• Certains ont si peu qu’ils n’ont que de l’argent

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    À quoi nous sert d’avoir des millions dans notre compte en banque si nous n’avons personne à nos côtés avec qui le partager et en profiter ? Nous devons apprendre à établir des priorités et à mettre chaque chose à sa place.

     

    Il est fort possible que cette phrase choque nombreux d’entre vous, car il est évident que nous avons besoin d’une rétribution financière pour vivre, et qu’un porte-monnaie fourni nous évite bien des tracas.

    Cependant, l’argent n’est pas toujours synonyme de bonheur.

    Certaines personnes sont si pauvres en émotions, joies, amitiés et tendresse que la seule chose de valeur qu’elles possèdent est l’argent.

    C’est un fait que nous ne devons jamais oublier et sur lequel nous devons réfléchir longuement, car nous nous rendrons compte qu’une grande partie d’entre nous rêve précisément de voir un numéro élevé suivi d’une ribambelle de zéros sur son relevé bancaire.

    Que vous soyez de ceux qui pensent que l’argent est source de bonheur ou que vous adhériez au camp adverse, nous vous invitons à réfléchir à ce thème dans l’article suivant.

     

    L’argent et le double visage du bonheur

    C’est un point sur lequel nous ne serons d’accord, ni nous ni les psychologues, sociologues ou anthropologues. Cela est d’autant plus vrai que nous disposons d’études et de travaux qui justifient les deux points de vue.

     

    L’argent qui apporte le bonheur ne se fonde pas sur la possession de biens matériels

    C’est à cette conclusion qu’est arrivée une étude récente conduite par l’Institut national de la statistique du Royaume-Uni.

    Selon une étude réalisée sur plusieurs années auprès de personnes à revenu, le bonheur serait en effet lié au fait d’être aisé économiquement.

    C’est-à-dire que les personnes se sentent plus accomplies en sachant que leur revenu est assuré et qu’elles disposent d’un bon compte en banque.

    D’un autre côté, le fait d’avoir plusieurs maisons, voitures, objets de valeur ou terrains est complètement dissocié du bonheur.

    Les experts nous expliquent que ce résultat est dû à l’instant de crise que nous vivons pendant des années.

    La tranquillité mentale que nous procure le fait de savoir que l’on est « couvert » quoiqu’il arrive nous offre un plus grand bien-être que le fait d’accumuler des objets ou des biens. 

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    Pour les psychologues, l’argent ne fait pas le bonheur

    Intéressons-nous maintenant à l’envers de la médaille. Groucho Marx nous a un jour dit que « Il y a des choses bien plus importantes dans la vie que l’argent. Mais elles coûtent si cher ! »

    Même s’il est vrai que l’aisance économique est synonyme de bien-être et que l’argent nous permet de couvrir nos besoins et ceux de notre famille, comme toujours, la clé se trouve entre l’équilibre et l’objectivité.

    Selon un travail publié par l’University of British Columbia, l’argent NE fait PAS le bonheur pour les deux raisons suivante :

    • L’argent servirait seulement à nous rendre moins tristes. Nous devons comprendre que la tristesse n’est pas  le contraire du bonheur ; c’est-à-dire que celui qui n’est pas triste n’est pas forcément heureux.
    • Pour mieux comprendre cette idée, voici un petit exemple : Un millionnaire se lève le matin sans devoir se préoccuper de beaucoup de responsabilités et dans le seul but de s’amuser.

    Organisez un voyage, allez à cette fête et parlez avec tout le monde, même ceux que vous ne connaissez pas. Vous passerez une journée intense et distrayante.

    Vous ne penserez plus à ce qui vous soucie, vous ne serez pas triste, vous vous serez amusé et vous aurez ri, mais cela ne signifie pas pour autant que vous êtes heureux.

    Qui cherche une raison pour ne pas être triste afin de refouler sa solitude n’est justement pas heureux.

    Telle est la conclusion à laquelle est arrivé ce travail réalisé par l’Université de Columbia et que les psychologues nous démontrent par un simple exemple : une augmentation des revenus dans un foyer réduit la tristesse quotidienne, mais n’apporte pas obligatoirement le bonheur, car le bonheur ne se trouve pas, il se construit.

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    Le bien-être émotionnel ne dépend pas de l’argent

    L’argent nous aidera à bien manger, à passer de belles vacances, à avoir des choses de luxe, uniques et spectaculaires, etc. Cependant, tous ceux qui croient que cela nourrira leur cœur se trompent.

    • Le bonheur se trouve à l’intérieur de nous-mêmes et dans nos relations avec autrui, avec les personnes que nous aimons.
    • La tendresse ne s’achète pas, le rire d’un enfant n’a pas de prix, et les moments de joie, de complicité avec un ami ou notre conjoint ne s’achètent pas avec des billets, mais avec des sentiments, de l’amour, de la sincérité, et du respect.

     

    Personne ne peut nier que l’argent peut nous changer la vie et nous faire nous sentir mieux.

    Toutefois, une série de zéros derrière un chiffre ne comblera jamais les vides de notre âme ni n’apportera ce bonheur et cette sérénité que les personnes très humbles affichent au quotidien.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les personnes libres attirent les opportunités

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Osez braver les limites et n’oubliez jamais que vous méritez d’être libre. Vous pouvez y arriver.

    Adopter une attitude positive est fondamental pour trouver cette liberté et ce bonheur si précieux.

     

    Les personnes libres attirent les opportunités, car elles sont disponibles, elles font preuve d’ouverture d’esprit et de motivation.

    Elles ne se laissent pas attacher à quelque chose qui risquerait de freiner leur réussite.

    Beaucoup d’entre nous savons déjà que la liberté est un bien extrêmement précieux qui, bien plus qu’une réalité, se place comme une aspiration, quelque chose qui est infaisable, hors de notre portée.

    Certaines relations familiales, de couple, des responsabilités ou même nos propres pensées agissent comme de véritables murs qui enferment nos aspirations, nous empêchant ainsi d’avancer.

    Nous vous invitons à prendre quelques minutes pour réfléchir à ce sujet.

     

    En étant libres, nous attirons nos rêves, nos aspirations

    L’idée selon laquelle il faut être libre pour attirer les opportunités dépasse la simple loi de l’attraction. Il s’agit principalement d’un type d’attitude déterminé qui vaut la peine d’être mis en pratique.

    Les désirs et les souhaits ne se réalisent pas comme par magie, ils n’arrivent pas par enchantement.

    La quiétude et l’attente ne sont pas toujours les meilleures armes de l’action, mais elles sont celles de l’esprit.

    Par conséquent, les émotions que nous générons en nous montrant patients nous permettent de déclencher les moteurs de l’action.

    Maintenant, il convient d’éclaircir un aspect essentiel. Quand nous parlons de personnes libres, nous ne faisons en aucun cas référence à des personnes dépourvues de liens affectifs ou d’attaches.

    Il n’est pas obligatoire d’être célibataire pour être libre dans sa tête.

    Nous faisons avant tout référence aux aspects suivants qui nous seront sans aucun doute d’une grande aide si nous prenons le temps d’y réfléchir.

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    Peu importe ce que vous portez, votre attitude est votre plus bel habit

    Notre attitude est une armure qui peut résister aux batailles les plus féroces, même celles contre un ennemi aguerri qui souhaite nous vaincre à tout prix.

    Notre attitude est le plus bel habit que nous pouvons enfiler chaque matin lorsque nous sortons de chez nous.

    • L’attitude est un ensemble de croyances, de valeurs, de motivations et d’objectifs qui définissent une personne à un moment donné.
    • Notre attitude ne doit jamais être déterminée par ce que les autres attendent de nous, car sinon nous ne serons jamais libres.
    • Une personne qui affiche une attitude forte et libre sait pertinemment quels sont ses besoins et ses objectifs. De plus, elle se montre toujours sincère et cohérente dans ces actes et ses paroles.

     

    Pour être libre, il faut absolument croire que nous le méritons

    Il faut d’abord croire véritablement que nous méritons quelque chose pour l’obtenir. C’est aussi simple que ça.

    Cependant, ce n’est pas parce que ce raisonnement est aussi simple que bonjour que nous l’appliquons à chaque fois que nous le devrions.

    • Nous devons tout d’abord nous mettre à l’esprit qu’il existe une petite différence entre ce que nous voulons et ce qui est faisable. La limite se trouve dans l’objectivité.

    Un exemple : Nous pouvons souhaiter gagner des millions d’euros, mais il est évident que malgré nos efforts et notre détermination cela n’arrivera pas du jour au lendemain.

    • Nous méritons tous d’être heureux, ça ne fait aucun doute ; c’est pourquoi ça vaut la peine de lutter. Rien ni personne ne peut nous mettre de barrières si nous faisons preuve de respect.
    • La liberté est une porte qui s’ouvre à nous si nous nous armons d’une grande dose de bravoure. C’est pourquoi il est nécessaire de nous convaincre que nous le méritons, que nous avons le droit de réaliser nos rêves.

    Il faut absolument oser sauter le pas en laissant de côté nos peurs.

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    Les opportunités se trouvent au-delà de cette frontière contrôlée par la peur

    Pour décrocher la victoire, il est indispensable de connaître nos ennemis pour pouvoir les vaincre.

    Toutefois, il arrive bien souvent que les véritables craintes soient le fruit de nos pensées, elles sont rarement faites d’os et de chair.

    • La crainte que nous ressentons lorsque nous imaginons comment notre entourage va réagir lorsque nous lui annoncerons à voix haute ce que nous voulons faire : changer de travail, reprendre des études, déménager, partir voyager à l’autre bout du monde, changer d’air, etc.
    • La conviction que nous allons échouer : c’est là une crainte très commune. Une estime de soi faible et une image de soi dépréciative nous poussent à croire que nous sommes incapables de réussir.

    Il convient de rappeler encore une fois que nous méritons de réaliser nos rêves, d’atteindre nos objectifs.

    C’est pourquoi les pensées qui nous limitent ou les idées qui nous forcent à nous contenter de ce que nous avons (telles que « le vent a tourné », « ma chance est passée ») sont nos véritables ennemis.

     

    Être libre est une sensation exaltante : autorisez-vous à la ressentir

    Être libre sans sa tête et sans cœur est une sensation tout aussi enrichissante que productive. 

    Il suffit d’être conscient de nos qualités et de nos aptitudes afin de les appliquer à tout ce que nous faisons.

    • Un esprit ouvert, flexible, qui sait reconnaître ses erreurs, créer de nouvelles stratégies pour se relever et avancer est un esprit qui attire les opportunités.

    En revanche, celui qui vit seulement pour faire plaisir aux autres ou qui n’ose pas sortir de sa zone de confort dans laquelle tout est programmé à l’avance et prévisible ferme la porte à un monde de nouveautés, à ce vent frais porteur d’illusions et des meilleures opportunités.

    Allez-vous oser être libre ?

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • La clé pour éduquer les enfants : la simplicité

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Attendre trop d'eux ou exiger d'eux des responsabilités qu'ils ne devraient pas avoir fait que les enfants vivent des situations inappropriées dans leur enfance.
     
     
     

    Éduquer les enfants est un art qui évolue en permanence selon l’histoire et la culture.

    Aujourd’hui, ils ont beaucoup de possibilités de choix et bien plus de ressources qui leur permettent d’élargir leurs perspectives face à un futur assez prometteur.

     

    Mais, est-ce bon de donner autant de choix aux plus petits ?

     

    Problèmes qui naissent dans l’enfance

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    Avec autant d’excès, les enfants ont commencé à développer des problèmes qui, jusqu’à présent, n’affectaient que les adultes. 

    Le stress, la dépression, les difficultés à se concentrer font partie des obstacles qui prennent de plus en plus d’importance chez les plus petits.

    Est-ce de la faute des enfants ? Nous ne savons pas les éduquer correctement ? La question n’est pas de savoir comment former ces petits êtres, mais comment leur donner ce qu’ils ont à leur portée de la manière la plus simple possible.

    L’enfance est une époque qui doit être vécue et qui doit être symbole de bonheur, tout comme toutes les autres d’ailleurs.

    Si les enfants sont saturés d’activités et commencent à développer des symptômes du stress et de la dépression, peut-être qu’ils vont bientôt souffrir de troubles psychologiques ou du comportement dans un futur proche.

     

    Quand « beaucoup » devient « trop »

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    Les enfants d’aujourd’hui sont en sécurité. Ils n’ont pas d’autres problèmes que de supporter les disputes de leurs parents, d’aller à l’école et de jongler avec la multitude d’activités auxquelles ils sont inscrits.

    Mais que se passe-t-il alors ? S’ils sont en sécurité et qu’ils vivent si bien, pourquoi y-a-t-il autant de problèmes ?

    Les enfants ont appris à être prudents ; beaucoup d’entre eux ont perdu cette curiosité innée que personne ne devrait jamais perdre.

    Le grand problème est qu’ils se trouvent exposés à de grandes quantités d’informations qu’ils ont du mal à assimiler.

    C’est pour cela que l’exposition à tant de stimuli génère chez eux un grand stress qu’ils ne sont pas capables de tolérer.

    Tout cela fait que les enfants grandissent dans la hâte et qu’ils traversent des périodes de la vie sans en profiter. Ils ne vivent pas leur enfance comme ils le devraient, et cela peut générer chez eux des problèmes qui seront difficiles à régler demain.

     

    Les piliers de l’excès

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    Pour résumer, nous pouvons décrire l’excès en 4 piliers fondamentaux qui sont ce qui provoque tous ces problèmes au moment de l’éducation des enfants :

    • Trop de choses : Nos grands-parents avaient seulement quelques vêtements et quelques jouets. Aujourd’hui, les enfants ont tout, ce qui ne leur permet pas de comprendre la notion de valeur des choses.
    • Trop d’informations : Le fait de faire plus d’une activité extra-scolaire fait qu’ils n’ont plus de temps pour rien.

    Il faut se concentrer sur les devoirs obligatoires de l’école et ensuite être performant dans les activités annexes. L’information sature les enfants et ils ne sont pas capables de les intégrer correctement.

    • Trop de choix : Il existe tant de possibilités que l’insécurité et le stress commencent à affleurer chez les plus petits. Que choisir ? Vers où me diriger ? Ce sont des questions qu’ils aborderont dans toute leur vie, alors autant leur épargner dans l’enfance.
    • Trop de vitesse : Le temps passe très vite et il faut en profiter, mais les enfants ne sont à peine conscients de cela. Cela est très positif, car ils peuvent plus en profiter.

    Le problème est que les adultes ont tendance à les en empêcher, et ils ne profitent pas de leurs moments de liberté autant qu’il le faudrait.

    Éduquer les enfants est quelque chose dont les parents doivent être responsables, mais avant de leur laisser faire trop de choix, de les charger de responsabilités et de les plonger dans le stress dont les adultes souffrent, il est important de leur permettre de vivre.

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    L’enfance est un moment que l’on ne vit qu’une fois. C’est une période dont il faut profiter, pour débuter des amitiés, pour se former, mais d’une manière bien moins agressive que ce qui nous attend dans le futur.

    Si dès tout petits, nous souffrons de stress, d’anxiété et de dépression, que se passera-t-il quand nous serons plus grands ?

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Ce qui doit être sera, en temps et en heure

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il y a un moment pour chaque chose, et cela ne sert à rien de se mettre la pression ou de s'épuiser pour obtenir quelque chose. Si nous sommes patient, nous pouvons être sûr que nous atteindrons ce que nous souhaitons.
     
     
     

    Ce qui doit être sera, en temps et en heure. La seule chose dont nous avons besoin, c’est sans aucun doute, une pincée de patience et avant tout la volonté claire de continuer à construire notre présent jour après jour pour atteindre le fameux objectif.

     

    Cette phrase, que vous avez sûrement entendue plusieurs fois, veut dire plusieurs choses. La première est que parfois, forcer les choses pour qu’elles arrivent avant l’heure n’apporte pas de bons résultats.

    La seconde est que nous devons être capable d’accepter que la vie a ses cycles, ses moments. Personne ne peut, par exemple, aspirer à une relation de couple parfaite si tout d’abord il n’a pas appris à s’aimer lui-même.

    C’est pour cela qu’il est normal que nous passions tout d’abord par ces phases d’auto-découverte, de relations empreintes d’échec pour que petit à petit nous nous rapprochions de la personne qui nous convient le mieux.

    Grandir c’est apprendre et surtout, être ouvert à toutes les opportunités qui se présentent à nous. Nous vous invitons ici à réfléchir à cela.

     

    Chaque chose a son moment, et tout moment a son opportunité

    Au moment où vous vous attendez le moins, tout se passe bien. Et cela n’est pas forcément dû à la fameuse loi de l’attraction puisque la plupart du temps, il ne suffit pas de désirer fortement quelque chose pour que cela arrive.

    Parfois, les bonnes choses arrivent comme cela, mais nous pourrions dire que dans le reste des cas, elles surviennent car c’est leur moment et avant tout parce que nous-même l’avons initié. Avec le temps et au moment venu, nous récoltons les fruits de nos efforts.

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    La magie de l’opportunité

    Il faut savoir voir la magie, car elle intervient dans nos yeux à un moment précis, qu’il faut savoir ressentir.

    • Prenons un exemple. Nous nous sommes formé dans une discipline en particulier, nous avons passé du temps à étudier, à apprendre et à acquérir de bonnes aptitudes et des connaissances spécialisées.
    • À moment, un nouveau champ professionnel s’ouvre sur le marché, c’est quelque chose d’innovant, et même s’il a un rapport avec notre formation, nous avons peur car nous ne savons pas si nous allons être suffisamment compétent ou pas.
    • Seuls ceux qui savent voir l’opportunité et qui osent passer le cap profiteront de ce qui arrive au moment en question. Pas avant, ni après, à ce moment précis.

    Si nous n’en profitons pas, il est très possible que les circonstances idéales ne se représentent jamais.

     

    Ce qui doit être sera si nous le favorisons

    Les opportunités ne frappent pas comme cela à notre porte. L’immobilité n’amène pas l’opportunité, et le simple désir ne nous offre pas nos rêves les plus chers.

    • “Ce qui doit être » demande aussi un effort de notre part. Nous sommes des agents créateurs, des entités capables de changer notre réalité et de favoriser des opportunités à partir du moment où nous les envisageons pour nous-mêmes.
    • Il y a des choses qui arrivent car c’est le moment, c’est sûr, mais si nous-même nous y avons mis un peu de volonté, d’efforts et de dévouement, elles auront bien plus de chance de survenir.

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    Le besoin de garder un esprit ouvert

    Un esprit ouvert n’est pas seulement un esprit qui rêve sous les étoiles en lançant des désirs à l’infini. Un esprit ouvert a des caractéristiques très concrètes :

    • Il est conscient de ses besoins.
    • Il a une bonne connexion avec lui-même, une bonne auto-estime pour être capable de mettre des limites face à ce qu’il ne veut pas et s’investir dans ce qu’il veut vraiment.
    • Il est observateur, il écoute tout ce qu’il a dans son entourage et il choisit ce qui peut lui permettre de grandir et de continuer à avancer.
    • Un esprit ouvert et réceptif sait profiter du moment et investit ses énergies et ses connaissances dans les opportunités qui arrivent jusqu’à lui au moment opportun. 

     

    Le besoin d’être patient

    Qui va trop vite, se lance sans évaluer les risques et manque de patience a tendance à vivre plus d’une désillusions et d’une déception.

    • Nous savons que souvent, on nous recommande de « savoir prendre des risques, d’être courageux pour sortir de notre zone de confort« . Mais, pour passer le cap, il faut tout d’abord être préparé.
    • Sans une bonne auto-estime, nous ne pouvons pas, par exemple, attendre de trouver le bonheur dans un couple car alors, nous serons toujours subordonné à ce que l’autre personne fait ou ne fait pas pour nous sentir bien.
    • Nous ne devons pas non plus aspirer à un travail déterminé si tout d’abord, nous ne possédons pas les compétences nécessaires. Si on nous rejette, ce sera justifie. C’est pour cela qu’il faut être patient et investir d’abord en nous-même, dans une maturité personnelle, dans des compétences pratiques et dans des connaissances.

