• 10 bienfaits des châtaignes dans notre alimentation

     

     

     

     

     

     

    Saviez-vous que, grâce à leur apport en hydrates de carbone d'absorption lente et au fait qu'elles ne provoquent pas de pics d'insuline, les châtaignes peuvent être un grand allié pour les personnes diabétiques ?

    10 bienfaits des châtaignes dans notre alimentation

    La châtaigne est le fruit du châtaignier, un arbre connu scientifiquement sous le nom de Castanea sativa. Il appartient à la famille des fagaceae et se cultive dans des climats tempérés de l’hémisphère nord.

    La partie comestible de la châtaigne est de couleur blanc-jaune et a une saveur sucrée agréable.

    La noix du châtaignier est un fruit sec qui se mange principalement à l’automne et en hiver.

    Il est important de rappeler qu’elles ne doivent pas être consommées crues. Elles contiennent des composants (les tanins) qui peuvent provoquer des troubles digestifs.

    Les propriétés des châtaignes

    La principale propriété de ce fruit c’est qu’elle contient peu de calories, ce qui se combine parfaitement avec sa forte teneur en fibres, protéines et hydrates de carbone.

    Elles sont également une bonne source de minéraux comme le magnésium, le potassium, le fer et le phosphore.

    Valeur nutritionnelle des châtaignes

    100 grammes de châtaignes apportent :

    • environ 225 calories
    • 40 grammes d’eau
    • 40 grammes d’hydrates de carbone complexes
    • 6 grammes de graisses
    • 5 grammes de protéine végétale
    • 8 grammes de fibres

    Elles contiennent également de la vitamine E et du complexe B (B1, B2, B3, B6, B9).

    10 bienfaits de manger des châtaignes

    1. Les châtaignes sont bonnes pour rassasier

    Les bienfaits des châtaignes sur la santé

     

    Les châtaignes sont un aliment rassasiant grâce à leur teneur en fibres et en hydrates de carbone.

    Il est recommandé de les inclure dans l’alimentation mais sans excès au cas où vous souhaiteriez perdre du poids.

    2. Les châtaignes renforcent le système osseux

    Ces fruits secs nous apportent du calcium, du phosphore et du magnésium.

    Elles nous aident ainsi à garder le système osseux en bonne santé et à prévenir l’apparition de l’ostéoporose prématurée.

    3. Elles stimulent le fonctionnement de notre système nerveux

    Le système nerveux est très important car il est chargé de contrôler certains mécanismes du corps.

    En nous apportant des antioxydants, les châtaignes peuvent nous aider à prendre soin de ce système, car elles nous permettent de développer une bonne santé mentale.

    4. Des châtaignes pour les diabétiques

    Diagnostic diabète gestationnel

     

    Les personnes diabétiques peuvent tirer profit de la consommation de châtaignes.

    Les hydrates de carbone que nous apportent ces fruits sont à absorption lente et ne produisent donc pas d’altérations d’insuline dans le sang.

    5. Les châtaignes contiennent des acides aminés

    La châtaigne contient tous les acides aminés essentiels pour une alimentation saine.

    Ainsi, les personnes qui suivent une alimentation végane, les personnes âgées et les sportifs peuvent en consommer sans problème.

    6. Elles ne contiennent pas de gluten

    Intolérance au gluten

     

    Que ce soit dans le fruit ou la farine, cet aliment est un bon allié pour les personnes céliaques ou sensibles au gluten.

    Nous pouvons en profiter sous différentes formes afin de la substituer aux dérivés du blé contenant cette protéine.

    7. Les châtaignes protègent notre santé cardiovasculaire

    Les fruits secs sont des aliments qui aident à protéger le cœur et à améliorer la qualité de vie. Les châtaignes contiennent des graisses saines et apportent des acides gras oméga 6 et oméga 3 en bonne proportion.

    De plus, elles ne contiennent pas de cholestérol et sont donc une alternative naturelle qu’il faut inclure dans l’alimentation quotidienne.

    8. Des châtaignes pour la digestion

    Les châtaignes contiennent une grande quantité de fibres qui vont contribuer de manière positive à une bonne digestion.

    Ce fruit sec aide à garder la flore bactérienne dans de bonnes conditions afin de prévenir la constipation ainsi que des problèmes et des maladies de l’intestin grêle comme la diverticulose ou le cancer du côlon.

    9. Les châtaignes comme hypertenseur

    Les châtaignes comme hypertenseur

     

    Les personnes souffrant d’hypertension artérielle peuvent consommer des châtaignes sans problème grâce à leur faible teneur en sodium et leur forte teneur en potassium.

    De plus, grâce à leur effet diurétique, elles sont bonnes pour les personnes qui ont tendance à faire de la rétention d’eau.

    10. La châtaigne comme apport énergétique

    Pour prévenir ou améliorer la fatigue et dans le cas des personnes anémiées, les châtaignes peuvent être d’une grande aide grâce à leur apport en fer.

    Il est recommandé de les consommer avec des fruits contenant de la vitamine C afin de mieux l’assimiler.

    Enfin, la châtaigne n’est pas seulement bonne comme complément dans notre alimentation, mais elle est idéale pour des traitements externes, comme le soin de la peau et du cuir chevelu.

    On peut l’utiliser pour traiter les blessures ou les ulcères de la bouche, et elle aide également à diminuer l’inflammation et à soulager les maux de gorge.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est-ce que le métabolisme ?

    Avez-vous un métabolisme rapide ou lent ?

     

     

     

     

     

     

    Selon notre type de métabolisme, nous devrions suivre certaines habitudes alimentaires pour ne pas prendre ou perdre du poids et rester en bonne santé.

    Qu’est-ce que le métabolisme ? Avez-vous un métabolisme rapide ou lent ?

    Le métabolisme est une fonction de notre corps qui est responsable de la transformation des nutriments en énergie.

     

    Parfois, en raison de différents facteurs qui influent sur notre santé, notre métabolisme peut être plus rapide ou plus lent que la moyenne. Ce déséquilibre du métabolisme peut parfois provoquer des symptômes plus ou moins graves.

    Découvrez dans cet article toutes les informations sur le métabolisme et quelles sont les conséquences d’un métabolisme qui ne fonctionne pas correctement. Cela vous permettra également de suivre un régime le plus approprié possible selon votre cas.

    Qu’est-ce que le métabolisme ?

    Le métabolisme est l’ensemble des processus physiques et chimiques qui se produisent dans les cellules. Grâce à ces changements, les nutriments des aliments sont transformés en énergie.

    L’énergie produite par le métabolisme est utilisée dans différentes fonctions vitales :

    • Respiration
    • Digestion
    • Circulation
    • Température du corps
    • Élimination des déchets par les reins et l’intestin

    Le métabolisme affecte également les dépenses énergétiques. Pour cette raison, cette fonction est toujours prise en compte lorsque certaines personnes ne parviennent pas à perdre du poids malgré des régimes stricts.

    Pour cette raison, il est donc essentiel de suivre un régime approprié afin de réguler naturellement le métabolisme.

