracter la maladie que vous souhaitiez prévenir. Les vaccins ne peuvent pas assurer la protection qui leur est attribuée. La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue, ce n’est pas quelque chose qui s’injecte.

    – Prenez conscience que les principales clés de la santé sont une bonne alimentation, une eau pure, un sommeil adéquat, de l’exercice et de la joie de vivre.

    – Apprenez aussi des informations basiques sur les vitamines, en particulier l’information vraiment cruciale au sujet de la vitamine D3. Apprenez comment utiliser les plantes essentielles et les bases de l’homéopathie pour entretenir sa santé et gérer les troubles mineurs.

    – Informez-vous davantage sur les vaccins que votre médecin ne l’a fait. Votre médecin n’a probablement jamais rien lu sur les vaccins à part les publications sponsorisées par l’industrie qui en font évidemment l’éloge.

    – Sachez que vous payez pour les soins de santé ; le traitement des maladies est remboursé par les compagnies d’assurance. Votre assurance payera les médicaments et les vaccins.

    – Gérer votre budget de façon à pouvoir rester en bonne santé. Votre vie en dépend.

     

     

    Source: Le gauloisdéchainé
     
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  • sante-nutrition.org

    Arthrose : ne terminez pas en chaise roulante


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    Après 50 ans, l’arthrose est le plus fréquent des problèmes articulaires : 9 à 10 millions de personnes en France sont touchées [1] !

    Cela commence un matin en vous réveillant : vous sentez une raideur dans une articulation. Une sorte de pointe en acier qui s’enfonce dans votre hanche, votre dos ou votre genou, en descendant les escaliers.

     

    Brutalement s’effondrent certains de vos plus beaux rêves d’avenir.

    Partir voyager en liberté ; jouer dans un jardin l’été avec vos petits-enfants ; ou simplement faire des activités manuelles, bricoler, vous promener près de chez vous sans cette douleur lancinante qui irradie dans votre corps et vous pousse à bout.

    Mais l’arthrose peut aussi toucher la hanche, le coude, le poignet, les doigts, la colonne vertébrale.

    La douleur s’éveille dès que vous pressez du doigt votre articulation. Peu à peu, votre flexibilité régresse. Vos articulations deviennent rouges, chaudes, enflées, parfois même déformées. Au moindre changement de température, vos souffrances empirent.

    Problème : 76 % des arthrosiques traités par des médicaments jugent leurs douleurshandicapantes.

    Dans les profondeurs de votre cartilage, une catastrophe se prépare

    Lorsqu’on parle de « douleurs handicapantes » pour 76 % des personnes traitées, cela signifie déjà que les traitements médicamenteux ne sont pas efficaces.

    Mais il y a pire : plusieurs études ont montré que les antidouleurs contre l’arthrose aggravent la situation.

    Ils accélèrent la dégradation du cartilage.

    Le phénomène est d’autant plus vicieux que, dans un premier temps, le patient est convaincu d’aller mieux.

    Il ne se doute de rien parce que le médicament a provisoirement masqué sa douleur.

    Mais c’est une dangereuse illusion. Dans les profondeurs de son cartilage, ses os, ses tendons, unecatastrophe se prépare :

    • Des médecins d’Oslo, en Norvège, ont suivi 186 patients souffrant d’arthrose de la hanche. 58 d’entre eux prenaient un médicament contre l’inflammation et la douleur, de l’Indocin, un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS). Aux rayons X, ils se sont aperçus que les personnes prenant de l’Indocin souffraient d’une détérioration bien plus rapide de leur hanche que les autres.
    • Au Portugal, le Dr Antonio Lopez Vaz, de l’hôpital d’Oporto, a étudié un groupe de 48 patients souffrant d’arthrose du genou. Il a divisé le groupe en deux, donnant chaque jour, pendant 8 semaines, 1,5 g de glucosamine (un produit naturel dont je vais reparler) au premier groupe, et 1,2 g d’ibuprofène (un AINS) à l’autre groupe.

    Au départ, les personnes qui prenaient de l’ibuprofène ont vu leurs douleurs diminuer plus vite que les autres. L’impression a persisté durant les deux premières semaines.

    Mais au bout de huit semaines, non seulement leurs douleurs avaient recommencé à s’aggraver, mais elles étaient maintenant « significativement plus fortes » que celles du groupe « glucosamine » (le produit naturel) !!

    Et ce n’était pas la fin du cauchemar pour eux.

    Des trous dans l’estomac qui saignent

    L’ibuprofène, comme les autres AINS, peut être extrêmement dangereux administré sur le long terme.

    Utilisés de façon continue, les AINS provoquent des saignements dûs à des trous dans la paroi de l’estomac et de l’intestin.

    C’est une conséquence fréquente. Plus de 20 000 personnes chaque année sont touchées, rien qu’en France, par ces graves effets indésirables.

    L’arthrose n’est pas comme le rhume ou la jambe cassée. Ce n’est pas un problème temporaire. Le point crucial n’est pas de vous soulager quelques jours ni quelques semaines.

    L’important est que, dans 6 mois, dans 2 ans, dans 10 ans, vous ne finissiez pas en chaise roulante, ou immobilisé sur un lit d’hôpital.

    Solutions naturelles et efficaces contre l’arthrose

    Heureusement, il existe des traitements naturels et sans effets indésirables contre l’arthrose.

    Pas plus que les médicaments, ce ne sont des remèdes miracle.

    Mais contrairement aux médicaments chimiques, ils permettent :

    1. de réduire significativement le risque de douleurs causées par l’arthrose ;
    2. de réduire significativement le risque de séquelles liées à l’arthrose ;
    3. et ils peuvent même contribuer à faire repousser votre cartilage, un effet qu’aucun médicament chimique ne peut vous laisser espérer (au contraire, comme vu plus haut, les médicaments les plus souvent utilisés contre l’arthrose, les AINS, accélèrent la destruction du cartilage).

    Voici comment inverser l’arthrose

    Contrairement à ce qu’on raconte un peu partout, l’arthrose n’est ni définitive, ni inéluctable.

    Ce n’est pas une maladie qui progresse forcément dans le mauvais sens. Ce n’est pas le cartilage qui s’use comme les pneus d’une voiture.

    Les choses sont beaucoup plus compliquées que cela. Mais je vais vous les expliquer de façon simple et brève.

    Et vous verrez : quand vous aurez compris le vrai mécanisme de l’arthrose, vous comprendrez – tout naturellement – pourquoi il existe vraiment une solution naturelle qui marche, à base de simples compléments alimentaires, qui vous permet d’espérer inverser votre phénomène d’arthrose.

    Et je vais vous donner tous les détails utiles, patiemment.

    La véritable cause de l’arthrose (récemment découverte)

    L’arthrose est un problème articulaire qui a longtemps été attribué à une usure du cartilage, cette substance blanche et légèrement élastique qui couvre les extrémités de vos os, leur permet de glisser les uns contre les autres sans frottement douloureux, et d’amortir les chocs.

    Mais au début des années 2000, des chercheurs américains se sont aperçus que l’arthrose n’est pas causée par une usure du cartilage. Si c’était le cas, les sportifs seraient beaucoup plus touchés que les reste de la population, alors que c’est l’inverse.

    L’origine réelle du problème, ce sont des cellules du cartilage devenues folles.

    Normalement, votre cartilage est constamment renouvelé. Vous avez pour cela des cellules spéciales, appelées chondrocytes. Elles « digèrent » constamment le vieux cartilage et fabriquent des briques neuves afin que votre cartilage soit toujours bien épais, bien élastique, bien irrigué, bien protecteur.

    Je suis désolé car le mot « chondrocyte » est compliqué. Mais je suis obligé de vous demander de vous en souvenir, car je vais le réutiliser de nombreuses fois.

    Retenez bien dans un coin de votre mémoire :

    Les chondrocytes sont ces cellules essentielles qui vous débarrassent de votre vieux cartilage et vous fournissent les matériaux pour en produire du nouveau. C’est grâce à eux que vos articulations peuvent rester bien flexibles, bien élastiques pendant des décennies.

    Mais lorsque nos chondrocytes sont mal traités, ils deviennent fous, et vous allez voir que les conséquences sont terribles.

    Avant de passer aux mauvaises nouvelles, je dois vous indiquer comment prendre soin de vos chondrocytes, et cela vaut même et surtout si la maladie a déjà commencé.

    Comment prendre soin de vos chondrocytes

    Pour éviter que l’arthrose ne commence ou s’aggrave, il faut prendre soin de vos chondrocytes.

    Pour cela, vous devez :

    1. Leur donner l’oxygène et les nutriments dont ils ont besoin pour vivre et faire leur travail de régénération du cartilage.
    2. Les protéger des agressions extérieures. Les chondrocytes détestent les coups violents, comme tout le monde, et ils détestent les substances inflammatoires (cytokines, leucotriènes). Ainsi, lorsqu’une inflammation s’installe dans votre corps de façon durable, à cause d’une intolérance alimentaire, de l’obésité, ou d’un mode de vie malsain, vos chondrocytes risquent de tomber malades et de devenir fous.

