Cela fait maintenant de nombreuses années que le traitement de certaines maladies souvent mortelles, comme le cancer, se tourne vers des formes « scientifiques »dont l’efficacité est souvent douteuse ou remise en question. Le cancer effraie la population, et la médecine moderne (tout comme les laboratoires pharmaceutiques) exerce une forte pression sur les patients qui doivent faire face à cette terrible maladie et qui n’osent pas toujours opter pour des solutions moins agressives et plus naturelles.

 

Néanmoins, on peut retrouver parmi les médecines plus traditionnelles certains remèdes à l’efficacité prouvée et vérifiée qui commencent à trouver leur place face aux traitements officiels. Ces traitements naturels ont une efficacité similaire et même supérieure à certains traitements conventionnels utilisés contre le cancer, mais sans les terribles effets secondaires de ceux-ci (chute de cheveux, détérioration du système immunitaire, faiblesse généralisée, perte de poids, cachexies progressives, etc.). Ces tristes conséquences ne sont pas dues seulement à la maladie, mais aux vomissements répétés et incontrôlables (effets émétiques) produits par certaines substances utilisées notamment lors d’une chimiothérapie.

Origine, exploitation et caractéristiques du corossolier

On ne connaît toujours pas l’origine exacte du corossolier, même si l’on suppose qu’il s’agit d’une plante méso-américaine dont la culture s’est étendue à toute l’Amérique tropicale et même à l’Afrique. Le corossolier préfère les zones tropicales humides et c’est un arbre à feuilles caduques, ce qui signifie que nous n’aurons pas de récolte lorsque les feuilles tombent.

Les fleurs du corossolier apparaissent entre les mois d’octobre et de janvier, et les fruits (du même nom) peuvent se déguster de décembre à avril. Cette plante est très résistante au vent, à la sécheresse et aux termites.

Le fruit du corossolier présente une pulpe très savoureuse et offre un jus très rafraîchissant ; il est d’ailleurs utilisé pour élaborer des glaces, des gelées, des confitures et des boissons fraîches.

 

Le corossolier pour une chimiothérapie naturelle

Nous allons donc aujourd’hui nous centrer sur la plante Annona muricata, connue sous le nom de corossolier. En effet, cette plante est surtout intéressante pour son pouvoir anti-cancer, comme le démontrent de nombreuses études !

En 1976, l’Institut National du Cancer aux États-Unis a démontré que le pouvoir anti-cancer du corossolier sur les cellules cancéreuses était 10 000 fois supérieur à celui de l’adriamycine, l’un des cytotoxiques les plus agressifs utilisés aujourd’hui lors d’une chimiothérapie.

Mais cette plante présente également une propriété extraordinaire qui fait la différence par rapport aux traitements conventionnels. Ainsi, alors que les traitements habituels attaquent toutes les cellules, aussi bien cancéreuses que saines (car ils sont incapables de faire la différence entre les deux types de cellules),le corossolier ne s’attaquent qu’aux cellules cancéreuses en stoppant leur croissance au bout de 48 heures, sans toucher aux cellules saines !

De nombreuses autres études ont depuis été réalisées, surtout depuis 1997, à l’Université de Purdue, dans l’Indiana, aux États-Unis. On a ainsi pu constater son pouvoir anti-cancer sur les cancers du poumon, de la prostate, du sein, de la vessie, du rectum, de l’œsophage et du côlon, ainsi que son efficacité dans le traitement de la leucémie.

 

Les propriétés anti-cancer du corossolier

Ces propriétés proviennent de ses feuilles qui possèdent une substance chimio-toxique naturelle appelée acétogénine, 10 000 fois plus puissante que l’adriamycine, une substance toxique élaborée de manière artificielle. Grâce à une chimiotaxie naturelle, ce composé va attaquer les cellules qui contiennent des substances chimiques particulières (donc seulement les cellules malades ou malignes), laissant ainsi les cellules saines indemnes. Tout le contraire des produits artificiels qui ne font aucune différence entre les cellules, exterminant ainsi les cellules saines et affaiblissant l’organisme !

D’ailleurs, le corossolier peut aussi bien s’utiliser en traitement qu’en prévention.

 

Le dosage adapté

L’idéal est de consommer une préparation en poudre de feuilles de corossolier, en gélules ou sur une cuillère à soupe, 15 à 20 minutes avant les repas.

• En prévention : vous pouvez en prendre 500 mg.
• En traitement : vous pouvez en prendre 1 g et jusqu’à 2 g en fonction de votre état et de la progression de la maladie.

 

Les autres bienfaits du corossolier

En plus de son pouvoir miraculeux contre le cancer, le corossolier est une plante aux nombreuses propriétés pour la santé : elle est antibactérienne, antiparasitaire, antispasmodique, astringente et insecticide. Elle permet également de faire baisser la tension et d’expulser les vers intestinaux.

Nous vous conseillons donc de toujours en avoir sous la main et de consommer la dose préventive recommandée. Le corossolier est un remède véritablement miraculeux et l’un des médicaments naturels les plus puissants qui existent !

 

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

L’inflammation de l’appendice, ou appendicite, est une pathologie très fréquente, qui peut intervenir à n’importe quel âge.

Dans la majorité des cas, elle nécessite une intervention chirurgicale afin d’extraire le petit segment qui sort du gros intestin, et qui se trouve près de l’intestin grêle.

Si vous souhaitez tout savoir sur l’appendicite, n’hésitez pas à lire la suite de cet article !

 

A quoi sert l’appendice ?

De nombreuses personnes affirment que l’appendice ne sert à rien, et que c’est d’ailleurs pour cette raison que les chirurgiens n’hésitent pas à le retirer lorsqu’il devient gênant.

Pourtant, ce petit organe a des fonctions en lien direct avec notre système immunitaire, mais qui ne sont pas considérées comme essentielles.

Il fait pourtant partie de l’équilibre et du bon fonctionnement de notre corps.

L’appendice s’enflamme pour des raisons méconnues, en causant ce que l’on appelle une appendicite.

Certains mettent en relation le gonflement de cet organe avec une mauvaise alimentation, ou des tensions.

Cependant, aucune de ces affirmations n’a été prouvée scientifiquement, d’autant qu’elles ne semblent pas correspondre à un cas d’appendicite qui surviendrait chez un jeune enfant, par exemple.

Cette pathologie est dangereuse car, si elle n’est pas traitée à temps, l’appendice pourrait se perforer et répandre une partie du contenu intestinal à l’intérieur du corps.

Des substances nocives, des toxines et des bactéries néfastes seraient alors projetées dans tout l’abdomen.

Ce phénomène qui est à prendre très au sérieux,s’appelle une péritonite, et il peut causer une infection importante, jusqu’à entraîner la mort.

Si la péritonite se déclenche chez une femme, elle peut infecter les ovaires et les trompes de Fallope, provoquant l’infertilité.

 

Comment détecter une inflammation de l’appendice ?

Il existe de nombreux symptômes caractéristiques de l’appendicite, et d’autres qui sont communs avec d’autres maladies, ce qui complique bien souvent le diagnostic de cette pathologie par les professionnels de santé.

Tous les patients ne présentent pas les mêmes symptômes, et la liste des signes d’apparition de cette maladie peut varier.

Les symptômes les plus fréquents sont les suivants :

• Des nausées et des vomissements
• De fortes douleurs dans la partie inférieure droite du ventre
• De fortes douleurs dans la zone du nombril
• De fortes douleurs dans les deux zones précitées à la moindre pression des doigts ou de la main
• Une température corporelle comprise entre 37,5 y 38°C

Si l’appendicite se déclenche, une poussée de fièvre et une augmentation des douleurs peuvent être constatées, allant parfois jusqu’à causer un choc.

Il n’est pas toujours facile de détecter les symptômes de l’appendicite, car ils peuvent être confondus avec ceux d’une grippe ou d’une crise de foie.

Parfois, des appendicites sont diagnostiquées, et l’on s’aperçoit que tout va bien, seulement au moment de l’opération. Comme vous le constatez, ce n’est pas une maladie facile à identifier.

Des recommandations pour éviter des troubles à l’appendice

En partant du principe que l’appendicite se développe à cause d’une mauvaise alimentation et de problèmes émotionnels, nous pouvons vous recommander de changer quelques mauvaises habitudes de votre vie.

Cela ne peut pas garantir que votre appendice ne se perforera jamais, mais vous réduirez ainsi les risques de survenance de cette pathologie.

 

Détendez-vous

Le repos émotionnel est très important pour votre corps, et vous devez le réaliser fréquemment.

L’anxiété, le stress et la nervosité engendrent des conséquences négatives pour votre santé.

Essayez de ne pas vivre sous pression, et évitez d’être sans cesse énervé ou insatisfait et de penser constamment au futur.

Donnez-vous du temps pour réaliser les choses que vous aimez, et qui vous permettent de vous accomplir, comme lire un livre, jouer avec vos enfants, faire la sieste, sortir au parc, etc.

 

Faites un régime

Le fait d’avoir une alimentation équilibrée est vital pour se sentir bien, et pour que vos intestins soient en bonne santé. Cela va également vous permettre de ne pas souffrir d’appendicite.

Essayez de manger moins à chacun de vos repas, mais d’en faire 5 ou 6 répartis sur toute la journée.

Ne consommez pas de graisses d’origine animale, de charcuterie, de produits laitiers, de sucre et de farines raffinés.

Tous ces aliments entraînent une accumulation de toxines dans vos intestins, qui vont alors souffrir de différents problèmes.

Remplacez-les par des céréales complètes, des fruits, des légumes, des légumineuses et des fruits secs.

Faites de l’exercice

Faites du sport deux à trois fois par semaine pour libérer les tensions, et profitez un peu de la vie, en laissant de côté vos obligations et vos problèmes.

De plus, cela vous permettra de maintenir un poids sain et d’échapper à votre routine.

Allez marcher, faites du vélo, courez, nagez, dansez, sautez ! Peu importe l’activité, tant que vous gardez votre corps en mouvement.

 

Que faire après l’opération ?

Si vous avez été opéré d’une appendicite ou d’une péritonite, sachez que vous devez suivre un régime spécial pendant un moment.

Dans un cas léger d’inflammation de l’appendicite, l’hospitalisation peut durer de 2 à 6 jours. Si, à l’inverse, vous souffrez d’un cas plus grave, cela peut durer une à deux semaines.

Après l’opération, appelée appendicectomie, vous devez absolument suivre une alimentation saine et de qualité.

De cette manière, vous maintiendrez vos intestins propres, et vous n’accumulerez pas de toxines.

Durant les trois mois suivants votre opération chirurgicale, ne consommez pas les aliments suivants:

Le sucre et les farines raffines

Les aliments raffinés sont mauvais pour votre santé en général, et ils sont vraiment dangereux si vous sortez tout juste d’une opération.

En effet, ils génèrent de nombreuses toxines, qui s’accumulent dans votre côlon et qui facilitent l’apparition de germes.

La « junk food »

Sous cet anglicisme, on retrouve les aliments frits, les aliments transformés et la charcuterie.

Les graisses contenues dans ces aliments se fixent sur les parois des intestins, mais également des vaisseaux sanguins.

Les aliments d’origine animale

Durant plusieurs mois après votre opération, il est recommandé d’adopter un régime végétarien ou vegan, en éliminant de votre alimentation les produits laitiers, les œufs et la viande.

Tous ces aliments contiennent des hormones et des produits nocifs. Le lait est également très dangereux pour les intestins.

Les autres aliments à éviter

• Les boissons alcoolisées
• Le café
• Le thé
• Le chocolat
• Les sauces piquantes
• Les condiments très forts

Rappelez-vous qu’après une opération, votre corps sera très sensible, et que le moindre écart vous fera vous sentir mal.

Ne faites pas trop d’efforts physiques, reposez-vous le plus possible, faites des marches tranquilles, et évitez le stress pour récupérer au plus vite.

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

L’anémie est une affection qui se produit quand il y a une diminution des niveaux de globules rouges et de l’hémoglobine dans le sang. 