    Les symptômes d’un métabolisme lent

    symptômes du métabolisme lent

     

    Les personnes qui ont un métabolisme lent sont affectées par les symptômes suivants :

    • Difficulté à perdre du poids ou des changements de poids fréquents.La graisse s’accumule plus dans les hanches et les jambes
    • Fatigue et épuisement
    • Digestion lente ou difficile
    • Tendance à la constipation
    • Difficulté à se lever le matin
    • Tendance à la dépression, dans certains cas

    Les symptômes d’un métabolisme rapide

    Les personnes qui ont un métabolisme rapide sont affectées par les symptômes suivants :

    • Difficulté à prendre du poids. La graisse s’accumule plus dans les bras et l’abdomen.
    • Appétit constant.
    • Mauvaise absorption des nutriments dans l’intestin.
    • Excédent d’énergie.
    • Tendance à la nervosité et à l’anxiété.
    • Difficulté à s’endormir.

    Métabolisme et alimentation

    métabolisme et alimentation

     

    Il existe une théorie nutritionniste selon laquelle il y aurait une relation entre le type de métabolisme et les préférences alimentaires.

    De ce point de vue, il est essentiel de connaître le type d’aliments qui nous convient le mieux pour être en bonne santé et prévenir le surpoids. Selon votre type de métabolisme, découvrez le régime alimentaire le plus approprié à votre cas.

    Régime pour un métabolisme rapide

    Le type de métabolisme rapide correspond aux personnes ayant un bon appétit qui préfèrent généralement les aliments riches en graisses et en protéines. Ces personnes optent presque toujours pour des options salées plutôt que sucrées.

    Si c’est votre cas, pour garder un poids équilibré, vous devez réduire la consommation de glucides, en particulier les sucreries et les farines raffinées.

    Cependant, il est également très important de ne pas consommer trop de protéines animales. Pour cela, il faudra essayer de les mélanger avec des protéines végétales telles que les légumes secs et les noix.

    Les graisses ne sont pas nocives, tant que nous optons pour celles de bonne qualité :

    • Huiles de pression à froid : olive, noix de coco, sésame, lin
    • Avocat
    • Fruits secs
    • Graines
    • Ghee ou beurre clarifié
    • Jaune d’œuf
    • Poisson bleu

    Vous ne devez pas non plus oublier de combiner les portions de protéines et de graisses avec une bonne quantité de légumes crus. Vous pouvez les consommer dans des jus et des gazpachos, des smoothies ou des salades.

    Si vous avez beaucoup d’appétit, vous devriez faire plusieurs repas par jour sans sauter aucun d’entre eux.

    Régime pour un métabolisme lent

    régime pour un métabolisme lent

     

    Les personnes ayant un métabolisme lent ont tendance à prendre du poids et à ressentir de la fatigue, même si elles ne mangent pas trop. En ce sens, la meilleure solution est de suivre un régime alimentaire approprié.

    • Elles préfèrent généralement les produits sucrés, ce qui est une tentation qui, en général, n’est pas saine. Il serait conseillé de toujours consommer des glucides sains, fabriqués avec des édulcorants tels que la stévia et des farines complètes.

    L’avoine, par exemple, est une excellente céréale pour réaliser toutes sortes de sucreries appétissantes et délicieuses.

    • De plus, vous devrez également réduire la consommation de sel, qui entraîne généralement des gonflements et la rétention de liquides.
    • Lorsque vous avez un métabolisme lent, vous recherchez habituellement de l’énergie dans les stimulants tels que le café ou les boissons sucrées et énergétiques.

    Comme alternative, nous vous suggérons de préparer vos propres boissons énergisantes avec des fruits, du gingembre, du maca, du cacao pur, du ginseng, etc.

    • Par ailleurs, il faudra aussi apprendre à contrôler la consommation de graisses. Vous devrez les consommer en quantités modérées et choisir les mêmes que celles recommandées dans le cas d’un métabolisme rapide.
    • La consommation d’eau tout au long de la journée, à jeun et en dehors des repas, vous aidera aussi à accélérer votre métabolisme.

     

    Même s’il est important de rester actif pour accélérer son métabolisme, il est également fondamental de se reposer suffisamment la nuit. Vous devez dormir environ huit heures, pour que votre horloge biologique ne se dérègle pas.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • Choisissez la joie !

     

     

     

     

     

     
     
     
    "Un cœur joyeux est un bon remède, mais un esprit abattu dessèche les os ."Proverbes 17.22
     
     

    Saviez-vous que le rire est un si bon remède qu'il peut soulager le stress, guérir les maux de tête, combattre les infections et réduire l'hypertension ? Selon les médecins, le rire produit les mêmes effets bénéfiques qu'un exercice physique intense.

    Lorsque nous rions à gorge déployée, nos muscles se contractent dans tout le corps, le cœur bat plus vite et la pression sanguine augmente. Un seul éclat de rire peut faire passer votre pouls de 60 à 120, pendant que votre tension augmente sensiblement. Au moment où vous cessez de rire, votre rythme cardiaque revient à la normale, signe d'un stress qui diminue.

    Dieu a créé le rire parce qu'il sait qu'il est bon pour votre santé. Cependant ne confondez pas bonheur et gaieté. La gaieté vient de la joie, non du bonheur, et le comprendre est crucial pour votre bien-être.

    Il y a des moments où nous ne pouvons ni ne devrions être heureux, lorsque les gens sont blessés, traversent des drames, perdent leur emploi ou leurs bien-aimés. Face à l'injustice, le bonheur est incongru, voire impossible.

    Pourtant la joie de savoir que Dieu nous aime et nous accepte sans condition nous permet de retrouver le sourire.

    Un choix pour aujourd’hui

    Le bonheur est extérieur, la joie est intérieure.

    Le bonheur vient des circonstances, la joie du caractère.

    Le bonheur dépend de ce qui nous arrive, la joie dépend de celui qui vit en nous.

    Le bonheur se base sur la chance, la joie est fondée sur un choix.

    Alors aujourd'hui, choisissez la joie !

     
    Choisissez la joie !
     
    Source : topchretien.com
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • Lutter pour être ensemble : est-ce une preuve d’amour ?

     

     

     

     

     

     

    Si seulement l'un des conjoints lutte pour que le couple perdure tandis que l'autre ne donne pas de preuves d'amour, il est clair que la relation n'a pas d'avenir et que nous devons la fuir le plus rapidement possible.

    Lutter pour être ensemble : est-ce une preuve d’amour ?

    Lutter pour être ensemble peut être considéré comme quelque chose de très romantique. Toutefois, à l’heure de la vérité, cela vaut-il la peine de lutter pour un amour qui n’a peut-être pas d’avenir ?

    C’est pourquoi il faut réfléchir aux raisons de notre bataille et aux raisons pour lesquelles nous la menons.

    Car peut-être que mon conjoint me maltraite mais que je le supporte car je pense ainsi lutter pour que notre relation perdure.

    Mais vaut-il vraiment la peine de rester ensemble ? De nombreuses personnes disent que l’amour n’est pas une lutte. L’amour se construit au jour le jour, et les deux personnes doivent être impliquées dans ce processus.

    Lutter pour être ensemble suppose une grande fatigue

    femme malheureuse dans son couple

     

    Il faut bien avoir à l’esprit que lutter pour être ensemble suppose une grande perte d’énergie. Nous mettons toutes nos forces pour permettre à notre relation de perdurer alors qu’elle est sur le point de s’achever.

    Il est possible que nous ayons rompu et que nous nous soyons remis avec la même personne un nombre incalculable de fois. C’est ce que nous pourrions appeler les « relations intermittentes ».

