• Vaccination infantile: les deux côtés de la médaille

    Vaccination infantile: les deux côtés de la médaille

     

     

     

     

     

    Vaccination infantile: les deux côtés de la médaille


    • Les vaccins sont-ils sécuritaires?
    • Les vaccins sont-ils efficaces?
    • Le système immunitaire des bébés est-il prêt à recevoir plusieurs vaccins à la fois?
    • Y a-t-il un lien entre les vaccins infantiles et l’augmentation des cas d’autisme, d’allergies, etc.?
    • N’est-il pas souhaitable que mon enfant contracte certaines maladies comme la varicelle?
    • Y a-t-il des contre-indications à la vaccination?
    • Le déclin des maladies infantiles est-il vraiment relié à la vaccination?
    • Que dites-vous aux parents qui se posent des questions?
    • Références
     

    À l’heure actuelle, les provaccins et les anti-vaccins ont des positions diamétralement opposées sur plusieurs points et s’accusent mutuellement de faire de la désinformation et des campagnes basées sur la peur, souvent par site Internet interposé.

     

    Que ce soit dans les journaux, les sites Web ou les revues scientifiques, chaque fois qu’un article sur la vaccination est publié, les réactions sont nombreuses et souvent enflammées.

    Par exemple, selon les opposants purs et durs à la vaccination, le déclin des maladies infantiles comme la polio, la diphtérie, le tétanos ou la coqueluche avait commencé, et se serait poursuivi, sans le recours à la vaccination de masse. Dans certains sites Internet, on affirme même que les vaccins, au lieu d’améliorer la santé, « ont bouleversé l’écosystème microbien et perturbé durablement la santé des populations1 ». « La vaccination contre des maladies infantiles relativement bénignes est peut-être responsable de l’augmentation importante des maladies auto-immunes2 », rapporte-t-on également.

    « Le paradoxe de la vaccination, c’est que son efficacité déplace la perception du risque, explique Dr Gaston De Serres, médecin épidémiologiste à l’Institut national de santé publique du Québec. Lorsque la maladie est fréquente, on perçoit très bien le risque qu’elle représente. Lorsqu’elle a disparu ou presque, c’est la conscience du risque posé par le vaccin qui prend le dessus. Et l’absence totale de ce risque est impossible à prouver3. » Voilà qui relativise les choses, mais lemonde médical compte aussi ses purs et durs : « Pire qu’un non sens, refuser un vaccin nécessaire pour son enfant est un crime! », peut-on lire dans un livre récent écrit par deux médecins français4.

    Des points de vue opposés

    Nous avons interviewé Dr Marc Lebel, pédiatre-infectiologue à l’Hôpital Sainte-Justine et Céline Arsenault, infirmière et naturopathe de formation. Nous leur avons posé quelques-unes des questions qui alimentent le débat.

    Le Dr Marc Lebel est, bien sûr, provaccins. En plus de sa pratique à l’hôpital Sainte-Justine, il est professeur agrégé de clinique au Centre hospitalier universitaire de Sainte-Justine et à l’Université de Montréal. « Contrairement à bien des jeunes médecins, j’ai vu beaucoup d’enfants touchés par les maladie infectieuses comme la rougeole, qui est une maladie grave. De plus, comme je m’occupe du Programme canadien de surveillance active de l’immunisation, j’ai l’avantage d’avoir à la fois l’expérience des maladies et de connaître les effets adverses des vaccins5. »

     

    Céline Arsenault est éducatrice à la santé auprès des parents, conférencière et auteure. Elle a écrit, entre autres, le livre Soins à mon enfant (Le Dauphin Blanc, 2003). Elle anime un atelier intitulé « Réflexion sur la vaccination ». « Je ne suis ni pour, ni contre la vaccination, précise-t-elle. Je suis pour la liberté de choix et pour qu’on cesse d’ostraciser les parents qui font un choix différent en les traitant d’inconscients. »

     

    Les vaccins sont-ils sécuritaires?

    Dr Marc Lebel - Oui, ils sont très sécuritaires. Ils peuvent provoquer des effets indésirables bénins qui sont bien connus et dont la fréquence varie d’un vaccin à l’autre : douleur, sensibilité, fièvre. Ils peuvent aussi entraîner des effets indésirables graves comme une méningite, mais c’est très rare, beaucoup plus rare que les complications graves des maladies contre lesquelles on vaccine. Dans le cas de la rougeole, par exemple, 1 enfant sur 1 000 subissait une méningite avant l’immunisation de masse. Actuellement, on estime que le vaccin provoque une méningite seulement dans 1 cas sur 1 million.