    Bien nourrir vos chondrocytes

    Commencer par l’alimentation. Les chondrocytes se situent dans votre cartilage. Or, le cartilage a une particularité : il n’est pas irrigué par des vaisseaux sanguins.

    Cela veut dire que les cellules du cartilage ne reçoivent pas d’oxygène ni de nutriments par le sang, comme les autres cellules du corps.

    Leur nourriture se trouve dans le liquide synovial, un liquide qui ressemble à du blanc d’œuf et dans lequel baigne l’articulation.

    Pour oxygéner et nourrir vos chondrocytes, vous devez faire pénétrer votre liquide synovial dans votre cartilage. Et pour cela, il faut que vous bougiez régulièrement. Car le cartilage est un peu spongieux (comme une éponge). Chaque fois que vous pressez dessus, un peu de liquide synovial circule en dedans et en dehors. C’est ainsi que vos chondrocytes sont nourris et oxygénés.

    Les problèmes commencent lorsque :

    1. Nous bougeons trop peu : télévision, travail de bureau, voiture, sédentarité. Nous ne sollicitons pas assez nos articulations. Les chondrocytes manquent alors d’oxygène et de nourriture, s’affaiblissent, tombent malades.
    2. Nous compressons excessivement notre cartilage : les personnes en surpoids écrasent leur cartilage. Comme une éponge mouillée sur laquelle on aurait posé un dictionnaire, notre cartilage s’écrase, expulse le liquide synovial et, à nouveau, les chondrocytes souffrent, manquent d’oxygène et de nourriture, et risquent de devenir fous.

    C’est pourquoi il est important, pour prévenir l’arthrose, de faire fréquemment de l’exercice physique modéré, et de rester aussi proche que possible de votre poids idéal.

    Mais nous avons vu que cela ne suffit pas forcément. Car il faut aussi éviter les coups et l’inflammation chronique.

    Protéger vos chondrocytes des coups et de l’inflammation

    Notre cartilage est fait pour « encaisser » de fortes pressions fréquentes.

    Vous pouvez sauter, danser, courir sans craindre de l’abîmer, bien au contraire. Toutefois, le cartilage n’est pas fait pour être écrabouillé violemment. En cas d’entorse, de chute à ski, au football ou au rugby, d’accident de voiture, de vélo ou de roller, le choc est tel que le cartilage s’écrase et reste durablement abîmé.

    Là encore, les chondrocytes souffrent et peuvent tomber malades et devenir fous.

    Les personnes qui ont eu dans leur jeunesse un accident de ce type courent de forts risques de souffrir d’arthrose. Il est particulièrement important qu’elles suivent les conseils contre l’arthrose que je donnerai plus loin. Plus elles commenceront tôt, plus l’effet sera fort, jusqu’à éviter toute douleur gênante.

    D’autre part, les chondrocytes sont très vulnérables aux substances inflammatoires, qui les rendent malades. Lorsqu’une intolérance alimentaire, un excès de poids, un mode de vie malsain, un stress chronique, ou toute autre cause provoquent chez vous une inflammation chronique, vos chondrocytes souffrent et risquent de devenir fous.

    À noter enfin que lorsque nous vieillissons l’activité de nos chondrocytes diminue naturellement.

    Tous ces phénomènes sont graves. Bien plus graves que la simple douleur passagère qu’ils provoquent au début.

    Le terrible secret des chondrocytes devenus fous

    En effet, un chondrocyte devenu fou ne cesse pas seulement de faire son travail.

    Il se met, tel un forcené, à :

    • tuer les autres chondrocytes,
    • attaquer les cellules saines de cartilage,
    • empêcher les nouvelles « briques » de cartilage d’être fabriquées et mises en place.

    C’est la terrible vérité. Aussi choquant que cela puisse paraître, les chondrocytes, cellules normalement programmées pour renouveler le cartilage, se mettent à faire le contraire quand elles deviennent folles : elles détruisent le cartilage existant, et empêchent le nouveau de se reformer.

    Un cercle vicieux se met alors en place : plus l’arthrose s’aggrave, plus vous avez d’inflammation. Et plus vous avez d’inflammation, plus vos chondrocytes deviennent fous, et aggravent votre arthrose !!

    Erreur à ne pas commettre

    Vous comprenez pourquoi la plus grave erreur est alors de prendre des antidouleur.

    Ils vous empêchent de ressentir le grave problème qui se produit dans vos articulations.

    Mais jour après jour, le travail de sape se poursuit. Et plus le temps passe, plus les chondrocytes fous s’emballent et crachent des substances inflammatoires, accélérant leur besogne de destruction !

    Et tenez-vous bien : ce sont bientôt toutes les autres parties de l’articulation qui sont attaquées. Vos tendons, vos os, le liquide synovial lui-même – qui en temps normal permet de lubrifier l’articulation – s’enflamment sous l’effet des substances inflammatoires qui se concentrent.

    D’où les rougeurs, les gonflements, la douleur qui finit par être paralysante.

    L’arthrose n’est PAS un problème anodin.

    Vous devez tout faire pour la prévenir, ou la maîtriser si elle s’est déjà déclenchée.

    Des enjeux considérables pour votre avenir

    Ceci est tellement important que je me permets de préciser, avec les termes techniques, l’engrenage diabolique qui s’est mis en place, et qui peut avoir de telles conséquences sur votre avenir.

    Au lieu de fabriquer du nouveau cartilage, comme ils le font habituellement, vos chondrocytes devenus fous :

    1. Détruisent le cartilage existant, en sécrétant des métalloprotéinases, bien au-delà de leur travail normal qui consiste à vous débarrasser du vieux cartilage. Même les cellules saines et neuves sont attaquées.
    2. Empêchent la formation des briques qui permettent de renouveler le cartilage ; ces briques sont le collagène et les protéoglycanes.
    3. Attaquent les autres parties de l’articulation (tendons, os, liquide synovial) en produisant des substances inflammatoires agressives, les leucotriènes et les cytokines.

    Maintenant que vous avez compris cela, vous réalisez l’importance cruciale d’un mode de vie sain, d’une activité physique régulière mais sans excès ; de conserver votre poids idéal. Il faut tout faire pour éviter que le cercle de l’inflammation ne se mette en route.

    Et si ce processus est déjà enclenché chez vous, alors il faut :

    1. stopper l’inflammation avec un produit naturel bien supporté par l’organisme ;
    2. apporter à vos articulations les « briques » de cartilage que vos chondrocytes ont cessé de produire.

    Le plan de bataille est donc clair !

    Entrons maintenant dans le détail de ce que vous devez faire.

    Stopper l’inflammation dans vos articulations

    Première étape donc, éteindre l’incendie qui s’est déclenché dans vos articulations.

    • Si vous bougez trop peu, reprenez une activité physique régulière pour relancer la circulation du liquide synovial dans votre cartilage.
    • Si vous êtes en surpoids, soulagez vos articulations en perdant vos kilos en trop. La première mesure pour cela est de réduire votre consommation de farineux, féculents et sucreries.
    • Si votre arthrose s’est déclenchée à cause d’un accident qui a touché vos articulations dans le passé, ou à cause de l’âge, passez directement à l’étape suivante.

    La nutrition anti-arthrose

    Les données scientifiques s’accumulent sur le rôle de la nutrition dans l’inflammation.

    Pour limiter votre niveau d’inflammation et donc votre risque d’arthrose :

    • Mangez plus de fruits et de légumes. Riches en antioxydants, ils aideront eux aussi à diminuer l’inflammation causée par les radicaux libres.
    • Consommez autant que vous le pouvez des épices aux propriétés anti-inflammatoires : ajoutez chaque fois que vous en avez l’occasion du poivre, du curcuma, de la cannelle et du gingembre à votre cuisine.
    • Augmentez vos apports en acides gras oméga-3 (huiles d’olive et de colza, graines de lin, sardines, thon, saumon, maquereau), diminuez vos apports en oméga-6 (huiles et margarines de tournesol, de maïs et de pépins de raisin). Les oméga-3 sont anti-inflammatoires, les oméga-6 sont pro-inflammatoires.

    À noter que les oméga-3 issus d’huile de poisson ne sont pas seulement anti-inflammatoires. Ils bloquent aussi le fonctionnement des substances qui digèrent le cartilage, appelées aggrécanases.

    Une fois toutes ces mesures prises, tournez-vous vers la reine des plantes anti-inflammatoires.

    La plante anti-inflammatoire qui fait des flammes

    La reine des plantes anti-inflammatoires est une plante originaire du désert du Kalahari, en Afrique.

    Ses propriétés médicinales semblent avoir été découvertes par les différents peuples d’Afrique australe qui l’ont utilisée en décoction pour traiter les problèmes digestifs, les rhumatismes, l’arthrite, et pour réduire la fièvre.