    Il est également possible que notre conjoint soit loin et que ce ne soit pas quelque chose qui soit près de changer. Mais nous sommes là, au bord du ravin, à garder nos espoirs et nos attentes irréelles.

    Même si lutter pour être ensemble peut nous achever, c’est quelque chose que nous avons tous déjà fait au moins une fois et nous en connaissons les raisons.

    L’amour semble tout justifier et il existe même une croyance populaire à ce sujet : en amour, il faut lutter et supporter. Mais est-ce vrai ?

    La réponse est que cela dépend. Si un couple a eu une relation intermittente et qu’à chaque fois qu’ils recommencent à sortir ensemble, ils finissent par rompre au bout de quelques mois, quand se rendront-ils compte que ce sera toujours la même dynamique ?

    Si une relation se maintient à distance, mais qu’à long terme les deux personnes ne pourront être réunies, pendant combien de temps le couple va-t-il garder ses espoirs peu réalistes quant au fait que la relation va de l’avant ?

    « Les jeunes d’avant supportaient davantage de choses dans une relation »

    L'amour à l'âge mûr

     

    Cette phrase que prononcent très souvent les personnes âgées évoque une réalité.

    De nos jours, on a l’impression de consommer des relations, au lieu de nous efforcer de les conserver. Mais ce n’est pas toujours le cas.

    Tenir bon dans une relation ne doit pas vouloir dire « je dois supporter que mon conjoint lève la main sur moi, qu’il me manque de respect ou m’humilie » ou « je dois supporter qu’il m’ait été infidèle ».

    Non. Tenir bon doit être compris comme une circonstance qui affecte la relation, mais qui ne suppose pas que l’un des membres souffre à cause de l’autre.

    Par exemple, quand l’un des conjoints a perdu son travail, qu’il manque d’argent, quand les enfants sont un peu rebelles…

    Il existe des situations dans lesquelles il faut lutter pour que la relation avance, car certaines circonstances que l’on n’a pas forcément choisies peuvent l’affecter.

    Mais lorsque l’autre personne nous fait du mal, que sommes-nous en train de supporter ?

    En amour, tout n’est pas bon

    couple assis sur un banc

     

    Lorsque nous devons lutter pour être ensemble, il est nécessaire de se redemander si cela en vaut la peine.

    Dans les exemples que nous avons déjà commentés, il s’agit parfois d’aller à contrecourant face à quelque chose qui ne durera pas. Mais nous résistons au nom de l’amour.

    Nous oublions qu’en amour, tout n’est pas bon, et que l’amour ne peut pas tout résoudre. Nous pouvons tomber amoureux d’une personne qui finira par nous faire du mal, mais cela n’implique pas que nous devions le supporter.

    Nous sommes prioritaires, notre bonheur est le plus important et si en luttant nous nous épuisons pour rien, cessons de nous fourvoyer et jetons l’éponge.

     

    Nous devons apprendre à voir les choses de loin afin de prendre les meilleures décisions et surtout, empêcher que tout ce que nous faisons suppose un effort surhumain qui finira par nous achever.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Découvrez 4 remèdes naturels qui vous aideront

    à traiter l’hypertension

     

     

     

     

     

    L'ail, l'huile d'olive, le citron et le chocolat noir sont d'excellentes alternatives naturelles contre l'hypertension artérielle. Vous serez surpris de voir à quel point ces remèdes sont accessibles et simples à préparer.

    Découvrez 4 remèdes naturels qui vous aideront à traiter l’hypertension

    En matière de santé, toute alternative qui a au moins une preuve scientifique pour améliorer un état clinique est toujours la bienvenue. Aujourd’hui, nous vous présentons une série de remèdes naturels qui vous aideront dans le traitement de l’hypertension. Vous verrez qu’ils sont faciles à préparer.

    Mais vous devez d’abord savoir qu’un patient n’est diagnostiqué avec de l’hypertension (hypertension artérielle) qu’une fois que le médecin a pris sa tension artérielle régulièrement, et au cours de plusieurs contrôles consécutifs.

    Votre médecin vous dira à quelle fréquence vous devriez mesurer votre tension. L’hypertension artérielle est habituellement diagnostiquée après deux mesures consécutives ou plus avec des valeurs trop élevées.

    Vous devez garder une chose à l’esprit en permanence. Avoir la pression artérielle trop élevée peut avoir de graves conséquences sur la santé comme un accident vasculaire cérébral, une thrombose, une paralysie faciale et même un infarctus du myocarde. Nous ne voulons pas vous alarmer inutilement, mais nous voulons juste que vous sachiez à quel point il est important de garder cette affection sous contrôle, pour votre propre santé.

    4 remèdes naturels pour traiter l’hypertension

    Vous serez étonné de voir à quel point ces remèdes sont simples et accessibles.

    1. Jus de citron et persil

    jus de citron

     

    La rétention des liquides dans le corps humain n’est jamais un signe positif, surtout si vous souffrez d’hypertension. Le citron a de merveilleuses propriétés à cet égard, car il est un vecteur exceptionnel de vitamine C. Idéal pour combattre les toxines et les agents qui s’accumulent par le stockage des liquides.

    De plus, la propriété primordiale du jus de citron est sa capacité diurétique et filtrante. Rappelez-vous, comme tout bon fruit, il contient de grandes quantités d’eau. C’est un l’outil idéal pour une dépuration sûre et naturelle de l’organisme.

    Il est recommandé de consommer un ou deux verres de jus de citron non sucré par jour, à jeun. Ceci, afin de conditionner le corps à la purification et à l’élimination des substances qui peuvent augmenter la tension artérielle. Prévention et Discipline sont des gages de la réussite du traitement.

    2. L’ail

    ail

     

    L’ail est la star dans le monde des remèdes naturels. Il est considéré comme extrêmement utile pour le traitement d’innombrables pathologies médicales, nutritionnelles, orthopédiques et de nombreuses autres pathologies. En cas de tension artérielle  élevée ou d’hypertension, l’ail est indiqué pour en soulager les symptômes.

    De nombreux spécialistes recommandent la consommation d’ail comme traitement naturel contre l’hypertension artérielle et la réduction du cholestérol. Les propriétés de l’ail procurent des bienfaits dans la dilatation des artères, tout en aidant à prévenir la formation de thrombus.

    Il peut être consommé en tablettes (comprimés d’ail). Vous pouvez aussi ajouter facilement de l’ail à vos recettes ou consommer une gousse d’ail tous les jours, après avoir laissé reposer pendant 6 à 8 heures dans un verre d’eau. Vous pouvez le mettre à macérer pendant la nuit et le prendre le lendemain matin.

    3. Le chocolat noir

    chocolat noir

     

    Nous savons très bien que vous adorez tous ce remède. Rien que d’en parler, on en a envie. Le chocolat noir contient des flavonoïdes, qui procurent des bienfaits extraordinaires pour la santé du cœur et aident à abaisser la tension artérielle.

    Par conséquent, certains spécialistes recommandent d’en consommer une petite dose quotidienne. Gardez à l’esprit qu’il faut manger du chocolat noir, car le chocolat au lait n’a pas les mêmes effets sur l’organisme.

