• 13 choses que les personnes fortes mentalement ne font pas

     

     

     

     


    13-choses

     

     

    Les personnes mentalement fortes ont des habitudes saines. Elles gèrent leurs émotions, les pensées et leurs comportements d’une manière qui leur permette de réussir dans la vie. Découvrez ces choses que les gens forts mentalement ne font pas de sorte que vous puissiez, vous aussi, devenir plus fort(e) mentalement.

     

    1. Elles ne perdent pas de temps à s’apitoyer sur elles-mêmes

    Les personnes mentalement fortes ne restent pas prostrées à s’apitoyer sur leur sort ou sur la manière dont les autres les ont traitées. Au lieu de cela, elles prennent la responsabilité de leur rôle dans la vie et comprennent que la vie n’est pas toujours facile ou juste.

    2. Elles n’abandonnent pas leur pouvoir

    Les personnes fortes mentalement ne permettent pas aux autres de les contrôler, et ne donnent pas à quelqu’un d’autre de pouvoir sur eux-même. Elles ne disent pas des choses comme, « Mon patron me fait me sentir mal », parce qu’elles comprennent qu’elles sont dans le contrôle de leurs propres émotions et elles ont le choix dans la façon dont elles réagissent.

    3. Elles n’ont pas peur du changement

    Les personnes mentalement fortes ne cherchent pas à éviter le changement. Au lieu de cela, elles accueillent les changements positifs et sont prêtes à faire preuve de souplesse. Elles comprennent que le changement est inévitable et croient en leurs capacités d’adaptation.

    4. Elles ne gaspillent pas leur énergie sur des choses qu’elles ne peuvent pas contrôler

    Vous n’entendrez pas une personne forte mentalement se plaindre sur la perte de bagages ou des embouteillages. Au lieu de cela, les personnes fortes mentalement se concentrent sur ce qu’elles peuvent contrôler dans leur vie. Elles reconnaissent que, parfois, la seule chose qu’elles peuvent contrôler est leur attitude.

    5. Elles ne se soucient pas de plaire à tout le monde

    Les personnes fortes mentalement reconnaissent qu’elles n’ont pas besoin de plaire à tout le monde tout le temps. Elles n’ont pas peur de dire non ou d’élever la voix si nécessaire. Les êtres forts mentalement s’efforcent d’être bons et justes, mais peuvent supporter que d’autres personnes soient déçues si elles n’ont pas pu les rendre heureuses.

    6. Elles n’ont pas peur de prendre des risques calculés

    Les personnes fortes mentalement ne prennent pas des risques inconsidérés ou fous, mais cela ne les dérangent pas de prendre des risques calculés. Les personnes mentalement fortes passent du temps à peser les risques et les avantages avant de prendre une décision importante, et elles sont pleinement informées des inconvénients potentiels avant de passer à l’action.

    7. Elles ne s’attardent pas sur le passé

    Les personnes mentalement fortes ne perdent pas de temps à s’attarder sur le passé à souhaiter que les choses puissent être différentes. Elles reconnaissent leur passé et peuvent dire ce qu’elles ont appris de lui. Cependant, elles ne revivent pas constamment de mauvaises expériences ou fantasment sur les jours de gloire. Au lieu de cela, elles vivent dans le présent et planifient l’avenir.

    8. Elles ne refont pas continuellement les mêmes erreurs

    Les personnes mentalement fortes acceptent la responsabilité de leur comportement et apprennent de leurs erreurs passées. Par conséquent, elles ne tiennent pas répéter ces erreurs encore et encore. Au lieu de cela, elles avancent et s’engagent à prennent de meilleures décisions à l’avenir.

    9. Elles n’envient pas le succès des autres

    Les personnes mentalement fortes peuvent apprécier et célébrer le succès d’autres personnes dans la vie. Elles ne se sentent jalouses ou se sentent flouées quand d’autres les dépassent. Au lieu de cela, elles reconnaissent que le succès vient avec un travail dur, et elles sont prêtes à travailler dur pour leur propre chance de succès.

    10. Elles n’abandonnent pas après leur premier échec

    Les personnes mentalement fortes ne considèrent pas l’échec comme une raison d’abandonner. Au lieu de cela, elles utilisent l’échec comme une occasion de grandir et de s’améliorer. Elles sont prêtes à continuer à essayer jusqu’à ce qu’elles réussissent.

    11. Elles ne craignent pas de passer du temps seules

    Les personnes mentalement fortes peuvent tolérer d’être seules et ne craignent pas le silence. Elles n’ont pas peur d’être seules avec leurs pensées et elles peuvent utiliser des temps d’arrêt pour être productives. Elles apprécient leur propre compagnie et ne sont pas dépendantes tout le temps des autres pour la camaraderie et le divertissement  mais au contraire, elles peuvent être heureuses seules.

    12. Elles n’estiment pas que le monde leur doit quelque chose

    Les personnes mentalement fortes n’estiment pas avoir de droits sur certaines choses. Ils ne sont pas nés avec une mentalité que d’autres prendraient soin d’eux ou que le monde doit leur donner quelque chose. Au lieu de cela, elles cherchent des opportunités en fonction de leurs propres mérites.

    13. Elles ne s’attendent pas à des résultats immédiats

    Qu’elles travaillent sur ​​l’amélioration de leur état de santé ou le développement d’une nouvelle entreprise, les personnes forts mentalement ne s’attendent pas à des résultats immédiats. Au lieu de cela, elles utilisent leurs compétences et leur temps au mieux de leur capacité et comprennent que le vrai changement prend du temps.

     

     

    Source : sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Un neveu ou une nièce est le meilleur cadeau

    qu’un frère ou une sœur peut faire

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    La relation oncle/tante et neveu/nièce est particulière. Les oncles et tantes sont des mentors, des confidents et des compagnons de jeux pour les neveux/nièces, des personnes capables de réveiller les sentiments les plus tendres.
     
     
    Un neveu ou une nièce est le meilleur cadeau qu’un frère ou une sœur peut faire
     

    Avoir un neveu ou une nièce est une merveille, et le plus beau cadeau qu’un frère ou une sœur puisse nous faire.

    En effet, leur innocence et leur joie de vivre mettent un peu de piment dans la vie familiale.

     

    Leurs petites mains, leur envie de parcourir le monde, leur enthousiasme, leurs sourires, leurs pleurs, leur amour, leurs envies, et leurs yeux brillants sont incomparables.

    Avoir des neveux ou des nièces est quelque chose d’inégalable, car être oncle ou tante signifie bien plus que ce que l’on peut dire avec des mots.

    La relation qui s’établit est fascinante et généreuse en amour. 

    Mere-et-fils

    Les oncles et tantes sont les seuls à pouvoir faire des câlins comme les parents, garder des secrets comme des frères et sœurs et partager des joies comme des amis.

     

     

    Premier enseignement : apprendre à aimer de manière inconditionnelle

    Si vous n’avez pas encore eu d’enfants, un neveu ou une nièce vous apprend ce qu’est l’amour inconditionnel.

    C’est une sensation fabuleuse de pouvoir tout donner à quelqu’un, de sentir une tendresse immense, et une nécessité infinie de protection.

    Être parents, compagnons de jeux, amis, confidents, instructeurs… Tout cela en même temps ne peut se trouver que dans une relation oncle/neveu car c’est un échange dans lequel prévaut l’égalité, l’amusement et la compréhension.

    Les oncles et tantes s’éloignent de l’interdiction, de l’imposition et des règles,qui sont bien plus flexibles et coopératives. Cela illustre un échange vraiment unique.

     

    Deuxième enseignement : apprendre à vous comporter comme un super héros

    Depuis le moment où vous avez l’étiquette d’oncle ou tante, vous devenez un super héros.

    Vous êtes une personne admirable, ce qui vous donne la responsabilité de surprendre, d’inventer et de transmettre un amour infini.

    Chaque petite explosion, chaque câlin et chaque clin d’œil complice sont la preuve que, pour l’enfant de votre frère ou sœur, vous êtes un repère merveilleux.

    Cette harmonie spéciale a lieu grâce au fait que la pression et à la responsabilité des règles d’éducation n’étouffent pas le plaisir de jouer, de parler et de prendre soin de l’enfant.

    Neveu-et-tante

    Troisième enseignement : retrouver son admiration pour la vie

    Un autre enseignement est d’apprendre à nouveau à admirer et à profiter de la magie de la vie, de l’apprentissage quotidien, de l’enthousiasme, de la joie, de l’innocence et du cœur.

    Il s’agit de tâter le terrain comme si nous étions les plus grands inexperts du monde et recommencer à profiter de la vie sans soucis, tout en partageant un environnement magique avec eux, où prime le soin, le bonheur, la reconnaissance et la complicité.

    Il n’est pas facile de satisfaire toutes ces attentes mais la joie éprouvée en retour, avec ces enfants que nous adorons, en vaut la peine.

     

     

    L’importance des oncles et tantes dans la vie des neveux et nièces

    L’héritage émotionnel qu’un oncle ou une tante offre à un neveu ou nièce est une autre des raisons qui rendent cette relation unique dans la vie de ces petits.

    Les oncles et tantes doivent être des mentors, des personnes qui les aident à avoir d’autres points de vue face à la vie, et des proches familiaux qui partagent sans jugement les inquiétudes, les jeux, les pensées et les sentiments.

    Un oncle ou tante peut inspirer un enfant dans ses loisirs et ses motivations, le conseiller et l’orienter à des moments compliqués de sa vie ou sur des thèmes conflictuels avec ses parents.

    Parfois, les parents ne sont pas les meilleures personnes pour gérer un problème.

    Tante-niece

    Bien qu’un oncle ou une tante ne soient pas des amis, ils représentent la complicité, la confidentialité, la proximité et la loyauté dans l’inconditionnalité de la famille.

    Toutes ces caractéristiques doivent se trouver chez cette personne adulte, flexible et proche.

    "Les oncles et tantes sont des amis pour toute la vie et les neveux et nièces sont des accompagnants inconditionnels dans la vie de la famille. Un bel héritage légué dans une relation sans rivaux, ni pression ou secrets."

     

    Souvent, le rôle des oncles et tantes dans la vie des enfants n’est pas reconnu.

    De même, puisque c’est une relation si magique et particulière, si elle est cultivée, elle peut être l’un des sentiers émotionnels les plus riches de notre vie.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Le regret n’est pas seulement pleurer : qui regrette change

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le regret n'est pas un acte négatif, car il nous aide à nous connaître et à grandir en tant que personnes. Cependant, il faut savoir le mesurer pour ne pas qu'il nous étouffe.
     
     
    Le regret n’est pas seulement pleurer : qui regrette change
     

    Le regret est un état émotionnel que beaucoup prennent à la légère. Vous connaissez sûrement quelqu’un qui s’enorgueillit en disant « je ne regrette rien de tout ce que j’ai fait dans ma vie ».

     

    Ce n’est pas vrai. Les regrets nous donnent l’opportunité de changer pour apprendre d’un fait concret et pouvoir agir avec plus d’intégrité, de respect et de maturité émotionnelle.

    Vivre, c’est finalement accepter ses erreurs et écarter des alternatives pour avancer de manière plus sage.

    Qui ne regrette rien n’accepte pas ses propres échecs, expériences, offenses ou relations avec des personnes qu’il aurait mieux valu éviter.

     

     

    La psychologie du regret

    Notre conjoint ou nos amis regrettent souvent ce qu’ils nous ont fait, cette erreur qui nous a fait tant de mal.

    Ils nous le démontrent avec beaucoup de sentiments et d’embarras, mais ils ne changent pas.

    Et au bout de quelques temps, ils commettent la même erreur, nous démontrant alors que ces regrets n’étaient pas sincères. Pourquoi agissons-nous ainsi ?

    Nous vous invitons à tenir compte de ces aspects.

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    Le manque de responsabilité ou la négation de ce qu’il s’est passé

    Cette caractéristique est très fréquente chez les adolescents. Ils disent qu’ils regrettent d’avoir fait quelque chose a mais il est difficile de percevoir de la sincérité dans leur expression et encore moins dans leur comportement ultérieur, qui ne manifeste aucun changement.

    • Regretter implique d’être responsable de l’erreur commise ou de l’acte réalisé mais également de ressentir le mal être de manière réelle.
    • Il y a des personnes qui préfèrent nier ce qui se passe, et penser que ça n’a pas d’importance. C’est sans aucun doute un exemple clair d’immaturité personnelle.

     

    Le refus d’insuffler le changement

    “Je sais que je t’ai fait du mal, je sais que je me suis trompé. Pourtant, je ne veux pas changer les choses et je préfère agir de la même manière ».

    Cette attitude est quelque chose d’habituel chez ce type de personnalités égoïstes et qui ont des schémas de comportements très rigides.

    • Si nous refusons de changer, nous serons incapables de nous adapter au flux de la vie, à son déroulement et aux vicissitudes que nous apporte parfois le destin.
    • Qui ne regrette rien de tout ce qu’il a fait tout au long de sa vie n’est pas conscient, pas exemple, d’avoir fait du mal à quelqu’un.

    Ne pas s’en rendre compte est aussi une manière de refuser de reconnaître qu’il y a des aspects de nous-mêmes que nous devrions changer pour vivre en équilibre, sans faire de mal.

    Qui regrette change pour de vrai !

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    Regretter nous apprend à mieux nous comporter

    Parfois, nous regrettons quelque chose. Cela ne signifie pas que nous avons fait quelque chose de mal, mais plutôt que nous aurions pu mieux agir.

    • Tout au long de notre existence, nous ne nous limitons pas seulement à commettre des erreurs. Parfois, nous comprenons qu’il est préférable d’opter pour des chemins déterminés et d’éviter de nous approcher de certaines personnes.
    • Les regrets font partie de l’apprentissage et sont vus comme quelque chose de naturel.

    Par exemple : Ma relation de couple n’a pas été heureuse, je l’ai mal vécue, mais je ne regrette pas de l’avoir vécue. Cette expérience m’apprend que, parfois, il est préférable d’être seul que mal accompagné.

    • Les regrets sont « un réveil existentiel » qui nous invite à prendre conscience de certains actes, pensées et choix. 
    • Un autre aspect dont nous devons tenir compte, est que nous ne devons pas être « obsédés » par un fait concret au point de nous empêcher de vivre.

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    Les regrets se sentent : a posteriori, nous devons les examiner sous toutes les coutures pour comprendre leurs causes et leurs conséquences et, ensuite, mettre en marche le changement ou une action en particulier.

    Il ne sert à rien de se focaliser sur ce fait et de ressentir une grosse souffrance au point de se retrouver dans une impasse.

    • Ce que nous apporte aussi souvent cette dimension émotionnelle, c’est que nous ne regrettons pas d’avoir fait certaines choses, mais de ne pas les avoir faites.

    C’est sans aucun doute l’un des actes parmi les plus faciles à changer.

    Quand vos regrets sont existentiels (je regrette de ne pas lui avoir dit ce que je ressentais, je regrette de ne pas avoir fait ce voyage…), pensez que cultiver cette souffrance n’en vaut pas la peine car la solution est simple.

    La vie, c’est savoir avancer en acceptant non seulement les erreurs et les apprentissages, mais aussi en accomplissant nos propres besoins émotionnels.

    Alors, n’en doutez pas : passez cet appel, achetez ce cadeau, achetez ce billet, profitez de cette opportunité pour être encore plus heureux…

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Derrière tout enfant difficile,

    il y a une émotion qui ne sait pas comment s’exprimer

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Par insécurité, l'enfant difficile cherche à se sentir reconnu dans chaque action qu'il entreprend. Il est donc important de lui offrir des stratégies émotionnelles pour qu'il n'ait pas besoin de renforts externes constants.
     
     
    Derrière tout enfant difficile, il y a une émotion qui ne sait pas comment s’exprimer
     

    Derrière un enfant difficile, se cache un chaos émotionnel, qui revêt la colère et même la désobéissance qu’il n’est jamais facile d’appréhender, que ce soit par les parents ou les professeurs.

     

    Parfois, il n’est pas plus simple de recourir à la punition car cela ne fait qu’intensifier encore plus ses émotions négatives, sa frustration et même sa faible auto-estime.

    Nous ne pourrons jamais savoir pourquoi certains enfants viennent au monde avec un caractère plus complexe que d’autres.

    Cependant, loin de chercher une raison à ces caractères difficiles, il faut tout simplement comprendre qu’ils ont plus de besoins et qu’ils nécessitent plus d’attention.

    Nous vous invitons donc à réfléchir à cela. 

     

     

    L’enfant difficile, l’enfant demandeur

    L’enfant difficile n’écoute pas, n’obéit pas et a tendance à réagir de manière démesurée face à certaines situations.

    Tout cela entraîne un cercle vicieux de souffrance où le lien avec cet enfant est chargé de tensions, d’anxiété et de larmes.

    Beaucoup de parents se demandent : Suis-je un mauvais parent ? Ai-je fait quelque chose de mal ?

    Avant de tomber dans un état d’abattement, où la frustration est exacerbée, il est important de mettre en pratique certaines stratégies.

     

    Accepter d’avoir un enfant plus demandeur

    Il y a des enfants qui grandissent seuls, et qui sont naturellement plus matures, réceptifs, obéissants et même, indépendants.

    • À l’inverse, certains enfants pleurent plus que la moyenne, dorment peu et passent du rire aux larmes en quelques secondes.
    • Il faut comprendre qu’il existe des enfants « hyper-demandeurs ». Ils ont besoin de plus de renforts, de plus de soutien, de plus de mots et de sécurité.
    • Loin de culpabiliser d’avoir “fait quelque chose de mal », il faut comprendre que l’éducation n’est pas forcément à l’origine de l’enfant difficile.

    Toutefois, c’est de notre responsabilité d’apporter une réponse adaptée à cet enfant demandeur, et cela demande de la patience, des efforts et beaucoup de tendresse.

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    Le monde émotionnel de l’enfant difficile

    Si les adultes ont du mal à comprendre et à gérer leurs émotions, l’enfant demandeur a encore plus de difficultés.

    C’est pour cela qu’il faut tenir compte de ses besoins et les respecter.

    • L’enfant difficile cherche à se sentir reconnu dans tout ce qu’il fait. Il est peu sûr de lui et quand il ne reçoit pas assez d’attention, il se sent frustré et incompris.
    • Sa faible auto-estime lui fait ressentir de la jalousie, et il cherche à attirer notre attention pour se sentir bien et pour ressentir plus intensément les émotions comme la peur et la solitude.
    • Au fur et à mesure qu’il grandit, la sensation d’insécurité personnelle et le manque de reconnaissance se traduit en colère et en réactions disproportionnées, alors qu’au fond, il ne ressent que peur, tristesse et angoisse.
    • Il est nécessaire de canaliser ces émotions et d’offrir des stratégies pour que l’enfant n’ait pas besoin de tant de renforts extérieurs pour se sentir bien. Il doit être capable de gérer son propre monde émotionnel avec notre aide.

     

    Clés pour aider un enfant difficile

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    Le pouvoir du renfort positif

    Beaucoup de parents n’acceptent pas ou ne comprennent pas le renfort positif. Il est nécessaire de nuancer certains aspects de cette stratégie éducative.

    • Le renfort positif ne consiste pas à faire un câlin à un enfant dès lors qu’il fait ce qu’il ne devrait pas.
      C’est bien plus que ça : il s’agit de ne pas utiliser la punition ou la dispute car cela provoque une réaction encore plus négative sur l’enfant. 
    • Il faut se rapprocher de l’enfant pour lui demander pourquoi il a fait cette « bêtise ». Avec calme, on peut lui dire que l’acte commis n’est pas correct et lui expliquer pourquoi. Puis, on peut lui indiquer comment il aurait dû agir.
    • Pour finir, on fait usage du renfort positif : “j’ai confiance en toi », « je sais que tu peux faire mieux », « je te soutiens, je t’aime et j’attends mieux de toi, alors ne me déçois pas. »

     

     

    Offrir de la confiance, donner des opportunités et poser des limites

    L’enfant doit comprendre dès très jeune que nous avons tous des limites et que pour avoir des droits, il faut respecter certaines obligations. Tout le monde est concerné : enfants comme adultes.

    • Il est important que l’enfant s’habitue à des coutumes, à une routine et qu’il sache ce qu’on attend de lui à chaque moment.
    • Les enfants demandeurs ont besoin de sécurité et si on les éduque dans des environnements très structurés où prime le renfort positif, nous les aiderons à se sentir plus calmes.
    • Donnez-leur de la confiance, convainquez-les en leur disant qu’ils sont capables de beaucoup de choses, et encouragez-les à avoir des responsabilités grâce auxquelles ils pourront augmenter leur estime d’eux-mêmes. 

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    L’importance de l’intelligence émotionnelle

    L’Intelligence Émotionnelle doit être présente dans l’éducation de tout enfant. Il est nécessaire de l’aider à identifier ses émotions et qu’il traduise ce qu’il ressent en mots.

    Depuis tout petits, nous les habituons à cette communication émotionnelle du « que ressens-tu? ». Il doit savoir exprimer cette tristesse, cette colère, cette peur…

    Ainsi, il pourra utiliser ce soulagement émotionnel mais pour cela, il faudra lui montrer de la confiance et de la proximité.

    Ne le jugez jamais pour ce qu’il vous dit. Ne riez pas non plus. Il est nécessaire d’être réceptifs et de toujours encourager un dialogue fluide et complice.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Ce n’est pas parce que le pardon existe que l’on peut faire du mal

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Savoir demander pardon est important, mais il ne faut pas oublier que cela signifie aussi que l'on a fait du mal. Un mal qu'il faut aider à réparer, au-delà du pardon.
     
     
    Ce n’est pas parce que le pardon existe que l’on peut faire du mal
     

    Nous nous habituons extrêmement vite aux bonnes choses.

    Le fait de savoir que l’on peut demander pardon lorsqu’on se trompe nous octroie un petit « matelas » social bien commode face aux erreurs.

     

    Cependant, il faut savoir que le fait d’avoir la possibilité de demander pardon ne nous donne pas le droit de manquer de respect aux autres, et de faire du mal, comme si c’était gratuit.

    Voici un conte connu : un père demande à son fils d’enfoncer des clous sur une planche en bois à chaque fois qu’il offense une personne aimée.

    Après un moment, le père lui dit d’enlever tous les clous et de regarder la planche.

    Les clous représentent les offenses et le bois représente les personnes qu’il a blessées. L’enfant regarde alors le morceau de bois et se rend compte de ce que veut dire son père : il a enlevé les clous mais le bois n’a pas pour autant repris son aspect initial.

    L’enfant a appris qu’avec le pardon, on peut enlever le clou que l’on a enfoncé mais on ne peut pas réparer complètement le dommage infligé.

    Femme-avec-des-ballerines-dans-le-dos

    Il y a des personnes qui ne partiront jamais

    Au fur et à mesure que le temps passe, il est de plus en plus facile de savoir qui de nos proches va rester auprès de nous et qui va partir dans le vent de la tempête.

    Avec ces personnes, notre relation est arrivée à un point où nous sommes capables de dissocier ce qu’elles font de ce qu’elles sont.

    Elles font la même chose avec nous car nous avons traversé de nombreux épisodes de crise ensemble, des épisodes dont nous pensions que nous ne sortirions jamais.

    Cependant, le fait qu’elles soient devenues des personnes inconditionnelles ou « survivantes dans des conditions très compliquées » ne nous donne pas le droit de les négliger et de leur manquer de respect.

    Ne vous protégez pas derrière la pensée qui élude toute responsabilité et derrière cette inconditionnalité : “comme elle me connaît, elle comprend que mes intentions n’étaient pas mauvaises”.

    Le fait que nous ayons cette sécurité ne nous donne pas le droit de négliger quelqu’un qui nous protège.