    Son nom est l’harpagophytum, ou « griffe du diable » [2]. Et comme son nom l’indique, elle « fait des flammes » contre l’arthrose.

    Des études scientifiques ont montré qu’elle a la capacité unique de réduire le niveau de cytokines, les agents d’inflammation [3]. Une étude publiée en 2003 montre une forte réduction de la douleur et des symptômes de l’arthrose chez 75 patients traités avec de l’harpagophytum.

    La douleur régresse de 25 à 45 % alors que la mobilité augmente d’autant [4]. De plus, comme les oméga-3, elle inhibe les enzymes qui digèrent le cartilage.

    Ces propriétés exceptionnelles de l’harpagophytum en font l’outil incontournable de toute personne souffrant de problèmes d’arthrose.

    Aussi efficace que le Vioxx, mais sans les effets indésirables

    Il n’y a vraiment aucune raison de priver vos articulations douloureuses d’harpagophytum, une plante qui semble avoir été créée rien que pour elles.

    Certains lecteurs se souviendront que l’industrie pharmaceutique avait inventé, au début des années 2000, des antidouleurs de nouvelle génération, les Coxib (Vioxx). Ils furent précipitamment retirés du marché quand on s’est aperçu qu’ils provoquaient des maladies cardiaques. Malgré tout, le Vioxx était vraiment efficace contre les douleurs.

    Eh bien, les études ont montré que l’harpagophytum est au moins aussi efficace que les Coxib, mais avec bien moins d’effets indésirables[5] !

    Une étude validée en 2007 [6] a montré que, sur 259 patients, une dose de 480 mg d’harpagophytum permettait de réduire de manière significative (24 %) les effets de l’arthrose.

    Les briques de cartilage que les chondrocytes ne fabriquent plus

    Une fois que vous avez stoppé l’incendie et éteint l’inflammation, vous avez gagné une bataille, mais vous n’avez pas (encore) gagné la guerre contre l’arthrose.

    Tout le travail reste à faire : reconstruire votre cartilage.

    Ceci est impossible si vous n’apportez pas à vos articulations les « briques » que vos chondrocytes fous ne sont plus capables de fournir.

    Et vous avez encore une chance inouïe sur ce point.

    Vous trouvez aujourd’hui des substances naturelles dont il est prouvé scientifiquement que, quand vous les avalez, elles se retrouvent dans le liquide synovial de vos articulations, « toutes prêtes » à pénétrer dans votre cartilage et servir à le reconstruire, et ainsi suppléer (remplacer) le travail des chondrocytes.

    Ces substances naturelles sont au nombre de trois. Ce sont vos trois « armes » contre l’arthrose.

    Arme n°1 contre l’arthrose : la substance naturelle qui reconstruit le cartilage endommagé

    Votre arme n°1 contre les dégâts articulaires provoqués par l’arthrose s’appelle le sulfate de glucosamine.

    Il se trouve naturellement dans la carapace de certains crustacés pêchés sur les plateaux océaniques.

    La découverte du sulfate de glucosamine a été un choc pour la communauté scientifique mondiale. Il contribue à reconstruire le cartilage endommagé et à rendre ses qualités lubrifiantes au liquide synovial, une tâche que l’on croyait impossible jusque là.

    Mais l’une après l’autre, les études ont confirmé que le sulfate de glucosamine atténue les symptômes de l’arthrose. Ses effets se font sentir après 2 à 6 semaines de traitement. À long terme également, il diminue la progression de l’arthrose.

    C’est un avantage décisif par rapport aux médicaments AINS, dont on a vu qu’ils accélèrent la progression de l’arthrose. La biodisponibilité du sulfate de glucosamine dans l’intestin est de 90 %, ce qui signifie qu’il est très bien assimilé par l’organisme.

    Le spécialiste de l’arthrose, le Dr Veroli, recommande dans ses livres 1500 mg par jour de sulfate de glucosamine. Selon lui, l’effet peut se faire sentir après seulement 2 semaines.

    À cette dose, selon certaines études, la glucosamine peut être plus efficace que le paracétamol pour soulager les symptômes de l’arthrose, et toujours sans les effets indésirables.

    Mais il est recommandé aux personnes souffrant des articulations de prendre de la glucosamine sur le long terme.

    Deux études cliniques menées sur des personnes souffrant d’arthrose du genou ont montré que la prise quotidienne de 1500 mg de sulfate de glucosamine pendant 3 ans permet de bloquer la progression de la maladie [7] [8].

    Il n’est donc pas étonnant que la Ligue européenne contre les rhumatismes EULAR (The European League Against Rheumatism) recommande l’utilisation du sulfate de glucosamine dans les compléments alimentaires [9].

    Arme n°2 : reconstituer la matrice du cartilage et l’hydratation qui assure souplesse et flexibilité

    Votre deuxième arme naturelle contre l’arthrose est le sulfate de chondroïtine.

    Le sulfate de chondroïtine est un composant de la matrice du cartilage et il contribue à son hydratation, ce qui est une fonction essentielle si vous voulez que votre cartilage soit souple et élastique et qu’il permette à vos articulations de fonctionner sans douleurs.

    Le sulfate de chondroïtine aurait un effet supplémentaire par rapport à la glucosamine : sa présence réduirait l’activité d’une enzyme qui détruit le cartilage, l’enzyme hyaluronidase.

    Mais les recherches récentes indiquent surtout que glucosamine et sulfate de chondroïtine sont complémentaires.

    Selon Jacqueline Lagacé, spécialiste québecoise d’immunologie et ancienne directrice d’un laboratoire de recherche à la faculté de médecine de l’université de Montréal :

    « On estime que la prise de ces deux produits améliore l’état des arthrosiques dans environ 80 % des cas. »

    Selon le site de référence passeportsante.net :

    « L’association glucosamine-chondroïtine est pertinente puisque les mécanismes d’action de ces deux molécules sont différents et complémentaires. »

    Selon une toute récente étude clinique internationale, l’étude « The Moves » [11], réalisée en 2014, les effets conjugués de la chondroïtine et de la glucosamine sont comparables à ceux obtenus avec des anti-inflammatoires – sans les effets indésirables.

    Le Dr Veroli recommande une dose de sulfate de chondroïtine de 1200 mg par jour. Ce n’est toutefois qu’après 4 à 8 semaines de traitement que l’effet se fait sentir, soit un peu plus que la glucosamine.

    Attention toutefois : la glucosamine et la chondroïtine ne conviennent pas à tous les patients.

    On estime généralement qu‘elles ne sont efficaces que chez environ 80 % des personnes. Donc, 1 personne sur 5 n’obtiendra pas le soulagement espéré.

    Réduire la douleur de 82 %

    Mais je vous ai réservé le meilleur pour la fin : votre « arme n°3 » est un produit naturel qui, dans une étude en double-aveugle (l’étalon or de la recherche scientifique), a montré une réduction de 82 % de la douleur chez les patients arthrosiques après 6 semaines.

    Il s’agit du méthyl-sulfonyl-méthane (MSM).

    Le MSM est un produit qui renforce votre production naturelle de sulfate de chondroïtine, de sulfate de glucosamine et d’acide hyaluronique, les substances qui donnent leur élasticité aux articulations.

    Grâce au soufre qu’il renferme, le MSM contribuerait à maintenir en bon état les tissus conjonctifs (tendons, derme profond, collagène, cartilage, etc.). Le soufre est crucial à l’action du glutathion, un neutralisateur de radicaux libres très puissant, nécessaire pour la formation et la restauration de la matrice cellulaire du cartilage.

    Une étude publiée en 2011 démontre l’effet du MSM dans le cas de patients souffrant d’arthrose [12].

    Attention, le taux de MSM dans l’organisme baisse lui aussi fortement avec l’âge. Il est donc conseillé aux personnes âgées souffrant d’arthrose d’en prendre sous forme de complémentation nutritionnelle, d’autant qu’une étude clinique a montré que, en association à la glucosamine (dont nous avons parlé plus haut), les résultats semblent meilleurs que chaque produit pris séparément.

    Des produits non toxiques qui exercent d’autres bienfaits

    Comme le sulfate de glucosamine et le sulfate de chondroïtine, le MSM n’est pas toxique et ne présente pas d’incompatibilité avec les médicaments. Il doit toutefois être pris quotidiennement sur une période prolongée pour exercer tous ses bienfaits. Les effets se font ressentir dès 3 semaines environ.

    Il produit en outre d’autres bienfaits au niveau de l’organisme : il diminue le niveau d’allergie en bloquant les récepteurs dans les muqueuses de façon à ce que les allergènes ne puissent plus s’y fixer. Il agit positivement sur la digestion, réduisant les problèmes de diarrhée, de constipation et d’hyperacidification.

