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    10 bonnes raisons de manger plus de chou

     

     

     

     

    Le seul aliment dont vous faite l’impasse pourrait être l’un des meilleurs aliments pour la santé, et bien que vous ne pourriez ne pas vouloir des raisons de manger plus de chou, vous devriez sérieusement reconsidérer la question! Le Chou fut un aliment de base pour beaucoup à travers l’histoire. Malheureusement, avec le choix de légumes toujours croissant, le chou est souvent boudé. Beaucoup de gens ne savent pas, toutefois, qu’ils devraient vraiment commencer à manger plus de chou, principalement en raison du fait que ce superbe légume sain offre plus d’un avantage pour la santé.

     

    1. Anti-inflammatoire

    Les anthocyanes du chou réduisent l’inflammation, ce qui contribue à réduire les douleurs. La glutamine (un puissant anti-inflammatoire) présente dans le chou est également connue pour aider à réduire les effets de l’inflammation dans des cas tels que la fièvre, les affections cutanées, les allergies et les douleurs articulaires.

     

    2. Soutien immunitaire

    Manger du chou stimule le système immunitaire en raison de la forte concentration en antioxydants (en particulier la vitamine C). Il est également riche en enzymes et en prébiotiques bénéfiques, qui aident à soutenir le système digestif et donc améliorer la fonction immunitaire.

     

    3. Guérit des ulcères d’estomac

    Le chou fonctionne à merveille pour la guérison des ulcères d’estomac. Le composé de guérison de l’ulcère du chou, appelé S-méthylméthionine (ou «vitamine U »), permet de soulager l’estomac et procure un soulagement pour les ulcères éprouvant. Si vous voulez contribuer à guérir vos ulcères d’estomac, buvez 1 litre de jus de chou pendant la journée pendant 10 à 13 jours.

     

    4. Prévention du cancer

    Le chou contient quelques composés anticancer comme la sinigrine, le lupéol, et le sulforaphane, qui aident tous à stimuler l’activité enzymatique et ainsi à inhiber la croissance des cellules tumorales. En fait, les populations qui consomment beaucoup de choux se sont également avérées être exposées à de plus faibles taux de cancer du côlon !

     

    5. Purifie le colon

    Guérisseur incroyable pour le tube digestif, le chou est reconnu pour ses capacités de nettoyage du colon. La haute teneur en fibres et en prébiotiques en font un excellent aliment pour aider à évacuer les matières toxiques et à encourager la croissance des bactéries intestinales saines.

     

    6. Clarifie les peaux à tendance acnéique

    Le chou est idéal pour assécher la peau grasse, sujette à l’acné. Les choux (et d’autres légumes crucifères) sont riches en soufre, un composé essentiel pour la kératine, qui est une protéine nécessaire à la santé des cheveux, de la peau et des ongles.

     

    7. Riche en vitamines B pour le support du système nerveux

    Consommer du chou rouge aidera à réduire vos chances de développer la démence ou la maladie d’Alzheimer plus tard dans la vie, en raison des propriétés protectrices des vitamines B et K! Les vitamines B aident à nourrir et à soutenir notre système nerveux, tandis que la vitamine K (on la trouve principalement dans le chou rouge), une «vitamine oubliée, » est impliquée dans la production de sphingolipides, la gaine de myéline autour des nerfs (protège les nerfs contre les dommages et décomposition).

     

    8. Aide à réduire le cholestérol

    Le chou peut vous offrir des avantages anti-cholestérol réels! Les fibres du chou se lient avec les acides biliaires de votre tube digestif, ce qui facilite l’excrétion des acides biliaires et donc abaisse votre taux de cholestérol. Le chou cru fonctionne le mieux.

     

    9. Grande source d’acides gras oméga-3!

    Par calorie, le chou contient plus d’oméga-3 que le saumon (qui l’eût cru ?!). Les oméga-3 aident à prévenir les maladies inflammatoires comme les maladies cardiaques et l’arthrite, et ils sont aussi essentiels pour le cerveau et nécessaires au cours du développement foetal.

     

    10. Santé des os

    Riche en calcium, en magnésium et en potassium, le chou est un aliment miracle pour les os! Ces trois minéraux essentiels sont nécessaires pour l’entretien et le soutien des os, et aident à se protéger des problèmes de santé tels que l’ostéoporose et les fractures osseuses.

     

     

     

    Source : Live Love Fruits
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    Huit raisons pour lesquelles vous devriez boire du jus de betterave

     

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    La betterave est un légume très sain, mais à cause de son goût, de nombreuses personnes l’évitent. Nous présentons ici plusieurs raisons majeures pour lesquelles le jus de betterave est si sain et pourquoi elles devraient l’aimer et en boire plus souvent.

     

    • Le jus de betterave contient des pigments de bétalaïne qui a des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires. Grâce à cet ingrédient le jus de betterave prévient les dommages cellulaires et élimine les radicaux libres du corps.
    • Si vous avez des troubles digestifs, buvez du jus de betterave régulièrement. Des études ont montré que le jus de betterave nettoie les intestins, et les aide à fonctionner correctement.
    • Grâce aux caroténoïdes comme la lutéine et la zéaxanthine, le jus de betterave est bon pour la santé de vos yeux.
    • Le jus de betterave augmente l’énergie, de sorte que cela aidera votre corps à mieux faire face à l’exercice physique.
    • Un verre de jus de betterave par jour réduit la pression artérielle.
    • Le jus de betterave augmente le niveau de fer dans le sang. Outre le fer, le jus de betterave contient des antioxydants qui aident à équilibrer les niveaux de l’hémoglobine. Le fer contenu dans le jus améliore la circulation.
    • Le jus de betterave augmente l’immunité, de sorte qu’il aide votre corps à combattre les infections plus rapidement et plus facilement.
    • Grâce au magnésium qu’il contient, le jus de betterave aide aussi à soulager le stress.
     
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    Voici les 10 meilleurs remèdes maison pour l’arthrite

    arthrite

     

     

     

    Vous pouvez la ressentir dans vos genoux, les hanches, les mains ou d’autres articulations partout dans votre corps. La douleur sans aucune raison apparente est souvent le signe de l’arthrite, un problème très répandu qui peut prendre de nombreuses formes. Simplement dit, l’arthrite est une inflammation d’une ou de plusieurs articulations.

     

    En plus de la douleur, des symptômes communs sont le gonflement et une rougeur autour de l’articulation, une limitation de l’ampleur des mouvements et une raideur. Il existe plus de 100 différents types d’arthrite. L’arthrite peut varier de légère à sévère.

    Un médecin peut prescrire des médicaments ou vous pouvez prendre des analgésiques sans ordonnance. Mais de nombreuses personnes ressentent une amélioration tout simplement en restant physiquement actives en même temps qu’un ou plusieurs traitements naturels simples.

    Voici les 10 meilleurs remèdes maison pour l’arthrite.

     

     

    1 – Vinaigre de cidre

    Le vinaigre de cidre est riche en minéraux tels que le calcium, le magnésium, le potassium et le phosphore. Ainsi, il est utile pour soulager les douleurs articulaires. En outre, il aide à éliminer l’accumulation de toxines dans les articulations et les tissus conjonctifs.

    1. Prenez une tasse d’eau chaude
    2. Mélangez y 1 càc de vinaigre de cidre et 1 càc de miel.
    3. Buvez ce breuvage tous les matins car il aide à alcaliniser le corps.

     

     

    2 – Gingembre

    Un autre ingrédient commun qui peut aider à traiter l’arthrite est le gingembre, qui a des propriétés anti-inflammatoires.

    • Moudre à sec un mélange de 6 càc de gingembre séché, 6 càc de graines de cumin et 3 càc de poivre noir. Prenez 1/2 càc de ce mélange avec de l’eau, 3 fois par jour.
    • L’huile de gingembre, lorsqu’elle est appliquée régulièrement sur la zone touchée peut réduire la douleur, l’inflammation et le manque de souplesse..
    • Manger du gingembre cru sur une base régulière peut aider à soulager la douleur en améliorant la circulation sanguine. Il suffit de peler et couper le gingembre frais et le manger avec chaque repas.

     

     

    3 – Massages

    Masser avec de l’huile de moutarde est considéré comme excellent pour se débarrasser de la douleur de l’arthrite et de l’inflammation. Cette huile agit comme un onguent naturel et stimule la circulation sanguine.

    • Chauffer un peu d’huile de moutarde jusqu’à ce qu’elle soit un peu chaude. S’il y a un gonflement, vous pouvez mélanger une quantité égale de jus d’oignon Frottez doucement sur l’articulation douloureuse. Puis, couvrez l’articulation avec une pellicule de plastique et enveloppez avec des serviettes chaudes. Répétez ce remède tous les jours avant d’aller au lit pour de meilleurs résultats.
    • Vous pouvez également utiliser une petite quantité d’huile d’eucalyptus (aide contre l’inflammation) ; OU mélanger de l’huile de gaulthérie et de l’huile d’eucalyptus et frotter cet onguent sur l’articulation. Pour ce remède, vous ne devez pas appliquer de compresses chaudes.

     

    4 – Curcuma

    Une consommation régulière de curcuma peut réduire l’inflammation. Il contient de la curcumine qui possède des propriétés anti-inflammatoires. Il est particulièrement efficace pour traiter la polyarthrite rhumatoïde. A noter que l’efficacité du curcuma est bien meilleure s’il est pris avec du poivre noir, ou du gingembre, ou du poivre de Cayenne.

    • Vous pouvez prendre des capsules de curcuma de 500 mg à 1000 mg 3 fois par jour.
    • Vous pouvez aussi boire du jus de curcuma frais, ou un verre de lait d’amande mélangé avec une cuillère à café de poudre de curcuma et un peu de poivre noir ou de gingembre par jour, avant d’aller au lit.

     

     

    5 – Sel d’Epsom

    Le sel d’Epsom est une bonne source de magnésium qui aide à réguler les niveaux de pH dans le corps. Il est essentiel d’équilibrer les niveaux de pH parce que certaines maladies inflammatoires telles que l’arthrite sont causées par des niveaux élevés d’acidité dans le corps.

    • Mélangez du sel d’Epsom et du jus de citron frais en quantités égales à une demi-tasse d’eau tiède. Prenez une càc du mélange 2 fois par jour, 1 le matin, 1 le soir.
    • Vous pouvez également ajouter 2 tasses de sel d’Epsom à l’eau chaude du bain et vous détendre et apprécier. (en effet, la peau elle aussi absorbe les nutriments).

     

     

    6 – Cannelle

    La cannelle peut être utilisée pour soulager la douleur de l’arthrite en raison de ses propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes.

    • Mélangez 1/2 càc de poudre de cannelle et 1 c à soupe de miel dans une tasse d’eau tiède et boire cette préparation chaque matin sur un estomac vide, pendant plusieurs jours.
    • Vous pouvez également faire une pâte de cannelle et de miel et masser doucement la zone douloureuse.

     

     

    7 – Huile de poisson

    Les acides gras omega-3 de l’huile de poisson ou de nutriments végétaux (lin, chanvre, graines de chia, noix de Grenoble), ont un effet anti-inflammatoire pour le corps et peuvent aider à réduire la douleur.

    • Il suffit de consommer 1 à 2 càc d’huile de poisson par jour.
    • La prise de suppléments d’huile de poisson dans la matinée sur un estomac vide réduit la raideur matinale.

    Avec des suppléments, vous devriez aussi manger du poisson d’eau froide et d’autres produits naturels comme les graines de lin qui sont riches en acides gras omega-3.

     

     

    8 – Alfalfa

    L’alfalfa – autre nom de la luzerne – est une autre plante qui peut être utilisée par les personnes souffrant d’arthrite car il est riche en minéraux et aide à réguler les niveaux de pH.

    • Vous pouvez faire une tasse de thé de bonne santé en utilisant des graines de luzerne ou alfalfa. Il suffit d’ajouter la moitié ou une cuillère à café de graines à une tasse d’eau bouillante. Laissez mijoter pendant 20 à 30 minutes avec un couvercle, puis égoutter. Buvez cela deux fois par jour pendant 2 à 3 semaines pour réduire l’inflammation.
    • Vous pouvez également opter pour les capsules d’alfalfa, qui sont facilement disponibles sur le marché et peuvent être prises chaque jour.
    • Ou encore, vous pouvez faire germer des graines d’alfalfa et consommer les graines germées avec vos salades et tous vos plats. Elles sont bonnes à manger au bout de quelques jours seulement.

     

     

    9 – Cerises

    Les cerises sont une très bonne source de magnésium et de potassium, qui tous deux aident les personnes souffrant d’arthrite. Le magnésium est un analgésique naturel, et le potassium aide à réduire l’inflammation.

    • Mangez 8 à 10 cerises par jour. Vous pouvez utiliser des cerises en conserves, en pots de verre, ou surgelées ou fraîches, en fonction de ce qui est facilement disponible.
    • Vous pouvez aussi boire du sirop de cerises. Faites bouillir quelques cerises dans de l’eau pendant quelques minutes jusqu’à obtenir un sirop sucré. Buvez cet élixir chaque jour pendant quelques mois.

     

     

    10 – Bourrache

    Les propriétés anti-inflammatoires de l’huile de graines de bourrache peuvent aider à soulager les différents symptômes de l’arthrite.

    • Massez régulièrement la zone affectée pour aider à guérir les articulations douloureuses et enflées.
    • Vous pouvez aussi boire une cuillère à café d’huile de graines de bourrache chaque jour pour le soulagement de la douleur. Cette huile est saine et n’a aucun effet néfaste, mais ne pas ingérer de graines de bourrache ou d’autres parties de la plante ; cependant, ses belles fleurs bleues sont comestibles et ont un goût très agréable et subtil.

    Les personnes souffrant d’arthrite de tout type vont probablement obtenir un soulagement avec l’un ou plusieurs de ces remèdes. Il est essentiel pour les patients atteints de polyarthrite de maintenir également des activités physiques pour améliorer leur santé. Ces pistes ne porteront véritablement  leurs fruits, bien sûr, qu’en éliminant les causes d’inflammation de leur alimentation, telles que le gluten et les produits laitiers, et en réduisant les causes de stress, facteur lui aussi d’inflammation, par exemple en se tournant vers le yoga, la relaxation et les massages.

     

     

    Sources:
    top10homeremedies.com
    ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17826984
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  • passeportsante.net

    10 légumes oubliés à remettre au menu

     

    Ils portent bien leur nom de « légumes oubliés » ! Aujourd’hui absents de nos potagers et de nos assiettes, cela n’a pourtant pas toujours été le cas. Aussi bons que nos produits actuels, si ce n’est même meilleurs, les légumes d’antan reviennent peu à peu dans nos menus. Avec la mode du « retour aux sources », on a davantage confiance en ces produits cultivés localement, et moins contaminés en pesticides. Pour découvrir de nouvelles saveurs, changer des légumes habituels, et ajouter une touche d’originalité à une recette, nous vous proposons une sélection de 10 légumes oubliés à remettre au menu.

     

     

     

    Le topinambour : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Le topinambour : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    C’est en 1613 que débarque, en France, ce légume-racine découvert par les colons dans les grandes plaines d’Amérique du Nord. Séduit par son goût et sa ressemblance avec l’artichaut, les Français lui accordent rapidement une place de choix dans leur potager. Mais ils vont commettre une erreur grossière. L’année de son introduction sur le territoire coïncide avec l’arrivée des Tupinambas, une tribu cannibale du Brésil amenée en France comme curiosité locale. Convaincus que les tubercules sont apportés par les « indigènes », les Français les appellent alors les topinambours. Aujourd’hui, le nom est resté.

    S’il n’existe sans doute aucun autre légume aussi facile à cultiver que lui, le topinambour n’est pourtant pas dénué d’intérêt : sa richesse en inuline (un type de fibre alimentaire) le rendrait utile contre la constipation1 et améliorerait l’équilibre de la flore intestinale. Au contraire, son absence d’amidon le rend intéressant pour les personnes diabétiques !

    Les parties comestibles du topinambour sont ses tubercules, qui ont un fort pouvoir rassasiant. On conseille de les consommer dès qu’ils ont été récoltés car ils s’assèchent très rapidement. Le topinambour se prête à de multiples recettes, aussi bien cru que cuit.

     

     

    Le rutabaga : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Le rutabaga : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Découvert en Scandinavie à la fin du Moyen-Âge, lerutabaga serait à l’origine le croisement entre le navet et le chou-frisé. Son oubli remonte à la Seconde Guerre Mondiale, car on l’utilisait en substitut de la pomme de terre durant les périodes de restrictions alimentaires, d’où son surnom de « légume du pauvre ». De plus, certaines espèces de rutabaga sont destinées à nourrir le bétail, ce qui n’arrange pas son image auprès du public. On les qualifie de légumes tout-terrain car ils peuvent êtres cultivés n’importe où. Depuis un certain temps, les grands chefs l’incorporent à leur menu, ce qui permet au rutabaga d’avoir de meilleures critiques.

    Le rutabaga est très riche en nutriments tels que le phosphore, le magnésium, le potassium, le fer, le manganèse, le cuivre et certaines vitamines (B1, B6, C). On lui confère donc des propriétés antioxydantes qui participent au maintien de la bonne santé des os, et il renferme une bonne quantité de fibres car pour une portion de 74 grammes il contient 1,8 gramme de fibres (soit plus que le navet).

     Le rutabaga est souvent confondu avec le navet, que l’on distingue souvent par leurs feuilles. Ce légume peut s’immiscer dans tous nos plats car il est très facile à cuisiner. On le trouve principalement au printemps ou au début de l’été.

     

     

    Le crosne : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Le crosne : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Originaire des pays asiatiques, il avait d’abord pour nom « stachys affinis ». Il tient le nom de crosne du village où il a été cultivé et vendu pour la première fois en France en 1882. En effet, pour mieux le vendre au public, ses précurseurs ont préféré lui donner le nom du village de Crosne en Essonne. Le tubercule a connu son apogée au XIXème siècle, lorsqu’Alexandre Dumas le cita comme ingrédient de sa célèbre « salade japonaise » dans une de ses pièces. Comme la plupart des légumes anciens, il fut oublié après les périodes de guerres, où il était consommé en période de privation. Cependant aujourd’hui sa culture se perpétue dans plusieurs régions de France, bien que les surfaces qui lui sont attribuées soient très réduites, ce qui en fait un produit encore trop rare.

    D’un point de vue nutritionnel, le crosne est riche en sels minéraux. On le considère comme un légume diététique car il est très peu calorique. En effet, le crosne est composé à 80 % d’eau. Sa teneur en glucides est intéressante et lui confère des vertus énergisantes.

     Il a un goût légèrement sucré qui rappelle celui du topinambour et de l’artichaut. Avant de le consommer, il est conseillé d’enlever les extrémités brunâtres. Les crosnes se prêtent à un panel de recettes variées et peuvent êtres aussi bien rôtis, sautés que mangés tels quels.

     

     

    Le salsifis noir : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Le salsifis noir : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Longtemps utilisé par les Grecs et les Romains en tant que plante médicinale, le salsifis noir était préconisé en cas d’empoisonnement, de problèmes cardiaques et contre la peste. Il est plus communément appelé scorsonère, de l’espagnol « escorzonera », nom donné à un reptile.On le consomme pour la première fois en France au XVIIème siècle, pour remplacer les salsifis. On confond souvent ces deux racines, alors qu’elles n’appartiennent pas à la même sorte de plante.

    Le salsifis noir est un légume-racine dont la chair est très riche en inuline, un glucide qui aurait des effets protecteurs contre certains cancers (intestin, sein1), et aiderait à prévenir les risques de diabète de type 22. Une étude a également démontré les bienfaits antioxydants3 du salsifis noir car certains de ses composés empêcheraient la formation de radicaux libres.

    Avant de les manger, il faut peler les salsifis noirs. Pour cela, il est conseillé de les faire cuire afin de ramollir la peau tout en conservant leur saveur. On recommande également de les consommer les plus frais possibles afin d’éviter qu’ils deviennent fibreux.

     

     

    Le radis noir : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Le radis noir : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Au temps des Pharaons, le radis noir était distribué pour rafraichir et nourrir les ouvriers qui construisaient la pyramide de Gizeh. Les botanistes pensent qu’il a été le premier radis cultivé par les Hommes, et les herboristes ont préféré l’utiliser à des fins médicinales. Au Moyen-Âge, on le préconisait pour purger le cerveau et les viscères de leurs « humeurs malignes ». A la Renaissance, c’était pour atténuer les douleurs des calculs urinaires. Puis pendant un temps, il a été qualifié de remède de bonne femme pour traiter la coqueluche et les bronchites. C’est seulement à la fin du XIXème siècle que l’on a de nouveau reconnu les bienfaits du radis noir.

    Ce petit légume présente une quantité importante de vitamine C2 (114 milligrammes pour 100 grammes) et de potassium (554 milligrammes pour 100 grammes)1. Sa teneur en antioxydants3 lui permet d’avoir un effet préventif sur les maladies cardiovasculaires2. Il agirait aussi sur la sécrétion biliaire et le cholestérol3,4.

    Le radis noir est un excellent purifiant, et peut être consommé de diverses façons. On le retrouve ainsi sous forme de jus, d’ampoules buvables en traitement médical, ou tel quel dans des plats. Enfin, comme pour les autres variétés de radis, sa peau est comestible.

     

     

    Le chou-rave : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Le chou-rave : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Le nom de chou-rave est apparu au XVIIème siècle. Parfois surnommé chou-pomme à cause de son apparence, il a également connu le nom de gongylodequi signifie « genou ». En effet,  sa partie bulbeuse donne l’impression que la plante est agenouillée sur le sol. Il a subi le contrecoup de la période d’après-guerre, car on le consommait quasiment tous les jours et en cas de famine. On dit de lui que c’est le mal aimé de la famille des choux car il demeure très peu consommé en France et au Canada.

    Certains composés actifs contenus dans ce légume pourraient prévenir la formation de tumeurs1 et favoriser leur autodestruction2,3. Il est très riche en vitamine C et couvre la quasi-totalité des apports recommandés. Cette dernière contribue à la bonne santé des os, des cartilages et des dents. Enfin le chou-rave est très peu calorique (19 calories pour 70 grammes), ce qui le rend particulièrement apprécié en cas de régime.

    Le chou-rave, grâce à ses multiples bienfaits, devrait être un des indispensables de nos menus. Il est très facile à cuisiner et s’adapte à toute sorte de plats. Les choux-raves miniatures (entre 2 et 3 centimètres) peuvent êtres cuits entiers avec leur peau.

     

     

    Le panais : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Le panais : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Le panais a été découvert pour la première fois dans des monastères au Moyen-Âge. Son utilisation a toujours été culinaire, mais il semblerait qu’il ait été préconisé à des fins médicinales également. Il est originaire du bassin méditerranéen et connu des Grecs et des Romains, mais on ignore comment il a été domestiqué en Europe de l’Ouest. Il a été introduit en Amérique du Nord au début du XVIIème siècle, et cultivé par les premiers colons et les Indiens. Une légende raconte que l’empereur romain Tibère aimait tellement le panais qu’il en faisait venir chaque année d’Allemagne, où ce légume poussait à profusion sur les rives du Rhin. Aujourd’hui, il retrouve une certaine popularité chez les amateurs de légumes anciens car il est devenu synonyme d’aliment santé.

    Cette sorte de carotte blanche renferme des molécules qui joueraient un rôle dans la prévention contre certains cancers1. En effet, un de ses antioxydants, le polyacétylène2, permettrait de lutter contre le développement des cellules cancéreuses. Grâce à ses fibres, le panais est très rassasiant et limite les risques de constipation3.

    Le panais se cuisine de la même façon que les carottes, il est donc très facile de l’incorporer à son menu. Ses tiges et ses feuilles sont également comestibles et on les incorpore généralement dans des bouillons ou des sauces. On préfèrera un panais de taille moyenne, car il est moins fibreux et ne se dessèchera pas trop rapidement.

     

     

    La bette (bette à carde) : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    La bette (bette à carde) : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    La consommation de bette remonte à l’Antiquité, ou les philosophes y décrivaient déjà son aspect particulier : « de grandes feuilles vertes sur des tiges rouges ». Par la suite, les Romains en feront des usages tant culinaires que médicinaux. Appelée également « blette », elle est très proche de la betterave. En fait, il s’agirait d’une betterave ayant développé ses feuilles. Réputée comme étant un légume de pauvre, la bette a perdu de sa popularité et peine à la retrouver. Cependant dans le sud de la France, elle fait partie du patrimoine culinaire et reste assez présente sur les marchés.