    Personne ne peut tout donner : tout le monde a besoin de soins et d’attention.

    Sans prendre parti pour quelqu’un, il faut témoigner de la reconnaissance et de l’amour, sinon, nous ne serons jamais heureux.

    Depression -obscurite

    Ne vous contentez pas du pardon

    “Je suis désolée » est la première étape. Une grande étape, certes, mais c’est seulement la première. Avec ces mots, nous reconnaissons notre faute et nous l’exprimons.

    Avec ces mots, nous retirons le clou que nous avons enfoncé. Pourtant, il reste à présent une blessure dont nous sommes toujours responsable.

    Ainsi, la meilleure manière de tenir compte de la dimension de la blessure est en faisant les choses suivantes :

    • Rester pour réparer, participer au processus et faire preuve de la patience nécessaire pour la guérir.
    • Passer de la projection à la vue, au ressenti et à l’écoute, afin que dans notre mémoire, on conserve l’apprentissage avec le feu des sentiments.
    • Remercier l’autre personne car elle nous permet de faire un apprentissage là où elle pourrait totalement refuser notre pardon.
    • Offrir des comportements alternatifs à ceux que nous avons réalisé dans des circonstances similaires et signer des accords qui supposent un mieux pour les deux.

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    L’amour rime toujours avec tendresse

    L’amour qui ne se montre pas ne sert à rien. Il peut être endormi mais dès l’instant où il n’est pas exprimé, le résultat est le même.

    Alors, la meilleure manière de ne pas enfoncer de clous est en prenant dans ses bras, en regardant, en écoutant et en sentant les autres, quand ils marchent à côté de nous.

    Quand nous regardons les autres avec soin et tendresse, il est moins probable de faire du mal à ceux que l’on aime.

    Souvenez-vous que les clous qui s’enfoncent le plus profondément sont ceux de l’indifférence et du « je-m’en-foustisme ».

    Ce sont eux qui font douter l’autre personne sur l’amour qu’on lui porte.

    Si un jour, vous avez heurté quelqu’un sans avoir pensé préalablement à la douleur que vous causeriez, souvenez-vous que ces blessures sont très difficiles à guérir et qu’avant tout, il faut être patient pour participer à la guérison des douleurs que vous avez générées.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Acceptez les changements.

    Il y a toujours quelque chose de merveilleux à apprendre

     
     
     
     
     
     
     
     
    L'être humain est en changement perpétuel. Au lieu de nous inquiéter et de nous accrocher au passé, nous devons être disposé à affronter ce qui arrive et qui peut être bien mieux que le passé.
     
     
    Acceptez les changements. Il y a toujours quelque chose de merveilleux à apprendre
     

    Les changements font partie de la nature. La vie représente des cycles, des phases et des étapes, et l’être humain fait partie de ce mouvement vivant et vital.

    Changer signifie grandir : c’est quelque chose dont nous ne devrions pas avoir peur. 
     

    Mais… comment faire ? Comment accepter, par exemple, la perte de la jeunesse ? Ou comment accepter la perte d’un travail ?

    Une variation dans l’existence peut amener avec elle l’incertitude et une période de crise.

    Cependant, si nous nous concentrons de manière adaptée, nous verrons qu’il est possible de « se réinventer », ou de découvrir des choses inattendues qui nous font rêver différemment.

    Nous vous invitons à réfléchir à cela.

     


     

    Les changements qui sont douloureux, les changements qui nous enrichissent

    Nous pourrions commencer par parler de ce que nous appelons « crises vitales normatives ».

    Ce sont des moments personnels que nous avons tous vécus : un changement d’école, l’adolescence, un déception amoureuse, la perte d’un être cher…

    Il faut savoir que tout le monde n’affronte pas les changements de la même manière. Les mêmes conseils et les mêmes stratégies ont des effets totalement différents sur les personnes.

    En plus des crises vitales normatives, nous pouvons vivre des changements physiques et personnels. Il y a toujours des moments de difficulté.

    Pensez à ce genre de situations :

    • Passer par une période compliquée à cause du stress ou d’une maladie ponctuelle, et prendre ou perdre du poids sans même s’en rendre compte.
    • Affronter la ménopause et les changements physiques et biologiques qu’elle génère est une grande souffrance pour beaucoup de femmes.
    • Les grossesses, le fait de voir comment les enfants grandissent et comment ils deviennent indépendants supposent d’assumer de nouveaux rôles et de nouvelles manières d’aborder la vie.

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    Il y a des changements qui font mal, sans aucun doute, mais il faut savoir que tout moment de crise personnelle implique aussi une opportunité de changer et de s’améliorer en tant que personne.

     

     

    Pourquoi y-a-t-il des personnes qui affrontent mieux les changements que d’autres ?

    Dans votre entourage social, vous connaissez sûrement quelqu’un qui a surmonté sa séparation de manière très positive.

    Les personnes qui sont atteintes de maladies graves et durables nous donnent toujours de grandes leçons de vie, grâce à leur optimisme et à une force vitale dont nous ne savons pas d’où elle vient.

    Il y a des personnalités qui sortent renforcées des imprévus les plus complexes et difficiles. Comment font-elles ?

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    L’acceptation et la lutte

    Vous ne résisterez jamais au changement. C’est une souffrance inutile qu’il vaut mieux éviter.

    L’acceptation est la première étape de la lutte avant de se reconstruire, et de continuer son chemin de vie.

    • Si quelqu’un ne vous aime plus, acceptez-le. Ne vous accrochez pas à quelque chose qui ne peut plus arriver.
    • Si on vous a licencié, acceptez et continuez à lutter. Peut-être que vous aurez une opportunité pour un meilleur chemin.
    • Si vous voyez que votre silhouette se transforme à cause de l’âge, acceptez le passage du temps, mais luttez chaque jour pour prendre soin de vous et vous sentir bien dans votre corps.

    Le changement est un moment d’opportunités

    Il est possible que vous ayez dû laisser derrière vous quelque chose qui vous définissait et qui vous rendait heureux.

    Au lieu de craindre la solitude ou l’incertitude liées au changement, affrontez ce moment comme une opportunité.

    • Nous savons que ce n’est pas facile à réaliser, mais le but de votre vie est d’être heureux et vous verrez que de nouvelles portes et de nouvelles opportunités s’ouvriront à vous.
    • La confiance personnelle, l’estime de soi et la détermination à sourire à nouveau vous rappellera qu’il reste encore plein de sentiers et de trains à découvrir.

     

    La vie nous oblige à tourner des pages, mais aussi à changer de livres

    Prenons un exemple : cela fait longtemps que vous aidez votre famille et que vous donnez tout pour elle.

    Cependant, quoi que vous fassiez, vos proches ne vous accordent pas de reconnaissance car ils présument que c’est votre rôle.

    • Vous avez tout essayé pour qu’ils vous mettent en valeur et pour qu’ils tiennent compte de vous mais la seule chose que vous obtenez c’est votre propre frustration.
    • Peut-être est-ce le moment de tourner la page ? Peut-être que vous devriez faire quelque chose de plus radical.

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    Parfois, les petits changements nous plongent dans une tristesse encore plus profonde, au lieu de nous apporter du bonheur. C’est pour cela qu’il est nécessaire d’initier de grands changements.

    Il est évident que ces « grands changements » peuvent être menés avec beaucoup de courage, de volonté personnelle et une auto-estime suffisante pour sortir de sa zone de confort.

    Notre cycle de vie est plein de variations et cela ne doit pas nous faire peur, au contraire.

    Cela devrait nous motiver et nous obliger à faire partie de ce mouvement harmonieux qu’est grandir, mûrir, aimer, créer du lien et construire notre propre bonheur.

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  • 30 choses que vous devriez arrêter de vous faire à vous même.

    La n°10 est juste vitale

     
     
     
     
     
     
     

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    En tout cas, voici quelques conseils bien utiles. Toutes ces petites choses négatives, nous nous les infligeons souvent, parfois sans même nous en rendre compte. On peut pourtant s’en débarasser: il suffit d’une certaine prise de conscience…

     

    1. Arrêtez de côtoyer les mauvaises personnes.

    Parce que la vie est trop courte pour perdre son temps avec ceux ou celles qui vous empêchent d’être heureux. Si quelqu’un vous veut vraiment dans sa vie, il vous fera de la place. Ignorez ceux qui sous estiment votre véritable valeur. Et souvenez-vous bien que ce ne sont pas les personnes qui sont à vos côtés quand tout va bien, mais bien ceux qui restent là quand tout va mal qui sont vos véritables amis.

     

    2. Arrêtez de fuir les problèmes.

    Affrontez les de front. Non, bien sûr que ce n’est pas facile. Personne n’est capable de résoudre instantanément et sans efforts ses problèmes. Tous, nous souffrons, nous tombons, nous sommes tristes par moments. Parce que c’est bien là le sens premier de notre existence : faire face au problèmes, apprendre, s’adapter, pour les résoudre. Ce sont ces problèmes qui nous façonnent et font de nous la personne que nous sommes.

     

    3. Arrêtez de vous mentir.

    On peut peut-être mentir aux autres, mais on ne peut pas se mentir à soi-même. Jamais. Si on n’arrive pas a être honnête avec soi-même, comment espérer que les autres le soient ?

     

    4. Arrêtez de mettre vos propres besoins au second plan.

    La pire chose qui soit, c’est de se perdre soi même en aimant trop quelqu’un, et d’oublier que l’on est spécial, nous aussi. Oui, il faut penser aux autres. Mais il faut penser à soi aussi. Le meilleur moment pour poursuivre ses rêves, ses ambitions, ses passions…C’est maintenant.

     

    5. Arrêtez d’être quelqu’un que vous n’êtes pas.

    Cela paraît simple, et pourtant c’est un véritable défi d’être soi-même dans ce monde qui vous pousse à être comme tous les autres. Vous trouverez toujours une personne plus belle, plus forte, plus jeune, plus riche, mais jamais une autre personne qui soit vous ! Ne changez pas pour que les autres vous aiment. Restez vous-même, et les bonnes personnes vous aimeront.

     

    6. Arrêtez de vous accrocher au passé.

    Vous ne pourrez pas passer au chapitre suivant dans votre vie, si vous ne faites que lire quelques pages en boucle.

     

    7. Arrêtez d’avoir peur de faire des erreurs.

    Dites vous toujours que faire quelque chose, et échouer est beaucoup, beaucoup plus productif que de ne rien faire. Chaque réussite a son histoire d’erreurs derrière elle, et chaque erreur guide un peu plus vers la réussite. On finit par regretter les choses que l’on n’a pas tentées bien plus que celles où l’on a échouées.

     

    8. Arrêtez de vous dévaloriser à cause de vos vieilles erreurs.

    Vous n’êtes pas uniquement la somme de vos erreurs passées, bien au contraire : Vous êtes là, ici et maintenant, avec un pouvoir phénoménal dans vos mains : celui de changer le cours de votre journée, et celui de votre futur par la même occasion. Voyez chaque événement de votre vie comme quelque chose qui vous prépare pour un moment à venir.

     

    9. Arrêtez d’essayer d’acheter du bonheur.

    Elles sont nombreuses, les choses que nous désirons et qui sont chères à l’achat. Mais ce ne sont que des désirs, pas du bonheur. Les seules choses qui peuvent vraiment nous satisfaire en profondeur sont gratuites : l’amour, le rire, nos passions…

     

    10. Arrêtez de chercher le bonheur uniquement chez les autres

    Si vous n’êtes pas heureux avec ce que vous êtes, à l’intérieur de vous même, vous ne serez jamais heureux dans une relation avec une autre personne non plus, et qu’importe la personne. Acceptez vous vous-même, assurez vous de la stabilité de votre propre vie avant de vouloir la partager avec quelqu’un d’autre.

     

    11. Arrêtez d’être passif

    Ne réfléchissez pas trop, ou vous risquez de créer un problème qui n’était pas là au départ. Evaluez les situations et faites une action décisive, au lieu de rester indécis. Qui dit progrès, dit prise de risque. C’est aussi simple que ça.

     

    12. Arrêtez de vous dire que vous n’êtes pas prêt.

    Personne ne se sent prêt à 100% quand une opportunité pointe le bout de son nez. Parce que la plupart des grandes opportunités qui arrivent dans la vie nous forcent à grandir au delà de nos zones de confort.

     

    13. Arrêtez de vous investir dans des relations pour les mauvaises raisons.

    Le proverbe est bien connu : mieux vaut être seul que mal accompagné. Pas besoin de se presser. Si quelque chose doit être, il deviendra réalité, au bon moment, avec la bonne personne et pour les bonnes raisons. Tombez amoureux quand vous vous sentez prêts, pas parce que vous vous sentez seuls.

     

    14. Arrêtez de rejeter les nouvelles relations juste parce que les autres n’ont pas marché.

    Dans la vie vous vous rendrez compte qu’il y a une raison d’être pour chaque personne que vous rencontrez. Certains vous testeront, d’autres vous utiliseront, d’autres vous apprendront des choses. Mais plus important encore, certains vous aideront à faire sortir le meilleur de vous-même.

     

    15. Arrêtez d’essayer d’être en compétition avec les autres.

    Ne vous focalisez pas sur ce que les autres font de mieux que vous. Concentrez vous sur le fait de dépasser vos propres limites, et de battre vos propres records chaque jour. Le succès est une bataille entre vous et vous-même seulement.

     

    16. Arrêtez d’être jaloux des autres

    La jalousie, c’est l’art de contempler la chance qu’a un autre au lieu de contempler la sienne. Posez vous la question : qu’est-ce que j’ai que tous les autres voudraient aussi avoir ?

     

    17. Arrêtez de vous plaindre et d’avoir pitié de vous même.

    Les chemins de la vie sont parfois tortueux, mais ils vous amènent toujours quelque part. Avec un peu de recul, regardez les épisodes négatifs de votre vie , vous verrez qu’ils sont souvent autant d’obstacles que vous avez franchi et qui vous ont amené à être plus forts aujourd’hui.

     

    18. Arrêtez de garder de la rancune

    Si vous vivez votre vie avec de la haine dans le cœur, vous allez au final vous faire plus de mal à vous même qu’a ceux que vous haïssez. Pardonner, ce n’est pas dire « ce que tu m’a fait n’est pas grave ». C’est dire « Je ne vais pas laisser ce que tu m’a fait m’empêcher d’être heureux ». Trouvez la paix, libérez vous. Et rappelez vous que le pardon ce n’est pas uniquement positif pour les autres mais pour vous aussi. Si vous le devez, pardonnez vous à vous-même, avancez et essayez de faire mieux la prochaine fois.

     

    19. Arrêtez de laisser les autres vous abaisser à leur niveau

    Refusez de baisser vos standards pour accommoder ceux qui refusent d’élever les leur.

     

    20. Arrêtez de perdre votre temps à vous justifier.

    Vos amis n’ont pas besoin que vous le fassiez, et vos ennemis ne vous croiront pas de toute façon, et ils trouveront toujours quelque chose à redire. Faites simplement ce que votre cœur juge bon.

     

    21. Arrêtez de faire les même choses encore et encore sans faire de pause.

    Le meilleur moment pour souffler un gros coup c’est encore quand on a le temps. Si vous continuez de faire ce que vous faites, vous continuerez aussi à avoir ce que vous avez. Il est donc important de se distancier de temps en temps.

     

    22. Arrêtez de sous-évaluer la beauté des petits instants.

    Apprenez à apprécier les petites choses, parce qu’il se pourrait bien qu’un jour vous regardiez en arrière et que vous vous rendiez compte qu’il s’agissait en fait de grandes choses. Les meilleurs instants d’une vie sont ces petits instants en apparence insignifiants que l’on traverse le sourire aus lèvres avec les personnes que l’on aime.

     

    23. Arrêtez d’essayer de rendre les choses parfaites

    Le monde « réel » ne récompense pas les perfectionnistes, il récompense les gens qui se débrouillent pour que les choses soient faites.

     

    24. Arrêtez de suivre la voie du moindre effort

    La vie n’est pas facile, surtout lorsqu’on cherche à accomplir quelque chose qui en vaut la peine. Ne prenez pas les chemins faciles. Faites l’extraordinaire.

     

    25. Arrêtez de faire semblant que tout va bien quand ça n’est pas vrai.

    C’est tout a fait normal d’avoir des moments de faiblesse. Vous n’avez pas besoin de prouver constamment que vous êtes fort et que tout va bien. Qu’importe ce que les gens pensent ? Pleurez, si vous avez besoin de pleurer. Le plus tôt vous le ferez, le plus tôt vous serez capables de sourire de nouveau.

     

    26. Arrêtez de tenir les autres responsables de vos problèmes.

    L’ampleur des rêves que vous pourrez réaliser dépend de votre capacité à prendre la responsabilité de votre vie et de vos actions. Quand vous tenez les autres pour responsables de quelque chose, vous choisissez peut être une voie facile…Mais vous niez votre propre responsabilité, et donnez aux autres le pouvoir par rapport à cet aspect-là de votre vie.

     

    27. Arrêtez d’essayer d’être tout pour tout le monde.

    Parce que c’est tout bonnement impossible, et parce qu’en vous acharnant à vouloir le faire, vous ne ferez rien d’autre que vous épuiser en vain. Par contre, faire sourire une seule personne peut changer le monde. Peut être pas le monde entier, mais leur monde, en tout cas.

     

    28. Arrêtez de vous angoisser

    Le stress ne fera pas disparaître les soucis de Demain, mais il ôtera la joie de Maintenant. Une bonne façon de savoir si quelque chose est vraiment digne de tous ces tracas ? Posez vous la question : est-ce que ce sera vraiment si important dans un an ? Trois ans ? Dans cinq ans ?

    Si la réponse est non….Il est peut être temps de baisser un peu la pression.

     

    29. Arrêtez de vous concentrer uniquement sur les événements que vous ne voulez pas voir arriver.

    Concentrez vous sur ce que vous voulez voir arriver, pas sur vos peurs. La pensée positive est la pierre angulaire de toute réussite. SI vous vous réveillez tous les matins en vous disant que quelque chose de génial va vous arriver dans la journée, et que vous observez avec attention, vous verrez que la plupart du temps, la vie vous donnera raison.

     

    30. Arrêtez d’être ingrats.

    Que vous soyez chanceux ou non, quoi qu’il advienne, réveillez vous tous les matins avec le sentiment de gratitude d’avoir la Vie. Quelqu’un, quelque part est en train de se battre désespérément pour conserver la sienne. Nous sommes souvent obsédés par ce qui nous manque, alors que nous ne réalisons bien souvent pas que nous avons certaines choses vraiment précieuses que d’autres n’ont pas.

     

     

    C’est une si belle liste, et nous sommes tous coupables d’une partie de celles-ci. La meilleure chose à faire est de simplement se rappeler chaque jour d’être reconnaissant et de réfléchir un peu, même si c’est seulement quelques minutes. Partagez cette liste étonnante en cliquant ci-dessous.

     

     

    Source: marcandangel.com

           sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Frères et sœurs, le lien qui naît du cœur

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si petits, ils ont tendance à se chamailler pour recevoir plus d'attention de leurs parents, les frères et sœurs oublient ces différends à l'âge adulte. Ils se soutiennent et prennent soin les uns des autres.
     
     
    Frères et sœurs, le lien qui naît du cœur
     

    Les relations entre les frères et sœurs peuvent parfois être compliquées après des années de disputes mais au final, elles changent souvent à l’âge adulte et deviennent des forteresses.

     

    Selon une étude menée par l’Institut de Recherche Sociale et de la Personnalité de l’Université de Californie, à Berkeley (Etats-Unis), l’ordre dans lequel naissent les frères et sœurs a toujours une grande importance.

    Dans l’enfance, chacun d’entre nous déploie certaines stratégies pour capter l’attention de nos parents, mais une fois que nous arrivons à l’âge adulte, nous mettons souvent les différences de côté pour s’occuper les uns des autres.

    C’est un lien spécial que nous ne choisissons pas. C’est le sang qui nous unit, et les expériences du quotidien qui forgent une union qui ne connaît ni le goût du temps, du genre ou de l’âge.

    Nos frères et sœurs ont formé de nombreux traits de notre identité, et sont nos soutiens dans les moments compliqués.

    Dans cet article, nous vous invitons à réfléchir à cela.

     


     

    Les frères et les sœurs, et le poids de l’ordre de naissance

    Les études de psychologie qui existent à ce sujet sont extrêmement nombreuses. Elles nous expliquent le poids de la place de chaque personne dans la fratrie.

     

    L’aîné

    Selon le psychologue évolutif Frank J. Sulloway, de l’Université de Californie à Berkeley (États-Unis), comme il l’explique dans son livre « Rebelles de Naissance », les frères et sœurs aînés ont des caractéristiques propres auxquelles beaucoup de gens s’identifient :

    • Ils sont plus responsables et assument mieux les changements internes à la famille.
    • Ils se confrontent plus à leurs parents quand ils voient quelque chose d’injuste.
    • Ils reçoivent plus fortement le poids des valeurs paternelles, alors que le reste des frères et sœurs les ressentent de manière plus indulgente et pas aussi directement.
    • Ils acceptent donc plus facilement ces valeurs ou comme nous l’avons dit précédemment, ils se rebellent face à elles.

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    Le cadet

    On a tendance à dire ironiquement que l’enfant du milieu ne se trouve « sur les terres de personne ».

    Il cherche à avoir une position dans la famille et c’est pour cela qu’il attire souvent l’attention. Il n’aime pas la hiérarchie et réagit contre tout ce qu’il pense être injuste.

    • Il cherche à se démarquer, et à être plus brillant et ingénieux que le grand ou le petit.
    • Les études disent qu’il cherchera toujours à établir des relations personnelles et affectives pour qu’on s’occupe de lui et pour qu’il existe une égalité claire, loin de la domination ou de la supériorité.

    La culture populaire affirme qu’après un aîné responsable, vient un enfant rebelle. Cependant, il faut souligner que ce type d’énoncé n’est pas toujours vrai.

    Sans aucun doute, il existe de nombreuses différences entre les familles.

     

     

    Le benjamin

    Selon le livre ‘Les liens qui marquent pour toujours » de Jürg Frick, le benjamin peut se caractériser par deux extrêmes bien particuliers.

    • Il peut devenir l’enfant indépendant, avec un caractère marqué qui cherche à sortir du cocon familial le plus tôt possible, ou il peut être quelqu’un de plus dépendant de ses parents et de ses frères et sœurs.

    On peut dire que les benjamins ont toute leur vie l’étiquette du « petit dernier ».

     

     

    Les frères et sœurs : une relation ambivalente mais puissante

    Oublions à présent l’ordre de naissance. Nous savons tous que dans l’enfance et l’adolescence, les enfants cherchent leur place dans la famille.

    Apparaissent alors les périodes de confrontation et les moments de grande complicité qui, d’une manière ou d’une autre, nous marquent pour la vie.

    • Les frères et sœurs nous aident à nous sociabiliser. Ils représentent la première scène sociale où nous comprenons ce que signifient les mots partager et gérer des émotions aussi intenses que la colère ou l’envie.
    • Il y a des personnes qui ont un lien ambivalent avec leurs frères et sœurs.
      Les personnes qui maintiennent une relation complexe sont nombreuses. En effet, notre caractère ne peut pas toujours aller de pair avec leurs idées, leurs valeurs, ou leurs passions.

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    Cependant, le lien est souvent plus puissant que les différences.

    C’est l’union du sang et des expériences du passé qui génère toujours les retrouvailles, et les rassemblements dont on profite et où renaît cette camaraderie de l’enfance.

     

    Nos frères et sœurs sont un lien d’union et d’équilibre qui nous accompagnera toujours. Nous avons tous nos nuances, nos folies et nos responsabilités.