    Le MSM agit lui aussi en synergie avec le sulfate de glucosamine : lors d’un essai clinique randomisé en double aveugle, 118 patients souffrant d’arthrose ont pris soit de la glucosamine, soit du MSM, soit une combinaison de glucosamine et de MSM, soit un placebo. Après 12 semaines de traitement, les participants auxquels on avait administré les deux produits en même temps ont éprouvé la plus grande diminution de l’indice de douleur [13].

    Comment se soigner sans se ruiner

    Fort bien, me direz-vous, mais quel budget faut-il pour se procurer tous ces produits hyperspécialisés, qui doivent forcément être très coûteux ??

    Il est vrai qu’on ne trouve malheureusement pas de sulfate de glucosamine, de sulfate de chondroïtine, ni de MSM dans les rayons des supermarchés. Ce sont des substances qui restent aujourd’hui confidentielles (en Europe) et dont la fabrication, le transport et le stockage nécessitent d’importantes précautions pour ne pas les dénaturer.

    Des petits malins s’amusent à en vendre sur Internet, parfois à des prix bradés. Mais quelles garanties offrent-ils vraiment sur la qualité, l’authenticité et le caractère non frelaté des produits que vous recevrez dans votre boîte aux lettres ? Aurez-vous le courage (l’audace !) de les avaler les yeux fermés ?

    Il faut de plus se souvenir que le sulfate de glucosamine est fabriqué à partir de crustacés. Les personnes allergiques aux crustacés ne doivent donc jamais prendre de glucosamine, une mise en garde qui n’est évidemment pas toujours clairement affichée.

    Concernant le sulfate de chondroïtine, c’est encore pire :

    Les différences de qualité entre les compléments alimentaires sont énormes. La chondroïtine pure de bonne qualité exige un procédé de production très coûteux et complexe. Alors, pour réaliser des marges substantielles, iI arrive que les fabricants ajoutent du cartilage moulu dans leur produit et le commercialisent sous le nom de « Chondroïtine ». En 2007, de nombreux fabricants néerlandais ont été montrés du doigt lors d’un test en laboratoire : 5 compléments sur 7 ne contenaient aucune chondroïtine mais étaient composés de cartilage moulu.

    Quant au MSM, les qualités sont là aussi très variables et je recommande un produit obtenu par distillation et non par cristallisation. La cristallisation implique l’utilisation de solvants impurs, laissant potentiellement des sous-produits toxiques (ex : métaux lourds, ou hydrocarbures chlorés). Le MSM pur doit également être très sec avec une teneur en eau inférieure à 0,1 %. (titrage Karl Fischer méthode). Se méfier des fabricants qui affirment que leur MSM est « pur à 99,9 % », mais qui ne se réfèrent pas à des tests de pureté volatile. Ces derniers tests se font par chromatographie en phase gazeuse à haute résolution, une méthode quantitative très spécifique qui détermine la pureté volatile du MSM.

    Concernant l’harpagophytum, veillez à choisir un produit à teneur garantie de 5 % d’iridoïdes totaux, la substance active contre l’inflammation. C’est la concentration qui permet de bénéficier des bienfaits de manière optimale.

    Mise en garde importante

    Attention, l’efficacité de ces substances anti-arthrose n’est pas garantie à 100 %. Comme dit plus haut, certaines personnes ne réagiront pas. Et bien entendu, plus votre arthrose est avancée, plus il sera long et incertain de faire disparaître les douleurs et de retrouver votre souplesse intacte.

    De plus, gardez toujours à l’esprit qu’une meilleure alimentation est le premier pilier de tout traitement. Et que la prise de compléments alimentaires anti-arthrose sera plus efficace si vous la complétez par la prise de vitamine D, d’oméga-3 et d’un bon multivitamines.

    Toutefois, ces mesures font partie de l’hygiène de base quel que soit votre mode de vie et vos éventuels problèmes de santé, donc j’espère que, à ce stade, la majorité de mes lecteurs les respectent déjà et que je n’ai pas besoin de répéter ces préconisations un peu « bateau ».

    Enfin, merci de penser à moi si vous décidez de suivre ce conseil aujourd’hui. Dans 6 mois environ, écrivez-moi pour me dire quels sont les effets de vos produits : au niveau de la douleur, de la souplesse, des raideurs matinales et aux changements de météo.

    Ce n’est pas obligatoire évidemment. Mais je vous en serais très reconnaissant car cela m’intéresse au plus haut point d’avoir ce retour d’expérience collective, et bien sûr de savoir si j’ai pu vous aider comme je l’espère.

     

    À votre santé !

    Jean-Marc Dupuis

     

     

    SOURCES

    Santé Nature Innovation

    PS : Les progrès actuels de la recherche contre l’arthrose sont saisissants. C’est un sujet qui me passionne et j’y reviens régulièrement dans mes chroniques Santé Nature Innovation. Si vous n’êtes pas encore abonné à La Lettre Santé nature Innovation, je vous invite à faire l’essai en inscrivant votre adresse de messagerie électronique dans la case prévue à cet effet.

    [1] Épidémiologie des maladies rhumatismales

    [2] Degenerative diseases of the musculoskeletal system–overview of current clinical studies of Devil’s Claw (Harpagophyti radix)].

    [3] Fiebich BL : Inhibition of TNF-alpha synthesis in LPS-stimulated primary human monocytes by Harpagophytum extract SteiHap 69. Phytomedicine. 2001 Jan;8(1):28-30.

    [4] Wegener T : Treatment of patients with arthrosis of hip or knee with an aqueous extract of Devil’s Claw (Harpagophytum procumbens DC.). Phytother Res 2003, 17(10):1165-1172.

    [5] Chrubasik S : A randomized double-blind pilot study comparing Doloteffin and Vioxx treatement of low back pain. Rheumatology (Oxford). 2003, 42(1) : 141-148.

    [6] Effectiveness and safety of Devil’s Claw tablets in patients with general rheumatic disorders. Author: Warnock M, McBean D, Suter A, Tan J, Whittaker P. Source: Phytother Res. 2007; 21(12):1228-33.

    [7] Reginster JY, Deroisy R, Rovati LC, Lee RL, Lejeune E, Bruyere O, Giacovelli G, Henrotin Y, Dacre JE, Gossett C. Long-term effects of glucosamine sulphate on osteoarthritis progression: a randomised, placebo-controlled clinical trial.Lancet 2001 Jan 27;357(9252):251-6.

    [8] Pavelka K, Gatterova J, Olejarova M, Machacek S, Giacovelli G, Rovati LC. Glucosamine sulfate use and delay of progression of knee osteoarthritis: a 3-year, randomized, placebo-controlled, double-blind study.Arch Intern Med 2002 Oct 14;162(18):2113-23.

    [9] Zhang W, Doherty M, Leeb BF, et al. EULAR evidence-based recommendations for the diagnosis of hand osteoarthritis : Report of a task force of ESCISIT. Ann Rheum Dis 2009;68:8-17.

    [10] Arthrose la chondroitine et la glucosamine sont-elles efficaces ?

    [11] The Combination of Chondroitin Sulfate and Glucosamine Proves Effective for the Symptomatic Treatment of Knee Osteoarthritis

    [12] Efficacy of methylsulfonylmethane supplementation on osteoarthritis of the knee: a randomized controlled study. Debbi EM1, Agar G, Fichman G, Ziv YB, Kardosh R, Halperin N, Elbaz A, Beer Y, Debi R.

    [13] Meta-Analysis of the Related Nutritional Supplements Dimethyl Sulfoxide and Methylsulfonylmethane in the Treatment of Osteoarthritis of the Knee Sarah Brien,1 Phil Prescott,2 and George Lewith1, 1Department of Primary Medical Care, University of Southampton, Aldermoor Health Centre, Aldermoor Close, Southampton, Hindawi Publishing Corporation, Evidence-Based Complementary and Alternative Médicine 2009

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  • sante-nutrition.org

    20 utilisations pratiques avec du Coca-Cola :

    preuve que le Coca n’a sa place dans le corps humain


    utilisations-coca

     

     

    Coca-Cola est la marque la plus célèbre de l’histoire, et « Coca » est le deuxième mot le plus connu au monde après «bonjour». Cependant, la boisson en elle-même est un poison absolu pour le métabolisme humain. Niveau acidité, le Coca est très proche de celui de l’acide sulfurique et par conséquent il peut nettoyer des surfaces équivalentes et souvent mieux que de nombreux produits ménagers toxiques.

     

    Le Coca est moins cher et plus facile à acheter dans certains pays du tiers monde contrairement à l’accès à l’eau potable. Coca utilise la «propagande des relations publiques» pour convaincre les consommateurs et des nations entières qu’il s’agit d’une «société de l’environnement», alors qu’en réalité elle est liée à la pollution, aux pénuries d’eau, et à certaines maladies.

    Les personnes qui consomment des boissons gazeuses telles que le Coca augmentent de 48% le risque d’avoir une crise cardiaque et de faire un AVC, comparé aux personnes qui n’ont jamais bu de sodas ou seulement occasionnellement. Une étude publiée dans la revue Respirology révèle que la consommation de boissons gazeuses est également associée au cancer du poumon et aux troubles respiratoires comme l’asthme et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC).