    4. L’huile d’olive

    huile d'olive

     

    Depuis l’époque des Égyptiens, les bienfaits attribués à l’olive et à ses dérivés sont bien connus dans le domaine de la santé. En ce qui concerne l’hypertension, l’huile d’olive fonctionne comme un régulateur naturel dans le corps.

    Cette graisse saine est composée de trois mille composants différents. Parmi ses propriétés exceptionnelles, mentionnons : elle aide à prévenir l’oxydation cellulaire, à mieux réguler et contrôler le diabète et à réduire le mauvais cholestérol.

    Vous le savez maintenant. Incorporez l’huile d’olive dans votre alimentation et vous prendrez soin de votre santé. Toutefois, comme pour les remèdes décrits ci-dessus, leur effet au sein de l’organisme sera renforcé si vous en consommez régulièrement d’une manière raisonnable.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • AVC : LES PREMIERS SIGNES

     

     

     

     

     

    En France, un AVC survient toutes les 4 minutes. Pour limiter au maximum les risques de séquelles importants, il faut réagir le plus vite possible. Le meilleur moyen étant de savoir exactement à quoi s'attendre. Mal de tête, trouble de la parole, visage qui s'affaisse... Voici les premiers signes de l'AVC qui doivent vous alerter. 

     

    Le visage qui s'affaisse d'un côté

     

    Première cause de handicap physique en France, l'AVC fait partie des situations d'extrême urgence qui nécessitent une prise en charge immédiate. Plus on attend pour prodiguer les premiers soins, plus les séquelles sont importantes. Il est impératif de connaître les premiers symptômes. Parmi eux : savoir qu'un tiers des patients touchés par un AVC ressent une perte de sensibilité de la face, partielle ou complète, d'un coté du visage, rapporte l'Association AVC France.

    Qu'est-ce qu'on ressent ? "La bouche n'est plus homogène entre la gauche et la droite du visage", nous explique le Pr Denis Vivien, spécialiste en neurologie. La victime peut ressentir une impossibilité à sourire et constater qu'un côté de son visage s'affaisse.

     

    Un membre paralysé d'un côté

    L'AVC peut être de deux natures différentes, soit c'est une artère du cerveau qui est bouchée et empêche le sang d'irriguer le cerveau, on parle alors d'AVC ischémique. Soit c'est une hémorragie cérébrale à causée par la rupture d'un vaisseau , c'est un AVC hémorragique. "On ne peut pas dire que certains symptômes sont plus spécifiques à un type d'AVC qu'un autre", précise le Pr Denis Vivien, spécialiste en neurologie. Mais parmi ces signes ont retrouve notamment la paralysie d'un membre du corps.

    Qu'est-ce qu'on ressent ? "C'est une partie du corps qui n'est plus fonctionnelle en fonction de la zone du cerveau touchée, ajoute notre interlocuteur, parfois c'est juste un membre, parfois c'est tout le côté entier. On peut sentir une sensation complètement différente dans un membre d'un seul coup." Attention : dans certains cas la paralysie s'en va puis revient il s'agit d'un AVC transitoire, un caillot qui se forme dans le cerveau puis régresse et revient, cela reste un danger potentiel et constitue un risque de faire un AVC dans les heures ou jours qui suivront.

     

    La perte de la vision

     

    Que ce soit une artère bouchée ou une hémorragie, l'AVC peut survenir dans n'importe quelles zones du cerveau. "Il faut voir les carotides du cerveau comme les deux troncs d'arbre qui irriguent l'organe, explique le Dr Vivien, neurologue. Il y a les grosses et les petites branches. Si l'AVC touche les grosses branches les conséquences seront plus grandes que dans les petites." Si le phénomène se déclenche dans une artère où se trouvent les vaisseaux qui irriguent les zones de l'oeil, par exemple, cela peut causer des troubles de la vision.

     

    Qu'est-ce qu'on ressent ? "Tout dépend de la sévérité, soit on voit trouble, soit on perd carrément la vision. Dans le cas d'un AVC transitoire, la vision peut revenir et repartir." Seul un oeil sera concerné, on ne fait jamais un AVC dans les deux hémisphères du cerveau.

     

    Une incapacité à parler

     

    L'AVC est un accident qui survient brusquement et dans 60% des cas, cela arrive au réveil. Il n'implique pas que des symptômes physiques, il y a également des troubles mentaux : des troubles de la mémoire ou de l'élocution, par exemple.

     

    Qu'est-ce qu'on ressent ? Le symptôme est soudain, la minute précédente la parole est fluide et l'autre on n'y arrive plus. "Tout dépend de la zone touchée, explique le spécialiste. On peut être complètement aphasique, c'est-à-dire incapable de parler, mais on peut également avoir des troubles de la parole, c'est-à-dire qu'on pense le mot mais il ne vient pas."

     

    Un mal de tête comme jamais on a ressenti

    Que ce soit hémorragique ou à cause d'une artère bouchée, tout se passe dans le cerveau. Dans le cas d'un AVC hémorragique, le sang se répand dans la zone touchée et augmente la pression intracrânienne. "Le cerveau est une boîte fermée alors si on y verse du liquide dedans, ça comprime les tissus cérébraux qui vont mourir et créer des troubles", explique notre interlocuteur. Voilà pourquoi il est possible de ressentir un fort mal de tête quand l'AVC se produit.

    Qu'est-ce qu'on ressent ? "Les victimes parlent d'une douleur à la tête comme jamais elles n'ont ressenti", détaille le spécialiste.

    Attention à ne pas paniquer au moindre mal de tête : dans le cas de l'AVC la douleur est très forte, explosive, soudaine et non progressive comme pour la migraine.

     

    Une difficulté à marcher ou des pertes d'équilibre

     

    Selon une enquête de Handicap Santé, dans 42% des cas d'AVC, les difficultés à marcher font partie de la liste des séquelles. Mais les troubles de l'équilibre ne sont pas seulement une conséquence de l'accident cardiovasculaire cérébral, ils font également parties des signes d'alerte.

    Qu'est-ce qu'on ressent ? Tout dépend de la zone du cerveau touchée mais qu'il soit hémorragique ou ischémique, l'AVC peut endommager les fonctions d'un ou plusieurs membres mais d'un seul côté. De ce fait le patient peut avoir des difficultés à marcher ou des pertes d'équilibre.

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : Merci au Pr Denis Vivien, spécialiste en neurologie 
    France AVC, Prévenir les AVC

    medisite.fr 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Avez-vous demandé à Dieu ?

     

     

     

     

     

     
    "Demandez toujours à Dieu ce qu'il vous faut."Philippiens 4.6
     
     

    Imaginez-vous entrer dans un restaurant et demander si votre repas est prêt. Vous n’avez rien commandé et vous pensez simplement qu’il y aura peut-être quelque chose à votre nom. C’est aussi ridicule que d’espérer que Dieu réponde à des prières que vous n’avez pas faites, en tous cas pas avec foi.

    La Bible dit : "Vous ne possédez pas, parce que vous ne demandez pas." Jacques 4.2 Non, Dieu ne vous donnera pas tout ce que vous demandez.

    "Vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, afin de tout dépenser pour vos passions." Jacques 4.3 Vos requêtes doivent être en harmonie avec la volonté de Dieu.

