• SEXE, BIEN-ÊTRE, PLAISIR

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    SEXE, BIEN-ÊTRE, PLAISIR

     

    Sexe, bien-être, plaisir


     

    Le sexe est bon pour la santé!

    Avoir une vie sexuelle active n’est pas essentiel à une bonne santé, mais y contribuerait grandement. D’où l’importance d’avoir une sexualité à la fois épanouie et satisfaisante. Bien sûr, avoir une infection transmise sexuellement peut grandement nuire à la santé, mais ici, nous nous attarderons surtout aux aspects relationnel et psychologique de la sexualité qui ont un effet sur la santé globale.

     

    Le lien entre la santé et la sexualité a été confirmé par de nombreuses études scientifiques. Voici les principales conclusions de quelques-unes d’entre elles :

    • Des chercheurs ont constaté qu’une bonne santé sexuelle est associée à plus debonheur et de bien-être, et à une plus grande longévité1. La santé sexuelle devrait être considérée comme une composante importante de la santé générale, soutiennent-ils.
    • Une étude britannique ayant porté sur près de 1 000 hommes suivis sur 20 ans a conclu que les risques de souffrir d’une maladie cardiaque ou d’en mourir étaient moins élevés chez les gens qui avaient le plus d’activités sexuelles (2 fois par semaine comparativement à moins de 1 fois par mois)2.
    • Selon l’auteur d’une étude portant sur l’activité sexuelle et les risques cardiovasculaires3, la sexualité serait un élément déterminant du bien-être et de la qualité de vie. L’auteur a également constaté que des relations sexuelles pouvaient effectivement déclencher des troubles cardiaques pouvant entraîner la mort. Mais les cas seraient rares et le risque, minime.

    Plaisir et longévité
    Les auteurs d’une étude ayant examiné les facteurs de longévité d’une population sur une période de 25 ans ont conclu que la fréquence des relations sexuelles et le degré de plaisir qui y est associé seraient des prédicteurs significatifs de la longévité4.

     

    De plus, l’activité sexuelle stimule la production de substances bénéfiques pour la santé, dont les endorphines, qui favorisent la sensation de plaisir et la relaxation et qui diminuent le stress. Pour les femmes, elle accroît la sécrétion d’ocytocine, une hormone bénéfique pour les seins, et de substances lubrifiantes qui permettent au vagin de garder sa souplesse. Chez les hommes, elle augmente la testostérone, qui contribue à la santé des os et des muscles. On relève aussi dans la littérature scientifique que l’activité sexuelle préviendrait l’hypertension, la dépression et divers cancers, dont ceux du sein et de la prostate, mais ces allégations sont encore assez peu documentées.

    Il y a donc une corrélation claire entre « sexualité active » et « santé ». Mais les chercheurs se gardent bien d’y voir un facteur de cause à effet. Il est difficile de savoir si les gens ont plus d’activités sexuelles parce qu’ils sont en bonne santé ou s’ils sont en bonne santé parce qu’ils ont plus d’activités sexuelles.

    Quoi qu’il en soit, pour bien des gens, il s’agit d’une activité santé fort agréable...

    Sexualité et bonheur
    Il semble y avoir une nette corrélation entre le degré de satisfaction des relations sexuelles et le degré de bonheur. Selon une enquête québécoise, les gens qui se disent « tout à fait satisfaits » de leurs relations sexuelles (41 % des répondants) affichent un indice relatif de bonheur de 85, tandis que ceux qui n’en sont « pas vraiment satisfaits » (12 %) ont un indice de 655.

    Élargir sa vision de la sexualité

    Même l’Organisation mondiale de la Santé possède sa propre définition de la santé sexuelle : « Elle se manifeste par la capacité d'exprimer sa sexualité d'une façon à la fois responsable et susceptible de favoriser le bien-être aux plans personnel et social. Elle ne se limite pas à l'absence de dysfonctions, de maladies ou d'infirmités. »6

    La santé sexuelle est intimement liée aux multiples facettes de la vie. Yvon Dallaire, sexologue, psychologue et auteur prolifique7, l’exprime de façon éloquente. Selon lui, une sexualité épanouie doit répondre aux besoins de nos 3 cerveaux : reptilien, émotif et supérieur (néocortex).