    La bette  serait efficace pour lutter contre le diabète de type 2 et s’avère riche en antioxydants1 tels que les flavonoïdes, qui luttent contre les radicaux libres.

    On peut la consommer aussi bien crue que cuite, et ses feuilles sont elles aussi comestibles. Il est d’ailleurs possible de trouver des tisanes faites à base de feuilles de bette. Au Québec, elle est plus connue sous le nom de bette à carde.

     

     

    La patate douce : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    La patate douce : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    La patate douce est originaire des Amériques. Elle a d’abord été cultivée par les amérindiens, puis a été transportée vers l’Europe grâce aux explorateurs espagnols et portugais au XVième siècle. Elle tient son nom de l’espagnol « batata », qui l’a emprunté à l’une des nombreuses langues parlées par les indigènes d’Amérique centrale. On ajoute l’adjectif « douce » à la suite afin de ne pas la confondre avec la pomme de terre, qui sous l’influence de l’anglais, est souvent appelée patate. Dans les pays tropicaux, la patate douce constitue une importante ressource alimentaire, et permet de nourrir des animaux d’élevage.

    Ce légume orangé est un bouclier anti-cancer et anti-inflammatoire1,2. Sa teneur en glucides est élevée (16 grammes pour 100 grammes), ce qui la rend assez calorique, surtout quand elle est cuite. C’est un légume riche en fibres, qui assure un bon transit intestinal et qui aiderait à réguler le taux de glycémie, limitant ainsi les risques de diabète de type 23,4.  

    La patate douce s’adapte à tous les plats préparés à base de pomme de terre. Il est conseillé de choisir des patates douces à chair foncée (orange et pourpre), car ce sont celles qui renferment le plus d’antioxydants.

     

     

    Le pâtisson : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Le pâtisson : comment et pourquoi le remettre au menu ?

    Consommé des milliers d’années avant notre ère, lepâtisson est un des légumes les plus anciens. Par sa forme particulière, il rappelle celle d’un bonnet d’empereur. On l’appelle ainsi « bonnet de prêtre » ou « artichaut d’Espagne », à cause de son goût proche de celui de l’artichaut. Pourtant, il est originaire d’Amérique centrale ! Le pâtisson est en réalité un mot provençal qui désigne un gâteau sorti d’un moule à festons (moule aux bords ondulés). Il est plut fréquent de le voir trôner dans les cuisines en guise de décoration, que préparé dans nos assiettes.

    Bouilli, il est une source intéressante de phosphore, un minéral essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os. Le pâtisson protègerait des maladies cardiovasculaires grâce à sa teneur en vitamines et en minéraux2. Très peu calorique, il est principalement composé d’eau, sa teneur en fibre (1,9 grammes pour 100 grammes) est intéressante car elle participe au bon fonctionnement de l’appareil digestif et aiderait ainsi à lutter contre les risques de diabète de type 23,4.

    Il est conseillé de choisir les pâtissons de petites tailles, car les plus grands sont généralement plus fibreux. Le pâtisson est très apprécié des végétariens car il permet de réaliser un des plats sans souffrir de carences.

     
     
     
     
     

    Sources

    Le topinambour

    1. Roberfroid MB. Introducing inulin-type fructans. Br J Nutr 2005 April;93 Suppl 1:S13-S25

    Le crosne

    1. Michael Eskin, Snait Tamir. Dictionnary of Nutraceuticals and Functional Foods. CRC Press. 2005

    Le salsifis noir

    1. Kaur N, Gupta AK. Applications of inulin and oligofructose in health and nutrition. J Biosci 2002 December;27(7):703-14
    2. Wolfram T, Ismail-Beigi F. Efficacy of high-fiber diets in the management of type 2 diabetes mellitus. Endocr Pract 2011;17:132-42
    3. Kroschewsky J, Mabry T, et al. Flavonoids from the genus Tragopogon (compositae). Phytochem 1969;8:1495-8

    Le radis noir

    1. Hanlon PR(1), Barnes DM. Phytochemical composition and biological activity of 8 varieties of radish (Raphanus sativus L.) sprouts and mature taproots. J Food Sci. 2011 Jan-Feb;76(1):C185-92
    2. Lugasi A, Blazovics A, et al. Antioxidant effect of squeezed juice from black radish (Raphanus sativus L. var niger) in alimentary hyperlipidaemia in rats. Phytother Res 2005 July;19(7):587-91
    3. Ibraihim Guillermo Castro-Torres, Minarda De la O-Arciniega, Janeth gallegos-Estudillo and al. Natural products on teh research of cholesterol gallstones. Tang Humanitas Medicine. 2013 ; Vol3, Issue 3, e21
    4. Ibrhaim Guillermo Castro-Torres, Elia Brosla Naranjo-Rodriguez, Miguel Angel Dominguez-Ortiz and al. Antilithiasic and hypolipidaemic effects of raphanus sativus L. var. niger on mice fed with a lithogenoc diet. Journal of Biomedicine and Biotechnology. 2012;1661205

    Le chou-rave

    1. Jeffery EH, Jarrell V. Cruciferous vegetables and cancer prevention. In: Wildman REC, editor. Handbook of Nutraceuticals and Functional Foods.Boca Raton: CRC Press; 2001. p. 169-91
    2. Hsu JC, Zhang J, et al. Indole-3-carbinol inhibition of androgen receptor expression and downregulation of androgen responsiveness in human prostate cancer cells. Carcinogenesis 2005 November;26(11):1896-904
    3. Myzak MC, Dashwood RH. Chemoprotection by sulforaphane: keep one eye beyond Keap1. Cancer Lett 2006 February 28;233(2):208-18

    Le panais

    1. Peterson S, Lampe JW, et al. Apiaceous vegetable constituents inhibit human cytochrome P-450 1A2 (hCYP1A2) activity and hCYP1A2-mediated mutagenicity of aflatoxin B1. Food Chem Toxicol 2006 September;44(9):1474-84
    2. Christensen LP, Brandt K. Bioactive polyacetylenes in food plants of the Apiaceae family: Occurrence, bioactivity and analysis. J Pharm Biomed Anal 2006 March 4
    3. Marlett JA, McBurney MI, Slavin JL. Position of the American Dietetic Association: health implications of dietary fiber. J Am Diet Assoc 2002 July;102(7):993-1000

    La bette (bette à carde)

     1. Sacan O, Yanardag R. Antioxidant and antiacetylcholinesterase activities of chard (Beta vulgaris L. var. cicla). Food Chem Toxicol. 2010 May;48(5):1275-80

    La patate douce

    1. Hou DX. Potential mechanisms of cancer chemoprevention by anthocyanins. Curr Mol Med 2003 March;3(2):149-59
    2. Zhang ZF, Fan SH, et al. Purple sweet potato color attenuates oxidative stress and inflammatory response induced by D-galactose in mouse liver. Food Chem Toxicol. 2009 Feb;47(2):496-501
    3. Ludvik BH, Mahdjoobian K, et al. The effect of Ipomoea batatas (Caiapo) on glucose metabolism and serum cholesterol in patients with type 2 diabetes: a randomized study. Diabetes Care 2002 January;25(1):239-40
    4. Ludvik B, Hanefeld M, et al. Improved metabolic control by Ipomoea batatas (Caiapo) is associated with increased adiponectin and decreased fibrinogen levels in type 2 diabetic subjects. Diabetes Obesity & Metabolism 2008;10:586-92 

    Le pâtisson

    1. Sommerburg O, Keunen JE, et al. Fruits and vegetables that are sources for lutein and zeaxanthin: the macular pigment in human eyes. Br J Ophthalmol. 1998;82:907-910
    2. Floyd J. Frost. Studies of minerals and cardiac health in selected populations. Lovelace Respiratory Research Institute.
    3. Ludvik BH, Mahdjoobian K, et al. The effect of Ipomoea batatas (Caiapo) on glucose metabolism and serum cholesterol in patients with type 2 diabetes: a randomized study. Diabetes Care 2002 January;25(1):239-40
    4. Ludvik B, Hanefeld M, et al. Improved metabolic control by Ipomoea batatas (Caiapo) is associated with increased adiponectin and decreased fibrinogen levels in type 2 diabetic subjects. Diabetes Obesity & Metabolism 2008;10:586-92

     

     
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  • medisite.fr

    Les bienfaits de l'huile de coco

     

    Visage, cheveux, cuisine... L'huile végétale extraite de la noix de coco renferme des acides gras intéressants, tant pour la santé que pour la beauté. Détails, mode d'emploi et conseils pour bien la choisir.

     

     

    Une huile qui calme les coups de soleil

    "L'huile de coco est une bonne alternative au gel d'aloe vera lorsqu'on n'en a pas sous la main en raison de ses propriétés apaisantes et hydratantes" constate Mély Dufey, naturopathe.

    Mode d'emploi : on peut utiliser 1 à 2 cuillères à soupe d'huile de coco dans lesquelles on dilue 4 gouttes d'huile essentielle de lavande fine, à appliquer en massage sur les zones qui ont rougi.

     

     

     

     

     

    Une huile qui peut aider à maigrir

    L'huile de coco n'est pas un remède minceur miracle. "Elle n'a pas de vertus amincissantes, il ne s'agit là que d'un argument marketing. En revanche, c'est vrai qu'elle peut aider de manière indirecte à dépenser plus d'énergie et à moins stocker les graisses, en aidant le métabolisme" nuance Mély Dufey. En effet, les acides gras à chaîne moyenne sont décomposés plus facilement par notre organisme et métabolisés directement par le foie pour en tirer de l'énergie. Ils sont donc peu stockés dans le corps. En 2009, une étude menée sur des femmes souffrant d'obésité abdominale a montré que remplacer l’huile de soja par une quantité égale d’huile de noix de coco permettait une légère baisse de poids et de tour de taille.

     

     

    Un démaquillant naturel pour les peaux sensibles

    "L'huile de coco est très intéressante pour un démaquillage naturel car elle élimine bien les résidus de maquillage, elle coûte peu cher, elle est bien tolérée même par les peaux réactives et sensibles et, comme elle hydrate, il n'y a pas forcément besoin d'utiliser une crème de nuit ensuite" détaille la naturopathe. Même les peaux qui sont à la fois grasses et sensibles peuvent l'utiliser.

    Mode d'emploi : mouiller la peau avec de l'eau tiède ou chaude, appliquer une noisette d'huile en massant en mouvements circulaires, éliminer le surplus avec un coton humide et/ou rincer à l'eau claire si besoin.

     

     

    Une huile qui nourrit les cheveux

    "L'huile de coco nourrit en profondeur et convient à tous les types de cheveux, qu'ils soient fins, épais, crépus, secs..." estime Mély Dufey.

    Mode d'emploi : l'huile de coco s'utilise en masque -laisser poser de 15 min à toute la nuit, sous une serviette- plutôt sur les longueurs, sans trop en mettre sur les racines, surtout si les cheveux ont tendance à être gras.

    A noter : ses vertus nourrissantes sont aussi intéressantes en cataplasme pour adoucir les pieds secs.

     

     

     

    Une huile anti-âge pour le cerveau ?

    Un régime riche en acides gras à chaîne moyenne (comme ceux contenus dans l'huile de coco) pourrait ralentir les signes du vieillissement accéléré du cerveau. C'est ce que laisse espérer une étude danoise menée par des chercheurs de l'Université de Copenhague sur des souris, en novembre 2014. Une piste parmi d'autres dans la prévention de maladies neurologiques dégénératives comme Alzheimer ou Parkinson.

     

     

     

     

     

    Une huile intéressante pour la santé cardiovasculaire

    Parmi les différentes familles d'acides gras, les acides gras saturés (ceux que l'on consomme le plus, notamment à travers les viandes, les produits laitiers...) ont plutôt mauvaise réputation, car en excès, ils favorisent certains troubles comme les maladies cardiovasculaires. On conseille généralement de privilégier plutôt les omégas 9, 6 ou 3. "Mais contrairement aux viandes, aux produits laitiers ou à l'huile de palme, l'huile de coco apporte principalement des acides gras saturés qui appartiennent à la sous-catégorie « acide laurique ». Il s'agit d'acides gras à chaîne moyenne, assimilés de façon différente par notre organisme", précise Mély Dufey. "Or, des études ont comparé l’effet de l’acide laurique avec les autres acides gras saturés et sont arrivées à la conclusion qu'il a un effet plus favorable sur le rapport cholestérol total/cholestérol HDL. Son impact lors de ladigestion reste neutre au lieu d'augmenter le mauvais cholestérol comme ont tendance à le faire les autres acides gras saturés" ajoute la naturopathe. Une étude publiée en 2003 dans l'American Journal of Clinical Nutrition montre même qu'il augmente surtout le HDL, considéré comme le bon cholestérol. Consommer (entre autres huiles végétales) de l'huile de coco serait donc plutôt positif pour santé cardiovasculaire. D'ailleurs, dans les années 80-90, des chercheurs avaient observé que certains peuples vivant dans le sud du Pacifique et consommant beaucoup d'huile de coco ou de noix de coco souffraient rarement de maladies cardiaques et d'AVC.

     

     

    Une huile anti-poux

    Les poux sont asphyxiés lorsqu'on les emprisonne dans un corps gras et l'huile de coco serait la plus efficace car l'acide laurique a fait ses preuves in vitro contre les parasites.

    Mode d'emploi : selon la longueur des cheveux, appliquer 1 à 3 cuillères à soupe d'huile (à laquelle on peut ajouter quelques gouttes d'huile essentielle de lavande par exemple) sur la tête, en massant pour bien répartir. Laisser poser au moins 1h (dans l'idéal toute une nuit) sous une serviette ou un film transparent. Ensuite, bien rincer (plusieurs shampoings peuvent être nécessaires) puis passer un peigne anti-poux pour éliminer les parasites morts et répéter l'opération tous les 2/3 jours si besoin. Il existe aussi des lotions ou shampoings anti-poux à base d'huile de coco ou de dérivés, en pharmacie, comme Apaysil Poux, Moustikologne, Parasidose ou Paranix Spray.

     

     

    Comment choisir l'huile de coco ?

    Elle s'achète en pot.

    - Pour la cuisine, mieux vaut choisir une huile de bonne qualité, non raffinée, par exemple extra vierge, extraite à froid et bio, pour éliminer un maximum d'impuretés.

    - "Pour une utilisation à haute température, pour de la friture par exemple, il faut opter pour une huile de coco « désodorisée », qui est plus stable à la chaleur", conseille Mély Dufey.

    - "Pour une utilisation cosmétique, on peut choisir un produit un peu plus bas de gamme, mais elle doit toujours être vierge ou extra vierge et non raffinée", ajoute la naturopathe.

    A savoir : l'huile de coco s'appelle aussi parfois huile de coprah car elle est fabriquée à partir de la coprah, la partie blanche de la noix de coco décortiquée et séchée.

     

     

    Comment utiliser l'huile de coco ?

    À température ambiante, l'huile de coco est plutôt solide, donc pas intéressante pour la vinaigrette, pour laquelle il vaut mieux privilégier des huiles riches enoméga 3 comme l'huile de noix, de cameline ou de chanvre.

    - Pour la cuisson, on peut l'utiliser à la place du beurre ou de l'huile d'olive en la faisant fondre dans une poêle. Elle résiste parfaitement à la cuisson (mais l’huile vierge ne doit pas être cuite à plus de 180 °C), ce qui permet de réaliser sautés, woks, cuissons au four et plats mijotés. Sa saveur douce se marie bien au porc, au poulet, aux poissons (saumon, cabillaud, etc.), notamment dans les plats exotiques.

    - En pâtisserie, on l'utilise fondue au bain-marie pour qu'elle devienne liquide. Elle peut ensuite être intégrée dans une pâte (à cake, à muffins, à madeleines...) ou associée à une purée d'oléagineux (amandes, noisettes, cajou...) pour se rapprocher de la texture du beurre (par exemple dans les pâtes à tartes ou à cookies). "Dans ce cas, on peut remplacer 100 g de beurre par ¾ d'huile de coco et ¼ de purée d'oléagineux", conseille la spécialiste.

     

     

    Publié par Laura Chatelain, journaliste santé et validé par Mély Dufey, naturopathe

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  • santenatureinnovation.com

    LES JUS QUI GUÉRISSENT


     
     
    Les jus qui guérissent

     

     

     

    Depuis vingt ans, une véritable folie s’est emparée du mouvement bio aux Etats-Unis mais, curieusement, elle n’a toujours pas vraiment traversé l’océan : la folie du « juicing ».

    Le « juicing » vient du mot « juice », jus, et consiste tout simplement à fabriquer chez soi des jus frais à partir de légumes et fruits crus, consommés quotidiennement, voire plusieurs fois par jour pour les personnes cherchant à obtenir un effet particulier sur leur santé.

    En effet, il ne s’agit pas seulement de se faire plaisir, bien que de nombreux cocktails soient absolument délicieux. Le but est également de guérir. Selon les spécialistes des jus, il existe des cocktails :

    • contre la migraine
    • pour un meilleur sommeil
    • contre les boutons
    • un « élixir de jeunesse »
    • contre les ballonnements
    • pour bien se préparer à déguster un copieux repas
    • pour se reminéraliser
    • etc…

    Juste un exemple de cocktail tout simple que j’ai fait hier soir et que j’ai trouvé délicieux :

    Mélanger deux pommes avec 1 grosse côte de céleri en branche. Il semblerait que cela favorise la détente et aide à mieux dormir. Le mélange est étonnamment bon.

    Comment ça marche

    Il y a trois raisons principales qui pourraient vous inciter à faire vous-même vos jus :

    1. Les jus vous aident à absorber plus de nutriments des légumes crus : c’est important car la plupart d’entre nous souffrons d’une digestion médiocre du fait de mauvais choix alimentaires depuis des années. Extraire le jus des légumes crus permet de casser les fibres et donc d’absorber plus facilement les précieux nutriments ;
    2. Le jus de légumes est un élément vivant qui possède beaucoup de vertus. Il a le mérite d’aider les muqueuses digestives à se reconstruire régulièrement, ce qui le rend intéressant et très utile en cas de colites, de gastrites et d’inflammations générales ; il contient tous les éléments nutritionnels des légumes sans les fibres insolubles qui sont les parties les plus dures mais avec des fibres solubles qui sont fermentées par nos bactéries et renforcent notre intestin.
    3. Les jus permettent de manger plus de légumes frais : beaucoup de personnes ont déjà du mal à tenir le rythme des 5 fruits et légumes par jour, alors qu’il en faudrait sans doute 8 ou 10, et surtout des légumes plutôt que des fruits. En buvant un verre de jus, vous apportez directement à votre corps ce qu’il y a de meilleur dans plusieurs légumes ;
    4. Varier vos légumes : beaucoup de personnes mangent les mêmes salades de légumes tous les jours, ce qui provoque de la lassitude. Or, il est très facile de faire des jus de légumes avec des légumes que vous ne consommez pas habituellement. C’est aussi une occasion de découvrir de nouveaux goûts avec des associations surprenantes, par exemple la pomme et le céleri branche.

    Il s’agit d’un excellent moyen pour revitaliser l’organisme, car les jus possèdent une très grande concentration de principes nutritifs et d’éléments énergétiques.

    Quels fruits et légumes

    Les jus de fruits sont délicieux, et les mélanges fruits-légumes parfois plus encore grâce au petit goût amer ou acidulé apporté par le céleri, les épinards, les feuilles de choux…

    Mais si vous êtes en surpoids, si vous avez de l’hypertension, du diabète, ou si vous avez un risque cardiaque, mieux vaut vous concentrer sur les jus de légumes bios, en particulier les légumes verts (plutôt que les jus de fruits qui sont riches en sucre).

    Ce qui est étonnant est que vous pouvez faire des jus avec n’importe quel fruit et légume, à l’exception de la banane et de l’avocat qui ne peuvent que se mixer.

    Il y a bien sûr le jus de tomate, les jus de carotte et de betterave rouge, mais ils sont très sucrés.

    En fait, les grands classiques du « juicing » bio sont les feuilles de choux de toutes les sortes (blanc, rouge, vert, frisé), les brocolis, le céleri, les navets, les concombres, le fenouil, le persil, les endives, les courgettes, les poivrons jaunes, rouges et verts, les petits pois, les endives, l’ail et l’oignon (l’oignon en petite quantité car pas facile à digérer).

    Vous pouvez presque systématiquement y ajouter un morceau de gingembre et un jus de citron ou de citron vert.

    Pour améliorer encore le goût, n’hésitez pas à mettre une goutte de stévia, un édulcorant naturel qui a un petit goût de réglisse qui s’accommode très bien avec les jus de légumes.

    Vous vous apercevrez que les combinaisons sont infinies, et que vous obtiendrez les goûts les plus variés, en général très plaisants. C’est donc une vraie aventure dans l’univers des goûts oubliés que vous vous offrez en faisant des jus, en plus d’un beau cadeau de nutriments pour votre corps.

    L’organisation

    Le problème du « juicing » est que cela demande de l’organisation car :

    1. il vous faut une machine spéciale pour tirer pleinement parti des végétaux
    2. le jus ne se conserve pas, et s’oxyde si vous ne le buvez pas immédiatement ; vous ne pouvez pas en fabriquer une fois par mois, puis le boire par petite portion.

    Beaucoup de personnes utilisent, par mesure d’économie, une centrifugeuse, ce qui ne coûte que 50 euros en entrée de gamme, mais qui a le désavantage de ne pas extraire correctement tout le jus et la pulpe. Une partie de vos fruits et légumes se retrouvera alors dans la poubelle plutôt que dans votre verre.

    Le seul outil vraiment performant pour faire des jus de légumes est l’extracteur.

    Il est beaucoup plus cher (entre 250 et 350 euros) mais il récupère beaucoup plus de jus et de nutriments. La pulpe qui sort d’un extracteur est quasiment sèche, il n’y a rien de perdu. Par contre, le jus est plus pur qu’avec une centrifugeuse, qui laisse passer beaucoup de fibres.

    L’extracteur a de plus l’avantage de conserver le jus pour la journée à l’abri de l’oxydation.

    Il est toutefois essentiel de choisir un modèle simple, qui limitera au maximum le temps d’installation et de nettoyage, sans quoi vous ne vous en servirez pas. Si vous vivez seul(e) ou à deux, il existe des extracteurs manuels qui feront l’affaire. Ils sont aussi nettement plus accessibles (54 euros).

    Dernier conseil pour la route

    Commencez à faire vos jus avec des légumes que vous consommez habituellement. Le goût doit vous être agréable, sans provoquer de nausée. Il est très important d’écouter votre corps lorsque vous faites des jus. Buvez un verre au petit-déjeuner, et veillez à ne ressentir aucun malaise à l’estomac durant toute la matinée. Si votre estomac fait des bruits bizarres, c’est que vous ne supportez pas un ou plusieurs des légumes. En ce qui me concerne, je me suis aperçu que je ne pouvais pas boire beaucoup de jus de choux, ce qui est dommage car c’est très bon et les vertus anticancers sont prouvées.

     

    A votre santé !

    Jean-Marc Dupuis

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  • passeportsante.net

    Zoom sur 5 huiles essentielles apaisantes

     

    En cas de stress, de choc émotionnel, voire de dépression, le recours aux huiles essentielles peut être salvateur. La puissance de leur fragrance permet de soulager de nombreux maux. Découvrez les propriétés de 5 huiles essentielles apaisantes et leur utilisation.

     

     

     

    L’huile essentielle de lavande vraie a des propriétés anxiolytiques

    L’huile essentielle de lavande vraie a des propriétés anxiolytiques

    Quelles sont les propriétés de l’huile essentielle de lavande vraie ?

    L’huile essentielle de lavande vraie (lavandula angustifolia) est réputée pour apaiser le système nerveux et est souvent recommandée pour soulager le stress ou l’anxiété. Une revue systématique de plusieurs études publiée en 20121 a confirmé les effets thérapeutiques de l’huile essentielle de lavande sur le stress et l’anxiété. Une étude réalisée en 2007 sur des gerbilles2 a même montré qu’une exposition olfactive à l’huile essentielle de lavande vraie avait des effets apaisants équivalents à ceux du diazépam, un médicament de la famille des benzodiazépines aux propriétés anxiolytiques. Ses vertus apaisantes et relaxantes font qu’elle est également efficace pour traiter les problèmes d’insomnie3.

    Comment utiliser l’huile essentielle de lavande vraie ?

    Dans les cas de stress et d’anxiété, l’huile essentielle de lavande vraie s’utilise surtout en inhalation : 2 à 4 gouttes dans un diffuseur, ou, à défaut, aspirer les vapeurs d’un grand bol d’eau bouillante additionnée de quelques gouttes d’huile essentielle. Répéter les inhalations plusieurs fois par jour.