    La carbonatation du Coca entraîne une perte de calcium dans les os à cause d’un processus en 3 étapes :

    1. La carbonatation irrite l’estomac.

    2. L’estomac «soigne» l’irritation de la seule façon qu’il connaisse, Il ajoute de l’antiacide à sa disposition: le calcium. Il l’obtient à partir du sang.

    3. Le sang, alors faible en calcium, se réapprovisionne à partir des os. S’il ne le faisait pas, la fonction musculaire et cérébrale serait gravement compromise.

    Mais, l’histoire ne s’arrête pas là. Un autre problème avec la plupart des Coca est qu’elle contient également de l’acide phosphorique (pas le même que la carbonatation, qui est le dioxyde de carbone mélangé à l’eau). L’acide phosphorique ( E 338 )  ralentit le système immunitaire et puise dans le calcium.

    Donc le Coca ramollit vos os (en fait, il les affaiblit et les fragilise) de 3 façons :

    1. La carbonatation réduit le calcium dans les os.

    2. L’acide phosphorique réduit également le calcium dans les os.

    3. La boisson remplace une solution contenant du calcium, comme le lait ou l’eau. Le lait et l’eau ne sont pas d’excellentes sources de calcium, mais ils en sont quand même.

    Le cancer de l’œsophage était très rare il y a deux générations, aujourd’hui, il est très courant. Le mécanisme de base fonctionne de manière suivante :

    1. Les dommages mécaniques des cellules sont un énorme facteur de risque de cancer. C’est pourquoi les particules d’amiante, par exemple, provoquent le cancer du poumon.

    2. Toutes les boissons gazeuses causent le reflux gastrique (acide de l’estomac se levant à travers le clapet de l’œsophage). Celui-ci est plus prononcé lorsque le corps est à l’horizontal (comme dans le sommeil), mais la dose de Coca-Cola et de boissons gazeuses consommée aux États-Unis signifie que le reflux gastrique est bien supérieur à la limite recommandée. Chaque fois que vous buvez une boisson gazeuse, vous allez éructer et avoir de l’acide dans l’œsophage. De combien en trop ? La recherche ne dit pas où est la limite, elle montre seulement que nous sommes nombreux à l’avoir dépassée de beaucoup.

    3. L’acide gastrique dissout les tissus : c’est son but. La muqueuse de l’estomac ne pénètre pas dans l’œsophage, de sorte que le bas de l’ œsophage est endommagé par l’acide beaucoup plus fréquemment chez ceux qui consomment des boissons gazeuses que ceux qui n’en consomment pas. Il en résulte une augmentation radicale des mutations cellulaires, et aussi un niveau beaucoup plus élevé de radicaux libres.

     

    20 utilisations pratiques avec du Coca

    Le Coca agit comme un nettoyant acide. La quantité d’acide contenue dans le soda est suffisante pour enlever l’émail de vos dents, ce qui les rend plus sensibles aux caries. Dans les tests effectués sur les niveaux d’acidité des sodas, on a relevé que certains d’entre eux  avaient des niveaux de PH très faibles (2,5). Pour mieux visualiser tout ça, prenons comme exemple l’acide sulfurique qui a un pH de 1 et de l’eau pure qui a un pH de 7.

    Pour prouver que Coca n’a pas sa place dans le corps humain, voici comment vous pouvez utiliser le Coca de 20 manières différentes en vous en servant comme nettoyant domestique:

    1. Enlève les taches de graisse sur les vêtements et les tissus

    2. Enlève la rouille, les méthodes incluent l’utilisation de tissu trempé dans le Coca, une éponge ou même une feuille d’aluminium. Desserre également les boulons rouillés.

    3. Enlève les taches de sang sur les vêtements et les tissus.

    4. Nettoie les taches d’huile sur un plancher de garage, laissez tremper la tache, puis lavez à grande eau.

    5. Tue les limaces et les escargots, l’acide les tue. (rassurant non ?)

    6. Nettoie les casseroles brûlées, laissez-le Coca tremper dans la casserole , puis rincez.

    7. Détartre une bouilloire (même méthode qu’avec les casseroles brûlées)

    8. Nettoie les bornes de la batterie de la voiture en versant une petite quantité de Coca sur chacun d’eux.

    9. Nettoie votre moteur; les distributeurs de Coca ont eu recours à cette technique pendant des décennies.

    10. Rend les pièces de monnaie brillantes; les tremper dans Coca, elles ne seront plus du tout ternes.

    11. Nettoie le coulis : versez du Coca sur le plancher de la cuisine, laissez agir quelques minutes, puis essuyez.

    12. Dissout une dent; Utilisez un récipient hermétique … cela prend un certain temps, mais ça fonctionne.

    13. Enlève le chewing-gum des cheveux; faire trempette dans un petit bol de Coca-Cola, laisser quelques minutes.

    14. Enlève les taches de  porcelaine vitrifiée.

    15. Vous avez une piscine sale ? Ajoutez  deux bouteilles de 2 litres de Coca, cela efface la rouille.

    16. Vous pouvez supprimer (ou faire disparaître) la couleur de vos cheveux en versant du Coca 0  dessus.

    17. Enlève les taches de marqueur sur la moquette et les tapis. Mettez du Coca, lavez et nettoyez à l’eau savonneuse.

    18. Nettoie les WC ; verser autour de la cuvette, laissez pendant un certain temps, rincez et c’est propre.

    19. Du Coca  et une feuille d’aluminium apporteront du Chrome pour une haute brillance.

    20. Enlève les bandes de peinture sur les meubles en métal. Faire tremper une serviette dans le Coca et le poser sur la surface peinte.

    Maintenant, pouvez-vous imaginer ce qui est fait aux parois de votre estomac ?

    Vous-êtes-vous déjà demandé ce qu’était exactement le Coca-Cola ?

    Après 10 minutes: Le sucre contenu dans un verre de Cola peut causer une «grève» dévastatrice dans le corps. La cause étant l’acide phosphorique qui inhibe l’action du sucre.

    Après 20 minutes: Il y a un taux élevé d’insuline dans le sang.

    Après 40 minutes: L’ingestion de caféine est enfin terminée. Les pupilles sont en expansion. La pression artérielle augmente parce que le foie dispose de plus de sucre dans le sang. Les récepteurs de l’adénosine sont bloqués empêchant ainsi la somnolence.

    Après 45 minutes: Le corps augmente la production de dopamine, qui stimule le centre du plaisir du cerveau. Similaire à la réaction de l’héroïne.

    Après 1 heure: L’acide phosphorique se mélange au calcium, au magnésium et au zinc dans le tractus gastro-intestinal, ce qui suralimente le métabolisme. Il y a alors libération de calcium par l’urine.

    Après plus d’1 heure: Les effets diurétiques de la boisson entrent « en jeu ». Le calcium , le magnésium et le zinc sont éliminés hors du corps, qui sont une partie des os, ainsi que le sodium. A ce moment, nous pouvons devenir irritable. Toute l’eau, contenue dans un coca cola, est éliminée par l’urine.

    Lorsque avoir une bouteille de Coca-Cola froid Lorsque l’on a une bouteille de Coca Cola fraîche et que l’on en profite, sommes-nous au courant du cocktail chimique que nous mettons dans notre corps ? L’ingrédient actif de Coca-Cola est l’acide ortho phosphorique . En raison de sa forte acidité, les citernes utilisées pour le transport de ces produits chimiques doivent être équipés de réservoirs spéciaux conçus pour des matériaux très corrosifs.

    Ayons un regard sur « l’anatomie » de l’un des produits les plus mis en avant de  » Coca- Cola Co. » – Coca- Cola Light sans caféine . Cette boisson contient : Aqua gazéifiée, E150d , E952 , E951 , E338 , E330 , E211.

    Aqua gazéifiée – c’est l’eau pétillante. On remue la sécrétion gastrique, cela augmente l’acidité du suc gastrique et provoque des flatulences. On utilise principalement l’eau du robinet filtrée.

    E150d – il s’agit d’ un colorant alimentaire obtenu par le traitement du sucre, à des températures spécifiques, avec ou sans addition de réactifs chimiques. Dans le cas de Coca-Cola, on ajoute du sulfate d’ammonium.

    E952 – le sodium cyclamate est un substitut du sucre. Le cyclamate est un produit chimique synthétique, a un goût sucré, qui est 200 fois plus sucré que le sucre, et est utilisé comme édulcorant artificiel. En 1969, il a été interdit par la FDA, car celui-ci, ainsi que la saccharine et l’aspartame, ont provoqué un cancer chez les rats.