    "Si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute." 1 Jean 5.14

    Jérémie a dit : "L'Éternel est bon pour qui espère en lui." Lamentations de Jérémie 3.25 Une prière pleine d’espoir démontre une confiance en la bonté de Dieu. Plutôt que de vous tracasser, d’en parler à tout le monde sauf à Dieu, ou de chercher à vous débrouiller seul(e), dites : "Seigneur, je vais te faire confiance quelle que soit l’issue", et Dieu honorera votre foi.

    Paul écrit : "Demandez toujours à Dieu ce qu'il vous faut. Et quand vous priez, faites vos demandes avec un cœur reconnaissant." Phillippiens 4.6

    Vous cherchez un emploi ? De l’aide pour surmonter un problème ? Le salut pour un proche ? Une marche spirituelle plus riche ? La guérison du corps ou du cœur ? Un guide ? Jésus a dit : "Votre Père a trouvé bon de vous donner le royaume." Luc 12.32

    Une action pour aujourd'hui

    Dieu veut être bon avec vous, alors confiez-lui ce que votre cœur désire. Puis remerciez-le et croyez que sa réponse viendra en temps voulu !

     
    Avez-vous demandé à Dieu ?
     
    Source : topchretien.com
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • LES PIRES ALIMENTS POUR LE FOIE

     

     

     

     

     

    Même si votre foie est en bonne santé, certaines habitudes alimentaires peuvent endommager son fonctionnement. Medisite fait le point sur les aliments et boissons à consommer avec modération pour préserver l’état de cet organe, avec les conseils d’Anne Guillot, diététicienne-nutritionniste.

     

    Foie et alimentation : quel lien ?

    Le foie est un organe du système digestif. Il y est connecté via la veine porte, qui apporte au foie du sang chargé en substances issues de la digestion. Les cellules du foie absorbent ces substances et les traitent de différentes façons selon leur nature : elles vont organiser le stockage des nutriments et au contraire la dégradation des toxines. Le foie est également chargé de fabriquer la bile nécessaire à la digestion des graisses. C’est pourquoi notre nourriture peut avoir un impact sur la santé du foie. Mais "entre aliments et santé du foie, c’est souvent une question de quantité", explique Anne Guillot, diététicienne nutritionniste. La clé d’un bon fonctionnement hépatique est donc de consommer avec modération les aliments mauvais pour le foie.

    Les lasagnes : une inflammation du foie

    Pourquoi ? "Les plats qui contiennent de fromage ou des sauces à base de produits laitiers associent généralement des glucides (des sucres) et des protéines. Problème : à haute température – comme lors d’une cuisson au four ou d’une cuisson industrielle – ce mélange est le siège d’une réaction chimique appelée réaction de Maillard" met en garde Anne Guillot. "Cette réaction, qui confère notamment à la viande son bon goût rôti, correspond en réalité à la formation d’acrylamides, des radicaux libres à l’origine d’une inflammation du foie" ajoute la diététicienne nutritionniste Quels aliments ? Les aliments concernés sont par exemple les gratins, les tourtes ou les lasagnes qui associent viande, béchamel et fromage. Consommez-les avec modération.

     

    La viande : pas plus de 500 grammes par semaine

    Pourquoi ? La viande hors volaille - c’est-à-dire le bœuf, le veau, le porc, l’agneau… - constitue un risque pour le foie quand elle est consommée en excès. En effet, "les graisses de la viande ont besoin de bile pour être digérées. Comme c’est le foie qui fabrique la bile, la digestion de quantités importantes de viande représente une surcharge de travail pour cet organe" explique Anne Guillot. De plus, "la graisse consommée en excès s’accumule dans les cellules du foie et augmente le risque de dyslipidémie telle que l’excès de cholestérol et de triglycérides", avertit la diététicienne nutritionniste. Comment faire ? L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) recommande dans son actualisation des repères de consommations alimentaires de décembre 2016 "une consommation maîtrisée de viande hors volaille (bœuf, veau, porc, agneau, etc.), ne devant pas dépasser 500 g par semaine". S’en tenir à cette limite supérieure protègera votre foie. Et la charcuterie ? La charcuterie n’est désormais plus considérée comme une viande. Selon l’ANSES, il ne faut pas en consommer plus de 150 grammes par semaine. "Le jambon blanc est l’aliment de ce groupe à privilégier", précise Anne Guillot.

     

    Les frites : "Un des pires aliments"

    Pourquoi ? "Les aliments qui combinent des mauvaises graisses – saturées et polyinsaturées – cuites à température élevée et des glucides (des sucres) sont difficiles à digérer et fatiguent le foie" révèle Anne Guillot. Les aliments frits, telles que les frites qui associent de l’huile de cuisson et le sucre contenu dans les pommes de terre sous forme d’amidon, en sont un bon exemple. "Les frites sont en réalité l’un des pires aliments car elles ne sont pas seulement mauvaises pour le foie : elles favorisent également l’excès de cholestérol et nuisent à la bonne santé cardiovasculaire comme l’explique la Fédération Française de Cardiologie* (FFC)" note la diététicienne nutritionniste. À noter : Le problème réside principalement dans la consommation excessive de ces aliments car "c’est lorsque la quantité de graisse consommée est trop élevée par rapport aux besoins du corps que les cellules du foie sont surchargées", détaille Anne Guillot. Comment faire ? Consommez les aliments frits de manière très occasionnelle. "Attention surtout au piège des restaurations collectives où l’on pourrait facilement se laisser tous les jours tenter par le célèbre steak-frites", conseille la spécialiste.

     

    *Les aliments frits, dangereux pour le cœur. Fédération Française de Cardiologie

     

    Les pâtisseries industrielles : un danger à long terme

    Pourquoi ? "Les aliments qui contiennent du sucre ajouté en excès représentent dans un premier temps un problème pour le pancréas. Mais, à long terme, quand le pancréas fatigue, le foie fatigue aussi", révèle Anne Guillot. Comment faire ? Consommez avec modération les aliments sucrés tels que les pâtisseries et les viennoiseries, "notamment celles qui sont industrielles car elles combinent des mauvaises graisses industrielles cuites à des températures élevées et du sucre", un mélange délétère pour la santé.

     

    Le café : pas plus de deux tasses par jour

    L’impact de la consommation de café sur le foie dépend de la quantité mais aussi de chaque personne. En effet, "le café contient de la caféine et chacun y est plus ou moins sensible" constate Anne Guillot. "Pour un foie en bonne santé, le café ne pose généralement pas de problème quand on adopte une consommation modérée d’environ deux tasses par jour" remarque la diététicienne nutritionniste.

     

    Les sodas, un risque de maladie du "foie gras"

    Pourquoi ? Le fructose est un sucre qui, dans certaines conditions, représente un risque pour le foie. "On ne parle pas ici du fructose contenu naturellement dans les fruits car, dans ce cas, le fructose est lié aux fibres du fruit. Il est donc transformé dans l’intestin et ne cause pas de dommage sur le foie. Le fructose qui doit alerter est celui ajouté aux boissons et aux aliments industriels, notamment sous l’appellation 'sirop de glucose-fructose' " détaille Anne Guillot. "Ce type de fructose est alors présent en trop grande quantité pour être uniquement transformé dans l’intestin et le sera donc dans le foie. Dans cet organe, il est converti en graisse, elle-même stockée dans les cellules du foie. Cette situation augmente le risque d’excès de cholestérol mais aussi de maladie du foie gras, également appelée stéatose hépatique" alerte la diététicienne nutritionniste. Or la maladie du foie gras peut évoluer en fibrose, en cirrhose voire en cancer du foie si elle n’est pas traitée.Comment faire ? Limitez votre consommation d’aliments qui contiennent du sirop de glucose-fructose. "Pour cela, lisez bien les étiquettes, notamment celle des sodas, des limonades, des chocolats industriels et des viennoiseries industrielles" recommande la spécialiste.