     

     

    L’huile essentielle d’ylang-ylang pour soulager les états dépressifs

    L’huile essentielle d’ylang-ylang pour soulager les états dépressifs

    Quelles sont les propriétés de l’huile essentielle d’ylang-ylang ?

    L’huile essentielle d’ylang-ylang (cananga odorata) est un puissant tranquillisant et un fortifiant du système nerveux1. Lorsqu’elle est utilisée en cas de choc émotionnel, d’anxiété, d’angoisse ou de trac, cette huile essentielle fait baisser la pression artérielle, ralentit le rythme de la respiration et calme d’éventuelles palpitations. Dans une étude réalisée en 20062, un certain nombre de participants a utilisé de l’huile essentielle d’ylang-ylang sur la peau. Les résultats ont montré que, comparativement au groupe témoin, le groupe traité à l’ylang-ylang avait une tension artérielle plus basse, une température corporelle plus élevée, et se sentait plus calme et relaxé. L’huile essentielle d’ylang-ylang pourrait donc être efficace pour soulager les états de stress ou de dépression.

    Comment utiliser l’huile essentielle d’ylang-ylang ?

    En cas d’angoisse, d’émotivité ou de stress, l’huile essentielle d’ylang-ylang s’utilise :

    • En olfaction : appliquer l’huile essentielle diluée dans une huile végétale sur les poignets puis les frotter entre eux avant de les respirer ;
    • En diffusion : 2 à 4 gouttes dans un diffuseur ;
    • En inhalation : aspirer les vapeurs d’un grand bol d’eau bouillante additionnée de quelques gouttes d’huile essentielle ;
    • En bain : diluer au préalable l’huile essentielle dans une base neutre.

     

     

    L’huile essentielle de laurier noble réduit la timidité

    L’huile essentielle de laurier noble réduit la timidité

    Quelles sont les propriétés de l’huile essentielle de laurier noble ?

    L’huile essentielle de laurier noble (laurus nobilis) est apaisante et tranquillisante. Elle est particulièrement indiquée dans les cas de stress lié à une timidité excessive, comme avant de prendre la parole en public. Avant un examen, et plus précisément un examen oral ou un discours, l’huile essentielle de laurier noble stimulerait la confiance en soi, favoriserait la concentration et la décontraction.

    Comment utiliser l’huile essentielle de laurier noble ?

    • En cas d’angoisse, d’anxiété ou de déprime latente, l’huile essentielle de laurier noble s’utilise diluée dans une huile végétale, en massage sur le plexus solaire, le long de la colonne vertébrale et sous les pieds.
    • En cas de stress lié à une forte timidité, consommer 1 à 2 gouttes d’huile essentielle de laurier noble diluées dans du miel ou un morceau de sucre 3 fois par jour pendant les quelques jours qui précèdent l’événement stressant. Elle est aussi efficace en olfaction : appliquer une goutte d’huile essentielle pure ou non sur les poignets, les frotter puis les respirer.

     

     

    L’huile essentielle de petit grain bigarade pour lutter contre l’anxiété

    L’huile essentielle de petit grain bigarade pour lutter contre l’anxiété

    Quelles sont les propriétés de l’huile essentielle de petit grain bigarade ?

    L’huile essentielle de petit grain bigarade (citrus aurantium) est obtenue par distillation des feuilles du bigaradier. Ses effets relaxants la rendent efficace contre le stress et l’insomnie. Plusieurs études réalisées sur des souris soumises à des tests d’anxiété 1,2 ont montré que l’administration orale de l’huile essentielle de petit grain bigarade contribuait à réduire l’anxiété, sans mention d’effets indésirables particuliers.

    Comment utiliser l’huile essentielle de petit grain bigarade ?

    Pour réduire les états d’anxiété et de nervosité, l’huile essentielle de petit grain bigarade peut être utilisée en bain (5 à 10 gouttes diluées dans une base neutre) ou dans un diffuseur (40 gouttes).

     

     

    L’huile essentielle de camomille noble apaise la nervosité

    L’huile essentielle de camomille noble apaise la nervosité

    Quelles sont les propriétés de l’huile essentielle de camomille noble ?

    L’huile essentielle de camomille noble, aussi camomille romaine (anthemis nobilis), est indiquée dans les cas d’irritabilité, de dépression nerveuse, de crise nerveuse et d’insomnie: elle calme l’excitation, soulage la tension nerveuse et le stress. Elle apaise également les douleurs physiques (rhumatisme, arthrite, entorse, rage de dents, maux de tête…) en engourdissant les nerfs et en réduisant l’inflammation des tissus2.

    Comment utiliser l’huile essentielle de camomille romaine ?

    • Pour apaiser la nervosité, l’huile essentielle de camomille noble s’utilise dans une huile de massage, dans le bain, à raison de quelques gouttes diluées dans une huile de bain ou encore dans un diffuseur.
    • Pour atténuer les douleurs, l’application locale est préférable : quelques gouttes diluées dans une huile de massage. 
     
    Samira Leroux
     
     
     
     
     

    Sources

    L’huile essentielle de lavande

    1. Perry R, Terry R, Watson LK, et al., Is lavender an anxiolytic drug? A systematic review of randomised clinical trials, Phytomedicine , 2012
    2. Bradley BF, Starkey NJ, Brown SL, et al., Anxolytic effects of Lavandula angustifolia odour on the Mongolian gerbil elevated plus maze, J Ethnopharmacol, 2007
    3. N. Purchon, Huiles essentielles – mode d’emploi, Marabout, 2001

    L’huile essentielle d’ylang-ylang

    1. N. Purchon, Huiles essentielles – mode d’emploi, Marabout, 2001
    2. Hongratanaworakit T, Buchbauer G, Relaxing effect of ylang ylang oil on humans after transdermal absorption, Phytother Res, 2006

    L’huile essentielle de laurier noble

    1. J. Kaibeck, Comment réussir un examen avec les huiles essentielles, www.lessentieldejulien.com

    L’huile essentielle de petit grain bigarade

    1. Putrini Ade M, Galindo LA, Costa M, Effects of the essential oil from Citrus aurantium L. in experimental anxiety models in mice, Life Sci, 2006
    2. Carvalho-Freitas MI, Costa M, Anxiolytic and sedative effects of extracts and essential oil from Citrus aurantium L., Biol Pharm Bull, 2002 

    L’huile essentielle de camomille noble

    1. Dr J. Valnet, Aromathérapie – 11e édition, Vigot, 2001
    2. N. Purchon, Huiles essentielles – mode d’emploi, Marabout, 2001

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  • sante-nutrition.org

    Les noyaux d’avocat – Un super aliment pour une super santé

    noyau-avocat

     

     

     

    L’avocat est considéré comme un super aliment, celui qui peut fournir à votre corps les nutriments les plus sains, mais très peu de gens savent que le noyau d’avocat est riche en nutriments, plus encore que la chair ou la peau. Il possède également les fibres les plus solubles du monde. Un noyau d’avocat contient la totalité de la dose quotidienne de fibres dont nos corps ont besoin. Il contient plus d’antioxydants que l’avocat lui-même et d’autres fruits et légumes. Mais, ce n’est pas tout.

    Les bienfaits du noyau d’avocat

    – Un fait étonnant est que la chair et la peau de l’avocat ne contiennent que 30% des antioxydants, tandis que 70% se trouvent dans le noyau seul. Les antioxydants aident à prévenir les maladies cardiaques, à abaisser le taux de cholestérol et prévenir différentes sortes de maladies.
    – Vous pouvez soulager le gonflement du tube digestif et vous pouvez réduire les maladies inflammatoires dans le corps.
    – Vous pouvez même prévenir ou soulager la constipation et aider à soulager la diarrhée car il est riche en fibres.
    – L’antioxydant connu comme composé phénolique contenu dans le noyau est connu pour aider à soulager la douleur des ulcères gastriques en raison de ses propriétés anti-virales et anti-bactériens.

    Avez-vous besoin d’autres raisons et faits pour lesquels vous devriez consommer les noyaux d’avocat? En voici quelques-uns:

    – Le noyau contient un antioxydant très important qui peut aider à combattre le cancer: les flavonols. Les personnes atteintes de cancer sont invitées à consommer des aliments riches en flavonols, donc le noyau d’avocat est parfait pour eux.
    – Une autre bonne raison d’inclure les noyaux d’avocat dans votre régime alimentaire est si vous avez un système immunitaire faible et souffrez de rhumes fréquents pendant la saison de la grippe. Le noyau peut vous aider à le renforcer.
    – Les radicaux libres sont la principale raison pour laquelle les gens tombent malades, souffrent de cancer et de vieillissent un peu trop vite. Si vous voulez éviter tout cela, le noyau d’avocat peut vous aider à combattre les radicaux libres. Il peut vous aider à atteindre une apparence jeune, car il a la capacité de reconstruire le collagène sous la peau.
    – Et cela ne se arrête pas là! Consommer le noyau peut aider à vous sentir énergique en réduisant les courbatures, les sensations pénibles aux articulations et les maladies osseuses; il peut vous aider à perdre du poids et réduire les niveaux de glucose dans le sang; il peut aider pour l’asthme induit par l’exercice; il peut même vous faire sentir rassasié et réduire les fringales.

    Comment faire pour extraire le noyau d’avocat

    Prenez un couteau et ouvrez l’avocat en deux verticalement. Il devrait s’ouvrir facilement s’il est mûr. Sortez le noyau. Ensuite, vous pouvez faire deux choses. La première consiste à le mettre dans un sac en plastique et l’écraser avec un marteau et puis le mettre dans un blender avec d’autres ingrédients tels que des bananes, des épinards ou d’autres légumes verts foncés, des dates, etc., afin de faire un smoothie. Ou si vous avez un blender plus puissant vous pouvez le mettre avec le reste des ingrédients sans l’écraser. Assurez-vous d’ajouter un peu d’eau. Buvez votre smoothie de noyau d’avocat et profitez d’une vie plus saine.

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  • passeportsante.net

    UNE PIZZA SANTÉ, C'EST POSSIBLE !

     

    Incroyable mais vrai : les Français engloutissent chaque année près de 881 millions de pizzas par an, soit environ 10 kilos de pizzas consommés par habitant. Ils ne sont devancés que par les Etats-Unis qui culminent à 3 milliards de ces spécialités d’origine italienne. Catalogué comme produit de malbouffe, la pizza peut pourtant être un produit presque modèle en matière d’équilibre nutritionnel. Voici 8 conseils pour y parvenir.

     

    Préférez les pâtes à pizza à blé entier

    Préférez les pâtes à pizza à blé entier

    La pâte à pizza est généralement confectionnée à partir de céréales raffinées, qui ont subi d’importantes transformations. Par rapport aux céréales complètes, elles ont perdu leur enveloppe (riche en fibres) et leur germe (riche en vitamines et en minéraux) ce qui rend leur index glycémique plus élevé : le sucre se diffuse très vite dans le sang, faisant monter le taux d’insuline et pouvant, à long terme, provoquer un diabète. De plus, la faim arrive plus vite et l’envie de grignoter entre les repas aussi !

    Alternative : Pourquoi ne pas oser la pizza à pâte de chou ? Cette étonnante alternative diminue encore l’index glycémique et garantit une pizza sans gluten pour les personnes souffrant de la maladie cœliaque. Il suffit d’un chou-fleur, d’un peu d’huile d’olive et d’un œuf : la recette.

     

     

    Délaissez les pizzas aux quatre fromages

    Délaissez les pizzas aux quatre fromages

    Les pizzas aux quatre fromages sont très appréciées pour leurs côtés à la fois fondant et croustillant. Elles figurent pourtant parmi les pizzas les plus caloriques, en raison notamment de leur forte teneur en gras : il y aurait en moyenne près de 40 grammes de matière grasse dans une seule pizza (cuisinée maison), soit la moitié de la consommation quotidienne recommandée en un seul aliment. De plus, les fromages contiennent des quantités non négligeables de gras trans, dont la nocivité pour l’organisme (troubles cardiovasculaires) n’est plus à prouver. Une pizza aux quatre fromages en contient environ 12 g. C’est six fois plus que la consommation recommandée !

     

     

    Faites le choix original d’une pizza-salade

    Faites le choix original d’une pizza-salade

    Et si au lieu de servir de la salade pour accompagner une pizza riche en garniture grasse, vous serviez directement la salade sur la pizza ? Faites cuire la pâte sur laquelle vous aurez déposé une sauce tomate maison (plus riche en antioxydants qu’une tomate fraîche) et déposez-y, ensuite,  la salade, assaisonnée d’une vinaigrette légère, et toutes sortes de légumes crus.  On a aujourd’hui trop tendance à les faire cuire alors qu’ils contiennent plus de nutriments et seraient davantage bénéfiques pour la santé à l’état cru. Enfin, parsemez votre pizza de noix en tout genre et en quantité modérée. Elles sont riches en antioxydants et en acides gras oméga-3 mais possèdent une forte densité énergétique.

     

     

    Allégez le reste du repas

    Allégez le reste du repas

    Exceptionnellement, vous avez décidé de vous faire plaisir en mangeant une pizza pour le repas. Ne culpabilisez pas ! La pizza peut être un aliment intéressant pour peu que vous fassiez les bons choix en matière de garniture et que vous la prépariez vous-même. Il faudra aussi alléger le restant de votre repas puisque selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les repas d’une personne moyennement active ne devraient pas excéder 770 calories. Or, une pizza atteint déjà en moyenne 700 calories. Il faudra donc faire l’impasse sur l’apéritif, les boissons sucrées (300 calories en plus pour 75 cl de soda), les accompagnements gras et les desserts sucrées. Un choix qui s’annonce difficile pour les Québécois, puisque 53 % d’entre eux consommeraient systématiquement des frites avec leur pizza1 !

     

     

    Tenez-vous en à une part et intégrez des crudités

    Tenez-vous en à une part et intégrez des crudités

    Avant les années 60, les pizzas n’étaient considérées que comme des en-cas. Puis, la restauration a misé sur la popularité de ce plat peu coûteux en augmentant la taille des portions. Pari réussi : les pizzerias se multiplient en Europe comme en Amérique du Nord jusqu’à devenir un plat extrêmement populaire. Et surtout un repas déséquilibré. Il faut se faire à l’idée que la pizza n’est qu’un accompagnement et qu’il faut nécessairement lui adjoindre une assiette de crudités (salade, légumes variés, fruits secs, etc.).

     

     

    Méfiez-vous des pizzas à emporter

    Méfiez-vous des pizzas à emporter

    Lorsque vous achetez une pizza industrielle, il vous est impossible de connaître exactement les ingrédients qui la composent. La raison est simple : les restaurateurs diminuent tous les coûts pour augmenter les marges et certains produits n’ont plus rien à voir avec leur état d’origine. Dans la plupart des pizzas industrielles, le fromage a même été remplacé par un « fromage » synthétique qui imite son goût, sa texture et son apparence mais qui cache aussi divers colorants et de l’huile de palme. En grande surface, il est donc important de repérer les étiquettes : si ce n’est pas écrit fromage, c’est que cela n’en est pas.

    De plus, les pizzas de fast-food peuvent atteindre des taux de gras hallucinants : une étude réalisée par 60 millions de consommateurs a montré qu’ils atteignaient souvent 70 g de lipides par pizza ! Il faut d’ailleurs se méfier des étiquettes indiquant la composition nutritionnelle du produit. La plupart du temps, elles sont basées sur une échelle de 100 g, alors que la pizza est, en réalité, trois fois plus grosse.

     

     

    Préférez les pâtes fines aux pâtes moelleuses

    Préférez les pâtes fines aux pâtes moelleuses

    La pizza à pâte fine n’est pas seulement plus croustillante, elle est aussi beaucoup moins calorique. Elle reste toujours la préférée des consommateurs, mais de plus en plus lui préfèrent désormais la pâte épaisse, de type brioche et issue des recettes américaines. A tort ! Choisir une pâte fine vous ferait économiser une centaine de calories et réduirait de moitié la quantité de gras saturés présent dans la pizza.

     

     

     

    Martin Lacroix

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  • sante-nutrition.org

    LE MYTHE DU LAIT

    mythe-du-lait

     

     

    Le lait fait énormément parler de lui depuis quelques temps et ce n’est certainement pas pour rien ! La médecine se rend compte qu’il cause beaucoup de troubles divers et variés : Allergies, indigestion, acné…

     

    De plus il a été constaté que plus de 75% de la population mondiale est intolérante au lait de vache ! Mais pourquoi selon vous ?

    Tout d’abord savez-vous que l’homme est le seul être vivant qui ingurgite le lait d’une autre espèce que la sienne! La vache nourrit le veau avec son propre lait et   celui-ci stoppera tout naturellement par lui-même de boire le lait de sa mère quand il sera prêt!

    Ce type de lait est conçu pour décupler considérablement le poids de naissance du Veau en un an, c’est pour cela qu’il est beaucoup trop riche pour nous !

     

    Mais alors pourquoi buvons-nous du lait de vache ?

    Boire le lait de notre mère à la naissance est une chose complètement normale et même vitale car en fin de compte le lait maternel n’est rien d’autre que la continuation de la fonction du placenta. Le placenta a un rôle nutritif et de mise en place d’information qui participe à l’embryogenèse, plus clairement cela veut dire que le lait maternel envoie au nouveau né de l’information pour sa croissance ! Il stimule son système immunitaire, il apporte beaucoup de nutriments énergétiques, il équilibre le système nerveux  par ses acides gras insaturés et sans l’oublier, il lie un lien d’amour unique entre une mère et son enfant !

    Jusqu’à là tout est parfaitement normal et même équilibré ! Ce qui l’est moins c’est de troquer le lait maternel contre du lait de vache et ce assez rapidement. Cela se produit  pour des raisons pratiques pour la mère qui est éreintée d’allaiter car dans l’idéal l’allaitement devrait durer 3 ans, ce qui est une période assez longue et inimaginable pour certaines mères ! Il faut savoir que réellement l’allaitement doit durer au minimum six mois, à partir d’ici le sevrage se fera naturellement en douceur en introduisant progressivement fruits, légumes, oléagineux, et protéines…

    Dans un autre temps l’humain décide de boire du lait pour ses besoins en calcium qui selon la pensée commune n’est trouvable qu’en quantité limitée dans les produits laitiers ! Un scandale quand on sait qu’une tête de brocolis par jour peut fournir les besoins recommandés en calcium pour une personne d’âge moyen ! Les végétaux suffisent amplement à satisfaire nos besoins (Choux de Bruxelles, chou frisé, chou chinois, brocolis), légumineuses, algues, …

    Ce qui est totalement fou c’est que malgré ce que l’on pense, le calcium des laitages est très peu « biodisponible » ce qui veut dire qu’il est peu absorbé, à hauteur de 32% seulement alors que pour certains légumes cela peut aller jusqu’à 65%.
    Par exemple les taux d’assimilation du calcium de certains légumes sont remarquables !

    • Chou=65%
    • Brocoli=61.3%
    • Chou Frisé=49.3%
    • Bette chinoise=49.3%
    • Chou de Bruxelles=64%

    Atteindre un apport suffisant en calcium quotidiennement est d’une facilité déconcertante, il suffit simplement de varier nos assiettes et d’adopter une alimentation équilibrée comprenant beaucoup de fruits et de légumes chaque jour !

    En ce qui concerne le calcium du lait de vache, il ne peut pas nous convenir et encore moins nous faire du bien car ses protéines sont censées nous transmettre une information nécessaire pour l’élaboration de l’osséine (filet sur cartilage pour retenir les minéraux) mais elles n’en seront jamais capables car elles ne sont pas adaptées à notre espèce, mais uniquement à celles du veau ! Ces protéines sont donc totalement inappropriées pour notre espèce ! En réalité boire du lait pour augmenter son taux de calcium aura tout bonnement l’effet contraire car la concentration de calcium dans le sang augmentera d’un coups et le corps ne comprendra pas ce choc ce pourquoi il essaiera de revenir à un niveau normal en excrétant le calcium par les reins dans l’urine.

    Voilà pourquoi le bébé, l’enfant ou l’adulte auront très peu d’osséine et de ce fait retiendront mal les minéraux entrainant une déminéralisation progressive.

    Evidemment l’Industrie laitière ne pourra jamais dire que le lait est néfaste pour votre santé, bien au contraire ! Depuis les années 20, les industriels du lait n’ont pas cessé de nous faire croire que le lait était exceptionnellement bénéfique pour nous mais ce qu’il ne faut pas oublier c’est que l’industrie laitière a toujours eu le contrôle sur l’ensemble des informations concernant la santé publique ! L’Industrie laitière a su s’infiltrer dans la plupart des organismes officiels de recherche et/ou de communication dans le domaine de l’alimentation et de la santé ! De plus cette propagande n’est pas pour déranger une industrie multimilliardaire en dollars qui serait déçue de voir ses profits baisser!

    La propagande fût si grande et si intense qu’aujourd’hui il est vraiment difficile de prouver le contraire aux accros persuadés que ce qu’ils ont toujours entendu ne peut être faux ! On appelle cela un mythe et rien d’autre !

    Si vous saviez à quel point la corruption est présente dans ce domaine, vous seriez certainement plus qu’abasourdis !

    Par exemple l’industrie laitière a fondé son propre « conseil scientifique ! Par exemple le « CERIN » (Centre de recherche et d’information Nutritionnelle), avec un nom si officiel, c’est difficile de se douter de ce qui se trame derrière et il en devient plus facile de tromper journalistes, commission Européenne et j’en passe…

    Autre exemple incroyable ! Savez vous que l’industrie laitière finance une large part du budget de « l’institut français pour la nutrition » IFN.

    Vous en voulez encore ! En 2005 par exemple sur les 29 membres du comité d’experts en nutrition humaine de l ‘AFSSA (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments) et bien 20 d’entre eux avaient des liens de collaboration avec l’industrie laitière, 13 travaillaient avec Danone et le président même siégeait au conseil scientifique de Nestlé France ! Très crédible tout ça !

    Ah vous en voulez plus! La direction du Programme National Nutrition Santé (PNNS), une émanation des ministères de la santé, de l’éducation nationale et de l’agriculture a été confiée en 1999 à un médecin siégeant à l’institut Candia. Bravo, quelle finesse !

    Les lobbyistes et autres costumes aux manches sâles ont beau nous dire que le lait est la seule possibilité pour bénéficier de suffisamment de calcium et nous permettre d’avoir des os en santé mais  comment peuvent-ils alors expliquer que les asiatiques qui a l’origine ne buvaient pas de lait de vache ont commencé à souffrir d’ostéoporose et d’autres problèmes osseux dès lors qu’ ils ont adopté le régime américain ! Comment expliquer aussi que 25 millions d’Américains développent de l’ostéoporose eux qui consomment tant de lait de vaches ?

    N’y a-t-il pas un malaise quelque part ? Ceux qui boivent beaucoup de lait souffrent d’ostéoporose et ceux qui n’en boivent pas n’ont aucun problème de ce genre ! Es-ce une vaste blague ? C’est un acte criminel que de continuer à faire croire à l’humain que le lait de vache est bénéfique pour lui!
    Le Lait de vache est vraiment néfaste pour votre santé quoi qu’on en dise et quoi qu’on puisse entendre!  Il est temps de se faire une raison !

    Beaucoup d’études et de recherches prouvent que le lait de vache augmente les risques de cancers, d’ostéoporose et de maladies cardiovasculaires !

    Mais pourquoi le lait est-il si mauvais ?

    ● Tout d’abord vu la demande, il faut produire en grosse quantité! De ce fait les vaches ont été transformées en usine à lait pour produire jusqu’à 10.000  litres de lait par an! Un rythme contre nature il va sans dire ! A force d’être surmenées et maltraitées, elles développent des infections à répétition qu’on appelle mammites ou mastite qui libèrent du pus (cellules somatiques) et des bactéries qui s’écoulent tout doucement avec le lait jusque dans les belles bouteilles que vous n’achèterez plus jamais de la même manière j’en suis certaine, enfin je l’espère !

    ● De plus, considérant l’augmentation continuelle des maladies et infections, l’humain leur administrera de grandes doses d’antibiotiques, d’anti parasitaires, d’anti inflammatoires… Et tout ça dans l’unique but de les faire tenir le plus longtemps possible alors évidemment tout ce cocktail de molécules chimiques se retrouvera dans votre lait. Donc plus votre consommation sera grande et plus vous  risquerez  une possible dépression de votre système immunitaire !