    E950 – l’acésulfame de potassium. 200 fois plus sucré que le sucre, contenant de la méthyl – éther. Elle aggrave le fonctionnement du système cardio-vasculaire. De même, elle contient de l’acide aspartique qui peut également avoir un effet excitant sur ​​notre système nerveux et dans le temps, il peut mener à la dépendance. L’acésulfame est mal dissoute et déconseillée pour les enfants et les femmes enceintes.

    E951 – L’aspartame. Un substitut du sucre pour les diabétiques et qui est chimiquement instable à des températures élevées, il se décompose en méthanol et en phénylalanine. Le méthanol est très dangereux car seulement 5 à 10 ml peuvent entraîner la destruction du nerf optique et une cécité irréversible. Dans les boissons chaudes et douces, l’aspartame se transforme en formaldéhyde qui est un carcinogène très élevé. Les symptômes d’empoisonnement d’aspartame incluent : perte de conscience, maux de tête, fatigue, étourdissements, nausées, palpitations, prise de poids, irritabilité, anxiété, perte de mémoire, troubles de la vision, évanouissements, douleurs articulaires, dépression, infertilité, perte auditive… L’aspartame peut aussi provoquer les maladies suivantes : tumeurs cérébrales ,sclérose en plaques, épilepsie, la maladie de Basedow, fatigue chronique, maladie d’Alzheimer, diabète, déficience mentale et  tuberculose. A la base, cette substance était illégale en raison de ses dangers, mais elle a été de nouveau rendue légale de manière suspecte.

    E338 – L’acide ortho phosphorique. Cela peut causer une irritation de la peau et des yeux. Il est utilisé pour la production de sels d’acide phosphorique de l’ammoniaque, de sodium, de calcium, de l’aluminium et également dans la synthèse organique pour la production de charbon de bois et des bandes de films. Il est également utilisé dans la production de matériaux réfractaires, des céramiques, du verre, des engrais, des détergents synthétiques, la médecine, la métallurgie, ainsi que dans les industries du textile et du pétrole. Il est connu que l’acide ortho phosphorique empêche l’absorption du calcium et du fer dans l’organisme ce qui peut provoquer une fragilisation des os et l’ostéoporose. Il y a d’autres effets secondaires comme la soif et les éruptions cutanées.

    E330 – L’acide citrique. Il est largement utilisé dans les industries pharmaceutiques et alimentaires . Les sels d’acide citrique ( citrates ) sont utilisés dans l’industrie alimentaire en tant qu’ acides, conservateurs, stabilisants, et dans le domaine médical pour la conservation du sang – .

    E211 – Le benzoate de sodium. Il est utilisé dans la production de certains produits alimentaires à des fins anti-bactériennes et anti-fongiques. On le trouve souvent dans les confitures, jus de fruits et les yaourts aux fruits. Il n’est pas recommandé pour les asthmatiques et les personnes qui sont sensibles à l’aspirine. Une étude menée par Peter Piper de l’Université de Sheffield en Grande-Bretagne, a constaté que ce composé provoquait des dommages importants de l’ADN. Selon Peter, le benzoate de sodium, qui est un composant actif dans les agents de conservation, ne détruit pas l’ADN, mais il le désactive. Cela peut conduire à une cirrhose et des maladies dégénératives telles que la maladie de Parkinson.

    Ainsi, le Coca-Cola est incontestablement un produit très utile. Mais un conseil, utilisez-le uniquement à des fins qui n’incluent pas sa consommation !

     

     

     

     

    Sources:
    Get Holistic Health
    Why Don’t You Try This?
    Collective Evolution
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  • sante-nutrition.org

    Faire une sieste peut augmenter considérablement

    l’apprentissage, la mémoire, la conscience, et plus

    LES NOMBREUX BIENFAITS DE LA SIESTE

    Dans certains endroits, les villes ferment l’après-midi et tout le monde rentre à la maison pour faire une sieste.

    Malheureusement, dans beaucoup d’endroits, à cause de notre mode de vie, la sieste en milieu d’après-midi est considérée comme un luxe, et dans certains cas, c’est un signe de pure paresse. Mais avant de culpabiliser pour la sieste de ce weekend ou de vous endormir pendant un film, rassurez-vous, la sieste est réellement bonne pour vous et c’est un phénomène tout à fait normal dans le rythme circadien.

    De nos jours, même si nous dormons suffisamment la nuit, notre attention et notre vigilance se dégradent. Même si cela peut être un inconvénient mineur à l’époque moderne, ça aurait été une question de vie ou de mort pour nos ancêtres. Si vous finissez de mettre en place un projet de travail ou que vous chassez pour subsister, une sieste peut raviver votre vigilance et remettre vos neurones en place en seulement 15 à 20 minutes.

     

    De très grandes entreprises le reconnaissent.

    Les entreprises Google et Apple ne sont que quelques-unes à permettre aux employés de faire une sieste. Des études ont affirmé que les micro-siestes peuvent améliorer la connaissance et la productivité. En plus, qui n’aimerait pas avoir un patron qui vous permet de dormir un peu avant de reprendre le travail ?

    Une étude de la University of Colorado Boulder a constaté que les enfants qui n’ont pas pu faire leur sieste de l’après-midi ont montré moins de joie et d’intérêt, plus d’anxiété, et ont eu plus de mal à résoudre les problèmes que les autres enfants. On peut constater la même chose pour les adultes qui bénéficient de la sieste.

    Les chercheurs de Berkeley ont trouvé qu’une sieste d’une heure augmentait considérablement la capacité à apprendre et la mémoire. Les siestes fournissent une sorte de redémarrage, où la mémoire à court terme est vidée et notre cerveau est actualisé avec un nouvel espace défragmenté.

     

    Faire la sieste, nous l’avons vu maintes et maintes fois, c’est comme redémarrer votre cerveau. Tout le monde aime faire une petite sieste de temps en temps, mais faire une sieste peut être aussi bien un art qu’une science. Le Wall Street Journal propose des recommandations pour la planification de sieste parfaite, y compris la durée de la sieste et à quel moment.

    Les experts du sommeil disent dans l’article que si vous faire une petite sieste de 10 à 20 minutesvous en tirerez le meilleur profit, mais en fonction de la sieste que vous recherchez pour vous, d’autres durées peuvent être idéales. Pour un coup de pouce rapide de l’éveil/ concentration/ vigilance, les experts disent qu’une petite sieste de 10 à 20 minutes est suffisante pour se remettre au travail rapidement/en un clin d’œil/ en un claquement de doigt.

    Pour le traitement de la mémoire cognitive, cependant, une sieste de 60 minutes peut vous faire plus de bien, a déclaré le Dr Mednick. Y compris le sommeil profond à onde lentes permet de se remémorer des souvenirs, des lieux et des visages. L’inconvénient : un peu de somnolence au réveil.

    « Si vous faite une sieste de plus de 30 minutes, vous vous retrouvez dans un sommeil profond. Avez-vous déjà fait une sieste et vous êtes senti pire quand vous vous êtes réveillé ? C’est ce qui se passe, vous dormez trop longtemps et vous entrez dans une phase de sommeil dont il est très difficile de sortir », Dr Michael Breus.

    Enfin, la sieste de 90 minutes impliquera probablement un cycle complet de sommeil, ce qui favorise la créativité et la mémoire procédurale et émotionnelle, comme apprendre à faire du vélo. Se réveiller après un sommeil paradoxal signifie généralement une quantité minimale de l’inertie du sommeil a déclaré le Dr. Medneck.

    En fait, une étude (cliquez ICI pour la voir) publiée dans PubMed en 2002 a révélé qu’une sieste, même de 5 ou 10 minutes crée un sens élevé de vivacité/ concentration/ éveil et une augmentation de l’aptitude cognitive par rapport à si vous ne faites pas de sieste. Donc si vous voulez recharger les batteries rapidement faites une sieste de 10-20 minutes, et pour un rajeunissement profond du sommeil.

    En plus de ces recommandations, une suggestion étonnante est de s’asseoir légèrement redressé pendant votre sieste, car ça vous aidera à éviter de tomber dans un profond sommeil. Et si vous vous retrouvez à rêver lors de vos siestes cela peut être un signe de manque de sommeil.

     

     

    Sources:
    Esprit science métaphysiques
    Etude de l’université du Colorado
    Recherche Berkeley
    Natural Society
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  • sante-nutrition.org

    Lait, allergie, mucus et maladies respiratoires récurrentes :

    tout est lié


    bullesdelait

     

     

    Nous avons besoin d’une enzyme appelée lactase pour digérer le lactose présent dans le lait, mais entre l’âge de 18 mois et de 4 ans, nous perdons 90-95 % de cette enzyme. Donc, concrètement,nous sommes à peu près tous intolérants au lactose. En plus, selon le Dr. Ellis (spécialiste des produits laitiers et de leur action sur le sang), si l’on tient à avoir des allergies, il faut boire du lait. Pourquoi ? Et quel lien entre notre incapacité à digérer plusieurs composantes du lait (que nous verrons plus loin comme le lactose ou la caséine) et les allergies, le mucus, les sinusites ou infections ORL à répétition ?