    Céline Arsenault - Ils ne sont pas aussi sécuritaires qu’on le dit. Le problème avec la sécurité des vaccins, c’est que le suivi des effets indésirables à court, moyen et long terme n’est pas bien fait. À moins que l’enfant ne fasse une réaction immédiate, on ne fera pas de lien avec une otite qui se déclare dans les jours qui suivent, une poussée d’eczéma, une convulsion ou même une mort subite du nourrisson. Le lien direct est difficile à établir et le principe même de la vaccination étant intouchable, les médecins sont souvent hésitants ou même réticents à reconnaître qu’il peut y avoir un lien.

    Les vaccins sont-ils efficaces?

    Dr Marc Lebel - Oui, leur efficacité est très bonne et atteint de 90 % à 95 % pour certains d’entre eux. Le vaccin contre la coqueluche est un peu moins efficace, soit de 80 % à 85 %, mais même si un enfant vacciné contracte la maladie, il ne faut pas oublier qu’elle sera moins grave que s’il n’avait pas été immunisé.

    Céline Arsenault - Oui, d’aucuns ont une certaine efficacité, mais à quel prix? Chaque individu étant unique, il est impossible de connaître à l'avance la réponse immunitaire d'une personne à un vaccin. Pour des raisons qu'on ignore encore, on peut seulement constater que certaines personnes vaccinées ne développent pas les anticorps tel que prévu et que pourtant elles ne contracteront pas nécessairement la maladie. Tout comme on constate aussi des éclosions de maladies comme la coqueluche au sein de populations parfaitement vaccinées. D’ailleurs, combien de femmes en âge de procréer doivent aujourd’hui recevoir de nouveau le vaccin de la rubéole en prévision d’une deuxième grossesse? En effet, lors du suivi de la première grossesse, les prises de sang ont révélé qu’elles n’avaient pas suffisamment d’anticorps pour être protégées contre cette maladie. Autrefois lorsqu’on attrapait la rubéole enfant, 85 % des femmes étaient immunisées pour la vie.

    Le système immunitaire des bébés est-il prêt à recevoir plusieurs vaccins à la fois?

    Dr Marc Lebel - Il faut protéger les enfants tôt dans leur vie, car c’est à ce moment que le risque de contracter certaines maladies comme la coqueluche ou le Haemophilus influenza de type B (Hib) est le plus élevé et le plus grave. Chaque jour, les enfants, comme les adultes, sont en contact de façon continue avec des centaines et des milliers d’antigènes, c’est-à-dire des substances susceptibles de déclencher une réaction immunitaire. Notre système immunitaire est conçu pour ça. De plus, bien qu’on immunise aujourd’hui contre plus de maladies, les vaccins contiennent beaucoup moins d’antigènes qu’avant. Par exemple, par rapport aux années 1980, le nombre total d’antigènes dans l’ensemble de vaccins est passé de 3 000 à 130 environ. Les vaccins sont beaucoup plus purifiés, grâce au génie génétique et à la biologie moléculaire. Et, de toute façon, je dis souvent qu’il y a pire que les vaccins, et c’est la garderie, le royaume du partage des microbes. Les enfants y sont exposés à une multitude de bactéries et de virus. Ils sont souvent malades, mais se développent normalement malgré tout.

    Céline Arsenault - Non, car leur système immunitaire n’est pas mature. La maturité du système immunitaire doit être acquise avec le temps et elle prend de l’ampleur au contact des microbes, les mauvais comme les bons. De plus, la façon dont les vaccins sont donnés transgresse toutes les barrières du fonctionnement normal et naturel du système immunitaire. On injecte directement dans le corps un fragment de bactérie ou de virus, tandis que lorsqu’un enfant est en contact avec des microbes, sa peau, sa salive et ses muqueuses vont servir de barrière naturelle pour éliminer ces microbes. Si elles échouent et que le microbe pénètre dans le corps, ce sont les macrophages à large spectre qui prendront la relève. La première barrière va agir et le microbe ne se rendra pas nécessairement à la deuxième barrière de défense, c’est-à-dire la synthèse des anticorps. La vaccination a un impact très différent, car elle contourne le système de vigilance du corps. Le microbe est parachuté directement à l’intérieur de la forteresse, ce qui nuit à l’équilibre du développement de l’immunité. De plus, lorsqu’une injection contient quatre ou même cinq vaccins différents, comment peut-on savoir, en cas de problème, à quoi l’enfant a réagi? Enfin, je ne conseille jamais de faire faire plusieurs injections le même jour. C’est une agression beaucoup trop forte pour un jeune enfant, au-delà même de ce que contiennent les vaccins.

    Y a-t-il un lien entre les vaccins infantiles et l’augmentation des cas d’autisme, d’allergies, etc.?

    Dr Marc Lebel - Plusieurs études très fiables et à grande échelle démontrent l’absence de lien entre la vaccination et ces maladies. Certaines ont été faites au Canada et elles sont très solides. Il est plus facile de partir une rumeur que de démontrer un lien entre la vaccination et l’autisme ou l’asthme. Une association temporelle ne constitue pas la preuve d’un lien de cause à effet.

    Céline Arsenault - Les vaccinations sont une partie du problème. Même si une grande partie du corps médical le nie, on sait que les enfants sont fragilisés par différents polluants dans le sein même de leur mère, avant leur naissance. Les gens ne savent pas que les vaccins contiennent plusieurs produits chimiques. Même si on a retiré le thimérosal (un dérivé du mercure) des principaux vaccins, ceux-ci contiennent, et ce n’est qu’un exemple, de l’hydroxyde d’aluminium, un composé toxique pour le système nerveux. Ils renferment aussi du formaldéhyde, un composé reconnu cancérigène, et des résidus d’antibiotiques. Comment peut-on savoir, quand un enfant vient au monde, quelles doses de produits toxiques, même minimes, il sera capable de tolérer? De plus, chez certains enfants plus fragiles, les vaccins peuvent être l’élément promoteur, parmi d’autres, qui cause l’hyperactivité, l’autisme, les troubles de la concentration. Le vaccin contre la grippe qu’on injecte aux enfants contient encore du thimérosal. Ce n’est pas une raison, parce qu’il n’y a pas de lien prouvé entre ce composé et l’autisme, pour injecter à des enfants le produit chimique le plus toxique connu! Où est le principe de précaution?

    N’est-il pas souhaitable que mon enfant contracte certaines maladies comme la varicelle?

    Dr Marc Lebel - Lorsque la varicelle touchait la plupart des enfants, nous recevions, seulement à Sainte-Justine, plus d’une centaine d’enfants souffrant de complications. Au Québec, le nombre d’hospitalisation était de 1 cas sur 400. Il y a 40 ans, les enfants attrapaient généralement la varicelle à l’école primaire, puis ils se sont mis à la contracter plus tôt, à la garderie ou à la maternelle. La maladie est le plus souvent bénigne, mais le nombre moyen de lésions est de 300 à 500, et ça pique beaucoup. Les très jeunes enfants se grattent beaucoup plus, ce qui augmente beaucoup le risque de surinfection des plaies. Cette surinfection augmente à son tour le risque d’infection grave à Streptocoque A, qu’on appelle familièrement la bactérie mangeuse de chair. J’ai vu bien des parents à l’hôpital qui disaient ne pas savoir que la varicelle pouvait être aussi grave. Ils me disaient que s’ils l’avaient su, ils auraient fait vacciner leur enfant, même au moment où ce vaccin n’était pas encore gratuit.

    Céline Arsenault -  Oui, c’est préférable, parce que la maladie, en général, protège pour la vie. La varicelle, par exemple, développe la capacité immunitaire de l’enfant et lui donne des anticorps pour la vie contre cette maladie. Quand on la contracte au bon âge, c’est une maladie facile à vivre. Cependant, les enfants de 1 an à 2 ans qui sont en garderie sont exposés à plus de microbes, ils sont donc plus souvent malades et la prise d’antibiotique est élevée. Résultat : leur système immunitaire, toujours sollicité, s’affaiblit et ils peuvent développer une complication de la varicelle, alors qu’en temps normal, c’est une maladie bénigne. Et surtout, on oublie que les maladies infectieuses infantiles sont bénignes pour la majorité des enfants. Je crois qu’on a aussi sous-estimé l’apport positif de ces petites maladies sur le renforcement de leur système immunitaire. L’autre question qu’il faut se poser concerne le taux d’anticorps qu’auront les futures mamans au moment de procréer. Car, actuellement, les anticorps des mères qui ont contracté la varicelle dans leur enfance protègent le jeune bébé contre cette maladie. Il en est de même avec la rougeole. Dans 25 ans, ces filles vaccinées devront-elles être vaccinées de nouveau parce que le vaccin ne les aura pas immunisées à vie? Certaines données nous permettent de le penser6.

    Y a-t-il des contre-indications à la vaccination?

    Dr Marc Lebel - Ça dépend des vaccins. Il y en a quelques-unes, comme une maladie aigüe, de modérée à grave, avec ou sans fièvre : c’est à l’infirmière ou au médecin d’évaluer ce point. On ne vaccine pas non plus en cas de réaction allergique grave à la première injection ou d’allergie grave connue à un composant du vaccin. Mais une simple fièvre, un rhume ou une diarrhée ne constituent pas des contre-indications absolues, ni le fait que l’enfant prenne des antibiotiques au moment de l’injection.

    Céline Arsenault - C’est une question de gros bon sens. Je ne conseille jamais à un parent de faire vacciner un enfant malade, quelle que soit la maladie ou sa gravité. S’il est malade ou prend des antibiotiques, il est déjà en train de combattre quelque chose, ce n’est pas le moment de lui injecter un ou plusieurs vaccins. Je conseille aux parents de ne faire vacciner leur enfant que s’il est en pleine forme. De plus, si l’enfant a déjà mal réagi à un vaccin, il serait plus prudent de bien s’informer sur les risques reliés à cette maladie contre laquelle on veut le protéger. Si ces risques sont acceptables pour les parents, ils pourraient peut-être décider d’éviter ce vaccin.

    Le déclin des maladies infantiles est-il vraiment relié à la vaccination?

    Dr Marc Lebel - Oui, tout à fait. C’est vrai qu’il y a eu de grands progrès en santé publique grâce à l’amélioration des habitudes de vie, ce qui a notamment réduit la mortalité des personnes atteintes de ces maladies. Cependant, nous avons au moins deux exemples récents qui démontrent l’efficacité de la vaccination. Dans les années 1990, rien n’a changé du point de vue de l’hygiène au moment de l’introduction du vaccin contre les infections invasives causées par le Haemophilus influenza de type B (Hib). Cette bactérie était la cause la plus fréquente des méningites, soit de 80 à 85 hospitalisations par année ici, à Sainte-Justine. Actuellement, nous voyons de 0 à 2 cas par année seulement, et ce sont des enfants non vaccinés. Le portrait est sensiblement le même dans le cas du vaccin contre le pneumocoque, qui a été introduit dans les années 2000. Le pneumocoque était aussi une cause de méningite infantile.

    Céline Arsenault - En ce qui concerne les maladies infantiles, la vaccination de masse est seulement en partie reliée à leur déclin. L’hygiène, la salubrité de l’eau et les mises en quarantaine ont joué aussi un rôle important dans le contrôle des maladies infectieuses. Mais les vaccins ont des conséquences qui ne sont pas seulement positives sur la santé des enfants. Il faut ouvrir le débat et se poser des questions sur leur sécurité, leur efficacité réelle et le coût financier par rapport aux résultats obtenus. Il y a beaucoup moins d’enfants hospitalisés pour des complications de maladies infantiles comme la rougeole ou les oreillons, mais la grande question est la suivante : est-ce que, depuis que nous vaccinons les enfants contre toutes ces maladies, il y a moins d’enfants dans les hôpitaux? Sont-ils moins malades? Les enfants d’aujourd’hui sont-ils plus équilibrés, plus forts et en santé qu’autrefois? Je laisse le soin aux parents de répondre à cette question.

    Que dites-vous aux parents qui se posent des questions?

    Dr Marc Lebel - Même si je recommande fortement la vaccination, je respecte la décision des parents de ne pas vacciner. Cependant, je leur présente le portrait global des maladies, de leur prévalence actuelle, de leurs complications. Je les encourage à aller dans des sites comme celui de la Société canadienne de pédiatrie, celui du Protocole d’immunisation du Québec ou encore celui de laCoalition canadienne pour la promotion de la vaccination. S’ils choisissent de ne pas faire vacciner, ils doivent être en mesure de composer avec le fait que leur enfant peut contracter la rougeole, par exemple, une maladie qui peut devenir grave. C’est vrai que le pourcentage de complication d’une rougeole ou d’une varicelle est faible, mais il est réel et il est nettement supérieur à celui des effets indésirables graves des vaccins, qui sont très rares. Ne pas faire vacciner son enfant, c’est un peu comme ne pas utiliser un siège d’auto ou la ceinture de sécurité parce qu’on pense qu’on n’aura pas d’accident.

    Céline Arsenault - Je leur dis qu’ils peuvent choisir de façon éclairée, plutôt que de s’en remettre complètement aux médecins qui voient cette pratique comme un dogme qu’il est interdit de remettre en question. Il y a un risque à ne pas faire vacciner et il y a un risque à faire vacciner. Certains se sentent mieux avec la décision de ne pas faire vacciner, mais chaque parent doit vivre avec son choix. Tout dépend comment on perçoit la santé, les microbes, la maladie et le système immunitaire. La vaccination fait intervenir l’immunité spécifique : pour une maladie donnée, un anticorps précis qui ne servira à rien d’autre. Mais comment pourrons-nous gagner cette bataille? Il existe un nombre incalculable de virus et de bactéries qui ne cessent d’évoluer et de muter, car là est l’essence même de la vie! C’est à ce chapitre que la naturopathie et la médecine classique ne parlent pas le même langage. Plutôt que de bombarder le système immunitaire avec des vaccins spécifiques, il faut renforcer le terrain de l’individu afin qu'il soit prêt à toute éventualité.

    Pour en savoir plus sur le débat autour de l’autisme et de la vaccination infantile, voyez notre texte Austisme et vaccination : histoire d’une controverse.

     

    Recherche et rédaction : Françoise Ruby

     

    Références

    Note : les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information désirée.

    Bibliographie

    Agence de la santé publique du Canada. Comparaison des effets des maladies et des vaccins. Guide canadien d'immunisation Septième édition – 2006, [Consulté le 29 septembre 2008] www.phac-aspc.gc.ca
    Agence de santé publique du Canada. Guide canadien d'immunisation Septième édition – 2006 Comparaison des effets des maladies et des vaccins. Document sous forme de tableau [Consulté le 29 septembre 2008] www.phac-aspc.gc.ca
    Association Liberté Information Santé (France). [Consulté le 29 septembre 2008] www.alis-france.com
    Cave S, What Your Doctor may not tell you about children vaccinations, 2001. Wellness Central, États-Unis.
    Feder L. The Parent’s Concise Guide to Childhood vaccinations, Hatherleigh Press, 2007.
    Ministère de la santé et des services sociaux. Protocole d’immunisation du Québec, mise à jour avril 2008. [Consulté le 29 septembre 2008] http://206.167.52.1/fr/
    National Library of Medicine (Ed). PubMed, NCBI. [Consulté le 2 septembre 2008]. www.ncbi.nlm.nih.gov
    National Vaccine Information Center (États-Unis) [Consulté le 29 septembre 2008] www.nvic.org
    Offit Paul. Autism False Prophets, Columbia University Press, New York, 2008.
    Protocole d’immunisation du Québec - Chapitre 18 – La foire aux questions, Santé et Services sociaux Québec. [Document PDF consulté le 29 septembre] publications.msss.gouv.qc.ca
    Télé-Québec Une petite pilule, une petite granule - Faire Vacciner ou pas son enfant? Émission du 16 octobre 2008. www.telequebec.tv
    Rossant L, Rossant-Lumbroso J, Votre enfant - Guide à l’usage des parents, Robert Laffont, France, 2006, page 411
    Sears RW. The Vaccine Book – Making the Right Decision for Your Child, Little Brown and Company, États-Unis, 2007.
    Vaccination Risk Awareness Network (Canada) [Consulté le 29 septembre 2008] www.vran.org

    Notes

    1. Association Liberté Information Santé (France). Dialogue avec le Dr Méric. [Document PDF consulté le 29 septembre 2008] www.alis-france.com
    2. Vaccination Risk Awareness Network (Canada). Vaccination Facts: You need to know… [Document PDF consulté le 29 septembre 2008] www.vran.org
    3. Gaston De Serres est également professeur agrégé au Département de médecine sociale et préventive de l’Université Laval.
    4. Rossant L, Rossant-Lumbroso J, Votre enfant - Guide à l’usage des parents, Robert Laffont, France, 2006, page 411.
    5. NDLR. Ce programme canadien (IMPACT) assure, entres autres choses, la surveillance des effets indésirables de la vaccination.
    6. Chaves SS, Garquillo P, Zhang JX, et al. Loss of vaccine-induced immunity to varicella over time.N Engl J Med 2007: 356:1121-9. Texte intégral : http://content.nejm.org

     

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