    ● Il y’a aussi une fameuse protéine, la Caséine (qui représente 80% des protéines du lait de vache) que l’on retrouve donc à profusion et qui crée beaucoup de dommages dans le corps humain tout comme la protéine du gluten avec le blé et d’autres céréales. Ces protéines peuvent déclencher une réponse auto-immune par une défaillance d’une enzyme incapable de faire son travail de digestion ce qui laissera un résidu non digéré reconnu directement par le système comme un VIRUS. Ces fragments non digérés (Peptides) ressemblent à des drogues du genre opium (Héroïne, Morphine, Codéine…) qui essaieront d’imiter les endorphines pour provoquer des changements de perception, d’humeur et de comportement. Voilà pourquoi tant de gens sont totalement dépendants des produits laitiers et du gluten ! C’est une Vraie Drogue !

    ● Il est aussi important de savoir que dans le lait de vache, nous trouvons du lactose, qui se compose en deux sucres simples : le glucose et le galactose. Le problème avec celui-ci vient du fait que certaines personnes ne possèdent pas l’enzyme capable de séparer ces sucres pour qu’ils puissent être absorbés dans le sang ! La flore intestinale doit alors consommer ce qui n’a pas été digéré et cela peut causer beaucoup de problèmes intestinaux…

    ● Il y’a aussi le problème de l’homogénéisation, c’est à dire l’égalisation des graisses dans le lait, pour que la crème et le lait ne fassent plus qu’un. Ce procédé provoque une infiltration d’air qui s’immisce dans le lait transformant les graisses en une substance grasse oxydée qui causera alors une grosse production de radicaux libres très nuisibles pour le corps humain.

    ● S’ajoutant à ceci, la pasteurisation et la stérilisation qui utilisent des températures trop élevées pouvant aller au dessus de 100 degrés Celsius! Ce qui n’hésitera pas à tuer toutes les enzymes pour vous laisser en fin de compte le pire du pire!

    Le lait détruit petit à petit votre flore intestinale en détruisant son équilibre et nous savons tous qu’une bonne santé démarre dans cette merveilleuse partie du corps !

    En fin de compte le fameux Lait tant acclamé n’est qu’un concentré de graisses, de cholestérol, d’antibiotiques, d’hormones, d’OGM, de pesticides, de bactéries et malheureusement ce n’est pas glorieux mais aussi de pus… Une vraie bombe à retardement causant divers troubles, maux et problèmes !

    Nombreuses sont les études qui relatent ce que l’ingestion de lait pourrait causer :

    • Flatulences et intolérance au lactose
    • Cancers
    • Cancer de la prostate
    • infection des oreilles
    • Obésité
    • Acné
    • Cancer du Sein
    • Arthrites
    • Infarctus et maladies cardiovasculaires
    • Diabètes
    • Allergies
    • Ostéoporose
    • etc.

    De quoi frissonner et sentir son cœur se serrer, n’est-ce pas ?

    C’est affligeant de voir à quel point il est facile de se faire berner et de faire croire n’importe quoi aux gens qui ne recherchent que le meilleur pour eux !

    Alors dès maintenant si ce n’est pas déjà fait, je vous en supplie, bannissez le lait de vache de votre maison, de votre vie et celles de vos amis, familles et proches… Adoptez le lait végétal fait maison qui est bien meilleur pour votre santé, délicieux et très simple à réaliser !

    Une petite vidéo sur les différentes manières de réaliser des laits végétaux vous ferait-elle plaisir ?

    De plus, si ce sujet vous intéresse, si vous voulez en savoir plus, voir les différents rapports et études sur le lait de vache, je vous recommande grandement « Laits, mensonges et propagande » ou « Vache a lait » ou encore « Le rapport Campbell » (The China study)

     

     

    Source : Echovivant
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  • passeportsante.net

    L'ALIMENTATION MODERNE EST-ELLE TROP ACIDE ?

     

     

    A l’heure de l’abondance alimentaire et de la nourriture industrielle, notre alimentation n’a plus rien à voir avec celle de l’homme paléolithique, durant laquelle il se nourrissait essentiellement d’aliments chassés, pêchés ou cueillis : fruits, légumes, insectes, oléagineux, viandes, poissons… Quel est donc l’impact d’une alimentation qui fait la part belle aux céréales, aux sucres et aux aliments transformés sur notre organisme ? L’alimentation moderne est-elle trop acide ?

     

    Comment l’alimentation perturbe-t-elle l’équilibre acido-basique ?

    Comment l’alimentation perturbe-t-elle l’équilibre acido-basique ?

    L’équilibre acido-basique consiste à maintenir un équilibre entre l’acidité et l’alcalinité du corps. Le sang par exemple est légèrement alcalin, avec un pH de 7,4. Après digestion, absorption et métabolisation des aliments que nous ingérons, la majorité d’entre eux libère soit des acides, soit des bases dans la circulation sanguine. Ce ne sont donc pas les aliments en soi qui influencent notre équilibre acido-basique, mais leur métabolisation, qui peut varier d’un individu à l’autre.

    Au cours de la métabolisation, certains aliments génèrent des substances soit acidifiantes, soit alcalifiantes. Par exemple, les aliments générant des acides forts comme l’acide chlorhydrique, l’acide sulfurique, l’acide phosphorique ou encore l’acide urique ont tendance à acidifier l’organisme. C’est notamment le cas des aliments d’origine animale comme la viande, le poisson ou le fromage, mais aussi des céréales (surtout raffinées), des sucreries, des boissons industrielles et des plats préparés. En revanche, la richesse en minéraux (potassium et magnésium) des fruits et légumes en font des aliments alcalifiants pour la grande majorité d’entre eux.

    Un aliment peut avoir un pH acide ou basique sans nécessairement acidifier ou basifier l’organisme. Un exemple parlant est celui du citron : son goût est très acide et son pH est égal à 2,5, mais il est alcalifiant pour l’organisme. A l’inverse, la viande qui a un pH de 7,1, soit très légèrement basique, est acidifiante.

    Notre alimentation moderne, et notamment l’alimentation occidentale, plus riche en produits animaux, en céréales raffinées, en plats industriels, sucreries, au détriment des fruits et légumes, semble donc effectivement trop acide pour notre organisme.

    A défaut d’être la mesure la plus précise, la mesure du pH urinaire est une façon simple de déterminer si les habitudes alimentaires d’une personne tendent ou non à acidifier son organisme.

     

     

    Quels sont les risques d’une alimentation trop acidifiante ?

    Quels sont les risques d’une alimentation trop acidifiante ?

    Il faut savoir qu’à court terme, ce déséquilibre temporaire est rapidement compensé, notamment par les reins, et n’entraîne pas de problème majeur. Cependant, si l’on a habituellement une alimentation acidifiante, on peut à long terme souffrir d’une acidose chronique de faible niveau et être confronté à plusieurs problèmes de santé. A noter que les acidoses induites par l’alimentation sont très différentes des acidoses métaboliques, qui résultent d’autres facteurs contribuant à l’incapacité de compenser le pH sanguin. Les effets néfastes des acides métaboliques cliniques sont bien mieux connus que ceux d’un régime alimentaire acidifiant.

    Le risque le plus connu est lié à la santé osseuse : une alimentation très acidifiante favoriserait l’ostéoporose. En effet, pour compenser cette acidité, l’organisme puise dans ses réserves alcalines, les minéraux, et notamment le calcium, ce qui tend à fragiliser les os1,2. Cependant, toutes les études ne sont pas d’accord sur ce point3 et cette relation est encore controversée.

    On pense également qu’un terrain acide serait plus propice à l’apparition de cancers et au développement de métastases, mais aucune preuve n’existe encore à ce sujet4.

    Globalement, les risques liés à un excès d’acide dans le corps humain sont encore mal connus, mais dans le doute, il est préférable d’essayer de limiter l’acidité dans le corps.

     

     

    Des recommandations pour rétablir l’équilibre acido-basique

    Des recommandations pour rétablir l’équilibre acido-basique

    De la même façon que l’alimentation perturbe l’équilibre acido-basique, il faut modifier son alimentation pour le restaurer5. Pour prévenir une charge acide trop importante, le Guide alimentaire canadien préconise par exemple de : 

    • privilégier les fruits et les légumes avant tout autre groupe alimentaire
    • privilégier les protéines végétales (graines et légumineuses)
    • consommer une variété de céréales à grains entiers (sarrasin, quinoa, riz brun etc)
    • limiter la consommation de café, d’alcool, de boissons gazeuses, d’aliments raffinés et de viande rouge
    • consommer les produits laitiers avec modération.

    Des écarts à ce type d’alimentation sont évidemment possibles, mais l’essentiel est tout de même de préserver cet équilibre sur la durée. Il peut arriver cependant que l’alimentation ne fournisse pas suffisamment d’aliments basiques, comme pendant les périodes de fête, auquel cas des comprimés alcalifiants existent pour rétablir l’équilibre. Pendant le repas, il est important également de bien mâcher les aliments, car cela les rend plus alcalins6.

    Le stress est acidifiant, c’est pourquoi il est important de le contrôler, voire de le réduire en pratiquant des activités de relaxation.

    Le fait de pratiquer une activité sportive peut enfin aider dans la mesure où l’augmentation du rythme cardiaque permet d’éliminer des acides à travers l’expiration et la transpiration.

     

     

    Samira Leroux

     

     

    Référence

    C. Bonnafous, L’équilibre acido-basique, Grancher, 2015

    1. Macdonald HM, New SA, Fraser WD, et al., Low dietary potassium intakes and high dietary estimates of net endogenous acid production are associated with low bone mineral density in premenopausal women and increased markers of bone resorption in postmenopausal women, Am J Clin Nutr, 2005
    2. Tucker KL, Hannan MT, Kiel DP, The acid-base hypothesis: diet and bone in the Framingham Osteoporosis Study, Eur J Nutr, 2001
    3. Hanley DA, Whiting SJ, Does a high dietary acid content cause bone loss, and can bone loss be prevented with an alkaline diet?, J Clin Densitom, 2013
    4. C. Bonnafous, L’équilibre acido-basique, Grancher, 2015

    5. C. Bonnafous, L’équilibre acido-basique, Grancher, 2015
    6. P. David, L’Equilibre Acido-basique – une notion fondamentale, 2010

     

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  • medisite.fr

    Infarctus : les 7 aliments à éviter


    En évitant ou en limitant certains aliments, vous pouvez réduire significativement votre risque d'infarctus. La liste.

     

     

    1 : Reblochon, camembert, Roquefort

    Pourquoi : les fromages et le beurre sont des aliments à fortes teneurs en matières grasses saturées*, qui peuvent faire augmenter le mauvaischolestérol. Ils sont également très salés (le reblochon, camembert, les bleus comme le roquefort étant les plus salés) et peuvent favoriser l'hypertension.
    La consommation recommandée : le beurre est à limiter aux tartines du petit-déjeuner (10g). Quant aux fromages, réduisez leur consommation à 1 à 2 portions de 30g/jour.
    Que préférez : les laitages 0% si vous n’en consommez pas 2 fois plus. Sinon, prenez un yaourt au lait entier.
    Pensez-y : attention aux sauces trop riches en matières grasses comme celle au beurre blanc, la mayonnaise...

    * On distingue 2 sortes de cholestérol : le LDL ou mauvais cholestérol qui, en excès, peut s'accumuler contre les parois des artères, provoquant une athérosclérose, l'une des premières causes de l'infarctus ; et le HDL ou bon cholestérol qui récupèrent l'excès de cholestérol dans les organes et le rapporte au foie où il est éliminé.

     

     

    2 : Les saucisses

    Pourquoi : le sel et les mauvaises graisses sont en cause. L'excès de sel peut favoriser l'hypertension artérielle, facteur de risque de l'infarctus, quand les graisses saturées peuvent faire  augmenter le mauvaischolestérol responsable de l'athérosclérose*.
    Les charcuteries les plus grasses à déconseiller :les saucisses de Toulouse, saucisses à cuire, saucisses sèches, les rillettes et les pâtés.
    La consommation recommandée : 1 fois/semaine
    Que préférez : "le jambon ou le bacon, les terrines plutôt que les pâtés, car elles sont plus riches en viandes par rapport aux graisses", explique le Dr de Reynal.

    * On distingue 2 sortes de cholestérol : le LDL ou mauvais cholestérol qui en excès peut s'accumuler contre les parois des artères, provoquant une athérosclérose, l'une des premières causes de l'infarctus ; et le HDL ou bon cholestérol qui récupèrent l'excès de cholestérol dans les organes et le rapporte au foie où il est éliminé.  

     

     

     3 : L'huile de tournesol

    Pourquoi : On distingue les "bonnes" des "mauvaise" graisses* d'après les acides gras qu'elles contiennent. Les graisses riches en acides gras saturés augmentent le mauvais cholestérol, contrairement à celles riches en acides gras insaturés.
    A limiter : les huiles de tournesol, arachide, maïs, palme, coco, coprah, riches en acides gras saturés.

    Que préférez : les huiles végétales comme l'huile d'olive pour la cuisson, de noix, de soja, de noisettes ou de colza pour l'assaisonnement.
    La consommation recommandée : 1 à 2 c. à soupe/jour, et au moins 1 c à soupe par jour d’huile de colza, pour les oméga 3 qu’elle apporte

    * On distingue 2 sortes de cholestérol : le LDL ou mauvais cholestérol qui en excès peut s'accumuler contre les parois des artères, provoquant une athérosclérose, l'une des premières causes de l'infarctus ; et le HDL ou bon cholestérol qui récupèrent l'excès de cholestérol dans les organes et le rapporte au foie où il est éliminé.

     

     

    4 : Les quiches

    Quiches, chips, gâteaux apéritifs, pizzas... Oubliez-les pour vous protéger de l'infarctus ! 
    Pourquoi : lorsqu'une artère coronaire (qui vascularise le myocarde) est obstruée, le sang oxygéné n'arrive plus et les cellules du coeur en souffrance commencent à mourir. L'excès de sel et de graisses saturées que l'on trouve dans les snacks peut contribuer à une hypertension*, facteur de risque de l'infarctus. Cela peut également faire augmenter les dépôts graisseux dans les vaisseaux sanguins, qui peuvent finir par boucher les artères.  
    La consommation recommandée : 1 portion par semaine
    Que préférez : des légumes coupés en morceaux au moment de l'apéritif, des fruits secs non salés...

    * l'hypertension artérielle fragilise le système artériel, entraîne et/ou aggrave l'athérosclérose.

     

     

    5 : La viande rouge

    Selon une étude menée par des chercheurs de la Harvard Medical School en 2012* aux Etats-Unis, les personnes qui mangent de la viande rougequotidiennement (bœuf, porc) sont plus exposées aux infarctus du myocarde.
    Pourquoi : "Ces viandes sont accompagnées de graisses saturées qui sont en cause dans l’hypercholestérolémie et la triglycéridémie élevée**, facteurs de risque de l'infarctus" explique le Dr Béatrice de Reynal, nutritionniste.
    La consommation recommandée : 1 à 2 fois par semaine.
    Que préférez : "Des viandes maigres ou les moins grasses (filet de boeuf, filet mignon non bardé, volailles non grasses..). Limitez-en la consommation à une seule fois par jour."

    * Les scientifiques ont analysé les données de 120 000 personnes, hommes et femmes sur une période courant de 1980 à 2008.
    ** Il s'agit du taux de graisses dans le sang.

     

     

    6 : Les soupes en briques

    Soupes en briques, plats préparés, pâtisserie industrielles...  Tout ceci est mauvais pour votre coeur !
    Pourquoi : Ces préparations que l'on trouve dans les supermarchés sont bien souvent trop riches en graisses et en sel. L'excès de sel pouvant favoriser l'hypertension*, et l'excès de graisses, l'athérosclérose, les principaux facteurs de risque pour les infarctus.
    La consommation recommandée : 1 à 2 fois/semaine.
    Que préférez : préparez vous-même vos plats le plus possible. "Privilégiez une cuisson à la vapeur, ou poêlée sans matière grasse, plutôt qu'au beurre ou en friture, et pensez à varier", explique le Dr de Reynal.
    Sachez-le : le sel et les graisses sont des exhausteurs de goût économiques pour le fabricant qui permettent d'augmenter le poids des produits et leur prix au kilo.

    * l'hypertension artérielle fragilise le système artériel, entraîne et/ou aggrave l'athérosclérose.

     

     

    7 : L'alcool

    Pourquoi : "L’alcool provoque une hypoglycémieréactionnelle qui induit une consommation excessive de calories, induisant un surpoids et des risques de maladies cardiovasculaires, une vasodilatation (augmentation du volume des vaisseaux sanguins), et une perte en eau préjudiciable pour l'organisme", explique le Dr de Reynal.
    La consommation recommandée : 2 à 3 verres/jour pour un homme, 1 à 2 verres pour une femme.
    Que préférez : le vin rouge élevé en fût de chêne qui a des vertus antioxydantes et qui bu modérément protège le cœur et les artères. C'est le fameux paradoxe français !
    Pensez-y : évitez de boire trop de café, de thé, de coca, de "Red Bull"... afin d’empêcher votre cœur de battre trop vite ou de façon irrégulière.

     

    Publié par Florence Massin, journaliste santé et validé par Dr Béatrice de Reynal, nutritionniste

     

     

    Sources

    Remerciements au Dr Béatrice de Reynal, nutritionniste, directrice de l’agence Nutrimarketing et auteur du blog http://miammiam.mabulle.com/

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    Environnement : 9 conseils pour manger responsable

     

     

    Nous faisons face aujourd’hui à un taux de gaspillage alimentaire qui ne cesse d’augmenter. Avec 38 kilos de déchets par personne et par an, il devient indispensable de revoir son mode d’alimentation. Nos achats ont un impact direct sur le mode de production des denrées alimentaires et sur la préservation de la biodiversité. Alors pourquoi ne pas décider de consommer autrement ? Voici donc neuf conseils pour manger responsable.

     

    Privilégier les produits issus de l’agriculture biologique

    Privilégier les produits issus de l’agriculture biologique

    L’agriculture biologique vise à établir un système de gestion durable de l’agriculture, à travers l’amélioration de la qualité du sol, de l’eau, des végétaux et des animaux. Il n’est donc pas permis d’avoir recours aux OGM (organisme génétiquement modifié) et aux pesticides dans le cadre d’une production biologique. Des conditions d’élevage sont aussi mises en place chez les agriculteurs et les pêcheurs afin d’améliorer le bien-être des animaux, qu’il s’agisse de poissons ou de viande. Décider de manger bio, c’est choisir des aliments qui sontcultivés sans engrais chimiques, sans pesticides, sans produits industriels de synthèse et sans OGM. Ils sont identifiables grâce à des logos spécifiquesdélivrés par les pouvoirs publics. On retrouve ces denrées dans des enseignes spécialisées, des grandes surfaces, directement chez les fournisseurs ou sur les marchés. Cependant, tous les produits ne peuvent pas êtres biologiques. Ainsi, seuls les produits agricoles non transformés (céréales, légumes, fruits, lait, œufs, animaux), les produits agricoles transformés destinés à l’alimentation humaine (pain, formage, plats cuisinés), les aliments destinés aux animaux et les semences et matériels de reproduction végétative peuvent êtres certifiés bio car leur mode de production ou de transformation a été contrôlé.

     

    Acheter des produits en vrac ou à la coupe pour plus d’économies

    Acheter des produits en vrac ou à la coupe pour plus d’économies

    Choisir d’acheter ses fruits et légumes en vrac, ou sa viande et son fromage à la coupe permet de réduire les emballages alimentaires (jusqu’à 20 kilos par an et par personne1), qui augmentent la production de déchets. De plus, on peut choisir la juste quantité du produit et éviter le gaspillage alimentaire. Ce mode d’achat est également avantageux pour notre porte-monnaie. En effet, lorsque l’on achète un produit emballé, on paye son emballage et des taxes sur les déchets. Il est donc plus intéressant de se rendre sur les marchés, aux rayons fruits et légumes en vracs des supermarchés, chez les charcutiers ou les poissonniers, où les produits seront de meilleure qualité. Il est également conseillé d’acheter ce dont on a besoin au fur et à mesure, afin d’éviter le gaspillage principalement lié aux dates de péremption dépassées. Le taux de déchets alimentaires de produits encore emballés s’élève à 7 kilos par an et par personne2. Il est important de prendre conscience que cela représente un prélèvement inutile de ressources naturelles, comme l’eau et les terres cultivables, mais que cela contribue aussi à des émissions de CO2 qui pourraient êtres évitables.

     

    Consommer des produits locaux et de saison

    Consommer des produits locaux et de saison

    Acheter près de chez soi permet de réduire les coûts énergétiques et la pollution engendrée par le transport, mais également d’encourager l’économie locale. On privilégiera donc l’achat de produits locaux lorsque c’est possible. On peut ainsi se rendre directement à la ferme, passer par des AMAP1(association pour le maintien d’une agriculture paysanne) ou d’autres organismes spécialisés, qui créent un lien direct entre les producteurs et les consommateurs. De plus, cela permet de se rassurer, en sachant d’où viennent les produits que l’on consomme, et la façon dont ils ont été récoltés. Préférer des fruits et légumes de saison garantit une meilleure qualité des produits. Il est donc conseillé de se renseigner sur un calendrier des fruits et légumes de saison2 afin de bien choisir ses denrées.

    Quels sont les fruits et légumes du mois d’avril ? Nous vous proposons une sélection de quelques produits de saison.

    Fruits

    Légumes

    Avocat

    Asperge blanche

    Banane

    Céleri

    Citron

    Radis rouge

    Pamplemousse

    Basilic

    Rhubarbe

    Pomme de terre

    Pomme

    Laitue

    Mangue

    Cresson

     

    Préférer le « fait maison » et limiter sa quantité de déchets

    Préférer le « fait maison » et limiter sa quantité de déchets

    Manger responsable, c’est aussi réduire sa quantité de déchets. Pour cela, il suffit d’adopter des gestes simples et économiques1. Par exemple, on peut prendre l’habitude d’avoir un sac réutilisable lorsque l’on fait des courses, cela évite de prendre des sacs en plastique à chaque fois. On privilégie également les emballages éco-rechargeables, qui sont plus économiques et moins encombrants. Par exemple, lorsque l’on achète du savon, du café, du sucre, des marques les proposent en plus grande quantité et dans des emballages moins esthétiques. L’objectif étant de reverser le contenu de ces produits dans un bocal ou un récipient prévu à leur effet. Certaines enseignes proposent également de venir avec sa propre bouteille et de la remplir directement de jus frais dans le magasin. A l’inverse, on évite l’achat de plats préparés, qui, d’un point de vue environnemental, ne sont pas économiques, et surtout mauvais pour notre santé. Il est nécessaire de retrouver le goût de préparer ses repas soi-même, car cela permet de réduire considérablement ses déchets. On peut cultiver son propre potager si l’on en a la possibilité. Cela permet de faire des économies, de manger des aliments avec plus de goût et d’être sûr qu’ils n’ont pas été exposés à des substances chimiques.

     

    Savoir quels sont les aliments les plus contaminés aux pesticides

    Savoir quels sont les aliments les plus contaminés aux pesticides

    La toxicité des pesticides sur notre santé est aujourd’hui indéniable. Malgré leur non utilisation dans les cultures biologiques, la contamination peut être possible par le biais de l’eau ou du vent. D’après une étude de l’agence américaine « Animal and Plant Health Inspection Service »1 voici la liste des denrées les plus exposées aux produits chimiques quand elles sont cultivées de manière industrielle :

    • La pomme : elle contiendrait plus de quarante pesticides différents. Elle est sujette aux champignons et aux insectes, c’est pourquoi les substances chimiques sont directement appliquées sur la peau. Il est donc recommandé de l’enlever, même si l’on perd la partie la plus nutritive du fruit.
    • Le céleri : les tests ont recensé plus de soixante pesticides dans ce légume.
    • La fraise : elle contiendrait également plus de soixante pesticides, dont un peu moins dans les fruits congelés.
    • La pêche : les pêches fraiches comptabilisent plus de soixante pesticides différents, tandis que les pêches en conserve en contiennent beaucoup moins.
    • Les épinards : ils sont exposés à environ cinquante pesticides, alors que ceux en boite en ont moins.
    • Les abricots : on a retrouvé aux alentours de trente trois pesticides dans ces fruits.
    • Le raisin : il contient environ trente pesticides. Le vin est par conséquent lui aussi riche en substances chimiques.
    • Le poivron : quelle que soit sa couleur, il a révélé une quantité de presque cinquante pesticides différents.
    • La pomme de terre : elle comptabilise trente cinq pesticides. La pomme de terre douce s’avère moins touchée par ces substances chimiques.
    • La myrtille : on a retrouvé sur les myrtilles environ cinquante pesticides.
    • La laitue : elle est touchée par plus de cinquante pesticides.
    • Le chou : même s’il est reconnu comme une des plantes les plus résistantes aux parasites et aux maladies, il a révélé d’importantes quantités de pesticides.
    • La viande de bœuf, le poulet, le porc : les animaux sont contaminés par le biais de leur alimentation (principalement l’herbe et les graines).

     

    Limiter sa consommation de viande

    Limiter sa consommation de viande

    On conseille de favoriser les aliments d’origine végétale car la production de denrées d’origines animale nécessite plus d’eau et induit à la pollution (transport, usines de transformation…). Il faut également plus de surface de terre pour produire une quantité égale de protéine animales par rapport aux protéines végétales. Il convient donc de choisir avec soin la viande que l’on achète, et de prendre en compte les labels qui améliorent le bien-être des animaux : par exemple « porc biologique », « porcs fermiers élevés en liberté Label Rouge », ou encore « porcs fermiers élevés en plein air Label Rouge »1. Il est alors important de bien veiller à ce que les mentions « élevé en liberté » ou « élevé en plein air » apparaissent sur les produits Label Rouge. En ce qui concerne les bovins, ils sont généralement élevés en plein air et ont un accès au pâturage. Mais il est conseillé de vérifier la présence des mentions « biologique » et « nourris à l’herbe » sur les étiquettes1. De plus, les produits certifiés bio seraient meilleurs pour notre santé, car ils contiendraient moins de matières grasses et plus de nutriments que les viandes issues des animaux élevés de façon intensive. Enfin, l’élevage des animaux est responsable de 18 % des gaz à effet de serre et requière d’énormes quantités de céréales et d’eau, des ressources rares et précieuses2.

     

    Se renseigner sur la provenance du poisson

    Se renseigner sur la provenance du poisson

    Il en est de même que pour la viande : les poissons d’élevage sont eux aussi soumis au label éco-responsable et aux Label Rouge (Aqualabel)1. Ces derniers vantent des méthodes d’élevage plus respectueuses. En ce qui concerne les poissons sauvages, leur certification éco-responsable est indiquée par le label MSC2 (marine Stewardship Council). Ce label a pour objectif de promouvoir les pratiques de la pêche durable. En élevage intensif, les poissons seraient chargés en métaux lourds et souvent intoxiqués aux pesticides. Ceci serait dû aux surcharges dans les bassins, qui les exposeraient davantage aux blessures et aux maladies, avec un taux de mortalité plus élevé3,4. Il est également très important de veiller à ne pas consommer d’espèces protégées ! Pour cela, l’organisation Greenpeace a mis en ligne une brochure indiquant « quel poisson peut-on encore servir ? »5. Ainsi, on apprend qu’il est recommandé d’éviter les espèces telles que l’anguille, le cabillaud, le colin, les crevettes, la dorade, le saumon, la sole, le thon et la raie.

     

    S’informer sur ce que l’on mange

    S’informer sur ce que l’on mange

    Il est important d’apprendre à lire les étiquettes nutritionnelles des produits que l’on a l’habitude de consommer. Cela permet de choisir ce que l’on décide de manger en fonction de la composition du produit, et d’être acteur de son alimentation. Ainsi, l’étiquetage nutritionnel est révélateur : il indique la valeur énergétique, les quantités en graisse, d’acides gras saturés, de glucides, de sucres, de protéines et de sel. On y retrouve également la liste des ingrédients, rangés par ordre décroissant d’importance. La longueur de cette liste est importante, car plus elle est courte, mieux c’est. En effet, une liste d’ingrédients à rallonge est souvent le signe d’une grosse quantité d’additifs et de conservateurs. Une fois que l’on comprend mieux les étiquetages, il est possible de comparer les prix afin d’acheter plus intelligemment. De plus, avant d’aller faire ses courses, faire le tri dans son placard et son congélateur aide à ne pas acheter inutilement. Enfin, lorsque l’on est chez le charcutier, le fromager ou sur le marché, il ne faut pas hésiter à demander plus de renseignements sur les aliments (durée de conservation, provenance).

     

    S’intéresser aux labels qui garantissent une alimentation saine

    S’intéresser aux labels qui garantissent une alimentation saine

    Il existe de nombreux labels relatifs à des spécificités différentes concernant les produits. Par exemple, celui du Commerce équitable assure une rémunération plus juste pour les petits producteurs de pays en développement. On leur garantit le juste prix pour leur travail. De plus, le nombre d’intermédiaires est considérablement réduit, ce qui revient également moins cher dans le panier de courses. On retrouve aussi le label AB (agriculture biologique) : c’est le plus connu des français. Ce type de label signifie que le produit est 100 % bio, ou s’il s’agit de produit transformé, qu’il contient au moins 95 % d’ingrédients issus de l’agriculture biologique. Au Canada, le label se présente sous l’appellation de « Biologique Canada Organic ». En ce qui concerne les produits issus de l’agriculture biologiques et locaux, ils retrouvent la mention « Bio solidaire ». Ce logo garantit une proximité entre les producteurs et les transformateurs. Au Canada, il s’agit de « Bio Québec ». D’autres labels vont plus loin, car ils dépassent les normes légales du cahier des charges européen. En effet, les produits AB peuvent parfois contenir des OGM (en Europe le Conseil Européen admet qu’un produit dit biologique peut contenir jusqu’à 0,9 % d’OGM1), tandis que ceux issus de label comme Nature&Progrès (association) ou Démeter (marque certifiée) en interdisent totalement la présence.

     

    Marion Amsellem
     
     
     
     
     

    Sources

    Acheter des produits en vrac

    1. Ministère de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement. Rapport intermédiaire de l’étude relative au gaspillage alimentaire. Juillet 2011.
    2. Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie. Je passe à l’action. Réduisons nos déchets.
    3. Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie. La lutte contre le gaspillage alimentaire. Prévention de la production des déchets. Décembre 2013.

    Consommer des produits locaux et de saison

    1. Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne. Annuaire national des AMAP.
    2. Institut national de prévention et d’éducation pour la santé publique. Calendrier des produits de saison. Manger Bouger.

    Préférer le « fait maison »

    1. Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie. Je passe à l’action. Réduisons nos déchets.

    les aliments les plus contaminés aux pesticides

    1. Animal and Plant health Inspection Service.States Department of Agriculture.

    Limiter sa consommation de viande

    1. Compassion in World Farming France. Quelles viandes choisir ?
    2. Compassion in World Farming France. Guide du consommateur responsable. 2013

    Se renseigner sur la provenance du poisson

    1. Compassion in World Farming France. Quels poissons choisir ?
    2. Marine Sterwardship Council. Marine Sterwardship Council – Label de la pêche durable.
    3. Compassion in World Farming France.Guide du consommateur responsable. 2013
    4. Protection mondiale des animaux de la ferme. L’élevage intensif des poissons, un marché en pleine expansion !
    5. Quel poisson peut-on encore servir ? Greenpeace.

    S’intéresser aux labels

    1. Info’GM. UE- Produits bio et alimentation sans OGM. Août 2007

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  • sante-nutrition.org

     

    Le gluten, 100% inflammatoire ?

    gluten

     

    Propos du Dr Philippe Fiévet1 aux 32èmes Rencontres des Médecines Alternatives et Complémentaires à l’Hôpital Tenon, Paris, le 11 octobre 2014, et restranscrits par  aïssa Blankoff, naturopathe-aromathérapeute, www.naturoparis.com

     

    On assiste aujourd’hui à une pandémie mondiale de maladies liées à l’alimentation, au premier rang duquel on retrouve le syndrome métabolique, l’inflammation et les cancers. La question du gluten n’est pas étrangère à cette dégradation de la santé de l’humain.

    Dans 1 cas sur 3345, le diagnostic de maladie clinique avec présence d’anticorps anti- gluten est posé. Dans 1 cas sur 266, on ne peut pas parler de maladie, mais néanmoins d’une intolérance ou d’une hypersensibilité au gluten. Par exemple, il y a 20 fois plus de maladie cœliaque chez les patients souffrant de diabète insulino-dépendant. Les maladies auto-immunes sont, en général, améliorées par l’arrêt de la consommation de gluten. Quand il y a allergie, il y a toujours une inflammation cellulaire. Malheureusement, il y a peu d’études sur ces sujets et pour cause : à chaque coin de rue, il y a des boulangeries, et dans chaque assiette, il y a du gluten.

     

    Voici des maladies qui sont directement liées à la consommation de gluten (liste non exhaustive) :

    • Les maladies auto-immunes : la maladie coeliaque, l’ostéopénie, les retards de puberté, l’arthrite, la dermatite herpétiforme…
    • Les allergies, l’asthme des boulangers (4 à 8%), les allergies alimentaires pouvant générer un choc  anaphylactique, les réactions allergiques cutanées (même la cosmétique contient du gluten)
    • La sensibilité au gluten non coeliaque : actuellement, on ne dispose pas encore de marqueur biologique de la sensibilité au gluten : par contre, la clinique est parlante : on retrouve des douleurs abdominales, des allergies cutanées, de la dépression, de l’anémie, de la fatigue (chez l’enfant), des douleurs articulaires. Il faut également savoir que si les anticorps spécifique de la paroi intestinale (IgA) sont déficitaires, les anticorps anti-gliadine ne sont pas retrouvés.
    • Parmi d’autres : les fausse couches à répétition, l’hypertension artérielle, le reflux gastro oesophagien, l’ostéoporose, les maladies inflammatoires.
    • Le syndrome du côlon irritable : 77% des gens qui arrêtent gluten n’ont plus de syndrome côlon irritable.

     

    Pourquoi le gluten est-il toxique ?

    C’est la protéine nommée gliadine qui pose le plus de problème : sa forme est indigérable car il est impossible de rompre la liaison peptidique de ses acides aminés. Le gluten stimule la production d’interleukines (IL 8 et IL 15) qui déclenche la production de zonuline qui crée de l’inflammation.  La zonuline, sécrétée de façon constitutionnelle, stimule la  défense du corps ; on la retrouve augmentée dans l’asthme, la SEP, les MICI, le diabète de type 1, son chromosome de fabrication le 16, peut assurer la transmission de sa production de génération en génération. Le diabète est constamment amélioré par l’arrêt du gluten, même en se limitant à cette mesure uniquement, il en va de même du diabète de type 2.

    Ces attaques immunitaires créent et entretiennent, à force, une hyperperméabilité intestinale, état qui laisse passer dans le sang des macromolécules en principe indésirables, et qui, par effraction, activent d’autres familles immunitaires comme les lymphocytes. La consommation de gluten entretient l’hyperperméabilité, l’inflammation et l’état de défense chronique de l’organisme. Ce mécanisme a lieu chez 100% des individus. Chez certains, les symptômes feront leur apparition, chez d’autres pas. L’arrêt du gluten améliore constamment la sévérité de toutes les pathologies. Le Dr Fabienne Rancé avait déjà mis en évidence le rôle de l’hyperperméabilité dans les allergies2.

    Il faut savoir qu’aujourd’hui le gluten est partout, non seulement dans nos assiettes, mais dans de nombreux produits. Il est de plus en plus modifié. Jadis, les blés avaient une hauteur de 1m 50.  Depuis, ils ont été manipulés génétiquement, et on observe que la part de gluten dans le blé a été multipliée par trois depuis 50 ans. On en retrouve même dans le vin ! Il sert de colle dans les aliments industriels et est de plus en plus utilisé dans des centaines de produits de toutes sortes car il est extrêmement économique.

     

    Raïssa Blankoff, naturopathe-aromathérapeute, www.naturoparis.com

     

     

    Sources:

    1. www.intestins-carrefour-de-mon-destin.fr

    2. http://www.lesallergies.fr/1/fabienne-rance-0 voir aussi sur le microbiote, les conférences du Professeur Sansonetti http://www.college-de-france.fr/site/philippe-sansonetti/#course

    Passeport santé

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    5 Bienfaits du thym sur votre santé

    thym

     

     

    Le thym est très apprécié pour ses saveurs uniques qu’il rajoute aux plats. Mais cette petite herbe verte a aussi d’énormes bienfaits sur la santé. Le thym est bon pour soigner la bronchite et a un fort pouvoir anxiolytique.

     

    Voici 5 bienfaits de cette plante incroyable :

     

    Il agit contre la perte de cheveux

    Le thym est soupçonné d’avoir des effets bénéfiques sur la repousse des cheveux après une pelade.

    Ajoutez 2 gouttes d’huile essentielle de thym à thymol directement dans votre shampooing et lavez-vous les cheveux avec.

    Sinon, dans un flacon vide, mélanger 6 goutes d’huile essentielle de lavande, 6 gouttes d’huile essentielle de thym et 100 ml d’huile végétale d’amande. Massez votre cuir chevelu avec ce mélange et laissez reposer 20 minutes avant de vous laver les cheveux.

     

    Il agit contre l’anxiété

    Le carvacrol, un des constituants du thym, a des effets relaxants, ce qui peut avoir un effet positif sur les gens souffrant d’anxiété.

    Infusez de 2 g de thym séché dans 150 ml d’eau bouillante pendant 10 minutes. Boire plusieurs tasses par jour, au besoin.

     

    Il soigne la bronchite

    Le thym est souvent utilisé dans le traitement des maladies respiratoires. Certaines études ont démontré qu’il a un effet très positif sur la fluidification des sécrétions bronchiques et le soulagement de la toux.

    Pour vous soulager ajoutez 2 cuillères à soupe de thym dans une casserole d’eau bouillante et placez votre tête par-dessus en vous couvrant d’une serviette. Respirez doucement pendant quelques minutes.

     

    Il agit contre la plaque dentaire

    Le thym contient du thymol qui a des effets très bénéfiques sur la santé de notre bouche, notamment les caries et les bactéries qui causent la gingivite.

    A la place de votre rince-bouche ordinaire, faites infuser 5 gr de thym dans 100 ml d’eau bouillante pendant 10 minutes. Filtrez le mélange et laissez refroidir. Rincez-vous la bouche avec cette concoction.

     

    Il soulage les inflammations cutanées

    Le thym a des propriétés antiseptiques, antimicrobiennes et antifongiques remarquables. Il agit aussi comme un anti-inflammatoire ce qui le rend un remède efficace pour toutes sortes de problèmes de peau. Avec la même concoction préparée plus haut, appliquez des compresses sur les régions concernées.

     

     

    SourcePotentiel magazine
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    Comment faire des infusions de plantes pour nettoyer votre corps

    infusions5

     

     

    Comment faire une infusion pour nettoyer votre corps?

    Les infusions que vous allez découvrir vous aiderons à nettoyer votre corps et à stimuler vos organes pour se débarrasser de diverses toxines, comme les polluants, la graisse qui s’accumule dans les tissus, les minéraux en excès et les métaux lourds.

    Le foie contribue à l’élimination des déchets toxiques et métaboliques, le côlon est une partie du système digestif qui élimine les toxines et les reins pompent régulièrement de l’urine pour éliminer les déchets métaboliques.

    Infusion pour nettoyer le côlon (1 litre)

    Cette infusion contient des plantes qui sont légèrement laxatives et amères afin de stimuler le système digestif.

    2 parts de feuilles fraîches de pissenlit
    2 parts de feuilles fraîches d’ortie
    2,5 cm de gingembre frais, haché
    1 part de racine de rumex (yellow dock), coupée en morceaux de 2 cm
    1 cuillère à soupe de racine de réglisse, émincée
    1 litre d’eau bouillante
    Du miel

    Hachez les plantes fraîches. Ajoutez la racine de rumex, la racine de réglisse et le gingembre. Versez l’eau bouillante, couvrez la casserole et laissez infuser pendant 15-20 minutes. La boisson a un gout amère, donc ajoutez du miel et buvez 3 à 5 tasses chaudes par jour de cette infusion pendant un maximum de trois jours.

    Infusion pour nettoyer les reins (1 litre)

    Cette infusion nettoie les reins, nourrit les voies urinaires et stimule la circulation de la lymphe ce qui aide à prévenir les infections. N’utilisez pas cette infusion si vous êtes enceinte ou allaitante.

    2 cuillères à soupe de feuilles séchées de pissenlit (ou 4 càs de feuilles fraîches de pissenlit )
    1 cuillère à soupe de persil séché (ou 2 càs de persil frais)
    1 cuillère à café de fleurs séchées de trèfle rouge
    Du miel

    Mélangez les plantes dans un bocal en verre de 1 litre. Remplissez le bocal d’eau bouillante. Laissez infuser pendant 10 minutes. L’infusion sera amère, donc ajoutez du miel. Buvez 2 à 3 tasses chaudes par jour.

    Infusion pour nettoyer les poumons (3 tasses)

    Cette tisane est efficace pour soulager la congestion des voies respiratoires, les rhumes et les bronchites. Elle apaise les bronches irritées et élimine l’excès de mucus dans les poumons.

    1 cuillère à soupe de fleurs de molène
    1 cuillère à soupe de menthe poivrée
    1 cuillère à soupe de racine de réglisse (facultatif)

    Dans trois tasses d’eau laissez mijoter la racine de réglisse pendant environ 10 minutes. Ajoutez la menthe poivrée et la molène et laissez mijoter 10 minutes de plus.

    Infusion pour nettoyer le foie (3 tasses)

    Les graines de chardon-Marie sont considérées comme un nettoyant puissant du foie. Elles contiennent des composés phytochimiques qui stimulent la sécrétion de bile provenant du foie et de la vésicule biliaire.

    1 càs de graines de chardon-Marie

    Écrasez les graines de chardon-Marie en une poudre fine avec un mortier et un pilon. Versez de l’eau bouillante sur les graines broyées et laissez infuser pendant 20 minutes. Filtrez le mélange avec une passoire et jetez les graines. Buvez une tasse trois fois par jour: deux fois avant le repas et une fois avant d’aller vous coucher.

    Infusion pour nettoyer la lymphe (3 tasses)

    Le système lymphatique est un réseau de drainage des fluides, d’organes et de vaisseaux qui sont responsables de l’élimination des déchets cellulaires et des agents étrangers tels que bactéries, virus, toxines, etc. La lymphe est le liquide qui circule à travers le système lymphatique. La lymphe se déplace à travers les ganglions lymphatiques où ils sont détruits.

    2 parts de calendula
    2 parts de gaillet gratteron
    1 part de molène

    Mélangez les plantes dans un bocal en verre. Remplissez le bocal d’eau bouillante. Laissez infuser pendant 10 minutes. Buvez 2 à 3 tasses par jour pendant 2 à 3 semaines.

     

     

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  • sante-nutrition.org

     

    CONCOMBRES, 10 AVANTAGES POUR LA SANTÉ

     

    Cucumber on White

     

     

    Les concombres sont les quatrièmes légumes les plus cultivés dans le monde et connus pour être l’un des meilleurs aliments pour la santé globale de votre corps, souvent désignés comme un super-aliment. Les concombres sont souvent pulvérisés avec des pesticides, il est important d’acheter bio ou encore mieux, les cultiver vous-même.

    Voici 10 avantages pour la santé des concombres:

     

    Voici 10 bonnes raisons du concombre :

    1. Une source de vitamines et d’oligoéléments
    Les concombres sont riches en vitamine A, B1, B6, B9, C, D, E et K, bêta-carotène, acide folique, calcium, magnésium, phosphore, sodium et potassium.

     

    2. Réhydrater l’organisme
    Les concombres sont composés de 95 % d’eau, ils permettent de réhydrater l’organisme, de se désaltérer et de se rafraîchir.

     

    3. Un secret de beauté
    La peau du concombre peut être utilisée pour apaiser les irritations de la peau, les démangeaisons, les piqûres d’insectes et les coups de soleil. Sur les paupières, ses propriétés anti-inflammatoires et hydratantes aident à réduire les cernes. Le silicium et le soufre contenu dans les concombres contribuent à stimuler la croissance des cheveux, mais sont également intéressants pour les peaux à problèmes (acné, eczéma, psoriasis…). Sa richesse en silice et en antioxydants en font un allié des peaux matures et un excellent antiride naturel ! De plus, le concombre est apaisant, rafraîchissant, reminéralisant, astringent, cicatrisant et favorise la régénération cellulaire.
    Il peut être appliqué en masque ou lotion directement sur la peau et les cheveux.

     

    4. Prévention du cancer
    Le concombre contient de la cucurbitacine C, une substance chimique qui a des propriétés anti-inflammatoires, inhibe la croissance tumorale et réduit les risques de cancer, notamment le cancer du sein, de l’ovaire, de l’utérus et de la prostate.

     

    5. Drainer son organisme
    Le concombre est un très bon diurétique. Il augmente le flux d’urine et permet de détoxifier l’organisme. Il est conseillé d’en consommer en cas d’engorgement du foie, de calculs rénaux, d’infection urinaire et de troubles du pancréas.

     

    6. Favoriser la digestion
    Contenant une grande quantité d’eau, il favorise l’élimination des toxines et aide à la digestion.
    La consommation quotidienne de concombres est un remède contre la constipation chronique .

     

    7. Éviter la gueule de bois 
    Manger quelques tranches de concombre après un repas lourd et bien arroser permet de réduire l’intensité des troubles digestifs et des maux de tête.

     

    8. Un atout minceur
    En raison de sa faible teneur en calories (12 calories pour 100g), le concombre est un aliment idéal pour perdre du poids. Composé à 95% d’eau, il entraîne rapidement un sentiment de satiété, et il a un effet diurétique et draineur.

    Autre avantage dans un régime minceur, le concombre est long à mastiquer et la mastication permet la libération d’histamine qui entraîne la satiété et permet de favoriser le déstockage des graisses.

     

    9. Cholestérol et diabète 
    Le concombre contient une hormone favorisant la production de l’insuline ainsi que des stérols qui réduisent le taux de cholestérol. Il contient beaucoup de potassium, de magnésium qui régulent la pression artérielle.

     

    10. Concombre et maladies articulaires
    Le concombre est une excellente source de silice, qui renforce les tissus conjonctifs des articulations. De plus, son action drainante permet d’éliminer l’acide urique responsable de l’arthrite, la goutte, l’arthrose et les rhumatismes.

     

     

    Sources:
    http://www.gardeningchannel.com/the-health-benefits-of-cucumbers/
    http://www.healthonlinezine.info/15-health-benefits-of-cucumber.html
    http://www.eatingwell.com
    http://www.naturalnews.com/035719_cucumbers_anti-aging_vegetables.html

     
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  • sante-nutrition.org

    Le brocoli aide à dégager les poumons endommagés

    brocoli

     

     

    Voici une autre raison de manger vos légumes verts. En plus d’aider à prévenir le cancer, le brocoli peut aussi aider le système immunitaire à nettoyer les bactéries nocives dans les poumons. Un composé qui se trouve dans le légume est actuellement testé comme traitement pour les personnes souffrant de maladies pulmonaires.

     

    Pour s’assurer que les poumons fonctionnent correctement, des globules blancs appelés macrophages éliminent les débris et les bactéries qui peuvent s’accumuler dans les poumons et causer une infection.

    Ce système de nettoyage est défectueux chez les fumeurs et les personnes atteintes de maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) – une combinaison de l’emphysème et la bronchite – qui souffrent d’infections fréquentes.

    Maintenant, les chercheurs ont découvert qu’une voie chimique dans les poumons appelée NRF2, impliquée dans l’activation des macrophages, est anéantie par le tabagisme. Ils ont également constaté que le sulforaphane, un phytonutriment fabriqué par le brocoli, le chou-fleur et les autres légumes crucifères, quand il est détérioré, comme lors de la mastication, peut restaurer cette voie.

    Shyam Biswal de l’Université Johns Hopkins aux Etats Unis, et ses collègues, ont exposé des macrophages défectueux des poumons de 43 personnes atteintes de MPOC à deux souches bactériennes qui sont des causes fréquentes d’infections associées à la MPOC.

    En présence de sulforaphane, la voie NRF2 a été renforcée et l’aptitude des macrophages à reconnaître et à engloutir les bactéries a été restauré.

    Les chercheurs ont ensuite exposé des souris à la fumée pendant une semaine ou six mois. Dans les deux groupes, la colonisation bactérienne dans les poumons a augmenté, analogue à celle observée dans la MPOC. Après avoir traité les souris avec du sulforaphane, ils ont constaté que l’élimination bactérienne a augmenté. Plutôt que d’activer plus de macrophages, le sulforaphane semblait améliorer la fonctionnalité des cellules déjà présentes.

