• Vous vous faites du mal sans vous en rendre compte

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si cela peut sembler égoïste, de temps en temps, nous devons penser à nous-même et arrêter de nous faire du mal en nous enfermant dans le passé ou en exigeant de nous-même plus que possible.
     
     
     

    S’aimer soi-même est quelque chose de primordial mais combien de fois avons-nous pensé que nous étions égoïste à cause de cela ?

     

    Il semblerait de prendre soin de soi-même est pesant. C’est pour cela que nous nous faisons du mal sans en être véritablement conscient.

    Peut-être que vous pensez que vous prenez soin de vous en soignant votre image, en essayant de plaire aux autres… Pourtant, vous vous faites du mal, vous ne vous respectez pas, vous ne vous écoutez pas.

    Il y a de nombreuses manières de se faire du mal, mais certaines sont plus subtiles que d’autres et nous ne nous en rendons même pas compte. Aujourd’hui, nous allons en découvrir certaines pour que vous puissiez y mettre un frein.

    Vous faire du mal à vous-même vous minera petit à petit et vous deviendrez une personne triste.

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    Vous vous faites du mal quand vous dites « oui » à la place de « non »

    Plaire aux autres est l’un des apprentissages principaux, dès l’enfance. On nous a éduqué ainsi pour que nous soyons toujours agréables avec les autres.

    On nous regarde mal si nous disons « non » à une pétition ou que nous refusons de faire quelque chose qui ne nous plaît pas. 

    Dans la société dans laquelle nous vivons, nous ne sommes pas habitués à accepter un « non » en tant que réponse. Cependant, cela doit changer. Vous vous faites du mal lorsque vous vous soumettez aux besoins des autres avant les vôtres.

    Vous êtes premier, vous devez vous mettre en valeur. Si vous ne le faites pas, personne ne le fera pour vous.

    De plus, cela peut être une bonne pratique de commencer à dire « non ». 

    Combien de choses vous ne dites pas par peur de la réaction des autres ? Cela peut être le début d’un chemin plein de sincérité pour vous-même et pour les autres.

     

     

    Vous vous faites du mal si vous exigez de vous d’être parfait

    Comme ce que nous avons dit précédemment, nous croyons souvent qu’être parfait aux yeux des autres est la meilleure chose à faire au quotidien. Mais cela génère des peurs de l’échec et des erreurs qui surgissent avec un grand sentiment de culpabilité.

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    Pour commencer à arrêter d’exiger la perfection de vous-même, vous devez vous échapper des opinions des autres. Si vous vous laissez porter par elles, vous cesserez d’être vous-même et vous ne deviendrez que ce que les autres veulent que vous soyez.

    Il est sain d’écouter les opinions des autres, mais les laisser trop influencer votre personne vous fera beaucoup de mal. Vous ne serez pas heureux si vous êtes quelqu’un que vous n’êtes pas, en essayant d’être parfait alors que vous savez parfaitement que nous sommes tous imparfaits.

     

     

    Vous vous faites du mal si vous vous ne octroyez pas de caprices

    Il est bon de se garder de petits plaisirs pour des situations spéciales mais si vous reportez systématiquement ce que vous voulez faire, vous n’arriverez jamais à en profiter. 

    Des vacances, une sieste, un cadeau, une veste…

    Pensez que nous avons qu’une vie et que si on ne la vit, quand le ferons-nous ? Le temps passe vite et peut-être que demain, vous ne pourrez pas réaliser ce qui vous tient tant à cœur.

    Arrêtez de procrastiner. Faites-le tout simplement !

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    C’est facile de le dire, mais également de le faire. Vous êtes la seule personne qui vous limite et vous seul pouvez éliminer ces barrières. Si vous voulez vous faire un caprice, ne vous réprimez pas. La vie est faite pour être vécue, non pas pour être réprimée. 

     

     

    Vous vous faites du mal si vous ne vivez pas le présent

    Tout au long de notre existence, nous commettrons de nombreuses erreurs que nous regretterons.

    Le succès se trouve dans le fait d’accepter notre condition de ne pas être parfait et d’apprendre de tout ce qui nous a fait du mal et que nous avons provoqué.

    Mais rester dans le passé nous entrave bien plus que nécessaire. Nous avons du mal à nous en libérer et il nous prend une énergie folle, qui nous rend amers et tristes. Et nous n’arrivons pas à dépasser une situation qui pourtant ne se reproduira jamais, et que nous ne pourrons donc jamais changer.

    Car le passé est derrière nous et maintenant, il est temps de vivre le présent. Tout comme les petits plaisirs, vous vivez dans l’ici et le maintenant.

    C’est la seule chose qui importe, l’unique moment auquel vous devez vous accrocher avec une vraie force.  

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    Vous êtes-vous déjà fait du mal de cette manière ?

    Si vous vous identifiez à ces comportements, c’est le moment d’apprendre d’eux et de ne pas retomber dans ces situations qui ne font que nous submerger dans un tourbillon d’émotions et de vibrations négatives. 

    C’est le moment de changer, d’avancer et d’arrêter de nous faire du mal sans nous en rendre compte.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Laisser partir, ce n’est pas s’avouer vaincu,

    mais accepter ce qui ne peut être

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si au début, on a l'impression que le monde nous tombe sur la tête, nous devons laisser partir les mauvaises choses pour que d'autres puissent arriver jusqu'à nous.
     
     
     

    Laisser partir, c’est le processus le plus naturel de la vie et pourtant, c’est également le plus complexe et l’un de ceux qui provoquent le plus de souffrance.

     

    Briser une relation, perdre un être cher, changer d’habitudes, de travail, de lieu de résidence…

    Tout cela sont des renoncements que nous allons vivre à un moment de notre cycle de vie.

    Il n’existe pas de formule magique qui nous permettrait de mieux affronter ces situations marquées par le détachement et par la douleur émotionnelle qui, si elle n’est pas bien gérée, peut se transformer parfois en une dépression.

    Cependant, nous pouvons vous donner quelques conseils essentiels sur lesquels vous appuyer, et avec lesquels nous obtenons un peu de lumière dans ces moments de complexité.

     

     

    Laisser partir, pour pouvoir recevoir

    Si vous y pensez pendant un moment, vous vous rendrez compte que l’acte de « laisser partir » est une musique éternelle qui habite chaque période de notre vie.

    Nous devons comprendre que ces mots, « laisser partir », ne sont pas uniquement liés à la douleur, à la perte et à la souffrance.

    Parfois, renoncer, c’est aussi une manière de nous permettre d’être un peu plus heureux.

    • Renoncer ce qui nous nuit, c’est placer son bien-être en priorité.
    • Laisser partir qui nous fait du mal, c’est gagner en santé et en équilibre personnel.
    • Se défaire de certaines habitudes, pensées et attitudes limitantes, c’est gagner en opportunités et en développement.

    Ainsi, cela vaut la peine de se souvenir que l’acte de « lâcher prise » est aussi une opportunité pour nous renouveler et de continuer à grandir en tant que personne.

    Pourtant, comme nous le savons, parfois ces situations impliquent des adieux difficiles que nous devons assumer.

    Voyons quelles sont les meilleures stratégies pour les affronter.

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    Donnez du temps au temps : les belles choses reviendront

    Quand nous perdons quelque chose ou quelqu’un, quand nous les laissons partir, nous sentons comme une porte qui se referme devant nous, et comme si la fin du monde était arrivée.

    • De fait, nous pensons cela pendent au moins plusieurs mois, et le temps qui passe est synonyme de deuil. Le soulagement émotionnel, le soutien et le fait d’accepter la réalité de la situation sont les clés qui nous permettront d’aller de l’avant.
    • Il est important de comprendre que « laisser partir », c’est aussi un acte de courage indépassable. Car personne ne peut vivre accroché à la souffrance et à la douleur. 
    • Quand nous perdons quelqu’un, nous devons “le laisser partir », « lâcher prise »pour que ce processus naturel qu’est l’adieu nous permette aussi à nous-même d’aller de l’avant, sans oublier ce que l’on a laissé derrière nous, mais en étant courageux et en souriant à nouveau.

    Nous devons donner du temps au temps. Il est possible que rien ne soit plus jamais comme avant mais ce qui est différent n’est pas forcément « mauvais ».

    Au contraire, nous pouvons vivre de nouvelles situations très heureuses et belles.

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    Il faut apprendre à laisser partir ce qui ne veut pas rester, ce qui ne tient plus

    Il y a des moments tout au long de notre vie où nous sommes obsédés par le changement et même par le fait que la personne que l’on aime nous quitte, même si elle ne nous aime plus.

    • Il est nécessaire de savoir qu’il n’y a pas plus grande souffrance que le fait de nier, de refuser, de fermer les yeux face à une réalité qui se dérobe sous nos pieds et que nous nous efforçons d’occulter.
    • Il faut laisser partir ce qui ne tient plus debout tout seul car sinon, nous vivons dans une fausseté douloureuse et incertaine que personne ne mérite.
    • Il faut être courageux et affronter les réalités. Si on ne nous aime plus, il ne faut pas implorer, ni « prolonger un peu plus ». Ce sont des attentats directs à l’auto-estime.

    Parfois, même si cela paraît incroyable, laisser partir ce qui ne tient plus est une manière de découvrir des choses encore meilleures.

     

     

    La vie vous apprendra pour qui vous devez lutter et à qui vous devez renoncer

    Dans le processus intense du fait de lâcher prise, de se libérer de ce qui fait du mal, de qui ne nous aime pas ou de qui nous veut du mal, nous ouvrons une page intéressante où nous pouvons découvrir tout ce qui est réellement important.

    • Peu importe si au fil de ce chemin, nous sommes très peu. Peu importe s’il ne reste que quatre personnes à vos côtés, ou même deux.
    • Si c’est ce qui vous rend heureux, si ce sont ces personnes, ces choses qui enrichissent vraiment votre esprit et votre cœur, alors tout la détachement que vous avez opéré en valait la peine.

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    N’oubliez pas non plus que ce que vous avez laissé derrière vous sont des pièces clés de votre vie.

    Tout ce que vous avez vécu est important car même si rien de tout cela ne fait partie de votre destin, c’est une partie de votre histoire personnelle.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • La plus jolie courbe d’une femme est son sourire

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les véritables sourires ne s'affichent pas sur commande et reflètent notre bien-être intérieur, qui nous aide à être en paix avec nous-même et à voir le monde avec d'autres yeux.
     
     
     

    Il y a des jours où, tout simplement, il est impossible d’arborer un sourire sur notre visage.

    Quand nous sommes abattus, quand le stress nous envahit et que la journée débute avec plus de pressions que d’espoirs, il nous est très difficile de revêtir cette peau positive.

     

    Nous sommes sûrs qu’à plusieurs reprises, en marchant dans la rue, vous avez croisé un inconnu qui vous a offert un sourire sans raison et vous le lui avez rendu, sans même vous en rendre compte.

    Les sourires sont beaux, embellissent tout notre visage et nous permettent de nous connecter avec les autres.

    De plus, comme on le dit souvent, le sourire est la plus jolie courbe des femmes.

    Ainsi, nous vous encourageons dans cet article à vous libérer de vos batailles intérieures, à éteindre vos angoisses, à laisser place à vos rêves pour allumer tous vos espoirs… Et à sourire !

    Que vos sourires soient toujours sincères et pas simplement des masques derrière lesquels vous vous cachez.

    Car la beauté, c’est le bonheur et pour qu’il soit authentique, nous devons faire face à de nombreuses choses, à de nombreux défis.

    Aujourd’hui, nous vous invitons à réfléchir à cela.

     

     

    La sourire le plus beau est celui qui reflète notre bien-être intérieur

    Nous sommes sûrs que vous avez déjà entendu cette phrase qui affirme qu’il n’y a pas plus courageuse qu’une personne capable de se montrer sous son meilleur jour alors que son âme est brisée en mille morceaux.

    Mais ce n’est pas bon. Personne ne devrait passer la plus grande partie de son existence en feignant quelque chose que son cœur ne ressent pas.

    Quand nous sommes abattus, il faut affronter et gérer cet état. 

    Il ne faut pas porter de masques, car ils ont tendance à rendre ce genre d’états émotionnels chroniques.

    Le sourire triste chez les femmes

    Les sourires sont le langage le plus puissant de l’être humain. Cette image est rapidement codifiée par n’importe quel regard et se connecte directement à notre intelligence émotionnelle.

    • À présent, que vous le croyez ou non, notre cerveau émotionnel est aussi capable de faire la différence entre les sourires tristes et les sourires heureux.
      Ce n’est pas seulement une courbe agréable sur notre bouche. L’émotion se répand aussi dans le regard, dans le geste, dans la voix, dans l’attitude…

    Ainsi, même si vous arborez des sourires toute la journée alors que vous ne ressentez que de la tristesse, tôt ou tard, quelqu’un va le remarquer.

    Personne ne peut cacher ses sentiments ni ses émotions pendant trop longtemps. Et cela n’est d’ailleurs pas sain.

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    Le sourire triste des femmes n’est pas joli : il invite à la mélancolie, à vouloir pénétrer les peines.

    Ne laissez pas cette habitude devenir chronique, n’utilisez pas l’un de ces masques pour faire croire aux autres que « tout va bien« .

    • Consacrez-y le temps dont vous avez besoin. Résolvez chaque nœud qui vous empêche de respirer et d’accéder au bonheur.
      N’abandonnez pas l’obligation vitale de prendre soin de vous et de gérer votre monde émotionnel.
    • Ce que l’on néglige se perd, et ce que l’on soigne se récupère.
      Alors, connectez votre cœur pour que votre sourire soit à nouveau la courbe la plus belle de votre corps.

    Le sourire est une merveilleuse arme de séduction

    Nul besoin de dimensions parfaites, de vêtements de marque, de magnifiques coiffures ou de chaussures osées pour être belle.

    La beauté d’une femme se trouve dans son attitude, et celle-ci se transmet avec son sourire, son énergie et son auto-estime.

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    Sachez aussi que les sourires ne s’arborent pas pour attirer ou séduire. Qui forme un vrai sourire sur son visage n’a aucune arrière pensée.

    C’est seulement un reflet spontané de son intérieur et même ainsi, il exerce un grand magnétisme.

    • Le sourire le plus séducteur est celui qui apparaît sans être forcé, celui qui intervient au milieu des mots, celui qui réveille le regard et est en harmonie avec ses propres pensées, quand on se sent bien, dans le calme.
    • Nous ne devons pas non plus oublier que le rire est une manière de se connecter rapidement et entièrement aux personnes.
    • Les rires sont contagieux car notre cerveau est guidé, avant tout, par les émotions positives. Tout le positif nous aide à survivre, et à nous mieux nous adapter à notre entourage.

     

     

    Ainsi, pour conclure, reprenons ce que nous avons dit au début : n’utilisez pas votre sourire pour cacher vos inquiétudes et pour faire croire aux autres que vous êtes incroyablement fort.

    Car celui qui est fort, c’est celui qui est capable de reconnaître ses tristesses pour défaire cette pelote et tisser à nouveau le tissu de sa vie avec plus de force, plus de dignité et plus de beauté.

    Que vos sourires soient toujours sincères, car ce seront les plus spectaculaires !

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 caractéristiques des personnes assertives

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Si cela peut vous rassurer, toutes les personnes assertives ne sont pas nées avec cette qualité, car c'est une aptitude que l'on peut apprendre pour faire chuter tous les murs et les obstacles qui se dressent sur notre chemin.
     
     
     

    Les personnes assertives jouissent de grands bienfaits car elles sont capables d’exprimer correctement leurs opinions, ainsi que de défendre leur point de vue.

     

    Cependant, le plus important, c’est que tout cela se fait dans le respect des autres.

     

    Les personnes assertives savent aussi exprimer leurs sentiments et leurs émotions, l’une des choses les plus difficiles pour de nombreux individus.

    Aujourd’hui, nous allons vous parler des 5 caractéristiques les plus importantes des personnes asservies. Vous vous identifiez à l’une d’entre elles ?

     

     

    1. Elles ont confiance en elles

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    La confiance en soi se perd avec le temps même si on peut toujours la retrouver, avec des efforts. 

    Si vous êtes une personne assertive, vous avez déjà surmonté cette barrière car vous vous vous connaissez si bien que vous savez que vous ne devez pas avoir peur de vous montrer tel que vous êtes.

    Les personnes peu sûres d’elles se cachent derrière une carapace ou une armure qui les protègent.

    Cela fait qu’elles sont toujours sur la défensive et qu’elles passent à côté de nombreuses opportunités que la vie leur apporte.

    Les personnes assertives savent avoir confiance en elles pour en tirer le maximum de profit.

     

     

    2. Elles respectent l’opinion des autres

    Les personnes assertives savent exprimer leurs opinions, mais toujours en respectant celles des autres, même si elles ne sont pas d’accord.

    Elles savent que la diversité de points de vue enrichit et c’est quelque chose qu’il faut toujours respecter.

    Cela leur permet de valider les émotions des autres, c’est-à-dire de les accepter et d’apprendre des diverses circonstances qui peuvent amener un individu à agir de telle ou telle manière.

    Tout le monde n’a pas le même avis : accepter et comprendre cela peut notablement améliorer les relations.

     

     

    3. Elles écoutent activement

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    Quand nous mentionnons le verbe « écouter », il semble évident que tout le monde sait le faire mais en réalité, les personnes qui savent vraiment et activement écouter sont rares.

    Comment pouvons-nous écouter activement ? En prêtant attention aux mots mais également à ce que ressent l’autre personne et ce qu’elle exprime émotionnellement.

    Si vous réussissez à faire cela, vous pourrez affronter tout type de conflit qui peut surgir entre vous et l’autre personne d’une manière bien plus calme.

    Écouter vous libérera de l’anxiété et du stress que vous pouvez ressentir dans un premier temps.

    De plus, cela vous permettra de réguler vos émotions efficacement.

     

     

    4. Elles choisissent leurs amis

    Cela peut sembler un peu futile mais généralement, nous ne choisissons pas nos amis, et laissons les autres choisir pour nous.

    Les personnes assertives savent que ce n’est pas correct, et elles savent choisir les personnes saines qu’elles veulent avoir à leurs côtés. 

    De cette manière, elles sont excellentes face à toutes les personnes toxiques qui essaient de remplir leur vie d’émotions très peu positives.

    Les personnes assertives choisissent et ne se contentent pas qu’on les choisisse.

     

     

    5. Elles s’acceptent de manière inconditionnelle

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    L’une des plus grandes caractéristiques des personnes assertives, c’est que ce que les autres pensent d’elles leur importe peu.

    Cela leur permet de s’accepter telles qu’elles sont, avec leurs défauts et leurs qualités, ce qui augmente leur sécurité et leur confiance.

    De plus, s’accepter de manière inconditionnelle permet aussi de savoir quelles sont les limites que nous avons, même si cela ne signifie pas que ce soient des barrières.

    Les personnes assertives savent lutter de toutes leurs forces contre les obstacles et en tirer le meilleur parti possible pour qu’ils n’interfèrent pas dans leurs rêves.

    Vous vous identifiez à l’une de ces caractéristiques ? Comme vous avez pu le comprendre, les personnes assertives se confrontent aux peurs infondées que nous avons et qui nous empêchent de lâcher prise et d’avoir confiance en nous.

     

    Vous pensez que les personnes assertives sont nées avec cette sécurité ? Vous pensez qu’elles ont toujours eu confiance en elles ?

    Elles aussi ont été dans la même situation que vous, mais avec des efforts et de l’envie, elles ont réussi à obtenir l’assertivité qui leur a permis d’être mieux avec elles-mêmes et avec les autres.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • La patience et le silence : deux vertus de la sagesse

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si vous pouvez avoir du mal à le croire et que vous ne pensez pas en disposer, la patience est une vertu qui peut être développée et qui peut nous donner les forces nécessaires pour atteindre ce que nous désirons.
     
     
     

    Confucius disait que celui qui n’a pas de patience face aux petits problèmes de la vie se sent bloqué lorsque les grandes difficultés surviennent.

    La patience est une vertu que tout le monde n’a pas naturellement ou que nous ne sommes pas tous en mesure de gérer. 

    De la même manière, le silence représente cette capacité saine, qui va de pair avec la patience, de savoir se taire et d’être capable d’écouter les autres, tout en trouvant l’espace nécessaire pour nous parler à nous-mêmes, en estompant le bruit de la rumeur de notre environnement.

    Garder le silence ce n’est pas se soumettre, ce n’est pas cacher une opinion par peur de ses conséquences.

    Mais il s’agit plutôt d’un acte de mutisme face à des choses qui n’en valent pas la peine ou lorsque les émotions prennent le dessus sur la raison.

    La patience et le silence sont deux éléments fondamentaux de notre développement personnel.

    Voilà pourquoi nous vous invitons, dans cet article, à réfléchir à ces aspects si essentiels de notre vie.

    La patience et le silence : les vecteurs de la connexion avec notre vie intérieure

    Nous pourrions dire que le silence et la patience sont les deux faces d’une même pièce de monnaie, une pièce de sagesse aux racines antiques.

    L’écrivain américain Kent Neburn nous livre un témoignage intéressant sur ce sujet, à travers l’exemple des indiens d’Amérique, dans son ouvrage « Ni loup, ni chien : les sentiers oubliés d’un vieil indien« .

    Dans tous ses travaux, l’importance des concepts de silence et de patience dans la culture indienne transparaît très clairement. Nous allons vous l’expliquer à travers quelques exemples.

     

    Les indiens d’Amérique et le silence

    Les Lakotas appartiennent à la tribu des Sioux d’Amérique du Nord. Ils constituent un peuple à la spiritualité très riche, très profonde et qui peut nous donner de grandes leçons de vie.

    Les Lakotas exaltaient le lien qui nous unit à l’invisible, à une entité qui symbolise l’union que nous pouvons avoir avec d’autres personnes, comme nos amis, notre famille et tous les êtres qui nous sont chers.

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    • Ce lien s’établit à travers le respect, mais surtout par le silence. C’est la capacité la plus à même d’établir une égalité entre deux personnes. Ce n’est pas seulement le fait de se taire pour écouter, mais aussi de garder le silence pour partager du temps et de la complicité.
    • Si nous y réfléchissons bien, nous pouvons nous rendre compte que, dans la plupart des cas, lorsque nous sommes avec quelqu’un et que le silence apparaît, nous nous sentons inconfortables et nous tentons de l’esquiver en disant la première phrase qui nous vient à l’esprit.

    Il est indispensable que nous changions notre vision des choses.

    • Il n’y a rien de plus magique qu’un groupe d’amis qui se sent à l’aise lorsque surgit le silence. Nous n’avons pas l’obligation de parler, mais simplement d’être présents, de rester unis par ce lien invisible que nous dépeignent les Lakotas.
    • Pour les indiens d’Amérique, le silence est une vertu qui nous permet d’être conscients de tout ce qui nous entoure et qui nous ramène à la terre : la nature, les personnes, le cycle de la vie et nous-mêmes, notre propre conscience.

    Autant de concepts à approfondir et à méditer.

     

    La patience, un art que personne ne peut nous enseigner

    Personne ne nous apprend, lorsque nous venons au monde, que les choses ne vont pas se passer comme nous le désirons.

    Personne ne nous dit que parfois, même si nous donnons le meilleur de nous-mêmes, les événements ne vont pas se plier à nos envies.

    La patience n’est pas quelque chose de sacré, c’est plutôt un art qui demande de la pratique et du temps, une bonne dose de déceptions et d’apprentissages de vie.

    Ce n’est pas quelque chose que l’on trouve dans les manuels.

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    Être patient demande, par dessus tout, de ne pas abandonner. Si quelque chose ne se passe comme nous la souhaitons, nous ne devons pas abandonner notre objectif, car la patience est faite de calme et de confiance.

    • Les personnes patientes savent observer, réfléchir en silence, étudier leur environnement et développer leur intuition pour découvrir le meilleur moment pour agir.
    • La personne qui n’est pas capable de se défaire du bruit extérieur, des pensées négatives et des opinions défaitistes des autres ne parviendra jamais à son objectif.
    • Être patient demande également une sagesse qui permet de savoir ce qu’il faut éviter et les chemins à prendre.

    Si nous avons un rêve, nous ne devons pas laisser les autres nous le rendre impossible avec leur fatalisme et des phrases comme « cesse de penser à cela, car le train est déjà passé« .

     

    Les personnes patientes savent être sur le bon quai au bon moment. Elles connaissent les meilleurs trains à prendre et, même s’ils sont en retard, elles ne se démoralisent pas.

    Toute attente vaut la peine car, pendant que nous patientons, nous développons certaines aptitudes : de la persévérance, du courage, de la résilience et surtout, de l’espoir.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Celui qui juge ne définit pas la personne jugée,

    il se définit lui-même

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Si nous ne voulons pas que les autres fassent la même chose avec nous, nous ne devons pas les juger sans connaître leur vie au préalable. Les préjugés peuvent parfois nous empêcher de découvrir des personnes merveilleuses car nous nous arrêtons aux apparences.
     
     
     

    Juger les autres, c’est le sport à la mode. D’une certaine manière, c’est pourtant quelque chose que nous faisons tous inconsciemment.

     

    Nous émettons des jugements sur tout ce qui nous entoure car nous maintenons ainsi un certain contrôle en classant les choses selon des étiquettes préconçues.

    “C’est bien, c’est mal, je n’ai pas confiance en cette personne, mieux vaut que je m’éloigne d’untel…”

    Il est très commun de tomber dans les stéréotypes et dans les idées pré-établies, avant d’approfondir un peu et de faire l’effort de se mettre à la place de l’autre.

    Il est clair que tout le monde n’agit pas de cette manière, que certaines personnes évitent d’emblée de juger car elles n’aiment pas être jugées par les autres et c’est ce que tout le monde devrait mettre en pratique pour construire une société plus harmonieuse et tolérante.

    Nous vous invitons à réfléchir à cela dans cet article.

     

     

    Juger, une arme à double tranchant que nous ne devrions pas utiliser

    Juste pour aujourd’hui, ne jugez pas : juste aujourd’hui, laissez votre regard écouter le monde avec calme et sans préjugés, et limitez-vous à « être » et à « laisser être ».

    Il serait, sans aucun doute, très bon que nous essayions tous de pratiquer ce conseil simple chaque jour. Ainsi, nos relations seraient plus respectueuses et beaucoup moins de conflits seraient provoqués.

    À présent, le problème essentiel, c’est que notre cerveau social est souvent régi parle besoin d’obtenir des informations très rapidement sur les choses et les personnes.

    Classez toutes les informations et les stimulations dans des catégories et vous pourrez découvrir quel type de personnalité vous avez selon vos expériences passées.

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    • Prenons un exemple. Quand vous alliez à l’école, il y avait un professeur qui vous traitait mal et qui a fait de vos années scolaires un véritable enfer.

    Aujourd’hui, vous vous rappelez encore de son expression, de son visage et quand vous rencontrez quelqu’un qui lui ressemble, vous projetez sur cette personne un fort rejet.

    • Beaucoup de nos expériences passées, et même certains aspects de notre personnalité, nous font apposer des étiquettes sur ceux qui nous entourent selon des schémas pré-conçus qui ne sont pas toujours en rapport avec la réalité;.

    L’acte de « ne pas juger« , de se rapprocher des gens sans émettre de jugement précipité demande, avant tout, un effort de calme.

    Cela nous oblige à contrôler le « bouton automatique » de notre cerveau qui a tendance à juger et à catégoriser tout ce que nous voyons. 

    Soyez intelligent : si vous jugez, vous vous jugez aussi vous-même

    Si vous évitez d’avoir des liens avec vos voisins car ils sont d’une autre culture, en réalité, le jugement que vous émettez vous définit, vous. Vous êtes une personne raciste à l’esprit fermé.

    L’homme qui juge d’une femme selon la longueur de sa jupe se juge également lui-même, car c’est un machiste.

    • À chaque fois que nous émettons un jugement sur quelqu’un, il est bon de mettre en pratique un exercice de réflexion : Pourquoi est-ce que je pense cela ? Pourquoi est-ce que je pense, par exemple, que je ne vais pas m’entendre avec ce garçon parce qu’il porte un pantalon déchiré et a des tatouages ?
    • Soyez sage, agissez avec calme, mesure et équilibre et essayez de voir les choses de manière neutre dès lors que vous ne les vivez pas vous-même, que vous ne connaissez pas les détails qui vous permettraient de juger de manière plus objective.

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    Ne vous basez pas sur des banalités au moment de juger, basez-vous sur des réalités

    Il est important de nuancer les choses : nous avons le droit de maintenir et de défendre nos propres jugements sur ce qui nous entoure. Mais les jugements doivent être basés sur les réalités, jamais sur des stéréotypes ou des banalités.

    • Quand vous connaîtrez une personne en profondeur, vous disposerez des connaissances qui vous permettront de décider si elle vous plaît ou pas, si elle s’ajuste ou pas à vos attentes.
    • Il faut savoir que qui se base uniquement sur des banalités au moment de jugerpasse à côté des meilleures choses de la vie. 
    • Si on juge son collègue de manière négative uniquement à cause de son style, on peut passer à côté de l’opportunité de connaître quelqu’un d’exceptionnel.
    • Qui juge un pays ou une ville comme étant sale, dangereux ou peu moderne, passe sûrement à côté de la meilleure expérience de sa vie car il refuse de connaître un lieu qui peut se révéler incroyable si tant est que l’on a l’esprit ouvert et sans préjugés.

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    Les meilleures choses, les meilleures personnes sont parfois dissimulées derrière d’épaisses carapaces que l’on ne peut pas percevoir au premier abord.

    Seuls ceux qui s’approchent sans juger et avec le cœur ouvert seront dignes de vraiment connaître les merveilleuses choses qui nous entourent.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Tout ce que j’ai vécu jusqu’à présent

    a fait la femme que je suis aujourd’hui

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Chacun des revers que nous a apportés la vie, chacune des joies et toutes les leçons que nous avons apprises tout au long des années ont structuré notre personnalité actuelle.
     
     
     

    La femme que vous êtes aujourd’hui raconte une histoire unique et exceptionnelle.

    Ce portrait personnel sera habité par des clairs-obscurs, des périodes de difficulté propre et des moments où la chance vous a accompagné, ainsi que ce bonheur qui continue à vous inspirer.

     

    Tout ce qui a été vécu, ressenti et vu lors de toutes nos expériences forme ce que nous sommes aujourd’hui.

    Qui est capable d’accepter chacun de ces aspects sans résistance ou regret pourra avancer dans sa vie avec plus de liberté.

    À présent, nous savons que dans de nombreux cas, il y a des souvenirs déterminés qui nous font trop de mal et nous pouvons arriver à nous détester nous-même car nous avons cédé dans certaines situations, ou nous avons mal agi.

    Nous pourrions dire sans nous tromper qu’il y a toujours une version de nous-même qui ne nous plaît pas, et que nous rejetons.

    Nous devons être capable d’accepter la femme d’hier car elle nous a aussi aidé à donner de la force et de la beauté à la femme d’aujourd’hui. 

    Dans cet article, nous vous invitons à réfléchir à cela.

     

     

    La femme que vous voyez aujourd’hui dans le miroir raconte une longue histoire

    Personne d’autre que vous ne connaît tous les chemins par lesquels vous êtes passés, toutes les fois où vous vous êtes trompée pour vous retrouver, et tout ce pour quoi vous vous êtes efforcé pour chaque chose que vous aimez.

    Nos cartes personnelles montrent parfois des recoins privés que nous n’avons partagés avec personne, car elles reflètent ces moments de crises dont nous ne sommes pas fiers, mais que, perçus avec distance et expérience, nous finissons par accepter et par considérer comme importants.

    Une relation douloureuse qui échoue, un projet qui n’a pas bien abouti, le fait d’avoir investi du temps et des efforts dans des personnes qui ne le méritaient pas, ou même mal se comporter avec ceux qui méritent le meilleur sont des fragments de ce passé dont le souvenir fait mal.

    Mais, loin de voir la vie comme des stations de train isolées les unes des autres, nous devons la voir comme un cycle, un voyage risqué mais merveilleux où tout compte, et où tout définit la femme exceptionnelle que nous sommes aujourd’hui.

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    L’acceptation de soi-même

    S’accepter soi-même ne signifie pas se regarder uniquement dans le miroir et aimer chaque recoin qui reflète la superficie, avec chaque vertu et chaque beauté. C’est bien plus que cela.

    De fait, l’auto-acceptation est un exercice que nous devons pratiquer chaque jour.

    • S’accepter signifie savoir accepter ses erreurs pour apprendre d’elles.
    • S’accepter signifie comprendre que nous ne sommes pas infaillibles, que nous ne pouvons pas aller partout, ni satisfaire tous les désirs et les besoins de ceux qui nous entourent.
    • S’accepter signifie savoir accepter que la vie, ce sont des changements et que nous devons nous adapter à chaque variation avec intégrité et optimisme, car vivre, c’est se laisser porter et profiter de ce mouvement enrichissant.

     

    Mûrir, c’est un voyage intérieur qui en vaut la peine

    Mûrir, ce n’est pas seulement fêter des anniversaires. C’est accumuler les expériences, car il n’y a rien de plus triste que de laisser passer le temps sans le remplir de sensations, de découvertes, d’apprentissages, d’erreurs, de caresses, de sourires, de larmes, de saveurs…

    • La vie réelle est au-delà de notre zone de confort et c’est sur cette ligne, située un pas au-delà de la barrière de la peur, que le meilleur arrive.
    • Mûrir, c’est avant tout, un voyage intérieur qui nous oblige à tirer parti de tout ce qui a été vécu pour remodeler notre personnalité, nos valeurs et notre essence. 
    • Car la femme que vous êtes aujourd’hui n’est pas la femme de 20 ans. Il reste, sans aucun doute, une partie d’elle, mais tout ce voyage a enlevé des couches et en a ajouté de nouvelles, pour vous rendre plus habile, plus sûre, et plus rayonnante.

    Il ne faut pas avoir peur de prendre des années, il faut avoir peur d’une vie non vécue.

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    Ce que je suis aujourd’hui

    Vous êtes dans ce point intermédiaire où vous regarder le passé avec satisfaction car vous avez accepté chacun de vos chemins et de vos choix, mais vous dirigez le regard vers le futur et vous vous demandez ce que cet horizon vous apportera.

    • Peu importe ce qui se passe dans ce futur car il n’existe pas encore, et les personnes sages savent très bien que le meilleur moment, c’est maintenant.
    • Votre meilleur âge, c’est aujourd’hui, le moment le plus important de votre vie, c’est celui qui s’ouvre à vous en ce moment.
    • Nous savons que le destin joue avec ses propres dés, mais nous sommes également des artisanes de notre propre réalité.
      Nous prenons des décisions, nous haussons le ton pour dire avec fermeté ce que vous voulons et ce que nous ne voulons pas, ce que nous sommes disposées à conserver et ce contre quoi nous voulons lutter.

    Tout ce qui a été vécu nous a donné de la force, du courage et de la fermeté, et c’est un trésor très précieux : c’est votre héritage personnel, et sans aucun doute, merveilleux.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Il arrivera un jour où vous découvrirez

    que cela valait la peine d’attendre

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si nous pensons parfois que notre train est déjà passé et qu'il n'y a plus de raisons d'attendre quoi que ce soit de bon, il ne faut jamais cesser de lutter pour ce que nous aimons.
     
     
     

    L’attente est un aspect que tout le monde n’arrive pas à gérer efficacement.
     

    Cela est dû au fait que nous passons notre temps à repousser les choses, en attendant que ceci ou cela arrive, alors que pendant ce temps, la vie nous échappe sans que nous nous en rendions compte.

    Même si beaucoup savent que nos rêves se mettent en marche dès lors que l’on arrête d’espérer, parfois, même en luttant chaque jour et en allumant tous les moteurs de nos efforts, ce que nous souhaitons n’arrive pas.

    Ce qui doit être sera, en temps et en heure. Personne ne peut, par exemple, forcer l’amour authentique à apparaître dès qu’il le veut.

    Il n’est pas non plus possible d’obtenir un travail, de rencontrer un ami, ni de vivre la meilleure expérience de notre vie du jour au lendemain.

    Nous devons être architecte de notre réalité, mais également de bons gestionnaires de la patience. Nous vous invitons ici à réfléchir à cela.

     

     

     

    Ne vous fatiguez pas d’attendre : ce qui en vaut la peine demande de la patience

    Une grossesse et ses neuf mois. Une relation qui avance petit à petit, découvrant au final que l’amour surgit. Un gâteau et ses ingrédients, ses doses et son temps de cuisson parfaits.

    Tout demande du temps, des soins, de l’intérêt et avant tout une bonne capacité d’attente.

    Tout faire à la hâte n’est jamais bon. Ce que l’on précipite et que l’on anticipe a toujours une forte probabilité de ne pas bien se passer ou du moins, pas comme nous l’espérions.

    Mais alors… comment être patient si jusqu’à présent on nous a apporté plus de déceptions que de joies ?

    C’est ici que se trouve le principal problème : s’il n’y a pas de confiance ni d’espoir, les attentes ne se vivent pas de la même manière, car la personne ne croit plus qu’il va lui arriver de belles choses.

    Et pourtant, elles finissent par arriver. Pensez-y pendant quelques minutes.

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    Quand de mauvaises choses arrivent aux bonnes personnes

    Comment pouvoir attendre le meilleur quand on a reçu tant de choses désagréables ?

    Parfois, la pénalité arrive aux personnes qui le méritent le moins, aux personnes au cœur noble qui doivent faire face à l’adversité.

    Ce sont ces moments de vie où l’on perd notre confiance et nos espoirs dans le fait que nos rêves puissent se réaliser, ou même que nous puissions trouver notre bonheur.

    Mais, à présent quand vous vous trouvez face à des situations complexes, au lieu de vous demander « pourquoi moi ? », remplacez cette phrase par « que puis-je face à cela ? ».

    • Mon conjoint m’a quitté  ⇒ Que puis-je faire face à cela ? ⇒ Apprendre à vivre, à lutter, à m’efforcer d’être heureux à nouveau.
    • On m’a diagnostiqué une maladie ⇒ Que puis-je faire face à cela ? ⇒ Lutter chaque jour pour moi et pour les miens, car ensuite j’obtiendrai une grande réussite, retrouver la santé.
    • J’ai perdu mon travail ⇒ Que puis-je faire face à cela ? ⇒ Me réinventer, débuter un autre chemin, ne pas me rendre. Tôt ou tard, j’atteindrai ce que j’attends.

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    L’art d’attendre de bonnes choses

    Il y a ceux qui ont arrêté d’attendre de bonnes choses, mais aussi n’importe quel changement.

    Parfois, nous tombons dans un certain immobilisme, dans un certain laxisme où on se laisse porter par ce qui arrive. 

    • Ce n’est pas bon. Qui attend n’est pas immobile, et n’aime pas non plus remplir son esprit de ténèbres, de négatif ou de « cela ne m’arrivera plus jamais », « mon train est déjà passé ».
    • Il faut attendre la vie avec notre plus belle robe, avec envie et en luttant chaque jour.
      Même s’il existe des hasards et que la chance peut nous rendre visite au moment où nous l’attendons le moins, la fameuse « loi d’attraction » n’est pas toujours respectée.
      Ce n’est pas parce que nous le désirons au plus profond que les astres et le destin vont s’unir pour donner forme à nos aspirations.
      Il s’agit de pratiquer l’art sain d’attendre les yeux ouverts, le cœur allumé et les mains occupées à transformer notre réalité.

     

     

    Faites confiance à votre intuition

    Cet aspect est sans aucun doute essentiel. Aussi importante que l’attente, l’intuitionpermet de savoir quelle est l’opportunité qui nous permettra de donner une réponse à nos espoirs.

    • Il est essentiel d’être réceptif pour savoir quand c’est le moment d’y aller, de faire « ce saut » spécial qui permet d’atteindre notre objectif, et notre aspiration unique.
    • Imaginez que vous avez face à vous la personne de votre vie, cette personne dont vous êtes amoureux mais face à qui vous ne risquez rien. Il est possible que vous ayez souffert de nombreux échecs dans votre vie et que toutes ces blessures font que vous ne confiiez pas en votre intuition.

    Tôt ou tard vous le regretterez.

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    La peur est toujours la principale barrière de notre bonheur. C’est pour cela que l’art d’attendre est aussi la capacité à se libérer, petit à petit, de ses propres craintes.

    Cela vaut la peine de sauter le pas après une longue attente.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Trouver quelqu’un avec qui l’ennui est amusant est la clé !

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Dans notre couple, nous devons trouver une complicité et une bonne entente. Un seul regard et nous nous comprenons. Les deux personnes doivent être capables d'apporter de la lumière aux jours sombres de l'autre.
     
     
     

    Qui est obsédé par le fait de trouver le conjoint idéal tombera dans un état de souffrance réellement inutile.

    Pour commencer, il n’existe pas de personnes idéales : il n’y a que des personnes réelles avec lesquelles il est possible de construire notre bonheur.

     

    Puisque nous ne sommes ni parfaits, ni idéaux, la clé des relations durables se trouve dans un aspect aussi simple que merveilleux : profiter ensemble, rire, être complices face à chaque difficulté, et face à chaque défi.

    Le fait de pouvoir être soi-même pendant la relation, de ne pas se sentir jugé, ni manipulé et de réussir à s’amuser pendant les moments d’ennui, est en soi une grande réussite !

    Aujourd’hui, dans cet article, nous allons vous parler de l’importance de cultiver la bonne humeur dans nos relations affectives.

     

     

    Trouver quelqu’un avec qui les jours méritent d’être vécus

    Notre chemin en termes de relations et d’émotions est soumis à de nombreux changements.

    Aimer demande de la sagesse, une dose de hasard magique et une bonne proportion d’amour propre, qui nous indique qui oui et qui non.

    Nous vous proposons de réfléchir à ces dimensions pour mieux comprendre cette magie qui nourrit les relations les plus matures, qui font de la joie leur fil conducteur.

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    Si mon âme est faite de couleurs, l’autre ne peut pas m’amener de noir

    Il y a des personnalités extraverties, nées pour l’enthousiasme, pour partager des moments et donner le meilleur d’elles-même aux autres.

    Cependant, ce qui arrive souvent, c’est qu’elles ne choisissent pas le conjoint « le plus adapté ».

    Il y a des profils qui ne voient pas d’un bon œil que leur conjoint soit aussi ouvert avec les autres et qu’il ou elle brille lors de toute réunion, alors qu’eux-mêmes se sentent « réprimés ».

    • Les personnes méfiantes et avec une faible auto-estime ont tendance à établir des relations de couple un peu compliquées. 
    • Cela est dû au fait qu’elles cherchent avant tout à contrôler l’être aimé. Elles « éteignent », pour ainsi dire, cet enthousiasme vital et cette énergie car elles ont peur qu’à un moment donné, l’autre les abandonne.
    • Quand les relations de couple sont confrontées à différents niveaux de personnalités, apparaissent alors les problèmes.
    • Parfois, l’amour n’est pas suffisant, et il l’est encore moins quand le manque de confiance brille : “tu montres toujours plus d’intérêt pour les autres”, “tu es toujours plus heureux et on dirait que tu ne t’occupes plus de moi”.

    Nous devons faire attention à ce type de situations. Quand nous percevons que notre caractère change, quand notre âme n’a plus autant de « couleurs », et que nous vivons en nous restreignant par peur que notre conjoint réagisse mal, nous cessons d’être nous-même.

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    Quand nous cessons d’être nous-même, quand nous ne nous reconnaissons plus car nous sommes devenu le simple reflet des joies d’hier, il est grand temps de prendre une décision.

    Être en couple, c’est avant tout construire un bonheur en commun.

    Si ce que l’on construit, ce sont des tristesses et une perte progressive de notre intégrité, nous nous dirigerons petit à petit vers une dépression. Il ne faut pas permettre cela.

     

     

    Qui vous aime bien vous fera rire

    Peu importe qu’il aime la musique moderne et vous la musique classique, qu’il préfère rester à la maison et que vous adoriez faire des choses en plein air.

    • Deux personnes ne doivent pas être similaires pour être en couple. L’important est de partager de mêmes valeurs, et avant tout, de faire des moments ennuyeux de grands moments de complicité, d’amusement, de rires, de plaisir…
    • Souvent, on dit que le meilleur conjoint doit être notre meilleur ami, et notre complice au lit. Les dictons populaires cachent parfois une grande vérité et en voici la preuve.
    • L’intimité, le désir, le respect et l’engagement sont des piliers basiques dans une relation de couple, et chacun d’entre nous doit être empreint d’une dimension exceptionnelle : la joie.

    Concernant l’importance du sens de l’humour dans une relation de couple, il faut aussi éclaircir certains points essentiels :

    • L’humour ne signifie pas s’en servir pour attaquer, à l’aide, par exemple, de l’ironie.
    • Il y a des personnes qui à travers le langage, exercent une maltraitance subtile et destructive avec des ironies, où le sens de l’humour se déguise en agression. Ne permettez jamais aux blagues de vous ridiculiser, ni de vous blesser.

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    Un couple heureux rit ensemble, et le sens de l’humour est constructif voire même thérapeutique.

    C’est pour cela que nous devons toujours considérer la joie comme le meilleur ingrédient des relations de couple heureuses, celles dans lesquelles nous sommes capables, même dans les moments difficiles, de rechercher des sourires pour trouver une solution.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Un homme riche a emmené son fils voir ce que c’était qu’être pauvre, voici ce qui s’est passé

     

     

     

     

     

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    Un jour, un père très riche a emmené son fils en voyage dans le seul but de lui montrer ce que c’était que d’être pauvre. Ils ont passé quelques jours à la ferme d’une famille qui serait considérée comme très pauvre.

    Après leur retour de voyage, le père à demandé à son fils s’il avait aimé son voyage. « C’était extraordinaire, Papa », répondit le fils. « Tu as vu  à quoi ça ressemble d’être pauvre ? », demanda le père. « Oh oui », a déclaré le fils.

     

    « Alors, qu’as-tu appris de ce voyage ? » demanda le père. Le fils a répondu, « j’ai vu que nous avons un chien, et ils en avaient quatre. Nous avons une piscine qui va jusqu’au milieu de notre jardin, et ils avaient un cours d’eau qui n’a pas de fin. Nous avons des lanternes importées dans notre jardin et ils ont les étoiles la nuit. Notre terrasse va jusqu’au jardin de devant et ils ont tout l’horizon.

    b200x133Nous avons un petit bout de terrain pour y vivre et ils ont des champs à perte de vue. Nous avons des serviteurs qui nous servent, et eux servent les autres.

     

    Nous achetons notre nourriture, mais ils font pousser la leur. Nous avons des murs autour de notre propriété pour nous protéger. Ils ont des amis pour les protéger ». Le père du garçon était sans voix. Puis, son fils ajouta, « ça m’a montré à quel point nous sommes pauvres ».

    Trop souvent, nous oublions ce que nous avons et nous concentrons sur ce que nous n’avons pas.  Ce qui est un objet sans valeur pour une personne est une richesse inestimable pour une autre.  C’est entièrement basé sur le point de vue d’où on se place.

     

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    Je suis reconnaissant pour ce que j’ai, et pas jaloux pour ce que je n’ai pas. Plus je comprends de choses sur l’endroit où je suis, et plus je comprends ce que je veux pour ma famille et mes enfants, plus je suis capable de prendre les bonnes décisions en tant que mari et parent. Quand je prends conscience de la façon dont mes décisions affectent les autres, je suis mieux en mesure de choisir celles qui ne sont pas seulement bonnes pour moi et ma famille, mais également pour ma communauté, ma région, mon pays et même notre planète. Parfois, c’est le regard d’un enfant qui nous rappelle ce qui est important.

     

    Considérez ces comparaisons de style de vie :

    albany_vs_atlanta

    1050 $ par mois à Albany GA pour 185 m2 | 3747 $ par mois, 2 chambres, à Atlanta

    miami_vs_ocala

    4000 $ par mois à Miami FL | 650 $ par mois à Ocala FL

    New_York_vs_Catskils

    7000 $ par mois, 2 chambres, à New York | 1350 $ par mois pour une ferme de 223 m2 sur plus de 3 ha dans les Catskills à New York

    tulsa_vs_okmulgee2350 $ par mois dans le centre ville de Tulsa Oklahoma | 850 $ par mois sur 31 ha à Okmulgee dans l’Oklahoma

     

    Habituellement, les décisions que nous prenons concernant les endroits où vivre et travailler reposent sur de nombreux facteurs. Ceux-ci incluent souvent des membres de la famille, les amis, le travail, l’église, la continuité des écoles pour les enfants, les sports, etc. Différents âges et étapes de la vie conduisent à différents types de décisions. Celui qui est fraîchement sorti de l’école ne voit pas du tout de la même manière que la famille qui attend la venue de son troisième bébé. Le couple dont le dernier enfant vient de se marier et quitte le nid se retrouve tout-à-coup avec le choix de réduire la taille de l’habitation, conserver la maison de famille ou quelle autre décision prendre maintenant.

    Lorsque le budget est confortable, vous pouvez gagner du temps en employant des personnes et en payant le prix fort pour les choses. Quand vous avez du temps libre, il est généralement préférable de faire les choses soi-même et d’économiser.

     

    Dans les commentaires ci-dessous, partagez votre histoire de moments difficiles et comment vous vous en êtes sorti… ou bien comment vous y êtes encore. Les conseils et astuces de ceux qui l’ont vécu nous aident souvent à surmonter ces périodes.

     

     

     

    Sources : Offgridquest.com

              sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Aimez-vous comme vous le méritez

    et vous serez aimé comme vous le souhaitez

     
     
     
     
     
     
     
     
    Si vous ne vous respectez pas, ne demandez pas aux autres de le faire. Aimez-vous pour que les autres vous aiment comme vous le désirez. Car vous méritez d'arrêter de souffrir et d'être heureux, enfin.
     
     
     

    Qui commet l’erreur de mesurer ce qu’il mérite en fonction de l’amour qu’il reçoit des autres, souffre de nombreuses désillusions.

     

    Cela implique que, si tout au long de sa vie, il a reçu une fausse affection ou une tendresse habitée par la douleur et la manipulation, il finira par croire qu’il ne mérite pas d’être aimé.

    Ce sont des situations très complexes et destructives auxquelles personnes n’est préparé.

    De fait, il est curieux de voir comment, à l’école, on apprend aux enfants à situer les principales capitales du monde alors que personne ne leur donne de stratégies pour apprendre à s’aimer eux-mêmes.

    Nous vous invitons ici à réfléchir à cela et à mettre en pratique l’exercice suivant : s’aimer soi-même et apprendre les mêmes stratégies aux plus petits.

     

     

    Aimez-vous comme vous le méritez, car personne ne mérite plus de reconnaissance que celle que vous vous offrez à vous-même

    La société a tendance à nous inculquer une valeur à double tranchant. Penser à soi, et aimer cette personne que l’on voit tous les matins dans le miroir serait un acte d’égoïsme.

    On nous apprend à remercier, à laisser sortir avant d’entrer, à aider son prochain, à tout donner pour ceux que nous aimons…

    Même si ce sont bien des actes de noblesse qu’il ne faut jamais cesser de pratiquer,nous devrions également apprendre ce qu’est l’intégrité, l’amour propre et ce que l’on appelle « auto-estime ».

     

    Ne vous mesurez pas en fonction de ce que vous recevez

    Imaginons un enfant qui souffre de harcèlement à l’école. Imaginons cet enfant seul à la maison, qui ne reçoit pas d’affection adaptée, de soutien ni de reconnaissance de la part de ses parents.

    Pensons à présent à ce même enfant devenu adulte et à tous ses efforts pour avoir des relations affectives heureuses, matures et enrichissantes.

    S’il n’y arrive pas, il finira sûrement par penser qu’il ne mérite par d’être aimé.

    iIlustration-femme-1-500x361

    Même si cela semble dur, ce portrait est quelque chose dont souffrent de nombreuses personnes.

    S’il est évident que le fait d’avoir vécu une enfance traumatisante n’implique pas à 100% que nous allons construire des relations affectives malheureuses, c’est un facteur important.

    • Nous ne devons pas mesurer ce que nous méritons en fonction de ce que nous recevons.
    • Aimez-vous chaque jour comme vous le méritez, sans attendre que les autres vous donnent ce que vous attendez. 
    • N’attendez pas les approbations des autres à chaque acte ou pensée. Vous êtes votre propre juge, la personne qui vous apporte du souffle, du soutien et de l’entrain dès que vous décidez d’entreprendre quelque chose.
    • Si votre enfance et votre adolescence n’ont pas été heureuses, essayez de marquer un avant et un après. Vous savez ce qu’est grandir sans attachement sain, sûr et affectueux.
    • Guérissez à présent cette carence en vous aimant, en vous cajolant, en vous protégeant de ce qui peut vous faire du mal mais en empruntant toujours le chemin de vos rêves.

     

    Vous méritez bien plus que ce que certains vous offrent

    Parfois, nous nous rendons, tout simplement. Même si cette relation ne nous rend pas vraiment heureux, nous nous disons que “On ne va rien trouver de mieux et que c’est mieux que d’être seul”.

    • Que nous le voulions ou pas, l’immobilisme émotionnel nous affère à cette souffrance implicite et subtile qui mine notre auto-estime. 

    Nous nous habituons aux vides, aux reproches, aux mépris et même au malheur. C’est quelque chose de très dangereux, puisque lorsque la défaite s’immisce dans notre vie, nous perdons tout.

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    • Vous méritez beaucoup plus que ce que certaines personnes vous offrent. Que vous le croyez ou non, il y a qui ne sait pas aimer, qui ne comprend pas bien ce que sont la réciprocité et les piliers de l’amour sincère.
    • Vous ne devez pas tomber dans ce type de relations. L’amour vaut la joie, jamais la peine. Soyez assez courageux pour laisser de côté ce lien de douleur et récupérer votre intégrité.
    • L’intégrité, c’est trouver une correspondance entre ce que nous méritons, ce que nous ressentons et ce que nous faisons dans notre vie quotidienne. C’est un équilibre entre l’esprit, le cœur et l’action.
    • Aimez-vous comme vous le méritez et même si vous devez passer par la solitude pendant un moment, ce sera toujours mieux que de cohabiter avec une fausse compagnie qui entrave notre personne et notre être.

     

     

    Vous êtes quelqu’un de beau qui mérite le meilleur de cette vie. Luttez pour cela, luttez pour vous-même et pour ceux que vous aimez.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Journée de la famille :

    le meilleur cadeau que peut nous donner la vie

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si nous avons tendance à penser que la famille est le seul lien sanguin que nous ayons, nous devrions élargir ce cercle et y inclure nos meilleurs amis.
     
     
     

    Le 15 mai, on célèbre la journée de la famille, comme en ont décidé les Nations Unies.

     

    Chaque année, on concentre cette fête sur un thème concret qui est lié à cette relation magique entre membres d’une même famille, unis ou pas par le sang.

    Cette année, le thème sur lequel les gens ont réfléchi est « le besoin de construire une vie saine et un futur durable ».

    Finalement, la famille est ce premier cercle social et personnel où nous éduquons nos enfants, où nous transmettons nos valeurs, nos comportements et les modèles à imiter.

    Construire un style de vie qui nous permette de construire un avenir plus durable et écologique est, sans aucun doute, une obligation vis à vis des générations futures et pour le bien de la planète.

    Aujourd’hui, dans cet article, nous vous invitons à célébrer cette journée si spéciale de la famille.

     

     

    Journée de la famille : un lien qui naît du cœur et qui nous unit au monde

    L’important pour une famille, ce n’est pas de vivre ensemble ou d’être d’accord sur tout.

    L’essentiel, c’est d’être unis malgré la distance, c’est savoir se respecter, c’est se valoriser les uns les autres pour ce que l’on est et ce qui nous définit. 

    Être de la même famille signifie « savoir construire de liens » et comme nous le savons, ce n’est pas toujours facile.

    Mais il faut être conscient que ce 15 mai est perçu par beaucoup de gens avec scepticisme.

    En effet, nombreuses sont les personnes qui ont souffert de désillusions qui leur ont fait arrêter de croire en cette entité primaire de la société et de l’être humain.

    Nous vous proposons de réfléchir aux idées suivantes.

     

    La famille n’est pas seulement une question de sang, mais est aussi un acte de loyauté

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    Il est possible que vous ne vous entendiez pas très bien avec certains membres de votre famille, mais cela ne veut pas dire que vous devez arrêter de faire confiance au mot famille.

    • La famille est un réseau de divers individus unis par la tendresse, l’amour et le respect. Nul besoin qu’il existe un composant génétique. La famille, c’est aussi les personnes que vous choisissez vous. 
    • Les parents nous sont donnés par un arbre généalogique, mais ce sont les relations que nous établissons avec eux qui érigent ou pas cette affection authentique et cet enrichissement émotionnel que nous apporte le bonheur.
    • Parfois, une grand-mère devient une véritable « mère » et parfois, une mère peut aussi remplir le rôle du père, des grands-parents, des oncles et tantes, des cousins…

    Chaque circonstance est unique et exceptionnel, et c’est toujours notre cœur qui nous dicte qui est notre authentique famille. On peut donc y mettre nos amis également.

     

    Grandes familles, petites familles

    • Les familles ont beaucoup de formes, de couleurs, de noms et de dynamiques internes que seuls leurs membres connaissent.

    Il y a les grandes familles, avec de nombreux frères et sœurs, cousins, oncles et tantes, et petits-enfants.

    Tous en bons termes, tous profitant des réunions, des soutiens où la distance n’existe pas et où le réconfort et l’aide priment sur le reste.

    • Il y a des familles monoparentales, où un seul progéniteur porte ses enfants avec courage et de nombreux efforts, donnant tout pour ses enfants et s’alimentant de ses sourires matinaux, de ses conversations, des complicités et des rêves partagés.

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    Familles, trésors que nous ne devons pas négliger

    Il est important de savoir que les familles sont de grandes entités formées par de petites îles.

    De même, nous formons nos propres familles avec notre conjoint, ces amis qui se transforment aussi en frères et sœurs, et peut-être ces enfants qui arrivent avec le temps.

    • Les familles sont des trésors dont il faut prendre soin, d’où qu’elles viennent.

    Parfois, quand nous sommes immergés dans nos projets personnels avec nos conjoint, enfants et travail, nous avons tendance à négliger nos parents, nos oncles et tantes, que nous aimons tant et que nous ne voyons pas autant que nous devrions.

    • Nous les portons dans notre cœur, sans aucun doute, mais toute affection nécessite un lien continu de mots, d’affections, de petits détails et de joies à offrir. 
    • Ne les négligez pas. Rendez-leur visite, faites des réunions de famille, favorisez l’union des vôtres avec votre famille et également avec les parents de votre conjoint, voire même de vos amis.

    Voici des expériences positives qui nous aident tous à nous socialiser, à construire de nouvelles relations qui édifient ce que nous appelons réserve cognitive.

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    Il est nécessaire d’écouter, de profiter des nôtres, d’être présent, d’encourager des joies avant les disputes, d’être patient, de pardonner, de rassembler ses efforts, et comme nous le suggèrent les Nations Unies, de construire des habitudes saines et d’œuvrer pour un futur durable.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Je suis cette femme qui n’a rien besoin de démontrer

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il arrive un moment où nous n'avons plus rien à démontrer. Ceux qui nous aiment acceptent nos qualités et nos défauts, et ne mettent plus de bâtons dans les roues de notre bonheur.
     
     
     

    Nous sommes sûrs que vous aussi êtes cette femme courageuse, énergique, tranquille, qui n’a plus besoin de rien démontrer à personne, car elle sait qui elle est.

     

    Car elle sait exactement ce qu’elle vaut.

    Comme on le dit dit, les personnes nobles arrivent dans ce monde pour « être » et pour « laisser être ». Elles le font sans se perdre elles-mêmes dans les autres, et en les laissant être libres de leurs chemins, de leurs essences et de leurs libertés.

    Arriver à être ce que l’on ressent véritablement, sans pressions extérieures, sans peur des critiques et sans crainte de se retrouver seule car l’on suit ses désirs, est quelque chose de difficile à atteindre.

    Aujourd’hui, dans cet article, nous vous invitons à réfléchir à cela et, si vous ne l’avez pas encore fait, à vous rapprocher de cette liberté personnelle. 

    C’est un pas en avant qui mérite d’être fait, qui vous offrira des ailes et de merveilleux bonheurs.

     

     

    Je sais qui je suis, je sais ce que je veux. Je n’ai rien besoin de démontrer

    Combien de fois avez-vous pleuré en silence à cause de vos renoncements, de vos déceptions vécues aux côtés de personnes qui vous faisaient du mal et qui vous disaient qu’elles vous aimaient, que vous étiez tout pour elles ?

    • La famille ou nos conjoints ne peuvent pas nous faire du mal au point de nous embarquer dans des situations extrêmes qui nous mettent le couteau sous la gorge.

    Les chantages émotionnels, les reproches ou l’obligation de leur plaire nous éloigne de notre propre être. Cela brise notre auto-estime.

    • Quand notre auto-estime s’effiloche, nous perdons tout. C’est comme perdre l’horizon, comme cesser de voir la lumière du jour qui nous permet de nous reconnaître nous-même, qui nous permet de nous rappeler ce qui nous plaît, quelles sont nos valeurs.

    Au moment où nous nous disons « ça suffit » à nous-même, surgit alors cette tranquillité d’esprit qui nous permet de nous recentrer. De retrouver l’équilibre.

    • L’équilibre personnel se trouve dans le fait de laisser de côté le besoin constant de démontrer des choses.

    D’offrir de l’amour sans rien recevoir, d’esquisser un sourire quand nous ressentons de la douleur, de feindre que nous sommes comme les autres veulent que nous soyons alors qu’en réalité, nous sommes tout l’inverse.

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    Aime-moi pour ce que je suis, c’est la seule chose que je te demande

    En effet, si nous pouvions définir l’amour d’une certaine manière, ce serait ainsi : c’est la recherche d’une connexion émotionnelle avec l’autre personne sans pour autant arrêter d’être soi-même.

    C’est construire une relation qui nous offre de la sécurité, du bonheur et de l’épanouissement personnel.

    • L’amour ne doit jamais nous obliger à démontrer quelque chose que nous ne sommes pas. Si on vous sollicite, que l’on vous demande chaque désir, que vous vous ajustiez à ce modèle de « femme » que l’autre a dans la tête, alors la relation n’est ni sincère ni saine.
    • Le compagnon authentique et mature nous aime pour ce que nous sommes et renforce nos valeurs, nos rêves et nos pensées. Il n’y a pas de violation, mais un espace commun de respect et d’épanouissement.

    Si on ne vous aime comme vous êtes, pour vos opinions, pour vos qualités et pour vos défauts, alors vous devrez prendre une décision radicale.

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    Je suis la maîtresse de mes journées et de mes désirs

    Il est possible que, pendant longtemps, vous ayez vécu au service des désirs, des caprices et des volontés des autres, ce qui vous a complètement éloignée de votre essence.

    Même s’il est clair qu’aucun d’entre nous ne peut être vraiment libre, nous avons tous le droit de profiter d’une paix intérieure.

    • Il arrive toujours un moment dans notre vie où nous prenons enfin conscience de ce qui est important.

    Nous sommes fatiguées de nous ajuster continuellement, de dire oui quand nous voulons dire non, de rallonger un peu plus les choses pour voir si elles vont s’améliorer.

    Finalement, il arrive un jour où tout simplement, nous nous fatiguons. C’est alors que le moteur du changement débute et nous nous disons à nous-même : « Assez de montrer quelque chose que je ne suis pas ».

    • Je ne vais plus faire preuve de complaisance quand quelqu’un fait quelque chose qui ne me plaît pas. Je ne vais plus me taire quand quelqu’un me met en colère ou me fait du mal.
    • Je ne vais plus feindre pour faire croire que tout le monde me plaît seulement pour faire comme tout le monde.
    • Je ne vais plus essayer d’être la femme parfaite, l’épouse parfaite ou la mère parfaite. J’ai le droit de dire « Aujourd’hui, je n’en peux plus », « Aujourd’hui, je vais prendre une journée pour moi-même », « Aujourd’hui, j’ai besoin que tu me soutiennes comme je l’ai toujours fait avec toi ».
    • Je ne vais plus faire semblant d’être joyeuse alors ce que je ressens, c’est de la tristesse.

    J’ai le droit de guérir, de prendre mes démons dans mes bras pour les comprendre, et d’en sortir renforcée. J’ai le droit de changer de peau quand je pense que c’est nécessaire pour mon bien-être. 

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    Vous êtes dans l’obligation de vous guérir en tant que femme pour être vous-même, sans attaches, sans l’obligation ni le devoir de rendre heureux tous les autres alors que vous ne l’êtes pas vous-même.

    Vous pouvez et vous devez dire stop. Vous méritez vos espaces personnels et cette liberté grâce à laquelle vous atteignez vos propres rêves.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Nos grands frères et sœurs : amis et deuxièmes parents

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si parfois, nous pouvons avoir certaines différences, les grands frères et sœurs sont caractérisés par leur attention inconditionnelle envers les plus petits et sont un exemple pour eux dans chaque aspect de leur vie.
     
     
     

    Les grands frères et sœurs n’ont pas demandé d’être les aînés. Un beau jour, leur vie a changé avec l’arrivée de ce petit frère ou cette petite sœur, un peu gâté et pleurnicheur à qui les parents offrent souvent toute l’attention.

     

    Cela demande un certain temps avant d’accepter que l’on n’est plus l’enfant unique de la maison, le petite prince à qui tous les jouets et les caresses sont destinés.

    Il faut apprendre à partager l’affection, à faire attention aux vêtements et aux livres car ils seront ensuite récupérés par les petits frères et sœurs.

    Presque sans savoir comment, à ces années de petites jalousies et de dures concessions, succède quelque chose d’étrange qu’il est difficile de définir.

    Au fur et à mesure que l’on grandit, on a un rôle, un droit et une obligation : écouter et prendre soin de ses amis uniques, ses petits frères et sœurs qui occupent une grande place dans le cœur.

    Nous vous invitons à réfléchir à cela.

     

     

    Les grands frères et sœurs, des compagnons de voyage vitaux

    Même si tout le monde n’a pas une bonne relation avec ses frères et sœurs, pour la plupart des gens, ils représentent un soutien psychologique et émotionnel indispensable.

    Nous partageons avec eux la même origine et la même histoire qui parfois, n’a pas toujours été simple.

    Ils nous donnent des racines, nous unissent à ces journées décisives de l’enfance et de la première jeunesse, et ce sont aussi eux qui nous soutiennent lorsque l’on mûrit.

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    Un grand frère ou une grande sœur est comme un second père ou une seconde mère

    Le grand frère ou la grande sœur est dans l’obligation de repenser de nombreux aspects de sa vie lorsque débarquent de nouveaux invités qui revendiquent une place.

    Pour beaucoup d’enfants, c’est sans aucun doute quelque chose de complexe que les parents doivent apprendre à gérer, sachant couvrir les besoins affectifs de tous leurs enfants de façon égalitaire.

    • C’est uniquement quand tous les enfants sont aimés de la même manière par leurs parents que les peurs et les doutes sont apaisés pour donner lieu à une dimension plus enrichissante et puissante : les grands frères et sœurs deviennent des protecteurs pour les plus petits.
    • Ce sont eux, en plus, qui vont vivre les premières expériences auxquelles les plus petits devront faire face plus tard.
    • Le grand frère ou la grande sœur donneront des conseils, ceux que les adolescents n’osent pas demander à leurs parents.

    Ce sont eux qui ressentent ce dont ils ont besoin et quelle est la manière de faire certaines choses en leur indiquant comment ne pas faire les mêmes erreurs qu’eux.

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    Un soutien qui est très présent notamment quand la relation que l’on a avec ses parents est un peu complexe ou pas suffisamment satisfaisante. Dans ces cas-là, le lien entre frères et sœurs est bien plus intense.

    Ce petit cercle vital entre petits et grands frères et sœurs se dresse comme un mur pour se protéger, où l’on trouve du soutien et des stratégies émotionnelles pour faire face aux difficultés.

    Ce sont des faits qui, s’ils sont vécus dès la plus tendre enfance, ne s’oublient jamais à l’âge adulte.

     

    Malgré tout, leur amour est inconditionnel

    Peut-être qu’il ou elle ne le dit pas très souvent. De fait, il est très possible que cet aîné(e) n’extériorise pas tellement son amour ou ne montre pas ce que représentent ses cadets dans sa vie.

    • Mais il est possible de le ressentir dans la préoccupation pour les siens, dans ses appels, dans ses instants partagés, où l’on retombe en enfance.
    • On le remarque également dans le simple fait de voir comment il fait passer les siens avant lui, révélant à nouveau son instinct protecteur.

    Les grands frères et sœurs sont un pilier dans la vie et on se demande souvent comment serait notre quotidien sans ce lien exceptionnel et merveilleux.

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    • Il est curieux que l’on dise, souvent, que les frères et sœurs sont les « ennemis que nous aimons le plus », en essayant de soulager une fois de plus ces années d’enfance complexes où les espiègleries, les cris et les jalousies nous ont marqué plus que jamais.
    • Cependant, tous ces fragments de vie nous servent, de plus, à mieux éduquer nos enfants aujourd’hui.
    • Nous comprenons que les jalousies et les disputes sont normales, mais nous essayons aussi des les considérer toutes égales, sans discriminer en fonction du genre, tout en évitant de surcharger de responsabilités les grands seulement parce qu’ils ont quelque années de plus.

    Une enfance habitée par l’amour, l’affection et le respect est vitale pour que tout enfant grandisse de manière mature, sûre et libre.

     

    Si en plus, les enfants ont la chance d’avoir un grand frère ou une grande sœur à leurs côtés, ils découvrirons ces « meilleurs amis » qu’ils n’ont pas choisis, des figures modèles qui enrichissent beaucoup leurs vies et sur qui ils peuvent compter chaque jour.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Nous attendons trop des gens qui ne nous donnent rien

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    A certaines occasions, nous faisons tellement de choses pour les autres que nous finissons par nous négliger nous-mêmes, car nous attendons que les autres agissent de la même manière que nous.
     
     
     

    Nous passons une grande partie de notre temps à attendre quelque chose.

    Nous attendons que nos rêves se réalisent, que les autres réagissent comme nous réagissons et que ceux qui nous aiment nous offrent les mêmes sentiments en retour.
     

    Le monde est pourtant souvent dissonant et rien de tout cela n’arrive : notre univers et nos espoirs finissent par s’effondrer.

    Cependant, vous ne devez pas vous sentir frustré par cela. Nous avons besoin de considérer certaines choses comme acquises pour ressentir une certaine sécurité.

    Comme tout enfant est certain que ses parents l’aiment, tout adulte doit s’efforcer de croire que les personnes qui l’entourent vont faire exactement la même chose que ce qu’il fait pour elles.

    La balance de nos relations affectives doit fonctionner de cette manière, même si parfois, le vide et la tristesse font leur apparition.

    Si nous attendons trop des autres, nous finissons souvent par ne rien recevoir.

    Nous vous invitons à réfléchir sur ce sujet.

     

     

     

    Lorsque nous attendons beaucoup et que nous ne recevons rien

    Certaines personnes ont l’idée suivante chevillée au corps : le bonheur est de donner, pas de recevoir.

    Notre éducation nous fait parfois oublier une valeur importante pour survivre dans le monde dans lequel nous vivons : l’estime de soi.

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    Recevoir est aussi un droit

    Il est nécessaire que nous abandonnions rapidement les concepts qui polluent notre esprit et qui perturbent notre équilibre émotionnel.

    Apporter du bonheur aux autres est un acte noble qui nous enrichit. Mais nous pouvons voir cela comme une double obligation : donner est une bonne chose, mais recevoir est également une obligation.

    • Nous ne parlons évidemment pas de biens matériels, ni de faveurs. Lorsque nous faisons quelque chose pour quelqu’un, nous ne devons pas attendre qu’il nous rende obligatoirement quelque chose. Donner est un acte spontané qui vient du cœur et qui ne doit rien attendre en retour.
    • Mais nous avons tous le droit de recevoir quelque chose. Si vous donnez de l’amour à quelqu’un, cette personne ne doit pas vous rendre de la froideur ou de l’égoïsme. La réciprocité est un aspect essentiel de notre vie affective.
    • Dans nos relations de couple, donner et recevoir sont à la fois des droits et des obligations. C’est une énergie qui circule entre deux personnes qui se nourrissent mutuellement d’amour pour grandir ensemble, et pour allumer tous les jours la flamme qui brûle dans leur cœur, dans le respect et la réciprocité.

     

     

    Nous attendons trop des autres car nous sommes prêts à donner beaucoup plus

    Il est possible que vous ayez déjà rencontré des gens qui vous ont dit : « Tu attends trop des autres » ou « Tu es trop sensible et la moindre chose te touche« .

    • Ce sont des phrases qui révèlent un manque d’empathie évidemment face à un cœur qui est prêt à tout donner pour les autres et qui souffre de ne pas être reconnu à sa juste valeur.
    • Vous pourriez vous dire à vous-même : « Je dois apprendre à moins aimer« .Mais, en réalité, ce que vous devriez vous dire ressemblerait plus à : « Je dois apprendre à m’aimer davantage« .

    Aimer c’est renoncer à une partie de nous-mêmes pour abriter une autre personne, pour prendre soin d’elle, pour la placer au centre de notre univers personnel et construire tout un monde autour d’elle.

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    Nous ne devons cependant pas tomber dans des extrêmes qui nous amènent à nous oublier nous-mêmes.

    Vous pouvez attendre beaucoup de choses des autres, mais n’oubliez jamais d’en attendre également beaucoup de vous-même.

    • N’oubliez jamais de vous chérir chaque jour, de ne pas trop prioriser les besoins des autres au détriment des vôtres. Ne vous négligez pas.
    • Soyez tendre avec les autres, préoccupez-vous de ceux que vous aimez, soyez attentifs à leurs besoins, mais attendez également que les autres fassent toutes ces choses pour vous.

     

    Comment réagir lorsque les autres ne nous donnent pas ce que nous attendons

    Seul votre cœur peut vous dire jusqu’où vous êtes capable d’aller pour les autres.

    Si vous vous levez chaque jour avec plus de préoccupations que d’illusions, si vous avez sans cesse envie de pleurer et que vous êtes frustré en permanence, il est temps de prendre le taureau par les cornes.

    • Celui qui ne reçoit rien finira par se sentir vide. Il peut même en arriver à penser qu’il ne mérite pas de recevoir de l’affection, de l’attention et de la considération.
    • N’en arrivez jamais là. Ne laissez jamais le vide et l’absence affective des autres vous amener à penser que vous ne méritez pas d’être aimé.
    • L’amour que vous ne devez jamais négliger est votre amour propre. C’est lui qui vous donnera les forces nécessaires pour déployer vos ailes et pour voler vers votre équilibre personnel.

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    Les psychologues émotionnels nous disent que nous ne devons rien attendre de personne et que nous devons tout puiser à l’intérieur de nous-même. C’est une idée intéressante, mais qu’il faut nuancer.

    • Nous avons tous besoin d’attendre certaines choses des personnes qui forment notre premier cercle affectif et personnel.
      Nous avons besoin d’avoir l’assurance que nous sommes aimés, car personne ne peut vivre avec une telle incertitude.

     

    Nous méritons tous le respect, que ce soit de la part des autres ou de nous-mêmes. Ne cessez jamais de lutter pour l’obtenir.

    L’amour se compose de réciprocité, de soutien et de sincérité.

    Si nous n’avons rien de tout cela, les relations que nous avons ne sont ni authentiques, ni saines.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Avant de tomber amoureux de toi,

    je dois tomber amoureux de moi-même

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Pour pouvoir être heureux et donner le meilleur de soi aux autres, avant de tomber amoureux de quelqu'un d'autre, il faut tomber amoureux de soi-même et être la personne la plus importante de sa propre vie.
     
     
     

    On m’a appris que je devais aimer mais on ne m’a pas appris que je devais tomber amoureux de moi-même en premier lieu. 
     

    On m’a dit que chacun d’entre nous avait une moitié qu’il devait trouver pour être heureux, mais on ne m’a pas prévenu que je devais tomber amoureux de moi-même avant de tomber amoureux des autres.

    On nous a inculqué la fausse croyance selon laquelle tomber amoureux doit être avant tout d’une autre personne.

    Alors… voici une question à laquelle vous avez sûrement pensé : Comment puis-je tomber amoureux de toi, si je ne suis pas tout d’abord tombé amoureux de moi-même ?

     

     

    Je ne peux pas vivre sans toi

    Vous ne pouvez pas vivre sans cette personne dont vous êtes tellement amoureux ? Vous croyez que si elle disparaît de votre vie, votre monde s’écroulerait ?

    Il y a quelque chose dont vous ne vous rendez pas compte : la seule personne sans laquelle vous ne pouvez pas vivre, c’est vous-même. 

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    Nous avons tendance à souffrir d’un manque d’auto-estime qui fait que nous nous réfugions dans l’amour que peut nous apporter l’autre personne.

    Au lieu d’être positif, cela peut dériver en des problèmes liés à la dépendance émotionnelle.

    C’est magnifique d’aimer quelqu’un au point que votre vie n’a plus de sens si cette personne n’est plus.

    Mais, vous savez bien que la première personne que vous devez aimer, c’est bien vous-même. 

    Si vous ne pouvez pas vous aimer, si vous n’avez pas confiance en vous, comment pourrez-vous avoir confiance en les autres ?

    Nous savons que vous vous sentirez seul parfois, car vous vous éloignez de tout ce que l’on vous a enseigné et vous êtes en train d’apprendre à aimer véritablement.

    Vous commencez à vivre pour vous et ensuite en aimant les autres. Que ce soit bien clair : la seule personne sans laquelle vous ne pouvez vivre, c’est vous-même.

     

     

    Tomber amoureux de soi-même est la première étape

    Peut-être que vous pensez à la manière dont vous pourriez tomber amoureux de vous-même.

    Personne ne vous a appris comme faire et sincèrement, c’est quelque chose d’assez difficile, même si ce n’est pas impossible.

    Espérons que nos conseils vous aideront à vous aimer plus. Ici, c’est vous-même le plus important.

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    Je n’ai pas peur de la solitude

    Nous avons une peur infondée face à la solitude car on nous a appris qu’elle est synonyme de malheur. Pourtant, si vous ne pouvez pas être heureux seul, vous avez un problème.

    Vous ne pouvez vraiment pas être heureux, ou c’est que l’on vous a fait croire ?

    Profitez de votre solitude pour vous consacrer intégralement à vous-même.

    Vous pouvez apprendre beaucoup de vous : vous augmenterez votre auto-estime, vous aurez confiance en vous, vous vous aimerez inconditionnellement…

    Ne gaspillez pas la solitude car vous y trouverez, comme vous le trouvez, un amour pour vous qui vous permettra d’aimer ensuite une autre personne.

     

    Dépassez les apparences

    Vous aimer vous-même implique d’ignorer les apparences. Quelque chose d’aussi superficiel que la préoccupation de sa propre image extérieure peut donner lieu à des problèmes d’insécurité.

    Si vous savez qui vous êtes et que vous vous aimez, ce que disent les autres ne vous importera pas.

     

     

    Prenez soin de vos amis

    Parfois, quand nous sommes en couple, nous laissons nos amis de côté, alors que nous ne devrions jamais le faire.

    Les conjoints peuvent aller et venir, mais les amis, si vous en prenez soin, seront là pour toujours.

    Ne remplacez jamais une amitié par un amour. Cela n’en vaut pas la peine.

    Quand vous réussirez à vous aimer et à vous valoriser, vous vous rendrez compte que vous pouvez être heureux sans personne à vos côtés, vous verrez que la vie ne commence ni ne finit dans votre couple.

    Vos amis sont présents, ce sont des personnes qui ne vous trahiront jamais, et en qui vous pouvez avoir confiance.

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    Ne donnez pas tout pour les autres

    Donnez-vous tout, mais ne donnez pas tout aux autres. Vous êtes la personne la plus importante, celle qui doit avancer et atteindre ses buts, celle qui doit se respecter, avoir confiance, s’aimer et se valoriser.

     

     

    Ne donnez jamais tout pour les autres car vous souffrirez.

    Face à tout cela, peut-être que vous pensez que vous êtes une personne égoïste. Peut-être que vous ne vous rendez pas compte à quel point vous avez été généreux jusqu’à présent.

    Ce que vous auriez dû faire envers vous-même depuis un certain temps déjà.

    Répétez-vous autant que possible : « avant de tomber amoureux de toi, je tomberai amoureux de moi ».

    Il n’y a que comme cela que vous pourrez aimer d’autres personnes, et que vous pourrez être heureux.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 4 merveilleuses choses que vous apprennent vos petits-enfants

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les petits-enfants nous donnent la possibilité de réparer les erreurs que nous avons commises avec nos enfants, mais sans la responsabilité du tuteur principal.
     
     
     

    Vos petits-enfants vous apprennent beaucoup de choses chaque jour. De fait, ils vous font même découvrir des aspects de vous-même que vous ne connaissiez pas.
     

    S’il est évident qu’être parent est quelque chose qui change la vie, le cadeau de devenir grand-parent nous apporte un autre type de bonheur merveilleux.

    Il y a des grands-parents très jeunes, et d’autres qui voient arriver des petits-enfants alors qu’ils n’y croyaient plus, car leurs enfants ont attendu le moment le plus opportun.

    Chaque situation est unique, mais la plupart le vit comme une étape exceptionnelle pleine de nouveaux défis qui fait grandir et même se voir dans des situations inattendues.

    C’est pour cela que cela vaut la peine de s’arrêter quelques instants sur ce cycle de vie, pour analyser tout ce qu’ils peuvent nous apporter.

     

     

    Vos petits-enfants : les petits agents émotionnels qui apportent de la lumière à votre vie

    Nous savons que le rôle éducatif est entre les mains des progéniteurs. Ce sont le noyau primaire et responsable de chaque étape du nouveau-né dans sa vie.

    D’autre part, les grands-parents sont le deuxième cercle qui entoure l’enfant dans son contexte intime et social le plus proche. Le contact qu’ils peuvent avoir avec les enfants dépendra aussi de la qualité du lien qu’ils ont avec leurs enfants.

    Nous savons tous que les relations avec nos parents ne sont pas toujours bonnes.

    Cependant, la grande majorité de la population conserve un lien positif et enrichissant avec eux, de manière à ce qu’ils voient chez les grands-parents un soutien indispensable dans l’éducation des plus petits.

    Petits-enfants

    Nous vous expliquons ce que suppose la figure des petits-enfants dans la vie des nouveaux grands-parents.

    1. Ils permettent de reposer certaines des erreurs commises avec ses propres enfants

    Personne ne naît en sachant tout sur l’éducation. De plus, parfois, des situations personnelles font que nous éduquons nos enfants d’une manière qui ne nous plaît pas (à cause des problèmes économiques ou de travail qui nous oblige à passer beaucoup de temps hors de chez nous). 

    • Tout cela fait que les grands-parents, au moment de s’occuper de leurs petits-enfants pensent à ces erreurs qu’ils ont pu commettre dans le passé, ou aux carences qu’ils n’ont pas pu combler.
    • Plus qu’éviter de commettre ces erreurs, avec les petits-enfants, ce qu’ils essaient de faire, c’est avant tout de conseiller les nouveaux parents et ces conseils sont, sans aucun doute, un soutien que les progéniteurs devraient écouter ou du moins, prendre en compte.

    2. L’unique but : offrir du bonheur

    Les règles, les limites, les avertissements et les possibles sanctions aux mauvais comportements des enfants sont des dimensions que doivent établir les parents.

    • Les grands-parents éduquent mais leur responsabilité n’est pas la même.Leur rôle en tant qu’éducateurs principaux est passé. Leur responsabilité actuelle, avec les petits-enfants, est d’écouter et avant tout, d’offrir du bonheur.
    • Les petits-enfants sont une nouvelle entrée dans la vie des personnes qui nous obligent à sortir le meilleur de soi et avant tout, à nous transformer à l’un des référents les plus aimés des enfants.

     

    3. L’héritage que l’on offre aux enfants

    Tout ce qui a été vécu, tout ce qui a été découvert, tout notre passé avec ses triomphes, ses peurs, ses aventures et ses vues merveilleuses sont d’authentiques trésors à offrir à nos petits-enfants.

    • Voici une manière de faire perdurer pour toujours la famille et ces petits êtres : nous devons les faire participer à nos histoires, à nos émotions.
    • Parlez avec eux dès que vous le pouvez, racontez des histoires et ayez une réponse à chaque question. Stimulez, émeuvez, réveillez et laissez-vous illuminer par leurs sourires sincères.  

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    4. Découvrez des forces que vous croyiez perdues

    Quand vous éduquez un enfant, quelque chose change en vous : vous apprenez à ne pas vous rendre, à lutter pour ces enfants pour leur offrir le meilleur.

    • Plus tard, quand ces enfants deviennent des adultes et font face au monde avec aisance et maturité, nous nous sentons fiers mais nous avons la sensation qu’une étape de notre vie se tourne.
    • Il est clair que nous avons nos loisirs, notre famille et nos responsabilités. Cependant, avec l’arrivée des petits-enfants, beaucoup de choses changent.
    • Nous nous redéfinissons nous-même : maintenant, nous sommes des grands-parents et cela nous oblige à aider le plus possible nos enfants et à être une référence émotionnelle et d’attention pour nos petits-enfants.

     

    La tache est multiple, et émouvante, et cela nous donne plus de forces, nous apporte de nouveaux défis que nous assumons avec optimisme.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Célibataire : je n’attends rien, je ne cherche rien,

    je me contente d’être heureuse

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Chacun peut rechercher son bonheur de la manière qu'il le souhaite. 
     
     
     

    Aujourd’hui, une femme célibataire est toujours considérée avec méfiance dans de nombreuses cultures.

    Il y a peu, nous vous parlions du cas des femmes chinoises qui, lorsqu’elles ne trouvent pas de mari avant 25 ans, sont perçues par leur famille et par la société comme des femmes « en trop ».

     

    Dans d’autres pays, on trouve des situations similaires, à des niveaux différents, mais avec la même attribution négative envers ces femmes qui, au lieu de rechercher ou de s’efforcer à trouver un lien qu’elles ne désirent pas, choisissent le célibat comme statut.

    Helen Fisher est une anthropologue de grand prestige dans l’étude des liens affectifs et la figure des femmes dans la culture.

    Dans son livre « The First Sex: The Natural Talents of Women and how They are Changing the World » (Le premier sexe : Les talents naturels des femmes et comment elles changent le monde), elle met en avant le rôle des femmes qui ne se sentent pas obligées d’avoir un mari et qui atteignent des triomphes personnels dans la société.

    Dans cet article, nous vous invitons à réfléchir à ce thème.

    Être célibataire dans des sociétés très patriarcales et dans des familles très matriarcales

    Voici une dualité curieuse. Aujourd’hui, nous continuons à voir des sociétés où le poids de l’homme est prédominant (société patriarcale), comme par exemple en Chine et en Inde, et dans lesquelles, une jeune fille doit recherche un lien matrimonial pour sa propre famille, et pour son père, afin de lui assurer un certain statut social.

    Dans d’autres pays, la pression sur les femmes au moment de recherche un mari vient souvent de la part de la mère qui souhaite l’élargissement de sa famille et la création d’un héritage.

    La femme qui souhaite des petits-enfants, ou qui souhaite voir sa fille « avec une bonne situation et un mari qui a un bon travail » est une image qui, même traditionnelle, continue à se répandre dans notre société moderne.

    C’est pour cela qu’il est important de réfléchir quelques instants à ces dimensions.

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    Les couples qui vont et viennent

    Aujourd’hui, la plupart des personnes savent qu’il n’est pas si simple de trouver un conjoint avec qui on restera toute la vie.

    Les couples, tout comme l’épanouissement personnel de chacun, avancent, changent et s’améliorent. Et dans ce voyage, il est fréquent d’avoir plus d’un compagnon affectif.

    • Nous pouvons passer des périodes merveilleuses avec une personne, pour ensuite terminer cette relation et vivre une nouvelle étape célibataire, en se sentant aussi satisfait.
    • Les deux moments peuvent être vécus avec une plénitude maximale, à partir du moment où notre contexte social le plus proche est respectueux et que nous ne subissons ni pressions, ni critiques.
    • La liberté personnelle est un bien qui n’est malheureusement pas cultivé dans de nombreuses cultures.
      Aujourd’hui, nous pouvons lire des nouvelles qui nous surprennent encore sur des petites ou des jeunes filles qui sont vendues comme des marchandises.
    • Les femmes ne sont pas des marchandises et elles ne doivent pas être perçues comme « incomplètes » uniquement car elles n’ont pas de mari.

    Nous sommes tous des êtres complets et nous nous limitons à avancer, à grandir pour que petit à petit, notre miroir nous renvoie ce que nous souhaitons être, avec ou sans conjoint.

    Être célibataire et « ne pas chercher »

    Voici un autre fait très fréquent que l’on peut voir dans les sociétés les plus avancées : l’idée que si une personne est célibataire, qu’elle soit homme ou femme, elle est obligée de rechercher sa « moitié ».

    • Il est clair que chaque personne peut faire ce qui lui plaît, peut rechercher quelqu’un si elle le désire, mais elle peut aussi opter pour ne pas le faire et permettre à la vie de lui apporter ce qui doit être.
    • Pendant ce temps, elle peut se limiter à être heureuse, profiter des relations sociales, de sa famille, et de son travail. Nul besoin de recherche, car la seule aspiration que l’on a, c’est bien de devenir ce que l’on souhaite.
    • Cet équilibre et cette tranquillité intérieure offrent une grande plénitude et un grand bonheur.

    De cette manière, elles peuvent réussir à construire des relations affectives plus matures, où les deux conjoints se trouvent en toute liberté, et se sentent complets, sans peurs, ni vides que l’autre doit combler.

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    Les femmes d’aujourd’hui

    Revenons à l’une des théories d’Helen Fisher. La célèbre anthropologue a écrit son livre pour faire une critique du livre de Simone de Beauvoir, « Le Deuxième sexe ».

    • Dans ce livre, on trouve une série d’idées où on encourage les femmes à avoir plus confiance en leurs propres capacités pour devenir des leaders dans leurs contextes personnels.
    • Selon Helen Fisher, les femmes ont un cerveau plus intuitif et empathique qui peut être d’une grande utilité dans un contexte professionnel et d’organisation, d’où l’intérêt de lutter pour.
    • Les femmes doivent trouver leur bonheur de la manière qu’elles le souhaitent, avec ou sans conjoint, avec une famille nombreuse ou sans enfant, ou avec un travail renommé ou simple, qui leur apporte de la sérénité.

    Au lieu de se demander si elles sont ou pas, le premier ou le deuxième sexe, il suffit d’être des personnes qui se respectent entre elles, dans le but de créer une société plus libre, et avec les mêmes opportunités pour tous.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 exercices qui améliorent votre relation de couple

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Qu'elle soit récente ou vieille, une relation de couple doit s'alimenter au quotidien pour continuer à être forte. Nous ne devons pas laisser la routine détruire la passion.
     
     
     

    Chaque relation de couple est un shoot de bonheur et d’énergie. Pourtant, cela peut devenir tout le contraire si nous n’en prenons pas soin.

     

    Parfois, la routine, ou simplement la négligence, font que notre relation de couple commence à défaillir.

    Pour tout cela, nous allons partager avec vous 5 exercices que vous pouvez mettre en pratique pour que votre relation ait le vent en poupe.

    Peu importe le moment où vous vous êtes rencontrés, et que vous soyez ensemble depuis longtemps ou depuis peu de temps.

    Ce qui est réellement important, c’est de prendre l’habitude de réaliser ces petites choses du quotidien.

     

     

    1. Ordonner votre entourage

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    Quand tout est complètement chaotique autour de vous, vous ne pouvez plus vous concentrer ?

    Parfois, le désordre montre aussi que notre propre vie et notre esprit ont besoin d’une mise au point. 

    C’est pour cela que prendre soin de son foyer et de l’espace que vous partagez avec votre conjoint est primordial pour que votre relation s’équilibre.

    L’harmonie se trouve dans l’ordre, alors consacrez du temps à ordonner ce qui se trouve dans votre logement.

    Si vous vivez dans le chaos, votre relation de couple sera aussi un chaos. Essayez de ranger votre espace.

    2. Écrivez-vous des lettres

    Vous n’avez sûrement jamais écrit de lettre à votre conjoint. Cela semble appartenir aux siècles passés, où c’était la seule manière d’exprimer votre amour à la personne aimée. Mais écrire a de nombreux bienfaits.

    L’écriture vous permet de vous libérer, de vous soulager et d’exprimer sur papier les sentiments les plus profonds que vous pouvez ressentir pour la personne aimée.

    Dans votre lettre, vous pouvez avouer votre amour dans ses moindres détails.

    Vous pensez sûrement que votre conjoint sait déjà ce que vous sentez pour lui/elle, mais c’est une grosse erreur que beaucoup font.

    Oui, notre conjoint le sait, mais il a besoin qu’on le lui dise. Faites-le avec une lettre. 

     

     

    3. Vous prendre dans les bras tous les jours

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    Quand on est en couple depuis plusieurs années, les démonstrations d’affection diminuent.

    Certains conjoints deviennent même réticents à se montrer tendres en public, car cela leur fait honte. Curieusement, cela n’arrive pas lors des premiers temps de la relation.

    Alors, acquérir l’habitude des câlins quotidiens est un exercice qui vous permettra ce rapprochement.

    Un câlin vous rapprochera, vous unira et vous permettra de démontrer à quel point vous vous aimez.

     

     

    4. Les plans se font aussi séparément

    Votre conjoint fait partie de votre vie, mais il y a des moments où il doit ne pas être présent.

    Beaucoup de gens pensent que lorsqu’on est en couple, on doit aller partout avec sa moitié, mais c’est une grosse erreur.

    Vous ne devez pas toujours partager les mêmes amis, et le fait de retrouver vos propres amis sans votre conjoint vous permettra de maintenir d’autres types de conversation que vous n’auriez plus dans le cas contraire.

    Vous partagez votre vie, vous avancez main dans la main sur un même chemin, mais cela ne signifie pas que vous êtes collés et dépendants.

    Prendre votre propre espace pour vos choses personnelles est essentiel si vous voulez que votre relation de couple soit saine.

     

     

    5. Faites l’amour sans hâte

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    Faire l’amour est un acte agréable dont nous devrions toujours profiter avec calme.

    Mais les obligations, le travail et les horaires qui ne coïncident pas peuvent empêcher tout cela.

    Même si cela est compliqué, il faut se dégager du temps pour rendre cela possible et en profiter pleinement.

    Si vous faites l’amour dans la hâte, vous pouvez tomber dans la routine et oublier ce qui vous fait du bien.

    Il existe une infinité de manières de découvrir un corps. Ne permettez pas au sexe de devenir quelque chose de mécanique. Jouissez-en !

    Vous faites déjà ces exercices avec votre moité ? Une relation ne se maintient pas seule, il faut en prendre soin et la chérir.

    Si tout cela n’existe pas, peut-être qu’il arrivera un jour où tout explosera.

     

    Ces exercices pourront vous aider à démontrer à votre conjoint à quel point vous l’aimez.

    Mettez-les en pratique dès aujourd’hui, et vous verrez que votre relation de couple sera de plus en plus forte et résistante.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 clés pour la résilience : le courage que vous portez en vous

     
     
     
     
     
     
     
     
    La résilience est la capacité que nous avons à surmonter des moments difficiles, à laisser derrière nous la douleur émotionnelle et à regarder vers le futur. Une capacité que nous avons tous et que nous pouvons développer.
     
     
     

    Même si l’on pense que la résilience est un terme très spécifique au champ psychologique et motivationnel, ce mot vient de la physique.
     

    Quand une matière est déformée à cause d’un impact ou de l’agression d’un chimique, et est capable de reprendre sa forme originelle sans se briser ou se casser, c’est un cas de résilience.

    Cette particularité physique a été empruntée pour la psychologie positive pour nous apprendre que nous aussi pouvons mener cette merveilleuse action : celle de nous confronter aux adversités, à les dépasser et même, à en sortir renforcés.

    Aujourd’hui, dans cet article, nous vous invitons à découvrir 7 clés qui peuvent nous aider à mettre en marche ce mécanisme thérapeutique et guérisseur.

    Car, que vous le croyiez ou non, en tant qu’organismes vivants, nous sommes préparés biologiquement à « survivre » et notre cerveau peut nous guider dans cette adaptation, dans cette renaissance qui nous permet de traverser des moments d’obscurité pour demain, renouveler ses rêves et ses aspirations.

     

     

    Clés pour développer votre résilience

    Aujourd’hui, le concept de résilience s’applique à une multitude de champs et de disciplines. Dans l’entreprise, par exemple, il est très utile pour faire face aux moments de crise et de difficulté où chaque membre doit être capable d’analyser sa situation pour appliquer de nouvelles stratégies d’amélioration.

    Parfois, lors de moments de crise, surgissent les meilleures opportunités qui nous permettent d’en sortir renforcés. Et c’est quelque chose que l’on trouve aussi bien dans le champ professionnel que dans le champ affectif. Voyons quels sont les facteurs qui peuvent nous aider à la mettre en pratique.

     

    1. Connectez-vous à votre entourage

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    Quand nous vivons des moments de difficultés, nous avons la sensation que le monde a perdu son harmonie, que tout le monde va dans une direction et nous dans une autre.

    Il faut alors s’arrêter et prendre conscience que nous ne sommes pas seul. Osez vous connecter aux autres, prenez appui sur vos bons amis, sur votre famille, sur les personnes qui savent vous écouter et qui sont capables de vous offrir de l’aide.

    Accepter l’aide de notre entourage nous permet de nous renforcer, de nous sentir plus confiants pour prendre de nouvelles décisions et retrouver l’espoir.

     

     

    2. La douleur intense ne dure pas éternellement : vous pourrez respirer à nouveau

    Personne ne peut changer ce qui est arrivé, les faits sont passés et nous avons toute la liberté de nous sentir en colère, triste, abattus…

    Cependant, nous devons savoir que les situations complexes ne dureront pas pour toujours, que la douleur n’est pas éternelle et qu’un jour les choses s’amélioreront. Nous devons nous permettre de « nous laisser-aller » à la vie. Il y a des moments de difficulté, des moments d’opportunités et des journées de bonheur authentique.

     

     

    3. Le changement fait partie de la vie

    Cela va avec ce que nous disions ci-dessus : la vie est en perpétuel mouvement et cela implique que les changements sont inévitables, mais s’accrocher éternellement à la douleur est optionnel. Ne le faites pas, ne vous enfermez pas vous-même…

    L’adversité doit nous inviter à allumer les moteurs innés de l’adaptation que nous avons tous intégré dans notre cerveau. Affinez vos émotions à la recherche de rêves nouveaux, acceptez tout ce qui s’est passé et petit à petit, permettez-vous d’avancer, laissez le passage des jours vous inviter à regarder l’horizon. 

     

     

    4. Mettez-vous de nouveaux objectifs 

    Ce qui s’est passé n’aura pas de retour en arrière, on ne pourra pas le changer, la seule option qui vaille est à présent d’accepter et d’assumer. Votre première action pour faire face à cette adversité est de prendre une décision, de vous proposer un objectif simple et facile à assumer.

    Plus tard, viendront les objectifs les plus risqués mais pour commencer, les plus faciles, les plus thérapeutiques sont suffisants : sortez marcher, retrouvez vos amis, faites un voyage, profitez…

     

    5. Créez une image positive de vous-même

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    Vous connaissez déjà cette image de vous-même souffrant, touché de plein fouet par la peine, l’échec, l’absence ou la trahison. C’est une image qui vous est familière. À présent, il faut vous en créer une nouvelle.

    Le développement de la confiance en soi est clé dans ces moments, c’est la voie moyennant laquelle vous pourrez faire face au quotidien, résoudre des problèmes et faire confiance à vos instincts. De cette manière, vous construirez votre résilience.

     

     

    6. Gardez du recul sur les choses 

    Même si nous devons faire face à des événements très douloureux, il est nécessaire de garder le contrôle et un bon recul sur des choses. Si on vous a abandonné, cela ne signifie pas que vous n’avez plus le droit d’être heureux.

    Si vous avez perdu quelqu’un, vous ne devez pas tomber dans ce puits qui vous empêche de sourire ou de rêver à nouveau à la vie. Prenez du recul, écoutez votre cœur.

     

     

    7. Prenez soin de vous-même

    Vous avez des amis, une famille, des personnes qui vous aiment et qui sont là pour aider au quotidien. Mais la seule personne qui sait vraiment prendre soin de vous-même, c’est vous-même.

     

    N’oubliez jamais que vous méritez d’être heureux à nouveau, alors n’hésitez pas à stimuler votre bonne santé physique et émotionnelle. Sortez marcher, ayez un régime équilibré, encouragez le déchargement émotionnel, et ayez des projets, des rêves… N’arrêtez jamais de penser au futur.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Quelle que soit votre souffrance, ne blessez pas les autres

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si vous n'y croyez pas, tout ce dont vous avez besoin pour soulager votre souffrance, c'est du temps. Donnez-vous le temps nécessaire et en attendant, faites attention à ce que cette douleur ne blesse pas d'autres personnes.
     
     
     

    Votre souffrance est un espace privé, profond et complexe que vous devrez réparer petit à petit pour retrouver l’équilibre, cette paix intérieure qui nous permet d’affronter à nouveau le quotidien avec force et optimisme.

     

    S’il est évident que nous passons tous par des instants de difficulté personnelle, nous ne devrions jamais rechercher des coupables ou emprisonner des personnes.

    Évitez de blesser et essayez de ne pas projeter votre souffrance sur les autres.

    Parfois, il y a des personnes qui ne peuvent pas l’éviter. Il existe des états dépressifs où le découragement est tel qu’il se traduit en colère et en laisser-aller, jusqu’au point où on peut même accuser les autres de nos propres états et de notre maladie.

    Ce dont nous avons besoin, c’est du soutien, de l’aide et avant toute chose, de prendre conscience que nous sommes notre propre architecte émotionnel.

    Affrontez vos ténèbres sans blesser les autres et gérez vos émotions pour que petit à petit, le calme et la tranquillité reviennent. 

    Nous vous invitons à réfléchir à cela.

     

     

    Votre souffrance, un mur à démolir

    Vous avez sûrement déjà entendu plus d’une fois la phrase suivante : « il n’y a rien qui ne gâche plus la vie d’un empoisonneur que le fait de ne pas pouvoir gâcher la vie des autres ».

    Même si nous savons tous ce que signifie passer la journée à côté de quelqu’un qui ne fait que nous influencer avec sa négativité et son abattement, il y a quelque chose que nous ne pouvons pas nier : c’est une personne qui souffre.

    Votre souffrance est aussi respectable que celle des autres, et nous pouvons tous nous imaginer lors de ces situations de difficulté personnelle où presque sans nous en rendre compte, nous étalons notre couverture d’obscurité sur les autres.

     

    Les murs autour de votre souffrance

    L’importance de l’Intelligence Émotionnelle est clé dans ces situations. Il y a des moments où nous échouons, où nous ressentons une déception et une trahison.

    Quelqu’un nous fait du mal et ce que nous ressentons par-dessus tout, c’est de la colère.

    • Cette colère devrait se canaliser petit à petit dans de la tristesse et un soulagement émotionnel.
    • Il est fréquent de s’enfermer dans une sorte de « carapace » où le monde est réduit à une seule sensation aux multiples formes et couleurs : le mécontentement, l’inconfort, le laisser-aller et la gêne en voyant que les autres continuent à rire alors que nous mourons de tristesse.
    • Sachez que chaque personne n’affronte ces états d’une certaine manière. Il y a les plus habiles et ceux qui ressentent une incapacité paralysante au moment de devoir gérer cette souffrance.

    Ceux-là se limitent alors à dresser un mur pour se protéger ou depuis lequel ils peuvent attaquer les autres.

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    Reconnaître les émotions pour mieux les contrôler

    L’art de se gâcher la vie est très fréquent aujourd’hui. Nous arrêtons d’établir comme priorité la liberté émotionnelle, l’indifférence et l’attention opportune envers les autres.

    • La liberté émotionnelle est la capacité de savoir mettre des mots sur nos sensations, sur ce qui nous gêne, ce qui nous fait du mal. Si nous nous limitons à cacher ces émotions négatives, au final, nous nous transformerons en une bombe à retardement sur le point d’exploser.
    • L’indifférence est l’habileté à ne pas s’afférer à la haine, à la rancœur, à cette émotion négative qui nous rend prisonnier de ce qui nous fait du mal.

    Nous savons que votre souffrance prend parfois une forme concrète, qu’elle a un nom et un prénom mais pour être libre, il est nécessaire de pardonner, d’avancer et de se libérer.

    • L’attention envers soi-même n’est pas de l’égoïsme. Au contraire, c’est un art délicat grâce auquel on peut favoriser un bon dialogue interne où écouter les besoins, identifier les peurs, les blessures non guéries, et les inquiétudes.

    Plus vous vous écoutez, plus vous renforcez votre auto-estime, et ce fameux bien-être intérieur se projette aussi sur ceux qui vous entourent.

     

     

    Les aiguilles du temps et la volonté répareront les morceaux de la souffrance

    Ne cherchez pas de coupables à votre souffrance, et ne gardez pas de haine en vous. Cela n’en vaut pas la peine car les émotions négatives ne guérissent pas. Au contraire, elles rendent malade.

    • La rancœur ne sert à rien. Alors, quand vous traversez des moments difficiles, soyez conscient de chaque geste et de chaque mot que vous projetez sur votre entourage. Parfois, sans vous en rendre compte, vous favoriserez plus de distance que de proximité.
    • De même, qui est à nos côtés doit aussi être intuitif et empathique envers notre réalité personnelle et nous soutenir.

    D’où le fait que nous devons être capables de nous faire aider, et de nous écouter pour trouver des forces, pour nous sentir un peu plus habiles, et compris.

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    Le temps guérit mais il faut savoir qu’il ne fera jamais oublier. Les blessures ne s’effacent pas de notre mémoire : on s’en souvient sans qu’elles ne nous fassent de mal.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 4 différences entre la tristesse et la dépression

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    En général, le problème se trouve dans l'usage erroné des termes, même si nous savons souvent distinguer les deux états. La tristesse n'est rien d'autre que l'un des symptômes de la dépression.
     
     
     

    La tristesse et la dépression ont beaucoup de points en commun mais sont aussi deux concepts complètement différents.

     

    On confond souvent ces deux états, ce qui mène parfois à de mauvaises interprétations qui peuvent provoquer des malentendus.

    C’est pour cela que nous allons ici vous donner les 4 différences les plus importantes entre la tristesse et la dépression.

    De cette manière, vous apprendrez à utiliser les termes correctement et vous les comprendrez mieux.

     

     

    1. La dépression est un trouble psychologique

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    La principale différence entre la tristesse et la dépression est que cette dernière est un trouble psychologique alors que la première est simplement une émotion provoquée par une situation qui nous fait de la peine.

    Il est évident que la dépression compte la tristesse parmi ses multiples symptômes mais elle en montre bien d’autres : apathie, angoisse, anxiété, sentiments de désespoir… 

    La tristesse est un état de circonstance et tôt ou tard, elle se résout.

    Cependant, la dépression dure plus longtemps car elle donne lieu à une situation chronique qui enferme la personne dans un climat général de mal être.

    Les experts en psychologie disent que pour qu’une personne soit diagnostiquée dépressive, elle doit avoir présenté les symptômes pendant au moins 6 mois.

     

     

    2. La tristesse est un état mental passager

    Comme nous l’avons dit, la tristesse est un état transitoire, même s’il est évident que parfois, elle peut durer assez longtemps.

    À l’inverse de la dépression, c’est une réaction psychologique normale et naturelle qui n’indique aucun trouble mental.

    Simplement, face à des circonstances difficiles, ou face à quelqu’un qui nous a blessé, cette émotion surgit sans qu’on puisse l’éviter.

     

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    Pour tout cela, la tristesse ne doit pas nous inquiéter excessivement. Il est normal de la ressentir quand nous perdons un proche, quand une relation se brise, quand nous devons quitter notre maison…

    La tristesse signale que quelque chose qui nous importait est parti ou a changé. Mais avec le temps, la tristesse disparaît.

    3. L’apathie et la dépression

    L’apathie est le manque d’énergie et de volonté que nous avons pour faire quelque chose.

    Cela affecte les personnes dépressives qui se voient dans l’incapacité de réaliser leurs tâches quotidiennes.

    Par exemple, une personne dépressive peut ne pas aller au travail tout simplement car elle se sent incapable de se lever de son lit le matin.

    Cela n’arrive pas lorsque nous sommes triste. Même en ressentant cette émotion, nous pouvons continuer à réaliser nos tâches habituelles, même si c’est peut-être sans appétit et avec un moral très bas.

    Cependant, notre travail et nos obligations ne s’en voient pas affectés.

     

     

    4. Si la tristesse va trop loin…

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    Il est évident qu’une chose en amène une autre et que si nous restons triste pendant un long moment, peut-être que nous finirons par souffrir de dépression.

    Une personne triste pleure, et elle a l’impression de ne servir à rien, que le monde est devenu tout gris, et qu’il n’a plus d’espoir…

    Si tout cela se prolonge dans le temps, cela peut déboucher sur une profonde dépression.

    C’est pour cela que les psychologues préfèrent attendre un moment avant d’affirmer qu’une personne souffre de dépression.

    Il est normal d’être triste un jour, deux jours, et même une semaine. Mais, rester triste pendant deux mois n’est une bonne situation pour personne.

    Comme nous avons pu le voir, les différences sont notables entre la tristesse et la dépression, même si l’une est un symptôme de l’autre.

    Nous devons savoir que si la tristesse ne nécessite pas de traitement ni de thérapie,la dépression doit être traitée de manière adaptée. 

    Dans un contexte de tristesse, le soutien des proches et un changement d’air peut être suffisant. Dans la dépression, les choses fonctionnent d’une autre manière.

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    Pour conclure, la tristesse diffère beaucoup de la dépression. La confusion vient sûrement des mots comme « dépressif », synonyme de « déprimé » par exemple.

    Dans ce cas, être déprimé n’a rien à voir avec la dépression. L’usage incorrect de termes peut nous faire douter au moment de savoir ce qu’ils signifient vraiment.

    Avez-vous déjà confondu la tristesse avec la dépression ?

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • J’ai changé : aujourd’hui j’ose dire « stop »

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Quand a été la dernière fois où vous avez « stop » à voix haute ? Ce n’est pas facile. Il n’est pas simple de passer le cap de cet acte de courage personnel qui nous ouvre les portes de la liberté émotionnelle.

     

    Contrairement à ce que beaucoup de gens peuvent penser, nous changeons avec le temps.

    Changer des choses déterminées de notre personnalité, des essences, des valeurs et des attitudes nous permet de mieux nous adapter aux difficultés de la vie.

    Plus que changer, nous avançons et c’est un reflet de notre santé mentale et émotionnelle.

    Au lieu de craindre les changements, nous devrions les voir comme des opportunités grâce auxquelles trouver le bonheur, un calme approprié et un bien-être intérieur.

    Nous vous invitons à réfléchir à cela.

     

     

    Dire stop : un acte de libération

    Si nous nous arrêtons quelques secondes sur le nombre de « oui » que nous avons dit, en comparaison avec le nombre de « non », nous nous rendrons compte qu’en général, nous optons pour des affirmations plutôt que pour des négations, que nous avons tant de mal à formuler.

    Notre éducation a tendance à être orientée vers une courtoisie respectueuse qui nous habitue à dire « oui », à remercier et à être sollicités dans chaque situation.

    À présent, même si c’est un acte de noblesse qui nous enrichit en tant que personne, il est également bon que dès l’enfance, on nous donne des stratégies pour être assertifs. Nous vous expliquons en quoi cela consiste.

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    L’assertivité

    L’assertivité est, avant toute chose, ce comportement grâce auquel nous réussissons à défendre nos droits et nos besoins de manière respectueuse, en tenant compte de la personne que nous avons devant nous.

    • Ce n’est en rien facile. Mais pour réussir à être assertif, il est nécessaire de bien définir son auto-estime, et de savoir où se trouvent nos limites.
    • Une fois que nous connaissons nos limites personnelles, nous devons être capable d’empêcher que les autres les transpercent mais également de ne pas nous-même violer les espaces des autres.
    • Il s’agit de respecter et d’être respectés, de savoir écouter mais aussi de savoir hausser le ton pour s’expliquer avec clarté et assurance sur ce que l’on ne veut pas, ce qui ne nous plaît pas ou nous fait du mal.
    • N’ayez pas peur d’utiliser le pronom personnel « je » dans vos phrases (“Je refuse que tu me parles ainsi”, “Je ne peux pas supporter cette situation, cela me fait mal”, “Je me sens dévalorisé, je pense que tu ne me respectes pas”).

    Les possibles conséquences de dire stop

    Tout changement est accompagné d’une dose de peur, d’insécurité etde sensation de risque lorsqu’on imagine les possibles conséquences qui peuvent survenir.

    • Dire stop à cette situation familiale si complexe peut faire, par exemple, que lesdites personnes réagissent négativement, en nous rejetant.
    • Dire stop à une situation professionnelle insoutenable peut nous faire perdre notre emploi.
    • Dire stop au comportement négatif d’un enfant peut leur faire dire des choses telles que « tu ne m’aimes pas ».
    • Nous avons tous peur des possibles conséquences mais avant de les anticiper et même de les craindre, il est nécessaire de penser à ce qui pourrait se passer dans le cas où nous ne réagirions pas et où nous persisterions dans cette situation si négative.
    • Parfois, il est plus dangereux de continuer à être uni à un présent insoutenable que de réagir et de dire « stop ». Que nous le croyons ou pas, on ouvre de nouveaux chemins où on peut tous sortir gagnants.

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    Le besoin d’être intègre avec ses valeurs

    Notre intégrité émotionnelle est liée à un système de valeurs et de croyances.

    Si nous nous habituons à céder aujourd’hui et demain, si nous vivons uniquement dans l’optique d’être déçu ou de plaire aux autres, il arrivera un jour où nous ne nous reconnaîtrons plus devant le miroir.

    • Ce n’est pas bon. À présent, nous savons qu’il est quasiment impossible de faire toujours ce que nous voulons, et qu’il n’est pas toujours bon de dire tout ce que nous ressentons et ce que nous pensons.
    • Il s’agit seulement d’être conséquent, intègre et respectueux avec soi-même et les autres.
    • Pour cohabiter, il est nécessaire de tenir compte des besoins des autres, mais aussi de savoir écouter son propre cœur et agir selon un équilibre.
    • Notre paix intérieure n’est pas négociable, tout comme notre dignité. Si nous laissons les autres nous faire du mal et nous transformer en acteurs secondaires de notre propre vie, nous perdrons notre auto-estime et nous serons blessés.

     

    Soyez ferme avec vos valeurs. Écoutez votre voix intérieure et n’ayez pas peur de dire « stop » quand c’est nécessaire.

    Nous changeons tous, et ce changement, ce n’est pas un tournant à 180 degrés, mais un pas vers l’avant, pour avancer.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Entourez-vous de personnes intéressantes,

    éloignez-vous des personnes intéressées

     
     
     
     
     
     
     
     
    En plus de rechercher des personnes intéressantes, nous devons essayer de devenir, nous-même, des personnes de ce genre, qui puissent apporter des choses aux autres.
     
     
     

    Les émotions des autres sont contagieuses. Alors, que vous le vouliez ou non, les personnes qui vous entourent vous influencent.

     

    Vous connaissez sûrement de nombreuses personnes intéressantes mais il existe également des personnes intéressées qui essaieront d’entrer dans votre vie.

    Il est évident qu’il y a beaucoup de situations dans notre vie dans lesquelles il ne sera pas possible de choisir entre des personnes intéressantes ou des personnes intéressées.

    Le travail, notre propre famille ou n’importe quelle autre circonstance peuvent conditionner le type de personnes qui se trouvent dans notre entourage. Cependant, nous pouvons choisir de faire le bien ou le mal.

     

     

    Je veux des personnes intéressantes dans ma vie

    Les personnes intéressantes enrichissent votre vie, la comblent, et la rendent plus brillante.

    Ce sont d’excellents apports d’énergie qui contribuent toujours positivement à vos émotions et à vos demandes intellectuelles.

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    Nous voulons toujours avoir dans notre entourage des personnes intéressantes.

    Alors, si vous voulez savoir si vous êtes actuellement entouré de ce type de personnes, voici certaines de leurs caractéristiques:

    • Elles vous transmettent des émotions très positives et lors des mauvais moments, elles sont à vos côtés pour vous redonner le sourire.
    • Elles vous permettent de grandir en tant que personne, vous aident à comprendre tout ce qui ne peut être vu et vous enrichissent avec une multitude de points de vue.
    • Comme nous tous, elles ne savent pas tout, mais elles sont disposées à explorer de nouvelles choses avec vous. Leur esprit éveillé et curieux vous transmet de l’optimisme et l’envie d’explorer de nouvelles choses.
    • Avec leurs bonnes actions et leur manière d’être, elles réussissent à faire ressortir le meilleur de vous pour que vous soyez la meilleure version de vous-même.

    Si vous êtes capable de reconnaître chacun des points mentionnés ci-dessus, c’est parfait ! Vous êtes entouré de personnes très intéressantes qui vous apportent beaucoup.

    Cela est très positif et ces personnes devront toujours être à vos côtés, pour vous apporter de la lumière et vous transmettre leur joie.

     

     

    Fuyez les personnes intéressées

    Les personnes intéressées sont animées par des intérêts, et au lieu d’apporter du positivisme dans votre vie, elles font tout le contraire : elles la remplissent de négativité.

    Il est clair que, dans une certaine mesure, nous sommes tous des personnes intéressées. Vouloir s’entourer de personnes intéressées fait déjà de nous des personnes intéressées.

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    Cependant, les gens qui se rapprochent de vous, en voulant quelque chose sans rien vous donner en échange sont les plus négatives, puisqu’elles vous volent votre énergie et cela vous fait du mal.

    Les personnes intéressées ont aussi leurs propres caractéristiques et, même si elles sont difficiles à identifier, vous les reconnaîtrez grâce à la description suivante :

    • Elles se comportent comme des vampires émotionnels. N’importe quelle conversation avec elles vous épuise et vous sentez qu’elles vous volent de l’énergie rien qu’en étant à vos côtés.
    • Elles ne sont jamais contentes et demandent toujours plus. Les sacrifices que vous faites ne leur importent guère : ce ne sera jamais suffisant et elles vous le disent clairement.
    • Elles ne s’engagent jamais dans les relations et ne seront jamais disposées à donner plus que nécessaire.
    • Ce sont de grandes spécialistes pour vous faire culpabiliser ou vous rendre responsables des actions ou des circonstances auxquelles vous n’avez même pas participé.

    Ces personnes sont-elles mauvaises ? Bien sûr que non. Le problème c’est qu’elles ne savent pas créer du lien d’une autre manière et cela génère des conséquences sur les autres.

    Pour éviter de devenir leurs sujets, nous devons les identifier et mettre des limites. Il n’y a qu’ainsi que nous empêcherons leur manière d’agir de nous affecter.

    Écartez-vous de toute personne qui essaie de vous blesser, de vous manipuler et qui vous contamine continuellement d’émotions et de sentiments négatifs. 

    Faites toute le contraire et si vous pouvez choisir, entourez-vous de personnes qui vous apportent lumière et positivisme.

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    Pour finir, il est très important que vous essayiez de devenir une personne intéressante, une personne qui vibre, qui transmet de bonnes sensations, qui sourit et qui soit capable d’établir des relations saines.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Ce que nous taisons, le corps le transforme en symptômes

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le stress et l'anxiété sont des facteurs mentaux qui peuvent influer sur l'apparition d'affections physiques. Nous devons donc apprendre à les gérer correctement pour éviter de plus gros problèmes.
     
     
     

    L’union de l’esprit et du corps est si intime et déterminante que nous devrions prêter plus attention à ce monde émotionnel que nous négligeons tant au quotidien. 

     

    Car, que vous le croyez ou non, tout ce que l’on tait finit par nous rendre malade.

    L’investigation psychosomatique (la relation entre la psychologie et la médecine) a des années de recherche et d’intéressantes analyses qui sont publiées régulièrement dans des revues telles que le Journal of Psychosomatic research.

    De même, des entités comme la American Psychosomatic Society nous rapportent régulièrement les dernières découvertes concernant ce lien direct entre la biologie et le monde émotionnel.

    Ici, nous vous invitons à découvrir les axes de base qui structurent cette discipline, et dont nous devrions tenir compte dans notre quotidien.

    Les émotions, le stress, l’anxiété et tout ce que nous taisons pendant notre vie a de graves effets secondaires.

     

     

    Ce qui nous taisons génère des blocages émotionnels et des blessures dans notre corps

    Il y a peu, une conférence TED (Technology, Entertainment and Design) a attiré l’attention de nombreuses personnes. La psychologue a surpris tout le monde en apportant un verre d’eau dans sa main.

    Le public a tout de suite pensé qu’elle allait parler du concept classique du verre vide et du verre plein. Mais son intention était toute autre…

    Elle s’est dirigée vers le public et lui a demandé la chose suivante : Combien pensez-vous que ce verre d’eau pèse ?

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    Les réponses ont été diverses et la plupart d’entre elles bonnes. Cependant, l’explication qu’a donnée cette professionnelle en psychologie émotionnelle fut bien plus profonde.

    • Le poids du verre dépendra du temps pendant lequel je vais devoir le porter.
    • Il ne se passera rien si je le tiens pendant 5 minutes. Mais, si je le porte pendant 2 heures, mon bras se fatiguera et il finira sûrement par tomber.
    • C’est la même chose avec le stress. L’effet de cette émotion ne cause pas d’effets secondaires si nous la supportons pendant un temps relativement court. Mais si nous la supportons pendant des semaines et des mois, nous finirons par tomber malade.

     

    Que sont les maladies psychosomatiques ?

    • Imaginons maintenant que nous avons un collègue de travail qui nous critique en permanence dans notre dos. Ce n’est pas quelque chose de ponctuel, mais son comportement est récurrent au point que cela devient une habitude et crée un environnement de travail très négatif.
    • Si nous taisons tout ce que nous ressentons pendant des mois, toute cette émotion cachée créera des effets sur notre santé (c’est comme porter le verre d’eau à bout de bras pendant des mois).

    Une maladie psychosomatique, c’est lorsque l’esprit (psiché) crée une altération sur le corps (soma).

    Cette réalité est si fréquente que l’on croit même que certaines maladies physiques peuvent s’aggraver à cause de facteurs mentaux comme le stress et l’anxiété.

    • On croit, par exemple, que des affections comme le psoriasis, l’eczéma, les ulcères à l’estomac, l’hypertension artérielle et les nombreuses maladies du cœur peuvent se déclarer à cause de problèmes psychosomatiques comme le stress ou l’anxiété.
    • Il faut aussi savoir qu’il existe beaucoup de différences individuelles. Chacun d’entre nous peut affronter un fait ponctuel d’une manière différente.

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    Effets physiques de tout ce que nous taisons dans le quotidien

    Quand quelque chose nous gêne et que nous ne le gérons pas bien, notre cerveau la transforme en une émotion négative avec des conséquences biologiques.

    Il augmente l’activité des impulsions nerveuses pour libérer des neurotransmetteurs déterminés comme l’adrénaline.

    Ce neurotransmetteur, avec le cortisol, qui augmente aussi notre flux sanguin, peut générer la chose suivante :

    • Les blocages émotionnels, le stress et l’anxiété affectent l’activité de certaines cellules du système immunitaire, et nous sommes donc plus vulnérables aux maladies.
    • L’augmentation de la fréquence cardiaque.
    • La sensation de nausées.
    • Les tremblements.
    • La transpiration.
    • La bouche sèche.
    • La douleur de poitrine.
    • Les maux de tête.
    • Les douleurs d’estomac. 

     

     

    Comment faire face aux troubles psychosomatiques ?

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    S’il est évident qu’aucun d’entre nous n’a reçu de formation en matière de gestion émotionnelle, il est nécessaire de prendre conscience de certaines choses :

    • Nous devons utiliser l’assertion : dire ce qui nous dérange sur le moment et pas quand c’est trop tard.
    • Ce que nous taisons nous rend malade. C’est quelque chose que nous devons savoir. Les émotions négatives sont dangereuses pour la santé et nous devons savoir les gérer.
    • Nous devons pratiquer la sincérité émotionnelle au jour le jour avec respect et assertion. Sachez que mettre des limites face ce qui ne vous plaît, ce qui vous fait du mal ou qui altère votre personne, est un droit primordial, et personne n’est égoïste lorsqu’il dit stop. 
    • Consacrez entre une et deux heures par jour pour vous-même. Promenez-vous, pensez à vous, pratiquez vos loisirs ou tout simplement, profitez de ces moments seul avec vous-même.

     

     

    Souvenez-vous que face à n’importe quel symptôme, n’importe quelle gêne, comme de mauvaises digestions, de la tachycardie ou des nausées, il est important de consulter un médecin pour contrôler toutes ces affections.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Lorsqu’on ignore ce qui n’en vaut pas la peine,

    on fait preuve d’intelligence

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Parfois, il peut être particulièrement difficile d'ignorer la souffrance que provoquent en nous les personnes qui nous sont significatives mais, pour notre bien, nous devons apprendre à le faire.
     
     
     

    Winston Churchill disait que personne ne peut arriver à son destin s’il passe la journée à jeter des pierres aux chiens qui lui aboient dessus.

    Parfois, ignorer est une très bonne manière d’agir avec intelligence, et de laisser de côté ce qui n’en vaut pas la peine. 

     

    Mais… qu’est-ce, en réalité ce qui « n’en vaut pas la peine » ? C’est quelque chose que chacun d’entre nous doit évaluer, car chaque situation personnelle est unique.

    Pour les uns, ce seront les critiques, les personnes négatives et pour les autres, ce qui n’en vaut pas la peine sera sans aucun doute les peurs personnelles, les pensées limitantes.

    Aujourd’hui, dans cet article, nous vous invitons à réfléchir à ce sujet si important dans l’épanouissement personnel : savoir affronter et ignorer tout ce qui nous empêche d’avancer avec liberté et plénitude.

    L’art d’ignorer avec intelligence

    Ignorer avec intelligence doit être un art, une marque d’habileté et de maturité.

    Nous ne devons jamais ignorer ce qui est véritablement important :

    • Les personnes qui nous aiment et qui nous permettent de grandir avec leur affection et leur soutien.
    • Nous ne devons pas ignorer certaines caractéristiques de nous-même, tout comme ces vertus que nous pourrions stimuler un peu plus pour atteindre nos rêves et nos objectifs.
    • Il n’est pas bon d’ignorer les besoins de ceux qui sont sous notre responsabilité.

    Voyons maintenant quelques stratégies qui nous permettent de mettre en marche chacun des composants qui définissent l’art d’ignorer.

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    Notre pire défaut : reporter le bonheur

    Dans un article intéressant publié dans la revue Psychology Today, on nous explique que parfois, nous laissons échapper une opportunité, puis une autre, tout simplement car nous pensons que ce n’est pas le moment.

    Qu’est-ce qui nous faire croire que maintenant n’est pas le bon moment ?

    • Les commentaires ou les jugements des autres. Un exemple : nous ne sommes pas heureux dans notre mariage, mais nos parents nous disent de « supporter un peu plus ».
    • Nous obéissons par peur et par crainte de décevoir les autres et nous finissons pas croire que le bonheur peut apparaître soudainement si nous le faisons, si nous supportons la situation un peu plus.

    Le bonheur ne se reporte pas. Si notre cœur et notre esprit nous disent que nous ne sommes pas bien, il est nécessaire d’ignorer tout ce qui prétend nous convaincre du contraire.

    Pour cela, il faut du courage.

     

     

    Ignorer les critiques et les commentaires blessants

    Même si, à première vue, cela peut sembler simple d’ignorer les critiques, et les commentaires blessants ou peu appropriés, c’est quelque chose qui finalement nous coûte beaucoup car cela affecte directement notre auto-estime.

    • Les commentaires négatifs qui nous affectent le plus sont ceux qui viennent directement d’une personne importante à nos yeux.
    • Comment ignorer les paroles d’un proche, de notre conjoint ou de l’un de nos meilleurs amis ? Il faut savoir que les personnes qui nous aiment favorisent notre bonheur-
    • Qui met des murs à notre épanouissement personnel, qui altère notre auto-estime, qui nous humilie avec des messages ironiques ou un langage chargé de mépris, ne pratiquera jamais une tendresse sincère.

    Dans ces cas précis, ignorer, c’est agir avec intelligence.

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    Le courage de savoir ignorer les pensées limitantes

    Parfois, nos pires ennemis ne sont pas à l’extérieur, mais c’est bien notre propre esprit.

    Il existe certaines attitudes limitantes qui se trouvent en nous à cause de notre éducation et même de l’influence d’autres personnes qui nous font croire que « nous savons » ou que « nous pouvons ».

    • Parfois, une faible auto-estime nous coupe le souffle du courage qui nous permettrait d’aller de l’avant, d’ignorer certaines personnes, choses ou situations qui, loin de nous apporter du bonheur, nous font du mal.
    • L’insécurité personnelle est une autre dimension très fréquente qui nous met face à plus d’un dilemme.
      Par exemple, nous n’osons pas refuser une invitation à un événement auquel nous ne souhaitons pas aller, mais nous ne voulons pas décliner l’invitation car nous avons peur de passer pour quelqu’un d’impoli.

    Voici de petits exemples qui, lorsqu’ils s’accumulent, deviennent un thème central dans notre vie, et nous font dépendre du « qu’en dira-t-on » plutôt que de notre volonté propre.

    Ce n’est bon pour personne.

    Ignorer avec intelligence, c’est aussi l’art du courage personnel et de la conviction.Pour être heureux, nous devons oser dire NON, démolir des murs et passer à l’étape suivante.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Combien de fois j’ai pleuré sans savoir que la vie

    me rendait un service

     
     
     
     
     
     
     
     
    Combien de fois avez-vous retenu vos larmes par honte ? Savez-vous que les pleurs est une manière dont votre organisme se soulage et libère des tensions ?
     
     
     

    Selon une étude publiée dans la revue PsycNet, les larmes sont un indicateur que quelque chose d’important se passe dans notre vie.

     

    Le fait d’avoir pleuré est, sans aucun doute, un acte de courage, de soulagement mais aussi de révélation. 

    Les experts en psychologie émotionnelle nous recommandent de pleurer ‘un bon coup’, lors des moments d’amertume et de difficulté.

    C’est à ce moment que les idées s’éclaircissent et que nous nous rendons compte de nombreuses choses.

    Le soulagement émotionnel est un acte de « première nécessité » qui ne vaut pas la peine d’être contenu, dissimulé ou contrôlé en serrant les poings et en avalant sa salive.

    Pour être thérapeutique et libérateur, le soulagement doit être sonore. Il doit nous permet de libérer tout ce qui se trouve dans notre esprit et qui nous blesse le cœur.

    Aujourd’hui, dans cet article, nous vous invitons à connaître tous les aspects des larmes que vous méconnaissez certainement.

    Ainsi, pour le bien de votre santé, nous vous recommandons de ne jamais réprimer cet acte naturel qu’en tant qu’espèce, nous avons hérité de nos ancêtres.

     

     

    Toutes les fois où j’ai « mal » pleuré

    Eh oui, parfois nous pleurons « mal ». Ne vous inquiétez pas, si cela vous alarme ou vous surprend, car en réalité, personne ne nous a appris à gérer cette matière émotionnelle.

    Pour comprendre l’importance qu’ont les pleurs chez l’être humain, cela vaut la peine de tenir compte des aspects suivants.

    Des hôtels pour pleurer au Japon

    Au Japon, on peut trouver des hôtels comme le Mitsui Garden ou le Yotsuya de Tokyo où la population peut réserver une chambre pendant une ou plusieurs nuits, tout simplement pour se soulager et pleurer.

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    • Nous sommes dans une culture où les émotions sont souvent très contrôlées et où il n’est pas adéquat de montrer une effusion trop grande, que ce soit sous forme de joie ou de tristesse.
    • Les Japonais sont des personnes très marquées par des objectifs professionnels à remplir, et de strictes normes familiales et sociales à assumer.

    Tout cela débouche sur de forts états d’anxiété et de stress qu’ils ne savent pas bien comment canaliser ni comment soulager.

    • Grâce à ces hôtels qui sont conçus pour pleurer, tout le monde peut demander une chambre et utiliser les installations prévues à cet effet.
    • Il y a des lits confortables, des mouchoirs, des bains relaxants, de la musique, et des films que l’hôte peut utiliser pour faciliter le soulagement.
      Tout cela permet à la personne de pleurer autant que possible, et de crier si elle en a envie.

    Les chambres sont insonorisées et la discrétion est totale.

    • Après avoir pleuré, les personnes dorment. Le jour suivant, elles se lèvent avec plus d’énergie et se sentent plus tranquilles, au point de pouvoir faire des changements et réorienter leurs vies de manière plus adaptée.

     

    Pleurer « correctement »

    La technique conçue par les Japonais peut sembler cathartique mais ce n’est pas non plus la meilleure.

    L’être humain a divers comportements qui, de manière instinctive et grâce à notre évolution, sont le reflet de la connexion avec nos semblables.

    Il sera toujours préférable de se soulager en compagnie de quelqu’un.

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    « Bâiller » ou « pleurer » sont deux actes purement empathiques.

    Prenons un exemple : Vous êtes avec des amis et l’un d’entre eux commence à bâiller. Au bout de quelques secondes, sans savoir pourquoi, vous vous mettez vous-même à bâiller.

    • L’acte de bâiller permet au cerveau de s’oxygéner mais c’est aussi un comportement empathique qui est contagieux chez les personnes qui partagent des liens de proximité.
    • D’autre part, les pleurs sont aussi un acte qui sert à unir les personnes et à alerter sur quelque chose qui se passe.

    Alors, même si nous savons que la plupart d’entre nous pleurons seul, par honte, pour ne pas attirer l’attention sur nous ou par besoin personnel, le plus thérapeutique est tout de même de se soulager en présence de quelqu’un.

    • Il n’y a que comme cela que l’on profite, d’une part, du soulagement physique et biologique, et d’autre part, du réconfort qu’un être cher peut nous apporter avec ses câlins et ses conseils.

    Cependant, nous savons aussi que ce n’est pas quelque chose de très facile. Parfois, nous n’osons pas ou tout simplement, nous n’avons personne qui puisse nous donner des conseils ou qui soit capable de nous consoler sans nous juger.

    Quoi qu’il en soit, pleurer est un acte nécessaire et qui nous caractérise en tant qu’espèce.

    Tout comportement de notre organisme existe pour quelque chose, alors contenir ses larmes n’est pas « naturel ».

    De plus, si nous les réprimons souvent, nous finirons par en ressentir les effets négatifs.

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    • Utilisez les pleurs et leur soulagement. Harmonisez votre douleur avec ce que demande votre organisme, libérez vos larmes, laissez votre voix se briser à chaque spasme pour ensuite, prendre une grande respiration.

     

    Après les pleurs, la vie a une couleur différente. Votre cerveau est plus détendu et vous pouvez prendre des décisions avec plus de clarté.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les aiguilles du temps ne recousent pas toutes nos blessures

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le temps n'efface pas tout et le cerveau n'oublie pas les expériences les plus traumatisantes. L'important, c'est d'accepter ce qui nous arriver et d'éviter que la douleur nous empêche d'avancer.
     
     
     

    Les aiguilles du temps sont parfois précises et guérisseuses, elles apaisent les douleurs et nous aident à relativiser les choses.

    À présent, il faut dire qu’aucune de ces blessures d’origine traumatique disparaît pour toujours. Tout simplement, on s’en souvient sans qu’elles ne nous fassent aussi mal.

     

    Nous sommes habitués à entendre la fameuse phrase « le temps guérit tout », que la distance est thérapeutique et que la plupart des fois, les choses négatives que nous expérimentons nous servent d’apprentissage.

    À présent, il faut nuancer certaines choses. Notre cerveau n’oublie pas, et tout fait douloureux nous sert d’apprentissage, certes…

    Mais, en réalité, plus qu’un enseignement, la perte ou les événements chargés de douleur nous obligent de force à accepter des choses déterminées sans anesthésie. 

    Il n’y a pas d’autre choix que celui de comprendre que « rien n’est là pour toujours » et que ce que nous acceptons aujourd’hui comme une évidence peut représenter une incertitude demain.

    Nous vous proposons de réfléchir à ces aspects.

     

     

    Les blessures que nous laissent la vie

    Perdre un être cher, souffrir d’une déception affective, être trahi, échouer dans quelque chose qui nous faisait rêver… Tout cela représente des faits que nous avons dû affronter un jour.

    Nous lisons ou nous écoutons souvent des choses comme « pour comprendre ce qu’est la vie, on doit souffrir à un moment donné ». Ce n’est pas forcément ainsi.

    L’apprentissage de la vie s’obtient de multiples manières. De fait, les moments heureux sont de grands maîtres pour nous guider et nous inviter à avancer.

    Les faits traumatiques réussissent souvent à « nous faire taire ». Que faire dans ces cas ? Quelles sont les stratégies que vous devons suivre quand la souffrance nous envahit ?

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    Apprendre à vivre avec ce vide

    Il n’y aucune formule magique pour résoudre ces intersections vitales qui mettent des points finaux à certaines périodes de notre vie.

    Il n’y a pas de médicaments qui en finissent totalement avec la douleur de la vie, ni de machine à remonter le temps qui nous permette d’éviter des faits en particulier.

    • Les blessures seront toujours là, que nous le voulions ou non. Le temps n’est pas un architecte suffisamment efficace pour les faire disparaître mais elles cicatriseront et ne nous feront pas aussi mal que le premier jour.
      Ce sera une douleur avec laquelle nous pourrons co-exister.
    • De nombreuses personnes ont appris à vivre avec leurs vides, avec l’absence des êtres chers, avec la cicatrice de telle erreur, de tel mauvais choix, etc.
    • L’essentiel est d’éviter que la souffrance elle-même nous rende prisonnier. Il ne faut pas alimenter la résistance. Nous ne devons pas nous dire que « après ça, la vie n’en vaut plus la peine », « maintenant, je ne pourrai plus jamais être heureux ». Ne vous infligez pas cela.

    La clé se trouve dans le travail de l’acceptation. Ce qui est passé est passé, et l’unique choix, c’est de l’accepter et ainsi de s’accepter nous-même, dans une nouvelle situation.

     

     

    L’amour pour soi-même

    La vie nous surcharge parfois par sa houle, sa froideur et sa logique irrationnelle. Pourquoi emporte-elle ce que nous aimons le plus au monde ?

    Pourquoi cela m’arrive-t-il alors que je suis une bonne personne, et que je souhaite toujours le meilleur aux autres ?

    Parfois, si nous sommes obsédés par la recherche du sens de ce qui se passe, nous alimentons encore plus notre tragédie. Ce n’est pas bon.

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    Quand nous souffrons de quelque chose de douloureux, il y a un aspect que nous oublions souvent : nous écouter et prendre soin de nous-même.

    Face aux coups de la vie, rien de mieux que de se connecter à nouveau avec les autres pour accepter les faits et nous rappeler que nous méritons d’être heureux à nouveau.

    • Si vous avez perdu quelqu’un, souvenez-vous que vous devez continuer à sourire pour cet être aimé, qui dort pour toujours dans votre cœur et dans votre mémoire.

    Acceptez les faits, pour ensuite, vous libérer et vous défaire de cette ombre. Renaissez de vos blessures.

     

    Pour conclure, nous devons dire que les blessures de l’âme ne guérissent jamais complètement.

    Elles resteront pour toujours, mais réparées pour permettre à votre cœur de continuer à battre.

    Permettez-vous d’être heureux à nouveau, et permettez à la vie de vous cajoler à nouveau, comme vous le méritez.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Caresser est tout un art, capable de faire repartir le cœur

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les caresses renforcent les liens, transmettent des sentiments et des émotions. Cependant, nous ne les pratiquons pas autant que nous le devrions !
     
     
     

    Caresser est un art destiné à renforcer les liens et à réveiller les sensations, les émotions et les grands plaisirs.

    Notre peau est un champ miné d’infinités de récepteurs capables de soulager les peurs, d’offrir du bonheur et de réaffirmer une relation.

     

    Nous savons à présent que toutes les caresses ne sont pas agréables, et que tout contact physique n’est pas forcément confortable.

    Les caresses sont réservées aux personnes qui se trouvent dans notre cœur et que nous le croyons ou non, ce sont des « aliments » indispensables que nous nous offrons les uns aux autres.

    Un bébé a besoin des caresses des siens pour se sentir aimé et pour que ses structures cérébrales mûrissent.

    De même, un couple qui ne pratique pas l’art de la caresse ne jouit pas d’une relation épanouie. Nous allons vous en parler plus en détails.

     

     

    Caresser avec les sens, caresser depuis le cœur

    Notre peau est comme un champ miné de plus de 5 millions de terminaisons nerveuses qui retranscrivent en sentiments et en émotions tout ce que nous recevons de notre entourage.

    La peau nous transmet le froid, la chaleur, la répulsion, le plaisir, l’affection et d’autres émotions.

    Il ne faut pas non plus écarter l’évidence suivante : tous les êtres vivants recherchent les câlins et en jouissent.

    Les animaux se les offrent entre eux, nos animaux de compagnie nous les demandent et nous les offrent.

    C’est un langage qui surgit directement de ce cerveau émotionnel qui comprend que toucher qui l’on aime est bienfaisant.

    Caresser est l’art de susciter notre empathie

    Qui caresse comprend que cette action est agréable, et que sentir le contact peau contre peau de la personne que l’on aime est une sensation incomparable.

    • Il y a quelque chose dont il faut tenir compte. Dans un couple, qui commet l’erreur de penser que les caresses ne font que partie du sexe et que ce ne sont que des préliminaires, n’a pas bien compris l’intérêt des caresses.
    • L’art de caresser n’est pas exclusivement du ressort de la sexualité, c’est un langage indispensable entre les êtres humains qui partagent un lien, qu’il soit filial, familial, ou qu’il s’agisse d’une affection sincère et significative.
    • Je te caresse parce que je sais que tu en as besoin, car je comprends qu’ainsi, tu vas te sentir soutenu, aimé et reconnu.
      Tout cela est un reflet clair d’empathie, d’où le fait que quelqu’un qui recherche seulement à être caressé mais qui oublie de caresser ou de prendre les siens dans ses bras fait preuve d’une forme d’égoïsme subtile qui peut parfois être très problématique.

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    L’ocytocine, le liant des êtres humains

    L’ocytocine est un neurotransmetteur, en plus d’être une hormone.

    Nous pourrions la définir comme ce « liant » entre les êtres humains, qui favorise l’amour, la tendresse et le soin ; qui réduit le stress ; qui renforce le lien entre les couples et qui favorise l’union de la mère avec son bébé.

    • L’ocytocine se produit dans l’hypothalamus et elle est sécrétée de l’hypophyse pour être transmise à tout notre organisme.
    • Grâce à ce produit chimique fascinant que nous pouvons stimuler grâce aux caresses et aux câlins, nous encourageons les comportements comme le soin, l’empathie, la compassion et nous favorisons le désir sexuel et même les montées de lait maternel pendant les périodes d’allaitement.
    • Plus il y a de l’ocytocine dans notre organisme, moins nous avons des comportements agressifs. C’est quelque chose de merveilleux.

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    Éloigner la peur de toucher qui l’on aime et nous aime

    Il y a des personnes timides, non sûres d’elles, et peu habituées au contact physique.

    Parfois, il est difficile d’établir une relation enrichissante avec qui ne sait pas, n’ose pas ou évite ce type de langage.

    L’amour qui ne se touche pas, ne se cherche pas et ne se communique pas avec des caresses, des baisers ou des câlins est un amour à moitié vide qui laisse de nombreuses victimes derrière lui.

    • C’est pour cela qu’il ne faut pas hésiter à encourager ce type de communication sans mots. Une caresse sur le visage, sur la main, un câlin de bonjour ou de bonsoir, ou un baiser inattendu sont des actes merveilleux qui construisent ces petites choses qui nous unissent tant les uns aux autres.
    • N’oubliez pas non le besoin d’éduquer les enfants avec cette affection saine, avec le contact peau contre peau quand ils sont bébés, et les caresses quand ils sont plus grands.
    • Nous savons qu’il arrivera un âge où ils les éviteront mais ce sera uniquement par orgueil, car au plus profond, chaque personne se sent heureuse d’être caressée par un être aimé.

    C’est un geste qui apporte du soutien, un « je serai toujours là pour toi » ou « tu es une partie importante de ma vie".

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Je t’ai aimé, je t’aimais mais je ne t’aime plus

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il faut savoir maintenir une relation vivante, mais il faut également savoir la rompre quand il n'y a plus d'amour. C'est douloureux, mais indispensable pour éviter une souffrance non nécessaire.
     
     
     

    Toute relation doit être dans un mouvement continu, comme les poissons qui nagent dans la mer.

    Ils bougent constamment, ils sautent, ils bondissent… mais quand ils arrêtent de faire tout cela, tout est mort. Si ce moment est arrivé dans votre couple, c’est le moment de dire : je ne t’aime plus.

    Le désamour peut être considéré comme l’une des situations les plus douloureuses par lesquelles nous sommes tous passés au moins une fois. 

    Parfois, nous n’arrivons pas à nous détacher de cette personne qui a été si importante pour nous.

     

     

    Nous avons été conçus pour établir des liens

    Nous sommes tous conçus pour établir des liens entre nous : avec notre famille, nos amis, notre conjoint, nos enfants…

    C’est pour cela qu’il est particulièrement blessant que ces liens se brisent un jour, même si parfois, il n’y a pas d’autre alternative.

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    Nous avons tendance à oublier en permanence que toutes les relations sont vivantes. Cela signifie qu’elles changent, même si ce n’est pas toujours en bien.

    Une personne nouvelle peut entrer dans notre vie, nous pouvons changer notre manière de penser… Tout cela a des conséquences.

    C’est pour cela que lorsqu’arrive le moment de dire « je ne t’aime plus », la douleur, la colère, la déception et la sensation d’abandon apparaissent.

    Nous nous sentons blessés et nous avons brisé ce en quoi nous croyions.

    Malgré tout, il est parfois très positif de briser une relation insoutenable.

    Lutter signifie supporter jusqu’à ne plus en pouvoir, jusqu’à ce que la souffrance soit telle que nous n’avons plus d’autre choix que de nous éloigner.

     

     

    Le cœur brisé

    Sentir comment notre cœur se brise est l’une des métaphores les plus utilisées pour exprimer le désamour.

    C’est une douleur physique et mentale qui provoque de la tristesse et de l’inappétence pour la plupart des activités de la vie.

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    Pourquoi cette sensation est-elle si commune ? Pourquoi notre cœur se brise-t-il autant ?

    Pourquoi nous n’arrivons pas à différencier le fait d’être amoureux et l’amour en lui-même?

    Même si beaucoup de personnes confondent ces deux termes, ils sont très éloignés l’un de l’autre.

    Etre amoureux est une attraction et un désir qui nous fait ressentir des papillons dans le ventre, qui, avec le temps prennent leur envol.

    Parfois, cette terrible confusion a comme conséquence que nous nous retrouvons aux côtés d’une personne que nous n’aimons plus.

    Tomber amoureux est quelque chose de passager, c’est ce qui nous fait vibrer. Quand cela passe, ce « je ne t’aime plus » s’accentue plus à chaque fois.

     

     

    Dire « je ne t’aime plus »

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    Dire à quelqu’un « je ne t’aime plus » est difficile et compliqué car nous savons que l’autre personne ne va pas réagir de manière très positive.

    Malgré cela, être sincère sera toujours la meilleure chose que nous pourrons faire. Ce n’est pas facile, mais c’est nécessaire.

    Pour cela, le faire face à face sera quelque chose d’indispensable, en plus de l’exprimer de manière claire, concise et sans détour, pour éviter que notre conjoint soit dans la confusion.

    Cela nous évitera de nombreux problèmes.

    Il est normal qu’apparaissent les reproches et les critiques qui vous jetteront en pleine figure la colère et la déception ressenties.

    Mais ne commencez pas à le faire vous-même, votre conjoint est blessé et vous devez comprendre sa manière de réagir.

    Dire « je ne t’aime plus » demande beaucoup de courage et il est très important de ressentir de l’empathie vis à vis de son conjoint lors de ce moment.

    Alors, n’ayez pas peur et cherchez toujours la manière la plus aimable de pouvoir échanger vos opinions concernant la relation.

    Vous favoriserez ainsi la compréhension et vous comprendrez ensemble pourquoi vous ne pouvez pas continuer ensemble.

    Avez-vous déjà dû passer par cette étape où vous avez dû dire « je ne t’aime plus » ? C’est une situation compliquée pour les deux membres du couple, et cela demande une réflexion profonde.

    Alors, n’attendez pas trop longtemps pour faire part de votre décision, car plus vous retarderez le moment, plus ce sera difficile.

    Les choses importantes doivent être dites le plus tôt possible. Il n’y a qu’ainsi que vous ferez le moins de mal possible.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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