    Nous partagerons les mêmes traits et nous rions de la même manière et même si nous avons emprunté des chemins différents, le même sentier nous unit : l’amour.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les réflexions sur la vie de Steve Jobs

    que tout le monde doit connaître

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    L'argent ne peut pas tout, il ne peut acheter ni l'amour ni la santé. Steve Jobs a réfléchi à cela avant de mourir, et bien qu'il soit difficile de confirmer que les mots qu'on lui attribue soient vraiment les siens, ils invitent dans tous les cas à la réflexion.
     
     
    Les réflexions sur la vie de Steve Jobs que tout le monde doit connaître
     
     

    Depuis un certain temps, une nouvelle sur Steve Jobs circule sur les réseaux sociaux. Même si elle n’est pas confirmée, elle nous invite à réfléchir.

    Dans la suite de cet article, nous allons partager avec vous les derniers mots supposés du célèbre fondateur de Apple.

     

    On ne peut pas démontrer que Steve Jobs ait prononcé ces paroles mais on sait quelle attitude qu’il a eu toute sa vie et la manière dont il a affronté ses derniers jours, sont très intéressantes.

    Aujourd’hui, nous voulons vous transmettre l’idée selon laquelle quels que soient les succès de notre vie et les richesses que l’on accumule, il existe des priorités qu’il ne faut jamais laisser de côté.

     

     

    Le succès n’est pas synonyme de bonheur

    Au fil des semaines, les supposées dernières réflexions de Steve Jobs sont devenues un vrai phénomène.

    Grâce à un film sur sa vie, une production très appréciée et dirigée par Danny Boyle, on peut se rendre compte qu’il n’a pas été une personne très heureuse.

    • Avoir du succès professionnel dans la vie ne va pas toujours de pair avec le bonheur.
      Parfois, nous pensons que des aspects comme la reconnaissance, l’argent et la célébrité sont les piliers d’une vie comblée, mais ce n’est pas vrai.
    • Bien que nous ne savons pas vraiment si Steve Jobs a eu ces pensées pendant ses derniers jours, avant que le cancer ne l’emporte, ses proches ont affirmé qu’il regrettait de ne pas avoir établi d’autres priorités dans sa vie.
    • La richesse est une robe pleine de diamants, qui nous permet d’avoir une vie plus facile.
      Cependant, l’argent ne fait pas le bonheur, n’offre pas de compagnie authentique, ne réchauffe pas et ne donne pas d’amour. 

    “Ceux qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde sont les seuls qui peuvent le faire. »

    -Steve Jobs-

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    L’amour est toujours le plus important

    Steve Jobs a atteint les sommets de la célébrité et des finances et a été une référence dans le monde entier.

    Ce fut un homme avec une intuition puissante, qui a offert au monde quelque chose qui nous est aujourd’hui indispensable : la technologie.

    Son empire, tout d’abord avec les Macintosh, l’usine à rêves Pixar, puis sa marque par excellence Apple, a vraiment insufflé une révolution dans le quotidien de la plupart des habitants de cette Terre.

    Tout le monde rêvait d’avoir le dernier iPhone, iPad ou iPod que Steve Jobs proposait.

    Mais il était conscient que rien n’a de sens si on ne partage pas, si nous n’avons pas de proches avec qui partager nos soirées, et si nous n’avons par d’êtres chers que l’on aime et qui nous aiment.

    • L’amour est le plus grand triomphe personnel de l’être humain, le plus grand acte de grandeur et de réciprocité dont nous ne devrions jamais nous passer.
    • Il n’est pas mauvais de rêver de célébrité et de richesse. Chaque matin, nous devrions nous réveiller avec le but d’atteindre nos rêves et d’être maîtres de notre destin, tout comme l’a fait Steve Jobs.
    • Mais il ne faut jamais négliger l’amour dans son quotidien. Aimer et être aimé.
      N’oubliez jamais que l’argent ne vous apportera pas le rire sincère d’un enfant qui vous admire, et ne gardera pas vos meilleurs souvenirs auxquels vous pensez avant de dormir.

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    Le lit le plus cher du monde est celui de l’hôpital

    Quel que soit l’argent que vous avez sur votre compte en banque, vous ne pourrez jamais échapper à la mort.

    Le lit d’un hôpital est le lieu où tôt ou tard, nous devrons quitter la vie, que nous soyons pauvres, riches, jeunes ou vieux.

    • Steve Jobs avait tout, c’était un homme encore jeune et il aurait pu donner encore plus au monde. Cependant, l’argent n’a pas pu soigner sa maladie, ni lui donner une seconde opportunité. 
    • On peut accumuler et acheter une infinité de choses matérielles mais la vie n’a pas de prix. La vie court, donne de l’espoir, de la lumière, des rires, des bonheurs et des tristesses, mais quand on la perd, on ne la retrouve jamais.
    • L’unique trésor que l’on conserve lorsqu’on quitte ce monde, c’est l’héritage émotionnel que l’on a créé pendant sa vie. Les nombreuses maisons, voitures et objets que l’on a ne nous accompagnent pas dans la mort.

    Tu partiras de la même manière que tu es arrivé : sans rien. 

    • À l’inverse, se sentir aimé, sentir la main de sa famille près du lit de l’hôpital juste avant de partie est le bien le plus précieux que l’on puisse avoir. Rien d’autre n’importe.

     

    L’amour est le plus important. Nous sommes tous libres d’atteindre une vie pleine de succès comme Steve Jobs mais il ne faut jamais négliger la tendresse, le bonheur et le fait de rendre les autres heureux.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Aime-moi au moment où je le mérite le moins !

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Bien que toute relation de couple ait ses hauts et ses bas, il est fondamental d'être toujours disponible pour son conjoint et, dans la mesure du possible, de lui apporter du soutien, quelles que soient les circonstances.
     
     
    Aime-moi au moment où je le mérite le moins !
     

    Prends-moi dans tes bras au moment où je le mérite le moins, quand je me sens seul et que je crois que tout mon monde est en train de s’écrouler.

    C’est à ce moment-là que j’ai le plus besoin de toi, à ce moment-là que toi seul, tu es capable d’apaiser mes blessures.
     

    Si à un moment donné, vous vous êtes senti dans cet état, vous savez sans doute ce que signifie le soutien inconditionnel des vôtres.

    Ils nous rappellent que la vie en vaut toujours la peine et que nous commettons tous des erreurs.

    Le soutient de notre conjoint est indispensable et c’est précisément à ces instants de crise personnelle que l’on peut découvrir ou non la grandeur des personnes qui font partie de notre monde émotionnel.

    Nous vous invitons à réfléchir à cela.
     
    Pissenlit-rose-representant-l'amour-500x280

    Soutiens-moi quand je le mérite le moins

    Nous commettons tous des erreurs, nous sommes tous maladroits dans nos relations et nous finissons toujours par nous tromper et générer des problèmes et des souffrances. 

    Il existe des situations où il est indispensable de compter sur le soutien de son conjoint, et où il est vital que l’autre personne vienne vers nous, qu’elle déploie toute son empathie et qu’elle soit capable de souffler sur nos blessures pour les apaiser.

    Les crises personnelles

    Nous avons tous des hauts et des bas dans notre vie. Les relations affectives en elles-mêmes ne nous offrent pas une joie stable et durable.

    Autour du noyau du couple, il y a des dimensions qui peuvent affecter cet équilibre intérieur :

    • Le travail
    • Les relations familiales et sociales
    • Les aspirations professionnelles, personnelles et émotionnelles

    Une crise personnelle peut être due au travail, parce qu’il est trop présent ou pas assez. Elle peut également survenir car pendant un moment, nous devons nous occuper d’un proche, ou d’un projet personnel qui ne fonctionne pas aussi bien qu’on l’avait prévu.

    • Cette vulnérabilité ou cette inquiétude peuvent faire que nous négligeons notre conjoint.
    • Nous l’aimons toujours mais nous nous en éloignons sans nous rendre compte. Le fait que l’autre puisse s’en rendre compte est sans aucun doute d’une grande aide.

    La valeur du pardon

    Comme nous l’avons signalé précédemment, il n’est pas toujours facile de pardonner. La situation se complique encore plus si nous nous auto-punissons à cause de l’erreur commise.

    “Que tu me pardonnes au moment où je le mérite le moins me permettra de guérir mes blessures et de reconstruire la confiance en moi”.

    Alors… comment faire pour que la personne nous pardonne ?

    • L’amour ne pardonne pas tout. Une trahison par exemple nous change intérieurement.
    • Nous devons être conscient des « zones rouges » de notre couple. Les tromperies, les égoïsmes, les manipulations ou les mensonges ne sont pas systématiquement suivis d’un pardon.
    • Lors des moments de « perte personnelle », quand nous nous éloignons de la relation car nous avons besoin d’éclaircir certaines choses, nous avons alors besoin de ce rapprochement.

    Le pardon est l’acte le pus noble de courage, grâce auquel les souffrances se libèrent et de nouveaux chemins à deux se construisent.

    J’accepte ton erreur, je la comprends et je te libère de cette culpabilité pour que nous puissions reconstruire quelque chose. L’acte de pardonner sert à refermer des étapes pour en ouvrir d’autres.

    Calin-couple

    Quand mon monde tombe et que tu le relèves

    Il faut savoir qu’une relation de couple n’est pas un « organisme stable ». Comme toute entité vivante, nous passons par des cycles et des étapes de crise où nous apprenons des erreurs pour continuer à avancer.

    • Si l’un tombe, l’autre doit utiliser des moyens et des stratégies pour que le lien renaisse. Être en couple, c’est apprendre à être des architectes émotionnels du quotidien, où les égoïsmes n’ont pas leur place.
    • Il n’est pas nécessaire d’être responsable de son conjoint à tout moment. Il s’agit d’être un soutien, un compagnon qui puisse faire que l’autre personne apprenne à se relever seule.

    Soutenir, ce n’est pas obliger, ni récriminer, et encore moins renoncer à tout pour l’être aimé. C’est savoir rassembler ses forces pour traverser ensemble les moments de crise.

    Coeur-dans-un-champ

    Pour conclure, quand quelqu’un commet une erreur, il n’est pas toujours facile de pardonner. Cependant, si l’amour est toujours présent, chacun est libre d’accepter les erreurs qu’il souhaite pardonner ou non.

    Chaque couple est unique et dispose de son propre langage personnel. Le soutien dans les moments difficiles crée, sans aucun doute, des liens authentiques qui feront que la relation se renforcera et sera plus préparée à surmonter une crise.

    N’hésitez pas à vous occuper en priorité de votre auto-estime, car un cœur fort sait ce qu’il veut.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 30 choses que vous devez commencer à faire pour vous-même.

     
     
     
     
     
     
     
     

    30-choses-que-vous-devez-commencer-a-faire-pour-vous-meme

     

    Marc and Angel sont les auteurs de 1000 petites choses que les gens heureux réussissent à faire différemment. Voici leur liste incroyable de 30 choses que vous devez commencer à faire pour vous-même. N’hésitez pas à visiter leur site pour avoir des conseils et des astuces pour avoir plus d’inspiration dans votre vie (site en anglais).

     

     

    1) Passez du temps avec les bonnes personnes. Ces personnes avec qui vous aimez être, qui vous aiment aussi et qui apprécient ce que vous êtes, et qui vous encouragent à vous améliorer de façon intéressante et saine. Ces personnes qui vous font sentir plus vivant, qui apprécient pleinement la personne que vous êtes actuellement, mais aussi qui comprennent et soutiennent entièrement la personne que vous êtes en train de devenir.

    2) Affrontez vos problèmes de face. Ce ne sont pas vos problèmes qui vous définissent, mais la façon dont vous réagissez face à eux et la façon dont vous réussissez à passer au-dessus et à vous en remettre. Les problèmes ne disparaitront pas sauf si vous prenez des mesures pour y faire face. Faites ce que vous pouvez, quand vous pouvez, et reconnaissez le chemin déjà parcouru. Tout est question de commencer à faire des petits pas qui mènent vers la bonne direction, petit à petit, centimètre par centimètre.

    3) Commencez à être honnête avec vous-même. Soyez honnête avec tout ce qui est juste et bien, ainsi qu’avec tout ce qui doit être changé. Soyez honnête à propos de ce que vous voulez accomplir et de qui vous voulez devenir. Soyez  toujours honnête dans chaque aspect de votre vie. Parce que vous êtes la seule personne sur laquelle vous pourrez toujours compter.  Interrogez votre âme, votre esprit, pour la vérité, et vous saurez vraiment qui vous êtes.  Lorsque vous aurez commencé, vous comprendrez mieux où vous en êtes actuellement et comment vous avez fait pour y parvenir, et vous serez mieux équipé pour identifier là où vous voulez vraiment aller et comment y arriver.

    4) Faites de votre propre bonheur une priorité. Nos besoins comptent Si on n’a pas conscience de sa propre valeur, si on ne tient pas compte de son propre regard sur le monde, et si on ne fait pas face par soi-même, on se sabote. Rappelez-vous, il est possible de faire attention à ses propres besoins tout en faisant attention à ceux des personnes de son entourage. Et quand vous avez satisfait vos besoins, vous avez beaucoup  plus de chances de réussir à   aider ceux qui ont le plus besoin de vous.

    5) Soyez vous-même, véritablement, fièrement. Essayer d’être quelqu’un d’autre est un gâchis de la personne que vous êtes vraiment. N’imitez pas quelqu’un d’autre. Respectez cet être en vous qui a des idées, des forces et de la beauté comme personne d’autre. Soyez sincèrement la personne que vous vous sentez être – votre meilleure version, selon vos critères personnels. Avant tout soyez vrai avec vous-même, et si dans une situation, vous ne pouvez y mettre tout votre coeur, c’est que cette situation ne vous correspond pas, ignorez-la.

    6) Commencez à observer et vivez au présent.  Juste le moment qui passe est un miracle. Ce  moment qui passe est le seul moment qui vous est garanti. Ce moment est votre vie. Alors arrêtez de penser que les choses seront merveilleuses dans le futur. Arrêtez de  vivre pour ce qui a eu lieu ou n’a pas eu lieu dans le passé. Apprenez à être dans le « ici et maintenant » expérimentez la vie comme elle palpite et pétille. Appréciez le monde pour la beauté que l’on y trouve, dès maintenant.

    7) Appréciez les leçons de vos erreurs. Les erreurs ne sont pas un problème, ce sont les tremplins vers le progrès. Si on n’échoue pas de temps en temps, on n’essaiera plus assez fort et on n’apprendra plus non plus. Il faut être prêt à prendre des risques, trébucher, tomber, se relever et essayer encore et encore, apprendre, progresser et s’améliorer. Les vraies réussites sont presque toujours réalisées à la fin d’un long chemin rempli d’échecs. L’une des « erreurs » qu’on craint de faire  pourrait tout simplement être la clé vers le plus grand accomplissement de notre vie…

    8) Soyez plus poli avec vous-même. Si vous aviez un ami qui vous parlait sur le ton que vous employez parfois pour vous parler à vous-même, combien de temps encore accepteriez-vous que cette personne reste votre ami ? La façon dont vous vous traitez sera la façon dont les autres vous traiteront. Aimez la personne que vous êtes, sinon personne ne le fera.

    9) Profitez des choses que vous avez déjà. Le problème avec la plupart d’entre nous est que nous pensons que nous serons heureux lorsque nous aurons atteint un certain niveau dans la vie, un niveau où nous voyons les autres évoluer, votre patron dans son bureau, l’ami d’un ami qui achète un château au bord de la mer, etc. Malheureusement, cela prendra du temps jusqu’à ce que vous y arriviez à votre tour, et une fois arrivé vous aurez probablement une nouvelle destination en tête… Vous finirez par passer votre vie à travailler pour atteindre quelque chose de nouveau sans jamais profiter des choses que vous avez déjà en ce moment. Alors prenez un moment chaque matin quand vous venez de vous réveiller pour apprécier l’endroit où vous êtes, et ce que vous avez déjà.

    10) Créez votre propre bonheur. Si vous attendez qu’une autre personne vous rende heureux, vous vous trompez de cible. Souriez parce que vous le pouvez. Choisissez le bonheur. Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde. Soyez heureux avec qui vous êtes maintenant, et laissez votre positivité inspirer votre voyage jusqu’à demain. On trouve souvent le bonheur quand on décide de le chercher. Si vous cherchez le bonheur parmi les richesses qui vous entourent en sachant les reconnaître, vous finirez par le trouver. Mais si vous cherchez toujours quelque chose d’autre, malheureusement, vous risquerez de le trouver aussi.

    11) Donnez une chance à vos idées et vos rêves. Dans la vie, il est rarement question d’avoir de la chance, il faut saisir sa chance. On ne peut jamais savoir d’avance si cela marchera à 100%, mais on sait que ne rien faire a 100% de chance de ne pas marcher. La plupart du temps, il suffit de commencer ! Et peu importe comment cela tournera, cela finira toujours de la façon dont ça devait finir. Soit on réussit, soit on apprend une leçon. C’est gagnant-gagnant.

    12) Pensez que vous êtes prêt pour la prochaine étape. Vous êtes prêt! Pensez à cela. Vous avez tout ce qu’il faut actuellement pour faire le prochain petit pas en avant. Alors saisissez les occasions qui se présentent à vous, et acceptez les défis, ce sont des cadeaux qui font grandir.

    13) Commencez de nouvelles relations pour de bonnes raisons. Avec des gens honnêtes de confiance/ qui reflètent la personne que vous êtes et que vous voulez devenir. Choisissez des amis  que vous êtes fier de connaître, des gens que vous admirez, qui vous montrent de l’amour et du respect, des gens qui vous rendent votre gentillesse et votre engagement. Et prêtez attention à ce que les gens font, parce que les actions d’une personne sont plus importantes que ses mots ou la façon dont les autres en parlent.

    14) Donnez une chance aux nouvelles personnes que vous rencontrez. Cela peut paraître un peu sévère, mais vous ne pourrez pas garder tous les amis que vous avez rencontrés dans votre vie. Certaines relations vont s’éteindre alors que d’autres vont grandir. Appréciez la possibilité de nouvelles relations comme vous laissez naturellement tomber celles qui ne fonctionnent plus. Croyez en votre propre jugement. Pour chaque nouvelle relation, sachez que vous pénétrez dans un territoire inconnu. Soyez prêt à apprendre, soyez prêt pour un défi, et soyez prêt à rencontrer quelqu’un qui pourrait changer votre vie pour toujours.

    15) Entrez en compétition avec une ancienne version de votre personne. Soyez inspiré par les autres, appréciez les autres, apprenez des autres, mais sachez qu’essayer d’entrer en compétition avec eux est une perte de temps. Vous êtes en compétition avec une personne et une seule, vous-même. Vous êtes en compétition pour être la meilleure personne que vous pouvez être. Votre objectif est de battre vos records personnels.

    16) Réjouissez-vous des victoires des autres personnes. Commencez à remarquer ce que vous aimez chez les autres et dites-leur. Apprécier combien les gens de votre entourage sont formidables vous mènera vers de bonnes choses, des choses productives, pacifiques et accomplies. Donc soyez heureux pour ceux qui font des efforts. Réjouissez-vous de leurs victoires. Soyez reconnaissant pour leurs bonheurs, ouvertement. On récolte ce que l’on sème et un jour ou l’autre les gens pour lesquels vous vous êtes réjouis se réjouiront pour vous.

    17) Cherchez l’aspect positif dans les situations difficiles Quand les choses sont difficiles, quand vous vous sentez déprimé, prenez quelques profondes inspirations et cherchez les petites choses positives, les petites lueurs d’espoir, cette lumière qui filtre derrière les nuages gris. Souvenez-vous que vous pouvez le faire et que les passages difficiles vous feront grandir en étant plus fort. Restez conscient de vos dons et de vos victoires, toutes ces choses de votre vie qui sont bonnes. Concentrez-vous sur ce que vous avez, et non sur ce que vous n’avez pas.

    18) Pardonnez, à vous comme aux autres. Nous avons tous été blessés par nos propres décisions et par celles des autres. Et même si la douleur liée à ces expériences est normale, parfois elle s’y attarde trop longtemps. Nous revivons cette douleur encore et encore et c’est difficile de lâcher prise. Le pardon est le remède. Cela ne veut pas dire que vous effacez le passé, ou que vous oubliez ce qui est arrivé. Cela veut dire que vous abandonnez le ressentiment et la douleur, et qu’au contraire vous choisissez d’apprendre de cet incident et d’évoluer dans votre vie.

    19) Aidez votre entourage. Prenez soin des gens. Guidez-les si vous connaissez un meilleur chemin. Plus vous aiderez les autres, plus ils auront envie de vous aider à leur tour. L’amour et la gentillesse engendrent l’amour et la gentillesse. Et ainsi de suite.

    20) Ecoutez votre propre voix intérieure. Si cela vous aide, discutez de vos idées avec les personnes qui sont proches de vous, mais donnez-vous assez de place pour suivre votre propre intuition. Soyez sincère envers vous-même. Dites ce que vous avez à dire. Faites ce que vous savez qui est bon dans votre cœur.

    21) Faites attention à votre niveau de stress et prenez de petites pauses. Il faut ralentir. Respirer. Il faut s’accorder une pause, pour se retrouver et avancer avec clairvoyance et détermination.  Quand on est débordé, une courte pause peut  nous revigorer et améliorer notre productivité. Ces courtes pauses aident à retrouver une santé mentale et à réfléchir à nos actions récentes pour vérifier qu’elles sont en accord avec nos objectifs.

    22) Remarquez la beauté des petits instants de la vie. Au lieu d’attendre que de grandes choses vous arrivent comme un mariage, des enfants, une grosse promotion, gagner à la loterie, trouvez le bonheur dans les petites choses qui arrivent tous les jours. Ces petits moments de bonheur simple comme prendre une bonne tasse de café dans le silence du matin très tôt, ou la délicieuse odeur et saveur d’un plat fait maison, ou le plaisir de partager quelque chose que vous aimez avec quelqu’un d’autre, ou tenir la main de la personne aimée… Remarquer ces petits plaisirs tous les jours peut tellement changer la qualité de votre vie.

    23) Acceptez les choses lorsqu’elles ne sont pas parfaites. Il ne faut pas oublier que la perfection est l’ennemi du bien. Une des plus grosses difficultés des gens qui veulent s’améliorer et améliorer le monde est d’apprendre à accepter les choses comme elles sont. Parfois c’est préférable d’accepter et d’apprécier les choses telles qu’ elles sont, et les gens tels ils sont, plutôt que d’essayer de rendre tout et tout-le-monde conforme à un idéal impossible. Non, on ne doit pas accepter une vie médiocre, mais on doit apprendre à aimer et valoriser les choses même si elles ne sont pas parfaites.

    24) Travaillez en vous concentrant pour atteindre vos objectifs chaque jour. Un voyage de mille kilomètres commence avec un pas. Peu importe ce à quoi on rêve, il faut commencer par de petites étapes de façon logique pour y arriver. Plus on s’impliquera dans ce travail, plus on aura de chance. Alors que beaucoup d’entre nous décident parfois au cours de leur vie de répondre à cet appel de réussite personnelle, seuls certains d’entre nous s’y consacrent réellement, se vouant de tout leur être au résultat tant attendu.

    25) Devenez plus ouvert par rapport à vos sentiments. Si vous souffrez, prenez le temps nécessaire pour souffrir mais soyez ouvert par rapport à cette souffrance. Parlez avec les gens qui vous sont proches. Dites-leur la vérité et ce que vous ressentez. Demandez-leur d’écouter. Le simple fait de sortir ces mots de votre poitrine et de les laisser sortir à l’air libre est la première étape pour vous sentir mieux à nouveau.

    26) Prenez la pleine responsabilité de votre vie. Soyez maître de vos choix et de vos erreurs, et soyez prêt à prendre les mesures nécessaires pour y remédier. Il faut prendre la responsabilité de sa propre vie, sinon quelqu’un d’autre le fera. Si une autre personne le fait, on deviendra esclave de ses idées et de ses rêves au lieu d’être le pionnier de sa propre vie. Vous êtes le seul à pouvoir contrôler directement le cheminement de votre vie. Et non, cela ne sera pas facile. Chaque personne a de nombreux obstacles qui lui font face. Mais vous devez prendre la responsabilité de votre vie et passer ces obstacles. Choisir de ne pas choisir revient à  une existence insipide.

    27) Cultivez vos plus importantes relations. Apportez de la joie dans votre vie et dans celle de vos proches en leur disant juste régulièrement combien.ils comptent pour vous. On ne peut pas être tout pour tout le monde, mais on peut être tout pour certaines personnes. Choisissez quelles sont ces personnes dans  votre vie et  traitez-les comme des rois. Petit rappel, on n’a pas besoin d’un grand nombre d’amis, juste un nombre d’amis sur lesquels on peut compter.

    28) Restez concentré sur les choses que vous pouvez contrôler. On ne peut pas tout changer, mais on peut toujours changer au moins une chose. Perdre votre temps, votre talent et votre énergie émotionnelle sur les choses qui sont hors de votre contrôle est la recette pour finir dans un état de frustration, de misère et de stagnation. Investissez votre énergie dans les choses que vous pouvez contrôler, et agissez sur elles maintenant.

    29) Commencez à vous focaliser sur la possibilité de résultats positifs. Notre esprit doit être persuadé qu’il est capable de faire quelque chose avant de pouvoir le faire. Pour lutter contre les pensées négatives et les émotions destructrices, développons des réactions opposées, positives, qui sont plus fortes et plus efficaces. Il faut écouter son propre discours intérieur et remplacer les pensées négatives par des pensées positives. Au lieu de vous concentrer sur ce qu’une situation semble être, concentrez-vous plutôt sur ce que vous voulez vraiment voir se réaliser puis engagez l’action positive suivante.. Non, on ne pourra pas contrôler tout ce qui arrive, tout le temps, mais on peut contrôler nos réactions à ces choses. Tout le monde a une vie avec des aspects plutôt positifs ou plutôt négatifs parfois. Qu’on soit ou non heureux et que notre vie soit couronnée de succès ou non, cela dépend énormément des aspects sur lesquels on se concentre.

    30)  Prenez conscience de votre prospérité juste maintenant.  Henry David Thoreau a dit « La richesse, c’est la capacité à expérimenter la vie de tout son être » Même quand les temps sont durs, c’est toujours important de remettre les choses en perspective. Vous n’avez pas dormi le ventre vide la nuit dernière. Ni dans la rue. Vous avez eu le choix des vêtements que vous vouliez porter ce matin. Vous ne vous êtes pas tué au travail aujourd’hui. Vous n’avez même pas passé une seule minute dans la peur. De l’eau fraîche et pure est à votre disposition. Vous avez accès à des soins. Vous avez accès à internet. Vous pouvez lire. Des tas de gens peuvent dire que vous êtes incroyablement riche, alors n’oubliez pas d’être reconnaissant des choses que vous possédez.

    C’est une liste tellement merveilleuse. Si nous faisons un petit pas en avant chaque jour et que nous pratiquons ces choses,  nous nous offrirons de grands améliorations dans notre vie et donc dans celle des autres. Partagez cet article avec vos amis et vos proches.

     

    Sources :
    Marc And Angel
    Esprit Science Métaphysiques

    sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 21 habitudes des gens heureux

     
     
     
     
     
     
     
     

    happy

     
     
    « Le bonheur est une habitude – cultivez le. »~ Elbert Hubbard 

    Le bonheur est une aspiration partagée par tous. Personne ne désire être triste ou déprimé.

     

    Nous connaissons des gens qui sont toujours heureux, malgré les embûches de leur vie. Je ne dis pas que les gens heureux ne ressentent pas de deuils, de regrets ou de tristesse, non bien sûr, mais ils ne laissent pas ces choses envahir leur vie. Voici 21 choses que les gens heureux ont l’habitude de faire:

    1. Apprécier la vie

    Soyez reconnaissant de vous éveiller, vivants, tous les matins. Développez une âme d’enfant envers la vie. Concentrez-vous sur la beauté de toutes choses vivantes. Remplissez vos journées. Ne prenez rien pour acquis. Ne vous en faites pas pour les peccadilles.

    2. Choisir sagement les amis

    Entourez-vous de gens heureux, positifs, qui partagent vos valeurs et vos buts. Les amis qui ont la même éthique que vous, vous encourageront à réaliser vos rêves. Ils peuvent vous faire sentir bien avec vous-même. Ils vous aideront, en cas de besoin.

    3. Etre bienveillant

    Acceptez les autres tels qu’ils sont, ainsi que leur chemin de vie. Respectez-les. Touchez-les avec un esprit gentil et généreux. Aidez-les, si vous le pouvez, sans tenter de les changer. Essayez d’égayer la journée de toutes les personnes que vous rencontrez.

    4. Apprendre constamment

    Tenez-vous au courant des dernières nouvelles, concernant votre carrière et vos loisirs. Essayez des choses nouvelles, qui éveillent votre intérêt, telles que la danse, le ski, le surf ou le parachutisme.

    5. Créer des solutions

    Ne vous enlisez pas dans l’auto-pitié. Lorsque vous faites face à un défi, trouvez une solution. Ne laissez pas ce défi affecter votre humeur, voyez plutôt chaque obstacle comme étant une opportunité de faire un changement positif. Apprenez à faire confiance à votre intuition … elle a toujours raison.

    6. Ils font ce qu’ils aiment

    Il y a des statistiques qui démontrent que 80% des gens n’aiment pas leur travail ! Pas étonnant qu’il y ait autant de gens malheureux. Nous passons une grande partie de notre vie à travailler. Trouvez un emploi que vous aimez. L’argent apporté par un travail détesté n’en vaut pas la peine. Prenez du temps pour vos loisirs et pour poursuivre des intérêts spéciaux.

    7. Apprécier la vie

    Prenez du temps pour voir la beauté autour de vous. La vie, ce n’est pas seulement votre travail. Prenez le temps de sentir les roses, de regarder un coucher de soleil en compagnie d’un être cher, de marcher sur une plage, de vous promener dans une forêt etc. Apprenez à vivre dans l’instant présent et chérissez-le. Ne vivez pas dans le passé, ni dans le futur.

    8. Rire

    Ne prenez pas la vie ( ni vous-même ) trop au sérieux. Il est possible de trouver l’humour dans toute situation. Riez de vous-même … personne n’est parfait. Lorsque c’est approprié, riez et allégez les circonstances. Il est bien évident qu’il y a des moments où cela n’est pas approprié.

    9. Pardonner

    Avoir du ressentiment ne fait de mal à personne d’autre qu’à vous-même. Pardonnez aux autres, pour votre propre bien. Lorsque vous faites une erreur, reconnaissez-la, apprenez à partir de cette erreur et PARDONNEZ-VOUS.

    10. Gratitude

    Développez une attitude de gratitude. Prenez conscience des cadeaux de la vie, même des cadeaux de petite taille. Soyez reconnaissant pour votre foyer, votre travail et, plus important encore, pour votre famille et vos amis. Prenez le temps de leur dire que vous êtes heureux qu’ils soient présents dans votre vie.

    11. Investir dans les relations

    Assurez-vous que vos êtres chers savent que vous les aimez, même durant les moments de conflit. Nourrissez et faites croitre vos relations avec votre famille et vos amis, en passant du temps avec eux. Tenez vos promesses. Apportez votre soutien.

    12. Tenir leur parole

    L’honnêteté est la meilleure pratique. Chaque action et chaque décision doivent être basées sur l’honnêteté. Soyez honnête envers vous-même et envers vos êtres chers.

    13. Méditer

    La méditation donne un repos à votre cerveau très actif. Lorsque ce dernier est reposé, vous avez plus d’énergie et vous fonctionnez alors sur un niveau plus élevé. Il y a plusieurs façons de méditer : le yoga, l’hypnose, l’écoute de textes de relaxation, les affirmations, les visualisations ou … simplement le fait de s’asseoir en silence. Trouvez une façon que vous aimez et pratiquez-la quotidiennement.

    14. Ils s’occupent de leurs affaires

    Concentrez-vous sur la création de votre vie. Prenez soin de vous et de votre famille, mais ne vous inquiétez pas de ce que les autres font ou disent. Ne vous occupez pas des commérages. Ne jugez pas. Chacun a le droit de vivre sa vie comme il l’entend … vous inclus.

    15. Optimisme

    Voyez le verre comme étant à moitié plein. Trouvez le côté positif dans toute situation. Il y en a un, même s’il est difficile à trouver. Sachez que tout arrive pour une raison, même si vous ne savez pas ce que c’est. Éloignez-vous des pensées négatives. S’il y en a qui se présentent, remplacez-les par des pensées positives.

    16. Amour inconditionnel

    Acceptez les autres tels qu’ils sont. Ne placez pas de limites à votre amour. Même si vous n’êtes pas d’accord avec ce que font les autres, vous pouvez les aimer quand même.

    17. Persévérance

    N’abandonnez jamais. Faites face à chaque défi avec l’attitude qui vous amènera plus près de votre but. Vous n’échouerez jamais, aussi longtemps que vous n’abandonnerez pas. Concentrez-vous sur ce que vous voulez, apprenez les talents requis, faites un plan pour réussir et agissez. Nous sommes toujours plus heureux lorsque nous poursuivons quelque chose qui a de la valeur pour nous.

    18. Etre proactif

    Acceptez ce qui ne peut être changé. Les gens heureux ne gaspillent d’énergie à lutter contre des circonstances qui sont au-delà de leur contrôle. Acceptez vos limites d’être humain. Trouvez une façon de créer le résultat que vous désirez, plutôt que d’attendre et de réagir.

    19. Prendre soin de soi

    Prenez soin de votre esprit, de votre corps et de votre santé. Consultez régulièrement un médecin. Mangez sainement et faites de l’exercice. Reposez-vous souvent. Buvez beaucoup d’eau. Entraînez votre esprit en l’énergisant continuellement avec des défis intéressants et excitants.

    20. Confiance en soi

    N’essayez pas d’être quelqu’un que vous n’êtes pas. Après tout, les imposteurs n’intéressent personne. Déterminez qui vous êtes à l’intérieur de vous, ce que vous aimez et ce que vous n’aimez pas. Faites confiance à qui vous êtes. Faites du mieux que vous pouvez et ne présupposez rien sur vous-même.

    21. Prendre ses responsabilités

    Les gens heureux savent et comprennent qu’ils sont responsables de leur vie, à 100%. Ils prennent la responsabilité de leur humeur, de leur attitude, de leurs pensées, de leurs sentiments, de leurs actions et de leurs actes. Ils sont les premiers à l’admettre, lorsqu’ils font une erreur. Commencez aujourd’hui en prenant la responsabilité de votre bonheur. Commencez à développer ces habitudes. Plus vous les incorporerez dans votre vie quotidienne, plus vous serez heureux.

    Et, plus que tout: SOYEZ VRAI ENVERS VOUS-MÊME.

     

    Cindy Holbrook

     

    Source : sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Une recherche indique que la gratitude peut inverser

    le vieillissement, le stress et la mauvaise santé

     
     
     
     
     
     

    gratitude

     

     

     

    Avec tout le pessimisme qui nous entoure dans le monde, il semble que partout où nous nous tournions, il y a une crise ou une autre. Et s’il est important d’être bien informé et préparé en ces temps modernes, « consommer » un régime plantureux de mauvaises nouvelles prélève une taxe sur notre santé, notre bonheur et même notre vieillissement précoce.

     

    Ce n’est pas une fatalité, car il est en notre pouvoir d’agir directement pour ne pas subir les effets négatifs de ce que nous vivons. La bonne nouvelle, c’est que cela ne prend que quelques minutes par jour pour changer radicalement notre bien-être physique et mental, tout en ralentissant – et même inverser le processus de vieillissement. Le secret? Vivre une vie de gratitude.

    Confirmé par la science: un coeur reconnaissant est bon pour vous

    Aussi improbable que cela puisse paraître, quand nous ralentissons et prenons le temps d’apprécier tout ce qui est bien dans nos vies – plutôt que de nous concentrer sur ce qui nous rend insatisfait – un changement radical dans notre physiologie se produit. Le simple fait d’être reconnaissant a été scientifiquement démontré pour équilibrer notre rythme cardiaque et le système nerveux, entraînant des changements favorables dans l’immunité et l’équilibre hormonal, ainsi que l’augmentation de la production du composé anti-âge DHEA.

    Parmi les autres bienfaits, on éprouve une réduction significative de stress, d’anxiété, d’insomnie et de dépression. Si l’on considère que les effets néfastes du stress contribuent à tout un éventail de maladies – y compris, mais pas seulement, les maladies cardiovasculaires, le cancer, les affections mentales et une variété de maladies auto-immunes – il est dans notre plus grand intérêt de reprendre la main sur ce syndrome délétère pour notre santé.

    C’est une bonne nouvelle d’apprendre que nous pouvons facilement apprivoiser notre stress en seulement quelques minutes par jour en utilisant des techniques simples. Une étude commanditée par l’Institut HeartMath et l’US Naval Postgraduate School en Californie a découvert qu’unnouveau programme d’autogestion émotionnelle a réduit significativement le cortisol, l’hormone du stress, tout en augmentant la DHEA, ce qui a résulté en une réduction remarquable de la tension et de l’anxiété.

    Quarante-cinq participants en bonne santé ont participé à l’étude. Les niveaux de cortisol, de DHEA/DHEAS salivaires ont été mesurés et le système nerveux autonome a été évalué à l’aide d’une évaluation de la variabilité de la fréquence cardiaque. Un questionnaire psychologique a également été donné. Les individus ont été évalués avant d’avoir été formés au programme d’auto-gestion des émotions, puis, quatre semaines plus tard. Ce programme comprenait des pratiques qui favorisent l’appréciation et la gratitude.

    Dans le résumé de l’étude :

    « Le groupe expérimental a connu des améliorations significatives dans l’échelle des affects positifs de Bienveillance et Vigueur ET une baisse significative dans l’échelle des affects négatifs de Culpabilité, d’Hostilité, de Burnout, d’Anxiété, et d’effets de Stress. En même temps, aucun changement significatif n’a été observé dans le groupe de contrôle. Il y avait une réduction moyenne de 23 % de cortisol et une augmentation de 100 % de DHEA/DHEAS dans le groupe expérimental ».

    Le rapport complet peut être consulté ici [PDF].

    Deux techniques clés ont été utilisées pour l’expérience – le « Cut-Thru » et le « Heart Lock-In » (« Dans le Coeur »). Pour apprendre le détail de ces deux pratiques, voir The HeartMath Solution.

    Comment apprivoiser le stress, favoriser le bonheur et se donner une bonne santé en quelques minutes par jour

    Voici quelques méthodes simples qui favorisent des rythmes cardiaques équilibrés, la réduction du stress et la positivité:

    1. Arrêt sur image

    C’est l’outil le plus simple de HeartMath. C’est une technique qui prend 1 minute et permet un changement majeur dans la perception. C’est bien plus que la pensée positive, il crée une modification sincère dans la façon dont nous considérons une situation, un individu ou nous-même. En situation de stress:

    1. Au lieu de vous concentrer sur votre tête, concentrez-vous sur la zone autour de votre coeur. Maintenez votre attention sur cette zone pendant au moins 10 secondes. Continuez à respirer normalement.
    2. Remémorez un moment positif ou un sentiment positif que vous avez eu dans votre vie et essayez de le revivre, ou d’en revivre les émotions et le bien-être. Important: il ne suffit pas de le visualiser, mais vraiment de le revivre complètement.
    3. Posez une question à partir du coeur : « Que puis-je faire dans cette situation pour la rendre différente » ou « Que puis-je faire pour minimiser le stress ? ».
    4. Ecoutez la réponse de votre coeur.

    Il se peut que vous n’entendiez rien, mais que vous vous sentiez plus calme. Il se peut aussi que vous receviez une vérification de quelque chose que vous connaissez déjà, ou vous pouvez faire l’expérience d’une modification complète de perspective, en percevant cette crise d’une manière plus relative et équilibrée. Nous ne pouvons pas avoir le contrôle sur l’événement, mais nous avons le contrôle sur notre perception de celui-ci.

    2. Cut-Thru

    Technique développée pour nous aider à mieux gérer nos émotions. Elle nous donne la capacité à « couper à travers » des émotions complexes, de longue date,  et à changer dynamiquement de point de vue.

    1. Prenez conscience de la façon dont vous ressentez ce problème. Concentrez-vous sur votre coeur.
    2. Mettez-vous en position objective. Faites comme si c’était le problème de quelqu’un d’autre. Quelle sorte de conseil donneriez-vous à cette personne qui vient d’être méprisée par un collègue de travail? Vous lui diriez probablement « Hé, relax, ce n’est pas si grave ».
    3. Considérez ces émotions perturbées, l’énergie émotionnelle qui se trouve déséquilibrée, et amenez-la vers le coeur. Laissez-la s’imprégner dans un bain chaud. Entraînez-vous à laisser le coeur faire le travail pour vous.

    Cut-Thru demande une pratique des exercices du coeur un peu plus « mature » que l’arrêt sur image. Mais il est également plus utile pour des problèmes plus profonds et plus complexes. Les émotions de longue date ont été stockées en nous au long des expériences de notre vie. Cut-Thrudonne la capacité de transformer au lieu de réprimer.

    3. Dans le coeur

    Plutôt que de « réparer » un problème, « Dans le Coeur » consiste à éprouver votre coeur à un niveau plus profond.

    1. Focalisez votre attention sur votre coeur.
    2. Rappelez-vous le sentiment d’amour ou de bienveillance que vous éprouvez envers quelqu’un qu’il vous est facile d’aimer. Concentrez-vous sur un sentiment de gratitude pour quelqu’un ou quelque chose de positif. Essayez de rester avec ce sentiment de 5 à 15 minutes.
    3. Envoyez doucement ce sentiment d’amour ou de reconnaissance à vous-même et à d’autres.
    4. En 15 minutes, un « Dans le Coeur » peut fournir la régénération physique, mentale et spirituelle.

    Ceci est une version très simplifiée de ces techniques. Une version beaucoup plus approfondie de chaque technique, y compris des données scientifiques se trouvent dans le libre « The HeartMath Solution, par le Docteur Childre et Howard Martin.

     

    La reconnaissance est une pratique simple et efficace et les avantages sont réels et réalisables. Beaucoup d’entre nous le savons dans nos coeurs, mais maintenant, c’est prouvé par la science moderne. La gratitude crée un état d’être plus sain, plus heureux et plus épanouissant pour quelqu’un qui prend quelques instants pour la  ressentir et y réfléchir.

    « Ce qui est important n’est pas qui vous aimez, où vous aimez, pourquoi vous aimez, quand vous aimez ou comment vous aimez, c’est important seulement que vous aimiez ». John Lennon

     

     

    Sources :
    www.heartmathbenelux.com [PDF]
    www.care2.com
    www.monroeinstitute.org
    www.naturalnews.com

    sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Vos croyances ne font pas de vous une meilleure personne,

    vos actes si

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Nous devons être cohérent et faire correspondre au maximum nos croyances et nos actes. Le respect pour les personnes qui ont une opinion différente est fondamental pour maintenir l'équilibre.
     
     
    Vos croyances ne font pas de vous une meilleure personne, vos actes si
     

    Les croyances, même les plus nobles, deviennent ridicules si elles ne se reflètent pas dans les actions et dans les démonstrations authentiques.

     

    Nous vivons dans une société habituée à proférer de belles paroles : pratiquer la solidarité, le respect, l’aide aux handicapés, le soutien social à toutes les victimes…

    Pourtant, dans notre entourage le plus proche et dans ce que nous voyons au jour le jour, sur les réseaux sociaux et à la télévision, rien de tout cela ne semble se passer.

    C’est comme si une bonne partie de nous défendait certaines idées à voix haute mais dans le quotidien, tout le monde agissait de manière froide et intéressée.

    Aujourd’hui, dans notre article, nous allons vous inviter à réfléchir à cela.

     


     

    La fonction des croyances de l’être humain

    Agissez selon ce que vous prêchez, défendez ce que vous affirmez et avant tout,permettez à vos croyances de vous rendre encore meilleur, grâce à tous les actes qui les accompagnent.

    D’une certaine manière, la plupart d’entre nous mettons en valeur les attitudes basées sur la noblesse et le respect, mais le principal problème réside dans la limite suivante : l’intérêt propre, le bien-être personnel.

    C’est quelque chose de complexe sur lequel il faut se pencher un peu plus :

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    • Les croyances sont des états de l’esprit que les personnes considèrent comme véritables et valides, en accord avec certaines attitudes et expériences personnelles.
    • Il est intéressant de tenir compte du fait que souvent, nous avons deux types de croyances. D’une part, celles que nous aimons exprimer à voix haute et qui, socialement, sont bien vues (je mets en valeur le respect, l’aide aux proches, le respect de la nature…).
    • D’autre part, nous avons des croyances implicites qui se basent sur l’expérience émotionnelle et dont nous ne sommes pas pleinement conscients.

    Je ne vais pas aider cet ami car je pense qu’il ne le mérite pas (alors qu’en réalité, vous ne le faites pas parce que vous ressentez de la jalousie ou que vous rejetez ses opinions politiques etc.)

     

    Les psychologues et les chercheurs comme par exemple Janoff-Bulman, nous disent que nous avons un système conceptuel basique de croyances. 

    Elles nous permettent d’affronter la vie d’une manière plus sûre, selon ce que l’on pense qui est bien et selon les attentes que nous avons envers le monde et nous-même.

    • Nous avons un système de croyances basé sur notre dignité, et nous faisons tous une sélection claire entre ce que nous acceptons et ce que nous ne pouvons pas accepter, pour nous protéger et nous défendre. C’est là qu’interviennent les égoïsmes.
    • Nous disposons aussi d’un schéma de croyances sur la manière dont fonctionne le monde, la justice et le hasard.

    Le besoin d’être cohérent avec ses croyances

    Nous apprenons des choses chaque jour. Et chaque nouvelle expérience nous apporte des apprentissages qui nous permettent de voir le monde de manière différente et de défendre certaines choses au détriment d’autres.

    Il faut savoir que pour mieux vivre en société, il est nécessaire d’avoir des attitudes qui respectent les autres et offrir ainsi le meilleur de soi-même tout en restant digne. 

    Il ne faut pas tout confondre : il est possible de trouver un bel équilibre entre soi et l’autre, dans le respect et dans un rapport où tout le monde est gagnant.

    L’être humain, d’une façon générale, n’a pas encore compris la grande noblesse qui réside dans l’aide au prochain, dans le changement intérieur qui survient en nous lorsque nous donnons le meilleur de nous-même pour l’entourage.

    Nous ne parlons pas, par exemple, de mettre une partie de notre salaire dans l’aide mensuelle au Tiers Monde obligatoirement.

    La bonté doit commencer avec ceux qui se trouvent autour de soi, la famille, les amis, les voisins… De petits actes nous offrent de grands résultats.

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    Soyez cohérent avec vos croyances

    Évitez de défendre des idées que, tôt ou tard, vous n’appliquerez pas. Cela provoquera de la méfiance de la part des personnes qui vous entourent et même des disparations subites.

    Il faut être conscient de tout ce que nous disons à voix haute et pour cela, nous ne devons pas nous laisser entraîner par « ce qui est bien vu » ou ce que les autres attendent de nous.

    Il est important que vos actions aillent main dans la main, avec vos valeurs, c’est une manière merveilleuse de trouver l’équilibre.

     

    N’ayez pas peur d’assumer de nouvelles idées, de nouveaux schémas de pensée

    Qui s’accroche à ses propres idées à tout prix, refusant de relativiser ses points de vue, ne peut pas s’adapter aux changements, ne se permet pas d’être plus libre, plus flexible dans ses pensées, son intuition et sa perception.

    Nous devons être réceptifs à tout ce qui nous entoure, écouter ceux qui sont à nos côtés : lisez, observez, écoutez, déduisez, acceptez, laissez-vous surprendre…

    Tout cela vous permettra d’avoir un esprit plus ouvert et sensible, grâce auquel vous pourrez avoir de nouvelles attitudes et pensées qui vous aideront à être une meilleure personne.

    Il est important de tenir compte de ces conseils, et toujours de faire correspondre ses valeurs et ses actes.

    Vivre en harmonie avec le reste du monde peut parfois être complexe mais si nous nous inquiétons de donner le meilleur de nous, en conservant une bonne estime de nous-même et une empathie importante, notre réalité sera plus noble.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 8 façons d’arrêter de trop réfléchir

    et de trouver la paix dans le moment présent

     
     
     
     
     
     
     
     

    trop-reflechir

     

     

    Nous faisons tous de notre mieux pour rester positifs, mais parfois nous pouvons glisser dans un schéma de pensées négatives qui peuvent semer le chaos dans notre vie. Il peut nous arriver de nous soucier de nos erreurs passées ou des contraintes et de réfléchir à la façon dont celles-ci pourraient conduire à des résultats négatifs dans le futur. Il peut nous arriver d’être obsédés ou de sur-analyser les expériences et les interactions régulières, lire en elles des choses qui ne sont pas vraiment là. Dès que quelque chose de négatif se produit, nous l’associons à toutes les mauvaises choses qui sont arrivées dans notre vie et nous commençons à nous sentir misérables. Il nous arrive même d’être anxieux et d’être incapables de prendre du recul pour tout ce qui pourrait mal tourner.

     

    Si vous avez souvent ce sentiment, vous êtes ce que les psychologues appellent un ruminateur, ou quelqu’un qui réfléchit beaucoup trop, et cette façon de penser peut être dangereuse pour votre santé. Des psychologues ont constaté que trop réfléchir peut nuire au comportement humain, et peut provoquer de l’anxiété et une dépression, surtout chez les femmes, qui ruminent beaucoup plus que les hommes sur le stress et les déceptions.

    De nombreuses personnes qui réfléchissent trop sont adorables, intelligentes, accordent de l’importance aux relations et prennent bien soin des personnes qui font partie de leur vie. Malheureusement elles repoussent ces mêmes personnes qui s’inquiètent ou qui cherchent un soutien et à être rassurées, car elles peuvent devenir obsessionnelles, anxieuses, déprimées et négatives. Il ne s’agit pas d’un interrupteur dans le cerveau que l’on peut éteindre, mais plutôt d’un schéma qui nécessite un engagement et du travail pour se reprendre en main. Voici quelques conseils pour savoir comment arrêter de trop penser et trouver la paix dans l’instant présent.

    1. Acceptez que vous avez un problème en réfléchissant trop

    La première étape pour guérir est de reconnaître que vous avez un problème. Si vous avez l’impression de ne pas pouvoir sortir de votre tête et que trop réfléchir vous empêche de vivre une vie heureuse, de prendre des décisions, de faire avancer les choses ou de créer des liens profonds, alors vous avez un problème. Si vous sombrez dans la négativité et la dépression quand une mauvaise chose se produit, vous avez un problème. Si votre peur de l’avenir vous empêche de profiter du présent, vous avez un problème. Si vous pratiquez la politique de l’autruche ou que vous niez cette réalité, ça ne fera qu’empirer la situation. Si vous n’êtes pas sûr d’avoir un problème, demandez à vos amis et à vos proches d’être honnêtes avec vous, car en général ce sont eux qui le verront même si vous ne pouvez pas le voir.

    2. Pardonnez-vous: notre cerveau est programmé de cette façon

    Une fois que vous avez admis que vous réfléchissez trop, pardonnez-vous, parce que le cerveau est en fait programmé pour une tendance naturelle à trop réfléchir. Selon la psychologue Susan Nolen-Hoeksema, la principale experte dans ce domaine, « l’organisation de notre cerveau est configurée pour trop réfléchir » car nos pensées et nos souvenirs sont intrinsèquement entremêlés, pas compartimentés. Ainsi, lorsque les facteurs de stress sont déclenchés ou que vous entrez dans une phase de mauvaise humeur, cela peut provoquer une « avalanche » de pensées négatives qui n’ont rien à voir avec l’élément déclencheur d’origine de la mauvaise humeur. Nolen-Hoeksema donne l’exemple de « quand un mauvais rendement au travail vous fait repenser à votre tante qui est décédée l’année dernière. »

    De plus, quand quelque chose se passe mal ou que quelqu’un a des sentiments négatifs, il est plus susceptible de penser à des choses négatives et également de voir des connexions (qui peuvent ne pas exister en fait) entre tous les mauvais événements qui ont eu lieu dans sa vie. Plus cela se produit, plus l’individu a tendance à suivre le schéma de pensée dans l’avenir.

    Même si le cerveau peut être programmé pour faire ces associations, une fois que vous en prendrez conscience vous pourrez commencer à résoudre le problème.

    3. Respirez plus

    Si notre cerveau est programmé dans cette « toile d’araignée interconnectée » où un mauvais événement peut déclencher un raz de marée d’associations négatives de pensées, comment pouvons-nous rompre avec ce schéma?

    La première chose et la plus simple à faire est de RESPIRER. Respirer va vous détendre, vous calmer, vous connecter à l’instant présent, et vous relier à la Terre Mère. Cela paraît tellement simple mais souvent quand notre esprit commence à s’envoler dans la mauvaise direction, nous devenons maniaques et frénétiques quand nous avons besoin de détendre notre corps et notre esprit.

    Allongez-vous, prenez une longue inspiration de deux secondes par le nez, et expirez par la bouche pendant quatre secondes. Ce mode de respiration augmente le taux d’oxygène dans le sang, ce qui peut détendre le corps et calmer la réponse du système surrénal aux pensées obsessionnelles. Faites-le pendant 10 minutes ou jusqu’à ce que les pensées excessives diminuent.

    4. Parlez moins

    Les nombreuses personnes qui réfléchissent trop, surtout la population féminine, ne peuvent pas s’empêcher de vouloir « extérioriser » lorsqu’elles sont stressées ou inquiètes. Bien que parler de ses inquiétudes peut parfois aider, cela empire les choses en général, surtout si la personne à qui vous parlez pense également trop, et vous passerez tout votre temps à sur-analyser et à disséquer chaque détail de chaque problème négatif dans votre vie. Vous pourriez finir par tomber dans une frénésie de négativité et vous sentir en plus en colère après la conversation.

    Ce genre de co-rumination, où deux ruminateurs se réunissent pour trop réfléchir sur leur vie, peut les faire sombrer dans encore plus de négativité et de stress. Par exemple, des recherches ont découvert une association entre la co-rumination entre amies et l’augmentation de cortisol, l’hormone du stress.

    Si vous ressentez vraiment le besoin d’exprimer vos problèmes, vous pouvez toujours les noterpour les effacer de votre esprit et vous pourrez peut-être réaliser que vos problèmes peuvent paraître stupides quand vous vous relirez.

    5. Soyez actif et productif

    Que devriez-vous faire au lieu de parler? Eh bien, vous savez déjà qu’il faut respirer pour calmer le corps et l’esprit, mais parfois vous voulez juste faire évacuer cette énergie! Dans ce cas, il peut être incroyablement bénéfique de faire quelque chose de physique, par exemple vous pouvez aller faire une marche rapide, jouer avec votre animal de compagnie ou avec vos enfants, faire du yoga, faire du sport, nager, ou courir. Les activités qui sont à la fois mentalement et physiquement captivantes sont les meilleures, car elles demandent une implication suffisante pour vous sortir de vos schémas de pensées obsessionnelles et vous mettre dans un état de flux.

    En plus des exercices physiques, les activités captivantes qui stimulent le cerveau peuvent également être efficaces pour réorienter les schémas de pensées obsessionnelles. Jouer aux cartes, apprendre une langue, ou jouer à tous les différents types de jeux peut être une bonne diversion pour se vider l’esprit. Ou vous pouvez toujours apprendre un nouveau passe-temps, faire de l’art, dessiner, peindre ou faire de l’artisanat, comme fabriquer des bijoux, des vêtements, des capteurs de rêves, des extensions de cheveux, vraiment tout ce que vous voulez. Vous risquez même de vous découvrir un talent caché, ou pouvoir commencer une nouvelle carrière ou rencontrer de nouvelles personnes grâce à ça.

    6. Pratiquez la pleine conscience

    Très souvent les personnes qui pensent trop ont beaucoup de mal à vivre dans l’instant présent. L’instant présent ne reçoit pas l’attention et l’amour qu’il mérite à cause des échecs du passé et de la peur de l’avenir. Lao Tseu a dit « Si vous êtes déprimé, vous vivez dans le passé. Si vous êtes anxieux, vous viez dans le futur. Si vous êtes en paix, vous vivez dans le présent. » Alors, comment pouvons-nous vivre en paix dans le moment présent?

    Bien, nous avons déjà parlé de certaines stratégies qui peuvent vous aider à calmer votre esprit et vous relier à l’instant présent, y compris la respiration, parler moins, faire des efforts physiques et d’autres activités qui aident à rediriger l’attention et à amener dans un état d’énergie circulaire. Mais l’une des meilleures choses à faire est de pratiquer la pleine conscience, une forme de méditation où vous vous concentrez sur le moment présent sans jugement. Quand les pensées obsessionnelles préoccupantes se manifestent, reconnaissez-les, puis laissez-les partir, libérez-les énergétiquement et videz votre espace. Vous pouvez apprendre les techniques de méditation consciente comme la méditation transcendantale, ou si vous avez du mal à le faire par vous-même demandez des conseils à quelqu’un qui pratique la thérapie cognitive basée sur la pleine conscience.

    7. Abandonnez-vous à l’univers

    Lorsque nous nous inquiétons, nous espérons principalement contrôler le flux de la vie parce que nous sommes attachés au résultat d’une situation. Nous voulons que les choses se passent d’une certaine manière, et nous sommes terrifiés à l’idée que les choses puissent mal tourner ou que de mauvaises choses puissent se produire. En réalité, nous avons peu ou pas de contrôle sur le déroulement des événements de la vie, du moins pas du point de vue conscient que notre inquiétude aura un impact imminent sur le résultat que nous désirons. Donc nous pouvons nous inquiéter ou bien accepter la situation et laisser aller notre attachement aux résultats. L’univers est bien plus vieux et plus sage que nous, et au lieu d’avoir des préoccupations obsessionnelles, nous pouvons lâcher prise et avec l’amour et la confiance, nous abandonner à l’univers.

    S’abandonner ne signifie pas renoncer, cela signifie simplement que vous êtes prêt à vous laisser guider par le courant, au lieu d’essayer de nager à contre sens et de vous heurter à plusieurs reprises contre les rochers. L’abandon est une forme de libération et une forme de paix, parce que cela signifie que vous êtes prêt à faire confiance, que tout se passera comme ça devrait se passer :chaque chose en son temps et vous êtes exactement là ou vous devriez être. Même le concept de s’inquiéter des « bons » ou des « mauvais » résultats est incorrect de ce point de vue et ce n’est rien de plus qu’un symptôme de dualité, qui n’est qu’une illusion. Quand vous visualisez de loin le grand schéma de l’univers il n’y pas une « bonne » ou une « mauvaise » chose.

    8. Rappelez-vous que vos pensées créent votre réalité

    Même si nous venons de voir que « nous n’avons aucun contrôle sur le déroulement des événements dans la vie », et c’est vrai au moins pour la partie de l’esprit conscient et sa capacité à dicter les événements, nos pensées créent notre réalité avec le temps. Qui se ressemble s’assemble, et donc plus vous vous inquiétez de quelque chose,plus vous commencez à attirer l’énergie qui vous inquiète!

    Nous devons être conscients de nos pensées car nos pensées ont un pouvoir, plus que nous le pensons. Si vous avez constamment peur de perdre votre emploi, vous augmentez réellement la probabilité de vous faire licencier. De même que si vous avez peur de contracter une maladie mortelle ou une affection: plus vous envoyez d’énergie dans cette direction, plus vous avez de chances de donner inconsciemment la permission à votre corps de manifester cette affection.

    Vous voulez créer une vie heureuse, trouver la paix dans l’instant présent? Si oui, vous avez tous les outils pour en faire une réalité en étant conscient et présent dans vos pensées. Vous avez également tous les outils pour créer une vie d’inquiétudes et de négativité, si vous continuez à trop réfléchir et à être obsédé par les événements négatifs. Le choix vous appartient !

     

     

    Sources:
    The Lucid Planet
    Esprit Science Métaphysique

    sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les 3 émotions qui guérissent

     
     
     
     
     
     
     

     

     

     

    La science a identifié trois émotions et sentiments guérisseurs du corps et de l’âme : la gratitude, l’amour et la foi. Ces émotions et sentiments peuvent être cultivés pour se sentir plus heureux, plus créatif, améliorer ses relations avec les autres et mieux résister aux infections et aux maladies. Emmanuel Duquoc, l’auteur des 3 émotions qui guérissent vous dit comment.

     

    Quelles sont les émotions qui guérissent ?

    Voici les trois émotions centrales qui guérissent et leurs corollaires qui permettent de les convoquer :

    • La foi : insouciance, prière, optimisme, espérance, courage, lâcher-prise, fluidité, confiance, réceptivité, doute, dévotion, protection.
    • L’amour : politesse, honnêteté, respect, service, compréhension, bienveillance, compassion, partage, don de soi, tendresse, pardon, attachement, amour inconditionnel.
    • La gratitude : remerciement, sentiment d’être aimé, acceptation, deuil, bénédiction, satisfaction, reconnaissance, ouverture du cœur, sourire, simplicité, rire, émerveillement, contemplation, joie.

    Les 3 dimensions de l’émotion

    L’émotion n’est pas une pensée, elle est corporelle et possède plusieurs composantes :

    – Neurophysiologique : le vecteur de l’émotion est le système nerveux autonome. L’émotion est transmise via les hormones, des messagers chimiques qui voyagent dans le sang, informent des récepteurs à distance et induisent des états physiologiques.

    – Expressive : l’émotion est visible et compréhensible par le mouvement musculaire et l’expression du visage.

    - Subjective : elle est colorée par notre jugement, lié lui-même à nos expériences passées. Face au même stimulus, deux personnes n’auront pas la même émotion. L’émotion est à différencier du sentiment qui est de l’ordre de la pensée et qui n’a pas sa composante physiologique, il n’est pas visible de l’extérieur car il reste au niveau de l’esprit mais il succède à l’émotion et peut lui aussi susciter une émotion.

    Comment utiliser ces émotions pour être heureux et améliorer sa santé ?

    Nous utilisons la capacité humaine à provoquer des émotions par la pensée. De la même manière que le rappel d’un événement douloureux est capable de nous faire pleurer, évoquer une situation qui a suscité une émotion heureuse nous la fait ressentir de nouveau. Réelle ou fictive, peu importe. Ce qui compte à ce stade est le sentiment heureux et son ressenti intense. Par ailleurs, observer un sentiment intérieur en renforce la portée et le pouvoir physiologique.  Votre cerveau aime le confort et ces émotions sont confortables pour lui. Il s’en souviendra mieux et y reviendra.
    Avec la cohérence cardiaque, vous ajoutez une récompense physiologique à la récompense du sentiment positif. En effet, la cohérence cardiaque induit une régulation nerveuse et émotionnelle qui provoque elle-même un état de confort physique. En pratiquant la cohérence cardiaque tout en ressentant un sentiment positif, vous vous récompensez de ressentir l’émotion positive ! Votre cœur et votre corps vont aimer. Votre cerveau va aimer. Il va apprendre très vite ! Imaginez un enfant que l’on gratifie à chaque fois qu’il joue ou qu’il rit en riant avec lui. Il a de fortes chances de devenir un enfant joyeux.

    Dans votre cerveau, que se passe-t-il ?  Vous avez renforcé le réseau de neurones des circuits cérébraux concernés par cette émotion. Autrement dit, vous avez élargi le chemin qui mène à l’émotion. Vous l’avez défriché et vous en avez amélioré le balisage. Dès lors, il sera plus facile à emprunter la prochaine fois qu’une situation en permettra l’expression. Peu à peu, vous acquerrez des réflexes émotionnels. Le chemin vous semblera plus tentant et vous le parcourrez plus souvent. Vous en connaîtrez les détails comme votre poche et l’emprunterez volontiers. C’est ainsi que la douceur, le contentement, la confiance et les autres émotions qui guérissent deviendront peu à peu des traits dominants de votre personnalité.

    L’émotion qui guérit deviendra une seconde nature et vous aurez le bonheur de le constater de loin en loin comme beaucoup de pratiquants de la cohérence cardiaque l’ont fait. Il y a, bien sûr, des effets secondaires à cette médication. Mais c’est pour la bonne cause. Il se peut que vous constatiez une moindre tolérance aux émotions négatives qui vous viennent. Non pas aux événements négatifs mais aux émotions négatives. Quand elles se présenteront, elles ne seront pas agréables et vous aurez tendance à moins les laisser s’installer. C’est normal. Quand on s’habitue au confort, on a du mal à le lâcher.

    Exemple : cultivez le sentiment d’être aimé

    Par imagerie cérébrale, il a été observé que les sentiments d’altruisme, de compassion et de réjouissance pour l’autre, chers au bouddhisme, sont reliés à une activité intense du cortex préfrontal gauche, une zone impliquée dans les sensations de bien-être, les émotions positives et le recul par rapport aux émotions négatives. Dans la pratique bouddhiste traditionnelle, il est préconisé de commencer par stimuler sa propre aspiration au bonheur puis de l’étendre à autrui. Tout d’abord les êtres chers, puis les autres êtres, amis ou ennemis, humains, animaux et végétaux. Nous retrouvons la même préconisation dans la bouche du Christ : « Aime ton prochain comme toi-même ». Un tel conseil pose l’amour de soi comme socle de l’amour universel. La psychologie confirme l’importance cruciale de l’estime de soi comme base de l’équilibre mental et de toute relation harmonieuse. On ne peut aimer sainement que depuis l’amour reçu et le sentiment d’être aimé soi-même. Les grandes religions monothéistes comme l’hindouisme, le judaïsme ou le christianisme célèbrent l’amour inconditionnel de Dieu pour les hommes. L’altruisme et la compassion sont les clés du bonheur pour les bouddhistes tout comme l’amour du prochain est la clé du royaume de Dieu pour les chrétiens. Ces sentiments sont indissociables de celui d’être aimé et de la gratitude.

    À Harvard, le Dr McClelland a demandé à des personnes de méditer en pensant à tous ceux qui, dans leur vie, avaient été bons envers eux. Le nombre de cellules T (marqueur de la qualité de l’immunité) augmenta chez ces personnes dans des proportions importantes.

    Comme les cobayes du Dr McClelland, nous pouvons nous concentrer quelques instants sur tous ceux qui nous ont aimé, qui nous ont prodigué soin ou tendresse ou simplement rendu service. Le dos bien droit, pratiquons une respiration ample et régulière de préférence en fréquence six.
    À tout moment, nous pouvons améliorer notre bien-être en ressentant les émotions et les sentiments que cet amour nous a donnés.

     

    Jean Baptiste Le cocq

     

     

    Source : sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Si quelqu’un ne vous accorde pas de valeur,

    ne mendiez ni attention ni amour

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il faut savoir que la seule personne indispensable au bonheur, c'est nous-même. Si nous avons de l'amour propre et que nous nous respectons, il sera plus difficile de nous atteindre pour nous faire du mal.
     
     
    Si quelqu’un ne vous accorde pas de valeur, ne mendiez ni attention ni amour
     

    Ne perdez jamais de vue ce que vous valez, pour une personne qui ne vous connaît pas.

    Si quelqu’un ne vous accorde aucune importance, s’il vous ignore, vous abandonne ou vous méprise, ne mendiez ni de l’attention, ni de l’amour, car vous n’obtiendrez jamais rien de réel ou de sincère.

     

    Ne croquez pas la pomme véreuse de l’amour indifférent, car elle vous fera souffrir.

    Si “vous en demandez trop”, c’est parce que vous savez que ce que vous voulez a un poids important dans votre vie et que vous êtes a seule personne à pouvoir octroyer de la valeur à vos pensées, opinions, désirs et comportements.

    Nous devons nous efforcer de prendre de la distance émotionnelle envers les personnes qui mettent en branle l’équilibre de la balance affective dont nous avons tous besoin, et qui instillent l’inégalité émotionnelle dans les relations que nous avons avec elles.

    Partagez avec vous-même vos désirs intimes, écoutez-vous avec l’envie de vous aimer et de vous accepter, car c’est cela, et uniquement cela, qui pourra vous libérer de ces amours fausses.

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    L’amour ne se quémande pas et l’indifférence tue la tendresse

    Quémander de l’amour signifie demander quelque chose qui n’existe pas, qui ne se trouve que dans notre esprit.

    La seule chose que nous obtenons, en mendiant, c’est nous manquer de respect, entraver notre épanouissement personnel et offrir à notre personne toute la douleur issue du manque de dignité.

     

    Quand nous aimons quelqu’un, nous voulons en prendre soin et lui éviter de souffrir.

    Notre reflet émotionnel nous invite à créer des circonstances qui lui montrent qu’il est digne de notre amour, que nous avons des émotions et des sentiments plein d’harmonie, d’authenticité et de tendresse.

    Si nous ne nous protégeons pas des amours fausses, nous finirons par croire que l’amour, c’est ça.

    Nous finirons par penser que nous ne méritons pas d’affection ou d’attention et nous nous convaincrons que les relations émotionnelles n’en valent pas la peine.

    Finalement, c’est simple : la personne qui vous mérite est celle qui, avec sa liberté de choisir, se rapproche de vous, vous apprécie et vous consacre du temps et des pensées. 

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    Personne ne peut vous rendre malheureux sans votre consentement

    L’outil le plus puissant pour lutter contre l’injustice émotionnelle et l’indifférence est l’auto-détermination.

    Elle est accompagnée de l’amour propre, de la connaissance de soi et de réflexions sur les sentiments, les désirs et les comportements de soi et d’autrui.

    Cependant, le processus dans lequel nous sommes immergés dans ces circonstances reflète l’absence de dignité. Celle qui nous manque et qui devrait nous empêcher de suivre ceux que ne nous méritent pas comme des petits chiens.

    Ainsi, nous devons utiliser des stratégies difficiles pour gérer ce deuil du « non amour ».

    Voyons quelques situations répandues :

    • Le deuil du « non amour » est un processus très difficile qui s’alimente d’une douloureuse phase de pré-contemplation. Généralement, “nous savons que quelque chose ne fonctionne pas”, mais nous n’osons pas mettre des mots dessus ou nous n’ouvrons pas les yeux.
    • Nous contournons le problème et nous le laissons passer, en continuant à nous persuader de ne pas y penser. Et nous nous distrayons en pensant que ce problème émotionnel se résoudra naturellement.
    • Quand nous nous résignons au mal être, il arrive un moment où il augmente à des niveaux insupportables et nous devons nous y confronter quand il nous dépasse complètement.

    Mais que se passe-t-il quand nous luttons contre nos propres sentiments et que la lutte devient une bataille sans fin pleine de désespoir, qui ne mène qu’à la souffrance?

    • Il est fréquent d’entendre l’expression “embrasser la douleur”. Ne pas l’ignorer et l’embrasser est quelque chose de positif.

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    L’idéal pour gérer ce deuil du « non amour » est de l’écouter et de comprendre qu’il nous fait du mal car quelqu’un dont nous voulons qu’il nous aime et que nous aimons sûrement ne nous aime pas, ni ne fait cas de nous.

    Alors, pour inverser la douleur, il faut lui apporter une solution.

    La solution est de se convaincre que si nous ne recevons pas d’affection naturellement, nous ne la recevrons jamais.

    Le mieux est donc de s’éloigner de cette personne car nous pourrons ainsi nous rendre compte que la douleur est surmontable.

    Pour en finir avec la souffrance du « non amour », il faut tout d’abord le comprendre et ensuite l’accepter car c’est une conséquence naturel du deuil à la suite de la perte de quelqu’un que nous aimons mais que nous ne pouvons pas avoir.

     

     

    Aimez-vous et valorisez-vous : alimentez vos relations avec votre amour propre

    Même si gérer chaque histoire émotionnelle est complexe, toute souffrance a une solution.

    Le vrai changement est possible lorsque nous travaillons à désamorcer cette situation douloureuse et que nous nous éloignons de la personne à qui nous mendions attention et amour.

    Ainsi, il faut savoir que la première personne à qui nous devons consacrer du temps, c’est nous-même. Nous serons ensuite dans les conditions optimales pour évaluer avec qui nous nous sentons bien ou pas.

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    Ne mendiez l’attention de personne, et encore moins de l’amour car qui vous aime vous le démontre d’une manière ou d’une autre sans mesurer ses intérêts ou faire preuve d’égoïsme.

    Souvenez-vous qu’une situation d’injustice émotionnelle demande un gros effort de la part de notre amour propre, pour qu’il nous aide à examiner nos désirs, nos valeurs et nos besoins.

    N’appelez plus ni ne répondez aux appels de cette personne. Arrêtez d’attirer son attention par tous les moyens et ne la voyez plus.

    Arrêtez de penser aux personnes qui sont présentes dans votre vie uniquement sous forme de carte postale, celles qui s’intéressent aux apparences et qui vous traitent bien uniquement en public.

    N’oubliez pas d’examiner les raisons qui vous attachent à cette personne, à qui vous quémandez tendresse et attention. Cherchez les origines de ce mécanisme, prenez-en conscience et commencez votre mutation intérieure.

    Il est nécessaire de nourrir votre estime de vous-même et d’arrêter de mendier pour de l’amour, car l’amour doit se démontrer et se sentir, pas s’implorer. Votre tendresse et votre attention sont trop importantes pour être gaspillées avec des personnes qui ne vous méritent pas.

    Consacrez votre temps aux personnes qui vous aiment et qui vous comprennent sans jugements ni conditions.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • J’ai arrêté de donner des explications aux gens

    qui ne comprennent que ce qu’ils veulent

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Personne n'est obligé de donner des explications sur ses croyances, ses valeurs, ses goûts ou son conjoint. Les explications sont nécessaires uniquement dans les situations qui génèrent de l'incertitude ou de la souffrance et toujours sous le signe du respect.
     
     
    J’ai arrêté de donner des explications aux gens qui ne comprennent que ce qu’ils veulent
     

    Dans la psychologique cognitive, on nous dit souvent que nous ne sommes pas obligé de donner des explications sur ce que l’on fait, pense ou choisit dans le quotidien.

     

    Au-delà de cette dimension, il y a toujours l’intérêt propre, le besoin de se connaître soi-même et d’agir en accord avec nos principes et nos valeurs, en respectant aussi tous ceux qui nous entourent.

    L’acte de donner des explications est nécessaire dans les cas où nos décisions ont un rapport avec des personnes tierces, mais l’acte d’assumer ses responsabilités propres va avec cette capacité de savoir agir et décider, sans devoir justifier ce que l’on fait face aux autres.

    Nous savons aussi que nous passons notre vie à donner des explications pour tout, et nous vous invitons ici à réfléchir à cela.
     

     

     

    Quand donner des explications devient une habitude

    Comme tout dans la vie, il y a une limite et un équilibre. Nous pouvons demander des explications à notre conjoint si par exemple, il n’apparaît pas pendant trois jours d’affilée.

    On peut faire la même chose avec ses enfants face à un mauvais comportement, et avec nos amis s’ils font quelque chose auquel nous ne nous attendions pas.

    • Les personnes ont besoin de donner et de recevoir des explications dans des situations qui provoquent de l’incertitude, de l’étrangeté ou de la souffrance.
    • Dans la psychologie cognitive et la psychologie positive, on parle du besoin de ne pas considérer que « donner des explications » est une habitude de la vie quotidienne, surtout face à des situations qui ne le demandent pas.

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    Le problème du fait de donner des explications dépend aussi du type de communication que l’on établit avec les autres. Si le dialogue est constructif, empathique et constructif, la communication est fluide et il y a de la compréhension.

    Pourtant, dans de nombreux cas, il y a des personnes qui ne comprennent que ce qu’elles veulent, et pire encore, loin d’écouter, ne pensent qu’à la réponse qu’elles vont donner car elles ont déjà établi leur propre conclusion, peu importe qu’elle corresponde ou non à la réalité.

    • Donner des explications ne devrait pas être une habitude si enracinée dans nos sociétés. Pas, au moins, quand ce que l’on cherche, c’est juger les autres en accord avec leur comportement et leurs choix.
    • Les explications sont nécessaires uniquement quand une situation concrète le demande, et afin d’instaurer l’équilibre dans la relation.
    • Au moment de donner des explications, il doit exister un dialogue respectueux, ouvert et démocratique. Émetteur et récepteur doivent s’écouter avec empathie et dévouement pour approfondir sur la situation et trouver un accord, une harmonie dont nous avons besoin pendant les conversations.

     

     

    Dans quels cas ne devrions-nous pas donner d’explications ?

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    Nous sommes sûrs dans dans vos relations sociales les plus proches (amis, famille, travail, couple…) vous vous voyez obligé de donner plus d’une explication à certains aspects de votre vie que vous ne voulez pas partager, et encore moins justifier.

    Comme exemple, et pour en tenir compte, nous allons vous donner les dimensions qui vous appartiennent, uniquement « à vous » et que lesquelles vous n’avez pas à vous expliquer, ni à vous justifier :

     

     

    Vous ne devez pas donner d’explications sur ce qui est prioritaire dans votre vie

    L’important pour vous n’appartient qu’à vous. Si votre première passion est le voyage, tout le monde ne comprendra pas que vous passiez une année entière à économiser au lieu de changer de machine à laver ou d’acheter une nouvelle voiture.

    Vous n’avez pas à vous justifier et si vous le faites, une fois suffit.

     

     

    Vous ne devez pas donner d’explications sur votre célibat ou sur votre conjoint

    Comment, tu n’as pas de conjoint ? Tu n’as toujours pas d’enfants ? Ton compagnon est un peu silencieux non ? Et pourquoi est-ce que vous ne vivez pas plus près de ta famille ? 

    Nous sommes sûrs que ces questions vous sont très connues. Les gens ont tendance à demander par intérêt innocent mais ce sont des choses qui nous mettent mal à l’aise car nous devons nous justifier alors qu’en réalité, cela ne concerne que vous et personne d’autre.

     

     

    Vous ne devez pas donner d’explications sur vos croyances ou vos valeurs

    Toutes les valeurs, les croyances et les opinions se valent et ne doivent pas être justifiées. Si vous pratiquez une religion ou que vous ressentez des affinités pour un type de spiritualité, nul besoin de détailler pourquoi vous le faites et ce qui vous a amené à ce choix.

    • Vous êtes vos choix, les autres doivent vous accepter comme vous êtes, sans avoir à vous demander des explications.
    • Vivre avec les autres c’est respecter et il s’agit donc tout simplement de s’accepter, tels que nous sommes. Les explications seront nécessaires, comme nous vous l’avons dit précédemment, uniquement dans les cas de disparition ou de problèmes personnels.

     

     

    Vivez librement en suivant vos propres valeurs, agissez avec respect et soyez heureux de chaque aspect de votre chemin de vie.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Je n’ai pas changé, je donne à chacun la valeur qu’il mérite

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Essayer de plaire à tout ceux qui nous entourent est une erreur qui mène au malheur. Il est important d'être soi-même, de conserver une bonne estime de soi-même et de mettre en priorité les personnes qui nous enrichissent réellement.
     
     
    Je n’ai pas changé, je donne à chacun la valeur qu’il mérite
     

    “je n’ai pas changé, je suis arrivé à un moment de ma vie où je veux donner à chaque personne la valeur qu’elle mérite vraiment”.

    Si à un moment de votre vie, vous ressentez ce besoin, vous ne devez pas vous sentir coupable : mettre des priorités est une manière basique de trouver l’équilibre, le bonheur.

     

    Dans notre soif de plaire à tout le monde et de bien traiter les personnes qui nous entourent, nous n’avons pas toujours la capacité ou le courage « d’arrêter d’alimenter » certains liens qui, loin de nous enrichir, nous font du mal.

    Selon une étude mené par l’Université de Claremont, aux États-Unis, agir en accord avec nos valeurs et sentir de la confiance en les personnes qui nous entourent est une manière d’augmenter notre taux d’ocytocine et donc, d’être heureux.

    Il s’agit, finalement, de faire ce que l’on sent et d’agir en accord avec notre propre échelle de valeurs.“Je n’ai pas changé, si je te dis que je ne veux pas faire cela, c’est parce qu’aujourd’hui, cela va à l’encontre de mes principes”.

    Nous vous invitons à réfléchir à ces questions.

     


     

    Je n’ai pas changé, je suis fidèle à mes valeurs

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    La clé du bonheur ne se trouve pas dans l’accumulation des richesses ou dans le nombre d’amis. Il ne s’agit pas d’accumuler des gens, ou de s’enorgueillir des milliers de likes que l’on a sur ses photos des réseaux sociaux.

    Il s’agit « d’avoir des personnes qui en valent la peine », des figures qui nous permettent d’être nous-mêmes à chaque instant sans avoir besoin de faire ou de dire des choses que nous ne ressentons pas. Et nous savons que cela n’est pas facile à obtenir.

     

    Nous vivons dans une société régie par les apparences et le besoin de plaire à tout le monde

    Il ne faut jamais oublier cela : qui est obsédé par le fait de plaire à tous ceux qui l’entourent n’obtient que malheur.

    • Nous sommes tous passés par des moments où nous avons besoin de reconnaissance. Les adolescents essaient d’être acceptés par leur groupe de pairs pour se sentir intégrés. Plus tard, quand on est adultes, nous recherchons la même chose pour être aimé de notre conjoint.
    • Qui cherche à être aimé par les autres oublie de s’aimer lui-même.
    • Il suffit de maintenir un équilibre adapté dans son quotidien : il ne faut pas tout lâcher ou mettre des limites à chaque moment, il s’agit de savoir vivre avec respect, tant pour soi-même que pour les autres.
    • Si dans votre entourage le plus proche, vous ressentez le besoin de faire des choses qui ne respectent pas vos valeurs ou ce que vous ressentez, peut-être que c’est le moment de changer de scène de décor. Cette situation maintenue dans le temps peut générer une crise d’identité et d’auto-estime.

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    Je ne vais laisser personne me changer : je m’aime tel que je suis

    Arriver où vous êtes arrivé jusqu’à présent vous a beaucoup coûté : des efforts, des renoncements et des découvertes gratifiantes. Notre personnalité a un petit composant génétique, une grande part d’expériences et la valeur que nous lui accordons.

    C’est un long chemin où chaque aspect compte et où avant tout, nous avons acquis un système de valeurs, de croyances et d’attitudes auxquelles nous devrions pas renoncer, pour rien ni personne. Le faire supposerait d’arrêter d’être nous-mêmes.

    • Il est possible que vous débutiez une relation de couple et qu’à un moment donné, vous découvrez qu’elle ne vous convient pas, que vous n’êtes pas heureux. Le plus probable est que l’autre vous dise que vous avez changé d’un jour à l’autre, et ce que vous aimiez auparavant ne vous plaît plus.
    • Ne vous laissez pas influencer par ce type de critiques. En réalité, personne ne change d’un jour à l’autre. Ce qui se passe, c’est que les autres n’ont pas pris le temps de vraiment nous connaître.

    Le plus important est de conserver une bonne estime de soi et un système de valeurs positif. Être en couple, et cohabiter avec les autres nous oblige dans de nombreux cas à céder à des choses déterminées. Cependant, cette « session » doit être vue comme part d’un changement où tout le monde gagne et personne ne perd.

    • Pour être en couple, être mère, fils, frère ou amie, il faut savoir écouter et établir une réciprocité.
    • Nul besoin d’être d’accord sur tout, nul de besoin de partager les mêmes loisirs, goûts ou désirs. L’essentiel est d’avoir la même échelle de valeurs.
    • Ne changez jamais les aspects de votre personnalité ou de vos intérêts pour plaire aux autres ou pour ne pas les décevoir. Être comment les autres attendent que nous soyons est une dissonance personnelle qui n’amène qu’au malheur. 

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    Sachez que pour ne pas céder, pour ne pas se laisser contrôler par les autres, il est nécessaire de bien se connaître soi-même.

    Souvenez-vous de vos limites et jusqu’où vous êtes capable d’arriver sans que votre auto-estime ne soit atteinte. Tenez compte de cela ! 

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Voici 5 blessures émotionnelles de l’enfance

    qui persistent à l’âge adulte

     
     
     
     
     
     

    Today’s Prayer Treatment – Dr. Diva Verdun, Empowerment Coac

     

     

    Nous avons tous été des enfants avant de grandir et devenir adultes. L’environnement familial dans lequel nous avons évolué et l’enfance que nous avons eue conditionnent immanquablement notre vie d’adulte.

     

    Les problèmes rencontrés durant cette période de notre existence ont une influence capitale sur notre façon d’affronter les vicissitudes de la vie. Ils prédisent en quelque sorte la qualité de notre vie d’adulte.

    La personnalité d’un adulte est souvent déterminée par 5 blessures émotionnelles ou expériences douloureuses vécues pendant l’enfance :

    1. La peur de l’abandon

    Un enfant qui a été abandonné dans son enfance développera à l’âge adulte une grande peur de la solitude. De peur d’être abandonné, il partira et laissera tomber un partenaire ou un projet en cours de route. C’est sa défense ; il quitte avant d’être quitté. La peur du rejet pour ce type de personnes est permanente et définit leur comportement face aux gens et aux aléas de la vie. Ces personnes devront travailler cette peur de la solitude et du rejet. Tant que l’idée d’être seul provoquera une panique, elles ne seront pas guéries de leur blessure.

    2. La peur du rejet

    Le rejet est une blessure profonde lorsqu’il a été vécu dans la petite enfance. Cette blessure conditionne le comportement de la personne qui en a souffert au point qu’elle se considère comme quelqu’un d’indigne d’affection. Croyant cela et de peur d’être rejetée, elle finit par s’isoler dans son vide intérieur.

    Les adultes qui ont souffert de rejet étant enfants sont insaisissables et doivent absolument prendre des risques et des décisions par eux-mêmes.

    Le jour où ils ne seront pas dérangés par l’éloignement de certaines personnes de leur vie, ils auront réussi à affronter cette peur.

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    3. L’humiliation

    Lorsque des parents traitent leur enfant de stupide ou bête, ils ne réalisent pas qu’à ce moment-là ils sont en train de détruire son estime de soi. Quand un enfant est traité ainsi, il est persuadé qu’on le désapprouve et qu’on le critique. À l’âge adulte, il se retrouvera avec une personnalité dépendante. Il se peut même qu’il développe un mécanisme de défense en humiliant à son tour les autres et en devenant tyrannique et égoïste.

    Pour se débarrasser de la peur de l’humiliation, il est recommandé de travailler sur la compréhension des besoins et des peurs et d’œuvrer pour l’indépendance et la liberté.

    4. L’injustice

    Un enfant qui a grandi avec des parents froids et autoritaires, qui exigent beaucoup de lui en dépassant souvent les limites, se retrouve accablé par un sentiment d’impuissance et d’inutilité. Ce sentiment qui naît dès l’enfance persiste jusqu’à l’âge adulte.

    Les personnes qui ont souffert de ce type de comportements sont facilement détectables par leur rigidité mentale et leur soif de pouvoir. Elles sont incapables de prendre des décisions en toute confiance et sont obsédées par l’ordre et le perfectionnisme.

    Il est nécessaire pour ces adultes de travailler sur leur rigidité et méfiance afin de pouvoir faire confiance aux autres et gagner en flexibilité.

    5. La trahison ou la peur de faire confiance

    Les parents ont souvent tendance à promettre certaines choses à leurs enfants. Lorsque ces promesses ne sont pas réalisées, l’enfant se sent trahi et indigne de ce qui lui a été promis. Ces sentiments négatifs développent une personnalité manipulatrice, à fort caractère, qui veut tout et bien contrôler.

    Les personnes qui ont subi ce genre de problèmes durant l’enfance manquent de tolérance, de patience et de savoir-vivre. Elles doivent travailler sur ces 3 axes et apprendre aussi à déléguer leurs responsabilités.

    La connaissance de ces cinq blessures de l’âme capables d’affecter notre personnalité, notre santé et notre vie peut aider à corriger un trait de caractère, ou mieux, pousser les parents à corriger leur façon de faire avec leurs enfants.

     

    Sources :
    health-conditions.com
    sain-et-naturel.com

    sante-nutrition.org

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Ne choisissez pas la personne la plus jolie du monde,

    mais celle qui rend votre monde plus joli

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le monde est toujours plus beau avec les bonnes personnes, celles qui s'harmonisent avec nos valeurs, qui ne nous jugent pas et qui encouragent l'épanouissement personnel des autres.
     
     
    Ne choisissez pas la personne la plus jolie du monde, mais celle qui rend votre monde plus joli
     

    Le monde peut toujours acquérir soudainement une nuance plus belle, reluisante et motivante, si vous avez la personne appropriée à vos côtés.

    Nous savons qu’il n’est pas facile d’établir des liens et des relations affectives qui réussissent à enrichir notre vie, mais il ne faut jamais s’avouer vaincu. L’amour en vaut toujours la peine.
     

    Il arrive un moment où nous ne valorisons plus autant la beauté physique car nous apprenons ce qui compte vraiment, et ce qui nous permet de grandir, c’est-à-dire être avec quelqu’un qui sache s’harmoniser avec nos valeurs et donner vie à la convivialité quotidienne.

    Aujourd’hui, nous vous invitons à réfléchir à cela.

     

     

    Le monde est toujours plus beau avec les personnes adéquates

    Les relations positives sont celles qui respectent les espaces, les opinions, les jugements et les valeurs, et qui favorisent notre épanouissement personnel.

    Trouver le compagnon de vie adapté demande sans aucun doute de se tromper plus d’une fois mais au fur et à mesure que l’on avance, nous sommes de plus en plus conscients de ce que l’on veut ou non, et nous trouvons la personne idéale.

    Prenez note des caractéristiques de ces personnalités capables de faire briller notre monde, et de le rendre encore plus beau.

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    Qui vous aime ne vous juge pas

    Nous sommes certains que dans votre cercle social, il y a des personnes classiques qui sanctionnent vos actes, et qui osent juger vos mots comme si eux-mêmes possédaient les vérités universelles.

    Les personnes qui font briller votre monde ne jugent pas. Elles écoutent et conseillent, mais ne jugent pas avec leurs mots, et n’utilisent pas l’ironie comme mécanisme de contrôle et de manipulation.

    L’attachement sain qui ne limite pas

    Les relations saines sont basées sur un attachement qui nous permet de grandir en couple et individuellement. À présent, de l’autre côté de la balance, se trouvent ces types d’attachement malsains :

    • L’attachement anxieux se réfère aux personnes qui ont peur d’être abandonnées, et qui cherchent à contrôler chaque moment car leur relation est basé sur l’insécurité et sur une faible auto-estime.
    • L’attachement distant est celui qui ne connaît que l’indifférence.L’attachement n’existe pas et il est caractérisé par un intérêt égoïste où l’une des parties souffre beaucoup de ce vide physique et émotionnel.

    Les mêmes valeurs et le respect des différences

    Un couple heureux, stable et mûr ne doit pas être d’accord sur tout. Il y a des intérêts différents, des loisirs et des aspirations différentes.

    • Les valeurs nous unissent dans les projets de vie, et harmonisent nos émotions, les principes et les espaces personnels.
    • Un couple qui respecte ses différences et qui s’enrichit avec ce que l’autre peut lui apporter est composé de personnes qui créent un monde bien plus joli. L’harmonie est le maître mot.

    On se respecte et on favorise la croissance personnelle

    Dans un relation, il arrive un moment où on commence à limiter beaucoup d’aspirations personnelles et même à ne plus fréquenter des espaces qui nous correspondaient auparavant.

    • Il est commun de laisser de côté des goûts déterminés, des amis et même des rêves personnels.
    • Favoriser les espaces personnels est une manière d’investir l’espace commun du couple. Une personne heureuse de ce qu’elle est devient quelqu’un qui peut enrichir la relation.

    Couple

    Commencez par rendre votre propre monde joli

    Nous vous avons parlé de la joie de rencontrer une personne qui sache faire de votre quotidien un lieu plus intéressant, intense et beau.

    Il ne faut pas non plus oublier un point essentiel : ne dépendez pas des autres pour trouver votre bonheur, commencez par créer la vie que vous voulez vraiment vivre, celle qui vous correspond.

    • L’une des études les plus connues de notre histoire est la « Grant Study ». Elle a duré 70 ans et son but était de vérifier quelle était l’origine du bonheur authentique.
    • La conclusion à laquelle elle est arrivée peut être devinée: pour la plupart des gens, le fait d’aimer et d’être aimé est synonyme de bonheur absolu.
    • Il faut aussi savoir que si l’on concentre sa vie uniquement sur la recherche d’aimer et d’être aimé, nous oublions un pilier important : l’importance de nous aimer nous-même.

    Pissenlits-dans-un-panier-representant-desirs-et-patience

    Se sentir aimé est sans aucun doute très beau mais parfois cette recherche peut nous enlever une partie de notre vie, alors le mieux est de commencer dès aujourd’hui à rendre notre monde plus joli.

    Soyons comme nous sommes : jeunes, matures, grands, petits, célibataires ou en couple avec des personnes merveilleuses.

    Commencez par désirer et rêver à de nouveaux projets où vous serez le protagoniste authentique de votre théâtre d’aventures. La vie avec soi-même est un lieu merveilleux.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Rien ne sera plus jamais comme avant

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Toutes les relations changent avec le temps et il n'y a aucune raison que ce soit en mal. Changer signifie avancer ensemble et ainsi savoir si notre amour est véritable.
     
     
    Rien ne sera plus jamais comme avant
     

    Dans toutes les relations de couple il y a des problèmes, même si certains sont plus graves que d’autres. Cependant, chaque problème, chaque circonstance et chaque expérience nous fera avancer ou régresser.

    Ce qui est sûr, c’est que rien ne sera plus comme avant, et cela doit être clair dans nos esprits.

    Parfois nous nous fourvoyons, en pensant que nous pouvons revenir en arrière. Toutefois, nous sommes toujours en train d’avancer et quoiqu’il arrive dans notre couple nous fera changer.

    Tout changera, rien ne sera comme avant et c’est plutôt bon !

     

     

    Les questions que nous devons nous poser

    Il existe trois questions très importantes que nous devons nous poser lorsque nous avons un problème de couple.