    • L’activité sexuelle procure un intense plaisir physique au cerveau reptilien, le cerveau le plus primitif, que nous partageons avec l’ensemble des animaux.
    • Quand elle se produit dans un contexte émotionnel positif, elle comble aussi notre cerveau émotif (mammalien ou limbique). C’est lui qui nous permet de ressentir de l’affection, de la passion, de la tristesse ou le coup de foudre, par exemple.
    • Enfin, au-delà du plaisir physique et émotif, la sexualité peut répondre aux besoins du troisième cerveau, le néocortex, propre aux humains. C’est le siège de la conscience, des sentiments et du sens éthique. Il permet de donner du sens aux actes. Il permet l’amour. Il fait que des gestes identiques, posés par un inconnu, un médecin ou un amoureux, n’ont ni le même effet ni la même signification.

    Plaisir 101

    Il est évidemment souhaitable et bénéfique d’avoir une sexualité épanouie. Mais comme la sexualité peut être riche et complexe à la fois, ce n’est pas si simple d’y arriver. Voici les principaux obstacles qui s’y opposent, et quelques pistes pour les déjouer.

    Vouloir correspondre aux normes

    En matière de sexualité, il n’y a pas de modèle unique et idéal, bien au contraire. Comme l’affirme la sexologue et psychothérapeute Sylviane Larose8, « dès qu’on considère qu’il n’y a qu’une façon d’avoir des relations sexuelles, c’est généralement problématique ou sur le point de le devenir... » On peut aimer faire l’amour doucement et longtemps ou, au contraire, préférer que ce soit intense et presque violent. Mais c’est lorsqu’il n’y a qu’un seul de ces modèles qui fonctionne pour une personne que les problèmes surviennent.

     

    Sexe, bien-être, plaisirIls apparaissent aussi quand certaines conditions deviennent absolument nécessaires pour qu’une relation sexuelle puisse se produire. « Posez-vous des questions s’il faut obligatoirement la pénombre, les rideaux fermés, que les enfants dorment, que ça soit parfaitement spontané, ou adopter telle ou telle position, avoir vu tel film ou ne pas être fatigués ni stressés... », explique la sexologue.

    De plus, selon plusieurs experts sur la sexualité, la quête de la performanceet la volonté de correspondre à la « norme » ou de se conformer aux statistiques seraient parmi les pires et les plus répandus des anti-aphrodisiaques de notre époque. La thérapeute conjugale Esther Perel, dans son livreL’intelligence érotique9, un succès de librairie traduit en 20 langues, nous met en garde contre le mirage de la performance. Dans le domaine de l’amour, comme dans beaucoup d’autres, notre société est tournée vers l’objectif, constate-t-elle. Lorsque l’on a un problème sexuel, on peut finir par croire qu’avec un but bien défini, une solide organisation et un travail acharné, tout est possible. « Mais en appliquant cette méthode, on oublie les sentiments », ajoute l’auteur.

    L’accent mis sur l’exploit physique, au détriment du désir et du plaisir, va alors de pair avec la valorisation des organes génitaux et renforce la tendance à la domination masculine. S’ensuit le danger de penser que la capacité à avoir et à maintenir une puissante érection éclipse tout. Et le Viagra vient renforcer cette idée, souligne-t-elle.

    Le danger des statistiques

    Le domaine de la sexualité est littéralement envahi par les statistiques. Sommes-nous à la hauteur, avons-nous assez de rapports, combien d’orgasmes, de quelle intensité, dans quelles positions? « Nous avions tendance à moraliser, aujourd’hui nous normalisons, et l’anxiété de la performance est la version laïque de notre vieille culpabilité religieuse », écrit Esther Perel. Selon elle, l’érotisme n’a rien à voir avec l’efficacité, il aime au contraire la flânerie et le gaspillage.

    Le sexologue Yvon Dallaire va dans le même sens. Il constate, par exemple, que certaines personnes ont très peu de libido, parce qu’elles ont simplement moins de testostérone que la moyenne. Leur sexualité sera donc moins intense, et leur désir moins prenant. On dit que l’homme moyen de 25 ans devrait faire l’amour 3 fois par semaine, et la femme 1 ½ fois. Pourtant, bien des personnes ont 2 ou 3 relations sexuelles par an et sont très satisfaites; d’autres en ont besoin de 2 par jour, soutient Yvon Dallaire. « Ça fait partie de l’épanouissement sexuel de s’accepter tel qu’on est, et de profiter de qui on est et de ses capacités », précise-t-il.

    Idéaliser le bon amant ou la bonne amante

    Les images de femmes et d’hommes « parfaits » sont partout. Les corps sont impeccables, les sourires radieux, le regard est séducteur ou mystérieux à souhait. Pourtant, les belles filles ne font pas nécessairement mieux l’amour. Ni les superbes pompiers baraqués des calendriers...

    Bien que l’image puisse faire rêver, l’apparence n’est qu’une des caractéristiques d’un bon partenaire. Qu’il corresponde ou non aux standards de beauté, le bon amant(ou la bonne amante) est surtout celui qui prend les moyens pour se sentir bien et à l’aise dans son corps. Il est ouvert à explorer et expérimenter les multiples facettes de lasensualité (la masturbation étant souvent un des moyens privilégiés pour y parvenir). Il a aussi compris que, dans le domaine de la sexualité, comme dans les autres, un certainapprentissage est nécessaire et qu’il est tout à fait normal de ne pas « performer » à tout coup. Grâce à tout cela, un bon amant serait une personne capable de donner, de recevoir, de prendre et d’écouter.

    • Donner. Un bon amant doit être généreux et se préoccuper sincèrement de l’autre et de son plaisir. Selon la sexologue Sylviane Larose, la différence entre flatter et caresserillustre bien ce que signifie donner véritablement. Caresser, c’est entre autres s’attarderaux réactions de l’autre et considérer que ce que l’on caresse, même si c’est juste une main, est ce qu’il y a de plus précieux au monde, explique-t-elle.
    • Recevoir. « On peut donner des caresses, mais on ne peut pas donner de plaisir », précise le sexologue Yvon Dallaire. Pour qu’une caresse puisse être transformée en plaisir, il faut que la personne à qui elle est destinée soit véritablement disposée à la recevoir, soutient-il. Le meilleur amant du monde ne pourra pas donner de plaisir à une personne rigide, tendue ou complètement absorbée par ses problèmes.
    • Prendre. Un bon amant est responsable de son plaisir. S’il aime une caresse particulière, il peut la prendre ou exprimer - de façon verbale ou non - qu’il la désire. « Si un homme aime mettre ses mains sur les seins de sa partenaire pour se sentir excité, il peut littéralement lui prendre les seins. Bien sûr, en espérant que l’amante prenne aussi plaisir à offrir ses seins », illustre Yvon Dallaire.
    • Écouter. Il semble qu’être à l’écoute de l’autre soit primordial, autant pour aviver son propre plaisir que celui de son partenaire. C’est vrai pour les messages verbaux, mais aussi, et peut-être plus, pour les messages non verbaux : soupirs, gémissements, frémissements, halètements, coloration de la peau, fermeture des yeux, frissons, température du corps, etc.

    Être en relation, c’est entre autres prendre plaisir à être attentif, à observer, à écouter, à découvrir l’autre.

    « Malgré des messages non verbaux qui peuvent être clairs, certaines personnes arrivent difficilement à être à l’écoute parce qu’elles sont trop préoccupées par leur anxiété de performer ou tout simplement parce qu’elles sont trop centrées sur le désir d’avoir ou de procurer un orgasme », précise toutefois Sylviane Larose.

    Réduire le plaisir sexuel à une seule expression

    Les expériences sexuelles sont complexes et multiples. Elles peuvent n’être que de simples décharges de tension : bien des gens se masturbent pour trouver le sommeil ou relâcher la pression après une journée stressante. Elles peuvent aussi constituer des moments de plénitude ultime, certains osent parler de connexion avec le divin...

    Des modes d’excitation multiples

    Le psychologue et sexologue Jean-Yves Desjardins, cofondateur du département de sexologie de l’Université du Québec à Montréal, a étudié la richesse des modes d’excitation sexuelle chez l’être humain, du mode archaïque au mode en vagues10.

    • Le mode archaïque apparaît déjà chez le jeune enfant et demeure parfois chez l’adulte. Il consiste à faire monter une excitation sexuelle par l’utilisation de pressions, de mouvements et de forte tension musculaire dans la région génitale, en serrant un coussin entre ses jambes, par exemple.
    • Le mode mécanique utilise des mouvements rapides et mécaniques faits de façon spécifique sur les organes génitaux. L’excitation sexuelle se réduit alors aux sensations de la zone qui est stimulée, ce qui limite les perceptions de volupté.
    • Dans le mode ondulatoire, l’excitation sexuelle est diffusée dans l’ensemble du corps par de larges mouvements fluides et souples. Ce mode peut apporter beaucoup de plaisir et de volupté, mais une trop grande diffusion peut nuire à la canalisation de l’excitation sexuelle vers la région génitale et empêcher la décharge orgastique.
    • Le mode en vague consiste à stimuler le corps dans sa globalité à partir de la « double bascule ». Elle est caractérisée par des mouvements du bassin qui bascule d’avant en arrière, par une ondulation des épaules et par un lâcher prise de la tête. Elle s’accompagne d’une respiration abdominale rythmée et profonde. Le mode en vague permet d’associer l’excitation ressentie dans le bassin et le corps à la charge émotionnelle de plaisir pour aboutir à l’orgasme.

     

    Aucune façon de faire n’est préférable à une autre. Encore une fois, la diversité a bien meilleur goût. Selon la sexologue Sylviane Larose, « recourir, à l’occasion, à une sexualité "mécanique" ne pose pas le moindre problème. Ça n’est que quand cela devient le modèle principal pour vivre sa sexualité qu’un problème peut apparaître ».

    Margo Anand11, une des pionnières du tantrisme en Occident, croit aussi que la diversité est reine. « Il y a autant d’orgasmes que d’étoiles dans le ciel. » Elle évoque les orgasmes péniens et prostatiques, vaginaux et clitoridiens, anaux, de la poitrine ou de la gorge, avec ou sans éjaculation, explosifs ou implosifs, aucun n’étant inférieur ou supérieur aux autres.

    Espérer que la sexualité soit toujours spontanée et magique

    Tendresse et agressivité
    La psychothérapeute Brigitte Martel rappelle, dans son livre Sexualité, amour et Gestalt12, que la sexualité ne doit pas être réduite à une seule dimension. Par exemple, pour promouvoir la santé sexuelle, il faut bien sûr de la tendresse, mais aussi de l’agressivité. Une agressivité, synonyme non pas de violence, mais de puissance, d’ardeur et de recherche de contact.

    Dans son livre L’intelligence érotique9, la thérapeute conjugale Esther Perel démolit ce qu’elle appelle « le mythe de la spontanéité ». L’idée que la sexualité doit être spontanée et presquemagique nous empêche d’être maître de notre désir et de l’exprimer de façon intentionnelle, affirme-t-elle. La prétendue spontanéité du début des histoires d’amour est souvent un mythe, nous rappelle-t-elle. L’instant magique n’a-t-il pas demandé des heures de préparation : quoi porter, quoi imaginer, quelle musique, quel restaurant, quelle activité?

    Comme toute autre chose, la sexualité demande qu’on y mette du temps. Selon un sondage fait auprès des Québécoises, publié par la revue Châtelaine13, le manque d’énergie et le manque detemps sont les deux principaux obstacles à leur vie sexuelle. Mais le tiers des femmes très occupées de 30 ans à 44 ans a affirmé avoir trouvé une solution : prendre rendez-vous pour le sexe!

    Mais il ne s’agit surtout pas de programmer le sexe. Comme le dit Esther Perel, il faut plutôt « créer un espace dédié à l’érotisme », comme on prend le temps de préparer un repas romantique pour son amoureux. Et savoir déjà ce qui va se passer après avoir terminé les devoirs des enfants peut créer des dispositions propices au plaisir.

    Exiger à tout prix soit la passion soit la stabilité

    Prévoir suscite déjà le plaisir
    Attendre, espérer, languir sont des éléments fondamentaux du désir.

     

    La majorité des humains ont besoin, dans des proportions diverses, à la fois de quiétude et de passion. La sexologue Anik Ferron, de l’Université du Québec à Trois-Rivières, constate que cela plonge bien des couples dans un dilemme entre les besoins de stabilité et de liberté14.

    Une façon de résoudre ce dilemme serait de chercher non pas à créer un équilibre entre les deux polarités, mais plutôt à leur donner toute la place qui leur revient, chacune à leur tour, et au moment approprié. Il y aurait un temps pour la sécurité, un autre pour la passion.

    De façon imagée, Yvon Dallaire explique que, dans un couple, il est bien de pouvoir parfois « baiser » de façon primaire, d’autres fois de faire l’amour avec romantisme. Il rappelle aussi qu’on ne peut plus désirer ce que l’on croit posséder. « Si on vit constamment collés l’un sur l’autre, la passion, l’excitation et le désir finissent par disparaître. » Pour que le désir sexuel puisse s’entretenir, il faut qu’il y ait une distance entre les deux personnes et idéalement que chacune affirme sonidentité, ait des activités propres, des amis intimes ou des intérêts particuliers.

    Esther Perel croit, d’autre part, qu’un simple changement de perception pourrait permettre au désirde durer. Il s’agit d’arrêter de croire que notre partenaire nous appartient et que le renouvellement n’est plus possible. Plutôt que d’espérer que la rencontre amoureuse soit chaque fois comme la première visite saisissante de Paris Ville lumière, illustre-t-elle, il devient possible de découvrir que Paris est une ville qui se renouvelle constamment. Même après des dizaines de visites, on peut toujours mieux la connaître... et découvrir qu’elle est de plus en plus belle!

     

    Recherche et rédaction : Léon René de Cotret
    Mise à jour : janvier 2010

     

    Références

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    Bibliographie

    Association des sexologues du Québec. [Consulté le 14 janvier 2010.] www.associationdessexologues.com
    CoupleHeureux.com. [Consulté le 14 janvier 2010.] www.coupleheureux.com
    Desjardins Lise. Un modèle de santé sexuelle présenté par l’approche sexocorporelle, Canada, 2006. [Consulté le 14 janvier 2010.] www.visionw3.com
    Ferron Anik. La fusion : ennemie du désir sexuel, Entête, journal institutionnel de l’UQTR, Canada, 2008. [Consulté le 14 janvier 2010.] http://entete.uqtr.ca
    Indice relatif de bonheur. [Consulté le 14 janvier 2010.] www.indicedebonheur.com
    Institut Sexocorporel International Jean-Yves Desjardins : www.sexocorporel.com
    Le cerveau à tous les niveaux, Université McGill, Canada. [Consulté le 14 janvier 2010.] http://lecerveau.mcgill.ca
    Leleu Dr Gérard. Le traité des caresses, J’ai lu, France, 2003.
    Leleu Dr Gérard. Le traité des orgasmes, Éditions Leduc.S, France, 2007.
    Martel Brigitte. Sexualité, amour et Gestalt, InterÉditions, France, 2007.
    MaSexualite.ca, Société des obstétriciens et gynécologues du Canada. [Consulté le 14 janvier 2010.] www.masexualite.ca
    Meston CM, Buss DM. Why humans have sex. Arch Sex Behav. 2007 Aug;36(4):477-507.
    Naslednikov Margo Anand. L'art de l'extase sexuelle, Guy Trédaniel Éditeur, France, 1992.
    National Library of Medicine (Ed). PubMed, NCBI. [Consulté le 14 janvier 2010]. www.ncbi.nlm.nih.gov
    Nusbaum MR, Hamilton CD. The proactive sexual health history. Am Fam Physician. 2002 Nov 1;66(9):1705-12. Texte complet gratuit au www.aafp.org
    Perel Esther. L’intelligence érotique, Robert Laffont, France, 2007.
    Sondage sexe – La vérité toute nue. Châtelaine, février 2008, Canada. [Consulté le 14 janvier 2010.] http://fr.chatelaine.com

    Notes

    1. Nusbaum MR, Hamilton CD. The proactive sexual health history. Am Fam Physician. 2002 Nov 1;66(9):1705-12. Texte complet gratuit au www.aafp.org
    2. Ebrahim S, May M, et al. Sexual intercourse and risk of ischaemic stroke and coronary heart disease: the Caerphilly study. J Epidemiol Community Health. 2002 Feb;56(2):99-102.
    3. Drory Y. Sexual activity and cardiovascular risk, European Heart Journal Supplements (2002) 4 (Supplement H), H13–H18. Texte complet gratuit au http://eurheartjsupp.oxfordjournals.org [Consulté le 14 janvier 2010.]
    4. 13. Palmore EB. Predictors of the longevity difference: a 25-year follow-up. Gerontologist. 1982 Dec;22(6):513-8.
    5. Indice relatif de bonheur. Voir Quand sexe rime avec bonheur! dans la section Articles. [Consulté le 14 janvier 2010.] www.indicedebonheur.com
    6. Santé sexuelle, MaSexualite.ca, Société des obstétriciens et gynécologues du Canada. [Consulté le 14 janvier 2010.] www.masexualite.ca
    7. Dallaire Yvon. Entrevue le 27 décembre 2007. (Site Web : www.optionsante.com)
    8. Larose Sylviane, sexologue. Entrevue le 7 novembre 2007. (Site Web : www.votresexologue.com)
    9. Perel Esther. L’intelligence érotique, Robert Laffont, France, 2007.
    10. Desjardins Lise. Un modèle de santé sexuelle présenté par l’approche sexocorporelle, Canada, 2006. [Consulté le 14 janvier 2010.] www.visionw3.com (Site de l’Institut Sexocorporel International Jean-Yves Desjardins : www.sexocorporel.com)
    11. Naslednikov Margo Anand. L'art de l'extase sexuelle, Guy Trédaniel Éditeur, France, 1992.
    12. Martel Brigitte. Sexualité, amour et Gestalt, InterÉditions, France, 2007.
    13. Sondage sexe – La vérité toute nue. Châtelaine, février 2008, Canada. [Consulté le 14 janvier 2010.] http://fr.chatelaine.com
    14. Ferron Anik. La fusion : ennemie du désir sexuel, Entête, journal institutionnel de l’UQTR, Canada, 2008. [Consulté le 14 janvier 2010.] http://entete.uqtr.ca

     
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  • Commentaires

    1
    Nyck
    Mardi 7 Avril 2015 à 04:42

    J ai apprécié ces différentes analyses et commentaires, ils sont multiples et heureusement. Cela donne à chacun une large latitude pour apprivoiser le sujet, et en faire un bon usage. En tout cas nous prenons de la hauteur en lisant ces lignes...

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