 

Cette situation conduit au développement d’autres problèmes de santé car elle diminue la capacité à transporter l’oxygène des poumons jusqu’au reste des tissus du corps.

Comme conséquence, la personne se sent plus fatiguée, plus fragile et avec des difficultés à se concentrer.

De plus, elle a tendance à avoir une peau pâle et ses cheveux ainsi que ses ongles sont fragilisés.

Pour accélérer le rétablissement de cette maladie, il est important d’augmenter sa consommation d’aliments riches en fer.

Ce minéral permet d’augmenter la quantité de globules rouges pour restaurer toutes les fonctions qui sont affectées par leur déficience.

Ainsi, vous pouvez utiliser une série de jus naturels qui apportent du fer et d’autres nutriments importants. 

Dans cet article, nous allons partager avec vous 5 bonnes recettes, pour que vous puissiez les préparer chez vous et prévenir et/ou soigner cette affection.

Prenez note !

 

1. Le jus de persil pour prévenir et soigner l’anémie

Le persil est une herbe commune dont les propriétés sont mises en avant dans la médecine alternative et la gastronomie.

Il contient une bonne quantité de fer, en plus des vitamines et des substances antioxydants qui favorisent la détoxification du corps.

Ce jus n’a pas un excellent goût mais ses bienfaits sont tels qu’il ne faut pas hésiter à le préparer.

Ingrédients

• 1 poignée de persil
• Le jus d’un citron
• 1 verre d’eau (200 ml)

Comment le préparer ?

• Prenez la poignée de persil, lavez-la bien et coupez-la en plusieurs morceaux.
• Mettez-les dans le verre du mixeur et ajoutez le jus de citron fraîchement pressé et l’eau.
• Mixez le tout pendant quelques instants jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de morceaux de persil.
• Consommez immédiatement, de préférence à jeun.

 

2. Le jus de betterave et de levure de bière

La betterave est un légume à la haute teneur en fer, idéal pour lutter contre les symptômes de l’anémie.

Son pouvoir énergisant combat la fatigue et ses nutriments sont excellents pour soulager la fragilité capillaire et les ongles.

Ingrédients

• 1 betterave
• 1 carotte
• 1 cuillerée de levure de bière (5 g)
• 1 verre d’eau (200 ml)

Comment le préparer ?

• Coupez la betterave et la carotte en plusieurs morceaux et mettez-les dans le verre du mixeur.
• Ajoutez le verre d’eau et la petite cuillerée de levure de bière, et mixez pendant quelques instants.
• Après avoir obtenu une boisson homogène et sans grumeaux, servez et consommez immédiatement.

 

3. Le jus de mûres, de fraises et de pommes

Ce délicieux jus contient du fer mais également des fibres et des composés antioxydants qui aident à nettoyer le sang.

Ingrédients

• 2 mûres
• 3 fraises
• 1 pomme
• ½ verre d’eau (100 ml)

Comment le préparer ?

• Lavez bien les mûres et les fraises, et mettez-les dans le verre du mixeur.
• Coupez la pomme en plusieurs morceaux et ajoutez-la au reste des ingrédients. N’oubliez pas de retirer les pépins.
• Ajoutez le demi-verre d’eau pour faciliter le jus et mixez pendant quelques minutes.
• Prenez le matin.

4. Le jus de radis et de cresson

Le jus de radis et de cresson est une boisson faible en calories que vous pouvez intégrer dans votre régime alimentaire pour prévenir l’anémie, la fragilité et la fatigue.

Ingrédients

• 5 bouquets de cresson
• 4 radis
• 2 bouquets d’épinards
• 1 verre d’eau (200 ml)

Comment le préparer ?

• Lavez les légumes et mettez-les dans un extracteur de jus.
• Ajoutez un verre d’eau et consommez la boisson résultante à jeun.

5. Le jus de carottes et de cresson

Les carottes et le cresson apportent de bonnes quantités de fibres, de vitamines et de minéraux essentiels qui revitalisent le corps.

La consommation régulière de leur jus prévient les symptômes de l’anémie et aide à améliorer le rendement physique et mental face aux baisses d’énergie.

Ingrédients

• 3 carottes
• 2 bouquets de cresson
• 1 verre d’eau (200 ml)

Comment le préparer ?

• Découpez les légumes, mettez-les dans le mixeur et mixez avec un verre d’eau.
• Après avoir obtenu une boisson homogène, servez et consommez le plus vite possible.
• Vous pouvez prendre jusqu’à deux verres par jour.

6. Le jus de carotte, épinards et céleri

Ce jus de légumes contient des vitamines et des minéraux qui stimulent les énergies du corps face aux difficultés comme la fatigue chronique et l’anémie.

Ingrédients

• 5 carottes
• 1 bouquet de céleri
• 1 poignée d’épinards
• 1 verre d’eau (200 ml)

Comment le préparer ?

• Lavez bien tous les ingrédients, coupez-les en morceaux et mettes-les dans le verre du mixeur avec l’eau.
• Transformez à vitesse rapide pendant quelques minutes, jusqu’à l’obtention d’une boisson homogène.
• Servez frais et consommez à jeun.

Vous pouvez choisir l’une de ces recettes pour compléter votre traitement contre les symptômes de l’anémie.

Cependant, vous devez savoir qu’ils ne servent pas de remplacement des médicaments ou des conseils prescrits par le médecin. 

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Même si la présence de caillots de sang est un phénomène normal pendant les menstruations chez une grande partie des femmes, c’est quelque chose que l’on doit surveiller pour voir si cela est associé à d’autres symptômes.

Comme le disent les experts, chaque corps est unique et chaque femme vit ses règles à sa façon, et la présence de caillots n’est pas forcément inquiétante.

Nous allons vous donner toutes les informations à ce sujet.
 

Que sont ces caillots de sang qui apparaissent pendant les règles?

Pour mieux comprendre ce que sont ces caillots qui apparaissent parfois pendant nos menstruations, il faut prendre en compte plusieurs aspects :

• Les parois de notre utérus se transforment progressivement pour préparer l’organisme à faire face à une éventuelle grossesse. Elles deviennent plus épaisses, et de nouveaux tissus apparaissent afin de pouvoir recevoir le fœtus, en cas de conception.

• S’il n’y  a pas de grossesse, cette couche de tissus qui s’est formée sur les parois de l’utérus se détache petit à petit et c’est ce qui constitue les règles.

• En règle générale, lorsque l’on a une blessure, le sang tend à coaguler. C’est un mécanisme de défense qui nous permet d’éviter de perdre trop de sang.
  Cependant, pendant les règles il est nécessaire que le sang circule plus facilement afin d’être expulsé.

• Ainsi l’utérus fabrique un anticoagulant. Si nos règles sont très abondantes, cet « anticoagulant naturel » ne suffit pas et donc, des caillots de sang peuvent apparaitre.

• Normalement ces caillots mesurent entre 5 mm et 4 cm et ils sont plus fréquents chez les femmes qui ont des règles très abondantes. Celles qui ont des règles plus légères ne connaissent pas ce phénomène.

• Un autre point à considérer est que les caillots sont plus habituels pendant le sommeil. Le sang coagule et ces masses plus épaisses se forment, et peuvent même nous faire peur.

Aspects à prendre en compte concernant la formation de caillots au cours des menstruations

1. Le déficit en fer

Le déficit en fer chez la femme relève parfois du casse-tête.

• Il est fréquent que des règles abondantes nous fassent perdre les niveaux de ce minéral, mais en même temps, on sait que moins on a de fer dans notre organisme, plus l’utérus a des difficultés à produire « l’anticoagulant naturel » et donc, l’anémie ferriprive produit à son tour plus de caillots de sang.

• Pour cela, n’hésitez pas à faire des analyses régulièrement pour contrôler les niveaux de fer et compenser en cas de déficit en prenant des compléments conseillés par votre médecin.

 

2. Petits déséquilibres hormonaux

Il est commun que les adolescentes ou les femmes qui viennent d’accoucher aient des flux menstruels avec des caillots de sang.

Tout ceci est dû à des petits déséquilibres hormonaux entre les œstrogènes et la progestérone, qui peuvent aussi se produire un peu avant la ménopause.

3. Un avortement spontané

Il s’agit d’un autre point dont il faut tenir compte. Si l’on essaie de tomber enceinte et que l’on se rend compte qu’à un moment donné, un caillot de sang jaunâtre ou grisâtre apparaît, il peut malheureusement s’agir d’un avortement involontaire.

4. L’endométriose

L’endométriose est une maladie silencieuse dont souffrent des milliers de femmes.

Il faut garder à l’esprit que quand les règles sont excessivement douloureuses et handicapantes, il est possible que l’on souffre de cette maladie.

• L’endométriose affecte les organes reproducteurs féminins et se caractérise par la formation d’un revêtement très dense autour de l’utérus et sur d’autres organes. Tout ceci est accompagné de douleurs et il est commun d’avoir de nombreux caillots de sang pendant les règles.

5. Maladies gynécologiques

Comme nous l’avons dit, la présence de caillots de sang est commune chez de nombreuses femmes.

Cependant, si nos règles sont douloureuses, il est nécessaire d’en parler à notre gynécologue.

• La maladie inflammatoire pelvienne, par exemple, est généralement accompagné d’une grande douleur dans la région pelvienne qui est également associée à des caillots de sang pendant les règles. 

• Ce type de maladie, ayant pour origine un type de bactéries, produit une infection allant du col de l’utérus à l’utérus, aux trompes de Fallope et aux ovaires.

• C’est douloureux et c’est une des maladies gynécologiques les plus courantes, c’est pourquoi il est important de consulter un professionnel en cas de doute ou de douleur.

On sait également que la présence de myomes ou de kystes est aussi associée aux caillots pendant les règles.

Ainsi, même si ces caillots sont normaux, il est toujours utile de faire notre examen de contrôle annuel.

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Le céleri, le persil et le fenouil sont des plantes de la famille des ombellifères. Depuis des siècles, les propriétés curatives du céleri sont utilisées comme ingrédient de base de la médecine naturelle dans diverses cultures ; de ce fait, sa consommation s’est beaucoup étendue et il constitue l’ingrédient principal de nombreuses formules médicinales actuelles.

 

Voici une liste de certains des bienfaits de cette plante pour la santé :

• Il s’agit d’une plante qui a d’intéressantes propriétés nutritives par sa teneur en vitamines A, B, E et C. De plus, elle contient des minéraux indispensables à un bon fonctionnement de l’organisme tels que le fer, le potassium, le zinc, le phosphore, le soufre, le cuivre, l’aluminium et le manganèse.
• Prendre une infusion de céleri chaque jour est un bon moyen pour prévenir l’hypertension, les douleurs menstruelles ou faire baisser un taux élevé decholestérol. Consommé tiède et avec constance, il soigne l’aphonie ou l’extinction de voix.
• Les graines de céleri contiennent des huiles essentielles (limonène et sélinène) et sa racine de l’asparagine. Ces composants exercent une intense action dépurative et diurétique. Ces huiles donnent lieu à un processus de dilatation des vaisseaux rénaux qui permet à l’organisme d’éliminer les impuretés et l’excédent de liquide, favorisant ainsi un bon équilibre des fonctions vitales.
• Il est très efficace dans le traitement des calculs biliaires et rénaux en favorisant l’élimination naturelle des gravelles, de même que dans le traitement des affections hépatiques.
• Il peut être très utile pour soigner les troubles circulatoires, car sa consommation régulière fait baisser le taux de cholestérol dans le sang et sert à éliminer un surplus d’acide urique ; il aide également à prévenir les problèmes cardiaques et à combattre l’hypertension.
• Le céleri est recommandé dans le traitement des problèmes articulaires pour sa teneur en flavonoïdes. Les flavonoïdes exercent une action anti-inflammatoire et antioxydante, et ils renforcent le système immunitaire. De plus il renferme du silice qui stimule la production et le renouvellement des tissus articulaire et conjonctif.
• Il soulage les inflammations provoquées par la goutte, le rhumatisme oul’arthrite, car il contribue à éliminer l’acide urique, comme nous l’avons mentionné plus haut, principale cause de ces maux.

• Le céleri séché et moulu sert à soigner les petites plaies de la bouche et les problèmes de gencives. Il suffit de l’utiliser en bains de bouche deux à trois fois par semaine.
• Pour stimuler l’appétit des plus petits, préparer un bouillon à raison d’une poignée de céleri par litre d’eau, et leur faire boire avant les repas.
• Utilisé comme ingrédient dans les principaux plats et en salades, sa consommation aide à renforcer, à réguler et à garder un intestin en bonne santé, en facilitant ainsi la digestion et en évitant les problèmes de constipation.
• Les jus ou les concentrés de céleri ont deux propriétés particulières reconnues dans le monde entier : calmante et aphrodisiaque. Boire un verre de jus de céleri tous les jours a un effet tranquillisant et anti-stress, et permet de stimuler le désir sexuel lors d’une baisse de la libido.
• Les cataplasmes de céleri (le végétal réduit en purée auquel on ajoute un peu d’eau) sont très cicatrisants et désinfectants pour les blessures et les plaies ouvertes sur lesquelles il faudra les appliquer trois fois par jour durant environ quinze minutes.

Dès lors, vous savez que l’apport de cette plante dans votre alimentation journalière aura de grands avantages pour votre santé et celle de votre famille. Grâce au céleri, il vous sera possible dorénavant de soigner bien des maux avec un produit naturel et organique sans avoir recours à des produits chimiques.

N’hésitez pas à utiliser le céleri de manière quotidienne, dans votre alimentation ou comme base dans les différentes préparations que nous vous avons présentées !

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

L’Alzheimer est une maladie dégénérative des neurones qui provoque un changement radical dans la vie de la personne atteinte, étant donné qu’elle rend cette dernière incapable de vivre sa vie normalement et de profiter de ses facultés mentales. Les conséquences de cette maladie se répercutent même sur la famille du malade, qui nécessite un soutien psychologique et émotionnel afin de supporter les changements qui se produisent lorsque la pathologie progresse.

L’Alzheimer est considéré comme étant la cause principale de détérioration mentale. Elle peut se déclencher entre 40 et 90 ans. La cause de cette maladie est encore inconnue à ce jour. On sait seulement qu’elle se caractérise par des altérations qui provoquent une atrophie cérébrale diffuse.

 

Quels sont les premiers symptômes de la maladie d’Alzheimer ?

Selon le répertoire de Médecine Interne de Ciril Rozman, cette maladie se caractérise principalement par les 3 étapes suivantes :

• Lors de la première étape de la maladie, le patient souffre de pertes demémoire, de changements brusques d’humeur et de problèmes d’utilisation du langage.
• Lors de la deuxième étape, l’altération de la mémoire est notable, la capacité du langage se détériore, la communication avec les autres s’appauvrit et une difficulté à manipuler les objets apparaît, ce qui fait que la vie quotidienne devient de plus en plus compliquée.
• Lors de la troisième étape, le patient peut conserver sa mémoireémotionnelle, mais son humeur est imprévisible et sa capacité à communiquer se limite à des balbutiements incompréhensibles ; le contrôle des sphincters est totalement perdu. Par conséquent, la vie quotidienne du malade va dépendre complètement des autres.

Ce qui doit attirer votre attention…

Il y a beaucoup de signaux qui peuvent vous alerter sur une possible présence de cette maladie, comme le fait d’oublier tout le temps des chose importantes, les prénoms des membres de la famille ou même le jour de la semaine. Ces oublis peuvent parfois paraître sans gravité mais doivent néanmoins être pris au sérieux.

Ces situations indiquent que quelque chose va mal et que la personne atteinte doit immédiatement consulter un spécialiste afin d’être évaluée et subir quelques examens. Un traitement de soutien pourra alors être proposé si le diagnostic est positif.

Les complications de la maladie d’Alzheimer peuvent causer la mort dans les 4 à 10 ans après le début de la maladie.

Il n’existe aucun traitement ou médicament spécifique pour soigner cette maladie : le rôle des traitements proposés se limite seulement à soulager ses symptômes. Mais tout comme les autres maladies incurables, l’Alzheimer nécessite un suivi régulier et un œil attentif aux symptômes qui le caractérisent, car ce geste va permettre de freiner cette maladie et de ralentir sa progression.

 

De la physiothérapie pour soigner les malades d’Alzheimer

Le malade éprouvera de plus en plus de difficulté à accomplir des tâches qui étaient pourtant faciles à faire pour lui dans le passé, et généralement, les familles des malades poussent ces derniers à rester dans leur chambre et les font sombrer dans l’immobilité, un comportement qui risque fortement d’accélérer la progression de la maladie.

La physiothérapie cherchera à ralentir le processus normal de la maladie, ce qui donnera au malade la possibilité de réaliser des exercices spécifiques à chaque étape de la maladie. Cette technique permettra aussi de conserver une bonne position, de préserver les articulations et la musculature, ainsi que d’apprendre à maintenir son équilibre.

Ainsi, la physiothérapie peut grandement aider le malade à rester plus au moins actif et à garder le contact avec son entourage familial et social afin de ne pas sombrer dans la dépression, comme c’est déjà le cas de beaucoup de patients.

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Jouir d’une bonne santé physique et émotionnelle est l’une des clés qui permet d’avoir une excellente qualité de vie tout au long de l’existence.

Il existe différentes manières d’améliorer notre santé, et d’éviter les maladies qui peuvent apparaître avec l’âge.

Par exemple, vous pouvez procéder à une désintoxication et à une dépuration de votre organisme, pour éliminer toutes les substances dont vous n’avez pas besoin, et qui peuvent nuire à votre qualité de vie.

 

Notre corps accumule une grande quantité de toxines et de déchets qui peuvent affecter le fonctionnement de plusieurs de nos organes vitaux et à long terme, nuire à notre santé.

Ces toxines proviennent d’une mauvaise alimentation, de la pollution environnementale, de l’utilisation de produits chimiques, ou du style de vie sédentaire, entre autres.

Pour toutes ces raisons, nous devons procéder fréquemment à une dépuration et à une désintoxication de notre organisme, car le fait de l’aider à se débarrasser des déchets qu’il contient va lui permettre de fonctionner plus efficacement.

Il existe de nombreuses alternatives pour désintoxiquer et nettoyer son corps en profondeur, de manière naturelle.

Dans cet article, nous souhaitons partager avec vous un régime de désintoxication à base de citron, de gingembre et de concombre, qui va vous aider à dépurer entièrement votre corps, et à améliorer votre qualité de vie.

En quoi consiste le régime de désintoxication au citron, au gingembre et au concombre ?

Ce régime de désintoxication consiste tout simplement à préparer une boisson contenant du citron, du gingembre et du concombre, trois ingrédients aux qualités dépuratives mondialement reconnues.

Ce breuvage doit être consommé à jeun, tous les jours. Si vous suivez ce régime, vous devrez également boire deux litres supplémentaires de cette boisson tout au long de la journée.

Vous allez aussi devoir supprimer les aliments transformés, les graisses, les produits laitiers et le sel, de votre régime alimentaire.

La consommation de cette boisson doit être complétée par une alimentation à base de fruits, de légumes, de céréales et de viandes maigres.

 

L’eau au citron, au gingembre et au concombre

Cette boisson pour désintoxiquer l’organisme est très facile à préparer, et apporte d’incroyables bienfaits médicinaux.

Le citron, le concombre et le gingembre permettent à notre corps d’éliminer toutes les toxines qu’il contient, ce qui facilite grandement la perte de poids.

Ingrédients

• 1 citron ou un citron vert
• ½ concombre
• ½ gingembre
• 1 branche de menthe fraîche
• 1 verre d’eau (200 ml)

Comment la préparer ?

Pour réaliser cette boisson désintoxicante et dépurative, il vous suffit de bien laver et désinfecter le citron, le concombre, le gingembre et les feuilles de menthe.

Coupez-les ensuite en morceaux, tout en conservant leur peau, et mettez-les dans un verre d’eau. Laissez reposer ce mélange toute la nuit, et buvez-le le matin suivant. Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter un peu de miel.

Quels sont les bienfaits de ce régime ?

Chacun des ingrédients de cette boisson a des bienfaits très importants pour votre organisme :

• Le citron : cet agrume est connu pour ses exceptionnelles propriétés désintoxicantes et dépuratives, qui permettent d’éliminer tous les déchets du corps et de promouvoir son nettoyage complet.
  Ce fruit, si populaire à travers le monde, est extrêmement médicinal grâce à sa teneur en vitamine C et en antioxydants.
  Ces éléments lui permettent de renforcer notre système immunitaire et de prévenir de nombreuses maladies.
  Le citron améliore la digestion, prévient la constipation, et évite l’inflammation abdominale. Grâce à sa teneur en fibres, comme la pectine, il permet également de diminuer l’absorption des graisses.

 

• Le gingembre : il agit comme un anti-inflammatoire naturel, améliore la santé digestive, et a des effets positifs sur notre système nerveux.
  L’un de ses principes actifs, le gingérol, est capable de se transformer en une substance appelée shogaol, qui confère tous ses bienfaits à cette racine.
  Le gingembre stimule la production de sucs gastriques, et facilite l’absorption des nutriments contenus dans les aliments.
  Il aide également à activer le métabolisme pour qu’il brûle davantage de graisses, et permet d’éliminer les liquides de manière efficace.

 

• Le concombre : c’est un ingrédient hautement diurétique, qui stimule l’élimination des liquides accumulés dans l’organisme. De plus, il aide à améliorer la digestion et à promouvoir l’élimination des déchets accumulés dans le corps.
  Cet aliment est faible en calories, riche en eau et en nutriments bienfaisants pour notre santé.
  Il apporte seulement 13 kcal pour 100 grammes de chair, et contient de faibles quantités de provitamine A et de vitamine B, C et E.
  Pour finir, il contient des minéraux comme du calcium, du potassium, du phosphore, du magnésium et du fer.

 

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Un éperon calcanéeux est provoqué par une calcification du talon. Ce problème entraîne de vives douleurs et des problèmes pour mouvoir l’articulation du pied.
 

Ce phénomène est causé par une mauvaise posture, par l’utilisation de chaussures inadaptées et par tout comportement qui pourrait entraîner une modification de la zone du pied.

Dans cet article, nous allons vous expliquer ce que sont exactement ces éperons, en vous détaillant leurs causes potentielles et les traitements qui peuvent être utilisés pour les résorber.

 

Tout ce qu’il faut savoir sur les éperons calcanéeux

La sensation de douleur provoquée par l’éperon calcanéeux est caractéristique et se produit lorsque le talon est victime d’une inflammation importante.

Cela provoque une fasciite plantaire, dont les effets peuvent être ressentis dans l’ensemble du pied, orteils compris.

Pour diagnostiquer un éperon calcanéeux, les médecins utilisent les méthodes classiques de radiologie.

Cependant, les éperons peuvent également être visibles à l’œil nu car ils provoquent de petites protubérances, formées par l’accumulation de calcium.

Parmi les facteurs qui déclenchent cette pathologie, on retrouve la réalisation d’activités répétitives et l’utilisation de hauts talons au quotidien.

Le surpoids, les pieds plats ou très arqués, ainsi que les contractures du tendon d’Achille peuvent également être responsables de ce phénomène.

Les étirements continus et excessifs de la fascia plantaire (le tissu qui recouvre les muscles du pied) provoquent de vives douleurs et la condition que nous venons de décrire.

Lorsque ces symptômes se manifestent, le simple fait de poser le talon sur le sol est douloureux. Les personnes atteintes de cette pathologie ne peuvent quasiment plus marcher.

Selon une étude de l’Association Espagnole de Podologie Sportive, le corps répare automatiquement la blessure produite par la déconnexion entre la fascia et l’os, en transportant le calcium à travers le flux sanguin.

L’éperon en lui-même ne provoque quasiment aucun symptôme. C’est bien la présence d’une fasciite plantaire dans la partie interne du talon, ou bien dans n’importe quel des cinq orteils, qui est extrêmement douloureuse.

Cette sensation se caractérise par des petits picotements dans tout le pied lorsque celui-ci est sollicité, qui disparaissent dès qu’il n’est plus en mouvement.

 

Comment prévenir et traiter les éperons calcanéeux

Pour éviter la formation d’un éperon, il est donc nécessaire de prévenir l’apparition de la fasciite plantaire.

Les médecins doivent réaliser une étude détaillée du pied. A travers des semelles personnalisées, ils doivent permettre au patient d’éviter les surcharges sur son pied et doivent empêcher son corps d’être déséquilibré, afin qu’il puisse en finir avec sa pathologie.

Il est important de garder à l’esprit que les éperons ne peuvent pas être guéris du jour au lendemain.

Le processus de récupération peut être long, c’est pourquoi il est important d’être constant dans la réalisation des traitements visant à la réduction de l’inflammation du talon.

Nous allons vous en présenter quelques-uns dans la suite de cet article.

La poche de glace

Appliquez du froid sur la zone de votre talon durant 15 minutes au moins, 2 fois par jour. Vous pouvez appliquer quelques glaçons à l’aide d’un linge ou utiliser une poche spécialement conçue pour cette utilisation, que vous devrez placer au congélateur au préalable.

Certaines personnes préfèrent bouger lentement leur pied sur une bouteille d’eau congelée pour soulager leurs douleurs.

Le repos

Il est fondamental que le pied ne soit pas continuellement sollicité pour régler le problème de la fasciite plantaire.

Essayez de le surélever durant quelques minutes plusieurs fois durant votre journée, et n’hésitez pas à placer un coussin en dessous de votre talon pendant la nuit.

De cette manière, la pression que vous aurez exercée sur votre talon durant la journée se réduira quelque peu et vous pourrez mieux vous reposer.

Vous devez également changer quelques-unes de vos activités quotidiennes. Si vous avez l’habitude de faire des exercices physiques, supprimez ou adaptez tous ceux qui exercent une pression trop importante sur cette partie de votre corps.

Vous pouvez opter pour des disciplines comme la natation, la marche lente ou le vélo pour ne pas perdre votre forme physique.

L’attelle nocturne

Seul le médecin peut vous prescrire une attelle, et vous devrez aller la chercher chez un orthopédiste pour être certain qu’elle vous convienne parfaitement.

Elle va vous aider à étirer votre fascia plantaire durant votre sommeil. Une attelle en forme de « L » permet au pied d’être maintenu dans la position qui lui convient le mieux.

Si vous avez vraiment très mal, vous pouvez même porter une attelle durant toute la journée.

L’exercice physique

S’il est vrai que l’activité physique peut être dangereuse pour vos pieds, et notamment pour votre talon, surtout si vous souffrez d’une fasciite plantaire, certaines techniques peuvent vous être très utiles pour réduire les symptômes de cette pathologie, tout en fortifiant cette zone de votre corps.

• Les étirements des mollets : mettez-vous debout face à un mur, sur lequel vous allez appuyer vos mains. Reculez l’un de vos pieds. Votre genou avant doit légèrement se fléchir. Avancez vos hanches vers le mur et maintenez votre position pendant 10 secondes.
  Vous allez alors ressentir une extension de votre mollet. Répétez 20 fois cette opération, puis changez de pied.
• Les étirements de la fasciite plantaire : vous devez réaliser cet exercice chaque matin, avant de vous lever. Allongé sur le dos, placez votre pied droit sur votre genou gauche. Saisissez vos orteils et tirez-les doucement vers vous. Maintenez cette position durant 10 secondes, puis revenez à la position initiale. Répétez 20 fois cette opération, puis changez de pied.

 

Les chaussures

En premier lieu, il est important de choisir des chaussures bien adaptées à la taille de vos pieds.

La meilleure chose à faire pour y parvenir est d’acheter vos chaussures en fin d’après-midi, ou lorsque vous sortez du travail, au moment où vos pieds sont les plus gonflés.

Pour faire vos essayages, utilisez les mêmes chaussettes que celles que vous portez le plus souvent. Marchez un peu avec les chaussures dans la boutique, en vous assurant que vous pouvez bouger les orteils sans problème et que vous ne ressentez aucune douleur ou aucune pression.

Essayez de ne pas utiliser de talons hauts si vous n’en avez pas besoin. Si vous devez vous rendre à votre travail avec ce type de chaussures, vous pouvez les mettre dans votre sac pour les enfiler juste avant d’arriver devant les locaux de votre entreprise.

Ne portez surtout pas de talons lorsque vous voyagez ou durant votre pause déjeuner, mais optez plutôt pour des chaussures plus confortables.

Si vous souffrez d’un éperon calcanéeux, nous vous recommandons d’utiliser des dispositifs orthopédiques, comme des semelles adaptées ou des outils pour vous chausser, voire des produits encore plus personnalisés, comme les éponges ou les coussinets pour les orteils, par exemple.

 

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

La rancœur est un sentiment négatif qui peut abîmer votre santé mentale.

Tout cela arrive car les personnes rancunières sont incapables de pardonner et d’oublier une situation désagréable que d’autres ont provoquée.

 

Que ce soit un mot ou un acte qui leur a fait du mal, les personnes rancunières ne réussissent jamais à être heureuses car elles portent toute leur vie un venin en elle.

Elles manquent de ressources pour pardonner et cela provoque chez elles une profonde amertume.

 

La rancœur est différente de la honte

Peut-être que vous pensez que la rancœur a un rapport avec la vengeance, mais ce sont deux choses bien différentes.

La rancœur est un dommage moral qui nous donne envie que l’autre personne paie pour ce qu’elle a fait.

La vengeance, à l’inverse, c’est lorsque l’on se comporte de manière hostile envers l’autre personne et que nous faisons tout notre possible pour faire de sa vie un enfer et pour qu’elle souffre autant que nous avons souffert.

Même si rancœur et vengeance vont parfois main dans la main, la plupart du temps une personne rancunière est un sujet passif qui n’obtient jamais ce qu’elle veut, ce qui est totalement différent des personnes qui se vengent.

Les personnes rancunières ravalent toute cette haine et cette colère qu’elles ressentent face à des circonstances du passé.

Elles souhaitent du mal à l’autre personne mais agissent rarement. Elles se contentent seulement de critiquer, de juger et de cracher leur venin.

 

Les caractéristiques des personnes rancunières

Maintenant que nous en savons un peu plus sur la rancœur, vous vous demandez sûrement comment on peut reconnaître une personne rancunière.

Aujourd’hui, nous allons découvrir certaines caractéristiques de ces personnes.

Elles ne pardonnent pas et n’oublient pas

Il y a des personnes qui pardonnent mais qui n’oublient jamais. Une personne rancunière peut se mentir à elle-même quand elle dit qu’elle a pardonné. Toutefois, à l’intérieur, ce qui s’est passé est toujours à vif.

 

Elles n’apprennent pas du passé

Elles ne sortent jamais du passé et y vivent en continu. Elles ne réussissent pas à se défaire des expériences négatives qu’elles ont vécues. 

 

Elles croient qu’elles ne se trompent jamais

Les personnes rancunières pensent qu’elles sont parfaites et qu’elles ne commettent jamais d’erreurs. Cela les rend très rigides avec les autres et elles n’acceptent pas d’agir de manière différente à ce qu’elles veulent.

 

Elles se vexent facilement

Se trouver face à une personne rancunière peut être compliqué, car les mots ou les actes peuvent l’offenser.

 

Elles pensent qu’elles sont meilleures que les autres

La douleur qu’elles ont subie de quelqu’un d’autre leur fait adopter un rôle de victime qui les empêche de voir qu’elles aussi se trompent. Leur perception de la réalité est souvent erronée.

 

La vie est un drame

Leurs insécurités et l’incapacité pour dépasser le passé transforment leurs vies en des drames où elles se retrouvent toujours dans le rôle de la victime.

Vous sentez qu’une personne de votre entourage est caractérisée par ces aspects ? Vous-vous reconnaissez vous-même?

Tout comme n’importe quelle autre émotion, la rancœur peut se dépasser. Il faut juste en être conscient et vouloir changer.

 

Tout le monde peut changer

Si vous vous êtes découvert les caractéristiques dont nous avons parlées, il est important d’interagir avec les personnes qui se trouvent dans votre entourage.

Essayez de garder un esprit ouvert à tout ce que les autres peuvent vous dire. 

Parler avec les autres et partager différentes perceptions de la vie vous permettra de vous rendre compte que vous vous trompez peut-être.

Cela vous aidera à savoir pourquoi vous hébergez cette rancœur en vous et à découvrir comment vous pouvez l’éliminer.

Tout cela sera difficile et les personnes rancunières ont tendance à nier ce travers. Elles croient qu’elles pardonnent alors qu’elles ne pardonnent pas.

C’est pour cela qu’il est nécessaire de savoir faire une auto-critique et d’accepter ce qui ne nous plaît pas et ce qui sort de la bouche de nos proches.

 

Que vous soyez une personne rancunière ou que vous en ayez une dans votre entourage, vous savez que cela peut changer.

Alors, ne pensez pas qu’une personne rancunière le sera toute sa vie car si elle s’en rend compte, elle peut arrêter de l’être.

 

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

À partir de la ménopause, les femmes commencent à perdre de la masse osseuse, avec tous les risques que cela comporte.

Les fruits déshydratés sont une manière saine et délicieuse de vous apporter de l’énergie et de prendre soin de votre santé et de vos os.

Même s’ils ne contiennent pas d’eau, car ils sont déshydratés, ils apportent une grande quantité de minéraux et de protéines, parfaits pour commencer la journée avec beaucoup d’énergie.

 

Comment leur résister ? Ils constituent une option idéale pour le petit-déjeuner, qui va vous permettre d’éviter de souffrir de constipation et de renforcer vos os, grâce à leur forte teneur en calcium et en zinc.

Les fruits secs sont une excellente option pour votre santé, si vous les consommez dans des quantités raisonnables.

Dans cet article, nous allons vous donner quelques informations pour que vous sachiez comment tirer profit de tous leurs bienfaits.

 

Les fruits déshydratés font-ils grossir?

C’est une question qui vous est sûrement venue directement à l’esprit.

En effet, de nombreuses personnes évitent de consommer des fruits secs et déshydratés car elles pensent qu’ils contiennent trop de sucre.

S’il est certain qu’ils contiennent une forte dose de cette substance (comme les raisins secs notamment), le processus de déshydratation a permis d’en faire de véritables concentrés de nutriments, comme les vitamines et les minéraux, que nous ne devons pas exclure de notre alimentation.

Pour mieux comprendre les bienfaits de ces fruits, prenez en compte les informations suivantes :

• Les aliments déshydratés contiennent une grande quantité de nutriments, et nous apportent 4 fois plus d’énergie que des fruits frais.

• Les fruits séchés sont beaucoup mieux assimilés par notre organisme, et sont très rassasiants.
  Vous aurez donc besoin de manger moins de fruits pour obtenir la même sensation de satiété.

• De nombreuses personnes incluent des fruits déshydratés dans leur régime amincissant car ils facilitent le transit intestinal et aident à la digestion.
  Avec seulement 100 grammes de fruits séchés par jour, vous éviterez de grignoter entre les repas tout en ayant une grande énergie.

• Pour bénéficier de tous les apports des fruits secs, il faut les consommer avec modération : 100 grammes par jour maximum.
  De cette manière, vous obtiendrez des nutriments de base pour votre organisme et pour vos os, qui vous aideront à combattre la fatigue chronique.

 

Les bienfaits des fruits séchés pour nos os

Il y a peu de temps, nous vous avons expliqué dans l’un de nos articles, les bienfaits des figues sèches pour traiter l’ostéoporose.

Vous devez prendre cette information au sérieux, notamment si vous êtes une femme, car vous savez que le genre féminin est plus sensible aux pertes de masse osseuse avec l’âge, et notamment après la ménopause.

Les fruits déshydratés sont des alliés sains, que vous pouvez commencer à inclure plus régulièrement dans votre régime alimentaire, que vous choisissiez des pruneaux, des dattes, des framboises ou des abricots. Ils sont tous délicieux !

De plus, ils constituent une excellente option pour le petit-déjeuner.

Vous pouvez également les ajouter à vos ragoûts et à vos plats de viande.

Voulez-vous savoir tout ce que les fruits séchés peuvent faire pour vous ?

• Ils sont une source naturelle de calcium, de fer, de magnésium et de zinc. Un véritable concentré de bienfaits pour vos os et pour combattre l’ostéoporose.

• Ils servent à prévenir certaines maladies dégénératives grâce à leur forte teneur en vitamine E, en vitamine C et en antioxydants.

• Ils améliorent la digestion, prennent soin de nos intestins et évitent ainsi l’accumulation de toxines, ou de tout autre élément nocif dans notre organisme.

• Les fruits séchés sont une source naturelle de potassium et de vitamines du complexe B, idéale pour nos os.

• Comme ils ne contiennent pas de sodium, et qu’ils sont riches en micronutriments, ils nous permettent de réduire l’hypertension artérielle.  

• Les fruits déshydratés sont riches en bonnes graisses, comme les oméga 3 et 6. 

• Ils sont idéaux pour combattre l’anxiété et les envies compulsives de manger.

• Grâce à leurs nutriments exceptionnels, ils entrent dans la composition des menus de nombreux sportifs, qui les utilisent pour obtenir de l’énergie et un meilleur rendement physique.

• Les fruits déshydratés sont des capsules d’énergie et d’optimisme, idéales pour toutes les femmes qui débutent la phase de la ménopause, et qui se sentent très fatiguées, voire désespérées.
  C’est d’ailleurs à cette période que la perte de masse osseuse est la plus importante.
  Il est donc conseillé de consommer 100 grammes de figues sèches pendant la ménopause, car c’est le fruit déshydraté qui contient le plus de calcium.

 

Les meilleurs fruits déshydratés

Comme nous vous l’avons dit précédemment, la quantité adaptée de fruits séchés que vous devez consommer est de 100 grammes par jour.

Cela correspond environ à une bonne poignée de fruits. Vous pouvez varier les fruits selon vos goûts ou vos besoins.

N’hésitez pas à les utiliser comme un délicieux snack, dont vous pourrez profiter entre les repas, ou comme un moyen de donner à vos plats une saveur exotique.

Les fruits déshydratés sont un recours naturel pour les petites faims, qui vous apportera de nombreuses propriétés médicinales.

Rappelez-vous de toujours les consommer avec modération pour obtenir tous leurs bienfaits.

Prenez bonne note des meilleures options qui s’offrent à vous.

 

1. Les figues déshydratées

Les figues séchées fortifient les os et sont d’excellents laxatifs. 

Vous pouvez les consommer au petit-déjeuner, en les accompagnant d’une noix et de quelques amandes.

Vous obtiendrez alors un délicieux cocktail d’énergie, de calcium et de magnésium.

 

2. Les pruneaux

Ce sont les fruits séchés les plus riches en fibres. Ils sont extrêmement efficaces pour combattre la constipation. Ils contiennent une forte teneur en fer et en vitamines du complexe B.

 

3. Les dattes séchées

Elles sont idéales pour augmenter votre capacité de concentration et votre agilité mentale.

En plus de cela, les dattes sont riches en magnésium et en calcium, ce qui les rend très utiles pour avoir un bon sommeil réparateur.

Mangez 5 dattes une demi-heure avant d’aller vous coucher, et vous constaterez cet effet par vous-même !

4. Les canneberges déshydratées

Les canneberges déshydratées sont les meilleurs fruits pour réguler les taux de mauvais cholestérol, pour améliorer la santé cardiaque et pour faire le plein d’antioxydants.

Savez-vous comment les consommer ? Mélangez-les avec du yaourt naturel sans sucres ajoutés. Un véritable régal !

 

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme vous le savez déjà, l’ostéoporose est une pathologie qui affecte le plus souvent les femmes.

Il s’agit d’une maladie chronique qui diminue la masse osseuse, rendant les os plus fragiles, les soumettant à un risque de déformation et provoquant une forte douleur au quotidien.

 

Malheureusement, pour le moment, il n’existe pas de solutions efficaces contre cette maladie.

En revanche, grâce à la série de conseils que nous allons vous donner, vous allez pouvoir fortement réduire son impact, et améliorer votre qualité de vie.

 

Quels sont les facteurs de risque qui peuvent entraîner l’ostéoporose ?

Comme vous le savez, les os sont formés par des tissus vivants, autrement dit des structures qui évoluent avec le temps depuis notre naissance, acquérant densité et force au fur et à mesure que nous grandissons.

Notre croissance s’effectue durant notre enfance et adolescence, jusqu’à l’âge de 20 ans environs, où nous atteignons généralement notre pic le plus élevé de masse osseuse.

Tout cela signifie que le développement d’une personne est essentiel pour pouvoir acquérir une ossature plus ferme, saine et résistante au fil des années.

Notre alimentation et nos habitudes de vie sont donc deux facteurs primordiaux car ils nous permettent d’acquérir un bonne masse osseuse.

Cependant, nous souffrons parfois de carences en calcium, en fluor ou en vitamine D.

C’est pourquoi, nous allons maintenant analyser les facteurs qui déterminent la survenance de l’ostéoporose.

1. Les facteurs de risque qui échappent à notre contrôle 

• Le sexe : cela peut paraître injuste mais la nature, la génétique et les hormones des femmes sont des facteurs qui vont les exposer davantage à souffrir de cette maladie que les hommes.
  À long terme, elle devient généralement chronique, ce qui peut être assez compliqué à gérer au quotidien.
• L’âge : Au fur et à mesure que nous vieillissons, nous avons inévitablement plus de risques de développer de l’ostéoporose.
• La génétique : Si un membre de votre famille comme par exemple votre mère ou votre grand-mère souffre d’ostéoporose, vous avez plus de risques d’en souffrir. Il vaut la peine de le prendre en compte afin de freiner sa progression en prenant certaines mesures.
• La ménopause : les changements hormonaux qu’occasionnent la ménopause entraînent davantage de risques de souffrir d’ostéoporose. Faites surtout très attention si vous avez été ménopausée avant 45 ans.
• La constitution physique : si vous êtes assez fine et mince, vous avez plus de risques de souffrir d’ostéoporose.

2. Les facteurs de risque que nous pouvons contrôler 

• Nous devons tous faire très attention à nos niveaux niveaux de calcium et de vitamine D.
• Évitez de consommer de l’alcool, ainsi que des boissons sucrées ou gazeuses. Ces sodas que vous aimez tant sont hautement décalcifiants.
• Vous fumez ? Commencez dès aujourd’hui à vous débarrasser de cette mauvaise habitude.
• Faites attention aux troubles alimentaires, comme l’anorexie par exemple. Si vous en souffrez durant des périodes assez longues, vos os vont très certainement s’abîmer.
• Avoir des faibles niveaux d’oestrogènes ou de testostérone facilite l’apparition de l’ostéoporose. Les dysfonctionnements de la thyroïde provoquent également une diminution de la masse osseuse.
• Les médicaments utilisés pour traiter les inflammations, et notamment ceux du type corticostéroïdes, qui sont pris durant de longues périodes, peuvent causer de nombreux problèmes.
  Ils réduisent l’absorption de calcium par le corps, et causent donc l’ostéoporose, comme c’est le cas des médicaments pour traiter l’acidité stomacale par exemple.

Comment pouvez-vous traiter l’ostéoporose ?

Tout d’abord, nous vous rappelons que l’ostéoporose ne se guérit pas, mais elle se traite. Vous devez toujours respecter le traitement prescrit par votre médecin.

Il est important que vous sachiez que, dès le diagnostic de cette maladie, votre vie va changer, mais grâce à votre force de volonté, et à quelques petits changements dans votre quotidien, vous pourrez jouir d’une excellente qualité de vie.

Ne prenez pas seulement des médicaments pour lutter contre la douleur. Mettez ces quelques conseils simples en pratique, et profitez de la vie et de votre bien-être !

1. La natation : vous le savez déjà, une trop forte sédentarisation influe grandement sur la perte de densité osseuse. Si l’on vient de vous diagnostiquer cette maladie, ne vous terrez pas chez vous sans bouger.
Le fait de faire de la natation, trois fois par semaine, va améliorer votre situation et évitera la perte de masse osseuse. Vous vous sentirez plus dynamique, plus mobile et vous ressentirez moins de douleurs.

2. Le magnésium et la vitamine D : vous pouvez avoir recours à des suppléments vendus en pharmacie, ou vous pouvez en parler avec votre médecin pour qu’il vous conseille.
N’oubliez pas d’inclure dans votre régime alimentaire des épinards, des graines de courge, du riz complet, du poisson, de l’avocat, du yaourt à la grecque nature, de la banane, des figues séchées, du chocolat amer, etc.

3. Les infusions de prêle et de pissenlit : elles sont simplement merveilleuses, car elles vont vous permettre de couvrir les déficiences en silicium dont vous pouvez souffrir. Si vous consommez ces infusions quotidiennement, vus synthétiserez bien mieux le calcium.

4. Les cerises et le citron : ces deux fruits sont indispensables à votre régime alimentaire. Les cerises peuvent être un peu difficiles à trouver, mais n’hésitez en aucun cas à consommer un verre de jus de citron par jour, car il est riche en calcium et en vitamine C. Cela aidera votre corps à mener à bien la calcification des os.

Allez-vous commencer dès aujourd’hui à mettre tous ces conseils en pratique ?

 

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

L’amour est ce moteur indispensable qui alimente les liens entre une mère, un père ou n’importe quel autre référent pour un enfant.

 

Tout enfant qui vient au monde n’a pas seulement besoin de nourriture, d’un abri et de sécurité.

L’affection sincère est tellement indispensable que, si l’on échoue ou que l’on est absent, cela provoque de graves problèmes dans le développement de l’enfant.

Il est possible que vous ayez entendu parler du trouble du lien. C’est un sujet délicat et très complexe, et c’est pour cela qu’il vaut la peine de l’approfondir pour comprendre tous les aspects de l’amour qui influencent la croissance de nos enfants.

Aujourd’hui, nous vous invitons à en découvrir plus sur ce thème intéressant, et à alimenter chaque jour vos enfants de cet amour sincère et sans concessions, capable de les guider en force et en liberté, pour faire d’eux des personnes mûres, capables de construire leur bonheur.

Le délicat mais puissant lien de l’amour entre la mère et son enfant

L’union entre une mère et un enfant se crée au niveau utérin avec le cordon ombilical capable d’apporter des aliments, mais pas seulement.

Ce refuge chaleureux et exceptionnel contenu dans le placenta est aussi un transmetteur d’émotions entre les deux. Il est donc primordial d’en tenir compte et de le favoriser positivement.

Le lien qui se crée après la naissance

Durant les dernières années, on a découvert qu’il est important que le nouveau né reste le plus longtemps possible contre la peau de sa mère juste après la naissance.

Parfois, les accouchements deviennent si protocolaires que le bébé passe de main en main pour, ensuite, être lavé et rendu à sa mère, réveillée à la suite de l’anesthésie.

Les études sur ce sujet sont très nombreuses et concluent les choses suivantes :

• Le nouveau né doit entrer en contact avec la peau de sa mère pour construire ce lien affectif.
• Les bébés interprètent le monde à partir de leurs sens, et la température du thorax de la mère génère une sensation de chaude sécurité qui tranquillise immédiatement l’enfant.
• Dans la mère, est immédiatement sécrétée de l’ocytocine, l’hormone directement liée à l’amour et à l’affection entre la mère et son enfant.

De plus, quand un bébé est allaité pour la première fois par sa mère, les ocytocines génèrent aussi une plus grosse production de lait.

Il est fondamental qu’un bébé, lorsqu’il vient de naître, reste un bon moment peau contre peau avec sa mère. C’est une manière exceptionnelle de construire le lien.

 

Le trouble du lien

Nous savons tous que des facteurs comme l’abandon, le manque d’affection sincère, la maltraitance, ou une éducation sévère génèrent de graves problèmes dans le monde émotionnel de l’enfant.

Le trouble du lien intervient lorsque des ruptures traumatiques dans le lien affectif entre l’enfant et ses progéniteurs ont lieu lors des étapes les plus précoces de son enfance. 

Tout cela a de graves conséquences sur l’évolution de l’enfant puisqu’il peut souffrir d’hyperactivité ou même de stress post-traumatique, de sentiments de colère…

Ce qui semble plus compliqué, à présent, c’est de savoir quand nos enfants ressentent des carences de liens affectifs. Voici des exemples :

• Il y a des enfants qui, s’ils ont été laissés dans des garderies très jeunes à cause des obligations professionnelles des parents, souffrent d’une grande anxiété et le vivent de manière traumatique.
• Nous pouvons avoir plusieurs enfants, mais chacun d’entre eux aura ses propres besoins, d’où le fait que certains puissent être jaloux et avoir plus de besoins que d’autres.
• Il y a des bébés qui doivent passer un certain temps dans des couveuses et des hôpitaux, et cela peut aussi provoquer des épisodes de stress quand ils sont éloignés de la figure maternelle.

Les situations où les enfants peuvent souffrir de « trouble du lien » sont nombreuses.

Nous ne devons pas culpabiliser si à un moment notre enfant vit cela car, comme nous l’avons dit, il y a des enfants qui ont plus de besoins que d’autres et c’est quelque chose que nous devons apprendre à ressentir.

 

Alimenter nos enfants d’amour pour que leur peur meure de faim

Nous pouvons lutter contre le trouble du lien à l’aide de l’affection, cette union saine, forte, respectueuse et sûre, des manières suivantes :

• Gardez le contact physique avec le nouveau né : l’allaitement maternel est très positif, ainsi que les caresses, les câlins, les mots tendres…
• Écoutez les pleurs de votre bébé.
• Au fur et à mesure qu’ils grandissent, n’hésitez jamais à leur faire sentir que vous les aimez. Parlez avec eux, donnez une réponse aux centaines de questions, éteignez leurs peurs, donnez des ailes à leurs rêves, offrez-leur de la sécurité et des outils pour qu’ils renforcent leur auto-estime.

 

Le lien est un lien invisible nourri par l’amour. C’est le cordon ombilical invisible nourri par l’amour, qui vous unira toujours à vos enfants et que vous devrez alimenter chaque jour.

Une union forte alimentée d’affection offre au monde des enfants capables d’atteindre leurs rêves.

 

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Le syndrome du cœur brisé est décrit pour la première fois en 1990.

Avant cela, nombreux de ses symptômes n’étaient pas compris, jusqu’à ce que finalement on comprenne qu’il s’agit d’une maladie cardiaque liée à nos émotions.

Cette maladie est également connue sous le nom de syndrome de Takotsubo et dans 85% des cas elle est déclenchée par un événement émotionnel ou une situation de stress intense. 

La réaction dont souffre le cœur après ce choc a lieu plusieurs minutes ou heures plus tard.

Il faut savoir que cette maladie cardiaque est très commune chez les femmes, mais elle n’est pas mortelle.

Cependant, elle implique de passer quelques jours en soins intensifs, mais dans la majorité des cas, les patientes se rétablissent.

C’est tout de même « un avertissement », une réaction de notre cœur, liée à nos émotions et à la pression psychologique de notre entourage, qui nous indique qu’il y a quelque chose que l’on ne fait pas comme il faut.

Aujourd’hui, dans cet article, nous allons vous présenter 3 éléments pour comprendre en profondeur comment se présente le syndrome du cœur brisé.

 

Le syndrome du cœur brisé et l’infarctus du myocarde : similitudes et différences

Le syndrome du cœur brisé ou de Takotsubo est une cardiomyopathie qui apparait de façon brutale et imprévisible sans qu’il n’y ait de symptômes préalablement.

Les symptômes sont généralement les suivants :

• Douleur intense dans la poitrine.
• Difficultés à respirer (manque de souffle).
• La majorité des patients arrivent aux urgences persuadés qu’ils sont en train d’avoir une crise cardiaque.
• Les analyses médicales présentent les mêmes caractéristiques qu’un infarctus du myocarde, aussi bien concernant les analyses biochimiques que l’électrocardiogramme.

Cependant les artères coronaires des patients sont saines et ne présentent pas d’anomalies, ce qui donne un premier indice pour différencier cette maladie de la crise cardiaque.

Il faut garder à l’esprit que souvent, même pour les médecins eux-mêmes, différencier un cadre clinique de l’autre relève du défi, c’est pourquoi généralement le patient est envoyé en soins intensifs pour mesurer tous ses signes vitaux.

Toutefois, les cardiologues nous apprennent qu’une façon sûre de diagnostiquer le syndrome du cœur brisé est de réaliser une radiographie.

En effet, avec cette maladie, le ventricule gauche présente une petite anomalie. 

Qu’est-ce que c’est exactement le syndrome du cœur brisé ?

Le syndrome du cœur brisé est une cardiomyopathie générée par le stress, qui n’est pas encore très connue.

Cette maladie a été découverte pour la première fois au Japon et elle a reçu le nom d’un type de pot utilisé par les pêcheurs, les Tako-Tsubo, un peu bombé et avec un goulot étroit.

Le cœur des patients qui souffrent de cette maladie présente une forme similaire.

La cause de cette variation concernant cet organe peut être une des suivantes :

• Suite à un choc émotionnel, une mauvaise nouvelle, une forte déception ou une situation de stress intense, notre cœur subit une légère modification au niveau du ventricule gauche.
• Ce changement dans la structure cardiaque est dû à une libération démesurée de catécholamines qui sont des substances similaires à l’adrénaline qui , à doses très élevées, ont un effet « toxique » sur le cœur.
• On souffre de tachycardies, douleurs dans la poitrine, essoufflements, nausées, sudations, augmentation de la pression artérielle…
• Tout ce choc biochimique modifiera le muscle cardiaque, mais cette variation du ventricule gauche sera temporaire.
• La mortalité est très basse: à peine 5 pourcent. Les personnes qui présentent des complications ont des maladies préexistantes ou sont âgées.
• Cependant, généralement, il faut passer quelques jours à l’hôpital et on se rétablit en quelques semaines.

Les femmes et le syndrome du cœur brisé

Selon de nombreuses études de population et de sexe sur le syndrome  du cœur brisé, cette maladie est plus courante chez les femmes âgées de 50 à 65 ans.

L’incidence chez les hommes est inférieure à 10%. C’est pourquoi il faut considérer les données suivantes :

• Selon la “Fundación española del corazón” (fondation espagnole du cœur) les femmes ayant le plus haut risque de présenter le syndrome du cœur brisé sont les femmes postménopausées, non fumeuses et avec une tension ainsi que des taux de cholestérol et de sucre normaux.
• Ce sont généralement des femmes avec une vie très active qui, à un moment donné, subissent un choc émotionnel intense : la mort d’un membre de la famille, le diagnostic d’une maladie grave, un problème émotionnel, un niveau de stress familial élevé…
• Les médecins rappellent la nécessité, dans la mesure du possible, d’essayer de gérer au mieux ces situations complexes que nous impose la vie au moment où on s’y attend le moins.

Bien que cela semble plus facile à dire qu’à faire, il est nécessaire d’éviter de se faire déborder par nos émotions au point de perdre le contrôle.

C’est dans cette situation que le cerveau réagit et provoque cette libération de catécholamines qui affectent directement le cœur. Il faut garder cela à l’esprit.

 

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Tout au long de votre vie, vous devrez renoncer à de nombreuses personnes qui en ont fait partie mais qui ne veulent plus en faire partie.

Cela arrive quand vous n’avez plus d’importance aux yeux de quelqu’un et que vous laissez derrière vous ces personnes que vous n’intéressez plus.
 

Nous savons que c’est un sacrifice important et douloureux, un renoncement très difficile qui vous mènera sur le chemin de l’amertume.

Mais, si vous ne lui importez pas, pourquoi continuer à essayer quelque chose d’inutile ?

Commencez à vous valoriser et à quitter la scène sans peur de regarder vers l’avant.

 

Je ne suis plus important : que faire ?

Quand on arrête d’être important pour quelqu’un qui l’est toujours pour nous, on peut rentrer dans une peur panique, et le stress et l’anxiété peuvent s’emparer de nous.

Mais, il est important de s’efforcer de garder son calme et de regarder la situation d’une perspective différente. 

La situation que vous vivez en ce moment, des milliers de personnes la vivent et pourtant, quand vous la voyez de l’extérieur, vous vous dites que ce n’est pas si grave.

La vérité, c’est que nous nous sentons extrêmement mal et malheureux à cause de nos sentiments et de nos émotions provoqués par le désamour de cette fameuse personne.

Nous mentirions si nous disions que ce n’est pas grave, car on peut extrêmement souffrir de ce genre de situation.

Cependant, accepter cette situation est la meilleure chose que vous pourriez faire car il est pire de ne pas laisser partir quelqu’un qui se fiche complètement de vous.

Cette situation arrive souvent dans les relations de couple, quand l’un des membres souffre de désillusion ou tout simplement de désamour.

La peur d’être seul et se sentir sans cette personne qui nous a accompagné pendant une grande partie de notre vie produit en nous une peur atroce.

 

Les signaux de la distance émotionnelle

Si vous vous sentez heureux dans une relation de couple, peut-être que vous pensez que si un jour vous n’êtes plus très important pour l’autre, vous vous en rendrez compte. Rien de plus éloigné de la réalité.

Parfois, cette distance ne se manifeste pas physiquement.

C’est pour cela qu’il est important de tenir compte de tous les signaux que nous allons à présent mentionner et qui vous donneront des pistes sur ce que ressent votre conjoint à propos de vous.

Ainsi, vous le saurez et vous ne serez pas tellement surpris :

• Vous avez peut-être arrêté d’être une priorité pour l’autre car vos intérêts et vos buts ne coïncident pas avec les vôtres.
• Vous commencez à ressentir des sentiments de solitude et d’abandon car votre conjoint ne s’inquiète plus de vos besoins.
• Vous êtes l’unique personne qui donne tout pour la relation : votre conjoint ne fait que recevoir.
• Votre conjoint ne tient pas compte de vos critères et de vos idées, et commence à prendre des décisions pour vous deux sans vous consulter, et pour ses propres intérêts.
• Il commence à vous humilier, à vous critiquer et à s’éloigner de vous sans raisons apparentes. La relation devient soudain un vrai calvaire.

Même si vous résistez, vous avez arrêté d’être important pour cette personne que vous aimez toujours, mais qui vous rend maintenant la vie impossible et vous fait culpabiliser.

Elle ne vous quitte pas, et ne part pas, ce qui vous rend confus et vous met dans une position assez compliquée et douloureuse.

 

Renoncez à cette personne par respect pour vous-même

Quand vous vous trouvez dans une situation comme celle-ci, il est douloureux de renoncer à votre couple, mais terriblement nécessaire.

Mettez-vous en valeur et ne plongez pas, ni ne permettez pas à votre conjoint de vous détruire.

Vous n’êtes pas responsable de cette situation et que l’autre ne puisse pas vous dire clairement qu’il ne se sent plus connecté à vous.

Réunissez toutes vos valeurs et partez. Ce sera l’une de vos meilleures décisions. 

Ce sera ni la première ni la dernière fois que quelqu’un d’important de votre vie ne sera plus, mais il est fondamental que vous acceptiez le fait que les personnes aillent et viennent. Que ce soit courageusement ou lâchement, tôt ou tard, les personnes s’éloignent.

Si vous n’importez plus aux yeux de quelqu’un, ne vous efforcez pas et ne vous faites pas plus de mal que nécessaire en essayant d’attacher les cordes d’une relation que l’autre personne a déjà brisée.

Il sera inutile de lutter pour ce qui est déjà détruit.

C’est le moment de laisser de côté son orgueil et de débuter un nouveau voyage.

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

L’alimentation que nous avons aujourd’hui n’est pas saine pour tous nos organes.

Avec le temps, cela se ressent de plus en plus et c’est pour cela que nous devons les nettoyer régulièrement.

 

Le fait de manger à l’excès des fritures, et des aliments transformés ou avec des additifs est nocif pour la santé, surtout si on y ajoute le stress et les inquiétudes.

C’est pour cela qu’il n’y a rien de mieux que de profiter des vertus de plusieurs compléments pour détoxifier le foie.

 

Comment utiliser des aliments qui nettoient le foie ?

Comme dans tout autre régime alimentaire, l’idéal est de les ajouter petit à petit au régime quotidien.

Pour ce cas particulier, on recommande de réaliser deux nettoyages hépatiques et de la vésicule biliaire deux fois par an et de laisser de côté les aliments qui ne sont pas bons pour la santé et ces organes.

Par exemple, on peut ajouter à notre régime alimentaire un aliment sain chaque semaine.

 

Liste d’aliments pour détoxifier le foie

Voici les dix aliments qui ne doivent pas manquer au régime quotidien pour pouvoir nettoyer le foie :

1- L’ail : Avec une petite quantité, vous pouvez actives les enzymes de cet organe et éliminer les toxines. De même, l’ail contient du sélénium et de l’allicine, qui permettent de mieux nettoyer le foie.

2- Le pamplemousse : grâce à sa haute teneur en vitamine C et en antioxydants, il aide à stimuler le mécanisme naturel de détoxification.

Vous pouvez prendre un verre de jus de pamplemousse fraîchement pressé le matin avant de petit-déjeuner pour excréter des substances cancérigènes.

3- La carotte et la betterave : grâce à leur grand apport en bêta-carotène et en flavonoïdes, elles stimulent la fonction hépatique.

4- Le thé vert : C’est un allié pour le foie grâce à ses composés tels que la catéchine, qui assiste les fonctions de cet organe. Le thé vert est également un amincissant naturel.

5- Les légumes verts (épinards, cardes) : on peut les manger crus, cuits ou en jus. Ils apportent de la chlorophylle dans le flux sanguin.

Ils neutralisent les métaux toxiques, les pesticides et les produits chimiques des aliments, et protègent le foie.

6- L’avocat : il aide à la production de glutathion, un élément vital pour le nettoyage hépatique et pour éliminer les toxines. À consommer cru.

7- La pomme : elle contient de la pectine et d’autres excellents composants pour la libération de toxines du tractus digestif.

8- L’huile d’olive : cela peut aussi être de l’huile de lin ou de chanvre (pressées à froid). Grâce à ses lipides, l’huile d’olive élimine des toxines et diminue la surcharge toxique du foie.

9- Les céréales : cela peut être du riz complet par exemple. Riches en vitamines B, elles aident à métaboliser les graisses et à décongestionner le foie. Il n’est pas recommandé de consommer de la farine blanche.

10-Les légumes crucifères (brocoli et chou-fleur), augmentent les glucosinolates et la production d’enzymes tout en éliminant les substances cancérigènes.

 

Image de Dwight Sipler

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Avec le passage des années, le stress et les préoccupations, notre esprit est de moins en moins vif et cesse de fonctionner de manière optimale. 

Si vous vous sentez dans ce cas, si vous devez passer des examens, si vous êtes sujet à de l’anxiété ou si les années qui passent vous semblent peser sur votre cerveau, nous allons vous proposer des exercices pour le maintenir en forme.

Avant de vous les décrire, il est essentiel que vous sachiez comment fonctionne cet organe. Comme nous le savons tous, il est divisé en deux hémisphères, le droit et le gauche, qui jouent chacun un rôle différent.

L’hémisphère gauche est en lien avec la partie verbale et l’analyse logique. De son côté, l’hémisphère droit gère la partie non-verbale et la créativité.

Les activités que nous allons vous proposer vont vous permettre de stimuler ces deux parties de votre encéphale.

 

1. Des exercices pour le cerveau : la brain gym

Cette gymnastique du cerveau permet de renforcer la créativité, la concentration, la psychomotricité et la faculté d’apprentissage.

Le sociologue Paul Dennison propose une série d’exercices pour le cerveau en 26 mouvements corporels simples, qui permettent d’unifier les deux hémisphères de notre cerveau.

Il est recommandé de bien respirer avec la cage thoracique et de boire un peu d’eau avant d’effectuer la brain gym.

De la même manière, il est idéal de la pratiquer tous les jours, durant au moins 30 secondes.

 

2. La marche croisée

Levez progressivement votre genou droit et dirigez votre coude gauche vers lui.

Revenez ensuite à la même posture et répétez l’exercice en inversant vos membres. Vous devez certainement vous demander quel est le rapport entre ce geste et le cerveau !

Cette simple routine permet d’optimiser l’équilibre de notre activité nerveuse et a une influence sur l’amélioration de notre psychomotricité et de notre concentration.

C’est un exercice idéal, surtout si vous souhaitez travailler votre créativité.

 

3. Retenir les numéros de téléphone

A la différence des autres exercices, ce dernier ne fait travailler que votre cerveau. Prenez votre agenda et sélectionnez le premier numéro qui s’y trouve. Essayez de le garder en mémoire.

Répétez cette activité dans votre quotidien, et votre cerveau va commencer à être bien plus réceptif à la mémorisation.

La mémoire est une partie de notre activité cérébrale nécessaire pour développer des aspects comme notre créativité, car nous ne pouvons imaginer qu’à partir de ce que nous savons.

Voici un article qui vous permettra de travailler intensément votre mémoire.

 

4. Écouter de la musique

Le simple fait d’écouter de la musique peut être une activité idéale pour lutter contre le stress et pour vous aider à étudier.

Le docteur Alfred Tomatis a mené une étude sur le sujet et a démontré que la musique de Mozart était très efficace dans les thérapies qui permettent de lutter contre la dépression.

L’effet Mozart était né. Tout un courant psychologique et musical a été lancé pour exploiter l’influence du rythme et des mélodies de ce compositeur sur l’oxygénation du cerveau.

Ses œuvres faciliteraient la concentration et les écouter serait un formidable exercice pour notre cerveau.

 

5. Ne pas tomber dans la monotonie

Faire tous les jours la même chose détend notre cerveau, mais fait également baisser notre niveau d’attention. La routine est donc très dangereuse pour notre concentration.

L’un des meilleurs exercices pour entraîner votre cerveau est donc de varier les choses que vous faites au quotidien et de découvrir, par exemple, de nouvelles méthodes de socialisation.

Connaître des personnes nouvelles permet de connecter les deux hémisphères de notre cerveau, ce qui est véritablement très intéressant.

D’un autre côté, cela permet aussi de développer notre intuition et notre curiosité, tout en mettant en pratique notre logique et nos fonctions verbales.

 

6. Ne conservez pas tout au même endroit

Dans la droite ligne de ce que nous vous disions auparavant, stocker vos objets toujours au même endroit facilite l’apparition d’automatismes, ce qui fait baisser votre niveau d’attention.

Si vous changez régulièrement la position de certains éléments dans votre foyer, vous allez devoir penser à un nouvel endroit, le mémoriser et vous en souvenir.

Mine de rien, c’est une gymnastique importante pour le cerveau, qui ne vous demande pas tant d’efforts.

Nous vous avons présenté dans cet article quelques outils pour développer votre cerveau. Vous n’avez plus qu’à les intégrer dans votre routine quotidienne !

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans toute relation de couple, il y a un début et une fin, même si cette dernière partie est souvent quelque chose que nous cherchons à éviter.

Mais, même si nous pouvons essayer de ne pas regarder en face une rupture, il est important de savoir tourner la page pour éviter que les choses n’empirent.
 

Quand pouvons-nous savoir qu’une relation de couple est terminée ?

Il est très difficile de déterminer le moment de la rupture, de se dire que la relation est arrivée à sa fin.

C’est aussi difficile car nous avons tout simplement peur. C’est une réaction douloureuse, mais qui s’avère bien souvent salvatrice.

Il est fondamental d’identifier les signaux dans votre couple qui vous indiquent qu’il n’y a plus de retour en arrière possible.

 

C’est le moment de dire stop

Chaque rupture amoureuse est un moment compliqué, mais tout à fait nécessaire.

Mieux vaut surmonter ce moment si difficile plutôt que d’opter pour se maintenir dans une relation qui ne fonctionne pas.

Dans la suite de cet article, nous allons vous présenter 5 signes qui doivent vous permettre d’ouvrir les yeux sur la situation de votre couple, pour que vous puissiez continuer à aller de l’avant.

 

1. Sans amour, il n’y a pas de relation

Avec le temps, l’amour finit parfois par s’user ou par disparaître complètement. A certains moments, il faut s’arrêter pour réfléchir à la situation, car une relation de couple ne peut pas exister sans amour. Il ne faut pas que vous ressentiez de la culpabilité par rapport à cela, c’est quelque chose de très habituel.

La routine peut causer un désamour progressif. Le simple fait de dépasser la phase d’amour initiale peut nous amener à ouvrir les yeux sur une personne que nous croyions aimer, mais qui ne nous plaît plus tant que ça. N

ous devons voir les choses clairement et prendre conscience qu’il n’y a plus d’amour dans notre relation.  .

C’est donc le moment d’y mettre un terme.

 

2. La confiance est la clé

Toutes les relations, et notamment les relations de couple, sont basées sur la confiance.

Sans confiance, il est impossible d’établir des relations saines. Ne pas avoir confiance en la personne qui partage tous les soirs notre lit est une situation impossible à vivre.

Si notre relation est pleine de mensonges, de jalousie ou d’infidélités, elle va s’en trouver totalement déstabilisée et les disputes vont commencer à devenir de plus en plus régulière.

Cela peut nous faire souffrir plus que de raison.

 

3. Il n’y a plus de couple

Parfois, nous avons du mal à prendre conscience que nous ne sommes plus véritablement dans une relation de couple.

Nous pensons qu’elle fonctionne d’elle-même, sans penser que cela demande une attention constante, ainsi qu’une grande volonté.

Si l’une des deux partes ne s’investit pas correctement dans la relation, cette dernière va peu à peu s’effriter et disparaître.

Le ressentiment peut faire son apparition et rendre encore plus compliquée de continuer une vie à deux.

Si vous voyez que votre couple ne fonctionne pas, si vous n’êtes pas prêt à donner 100% de vous-même, mieux vaut termine votre relation.

 

4. Avant il vous attirait, maintenant il vous insupporte

Dans les premiers temps de l’amour, nous nous sentons si heureux que nous ne voyons que ce qu’il y a de positif et de bon chez la personne qui fait l’objet de notre désir.

Cela change avec le passage du temps et tout ce qui nous attirait auparavant peut devenir une source d’irritation, d’agacement.

Ce changement d’attitude peut provoquer de la confusion dans le couple, car l’autre ne comprend pas forcément pourquoi ses comportements vous rebutent d’un coup d’un seul. Le problème peut s’aggraver si vous ne vous sentez plus capable de supporter les petites habitudes de votre partenaire.

Vous devez prendre conscience que vous êtes dans une voie sans issue.

 

5. Des différences irrémédiables

Lorsque deux personnes décident de s’unir, elles doivent partager la même vision du monde, les mêmes objectifs, un projet de vie commun et des valeurs similaires.

Que se passe-t-il lorsqu’elles divergent sur ces sujets ?

Nous pouvons tous changer, tout comme notre perception du monde ou des choses qui nous entourent.

Le problème est que, parfois, cela peut nous éloigner du chemin tracé par notre couple et générer des problèmes.

C’est le moment de reconsidérer la relation.

Le mot « rompre » est sans conteste très puissant et chargé en émotions négatives.

Lorsque nous débutons une relation amoureuse, nous pensons que celle-ci va durer toute la vie.

Cependant, mieux vaut prendre l’initiative de terminer la relation plutôt que de la laisser se déliter par elle-même.

Il est important que vous puissiez ouvrir les yeux sur la réalité de votre relation. Agissez comme un adulte et prenez le temps d’identifier les signaux qui vous indiquent que votre relation est parvenue à son terme.

C’est un processus tout à fait naturel, une situation fréquente, il ne sert à rien de vouloir y résister.

Parfois, mieux vaut tout terminer à temps que de laisser la situation s’envenimer.

 

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

La banane est un fruit délicieux, nutritif et qui apporte une forte sensation de satiété. Elle est idéale pour certains moments de la journée mais est moins recommandée avec certains autres aliments.   Dans cet article, nous allons vous expliquer quelles sont ses propriétés, ce qu’elle nous apporte et dans quels cas nous devons en consommer. De même, nous allons vous dire quelle est la meilleure manière de la manger pour qu’elle ne nous fasse pas grossir et qu’elle nous aide même à maigrir.

 

Ses valeurs nutritionnelles

Une banane de 100 grammes contient approximativement 100 calories, 1 gramme de protéines, 25 grammes d’hydrates de carbone et moins d’un gramme de graisse. Elle est également composée de 3 grammes de fibres.

La banane est riche en vitamines B6 et C, en acide folique et en minéraux comme le magnésium et le potassium. 

La banane est riche en fécule

Bien que la banane soit un fruit, ses valeurs nutritionnelles font qu’elle appartient à la catégorie des fécules, avec d’autres aliments comme la pomme de terre, les céréales, les farines, les cacahuètes etc. Ce point est fondamental lorsqu’il faut déterminer quand la consommer et avec quels aliments il est bon de la mélanger ou pas…

 

Quand manger des bananes ?

Les fécules ont la caractéristique principale d’apporter de l’énergie à notre organisme et d’être longs à digérer. C’est pour cela qu’il n’est pas recommandé d’en manger le soir car c’est à ce moment là qu’elles font grossir. Tout ce que nous consommons le soir doit être facile à digérer.

A l’inverse les fécules sont excellentes le matin, car elles nous apportent l’énergie nécessaire pour toute la journée.

Il y a aussi des moments appropriés pour consommer des bananes : au milieu de la matinée ou au milieu de l’après-midi, juste quand nous avons faim et que nous avons besoin d’un encas qui nous satisfasse sans qu’il ne nous fasse grossir. Les bananes nous rassasieront facilement sans que l’on ait besoin de consommer des sucres raffinés, des graisses ou d’autres aliments moins sains. De plus, elles sont faciles à transporter et à manger.

Pour finir, il est recommandé de ne pas en manger plus d’une par jour,précisément car ses valeurs nutritionnelles sont complètes.

 

Ses propriétés

Consommer des bananes régulièrement apporte les bienfaits suivants à notre organisme :

• Elle réduit les niveaux de cholestérol
• Elle régule les problèmes intestinaux
• Elle réduit les crampes musculaires
• Elle apporte de l’énergie à notre organisme rapidement. Elle est donc excellente pour les enfants et les sportifs ou dans les cas d’épuisement, de fatigue chronique ou de fibromyalgie.
• Elle régule notre système nerveux et aide à soulager les problèmes d’anxiété, d’irritabilité etc.
• Elle aide à soigner naturellement l’anémie
• Elle diminue l’hypertension artérielle
• Elle réduit le risque de faire un infarctus
• Grâce à ses propriétés alcalines, elle fonctionne comme un antiacide naturel
• Elle réduit les nausées et les vomissements matinaux
• C’est un aliment idéal pour les personnes qui souffrent d’ulcère
• Elle aide à soulager les douleurs dues aux règles
• C’est un bon complément dans le traitement pour arrêter la cigarette
• C’est un fruit indispensable pour les femmes enceintes car elle réduit les nausées, régule les intestins, apporte de l’énergie sans faire grossir et contient de l’acide folique.

 

Comment manger des bananes ?

L’unique indication à prendre en compte c’est que la banane doit toujours être consommée bien mûre car sinon, sa digestion s’avère difficile. En plus de tout ce que nous avons souligné, elle offre d’innombrables possibilités culinaires :

• Elle donne une texture crémeuse et sucre les milk-shakes. Cela permet d’y ajouter d’autres ingrédients sains moins savoureux mais bénéfiques comme un légume vert, de la levure de bière, des boissons végétales etc.
• Une manière très originale et légère de faire une glace à la banane :épluchez des bananes bien mûres et congelez-les. Quand elle sont congelées, mixez-les dans un robot avec un yaourt. Vous pouvez ensuite la manger directement ou la congeler un peu plus si vous préférez plus dur. Vous pouvez y ajouter du chocolat chaud par-dessus si vous désirez obtenir un joli dessert délicieux.

• La banane permet d’utiliser moins de sucre dans les gâteaux, en plus de leur donner plus de moelleux.
• On peut la cuisiner rôtie avec de la cannelle 
• Si vous écrasez la banane avec une fourchette, vous obtiendrez une pâte onctueuse que vous pourrez mélanger à du cacao, pour faire une crème de cacao très saine, sans produits laitiers, ni farines, ni sucres.
  

Images de juantiagues et sidehike

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces dernières années, de nombreux cancers du côlon ont été diagnostiqués ; cependant, la plupart des cas sont décelés lorsque des métastases ont déjà atteint d’autres organes, le plus souvent le foie ou le poumon.

Selon les statistiques, il existe une augmentation assez préoccupante du nombre de cas de ce type de cancer, car il est maintenant le deuxième cancer le plus fréquent dans le monde, après le cancer du sein chez les femmes et le cancer du poumon chez les hommes. Il convient toutefois de signaler que le cancer du côlon est beaucoup plus fréquent chez les hommes. 

Il est assez inquiétant de constater que des personnes qui sont apparemment en très bonne santé et qui se sentent bien vont apprendre à la suite d’un bilan de santé de routine qu’ils sont atteints d’un terrible cancer du côlon, déjà très avancé, et qu’ils ont désormais un combat à mener pour lequel ils ne s’étaient pas préparés.

C’est là l’une des raisons pour lesquelles tant de recommandations sont faites au sujet de la prévention et de l’importance de prêter attention aux signes d’alarme que notre corps nous envoie et aux symptômes qui se manifestent lorsque quelque chose va mal. Il faut toujours rester vigilant face à ces signes et n’en négliger aucun !

 

Des signes qui alertent de la présence d’un cancer du côlon

Malheureusement, le cancer du côlon ne présente pas de symptômes spécifiques ; au contraire, ses symptômes sont souvent confondus avec d’autres problèmes beaucoup plus bénins et plus courants, comme c’est le cas lorsqu’il y a des traces de sang dans les selles.

La plupart des gens associe cette circonstance à un problème d’hémorroïdes diagnostiqué auparavant, et ne s’inquiètent pas de la présence occasionnelle de sang dans les selles ; et voilà l’erreur, car c’est juste à ce moment-là qu’il faut faire appel à un spécialiste pour des examens approfondis, comme une coloscopie qui révèlera s’il s’agit vraiment d’hémorroïdes ou si l’on est face à un problème beaucoup plus sérieux.

Un autre symptôme important dont il faut tenir compte est une altération de la défécation ; on peut passer inopinément de la constipation à la diarrhée. Il faut veiller à l’aspect des selles et aux changements qui peuvent se produire, comme lorsqu’elles deviennent plus fines ou lorsque l’on a la sensation de ne pas avoir évacué complètement après être allé à la selle.

De même, il est important de tenir compte des éventuels antécédents familiaux, qu’il s’agisse de la présence de polypes, de cancer du côlon ou de parents qui auraient souffert de colite ulcéreuse. Il faut savoir que les personnes qui souffrent de constipation sont les plus susceptibles de développer ce type de cancer.

Le premier examen qu’il faut réaliser pour diagnostiquer cette maladie est un test de dépistage de sang dans les selles, et si le résultat est positif, une coloscopie s’impose. Toutefois, la présence de sang dans les selles n’indique pas toujours qu’il s’agit d’un cancer du côlon, car il peut s’agir d’un polype ou d’une hémorroïde dilatée ; mais comme nous l’avons déjà dit, mieux vaut prévenir que se lamenter !

 

 

 

 

Source : amelioretasante.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Lorsque nous pensons au mot « solitude » et à tout ce qu’il implique, nous ressentons de la peur.

Les avantages du raisin pour la santé sont multiples, car ce fruit exquis renferme dans ses grains tout un trésor de douceur et de bienfaits qui méritent d’être connus.Anti-cancer, reconstituant, efficace pour soulager les maladies rénales… Tant de propriétés qui peuvent varier selon le type de raisin dont on parle !

Le raisin noir et le raisin blanc possèdent de grandes vertus curatives, mais chacun d’eux va nous être utile pour des choses bien déterminées, et sans aucun doute toutes bonnes à savoir. Si vous avez la chance d’en trouver au marché en toutes saisons, ne perdez pas l’occasion d’en emporter de belles grappes et de profiter de leurs effets salutaires !

 

Les bienfaits du raisin noir

Le raisin noir était un aliment très consommé et très apprécié par les Grecs et par les Romains. Il est délicieusement sucré et nutritif, et possède des qualités exceptionnelles que nous vous présentons ici :

• Il a un effet protecteur face au cancer : sa belle couleur foncée nous renseigne déjà sur un haut contenu en antioxydants et sur une incroyable quantité de radicaux libres, auxquels il faut ajouter des composés phénoliques, excellents pour lutter contre le cancer.
• Il a un effet protecteur face aux maladies cardiovasculaires : ses composants, comme les anthocyanes, les tanins et les flavonoïdes, sont excellents pour le coeur. Son action vasodilatatrice empêche l’accumulation de sédiments dans nos artères et nous évite donc des problèmes tels que l’artériosclérose.
• Il évite les problèmes de constipation : le raisin noir contient une quantité importante de fibres ; il a une action laxative si l’on consomme également la peau et les pépins.
• Il fait du bien à notre estomac : pour améliorer la digestion, il faut le prendre en jus.
• Il assure une protection face aux infections : le raisin noir a de puissantes propriétés antivirales et antibactériennes ; il sert à dépurer le sang et les organes.
• Il contient de l’acide folique : les nutritionnistes conseillent aux femmes enceintes de manger du raisin noir durant les premiers mois de grossesse, car il favorise la division cellulaire et une bonne gestation durant les premières semaines.

Une observation importante : il faut insister sur le fait qu’il contient beaucoup desucre et qu’il ne convient pas aux personnes diabétiques.

 

Les bienfaits du raisin blanc

Cette variété de raisin, le raisin blanc, a l’avantage d’être sur les étals toute l’année. Si vous le trouvez à bon prix, essayez d’en acheter aussi souvent que possible.

• Il est pauvre en graisses : le raisin blanc contient moins de sucre que le noir, il est riche en hydrates de carbone et son goût est un peu plus acide.
• Il ne contient ni cholestérol ni sodium : c’est un fruit excellent pour le bon fonctionnement des reins, du foie et des intestins. Il est riche en potassium et il est bon de l’inclure dans notre alimentation quotidienne.
• Il est riche en sels minéraux : en particulier en fer et en potassium. Grâce à cela, beaucoup de tissus de l’organisme peuvent se régénérer, ce qui améliore le fonctionnement du coeur, et en même temps stimule la production des globules rouges qui contribuent à faire circuler l’oxygène dans le corps.
• Il sert à prévenir le cancer du colon et celui de la prostate, ainsi que la maladie d’Alzheimer : tous ces bienfaits sont dûs au resvératrol et aux catéchines, de puissants antioxydants pour l’organisme qui, selon de nombreuses études, contribuent à nous protéger de ces maladies.
• Il fait du bien à notre squelette : grâce à la vitamine K et à la vitamine B1, le raisin blanc nous permettra de garder plus longtemps nos os en très bonne santé !

 

Quelle quantité de raisin manger pour améliorer ma santé ?

L’idéal est de consommer du raisin tous les jours ! Choisissez celui qui vous convient le mieux, le noir ou le blanc, ou celui que vous trouverez le plus facilement. Il est bon d’en manger une grappe par jour, ou bien de boire un verre de jus de raisin frais après un repas.

Souvenez-vous que si vous mangez aussi la peau et les pépins du raisin, vous disposerez d’un bon moyen de lutter contre la constipation ; mais vous pouvez les éviter lorsque vous préparez un jus. À la longue, vous sentirez les effets positifs de ce fruit : de nombreuses études confirment les extraordinaires bienfaits du raisin noir et du raisin vert pour la santé !

 

 

 

Source : amelioretasante.com