    Le sulforaphane est présent dans le brocoli sous la forme de son précurseur et est converti en composé actif par des enzymes présentes dans la salive et les bactéries intestinales, dit Christopher Harvey, co-auteur de la recherche.

    Les niveaux d’enzymes varient entre les gens, et on peut donc s’attendre à ce que la quantité de sulforaphane obtenue par l’alimentation puisse aussi varier entre les gens. Des études supplémentaires sont nécessaires pour établir les effets bénéfiques d’un régime riche en sulforaphane sur les défenses immunitaires, dit-il.

    L’équipe de Biswal a commencé la phase 2 des essais cliniques pour tester le composé chez les personnes atteintes de MPOC pour voir si cela améliore leur fonction pulmonaire, mais dit qu’il faudra trois ans avant d’avoir des résultats. « Il y a beaucoup de maladies dans lesquelles la fonction pulmonaire est défectueuse en raison d’une augmentation de la fonction bactérienne dans les poumons, » dit-il, « donc cette étude peut être extrapolée à ces maladies aussi. »

    Référence de la publication: Science Translational Medicine, DOI: 10.1126/scitranslmed.3002042

     

     

    Source: PreventDisease.com

     

     
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    LE SUCRE, CET ENNEMI...

     

     

    Faisons le point sur le sucre

    Tout le monde aujourd’hui s’accorde sur le fait que le sucre est à l’origine de très nombreux problèmes de santé de civilisation. La consommation de sucres raffinés est  excessive dans les sociétés occidentales.

    Il ne s’agit pas que du sucre à proprement parler, mais de toutes les céréales, et les produits dérivés à base de farine de blé surtout, mais aussi les féculents et les pâtes alimentaires que l’on appelle les sucres lents.

    Certes ceux-ci fournissent au corps de l’énergie, mais consommés en excès ils font plus de mal que de bien. Rajoutons que la consommation de céréales cultivées est relativement récente dans l’histoire de notre civilisation. De nombreux spécialistes font le lien entre ce changement majeur dans l’alimentation humaine et les problèmes de maladies chroniques.

     

    Notons qu’à la base d’un terrain affaibli et fragilisé par la maladie on trouve souvent une candidose, infection bactérienne qui se nourrit de sucres et d’antibiotiques et d’autres produits raffinés. Et derrière tout cancer, il y aurait une candidose. Enfin, les cellules cancéreuses, elles aussi, se nourrissent de sucre et se multiplient facilement en présences de sucres.

    Faut-il s’en passer ?

    Une personne malade ou en convalescence serait avisée de se passer de sucre, y compris de fruits sucrés. Mais toute personne en bonne santé peut en consommer, modérément. Voici une échelle des produits sucrants utilisés en alimentation vivante, de la solution la plus pure et naturelle à la plus raffinée.

    • Les fruits secs, entiers ou en purée (dattes, abricots, raisins, etc.)
    • La stevia non raffinée (feuille verte)
    • Le xylitol (écorce de bouleau)
    • Le miel (attention, indice glycémique élevé)
    • Le sucre de noix de coco

    Les autres options qui ne sont pas crues :

    • Le sirop d’agave (indice glycémique bas mais très raffiné)
    • Le sirop d’érable (aussi souvent raffiné ou chauffé)
    • La mélasse
    • Le sucre de canne, brun

     

    Bien entendu, le sucre blanc raffiné est à éviter, car il a un effet immédiat et puissant sur le taux de sucre sanguin et il n’apporte rien de bon. Ainsi il est recommandé de choisir l’option en fonction de sa situation (indice glycémique bas en cas de problèmes de sucre dans le sang), ou de la recette (selon le goût et la texture des produits sucrants). Tous les édulcorants artificiels sont à proscrire absolument, ce sont de véritables poisons pour l’organisme (par ex. aspartame).

    En faisant les bons choix, on peut profiter de la douceur de nos mets sans mettre en péril notre équilibre et notre santé. Je parle d’équilibre, car ce sont toutes nos hormones qui sont malmenées lorsque l’on consomme des sucres raffinés en trop grande quantité. Mais ça, c’est pour un autre article !

     

     

    source: simplementcru

     

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  • sante-nutrition.org

    4 ALIMENTS QUI CONTIENNENT PLUS DE CALCIUM QUE LE LAIT

     

    Quand la plupart des gens pensent à la manière d’obtenir la portion de calcium nécessaire pour la journée, ils ont tendance à penser à un grand verre de lait qui fera l’affaire.

    Ce qui nous amène à la question suivante: combien de calcium notre corps a besoin?

    Il est recommandé pour les personnes âgées entre 19 et 50 ans de consommer 1.000 mg de calcium quotidiennement. L’apport recommandé pour les enfants de 9 à 18 mois en mg est de 1.300. Les plus âgés (plus de 50 ans) devraient en consommer1.200 mg de calcium, tandis que les femmes ménopausées qui ne prennent pas d’hormone de remplacement devraient en consommer 1.500 mg.

    En ce qui concerne l’obtention de votre apport quotidien en calcium à partir du lait, sachez que ce dernier ne constitue pas vraiment le meilleur choix. Une tasse de lait contient environ 300 mg de calcium, sachant que le corps humain absorbe assez peu le calcium du lait de vache.

    Par contre, voici 4 aliments sains qui contiennent une bonne dose de calcium:

     

    Chou kale

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    Il est chargé de nutriments bénéfiques. Un smoothie vert avec le chou cru contient 90 mg de calcium par tasse. Si vous en préparez un, vous obtiendrez 315 mg de calcium, soit plus de la quantité de calcium que vous obtiendrez d’un verre de lait de vache. Il contient aussi du manganèse et du phosphore qui sont deux autres minéraux importants pour la santé des os.

     

    Épinards

    L’épinard fournit un excellent apport en calcium, contenant 244,8 mg par tasse. Ils contiennent 84% de votre apport quotidien en valeur de manganèse.

     

    Chou collard

    Pour construire ou maintenir des os solides, prenez deux tasses de chou collard et vous bénéficierez de 452,2 mg de calcium, près de 90% de votre apport quotidien.

    Vous buvez du lait, mais qui dit que vous ne pouvez pas boire vos légumes? Le chou collard, les épinards, le chou kale sont de bonnes alternatives, vous pouvez les consommer sous forme de smoothie quotidiennement. Le chou collard contient également de la vitamine B6 et de l’acide folique qui réduisent les niveaux d’homocystéine, qui endommage la structure osseuse.

    Vous pouvez préparer votre chou collard à la vapeur et légèrement mariné avec du jus de citron, de l’huile d’olive extra vierge, du miel et du sel marin.

     

    Graines de sésame

    Elles sont une autre grande source de calcium. Cette petite graine est chargée d’aliments sains pour votre santé. Avec un quart de tasse, vous obtenez 351 mg de calcium, et elle l’emporte sur un verre de lait. Vous pouvez facilement saupoudrer un quart de tasse de graines de sésames mixées sur votre salade ou intégrer du tahini (purée de sésame) dans votre sauce salade.

    Cet aliment sain est une excellente alternative de calcium.

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    5 nutriments anti-inflammatoires

    que vous ne pouvez pas vous permettre de rater

    nutriments-anti-inflammatoires

     

     

    Que savez-vous à propos de l’inflammation?

    Elle est souvent considérée comme la cause d’un certain nombre de maladies, comme le rhume des foins, l’arthrite, et plus. Malheureusement, elle a aussi tendance à s’aggraver en raison d’un certain nombre d’habitudes que nous entretenons dans notre vie de tous les jours – et c’est du en grande partie aux aliments que nous mangeons.

    Eh bien, heureusement, il ya une solution!

    Ou en fait, il y en a un assez grand nombre. Un avantage supplémentaire est que bon nombre d’entre elles sont des nutriments que vous pouvez intégrer dans votre quotidien grâce à une alimentation saine.

    Avez-vous entendu parler de ces 5 là:

    1. La bromélaïne

    Cette petite enzyme se trouve dans l’ananas, et c’est en fait la raison pour laquelle le fruit emporte sa couleur jaune vif partout où il va.

    Mais ce n’est pas tout ce qu’elle fait!

    Saviez-vous que la bromélaïne est également bénéfique quand il s’agit de minimiser l’inflammation après une séance d’entraînement? Elle contribue également à réparer les muscles après que vous les ayez placé sous une forte série de stress. Ca semble être un fruit parfait pour après l’entraînement, non? La recherche s’est également penchée sur les effets de soulagement de l’inflammation de l’ananas et les résultats indiquent que c’est une excellente option pour les personnes souffrant d’arthrite et de douleurs articulaires.

    2. Les graisses monoinsaturées

    Oubliez le vieux mythe que la graisse est mauvaise pour vous. Celui-là a été mis à mal il ya des années. De nos jours, de plus en plus d’avantages sont trouvés pour certains types de graisses qui sont réellement bonnes pour votre santé.

    Les graisses monoinsaturées aident à protéger votre système cardio-vasculaire en contrôlant votre taux de cholestérol – en même temps, elles aident à réduire l’inflammation et contribuent même à équilibrer vos niveaux de sucre dans le sang.

    3. Le gingérol

    Devinez où vous pouvez trouver ce précieux nutriment? C’est exact, le gingembre! Dans un certain nombre de différentes études, le gingembre s’est montré bénéfique lorsqu’il s’agit de soulager les douleurs musculaires et articulaires. Il aide à calmer l’inflammation et les tuméfactions pour rendre votre vie un peu plus facile.

    Note: Certains organismes de recherche indiquent même que les antioxydants dans le gingembre peuvent aider à lutter contre diverses formes de cancer.

    4. La curcumine

    Si vous avez lu quoi que ce soit sur le curcuma, vous avez probablement entendu parler de la curcumine. Cet ingrédient actif est connu pour avoir un certain nombre de propriétés qui en font un bon antioxydant et anti-inflammatoire. Elle contient essentiellement un certain nombre de propriétés qui agissent au niveau des voies biochimiques associées à l’inflammation.

    5. Les caroténoïdes

    Malgré le nom (qui est curieusement semblable à la carotte), ces éléments nutritifs peuvent se retrouver dans toutes sortes de fruits et légumes colorés. Vous pouvez les trouver dans les couleurs des feux tricolores (rouge, jaune et vert) et bien sûr, l’orange.

    Il ya eu une quantité assez importante de recherche faite sur les effets bénéfiques des caroténoïdes sur notre santé globale. Bien que rien ne soit encore complètement figé, les résultats suggèrent que ces nutriments pourraient prévenir l’inflammation grâce à leurs antioxydants puissants et à leur capacité de minimiser les réactions inflammatoires.

     

    Alors qu’est-ce que vous mangez pour prévenir l’inflammation? Un certain nombre de ces nutriments se trouvent dans toutes sortes de fruits et légumes disponibles à votre marché local. Les combiner de la bonne manière peut maximiser les bénéfices que vous apportez à votre état de santé général (et qui ne se limite pas au contrôle de l’inflammation).

     

     

     

    Sources:
    webmd.com
    ncbi.nlm.nih.gov
    ncbi.nlm.nih.gov
    rejuvenation-science.com

     

     

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  • sante-nutrition.org

     

    Le Nutella contient le phtalate le plus dangereux : DEHP

    Pots-de-Nutella

     

     

    Avec les trois quarts des familles qui consomment du Nutella en France, nous sommes le plus grand consommateur de cette pâte à tartiner au monde ! [1] Non satisfait d’être un aliment très gras et très sucré, le Nutella contient également le phtalate le plus dangereux qui soit : le DEHP. Ferrero reconnait que ce phtalate est présent dans le Nutella mais affirme que la quantité est trop faible pour pouvoir avoir un impact sur la santé.

     

    Qu’est-ce que le phtalate DEHP ?

    Le phtalate DEHP est une substance chimique qui permet d’augmenter la flexibilité des matières plastiques. On retrouve les phtalates dans les emballages plastiques souples comme les barquettes alimentaires, sachets, films plastiques etc. Ils migrent de l’emballage dans le produit, affirme une toxicologue de l’Office fédéral de l’environnement en Allemagne. C’est ainsi que nous en retrouvons sur nos tartines lorsque nous mangeons du Nutella.

    Quels sont les effets des phtalates comme le DEHP ?

    Les phtalates sont des perturbateurs hormonaux qui provoquent des dérèglements induisant notamment la stérilité chez l’homme. Il est estimé que, dans les pays industrialisés, un homme produit deux fois moins de spermatozoïdes que n’en produisait son grand père au même âge. Les phtalates sont également soupçonnés d’être cancérigènes.

    En 2008, après avoir fait une étude sur le développement de testicules in vitro, l’INSERM a affirmé que les phtalates étaient « délétères pour la mise en place du potentiel reproducteur masculin dans l’espèce humaine ». Cette substance agit même avant la naissance sur le développement du fœtus de la femme enceinte.

    L’Office fédéral de l’environnement allemand a fait une étude sur 600 enfants et constate que 100% d’entre eux présentent des traces de phtalates dont 5 importants. L’étude rajoute que chez 20% d’entre eux les phtalates sont en quantités toxiques. Elle estime que si l’on prends en compte « l’effet cocktail » de ces différentes substances, 80% des enfants en absorberaient en trop grande quantité.

    La Commission européenne a déjà interdit l’usage du DEHP dans la composition des jouets pour enfants depuis 1999 et prévoit son interdiction totale en 2012.

     

     

     

    Sources:

    [1] Nutella, 40 ans de plaisir de Gigi Padovani

    Reportage L’emballage qui tue (Arte)

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  • sante-nutrition.org

    Les fruits qui aident à éliminer les toxines

     

     

    Les toxines peuvent se retrouver n’importe où. En effet, elles peuvent être aussi bien dans les aliments que nous mangeons tous les jours que dans l’eau, voir même dans les médicaments. Elles peuvent aussi être tout simplement produites par des radiations ou bien même par le stress. En résumé, elles sont vraiment partout !

    C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il faut réaliser un bon nettoyage de notre organisme. On réussira ainsi à éliminer ces toxines qui peuvent s’être accumulées dans le corps. Grâce à cette technique, on peut aussi améliorer notre état de santé général. Il est important de savoir que la nature nous offre les outils nécessaires pour aider notre organisme à se libérer de ces toxines nuisibles !

    À continuation, vous pourrez donc voir quels sont les fruits qui peuvent être utiles pour y arriver. En plus, ils sont nombreux et on peut les trouver facilement. Sans oublier que leur goût est vraiment excellent ! Ce sera donc un vrai plaisir que de nettoyer son corps grâce à ces produits naturels.

     

    Les pommes contre les toxines

    Les pommes ont la capacité de stimuler aussi bien le foie que les reins. Elles nous protègent aussi efficacement contre les maladies cardiovasculaires, sans oublier que les pommes nous aident également à avoir un bon fonctionnement du système digestif. On évite ainsi de souffrir de constipation ou de diarrhée, par exemple.

    Sa teneur élevée en polymères acides et neutres nous aide grandement à nettoyer notre organisme. En effet, ces dernier éliminent les toxines et régulent les taux de cholestérol dans le sang.

     

    L’avocat

    L’avocat contient des quantités élevées de graisses mono-insaturées.Ce sont des graisses saines qui aident à réduire le cholestérol.Les avocats contiennent également de la vitamine E, un puissant antioxydant qui peut éliminer les toxines. Sa teneur en potassium a la propriété de nous aider à contrôler la dépression. D’autre part, son contenu en acide folique est important dans la prévention de la fatigue et de l’épuisement.

     

    Les bananes

    Les bananes ont des propriétés qui permettent d’obtenir de grands effets au sein de l’organisme. L’un des principaux à citer est le fait qu’elles nous aident à réguler les fonctions de l’intestin : on soulage alors la constipation. La banane permet aussi de contrôler le stress et d’effacer les symptômes causés par une brûlure d’estomac (trop d’acidité).

     

    Le pamplemousse

     

    Le pamplemousse est d’une grande aide pour détoxifier l’organisme. En plus, tout comme les pomélos, il prévient de nombreux problèmes de peau. Cette dernière est alors bien plus saine et jeune ! Il apporte une bonne quantité de vitamine C, indispensable pour fortifier le système immunitaire. De cette façon, on réussit à maintenir éloignés les rhumes et autres infections. D’ailleurs, le pamplemousse sont aussi d’une grande aide pour le système digestif et urinaire.

     

    Les oranges

    Les oranges contiennent de grandes quantités de phosphore, qui est très important pour nous aider à contrôler le stress et éviter les intoxications provoquées par la consommation de certains aliments ou médicaments. L’acide citrique qu’elles contiennent est dépuratif. Elles sont donc d’une grande aide pour nettoyer le conduit digestif, car on élimine les possibles bactéries qui se trouvent dans le côlon. L’orange est aussi un puissant désinfectant !

     

    L’ananas

    L’ananas contient de grandes quantités de bromélaïne, une substance qui est très utile pour la circulation sanguine. Elle facilite également la digestion. En effet, elle aide à ce que les protéines soient assimilées correctement au cours de ce processus.

     

    Les fraises

    Elles sont riches en antioxydants et en phyto-nutriments, sans compter leur vitamine C. Leur fibres solubles sont très utiles pour aider à contrôler les taux de sucre dans le sang. En plus, les fraises ont aussi la capacité de faire diminuer le stress ainsi que de réduire les symptômes de la ménopause.

     

    La pastèque

    pastéque

    La pastèque est un fruit qui a une saveur délicieuse ! Elle est excellente pour la détoxifier le corps. Lorsqu’on réalise un traitement de nettoyage dans le corps, il très courant de souffrir de déshydratation. La pastèque contient énormément d’eau, et sa teneur en sucre, elle, est vraiment faible. Tout cela la rend très utile pour pouvoir prévenir cette déshydratation. Elle est donc parfaite pour nettoyer correctement l’organisme sans effets secondaires. Elle aide aussi à prévenir certains cancers et réduit le taux de cholestérol.

     

    La papaye

    La papaye est excellente pour maintenir une bonne digestion. En effet, elle augmente la production de sucs pancréatiques. L’un de ses composant, appelé papaïne, est excellent pour être utilisé comme purgatif / laxatif.

    N’oubliez pas que le fait de supprimer les toxines de votre corps vous donnera une meilleure qualité de vie. En effet, c’est l’ensemble de votre organisme qui profitera de ce nettoyage fait d’une manière simple et naturelle, et qui permet d’éviter les effets secondaires d’une accumulation de toxines.

     

     

     

    Source : Améliore ta santé

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  • sante-nutrition.org

    10 top infusions pour nettoyer le corps des toxines

     

    infusion

     

     

    En temps normal, notre corps a tendance à conserver les toxines produites par des organismes vivants comme des bactéries, etc. Ces toxines ont aussi la capacité de nous causer des maladies plus ou moins graves.

     

    Il existe deux sortes de toxines : les toxines exogènes qui entrent dans notre corps par la respiration, si l’air est pollué par exemple, par la peau et par les voies digestives. Les toxines endogènes sont, quant à elles, produites par l’organisme lui-même par le biais de bactéries, de radicaux libres, de parasites ou encore du stress.

    Pour rester en bonne santé, il est nécessaire d’éliminer ces toxines. Bien sûr, notre corps s’en charge déjà, mais, parfois, ce dernier n’élimine pas assez de toxines pour avoir des résultats suffisants. Un excès de toxines peut alors donner lieu à une fatigue significative, du stress ou des allergies.

    Heureusement, certaines plantes participent au processus d’élimination des toxines, nous allons d’ailleurs vous en faire découvrir quelques-unes dans cet article.

     

    Le gui

    gui

    Le gui est une plante dépurative et diurétique permettant par là même d’éliminer les toxines. Faites bouillir un litre d’eau et laissez infuser deux feuilles de gui séchées. Filtrez, et laissez reposer. Si vous trouvez le mélange trop amer vous pouvez toujours y ajouter un peu de miel.

     

    L’artichaut

    artichaut

    L’artichaut favorise la détox des reins ainsi que des intestins. Il fait partie des plantes les plus bénéfiques pour la purification de l’organisme, c’est d’ailleurs pour cela que l’artichaut est aussi conseillé dans les cas de surpoids.

    L’artichaut peut aussi être recommandé dans les cas de diabète, car il contient de l’insulinepouvant ainsi aider à la régulation de glycémie en diminuant l’excès de sucre dans le sang.

    Pour profiter de ses bienfaits, mettez 3 feuilles d’artichaut dans un récipient d’eau et laissez bouillir quelques minutes. Puis, retirez les feuilles, filtrez et laissez refroidir avant de consommer ce jus. Faites cette préparation tous les jours afin que votre corps puisse réellement bénéficier des propriétés de cette plante.

     

    Le thé vert

    10 INFUSION POUR NETTOYER LE CORPS DES TOXINES

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le thé vert contient une multitude de propriétés telles que son action diurétique ou encore ses effets bénéfiques sur la réduction du cholestérol. Pour bénéficier des propriétés du thé vert, prenez-en 3 feuilles que vous déposerez dans une tasse d’eau bouillante. Laissez reposer et buvez.

     

    La canneberge (cranberry)

    canneberge

    Bien qu’il ne s’agisse pas d’une plante à proprement dit, une infusion de canneberge (cranberry), de par ses effets diurétiques, est véritablement efficace pour la détox du corps. La canneberge est conseillée pour les personnes souffrant d’infections urinaires telles que la cystite.

     

    Le pamplemousse

    10 INFUSION POUR NETTOYER LE CORPS DES TOXINES

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Comme la canneberge, le pamplemousse est un fruit et non une plante, mais en boire en infusion est idéal pour faciliter la digestion et réduire l’appétit, c’est d’ailleurs pour cela que ce fruit est utilisé dans le cadre de régimes amaigrissants. Vous pouvez par exemple ajouter quelques quartiers de pamplemousse dans de l’eau bouillante, laisser reposer, retirer les quartiers et enfin boire l’infusion.

     

    Le thym

    thym

    Le thym vous aidera à nettoyer votre organisme et à renforcer votre système digestif. Si vous souffrez de douleurs menstruelles, le thym peut aussi vous aider dans cette situation. Enfin, il est aussi utilisé pour lutter naturellement contre la cellulite. Pour cela, mettez une cuillère de thym séché dans de l’eau bouillante, laissez infuser puis buvez.

     

    Le fenouil

    fenouil

    Le fenouil étant une plante diurétique, elle est particulièrement conseillée pour nettoyer les reins. Faites bouillir de l’eau et laissez infuser quelques feuilles et quelques morceaux de fenouil. Filtrez puis buvez l’infusion.

     

    Le pissenlit

    pissenlit

    Le pissenlit aide à purifier le foie et à faciliter les activités du système digestif. Ajoutez une cuillère de pissenlit dans une tasse d’eau bouillante, laissez infuser, filtrez puis buvez.

     

    Le persil

    10 INFUSION POUR NETTOYER LE CORPS DES TOXINES

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le persil est idéal pour accélérer l’élimination des liquides. Dans un litre d’eau, laissez infuser durant cinq minutes deux cuillères de persil dans une tasse d’eau bouillante. Filtrez. Vous pouvez boire de cette infusion régulièrement tout au long de la journée.

     

    Le céleri

    celeri

    Grâce à ses propriétés dépuratives, et notamment sur le foie, le céleri est l’allié des cures de détoxet de purification de l’organisme. De même, il possède des bienfaits amaigrissants. Vous pouvez préparer une infusion de céleri en laissant infuser quelques tronçons dans de l’eau bouillante. Buvez-en régulièrement et tout au long de la journée.

     

    Souvenez-vous…

    La majorité de ces plantes peuvent être trouvées en supermarché. De même, la plupart de ces infusions peuvent vous aider à perdre du poids, mais, pour cela, il est nécessaire de suivre un régime équilibré en complément. Si vous êtes enceinte ne prenez pas ces infusions, de même que vous ne devriez en aucun cas abuser de ces infusions qui peuvent avoir un effet laxatif.

     

     

    Source : www.amelioretasante.com
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  • passeportsante.net

    5 ALLIÉS MINCEUR

     

    Il n’est pas toujours facile de garder son poids idéal tout au long de l’année. Que ce soit pour compenser certains excès ou pour garder la ligne, découvrez 5 alliés minceur à mettre dans l’assiette.