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    Pour conclure, nous savons que parfois, nous sommes fatigué d’attendre les bonnes choses, celles que nous méritons.

    Jusqu’à ce qu’elles arrivent, nous ne devons pas oublier de garder confiance, de continuer à lutter pour nos objectifs et de même, d’être réceptif pour que les choses, finalement, surviennent.

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Apprenez à vivre avec certaines personnes

    et à survivre sans d’autres

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Nous devons savoir que les personnes que nous aimons ne vont pas toujours être à nos côtés. C'est pour cela que nous devons apprendre également à vivre avec des personnes qui nous plaisent moins.
     
     
     

    La vie est comme un voyage en train.

    Nous nous arrêtons dans d’innombrables stations, des gens que nous ne connaissons pas montent dans notre wagon, tandis que des personnes que nous aimons en descendent.
     C’est pour cela que nous devons apprendre à vivre avec certaines personnes et à survivre sans d’autres.

    Car certaines personnes vont faire irruption dans notre existence et nous devons savoir nous lier avec elles.

    D’autres vont nous quitter et nous devons apprendre à vivre sans leur présence.

     

    Même si nous pensons que c’est une chose difficile à accomplir, la vie nous apprend à nous accommoder à ces deux situations, que nous allons analyser en profondeur dans la suite de cet article.

    Nous devons faire des efforts pour que, loin de nous rendre malheureux, ces expériences nous apprennent quelque chose, car nous allons tous devoir les affronter.

     

    Comme vivre avec certaines personnes

    C’est parfois difficile de vivre, de s’adapter à la vie avec d’autres personnes, car elles ne partagent pas nos valeurs, car nous n’avons pas le même point de vue sur l’existence, ou tout simplement parce que nous ne nous entendons pas avec elles.

    Malgré cela, à certaines occasions, nous n’avons pas d’autres choix que de nous en accommoder, car nous éloigner de ces personnes n’est pas une option envisageable.

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    Ces personnes peuvent être toxiques pour nous, qu’ils s’agissent de membres de notre famille ou de collègues de travail, par exemple.

    Dans ces deux situations, nous ne pouvons ni nous éloigner, ni les ignorer complètement. C’est un état de fait très compliqué.

    C’est pour cela que nous devons apprendre à vivre avec ces personnes de manière saine, pour éviter toutes les choses néfastes qui pourraient affecter notre équilibre émotionnel si nous entrions en conflit avec elles.

    Dites-vous qu’il est n’est pas nécessaire de changer de siège dans le train de la vie dès qu’une personne vous incommode un peu trop.

    Vous devez apprendre à accepter les autres tels qu’ils sont, avec leurs défauts et leurs qualités.

    Vous pensez peut-être que vous allez souffrir en silence, mais ce n’est pas tout à fait certain.

    Accepter des personnes avec lesquelles vous n’avez pas d’affinités fera de vous une personne bien plus sage et équilibrée.

    Nous ne devons pas forcément nous échapper d’une situation qui nous dérange.

    Il est parfois nécessaire de lui faire face avec intelligence. C’est le seul moyen d’apprendre et de mûrir.

     

    Comment survivre sans certaines personnes

    Dans la vie, il ne suffit pas de s’accommoder à certaines personnes que nous n’aimons pas au premier abord.

    Il existe une situation bien plus difficile à vivre : survivre sans les êtres qui nous ont été extrêmement chers, à un moment donné de notre existence.

    Nos parents, nos partenaires, nos amis…Tous ceux qui descendent de notre train et laissent un vide immense qu’il est presque impossible de combler.

    Cependant, gardez à l’esprit que c’est une épreuve qui peut être surmontée.

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    La souffrance qui nous envahit lorsqu’une personne importante descend de notre train peut entraîner une certaine dépendance émotionnelle ou de graves difficultés à accepter notre solitude.

    Même si cela peut paraître facile à dire, il nous faut apprendre à accepter que des personnes vont monter et d’autres descendre de notre train. Nous sommes les seuls qui allons y rester tout au long de notre existence.

    Mais, nous pouvons nous poser la question suivante : pourquoi est-ce si douloureux d’accepter que certaines personnes nous quittent ?

    Parce que nous ne savons pas quand elles vont le faire, car cela échappe totalement à notre contrôle.

    Nous voulons bien souvent tout maîtriser dans notre vie, pour notre bénéfice personnel.

    Il est donc très important d’accepter la réalité. C’est évident que cela va nous faire énormément souffrir, mais nous devons apprendre à embrasser cette douleur pour continuer à aller de l’avant. Car la vie continue.

    Pensez à tous ces bons souvenirs et à ces expériences vécues avec ces personnes, puis poursuivez votre chemin. Au bout du compte, nous voyageons toujours seuls, que nous le voulions ou non.

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    Quel est le plus difficile pour vous ? Devoir vivre avec certaines personnes ou survivre sans d’autres ?

    Le choix que vous allez faire va déterminer les efforts que vous devrez accomplir pour apprendre à vous dépasser, à surmonter cette peur qui vous empêche d’aller de l’avant et d’être heureux.

     

    De plus, vous devez garder à l’esprit que toute solution réside dans l’acceptation.

    Vous devez accepter la vie telle qu’elle est, vous devez accepter les autres avec leurs défauts et leurs qualité et, surtout, vous devez accepter que vous ne pouvez pas tout contrôler, même les événements de votre propre existence.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 comportements toxiques

    dont les parents ne sont pas conscients

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Quand ils naissent, les enfants n'arrivent pas avec un manuel sous le bras qui nous permettent d'être les meilleurs parents du monde. De fait, souvent, nous tombons dans certains comportements toxiques qui se répercutent négativement sur leur développement.
     
     
     

    Bien évidemment, les parents essaient toujours d’éduquer leurs enfants le mieux possible.

     

    Cependant, parfois ils ne sont pas conscients qu’ils ont certains comportements toxiques avec eux, qui peuvent leur faire plus de mal que de bien.

    Aujourd’hui, nous allons vous parler de cela, afin de vous aider à ouvrir les yeux sur une réalité que nous n’arrivons pas toujours à voir.

     

    Comportements toxiques des parents

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    Même si nous n’y croyons pas, les bonnes intentions ne suffisent pas. Il est nécessaire de faire une bonne auto-critique et de savoir identifier ces comportements toxiques qui peuvent affecter les enfants.

    Mais… les parents sont-ils coupables de ces comportements toxiques ? Le réponse est non. Parfois, ils copient tout simplement tout ce qu’ils ont vu chez leurs propres parents.

    Etre parent est quelque chose que nous apprenons avec l’expérience.

    Nous allons aborder les 7 comportements toxiques auxquels vous vous identifierez peut-être. Il est important de ne pas vous fermer et ne pas refuser de les voir. Pensez à votre enfant. C’est parti !

     

    1. Vous êtes hyper-critique

    Souvent, nous ne sommes pas capables d’identifier la manière excessive dont nous critiquons nos enfants. Il est bon de signaler les erreurs, car cela aide au changement et à ce que l’enfant comprenne où il pêche.

    Cependant, il faut savoir que les critiques continues ne font aucun bien. Le fait d’être excessivement critique peut provoquer des insécurités chez nos enfants et ne leur donnera pas confiance en leurs propres capacités et compétences.

     

    2. Vous punissez les émotions négatives

    Nous avons tendance à distinguer les émotions positives et les émotions négatives, alors que beaucoup d’émotions négatives sont en fait positives. La peur, par exemple, peut nous sauver la vie plus d’une fois.

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    C’est pour cela que nous devons laisser nos enfants exprimer leurs émotions.Qu’ils pleurent, qu’ils montrent leur tristesse, leur peur…

     

    3. Décider pour eux

    Les enfants sont des enfants, mais cela ne signifie pas qu’ils ne peuvent pas avoir de voix ni de vote.

    Il est évident qu’il y a des décisions en particulier que les parents doivent prendre, mais certaines ne sont pas toujours nécessaires.

    Permettez à vos enfants de prendre les décisions qu’ils peuvent prendre, vous encouragerez alors leur sécurité et ne provoquerez pas tout le contraire.

     

    4. Leur inculquer la peur

    Les enfants doivent vivre dans un environnement de sécurité et de confiance, non pas dans un environnement où la peur les guette en permanence.

    Les enfants ont besoin de commettre des erreurs, d’explorer et d’expérimenter la vie.

    S’ils ont peur, ils se transformeront en des personnes sûres d’elles-mêmes et craintives. Il est important de ne pas leur inculquer ce sentiment car vivre avec la peur, ce n’est pas vivre.

     

    5. Ce n’est pas de leur faute

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    Parfois, les parents déchargent leurs frustrations sur leurs enfants en les faisant se sentir coupables de choses dont ils ne sont pas responsables.

    Cela peut générer un grand problème dans le futur, car les enfants intériorisent le sentiment de culpabilité. Personne ne devrait se sentir coupable à la place des autres, et encore moins les enfants pour leurs parents.

     

    6. L’amour n’a pas de conditions

    C’est une grave erreur que font les parents sans s’en rendre compte. L’amour des parents pour leurs enfants ne doit pas avoir de conditions, et ne doit pas dépendre des réussites ni des comportements de ces derniers.

     

    7. Ne pas mettre de limites

    Parfois, cela arrive quand nous avons plusieurs enfants ou tout simplement, quand nous ne voulons pas mettre de limites. C’est pourtant une erreur. Les enfants ont besoin qu’on leur permette de se sentir en sécurité dans le monde qu’ils découvrent.

    Les limites sont positives car sans elles, on peut développer des comportements négatifs et méfiants.

    Si vous vous identifiez à un parent toxique, ou que vous voyez vos parents dans les descriptions précédentes, il est important de tout faire pour modifier ces comportements et qu’ils n’arrivent plus.

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    Les parents forment des personnes qui devront vivre dans ce monde et avoir des relations avec les autres. Tous ces comportements ne leur faciliteront pas la vie, mais la leur rendront plus difficile.

    Commençons, dès aujourd’hui, à éliminer tous ces comportements toxiques !

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Parfois, la solitude est le prix de la liberté

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Nous ne devons pas nous laisser porter par les pressions sociales lorsqu'il s'agit de notre bien-être. La solitude, loin d'être quelque chose de négatif, doit être vue comme une opportunité pour grandir.
     
     
     

    Souvent, on dit que la solitude nous apprend bien plus que n’importe quelle compagnie.

    S’il est évident que nous sommes des créatures sociales et que nous avons besoin de l’interaction pour grandir, apprendre et vivre, la clé se trouve toujours dans l’équilibre.
     

    Les moments de solitude sont nécessaires pour notre santé mentale, car ce sont des moments de calme et de connexion intérieure.

    Cependant, nous savons aussi qu’il y a des étapes tout au long de notre cycle vital où nous nous sentons « attachés », quasiment asphyxiés face à certaines choses ou personnes.

    Au moment où nous voyons que nous perdons le contrôle, notre capacité de choix ou l’opportunité de choisir quels sont les chemins à suivre à cause de la pression de notre entourage, c’est le moment d’agir.

    Parfois, la solitude est aussi le prix de la liberté, mais c’est n’est pas pour cela qu’elle est mauvaise. Nous allons vous expliquer.

     

    Quand la solitude est l’unique chemin

    Nous allons commencer par vous parler d’un fait qui a lieu en ce moment en Chine et qui est très intéressant pour évoquer le concept de liberté.

    Dans ce pays, quand une femme a plus de 25 ans et qu’elle n’est pas encore mariée, on l’appelle “sheng-nu”, ce qui signifie « femme en trop ».

    • Le fait de ne pas avoir de conjoint est considéré comme une honte pour elles et leur famille. À tel point qu’aujourd’hui, il existe un véritable marché de jeunes filles « à marier » dans le but de leur trouver un mari et ainsi les « normaliser » avec les demandes de la société.
    • La politique de l’enfant unique est terminée en Chine, et le gouvernement doit donc promouvoir la maternité. Le fait qu’il existe des femmes qui n’accomplissent pas leur fonction « naturelle » crée alors des pressions aussi cruelles que destructives.
    • Heureusement, beaucoup de filles réagissent à cela, d’abord contre leurs propres familles et ensuite contre la société.

    Elles savent que le prix de tout cela est la solitude, car elles sont rejetées par les gens aux mentalités fermées, mais même ainsi, elles se sentent libres car ce sont des « femmes accomplies », qui ont gagné le droit de vivre comme elles le désirent.

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    Quand la pression de l’entourage refuse nos libertés

    Nous savons tous que la solitude n’est pas bien vue. Le cas de la Chine n’est pas le seul. Il suffit de regarder les stéréotypes liés au célibat dans nos propres entourages.

    • Quand nous terminons une relation affective, on nous dit : « ne t’inquiète pas, tu trouveras rapidement quelqu’un d’autre ». Comme si le fait de passer un moment seul était quelque chose de regrettable ou d’incompréhensible.
    • Il est également commun que certains membres de notre famille ne comprennent pas que nous voulions vivre seul, que nous voulions faire un voyage seul, ou tout simplement, que nous aimions ces moments d’intimité où nous nous retrouvons dans le calme.

     

    Aujourd’hui, la solitude est toujours associée à un comportement négatif. C’est peut-être pour cela que nous nous sentons attachés à des choses ou à des personnes en particulier, car nous avons peur de passer le cap et de recevoir des critiques ou des commentaires peu appropriés.

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    La solitude n’est pas dangereuse

    L’écrivain et poète Charles Bukowski l’a dit : l’isolement est parfois un véritable cadeau.

    Cela ne veut pas dire que vous devons nous déconnecter pour toujours de notre entourage, des gens, de la civilisation, des rires, des rencontres, des amours et des amitiés. En aucun cas.

    • Il s’agit seulement d’être sélectif et de mettre en priorité ce qui nous est bénéfique et thérapeutique. La solitude est, sans aucun doute, une dimension personnelle que nous devrions expérimenter de temps en temps, sans peur.
    • Selon une étude intéressante publiée dans la revue Havard Business review,aujourd’hui, on commence à mettre en valeur la solitude comme étant une stratégie grâce à laquelle on peut améliorer nombre de nos capacités cognitives et trouver une meilleure harmonie dans le champ émotionnel.
    • Les personnes capables de se déconnecter du bruit de leur entourage, des jugements de valeur et des attentes des autres sur elles ont des caractères plus libres, plus créatifs et sont disposées à s’ouvrir à de nouvelles opportunités.

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    C’est peut-être le moment de démolir des légendes et des stéréotypes. La solitude que l’on choisit volontairement est un acte de courage. 

    Qui cède, qui boîte et continue en s’accrochant au train du malheur doit être conscient qu’être prisonnier n’est pas la meilleure option.

     

    Si pour être libre, nous devons être seul, peut-être que la solitude n’est pas si dangereuse, si elle nous permet de mieux développer notre auto-estime et de choisir quel est le destin que nous souhaitons suivre.

    Nous savons que c’est très facile de le dire, et que cela semble tout simple de dire : « ose être libre ».

    Cependant, il s’agit d’un choix personnel qui demande un temps de réflexion et des actes de courage qui en valent la peine. 

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 personnes toxiques dont il faut s’éloigner pour être heureux

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il faut savoir que nous ne pouvons pas plaire à tout le monde, alors arrêtez de vous efforcer pour des personnes qui ne vous méritent pas et concentrez-vous sur celles qui se préoccupent de vous.
     
     
     

    Quand les choses ne se passent pas comme nous le voulions ou que l’on se trouve face à des difficultés, il est normal de voir les choses à travers un prisme négatif.

     

    Cependant, l’attitude que l’on adopte dans ce genre de situations est ce qui définit si nous avons une mentalité forte ou si nous nous laissons vaincre facilement.

    Le problème est que parfois, nous ne sommes pas entourés des personnes adaptées et que nous finissons par nous enfoncer davantage à cause des attitudes pessimistes alentour.

    Les fameuses personnes « toxiques » n’ont pas la capacité d’apprécier les aspects des autres et sont obsédées par la complication de tout.

    Il est très important de les identifier car elles peuvent devenir des obstacles lors des situations particulièrement difficiles.

    Il est probable qu’en ce moment, vous soyez aux côtés de quelqu’un de toxique sans en être conscient.

    Si vous ne vous sentez pas heureux, peut-être que vous devriez éloigner de votre vie les personnes qui correspondent aux 7 caractéristiques suivantes.

     

    1. Le profiteur

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    Il existe plusieurs types de profiteurs, mais nous allons nous concentrer sur les deux les plus communs : les manipulateurs et ceux qui veulent faire du mal.

    Les premiers sont ceux qui profitent de leur statut social, de leurs compétences ou de n’importe quelle qualité pour montrer aux autres qu’ils sont inférieurs ou dépendants.

    Ils adoptent une attitude dominante pour vous faire accomplir tous vos désirs, même si vous ne souhaitez pas le faire.

    D’autre part, ceux qui veulent faire du mal cherchent à réveiller votre empathie pour que vous les aidiez à résoudre leurs problèmes ou que vous vous sentiez obligé de leur apporter une aide quelconque.

    S’il est toujours très bien d’aider un ami lors d’un moment difficile, il est important de faire attention lorsque cela devient quelque chose de récurrent.

     

    2. Celui qui n’assume pas ses responsabilités

    Une personne incapable de reconnaître ses erreurs, et qui rejette la faute et les responsabilités sur les autres est quelqu’un qui influe négativement sur notre vie.

    Non seulement on peut souffrir ce type d’attitude mais on peut aussi devenir les victimes de ces personnes.

    Cela nous indique que la personne est trop immature et n’a pas les qualités nécessaire pour affronter les difficultés.

    Si vous ne les fuyez pas le plus tôt possible, vous avez de grands risques de finir par porter ses problèmes.

     

    3. Celui qui ne vous aime pas

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    À cause de notre manière de vivre, notre personnalité ou n’importe quelle qualité, nous pouvons ne pas plaire à quelqu’un même si nous ne lui avons jamais fait de mal.

    Dans le but de changer de cela, il y a des personnes qui font l’erreur de s’efforcer à faire des actions que cette personne ne mettra jamais en valeur.

    Et, malgré tous nos efforts, il y a des personnes qui ne ressentent pas d’affinités avec nous et qui n’aiment pas notre présence.

    C’est pour cela qu’au lieu de nous user en cherchant des manières de plaire à tout le monde, nous devrions nous concentrer sur ceux qui nous aiment sans condition. 

     

    4. Celui qui ne sort pas de sa zone de confort

    Pour avoir une vie pleine d’aventures et d’émotions nouvelles, le mieux est de mettre de côté ceux qui ne sont pas disposés à sortir de leur zone de confort.

    Ce type de personnes craignent tout et cherchent à vous faire peur de vivre des expériences nouvelles quand le quotidien.

     

    5. Celui qui pointe vos défauts

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    Nous avons tous des défauts et parfois, cela nous fait du bien que quelqu’un nous les signale pour pouvoir mieux les dépasser et nous améliorer.

    Cependant, il faut savoir identifier ceux qui s’expriment honnêtement et de manière constructive, des personnes qui utilisent cela comme une fragilité pour vous attaquer. 

    Celui qui est toujours disposé à pointer du doigt et à critiquer vos erreurs, mais qui a du mal à reconnaître vos succès, est quelqu’un toxique qui finira par entamer votre auto-estime.

     

    6. Celui qui remplit de doutes

    Parfois, il est nécessaire d’avoir quelqu’un qui nous aide à pointer du doigt les risques que nous courrons face à certaines situations. 

    Cependant, il existe des personnes qui ne font que semer le doute et mettre des obstacles devant les désirs des autres.

    Ce sont les personnes typiques qui appréhendent la vie avec peur, qui se maintienne dans leur zone de confort et qui veulent que les autres soient aussi comme cela.

    C’est pour cela qu’ils se consacrent à saboter tout projet différent, semant l’insécurité et remplissant l’air de négativité.