     

    Les boissons alcoolisées : toxiques pour le foie

    Les boissons alcoolisées contiennent de l’alcool (de l’éthanol) qui, une fois ingéré, est principalement transformé par le foie. C’est en effet dans les cellules du foie que l’éthanol est converti en acétaldéhyde, un composé hautement toxique qui altère le fonctionnement des cellules, notamment des cellules hépatiques. À noter : Le foie est d’autant plus agressé par l’éthanol que la quantité de boissons alcoolisées consommées est élevée et que l’absorption est réalisée sur un temps court. Comment faire ? On ne saurait trop le répéter : l’alcool est à consommer avec modération ! L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a ainsi fixé une limite supérieure de 14 verres par semaine (soit 2 verres/jour maximum) pour une femme et de 21 verres par semaine pour un homme, "seuil au-delà duquel la consommation d'alcool devient dangereuse pour la santé, et pas seulement pour le foie", précise Anne Guillot. Un verre standard d’alcool correspond à 2,5 centilitres (cl) d’alcool fort à 45° ou 7 cl d’alcool à apéritif à 18° ou 25 cl de bière à 5° ou 12 cl de vin à 12,5°.

     

     
     
     

     

     

     

     

     

    Sources : Merci à Anne Guillot, diététicienne nutritionniste. 
    -Site internet du Centre Hépato-Biliaire de l’hôpital Paul Brousse
    Je détoxifie mon foie, c’est parti ! Christopher Vasey, éditions Jouvence 2016
    Actualisation des repères du PNNS : révision des repères de consommations alimentaires – Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), décembre 2016. 
    Les aliments frits, dangereux pour le cœur. Fédération Française de Cardiologie

    medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • L’eczéma : causes, symptômes, diagnostic et traitement

     

     

     

     

     

    L'eczéma peut s'améliorer avec des changements au niveau de son alimentation. Néanmoins, il est tout de même indispensable de consulter un dermatologue, afin d'obtenir un diagnostic personnalisé et quelques conseils pour soulager cette maladie de peau.

    L’eczéma : causes, symptômes, diagnostic et traitement

    L’eczéma est une maladie de peau fréquente. Cette pathologie cutanée a augmenté de façon considérable dans les zones industrielles à cause de facteurs environnementaux. Entre 10 et 20 % de la population des pays ayant un fort taux de pollution souffre d’eczéma.

    La peau est le plus grand organe de l’organisme. Étant la couche du corps la plus exposée aux attaques extérieures, elle est en contact avec tout type d’agents externes. C’est aussi l’organe à travers lequel nous pouvons découvrir les signaux d’alerte de nombreuses maladies.

    Découvrons ensemble, dans cet article, quelles sont les causes de l’eczéma, ainsi que les symptômes et le traitement le plus approprié pour traiter cette maladie de peau.

    L’eczéma, qu’est-ce que c’est ?

    L’eczéma est une inflammation de la peau qui peut apparaître dans n’importe quelle zone du corps.

    Dans la plupart des cas, cette inflammation s’accompagne de démangeaisons, de rougeurs, d’ampoules et de taches dans la zone affectée.

    Ce trouble de la peau peut survenir à tout âge, et sans raison claire. Il peut disparaître au bout d’un certain temps, ou bien être très résistant face à tous les traitements possibles. Lorsque c’est le cas, cela s’explique généralement par la difficulté à déterminer la cause à l’origine de l’eczéma.

    Les types d’eczéma 

    de l'eczéma sur les mains

     

    L’eczéma présente un patron clinique très large. Les zones du corps affectées peuvent varier.

    Les types d’eczéma se divisent selon :

    • les facteurs exogènes : eczéma de contact irritatif ou allergique
    • les facteurs endogènes :  la dermatite séborrhéique, la dermatite atopique et l’eczéma nummulaire

    Les causes

    Il existe une longue liste de facteurs qui provoquent ou aggravent l’eczéma. Parmi eux, se trouvent les facteurs suivants :

    • la pollution environnementale
    • le contact avec des substances toxiques
    • une alimentation peu équilibrée
    • des intolérances alimentaires
    • des produits de cosmétique, des crèmes ou des lotions après-rasage
    • des émissions industrielles ou des émissions de véhicules à moteur
    • des résidus environnementaux de centrales électriques
    • la consommation de tabac
    • des facteurs génétiques
    • des shampoings, des teintures pour les cheveux, des produits pour les cheveux, etc.

    Les symptômes 

    de l'eczéma sur les bras

     

    Les symptômes de cette maladie cutanée sont très faciles à identifier, car les signaux d’alerte sont visibles :

    • des plaques rouges, des ampoules ou des croûtes
    • des zones de la peau irritées, notamment au niveau des coudes et au niveau des genoux
    • des squames au niveau du cuir chevelu
    • des ulcères aqueux, lesquels ont tendance à souffrir d’infections bactériennes

    Le diagnostic

    Pour diagnostiquer un eczéma, il faut prendre en compte l’aspect de la lésion, mais il est possible de confondre avec d’autres troubles cutanés.

    Les seuls tests cutanés existants déterminent seulement si la cause à l’origine de l’eczéma a un lien avec une allergie.

    Le mode de vie moderne et les mauvaises habitudes nutritionnelles a augmenté la susceptibilité des personnes face aux allergènes.

    Le traitement

    panier de fruits et légumes

     

    Le traitement consiste à éliminer les facteurs à l’origine de l’eczéma, lesquels, comme vu précédemment, peuvent être très variés.

    Les médicaments traditionnels sont les suivants : les corticostéroïdes, les antihistaminiques et les antibiotiques. Néanmoins, ces médicaments ne sont pas toujours efficaces, notamment en cas de diagnostic difficile, raison pour laquelle les symptômes peuvent réapparaître. De plus, ces médicaments ont des effets secondaires pour la santé.

    À l’inverse, la médecine naturelle se base sur l’alimentation pour déterminer un traitement approprié selon le cas.

    Une alimentation spécifique 

    Les personnes qui souffrent d’eczéma ou de problèmes de peau de façon générale ont tendance à abuser des produits laitiers, du sucre, des farines raffinées, et du gras.

    La desquamation de la peau a un lien avec l’abus de gras : ce symptôme indique une accumulation de graisse sous la peau et une surcharge du système digestif et du système lymphatique.

    Il faut éliminer de son alimentation les produits néfastes tels que les produits raffinés et les plats préparés (pizzas, pommes de terre, hamburgers, glaces, etc.), et augmenter sa consommation d’aliments naturels, frais et nutritifs tels que :

    • les fruits et les légumes crus (salades, smoothies, jus) et cuisinés
    • les céréales complètes tels que le riz, le maïs, le quinoa et le sarrasin
    • les légumineuses
    • les fruits secs et les graines
    • les graines germées
    • les aliments fermentés tels que la choucroute ou le kéfir
    • les champignons
    • les algues
    • les huiles végétales obtenues par première pression à froid telles que l’huile de lin, l’huile d’onagre, l’huile d’olive ou encore l’huile de coco

    Des plantes dépuratives

    Pour combattre la surcharge de toxines dans la peau et dans les autres organes, il est possible de trouver des remèdes naturels élaborés à partir de plantes médicinales dépuratives. Les plantes les plus bénéfiques sont les suivantes :

    Vous pouvez les consommer sous forme d’infusions, d’extraits ou de comprimés pendant au moins trois mois.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Quelle cause servez-vous ?