     

    Le son d’avoine pour garder la ligne

    Le son d’avoine pour garder la ligne

    Rendu célèbre par le régime Dukan, le son d’avoine aurait des vertus hypocholestérolémiantes1 (= permet de réduire le taux de cholestérol), en raison de sa teneur en béta-glucane, une fibre soluble. Les fibres solubles présentent l’avantage de limiter l’absorption des glucides et des lipides des aliments avec lesquels elles ont été mélangées, l’organisme ne disposant pas des enzymes nécessaires à l’assimilation des fibres solubles. Cela a pour effet, pour une même quantité ingérée, de réduire l’apport calorique des repas, ainsi que les apports en sucres et en graisses. Le béta-glucane, et les fibres solubles en général, contribueraient également à accroître la sensation de satiété et ainsi à limiter la prise de poids en réduisant l’apport alimentaire et les risques de grignotage2. A titre d’exemple, un pain à l’orge enrichi à 3% de béta-glucane entraîne une sensation plus forte de satiété chez des personnes en bonne santé que chez celles qui ont consommé le pain non enrichi, tout en réduisant l’apport énergétique du repas suivant3. Enfin, le son d’avoine a la capacité d’absorber environ 30 fois son volume d’eau et de gonfler dans l’estomac, ce qui contribue davantage à la sensation de satiété.

    Pour toutes ces raisons, le son d’avoine est considéré comme un allié minceur, lorsqu’il est consommé en parallèle d’une alimentation équilibrée et sans grignotage. Lors des premiers jours de prise, il est conseillé de se limiter à une cuillère à soupe de son d’avoine par jour afin de s’assurer qu’il est bien toléré par l’organisme. La consommation peut ensuite être augmentée à 2 voire 3 cuillères à soupe par jour. Pratique, il peut se saupoudrer sur les yaourts et les salades, être incorporé dans des préparations comme les pâtes à crêpes, les galettes et le pain.

     

     

    Le konjac comme allié coupe-faim

    Le konjac comme allié coupe-faim

    Le konjac est une fibre soluble traditionnellement utilisée dans la cuisine asiatique. Il est très riche en glucomannanes, des fibres alimentaires qui ont une grande capacité d’absorption de l’eau. Son volume est multiplié par 17 au contact de l’eau, ce qui fait qu’il est particulièrement indiqué pour réguler le transit intestinal, faire baisser le taux de lipides sanguins, contrôler la glycémie et réduire l’apport énergétique des repas grâce à la sensation de satiété qu’il procure. De plus, en raison de ses faibles indices calorique et glycémique, sa consommation est recommandée en cas de régime hypocalorique. Une étude réalisée en 20051 sur 166 personnes en surpoids a comparé l’efficacité d’un supplément en fibres sur la perte de poids. Les patients recevaient soit un placebo, soit un supplément en glucomannane. Au bout de 5 semaines, les groupes prenant des suppléments en glucomannane accompagnés d’un apport énergétique journalier de 1200 calories ont perdu davantage de poids – en moyenne 800 g par semaine – que le groupe témoin qui suivait uniquement le régime.

    Le konjac est distribué sous différentes formes, ce qui diversifie les occasions de consommation : en forme de vermicelles (les shirataki) en substitut des spaghettis ou sous forme de gelée semblable au tofu (le konnyaku) et utilisable comme tel.

    Il se trouve également sous forme de gélules, à raison de 300 à 500 mg de glucomannane par gélule. Il est recommandé de prendre de 1 à 3 g de glucomannane avec 200 mL d’eau, de 30 à 60 minutes avant chaque repas. Pour éviter les désagréments que les fibres peuvent causer, il est préférable de commencer par la dose la plus faible avant de l’augmenter progressivement.

     

     

    L’agar agar pour limiter la prise de poids

    L’agar agar pour limiter la prise de poids

    Issu d’une algue et constitué à 80% de fibres, l’agar-agar est un gélifiant  végétal et naturel très peu calorique qui forme un gel dans l’estomac, ce qui augmenterait la sensation de satiété et favoriserait la perte de poids1.

    Une étude réalisée au Japon en 2005 a testé l’efficacité de l’agar-agar sur 76 personnes obèses et souffrant de diabète de type 22. Les 76 personnes étaient divisées en 2 groupes : un groupe témoin soumis à une alimentation traditionnellement japonaise, et un groupe suivant le même régime mais avec un supplément d’agar-agar, pendant 12 semaines. A l’issue des 12 semaines, le poids corporel moyen, l’IMC (= Indice de Masse Corporel), le taux de glucose sanguin, l’insulinorésistance et l’hypertension avaient été significativement réduits dans les 2 groupes, mais le groupe ayant reçu un complément d’agar-agar a obtenu de meilleurs résultats : une perte de poids de 2,8 kg contre 1,3 kg et une baisse de l’IMC de 1,1 contre 0,5 dans le groupe témoin.

    L’agar-agar se transforme en gelée à une température inférieure à 40°C, et seulement après avoir été préalablement chauffé. De ce fait, il ne peut être consommé en cuisine que dans des préparations chaudes, ou qui doivent être chauffées avant consommation. On peut donc le consommer en boisson chaude avant que celle-ci ne tiédisse, de façon à ce que l’agar-agar se transforme en gelée à l’intérieur du corps, ou dans des préparations de flans, crèmes, gelées. Il est recommandé de ne pas consommer plus de 4 g d’agar-agar par jour. Bien que ses effets indésirables soient peu fréquents, il peut entraîner des douleurs abdominales ou des diarrhées.

     

     

    Les œufs pour la satiété

    Les œufs pour la satiété

    Les œufs sont riches en protéines complètes, c’est-à-dire que ses protéines contiennent tous les acides aminés essentiels au bon fonctionnement de l’organisme. Or, les protéines sont réputées pour être particulièrement rassasiantes, plus que les glucides ou les lipides, ce qui a pour effet de réduire l’apport énergétique des repas suivants1.

    L’impact des œufs sur la perte de poids a souvent été étudié dans le cadre du petit-déjeuner. Dans une étude réalisée en 20082, 152 hommes et femmes âgés entre 25 et 60 ans et ayant un IMC supérieur ou égal à 25 – ce qui équivaut à un surpoids – ont pris un petit-déjeuner composé soit de 2 œufs, soit de bagels au moins 5 jours par semaine. Les deux petits déjeuners comptabilisaient 340 calories chacun, et la moitié des participants étaient soumis à un régime hypocalorique de 1000 calories par jour. 8 semaines après, les personnes en régime ayant pris des œufs au petit-déjeuner ont vu leur IMC et leur poids baisser d'avantage que les personnes en régime ayant pris des bagels : leur IMC a baissé de 0,95 contre 0,59 et leur poids a baissé de 2,63 kg contre 1,59 kg pour l’autre groupe, en plus d’une réduction plus importante de leur tour de taille et de leur pourcentage de masse grasse. En revanche, parmi les participants qui poursuivaient leur alimentation habituelle, aucune différence significative de poids ni d’IMC n’a pu être établie entre ceux qui prenaient des œufs au petit-déjeuner et ceux qui prenaient des bagels. L’étude suggère donc que les œufs sont un moyen d’améliorer une perte de poids lorsqu’un régime a été entamé. Une autre étude3 réalisée par les mêmes chercheurs révèle cependant que l’œuf pris au petit-déjeuner permet tout de même de réduire l’apport énergétique sur le reste de la journée, par rapport à un petit-déjeuner de bagels, ce qui confirme la supériorité des protéines sur les glucides par rapport à la sensation de satiété.

    Que ce soit dans le but de maintenir son poids idéal ou de perdre quelques kilos, les œufs sont donc une option intéressante pour réduire son apport énergétique journalier.

     

     

    Les céréales complètes pour s’affiner

    Les céréales complètes pour s’affiner

    Qui a dit qu’il fallait bannir les glucides pour perdre du poids ? Les céréales raffinées (pâtes ou pain blancs) apportent des « calories vides » dans le sens où elles sont privées de leurs fibres, qui se trouvent principalement dans l’enveloppe des céréales, tandis que les céréales complètes sont élaborées à partir des grains entiers et gardent tous leurs nutriments. A titre d’exemple, 100 g de farine de blé blanche apportent 0,3 g de fibres contre 2,3 g pour 100 g de farine de blé complet. Or, les fibres contenues dans les céréales complètes ont l’avantage de limiter l’absorption des glucides et d’avoir un index glycémique plus faible, c’est-à-dire qu’elles limitent la sécrétion d’insuline et donc le stockage des glucides sous forme de graisses1.

    Dans une étude réalisée en 20082, 25 hommes et 25 femmes obèses ont été suivis pendant 12 semaines. Tous étaient soumis à la même alimentation, à la seule différence qu’une moitié d’entre eux consommait uniquement des céréales raffinées, et l’autre moitié uniquement des céréales complètes. Une diminution de poids, du tour de taille, et du pourcentage de masse grasse a pu être observée chez les 2 groupes au cours de l’étude, mais les participants ayant consommé des céréales complètes ont pu réduire de façon plus marquée leur pourcentage de masse grasse et leur graisse abdominale.

    Les céréales complètes seraient donc effectivement une option à envisager pour accélérer la perte de masse grasse dans le corps, dans le respect d’une alimentation équilibrée.

     

    Samira Leroux
     
     
     
     

    Sources

    Le son d’avoine

    1. Kristensen M, Bügel S, A diet rich in oat bran improves blood lipids and hemostatic factors, and reduces apparent energy digestibility in young healthy volunteers, Eur J Clin Nutr, 2011
    2. D. El Khoury, C. Cuda, B.L. Luhovyy, et al., Beta Glucan: Health Benefits in Obesity and Metabolic Syndrome, J Nutr Metab, 2012
    3. Vitaglione P, Lumaga RB, Stanzione A, et al., Beta-Glucan-enriched bread reduces energy intake and modifies plasma ghrelin and peptide YY concentration in the short term, Appetite, 2009

    Le konjac

    1. Birketvedt GS, Shimshi M, Erling T, et al., Experiences with three different fiber supplements in weight reduction, Med Sci Monit, 2005

    L’agar agar

    1. S. Lacoste, Ma bible de la phytothérapie : le guide de référence pour se soigner avec les plantes, 2014
    2. Maeda H, Yamamoto R, Hiaro K, et al., Effects of agar (kanten) diet on obese patients with impaired glucose tolerance and type 2 diabetes, Diabetes Obes Metab, 2005

    Les œufs

    1. Paddon-Jones D, Westman E, Mattes RD, et al., Protein, weight management, and satiety, Am J Clin Nutr, 2008
    2. JS Vander Wal, A Gupta, P Khosla, et al., Egg breakfast enhances weight loss, Int J Obes (Lond), 2008
    3. JS Vander Wal, JM Marth, P Khosla, et al., Short-term effect of eggs on satiety in overweight and obese subjects, J Am Coll Nutr, 2005

    Les céréales complètes

    1. Giacco R, Costabile G, Della Pepa G, et al., A whole-grain-cereal-based diet lowers postprandial plasma insulin and triglyceride levels in individuals with metabolic syndrome, Nutr Metab Cardiovasc Dis, 2014
    2. Katcher HI, Legro RS, Kunselman AR, et al., The effects of a whole grain-enriched hypocaloric diet on cardiovascular disease risk factors in men and women with metabolic syndrome, Am J Clin Nutr, 2008

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  • sante-nutrition.org

     

    Comment une mère a guéri l’eczéma de sa fille

    avec une alimentation crue

     

     

    Maya souffrait d’une forme sévère d’eczéma depuis qu’elle était bébé. À un an, l’eczéma s’est caractérisé par une peau squameuse, rouge et écaillée sur tout le corps de Maya, ce qui a forcé sa mère à avoir recours à un traitement pour l’eczéma recommandé en médecine traditionnelle, la crème stéroïde.

     

    Le pédiatre de Maya lui avait également donné des conseils sur les suppléments alimentaires et lui avait recommandé de retirer le lait de vache de son régime et de le remplacer par du lait de chèvre (environ 15% des nourrissons  présentent une allergie aux protéines de lait de vache, avec des réactions allergiques communes de la peau). Après avoir fait cela, la mère de Maya a remarqué que la recommandation avait fonctionné, mais seulement pendant un moment.

    Il n’a pas fallu longtemps avant que Maya commence à avoir des rhumes chroniques, un effet secondaire lié à la crème aux stéroïdes selon sa mère. Les crèmes aux stéroïdes ont une grande capacité à pénétrer dans la peau, ce qui peut créer un ralentissement de la circulation sanguine et détruire les cellules qui assurent une immunité protectrice contre les agents pathogènes. La mère de Maya craignait que la crème ne fasse que camoufler le problème, plutôt que de résoudre la cause profonde du problème.

    L’eczéma de Maya a fait un retour fracassant à l’âge de 4 ans, et sa mère pris la décision de ne plus utiliser de crème aux stéroïdes et a eu recours à la naturopathie. Elle a épuré le régime alimentaire de Maya en éliminant progressivement le lait, le gluten et les sucres raffinés; une tactique qui se révéla efficace puisque l’eczéma de sa fille disparaissait à vue d’œil.

    Mais lorsque Maya a eu 7 ans, son eczéma est revenu pire qu’avant. Cependant cette fois là, on a remarqué que Maya souffrait également d’un problème de candidose et de parasites. Désespérée, sa mère a une fois de plus fait du ménage dans son régime alimentaire mais cette fois-là elle a éliminé la viande, les œufs et le sucre. Mais ses efforts n’ont mené à rien car les symptômes semblaient s’aggraver.

    Après des mois à jongler avec l’alimentation de Maya, sa maladie était flagrante malgré tous ses efforts pour la débarrasser de sa candidose. Elle perdait rapidement du poids, une chose que sa mère a attribué à l’incapacité de son intestin à absorber les nutriments. C’est à ce moment là qu’elle a envisagé de remettre Maya sous médicaments par crainte de perdre sa fille.

    Une ultime tentative pour sauver sa fille

    La mère de Maya avait essayé d’intégrer tout ce à quoi elle avait pensé, et l’état de sa fille ne s’améliorait pas. Et juste avant de décider de remettre Maya sous médicaments, elle a rencontré une communauté végétarienne sur Instagram qui a diffusé des informations sur un type de régime crudivore se montrant efficace dans le traitement contre la candidose.

    Bien que cela semblait ‘absurde’ pour la mère de Maya, elle était arrivé à un point ou elle n’avait pas d’autre choix. Donc elle a fait testé régime aux bananes pendant 10 jours avant de le donner à Maya, et elle a remarqué qu’elle était en pleine forme en suivant ce régime. Elle a immédiatement mis sa famille sous un régime alimentaire se composant principalement de fruits, de légumes feuilles et de lipides sains tels que les avocats, les noix et les graines.

    Au cours des derniers six mois qui ont suivi, la peau de Maya s’était complètement éclaircie grâce au régime crudivore, avec seulement quelques minuscules taches sèches restantes sur sa peau.
    Maya a enfin retrouvé la paix, et sa famille a également ressenti les bienfaits de ce régime spécifique.

    Aujourd’hui elle et sa famille sont heureux, en bonne santé et parcourent le monde en filmant des documentaires de leurs expériences à travers leur chaîne YouTube, deHappy.

     

    Les smoothies ont une grande place dans l’alimentation de la famille de Maya.

     

    Le régime crudivore a changé la qualité de vie de Maya.

     

    Maya avec ses frères pendant des vacances en famille.

    Est-ce qu’une alimentation végétarienne est le chemin à suivre?

    Bien qu’il n’y ait une unanimité définitive quant à savoir si oui ou non un régime alimentaire végétarien comportant des aliments sains et non transformés est le mode de vie alimentaire le plus bénéfique, de nombreux médecins ont commencé à reconnaître les avantages d’un tel régime sur la santé.

    Après avoir examiné des données sur 87 études publiées en 2006, les auteurs Berkow et Barnardont consigné dans dans Nutrition Reviews qu’un régime végétalien ou végétarien est très efficace pour la perte de poids. Ils ont également constaté que les populations végétariennes ont de faibles taux de maladies cardiaques, d’hypertension artérielle, de diabète et d’obésité. En outre, l’examen indique que la perte de poids chez les végétariens ne dépend pas de l’exercice physique et qu’ils perdent environ 450 grammes par semaine.

    Une autre étude a révélé que les régimes végétariens sont riches en nutriments, concordent avec les recommandations en matière de nutrition, et pourraient être recommandés pour la gestion du poids sans compromettre la qualité de l’alimentation.

    Les études sur la santé « Adventist Health Studies » ont constaté que les végétariens ont environ deux fois moins de risques de développer un diabète que les non-végétariens.
    En 2008, Vang et al ont déclaré que les non-végétariens étaient 74% plus susceptibles de développer le diabète sur une période de 17 ans par rapport aux végétariens.

    La seule façon de savoir si oui ou non un régime alimentaire plus végétarien est bon pour vous est de l’essayer. Pour commencer, réduisez progressivement la consommation de viande, ainsi que les rations de sous-produits animaliers en les limitant à quatre jours max par semaine. Essayez de changer votre petit-déjeuner traditionnel par un smoothie. Ou si vous aimez vraiment les oeufs au petit déjeuner, essayez de les manger avec certains légumes sautés comme les épinards ou le chou frisé. Analysez comment vous vous sentez après avoir fait ces petits changements, et si vous remarquez un regain d’énergie, commencez ensuite faites diverses recettes à base de plantes dans votre alimentation.

    Réduire la consommation de viande et les produits laitiers seulement de quelques jours par semaine sera non seulement bénéfique pour votre santé, mais cela aura également un impact écologique, positif et massif sur notre Planète. Essayez et dites en commentaire ci-dessous comment cela a changé votre vie!

     

     

    Source: collective-evolution.com
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  • sante-nutrition.org

    QUE FAIRE SI VOTRE CHOLESTÉROL EST TROP HAUT ?

     

     

    « Le cholestérol n’est pas le coupable »,

    « le cholestérol n’est pas un poison »,

    « les médicaments contre le cholestérol sont toxiques »…

     

    N’empêche.

    On a beau connaître tous les arguments, ce n’est pas drôle de revenir du labo d’analyse avec des examens sanguins indiquant un taux de cholestérol trop élevé.

    Il faut bien faire quelque chose ! On ne va tout de même pas continuer à vivre comme si de rien n’était !

    Et comment profiter de la vie, comment encore se faire plaisir, profiter d’un repas autour d’une bonne table avec cette épée de Damoclès sur la tête ??

    Vous avez entièrement raison.

    Le rôle du cholestérol dans les maladies cardiovasculaires est très probablement totalement exagéré.

    Réduire son taux de cholestérol, que ce soit par un régime sans graisses saturées ou par des médicaments (statines) ne réduit pas le risque de décès.

    Toutefois, quel que soit votre âge et votre état de santé, des méthodes naturelles réduisent votre risque cardiovasculaire. Et il serait absurde de vous en priver ! Surtout si vous revenez de chez votre médecin avec un cholestérol trop élevé.

    Mais avant de vous dire ce que vous pouvez entreprendre dès aujourd’hui, permettez-moi un court rappel sur le cholestérol.

    Le cholestérol est bon pour la santé

    Le cholestérol est une des molécules les plus importantes du corps humain : elle est indispensable à la fabrication des cellules, ainsi que pour produire des hormones vitales comme les hormones du stress et les hormones sexuelles, ainsi que la vitamine D.

    Le cholestérol est indispensable pour digérer les graisses : il entre dans la composition des acides biliaires, fabriqués par le foie.

    Il est enfin vital pour le cerveau, permettant à la mémoire de fonctionner : les personnes qui manquent de cholestérol, et les personnes qui font baisser artificiellement leur taux de cholestérol avec des statines (médicaments) ont des problèmes de mémoire [1], un risque plus élevé de diabète, de dépression, de suicide et de mort violente [2].

    Tout cela est documenté scientifiquement.

    Il ne s’agit pas de tendances légères mais de liens très étroits.

    La médecine connaît mal le fonctionnement du cœur et des artères

    Il faut bien réaliser que la cardiologie, la médecine du cœur, reste aujourd’hui très imprécise.

    Certes, les médecins font des miracles avec les cœurs artificiels. Ils ont aussi fait d’immenses progrès dans la médecine d’urgence, pour sauver la vie de personnes ayant subi un accident cardiaque (infarctus), en débouchant en urgence les artères.

    Toutefois, une grande incertitude demeure sur les causes des maladies cardiovasculaires : pourquoi elles apparaissent, comment les prévenir, comment éviter un nouvel accident après un premier infarctus ou un AVC.

    Peu de médecins vous le diront droit dans les yeux, mais les théories les plus contradictoires s’affrontent.

    Pour vous donner un exemple, bien des médecins estiment que c’est le cholestérol qui bouche les artères. En fait, ce qu’on appelle la « plaque » artérielle, qui réduit le diamètre des artères et accroît le risque qu’elles se bouchent, est principalement constituée de cellules musculaires des artères qui ont proliféré, de calcium et de fer, le cholestérol restant minoritaire.

    Certains chercheurs pensent même que le cholestérol est un pansement. Il viendrait là pour réparer les dégâts provoqués par l’inflammation de la paroi des artères : c’est pour cela que l’on trouverait du cholestérol à cet endroit.

    L’augmentation du taux de cholestérol serait donc le moyen pour l’organisme de se protéger. Et baisser son taux de cholestérol avec des médicaments serait donc une très mauvaise idée !

    Evaluer votre risque cardiaque : les vraies analyses

    Une chose est sûre cependant : votre taux de cholestérol total n’est pas un bon moyen de prévoir votre risque cardiovasculaire.

    Il est beaucoup plus utile pour vous de faire les analyses suivantes :

    • Niveau de triglycérides : bien qu’un taux de 2 g par litre soit considéré officiellement comme acceptable, les experts s’accordent à dire qu’un taux de triglycérides qui se rapproche de 1,5 g/l indique déjà un très mauvais état de santé cardiovasculaire. Idéalement, votre niveau de triglycérides devrait toujours être inférieur à 1,2 g/l [3].
    • Ratio HDL/cholestérol : le niveau de HDL (dit « bon » cholestérol), est un facteur prédictif du risque cardiaque. Divisez simplement votre taux de HDL par votre taux de cholestérol total. Le pourcentage doit idéalement être supérieur à 24 %.
    • Ratio triglycérides/HDL : vous pouvez faire la même chose avec votre ratio de triglycérides par rapport à votre HDL. Le ratio doit être inférieur à 2.
    • Votre taux de sucre sanguin à jeun (glycémie à jeun) : les études montrent que les personnes qui ont une glycémie à jeun de 100-125 mg/dl ont presque 300 % de risques en plus de maladie cardiaque coronaire (artères qui irriguent le cœur) que les personnes qui ont moins de 79 mg/dl [4].
    • Taux de fer : le fer en excès dans le corps est une source majeure de stress oxydatif. Si vous avez trop de fer (taux de ferritine supérieur à 200 ng/ml), cela peut abîmer la paroi de vos artères et augmenter votre risque d’accident cardiovasculaire. Le moyen le plus simple de réduire votre taux de fer est alors de pratiquer le don du sang. Si votre taux est particulièrement élevé, il faut consulter un hématologue, cela peut être le signe d’une hémochromatose, une maladie génétique.

    Les moyens naturels de réduire votre risque cardiovasculaire

    Mais attention : si vous constatez que vous avez de mauvais taux tels ceux relevés ci-dessus, la solution la meilleure n’est pas d’avaler des pilules chimiques pour les corriger.

    Cela ne servira à rien. Si vos taux sont mauvais, c’est un problème de mode de vie qui se corrige en adaptant votre comportement et votre alimentation.