     

    7. Le paresseux

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    La paresse est une maladie assez contagieuse. Être entourée de personnes qui en souffrent fera que tôt ou tard, nous la ressentions aussi.

    Même les personnes aux mentalités fortes peuvent chuter dans la paresse et se laisser porter quand elles ne voient pas l’intérêt de faire quelque chose.

    Avoir des relations avec des personnes molles et qui rallongent toujours leurs projets fait diminuer notre propre productivité.

    Si vous identifiez l’une de ces personnes dans votre vie, le mieux est de l’éviter pour qu’elle n’influence pas négativement sur vos décisions, vos projets et vos moments de bonheur.

    Dépasser toutes les formes de manipulation n’est pas chose facile, mais c’est très sain pour l’équilibre émotionnel de chacun.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • L’hyper-éducation ou comment rendre des enfants malheureux

     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si cela ne semble pas être le plus adapté pour prendre soin d'eux, il est évident que l'hyper-éducation de nos enfants peut les faire devenir des personnes peu sûrs d'elles et avec un fort potentiel de culpabilité.
     
     
     

    L’hyper-éducation se définit comme l’attention excessive aux enfants. Beaucoup de gens la voient comme un terme de plus, et même comme une manière de mettre en cause la façon d’éduquer les enfants.

     

    Il ne faudrait pas porter attention à l’éducation des plus petits ? Où se trouve la limite ? Tout enfant a besoin de l’affection et de l’attention continue de ses progéniteurs, d’où le fait que parfois, il est difficile de savoir où se trouve l’équilibre.

    En réalité, la limite est établie à l’endroit de la frontière sur laquelle on permet l’épanouissement personnel des enfants sans tomber dans la toxicité émotionnelle.

    L’éducation, ce n’est pas du contrôle, car éduquer, ce n’est pas asphyxier et encore moins couper les ailes de ses enfants qui devront être adultes demain, et capables de prendre des décisions ainsi que d’être responsables de leur propre vie.

    Cependant, le terme « hyper-éducation » implique plus de choses que ce que nous pensons.

     

    L’hyper-éducation ou le poids de la sur-protection

    Le plus curieux de ce type de comportement est que les parents sont très investis dans chaque aspect de la vie de leurs enfants : école, sport, loisirs, alimentation, amitiés…

    Ils sont « hyper-présents » et pensent que grâce à cela, ils agissent comme les meilleurs progéniteurs du monde, et que leur éducation est la meilleure des éducations.

    Pourtant, l’équilibre émotionnel et personnel des enfants est très éloigné du reflet du bonheur.

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    Conséquences de l’hyper-éducation : la déception

    Les parents ont intériorisé ce qu’est pour eux l’enfant idéal et de plus, ils s’incluent eux-mêmes dans cette sphère de perfection comme des figures de référence indispensables.

    Cependant, au fur et à mesure que le temps passe, ils voient que parfois leurs enfants ne correspondent pas à ces idéaux et c’est alors que la déception apparaît.

    • Quand un enfant perçoit la déception dans le regard de ses parents, il commence à se construire sur un sentiment d’échec et d’infériorité.

     

    Conséquences de l’hyper-éducation : anxiété et stress

    • L’hyper-éducation va de pair avec « l’hyper-activité éducative ». Il est commun que ces parents inscrivent leurs enfants à de multiples activités extra-scolaires, qui parfois ne les intéressent même pas.
    • Petit à petit, nous aurons des enfants stressés avec un niveau d’anxiété semblable à celui d’un adulte. 
    • Les parents qui s’inscrivent dans une démarche d’hyper-éducation ne tolèrent pas l’erreur chez leurs enfants. Chaque effort qu’ils font est pour éduquer des enfants compétents, vaccinés contre l’erreur et l’échec, et c’est pourtant quelque chose d’impossible.

     

    Conséquences de l’hyper-éducation : interdiction de se tromper

    • Tout enfant doit se permettre d’échouer dans quelque chose et de se tromper pour pouvoir apprendre de ses propres erreurs en toute liberté.
    • Les enfants éduqués dans l’hyper-éducation ont tendance à être leurs propres juges. On leur a imposé une liste si longue que, lorsqu’ils perçoivent qu’ils ne vont pas être capables d’y arriver, tout s’écroule et ils culpabilisent. Ils tombent alors dans l’auto-destruction.

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    L’éducation avec un attachement sain pour inciter à la responsabilité

    Selon une étude effectuée à l’Université de Queen, Ontario (Canada), l’une des conséquences les plus graves de l’hyper-éducation est que les enfants entre 7 et 12 ans ne savent à peine ce qu’est jouer en plein air ou interagir avec des amis. Ce sont des enfants malheureux.

    Nous savons qu’éduquer un enfant signifie avant tout protéger, mais cette fameuse protection doit se baser sur les aspects suivants:

    Je te protège pour que tu te sentes en sécurité, et non pas « un sujet »

    • L’éducation avec un attachement sain est celle qui incite à la reconnaissance de l’enfant pour qu’il ait une bonne image de lui-même.
    • Un enfant qui se sent protégé et reconnu par ses parents a une meilleure auto-estime pour prendre des initiatives, pour ne pas avoir peur et pour grandir en maturité et en responsabilité.

     

    Je te protège en te donnant des conseils, mais en te permettant d’apprendre de tes propres erreurs

    Nous protégeons les enfants pour ne pas qu’ils chutent et pour qu’ils prennent le bon chemin, mais cette protection a pour objectif de les aider à trouver leur propre voie, et surtout de leur permettre de commettre leurs propres erreurs pour en tirer des leçons.

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    Je te protège pour que tu saches que je serai toujours à tes côtés sur le chemin que tu choisis

    L’attachement est indispensable, surtout lors des premières années de vie des enfants. Cependant, à partir de 7 ou 8 ans, ils font un saut important en maturité.

    • C’est le moment où ils exigent des droits, et où ils apprennent ce que sont les concepts de la justice et de la morale. C’est l’étape préalable à la chaotique adolescence où ils vont commencer à prendre des décisions qui peuvent nous surprendre.
    • Écoutez-les toujours et conseillez-les chaque jour, apprenez-leur que pour être libre, il faut être responsable, que pour profiter de certains droits, il faut respecter certaines obligations.

    Nous devons être à l’origine d’un apprentissage basé sur l’expérience, non pas sur cette hyper-éducation qui fait taire la voix des enfants et qui leur trace des objectifs idéaux que personne ne peut atteindre.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qui vous aime vous rendra heureux

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Nous devons oublier ce concept qui consiste à penser que qui nous aime nous fera pleurer. Celui ou celle qui nous aime doit nous respecter et nous rendre heureux, avant toute chose.
     
     
     

    Qui vous aime vous fera rire, vous fera « voler » et par-dessus tout, fera tout son possible pour vous rendre heureux. 

     

    Souvent, on a voulu nous inculquer l’idée selon laquelle dans l’amour, la souffrance est implicite et les larmes inéluctables.

    Cette conception provient de l’image classique de l’amour romantique qui a fait du mal à de nombreuses générations ou à des personnes qui pérennisent une fausse image de ce qu’est l’affection, et de ce que sont les piliers d’un couple engagé et heureux.

    Aujourd’hui, dans cet article, nous vous invitons à réfléchir à cela.

     

    Qui vous aime bien ne vous fera pas pleurer

    Peut-être qu’à un moment de votre vie, quelqu’un de votre entourage le plus proche vous a dit la chose suivante : “c’est comme ça, à prendre ou à laisser. Dans les relations, il y en a toujours un qui finit par pleurer. C’est normal”.

    Parfois, ce que l’on considère comme normal a des dimensions aussi dangereuses que destructives.

    Il faut par exemple se mettre dans la tête qu’aimer ne signifie pas souffrir, et que qui nous amène des larmes dans une relation est quelqu’un qui ne nous aime pas vraiment ou tout simplement, qui est malsain et qui veut nous faire du mal.

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    L’amour romantique ou l’amour qui accepte la souffrance

    Plus on souffre, plus il y a de la passion. Plus on possède, plus l’amour est grand.

    Ce sont les conceptions les plus courantes que nous donne l’idéal de l’amour romantique, que nous voyons souvent dans les films ou les livres de la littérature classique.

    • Que nous le croyons ou non, cette approche est encore très présente chez les jeunes, chez les adolescents. Penser que si le conjoint réagit avec jalousie et qu’il est possessif, c’est une preuve certaine de son amour nous fait parfois tomber dans des relations très dangereuses.
    • L’amour romantique, de plus, ne comprend que le concept des premières phases chargées de passion. Il n’arrive pas l’amour détendu et complice, cette phase dans laquelle on entre à un âge plus mature et stable.
    • Voici une autre idée reçue à l’amour romantique : pensez que qui nous aime nous fera forcément pleurer. Car les larmes font partie de la relation et que c’est quelque chose qu’il faut accepter -et supporter-. Ce n’est ni adapté ni conseillé de penser ainsi.

    Aujourd’hui, nous trouvons beaucoup de gens empêtrés dans des relations aussi destructives que malheureuses, où l’auto-estime a été complètement « sabotée », et qui tombent alors dans des relations de dépendance où on tolère la douleur et les larmes régulièrement.

    Il est important d’avoir confiance en l’idée que l’amour ne doit pas faire de mal.

    Il est nécessaire de savoir que l’amour réel guérit et ne cherche jamais à détruire.

    Qui vous aime vous rendra heureux

    L’amour conscient, l’amour mature

    Personne ne naît en sachant tout sur l’amour. Apprendre suppose de vivre des désillusions, de vivre des blessures et même de devoir nous éloigner de l’être aimé pour nous permettre de nous retrouver avec nous-même à nouveau.

    • Ne culpabilisez jamais à cause d’un échec et ne pensez pas non plus qu’aimer signifie souffrir. Ce n’est pas vrai, ou du moins, cela ne devrait pas l’être.
    • L’amour conscient commence toujours par quelque chose de très simple et d’essentiel : s’aimer d’abord soi-même.

    Quand nous serons sûrs de nous, que nous aurons une bonne auto-estime et que nous saurons ce que nous méritons vraiment, alors nous pourrons débuter des relations saines, responsables et heureuses.

    • L’amour mature est celui qui recherche le bien-être du couple, et pour cela, il commence toujours par le bien-être intérieur.
    • Une personne sûre d’elle-même, qui ne souffre pas de vides et avec une bonne auto-estime, ne projettera pas ses peurs ou ses obsessions sur les autres pour les contrôler en fcraignant qu’on la trahisse.

    Car qui aime ne trahit pas et qui respecte ne se méfie pas.

    Qui vous aime vous rendra heureux

    Qui vous aime bien vous fera rire

    Générer le bonheur chez les personnes que nous aimons est une valeur qui a une répercussion sur nous-même. Les larmes ou la souffrance ne servent à rien et qui le pense a une vision tronquée et nocive des relations.

    • Il y a des gens qui considèrent normal de provoquer de la souffrance dans le couple car cela a un avantage très clair : contrôler.
    • D’autre part, il y a des gens qui sont surpris de voir l’autre pleurer ou même qui sont gênés au point de dire “tu prends tout mal et tout te blesse”.

    Dans ce cas, il s’agit d’une personne incapable de ressentir de l’empathie et de prendre la responsabilité de ses actes.

     

    Qui vous aime véritablement s’efforcera à vous rendre heureux, à vous apporter des sourires au quotidien, ainsi que de la joie lors des journées pluvieuses. 

    Car, dans chaque sourire, se cache ce moteur qui rend plus fort un conjoint, dans chaque preuve de bonheur, s’établissent des liens de réciprocité qui permettent de faire durer la relation.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Quelle tristesse d’avoir trouvé l’amour de sa vie

    et de devoir le rendre

     

     

     

     

     

     

    Même si l'on n'y croit pas, il n'existe pas un seul amour dans notre vie. Nous pouvons trouver l'amour plusieurs fois dans nos vies, et nous pouvons même arriver à être heureux sans forcément être en couple.
     
     
     

    Ce n’est pas facile de trouver l’amour de votre vie, cette personne capable de combler vos vides, d’arrondir les angles et de vous faire exister.

    Or, parfois, le temps apporte une dure réalité : nous devons le laisser partir, car seul, nous respirons la tristesse.

     

    Les relations affectives ne sont pas faciles. Parfois, même l’amour n’est pas suffisant et à cause de cela, nous commençons à ressentir de la frustration voire même un certain désespoir au moment de nous engager de nouveau.

    Or il faut avoir à l’esprit une chose : l’amour de votre vie ne se base pas sur une seule personne. Il n’existe pas d’amour parfait ni idéal.

    Les relations se construisent, pour peu qu’il vaille la peine de rencontrer cette personne qui mérite de faire partie de votre vie.

     

    L’amour de votre vie peut aussi vous décevoir

    couple en train de s'embrasser

    Quand nous aimons quelqu’un nous lui donnons tout, sans limites. Nous savons que, comme nous le rappellent la psychologie émotionnelle et les gurus des relations comme Walter Riso, « nous ne devons nous accrocher à personne » et« premièrement nous existons nous puis vient notre couple »

    Mais dans la vie réelle, il nous est très compliqué de respecter ces aspects.

    • Quand vous trouvez l’amour de votre vie vous êtes capables de tout lâcher, de ne plus voir d’obstacles et de donner priorité à votre être aimé sur tout le reste.
    • Aimer c’est aussi prendre des risques, et c’est pour cela qu’il est normal de renoncer à certaines choses et de faire de grandes prouesses pour parvenir à ce supposé bonheur aux côtés de la personne que nous pensons être idéale.
    • Toute relation nécessite des compromis, des illusions et de la volonté, mais quand nous pensons avoir trouvé la personne adéquate, ces dimensions acquièrent une plus forte intensité.

    Le principal problème pour trouver l’amour de votre vie c’est que vous vous focalisez sur beaucoup de rêves, de désirs et de projets.

    Ces aspect peuvent se renverser peu à peu lorsque nous nous rendons compte que la relation est insoutenable et douloureuse.

    Nous pourrions conclure que l’amour est aveugle et que nous nous fixons sur les mauvaises personnes. Rien n’est moins sûr.

     

    Ce que vous devez savoir sur l’amour de votre vie

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    L’amour de votre vie est une personne aussi imparfaite que vous

    N’idéalisez pas, et ne projetez pas sur l’autre des aspects qui ne sont pas réels. C’est une erreur que font de nombreuses personnes et qu’il faut prendre en compte.

    • Apprenez à connaître et observez la personne dont vous tombez amoureux « sans anesthésie » et dans la plus grande réalité. Personne n’est parfait, comme nous ne le sommes pas nous mêmes.
      Il s’agit d’accepter les défauts, les manies et les habitudes
      tout en sachant les incorporer aux nôtres pour pouvoir cohabiter.

     

    La personne idéale peut apparaître plusieurs fois

    Il est fréquent de tomber sur l’idée « qu’il y a eu quelqu’un de parfait », quelqu’un que nous avons laissé derrière et que nous avons mis sur un piédestal, que personne ne peut égaler. Ne le faites pas.

    • L’amour parfait peut arriver non seulement une fois, mais plusieurs. Ne vous entêtez pas dans ces termes chargés de romantisme qui nous empêchent de voir la réalité des choses, ou vous souffrirez inutilement.
    • Permettez-vous d’être heureux autant de fois que nécessaire. Cependant,prenez en compte que vous pouvez aussi être heureux sans être en couple. L’important est de ne pas avoir le besoin de chercher quelqu’un de parfait.

    Il suffit que ce soit une bonne personne et que vous sachiez reconnaître ses grandeurs en acceptant aussi ses défauts.

    Réfléchissons maintenant sur ces questions qui peuvent nous donner une piste pour savoir si nous avons trouvé ou non le bonheur aux côtés d’une personne :

    • Vous pouvez être vous-mêmes à n’importe quel moment de la journée.
    • Vous vous sentez libre et heureux d’être engagé.
    • Vous ne pensez plus au passé. Vous ne regrettez rien de ce que vous avez vécu et acceptez toutes vos expériences car elles vous ont permis d’être là où vous êtes : avec la personne aimée.
    • Vous êtes sa priorité et en même temps cette personne vous aide à grandir et à avoir vos propres espaces.
    • Elle est là quand vous avez besoin.
    • Elle sait faire équipe, elle construit et ne détruit pas.
    • Elle sait prendre soin de votre relation à travers des petits détails.
    • Vous riez avec elle, vous profitez, et il y a de la complicité.
    • Les mauvais jours sont moins pires avec son aide.
    • Vous pensez à votre avenir avec cette personne.
    • Vous sentez que c’est un amour mature, où il n’y a pas de jalousie car il y a compréhension et confiance.
    • Vous vous sentez bien avec vous-mêmes quand vous êtes avec cette personne, et même s’il y a des moments compliqués, vous savez que vous pouvez tout surmonter.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Si vous aimez, ne trahissez pas.

    Si vous ne sentez rien, ne donnez pas d’illusions

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si les trahisons les plus communes et douloureuses sont les trahisons de couple, il en existe aussi dans d'autres sphères de notre vie et elles peuvent chambouler tout notre monde.
     
     
     

    Les relations affectives ont comme axe structurel le respect.

    Dans l’amour sincère, les trahisons de n’importe quel type n’ont pas leur place. Les faux doubles sens et les illusions qui se construisent pour sauver un moment donné, non plus.

     

    Il est tout à fait possible qu’au cours de votre vie, vous ayez rencontré des personnes intéressées par une seule chose et qui ne veulent pas quelque chose de durable.

    L’égoïsme les mène à exécuter des manipulations subtiles et à capitaliser sur nos émotions qui, plus tard, sont teintées d’une profonde douleur.

    C’est pour cela que nous devons toujours être conscients de ces mots : si vous aimez, ne trahissez pas, et si vous ne sentez rien, ne donnez pas d’illusions. Nous vous invitons à réfléchir à cela dans cet article.


     

    Les trahisons qui proviennent des êtres que nous aimons le plus

    Les trahisons ne supposent pas seulement un grave impact personnel et émotionnel. Elles laissent aussi une empreinte et peuvent changer une partie de notre caractère.

    • Les trahisons font disparaître l’image positive et significative que nous avions d’un proche.
    • Elles supposent la rupture totale du lien et quasiment toujours de manière traumatisante. La raison de cela est que souvent nous ne nous attendons pas du tout à être trahi au moment où cela arrive.
    • Une déception peut faire que notre auto-estime retombe d’un coup et que nous nous sentions responsable de cette trahison.
    • C’est quelque chose que nous ne devons jamais faire : ne personnalisez jamais vos trahisons : vous n’êtes pas responsable si quelqu’un a choisit de mentir au lieu de vous respecter.

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    Les raisons qui se trouvent derrière les trahisons

    Derrière une trahison, se cache un type bien précis de personnalité :

    • Qui trahit est incapable de ressentir de l’empathie pour son entourage. Il pense en premier lieu à ses propres besoins et ses propres désirs, sans tenir compte des conséquences que certaines actions peuvent entraîner.
    • Pour trahir quelqu’un, il faut penser à des stratégies particulières : savoir captiver, offrir de la confiance et une crédibilité adaptée pour ne pas éveiller de possibles soupçons.
    • De même, la trahison peut être réalisée par simple crainte de révéler une vérité.

    Donnons un exemple : vous avez arrêté d’aimer votre conjoint mais vous n’osez pas le lui dire et vous laissez passer le temps. Cet acte est aussi une trahison car on alimente des émotions et des illusions fausses.

    • Derrière ces profils, peut se cacher une immaturité émotionnelle, et même l’égoïsme et l’irresponsabilité de ceux qui sont uniquement capables de créer des liens fragiles et chargés de souffrance.

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    Attention aux fausses illusions

    Tout au long de notre vie, nous avons tous hébergé de fausses illusions sur des personnes. À propos d’illusions, il est important d’approfondir, tout en distinguant deux aspects essentiels :

    Les illusions que nous créons nous-mêmes

    A priori, avoir des illusions n’est pas négatif, dans le sens de « rêves ». Cela implique d’avoir un objectif concret, de cultiver des émotions positives qui peuvent déployer de nouvelles actions qui s’ajustent à la réalité.

    • Mais quand ces attentes ne sont pas vraiment réelles, les illusions que nous nous créons peuvent supposer une chute abrupte.
    • Il y a ceux qui ont des illusions sur des personnes qui sont hors de portée, et ceux qui concentrent tous leurs rêves sur des personnes qui leur ont opposé un non catégorique.

    Les fausses illusions, celles qui ne sont ni crédibles ni logiques, génèrent une douleur émotionnelle et nous empêchent d’avancer, de pouvoir nous améliorer et d’ouvrir d’autres portes pour de meilleures opportunités.

    Fille-rousse

    Les illusions que les autres nous font croire

    C’est, sans aucune doute, l’une des expériences les plus douloureuses que l’on peut expérimenter. Il y a des personnes qui créent en nous des émotions, des rêves et des espoirs qui ne sont pas réels, et ces personnes sont à tout moment conscientes de ce qu’elles sont en train de faire.

    • Les fausses illusions que les autres nous font croire sont aussi un type de trahison très destructif à court et à long terme.
    • C’est l’une des causes de rupture les plus communes dans les relations affectives.

    Tu m’as fait croire que tu m’aimais vraiment », « Tu m’as fait vivre dans un océan de faussetés », « Tu m’as fait arrêter des choses qui m’étaient chères alors que tout était feint ». 

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    Si vous vous demandez de quelle manière vous pouvez savoir si quelqu’un est en train de vous donner de fausses illusions, nous vous répondrons que c’est quelque chose de très compliqué à entrevoir ou à découvrir.

    Cependant, il est bon de tenir compte des conseils suivants :

    • Prêtez attention aux détails et aux résultats à court terme. Si on vous promet certaines choses comme « aujourd’hui, je vais sortir du travail plus tôt pour être avec toi », vérifiez que chaque affirmation soit respectée.
    • Les « investissements personnels et émotionnels » doivent être équilibrés. À partir du moment où vous commencez à renoncer à trop de choses pour rendre heureux l’autre personne, la relation partira à la dérive. 

    Qui vous aime sait former une équipe avec vous et les illusions qu’il crée en nous sont réelles : elles se remarquent, elles se touchent, elles se perçoivent et se réalisent à court ou long terme. Ne l’oubliez jamais.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Je préfère gêner avec la vérité qu’éblouir avec des mensonges

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Lorsqu'on dit la vérité, nous devons le faire selon les règles du respect, toujours avec tact pour que notre interlocuteur ne se sente pas attaqué par nos mots.
     
     
     

    La fausseté fait partie de notre vie et de la société. Pour beaucoup, c’est un mode de survie et d’intégration.

    À l’inverse, pour d’autres, c’est une dimension que l’on préfère éviter car cela amène plus de problèmes qu’autre chose.

     

    Selon une étude menée par le psychologue social Robert Feldman, 60% des personnes sont capables de dire 3 mensonges par jour. Certains sont inoffensifs et d’autres, bien sûr, sont bien plus sérieux.

    Le mensonge, la trahison et la fausseté sont des attitudes très fréquentes chez les personnes qui nous entourent. Nous en protéger n’est pas si simple, tout comme pratiquer la sincérité qui dans bien des cas, a tendance à gêner plutôt qu’à plaire.

    Cela vous est arrivé ? Nous vous invitons à réfléchir à cela.
     

     

    La fausseté, un instinct de survie à double tranchant

    Jean-Paul Sartre disait que : « Quiconque est authentique, assume la responsabilité d’être ce qu’il est et se considère comme étant libre d’être ce qu’il est ».

    C’est une grande phrase qui nous invite à penser à la difficulté de toujours dire la vérité. Lorsque nous sommes sincères, comme nous le dit Sartre, nous devons être responsable de ce que nous disons et faisons.

    Dire à un collègue de travail, par exemple, que son comportement est gênant et qu’il nous empêche d’être productif, peut faire qu’il ne nous parle plus voire pire, que d’autres collègues nous critiquent car nous avons été trop sincères.

    Le simple fait de devoir se taire à chaque chose qui nous fait du mal ou nous gêne suppose de vivre en infériorité. On préfère le mensonge ou le silence à la gêne ou au déséquilibre que l’on pourrait générer en disant la vérité.

    Pourtant, ce n’est pas une bonne chose.

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    L’usage des mensonges pour se sentir accepté

    Parfois, nous avons le sentiment que la société paraît nous imposer de mentir pour mieux nous adapter et ainsi nous sentir accepté.

    • Peu à peu, nous finissons par donner une image si différente de nous-même que nous ne nous reconnaissons plus, et cela suppose une source de stress et de douleur émotionnelle que nous devrions tous pouvoir gérer.
    • Nous évitons de dire certaines choses à nos proches car nous savons qu’ils ne vont pas accepter la critique de manière constructive.
    • Il y a ceux qui disent des mensonges sur eux-mêmes pour se sentir accepté (très fréquent, par exemple, chez les adolescents).
    • Nous mentons sur nos goûts face à certaines personnes pour ne pas nous sentir rejeté, nous utilisons la fausseté dans les fêtes ou dans les réunions sociales pour nous « harmoniser » avec le reste, même si cela ne nous plaît pas.

    Ce sont des pratiques que nous avons tous adoptées plus d’une fois et à long terme, qui nous ont fait du mal. C’est pour cela qu’il arrive toujours un moment où nous refusons de continuer à avoir ce type de comportement.

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    Parfois, l’usage constant de la sincérité nous apporte aussi des problèmes

    Dire la vérité sans anesthésie et sans avertissement, fait mal. Lorsque l’on utilise la sincérité, il est nécessaire de le faire avec tact, modération et intelligence.

    • Nous ne pouvons pas, un beau jour, dire à notre conjoint que nous ne l’aimons plus. La vérité soudaine fait mal et c’est pour cela qu’il est préférable de l’utiliser au quotidien (ce qui s’est passé ne m’a pas plu, je me rends compte que les choses ne vont pas bien entre nous…)
    • L’usage de la sincérité n’est pas quelque chose que tout le monde accepte. De fait, il est possible que vous même l’ayez expérimenté dans votre propre chair : quand vous dites une vérité, on peut vous rétorquer que vous êtes égoïste ou insensible.
    • Tout comme la fausseté, la sincérité est une arme à double tranchant. Utiliser la vérité dans toutes les sphères de notre vie nous amène des conséquences inattendues.

    Cependant, comme on dit souvent dans ces cas, si notre conscience est tranquille et que nous nous sentons bien (et même libérés), cela en aura valu la peine.

     

    La vérité doit être utilisée avec intelligence, et non pas comme une arme d’agression

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    Tout comme la fausseté fait du mal, la sincérité la plus crue peut aussi amener des conséquences douloureuses qu’il est préférable de savoir gérer.

    Vous connaissez sûrement quelqu’un qui se vante d’être très sincère. C’est la personne typique, qui n’est pas mauvaise langue, mais qui est toujours en train d’attaquer (Marie est de plus en plus grosse, tu sembles de plus en plus bête, ce que tu as fait est ridicule…).

    • Nous sommes capables d’offrir une vérité qui « nous permet d’élever les autres » et non pas de les humilier. 
    • L’usage de la vérité doit nous permettre d’être libres de ceux qui nous font du mal et de mettre des limites à notre vie mais, nous devons être capable de l’utiliser avec respect.

     

    Parfois, nous gênons avec notre sincérité, c’est évident. Cependant, la gêne ne doit jamais être une agression, mais un chemin sur lequel chacun respecte le chemin des autres dans une vie en commun paisible.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Nous devons être heureux, pas parfaits

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Nul besoin d'avoir un corps basé sur les canons de la mode pour trouver le bonheur. La perfection se trouve dans le fait d'accepter nos imperfections car c'est uniquement ainsi que l'on pourra être heureux.
     
     
     

    Nul besoin d’être parfait pour être heureux. La perfection est un idéal que même les artistes n’arrivent pas à atteindre car, parfois, c’est cette nuance d’imperfection qui leur donne cette beauté unique et extraordinaire.

     

    À présent, nous tombons parfois dans l’erreur d’aspirer à des objectifs que la société nous impose : avoir un corps parfait, une maison parfaite, un travail parfait, des enfants parfaits…

    Si vous avez déjà été tenté, si vous vous êtes laissé porter par ces idéaux, vous aurez sans doute découvert qu’on en paye le prix : malheur, faible auto-estime et sensation de perte de contrôle sur sa propre vie.

    Le bonheur correspond tout simplement à l’équilibre. Il s’agit de trouver le point parfait où nous nous retrouvons bien avec nous-même, sans besoin d’autre chose, et sans l’obligation d’obtenir ce que les autres pensent qui est bon pour nous.

    Aujourd’hui, dans cet article, nous vous invitons à tenir compte de certains aspects importants autour de ce sujet.

     

    L’effort inutile d’être parfait

    Lors des derniers mois, une pratique aussi naïve qu’ingénue est à la mode et elle concerne l’auto-estime sur les réseaux sociaux. Il s’agit de faire une photo de soi avec une feuille de papier A4 posée sur le ventre.

    De cette façon, les filles montrent qu’elles ont une taille fine et donc « belle ». Toute fille dont la taille excède ces proportions n’est supposément pas « parfaite ».

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    Une autre pratique que nous avons vue il y a peu consiste à se photographier les jambes pour démontrer qu’il existe un espace où les cuisses se ne touchent pas. Cela prouve la minceur de la fille en question, une minceur qui serait convoitée par toutes.

    Ces « modes » apparemment innocentes laissent des traces : beaucoup de filles sont marquées et veulent correspondre à ces stéréotypes.

    Elles souhaitent aspirer à un modèle de beauté stipulé par la société et les modes. Toutes celles qui n’ont pas cette constitution naturelle sont obligées de souffrir pour y arriver.

    La société et les modes ne réussissent qu’à nous « déconnecter » de nous-mêmes et à nous emmener sur le terrain du malheur et de la consommation (médicaments pour mincir, consommation de nourriture light…).

     

    Imparfait, libre, satisfait et heureux

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    Il arrive toujours un moment où, dans notre vie, nous sommes à l’équilibre. Autant d’efforts, de souffrance et d’idéaux impossibles à accepter en valent-ils la peine ?

    Si vous connaissez quelqu’un prisonnier de ce besoin d’être parfait comme dans la mode, nous vous recommandons de l’obliger à réfléchir à ce qui suit :

     

    Apprenez à être plus libre

    La liberté est la capacité de briser des chaînes extérieures pour se retrouver avec soi-même. Que vous le croyiez ou non, il n’y a pas de sensation plus agréable et satisfaisante.

    Pour l’obtenir, il faut tenir compte des stratégies suivantes :

    • Apprenez à être conscient de tout ce qui entrave votre liberté (personnes, modes, habitudes…)
    • La liberté nous oblige à tenir compte de ce qui, véritablement, est important pour nous et de plus, nous permet de nous réconcilier avec nos essences et notre voix intérieure.

     

    L’acceptation des imperfections comme une forme d’authenticité

    • Votre nez est trop aquilin ou trop aplati… Et alors ? C’est un trait hérité de votre famille et qui vous permet ainsi d’être unique.
    • Vos hanches sont trop larges… Et donc ? Si nous étions tous pareils et que nous avions les mêmes mesures, nous serions des robots, des êtres créés en séries et personne ne se détacherait des autres par ses qualités.
    • Chaque trait, chaque attribut de votre visage et de votre constitution font de vous une personne unique et exceptionnelle. Si de plus, vous prenez soin de vous, que vous allez bien et que vous êtes connecté avec cette image que vous rend le miroir, vous ne ressentirez pas de bonheur plus authentique que celui de quelqu’un qui s’aime et qui s’accepte tel qu’il est. 

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    Le bonheur est l’absence d’insécurité et de peur

    Le bonheur, ce n’est pas accumuler des choses ou des personnes. Le bonheur n’est pas une formule magique que l’on trouve uniquement dans les livres des gourous, de l’épanouissement personnel ou de la spiritualité.

    Pour être heureux, il suffit d’arrêter d’avoir peur, et surtout d’arrêter d’aspirer à être quelque chose que nous ne sommes pas.

    Si vous n’êtes pas riche et que vous n’avez pas un corps de rêve, acceptez la magie de vos imperfections et apprenez à être heureux humblement.

     

    Le bien-être n’a pas de secret. Pour être parfait, la seule chose à faire est d’être calme, de compter sur des gens qui nous aiment, qui ne nous jugent pas et qui nous permettent d’être nous-même.

    Nous vous encourageons à mettre tout cela en pratique et à cultiver ce bonheur simple qui naît dans le cœur.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Amours à l’âge adulte : quand les âmes sages se rencontrent

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    L'un des avantages qu'ont les amours de l'âge adulte est que chacun sait bien ce qu'il veut et ce qu'il doit offrir à l'autre.
     
     
     

    Les amours matures peuvent paraître, à vue d’œil, identiques aux autres. Pourtant, pour les personnes qui les vivent, cela représente le point culminant de la vie, la rencontre avec soi-même grâce à une personne avec qui on « s’emboîte » en termes d’esprit et de cœur.

     

    Le plus curieux des amours matures, c’est qu’elles surgissent au moment où personne ne s’y attend.

    Il est fréquent que beaucoup de personnes aient déjà vécu de nombreux échecs affectifs et même, qu’elles aient déjà pensé à mettre une serrure à leur cœur pour arrêter de souffrir.

    Cependant, comme cela arrive dans de nombreux cas, quand on n’attend rien, tout arrive et soudain, survient cette rencontre inopinée, cette conversation sans importance qui petit à petit fait se connecter deux mondes, deux univers.

    Aujourd’hui, nous vous invitons à vous plonger dans le thème des amours matures.

     

    Les amours à l’âge adulte : les plus tranquilles, les plus sages

    Commençons par un aspect important : l’âge adulte est marqué par un nombre déterminé de décennies vécues.

    Pourtant, la maturité de l’âme, de l’esprit et du cœur n’est pas marquée par les années vécues mais par l’apprentissage obtenu et les sages valorisations que nous avons obtenues de lui.

    C’est pour cela que la personne qui a plus de 50 ans peut montrer autant d’irresponsabilité et d’immaturité qu’un adolescent.

    D’autres personnes, à l’inverse, arrivent très tôt à l’âge adulte, quand elles atteignent cet équilibre intérieur où tout est accepté et où le futur est abordé avec aplomb,optimisme et sérénité, ainsi qu’avec l’envie de vivre de nouvelles expériences.

    Voyons les détails dans la suite de cet article.

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    Deux âmes qui connectent leurs bagages personnels

    Nous sommes tout ce que nous avons vécu, senti, valorisé et perdu. C’est pour cela que lorsqu’on débute une relation, cela ne sert à rien d’oublier tout ce qui a été vécu hier, ni d’effacer toutes les amours passées pour se focaliser sur le présent.

    • La mémoire n’oublie pas, la mémoire intègre et transforme.

    D’où le fait que les amours matures deviennent des relations sages et pleines où le couple accepte tout son passé car il lui sert pour savoir ce qu’il désire dans le présent, et ce qu’il n’est pas disposé à supporter.

    • Ce sont deux personnes qui se trouvent avec leurs succès et leurs blessures personnels et qui comprennent que pour être en couple, ils n’ont pas besoin d’être d’accord sur tout. Il faut seulement respecter les différences de chacun.
    • Les amours de l’âge adulte ont des bagages particuliers mais, au lieu de les cacher, il est important d’en parler avec la complicité de deux personnes qui se comprennent et qui respectent le passé de chacun.

    La maturité de profiter du présent avec plénitude

    Peut-être que les amoureux n’ont pas la fougue qu’ils avaient à 20 ans, mais ils ne la désirent pas non plus.

    Les couples qui ont trouvé le bonheur à l’âge adulte savent et comprennent que c’est le meilleur moment de leur vie. Ils ne regrettent pas le passé et ne craignent pas le futur.

    • Il n’y a pas meilleure manière de profiter du présent à travers un amour qui nous fait rêver, qui nous unit à la terre et à nous-mêmes. C’est comme trouver ce qui nous a toujours fait rêver et ainsi, nous vivons pleinement le « ici et maintenant », en renforçant notre auto-estime.

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    Un amour à notre taille

    Quand nous arrivons à la maturité, nous sommes déjà passé par de nombreux cycles : nous avons pu être marié ou pas, avoir eu des enfants ou pas, avoir affronté un divorce ou pas.

    Mais, après toutes ces expériences, on sait bien mieux ce que l’on désire. 

    On dispose d’une grande tranquillité personnelle car, finalement, les années nous structurent et nous rendent plus matures en tant que personne.

    C’est une valeur ajoutée qui fait que nos relations, si nous choisissons d’en avoir de nouvelles à l’âge adulte, sont vécues totalement différemment.

     

    La jeunesse éternelle réside aussi dans la capacité d’aimer

    Être jeune de cœur est une vertu que nous devons travailler chaque jour, en commençant par nous aimer nous-même.

    • De plus, si nous tournons la page du passé et que nous décidons de débuter une nouvelle relation à l’âge adulte, cette injection de jeunesse nous envahira de l’intérieur, en nous comblant de rêves rebelles, de passion, d’envies, de projets et d’émotions très vivifiantes.
    • L’amour n’a pas d’âge, ni de nationalité, ni de couleur. Peu de choses sont aussi universelles que ces âmes qui s’illuminent les unes à côté des autres, pour suivre le même chemin.

     

    Si l’intelligence et la réflexion s’aiguisent chez la plupart des personnes grâce au temps qui passe, nous avons tous le choix d’allumer ou non cet interrupteur sans âge appelé passion et amour.

    Ce merveilleux sentiment que l’on trouve de manière fortuite et pour laquelle cela vaut la peine de lutter chaque jour.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Penser que vous n’êtes meilleur que personne

    vous rend mieux que beaucoup

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il faut savoir que la vie, ce n'est pas une compétition avec les autres. Au pire, une compétition avec soi-même, pour obtenir la meilleure version de soi.
     
     
     

    Apprendre à être meilleur est un sujet que beaucoup de livres et de techniques de développement personnel abordent. 

    Pour cela, ils nous guident pour pratiquer la connaissance de soi et l’attention intérieure et s’aider du renfort de l’auto-estime.
     

    Nous devons savoir qu’être une meilleure personne ne doit pas nous faire croire que nous devons être meilleur que les autres. Nous serons toujours ni plus ni moins que nous-même.

    Nous sommes certains que vous connaissez quelqu’un qui, par son attitude, son comportement et sa façon de forger des relations, montre qu’il se sent justement meilleur que les autres.

    Nous vous invitons à réfléchir à cela.

     

    Quand ne pas avoir besoin d’être meilleur que les autres nous rend meilleur que la plupart

    Aujourd’hui, les experts parlent d’une tendance qu’ils nomment le « matérialisme spirituel ». Il s’agit de cet intérêt actuel pour la connaissance de soi.

    C’est un sujet qui conduit beaucoup de gens à s’éloigner des autres.

    Dans cette recherche d’écoute de soi-même, d’auto-estime et d’amélioration de soi-même, il y a des personnes qui confondent les concepts et qui les abordent de manière erronée : elles aspirent à être meilleures que tout le monde.

    Il est donc nécessaire d’aborder cette idée de façon adaptée. On peut développer de nouvelles stratégies pour renforcer son auto-estime, pour enrichir nos relations et atteindre de meilleures réussites, mais jamais dans l’idée de dépasser les autres.

    Fille-avec-papillons-dans-la-main

    La personnalité humiliante

    Qui pratique l’orgueil, qui a besoin d’être en concurrence et de montrer de la supériorité, cache en lui une faible auto-estime.

    Le plaisir de montrer de la « supériorité », de montrer de meilleures aptitudes et même d’humilier le reste avec cette attitude toute-puissante sert à renforcer l’estime de soi qui est souvent très faible.

    Dans notre cercle social, dans le travail, parmi nos amis et nos proches, se trouve toujours la personne classique qui utilise l’ironie pour ridiculiser le reste, et ainsi mettre en évidence ses meilleures aptitudes.

    De même, cela arrive aussi avec le phénomène inverse. Parfois, on peut être confronté à des personnes qui aiment se représenter comme des victimes.

    Ce sont celles qui « souffrent le plus », et celles qui comprennent le mieux ce qu’est le rejet, le fait de se sentir mis à l’écart et peu valorisé.

    Au fond, c’est le revers de la médaille : une faible estime de soi pour s’affronter aux autres se transforme souvent en humiliation.

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    L’humilité de ne pas désirer être meilleur que les autres

    Personne ne doit avoir besoin de cette soif de compétition ou de supériorité personnelle pour se sentir meilleur, car cela provoque de la souffrance et de l’humiliation chez les autres.

    • Le plus grand plaisir se trouve dans le fait de se dépasser soi-même, et dans le fait d’être une meilleure personne chaque jour, en prenant comme références ses propres besoins, et jamais les fragilités des autres.
    • Si hier, nous nous sentions peu sûrs de nous, si nous n’avions pas confiance en nos capacités pour accéder à tel ou tel travail ou pour tisser des liens avec une personne qui nous attire, et qu’aujourd’hui, nous avons réussi, c’est que nous avons réussi à « être meilleur ».
    • C’est ici que réside notre grandeur : réussir à grandir et à s’améliorer chaque jour car qui vit obsédé par la compétition et le défi s’oublie soi-même.

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    • Qui cherche à être meilleur que tout le monde n’est pas humble. L’humilité est l’aspiration que nous devrions tous savoir appliquer au quotidien dans chacune de nos entreprises et de nos comportements.
    • L’humilité est la meilleure des forteresses. Elle nous permet tout d’abord d’accéder à une bonne connaissance de nous-même et ensuite, de nous accepter.

     

    S’améliorer chaque jour en tant que personne

    Une fois que nous nous acceptons, notre plus grand défi sera de continuer à grandir et à être meilleur, pour aspirer à ce bonheur des petites choses qui nous enrichissent tant. 

    De plus, être meilleur a un impact sur les personnes qui nous entourent.

    Pour conclure, nous savons que si nous devons nous habituer à quelque chose, c’est bien à ces personnes dont le cœur est habité par la vanité et l’orgueil.

    Mais, au lieu de nous énerver et d’augmenter cette colère ou ce mépris, nous devons penser que cela ne vaut pas la peine de cultiver des émotions négatives.

    • L’idéal est de les accepter telles qu’elles sont, de marquer des limites et de nous éloigner. Le succès réel et authentique ne se trouve en aucun cas dans le fait de se considérer meilleur que les autres, et de déborder d’orgueil.
    • Le triomphe le plus noble se trouve dans le fait de s’accepter et de respecter les autres, même si on ne partage pas leurs croyances ni leurs comportements.

    Les récompenses finissent toujours par arriver, avec un bien-être intérieur ou avec la sensation que notre soif de compétition nous a légué une solitude triste et non désirée.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • La simplicité fait d’une personne banale quelqu’un d’exceptionnel

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    La simplicité est le langage qui naît du cœur et qui ne comprend ni ne cherche d’artifices.

    C’est la volonté de respecter les autres autant que soi-même, en menant une vie où l’on accepte et où on célèbre tout ce que l’on possède, aussi minime soit-il.
     

    Nous pourrions dire qu’aujourd’hui, nous ne sommes pas habitués à ces actes chargés de simplicité et d’humilité.

    Nous avons souvent des aspirations très élevées, des rêves impossibles et des habitudes éloignées des actes les plus purs et élémentaires qui définissent l’humilité.

    Cependant, à un moment, beaucoup d’entre nous arrivent à un point où la vision de la vie change.

    Nous souhaitons nous débarrasser de nos « peaux » pour reprendre nos essences, nos origines. Nous commençons à pratiquer la simplicité du cœur et nous nous sentons heureux.

    Nous vous invitons à réfléchir à cela.

     

    La simplicité, cette dimension qu’il est si difficile d’accepter

    La simplicité n’a rien à voir avec une bonne ou une mauvaise personne. Nous savons tous très bien ce qu’est la noblesse et l’importance d’agir avec respect, dignité et réciprocité.

    À présent, la simplicité est une dimension un peu complexe, qui implique divers actes psychologiques qui méritent d’être soulignés.

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    La simplicité de pensée

    • La simplicité de pensée n’est pas la simplicité de raisonnement. Au contraire : c’est l’aptitude à voir les choses telles qu’elles sont, avec une totale objectivité.
    • Il y a des personnes qui voient la réalité et les comportements d’autrui selon leurs propres croyances. Elles osent juger et étiqueter. À l’inverse, les personnes à la pensée simple ont la capacité de voir les choses « telles qu’elles sont », en les acceptant même si elles ne les aiment pas.
    • Des choses aussi simples que la franchise et l’objectivité nous permettent d’agir avec un plus grand aplomb et discernement. Ce sont des qualités très saines que nous devrions tous essayer de développer.

     

    Le don de ne se sentir attaché à rien

    Il est important de définir ce que nous entendons par attachement. Les enfants, par exemple, ont besoin de ressentir de l’attachement vis à vis de leurs parents pour se sentir aimés et en sécurité.

    • Les couples ont aussi besoin d’une affection mutuelle, mais nous parlons ici d’un attachement sain, pas toxique ni manipulateur.
    • D’autre part, les personnes simples ont la capacité de ne pas se sentir attachées à ce qui est physique, de ne pas avoir besoin de plus que ce qui se trouve autour d’eux, et de ne pas s’attacher à quelqu’un au point de lui enlever sa liberté, son essence, et son identité.
    • Les personnes simples « sont comme elles sont ». Elles ne souhaitent pas imposer leurs idées, elles ne jugent pas, elles ne discriminent pas et ne cherchent pas à contrôler, rien ni personne.

     

    L’union avec soi-même pour profiter de l’environnement et des personnes aimées

    Se connaître soi-même, savoir quelles sont les peurs qui nous définissent, quelles sont nos vertus et où se trouvent nos limites sont les chemins les plus puissants pour l’acceptation de soi.

    • Que vous le croyiez ou non, c’est un concept que tout le monde ne comprend pas. L’acceptation de soi est le premier pas vers des relations positives et enrichissantes.
    • Qui s’accepte soi-même accepte les autres, et n’attend pas d’eux qu’ils comblent ses vides, qu’ils élèvent son estime ou qu’ils lui apporte des joies quand il est pétri de peurs.
    • Les personnes humbles n’attendent rien de personne, elles n’attendent que d’elles-mêmes. C’est ainsi qu’elles peuvent offrir le meilleur aux autres, en évitant les déceptions classiques que beaucoup d’entre nous ressentons.

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    Le chemin vers la simplicité

    Il est fréquent qu’à un moment donné, pendant notre vie, nous passions par ce cap de l’humilité.

    • Nous le faisons car nous nous sentons surchargés par ce monde marqué par la compétition et par un rythme accéléré qui nous éloigne des choses les plus importantes : le bien-être, le calme, la sérénité, les amis, la famille et bien sûr, nous-même.
    • Se souvenir que « moins est plus » peut nous aider à mettre en priorité ce qui peut réellement nous rendre heureux.
    • Les actes simples sont ceux qui possèdent l’authenticité des sentiments et la pureté du cœur : la caresse de l’être aimé, le rire de nos enfants, une conversation avec des amis, une promenade sur la plage, rendre un service en échange de rien…

     

    Nous sommes sûrs qu’autour de vous, vous avez plus d’une personne d’âme simple et exceptionnelle qui enrichit votre vie.

    Ne les perdez pas, car ce sont des lumières dans l’épaisseur de la modernité parfois trop complexe, et elles nous servent d’exemples et d’inspiration.

    Ce sont des guides de richesse émotionnelle et d’humilité qui éclairent nos sentiers. Cela vaut la peine de les imiter.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les bonnes personnes pleurent parfois en cachette

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si elles semblent fortes et qu'elles peuvent affronter tous leurs problèmes, les leurs et ceux des autres, les bonnes personnes ont aussi des limites et ont besoin de soutien.
     
     
     

    Les bonnes personnes ont beaucoup de déceptions dans leur cœur, et même si elles montrent une belle intégrité et un aimable sourire, elles revêtent parfois une double armure derrière laquelle elles peuvent se cacher pour pleurer et pour soulager leurs amertumes lorsqu’elles sont seules.

     

    Les bonnes personnes n’ont pas toujours été joyeuses, mais elles ont une force qui leur apprend à être courageuses et à faire face aux difficultés en regardant vers le futur et en apportant le meilleur à ceux qui les entourent.

    Cependant, il faut savoir qu’il est nécessaire de disposer de ses espaces propres, et de moments où il faut penser à soi et à son auto-estime car celui qui vit uniquement pour donner aux autres, est parfois vide à l’intérieur.

    Nous vous invitons à réfléchir à cela dans cet article.

     

    Les bonnes personnes revêtent une seconde peau qui les rend particulières

    Les personnes au cœur noble revêtent une carapace grâce à laquelle elles montent leur intégrité, leur dépassement et leur force.

    Cependant, ce n’est rien d’autre qu’une armure de protection, car à l’intérieur se trouve un cœur trop sensible aux douleurs du monde.

    Ces personnes peuvent penser qu’elles sont capables de tout résoudre et d’apporter la meilleure réponse à n’importe quel problème et qu’elles représentent ce câlin qui enveloppe toute âme qui a besoin de soutien.

    Cependant, il faut savoir que celui qui vit uniquement pour consoler finit par accumuler trop de tristesse en lui. 

     

    Il est important de tenir compte des aspects suivants :

     

    Les bonnes personnes sont des personnalités hautement sensibles

    Il se peut que plus d’un se demande ce que nous appelons « bonnes personnes ». Nous savons tous ce qu’est le bien, et nous faisons le maximum pour ceux qui nous entourent : respect, vie en commun, harmonie etc.

    Alors… Qui a le privilège d’être une meilleure personne que les autres ?

    • En réalité, c’est seulement un terme pour désigner ces personnes qui pensent d’abord aux besoins des autres qu’aux leurs.
    • Elles perçoivent très intensément la souffrance et les inquiétudes des autres. Elles sont plus réceptives et émotionnellement plus sensibles.
    • Le fait de montrer plus de proximité pour les autres fait aussi qu’elles souffrent de plus de déceptions et qu’elles ne peuvent pas gérer efficacement cette quantité de douleur émotionnelle si importante.
    • Elles ne récupèrent pas si rapidement. Une mauvaise parole, de l’insolence, ou un acte égoïste laissent une empreinte en elles et même si elles le dissimulent en affirmant leur intégrité, elles sont blessées de l’intérieur.

     Les bonnes personnes pleurent parfois en cachette

    Elles évitent de montrer leurs blessures, de parler de leurs problèmes ou de se montrer vulnérables

    C’est une caractéristique très habituelle chez les personnes qui ont un cœur noble. Cette seconde peau dont nous parlions au début agit comme une sorte de revêtement qui sert à cacher la douleur émotionnelle.

    • Tout comme il y a des personnes qui aiment mettre en avant leurs déceptions ou leurs douleurs, les personnalités les plus nobles évitent cela et elles les cachent et les dissimulent très bien.
    • Le problème se trouve dans le fait qu’elles accumulent trop de déceptions et de faits non gérés et non affrontés. Toute cette douleur émotionnelle laisse des traces et la charge peut être insoutenable.
    • Malgré cela, elles continuent à agir comme d’habitude, et disent oui à tout, alors qu’elles n’en peuvent plus, et qu’elles aimeraient se retrouver seules.

    Ce n’est pas une bonne chose à faire.

     

    Comment gérer la douleur émotionnelle que nous accumulons en cachette ?

    Pensez que chaque déception, chaque insolence et chaque trahison va laisser une marque en vous. Sachez que celui qui est habitué à trop pardonner donne aux autres l’autorisation de faire du mal.

    Nous ne devons pas le permettre. Les bonnes personnes n’ont pas d’ailes, ce ne sont pas des anges destinés uniquement à réaliser des vœux, à assainir des solitudes et à soulager des problèmes.

    Elles sont en chair et en os et ont un cœur plus fragile que la plupart des gens.

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    C’est pour cela qu’il est nécessaire de mettre en pratique les stratégies suivantes.

     

    Du temps pour vous, du temps pour le soulagement émotionnel

    Si vous n’êtes pas bien, vous ne donnerez pas le meilleur de vous-même à ceux qui vous entourent.

    Petit à petit, vous pouvez tomber dans un cercle vicieux où la frustration finira par empêcher votre épanouissement personnel.

    • Offrez-vous du temps pour prendre soin de vous et vous écouter. Vous avez le droit de dire « NON », car un non sincère et à temps montre aux autres que vous avez des besoins, et ce n’est pas pour cela que vous êtes une mauvaise personne.
    • Pratiquez le soulagement émotionnel pour canaliser beaucoup de ces sensations qui vont à votre encontre. Pleurez si vous avez besoin, écrivez, promenez-vous et parlez à d’autres personnes qui peuvent vous comprendre et vous aider.
    • Vous aussi avez besoin du soutien des autres. Vous n’êtes pas un super-héros, vous êtes une personne au cœur sensible qui mérite aussi de la reconnaissance et de la tendresse.

     

    Offrez votre énergie et vos émotions à qui le mérite vraiment

    Que nous le voulions ou non, il arrivera un moment où nous devrons sélectionner. Il y a des personnes qui donnent tout à quelqu’un et qui ne reçoivent que mépris en retour.

    Nous devons éviter d’investir du temps, des efforts et des émotions pour les personnes qui nous font du mal, car nous pourrions ressortir très blessés de la relation.

    Penser à vous ne signifie pas être égoïste. Il s’agit seulement de maintenir un équilibre adapté où tout le monde sort gagnant, et où la réciprocité et le respect nous permettent de grandir avec le langage qui provient du cœur et de la sincérité.

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • L’amour qui se mendie n’est pas de l’amour

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Quand on mendie l'amour, il est très facile de tomber dans le chantage ou la manipulation, et s'oublier soi-même. Il ne faut pas se faire avoir par de faux espoirs, il faut accepter la fin de la relation et faire face au futur.
     
     
     

    Qui mendie de l’amour sait très bien que son engagement n’est plus authentique, et que la relation est éteinte.

    Même ainsi, on cherche à raviver les charbons ardents avec le désespoir de celui qui rêve d’une deuxième chance, mais la seule chose que l’on obtient, c’est de la souffrance.

     

    Il faut tenir compte d’un autre aspect : qui commet l’erreur d’implorer d’être aimé, donne à l’autre personne une position de pouvoir très dangereuse.

    C’est alors que l’on peut tomber sans s’en rendre compte dans des relations déséquilibrées où entrent la manipulation et même l’humiliation.

    Qui mendie de l’amour peut se perdre soi-même, et quand cela arrive, notre auto-estime s’en retrouve sérieusement affectée.

    Il est très important d’en tenir compte.

     

    L’amour qui se mendie ou se supplie est déjà un amour perdu

    Il n’est pas facile d’admettre que notre relation n’est plus, que nous vivons dans le faux, que l’autre personne se trouve à des années lumière et que nous sommes déjà un satellite qui tourne inutilement autour d’elle.

    Même si notre radar émotionnel est totalement conscient du fait qu’il n’y a plus d’amour, nous utilisons le déni comme mécanisme de défense pour nous amarrer à l’espoir.

    Nous voulons nous accrocher à cette illusion, pour continuer à alimenter un amour irréel mais duquel nous ne pouvons pas nous défaire.

    Qu’y-a-t-il derrière ces comportements ? Pourquoi demandons-nous à l’autre de nous aimer encore, alors qu’il nous a déjà dit qu’il ne nous aimait plus ?

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    Le faux espoir

    Enfants, on nous apprend la valeur de l’effort, le besoin de lutter pour ce que nous voulons. D’une certaine manière, nous associons cette lutte aux relations affectives, alors qu’en réalité, les émotions ne fonctionnent pas toujours ainsi.

    • Ce n’est pas en nous efforçant, en nous humiliant ou en faisant tout pour démontrer notre passion débordante que l’autre personne nous aimera ou pas.Le cœur ne fonctionne pas comme ça.
    • Le faux espoir est le venin de qui refuse de voir la réalité en face. Il est clair que ce n’est pas facile d’accepter le désamour, mais quand l’autre personne nous a bien signifié qu’elle ne ressent plus rien, il est vital de l’accepter.

     

    Agir différemment pour être aimé

    Agir contre ses valeurs, montrer une autre image de soi  pour être plus désirable, et abandonner ses habitudes pour s’accorder à l’autre sont des choses que beaucoup de gens peuvent faire pour récupérer l’être aimé ou pour atteindre la personne désirée.

    Tout cela produit une lente auto-destruction qui en plus de nous humilier, peut affecter notre santé mentale et émotionnelle. Nous ne devons pas tomber dans cette erreur.

     

    La fausse illusion comme mécanisme de défense

    Il y a quelque chose de très clair : arrêter une relation suppose de devoir reconstruire une vie, et c’est une chose à laquelle nous ne sommes pas tous préparés.

    • C’est pour cela que parfois, on a recours à la fausse illusion comme un mécanisme de défense, comme un gilet de sauvetage émotionnel avec lequel survivre en pensant à un « peut-être », à un « si je fais cela, il/elle me regardera à nouveau », « s’il/elle a pitié de moi, c’est qu’il/elle m’aime encore ».

    Ce sont des comportements très compréhensibles que nous pouvons avoir pendant quelques jours, jusqu’à ce que s’installe l’acceptation.

    Si vous restez plusieurs mois dans ce type de comportements, vous vous ferez beaucoup de mal à vous-même et à l’autre personne.

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    Le chemin vers l’acceptation quand apparaît le désamour

    Au moment d’accepter le désamour ou la fin d’une relation, chacun d’entre nous réagit d’une manière différente.

    Il faut savoir que pour y parvenir, chaque personne aura besoin de suivre son propre chemin, aussi thérapeutique possible (chercher du soutien, changer de ville, faire de nouvelles activités, partir en voyage etc.)

    Cela vaut la peine de tenir compte des stratégies qui peuvent nous aider à prendre soin de notre auto-estime.

    • Nous avons tous besoin d’un pourquoi. Les relations se terminent pour une raison et nous devons la connaître. Cela nous aidera à tourner la page plus efficacement sans alimenter les faux espoirs de deuxième chance.
    • Un « nous en finissons ici » doit se formuler face à face et jamais dans un message ou via une tierce personne. 
    • Les mots sincères, bien qu’ils soient douloureux, sont aussi thérapeutiques. Ils doivent être fermes et réalistes : c’est fini, et il n’y aura pas de seconde chance.
    • C’est le moment de penser à vous. Qui mendie de l’amour quand les choses sont claires, se trahit lui-même. Il est nécessaire d’accepter et de vivre son deuil. Il est essentiel de penser à soi-même, et de guérir le vide, le rejet, et l’absence.

     

    La douleur de maintenant représente des fragments de nous-même que nous devons recueillir avec dignité pour nous reconstruire.

    C’est une tâche laborieuse qui demande du temps, des efforts et de nombreuses attentions, mais le temps atténuera peu à peu la douleur.

    Finalement, il arrivera un jour où nous nous sentirons fiers de ne pas avoir mendié de l’amour.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Si je sais qui je suis, je n’ai rien à prouver

     
     
     
     
     
     
     
     
    Ceux qui nous aiment savent qui nous sommes, nous n'avons donc rien à leur prouver. Ils connaissent nos limites et savent que leur liberté s'arrête là où commence la nôtre.
     
     
     

    Le besoin de prouver aux autres certaines choses afin de recevoir leur approbation ou leur reconnaissance est une source de stress qui nous fait plus de mal que de bien.
     Si nous nous arrêtons quelques instants pour réfléchir un peu, nous pouvons facilement nous rendre compte d’un défaut que nous sommes nombreux à partager.

    Pour démontrer que nous aimons nos amis et notre famille, nous faisons souvent des choses que nous n’aimons pas, quitte à nous renier.

    Il est certain que pour vivre avec les autres, nous n’avons pas d’autres choix que de faire des choses qui nous permettent de fortifier les relations que nous entretenons avec eux ou qui nous aident à nous fondre dans la société.

    Cependant, il faut mettre des limites pour défendre nos valeurs fondamentales et notre dignité.

    Lorsque nous oublions ces deux paramètres, nous sommes amenés à faire des choses qui ne sont pas authentiques.

    Nous courons alors le risque de souffrir d’une crise d’identité ou d’une dépression.

    Nous vous invitons à réfléchir sur cette question dans l’article que nous vous proposons aujourd’hui.

     

    Être authentique est une forme de liberté et de bien-être

    Dire « non », c’est parfois faire du mal à quelqu’un, voire décevoir un être qui nous est extrêmement cher.

    Pourtant, ce mot si commun est l’une des clés dont nous disposons tous pour ouvrir une infinité de portes et d’opportunités.

    Un « non » prononcé à temps n’est pas quelque chose de négatif, paradoxalement. Prenons un exemple du quotidien.

    Si nous sommes dans une relation de couple très compliquée, même s’il y a de l’amour, l’unique chose que nous allons ressentir est un profond mal-être.

    Un « non » prononcé au bon moment, même si cela peut être très difficile et douloureux, peut être le moyen de nous ouvrir une nouvelle opportunité, de nous emmener sur un nouveau chemin vers le bonheur.

    A l’inverse, si nous nous bornons à maintenir la relation difficile que nous avons, cela peut nous faire plonger dans un tourbillon de souffrance inutile.

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    Le courage de démontrer ce que nous sommes et ce que nous désirons

    Démontrer qui nous sommes et ce que nous désirons est une technique de survie indispensable.

    Cela nous permet de marquer notre territoire, afin que les autres sachent jusqu’où ils peuvent aller et ce qui peut se passer lorsqu’ils dépassent ces lignes jaunes.

    • Définissez clairement dès le début vos valeurs et ce que vous êtes prêt à supporter. Ce sont des informations nécessaires pour ceux qui nous entourent.
      Cela facilite de nombreuses choses, comme la vie en groupe par exemple.
    • Les personnes qui ne marquent pas leurs limites laissent de la place pour que ceux qui les entourent les dépassent. Les autres vont alors attendre beaucoup de vous, sans respecter ni vos besoins, ni vos droits.
    • Ne voyez pas ce comportement comme une marque d’égoïsme qui peut vous éloigner du monde, mais plutôt comme une célébration de vous-mêmes, comme un acte sain.

    Si vous savez parfaitement qui vous êtes et ce que vous êtes disposé à permettre, vous allez ressentir une grande paix intérieure, qui va vous aider à vous lier plus facilement avec les personnes que vous croisez dans votre existence.

    Nous devons tous être pleinement conscients que les autres ont également le droit d’être authentiques, spontanés, et qu’ils peuvent nous montrer leur vrai visage, sans faux semblants.

    Personne ne doit se sentir obligé d’incarner une personnalité qui n’est pas la sienne. 

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    Je sais qui je suis et je me sens libre

    L’indécision, l’insécurité et une faible estime de soi sont les trois paramètres qui poussent tout être humain à rechercher de l’approbation venue de l’extérieur, pour combler les vides qu’il ressent. Ce n’est pas une démarche positive.

    Celui qui recherche l’approbation des autres sombre dans une spirale de malheur très dangereuse.

    Il va chercher à tout prix à se complaire dans ses relations, car c’est l’unique moyen pour lui de se sentir bien.

    • Les personnes ayant ces comportements ne parviennent pas à dire « non » à leurs proches, même si ce qu’ils leur demandent va contre leurs principes, car elles ont peur de les décevoir ou de donner une image d’eux-mêmes différente de ce que leurs parents ou leurs frères et sœurs attendent.
    • Toutes ces attitudes nous font plonger dans une estime de nous-mêmes désastreuse. Nous ne parvenons plus à avoir une image positive, forte et authentique de notre personnalité.
      Notre regard est tellement porté vers l’extérieur que nous ne parvenons plus à prendre soin de nous-mêmes. Nous nous perdons.

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    Nous pourrions définir la vie comme une rencontre avec nous-mêmes.

    Dès que nous parvenons à établir cette connexion intérieure, nous devenons capables d’établir des relations avec les autres bien plus saines et satisfaisantes.

    C’est seulement lorsque nous nous rapprochons des autres en toute liberté, en étant conscients des droits et des devoirs de chacun, que la magie de construire des projets communs en se sentant à l’aise peut opérer pour donner des résultats exceptionnels.

     

    Ce n’est pas quelque chose de facile à mettre en place, sans aucun doute.

    Nous vous conseillons d’y aller petit à petit, afin de trouver votre point d’équilibre, celui qui vous permet de saisir toutes les opportunités qui se présentent à vous en accord avec votre personnalité.

    Avoir le courage de dire « non » est un signe de liberté, que vous devez essayer de mettre en place dans votre quotidien.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Il n’est jamais trop tard pour vous rendre compte

    que vous méritez mieux

     
     
     
     
     
     
     
     
    Lorsqu'il s'agit de trouver notre bonheur et de nous apporter du bien-être, la notion de temps n'existe pas. Nous pouvons nous tromper mille fois, mais il n'est jamais trop tard pour commencer à penser à nous-mêmes.
     
     
     

    Il n’est jamais trop tard pour changer. Peu importe l’heure, le jour ou l’année, votre cœur peut se rendre compte à tout moment qu’il mérite mieux que ce qu’il possède déjà.
     

    Bien souvent, nous nous plaignons de ne pas avoir fait certaines choses dans des situations données, de n’avoir pas su saisir de belles opportunités.

    Nous avons du mal à comprendre pourquoi nous avons tant attendu pour réagir.

    Il est important de garder à l’esprit que notre cerveau, et plus particulièrement la zone de l’encéphale en relation avec les émotions et l’affect, est très sensible aux changements.

    Nous nous disons souvent « je vais attendre encore un peu » ou « les choses vont finir par s’arranger« .

    Pourtant, si avec le passage du temps rien ne change et que notre sensation de mal-être reste la même, il est grand temps que nous prenions notre destin en main pour arriver dans une situation plus favorable.

    Nous méritons, par-dessus tout, d’atteindre une sensation de paix intérieure.

    Dans la suite de cet article, nous allons vous inviter à réfléchir sur ce sujet.

     

    Il n’est jamais trop tard pour être heureux à nouveau

    Analysons rapidement le sens du mot « tard ». Nous pouvons l’appliquer à ces rendez-vous où nous arrivons une heure après l’horaire convenu, à cause de multiples raisons qui nous empêchent d’être ponctuels.

    « Tard » s’utilise aussi lorsque nous n’avons pas éteint le feu au bon moment et que le plat qui mijotait finit par brûler.

    Ces deux exemples simples et inspirés du quotidien nous révèlent un aspect essentiel de ce terme : il n’y a pas de retour en arrière possible.

    Peu importe ce que nous pouvons faire, le ragoût trop cuit ne reviendra jamais au point de cuisson idéal et notre retard au rendez-vous ne pourra jamais être corrigé.

    Lorsque nous évoquons le cycle vital d’une personne, et notamment sa finalité essentielle et basique d’être heureuse, le mot « tard » ne peut pas trouver à s’appliquer.

    Il est toujours temps de lutter pour notre bien-être.

    Cela vaut la peine de prendre en compte cette réflexion pour apporter du bonheur à notre quotidien.

    Il n’est jamais trop tard pour vous rendre compte  que vous méritez mieux

    Le facteur peur

    • La peur est la barrière qui, à de nombreuses occasions, nous empêche de faire un pas en avant pour construire notre propre bonheur, ou tout du moins pour accomplir ce dont nous rêvons, autant de choses qui se trouvent souvent en dehors de notre zone de confort.

    Nous avons souvent l’habitude d’adopter un comportement très commun, dont peu de personnes ont conscience.

    Nous camouflons notre peur dans de la résignation, avec des pensées comme « c’est la vie, je n’y peux rien ; je ne vais rien changer car on sait ce que l’on perd, mais on ne sait pas ce que l’on gagne« .

    • Nous avons tendance à rationaliser la peur jusqu’à ce qu’elle devienne partie intégrante de notre quotidien. Nous nous retrouvons sous son joug, car nous nous sommes résignés.
    • Celui qui se résigne et qui cesse de lutter devient le prisonnier d’une geôle de malheur diffus, qui peut le mener tout droit sur le chemin de la dépression.
    • Nous devons prendre la peur pour ce qu’elle est : une émotion qui nous met en alerte face à un danger.
      Loin de la dissimuler ou de ne pas lui porter d’attention, nous devons essayer de la comprendre et de la digérer pour mieux pouvoir agir contre elle. Aucun instinct naturel humain ne doit être ignoré.

    Nous ne devons pas « avoir peur » : il est nécessaire de savoir s’écouter, car cette émotion nous indique clairement que nous sommes inquiets et malheureux.

    Il n’est jamais trop tard pour vous rendre compte  que vous méritez mieux

    Vivez l’instant présent

    Maintenant que nous avons expliqué pourquoi le mot « tard » ne peut être utilisé dans le cadre de la recherche du bonheur et du bien-être, nous avons fait un pas en avant.

    Nous savons également que la peur est l’indicateur qui nous alerte sur notre propre malheur et sur la situation inextricable dans laquelle nous nous trouvons.

    • Dans ce cas, pourquoi n’agissons-nous pas ? Le simple fait de rationaliser nos peurs, de laisser de côté les attitudes qui nous limitent et nos insécurités, va nous permettre de nous défaire de la carapace qui nous empêche d’avancer en tant que personnes.
    • Il est possible que vous traversiez actuellement un moment difficile, que ce soit au niveau familial, professionnel, amoureux ou amical.
    • Mais, la plupart du temps, de simples petits changements peuvent donner des résultats spectaculaires.
      Face à nos difficultés, à ces problèmes qui nous asphyxient et nous mettent la tête sous l’eau, nous devons rassembler toute notre énergie et notre optimisme pour trouver une solution.
    • Cette solution se trouve bien souvent dans le mouvement : nous devons franchir la ligne de la peur, de la zone de confort, de l’immobilité, pour nous défaire des pensées négatives qui nous limitent. Il n’est jamais trop tard pour qui que ce soit.

    Votre moment le plus précieux se trouve dans le présent. Hier n’existe plus et demain n’est pas encore écrit. Pourquoi ne pas vous lancer à l’assaut de vos rêves ?

    Il n’est jamais trop tard pour vous rendre compte  que vous méritez mieux

    Le bonheur de faire un pas en avant

    Il y a un aspect fondamental que nous devrions tous prendre en compte. La peur va forcément nous accompagner tout au long de notre vie, d’autant plus si nous nous aventurons à faire un pas en avant vers le changement, ou si nous faisons le choix courageux de laisser certaines choses derrière nous.

    Nous ne pouvons pas savoir ce que nous allons trouver sur notre chemin, ni si notre avenir sera radieux. La peur est donc fatalement la compagne inévitable de notre existence.

    Cependant, la peur peut être une émotion électrisante et passionnante, qui se manifeste face à la nouveauté qui remet en question des pans entiers de notre vie.

    Le plaisir de faire un pas en avant est quelque chose d’enrichissant. Il n’est jamais trop tard pour se lancer.

     

    Nous méritons tous le meilleur à chaque instant, à chaque moment de notre vie. Nous ne devons pas attendre des autres qu’ils nous offrent ce que nous sommes parfaitement capables d’aller chercher avec nos propres capacités.

    Que diriez-vous de vous lancer dès aujourd’hui ?

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Je suis de la génération du merci et du s’il vous plaît

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Bien loin d'être d'uniques formules de politesse, le merci et le s'il vous plaît nous permettent de montrer du respect envers les autres pour une répercussion positive sur les autres et sur nous-même.
     
     
     

    Être de la génération du merci et du s’il vous plaît, c’est avoir des valeurs qui prennent pour base la politesse mais également le respect et la considération de l’autre. 

     

    Aujourd’hui, beaucoup de personnes se rendent compte qu’elles perdent de nombreuses habitudes saines de savoir-vivre.

    Peut-être que nous vivons dans la hâte et que nous n’avons plus le temps pour les « s’il vous plaît » ou que nous avons éduqué nos enfants avec l’envie que rien ne leur manque, au point qu’ils considèrent que tout leur est acquis, et qu’ils n’ont pas besoin de remercier les autres.

    En réalité, nous ne pouvons pas généraliser cette idée, et nous ne pouvons pas certifier que les sociétés actuelles ont totalement perdu cette saine habitude.

    Cependant, ce que l’on peut dire, c’est que “les merci et les s’il vous plaît » sont gratuits, ils ne coûtent rien et valent beaucoup. 

     

    Les merci et les s’il vous plaît : deux valeurs qui valent la peine d’être défendues

    Beaucoup d’entre nous savons comment dire merci en d’autres langues :  thank you, gracias, grazie, danke, obrigado, evgaristó, spasiba, alligatô, shoukrán… Pourtant, nous oublions souvent de le dire aux personnes les plus proches.

    Parfois, nous oublions de dire merci et s’il vous plaît quand nous sommes avec nos parents, nos amis, notre conjoint ou nos enfants car nous pensons que cela n’en vaut pas la peine, que tout est dit et que l’amour que l’on porte aux siens est implicite.

    Mais ce n’est pas bon car les mots ne sont pas seulement un ensemble de lettres plus ou moins sonores.

    Ils ont un lien direct avec nos émotions, au point de représenter deux gestes de grand pouvoir dans notre langage, que nous ne devrions pas mettre de côté.

    Je suis de la génération du merci et du s’il vous plaît

     

     

     

    Le pouvoir de la gratitude comme action salvatrice

    Quelque chose d’aussi simple que dire merci régulièrement opère des changements notables dans notre entourage et sur nous-même.

    Selon une étude publiée dans la revue Harvard Gazette, nous pouvons ressentir les choses suivantes :

    • Dire merci est un geste de reconnaissance envers l’autre personne, capable de lui offrir sécurité et bien-être.
    • Les autres se sentent soutenus et comblés en recevant de la reconnaissance vis à vis d’une action réalisée et cela se répercute forcément sur la personne qui offre ce merci.
    • La réception habituelle des expressions de gratitude fait augmenter notre auto-estime et déclenche l’apparition d’un « effet gratitude ».

    À titre d’exemple : des enfants éduqués avec la valeur du merci la pratiqueront également à l’école, avec leurs amis et leurs professeurs.

     

    L’importance d’un  »s’il vous plaît » dans nos habitudes sociales

    “S’il vous plaît » sont des mots qui ne viennent pas aussi facilement que « merci ». On pense souvent que l’on n’a pas besoin de dire s’il vous plaît lorsqu’on veut que quelqu’un fasse quelque chose.

    Pourtant, une phrase change complètement quand nous y introduisons un « s’il vous plaît » : c’est incroyable !

    Il s’agit de tenir compte de ces exemples simples :

    • Enlève ta voiture d’ici ⇒ S’il te plaît, pourriez-vous enlever votre voiture ?
    • Passe-moi le poivre ⇒ Peux-tu me passer le poivre s’il te plaît ?
    • Achète-moi le journal quand tu reviens ⇒ Pourras-tu m’acheter le journal quand tu reviendras, s’il te plaît ?

    Le s’il vous plaît va au-delà du simple acte de courtoisie. Nous sommes face à une authentique forme de respect envers l’autre personne, et nous devons la pratiquer chaque jour.

    • Dans ces mots, on trouve, avant tout, la considération envers l’effort que la personne qui se trouve face à nous va faire pour nous plaire ou nous aider.
    • Nous ne devrions jamais penser que quelqu’un fait les choses par simple envie ou tout simplement parce que nous lui demandons.

    Cette action toute simple nous ennoblit et nous connecte à l’autre personne,en lui donnant de la valeur, du respect et de la liberté absolue pour céder ou décliner notre demande.

    Je suis de la génération du merci et du s’il vous plaît

     

     

     

     

    Les merci et le s’il vous plaît, deux jolis mots de notre langage

    Nous ne devrions jamais oublier quelque chose de très important : notre héritage en tant qu’être humain trouve son origine dans notre cerveau social, qui est régi avant tout par les émotions.

    • Grâce aux émotions, nous établissons un lien merveilleux avec ceux qui nous entourent et qui, dans le passé, nous a permis de développer le langage.
      Nous découvrons une manière de communiquer pour faire du lien, pour éduquer, pour créer des communautés, pour chasser, pour organiser, pour nous développer.
    • Dans cet acte de communication, la valeur du merci et du s’il vous plaît est le reflet de deux cœurs qui se considèrent et qui encouragent le savoir vivre ensemble et la liberté.

     

    Avec un « merci », nous honorons l’autre personne, avec un « s’il vous plaît », nous lui donnons de la liberté et de la considération, et tout cela se répercute sur nous.

    Rien n’est aussi merveilleux que de se sentir en paix et de faire le bien, pour voir un inconnu nous sourire et nous remercier de ces mots magiques qui ne devraient jamais disparaître.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Éviter certaines personnes et laisser de l’espace aux autres

    sont des preuves de sagesse

     
     
     
     
     
     
     
     
    Il est fondamental de laisser de l'espace aux autres, mais aussi qu'ils respectent le vôtre. Si cela est nécessaire, vous devez vous éloigner des personnes qui vous font du mal, et vous protéger de celles qui ne respectent pas vos limites.
     
     
     

    Savoir laisser de l’espace aux autres est un comportement sage que nous devrions tous être en mesure d’adopter.

    Cela permet de respecter l’autre, et de lui offrir des moments de tranquillité pour favoriser son développement personnel.

     

    Lorsque cette situation n’est pas respectée, de nombreux problèmes peuvent naître. Si ceux qui nous entourent ne nous laissent pas d’espace, ils ne respectent ni nos droits, ni nos besoins.

    Il faut alors mettre de la distance et nous éloigner le plus rapidement possible.Sachez que le fait de prendre du recul est un acte de sagesse.

    Lorsque les autres ne respectent pas les refuges de notre esprit dans lesquels nous plaçons nos rêves, nos nécessités et nos valeurs, ils attaquent notre identité et notre estime personnelle.

    Il est important de garder tous ces éléments à l’esprit. C’est pourquoi nous vous invitons dans cet article, à découvrir les différents aspects de ces règles comportementales de base.

     

    Laisser de l’espace aux autres favorise notre liberté personnelle

    Débutons dans le vif du sujet, par un élément essentiel. A travers l’expression « laisser de l’espace », nous ne nous référons pas seulement à la distance physique interpersonnelle.

    C’est un concept qui va bien plus loin, et qui peut être délimité par les dimensions suivantes :

    • Laisser de l’espace c’est permettre qu’une personne aie ses propres opinions, qu’elle puisse défendre ses propres valeurs et qu’elle soit respectée.
    • Respecter l’espace des autres c’est aussi favoriser leur épanouissement personnel. C’est leur donner des ailes pour leur permettre d’atteindre leurs rêves, sans leur imposer nos croyances ou nos choix.

    Dans les relations familiales comme dans toutes les relations affectives, nos espaces personnels sont menacés, fragilisés par nos liens avec d’autres personnes. Voyons tout cela en détails.

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    L’espace familial et l’espace privé

    Éduquer un enfant ne consiste pas à le contrôler ou à maîtriser chacun de ses choix. 

    Chaque enfant dispose d’une personnalité propre, de rêves et d’aspirations qui ne sont que les siens, et nous devons les respecter.

    • Si nous nous entêtons à vouloir qu’ils soient exactement comme nous le désirons, nous allons rendre vulnérable tous leurs espaces privés, ainsi que leur développement personnel et émotionnel. Ce n’est pas un comportement sain.
    • Une famille doit laisser des espaces communs dans lesquels il est possible de parler, de guider, de conseiller, mais chaque membre doit avoir le droit de défendre ses propres valeurs et de chercher à accomplir ses objectifs les plus chers.

     

    L’espace du couple et l’espace individuel

    Le couple est un espace dans lequel nous ne devons jamais cesser d’être nous-mêmes.

    Tous les couples ne peuvent pas parvenir à résoudre cette équation complexe. Ceux qui y parviennent sont les seuls à pouvoir jouir d’une relation durable et satisfaisante.

    • L’espace du couple dans lequel nous partageons des projets pour le futur doit être le terrain idéal pour obtenir des compromis, défendre des valeurs communes et parvenir à des accords.
    • Mais dans le même temps, chaque membre du couple doit avoir un espace privé, qui lui permette de se construire en tant que personne, d’accomplir de nouveaux projets professionnels, d’avoir des amis propres et de développer ses rêves.

     

    Défendez-vous face à ceux qui attaquent votre espace personnel

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    Imaginez qu’il existe, autour de vous, des murs invisibles qui sont là pour vous protéger. A l’intérieur de ces parois, vous devez développer tout ce qui vous définit et ce qui vous rend heureux.

    • Vos valeurs
    • L’expérience que vous avez acquise et les leçons que vous en avez tirées.
    • Vos rêves
    • Vos succès, ceux qui vous rendent fiers.
    • Votre estime personnelle
    • L’image que vous avez de vous et qui vous rend fier.
    • Vos relations importantes avec ceux que vous aimez le plus et qui comptent réellement pour vous.

    Imaginez maintenant que votre partenaire, votre collègue de travail, votre sœur ou votre frère essaient de pénétrer à l’intérieur de vos murs, qu’ils essaient d’atteindre le lieu secret que vous cachez au fond de vous et qui vous définit : ils critiquent vos valeurs, votre corps ou se moquent de vos amis.

    Que sont-ils réellement en train de faire ? Ils tentent d’affaiblir votre espace personnel et vous devez absolument vous défendre. Nous allons vous expliquer comment y parvenir.

     

    Quelques astuces pour défendre votre espace personnel

    • Vous devez être très clair sur un point : personne n’a le droit de franchir vos limites. Ce principe doit être acté dès le départ.
      Si vous vous taisez lorsque les autres franchissent vos limites, votre estime personnelle s’en verra grandement affectée.
    • Si votre espace personnel est affaibli, vous devez prendre de la distance et vous éloigner de ceux qui vous font du mal.
      Si vous ne le faites pas, vous allez vous abandonner totalement à ceux qui vous entourent, et vous n’allez devenir que l’ombre de vous-même. Le jeu n’en vaut pas la chandelle.
    • Prendre ses distances n’est jamais un acte de lâcheté, bien au contraire.

     

    Ceux qui sont capables de laisser derrière eux les personnes qui leur font du mal sont sages et ont le courage de défendre leur propre territoire intérieur, pour préserver leur estime personnelle.

    Nous vous recommandons de mettre tous ces conseils en pratique dès aujourd’hui, afin de défendre votre espace personnel et de respecter les autres.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Une sœur est plus qu’une amie, c’est la moitié du cœur

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même s'il y a des moments de moindre proximité, les sœurs sont là lorsqu'on en a besoin, et ce sont les amies à qui nous pouvons tout raconter, à tout moment.
     
     
     

    Une sœur est plus qu’une amie car le lien que nous établissons avec elle va au-delà de la familiarité. C’est une compagne de bataille, un pilier quotidien et inébranlable sur lequel nous pourrons toujours compter.

     

    Même s’il peut exister plusieurs différences, et que les années d’enfance ou d’adolescence ont été un champ de compétition, de disputes, de vêtements à partager et de jalousies à dissimuler, au final, les années ont fini par avoir raison d’elles et leur ont montré l’importance de conserver ce lien.

    On dit souvent que la véritable famille est celle que l’on choisit, sans tenir compte du code génétique. Cependant, souvent le lien que l’on établit avec une sœur dépasse toute relation. 

    C’est une connexion émotionnelle, biologique et intime si unique, que la personne qui a la chance d’avoir une sœur sait très bien que c’est un authentique trésor qu’il faut conserver et valoriser.

     

    Une sœur, le lien qui transcende la propre famille

    Il est possible que ayez passé un moment sans vous parler. La vie nous met parfois face à des situations étranges où l’orgueil pèse très lourd, ainsi que les divergences à l’origine d’un manque de tact.

    Malgré la distance et l’énervement, le cœur finit toujours par être douloureux et il est très difficile de maintenir cette séparation pendant trop longtemps.

    Pour finir, c’est notre petite sœur, ou notre grande sœur, celle qui nous a toujours guidé et qui nous a conseillé de la meilleure des manières.

    Un appel téléphonique, des rires, un souvenir à évoquer et cette connexion qui ne se brisera jamais, font partie des choses qui nous unissent malgré la distance et les reproches.

    Voyons à présent comment se caractérise cette relation avec une sœur.

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    Une même éducation mais des caractères différents

    Parfois, il est incroyable de voir que, même si elles ont reçu la même éducation et qu’elles ont  quasiment vécu les mêmes choses, toutes les sœurs sont très différentes. 

    • Il y a les rebelles, celles qui nous ont appris à défendre nos espaces, nos droits, à lever la voix et à savoir choisir ce qui est le mieux pour nous.
    • D’autres sœurs sont une mer de calme et d’équilibre, qui ont toujours apporté un refuge et du réconfort. Ce sont des soutiens lors des journées difficiles, qui nous écoutent et nous comprennent.

    Les frères et sœurs ne doivent pas avoir la même personnalité. Tout comme les enfants ne sont pas les copies de leurs parents, chez les frères et sœurs, il y a des intérêts et des réactions différents, à propos de mêmes choses.

    Cela est aussi une aide et une manière de grandir, puisqu’ils peuvent se compléter dans de nombreux aspects.

     

    Quand les mots ne sont pas nécessaires

    Nul besoin d’indiquer à une sœur que nous ne sommes pas bien quand nous sommes avec elle. Le lien de l’émotion, du sang et de l’expérience fait qu’elle ressent dans l’instant que quelque chose ne va pas.

    C’est alors que se déploie cette proximité et cette inquiétude qui nous réconforte tant.

    Même si nous avons des amis, des conjoints et que nous pouvons compter sur nos parents, une sœur partage avec nous tout un héritage d’histoires et de situations qui lui feront bien comprendre de quelle manière elle peut nous aider.

     

    Peu importe la distance et les différences

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    Peu importe qu’il y ait un océan entre vous deux, ou que la vie et les histoires vous aient obligées à vous séparer pour suivre votre conjoint.

    La préoccupation pour cette sœur sera toujours présente, car c’est quelque chose de naturel et de quasiment instinctif.

    Des appels, des messages… il y aura toujours une manière de compter sur ce soutien, sur cet intérêt continu de l’autre moitié de notre cœur que nous regrettons tant.

     

    Personne ne nous dit la vérité avec autant de sincérité que notre sœur

    Peut-être que ce sont les années, ou tout ce que nous avons partagé, mais nous savons bien que notre sœur nous dira toujours la vérité de manière sincère et presque sans anesthésie.

    • Une sœur ne ressent pas l’obligation d’être condescendante, et encore moins de nous plaire avec de faux conventionnalismes. Elle sait que la sincérité fait partie de ce lien familial et c’est ce que nous attendons toujours d’elle.
    • Une sœur sera toujours plus qu’une amie car nous sommes passées avec elle par de multiples vicissitudes. L’expérience de l’enfance, parfois compliquée, ces échecs dans la jeunesse où nous avons eu tout son soutien, et cette maturité à laquelle nous sommes arrivées, sont des triomphes personnels partagés qui laissent des marques dans le cœur…

     

    Si en ce moment, vous êtes éloigné de votre sœur à cause d’un petit désaccord, passez au-dessus de votre orgueil.

    La vie est bien plus simple que ce que nous pensons, et le soutien entre frères et sœurs est un cadeau exceptionnel dont nous devrions profiter chaque jour.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Mon problème :

    j’attends des autres qu’ils agissent comme je le ferais

     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si cela semble injuste, nous ne pouvons compter que sur nous-même à 100% car le reste des gens ont aussi leurs propres intérêts et ces derniers ne coïncident pas forcément avec les nôtres.
     
     
    Mon problème : j’attends des autres qu’ils agissent comme je le ferais
     

    Il n’y a pas plus grande source de souffrance que d’attendre que les autres agissent comme nous le ferions nous-même.

    C’est une erreur que font de nombreuses personnes et que nous le voulions ou non, cela affecte l’équilibre émotionnel.

     

    Il faut dire que nous avons tendance à beaucoup attendre des personnes que nous aimons le plus, car cela semble nous apporter confiance et sécurité.

    “Je sais que mon conjoint me soutiendra car je le ferai pour lui ».

    Supposer, prévoir et surtout attendre que cette personne agisse comme nous le ferions nous-même est une manière de « contrôler notre monde » et d’être sûr de certaines choses.

    Cependant, les choses ne se déroulent pas toujours comme nous le pensions, d’où les déceptions. Il est clair que nous avons tous besoin d’un pourcentage de sécurité dans notre vie.

    Si nous ne l’avions pas, nous ne saurions pas à quoi nous en tenir et nous souffririons.

    À présent, nous ne devons pas penser à l’extrême : il n’est pas bon de penser que le reste du monde doit agir en accord avec nos propres valeurs.

    Nous vous invitons à réfléchir à cela.

     

    Le pouvoir des attentes ou attendre des autres qu’ils agissent comme nous

    Les pères et les mères attendent de leurs enfants qu’ils agissent comme ils le feraient. Un ami a tendance à attendre de l’autre qu’on le défende face à toute situation ou tout problème. Un mari attend de sa femme qu’elle agisse selon ses attentes, et inversement.

    Nous sommes sûrs que dans vos environnements les plus proches, vous vous êtes confronté à des situations comme celles-ci.

    Ce sont des attentes très dangereuses qui peuvent finir par faire beaucoup de mal aux deux parties. Ce n’est pas une bonne chose.

    Voyons cela en détail.

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    Si tu n’agis pas comme j’attends, tu me déçois

    Si nous ne soutenons pas cet ami dans les initiatives qu’il prend, il nous traite de « faux ami » ou de « traître ».

    Mais, il est possible que ses objectifs ne soient pas en accord avec nos valeurs ou que tout simplement, nous ne pouvions pas l’aider à cause de problèmes personnels.

    • Qui n’est pas capable de ressentir de l’empathie pour les autres personnes ne comprend pas comment fonctionnent les relations positives, basées sur la réciprocité et le respect.

    Personne n’a l’obligation, ni le droit d’agir en fonction des attentes de autres.

     

    Le besoin de prendre le contrôle sur tous les secteurs de notre vie

    Il y a des personnes qui n’acceptent pas l’incertitude, le fait de ne pas savoir ce qu’il va se passer, et de voir des réactions et des agissements sur lesquels elles n’ont pas le contrôle.

    Comment accepter que l’un de ses enfants nous dise qu’il ne veut pas suivre d’études alors que c’est ce dont nous avons toujours rêvé ? 

    Comment accepter qu’un ami nous dise qu’il préfère partir en vacances avec ses collègues plutôt qu’avec nous ? 

    • Les personnes qui ne tolèrent pas que le reste des personnes n’agissent pas en accord avec leurs choix, souffrent de frustration et de déceptions, qui affectent beaucoup leur auto-estime.
    • En réalité, il suffit seulement d’être plus empathiques et avant tout, de ne pas prévoir comment les les autres devraient agir, selon ce que nous-même ferions.

     

    N’attendez pas tout des autres, attendez de vous-même

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    Droits et obligations

    Qui arrête d’attendre tout des autres vit avec plus de liberté et plus d’énergie pour se concentrer sur ce qui est vraiment important : attendre de soi-même.

    • Vous êtes en droit d’attendre que les autres vous respectent.
    • Vous êtes en droit d’être aimé, mais pas de contrôler la vie des personnes qui vous aiment, ni de les laisser vous contrôler.
    • Vous êtes en droit d’attendre de la réciprocité, mais pas que les autres soient d’accord avec vos idées, vos choix ou vos valeurs.
    • Vous êtes en droit de lutter pour vos rêves et de permettre aux autres d’atteindre les leurs même s’ils sont très différents des vôtres.
    • Vous avez l’obligation de vous occuper de vous-même, de prendre soin de votre auto-estime et d’éviter de vous décevoir car le monde ne réagit pas comme vous le feriez vous-même.
    • Vous avez l’obligation d’être « proactif » et  de créer votre propre bonheur en évitant de dépendre à 100% des autres. Acceptez les points négatifs qui peuvent parfois vous décevoir.
    • Comprenez que nous pouvons aussi décevoir les autres, et nous ne sommes pas pour autant de meilleures ou de pires personnes.
      Nous
       essayons seulement d’être heureux en accord avec nos identités, et de vivre libres mais en respectant toujours son prochain.

     

    Pour conclure, nous devons comprendre que non seulement le monde est chaotique, mais également que nous le sommes en tant que personnes.

    Vouloir à tout prix que les autres agissent exactement comme nous l’attendons est une source de stress et de souffrance très élevée.

    Cela n’en vaut pas la peine.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • La vie n’est pas la même après la mort de nos parents

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si c'est la dure loi de la vie, personne n'est prêt à perdre ses parents. C'est pour cela que nous devons nous donner du temps pour affronter la nouvelle situation, et y consacrer l'énergie nécessaire pour ne pas avoir de regrets.
     
     
    La vie n’est pas la même après la mort de nos parents
     

    Dans l’ordre des choses, les enfants survivent à leurs parents. Cependant, malgré le caractère naturel de la chose, il est difficile d’accepter la perte des personnes qui nous ont donné la vie.

     

    À partir du moment où nous disposons d’un lien familial significatif, enrichissant et chaleureux, toute absence, toute séparation suppose une source de souffrance que personne ne nous a appris à affronter ou à gérer.

    La mort d’une mère ou d’un père est un vide que nous ne surmonterons jamais vraiment.

    Cependant, nous apprendrons à vivre avec cette blessure, avec ce vide dans le cœur que nous soulagerons avec de bons souvenirs, des photos ou cet héritage que nous conserverons pour toujours dans notre cœur.

    Nous vous invitons à réfléchir à cela et à prendre conscience de certaines stratégies pour affronter ces moments de crise si difficiles.

     

    La perte des parents, un moment auquel personne n’est préparé

    La douleur de la perte est en accord avec le lien que nous avons eu avec ce père ou avec cette mère. Peu importe que nous soyons déjà indépendant ou que nous ayons déjà notre propre famille.

    L’héritage émotionnel et l’expérience avec un être cher ne comprend ni le temps ni les distances.

    Dans notre intérieur, nous sommes toujours cette personne qui a besoin de conseils, et qui est reconnaissant face à un câlin parental ou un regard de confiance d’un parent qui nous donne du courage comme personne.

    Nous sommes des êtres sociaux et affectifs, et le lien que nous réussissons à établir avec nos parents est si intime que, lorsque la perte survient, beaucoup de nos dimensions intérieures se brisent en nous.

    C’est pour cela que nous vous proposons de tenir compte de ces conseils.

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    Chaque personne vit le deuil à sa manière

    Le deuil est le processus personnel par lequel nous réussissons à accepter la perte de l’être cher. Les différentes phases sont les suivantes :

    • La négation
    • La colère
    • La négociation
    • L’expression de la douleur émotionnelle
    • L’acceptation

    Même si ce sont les étapes les plus classiques, et qu’elles durent environ trois mois, il faut comprendre que chaque personne les affronte à sa manière.

    Nous voulons dire que nous ne devons pas nous offenser si un frère ou un autre proche ne semble pas être affecté, ou réagit de manière très exagérée.

    La douleur est canalisée de manière très distincte et nous ne sommes pas tous aussi habiles pour la gérer.

    Parlez avec vos proches, offrez-vous des moments seul, regardez des photos et pleurez autant que vous en avez besoin.

    La souffrance du quotidien sera de moins en moins forte et même si vous n’y croyez pas, vous pourrez avancer à nouveau dans votre vie.

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    Une perte sans un au revoir, comme affronter cela ?

    La perte de nos parents peut être due à de nombreuses raisons : une longue maladie, un accident, un infarctus inattendu…

    • Ce qui fait le plus mal lorsqu’on perd un être cher, c’est de ne pas avoir eu le temps de dire au revoir, et de ne pas avoir pu lui dire à quel point nous l’aimions.
    • Parfois, des gens perdent des êtres chers après une dispute, un malentendu ou une phrase blessante qui, que nous le voulions ou non, porte le sceau d’une souffrance difficile à accepter.
    • Nous ne pouvons pas revenir en arrière pour régler cela, mais il est nécessaire de se focaliser sur nos pensées et nos émotions.

    Peu importe les désaccords ponctuels. Le lien est si fort, noble et sincère que nous devons être capable de faire un adieu tranquille et sûr, car ils seront toujours auprès de nous et sauront à quel point nous les aimions.

     

    Le besoin de sourire à nouveau pour honorer la mémoire de nos parents

    La perte de nos parents ne se surmonte jamais complètement, car c’est la blessure de nos racines.

    Cependant, nous apprendrons à vivre sans et nous nous permettrons d’être heureux à nouveau, à partir du moment où nous tenons compte des aspects suivants :

    • Nos parents n’auraient jamais voulu que nous vivions envahis par la tristesse. Cela peut sembler difficile mais il est nécessaire de sourire à nouveau pour que notre bonheur soit une manière d’honorer leur souvenir.  
    • N’hésitez pas à remplir votre esprit de fait positifs du passé, et de moments enrichissants qui vous offrent force et courage.
    • Les grands moments que vous avez pu partager avec vos parents sont des cadeaux émotionnels que vous devez transmettre à vos enfants. C’est un héritage d’amour et d’affection qui vous fait grandir en tant que personnes et qui, de plus, vous unit à une origine que vous ne devez pas perdre.

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    A un moment donné, nous devons tous faire face à un adieu auquel nous ne sommes pas préparés. Mais l’amour d’aujourd’hui sera la force de demain.

    Apprenez à vivre le présent, et à profiter de vos êtres chers avec plénitude et sincérité. 

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Je veux un gros câlin qui brise tous mes doutes

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Grâce aux câlins, notre corps libère des hormones qui nous aident à nous calmer. Nous nous sentons en confiance et nous pouvons renforcer les liens avec nos êtres chers.
     
     
    Je veux un gros câlin qui brise tous mes doutes
     

    Les doutes émotionnels, l’incertitude du fait de ne pas se sentir aimé peut être l’une des plus grandes sources de souffrance pour l’être humain. 

     

    Il n’y a pas d’âge pour ressentir cette sensation. Tout enfant a un radar émotionnel pour percevoir si la tendresse est authentique ou non, et tout adulte ressent à un moment donné des doutes, et des peurs qui brisent peu à peu son équilibre intérieur.

    Même si on nous dit souvent que le plus important est de nous aimer nous-même, nous ne pouvons pas oublier que nous avons besoin de liens émotionnels authentiques pour nous sentir bien et pour être heureux.

    C’est pour cela que les câlins sont toujours des gestes sains, des connexions humaines que nous ne devons pas négliger.

     

     

    Les doutes sont des vides de l’âme

    Il y a de nombreux doutes différents. Certains d’entre eux font partie de notre condition humaine, et nous aident d’ailleurs à grandir, car ce sont des vides que nous essayons de combler à l’aide de renforts personnels.

    Voici des exemples :

    • Les doutes sur le chemin professionnel à prendre.
    • Les doutes sur les amitiés à maintenir et les amitiés dont il faut se défaire.
    • Les doutes personnels sur les intérêts ou les disciplines que nous aimerions maîtriser ou comprendre.

    Nous nous référons avant tout, aux mystères qui font partie de notre épanouissement personnel et qui nous permettent d’être plus forts concernant nos aptitudes et nos valeurs.

    Mais le plus gros problème est lorsque nous ressentons des doutes émotionnels. Nous allons vous en parler.

     

    Les doutes émotionnels, les plus destructeurs

    • Nous pouvons passer beaucoup de temps en couple, passer plusieurs années de stabilité et de bonheur pour tout d’un coup, sentir que les doutes apparaissent.
    • Le fait de ne pas savoir si notre conjoint continue à nous aimer…
    • Percevoir que l’on a perdu de la magie, une certaine complicité. Voir, par exemple, que nous avons abaissé les rideaux de la routine, au point où nous prenons tout pour acquis, jusqu’à l’amour.

    Ce sont des ennemis clairs contre l’engagement et la stabilité du couple.

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    Il faut tenir compte de quelque chose : les doutes émotionnels ne sont pas exclusifs des relations de couples.

    Comme nous vous l’avons dit au début, le doute est une dimension psychologique que tout enfant ou adulte peut vivre.

    • Dans le cas des enfants, cela peut être quelque chose de traumatisant. L’enfant qui ne se sent pas aimé et uni par un lien émotionnel à ses parents, développe de l’insécurité et une faible auto-estime.

    L’impact psychologique que cela peut avoir à long terme peut être très grave.

    Il est nécessaire de renforcer nos relations dans le quotidien, de travailler le lien avec les personnes aimées, notre conjoint et nos enfants.

    Une bonne manière de le faire est en s’exerçant à faire cet acte généreux qui n’a pas besoin de mots: Les câlins.

     

     

    Les câlins comme agents thérapeutiques

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    Les vides émotionnels se logent dans le cœur. La douleur des doutes, des hésitations, de la peur de l’abandon, de la solitude, s’inscrivent dans cet organe qui souffre et dans le cerveau dominé par le stress, ce qui change nos émotions et qui produit des altérations dans notre corps.

     

    Les câlins et l’ocytocine

    Pour mieux comprendre l’effet des câlins, nous vous donnerons un exemple. Imaginez un couple qui ne se voit pas pendant quelques semaines. Le travail, les enfants et les préoccupations font que la relation se refroidit.

    • La peur de découvrir que nous ne sommes plus aimé par notre conjoint fait que la biochimie de notre cerveau change. Les niveaux de cortisol, de dopamine, denorépinéphrine augmentent… Et nous tombons dans un état de stress très dangereux.
    • Selon diverses études, comme celle qui a été publiée dans la revue News in Health, les câlins provoquent une transformation complète de la chimie cérébrale.
    • Dans cet exemple, si à un moment donné, le couple s’arrête, on se regarde dans les yeux, on se serre intensément et authentiquement dans les bras. Nul besoin de mots. Dans l’instant, le cerveau récompense avec une forte dose d’ocytocine, l’hormone de la tendresse, de la compassion et de l’amour.

     

    Nous sommes programmés pour reconnaître les câlins comme symbole de bien-être

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    En tant qu’espèce, nous reconnaissons instinctivement ce qui est sain pour nous. Ainsi, le cerveau nous gratifie en nous offrant des endorphines et de l’ocytocine.

    • Le contact de la peau, une caresse, des mots gentils, des câlins intenses et sincères sont des gestes cathartiques qui soulagent les peurs, les doutes, le stress et l’anxiété.
    • De plus, il ont sur la santé physique et émotionnelle un bienfait qu’aucun autre médicament ne peut égaler, car il nous unit aux nôtres, et il alimente le cordon ombilical de l’amour et de la reconnaissance.
    • Aujourd’hui, il est nécessaire de semer des actes simples, plein de réciprocité.

    Quelques heures avec nos enfants à jouer, à les caresser et à les faire rire, sont des moments simples qui créent des univers entiers.

    Alors dites-nous… combien de câlins avez-vous faits aujourd’hui ? Peut-être pas assez…

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les amours qui ne souffrent pas des années, des rides ni du temps

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le secret des amours intemporelles se trouve dans la compréhension, dans la capacité à s'engager et à se respecter des deux partenaires. Ces couples parviennent à évoluer ensemble et à maintenir du bonheur dans leur relation.
     
     
    Les amours qui ne souffrent pas des années, des rides ni du temps
     

    Certaines amours ne durent qu’un été, alors que d’autres durent une année ou une vie entière.

    En réalité, peu importe la durée de la relation, tant que l’expérience a été bonne, tant qu’elle a apporté du bonheur aux deux partenaires, et tant que le souvenir de celle-ci peut être conservé comme un précieux trésor.
     Les amours qui nous enrichissent, qui nous font grandir et qui nous permettent de prendre racine sont celles qui peuvent nous accompagner à travers tous les âges de l’existence. Peu importe alors le poids des ans et des os, seul compte le temps partagé ensemble.

    Certaines personnes ne veulent pas croire que les amours éternelles, qui durent toute une vie, soient possibles. C’est pourtant le cas. Dans la suite de cet article, nous vous invitons à découvrir les secrets de ces relations.

     

     

    Les piliers qui permettent de construire des amours éternelles

    Nous allons commencer notre article en vous parlant d’un aspect fondamental. Certains couples peuvent durer 2, 5 ou 10 ans, et peuvent parfois conserver tout leur bonheur durant une vie entière.

    D’un autre côté, certaines personnes peuvent trouver leur bonheur dans la solitude. Ce que nous voulons dire par là c’est qu’en réalité, le bonheur est différent pour tous, et qu’il ne faut surtout pas idéaliser les amours éternelles.

    L’amour dure le temps qu’il peut durer. Plus les deux partenaires qui choisissent de s’unir investissent du temps, de la tendresse et des efforts dans leur relation, plus elle sera longue.

    Nous allons étudier les fondamentaux qui définissent les relations les plus stables, celles qui perdurent dans les regards de ceux qui s’aiment, malgré le passage des années.

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    Il ne s’agit pas de « supporter », mais de construire

    • Vous avez certainement entendu tout au long de votre vie qu’en amour, le plus important est de supporter, de céder, d’être patient et de pardonner.
    • Il faut être prudent avec ces conseils tirés de la sagesse populaire, car ils peuvent provoquer des résultats désastreux. Sans aucun doute, il faut être patient. Il faut également savoir pardonner, mais le tout est de trouver un équilibre et de prendre soin de notre estime de soi.
    • Les amours qui durent toute une vie ne se limitent pas à deux personnes qui se supportent, qui se taisent, qui dissimulent, qui cachent ce qu’elles n’aiment pas ou qui se plaignent à voix basse. Ce ne sont pas des comportements sains pour notre bien-être émotionnel.
    • Les relations positives et durables savent construire, créer des ponts pour parvenir à des accords, découvrir des choses ensemble et prendre soin l’un de l’autre.
      Les personnes qui s’aiment pour la vie vont se coucher avec un sourire, pas avec de l’amertume. Elles sont pressées de voir un nouveau jour arriver pour poursuivre leur fabuleux projet commun.

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    La préoccupation sincère pour l’autre

    Un couple passe par de multiples étapes et ne peut pas éviter éternellement les crises. Les problèmes professionnels ou familiaux, et les périodes de routine et de monotonie sont autant de terreaux fertiles pour le développement de tensions dans le couple.

    • Les amours sincères qui durent toute une vie affrontent les problèmes personnels ensemble, car il existe une authentique complicité et une préoccupation mutuelle dans le couple.
    • Les membres de ces couples ne cherchent pas le bien-être à tout prix, et leur égoïsme se désactive, non pas au bénéfice exclusif de l’autre, mais pour le bien commun.

    Je comprends que si tu es heureux en t’épanouissant dans ton travail, en profitant de tes amis et de tes connaissances, tout ce bien-être se convertira en bonheur pour notre couple. 

    • S’il n’y a pas de préoccupation ni d’intérêt pour l’autre personne, s’il n’existe pas de sincérité et d’authenticité dans le couple, le lien entre les deux partenaires s’estompera fatalement.

     

    La magie de faire des choses ensemble

    Les couples heureux forment avant tout une grande équipe. Ils liment peu à peu leurs différences, pas parce que l’un cède devant l’autre, mais parce qu’il existe un respect mutuel bien établi.

    • Le plaisir de faire des choses ensemble est quelque chose de fondamental dans un couple. Se lever ensemble, se coucher ensemble, rire ensemble, s’amuser ensemble…
    • S’il y a de la complicité et un désir affirmé de partager des choses, des espaces et des projets communs, un couple peut traverser les âges en conservant la même tendresse.
    • L’un des aspects les plus importants à prendre en compte est l’épanouissement du couple. Faire des choses ensemble permet de continuer à expérimenter et à débuter de nouveaux projets.

    De cette manière, il est possible de continuer à découvrir des aspects de l’autre qui renforcent d’autant plus le lien que nous avons établi avec lui.

    • Voyager ensemble, sortir avec de nouveaux amis, permettre que chacun des partenaires puisse avoir ses propres relations et ses projets, permet à chacun de se développer individuellement, tout en facilitant l’épanouissement du couple.

     

    Pour conclure, nous sommes certains qu’autour de vous, vous connaissez deux personnes qui sont ensemble depuis longtemps, et qui ont le regard plein d’amour et d’admiration pour l’autre, malgré les années qui passent.

    Ils sont sûrement passés par de nombreuses difficultés et par des crises existentielles. Pour autant, ils se sont battus l’un pour l’autre, ainsi que pour leur relations.

    Ils savent que l’amour se construit, et qu’il se trouve dans le fait de prendre soin l’un de l’autre.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • J’aime les gens qui ont une touche de folie saine

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Nous devrions tous avoir cette touche de folie qui nous permet de ne pas nous sentir oppressés par les changements imprévus et de profiter au maximum de la vie, avec ses bonnes et ses mauvaises choses.
     
     
    J’aime les gens qui ont une touche de folie saine
     

    La folie, si elle est saine, se transforme en joie et en liberté. Elle appartient à un type de personnalité qui se permet de rompre les moules et qui amène de la lumière dans la vie morne de la plupart des gens.

     

    Souvent, on dit qu’il est toujours préférable d’avoir près de soi des personnes folles que des personnes aigries. Mais avant de tomber dans les préjugés, il est nécessaire de savoir quelles sont les histoires qui se cachent derrière chaque visage.

    La folie saine est, avant tout, une attitude. C’est la capacité de relativiser les choses pour leur apporter une touche de recul, mais également d’optimisme contagieux qui nous permet de comprendre que parfois, le sens de l’humour est le meilleur médicament pour le cœur.

    Nous vous invitons à réfléchir à ces idées.

     

     

    Les gens sains et libres ont une nuance d’agréable folie

    L’une des plus grandes limites qu’a l’être humain est sa rigidité dans les schémas et les perspectives.

    L’impossibilité d’apporter cette flexibilité de pensée dans notre quotidien, à cause de laquelle on est réceptif et sensible à tout ce qui nous enveloppe, limite souvent notre capacité à être heureux.

    Nous parlions au début de cet article de l’opposé de cette folie saine : l’aigreur. En réalité, personne ne naît en étant « aigre ».

    Ce sont les circonstances et la manière dont nous affrontons les choses qui font que, petit à petit, nous stockons du ressentiment, et une certaine amertume.

    • Le fait de s’ouvrir aux autres et de toujours finir déçu atteint notre confiance et nous fait développer de la méfiance.
    • Avoir de grandes attentes dans certaines relations ou dans certains rêves qui, tôt ou tard, ne se réalisent pas, fait que nos rêves s’éteignent.

    La vie est, avant tout, une attitude. La manière dont nous gérons les bonnes et les mauvaises choses fera que nous nous permettrons d’être plus libres ou, au contraire, que nous nous accrocherons au scepticisme et au manque de motivation.

    Avoir un esprit ouvert et flexible nous aide beaucoup. 

    Voyons à présent quels sont les composants qui définissent les personnes qui sont atteintes de cette douce folie enviable.

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    Les personnes atteintes de folie saine acceptent les imprévus

    Il n’est pas facile d’accepter l’inattendu, l’imprévu, ce qui arrive sans que nous l’ayons planifié et qui échappe totalement à notre contrôle.

    • Les personnes atteintes de folie saine ont une forte tolérance vis à vis de l’imprévu car elles le voient comme un défi, et comme une opportunité de sortir de la normalité, d’expérimenter et d’apprendre de nouvelles choses.
    • De même, l’imprévu met à l’épreuve cette flexibilité mentale dont nous parlions au début de cet article. Il nous aide à développer de nouvelles stratégies pour affronter cet acte non planifié, quelque chose que nous accueillons avec motivation et optimisme car c’est comme un petit défi.

     

    Les personnes atteintes de folie saine répandent la joie

    Les personnes « folles mais saines » peuvent sembler un peu irresponsables, voire même chaotiques.

    Cependant, elles savent bien ce qu’elles font car elles se connaissent bien elles-mêmes, elles ont confiance en elles et une bonne auto-estime.

    • La folie est ce point où s’arrête la peur et où on se laisser aller. Il y a un équilibre entre le défi et la prudence qui captive et sert d’inspiration pour le reste.
    • Si dans votre entourage le plus proche, vous avez une personne qui a ce type de personnalité, elle a sûrement mis beaucoup de joie dans votre quotidien, et elle vous a sûrement enseigné qu’il est préférable d’oser que de rester avec l’envie.
      Qui se contient regrette par la suite, et la vie, avec un peu de folie et de rire, fait beaucoup moins de mal.

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    Les personnes atteintes de folie saine vivent le moment présent

    Qui vit centré sur le passé et sur la nostalgie, passe à côté du présent. Et qui focalise sa vie sur le futur a des attentes dans quelque chose qui n’est pas encore arrivé.

    Que vous le croyez ou non, c’est une erreur très commune aujourd’hui : « nous passons à côté du présent ». Nous vivons à base de listes, de choses à faire, et de tâches à réaliser.

    Nous nous accrochons à des choses qui se sont passées ou à des faits que nous devons réaliser. Tout cela ne fait que décupler l’anxiété.

    • À l’inverse, les personnes atteintes de folie saine se permettent de déconnecter du passé et de l’avenir pour embrasser le plus possible l’instant présent. Elles sont réceptives à toutes les opportunités et s’y lancent avec effronterie et positivisme, de telle manière qu’elles nous impressionnent souvent.
    • Nous les appelons « folles » mais en réalité, elles possèdent une énergie vitale qui se nourrit d’une bonne tranquillité intérieure.

    Nous devons les prendre comme des personnes inspirantes, et es conserver dans notre entourage car elles nous font sourire, elles nous donnent des impulsions et nous invitent à sortir de cette petite zone de confort où se trouvent nos peurs.

    Osez, vous aussi, à faire ressortir cette touche de folie saine en vous ! Ou peut-être l’avez-vous déjà ?!

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • La grossesse, cette union magique avec un être que l’on aime

    mais que l’on ne connaît pas encore

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Le développement émotionnel de l'enfant commence dès la grossesse. Il faut donc en prendre soin et l'éduquer émotionnellement dans l'utérus maternel, où il doit se sentir aimé et bienvenu.
     
     
    La grossesse, cette union magique avec un être que l’on aime mais que l’on ne connaît pas encore
     

    Chaque femme vit sa grossesse à sa manière. Il y a celles qui sont inattendues, et celles qui sont attendues avec impatience.

    Certaines femmes la vivent seules et d’autres avec un bonheur intime aux côtés de leur conjoint.

     

    Quoi qu’il en soit, pour la plupart des femmes, la grossesse est l’une des meilleures étapes personnelles de leur vie.

    C’est un processus où leur corps change, et où elles sont enveloppées par de multiples sensations : peurs, anxiétés, rêves…

    Dans les dernières années, et grâce à des mouvements initiés par Vivete Glover, spécialiste en psychobiologie périnatale du Collège Impérial de Londres, on s’est plus intéressé à l’importance de l’union entre la mère et le nouveau-né.

    C’est ce que l’on connaît sous le nom de « éducation émotionnelle dans l’utérus maternel ». Aujourd’hui, dans cet article, nous allons vous parler de cela.

     


     

    La grossesse et le stress

    Quand nous savons que nous allons avoir un enfant, il est fréquent de se faire un programme : nous achetons des vêtements, nous préparons la chambre et nous projetons mille rêves et désirs.

    Généralement, nous nous concentrons sur des aspects, sans aucun doute indispensable, comme la santé de la mère et du fœtus, mais également sur d’autres aspects importants comme les vêtements du bébé mais… Qu’arrive-t-il avec les émotions de la mère ? 

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    Le stress, cet ennemi bien connu

    • La manière dont la mère vit sa grossesse est essentiel : le stress, l’anxiété, les problèmes dans le couple et tout autre dimension émotionnelle à caractère négatif affectent directement le fœtus .
    • La docteure Glover a réalisé une étude intéressante pendant 5 ans, où elle a analysé la relation entre une gestation maintenue dans des environnements de stress élevé et le développement postérieur des enfants pendant 4 ans.
    • Les enfants dont les mères sont passées par une période de stress élevé pendant la grossesse présentent plus de problèmes d’hyperactivité.

     

    La protection du placenta n’est pas infaillible

    • Jusqu’à il y a peu, on pensait que le placenta protégeait le fœtus de tout élément extérieur, surtout des hormones en lien avec l’anxiété et le stress comme, par exemple, l’hormone CRH.
    • À des niveaux modérés de stress, il n’y a pas de conséquences mais lorsqu’ils sont stables et à des niveaux élevés pendant 9 mois, cette hormone finit par traverser le placenta pour affecter le fœtus.

     

     

    L’éducation émotionnelle dans l’utérus maternel

    Si pendant la gestation nous évitons de fumer, de nous exposer à des environnements dangereux et de bien manger… pourquoi ne faisons-nous pas attention à nos émotions?

    Il est merveilleux, bien sûr, d’établir un lien émotionnel avec le fœtus pour qu’il se sente aimé, reconnu et bienvenu.

    Cela peut sembler être une bêtise, mais nous devons savoir que les émotions représentent une « danse » complexe de substances chimiques et de neurotransmetteurs qui, comme nous l’avons vu, ont un impact direct sur le fœtus.

    C’est pour cela que ces dernières années, on incite souvent à « l’éducation émotionnelle dans l’utérus maternel », que l’on peut mettre en pratique de nombreuses manières.

    Ici, nous allons vous donner quelques conseils simples.

    Femme-heureuse-pendant-la-grossesse-1-1

    Apprenez à vivre le moment, profitez de cet épanouissement intérieur

    • Les émotions négatives comme le stress élevé ou l’anxiété nous obligent à « aller plus vite ». Nous passons alors à côté du moment, et ne pas prendre conscience du processus de la grossesse, c’est se déconnecter de son enfant.
    • Allez plus doucement, appréciez chaque instant dans le calme sans peur du lendemain et sans accorder trop d’importance aux faits du passé.

     

    La magie les massages et la communication

    • Quelque chose d’aussi simple que se donner un massage chaud et affectueux sur le ventre avec une crème ou une huile essentielle nous permet d’entrer en contact avec le bébé.
    • Profitez de cela avec votre conjoint, parlez avec le bébé avec une voix douce et un ton chaleureux. Les voix, la chaleur, les mouvements génèrent aussi des émotions positives chez la mère : ils libèrent des endorphines et tout cela a un impact sur le fœtus.

     

    Les bienfaits du yoga pour les mères

    • Les centres qui proposent diverses ressources d’éducation dès l’utérus, et où le yoga est un exercice très pratiqué, sont de plus de plus nombreux.
    • Le yoga, très adapté à la femme enceinte, offre du calme, un équilibre intérieur et un bien-être progressif qui détend l’esprit et le corps.

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    Pour conclure, et puisque chaque mère vit cette période d’une manière particulière,il est important de prendre soin de ses émotions, tout comme nous le faisons pour notre santé physique et le correct développement du fœtus. 

    Tout impact émotionnel, une déception ou de l’anxiété maintenue pendant longtemps, peut affecter l’enfant lorsqu’il sera né.

    Il est important d’en tenir compte car le développement émotionnel d’un enfant ne survient pas uniquement lorsqu’il vient au monde la première fois, mais débute au tout début de la grossesse et pendant les 9 mois qui suivent, entre autres.

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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