     

     

     

     

     

    "Je suis prêt non seulement à être emprisonné, mais encore à mourir à Jérusalem pour le nom du Seigneur Jésus."Actes 21.13

    Un prophète du nom d’Agabus annonça à Paul une épreuve terrible s’il montait à Jérusalem. Ses amis firent tout pour le dissuader de s’y rendre.  Mais l’apôtre connaissait la cause pour laquelle il vivait et ne se laissa pas dissuader. Il fit ce qu’il était appelé à faire, même si pour cela il devait payer le prix fort. Paul servait une cause et personne ne pouvait le détourner de sa mission.

    Choisissez Jésus pour cause et votre vie aura des effets !

    Le pasteur Martin Luther King déclara : "Tant qu’un homme n’a pas découvert la cause pour laquelle il serait prêt à mourir, il n’est pas à même de vivre." Ce jeune prédicateur avait un rêve immense. Plusieurs dizaines d’années plus tard, nous ressentons encore les effets de la cause de MLK.

    Lorsque qu’un jeune homme du nom de David Wilkerson partit de sa campagne pour évangéliser dans les rues de New-York, il prit un risque énorme. Un chef de gang portoricain, Nicky Cruz, le menaça de le découper en mille morceaux. Le jeune prédicateur lui répondit : "Tu pourrais me déchiqueter en un millier de fragments, que chaque bribe de mon corps te dirait encore que Jésus t’aime." Faire connaître Jésus Christ aux jeunes des gangs de New-York était une grande cause à ses yeux. Des décennies plus tard, nous en ressentons encore les effets.

    Dernièrement, nous avons reçu dans notre église Momentum à Bordeaux, le pasteur Bill Willson. Un mois avant sa venue, il avait été victime d’une arme à feu alors qu’il aidait les enfants en Afghanistan. Ce n’était pas sa première blessure par balle. Il est régulièrement attaqué : coups de poing, attaques au couteau ou au révolver… Mais faire connaître la cause de Christ auprès des enfants des rues est toute sa vie. C’est sa cause, et son effet est puissant.

    La cause de Jésus, c’est nous. C’est pourquoi il est allé jusqu’à mourir sur le bois de la croix afin que nous soyons sauvés et réconciliés avec Dieu. Les effets de la croix ont transcendé les siècles et chaque jour des personnes se retrouvent au bénéfice de ce sacrifice.

    Une vie sans cause est une vie sans effets… Choisissez Jésus pour cause et votre vie aura des effets !

    Une prière pour aujourd’hui
    Seigneur, je te livre ma vie, tu es ma cause, ma raison d’être, c’est pour toi que je vis, amen.

          

    Quelle cause servez-vous ?

     

     
     
     
     
     
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  • Comment faire durer l’amour au sein du couple ?

     

     

     

     

     

     

    La base d'un amour durable est l'amour de soi-même, car une bonne estime de soi est un élément indispensable pour parvenir à établir des relations solides et mûres capables de perdurer.

    Comment faire durer l’amour au sein du couple ?

    Nous recherchons presque tous une personne qui nous corresponde pour ainsi commencer une histoire d’amour durable, une histoire qui perdure. Toutefois, comme nous le savons tous, ce sujet est plus compliqué qu’il n’y paraît.

    Créer une relation sentimentale durable n’est pas chose simple. Plusieurs éléments interviennent dans ce processus, lesquels sont si complexes que souvent nous ne parvenons pas à les contrôler : les aspects émotionnels, physiques, psychologiques et les expériences.

    Néanmoins, nos relations ne dépendent pas de la chance, du destin ou des personnes que nous croisons sur notre chemin, mais dépendent de nous, de notre intérieur.

    Découvrons ensemble, dans cet article, quelques éléments clés pour créer un amour durable.

    1. Encourager l’estime de soi

    Femme qui s'enlace elle-même

     

    Certains psychologues considèrent que, lorsqu’une personne a besoin qu’une relation dure, c’est que, très probablement, cette personne a une faible estime de soi.

    Une personne qui cherche désespérément à trouver quelqu’un de fiable qui l’aime est confrontée au problème d’un manque de confiance en soi.

    Dans ces cas-là, la meilleure chose à faire est d’éclaircir le panorama en identifiant clairement ses besoins avant de prendre des décisions précipitées. Une personne qui souffre d’une faible estime de soi n’est pas préparée à vivre une relation saine.

    À l’inverse, les personnes qui ont une grande estime de soi ne ressentent pas le besoin de trouver absolument quelqu’un : elles n’ont pas besoin qu’une personne soit à leurs côtés à tout moment.

    2. Ne pas idéaliser l’amour

    Sa vision de l’amour peut représenter un inconvénient au moment de le chercher. Il existe de nombres idées préconçues, de nombreux préjugés et de nombreux apprentissages culturels erronés sur ce qu’une relation de couple doit être.

    « Trouver son prince charmant », « se marier et être heureux pour toujours », ou encore le classique « n’avoir d’yeux que pour l’autre » sont quelques expressions qui illustrent le problème. Le pire arrive lorsque sa vie émotive est fondée sur ces mythes.

    Malheureusement, nombreux sont les cas où les choses ne se passent pas de cette manière. Chaque personne a une perspective affective unique et différente. De plus, la dynamique des relations entre les personnes est beaucoup plus complexe que celle des contes de fées.

    3. Ne pas considérer son partenaire comme un objet

    Couple qui discute dans la cuisine

     

    La combinaison faible estime de soi et relation amoureuse est presque toujours marquée par des crises de jalousie. Certaines personnes considèrent qu’une relation sérieuse implique l’acceptation de tous les caprices, mais ils ont tort.

    Être en couple ne signifie pas posséder l’autre : aucun être-humain n’est une propriété. Même dans une relation amoureuse, les deux individus sont des êtres libres, autonomes et ont le droit de prendre leurs propres décisions. Les crises de jalousie démesurées constituent le motif de nombreuses ruptures, plus qu’il n’y paraît.

    L’amour durable implique la mise en place de consensus et de négociations permettant à chaque membre du couple de se sentir libre, respecté et aimé.

    4. Assumer les crises 

    Couple qui se dispute

     

    L’amour durable n’est pas parfait, et il passe par plusieurs étapes.

    L’attirance sexuelle, la séduction, la matérialisation du couple ne constituent qu’un bref résumé de tout ce qu’il se passe au sein d’une relation amoureuse dans laquelle deux membres s’engagent.

    Tous ceux qui entretiennent de longues relations le confirment : les crises constituent une partie importante de la relation, car elles forgent la relation. Rester unis après une crise renforce le lien avec l’autre.

    Néanmoins, pour que cela se produise, les solutions doivent se baser sur les envies des deux membres, et non seulement sur celles de l’un d’entre eux. Avant de se focaliser sur les désirs de son conjoint, il faut se demander ce que nous-même pouvons faire pour améliorer la situation.