    Voici la liste des mesures naturelles à prendre :

    • Remplacez la nourriture industrielle, transformée, artificielle, par des aliments entiers, frais, cuisinés au minimum et si possible bio et cultivés localement.
    • Évitez les produits allégés et augmentez votre consommation de graisses bonnes pour la santé : avocat, poissons gras, œufs bio entiers, beurre de vaches de pâturage, graisse de noix de coco, huile de noix extraite à froid, fruits à coque (noix, amandes, noisettes…) non grillées et non salées, huile de colza bio ou d’olive ; veillez en particulier à votre ratio oméga-3/oméga-6, qui doit être entre 1 pour 1 et 1 pour 5, mais certainement pas 1 pour 20 ou 1 pour 30 comme c’est en général le cas dans l’alimentation occidentale actuelle.
    • Optimisez vos apports de calcium, magnésium, sodium et potassium ; si vous mangez beaucoup de légumes bio, vous aurez les apports nécessaires. Faites des jus de légumes avec un extracteur pour augmenter votre consommation plus facilement.
    • Surveillez votre taux de vitamine D. Préférez si possible l’exposition au soleil. Vous atteindrez votre niveau optimal de vitamine D en vous exposant chaque jour 15 à 20 minutes sur au moins les trois-quarts de votre corps ; si vous ne pouvez pas vous exposer, prenez un complément alimentaire, prenez en même temps de la vitamine K2 : ces vitamines agissent ensemble pour ralentir la calcification des artères (artériosclérose) [5].
    • Arrêtez à tout prix de fumer mais buvez un verre de vin rouge par jour ; évitez les vins sucrés, cuits, liqueurs et alcools forts.
    • Faites de l’exercice physique régulièrement : il s’agit là de la façon la plus sûre et la plus efficace de prévenir et traiter les maladies cardiaques.
    • Veillez à votre hygiène dentaire et buccale : une dent morte (dévitalisée), la plaque dentaire (bactéries autour des dents et sur la gencive), des gencives enflammées (rouges) sont associées à un grand nombre de maladies dont les maladies cardiaques. Dans une étude de 2010, les personnes présentant une mauvaise hygiène de la bouche avaient 70 % de risques de développer une maladie cardiaque par rapport aux personnes qui se brossaient les dents deux fois par jour [6].
    • Evitez les statines, qui font baisser votre taux de cholestérol artificiellement, sans effort, mais avec des risques de nombreux effets indésirables. Les seules personnes qui peuvent tirer un avantage pour leur santé des statines sont celles qui souffrent d’une hypercholestérolémie familiale, une maladie très rare qui donne un taux très élevé de cholestérol quelle que soit l’alimentation et le mode de vie. Si vous devez prendre des statines, prenez absolument aussi du CoQ10, un coenzyme très important pour l’énergie cellulaire, et dont la fabrication est également bloquée par les statines qui ne font pas qu’empêcher la fabrication de cholestérol.
    • Pour réduire votre niveau d’insuline, et améliorer votre sensibilité à l’insuline, choisissez un régime à index glycémique bas, c’est-à-dire des aliments qui ne font pas trop rapidement monter votre taux de sucre sanguin : patates douces plutôt que pommes de terre, miel plutôt que sucre, légumineuses (pois, haricots, fèves) plutôt que céréales. Il existe aussi un complément alimentaire, l’acide alpha-lipoïque (400 mg), qui améliore la sensibilité à l’insuline.

    À votre santé !

    Jean-Marc Dupuis

     

     

    Santé nature innovation

    [1] Could Low Cholesterol Levels Jeopardise Brain Function ?
    [2] Low cholesterol and violent crime.
    [3] Triglycerides and Cardiovascular Disease, A Scientific Statement From the American Heart Association
    [4] If Your Fasting Blood Sugar is Above 90 You Are At Risk of Heart Disease
    [5] Vitamin D and K2 Work in Tandem to Slow Arterial Calcification
    [6] Toothbrushing, inflammation, and risk of cardiovascular disease: results from Scottish Health Survey

     

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  • sante-nutrition.org

    48 aliments pour équilibrer vos hormones

    et vous donner une peau éclatante

     

    avocats

     

     

    Qui ne veut pas un bon système reproducteur, des hormones équilibrées, et une peau éclatante?

    La consommation de certains aliments riches en nutriments mettra quiconque sur ce chemin. Que cela nous plaise ou non, les hormones contrôlent notre humeur, digestion, énergie, libido, métabolisme, et l’aspect de notre peau.

     

    Si nous ne mangeons pas les aliments qui contiennent les nutriments dont nous avons besoin, notre corps ne peut pas produire correctement les hormones ou maintenir l’équilibre hormonal, car il n’a pas les blocs de construction pour le faire.

    Tout ce que vous mangez améliore soit la production hormonale, ou cause des déséquilibres imprévisibles.

    Le corps humain a besoin d’un équilibre des trois macronutriments, les glucides, les protéines, et en particulier les graisses.

    Les graisses sont l’un des éléments les plus cruciaux pour l’équilibre hormonal. Pendant des années, on nous a dit que les aliments sans matières grasses sont bons, tandis que le cholestérol et les graisses saturées sont mauvais. C’est un mensonge dangereux. Les graisses saines sont la matière première dont nous avons besoin pour produire et maintenir une bonne fonction hormonale.

    Voici pourquoi: les hormones sont produites en utilisant certains acides gras et le cholestérol, donc s’il nous manque ces éléments nutritifs, des problèmes d’hormones en découlent simplement parce que le corps n’a pas les nutriments dont il a besoin pour les fabriquer. Notre corps a besoin de certaines graisses pour la reconstruction des cellules et la stabilisation des hormones. Ceci est particulièrement important pour le système reproducteur féminin.

     

    La façon de manger pour un bon équilibre hormonal

    Constituer les repas de protéines saines, de graisses saines qui équilibrent les hormones, de légumes riches en antioxydants et de plantes médicinales aidera votre corps à prospérer. Choisissez un aliment de chaque catégorie pour un repas facile, qui équilibre les hormones, et qui soigne la peau.

     

    1. Protéines saines

    • Fruits à coque trempés ou germés
    • Haricots secs
    • Graines oléagineuses
    • Quinoa
    • Lentilles
    • Poulet, dinde, boeuf, cerf, oeufs biologiques ou bleu-blanc-coeur
    • Poissons sauvages

    2. Graisses saines qui équilibrent les hormones

    • L’huile de noix de coco (et tous les produits issus de la noix de coco, d’ailleurs). Elle contient de l’acide laurique, qui est incroyablement bon pour la peau et extrêmement bénéfique pour la production hormonale. En outre elle tue les mauvaises bactéries et les virus dans le corps, constitue une source d’énergie rapide, est facile à digérer, et accélère le métabolisme.
    • Les avocats. Ils sont riches en graisse saine qui aide notre corps à absorber et à utiliser les nutriments. Ils sont aussi riches en fibres, en potassium, en magnésium, en vitamine E, en vitamines B, et en acide folique – tous essentiels pour maintenir l’équilibre hormonal dans le corps.
    • Beurre cru/ghee. Ils fournissent une riche source de vitamines liposolubles A, D, E et K2. Ces nutriments sont des blocs de construction clés pour la production hormonale. Le beurre fournit de grandes quantités d’acides gras à chaîne courte et moyenne, qui soutiennent la fonction immunitaire, stimulent le métabolisme et ont des propriétés antimicrobiennes; ce qui signifie qu’ils combattent les mauvaises bactéries et les virus dans le corps.
    • Les jaunes d’oeufs. Ils sont riches en innombrables vitamines et minéraux y compris: A, D, E, B2, B6, B9, fer, calcium, phosphore, potassium et choline qui contribuent tous à un système reproducteur sain, l’équilibre hormonal, et une peau saine. La choline et l’iode dans les jaunes d’œufs sont également cruciaux pour fabriquer des hormones thyroïdiennes saines.
    • Noix et graines. Noix et graines trempées, olives et huile d’olive, huile fermenté de foie de morue, huile de chanvre, huile de lin.

    3. Légumes riches en antioxydants

    Cherchez tout ce qui est vert foncé: asperges, brocoli, épinards, chou vert, chou, concombre, chou frisé, coriandre, etc.

    Optez pour des légumes aux couleurs vives: poivrons verts, rouges, jaunes et oranges, chou rouge, oignons rouges/blancs, tomates et carottes.

    Ne négligez pas les légumes féculents: patates douces, courge spaghetti, manioc, betteraves, artichauts, courge musquée, et navets.

    4. Epices et plantes médicinales

    • Cannelle
    • Curcuma
    • Cayenne
    • Cumin
    • Ail
    • Gingembre

     

    Si votre corps a les nutriments dont il a besoin pour être en équilibre hormonal, il le sera. Vous ferez l’expérience d’une peau éclatante, d’une humeur stable, de la fertilité et d’une énergie constante. Notre corps a une capacité incroyable à guérir et à être en équilibre, quand on lui donne les nutriments dont il a besoin pour s’épanouir.

     

    Source : Mind Body Green

     

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  • passeportsante.net

    5 PLANTES POUR RETROUVER DE L'ÉNERGIE

     

    Stress, maladie ou baisse de forme passagère, les circonstances font qu’il est parfois nécessaire de se redonner un coup de fouet. Découvrez 5 plantes qui aident à retrouver de l’énergie.

     

     

    Le ginseng pour lutter contre la fatigue

    Le ginseng pour lutter contre la fatigue

    Le ginseng est une plante médicinale très renommée en Asie et reconnue pour ses vertus stimulantes, y compris pour le développement de la force physique1.

    Une étude a été réalisée en 20132 sur 90 personnes (21 hommes et 69 femmes) souffrant d’hypersomnie idiopathique, qui se caractérise par une somnolence excessive durant la journée et parfois de longues nuits de sommeil. Les patients ont reçu soit 1 ou 2 g d’extrait alcoolique de ginseng par jour, soit un placebo pendant 4 semaines. A l’issue des 4 semaines, les résultats ont montré que seule une dose de 2 g d’extrait alcoolique de ginseng avait pu améliorer la fatigue ressentie par les participants, estimée grâce à l’échelle visuelle analogique. Les patients ayant reçu 2 g d’extrait alcoolique de ginseng par jour ont vu leur état de fatigue passer de 7,3/10 à 4,4/10 sur l’échelle visuelle analogique contre de 7,1 à 5,8 pour le groupe témoin. Selon un test réalisé sur des rats en 20101, les propriétés anti-fatigue du ginseng seraient dues à sa teneur en polysaccharides, et plus précisément en polysaccharides acides3, un de ses principes actifs.

    Le ginseng serait aussi efficace pour lutter spécifiquement contre la fatigue liée au cancer, comme le suggère une étude réalisée en 20134 sur 364 participants. Au bout de 8 semaines de traitement, les questionnaires ont révélé que les participants ayant reçu 2 g de ginseng par jour étaient significativement moins fatigués que ceux qui avaient pris un placebo. Aucun effet secondaire particulier n’a été mentionné dans l’étude.

    Le ginseng est donc recommandé en cas de fatigue chronique et peut s’utiliser en teinture mère, en décoction de racines séchées ou sous forme d’extrait normalisé.

     

     

    Le kola pour stimuler le système nerveux

    Le kola pour stimuler le système nerveux

    Les graines de kola ont été mâchées durant des millénaires en Afrique pour combattre la fatigue physique et intellectuelle et lutter contre la dépression.

    Les effets stimulants du kola sur le système nerveux central sont essentiellement dus à sa richesse en caféine dont les bienfaits contre la fatigue à court terme et sur la vigilance sont déjà largement reconnus. A dose élevée, la caféine s’avère même aussi efficace que d’autres stimulants délivrés sur ordonnance médicale tels que le modafinil, comme le suggère une étude réalisée en 2008 sur 53 adultes en bonne santé1.

    Le kola se consomme sous différentes formes :

    • Poudre séchée en capsules ou comprimés : de 2 à 6 g par jour, en 2 ou 3 fois
    • Décoction : faire bouillir de 1 à 3 g de poudre séchée dans 150 mL d’eau pendant 5 à 10 minutes. Boire de 1 à 3 tasses par jour
    • Extrait fluide (1:1 dans l’éthanol à 60%) : prendre de 1,25 à 2,5 mL, de 1 à 3 fois par jour
    • Teinture (1:5 dans l’éthanol à 60%) : prendre de 2 à 7,5 mL, 1 à 4 fois par jour

    Les quantités de kola correspondent de 50 à 150 mL de caféine par jour. Toutefois, la caféine que contient le kola peut causer de l’insomnie, de la nervosité, de l’agitation et de l’irritation gastrique. En grandes quantités, la caféine peut provoquer des nausées, vomissements, de l’hypertension artérielle, des maux de tête, entre autres désagréments, et entraîner une dépendance.

     

     

    La rhodiole contre la fatigue liée au stress

    La rhodiole contre la fatigue liée au stress

    La rhodiole (rhodiola rosea) est une plante médicinale qui aurait le pouvoir d’accroître l’endurance physique, la longévité, les facultés cognitives, entre autres. L’extrait de rhodiole est couramment utilisé en Russie et en Suède pour ses propriétés adaptogènes – contre le stress – et plus précisément contre la fatigue liée au stress1. Cette fatigue peut se manifester par un état dépressif, une concentration moindre, des pertes de mémoire, des difficultés à dormir ou encore par un épuisement émotionnel.

    Une étude réalisée en 2009 a cherché à observer les effets de la rhodiole sur 60 individus âgés entre 20 et 55 ans souffrant de fatigue liée au stress2. La moitié d’entre eux recevait 576 mg d’extrait de rhodiole SHR-5 par jour, répartis en 4 prises, tandis que l’autre moitié recevait 4 comprimés de placebo pendant 28 jours. Aux premier et dernier jour étaient relevés la qualité de vie, les symptômes de fatigue, la dépression, le niveau d’attention et le niveau de cortisol (l’hormone du stress) de chaque individu. Les résultats ont montré que les participants traités à la rhodiole montraient moins de signes de fatigue et faisaient preuve de plus d’attention que le groupe de contrôle, en plus de présenter un niveau de cortisol plus bas.

    La rhodiole semble donc être un traitement naturel efficace contre la fatigue liée au stress, et se trouve plus souvent sous forme de capsules ou de comprimés d’extrait sec normalisé. Conformément au dosage pratiqué dans les études, la posologie va de 100 à 300 mg d’extrait, 2 fois par jour. Il est préférable de prendre la plante 30 minutes avant de manger, le matin et le midi, car en prendre le soir pourrait perturber le sommeil.

     

     

    L’angélique chinoise pour améliorer les performances sportives

    L’angélique chinoise pour améliorer les performances sportives

    L’angélique chinoise (angelica sinensis) est un tonique utilisé pour lutter contre la fatigue et les états de faiblesse.

    Dans une étude réalisée en 2014, des chercheurs ont voulu tester l’efficacité de l’angélique chinoise sur la performance sportive et la fatigue physique chez des souris1. Certaines souris s’entraînaient pendant 6 semaines et recevaient soit 0,41 g/kg, soit 2,05 g/kg d’angélique par jour. Les autres soit étaient sédentaires, soit s’exerçaient, mais sous placebo. Les résultats ont montré que les souris traitées à l’angélique nageaient plus longtemps et avaient un niveau de glucose sanguin plus élevé que les autres, mais aucune précision n’a été donnée sur une éventuelle différence entre les dosages.

    Dans une autre étude réalisée en 20112, c’est l’efficacité d’une décoction, Dang Gui Bu Xue Tang – un mélange de racine d’angélique chinoise et de racine d’astragale, également réputée pour ses vertus stimulantes – qui a été étudiée. Certains rats souffrant de fatigue chronique induite par une restriction alimentaire et de la nage forcée ont reçu quotidiennement 12 ou 24 g/kg de cette décoction pendant 28 jours. Au bout de 28 jours, les rats traités avec la décoction avaient pris du poids et amélioré leur endurance, contrairement aux autres.

    Ces résultats suggèrent que l’angélique chinoise pourrait stimuler les performances sportives et améliorer le syndrome de fatigue chronique chez l’homme. La racine séchée de cette plante peut se consommer à raison de 1 à 2 g, en capsules ou en infusion, 3 fois par jour. La plante est rarement utilisée seule en médecine chinoise, la posologie est donc donnée uniquement à titre indicatif.

     

     

    Le thé pour soulager la fatigue chronique

    Le thé pour soulager la fatigue chronique

    Le thé est la deuxième boisson la plus consommée au monde, après l’eau. Il est surtout reconnu pour sa richesse en antioxydants, qui protègent les cellules du corps contre les dommages causés par les radicaux libres. La caféine qu’il contient – et qu’on appelle aussi théine – lui confère des propriétés stimulantes.

    Une étude réalisée en 2012 a mesuré les effets de différentes boissons, dont le thé – sans préciser sa variété – sur l’humeur, la performance, les efforts et le repos de 95 personnes exerçant une activité professionnelle pendant 10 jours1. Les résultats ont montré que la consommation de thé était associée à une performance accrue au travail et une sensation de fatigue réduite, surtout lorsqu’il était consommé sans sucre ni lait. En revanche, sa consommation entraverait la récupération le soir venu.

    Une autre étude portant spécifiquement sur le thé vert a été réalisée en 2005 sur des souris atteintes de fatigue chronique2. La fatigue chronique, induite par un stress oxydatif, était mesurée par le temps que les souris passaient sans bouger lors du test de nage forcée – plus longtemps elles restent immobiles, plus elles sont fatiguées –. Les souris ayant reçu de l’extrait de thé vert (25 ou 50 mg/kg) et des catéchines – les antioxydants du thé – (50 ou 100 mg/kg) pendant 7 jours sont restées moins longtemps immobiles lors du test de nage forcée.

    Ces résultats suggèrent donc que le thé peut avoir des effets bénéfiques sur la fatigue chronique chez l’homme, ou au moins augmenter sa concentration sur le court terme. Si le thé vert contient plus d’antioxydants que le thé noir, il contient toutefois moins de caféine (30 mg dans 250 mL de thé vert contre 42 mg dans 250 mL de thé noir), la consommation de l’un ou de l’autre dépend donc de ses besoins et de l’origine de sa fatigue.

     
      
    Samira Leroux
     
     
     
     

    Sources

    Le ginseng 

    1. Wang J, Li S, Fan Y, et al., Anti-fatigue activity of the water-soluble polysaccharides isolated from Panax Ginseng C. A. Meyer, J Ethnopharmacol, 2010
    2. Kim HG, Cho JH, Yoo SR, et al., Antifatigue effects of Panax ginseng C.A. Meyer: a randomized, double-blind, placebo-controlled trial, PLoS One, 2013
    3. Wang J, Sun C, Zheng Y, et al., The effective mechanism of the polysaccharides from Panax ginseng on chronic fatigue syndrome, Arch Pharm Res, 2014
    4. Barton DL, Liu H, Dakhil SR, et al., Wisconsin Ginseng (Panax quinquefolius) to improve cancer-related fatigue: a randomized, double-blind trial, N07C2, J Natl Cancer Inst, 2013

    Le kola

    1. Killgore WD, Rupp TL, Grugle NL, et al., Effects of dextroamphetamine, caffeine and modafinil on psychomotor vigilance test performance after 44 h of continuous wakefulness, J Sleep Res, 2008

    La rhodiole 

    1. SM Ross, Rhodiola Rosea (SHR-5), Part I: A Proprietary Root Extract of Rhodiola rosea is found to be Effective in the Treatment of Stress-Related Fatigue, Holistic Nursing Practice, 2014
    2. Olsson EM, von Schéele B, Panossian AG, A randomised, double-blind, placebo-controlled, parallel-group study of the standardized extract shr-5 of the roots of Rhodiola rosea in the treatment of subjects with stress-related fatigue, Planta Med, 2009

    L’angélique chinoise

    1. Yeh TS, Huang CC, Chuang HL, et al., Angelica sinensis improves exercise performance and protects against physical fatigue in trained mice, Molecules, 2014
    2. Liu Y, Zhang HG, Li XH, A Chinese herbal decoction, Danggui Buxue Tang, improves chronic fatigue syndrome induced by food restriction and forced swimming in rats, Phytother Res, 2011

    Le thé

    1. Bryan J, Tuckey M, Einöther SJ, et al., Relationships between tea and other beverage consumption to work performance and mood, Appetite, 2012
    2. Singal A, Kaur S, Tirkey N, et al., Green tea extract and catechin ameliorate chronic fatigue-induced oxidative stress in mice, J Med Food, 2005

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  • sante-nutrition.org

    LES INCROYABLES BIENFAITS DE L'ANANAS POUR LA SANTÉ

     

    L’ananas est le deuxième fruit le plus apprécié en Amérique après la banane dans la catégorie « fruits tropicaux ». Il possède toute une panoplie d’effets bénéfiques sur la santé. Voici quelques bonnes raisons pour lesquelles nous devrions augmenter notre consommation d’ananas…

     

    L’ananas est un fruit originaire d’Amérique du Sud, très juteux et au goût exotique qui mélange douceur et acidité. Une tasse (165 grammes) fournit 100 % des apports journaliers recommandés en vitamine C, et constitue également une bonne source de manganèse ainsi que de bromélaïne, une enzyme d’importance vitale. Par ailleurs, l’ananas contient du cuivre, des vitamines B1 et B6, des fibres alimentaires, de l’acide folique et de l’acide pantothénique.

     

    Voici une liste non exhaustive des bienfaits de l’ananas pour notre santé. Achetez de préférence de l’ananas bio.

     

    1. L’ananas renforce le système immunitaire

    L’ananas est très riche en vitamines C. La vitamine C est un immunostimulant, un anti-inflammatoire, un antiviral et un antibactérien. Elle est essentielle dans le traitement de différents types de maladies liées au système immunitaire et à l’inflammation chronique.

     

    2. L’ananas est un anti-inflammatoire

    Outre la vitamine C, l’ananas est également riche en bromélaïne, une enzyme digestive qui décompose les protéines et qu’on retrouve dans le jus d’ananas et dans le tronc de l’ananas. Il favorise donc la digestion chez les personnes qui ne produisent pas assez d’enzymes digestives naturellement. Les propriétés anti-inflammatoires peuvent être utilisés lors de gonflements du nez ou des sinus, à la suite d’une opération chirurgicale ou d’une blessure. On peut également l’utiliser en cas de rhume des foins, d’inflammation des intestins, ou d’ulcère (colite ulcéreuse). Enfin, l’ananas peut être utilisé pour éliminer les tissus morts ou endommagés après une brûlure.

     

    3. L’ananas peut empêcher la formation de caillots sanguins

    LES INCROYABLES BIENFAITS DE L'ANANAS POUR LA SANTÉ

     

     

     

     

     

     

    Des études ont démontré que la bromélaïne pouvait interférer dans le regroupement des plaquettes sanguines, ce qui peut empêcher la formation de caillots sanguins. En conséquence, cela peut également favoriser les saignements chez les personnes ayant une coagulation sanguine moins efficace (Comme les personnes âgées ou les personnes souffrant d’hémorroïdes qui prennent des anti-coagulants tels que le Daflon pour liquéfier le sang, ndlr). Pour cette raison, il est conseillé pour les personnes sujettes à des saignements prolongés d’éviter de consommer des aliments riches en bromélaïne.

     

    4. L’ananas renforce les os

    Le manganèse est essentiel pour la santé de vos os. Il aide à réduire la perte de densité osseuse, responsable de l’ostéoporose, qui entraîne généralement des fractures osseuses avec l’âge. Une portion de 100 grammes d’ananas fournit 44 % des apports journaliers recommandés en manganèse.

     

    5. L’ananas soulage l’arthrite

    Des recherches ont montré que la bromélaïne pourrait aider à réduire les gonflements ligamentaires dans le cas d’arthrite rhumatoïde, ainsi que les douleurs aiguës aux genoux lors d’arthrite osseuse. On estime que cet effet est obtenu en combinant bromélaïne et flavonoïdes rutine et trypsine.

     

    6. L’ananas peut prévenir certains cancers

    Des recherches publiées cette année ont démontré que la bromélaïne a des effets chimio-préventifs lors de tests sur des cellules colorectales cancéreuses. Les scientifiques responsables de ces recherches en ont conclu que« la bromélaïne ou les aliments qui en contiennent peuvent être d’excellentes solutions alternatives dans la chimio-prévention des cancers colorectaux ».
    De nombreuses revues scientifiques ont déjà publié des articles concernant les effets anti-cancéreux de la bromélaïne sur les cellules et sur les animaux. Par exemple, une étude publiée en 2012 par le Journal of Medicinal Food a découvert que la bromélaïne entraînait l’apoptose (l’élimination des cellules cancéreuses) en cas de cancer du sein.
    Une étude réalisée en 2013 et publiée dans Cancer Investigation expliquait que la bromélaïne pouvait potentiellement être utilisée dans le développement d’agents anti-cancéreux pour le mésothéliome péritonéal malin (MPM), qui est un cancer des parois de l’abdomen.

     

    7. L’ananas conserve la bonne santé de vos reins

    L’ananas contient très peu de potassium, ce qui en fait un jus nutritif et hydratant pour des patients souffrant de maladies rénales chroniques.

    8. L’ananas soigne les maux de gorge et les infections

    femme mal de gorge

    L’intégralité de la plante de l’ananas est utilisée depuis de longues années dans des remèdes traditionnels à base d’herbes en tant que diurétique, afin d’accélérer l’extraction des toxines, ainsi que dans le traitement des maux de gorge ou du mal de mer. Les natifs du Panama ont longtemps utilisé le jus de feuilles d’ananas comme laxatif et pour traiter les vers intestinaux.

    NB : les personnes souffrant d’anémie doivent limiter leur consommation d’ananas, puisqu’il a été démontré que le manganèse qu’il contient limite l’absorption de fer.

     

     

    Sources:
    Natural cures not medicine
    Croah
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