    Ces questions vont nous aider à savoir si notre relation a un avenir, ou si au contraire, nous devons la remettre sérieusement en question.

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    Existe-t-il des solutions à nos problèmes ?

    Cette première question est essentielle et nous devons vous dire que la majorité des problèmes de couple ont une solution. Le problème subsiste lorsqu’une des personnes du couple ne veut pas céder.

    Êtes-vous tous les deux prêts à vous engager pour surmonter ce moment difficile ?

    Il est très important que vous soyez prêts tous les deux à changer ou à « réorienter » la relation pour qu’elle fonctionne. Si l’un des deux ne s’y affaire pas, votre relation ne pourra s’améliorer.

    Est-ce la personne que vous souhaitez avoir à vos côtés dans 10 ans ?

    C’est une question très importante car si vous ne vous imaginez pas avec votre conjoint dans un futur lointain, peut-être que quelque chose va mal.

    Si après ces questions vos réponses sont positives, faites attention à ne pas vous fourvoyer ! Rien ne reviendra comme avant sauf si vous le désirez.

    Ce doit être très clair pour vous et vous devez le voir comme une opportunité d’améliorer votre relation.

     

     

    La mauvaise foi : une réalité infidèle

    Nous devons éviter de nous leurrer et à titre d’exemple nous allons parler d’un sujet encore très actuel de nos jours : l’infidélité.

    L’infidélité mine toujours la confiance dans le couple et dans la majorité des cas, elle finit par la briser.

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    Avez-vous déjà pensé aux couples qui décident de se donner une nouvelle chance après une infidélité et qui n’y arrivent pas ? Ils se sont leurrés.

    Il est probable que la personne infidèle pense qu’une fois pardonnée tout redeviendra comme avant, mais il n’en est rien !

    Votre conjoint a changé, vous avez brisé sa confiance et vous devez faire un effort pour vous mettre à sa place, le comprendre, et surtout, ne pas attendre que les eaux rentrent dans leurs lits si facilement.

    Tout nécessite du temps, et une période pour guérir… Eloignez-vous des pensées selon lesquelles vous allez revivre un passé qui a été marqué par une « erreur » et qui vous a changé.

    Même si vous voudriez revenir à ce que vous aviez avant, ce sera impossible.

     

     

    Il vaut mieux avancer que régresser

    Arrivés à ce point, ne vaut-il pas mieux avancer que régresser ? Le fait de vouloir retrouver un passé, et de faire comme si rien n’était arrivé est quelque chose d’impossible !

    Nous sommes en perpétuel changement dans tous les aspects de notre vie.

    Nous avons besoin d’avancer, d’apprendre de tout ce qui arrive autour de nous, de connaître encore plus les gens et, surtout, nous-mêmes.

    Vous ne cesserez jamais d’avancer, vous le ferez durant toute votre vie.

    Régresser est quelque chose d’impossible, et si vous vous y entêtez, vous ne trouverez que douleur et malheur.

    Courage

    Les problèmes de couple, pour beaucoup, peuvent être résolus. Pour cela, il est nécessaire que les deux personnes sachent que quelque chose a changé.

    La décision selon laquelle vous voulez continuer le chemin entrepris ensemble est entre vos mains. Il faut être réaliste et éviter de vouloir que tout soit comme avant.

    Il est important qu’en tant que couple vous passiez par certaines difficultés qui mettent à l’épreuve votre relation.

    Vous devez savoir les affronter ensemble, trouver des solutions et aller de l’avant main dans la main.

    Si vous ne voulez pas de ça, si vous ne voulez pas faire d’efforts, ne vaut-il pas mieux cesser de vivre dans le mensonge ?

    Remettez en question votre relation, si nécessaire. Personne ne vous oblige à ne pas être heureux, c’est quelque chose que vous décidez.

     

    Et vous, vous avancez ou vous régressez ?

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Éduquez les enfants au bonheur, non pas à la perfection

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il est logique de vouloir le meilleur pour ses enfants, mais il faut aussi savoir que la perfection n'apporte pas forcément le bonheur. Et le plus important est avant tout que les enfants soient heureux.
     
     
    Éduquez les enfants au bonheur, non pas à la perfection
     

    Les parents qui confondent éducation avec exigence et perfection, sont nombreux. Éduquer un enfant ne revient pas à lui payer la meilleure école, à lui faire parler trois langues et à lui donner une apparence irréprochable. 

    Ce que disent et répètent les études, c’est que les parents très exigeants produisent de graves carences dans la vie de leurs enfants. 

    Le plus probable est qu’ils arrivent à maturité en pensant qu’ils ne sont pas suffisamment bons, et qu’ils n’ont pas réussi à combler les attentes de leurs progéniteurs.

    Toutes ces idées pourraient se résumer en une relation simple : si l’on éduque des enfants parfaits, nous aurons des enfants tristes.

    Respectez leurs particularités, écoutez leur voix et inquiétez de savoir comment les rendre heureux.

    C’est ainsi que vous alimenterez leur cœur pour qu’ils deviennent des adultes libres. Nous vous invitons à réfléchir à cela.
     

     

     

    Le syndrome des parents exigeants : le danger d’éduquer dans la perfection

    Il existe une histoire curieuse qui peut illustrer cette idée à la perfection : à Rome, il existe une tombe datant de 94 av. JC, qui attire toujours l’attention des touristes.

    Sur la pierre tombale, on peut lire : “Ci-gît Quintus Sulpicius Maximus, un jeune romain qui vécut à peine 11 ans, cinq mois et 12 jours. Il est décédé quelques jours après avoir participé à une compétition de poésie pour adultes”.

    On sait que le petit Quintus avait un talent spécial. On dirait aujourd’hui que c’était un enfant aux fortes capacités.

    Ses parents l’emmenaient alors à toutes les compétitions de poésie, de littérature et d’art de Rome, pour concourir contre des adultes.

    On dit que l’enfant est mort d’un effondrement à cause d’un excès de travail et parce qu’il n’arrivait pas à satisfaire les attentes de ses parents.

    Cette histoire sert à de nombreux pédagogues pour nommer le « syndrome des parents exigeants ».

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    L’obsession d’avoir des enfants parfaits

    Beaucoup de parents rêvent d’avoir de beaux enfants, minces, et compétents dans de nombreuses disciplines pour qu’ils accèdent ainsi au succès professionnel.

    • L’erreur se trouve dans le fait d’orienter les petits uniquement vers le « futur », en oubliant que l’important pour les enfants est ici et maintenant : le bonheur de l’instant présent.
    • En tant que mères et pères, nous désirons le meilleur pour nos enfants, mais tout doit être mesuré. Les enfants doivent aussi profiter de leur enfance.
    • Il est nécessaire d’éduquer le cœur des enfants, il faut les guider, leur suggérer des choses et ne pas tracer pour eux des lignes directrices, basées sur nos propres désirs.

     

     

    Les clés pour adoucir le perfectionnisme dans l’éducation

    Le plus important est d’éviter le perfectionnisme nocif, celui qui nie à l’enfance, et qui n’apporte que souffrance. Pour cela, il faut tenir compte de ces principes :

    Les parents doivent faire attention à leur langage et à leur attitude

    Il y a des parents qui, sans être exigeants avec leurs enfants, les voient eux-mêmes s’infliger des choses de manière traumatique.

    Cela est dû au fait que dans le foyer, les enfants imitent nos attitudes et notre langage. Si nous-même somme critiques avec notre entourage et que nous avons des règles très strictes, les enfants peuvent aussi se les appliquer à eux-mêmes.

    Des mots comme“je me suis trompé au travail, je vais mourir, c’est une catastrophe” peut générer un grand impact chez un enfant.

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    Attention aux attentes que vous projetez sur votre enfant

    Nous allons vous donner un exemple : votre enfant est très content car il a eu une bonne note ! Au lieu de partager avec lui sa joie, vous lui dites que la prochaine fois, vous espérez encore mieux.

    Ce n’est pas adapté : appréciez ce que vos enfants font. Ils doivent connaître la valeur de l’effort mais sans devoir se sentir humilié s’ils n’obtiennent rien.

     

     

    Permettez-leur de triompher, mais également d’échouer

    • Une erreur ou un échec ne sont pas la fin du monde, mais une manière d’apprendre et de pouvoir se dépasser. Laissez vos enfants vivre ce qu’ils désirent et surtout laissez-les se tromper par eux-mêmes.
    • Cela forge la tolérance, la compréhension, l’estime de soi et la confiance. Un enfant qui a confiance en vous au point d’exprimer ses doutes et ses erreurs est un enfant qui se permet de se connecter à vous, et c’est un privilège.

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    Pour conclure, nous savons que nous vivons une époque de crise sociale et quenous avons besoin d’enfants bien préparés pour demain, pour qu’ils aient des opportunités dans leur vie et pour qu’ils créent un monde meilleur.

    Cela n’implique pas de laisser de côté les valeurs du bonheur, et de l’intelligence émotionnelle. C’est seulement ainsi que l’on pourra construire des adultes capables de donner le meilleur d’eux-mêmes.

    C’est un projet de vie dont nous sommes tous responsables : il faut éduquer dans le bonheur et non pas dans la perfection !

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • J’ai appris à dire «je m’aime» avant de dire «je t’aime»

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Se connaître soi-même, s'aimer et se respecter est la première chose pour débuter une relation affective saine. L'amour propre doit être la base pour pouvoir grandir ensemble.
     
     
    J’ai appris à dire « je m’aime » avant de dire « je t’aime »
     

    Dire « je m’aime » n’est pas un acte d’orgueil mais d’amour propre. Alors que l’orgueil dérive de nos peurs et de nos insécurités, l’amour propre se nourrit d’une auto-estime saine qui nous permet d’établir des relations plus saines.

     

    Quand nous parlons de relations affectives, il est très fréquent que l’auto-estime soit presque diluée dans les besoins et les désirs de l’autre. Nous finissons par penser que si l’autre personne se sent bien, tout va bien.

    Ce n’est pas facile d’établir une limite lorsqu’on parle d’amour. Nous marchons dans des espaces communs où tout se partage et où on renonce à beaucoup de choses personnelles, afin de trouver des compromis.

    À présent, ce à quoi nous ne devrions jamais renoncer, c’est à notre amour propre, nos valeurs et cet équilibre personnel grâce auquel nous nous sentons bien avec nous-même.

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    Dire je m’aime n’est pas un acte égoïste, mais un acte de force

    Cela vous est sûrement déjà arrivé, de dire « je ne veux pas ça pour moi » et que l’autre personne réponde : « tu es très égoïste ». Au lieu de vous sentir offensé, prenez conscience des choses suivantes.

     

    L’amour propre

    • L’amour propre nous permet d’établir une barrière de protection pour prêter attention à notre bien-être et à nos besoins.
    • L’auto-estime est une dimension qui doit se forger depuis l’enfance. Il est nécessaire que les parents offrent de la reconnaissance, de la valeur et de l’individualité à l’enfant pour qu’il ait une bonne image de lui-même et qu’il se sente en sécurité.
    • L’amour propre nous permet de dire « je m’aime » car nous nous sentons fiers de ce que nous sommes et de ce qui nous définit. 
    • Avec une bonne auto-estime, vous serez capable de savoir, et de comprendre ce qui vous fait du bien et ce que vous devriez éviter pour ne pas tomber dans l’abîme de la dépendance ou de la souffrance.
    • Vous n’avez pas besoin des approbations extérieures ni que personne ne vous dise ce que vous devez faire pour être heureux.

     

    L’orgueil

    • Une personne orgueilleuse s’idéalise elle-même tout en niant ses propres fragilités et carences.
    • Elle cherche à se sentir supérieure aux autres pour se défendre, pour cacher sa faible estime d’elle-même, son insatisfaction, et ses problèmes affectifs. 
    • Il est fréquent que les personnes orgueilleuses aient un caractère fort et un peu arrogant. Elles n’ont pas beaucoup d’empathie et une mauvaise connaissance d’elle-même.
    • Elles imposent qu’on les « respecte » alors qu’elles ne se respectent pas, car elles n’écoutent pas leur manque d’auto-estime, leurs besoins émotionnels et leurs attitudes défensives et nocives vis à vis de l’entourage.

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    Les choses que vous devez faire avant de débuter une relation affective

    Nous savons que parfois, l’amour arrive au moment où on s’y attend le moins. Nous ne pouvons pas toujours contrôler de qui nous tombons amoureux, mais pour pouvoir établir un filtre adapté, il est nécessaire de développer certaines dimensions personnelles.

    Selon un article intéressant publié dans la revue Psychologie Today, nous devrions prêter attention à ces 4 dimensions :

    Vous prenez note ?

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    Se comprendre soi-même

    Nous savons que cela paraît très philosophique et transcendantal mais se connaître soi-même est l’unique manière de savoir ce qui nous rend heureux, et ce que nous ne voulons pas dans la vie. 

    Il y a des personnes qui préfèrent se laisser porter, et mettre entre les mains des autres leur bonheur, sans savoir qu’il part avant tout de soi-même. Il est nécessaire d’en tenir compte.

    Apprenez à connaître les autres

    Nous savons que ce n’est pas simple : Comment savoir si cette personne qui m’attire est fiable et si elle saura construire avec moi une relation heureuse et durable ?

    • Écoutez sa maturité émotionnelle, et sa capacité sincère à se connecter à vous sans trop penser à elle.
    • Observez si son caractère est stable, si elle a des rêves et non pas des rancœurs, et si ses exigences altèrent l’auto-estime des gens qui font partie de sa vie.

     

    Séparez-vous psychologiquement de votre famille

    • Laissez de côté l’approbation constante de votre famille à chaque fois que vous commencez un nouveau projet ou une nouvelle relation.
    • Vous devez construire le bonheur vous-même, et si à un moment donné, vous renoncez à une personne parce que vos parents ne l’approuvent pas, vous le regretterez longtemps.
    • Prenez vos propres décisions, profitez pleinement de la vie et faites-en part à votre famille sans pour autant avoir besoin de son accord.

     

    Expérimentez le plaisir d’être seul avant d’être en couple

    • Il ne s’agit pas d’être physiquement seul à tout moment, mais d’être libre pour apprendre de tout, pour participer à de nombreux contextes, situations et expériences, et pour mieux nous connaître et profiter de la solitude.
    • Qui craint d’être seul projette sur son conjoint le besoin de palier cette peur, contrôle tout et construit une relation souvent basée sur la crainte de l’abandon.

     

    Cela n’en vaut pas la peine. Avant de dire « je t’aime », il est important de se dire à soi-même “je m’aime » pour construire un projet plus fort, plus vivant et plus équilibré émotionnellement.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • J’ai appris à être fort quand j’ai compris

    que je devais me lever seul

     
     
     
     
     
     
     
    Même si cela semble difficile, nous ne pouvons compter que sur nous-même, et pour cela, nous devons apprendre à vaincre les adversités, à nous valoriser et à prendre soin de nous-même, par-dessus tout le reste.
     
     
    J’ai appris à être fort quand j’ai compris que je devais me lever seul
     

    Pour être heureux, il faut tout d’abord apprendre à être fort et pour cela, il est nécessaire de comprendre que nous sommes les seuls responsables de cette réussite.

     

    Personne ne va vous apporter de l’air pour que vous respiriez, et personne ne va vous donner la force de vous lever le matin.

    La force est une association d’énergie, de motivation, d’estime de soi et de rêves.

    Ce sont les quatre piliers qui peuvent être altérés par des facteurs externes comme une relation toxique, des périodes très longues de stress ou d’anxiété, ou des déceptions quotidiennes que l’on n’affronte pas de manière adaptée.

    Dans cet article, nous vous invitons à réfléchir à cela pour appliquer des stratégies simples grâce auxquelles vous pourrez mieux gérer les complications de la vie.
     

     

     

    Quand la vie vous demande d’être fort

    Voici une phrase très connue du physicien Stephen Hawking : “Se plaindre est inutile et c’est une perte de temps ».

    Nous avons le droit de nous plaindre, mais lorsqu’on se retrouve face à une situation complexe et difficile, il n’y a pas d’autre remède : nous seul pourrons nous sortir de l’abîme.

    Le soutien des nôtres, de la famille, des amis et des institutions sociales est indispensable, mais l’étape vers l’amélioration et la conviction que nous devons être courageux est un acte qui doit provenir des profondeurs de notre cœur.

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    Personne ne choisit d’être fragile. Ce sont les circonstances qui nous « frappent » pour nous mettre à l’épreuve.

    Face à ces moments d’adversité, il est nécessaire de changer nos pensées et de mieux gérer notre monde émotionnel.

    Nous vous encourageons à appliquer ces petites stratégies simples, à partir desquelles vous pourrez réfléchir pour apprendre à être fort quand la vie vous met à l’épreuve.

     

     

    Ayez confiance en le changement : être fort ne dépend que de vous

    Qui vous aime peut vous donner la main pour vous aider à vous remettre debout, mais si vos jambes ne vous tiennent plus et que votre esprit vous dit que vous préférez rester au lit, l’aide des autres ne servira à rien.

    Être fort dépend de vous et pour réussir, il faut commencer à appliquer des changements quotidiens simples :

    • Ayez un dialogue interne positif chaque jour. Efforcez-vous de mieux vous alimenter ou de faire du sport et surtout, à partir de maintenant, oubliez les “ce n’est pas possible », « aujourd’hui, je ne peux pas », « je m’en vois incapable », « ce n’est pas pour moi ». 
    • Changez vos pensées et vous changerez vos émotions. Jour après jour, vous vous sentirez plus assuré émotionnellement.

     

     

    Acceptez et comprenez que la vie, c’est aussi renoncer et laisser partir

    Une autre idée qui se vend beaucoup dernièrement dans les livres est le besoin d’arrêter de s’accrocher aux choses et aux personnes. Nous savons bien que ce n’est ni simple ni réaliste.

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    • Nous nous accrochons aux personnes que nous aimons car c’est ainsi que nous concevons le bonheur. Donner et recevoir est le sens maximum de la joie et il est donc quasiment impossible de ne pas nous accrocher à notre famille, nos enfants et notre conjoint.
    • Toutefois, il s’agirait plutôt de comprendre que dans la vie, rien n’est sûr, et que ce que nous avons aujourd’hui, nous pourrions bien le perdre demain.
      Apprendre à renoncer et à laisser aller est une chose à laquelle nous devrions tous être préparés.
    • L’acceptation de la douleur et de la séparation est la clé pour réajuster notre vie.“J’accepte que tu ne m’aimes plus, ça me fait mal, mais je comprends que je dois aller de l’avant, continuer seul, en étant fort et en m’aimant”.

     

     

    Prenez soin de vous et gratifiez-vous

    Les meilleurs soins ne sont pas ceux que les autres vous prodiguent, mais ceux que vous vous apportez à vous-même.

    Qu’est-ce que cela veut dire ? Pensez quelques secondes à cela :

    • Si nous nous disons à nous-même que la vie ne va rien nous offrir de bon, que notre train est déjà passé et que l’amour, le respect ou la joie n’apparaîtront plus jamais dans notre réalité, nous nous auto-sabotons.

    Et plus encore : « il n’y a pas pire ennemi que ses propres pensées ».

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    • Changez d’attitude et vous changerez votre vie. Arrêtez de penser d’abord aux autres, et soyez conscient que si vous ne prenez pas soin de vous, personne ne va le faire.

    Si nous ne nous montrons pas de respect, nous repousserons considérablement les limites et les autres profiteront de nous.

    • Pensez aussi à cette question : Quand vous êtes-vous félicité pour la dernière fois ? Pour être fort, il est nécessaire de comprendre que nous méritons d’être heureux, de profiter et de nous offrir des émotions positives :
      • Sortez marcher, permettez-vous de profiter du « ici et maintenant », prenez conscience de ce qui vous entoure, et de la lumière.
      • Faites-vous un cadeau simple : un déjeuner, une après-midi à la plage, une nouvelle robe, une nouvelle coupe de cheveux, une sortie entre amis.

     

     

    Les moments de joie nous rappellent le besoin de préserver ce que l’on aime, et ce pour quoi on lutte. Soyons forts !

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Dans vos pires moments,

    vous saurez qui mérite d’être présent lors des meilleurs

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Ces personnes qui nous aident à ne pas tomber plus bas lors des moments compliqués, celles qui nous offrent leur temps et leur tendresse sans rien demander en échange sont aussi celles qui doivent partager nos moments de joie lorsque nous atteignons nos buts.
     
     
    Dans vos pires moments, vous saurez qui mérite d’être présent lors des meilleurs
     

    Le temps est le meilleur cadeau que nous pouvons faire aux personnes que nous aimons.

    Empaqueté ou non, c’est notre ressource la plus précieuse, car nous ne pouvons ni l’inter-changer, ni l’offrir à n’importe qui.

     

    D’une manière ou d’une autre, nous choisissons à qui nous le donnons et nous remercions les personnes qui nous le donnent, surtout si elles le font avec plaisir et sans rien demander en échange.

    Cette reconnaissance est encore plus forte quand les personnes que nous aimons partagent avec nous des moments où nous souhaitons qu’elles soient là.

    Dans la vie, il est merveilleux de compter sur des gens qui sont là quand nous en avons besoin.

    Avec leur présence, leurs mots, leurs câlins et les silences partagés, elles remplissent ce vide qui parfois nous pèse tant.

    Elles nous soutiennent quand nous glissons au bord du précipice et que nous sommes sur le point de commettre des erreurs dans notre parcours de vie.

     

     

    Nos PROCHES, avec des majuscules et avant tout

    Calin-entre-amies

    Ces personnes qui nous soutiennent nous permettent de nous dépasser par le simple fait qu’elles ne veulent pas que nous soyons loin, même quand nous ne sommes pas de la meilleure compagnie, puisque nous portons en nous un virus très contagieux : le découragement.

    Le désespoir est un agent pathogène qui est très difficile à chasser, quand il nous transperce les os.

    Ainsi, qui reste à nos côtés en comprenant ce risque est celui qui nous apprécie vraiment.

    De plus, ce sont les seules personnes qui peuvent être conscientes de tout ce que nous ont coûté nos objectifs, de l’éphémère qu’est cette métamorphose et du prix que nous avons dû payer pour nous relever.

    Ces personnes sont celles qui nous ont écouté quand nos yeux se remplissaient de larmes, celles qui ont stoppé les coupes que nous avons essayé de nous donner par peur de souffrir encore plus.

    Les moments difficiles sont donc la main de ce dessinateur réaliste qui retranscrit à quel point les personnes que nous apprécions sont importantes.

    Une sorte de trident avec lequel les agriculteurs travaillaient dans le temps pour séparer la paille du blé.

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    Dans les moments compliqués, le soutien pousse vers l’avant

    Le degré d’automatisation qui existe dans nos vies est très grand. Si nous comptions le nombre de tâches qui, tout au long de la journée, nous faisons sans réfléchir, nous en resterions cois !

    Nous nous levons, nous nous douchons, nous nous séchons, nous nous habillons, nous petit-déjeunons.

    Nous pouvons ainsi passer toute la journée sans nous en rendre compte, sans nous connecter même un moment à notre conscience et à notre réalité.

    Cependant, si les mauvais moments sont mis en relief, c’est bien parce que cette automaticité se déconnecte.

    Ici, ce qui nous paraît facile dans un état normal devient un mur très compliqué à escalader dans un état de tristesse ou de découragement.

    Face à cet exercice continu d’efforts, le fait d’avoir des personnes dans son entourage, disposées à nous prêter des forces non seulement réconforte mais rend aussi ces tâches plus faciles.

    La PRÉSENCE ne requiert pas de grands gestes, ni de visites de politesse, c’est une compagnie, quelques mots d’encouragement, un peu d’air.