    5. Alimenter sa relation amoureuse

    Il est facile de tomber amoureux et de se livrer au début d’une relation, car nous sommes influencés par des états hormonaux intenses, et des illusions renouvelées alimentent notre esprit.

    Ce qui est difficile c’est d’entretenir la relation au fur et à mesure que le temps passe.

    Les relations durables sont celles qui alimentent la relation au fil des années. Les gestes tendres, les caresses, les compliments, la compréhension ainsi que le reste des démonstrations affectives ne doivent jamais cesser. Cela doit constituer un plaisir mais relève aussi d’une discipline.

    Une façon d’alimenter la tendresse au sein du couple est d‘apprendre à se mettre à la place de l’autre, et ainsi éviter des disputes inutiles en remplaçant le conflit par la négociation active.

    6. Personne n’a dit que c’était facile 

    En définitive, s’entendre avec quelqu’un et former un couple durable n’est pas chose facile. Une relation amoureuse signifie partager avec l’autre un ensemble d’aspects vitaux : l’aspect psychologique, émotionnel, spirituel, moral, sexuel et social.

    Cela n’est pas impossible, et les possibilités sont nombreuses lorsque nous faisons un effort et partageons des similitudes importantes avec son conjoint. Le travail consiste à accepter les différences, à s’adapter et à construire la relation jour après jour.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Un smoothie pruneaux-graines de chia-pomme pour réguler l’intestin

     

     

     

     

     

     

    La consommation d'aliments riches en fibres est idéale pour réguler l'intestin. Toutefois, il ne faut pas oublier d'augmenter aussi sa consommation d'eau, afin de favoriser l'élimination de ces aliments et ainsi éviter des problèmes de constipation. 

    Un smoothie pruneaux-graines de chia-pomme pour réguler l’intestin

    Nombreuses sont les personnes qui ont besoin de réguler l’intestin pour combattre des troubles tels que la constipation, la mauvaise absorption intestinale, les diarrhées fréquentes, ou bien pour se remettre d’une maladie gastro-intestinale.

    La meilleure façon d’y parvenir est d’avoir une bonne alimentation et de consommer des compléments alimentaires naturels adaptés.

    Découvrons ensemble, dans cet article, comment réguler l’intestin grâce à un délicieux smoothie à base de pruneaux contenant aussi des graines de chia et de la pomme.

    Réguler l’intestin est fondamental

    L’intestin est un organe devant toujours bien fonctionner, afin de garantir une bonne santé et une bonne qualité de vie.

    Les troubles chroniques qui affectent cet organe peuvent être, sur le long terme, à l’origine de nombreuses maladies. C’est pourquoi il est nécessaire, d’une part, de trouver un traitement qui nous aide à prendre soin de l’intestin, et  d’autre part, d’avoir une bonne alimentation.

    Dans un régime alimentaire sain, ne doivent pas manquer des aliments frais et complets riches en fibres naturelles tels que :

    • les fruits
    • les légumes
    • les légumineuses
    • les céréales complètes
    • les fruits secs
    •  les graines

    À partir de cette base, vous pouvez ajouter d’autres aliments en quantités modérées, lesquels doivent toujours être accompagnés par des aliments de cette liste.

    Les aliments bénéfiques

    Trois aliments sont très bénéfiques pour réguler l’intestin.

    Le pruneau

    Pruneaux

     

    Le pruneau est un superaliment que nous pouvons consommer tous les jours. Ses bienfaits sont les suivants :

    • grâce à sa forte teneur en fibre, il combat la constipation
    • il soulage certains troubles intestinaux tels que les hémorroïdes ou les diverticules
    • son fort pouvoir antioxydant protège du vieillissement prématuré et des radicaux libres
    • sa forte teneur en sucre naturel apporte beaucoup d’énergie
    • il réduit l’hypertension artérielle
    • grâce à sa forte teneur en minéraux, il prévient l’ostéoporose
    • il aide à réduire le tour de taille
    • grâce à sa teneur en fer, il prévient l’anémie ferriprive

    Les graines de chia

    Les graines de chia

     

    La graine de chia est un aliment médicinal aux nombreux bienfaits pour la santé. Lorsque vous faites tremper des graines de chia, elles libèrent des mucilages, un type de fibre soluble à consistance visqueuse. C’est pourquoi les graines de chia constituent un excellent remède pour nettoyer et réguler l’intestin.

    De plus, ces graines apportent d’autres bienfaits pour la santé :

    • elles réduisent le taux de cholestérol et le taux de sucre dans le sang
    • elles constituent une bonne source de protéines végétales, ce qui augmente le taux d’énergie et de vitalité
    • si vous suivez un régime amincissant, elles ont un effet rassasiantqui aide à manger moins
    • elles ont un fort pouvoir antioxydant
    • elles constituent une excellente source de calcium facilement assimilable, un minéral qui prend soin des dents et des os

    La pomme

    Pommes

     

    Grâce à sa teneur en pectine, la pomme est un fruit très bénéfique pour la fonction intestinale.

    Sa fonction régulatrice est efficace tant en cas de problèmes de constipation qu’en cas de problèmes de diarrhée. La pomme aide toute la fonction digestive. C’est pourquoi il est conseillé de consommer une pomme tous les jours, afin de prévenir les troubles digestifs.

    De plus, la pomme a d’autres propriétés bénéfiques pour la santé :

    • elle purifie les toxines de l’organisme
    • elle alcalinise l’organisme
    • elle réduit le taux de cholestérol et le taux de glucose dans le sang
    • elle prévient le vieillissement prématuré
    • elle maintient les dents et les gencives saines
    • elle réduit l’acide urique

    Un smoothie pruneaux-graines de chia-pomme 

    Les ingrédients 

    • 1 verre d’eau (200 ml)
    • 4 pruneaux
    • 1 cuillère de graines de chia (14 g)
    • 1 pomme bio non épluchée

    Si vous choisissez une pomme non bio, nous vous recommandons de l’éplucher, car elle pourrait contenir des pesticides néfastes pour la santé. En revanche, si vous choisissez une pomme issue de l’agriculture biologique, sa peau vous apportera plus de fibres.

    La préparation

    Pour bien préparer ce smoothie, vous devez suivre les étapes suivantes :

    • la veille, laissez tremper les pruneaux et les graines de chia dans un verre d’eau
    • le matin, après avoir retiré les noyaux des pruneaux, mettez les pruneaux et les graines de chia dans un mixeur
    • ajoutez la pomme sans pépins
    • mixez pendant une minute
    • bien que la pomme et les pruneaux apportent du sucre naturel à cette boisson, si vous le souhaitez,vous pouvez sucrer la boisson avec de la stevia ou du miel d’abeille

    La consommation 

    Vous pouvez boire ce smoothie à tout moment de la journée, mais si vous souhaitez réguler l’intestin, le meilleur moment est le matin au réveil, à jeun, une demi-heure avant de prendre le petit-déjeuner par exemple.

    Si vous souhaitez utiliser cette boisson comme traitement, vous pouvez la boire tous les jours pendant une ou deux semaines.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 MALADIES QUE L'ON PEUT ATTRAPER

    PAR LA SALIVE

     

     

     

     

     

     

    La salive joue un rôle essentiel pour notre corps. