• Le détachement :

    ne vous laissez pas posséder par quoi que ce soit

     
     
     
     
     
     
     
     
    On pourrait comprendre le détachement comme le fait de n'avoir besoin de rien. Mais ce n'est pas ce que nous désirons transmettre. Nous pensons simplement que nous ne manquons de rien pour être heureux et que nous ne devons pas devenir obsédés par ce que nous n'avons pas.
     
     
     

    Le mot « détachement » est très à la mode dans tous les ouvrages et les groupes de développement personnel et de spiritualité.

     Mais avec la multiplication des sources d’information, nous avons tendance à confondre les termes et les concepts.

    Le détachement ne signifie pas que nous ne devons rien posséder ou que nous devons construire des relations affectives dans lesquelles nous évitons de nous lier aux autres, alors même que ces liens nous permettent d’éprouver du bien-être et de la sécurité.

    Le détachement est quelque chose de plus intime et de plus essentiel pour notre équilibre psychologique et émotionnel.

    Il s’agit simplement d’éviter les choses et les personnes qui finissent par nous posséder.

    Nous devons être capables de nous donner aux autres en toute liberté, pour construire des relations plus harmonieuses et plus respectueuses, qui ne laissent pas de place à la dépendance, à la victimisation et à des phrases du type « sans toi je ne suis rien« .

    Nous vous invitons, dans la suite de cet article, à réfléchir sur ce sujet.

    L’attachement et le détachement

    Le terme de détachement trouve ses racines dans le bouddhisme. Cependant, dans le champ de la pédagogie et de la psychologie, il est également utilisé.

    On parle d’éducation et de relations basées sur un lien sain, sur des attaches solides.

    Le même mot peut donc revêtir des concepts distincts que nous devons comprendre pour construire des relations plus intègres et pour être plus respectueux des autres.

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    L’attachement sain

    Pour le bouddhisme, l’attachement est l’une des plus grandes sources de souffrance. Cependant, ce terme n’est pas corrélé à l’éducation ou aux relations interpersonnelles.

    Voyons cela en détails.

    L’être humain, lorsqu’il naît, a besoin de ses semblables pour survivre. Il a également besoin de se sentir en sécurité pour comprendre le monde qui l’entoure.

    • L’éducation est un lien sain dans lequel les parents répondent aux besoins de leur enfant, dans lequel ils lui offrent un univers sécurisé. Les caresses, les câlins et l’affection permettent de créer un lien qui est alimenté par de l’amour. Ce sont des comportements essentiels pour le bon développement de l’enfant.
    • D’un autre côté, les relations affectives basées sur un lien mature sont celles qui sont établies entre deux personnes libres et adultes, qui souhaitent construire une relation respectueuse et heureuse.
    • Nous avons besoin de sécuriser le lien que nous entretenons avec les personnes que nous aimons, et cela implique de développer un attachement qui nous permet de nous sentir en sécurité, de nous sentir unis à la personne qui nous aime et que nous aimons.

    Le détachement pour protéger notre intégrité personnelle

    Approfondissons désormais la notion de détachement. Ce terme veut dire, dans l’absolu, renoncer à ce que nous possédons, car l’abandon de toutes les choses que nous possédons serait une manière d’atteindre le bonheur.

    Mais pourtant, les carences sont l’un des plus grands facteurs d’incertitude, de peur et de tristesse.

    Il est vrai également que les dépendances, les attitudes qui nous attachent à des choses ou à des personnes sans importance sont aussi des sources de souffrance.

    • Si nous construisons notre vie autour d’une seule personne, au point que notre bonheur dépend de son état d’esprit, de ses caprices et de ses comportements, il y a quelque chose que nous devons changer pour atteindre une véritable paix intérieure.
    • Si nous sommes « attachés » à notre famille de telle manière que nous n’osons pas vivre notre vie loin de notre univers parental, il y a également quelque chose que nous devons changer.
    • Si nous nous attachons trop à notre travail, au besoin exclusif de gravir l’échelle sociale, de gagner plus d’argent pour posséder plus de choses et avoir un statut plus important, il y a quelque chose que nous devons changer, car nous oublions tout simplement d’être heureux.

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    Le détachement est une forme d’intégrité personnelle, car il nous permet de nous souvenir que le bonheur n’est pas à rechercher du côté des autres ou de l’accumulation de biens matériels.

    Le bonheur naît d’abord en nous, car nous nous sentons des personnes complètes, libres et matures.

    Comment appliquer le détachement dans votre quotidien

    • Acceptez l’incertitude. Lorsque vous vous fixez un objectif, ne concentrez pas toute votre attention sur le résultat. Apprenez du processus et acceptez l’incertitude inhérente à vos projets, c’est fondamental.
    • Ne vous concentrez pas sur votre bien-être et sur votre bonheur en fonction de ce que les autres font ou ne font pas. C’est une source de souffrance que nous devons savoir éloigner de nous.
    • Essayez de ne dépendre que de vos propres actions et soyez réceptif aux personnes qui agissent de manière spontanée avec vous.

    Si vous êtes obsédé par le fait que les autres doivent faire des choses pour vous au quotidien, vous allez vivre dans une insatisfaction permanente.

    • Ne confondez pas désir et besoin. Ce ne sont pas du tout les mêmes choses. Vous pouvez éprouver le désir de gagner à la loterie, mais vous ne devez pas avoir besoin de remporter le gros lot pour solutionner tous vos problèmes.
    • Les personnes insécures sont celles qui ont tendance à trop s’attacher aux personnes qui les entourent, qui veulent avoir le plus de biens matériels, car elles viennent combler leurs carences émotionnelles.
    • Prenez soin de votre estime personnelle, comblez vos carences avec des certitudes. Rendez-vous compte que vous êtes une personne complète, capable non seulement d’être heureuse, mais aussi de rendre les autres heureux.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 signes qui indiquent que vous êtes une personne toxique

     
     
     
     
     
     
     
     
    Si vous ne voulez pas être une personne toxique pour les autres, pourquoi l'êtes-vous pour vous-même ? Vous devriez être la première personne à écouter et à qui apporter du bien-être.
     
     
     

    Nous avons beaucoup parlé des personnes toxiques qui peuvent se trouver dans notre entourage.

    Mais que se passerait-il si la personne toxique était vous ? Une personne qui s’intoxique se fait du mal à elle-même.

     

    Il est toujours plus simple de voir la paille dans l’œil du voisin, mais peut-être que différentes relations ou personnes vous font du mal, tout simplement car vous le permettez.

    Peut-être que vos actes et vos décisions sont plus négatifs que ce que vous pensez.

    C’est pour cela qu’aujourd’hui, nous allons vous dévoiler 5 signes qui peuvent démontrer que vous êtes une personne toxique.

    1. Rester aux côtés de quelqu’un qui vous fait du mal

    Pourquoi restez-vous aux côtés de cette personne qui vous a fait tant de mal ? Si vous permettez cela, ce n’est pas de la faute de cette personne, mais de la vôtre !

    Peut-être que vous n’êtes pas faits pour vivre ensemble, et que vous n’êtes pas compatibles car vous n’avez pas la même vision du monde, ni les mêmes valeurs.

    Cependant, malgré ses mépris, vous continuez à la fréquenter.

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    Si vous agissez ainsi, c’est que vous êtes une personne toxique, peut-être pas envers les autres, mais envers vous-même.

    Vous ne vous aimez pas, vous ne vous protégez pas de la toxicité qui imprègne votre relation.

    Plus encore, vous la défendez en restant aux côtés de quelqu’un dont vous savez qu’il vous détruit.

    2. Culpabiliser pour les erreurs commises

    Personne n’est parfait et nous commettons tous des erreurs. C’est pour cela qu’il est important de commencer à les voir comme des opportunités pour apprendre et aller de l’avant.

    Si nous ne sommes pas capables de faire cela et que nous nous incriminons en permanence à cause de ces erreurs du passé, nous nous faisons du mal et nous nous empêchons d’avancer.

    Vous êtes sûrement devenue une personne trop perfectionniste ou trop exigeante envers vous-même.

    Vous êtes si rigide avec vous-même que n’importe quelle erreur, aussi petite soit-elle, se transforme en quelque chose de grave.

    Apprenez à accepter vos erreurs et à ne pas culpabiliser à cause d’elles. Vous tromper est positif, alors ne donnez pas un pouvoir toxique à vos erreurs.

    3. Réprimer ses émotions

    À cause de certaines circonstances de la vie, peut-être que vous avez eu des relations compliquées qui vous ont fait du mal. Cela a provoqué la répression de vos émotions car vous cherchiez à vous protéger.

    Ce que vous ne savez pas, c’est que faire cela est bien plus toxique que ce que vous pensiez.

    Si vous ignorez vos émotions, si vous les réprimez et que vous les enfermez, d’autres émotions négatives surgiront.

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    Vous devez apprendre à les exprimer sans peur, car il faut prendre des risques dans la vie. De plus, les émotions sont comme les désirs, elles sont là pour être transmises.

    Si vous réprimez vos émotions, tôt ou tard, cela vous consumera. Vous deviendrez une personne triste qui ne se permettra ni d’aimer ni d’être aimée. Exprimez ce que vous ressentez.

    4. Être pessimiste

    La vie n’est pas facile mais adopter une attitude pessimiste n’est pas la meilleure de nos options. Cela se reflétera sur votre personne et vous transmettrez cette sensation aux autres.

    Aussi difficile que soit le moment que vous êtes en train de vivre, votre attitude pessimiste ne l’améliorera pas.

    Parmi les personnes toxiques, il existe un profil particulier : les pessimistes. Vous voulez vraiment en faire partie?

    L’optimisme sera votre meilleur allié et vous éviterez ainsi votre propre toxicité. 

    5. Les autres toujours en premier

    Penser à vous ne fait pas de vous une personne égoïste, mais une personne qui s’aime elle-même et qui se protège de cette manière.

    Nous sommes habitués à ce que l’on nous dise que nous devons nous préoccuper du bien-être des autres mais devons-nous nous oublier nous-même ?

    Si vous changez cette situation, beaucoup peuvent vous voir comme une personne égoïste, et vous-même pouvez vous sentir ainsi.

    Ce que vous ne savez pas, c’est que vous êtes en train de devenir une personne moins toxique.

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    Parfois, vous devenez une personne toxique gratuitement et sans le savoir. Nous ne savons pas que la toxicité n’est pas uniquement tournée vers les autres, mais également envers nous-même.

    Apprenez à vous analyser, n’ayez pas peur de découvrir des choses chez vous qui ne vous plairont sûrement pas.

    Nous commettons tous des erreurs, mais nous avons le pouvoir de les rectifier.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 4 signes d’un divorce que la plupart des gens ne voient pas

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si certaines relations peuvent nous paraître irréconciliables, il est pourtant possible de tenter de régler la situation avant qu'il ne soit trop tard si nous parvenons à détecter les signes précoces de sa déréliction.
     
     
     

    Lorsqu’un couple se marie ou s’installe ensemble, les deux partenaires se font souvent une promesse : ils s’aimeront jusqu’à ce que la mort les sépare.

    Cependant, ils ne la tiennent pas toujours en choisissant d’ignorer les premiers symptômes d’un divorce à venir. 

    L’amour véritable ne peut débuter que lorsque les deux personnes qui s’aiment commencent à montrer leurs différences ou lorsqu’elles traversent des moments difficiles.

    Lorsque cela survient, deux choix sont possibles : l’un implique d’apprendre à aimer l’autre personne malgré ses différences, l’autre de ne pas l’accepter.

    Dans ce dernier cas de figure, le mot « divorce » ne tarde pas à résonner dans les murs de la maison conjugale.

    Vous connaissez peut-être quelqu’un qui traverse cette période et vous êtes surpris, car il semblait bien s’entendre avec sa partenaire.

    Les souvenirs de leurs premiers moments de passion ou de leurs premières années de mariage n’ont plus rien à voir avec la période qu’ils sont en train de traverser.

    C’est alors qu’une question surgit : mais comment n’ont-ils pas su détecter à temps les premiers symptômes de leur mésentente ?

    Dans la suite de cet article, nous allons évoquer les plus fréquents, pour que vous puissiez éviter de laisser vos relations amoureuses dériver et s’achever brutalement.

    1. L’un ne se préoccupe plus des sentiments de l’autre

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    Dans le cas des couples hétérosexuels, il faut que nous prenions en compte le fait qu’un homme et une femme sont très différents, tout en étant complémentaires. Les hommes représentent la force, les femmes les sentiments.

    Pourtant, les femmes ressentent parfois tant de choses que les hommes deviennent confus. Ils arrivent à un point où ils ne comprennent plus du tout ce que leur partenaire ressent.

    Nous ne devons pas oublier que les hommes ne comprennent pas toujours les sous-entendus. Il faut leur parler avec beaucoup de tact et leur expliquer précisément ce qui peut blesser l’autre.

    De nombreux hommes sont très tendres au début d’une relation. Mais, avec le passage du temps, ils ont tellement confiance qu’ils oublient les petits détails.

    Si vous êtes un homme, il est très important que vous gardiez à l’esprit qu’il faut montrer de la tendresse et de l’attention à votre partenaire, qu’il s’agisse de votre femme ou simplement de votre petite-amie.

    Mais les hommes ne sont pas les seuls à faire preuve de négligence. Les femmes sont également très fières et parfois très dures avec les hommes, ce qu’ils interprètent souvent comme une marque de désintérêt.

    Comme nous vous le disions auparavant, mieux vaut éviter les sous-entendus. Si vous êtes une femme, exprimez clairement à votre partenaire ce que vous ressentez, de manière directe et respectueuse.

     

    2. Le couple s’éloigne

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    Les femmes ont généralement envie de parler de tout ce qui passe durant leurs journées à leur partenaire.

    Lorsque quelque chose de négatif se produit, elles espèrent souvent que leur partenaire va les aider. Lorsque tout va bien, elles veulent partager leurs émotions positives avec lui.

    Cependant, l’un des signaux précoces du divorce se manifeste lorsque le couple ne cherche plus à partager ces moments.

    Soit l’homme n’accorde plus d’attention à ce que lui raconte sa femme, soit la femme n’a plus envie de communiquer ses sentiments à son partenaire.

    Ces situations dans lesquelles l’une des deux parties passe son temps à réclamer et à culpabiliser son partenaire de ce qui se passe dans leur relation est un problème grave.

    Lorsque ces situations surviennent, il est très fréquent que le couple ne discute plus et ne partage plus rien.

    Si à chaque fois que vous regardez un film avec votre partenaire, vous passez votre temps sur votre smartphone ou que lui ne s’approche plus de vous, c’est que vous n’avez clairement plus envie de passer du temps ensemble.

    Il vous faut alors réfléchir à la situation.

    Quels sont vos désaccords ? Vous devez être capable de détecter ce qui va mal pour faire progresser la relation.

    Nous sommes certains que vous trouverez des solutions pour réapprendre à passer du temps ensemble, pour sauver votre mariage.

    3. L’un des partenaires ne fait que s’épancher sur sa vie

    Il est important que deux partenaires partagent ce qui se passe dans leurs vies respectives.

    Cependant, vous devez bien prendre en compte que ces conversations et ces appels téléphoniques que vous avez doivent générer de la joie.

    Si, à l’inverse, ces moments sont remplis de stress, vous devez tout de suite vous dire qu’il s’agit d’un signe grave, qui peut vous alerter sur un divorce.

    Lorsque nous tombons amoureux de quelqu’un, nous avons l’habitude de l’appeler pour tout et rien, en lui disant : « Tu viens de partir et tu me manques déjà« .

    Si vos appels téléphoniques ne sont jamais agréables et que les premières paroles qu’il exprime sont des reproches, des complaintes sur sa vie ou des éléments qui ne vous concernent pas, vous devez vous inquiéter.

    Vous êtes dans une situation où le divorce est proche.

    Au lieu d’aller au conflit, apprenez à écouter véritablement votre partenaire sans penser à autre chose lorsqu’il parle.

    Ce n’est pas évident, car les émotions peuvent vous envahir et vous ordonner de réagir, mais c’est un remède très efficace pour résoudre les problèmes de couple.

    4. Vous vous disputez pour des choses sans importance

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    Les disputes qui n’ont pas de sens sont peut-être le signe le plus fréquent et le plus alarmant qu’une relation touche à sa fin. Les petits disputes sont généralement sous-tendues par des problèmes plus graves.

    Elles sont comme des mauvaises herbes : même si vous coupez ce qui dépasse, elles finiront par repousser si vous ne les arrachez pas à la racine.

    Vous devez découvrir ce qui provoque ces disputes sans queue ni tête. Que la cuisine soit bien rangée est peut-être quelque chose d’important pour vous, mais pas pour votre partenaire.

    Des femmes se disputent avec leur mari car il n’a pas rangé son assiette à un endroit précis, sans se rendre compte qu’il ne s’agit que d’un événement mineur.

     

    Combattez les signes avant-coureurs d’un divorce

    Un couple doit être bâti sur la communication et sur le partage de bons moments. Évidemment, tout ne peut pas être rose et il ne faut pas aspirer à une relation parfaite.

    Mais si vous remarquez que les premiers symptômes que nous venons de vous découvrir sont présents dans votre relation, vous devez parler avec votre partenaire.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les relations liquides et la fragilité de leurs liens

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les relations liquides se caractérisent par leur fragilité. Les liens qui se créent se diluent et s'effacent devant le moindre conflit ou à la première occasion.
     
     
     

    Les relations liquides affectent tant nos relations de couple que nos amitiés, voire nos relations familiales.

    Qu’ont-elles en commun ? Une durée de vie limitée. Leur fin est souvent bien plus proche que ce à quoi nous nous attendions.

     

    La société a changé et nous avec. Avant les liens entre les personnes étaient plus solides et bien plus forts.

    Désormais, sans que nous en soyons conscients, nous nous plongeons dans des relations liquides qui, tôt ou tard, se perdent dans le temps.

    Les relations liquides dans notre société

    Infidélités, déceptions, problèmes de dépendance émotionnelle…

    Toutes ces circonstances peuvent transformer une relation en quelque chose de toxique ou, à l’inverse, en une chose fragile qui se brise face au premier obstacle. Dans tous les cas, leur dénouement est malheureux.

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    Les liens que nous établissons avec les gens qui nous entourent finissent parfois par se briser et par se transformer en souvenirs. 

    Le problème est que lorsque ces liens disparaissent, nous prenons conscience d’une terrible réalité : nous sommes désormais seuls.

    Mais, pourquoi nos relations se transforment-elles si souvent en relations liquides ? De nos jours, nous avons tous tendance à rechercher la satisfaction immédiate de nos besoins.

    Dès que nous sommes satisfaits, nous passons à autre chose.

    C’est une situation superficielle et tout à fait égoïste, mais de nombreuses personnes vivent actuellement dans cette triste réalité.

    De plus, il est important de signaler que de plus en plus de gens sont effrayés par l’idée de l’engagement.

    Nous voulons profiter de la vie, vivre de manière intense et ne pas nous sentir attachés à quelqu’un qui va finir par ne plus rentrer dans nos plans.

    Les responsabilités que peuvent créer un mariage ou un enfant nous paraissent désormais trop importantes et nous pouvons être tentés d’y échapper.

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    Nous ne nous sentons pas préparés, et nous avons envie de ressentir cette liberté qui nous permet de faire ce que nous désirons, sans charges ni responsabilités.

    Mais chaque chose que nous faisons a des conséquences, et nos relations deviennent de plus en plus fragiles.

    Savons-nous vraiment ce que nous voulons ?

    Vous ne vous reconnaissez peut-être pas dans les relations que nous venons de définir mais la société vous pousse à les expérimenter, d’une manière directe ou indirecte.

    Zygmunt Bauman, un sociologue et philosophe polonais, nous dit que nous sommes désormais obligés de nous adapter à une société qui change très rapidement.

    Elle exige de nous que nous soyons plus flexibles pour nous adapter et nous habituer à ses changements.

    Tout cela transforme les liens que nous entretenons avec les autres en relations liquides qui, selon Bauman, transforment peu à peu notre identité en « identité liquide ».

    Bien que nous paraissions durs à l’extérieur, ce n’est que le reflet de l’armure que nous portons. Nous avons l’air solides et forts, mais nous sommes des personnes fragiles et faibles en notre for intérieur.

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    A cause de ces changements continus, maintenir des relations solides est quelque chose de compliqué.

    Nous avons besoin d’une constante et d’une stabilité pour pouvoir éviter ces relations fragiles. C’est quelque chose d’impossible dans la société actuelle.

    L’importance des réseaux sociaux influe également sur notre manière de vivre nos relations.

    Le nombre d’amis que vous avez sur Facebook est-il important pour vous ? Avez-vous suivi des personnes sur Twitter simplement pour augmenter votre nombre de followers ?

    Comme vous pouvez le voir, nous préférons bien souvent la quantité à la qualité, et cela se reflète sur nos relations quotidiennes.

    Les plus jeunes d’entre nous veulent avancer dans la vie d’un pas léger, en changeant d’amis et de partenaires régulièrement. La famille perd de plus en plus de son importance.

    Des relations qui se transforment en connexions

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    Les personnes qui entretiennent des relations liquides savent qu’elles ne peuvent pas planifier leur vie sur du long terme. 

    Les changements qui se produisent et qui peuvent faire prendre à leur vie un virage à 180 degrés ne leur permettent pas d’être stables. C’est pour cela qu’elles ne s’engagent pas et qu’elles ont peur de leurs sentiments.

    Elles savent que ces sentiments peuvent générer de la dépendance et cela ne leur plaît pas.

    De plus, elles sont conscientes qu’il y a beaucoup de poissons dans la mer et que si une personne quitte leur vie, elles pourront la remplacer sans aucun problème.

    En prenant toutes ces dimensions en compte, nous pouvons affirmer que les relations établies dans ce contexte ne sont que des « connexions » avec les autres.

    En vérité, nous ne nous engageons pas à 100% et nous savons que les relations que nous entretenons ont une date de péremption très proche.

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    Comment peut-on sortir d’une telle situation ? Pouvons-nous établir à nouveau des relations solides ?

    Il est important de mentionner que tout le monde ne se laisse pas porter par cette « modernité liquide », mais si vous y êtes plongé, vous pouvez vous en sortir grâce aux conseils suivants :

    1. Renforcez votre identité : connectez-vous avec votre « moi » intérieur et découvrez qui vous êtes vraiment, et ce dont vous avez besoin. De cette manière, vous pourrez retrouver votre authenticité.
    2. Modifiez vos perspectives : demandez-vous si faites triompher la quantité sur la qualité. Si tel est le cas, changez votre perspective.
    3. Apprenez à vous engager : l’engagement et la responsabilité ne sont pas des concepts négatifs. Vous devez être prêt à prendre des risques, à vous investir. Cessez de trop vous préoccuper, n’ayez plus peur. Seuls ceux qui prennent des risques gagnent.

    Vous avez établi des relations liquides dans votre vie ? Que pensez-vous de ce concept ?

    Même si vous pouvez avoir l’impression que tout est négatif, toute situation a des aspects positifs. Vous avez le choix d’établir des relations solides ou de continuer à entretenir des liens fragiles.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 clés pour calmer un esprit inquiet et trouver la paix intérieure

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si au début il peut sembler compliqué de le contrôler, il est possible d'apprendre à gérer un esprit inquiet et d'éteindre le bruit pour que nos émotions ne nous dominent pas.
     
     
     
     

    Un esprit inquiet ne laisse aucun répit ni repos. Nous allons de préoccupation en préoccupation, de la peur à l’anxiété.

     

     

    Petit à petit, nous tissons des réseaux si complexes dans notre cerveau que nous perdons ce merveilleux privilège nommé paix intérieure.

    Il est possible que beaucoup de gens confondent le concept d’esprit inquiet avec curiosité et productivité.

    S’il est évident que cette énergie intérieure est parfois le reflet de l’envie d’apprendre, la plupart des fois, cette inquiétude est en fait un bruit mental désagréable.

    C’est de la confusion, de la fatigue et du malheur.

    Souvent, on dit « qu’il n’y a pas pire ennemi que celui que l’on se crée soi-même dans son esprit ».

    Cependant, au lieu de le voir comme une responsabilité personnelle exclusivement, ce stress intérieur doit être perçu comme une subtile combinaison de choses.

    Dans cet article, nous vous proposons de réfléchir à cela pour trouver le calme. Il est facile de réussir cela, il suffit d’un seul ingrédient : la volonté.

    Un esprit inquiet et l’océan turbulent de notre cerveau

    L’un des livres les plus connus concernant ces situations aussi complexes où le bruit mental se mêle à la dépression est celui de Kay Jamison.

    Ce psychiatre de l’Université de Hopkins de Baltimore (États-Unis) explique ce cas particulier :

    Depuis toute petite, j’ai toujours été sujette à l’instabilité affective et émotionnelle. La tristesse m’a accompagnée dans l’adolescence et au début de ma vie professionnelle, je suis tombée dans les spirales inexorables de la peur, de l’anxiété et de cet esprit inquiet qui me laissait à peine vivre.

    De l’exaltation à la dépression: confession d’une psychiatre maniaco-dépressive, Kay Jamison

    Si vous sentez que cela vous concerne, tenez compte des 5 parties suivantes car elles pourront vous aider.

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    1. Ôtez-vous les poids non nécessaires

    Ils sont là, même si vous ne les voyez pas. Dès que vous vous rendrez compte de tous ces poids, vous vous sentirez bien mieux.

    • Vous êtes entouré de personnes qui, au lieu de vous apporter des choses, vous enlèvent de l’énergie. 
    • Il est possible que vous fassiez passer en priorité des aspects qui ne sont pas bons pour vous.
    • Comprenez que « moins est toujours plus ».

    2. Arrêtez-vous un instant et respirez, éteignez le bruit mental

    Hier n’existe plus. Le passé ne peut être modifié et le futur n’existe pas encore. Alors, concentrez toute votre attention sur l’ici et le maintenant, là où vous vous trouvez en ce moment-même.

    • Arrêtez-vous et prenez une grande respiration. Prenez-la avec force et retenez-la pendant 5 secondes. Ensuite, expirez en soufflant fort.
    • Cet exercice tout simple, que vous le croyez ou non, libère votre esprit, l’oxygène et lui permet de trouver le calme.
    • Quand le corps se bien, c’est le moment de se connecter à soi-même.
    • Ensuite, demandez-vous avec humilité ce que vous voulez, ce que vous cherchez, ce que vous ne voulez pas, ce à quoi vous aspirez.

    Il est bon de pratiquer cet exercice tous les jours, au lever.

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    3. Construisez des murs protecteurs

    L’esprit inquiet souffre car il est très perméable. Car il laisse entrer les préoccupations des autres, les égoïsmes, les intérêts de ceux qui nous entourent.

    Quand cette énergie négative fait irruption dans notre intérieur, elle se mêle à nos fragilités personnelles. Et le mélange est terrible.

    Il est nécessaire de dresser des murs de la manière suivante :

    • Je m’éloigne de ce qui n’est pas harmonieux avec moi. Je ne veux pas d’égoïsmes, je ne veux pas de faux intérêts.
    • Je dresse des murs pour ceux qui m’amènent des tourments lors de mes journées de calme.
    • Je construis des murs pour ceux qui ne me respectent pas. Je leur pardonne et je les laisse partir.

    4. Le silence qui répare

    Une fois par jour et au moins pendant une heure ou deux, vous avez besoin d’un bain de silence absolu.

    Ces moments de tranquillité et de paix intérieure nous permettent de nous connecter à nos besoins pour calmer l’esprit inquiet.

    Car l’esprit nerveux qui saute de trou noir en trou noir a oublié de s’écouter lui-même. Il ne se souvient plus combien il vaut et à quel point il est important.

    • Détendez-vous dans le silence et éteignez les peurs, les voix intérieures. Laissez les émotions vous envahir telles que la satisfaction, la paix intérieure, l’équilibre dans l’esprit et le cœur.

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    5. Cultivez la gratitude

    Cette dimension est sans aucun doute la plus difficile à réaliser.

    Détendez-vous et réfléchissez aux aspects suivants :

    • Si vous vous sentez mal car certaines personnes ne vous aiment pas, éloignez-vous. La solution peut être très simple, mais elle demande du courage.
    • Si ce que vous ressentez aujourd’hui est du mal être, faites un tour de vos pensées. Choisissez de ne pas vous sentir ainsi : éteignez ce que vous ressentez et souvenez-vous de ce que vous méritez.
    • Remerciez les petites choses qui vous entourent et que, peut-être vous avez négligées.
    • Soyez reconnaissant car vous êtes en bonne santé, car vous avez à vos côtés des personnes qui vous aiment et que vous aimez.
    • Apprenez à remercier chaque jour nouveau. Car ce sont des opportunités qui s’ouvrent dans votre horizon pour que vous réussissiez ce que vous désirez. 

    Être heureux, être calme, à l’équilibre.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Évitez les personnes qui vous épuisent,

    entourez-vous de qui rend votre cœur joyeux

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Puisque que nous devons fréquenter de nombreuses personnes qui épuisent notre énergie, il est bon d'apprendre à mettre des limites pour qu'elles ne nous affectent pas trop.
     
     
     
     

    Il y a des personnes qui nous épuisent, qui nous enlèvent de l’énergie, qui nous obligent à livrer des batailles les jours où nous voulons seulement la paix.

     

     

    Aussi curieux que cela puisse paraître, les fameux « saboteurs du bonheur » existent dans tous nos environnements personnels. Ils se trouvent dans la famille, dans les amis et dans le contexte professionnel.

    Parfois, ils déploient leurs comportements toxiques sans s’en rendre compte. Ils ont besoin de nous, ils cherchent du soutien, des conseils, un soulagement… Des aspects que nous pourrions comprendre si ce n’était pas toujours le même refrain.

    Alors, tout d’un coup, le chantage et le reproche apparaissent.

    Vivre ensemble n’est jamais facile. Cependant, l’essentiel dans ce cas, c’est de savoir exercer le respect adapté où l’on peut se sauvegarder tout en cherchant toujours des personnes qui nous inspirent et nous rendent heureux.

    Les personnes qui épuisent, des sources de stress quotidien

    Nous sommes tous enveloppés constamment de multiples situations de stress.

    Mais il y a quelque chose dont nous devons tenir compte. S’il y a des personnes qui nous épuisent, nous asphyxient et altèrent notre équilibre émotionnelle, c’est parce que nous sommes « perméables ». 

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    Chaque esprit dispose d’un niveau de perméabilité ou de tolérance et cela dépend sans aucun doute du type de personnalité.

    • Les profils introvertis ont une tolérance moindre aux situations d’interaction sociale constante. Ils ont besoin, pour ainsi dire, de moments de solitude pour recharger leurs batteries.
    • Les personnes les plus extraverties recherchent plus de stimulations et en général, elles tolèrent et aiment discuter avec beaucoup de gens, bougeant dans des environnements très différents et organisant de nombreuses choses.
    • Le problème survient lorsque les introvertis et les extravertis doivent faire face à ces saboteurs de bonheur, à ces profils qui les épuisent car ils se font passer avant les autres. 

    Ils nous fatiguent avec leurs critiques, leurs obsessions, leur recherche constante des problèmes là où il n’y en a pas.

    Que nous le croyons ou pas, une grande partie de notre stress a comme source principale les interactions avec d’autres personnes, avec celles qui nous épuisent.

    Dans cet article, nous vous expliquons quels sont les effets que cela peut avoir sur votre cerveau.

     

    Interactions négatives et conséquences cérébrales

    Dans ces situations, le terme « se brûler » prend tout son sens. Nous pensons à notre cerveau comme un merveilleux réseau neuronal. Un tissu où l’harmonie règne.

    Quand nous vivons des situations de stress continu ou chronique, cette harmonie se brise. Et plus encore, il y a des endroits où elle se perd :

    • Les dendrites de nos cellules nerveuses dans la zone de l’hippocampe se brisent. Cela arrive à cause de l’altération des neurotransmetteurs. Le cortisol exerce un effet très négatif à cause de notre cerveau.
    • Les dendrites sont ces « petits bras » qui unissent les neurones entre eux.
    • Plus il y a du stress, moins il y a de connectivité dans la zone de l’hippocampe car de nombreuses dendrites se cassent et cela interrompt la connectivité.
    • Souvenez-vous que l’hippocampe est la structure cérébrale où notre mémoire et nos émotions se logent.

    Tour cela explique pourquoi, dans des situations d’anxiété ou de stress, nous perdons notre concentration. Quelque chose de courant également est l’apathie et la négativité.

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    Comment apprendre à être moins « perméables » aux personnes qui nous épuisent ?

    Ce n’est pas facile d’apprendre à être moins perméables aux situations de stress. Tout d’abord, car parfois, la négativité nous bloque. Nous nous sentons sans défense.

    Comment réagir face à cette personne qui m’épuise si c’est ma mère ? Que se passe-t-il si c’est mon conjoint ou mon chef ? Ce sont, sans aucun doute, des réalités très délicates qui demandent beaucoup d’effort de notre part.

    Il faut essayer de mettre ces petites stratégies en route.

    Éviter que cela nous affecte

    Il est possible qu’une amie ou un proche vous appelle à chaque instant pour vous raconter ses problèmes. Une solution : répondre à leurs appels seulement une fois tous les deux jours.

    Nous devons éviter de ressentir de la mauvaise conscience car nous mettons des limites. Peut-être qu’ils s’énerveront une fois, deux fois, trois fois. Mais, petit à petit ils s’adapteront à vos barrières, à vos murs personnels.

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    Cherchez des personnes qui vous inspirent et qui vous rendent heureux

    Si une partie de votre famille, ou vos collègues de travail vous épuisent, reposez-vous avec les personnes qui savent vous rendre heureux.

    • La vie, c’est l’équilibre. Alors, nous devons travailler pour trouver cet équilibre. Chaque chose en son temps.
    • Les personnes qui épuisent les autres doivent rester loin. Si nous sommes obligés d’interagir avec elles, nous le ferons en mettant des limites. En pensant d’abord à vous et en sauvegardant notre estime de nous-même. 
    • pendant 70% du temps, il peut être judicieux que vous vous enrichissiez personnellement. Pour cela, n’hésitez pas à fréquenter des personnes qui en valent la peine, qui vous inspirent, qui vous apportent de la sécurité et du positif.
    • Vous avez sûrement de chouettes collègues au travail. Et dans votre famille, il y a forcément quelqu’un que vous adorez.

     

     

    Alors, souvenez-vous qu’en amour, les personnes qui épuisent n’ont pas leur place. Car ceux qui nous épuisent ne nous aiment pas ; ils consument notre moral et notre santé.

    Ne l’oubliez pas.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Le syndrome du nid vide : quand la solitude imprègne le foyer

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si le syndrome du nid vide peut nous affecter quand nos enfants partent de la maison, nous devons comprendre que c'est pour leur bien et que cela fait partie du cycle de la vie.
     
     
     
     

    Vous vous êtes déjà senti seul ? Si vous êtes parent, vous avez sûrement vécu cette situation où les enfants deviennent grands et qu’ils abandonnent la maison. Cette solitude que vous ressentez et que vous craignez s’appelle le syndrome du nid vide. 

     

    Toutes nos émotions et sentiments se trouvent influencés par ce qui se passe dans notre entourage. Cela inclut non seulement les situations de travail ou de famille, mais il faut savoir que les personnes en elles-mêmes ont ici un rôle primordial dans leur moral.

    Les gens jouent un rôle fondamental car ils sont les principaux responsables de leurs propres émotions.

    Dans le cas des parents, les enfants abandonnent le nid tôt ou tard. Ils le savent, mais c’est dur, une fois le moment arrivé, de se confronter à la solitude du foyer. Un foyer qui a changé et qui, pour eux, est maintenant imprégné de souvenirs.

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    Le syndrome du nid vide et la perte

    Le syndrome du nid vide peut se définir en un seul mot : la perte. La perte des enfants qui ont décidé de s’émanciper, partir vivre seuls pour étudier loin de la maison ou tout simplement fait leur propre vie et construit une famille.

    Il est possible que ce soit les mères qui ressentent cette sensation de solitude dans le foyer. Elles ont porté leurs enfants en elles et s’y sentent connectées via un lien spécial.

    D’une certaine manière, ils sont une partie importante d’elles et elles se sentent extrêmement responsables de tout ce qui leur arrive.

    Et soudain, vous remarquez que sa chambre est complètement vide. Vous ne devez plus penser à l’heure à laquelle il rentrera, et vous n’aurez même plus l’opportunité de vous disputer.

    Tout a changé et cela, en tant que progéniteur, vous attriste. Souvent, vous commencez à développer des comportements que votre enfant peut récriminer, comme l’appeler chaque jour. 

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    C’est normal, vous avez la nostalgie de ce contact et de la communication quotidienne. Cependant, tout a changé.

    Cette situation est bien plus difficile pour les parents qui se retrouvent seuls. S’ils sont en couple, le syndrome du nid vide est bien plus facile à surmonter, mais s’ils sont seuls, la sensation de solitude augmente. 

    Malgré cela, c’est une situation que nous devons respecter et savoir affronter de la meilleure des manières. La tristesse et la nostalgie sont normales. Même si cela est difficile, c’est le moment d’accepter que les petits se sont envolés du nid.

    La situation actuelle des jeunes

    Le syndrome du nid vide se voit alimenté de manière négative par une situation actuelle que les jeunes doivent vivre. Ceux qui ne se sont pas émancipés à des âges avancés sont de plus en plus nombreux.

    Le chômage, une situation professionnelle précaire, le manque de motivation ou le confort d’être dans la maison de ses parents, encourage ces enfants à y rester bien plus longtemps.

    Si un travail surgit, ils doivent parfois partir loin de la maison ou même changer de pays. Cela attriste encore plus si les parents, qui ne sont pas préparés, doivent affronter cette situation tout d’un coup.

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    Quand les enfants ont leur vie et leur propre famille loin de leurs parents, la sensation de mal être grandit car ils ne peuvent pas les voir et établir une connexion avec leurs petits-enfants.

    Surmonter le départ des enfants

    Il est évident que la relation entre parents et enfants déterminera la gravité ou pas de ce syndrome. Comme nous l’avons dit, les parents qui sont seuls seront les plus affectés. Malgré cela, avec des efforts, il est possible de dépasser cela.

    • Acceptez la situation : parfois, nous nous obstinons à aller à l’encontre d’une circonstance que nous ne pouvons pas résoudre. C’est le moment d’accepter que nos enfants sont partis pour faire leur propre vie.
    • Concentrez-vous sur votre couple : si vous êtes en couple, ce dernier est parfois délaissé car vous concentriez toute votre attention sur vos enfants. C’est le moment de faire des choses ensemble et de retrouver une vie conjugale saine.
    • Ne restez pas chez vous : que vous soyez en couple ou seul, c’est le moment de retrouver des habitudes sociales saines. Retrouver ses amis, se promener ou se plonger dans des activités qui vous font oublier la solitude que vous ressentez quand vous êtes chez vous.

     

    Le syndrome du nid vide est difficile à dépasser, mais n’oublions pas que c’est une étape par laquelle tout parent passe tôt ou tard.

    Accepter la situation, la comprendre et faire un effort pour la surmonter du mieux possible seront les meilleurs alliés.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • L’important ce n’est pas d’être pareil :

    c’est de former une belle équipe

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les membres d'un couple doivent être complémentaires. Même si nous n'avons pas les mêmes goûts, il faudra parfois céder pour le bien de la relation. Car nous formons une équipe.
     
     
     
     

    Il y a des personnes qui s’évertuent toute leur vie à trouver leur âme sœur. LA personne parfaite en termes de goûts, de passions et d’habitudes. Mais, en réalité, le plus important est de savoir former une bonne équipe. 

     

     

    Peu importe si notre conjoint préfère rester à la maison et que nous aimons sortir dîner dehors. Cela n’a pas d’importance si nous aimons le sport et que l’autre aime les films romantiques.

    La clé se trouve dans le fait de savoir se respecter, d’arriver à des accords, de se permettre d’apprendre de l’autre.

    Car être en couple, ce n’est pas coïncider à 100% dans tout, ce n’est pas respirer par le même cœur ni voir à travers les mêmes yeux.

    Être en couple, c’est savoir tisser un tissu fort et résistant avec de magnifiques contrastes, et qui forme un patchwork aussi beau de durable.

    Dans cet article, nous vous expliquons quelles sont les clés pour former une bonne équipe. La meilleure des équipes.

    Malgré les différences, nous sommes une grande équipe

    Nous ne devons pas tomber dans l’erreur du désespoir uniquement parce que nous n’aimons pas les mêmes choses. Parce que nous n’aimons pas les mêmes livres, les mêmes films, les mêmes plats.

    Ce qui doit nous inquiéter, ce serait plutôt notre incapacité à arriver à un accord. Tout comme ce personnage qui, au lieu de se mettre à la place de l’autre, cherche à imposer ses propres opinions et décisions.

    Voyons cela en détail.

     

    Ce qui est important, ce sont les valeurs

    Pour former une bonne équipe, nous pouvons nous permettre de différer sur les opinions politiques et même d’avoir des personnalités différentes. Les personnes introverties peuvent être de bons conjoints pour les personnes extraverties.

    Cependant, il y a quelque chose qui doit toujours être harmonisé dans le couple : ce sont les valeurs.

    • Ce sont les valeurs qui font que nous avons les mêmes idées sur ce qu’est une relation affective et ce qu’est une famille. 
    • Avoir le même schéma de valeurs fait que nos différences seront respectées et comprises. Et plus encore, que nous les voyons comme d’autres points de vue dont il faut tenir compte et desquels nous pouvons apprendre.

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    Car penser différemment ne signifie pas ressentir différemment

    Si votre conjoint adore les chats et que vous adorez les chiens, cela ne signifie pas qu’il vous aime moins. S’il est végétarien, cela ne signifie pas qu’il doit vous détester parce que vous ne l’êtes pas.

    • Penser différemment ne signifie pas que nous nous aimons moins. Cela signifie que nous nous respectons et que nous nous donnons de la liberté. Et avant tout, l’opportunité d’être nous-même.
    • Mais, il y a quelque chose dont nous devons tenir compte : l’autre personne n’aura jamais le droit de changer notre manière de penser ou de nous imposer ses goûts, ses idéaux ou ses passions.
    • Car pour être une équipe, chaque membre doit savoir que sans respect, il n’y a pas d’alliance. Sans compréhension des différences, il n’y a pas d’opportunités d’union.

    Nos différences nous enrichissent

    • Nos vies professionnelles évoluent dans des sphères différentes, et nous passons la journée dans des décors différents. Pourtant, lorsqu’on arrive à la maison, les carapaces tombent et il ne reste que l’authentique : deux personnes qui s’aiment.
    • Nous avons des différences, nous bougeons dans des endroits différents. Pourtant, nous adorons parler de notre journée. Nous adorons apprendre l’un de l’autre, voir d’autres perspectives. 
    • Peu importe s’il y a des aspects en nous qui ne s’harmonisent jamais. Il est possible que votre couple ne cède jamais alors que vous désirez acheter une maison à la campagne. Mais peut-être qu’il accepte de faire des excursions à la campagne tous les week-ends.

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    Nous savons arriver à des accords

    Pour former une bonne équipe, nous avons besoin d’arriver à des accords. Ainsi, il est vital de savoir mettre en pratique les clés d’une bonne communication pour atteindre ces objectifs communs :

    • Écoutez avec respect et intérêt : écoutez pour comprendre, non uniquement pour répondre.
    • Comprenez le point de vue de l’autre personne. Nous avons tous notre propre opinion sur certaines choses, mais il est nécessaire de ressentir de l’empathie, de vous mettre à la place de votre conjoint pour comprendre ce qu’il ressent et pourquoi il défend ce qu’il défend.
    • Céder, ce n’est pas perdre, c’est essayer de nouvelles possibilités. Pour former une bonne équipe, il faut éclaircir une bonne chose : personne ne doit perdre et il n’y a pas qu’une personne qui doit gagner.
    • Nous devons arriver à des victoires quotidiennes qui nous permettent de céder quelque chose de temps en temps.
    • Alors, nous ne devons pas nous enfermer chaque fois un peu plus. Au contraire, en cédant un peu, nous finissons par découvrir des choses que nous n’attendions pas. Des aspects qui  enrichissent les deux personnes.

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    Cela vaut la peine d’en tenir compte. Car les meilleurs couples sont des âmes sœurs avec les mêmes valeurs mais avec des différences qui s’harmonisent à force de dialogue et de respect.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Je ne me mets plus en colère. J’écoute et j’évite

    que ce qui ne me correspond pas m’affecte

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Nous ne pouvons pas laisser le comportement d'une autre personne conditionner notre vie. Nous sommes responsables de nos émotions et nous devons apprendre à les rationaliser pour que la colère ne nous détruise pas.
     
     
     
     

    La colère est une émotion humaine aussi normale que fréquente. Elle est commune chez les adultes, mais surtout chez les petits enfants quand, par exemple, ils ne savent pas gérer le report des récompenses.

     

     

    Nous ne devons pas voir cette sensation comme quelque chose de purement négatif. Nous nous énervons tous, nous nous remplissons tous de colère face à des situations que nous considérons injustes, et cela est aussi quelque chose de sain qui nous permet de pouvoir réagir face à ce qui n’est pas permis, face à ce qui fait du mal.

    La colère doit cependant être quelque chose de ponctuel et de limité dans le temps. Nous devons la voir comme un interrupteur, quelque chose qui s’allume dans notre cerveau pour nous informer que quelque chose dans notre entourage nous inquiète, et que nous devons prendre une décision.

    Si nous laissons cette émotion nous contrôler, nous tomberons dans l’irrationalité de la colère, des cris et d’une réaction que, possiblement, nous regretterons. La colère s’écoute et plus tard, se contrôle pour apporter une réponse adaptée à la situation.

    Aujourd’hui, dans cet article, nous vous invitons à plonger dans les méandres de cette émotion aussi commune que méconnue.

    Connaître la colère pour y répondre le mieux possible

    L’un des meilleurs spécialistes de la colère, de l’énervement et de la résistance est sans aucun doute Eckhart Tolle. Ce psychologue positiviste et représentant de ce versant le plus spirituel de la science du comportement nous apporte une vision très claire de cette construction psychologique.

    • La colère est une émotion négative puissante et torturante. Cet énervement qui ne se contrôle pas et qui débouche tout d’un coup inonde notre esprit de pensées négatives.
    • Celui qui raisonne à ce moment-là, ce n’est pas nous, ce n’est pas notre partie équilibrée et logique, mais l’émotion négative les plus crue.
    • Il faut savoir que ce que signale Eckhart Tolle, c’est que parfois, nous sommes énervés contre quelque chose, mais nous ne nous en rendons pas compte.

    Au bout d’un moment, cette sensation de négativité envahit les champs de notre vie, au point qu’ils sont saturés par le pessimisme .

    • La colère, de plus, se transmet comme une énergie asphyxiante qui crée des distances et de l’inconfort entre les personnes. Ce n’est pas bon.

    Nous allons vous expliquer comment résoudre ce mal être, ce manque d’harmonie avec nous-même et avec notre entourage.

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    Comment être conscient de ce que l’on génère ?

    Nous allons vous donner un exemple. Imaginez que vous passez une mauvaise journée au travail. Un collègue génère un environnement toxique en lançant des critiques méchantes et des rumeurs infondées. Cela vous dérange.

    • Vous accumulez une grand dose d’énervement, de fatigue et de négativité qui finit par se projeter chez vous et sur vos proches. N’importe quel fait ponctuel provoque une réaction démesurée de votre part.
    • La première chose à voir est de savoir percevoir cette émotion intérieure, ce mal être et ce que cette sensation crée dans votre entourage.
    • Une émotion négative ne crée pas uniquement des pensées négatives mais également des comportements inappropriés. Il est nécessaire de savoir les voir, de savoir percevoir cette bataille qui se livre en nous.

     

    Comment agir ?

    Nous ne sommes plus conscient de ce qui arrive et ce que nous provoquons dans notre entourage. La source du problème ne se trouve pas à la maison. De fait, elle n’est pas non plus au travail. Elle se trouve dans notre esprit.

    • Parfois, il nous est impossible de changer le comportement d’une personne ou d’un groupe de personnes. Dans ce cas précis, ce collègue de travail ne va pas changer : sa personnalité est ainsi et il utilisera toujours les critiques et les rumeurs.
    • Quand il nous est impossible de changer quelque chose de négatif dans notre entourage, ce que nous devons faire, c’est varier la manière dont les émotions nous affectent.
    • Il ne s’agit pas du tout de ne pas lui donner l’importance qu’il mérite ou de faire comme si rien ne nous affectait. Il s’agit d’exercer un « contrôle ». De dominer les émotions négatives pour qu’elles ne nous dominent pas et n’affectent pas notre vie, la transformant en un enfer.
    • Ce qui nous contrôle nous rend prisonniers et appauvrit notre qualité de vie. Ce n’est pas bon, nous ne devons pas le permettre.

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    Nous devons calmer notre colère et avec assertion, calme et équilibre, faire savoir à cette personne que son comportement n’est pas adapté. Réguler ses émotions ne signifie pas que l’on ne peut pas agir.

    Une fois que la source du problème qui nous altère et nous énerve est claire, il est alors possible de rationaliser les émotions négatives qui peuvent subsister en nous.

    • Ces critiques ne me correspondent pas car elles ne me définissent pas. Les offenses ne me font pas mal : je sais qui je suis, je protège mon auto-estime.
    • Ce qu’une personne pense concrètement de moi est son opinion, son univers, sa sphère particulière et limitée, mais ce n’est pas mon monde et cela ne me définit pas. Je me mets alors à « désactiver toute colère et toute émotion négative ». Je me libère.

     

    La colère se calme en étant conscient de cette émotion négative, en la contrôlant et en la gérant. N’oubliez pas non plus que ces stratégies sont également très adaptées avec les enfants.

    Plus on comprend ses propres émotions, mieux c’est.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Comment aller de l’avant quand rien ne nous rend heureux

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Lorsque rien ne nous rend heureux, nous ne devons pas désespérer. Il faut avancer pas à pas pour générer ces changements que nous attendons et qui vont nous apporter du bien-être.
     
     
     

    Nous connaissons tous des périodes durant lesquelles rien ne nous rend heureux. Le monde perd de sa brillance, de ses chansons, de sa mélodie, de ses rires et de sa joie.

     

    Continuer à aller de l’avant dans ces moments n’est pas simple, surtout que nous n’avons aucune raison forte qui nous motive à nous lever chaque matin. Cependant, cette raison est présente et facile à identifier : il s’agit de vous-même.

    Lorsque nous négligeons nos besoins émotionnels, lorsque nous laissons nos idées noires nous envelopper, lorsque nous perdons le contrôle sur notre existence, le monde nous paraît fonctionner à l’envers.

    Nous pouvons nous dire qu’il ne s’agit que d’une passade, nous pouvons nous dire que « le temps guérit tout et que tout finit par passer« , mais si nous ne reprenons pas les rênes de notre univers personnel, les bonnes paroles et les tapes sur les épaules ne nous seront d’aucune utilité.

    Il y a réellement des moments dans notre vie où rien ne nous rend heureux. Cependant, ne laissez pas un mauvais moment devenir une mauvaise vie.

    Nous allons vous expliquer comment procéder.

    Des stratégies d’affrontement

    Si rien ne vous rend heureux, si vous vous rendez compte que cela fait plus de trois mois que vous avez le moral dans les chaussettes, avec des problèmes d’insomnie et une apathie constante en sus, vous devez absolument consulter votre médecin.

    Vous pouvez souffrir de dépression, c’est une option envisageable. Seul un professionnel de santé peut vous offrir un diagnostic adéquat et vous indiquer les stratégies à suivre en fonction de vos besoins.

    Une fois que vous avez pu mettre ce problème de côté, il est nécessaire que vous réfléchissiez sur certaines dimensions de la vie et que vous preniez des résolutions pour améliorer votre quotidien.

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    Respectez votre rythme intérieur

    Si vous vous sentez mal, vous ne pouvez et ne devez pas le dissimuler. A quoi cela vous servirait-il de sourire et de porter un masque alors que vous ressentez de la tristesse et de l’apathie ?

    • Ne feignez pas ce que vous ne ressentez pas ou vous allez intensifier votre souffrance.
    • Vous avez le droit de vivre des moments de fragilité, de tristesse. Que vous le croyez ou non, les émotions négatives ont une fin : elles sont là pour nous faire voir ce que nous devons changer dans notre vie pour mieux nous adapter à notre environnement.

    Adoptez un rythme plus lent, car votre corps et votre esprit en ont besoin. Vous devez réaliser une introspection qui va vous permettre de découvrir ce qu’il se passe au fond de vous.

     

    Laissez de côté ce que vous ressentez et découvrez ce dont vous avez besoin

    Vous ne vous sentez pas bien et vous ressentez parfois de la colère, mais aussi de la tristesse. A certains moments vous avez un besoin irrépressible de dormir, à d’autres vous voulez vous confier à quelqu’un.

    Une fois que vous avez pris conscience de ce tourbillon émotionnel dans lequel vous vous trouvez, c’est le moment de laisser au second plan ce que vous ressentez pour identifier ce dont vous avez besoin.

    • Vous avez besoin d’avoir une meilleure image de vous-même.
    • Vous avez besoin de passer un moment seul.
    • Vous avez besoin de vous découvrir de nouvelles passions.
    • Vous avez besoin d’un nouveau départ.
    • Vous avez besoin de ne plus ressentir de tristesse.
    • Vous avez besoin de vous sentir utile.
    • Vous avez besoin d’être aimé comme vous le méritez.

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    Des petits changements quotidiens

    Personne ne peut se sentir heureux du jour au lendemain. Le bien-être se travaille de jour en jour, en modifiant peu à peu nos pensées et en faisant de petits changements régulièrement.

    • Aujourd’hui je vais me fixer l’objectif de faire une longue balade, dont j’essaierai de profiter au maximum.
    • Aujourd’hui je dois contrôler mes pensées négatives.
    • Aujourd’hui je vais passer du temps avec un ami et je vais lui parler de mes plans d’avenir.
    • Aujourd’hui je vais me faire passer en priorité, je vais me réserver un moment de plaisir.
    • Aujourd’hui je vais m’impliquer dans un projet à long terme : je vais m’inscrire à un cours ou projeter un voyage.

    Ces petits changements quotidiens génèrent d’importantes améliorations émotionnelles qui vont restaurer petit à petit votre bien-être.

    Pour être heureux, vous devez renoncer à certaines choses

    Pour être heureux, nous devons être capables de renoncer à certaines choses, voire à certaines personnes. Tout cela requiert un grand courage et des sacrifices qui peuvent s’avérer importants.

    • Vous devez apprendre à être attentifs à vos besoins, à votre conscience. Si vous vous rendez compte que ce qui vous entoure vous éloigne de ce que vous désirez, vous êtes actuellement dans une situation où vous avez renoncé à votre bonheur.
    • Renoncer c’est apprendre à fermer des cycles, des étapes. C’est savoir reconnaître ce que les autres ne vous apportent pas, ce qui ne vous enrichit pas et ce qui vous fait souffrir.
    • Vous devez garder à l’esprit que parfois votre malheur n’est pas de la responsabilité des autres. Vous êtes parfois à l’origine de ce problème, à cause de vos peurs et de vos insécurités, qui vous poussent à fermer les portes de votre bonheur.

     

     

    Apprenez à identifier tout ce qui vous empêche d’aller de l’avant et débarrassez-vous en. Le jeu en vaut toujours la chandelle.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Vivez votre vie et oubliez votre âge

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Notre esprit peut avoir un âge différent de celui qui est marqué par notre naissance. Indépendamment de cette dernière, concentrez-vous sur la vie pour en profite sans penser à ce chiffre.
     
     
     
     

    Et vous… quel âge avez-vous ? Nous ne parlons pas du nombre d’anniversaires que vous avez célébrés mais de cet âge que vous ressentez dans votre cœur et dans votre esprit.  

     

     

    C’est celui-ci qui est vraiment important car, au-delà des vraies années, se trouvent la vie et la rumeur de ce bonheur que nous inscrivons en lui. Lorsque nous nous sentons bien avec ce que nous sommes et ce que nous voyons dans le miroir.

    Il y a quelque chose que nous savons tous, c’est que notre société a tendance à valoriser la jeunesse à l’excès. Ils nous vendent l’idée qu’être jeune est synonyme de beauté et pas uniquement, car elle est également synonyme de bien être.

    Il est très difficile de voir sur les podiums des hommes et des femmes d’âge mûr, des visages qui sourient avec des rides bordant les visages et des peaux un peu plus flasques mais tout aussi belles que les jeunes.

    Peut-être que la jeunesse vend pour les grandes firmes mais il faut savoir qu‘être jeune ne signifie pas forcément être heureux.

    Le meilleur âge est celui que nous avons aujourd’hui, car c’est à ce même moment que les meilleures opportunités d’être ce que nous souhaitons s’ouvrent. Que nous ayons 20 ou 60 ans.

    L’âge n’importe pas tant qu’il y a l’envie de rire

    Quel a été votre première pensée ce matin ? Que vous le croyez ou non, quand vous vous levez et que vous n’avez aucun rêve ou projet en tête pour la journée, c’est là que vous commencez à vieillir.

    Un esprit assaisonné par des rêves, des projets, des inquiétudes, des curiosités est ce qui permet à une personne de profiter au maximum de la vie, peu importe l’âge qui se trouve sur son passeport ou sur son permis de conduire.

    Cependant, il y a des moments où nous nous concentrons uniquement sur l’extérieur, sur cette bougie supplémentaire sur le gâteau d’anniversaire, sur ce nombre qui s’affiche sur la balance ou sur cette taille que nous aimerions atteindre pour remettre les vêtements qui nous allaient quand nous étions jeunes.

    Tous ces exemples sont d’authentiques sources de souffrance qu’il faut savoir rationaliser. D’où le fait que nous souhaitions vous montrer, comme un exemple, comment certaines personnes vieillissent.

    Un processus qui débute dans la tête, non pas dans la peau, et que nous devrions tous éviter.

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    Nous vieillissons quand nos rêves s’éteignent

    • Vous vieillissez quand vous dites « non » à une journée à la plage car vous avez honte que les autres vous voient en maillot de bain et découvrent comment votre corps a changé.
    • Vous vieillissez quand vous faites cas de quelqu’un qui vous dit “ce n’est pas pour toi car ton train est déjà passé”.
    • Vous vieillissez quand vous vous accrochez aux routines et que vous craignez les changements en pensant qu’ils vont vous amener quelque chose de mauvais. 
    • Vous vieillissez quand vous voyez avec envie le bonheur des autres au lieu de sortir de le chercher, au lieu de le créer vous-même.
    • Vous vieillissez quand vous arrêtez de vous fixer des objectifs sur votre ligne d’horizon et que vous préférez suivre les pas de ce que vous ordonnent les autres.
    • Vous vieillissez quand vous refermez des portes et vous vous transformez en simples spectateurs d’une vie qui passe devant vos fenêtres.
    • Vous vieillissez quand vous vous rendez, quand vous arrêtez d’avoir confiance et que vous êtes souvent de mauvaise humeur.
    • Vous vieillissez quand vous arrêtez de vous intéresser aux choses, de vous poser des questions, « d’essayer pour voir ce qui se passe ».

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    Les raisons pour lesquelles j’ai oublié mon âge

    Nous sommes sûr que vous aussi vous avez arrêté de vous souvenir de votre âge pour vous concentrer sur ce qui est important dans la vie : la vivre.

    Car peu importe les années que nous avons : l’essentiel, c’est d’obtenir que chaque instant en vale la peine. Nous vous invitons à présent à penser à ces phrases, à ces idées à intérioriser pour être un peu plus heureux.

    • Une journée avec des inquiétudes, des colères et des disputes est une journée perdue.
    • Chaque lever du soleil est une nouvelle opportunité dont il faut savoir profiter, que nous ayons 20, 30 ou 70 ans.
    • Mûrir, c’est apprendre ce qui en vaut vraiment la peine. Tout le reste, tout ce qui amène des cauchemars et nous éloigne de notre équilibre intérieur, mieux vaut le jeter.
    • La vie est trop courte pour vivre en fonction des plans des autres !
    • Comprenez que les opinions des autres ne vous définissent pas, alors votre seul objectif à partir d’aujourd’hui, c’est d’être vous-même, et d’aller sur le quai où les trains que vous avez laissé échapper passent encore.
    • Les bonnes amitiés sont celles qui nous permettent de continuer à être jeunes pour rêver à la vie : choisissez bien avec qui vous passez votre temps.
    • Rendez les autres heureux le plus possible, car chaque émotion positive donnera vie à votre cœur et jeunesse à vos sourires.
    • Soyez passionné par la vie. Chaque jour, posez votre regard sur la serrure de la curiosité et apprenez quelque chose de nouveau. Laissez-vous surprendre par tout ce qui vous enveloppe.

     

    N’hésitez pas mettre en pratique ces conseils simples et de profiter de chaque jour de l’âge que vous avez aujourd’hui. 

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Avec le temps, nous apprenons à plus aimer mais moins de gens

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Plus nous vieillissons, plus nous nous rendons compte, qu'en matière d'amitié, c'est plutôt la qualité qui prime, et que ceux qui en valent la peine restent malgré le temps qui passe.
     
     
     
     

    Avec le temps, des relations que nous pensions fortes et durables se délitent.Que ce soient les changements de vie ou les conflits relationnels, notre groupe d’amis finit par se réduire drastiquement.

     

     

    C’est un secret de Polichinelle mais les véritables amis se comptent sur les doigts d’une main et avec le temps, la qualité est plus importante que la quantité en termes de relations affectives.

    Nous resserrons notre cercle et nous le faisons en ayant conscience que le positif pour nous est de le rendre plus « sélect », plus solide et plus profond.

    Ce n’est pas une formalité très douloureuse en soi puisque c’est naturel.

    Marquer des distances et des proximités de manière plus précise et en accord avec nos besoins est quelque chose que nous faisons à un moment ou un autre de notre vie dans les différents lieux que nous habitons.

    Avoir plein de gens autour de nous ne nous intéresse pas. Seuls les meilleurs comptent

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    Avec le temps, nous préférons l’intensité des contacts à la fréquence. Nous aimons avoir à nos côtés des personnes qui sont importantes pour nous et que nous aimons vraiment.

    Cela est en partie déterminé par le temps que nous avons pour nous fréquenter et les intérêts et les priorités que nous établissons avec les autres.

    À 15 ans, nous aimons être entouré de gens, connaître des idées nouvelles et faire des expériences. À 30 ou 40 ans, les priorités changent et nous amènent à être plus sélectifs dans nos « batailles ».

     

    Plus l’amitié est profonde, plus elle est agréable

    À certains âges, il est très commun de se sentir seul mais accompagné, et nous nous plongeons dans la recherche (explicite ou pas) de relations chaleureuses, pures, sincères et stables. 

    Cela n’est pas nouveau mais aujourd’hui, il y a des études qui apportent la possibilité de l’affirmer de manière plus claire : chaque année qui passe nous aide à faire primer la qualité sur la quantité.

    Nous sélectionnons et nous priorisons les relations avec les personnes avec qui nous nous connectons plus intensément car elles nous apportent plus de bien-être au niveau social, émotionnel, cognitif et comportemental.

    Un équilibre entre tous ces sphères nous aide à conceptualiser l’amitié de manière individualisée. En accord avec cela, la tendance émotionnelle actuelle consiste à définir l’amitié en fonction de ce que nous apporte chaque relation.

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    C’est-à-dire que nous devenons plus précis et analytiques alors que nous ne pouvons pas nous dégager de l’idée de ce que chaque relation nous apporte. Nous sommes conscient qu’il existe plusieurs options et que c’est dans la pluralité de l’être que se trouve la richesse. 

    Ce concept d’amitié est si changeant que parfois, nous nous surprenons nous-même à y réfléchir.

    Cependant, il est évident que, que ce soit par expérience ou autre chose, nous devenons plus inflexibles. Les affronts sont plus douloureux et nous touchent plus profondément. 

    Les adultes trouvent cela attendrissant de voir des enfants se disputer pour un jouet et se prendre dans les bras au bout d’une minute avec un amour démesuré.

    C’est quelque chose auquel nous devrions plus pensez : les raisons de nos colères et de nos distances sont-elles importantes au point de perdre une amitié ?

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    Nous avons tendance à accorder trop d’importance à des questions banales, ce qui souvent finit par limiter nos idéaux en matière de sentiments.

    Ce détail, sans aucun doute, est un point d’ancrage dans n’importe quelle relation.

    Ainsi, il est fréquent de juger la qualité des choses négatives qui sont pourtant insignifiantes en comparaison avec ce que nous apportent les personnes qui nous entourent.

    C’est-à-dire que nous refermons notre cercle de manière négligente.

     

    Les priorités émotionnelles dans les différentes étapes de la vie

    Quelle que soit la réalité personnelle qui accompagne ce fait, nous devons savoir que ce que notre réalité sociale change n’est pas négatif en soi.

    C’est, sans aucun doute, quelque chose que, lors de certains moments de transition, nous avons du mal à assumer naturellement. Voyons quelles sont ces étapes :

    • Dans la pré-adolescence et l’adolescence, il règne une grande confusion concernant les sujets relationnels. Nous cherchons notre place et nous composons et recomposons constamment notre cercle d’amis.
    • Petit à petit, plus nous nous engouffrons dans la jeunesse, plus nous laissons de côté les grandes réunions, les fêtes folles et les excès sociaux. Nous commençons par faire primer ceux avec qui on discute et qui partagent nos inquiétudes personnelles et psycho-sociales.

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    • Au fur et à mesure que nous avançons dans cette étape, nous aimons être plus tranquille et à l’aise, nous sentir aimé et important, ainsi que développer des pensées et des intérêts qui stimulent notre esprit et notre monde de manière plus mature.
    • Plus nous évoluons, plus nous formons un groupe de référence autour de nous, quelques personnes que nous fréquentons, avec qui nous partageons des pensées, des sentiments, des intérêts et des jeux variés.
    • À l’âge adulte, les amitiés les plus fortes ne répondent pas au besoin de feindre la profondeur, mais de la ressentir. 

    Nous adorons les personnes qui nous disent tout avec le regard, qui approuvent et désapprouvent avec une totale liberté et qui nous jettent aux lions si c’est nécessaire.

    Les amitiés qui subsistent dans le temps ont des liens qui deviennent des liens de frères et sœurs. Des unions profondes loin de l’hypocrisie, de l’égoïsme et des inquiétudes masquées.

    Des amitiés qui remplissent notre âme avec leur plénitude, avec un copilote qui nous guide lorsque quelque chose nous aveugle.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Aujourd’hui, lâchez prise et ne laissez rien vous influencer

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Lorsque vous vous laissez porter par les choses et que vous ne vous accrochez pas à l'impossible, vous vous rendez compte que la vie est bien plus simple qu'elle n'y paraît. Profitez du moment !
     
     
     

    Pendant une journée seulement, laissez-vous porter, laissez les mauvaises choses couler et soyez uniquement réceptif aux bonnes choses.

     

    Si vous n’avez pas encore mis en marche cette stratégie d’épanouissement personnelle, nous vous proposons de commencer dès que possible.

    Le « flow » est un état mental qui peut améliorer notre qualité de vie et qui nous permet de mieux canaliser notre énergie pour être plus productifs.

    Il est possible que vous ayez déjà entendu le mot « lâcher-prise » et ses dérivés.

    Beaucoup de gens lui attribuent des caractéristiques spirituelles et abstraites mais il comprend pourtant une base psychologique et scientifique bien établie.

    À tel point que le concept de « ‘lâcher-prise » a été inventé en 1975 par le psychologue Mihály Csíkszentmihályi, et s’est diffusé largement dans les secteurs du développement personnel et professionnel.

    Il est intéressant, relaxant et très utile dans notre quotidien. Dans cet article, nous allons vous apprendre à lâcher prise, une manière de vous laisser porter par l’ici et le maintenant pour élargir votre confiance.

    Que tout coule de source et que rien ne vous distraie

    Mihály Csíkszentmihályi a défini le « lâcher-prise » comme un état d’harmonie où la personne est capable de se concentrer uniquement sur ce qu’elle est en train de faire.

    Nous pouvons nous laisser porter par les choses lorsque nous marchons, lorsque nous lisons, lorsque nous nous reposons et même lorsque nous travaillons.

    Il s’agit d’être conscient de ce que nous faisons et d’en profiter.

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    • Les psychologues nous expliquent que beaucoup d’entre nous mettons en pratique ce que l’on appelle « l’esprit erratique ». Nous allons d’une pensée à une autre, nous sautons d’une inquiétude à une autre jusqu’à créer une pelote dans laquelle nous sommes attrapés.
    • Petit à petit, la frustration apparaît, ainsi que le malheur, car notre pensée tombe dans les abîmes complexes du « si j’avais », « si les autres faisaient », « si je pouvais »…
    • Ce type de pensées empêchent le lâcher-prise. Elles nous affairent, elles nous stoppent dans la frustration et le mal être. Ce que nous générons, c’est de l’énergie négative.

    Lâcher-prise, ce n’est pas fuir, c’est être présent

    Pour que tout coule de source, nous devons être conscient que qui fuit ne résout rien.

    Lâcher-prise, c’est laisser partir ce qui ne nous sert pas pour avancer mais, il faut aussi être courageux pour affronter ce qui nous fait du mal lors de ces moments.

    • Il est également nécessaire d’accepter qu’il y a des choses qui ne peuvent pas être modifiées. Vous ne pouvez pas changer la personnalité de quelqu’un. Vous ne pouvez pas non plus faire que quelqu’un vous aime.
    • Il y a des aspects qu’il faut accepter et cette acceptation fait aussi partie du lâcher-prise.

     

    Vous êtes mouvement, faites-en partie

    Vous vous êtes sûrement déjà senti attrapé, dans l’échec existentiel. Cet état est tout à fait normal pour un être et il est primordial de savoir le gérer.

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    • Comprenez que le lâcher-prise est avant tout du mouvement. L’idée de bonheur entretient un lien très fort avec le fait que tout coule de source, et que rien ni personne ne nous entrave ou nous stoppe.
    • Pour mieux comprendre cette idée, nous vous donnons un exemple.

    Aujourd’hui, vous n’avez pas de travail et vous vivez une relation affective très compliquée.

    Vous savez que dans la ville dans laquelle vous êtes, il n’y a pas d’opportunités professionnelles, alors vous vous décidez à tourner la page. Vous vous permettez de lâcher prise.

    Vous devenez plus réceptif et vous commencez à écouter les options possibles. Vous vous informez, vous élargissez vos champs et un beau jour, vous vous décidez : vous vous engagez dans le changement.

    Vous choisissez de quitter votre ville, de quitter votre conjoint qui vous rend malheureux et d’essayer de construire autre chose ailleurs. Ce changement vous mène à de nouveaux mouvements.

    Vous trouvez du travail et dans ce travail, vous rencontrez quelqu’un d’unique: une personne qui vous estime et vous aime vraiment.

    Lorsque vous lâchez prise et que rien de mal n’a d’influence sur vous, vous êtes libre de créer vos propres chemins.

    Essayez de mettre cela en marche et vous verrez que vous aurez d’excellents résultats.

    Cherchez les expériences « optimales »

    Si vous n’avez jamais entendu parler des expériences optimales, sachez qu’elles sont simples à identifier, même si nous les mettons malheureusement rarement en pratique.

    • Une expérience optimale c’est le plaisir que vous obtenez en faisant quelque chose que vous aimez : un câlin, la cuisine, une promenade, un bain, une conversation, un voyage…
    • Sachez que les expériences optimales ne se programment pas. Beaucoup d’entre nous ont tendance à le faire : “quand je serai en vacances, je me reposerai », « je serai heureux lorsque le week-end arrivera », « je saurai ce qu’est la joie quand j’aurai un conjoint”.
    • Souvenez-vous que le meilleur moment de votre vie est toujours maintenant. Alors, lâchez prise et ne laissez rien vous entraver. Ne tombez pas dans l’inquiétude ou dans le “aujourd’hui, je ne peux pas » ou le “tu ne vaux rien« .

     

     

    Il s’agit, tout simplement, d’être présent et d’avancer d’une manière harmonieuse en accord avec notre conscience, en toute liberté, en intégrité et dans une paix intérieure qui nous permette de profiter de l’ « ici et maintenant ».

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les câlins de nos enfants sont des cadeaux pour le cœur

     
     
     
     
     
     
     
     
    Souvent, les câlins sont capables de dire bien plus que n'importe quel mot, et nous ne devons pas avoir peur d'en donner ou d'en recevoir.
     
     
     
     

    Ils ne le font pas souvent et encore moins de manière spontanée, ni autant de fois que nous le souhaiterions. Mais, quand nos enfants nous offrent l’un de leurs câlins, le monde s’arrête car ils nous surprennent et tout fait sens, tout d’un coup.

     

     

    C’est là que se trouve le véritable bonheur, celui qui ne demande aucun mot et qui nous démontre avec ce geste précieux un “je sais que je ne le fais pas et ne te le dis pas souvent, mais je t’aime, tu es important pour moi et je te remercie ».

    Nous sommes sûrs qu’en tant que père, mère, grands-parents ou même maître, vous avez expérimenté ce merveilleux moment où un enfant vous entoure de ses bras de façon spontanée.

    Puisque c’est quelque chose qui nous enchante, pourquoi ne pas savoir ce que nous devrions faire pour que ces réactions si émotionnelles, pleines et sincères se répètent plus souvent ?

    Nous vous offrons des conseils tout simples.

    Les câlins des enfants, la clé de la santé émotionnelle

    Sur ce site, nous vous avons souvent parlé des bienfaits des câlins. Ils nous servent à éteindre nos peurs, à lutter contre le stress et à renforcer le lien entre les personnes que nous aimons.

    Nous sommes habitués à offrir des câlins et des preuves d’amour à nos enfants mais… comment faire pour que ce soit eux qui nous les rendent fréquemment ?

    Tenez compte de ces dimensions.

     

    Nous ne devons pas obliger l’enfant à faire quelque chose qu’il ne souhaite pas

    En termes d’apprentissage émotionnel et de sentiments, les contraintes et les obligations ne sont pas bonnes.

    Il est très fréquent dans certaines familles d’obliger les plus petits à donner un baiser aux personnes invitées, ou lors de rencontres fortuites dans la rue.

    • Quand un enfant n’a pas confiance, il voit ce geste comme quelque chose de gênant et d’inconfortable. Il n’est pas conseillé de l’obliger à faire quelque chose qu’il ne souhaite pas faire.
    • Les câlins se vivent à fond à partir du moment où ils viennent de personnes qui sont importantes pour nous.

    Un étranger n’a pas de raison de toucher nos enfants et si c’est un ami de la famille,nous devons permettre à l’enfant de choisir s’il veut s’approcher ou pas de manière spontanée, toujours poliment bien sûr.

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    Servez de modèle au quotidien

    Dans une famille saine, heureuse et respectueuse, les câlins sont très fréquents et c’est un geste qui est considéré comme normal. 

    On offre des câlins pour remercier, pour féliciter de quelque chose, pour consoler, pour affronter les peurs, pour guérir les malades ou quand on en a envie.

    • Nous ne pouvons pas exiger de l’enfant qu’il fasse quelque chose s’il ne le voit jamais dans son environnement le plus proche.
    • Les gestes positifs et chargés de signification qui sont normaux dans le contexte familial sont intégrés par l’enfant. Cela ne lui paraîtra pas étrange ni gênant de le faire.

    Respectez sa personnalité sans punir ni critiquer

    Beaucoup de parents ont tendance à critique ou à « mal parler » de leur enfant à cause de certains comportements.

    “Il est si timide, si renfermé ». « Il est si peu tendre ». « Il est si brute qu’il ne réagit jamais de manière affective”.

    • Finalement, nous provoquons la « prophétie auto-réalisatrice », c’est-à-dire queles enfants finissent par devenir ce que l’on attend d’eux et si à un moment donné, ils souhaitent montrer de la proximité ou de l’affection, cela leur fait honte.
    • Nous ne devons pas étiqueter, ni prendre un comportement ponctuel comme quelque chose de permanent chez l’enfant. S’il est évident que certaines personnes ont plus de mal à s’ouvrir émotionnellement que d’autres, toute personne aime ce type de gestes.

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    Il y a des moments où les câlins sont la seule réponse

    Une autre manière qui peut faire comprendre aux enfants l’importance des câlins est qu’ils les voient comme quelque chose de cathartique, quelque chose qui soulage et quelque chose qui, à certains moments, ne demande pas de mots. Seulement des actions.

    • Un câlin ou une preuve d’affection est merveilleuse et guérisseuse quand il y a beaucoup d’anxiété, quand il y a des peurs et des insécurités.

    Au lieu de dire « ne t’inquiète pas, tout va bien se passer et je serai toujours à tes côtés », il suffit parfois de les prendre quelques secondes dans nos bras pour les rassurer.

    • Si les plus petits se rendent compte très tôt de cela, lors des moments où ils se sentiront dépassés, ils n’auront aucun scrupule à venir nous chercher, à demander notre proximité pour se sentir soutenus.
    • De même, nous savons tous très bien qu’il y a des enfants pour qui il est très difficile de dire « je t’aime », alors un câlin furtif, inattendu et fugace nous fera comprendre sur le moment ce qu’ils veulent nous transmettre sans utiliser de mots.

    C’est quelque chose de guérisseur et merveilleux.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 preuves que vous ne vous aimez pas suffisamment

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Vous ne pouvez pas vouloir que les autres vous acceptent et vous mettent en valeur si vous ne vous aimez pas vous-même. Commencez à vous valoriser pour que tout votre entourage change.
     
     
     
     

    La vie est si courte que c’est une bêtise de la gaspiller en s’inquiétant systématiquement de ce que peuvent penser les autres de nous.

     

    Nous cherchons toujours l’approbation des autres et nous finissons par devenir des personnes sans caractère qui ne savent plus ce qu’elles veulent.

    Quand notre propre bonheur commence à dépendre des autres, c’est le moment de réfléchir à notre vie et à la manière dont nous l’envisageons.

    Quelque chose doit changer.

    Si vous ne vous acceptez pas, vous ne vous aimez pas

    Si vous n’êtes pas capable de vous accepter comme vous êtes, si vous êtes devenu quelqu’un de totalement différent, nous devons vous dire que vous ne vous aimez pas comme vous le méritez.  Vous avez commis l’erreur de mettre tout ce que vous êtes entre les mains des autres et aujourd’hui vous avez perdu beaucoup de choses.

    C’est pour cela qu’aujourd’hui, vous allez apprendre à identifier les signaux qui vous indiquent que vous ne vous aimez pas suffisamment, afin que vous puissiez y réfléchir et empêcher la situation de continuer.

    Vous vous sentez concerné par l’un d’entre eux ? Ou plusieurs ?

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    1. Vous n’êtes pas libre en étant vous-même

    Être ce que les autres veulent que vous soyez vous use. Peut-être que cela vous semble facile mais il serait bien plus simple d’être vous-même que d’être quelqu’un qui n’existe pas.

    Si, aujourd’hui, vous doutez de votre totale liberté ou que vous sentez que vous n’êtes pas vous-même, avec vos défauts et vos qualités, il est nécessaire que vous observiez votre manière d’agir.

    Vous passez trop de temps entouré de gens ? Vous évitez à tout prix de rester seul face à vous-même ?

    Si c’est le cas, il se peut que vous rejetiez qui vous êtes en réalité et que vous profitiez du fait d’être entouré pour éviter de penser à cela.

    De fait, peut-être que vous avez donné du pouvoir à ces personnes avec qui vous passez tant de temps pour qu’elles vous changent, ce qui implique que lorsqu’elles ne sont pas présentes, vous vous sentez mal.

    C’est le moment de s’éloigner de tout cela et de redécouvrir qui vous êtes réellement.

    2. Vous n’osez pas dire ce que vous pensez

    Vous êtes-vous déjà senti intimidé par une conversation ou avez-vous déjà ressenti la peur d’exprimer vos propres opinions si elles sont en désaccord avec celles des autres ?

    Si c’est le cas, peut-être que vous ne faites que vous « ajuster » aux autres, même si cela implique de rejeter et de ne pas manifester vos propres opinions.

    Si vous ne parlez pas fort, personne ne vous entendra ni ne tiendra compte de vous, et tout le monde vous ignorera. N’ayez pas peur d’être ou de penser différemment. Peut-être que vous avez un grand manque d’estime de vous-même que vous devez commencer à écouter.

    Vos opinions ont autant d’importance que celles des autres, et même si vous pensez que ce sont des bêtises, elles ne sont pas ! Manifestez-les, parlez bien fort et faites-vous remarquer. Votre opinion compte plus que ce que vous pensez.

    3. Vous êtes critique envers vous-même

    Vous êtes si critique envers vous-même que, sans le vouloir, vous vous bloquez constamment et vous empêchez vos progrès. D’une certaine manière, vous vous punissez de ne pas faire les choses que vous devriez. Vous ne vous rendez pas compte qu’errer permet d’apprendre et d’aller de l’avant.

    Arrêtez de vous critiquer autant, valorisez toutes les choses que vous avez réussies jusqu’à présent, aussi petites soient-elles, et célébrez cela même si vous pensez que ça n’a pas d’importance. Si vous le faîtes, ce sera une preuve que vous avez commencé à vous aimer vous-même.

    4. Cela fait longtemps que vous avez arrêté de prendre soin de vous

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    Nous avons tous besoin de nous sentir à l’aise dans notre corps. Si ce n’est pas le cas, c’est que nous faisons mal les choses. Alors, si vous avez arrêté de prendre soin de vous, de bien vous habiller, de vous alimenter sainement et que tout cela vous fait du mal, changez !

    Vous devez vous aimer vous-même, être sain pour vous-même, bien vous habiller pour vous-même, et pour personne d’autre. Si vous ne le faîtes pas, personne ne le fera, et laisser cette responsable à d’autres serait une grave erreur.

    Commencez à vous aimer, commencez à prendre soin de vous-même.

    5. Vous n’êtes pas capable de vous « auto-motiver »

    Sans motivation, le pourcentage de succès pour un projet ou un rêve est réduit au minimum. Vous n’obtiendrez jamais ce que vous désirez si vous n’avez pas confiance en vos possibilités et que n’avez aucun auto-motivation.

    Peut-être que vous allez échouer plusieurs fois, que les personnes qui sont dans votre entourage ne vous soutiendront pas, mais vous devez croire en vous-même et poursuivre vos rêves.

    Ne permettez pas aux autres de vous freiner. Donnez de la valeur à vos rêves.

    6. Vous ne croyez en rien qui ait un rapport avec vous

    La confiance est aussi importante que la motivation dont nous parlions précédemment. Sans confiance, rien de positif ne peut advenir. Avez-vous déjà pensé à tout ce dont vous êtes capable de réussir ? Avez-vous évalué toutes ces choses que vous avez déjà réussies, aussi petites soient-elles ?

    Si vous vous aimez vous-même, vous aurez confiance en vous et vous ne permettrez à personne de détruire cette auto-confiance. Vous atteindrez ce que vous voulez, vous valoriserez même vos erreurs qui vous auront permis d’apprendre. Cela ne semble pas si difficile, non ?

    7. Vous ne vous donnez pas sincèrement aux autres

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    À cause de certaines circonstances de la vie, vous avez peut-être peur de vous ouvrir aux autres, de vous montrer au grand jour.

    De façon totalement consciente, nous nous mettons un armure qui nous protège, mais également qui nous fragilise.

    Si vous ne vous donnez pas aux autres, si vous ne vous ouvrez pas, si vous ne vous aimez pas, vous ne pourrez jamais connaître ce sentiment que l’on ressent lorsque l’on est vraiment aimé. Peut-être même que vous ne ressentirez jamais le sentiment de confiance totale envers une personne.

    Cela vous attristera et alimentera cette fausse croyance que vous ne mériteriez pas l’amour. Pourtant, arrivé à ce point, vous savez parfaitement que vous méritez autant d’amour que les autres. 

    L’unique amour qui importe aujourd’hui, c’est l’amour que vous vous portez.

     

    Peut-être que parfois, il est difficile de se faire confiance, et même que vous pensez que vous ne méritez pas d’être aimé, et c’est pour cela que vous vous faîtes du mal. Si c’est le cas, vous vous trompez et vous devez trouver une solution.

    C’est votre vie qui est jeu, vos sentiments, vos émotions, vos rêves… Commencez à donner de la valeur à vie, à la personne que vous êtes vraiment. Ce ne sera pas un chemin facile mais le jeu en vaut la chandelle.

    Si vous ne vous aimez toujours pas, faîtes que tout change.

     

     

     

     

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  • Quels sont les effets de la tristesse dans votre corps ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même s'il peut sembler que la tristesse est l'antichambre de la fin du monde, il est évident que parfois, elle est nécessaire et pleurer nous aide à libérer des tensions.
     
     
     
     

    Y-a-t-il eu des moments où vous vous êtes senti découragé et résigné lors de moments de tristesse ? Avez-vous déjà senti la douleur d’être rejeté ? Ce lancinement lorsque vous souffrez d’un mal d’amour ?

     

    Il est difficile de décider si la tristesse vous rendra vraiment plus fort ou si elle vous fragilisera de manière progressive.

    Ce qui est évident, c’est qu’elle peut altérer les niveaux de stress dans votre cerveau et vous faire souffrir de certaines maladies.

    Ici, nous allons vous expliquer quels sont les effets de la tristesse.

    Du cerveau au corps 

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    Quand vous vous sentez découragé, les circuits cérébraux de la douleur physique et émotionnelle sont dissimulés.

    Cela n’arrive pas seulement dans les zones cérébrales en lien avec le composant purement affectif de la douleur, mais également avec les zones liées à la perception somatique de celle-ci.

    Mais pourquoi cela arrive-t-il ? Cela génère un impact négatif sur votre corps, surtout dans le système immunitaire qui augmentera potentiellement le risque de souffrir d’une maladie, notamment inflammatoire. 

    Elle affecte la perception de la température

    Il a été démontré que la sensation de tristesse peut augmenter la sensibilité au froid alors que la compagnie nous donne plus chaud.

    Quand, dans les expériences menées, on provoque ou un invoque une sensation de rejet et d’isolement, les participants estiment que la température de la pièce est moindre et choisissent de manger et boire des produits chauds.

    Ce lien va au-delà de cette simple sensation. La température corporelle baisse lorsque l’on ressent de la tristesse.

    Elle affecte l’appétit 

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    La tristesse affectera aussi votre appétit, augmentera le risque de prendre du poids et affectera votre pression artérielle. Le résultat direct est l’apparition de l’hypertension et de problèmes cardiaques à long terme.

    Elle diminue également la capacité à percevoir des goûts sucrés. Cela est dû au fait que le nombre de récepteurs qui perçoivent le goût sucré sur la langue diminuent. 

    Il n’est donc pas bizarre que, lorsqu’on traverse un épisode de tristesse, on ressente que la nourriture n’a pas de goût.

    Elle augmente le stress

    La tristesse affectera aussi l’hormone cortisol. Elle est importante dans le contrôle des niveaux de sucre dans le sang, la pression sanguine et la qualité du sommeil.

    Tout cela fait que la tristesse est l’état psychologique le plus nocif pour la santé. Elle est liée aux :

    • Cardiopathies
    • Maladies pulmonaires
    • Maladies hépatiques

    La dépression, de son côté, peut influencer l’apparition du cancer.

    Aussi bien le stress que la dépression peuvent favoriser la précipitation d’une maladie et l’aggraver.

    Quand vous êtes stressé ou extrêmement triste, vous pouvez observer que rien ne fonctionne bien. Vos défenses immunitaires baissent et le risque de tomber malade augmente considérablement. 

    Quelle est la solution ? Ce n’est pas le stress qui cause les problèmes du système immunitaire mais le sentiment qu’on ne peut rien faire pour l’empêcher.

    Le cerveau a besoin de plus d’énergie

    Cela semble un peu étonnant d’affirmer que le cerveau est plus actif quand il est triste. Pourtant, c’est la vérité car, pendant un épisode de tristesse, le cerveau travaille bien plus : plus de 70 régions cérébrales distinctes s’activent.

    C’est simple à comprendre. Lorsqu’on est triste, on se souvient, on pense, on souffre et on réfléchit à des solutions ou des nouvelles alternatives.

    Il y a des personnes qui, dans ces situations, ne dorment qu’à peine.

    D’où le fait que l’hippocampe, la partie frontale du cerveau et les lobes temporaux sont actifs. Sachez que le cerveau utilise 20% de toute votre énergie mais dans les situations où vous vous sentez triste, il travaille beaucoup plus.

    De même, son besoin en glucose augmente car il doit s’alimenter. Cela provoque des troubles alimentaires et le besoin de manger des choses sucrées.

    On développe des troubles

    Quand on est triste, on diminue la sérotonine et cette diminution affecte à moyen ou long terme. Cela peut provoquer les troubles suivants :

    • La dépression
    • Les obsessions compulsives
    • Le trouble explosif intermittent

    Ce neurotransmetteur est associé à votre motivation personnelle mais vous devez être fort et trouver, lors des moments d’introspection, de nouvelles ressources pour aller de l’avant.

    Il est très probable que vous consultiez un médecin car vous ne vous sentez pas bien.

    Les tests médicaux montreront sûrement que vous êtes en parfaite santé. Physiquement tout va bien mais dans votre âme, non.

    Vous avez besoin de pleurer

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    Pleurer vous fera du bien. Quand vous vous sentez triste, votre cerveau accumule trop de tension et a besoin d’expulser cette anxiété d’une manière ou d’une autre.

    Les pleurs sont parfaits pour vous détendre et libérer tout ce que vous ressentez.Après avoir pleuré, vous commencerez à sécréter des endorphines qui vous détendront.

    C’est pour cela qu’il est important de pleurer et de ne pas résister quand vous en ressentez l’envie. Laissez vos larmes couler, et vous vous libérerez.

    Certaines personnes optent pour d’autres activités qui aident aussi à générer des endorphines, comme avoir des relations sexuelles ou faire des exercices. Ce sont deux options qui fonctionnent assez bien.

    Pleurer est nécessaire de temps en temps.

    Les effets de la tristesse sur votre santé peuvent être très négatifs. Vous pouvez ne pas vous sentir bien mais vous pouvez chercher des alternatives pour soulager ces tensions.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Pour tous les câlins qui m’ont guéri,

    pour toutes les personnes que j’ai aimées

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si nous pouvons recevoir des câlins de beaucoup de gens, il est certain que ceux qui ont le pouvoir de nous guérir sont ceux que nous donnons et que nous recevons des personnes qui nous sont les plus chères.
     
     
     

    Certains câlins ont le pouvoir de guérir et de réparer notre âme, lorsque celle-ci est brisée en mille morceaux.

    Certaines personnes passent dans notre vie et ne nous apportent que du bonheur, de la tendresse sincère et noble qui s’exprime de la manière la plus universelle qui soit : par les câlins.

     

    Les experts nous disent que nous avons tous besoin d’être pris dans les bras trois ou quatre fois par jour.

    Mais pour que les câlins puissent nous guérir véritablement, il est important qu’ils nous soient prodigués par les personnes avec qui nous sommes intimement liées.

    Tous les câlins ne se valent pas. Ceux des inconnus ou des collègues de travail avec qui nous ne nous entendons pas réellement ne sont pas importants.

    Lorsque nous sommes en peine, lorsque notre cœur a besoin de soutien, les meilleurs câlins sont ceux des membres de notre famille, de notre partenaire amoureux ou de nos enfants.

    Les démonstrations de tendresse sont les meilleurs médicaments possibles. Ils sont capables d’éloigner nos peurs et nos insécurités, voire de prévenir la dépression.

    Les câlins ont cette capacité exceptionnelle de nous ancrer dans le réel, dans ce qui compte vraiment : l’amour.

    Les câlins de toutes les personnes que nous aimons

    Notre cœur a déjà aimé à de nombreuses reprises. De fait, même si vous pensez que vous êtes fatigué d’aimer et que vous avez des cicatrices qui ne guériront jamais, en réalité vous aurez une immense capacité d’amour durant toute votre vie.

    Vous ne savez pas ce que vous apportera demain. Parfois, quand nous nous y attendons le moins, une relation exceptionnelle, significative et pure surgit dans notre vie et vient équilibrer notre univers. Tout prend alors un sens nouveau.

    Il est possible que votre famille s’agrandisse dès demain, qu’elle s’enrichisse d’enfants, de neveux ou même de petits-enfants.

    Votre cœur continuera à grandir, à aimer et à guérir de ses blessures passées.

    Il n’y a rien d’aussi puissant qu’une affection sincère pour se débarrasser des peines et des angoisses.

    Rien n’est plus fort que les sourires pour effacer les jours gris et froids.

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    Si vous aimez, enlacez

    Certaines personnes ne le savent pas, d’autres n’osent pas. Des personnes n’ont plus enlacé leurs proches depuis tellement de temps qu’elles ne savent pas comment rétablir cette habitude.

    • Si vous aimez, enlacez. Les câlins sont un langage qui n’a pas besoin de mots, qui arrête le temps et qui régule la respiration.
    • Le monde cesse de nous perturber avec son bruit constant. Tout le brouhaha de notre esprit s’estompe, les doutes cessent de nous assaillir, les peurs et les vides disparaissent pour nous laisser comme suspendus dans le temps.
    • Reprenez la bonne habitude de prendre les vôtres dans vos bras.

    Si votre partenaire ne le fait pas, faites-le et habituez-le à cet exercice sain.

    Si vos enfants sont déjà grands, prenez-les par surprise et offrez-leur un câlin, car tout adulte a besoin de recevoir une bonne dose quotidienne de câlins.

    Les câlins : une démonstration d’affection universelle

    Il est très intéressant de découvrir comment le concept d’amour est traduit dans toutes les langues qui existent sur notre planète.

    Des peuples ont dépeint l’amour de manière tout à fait exceptionnelle et leur poésie est parfois intraduisible dans notre langue.

    Par exemple, en hindi, l’une des langues de l’Inde, lorsqu’un couple amoureux se sépare, les habitants disent qu’ils emportent dans leur âme le « viraha« , qui est une sorte d’amour qui ne souffre pas de la distance ni du temps, une sorte de passion intérieure inextinguible.

    Comme vous pouvez le voir, il faut une bien longue phrase en français pour expliquer le sens de ce simple mot.

    Dans toutes les cultures, dans tous les pays du monde, cet acte est considéré comme quelque chose de vital pour maintenir l’amour, pour le démontrer et pour guérir toutes les blessures de l’âme.

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    • Cwth, en gallois, symbolise ce câlin intense et passionné que seule la personne qui nous aime peut nous offrir.
    • Naz, en ourdou, est un terme qui désigne cette fierté intense que nous pouvons ressentir lorsque nous sommes aimés par quelqu’un, lorsqu’une personne nous prend dans ses bras et que nous sentons que nous sommes très important pour elle.

    Ces mots magiques nous démontrent, une fois de plus, le pouvoir de l’affection et l’importance de son expression par les câlins, les baisers et les caresses.

    Autant de gestes qui apaisent et guérissent tous les maux.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Ouvrir les yeux est plus difficile que d’ouvrir la bouche

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Si nous avons deux yeux et une bouche, c'est que nous devons observer le double de ce que nous disons. Gardez en tête ce simple calcul à l'heure de développer vos relations personnelles.
     
     
     

    Ouvrir les yeux avec notre cœur nous permet de comprendre et de découvrir bien plus de choses que lorsque nous ouvrons la bouche.

     Le premier pas que nous devons faire pour nous connecter avec quelqu’un est de l’écouter et de le regarder, tout en gardant les lèvres closes.

    La société actuelle ne laisse plus de place à l’introspection. Nous n’avons plus le temps d’appréhender le monde qui nous entoure en nous laissant pénétrer par le silence et en n’émettant pas de jugements.

    Les objectifs professionnels, les réseaux sociaux, le partage des dernières rumeurs et tous les comportements sociaux qui nous sont imposés sont guidés par l’immédiateté et non par le recul.

    Dans la suite de cet article, nous vous proposons de prendre du temps, de respirer et de commencer à voir les choses avec des yeux plus ouverts et un cœur toujours réceptif. Que diriez-vous de commencer dès maintenant ?

    Ouvrir les yeux pour ouvrir l’esprit

    Il est possible que vous ayez entendu parler du mouvement « slow« . C’est un courant culturel qui prône une grande transcendance psychologique et émotionnelle.

    Ceux qui ont initié ce courant de pensée et d’attitude face à la vie ont voulu, par-dessus tout, nous faire réfléchir sur le rythme qui nous est imposé par les nouvelles technologies, par l’hyper-connectivité de notre société qui nuit à la qualité de la communication que nous avons avec les autres.

    De la même manière qu’il y a de plus en plus de voix qui s’élèvent pour dénoncer les effets néfastes des fast food, les adeptes du mouvement « slow » critiquent le rythme qui nous est imposé par la société.

    Nous avons cessé de regarder les yeux des autres et nous les avons remplacé par des écrans.

    Nos relations interpersonnelles demandent pourtant qu’on y accorde du temps et de la réflexion.

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    Écouter avant de parler

    C’est l’une des choses qui peut le plus nous faire du mal dans nos conversations avec les autres : certaines personnes nous écoutent uniquement pour nous répondre, pas pour nous comprendre.

    • Avant d’ouvrir la bouche, nous devons ouvrir nos yeux et nos oreilles pour mettre en marche les mécanismes de la communication empathique.
    • La communication empathique est celle qui prend en compte les aspects verbaux et non-verbaux de la communication.

    La première chose à prendre en compte est le message que nous transmettent les autres.

    Nos yeux doivent être attentifs aux détails, aux gestes, aux expressions et à tout le monde émotionnel qui est invisible à nos yeux.

    Il est primordial que nous nous déconnections du rythme effréné de notre société pour avoir des conversations calmes, qui nous permettent de nous connecter à 100% avec la personne que nous avons en face de nous.

    Les yeux qui savent contempler se connectent à notre cœur

    Socrate disait que l’art de contempler est la vertu de nous interroger sur le pourquoi des choses.

    Nous devrions tous être capables de différencier l’art de « voir » de la nécessité de savoir « contempler ».

    • Celui qui se limite à « voir » découvre la forme des choses, le bruit qu’émettent les personnes et la superficialité du monde, sans aller en profondeur. Il se laisse porter par les apparences et par son propre jugement, sans jamais se connecter avec ceux qui sont en sa présence.
    • A l’inverse, lorsque nous contemplons notre réalité, nous le faisons d’un point de vue bien plus intime. Nous contemplons les choses depuis notre conscience, ce qui nous permet de connecter nos yeux à notre cœur.
      Nous recherchons le sens des choses et nous établissons une connexion exceptionnelle aux choses et aux personnes qui nous entourent.

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    Les yeux disent la vérité, la bouche n’émet que des rumeurs

    On dit souvent que des yeux sincères n’ont pas besoin de sous-titres, car le regard est le reflet de notre monde émotionnel.

    Si les yeux ont cette capacité si exceptionnelle, nous devons en faire bon usage.

    Écoutez sans juger, contemplez sans condamner et rapprochez-vous des personnes à qui vous parlez pour les comprendre de manière intègre et respectueuse.

    • Utilisez vos yeux pour obtenir des informations et apprenez à choisir la moindre de vos paroles.
      N’utilisez jamais les mots pour faire du mal, soyez sincère et n’abusez jamais de la communication.
    • Lorsque vous rencontrez quelqu’un qui ne soutient pas votre regard, qui a les yeux fuyants, demandez-vous pourquoi.
      Il n’est peut-être pas en confiance ou il souffre peut-être de timidité. Cependant, il est toujours nécessaire que deux personnes se regardent dans les yeux lorsqu’elles se parlent.
    • Dans nos relations quotidiennes, nous devons faire face à un certain nombre de rumeurs. A toutes ces bouches qui parlent sans savoir, qui vivent une vie précipitée et qui ne font preuve ni de respect, ni d’intelligence émotionnelle.

     

    Ne vous énervez pas face aux critiques, cela n’en vaut pas la peine. Celui qui ferme les yeux et qui n’ouvre que sa bouche ne dira rien d’intéressant sur vous, car il ne vous connaît pas.

    C’est son monde, sa réalité, sa façon de penser. Ne perdez pas de temps avec les gens qui n’en valent pas la peine.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Ma force ne se mesure pas à ce que je supporte,

    mais à ce que j’ai laissé derrière moi

     
     
     
     
     
     
     
     
    Nous devons apprendre à mettre nos énergies dans des choses qui en valent la peine, et souvent nous devrons renoncer à ce que nous voulons pour réussir. C'est ici que nous devons montrer notre force.
     
     
     

    Qui pense que la force se mesure à tout ce que l’on charge sur nos épaules et dans notre cœur se trompe.

     

    Celui qui se tait, qui supporte le mépris et les offenses n’est pas fort. Celui qui les affronte, les dépasse et les laisse derrière lui est fort.

    Dans nos sociétés, et encore plus dans l’éducation que nous recevons, souffrir est pour les courageux et parfois, nous finissons par supporter plus que ce que nous devrions, au point de croire que dire « non » est une affaire de lâches et le reflet d’une personnalité fragile.

    Cette caractéristique est surtout habituelle dans l’éducation que reçoivent les femmes. “Dans le mariage, il faut supporter”, “les bonnes filles ne disent jamais non à la famille, et doivent faire passer les leurs avant elles-mêmes ».

    De telles idées provoquent souvent des situations personnelles de grande vulnérabilité qui nous transforment en ombres de nous-mêmes.

    Même si l’on nous flatte en nous disant à quel point nous sommes bons pour tout ce que nous faisons pour les autres et forts de supporter tant de changement en échange de rien, souvenez-vous que tout a un prix : votre auto-estime, votre santé.

    Votre force authentique est votre courage

    La femme qui prend soin de ses enfants malades en attendant qu’un jour elle puisse se suffire à elle-même, qui atteint tout le bonheur qu’elle mérite en ayant dépassé cette période difficile, est vraiment forte.

    La femme qui dit « stop » à la maltraitance et aux commentaires ironiques qui la méprisent est forte.

    Celle qui est capable de mettre des limites et de couper ce lien car elle est consciente qu’elle mérite mieux l’est également.

    La force, c’est comprendre ses propres priorités et comprendre qu’il y a des efforts et des renoncements qui en valent la peine.

    Les personnes qui nous entourent nous importent, car nous comprenons que parfois, il est nécessaire d’oublier ce que nous ressentons pour nous souvenir de ce que nous méritons.

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    Quand on nous apprend à être fragile

    Peut-être que cette phrase vous aura surpris. Qui nous apprend à être fragile ? Et même, pourquoi quelqu’un souhaiterait que nous soyons maniables et obéissants ?

    • Il existe de nombreux types d’éducation et de modèles éducatifs où le concept d’obéissance est implicite.
    • Il faut savoir que les enfants doivent être éduqués dans le respect, non pas dans l’obéissance, car cette dimension s’obtient à travers la peur, et le respect s’inculque à travers la compréhension et une intelligence émotionnelle adaptée.
    • L’éducation qui nous veut obéissants et fragiles recherche, avant tout, de nous contrôler pour atteindre un objectif : être obéissants à la famille ou à une figure d’autorité.
      C’est quelque chose de très fréquent dans les sociétés patriarcales.

    On nous fait comprendre que nous sommes plus dignes d’être aimés si nous sommes « obéissants ».

    Tous ces schémas de pensée nous feront aussi croire que nous sommes faits pour suivre des règles, pour céder à chaque ordre, pour être capable de dire « oui » quand notre cœur ressent un « non ».

    Au niveau du couple, il est également fréquent que parfois, nous cédions au chantage émotionnel, au point de nous transformer en personnes fragiles, tournées vers chaque désir de l’être aimé. Cela ne signifie pas pourtant ‘être fort.

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    La force implique avant tout d’apprendre à renoncer

    Que vous le croyez ou non, personne ne va vous apprendre comment s’applique le décalogue de la force.

    La société, la famille et même le propre monde de la mode ou du marketing nous préfèrent prévenants et fragiles, assez influençables pour dire « oui » à tout et ainsi aspirer à un certain bonheur.

    À présent, rien de tout cela ne nous apporte un bien-être réel, transcendant et durable.

    Il est possible que rendre un service à un ami vous comble, mais si vous devez le faire tous les jours, vous vous rendrez compte que quelque chose ne tourne pas rond.

    Mettre certaines choses en priorité et renoncer pour investir nos énergies dans ce qui n’en vaut pas la peine, c’est de la force, du courage.

    N’hésitez pas à mettre en pratique ces stratégies simples avec lesquelles vous serez plus fort.

    • Avant de faire une action, évaluez les possibles conséquences.
    • Avant de dire « oui », pensez à comment vous allez vous sentir dans votre cœur si vous n’en avez pas vraiment envie.
    • Ceux qui passent leur journée à accumuler des déceptions ou à pleurer dans un coin ne sont pas courageux. Ceux qui regardent la vie avec espoir, en sachant que pour être heureux, il faut prendre des décisions sont courageux.
    • Consacrez votre temps et vos efforts à ce qui le mérite vraiment.
      Il n’y a qu’ainsi que vous vous sentirez bien avec vous-même et que vous vous verrez comme une personne vraiment forte, quelqu’un qui bataille chaque jour pour elle, pour ses racines, pour sa dignité et pour ce qu’elle aime vraiment.

    Personne ne doit vous dire comment vivre la vie ou comment être heureux. L’art du bien-être personnel est une décision propre et cela reflète aussi le courage.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 3 clés merveilleuses pour éduquer vos enfants

    dans l’intelligence émotionnelle

     
     
     
     
     
     
     
     
    Grâce à l'intelligence émotionnelle, nous pouvons apprendre aux petits à être plus heureux et à mieux comprendre le monde qui les entoure. Nous devons dans tous les cas être le meilleur exemple possible.
     
     
     

    Malgré le fait que la plupart d’entre nous connaissons les concepts qui définissent l’intelligence émotionnelle grâce à Daniel Goleman, il faut rappeler que cette approche est apparue dans les années 40.

     

    Des auteurs comme Edward L. Thorndike ou David Wechsler se sont rendus compte que l’intelligence était plus que notre capacité de raisonnement ou de rétention.

    Il y a des dimensions psychologiques chez une personne qui ne peuvent pas se mesurer dans un test et qui peuvent être bien plus importantes dans notre vie quotidienne.

    Savoir gérer notre colère, comprendre nos tristesses, mieux se connecter avec ceux qui nous entourent pour établir des relations plus affectives, plus intègres, plus heureuses…

    Tout cela configure ce que nous connaissons sous le nom d’intelligence émotionnelle.

    Il serait excellent que toutes les formations aient dans leurs programmes éducatifs des méthodes pour apprendre aux enfants à être plus compétents émotionnellement.

    Avant que cela n’arrive, avant que l’intelligence émotionnelle soit considérée comme aussi importante que les mathématiques, il est bon d’enseigner aux enfants cet art, ce comportement, et cette sagesse du cœur que nous devrions tous pratiquer.

    Aujourd’hui, dans cet article, nous vous offrons 3 clés merveilleuses pour que vous la mettiez en pratique avec vos enfants.

    Clés pour éduquer un enfant dans l’intelligence émotionnelle

    L’intelligence émotionnelle s’apprend.

    De fait, peu importe que nous ayons 4 ou 70 ans, les piliers qui la définissent et la construisent peuvent se pratiquer chaque jour pour être de plus en plus compétent et heureux.

    Concernant les enfants, il est très bon de débuter cet apprentissage très tôt.

    Ainsi, ils intériorisent des concepts et de compétences naturellement, pour mieux s’adapter à toutes les situations sociales et personnelles qu’ils vivront dans les prochaines années.

    Une manière très efficace de protéger nos enfants du harcèlement scolaire (qu’ils soient victimes ou bourreaux), est par exemple en les éduquant dans l’intelligence émotionnelle.

    Voyons alors quelques stratégies basiques.

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    1. Mes émotions ont un nom, aide-moi à les connaître

    Chaque sensation, chaque « tempête », petite crise, rire ou bien-être que l’enfant expérimente a un nom, et ce sont des termes qu’ils doivent apprendre le plus tôt possible.

    Vos enfants doivent savoir mettre des noms sur leurs émotions. Pour cela, il est important d’agir comme leurs guides émotionnels.

    • Habituez vos enfants à exprimer des phrases comme “je me sens… parce que…”.Cette stratégie leur permet de dire des choses comme, par exemple : « je me sens triste car à l’école, un ami m’a insulté”.
    • Il est essentiel de leur donner des outils pour parler de leurs émotions et de leurs pensées, et de ce qu’il s’est passé dans leur journée sans se sentir jugé.

     

    2. Ce que vous ressentez et ce que je ressens n’est pas toujours la même chose

    Une pièce clé de l’intelligence émotionnelle est l’empathie. Cette dimension psychologique est quelque chose qui s’acquiert avec le temps.

    • De fait, autour de 7 ou 8 ans, ils se seront complètement défaits de cet « individualisme » si typique de certains petits enfants égoïstes.
    • Petit à petit, ils commenceront à défendre leurs amis (leurs égaux) et ils tiendront compte du point de vue des autres pour se sensibiliser au bien-être d’autrui.

    Il est donc obligatoire, de notre part, de faire en sorte qu’il se rendent compte de la signification du mot « empathie ».

    Vous pouvez y arriver grâce à ces stratégies :

    • Posez des questions à vos enfants : comment était grand-père aujourd’hui ? Heureux, triste, inquiet ? 

    Comment penses-tu que cet enfant s’est senti quand on l’a poussé ? 

    • Servez de modèle pour vos enfants : chaque jour, ils doivent voir en vous une personne qui se préoccupe pour les autres, qui est capable d’écouter, de ressentir, de se mettre à la place des autres pour comprendre leur point de vue.

    S’ils le voient en vous, petit à petit, ils l’intégreront dans leur propre comportement sans s’en rendre compte.

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    3. Aide-moi à me défendre, aide-moi à être assertif

    Une manière exceptionnelle de développer l’intelligence émotionnelle avec vos enfants est d’utiliser une communication assertive, assurée et mature dans laquelle l’enfant sait appliquer l’empathie et parler de ses propres sentiments pour se défendre.

    • Il est vital que nos enfants agissent toujours de manière assertive. L’assertivité nous permet de défendre nos droits, de protéger nos limites, notre intégrité et de respecter les autres.
    • Les enfants doivent être capables de parler à la première personne avec une totale liberté et sans peur, de réclamer leurs besoins tout en sachant ce qu’est le respect envers les autres.
    • Un enfant qui se sent écouté est un enfant qui sait écouter et communiquer en même temps.

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    Nos enfants  ne nous auront pas toujours à leurs côtés pour les défendre et les guider dans chaque difficulté.

    C’est pour cela qu‘il est bon de leur offrir des stratégies personnelles avec lesquelles ils se sentent forts, capables et sûrs d’eux dans leurs contextes quotidiens.

    De même, n’hésitez pas à écouter chaque jour tout besoin et toute inquiétude que peuvent émettre vos enfants.

    Permettez-leur de trouver en vous une personne sur qui s’appuyer, à qui demander conseil et à qui révéler leurs émotions avec confiance.

    Cela en vaut la peine.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Je ne veux pas et ne peux pas revenir dans le passé,

    je suis une personne différente

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si vous n'y croyez pas, vous êtes une personne différente de la personne que vous étiez hier. Le passé vous a appris, avec ses joies et ses tristesses, et vous a rendu plus sage.
     
     
     

    Le passé ne peut pas s’éditer pour être réécrit. Cependant, ce qui s’est passé hier définit également ce que nous sommes aujourd’hui.

     

    Il y a des gens qui ne peuvent pas assumer leur propre passé.

    Les erreurs que nous avons commises, les échecs ou les déceptions ressenties sont des blessures encore ouvertes qui les empêchent de pouvoir s’intégrer de manière saine dans l’aujourd’hui, l’ici et le maintenant.

    Même s’il n’est pas facile d’accepter chaque fait commis, chaque chose, ou chaque personne perdue le long de nos sentiers de vie, nous devons comprendre que l’une de nos pires erreurs est sans aucun doute de ruiner notre présent en ruminant un passé qui n’a plus aucun futur.

    Dans cet article, nous vous proposons de réfléchir à cela.

    Le passé n’a rien de nouveau à nous offrir

    Le passé toque parfois à notre porte.

    Il peut le faire sous forme de souvenirs ou de personnes qui font voler en éclat le verre de nos fenêtres en nous demandant de redevenir comme hier, les mêmes pour qui nous avons tant et tant pleuré alors qu’elles ne le méritaient pas.

    Ne permettez pas cela. À chaque fois que le passé toque de nouveau à votre porte, comprenez qu’il n’a rien de plus à vous donner, car les véritables possibilités d’être heureux s’ouvrent à ce moment précis.

     

    Il est temps de commencer à marcher à nouveau

    Vivre, c’est devoir nous défaire continuellement de choses et de personnes, et nous le faisons pour continuer à avancer.

    Vous avez laissé derrière vous des amitiés qui étaient fausses, vous avez laissé des proches qui ne savaient pas ce qu’était le bonheur, vous avez laissé des lieux, des emplois, des habitudes et des choses pour monter dans de nouveaux trains plein d’opportunités.

    • Il est temps aujourd’hui de reprendre sa marche, en refermant des portes.C’est quelque chose que nous vivons toujours avec un mélange de tristesse.
      Mais, lorsque nous fermons des « cercles », il y a des émotions que nous ne devons pas alimenter. Il s’agit de la rancœur, la haine et la frustration.
    • Comprenez que qui souhaite vraiment dépasser son passé doit le faire sans charge, et la haine est sans aucun doute la charge la plus lourde, celle qui nous rend prisonniers de qui nous a fait du mal, de qui nous a mal aimé.
    • Tournez la page et concentrez-vous sur votre futur, sans ressentiments ni émotions négatives qui érodent votre possibilité d’être heureux.

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    Aimez votre présent en intégrant votre passé

    Vous êtes une personne complète. Chacune de vos expériences passées et présentes forment une totalité que vous devez aimer, écouter et respecter.

    • Dans la thérapie Gestalt, dans cette approche qui provient de la psychologie humaniste, on nous rappelle que nous sommes des organismes unitaires et nous devons prendre conscience de l’ici et du maintenant, intégrant notre passé et notre présent. 
    • Qui vit uniquement en pensant à l’hier et en respirant ses propres nostalgies oublie le « moi présent ». Nous favorisons alors une déconnexion avec la réalité et avec nos propres besoins.
    • Tout cela, que nous le croyons ou pas, peut nous rendre malades car la dépression a souvent pour origine cette obsession désespérée sur un moment du passé, sur ce manque ou cette carence qui nous « déracine » complètement du présent.

    Nous devons être capable de nous aimer pour ce que nous sommes, même pour les erreurs commises dans le passé car elles nous ont permis d’apprendre et de configurer ce que nous sommes aujourd’hui.

    En regardant un passé qui ne reviendra jamais, vous passez à côté de mille chemins à parcourir

    Même si nous avons tous perdu de nombreuses choses dans l’océan de notre passé, la seule manière de réparer ces brèches et de configurer de nouvelles opportunités futures, c’est de nous concentrer sur l’ici et le maintenant, et sur tous ces chemins que nous pouvons parcourir de manière sage, et avec courage.

    Voici quelque chose d’étonnant qui peut nous inviter à la réflexion : pensez à une technique ancestrale que les Japonais utilisent lorsqu’ils réparent des morceaux brisés de porcelaine.

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    • Quand une tasse se casse, par exemple, la culture japonaise comprend qu’elle ne pourra jamais retrouver sa forme d’antan. Le passé est passé et nous définir tels que nous sommes aujourd’hui.

    Cependant, elle nous offre aussi l’opportunité d’être plus forts, plus beaux.

    • C’est pour cela que ces fractures et ces morceaux brisés sont réutilisés à travers une technique appelée Kintsugi. On utilise un type de colle avec laquelle on unit les fragments cassés pour ensuite, recouvrir leurs failles avec de la poudre d’or ou d’argent.
    • Chaque fissure est décorée comme une peinture dorée, de manière à ce que cette tasse ou cette assiette soit encore plus belle, et qu’elle ait une histoire exceptionnelle.
    • Nous devrions également mettre en pratique cette technique. Loin de fuir ou de nous lamenter de notre passé, nous devons l’intégrer dans notre présent avec force, avec résilience. 

    Osez peindre vos blessures de doré, ne les cachez pas, n’ayez pas honte… 

     

    Vous n’êtes pas la même personne qu’hier, vous êtes quelqu’un de meilleur, de plus courageux et capable.

    Quelqu’un de digne de continuer à avancer à la recherche de nouvelles opportunités.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Nul besoin d’apprécier tout le monde :

    tout le monde n’a pas bon goût

     
     
     
     
     
     
     
     
    Il est normal de vouloir plaire à tout le monde, mais c'est une erreur de cesser d'être soi-même pour obtenir cela.
     
     
     

    Tout en haut de l’échelle des souffrances inutiles, se trouve sans aucun doute notre envie de plaisir à tout le monde.

     

    Il est possible que dès maintenant, vous vous disiez à vous-même que cela ne vous caractérise pas et que vous ne vous préoccupez pas du tout de devoir vous ajuster aux goûts et aux préférences de tout le monde pour plaire.

    Mais, d’une certaine manière, nous le faisons tous à plus ou moins grande échelle.

    Pour faire partie des environnements sociaux et affectifs, nous sommes tous obligés de nous harmoniser avec les autres et cela nous oblige souvent à devoir plaire, à être courtois, et même à dire « oui » lorsque l’on veut dire « non ».

    La clé de tout cela se trouve dans l’équilibre, dans l’assertion et dans l’intelligence émotionnelle.

    Nous aimons tous plaire et que l’on nous voit comme des personnes accessibles, mais cela ne doit pas nous faire tomber dans l’esclavagisme qui consisterait à aimer tout le monde de la même manière.

    Nous vous proposons de réfléchir à cela dans cet article.

    Le besoin angoissant de plaire à tout le monde

    Les gens ont besoin de « plaire » et qui pense le contraire se trompe. Plaire signifie par exemple affiner ses qualités de séduction pour attirer cette personne qui nous attire.

    Plaire, c’est donner une bonne image dans un entretien de travail dans le but d’obtenir un travail et une projection future.

    Nous voulons plaire aux personnes qui nous ressemblent pour les avoir comme amis, et nous ne pouvons pas nier que parfois nous devons céder un peu de place à notre famille pour qu’une harmonie prenne forme.

    Cependant, céder un peu, ce n’est pas perdre beaucoup.

    C’est équilibrer la balance pour que nous puissions tous coexister. Car si chacun d’entre nous agit seulement dans son intérêt propre, marquant des limites et dressant des murs, nous perdrions le sens de la société.

    La question qui nous vient à présent est la suivante : Où se trouve la limite ? Où se trouve la frontière entre mon identité et ce que m’exige la société pour me sentir intégré ?

    Nous allons tout vous expliquer dans la suite de cet article.

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    Ce processus intime d’auto-découverte

    Nous avons tous notre propre essence, et cette essence n’est rien d’autre qu’un bagage personnel où se trouvent nos valeurs, nos émotions, notre auto-estime et notre vision de nous-même.

    • Ce voyage personnel où nous nous découvrons nous-même est un processus qui dure toute la vie.
    • Pendant l’adolescence, il est fréquent de développer le besoin de plaire à tout le monde.
      Nous finissons par atterrir dans le monde en tant qu’être sociaux à la recherche de premières expériences et nous avons besoin, avant tout, de nous sentir intégré.
    • Cela fait que l’adolescent sente parfois une grave dissonance entre ce qu’il ressent et ce que le reste souhaite de lui.
    • La société leur demande qu’ils soient attirants, parfaits, indépendances.
      Les modes les homogénéisent de telle manière que leurs particularités et leurs essences s’estompent. Ce n’est pas bon.

    Nous sommes tous passés par ces étapes pour finalement réveiller en nous l’équilibre intérieur et découvrir que nous aimons être uniques, spéciaux et différents des autres.

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    L’aventure d’être soi-même

    Loin de ce que beaucoup pensent, être soi-même n’est pas facile.

    Il s’agit d’une part, des attentes de notre entourage, de notre famille, de la société propre et de notre travail.

    • On nous demande d’être de bons enfants, de bons conjoints et des travailleurs efficaces.
    • L’aventure d’être soi-même demande, que nous le voulions ou non, de devoir vivre de petites confrontations. Cependant, il ne faut pas le voir comme quelque chose de mauvais.

    Mettre des limites face à ce que nous voulons et ce que nous ne sommes pas disposés à faire permet que les autres aient de meilleurs liens avec nous, car ils comprennent comment nous fonctionnons.

    Tout le monde n’a pas « bon goût » pour vous apprécier

    Le monde ne s’écroule pas à cause d’un « non, tu ne me plais pas ». De fait, il nous ouvre d’autres chemins plus adaptés.

    • Car qui s’efforce chaque jour de plaire à tout le monde s’éloigne de soi-même et de ce sentier personnel où s’inscrivent l’auto-estime, l’équilibre, l’identité.
    • Si quelqu’un n’a pas suffisamment « bon goût » pour apprécier votre caractère, votre rire, votre sens de l’humour, vos sarcasmes et votre passion pour la vie, ne vous inquiétez pas.

     

    Pour une personne qui fait une grimace de dégoût, il en existe des dizaines que aiment votre personne, cet air plein de vie qui vous définit et qui vous rend unique.

    Alors, n’en doutez pas, profitez chaque jour de l’aventure d’être vous-même.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les gens qui passent du temps dans la nature

    sont plus heureux et moins stressés

     

     

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    Il faut parfois prendre une pause et regarder autour de soi pour constater à quel point la nature est apaisante. Même s’il est moins évident de le faire lorsqu’on réside en milieu urbain, il est essentiel de passer du temps à l’extérieur de la ville. Voici quelques points qui devraient vous convaincre de profiter du beau temps et de vous évader de la ville.

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    1. La nature réduit le stress et aide à trouver un sens à son existence

    Il y a une poignée d’études qui démontrent que passer du temps dans la nature a des effets positifs sur le moral. Dans une étude réalisée à l’Université de Chiba au Japon, les scientifiques ont démontré que les gens qui étaient plus en symbiose avec la nature étaient plus heureux. Durant la durée du projet, des groupes étaient divisés en deux. La moitié devait passer du temps en forêt, alors que l’autre séjournait en milieu urbain. Le lendemain, les groupes étaient interchangés. Les scientifiques ont remarqué que lorsque les 280 participants étaient en forêt, leur pouls, leur pression artérielle et leur taux de cortisol était plus bas.

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    2. Marcher en forêt stimule le système immunitaire

    Ce n’est pas seulement le cerveau qui est stimulé par le grand air, mais aussi le corps. La marche en forêt renforce les muscles et augmente la résistance du système immunitaire. Selon une étude réalisée à l’École de médecine de Nippon à Tokyo, lorsque l’homme inhale les phytoncides, des molécules sécrétées dans l’air par les arbres et les plantes, les effets sur le corps humain sont bénéfiques au système immunitaire.

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    3. L’activité en nature brûle des calories

    Une simple marche en forêt de 60 minutes peut brûler jusqu’à 500 calories. C’est aussi moins exigent pour le corps et les articulations de passer du temps dans la nature que de pratiquer le jogging, par exemple. La marche en forêt réduit la pression artérielle et aide à prévenir les maladies du cœur. Évidemment, les calories brûlées peuvent aussi contribuer à la perte de poids.

     

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    4. Le cerveau est stimulé après une marche en forêt

    Les paysages à couper le souffle, les bruits environnants, le terrain parfois aride: tous ces éléments contribuent à stimuler le cerveau et la créativité. Des chercheurs de l’Université du Kansas et de celle de l’Utah affirment que passer du temps dans la nature, loin des technologies, contribue grandement à développer l’intuition.

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    Pour tirer ces conclusions, les scientifiques ont envoyé 56 participants en excursion de quatre ou six jours dans les forêts de l’Alaska, du Colorado, du Maine et de Washington. Durant cette période de temps, les cobayes n’avaient pas le droit d’utiliser de machines électroniques. À la fin de leur séjour en nature, leur niveau de créativité avait augmenté de 50%, de même que leurs aptitudes à résoudre des problèmes. Évidemment, les études ont démontré que la combinaison entre la nature et l’éloignement de la technologie avait un impact direct sur l’homme.

    D’ailleurs, selon l’environnementalisme John Muir, retourner dans les bois est en quelque sorte comme retourner de l’endroit d’où l’on vient.

     

     

     

     

    Source : www.journaldemontreal.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Hommes et femmes, deux réalités cérébrales différentes

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même s'ils sont complémentaires, la réalité des hommes et des femmes sont très différentes au niveau cérébral, et il est donc important d'être patients les uns avec les autres.
     
     
     

    La vie émotionnelle entre les hommes et les femmes est influencée par les besoins affectifs et les habitudes de chacun. 

     

    Cependant, il est évident qu’il existe des modèles qui se répètent avec une certaine constance dans les relations de couple hétérosexuelles.

    Disons que les sujets et les attentes de chacun ont bien sûr une origine.

    Les attentes des femmes sur les hommes (et vice versa) dans les relations de couple ont tendance à s’ajuster à des modèles qui se répètent, même si c’est de manière individuelle.

    Il n’est pas bon de tomber dans le piège des généralités mais la biologie et la société ont une influence déterminante et directe sur les expériences de chacun, que l’on soit homme ou femme de n’importe quelle condition.

    La confluence émotionnelle dans le couple entre hommes et femmes

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    Il est habituel d’écouter les hommes de « se plaindre » ou de « faire des blagues faciles » sur l’émotivité des femmes.

    À l’inverse, les femmes ont tendance à reprocher les hommes de ne pas être suffisamment affectifs dans une relation de couple.

    Nous pensons alors que l’autre « pourrait changer » s’il nous aime vraiment, et nous avons tendance à oublier les particularités qui nous unissent et nous désunissent, tant au niveau biologique qu’au niveau social.

    Ce que nous ne oublions rapidement, c’est que les circuits cérébraux qui régissent la manifestation de nos émotions s’activent de manière différente, et provoquent des réalités différentes.

    Ainsi, par exemple, ce n’est pas que les hommes ne tombent pas amoureux mais leur amour se manifeste différemment au niveau individuel car la confluence des rôles de genre, la biologie et les expériences de vie structurent ce qu’ils sont.

    Ainsi, nous partons tous d’une base commune qui fait que ces « prototypes » que l’on peut voir au travers des attentes sont importants dans la manière dont on gère un couple hétérosexuel.

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    Si l’on tient compte de cela, nous pouvons affirmer sans trop nous avancer que le processus émotionnel du cerveau masculin diffère du cerveau féminin.

    Concrètement, la différence se trouve dans l’usage de deux systèmes cérébraux qui fonctionnent de manière simultanée (le système neuronal spectaculaire et l’union temporospatiale).

    Nous allons vous expliquer cela avec une histoire à laquelle beaucoup d’entre nous pouvons nous identifier.

    Marta est en train de traverser une mauvaise passe au travail. Elle a besoin de se libérer et que son conjoint, Daniel, l’écoute et la prenne dans ses bras. Mais lorsque Marta commence à lui raconter ses problèmes, Daniel dit à Marta ce qu’elle devrait ou pourrait faire pour améliorer la situation.

    Marta montre sur ses grands chevaux car elle pense que Daniel ne fait rien pour la comprendre et n’accorde aucune importance à ce qui lui arrive.

    Daniel, de son côté, souffre énormément de voir sa compagne dans cet état mais ne sait pas comment faire pour l’aider, car toutes les alternatives qu’il lui offre sont rejetées par Marta.

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    Si nous pouvions scanner le cerveau de Daniel quand il voit Marta pleurer, nous verrions que les deux systèmes de lecture émotionnelle dont nous avons parlés s’activent.

    Le premier qui s’activerait serait le système neuronal miroir, qui permet à Daniel de ressentir de l’empathie vis à vis de la douleur émotionnelle de Marta.

    Simultanément, le cerveau de Daniel active l’union temporo-pariétale, qui se charge d’analyser la situation et de chercher des solutions. C’est la fameuse empathie cognitive.

    Disons que l’union temporo-pariétale se charge de fabriquer une frontière claire entre les émotions propres et les émotions des autres, ce qui empêche que certains processus mentaux contaminent les émotions des autres.

    Elle essaie d’analyser la situation et de chercher des solutions, les plus pratiques possibles.

    Ainsi, quand nous observons le cerveau de Daniel à ce moment, nous voyons comment il essaie de chercher des solutions pour atténuer la douleur de sa compagne.

    Son cortex s’activera lorsqu’il demandera à Marta, très naturellement, combien de personnes a-t-elle besoin pour améliorer son travail.

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    Comme une grande partie des lectrices le comprendront, c’est ce qui irritera Marta.“Qu’est-ce que c’est cette question ? Je dois le faire avec l’équipe que j’ai à disposition », avec un regard de ressentiment envers Daniel.

    Cependant, le cerveau de Daniel identifiera le ton crispé du dernier commentaire de Marta, car le cerveau masculin aura la zone d’empathie émotionnelle désactivée au moment de chercher une solution et de ressentir de l’empathie cognitive avec son amour.

    Continuant sur sa lancée, Daniel lui offrira la merveilleuse solution que son cerveau lui a dictée : “Embauche des employés temporaires”.

    Automatiquement, les zones cérébrales du bien-être s’illuminent dans le cerveau de Daniel face à son idée géniale.

    Cependant, le plaisir durera exactement la même durée que l’expression de Marta mettra à changer, et celle-ci ne pourra que se mettre à pleurer ou à se plaindre en sentant que son compagnon ne comprend pas son état de moral et qu’il n’accorde pas l’importance adaptée.Ce qui se passe, ce n’est pas que les deux interprètent l’autre mais que leur réalité cérébrale est bien différente. 
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    Le reflet de deux réalités cérébrales

    Daniel essaie par tous les moyens d’aider de manière objective et pratique Marta car sa logique émotionnelle lui dit que c’est la meilleure chose à faire : chercher des solutions.

    Pourtant, Marta se trouve à un autre point et recherche chez son conjoint une connexion émotionnelle à son niveau.

    En guise de conclusion, nous pouvons dire que le sens émotionnel profond d’un homme n’est pas moins riche et moins valide que celui d’une femme, mais que tout simplement, nous fonctionnons différemment au niveau cérébral, social et individuel.

    Nous pouvons comprendre cela comme un problème de compréhension ou comme une manière de se compléter.

    Alors, maintenant que vous avez les informations, peut-être que c’est le moment d’en tenir compte et de mieux équilibrer la vie émotionnelle du couple entre homme et femme.

     

     

     

    Sources recommandées :

    Carlson, N. (2014). Physiology of Behavior (Physiologie du comportement).

    Brizendine, L. (2010). Le cerveau masculin.

     

    amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Quand être fort est la seule option !

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même s'il y a des moments où tour semble aller mal, il ne faut pas se rendre, il faut lutter et être persévérant. Rien n'est perdu d'avance et peut-être d'ailleurs que le meilleur est à venir.
     
     
     

    Il y a des moments dans la vie où rien ne fonctionne. Tout commence à aller à votre encontre et vous ne pouvez rien faire pour l’éviter.

    Mais, face tout cela, il y a quelque chose dont vous n’êtes sûrement pas conscient : vous découvrirez qu’être fort est votre seule option.

     

    Souvent, la vie présente des difficultés qui nous permettent d’apprendre à nous rendre.

    Il est vrai que votre intérieur criera d’impuissance et vous demandera pourquoi tout cela vous arrive à vous.

    Mais, malgré tout, vous découvrirez que vous pouvez y arriver et même plus encore.

    L’histoire des deux grenouilles

    Pour illustrer ce concept de force et de résistance, nous allons vous raconter un conte de Jorge Bucay, l’histoire de deux grenouilles qui sont dans une situation difficile de laquelle elles doivent sortir.

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    “Un jour, deux grenouilles tombèrent dans une jatte de crème. Aussitôt, elles s’aperçurent qu’elles s’enfonçaient : impossible de nager ou de flotter longtemps dans cette pâte molle aussi épaisse que des sables mouvants. Au début, les deux grenouilles agitèrent violemment leurs pattes dans la crème pour atteindre le bord de la jatte. En vain, elles ne parvenaient qu’à barboter au même endroit en s’enlisant. Elles avaient de plus en plus de mal à remonter à la surface et à reprendre leur souffle.

    L’une d’elles dit tout haut :
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    « Je n’en peux plus, on ne peut pas se sortir de là. impossible de nager dans cette substance. je vais mourir et je ne vois pas pourquoi je prolongerais cette souffrance. Où est l’intérêt de mourir épuisée par un effort stérile ? »

    Ayant dit cela, elle cessa de s’agiter et s’enfonça rapidement et littéralement engloutie par le liquide blanc et épais.

    L’autre grenouille, plus persévérante, ou peut-être plus obstinée, se dit :

    « Rien à faire ! Pas moyen d’avancer là-dedans ! Pourtant, même si la mort est proche, je lutterai jusqu’à mon dernier souffle. Je refuse de mourir une seconde même avant que mon heure ait sonné ! »

    Elle continua à s’agiter et à barboter toujours au même endroit, sans avancer d’un pouce, pendant des heures et des heures.

    Et soudain, à force de trépigner et de battre des cuisses, de s’agiter et de patauger, la crème se transforma en beurre ! Surprise, la grenouille fit un bond et, patinant, arriva au bord de la jatte. De là, elle rentra chez elle en croassant joyeusement.”.

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    À quoi sert-il de se rendre ? Nous avons tous un instinct de survie qui nous incite à persévérer, même si beaucoup de personnes s’abandonnent à la chance comme l’a fait la première grenouille.

    Dans la persévérance et la résistance, on trouve la possibilité de sortir de n’importe quelle situation, aussi compliquée soit-elle.

    Ne vous rendez jamais, être fort est votre unique option

    Il est évident que parfois, nous nous rendons avant l’heure car nous n’avons pas de pression suffisante.

    Mais imaginez l’une des pires situations par lesquelles vous êtes passé ou que vous auriez pu vivre.

    Lors de ces moments, vous n’aurez que deux options : vous laisser aller ou être fort.

    La vérité, c’est que parfois nous n’avons pas d’autre choix que d’être fort.

    Cela arrive à de nombreuses personnes qui pensent à leurs proches, surtout les parents qui ont des enfants à leur charge.

    Ils savent que leur unique option est d’être fort car s’ils s’écroulent, ils ne seront pas les seuls.

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    Vous passerez par de nombreuses situations compliquées tout au long de votre vie.

    Il y a des personnes qui se laissent tomber jusqu’au fond pour ensuite ne plus avoir d’autre choix que de se relever, alors que d’autres luttent dès le premier moment de difficultés ou d’autres encore s’abandonnent à l’adversité.

     

    Ne vous abandonnez jamais car le meilleur est toujours à venir et vous n’allez pas passer à côté ! 

    Aujourd’hui, les choses vont mal, vous souffrez d’une situation qui semble n’avoir aucun solution.

    Mais ce n’est pas un trou sans fin, même si cela y ressemble. Tôt ou tard, avec patience et persévérance, une lumière apparaitra et vous pourrez la suivre. C’est alors que tout ira mieux.

    Pensez que tout passe et que rien n’est permanent. Vous devez être fort, même si cela est dur, car vous devez savoir que cela passera.

    Persévérez, luttez, attendez… Tout a une solution, rien ne dure pour toujours.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les choses arrivent-elles par hasard ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Quand les choses arrivent, elles ne sont pas toujours le fruit du hasard ou du destin. Elles arrivent souvent car nous nous nous sommes efforcés, car nous avons travaillé pour les obtenir ou parce que c'était le moment opportun.
     
     
     

    Il y a des choses qui arrivent pour quelque chose, car nous avons fait des efforts, car nous avons donné tout notre être pour atteindre cette réussite si désirée et que le destin nous a enfin donné ce dont nous rêvions.

     

    À présent, il y a aussi énormément de choses qui n’arrivent pas car ce n’était pas le moment, car la situation n’était pas propice ou parce que la chance -ou la malchance- l’a voulu ainsi.

    Il est curieux de voir à quel point la vie est toujours suspendue à cette balance étrange où parfois tout s’emboîte et d’autres fois, tout semble aller de travers.

    Nous attendons tant de choses dans notre quotidien que parfois nous avons la sensation que rien n’avance, que rien n’arrive et que le destin nous a oublié.

    Il est pourtant nécessaire d’opter pour une autre approche dans notre vision de la vie.

    Nous sommes responsables de notre existence, si nous voulons quelque chose, nous devons aller le chercher.

    Le destin et la chance peuvent parfois nous accompagner, mais c’est nous, avec notre attitude et notre volonté qui nous hissons jusqu’à devenir les authentiques artisans de nos sentiers de vie.

    Nous vous invitons à réfléchir à cela.

    Les choses qui arrivent « pour quelque chose »

    Nous sommes sûrs qu’un jour, vous avez vécu cette même situation : un collègue de travail, un voisin ou un ami vous parle de la chance que vous avez dans la vie ou à quel point les choses qui vous arrivent à vous sont heureuses.

    Nous, tranquillement, répondons que ce n’est pas de la chance mais de l’effort quotidien et de la volonté.

    Car toutes les choses n’arrivent pas comme ça, sans que nous sachions pourquoi.

    La plupart des fois, c’est nous qui les favorisons, avec nos efforts, notre engagement et notre dévouement.

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    La chance et la malchance

    La chance et la malchance existent-elles ? Comme tout dans la nature, il y a un petit pourcentage qui dépend du hasard ou des choses incontrôlables qui échappent toujours à notre volonté.

    Nous ne pouvons pas éviter de contracter certaines maladies, de souffrir d’accidents, et nous ne pouvons pas non plus « contrôler » les réactions ou les désirs des personnes qui nous entourent.

    • La chance et la malchance existent mais dans une probabilité très faible.Cependant, le reste des choses qui passent autour de nous ont une origine que nous pouvons contrôler.
    • À présent, ce qui arrive souvent, c’est que nous sommes pleinement conscient de « notre capacité de contrôle et de choix ».
    • Les psychologues nous parlent du « locus de contrôle interne ou externe ». Les gens qui ont un locus de contrôle externe sont ceux qui attribuent tout ce qui leur arrive au hasard ou à la volonté d’autres personnes.
    • Ils présentent ce type de manque de défense comme si tout ce qui échouait était attribué à des facteurs externes, et jamais à leur manque d’investissement personnel.
    • Ce n’est pas bon, il faut au contraire apprendre à développer un contrôle interne où nous nous considérons comme responsable de notre propre vie.

    Il n’y a qu’ainsi que nous apprendrons de nos erreurs et que nous comprendrons que beaucoup des bonnes choses qui nous arrivent, arrivent car nous le méritons. 

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    Les choses qui n’arrivent pas « pour quelque chose »

    Nous voulons être heureux et nous n’y arrivons pas. Existe-t-il une force négative et invisible qui nous en empêche ?

    Pas du tout, le malheur a toujours des origines très concrètes qu’il faut savoir identifier.

    S’il y a des choses qui n’arrivent pas, c’est qu’il y a une raison. Peut-être qu’il existe un facteur que nous ne savons pas affronter et gérer en notre faveur.

    La peur

    La peur est la principale racine du malheur et éteint toute possibilité que quelque chose de nouveau, de bon et d’enrichissant arrive.

    La peur nous coupe les ailes et nous empêche de réagir. C’est à ce moment-là que nous commençons à développer ce locus de contrôle externe dont nous parlions précédemment.

    L’indécision

    • Nous avons tous ressenti à un moment donné une forme d’indécision. C’est cette attitude éteinte et craintive qui nous empêche d’agir et d’encourager des changements dans notre entourage.
    • La vie, petit à petit, se transforme en un film qui passe devant notre fenêtre, mais dans lequel nous sommes des protagonistes.

    Si nous sommes arrivé à ce point de notre cycle de vie où nous avons la sensation que rien ne se passe, que rien ne change et rien n’arrive, peut-être que c’est le moment de sortir dehors et de faire que les choses se déclenchent.

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    Le danger de trop attendre

    Quand nous attendons trop, les espoirs et les rêves se perdent. Les trains passent et nous passons à côté. 

    Le bonheur n’est pas quelque chose que l’on attend comme qui attend le lever du soleil. Le bonheur se crée et se sent. Et pour cela, il faut commencer à lui donner forme dès notre propre intérieur. Il faut arrêter d’attendre.

     

    Faites tomber les craintes, éteignez les incertitudes, éloignez-vous de qui vous aime « immobile, malléable et attentionné. »

    Le bien-être a besoin de mouvement et du fait que nous allions au-delà de nos routines et de nos zones de confort.

    Osez faire en sorte que vos rêves s’accomplissent !

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Aimer quelqu’un qui ne vous aime pas,

    c’est comme attendre le train à l’aéroport

     
     
     
     
     
     
     
     
    Au-delà des relations de couple ou avec les autres, la première personne que nous devons aimer et respecter, c'est nous-même. Et nous devons également faire en sorte que les autres nous respectent aussi.
     
     
     

    Aimer qui ne vous aime pas, c’est comme attendre la neige en été, vouloir naviguer sur un bateau sans voiles ou attendre le train à l’aéroport.

     

    C’est infructueux et douloureux : cependant, même si l’on a conscience que nous ne sommes pas aimés, il est très compliqué de briser ce lien d’un jour à l’autre.

    L’amour qui ne correspond pas est une musique très commune chez l’être humain.

    Il n’y a pas d’âge pour découvrir ce qu’est le désintérêt de qui a toute notre attention ou le rejet de la personne sur laquelle nous avons projeté tous nos rêves.

    Si nous l’affrontons correctement, cela peut supposer une bonne stratégie d’épanouissement personnel.

    Cela nous permet de comprendre que le plus important, c’est d’écouter notre auto-estime sans perdre sa dignité.

    Faire durer une situation où il n’y a plus d’espoir et maintenir ce besoin dans l’attente d’être aimé ou dans l’espoir de recevoir des « miettes » peut être très destructeur.

    Nous vous invitons ici à réfléchir à cela.

    Vouloir être aimé, aimer sans réciprocité

    Aimer et ne pas être aimé génère une incongruence dans notre cerveau.

    Tous nos investissements émotionnels ont construit un tissu habité par les rêves, les espoirs et les croyances qui se choquent à leur tour contre un mur de réalité : nous ne sommes pas aimés.

    Il faut dire à présent que les situations ne sont pas toujours aussi simples que cela.

    Tout d’abord, il y a des nuances, des cas particuliers qui apportent une plus grande complexité émotionnelle aux situations que nous allons analyser dans cet article.

     

    Quand on nous donne de faux espoirs…

    “Si tu aimes, prends soin ; si tu n’aimes pas, ne donne pas d’espoir”. Cela devrait être la principale chose qui devrait nous définir pour établir des relations plus matures et respectueuses.

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    Parfois, nous nous laissons personnellement et émotionnellement porter par quelqu’un qui se limite à nous donner des espoirs concrets sans jamais les respecter.

    • Peut-être que cette personne se sent seule et pour éviter l’isolement, elle nous fait croire que nous sommes importants dans son cœur, alors que ce n’est pas vrai. C’est quelque chose de très dangereux.
    • Les faux espoirs peuvent aussi être dus à la malhonnêteté émotionnelle de quelqu’un qui ne sait pas dire : « non, je ne t’aime pas, tu ne m’intéresse pas dans cet aspect”.

    Au lieu de freiner à temps, il se laisse porter par peur de faire du mal ou d’être porteur de désillusions.

    • Cela peut aussi arriver dans un couple. Peut-être que l’un des deux membres n’aime plus l’autre et au lieu d’être sincère, il prolonge la situation générant ainsi une relation aussi fausse que douloureuse.

    Quand nous ne savons pas comment réagir

    Aimer quelqu’un est un processus intime, délicat et profond qui se gère dans le temps et avec des moments très significatifs.

    • Quand nous recevons un refus ou que nous sommes pleinement conscient que nous ne sommes pas aimé, il y a alors un impact où la personne ne sait pas très bien comme réagir.
    • Savoir que nous ne sommes pas aimé est vécu de la même manière qu’un deuil ou une perte. D’où le fait que le premier sentiment qui apparaît est le blocage et la négation.
    • Plus tard, la personne n’aura pas d’autre remède que de vivre les étapes suivantes : la conscientisation, la colère, le soulagement émotionnel et finalement, l’acceptation.

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    Vous êtes une personne digne qui ne mérite pas de « miettes »

    Il y a toujours de l’espoir. Nous nous disons que, peut-être, si nous faisons ceci ou cela, l’autre nous regardera et nous aimera.

    D’un côté, l’amour peut être la dimension la plus intense et merveilleuse de l’être humain, et à l’inverse, la blessure la plus douloureuse et la plus aveugle.

    • Nous ne devons pas tomber dans ces cercles vicieux de lente auto-destruction. Au-delà de toutes ces situations d’intense douleur émotionnelle, il faut favoriser une seule dimension : l’amour de soi-même.
    • Le plus recommandable, c’est de s’éloigner et de permettre que la distance soit notre meilleur gilet de sauvetage, le meilleur médicament pour nous retrouver avec nous-même.
    • Se retirer à temps inclut non seulement d’arrêter de voir cette personne.
      Il est nécessaire de rompre toute relation sur les réseaux sociaux, là où nous pourrions avoir envie d’en savoir plus sur elle, de savoir ce qu’elle partager, quelles photos elle publie, avec qui elle a des liens, etc.

    Ce n’est pas conseillé.

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    Le bel amour ne fait pas mal, et n’alimente pas les faux espoirs.

    Alors, si nous ne sommes pas aimés, il est nécessaire de laisser aller, de dire adieu et d’avancer seul pour retisser ce lien avec notre auto-estime, avec notre identité.

    Tôt ou tard, apparaîtra la personne qui doit être là pour nous, et si cela n’arrive pas, ce n’est pas grave.

    L’amour pour soi-même est une aventure merveilleuse qu’il faut toujours encourager et dont il faut profiter.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Mûrir, c’est aussi pouvoir faire face à ce qui nous a fait du mal

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    La maturité est une question d'âge, une question de courage pour se confronter aux changements et aux peurs qui nous entravent et nous empêchent d'atteindre le bonheur.
     
     
     

    Mûrir, ce n’est pas seulement accumuler les années ou voir une ride sous nos yeux quand nous sourions.

    Mûrir, c’est résoudre des difficultés et acquérir cette sagesse vitale avec laquelle être plus fort, plus libre et plus heureux.

     

    Le temps n’est pas suffisant pour guérir des blessures ou pour soulager des peurs.

    Au fil des ans, nous accumulons des rancœurs envers certaines personnes ou des craintes face à certaines situations qui, dans le passé, nous ont fait du mal.

    Mûrir, c’est aussi pouvoir profiter de cet instant où nous regardons en face nos démons personnels et où nous sommes capables de sourire face à eux, sans angoisse. 

    C’est un type de sagesse que nous pouvons tous atteindre en faisant tomber nos peurs et de nombreux comportements limitants.

    Nous allons vous expliquer comment obtenir cela.

    Mûrir, l’art d’être libre émotionnellement

    L’expérience de vie n’arrive pas seule à 30, 40, 50 ou 70 ans.

    Il y a des personnes qui, au lieu d’avoir dans le regard l’éclat de plusieurs décennies vécues, n’ont pas encore compris ce qu’est qu’acquérir ce calme, cet équilibre intérieur qui arrive avec la maturité émotionnelle.

    À présent, il est possible qu’une fois ce moment arrivé, vous vous demandiez, mais…Est-ce nécessaire de souffrir pour apprendre ? Pas du tout.

    La réponse est non : ce n’est pas obligatoire de souffrir pour apprendre.

    Le bonheur nous apprend aussi quelles sont les choses les plus importantes, celles qui nous font plaisir et qui nous offrent une authentique valeur dans la vie.

    Ce qui arrive souvent, c’est que la souffrance nous oblige à réagir.

    Nous pourrions définir la douleur émotionnelle comme ce transit que nous devons vivre pour « naître à nouveau », pour nous ouvrir les portes des opportunités après la souffrance.

    Nous vous proposons de réfléchir à ces dimensions.

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    Le cerveau ne sait pas être heureux

    Il est possible que cet énoncé attire votre attention. Le biologiste Estanislao Bachrach, expert en neuroplasticité cérébrale nous indique que la seule chose qui importe à notre cerveau, c’est que nous survivions.

    • Le bonheur est cette dimension à laquelle nous aspirons, génération après génération.
    • Jusqu’à présent, dans toute cette chaîne évolutive de changements et d’améliorations génétiques, nous n’avons pas réussi à trouver la clé pour être heureux de manière innée.
    • Notre cerveau est plus intéressé par le fait que nous apprenions à survivre.

    Je n’ose pas traverser au rouge car je sais que l’on peut m’écraser », « Cette personne me fait peur car je sais qu’elle peut me faire du mal », « J’ai peur de voler en avion car je sais que je peux mourir”.

    La peur garantit notre survie, mais en même temps, elle coupe les ailes de notre opportunité d’être heureux. C’est un aspect curieux sur lequel réfléchir.

     

    Pour mûrir, nous devons être capables de changer

    L’une  des manières les plus efficaces pour favoriser la maturité émotionnelle, c’est de savoir s’adapter aux changements, et de les favoriser.

    • Si quelque chose ne nous plaît pas, il est préférable de le laisser de côté et de chercher quelque chose de mieux.
    • Si une situation nous rend malheureux, il est nécessaire de changer.
    • S’il y a une attitude chez moi qui ne me plaît pas et qui m’empêche d’atteindre mes objectifs, je devrai la changer.

    Mûrir, c’est donc être capable de franchir ces étapes pour s’améliorer personnellement et pour se libérer de ces peurs qui, même si elles nous permettent de continuer à être vivants, ne nous offrent pas le bonheur.

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    À présent, il est possible que vous vous demandiez pourquoi les gens ont tant de mal à changer.

    • Les gens associent le changement à la douleur, et personne n’aime la douleur.
    • Le changement va nous demander de développer certaines capacités et stratégies auxquelles nous pensons que nous ne sommes pas préparées.
    • Le changement va toujours de pair avec la peur, cet instinct qui nous dit qu’il est préférable de rester où vous êtes, même si vous êtes malheureux car, au moins, vous survivez.

     

    Le bonheur, c’est l’absence de peur, et ainsi, mûrir, c’est sourire à qui vous a fait du mal car vous ne le craignez pas et il ne signifie plus rien pour vous.

    Nous devons comprendre que le changement est quelque chose de nécessairement traumatisant. La vie en elle-même est un processus où le changement est toujours implicite.

    Il faut seulement se laisser porter, sans résistances.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Ne traitez pas ceux qui vous traitent mal comme une priorité

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Nos propres carences affectives sont celles qui font que nous traitons comme des priorités les personnes qui nous sous-estiment ou qui nous méprisent. Nous devons être conscient de notre valeur et apprendre à exiger le respect que nous méritons.
     
     
     

    Ne traitez pas en priorité les personnes qui ne vous valorisent pas suffisamment.

    Vous devez vous donner l’importance que vous méritez et offrir votre affection à qui vous aime réellement à chaque moment, sans intérêts ni égoïsmes.

     

    Car, en général, l’égoïsme n’est pas considéré avec clémence même s’il nous permet de conserver nos espoirs ou nos attentes.

    Il faut le savoir car nous devons éviter d’hypothéquer notre bien-être et le soumettre à ce que les autres souhaitent.

    Quand une relation est saine et significative, il est facile d’équilibrer la balance.

    Cependant, nous nous voilons la face régulièrement et nous nous laissons emporter, vivant dans la brume et n’écoutant pas nos besoins affectifs.

    Prisonniers de l’égoïsme, nous ne sommes plus la priorité

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    Il est fréquent qu’à un moment, nous soyons l’objet de l’égoïsme des autres et que nous finissions par ne plus être la priorité, ou même un être dépendant des intérêts des autres.

    Nous mettons souvent du temps à nous en rendre compte car nous nous laissons porter par l’inertie de la relation.

    Cependant, petit à petit, nous ruinons notre présent en alimentant nos espoirs de changements qui n’arriveront probablement jamais.

    Qui n’apporte par une tendresse sincère dans un temps déterminé ne l’apportera sûrement jamais, comme par magie.

    Ainsi, comme nous l’avons souligné, nous nous plongeons dans le souvenir d’un passé qui n’a pas de futur.

    L’intérêt et la tendresse intermittents nous indiquent donc qu’il y a quelque chose qui ne fonctionne pas bien même s’il est difficile de l’accepter.

    Avec le temps, les personnes montrent un visage de moins en moins aimable et de plus en plus intéressé. 

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    La douleur psychologique dérivée de l’angoisse relationnelle

    Le temps est le grand maître qui se charge de nous ouvrir les yeux, et de nous aider à prendre de la distance et à évaluer les erreurs qui nous entourent.

    Ce n’est pas facile, bien sûr. De fait, la douleur produite est parfois insupportable.

    C’est la douleur émotionnelle, une douleur qui angoisse notre cerveau. La déception, la trahison, le mensonge, le désamour ou la perte provoquent une grande souffrance qui nous déchirent de l’intérieur.

    Ce type de souffrance est déclinée en poèmes et en chansons depuis des siècles et des siècles, et nous plonge dans un monde que tout le monde peut comprendre.

    Aujourd’hui, ces intuitions poétiques bénéficient du soutien dans les études neurophysiologiques, qui confirment que la douleur psychologie se reflète au niveau cérébral.

    Curieusement, lorsque notre “cœur” se brise et que nos émotions enflamment notre corps, les mêmes zones que celles qui sont sollicitées lors de la douleur physique s’activent.

    D’où le fait que nous puissions dire que l’amour fait mal physiquement.

    Nos neurotransmetteurs souffrent d’un grand abattement au moment où tout se complique et quelque chose se brise en nous.

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    Les zones cérébrales de la douleur physique partagent le chemin de la couleur émotionnelle, car un dommage physique ou émotionnel active le cortex cingulaire antérieur et le cortex préfrontal.

    C’est une raison de plus pour arrêter de sous-estimer nos blessures émotionnelles et éviter de penser qu’elles se soignent à l’air libre.

    Nous sommes tristement habitués à nous acharner à enterrer nos problèmes relationnels, ce qui fait que la douleur s’enkyste et complique la résolution des conflits.

    Nous cacher ne nous aide en rien. Au contraire, cela freine un soulagement qui rend plus supportable la douleur sociale mais qui finit par tourmenter notre cerveau jusqu’à dérégler complètement notre esprit.

    “Quand vous maintenez le ressentiment, vous êtes attaché à cette personne ou à cette situation par un lien émotionnel qui est plus fort que l’acier. Pardonner est l’unique manière de dissoudre ce lien et d’atteindre la liberté”

    -Catherine Ponder-

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    La dignité ne doit se perdre pour personne

    Quand une personne nous traite comme quelqu’un de facultatif, il est bon de commencer à penser à dire adieu.

    Il est totalement différent d’être orgueilleux que d’être digne. Si nous perdons notre dignité, nous nous perdons nous-même, nous nuisons à notre identité et à notre amour propre.

    Les relations basées sur le respect et l’équilibre des besoins sont les plus authentiques, libres, solides et enrichissantes.

    Parfois, nous perdons notre dignité car nous considérons que cela nous convient ou bien nous nous bloquons et nous ne savons pas répondre à une situation de manipulation ou de soumission.

    C’est-à-dire que nous nous habituons à traiter prioritairement ceux qui nous traitent comme des personnes facultatives dans leur vie car nous sommes « aliéné » dans une relation asymétrique.

    L’amour, l’attention et la tendresse ne se mendient pas.

    C’est pour cela que ceux qui méritent de faire partie de notre vie sont ceux qui montrent qu’ils nous veulent le bien, qui ne profitent pas de nos vulnérabilités et qui nous aiment de manière propre et sincère.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Caresser avec l’âme pour atteindre l’intimité du nu émotionnel

     
     
     
     
     
     
     
     
    Une caresse de l'âme peut nous combler et nous connecter aux personnes dont les câlins sont bien plus profonds et nous recomposent de l'intérieur.
     
     
     

    « Apapachar » (cajoler, câliner au Mexique) est l’un des plus jolis mots qui existent, entre autres par la connotation qu’il a acquis avec le temps et l’extension du terme en espagnol, puisque sa signification exacte serait plutôt : « câliner avec l’âme ».

     

    Ce magnifique mot provient du nahuatl, la langue d’un groupe amérindien du Mexique et il a fait le tour du monde.

    Cependant, comme nous l’avons expliqué précédemment, le terme original n’avait pas un sens aussi sentimental.

    Lors du processus d’hispanisation du mot, il a dévié vers un sens plus tendre, car à l’origine on l’utilisait pour faire référence à l’action de pétrir, masser ou tripoter avec douceur.

    Avec le temps, il a pris ce sens dont nous allons parler ici : « apapachar » comme caresser l’âme pour laisser la place au nu émotionnel.

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    La rencontre émotionnelle à travers les « apapachos »

    Un « apapacho » est plus qu’un câlin. C’est de la complicité, de la connexion émotionnelle, un contact qui va au-delà de n’importe quel câlin.

    Chacun donne l’intensité qu’il considère être la plus proche de la définition.

    Ce nu émotionnel dont nous parlons ne s’obtient pas à la légère, car il demande du temps, de la force et l’envie d’écouter, de ressentir, de prendre dans ses bras et de câliner avec l’âme.

    Dans ce sens, il n’est pas étrange de dire qu’un bon « apapacho » commence par soi-même, par l’importance d’identifier les sentiments et les émotions qui sont au service de notre peau.

    Écouter, se connecter et connaître la charge émotionnelle que l’on porte sur ses épaules demande un processus de scan et de supervision de nos peurs, de nos conflits, de nos insécurités, de nos réussites et de nos apprentissages.

    Si nous pouvons voir et ressentir “les vêtements qui nous revêtent », nous réussirons à mettre à nu cette partie de nous-même dès que l’occasion se présente.

    La bonne connaissance de nos vulnérabilités émotionnelles ne les fait pas disparaître mais en avoir conscience permet que dès qu’elles apparaissent dans notre vie, on puisse les identifier et agir sur elles, en les empêchant d’étouffer nos connexions émotionnelles.

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    Nous combler grâce aux émotions

    La véritable séduction n’est pas celle que l’on réalise via les mots ou le contact peau contre peau.

    Nous avons besoin de nos émotions et de nos sentiments pour parler le langage des câlins de l’âme.

    Nous sommes des êtres émotionnels qui pensons à travers le langage des émotions, car il n’y a qu’à travers de cela que nous recevons le pouvoir d’une authentique connexion.

    Les problèmes disparaissent en quelques secondes, quelque chose se reconnecte en nous, l’angoisse nous enveloppe et nous créons un lien au-delà du temps et de l’espace.

    En d’autres termes, un « apapacho » agit comme un baume réparateur. 

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    Se sentir aimé, l’une des meilleures sensations qui existent

    Savoir que l’on vous aime est l’une des meilleures sensations que l’on peut ressentir. C’est agréable, réconfortant et énergisant.

    Être conscient que quelqu’un vous apprécie sincèrement est merveilleux car l’amour est toujours une impulsion qui nous aide à récupérer un équilibre auquel nous aspirons lors des mauvais moments.

    Disons que tout cela fonctionne comme un gilet de sauvetage, un flotteur qui nous ramène à la superficie et nous permet de respirer.

    On pourrait dire que nos liens représentent, sans aucun doute, de l’oxygène psychologique pour nous.

    Voici une précieuse définition dans un passage du roman de Paul Auster, Moon Palace, où il définit parfaitement ce que l’on ressent lorsque l’amour des autres nous sauve du puits dans lequel nous sommes tombés et duquel nous ne pouvons pas sortir :

    “À ce moment, je l’ignorais, bien sûr, mais sachant ce que je sais maintenant, il m’est impossible d’ignorer ces journées sans ressentir une vague de nostalgie envers mesamis. Dans un certain sens, cela altère la réalité de ce que j’ai vécu. 

    J’avais sauté du bord de la falaise et au moment où j’allais toucher le fond, il s’est passé quelque chose : je me suis rendu compte qu’il y avait des gens qui m’aimaient. Se sentir aimé de cette manière change tout. 

    Cela n’enlève pas la terreur de la chute mais donne une nouvelle perspective à ce que signifie la terreur. J’avais sauté du bord et au dernier moment, quelque chose m’a attrapé dans l’air. Ce quelque chose, c’est ce que j’appelle l’amour.

    C’est la seule chose qui peut stopper la chute d’un homme, l’unique chose assez puissante pour invalider les lois de la gravité.”

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    Nous pouvons affirmer sans nous tromper que les personnes auxquelles nous sommes liées émotionnellement nous aident à prendre les rennes de notre vie entre nos mains, à prendre le contrôle et à gérer nos sentiments, nos pensées et nos émotions.

    Comme nous vous l’avons signalé dans cet article, nous devons savoir que le nu émotionnel ne s’obtient qu’à travers la connaissance intérieure et le nu personnel avec soi-même. 

    C’est pour cela qu’il est essentiel de câliner notre intérieur avec l’âme pour pouvoir permettre au processus de croissance socio-émotionnelle de continuer à fonctionner.

    Ainsi, nous briserons nos peurs et nous montrerons à la chaleur du foyer ce que nous sommes capables de créer grâce aux « apapachos ».

    Cette rencontre si profonde mérite, sans aucun doute, un mot aussi beau que celui-ci : « APAPACHEZ » BIEN !

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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