    Maux-de-tete

    Il n’est pas facile de soutenir quelqu’un pendant les mauvais moments

    La tristesse ne rend pas les personnes agréables ou attirantes. Peut-être qu’elle les inspire pour écrire ou peindre des tableaux, mais elle les rend plus introverties et étourdies.

    Leur regard est plus tourné vers l’intérieur et elles semblent uniquement se connecter avec nous quand nous partager leurs centres d’intérêt.

    Elles deviennent exigeantes, elles pensent que le monde leur doit beaucoup. En termes d’argent mais aussi de personnes alentour.

    Il est très facile, dans les cas de frustration, de se décharger contre les autres, au lieu de demander des comptes au destin.

    D’autre part, leur manque d’attention se traduit par un manque d’attention des besoins et des problèmes des autres.

    Peut-être que tout s’écroule autour d’elles, mais elles ne s’en rendent même pas compte car leur attention est portée sur autre chose.

    Il se peut aussi que, même si cela passe inaperçu, l’amertume qu’elles sentent à ce moment les empêchent d’être empathiques avec les autres.

    Femme-avec-papillons-sur-la-poitrine

    Célébrer les bons moments, c’est remercier

    Si offrir son temps et le partager c’est faire un cadeau, inviter à une célébration est également une manière de remercier.

    Un symbole de reconnaissance aux personnes qui, dans l’ombre, ont été présentes et nous ont permis de rebondir pendant les moments où la tentation était très grande.

    Célébrer, même si c’est un beau symbole, n’est pas forcément bien considéré socialement.

    C’est comme si le fait de partager notre joie pour une réussite nous faisait passer pour une personne égocentrique qui aime se vanter de ses réussites.

    La célébration est associée au manque de prudence et de sérieux, au cafouillage des instincts et des émotions.

    Souvent on la réprime car on pense que même si on a atteint un objectif important, il reste encore des aspects de notre vie qu’il faut améliorer et atteindre.

    Nous ne baissons pas souvent les bras par peur de gêner le voisin mais quand nous célébrons, il semblerait que quand nous célébrons quelque chose, nous lui imposons notre bonheur en pleine face.

    Attendre

    Alors, quand nous réprimons ce bonheur, nous nous punissons nous-même, alors que nous avons atteint un objectif exceptionnel.

    Nous disons aux personnes qui nous accompagnent que malgré leurs efforts et les réussites, il n’y a pas de place pour la joie.

    Les fêtes ne sont pas seulement quelque chose dont il faut abuser pendant la jeunesse et qu’ensuite on oublie.

    Au contraire, les célébrations sont nécessaires car la vie et les amis, les vrais, sont toujours aussi dignes et courageux qu’avant.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Aujourd’hui, je vais être égoïste, je vais prendre soin de moi

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    On nous a toujours appris à ne pas être égoïste, mais il arrive un moment où nous devons l'être pour ne pas que l'on profite de nous et pour pouvoir être heureux.
     
     
    Aujourd’hui, je vais être égoïste, je vais prendre soin de moi
     

    Être égoïste, c’est une expression pleine de connotations négatives. Être égoïste n’est pas bien vu : les autres nous considèrent mal et avec mépris.

     

    Être égoïste signifie que l’on ne sait pas partager, et que l’on ne pense qu’il n’y a que nous d’important dans le monde.

    On nous appris à ne pas être égoïste, mais cela nous a mené à l’extrême inverse, car aujourd’hui, nous donnons trop de nous.

    Les extrêmes ne sont jamais bon et il faut donc trouver l’équilibre entre la générosité et l’égoïsme, car oui, vous êtes important, vous devez apprendre à prendre soin de vous-même.

     

     

    La première personne : moi

    Peut-être que vous vous êtes déjà retrouvé face à une situation où vous vous êtes dit : « c’est terminé, maintenant, je vais être égoïste, je vais penser à moi ».

    Cela arrive quand nous passons beaucoup de temps à penser aux autres, à vivre pour les autres, et que nous nous oublions.

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    Vous vous sentez sûrement mal à l’aise si vous prononcez le mot « non », si vous n’êtes pas présent quand quelqu’un a besoin de vous… Il est probable que vous vous sentiez coupable alors que vous ne devriez pas.

    Cela doit changer, vous devez apprendre à être égoïste.

    Vous avez remarqué que les autres ne sentent pas coupables alors que vous, si ? Peut-être que vous vous êtes rendu compte que quelqu’un profitait de votre bonté ?

    Être généreux et placer les autres en priorité peut faire qu’ils nous manipulent pour toujours avoir ce dont ils ont besoin.

    Vous devez commencer à penser à vous car vous êtes important. Vous ne devez pas toujours vous sacrifier pour les autres.

    L’égoïsme n’est pas négatif, car il est justifié dans ce cas. Tout donner vous rend heureux ou vous fait-il du mal, au contraire ?

     

     

    Je m’accepte et je me respecte

    Si vous ne vous acceptez ni ne vous respectez, que croyez-vous que les autres feront de vous ? Il y plein de choses dont vous devez vous occuper pour les autres ?

    Il est clair qu’être généreux fait du bien, mais il arrive un moment où la vie devient uniquement celle des autres.

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    Vous ne savez plus qui vous êtes, votre bonheur ne dépend que du reste. Vous essayez de faire plaisir aux autres car vous ne supportez plus votre mauvaise mine.

    Parfois, vous tombez même dans une dépendance où le bonheur n’est pas réel mais factice.

    Respectez-vous et acceptez-vous car c’est là que ce trouve le bonheur.

    Quand vous saurez vous accepter et vous respecter, vous vous rendrez compte quevous n’aurez pas besoin de toujours vous inquiéter pour les autres.

    Vous avez votre propre vie et il est normal d’essayer d’aider les autres.

    Mais, tout le monde a ses propres problèmes et même si c’est dur à entendre, il faut les vivre.

    Les problèmes nous rendent plus forts, et nous remplissent d’expériences. Pensez aux personnes qui sont dans votre vie, font-elles la même chose que vous faites pour elles ? Peut-être que vous donnez trop aux autres.

    Il est important de tout d’abord penser à soi.

     

     

    Si vous donnez, vous méritez de recevoir

    Dans notre esprit, nous connaissons le concept de donner mais pas celui de recevoir.

    Pourtant, si l’on offre son aide ou que l’on veut faire une bonne action, une récompense en retour doit toujours être la bienvenue.

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    Il est possible de recevoir d’une manière différente que celle que nous utilisons pour donner. Mais pour recevoir, nous devons nous permettre de penser à nous-même et accepter de recevoir.

    Nous devons toujours nous mettre en priorité, nous devons être un peu égoïste et penser avant tout à nous-même.

    Pour beaucoup de gens, cela n’est pas admissible. Pourtant lorsque vous êtes trop disponible pour les autres, comme nous l’avons dit, la manipulation peut apparaître facilement.

    Pensez que les personnes, si elles savent qu’elles vous ont tout à elles, peuvent abuser de vous d’une manière ou d’une autre.

    Si vous êtes dans cette situation où vous n’avez plus qu’une solution, être égoïste, c’est que cela devient extrêmement nécessaire.

    Vous vous autorisez à penser à vous même car vous avez déjà donné bien trop.

    Vous aussi êtes important, vous devez vous respecter et vous accepter.

    Si vous ne vous apportez pas d’estime, personne ne le fera, ni vous ne vous inquiétez pas de votre état, personne ne le fera pour vous. 

    Si quelqu’un vous traite d’égoïste parce que vous vous respectez et vous vous valorisez, pensez quand même d’abord à vous-même, avant les autres, car vous aussi « vous vous méritez ». 

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Il n’existe pas de meilleur calmant que le câlin

    qui vous éloigne des peurs

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Faire un câlin et recevoir un câlin peut être le meilleur médicament, le plus puissant, celui qui calme, qui fait oublier les insécurités et éloigne les peurs qui nous paralysent.
     
     
    Il n’existe pas de meilleur calmant que le câlin qui vous éloigne des peurs
     

    Qu’est-ce que c’est agréable de sentir un câlin qui nous remplit de la tête aux pieds, qui allume notre lumière intérieure, qui nous fait fermer les yeux, nous sentir sur un nuage et qui nous comble au plus profond de notre être.

     

    Un câlin est un geste qui brise les peurs, qui recompose, qui construit du lien, qui détend et qui aide à conserver le calme.

    La chaleur que l’on transmet à travers un câlin est comparable à la chaleur d’un foyer car on sent qu’on est à la maison, une maison faite de chair et d’os.

     

     

    Un câlin, meilleur médicament pour les douleurs de l’âme

    Calin-chaud

    Quoi qu’il nous arrive, sentir la chaleur de quelqu’un que nous apprécions à travers un câlin est essentiel pour notre guérison et notre bien-être lorsqu’on traverse une mauvaise passe. Quelque chose de très simple, mais compliqué à la fois.

    Un petit câlin peut sécher beaucoup de larmes, un petit mot plein d’amour peut nous remplir de bonheur et un petit sourire peut changer le monde.

    Ce sont de petites choses grâce auxquelles se construit notre monde car elles le remplissent de paix et d’amour…

    Le câlin est un super pouvoir que nous possédons tous, un grand remède de guérison pour les douleurs d’une âme brisée par une réalité difficile, par une tromperie, une trahison ou un abandon.

    C’est pour cela que dans la mesure du possible, nous devons faire usage du meilleur anxiolytique à notre portée, un délice d’amour, une conjuration, une rencontre entre deux corps qui s’offrent de la tendresse, de la compagnie et de la chaleur.

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    Les câlins qui brisent toutes nos peurs

    Il y a une vérité dans laquelle deux âmes se lient et s’offrent de la sécurité pour faire face aux obstacles, pour promouvoir une grande force face à la vie, pour fonder les bases solides de nos sourires.

    Ces câlins qui nous aident à faire face à l’adversité, qui nous éloignent de la solitude et qui nous remplissent de joie.

    Ces grandes embrassades qui se donnent avec tant de force qu’elles semblent nous briser alors qu’elles nous recomposent.

    Sans aucun doute, le câlin est une connexion spéciale qui stoppe le temps et redonne l’harmonie, qui transmet un message qui assainit, qui est la meilleure thérapie pour rénover les sentiments, calmer les émotions et communiquer avec les autres et nous-même.

    Fondre nos corps dans un câlin nous aide à être plus patient, à nous détendre et à nous sentir aimé, ce qui contribue au renforcement de l’estime de soi, de l’amour propre et de notre capacité à résister face à la difficulté et les peurs. 

    Calin-entre-amies

    Prenez-vous dans les bras, c’est indispensable pour survivre

    Avez-vous déjà soulagé vos tristesses grâce à un câlin ? Il vous a apporté de la chaleur ? Vous êtes-vous félicités de vos réussites en vous prenant dans vos bras ?

    Ce câlin intime et propre est indispensable pour être bien nourri, pour faire tomber nos carapaces, pour nous éloigner du froid et pour travailler l’art de l’amour propre qui nous rapproche de l’authenticité. 

    A travers ces câlins, nous nous ouvrons à nous-même, nous nous lions avec l’extérieur de l’intérieur et nous sommes capables de nous émouvoir. C’est simple, si vous prenez dans vos bras, vous prenez votre vie dans vos bras.

    Ainsi, on pourrait dire que si on prend ceux qu’on aime dans nos bras et qu’eux nous prennent dans leurs bras, nous sentons de la reconnaissance.

    C’est la base de notre construction, nous câliner pour libérer nos émotions et nous rapprocher des belles choses de la vie.

    Car grâce au costume du câlin, nous nous protégeons de l’amour faux, de la dépendance, de l’idéalisation excessive et de tout ce qui nous appauvrit, nous fragilité et altère notre courage et notre bonté. 

    Amour-enfants

    Un câlin qui éloigne les tristesses du corps

    À de nombreux moments de notre vie, les câlins sont ce que fait la différence.Mieux vaut ne pas poser de question aux yeux tristes, car c’est juste un câlin dont ils ont besoin.

    Quand une personne va mourir, elle ne regrette pas d’avoir été autant prise dans ses bras, d’avoir elle-même pris dans ses bras, d’avoir aimé et d’avoir transmis de l’énergie et de la tendresse.

    À ces moments, nous regretterons peut-être d’avoir négligé les personnes que nous aimons, d’avoir tant travaillé et de ne pas avoir offert de démonstrations d’affection et de tendresse chaque jour.

    C’est une grande leçon, il faut se câliner plus, car ce sont des moments nécessaires, ce sont les vitamines qui nous donnent de l’énergie, au corps et à l’esprit. C’est quelque chose que nous regretterons jamais. 

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • La dépression et l’anxiété sont des signes de lutte,

    non pas de fragilité

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Les problèmes émotionnels ne sont pas un choix, et personne ne souhaite traverser une dépression, ni passer par des moments d'anxiété. Ils peuvent surgir à la suite d'une période d'accumulation de situations et de circonstances compliquées.
     
     
    La dépression et l’anxiété sont des signes de lutte, non pas de fragilité
     

    On pense souvent que l’anxiété et la dépression sont des signes de fragilité et d’incapacité dans la vie.

    Cependant, une personne qui souffre d’anxiété, de dépression ou de symptômes mixtes N’EST PAS folle ni faible ou inférieure.

     

    C’est triste et épuisant de devoir argumenter à ce propos mais c’est une réalité sociale que nous ne pouvons pas nier.

    Alors, malgré les avances de la science, l’inconscient moderne de la société pense encore que les problèmes émotionnels et psychologiques sont synonymes de fragilité et de vulnérabilité.

    C’est pour cela que la dépression et l’anxiété ne se regardent pas comme des blessures qui ont besoin d’attention mais comme des états où l’on va réagir de la sorte : “détend-toi”, “ce n’est pas grave”, “commence à oublier, la vie, ce n’est pas ça”, “Il n’y aucune raison de pleurer”, “Commence à mûrir”, etc.

    Ça vous parle non ? De fait, il est probable qu’à un moment, vous ayez été le bourreau ou la victime de ce type de discours.

    C’est pour cela qu’il est important de faire un exercice de conscientisation et de donner à la douleur émotionnelle toute l’importance qu’elle a.

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    Ainsi, de la même manière que nous n’ignorerions pas une douleur lancinante à l’estomac ou une migraine, nous ne devrions pas ignorer la douleur émotionnelle. 

    Nous ne pouvons pas laisser les blessures émotionnelles sans soins et nous devons travailler sur elles et trouver leur sens, qui entraînent les symptômes.

    C’est-à-dire que nous devons consulter un psychologue qui nous aide et nous apporte des stratégies pour faire face à cette grande douleur émotionnelle, qui entraîne anxiété et dépression.

    Si l’on suit cet exemple, tout comme le fait d’arrêter de consommer du lactose si on se rend compte qu’on est intolérant, nous devons arrêter de « consommer » ces pensées et ces circonstances qui infectent nos blessures émotionnelles.

    Les bandes et les rustines ne fonctionnent pas : nous devons nous laver et nous assainir.

    Dans cet article, nous souhaitons vous démontrer que ces sensations liées aux problèmes émotionnels sont normales.

    Entrons dans le vif du sujet pour les comprendre et en prendre conscience…

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    L’anxiété, un voyage néfaste sur des montagnes russes

    Les sensations dont nous souffrons à cause de l’anxiété sont très similaires à celles que l’on ressent sur les montagnes russes quand nous commençons à nous sentir mal.

    Mettons-nous en situation. Nous sommes allé passer la journée dans un parc d’attraction où se trouvent des montagnes russes incroyables que nous avons décider de faire.

    Pour cela, nous devons attendre notre tour dans une queue immense.

    La journée est chaude et le soleil tape fort sur notre tête, ce qui entraîne des douleurs et un mal être physique.

    Nous nous sentons fatigué et nous n’avons plus envie de monter dans le wagon mais nous le faisons car nous sommes venus pour en profiter.

    Une fois qu’on est dedans, notre cœur commence à battre très fort, tout tourne autour de nous, les wagons font des saltos arrières, nous entrons dans des tunnels sombres et nous nous faisons attaquer de partout.

    Main-attrape-pantin

    Notre respiration s’accélère et notre cœur s’emballe. Nous sentons que d’un moment à l’autre, nous allons défaillir.

    Nos sensations sont désordonnées, quelque chose appuie sur notre poitrine, nous restons immobiles, sans pouvoir réagir.

    Nous ne pouvons pas nous empêcher de penser à des choses négatives. Nous crions, nous pleurons, nous nous plaignons, mais personne ne nous entend, pas même nous-même.

    Nous demandons désespérément que ça s’arrête et nous nous voyons mourir.

    Cependant, nous n’arrivons pas à arrêter le wagon car celui-ci s’arrête uniquement quand les minutes programmées pour le voyage sont passées.

    Une crise d’anxiété s’apparente à un voyage malheureux sur des montagnes russes.

    D’un moment à l’autre, il s’arrête mais nous ne savons pas quand ni comment, alors avoir un contrôle sur cette incertitude est compliqué.

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    La dépression, l’obscurité de l’âme

    Qui souffre de dépression sent que tout s’enveloppe de brouillard autour.

    Petit à petit, on perd ses rêves, rien ne nous anime ou nous motive, nous avons du mal à étudier ou à aller travailler, et nous nous sentons immensément triste ou irritable.

    La dépression est la goutte d’eau qui fait déborder le vase, un verre qui se trouve tout en haut des situations et des circonstances compliquées qui nous ont ébranlées et qui nous font bouger.

    C’est pour cela qu’il est important de, dès que nous nous rendons compte que quelque chose va mal, nous consultions un professionnel pour qu’il nous soutienne et apporte de la cohérence émotionnelle à ce qui nous arrive.

    Avoir des problèmes émotionnels n’est pas un choix. Une personne dépressive ne dit pas : “Je veux me sentir mal et je m’octroie un peu de tristesse pour voir si je me noie en elle”. Cela ne fonctionne pas comme ça. De fait, cela peut nous arriver à tous.

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    Personne n’est à l’abri des griffes de la dépression et de l’anxiété

    La dépression et l’anxiété ne sont pas des signes de fragilité mais de force.

    Ces problèmes émotionnels n’apparaissent pas du jour au lendemain, mais se mijotent dans les stries de l’enfer de la vie, dans les difficultés et dans l’épuisement émotionnel.

    Ce ne sont pas non plus les conséquences d’un choix personnel. Nous ne pouvons pas décider si nous voulons ou pas qu’ils nous accompagnent.

    Ces deux problèmes émotionnels dérivent de la lutte contre les difficultés de la vie qui nous accompagnent et du fait d’avoir été si fort pendant si longtemps.

    Il ne faut pas oublier cela : personne n’est à l’abri de l’anxiété ou de la dépression à un moment de sa vie, que ce soit directement ou indirectement.

    Prêtons attention aux autres, comprenons ces problèmes et surtout, ne les jugeons pas…

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Valorisez les personnes quand elles sont près de vous,

    pas quand vous les perdez

     
     
     
     
     
     
     
     
    Au lieu de penser à ce que l'on a perdu, il faut apprendre à profiter et à valoriser ce que nous avons encore et qui se trouve à nos côtés en ce moment.
     
     
    Valorisez les personnes quand elles sont près de vous, pas quand vous les perdez
     

    Tout au long de la vie, nous perdons beaucoup d’êtres aimés. 

     

    Nous ne parlons pas seulement de décès car sur le chemin de la vie, des êtres significatifs nous ont dit adieu ou se sont éloignés de nous pour disparaître complètement, quelles qu’en soient les raisons.

    Quand on perd quelqu’un, s’ouvre une période de recueillement et de réflexion où l’on essaie de chercher une raison à ce qu’il s’est passé.

    La manière dont nous dépassons ce moment et les conclusions que nous en tirons nous servent d’aide pour affronter le futur, d’une manière ou d’une autre.

    Dans cet article, nous vous invitons à réfléchir à cela.

     


     

    Ce que vous perdez ne vous permet pas toujours d’avancer « plus léger »

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    Sur ce site, nous vous parlons souvent du besoin « d’avancer léger », de laisser de côté les relations complexes qui, au lieu de nous équilibrer, nous éloignent du bonheur.

    À présent, il y a quelque de très important : il faut s’éloigner de ce qui fait du mal pour savoir offrir le meilleur de nous-même aux personnes que nous aimons dans « l’ici et maintenant », sans attendre le grand soir ou certaines choses en particulier.

    • Aujourd’hui, la société se construit avec des critères de rapidité et fragilité du lien.
      Nous voulons tout et tout de suite, et nous ne tolérons pas la frustration, qu’on nous dise « non » ou que certaines choses ne soient pas comme nous les attendions.
    • Ces dernières années, un mouvement social appelé « Slow » (lent) est apparu.
      Il prône le besoin de ralentir nos rythmes et de vivre ses relations avec une plus grande plénitude, en appréciant les choses les plus basiques et simples de la vie. 
    • Des aspects comme la concentration dans le travail, le besoin de dépasser les choses, d’obtenir d’autres choses et d’accumuler ces mêmes choses nous fait perdre la valeur de cet amour pur et essentiel dans nos relations personnelles.
    • Si on maintient ce style de vie, nous finissons par perdre ce que nous considérons comme étant vraiment important. Et ce que l’on perd, c’est une blessure qui reste à jamais dans le cœur.

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    La hâte est le plus grand ennemi de la pleine conscience, de cette attitude face à la vie qui permet d’aller plus lentement et d’apprécier chaque aspect qui nous entoure, et les personnes qui nous sommes chères.

    Les liens forts s’alimentent de tendresse sincère et de reconnaissance. Si les personnes qui nous entourent ne ressentent pas cela, nous courons le risque de les perdre.

    Les relations ont besoin d’être nourries et respectées, et pour cela, il est important de réduire le rythme et de regarder ce que nous avons devant nous.

     

     

    Vivre en étant conscient de ce qui est important

    Cela peut paraître évident mais tout le monde n’est pas capable d’établir des priorités dans sa vie et plus s’occuper des choses importantes que des choses secondaires.

    Nous savons que nos obligations professionnelles, par exemple, sont essentielles pour avoir une famille et une vie digne.

    Mais parfois, nul besoin d’aller si haut ou si bas car le stress ou la pression peut nous faire perdre la santé, et même ceux que nous aimons.

    • La vie, c’est savoir maintenir un équilibre et être capable de réorganiser notre attention, nos intérêts et notre motivation envers des choses quipeuvent nous enrichir « non pas matériellement » mais émotionnellement.
    • Nul besoin de penser à “je vis aujourd’hui comme si demain n’existait pas, ou j’embrasse mes enfants comme si c’était la dernière fois ». Il ne faut pas tomber dans ces pensées fatalistes. Il s’agit tout simplement de nous permettre de profiter du présent au maximum. 
    • Tout perte se vit avec de la souffrance. Même les séparations nécessaires débouchent sur des périodes d’introspection où nous devons guérir nos blessures. Ainsi, pour prévenir ces situations, il faut se préparer.
    • Nous devons comprendre que dans la vie, rien ne prévaut pour toujours. Nous sommes de brefs passagers dans un monde plein d’incertitudes.
    • Si l’existence est soi quelque chose de cruel car elle nous apporte des fatalités, cela vaut la peine de s’intéresser à l’espace « contrôlable », sur lequel on a un impact.
      Si vous aimez quelqu’un, prenez soin de lui et démontrez-lui vos sentiments pour qu’il ne s’éloigne pas de vous.

    Calins-500x336

    Nous ne parlons pas seulement des relations de couple. Tout lien demande de l’attention : offrez de l’attention, de la tendresse et du respect à vos enfants pour que demain, quand ils seront adultes, ils aient toujours une raison de revenir à vos côtés.

    Faites la même chose avec vos amis et vos autres proches.

    Si vous aimez quelqu’un, valorisez-le quand il est prêt de vous, ou vous courrez le risque de vous lamenter de ce que vous avez perdu.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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