    Alors que le lait de vache fait partie intégrante de notre paysage alimentaire et culturel actuel, le développement d’allergies, de sinusites, de toux, d’infections respiratoires récurrentes et fatigantes chez les plus jeunes mais aussi chez les adultes s’impose également comme une évidence. Mais, pourquoi souffrir de ces maladies cycliques alors que la solution se trouve peut-être, tout simplement, dans votre consommation cyclique de lait de vache?

    Oubliez un instant les antibiotiques, aspirines et expectorants auxquels vous recourez habituellement. Venez comprendre la logique du lait de vache dans votre corps.

    La lactase, enzyme perdue dès le plus jeune âge

    Des études montrent que 75% des humains n’ont pas de lactase, l’enzyme nécessaire pour digérer le lactose du lait. Qu’est-ce que le lactose? Le glucide (sucre) du lait. Que fait cette fameuse lactase? Elle prend le lactose présent dans le lait et le dissocie en glucose (sucre) et galactose grâce au processus d’hydrolyse: la dissolution dans l’eau. Le lait est prêt à être digéré!

    Mais pour la plupart d’entre nous: pas de lactase à la rescousse! Le lactose non digéré, est alors pris en charge par d’autres bactéries du système de digestion qui se mettent à produire de l’hydrogène en présence de lactose. Résultat:  ballonnements, crampes d’estomac douloureuses et diarrhées.

     

    Mais l’intolérance au lactose n’est que la partie émergée et plus connue de l’iceberg. Passons à l’autre composante du lait de vache qui pose problème: la caséine et les allergies qu’elle entraîne.

    La caséine, protéine du lait, n’est jamais digérée

    La principale protéine du lait de vache est la caséine, qui est l’élément nécessaire au métabolisme des bovins pour qu’ils soient en bonne santé. En revanche, l’être humain n’a pas besoin de caséine. De notre côté, la principale protéine du lait humain s’appelle le lactalbumine, et  il est facile à digérer par notre métabolisme. Les nourrissons comme les adultes ont beaucoup de mal à digérer la caséine: ne serait-ce que chez les nourrissons, 50% au moins de la caséine n’est pas digérée. Mais rares aussi sont les adultes qui réussissent à métaboliser les protéines (caséine) contenues dans le lait.

    Hélas, bien que notre corps fasse le maximum pour le digérer, le lait de vache n’est jamais correctement assimilé. Et ceci en raison d’une incompatibilité avec le système enzymatique humain: notre défaillance en DPP4.

    Certains n’entre nous avons une défaillance d’une enzyme particulière qui désassemble la protéine de la caséine (mais aussi du gluten !): la peptidase DPP4. Lorsque tout va bien, les enzymes participent à un processus digestif où elles ont pour rôle de rendre des molécules complexes en molécules simples, facilement assimilables par l’organisme. Ce processus est nécessaire pour que nos corps extraient les nutriments de nos aliments.

    A cause de la défaillance de cette enzyme à accomplir son travail, un résidu non digéré de ces protéines subsiste. Des protéines partiellement digérées restent dans votre corps.

    Quelles conséquences ?

    Ces protéines partiellement digérées pénètrent souvent dans le sang et irritent les tissus, créant unesensibilité aux allergènes. Votre corps aura tendance à être plus sensible et irrité par les allergènes dans votre environnement: concrètement, vous développerez ou aggraverez un certain nombre d’allergies. La poussière, le pollen et les poils d’animaux sont les allergènes les plus fréquents, bien que nous puissions devenir allergiques à bien d’autres substances.

    symptomesallergies

    Finalement, le foie doit extraire, pour de bon, ces protéines partiellement digérées de notre organisme. Ce travail est très lourd et il constitue un fardeau supplémentaire pour tout le système excrétoire, et en particulier sur le foie.

    Le lait est un donc un aliment qui présente plusieurs indigestions pour l’Homme : le lactose ne peut pas être digéré car nous ne n’avons plus d’enzymes appropriées à partir de 4 ans et la caséine n’est pas correctement assimilée car ce n’est pas une protéine vouée à la croissance humaine mais bovine.

    Reste le dernier des impacts négatifs, et pas des moindres: la production excessive de mucus par notre corps suite à la consommation de lait. 

    Le mucus : l’aggravateur par excellence

    Quand la protéine destinée à un autre animal, pénètre dans le corps et rentre en contact avec notre système immunitaire, une réponse allergique/immune se déclenche dans plusieurs endroits du corps. Une réaction classique de notre système immunitaire à ce type « d’attaque » est  un épanchement, une effusion de mucus.

    Le mucus, c’est tout simplement une sécrétion visqueuse de notre corps, qui a pour but d’entraîner avec elle poussières et microbes. Votre nez coule, c’est parce que votre corps a trouvé un moyen visqueux et fluide, de se débarrasser de ce qui perturbe votre santé. Le lait est un incroyable producteur de mucus.

    mucus

    Le mucus durcit et colmate tout ce à quoi il se colle dans l’intestin grêle, gênant énormément les fonctions de l’organisme. Le mucus migre dans les cavités sinusales et nasales pour être évacué.

    La production de mucus tend à aggraver les problèmes d’allergies, asthme, eczéma, bronchites, des problèmes de sinusites et infections de l’oreille récurrents. Il crée les problèmes récurrents de nez qui coule, les douleurs persistantes de gorge et d’accumulation de phlegmes, les bronchites et les infections des oreilles (otites) qui sont le fléau de nombreux enfants.

    L’expérience nous démontre que les enfants enrhumés, avec de la toux ou de l’asthme, voient leur état s’aggraver lorsqu’ils consomment du lait, alors qu’il s’améliorera lorsqu’ils cesseront d’en consommer.

    Bref, cet excès de mucus est un poids très lourd à porter pour notre système digestif, respiratoire et immunitaire.

    Le Dr.Ellis va plus loin et affirme que cet excès de mucus, peut durcir jusqu’à produire une couche sur les parois internes des intestins, freinant l’absorption de nutriments et possiblement menant à un état de fatigue chronique.

    Aux Etats-Unis, des études avaient été menées par l’American Academy of Allergy, Asthma and Immunology (Académie Américaine des Allergies, de l’Asthme et de l’Immunologie). Bilan : le lait de vache est la première cause d’allergies alimentaires chez les enfants. Selon le Dr. Frank Osi, près de la moitié des enfants aux Etats Unis développement une réaction allergique au lait. Pour ces enfants, et pour les adultes qui sont également allergiques, le lait devient un producteur de mucus. S’ensuivent toutes les gênes et maladies cycliques que nous avons vu auparavant. En France, le constat est surement le même.

    Mon enfant est-il allergique au lait?

    Voici les symptômes que développent les enfants allergiques au lait :

    • Difficultés respiratoires (particulièrement pendant le sommeil)
    • Une toux irritante associée à un écoulement nasal
    • La toux est souvent associée à un bruit respiratoire et du mucus dans la gorge

    Si vous allez chez le médecin, il risque de diagnostiquer une bronchite, une infection virale ou une infection respiratoire et vous prescrira des sirops contre la toux, des antibiotiques ou des expectorants. Tout ceci peut être tout à fait inutile et source d’insatisfaction tant que vous n’aurez pas essayé d’éliminer le lait de votre régime.

    Conclusion

    L’idée n’est pas d’éliminer radicalement tous les laitages de votre quotidien, sauf si vous en sentez le besoin et la motivation. Mais plutôt d’en consommer moins et de comprendre quelles réactions il peut entraîner chez nous. Notamment, je vous conseillerai d’éliminer totalement le lait de vache, au profit de laits végétaux très nourrissants et digestes, mais de garder certains apports de fromages ou de crèmes dont vous n’avez vraiment pas envie de vous passer. C’est également la position de la plupart des médecins holistiques ou naturopathes.

    N’oubliez pas ! Les produits laitiers ne sont pas les rois du calcium ! On en trouve dans une incroyable variété de produits alimentaires comme les amandes, le persil, presque tous les légumes, l’eau ou certains poissons.

    Enfin, comme l’affirme le Dr. Henri Joyeux, chirurgien-oncologue à Montpellier, spécialiste des relations entre alimentation et cancer : « la consommation de 3 à 4 produits laitiers par jour est une aberration (…)  le meilleur calcium est d’origine végétale, associé à la vitamine C, où il est absorbé jusqu’à 75% par notre tube digestif. Alors que le calcium animal l’est, au plus, à 40% ».

    Il recommande donc de se faire plaisir avec « des fruits et des légumes frais, des légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots de toutes les couleurs, pois cassés, soja) en quantité ». Lorsque les légumes sont cuits, privilégier la cuisson à vapeur douce pour préserver leur teneur en vitamine C (qui maximisera votre absorption de calcium) et le tout,bien mastiqué !

    Trouvez votre équilibre !

    Cet article sur les alternatives végétales au lait de vache peut vous être très utile dans votre nouvelle aventure sans lait de vache: Pourquoi et comment remplacer le lait de vache? Peur de ne pas aimer le goût des laits végétaux? Ça ne risque pas: essayez un lait de riz (très doux) ou d’amande (avec plus de caractère) et vous serez conquis.

    Enfin, il existera toujours des solutions végétales plus digestes et saines, à la plupart de nos produits adorés. Vous aimez la glace ? Mettez  des bananes au congélateur (ou autres fruits), puis quand l’envie d’une glace vous vient, mixez-les! Une texture crémeuse, glacée et goûteuse sans aucun produit laitier ou additif et uniquement avec vos fruits préférés !

     

    Le palais savant

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  • sante-nutrition.org

    Une recherche indique que la gratitude peut inverser

    le vieillissement, le stress et la mauvaise santé

     

    gratitude

     

     

     

    Avec tout le pessimisme qui nous entoure dans le monde, il semble que partout où nous nous tournions, il y a une crise ou une autre. Et s’il est important d’être bien informé et préparé en ces temps modernes, « consommer » un régime plantureux de mauvaises nouvelles prélève une taxe sur notre santé, notre bonheur et même notre vieillissement précoce.

     

    Ce n’est pas une fatalité, car il est en notre pouvoir d’agir directement pour ne pas subir les effets négatifs de ce que nous vivons. La bonne nouvelle, c’est que cela ne prend que quelques minutes par jour pour changer radicalement notre bien-être physique et mental, tout en ralentissant – et même inverser le processus de vieillissement. Le secret? Vivre une vie de gratitude.

    Confirmé par la science: un coeur reconnaissant est bon pour vous

    Aussi improbable que cela puisse paraître, quand nous ralentissons et prenons le temps d’apprécier tout ce qui est bien dans nos vies – plutôt que de nous concentrer sur ce qui nous rend insatisfait – un changement radical dans notre physiologie se produit. Le simple fait d’être reconnaissant a été scientifiquement démontré pour équilibrer notre rythme cardiaque et le système nerveux, entraînant des changements favorables dans l’immunité et l’équilibre hormonal, ainsi que l’augmentation de la production du composé anti-âge DHEA.

     

     

    Parmi les autres bienfaits, on éprouve une réduction significative de stress, d’anxiété, d’insomnie et de dépression. Si l’on considère que les effets néfastes du stress contribuent à tout un éventail de maladies – y compris, mais pas seulement, les maladies cardiovasculaires, le cancer, les affections mentales et une variété de maladies auto-immunes – il est dans notre plus grand intérêt de reprendre la main sur ce syndrome délétère pour notre santé.

    C’est une bonne nouvelle d’apprendre que nous pouvons facilement apprivoiser notre stress en seulement quelques minutes par jour en utilisant des techniques simples. Une étude commanditée par l’Institut HeartMath et l’US Naval Postgraduate School en Californie a découvert qu’unnouveau programme d’autogestion émotionnelle a réduit significativement le cortisol, l’hormone du stress, tout en augmentant la DHEA, ce qui a résulté en une réduction remarquable de la tension et de l’anxiété.

    Quarante-cinq participants en bonne santé ont participé à l’étude. Les niveaux de cortisol, de DHEA/DHEAS salivaires ont été mesurés et le système nerveux autonome a été évalué à l’aide d’une évaluation de la variabilité de la fréquence cardiaque. Un questionnaire psychologique a également été donné. Les individus ont été évalués avant d’avoir été formés au programme d’auto-gestion des émotions, puis, quatre semaines plus tard. Ce programme comprenait des pratiques qui favorisent l’appréciation et la gratitude.

     

    Dans le résumé de l’étude :

    « Le groupe expérimental a connu des améliorations significatives dans l’échelle des affects positifs de Bienveillance et Vigueur ET une baisse significative dans l’échelle des affects négatifs de Culpabilité, d’Hostilité, de Burnout, d’Anxiété, et d’effets de Stress. En même temps, aucun changement significatif n’a été observé dans le groupe de contrôle. Il y avait une réduction moyenne de 23 % de cortisol et une augmentation de 100 % de DHEA/DHEAS dans le groupe expérimental ».

    Le rapport complet peut être consulté ici [PDF].

    Deux techniques clés ont été utilisées pour l’expérience – le « Cut-Thru » et le « Heart Lock-In » (« Dans le Coeur »). Pour apprendre le détail de ces deux pratiques, voir The HeartMath Solution.

    Comment apprivoiser le stress, favoriser le bonheur et se donner une bonne santé en quelques minutes par jour

     

     

    Voici quelques méthodes simples qui favorisent des rythmes cardiaques équilibrés, la réduction du stress et la positivité:

    1. Arrêt sur image

    C’est l’outil le plus simple de HeartMath. C’est une technique qui prend 1 minute et permet un changement majeur dans la perception. C’est bien plus que la pensée positive, il crée une modification sincère dans la façon dont nous considérons une situation, un individu ou nous-même. En situation de stress:

    1. Au lieu de vous concentrer sur votre tête, concentrez-vous sur la zone autour de votre coeur. Maintenez votre attention sur cette zone pendant au moins 10 secondes. Continuez à respirer normalement.
    2. Remémorez un moment positif ou un sentiment positif que vous avez eu dans votre vie et essayez de le revivre, ou d’en revivre les émotions et le bien-être. Important: il ne suffit pas de le visualiser, mais vraiment de le revivre complètement.
    3. Posez une question à partir du coeur : « Que puis-je faire dans cette situation pour la rendre différente » ou « Que puis-je faire pour minimiser le stress ? ».
    4. Ecoutez la réponse de votre coeur.

    Il se peut que vous n’entendiez rien, mais que vous vous sentiez plus calme. Il se peut aussi que vous receviez une vérification de quelque chose que vous connaissez déjà, ou vous pouvez faire l’expérience d’une modification complète de perspective, en percevant cette crise d’une manière plus relative et équilibrée. Nous ne pouvons pas avoir le contrôle sur l’événement, mais nous avons le contrôle sur notre perception de celui-ci.

    2. Cut-Thru

    Technique développée pour nous aider à mieux gérer nos émotions. Elle nous donne la capacité à « couper à travers » des émotions complexes, de longue date,  et à changer dynamiquement de point de vue.

    1. Prenez conscience de la façon dont vous ressentez ce problème. Concentrez-vous sur votre coeur.
    2. Mettez-vous en position objective. Faites comme si c’était le problème de quelqu’un d’autre. Quelle sorte de conseil donneriez-vous à cette personne qui vient d’être méprisée par un collègue de travail? Vous lui diriez probablement « Hé, relax, ce n’est pas si grave ».
    3. Considérez ces émotions perturbées, l’énergie émotionnelle qui se trouve déséquilibrée, et amenez-la vers le coeur. Laissez-la s’imprégner dans un bain chaud. Entraînez-vous à laisser le coeur faire le travail pour vous.

    Cut-Thru demande une pratique des exercices du coeur un peu plus « mature » que l’arrêt sur image. Mais il est également plus utile pour des problèmes plus profonds et plus complexes. Les émotions de longue date ont été stockées en nous au long des expériences de notre vie. Cut-Thrudonne la capacité de transformer au lieu de réprimer.

    3. Dans le coeur

    Plutôt que de « réparer » un problème, « Dans le Coeur » consiste à éprouver votre coeur à un niveau plus profond.

    1. Focalisez votre attention sur votre coeur.
    2. Rappelez-vous le sentiment d’amour ou de bienveillance que vous éprouvez envers quelqu’un qu’il vous est facile d’aimer. Concentrez-vous sur un sentiment de gratitude pour quelqu’un ou quelque chose de positif. Essayez de rester avec ce sentiment de 5 à 15 minutes.
    3. Envoyez doucement ce sentiment d’amour ou de reconnaissance à vous-même et à d’autres.
    4. En 15 minutes, un « Dans le Coeur » peut fournir la régénération physique, mentale et spirituelle.

    Ceci est une version très simplifiée de ces techniques. Une version beaucoup plus approfondie de chaque technique, y compris des données scientifiques se trouvent dans le libre « The HeartMath Solution, par le Docteur Childre et Howard Martin.

     

     

    La reconnaissance est une pratique simple et efficace et les avantages sont réels et réalisables. Beaucoup d’entre nous le savons dans nos coeurs, mais maintenant, c’est prouvé par la science moderne. La gratitude crée un état d’être plus sain, plus heureux et plus épanouissant pour quelqu’un qui prend quelques instants pour la  ressentir et y réfléchir.

    « Ce qui est important n’est pas qui vous aimez, où vous aimez, pourquoi vous aimez, quand vous aimez ou comment vous aimez, c’est important seulement que vous aimiez ». John Lennon

     

     

     

    Sources:
    www.heartmathbenelux.com [PDF]
    www.care2.com
    www.monroeinstitute.org
    www.naturalnews.com
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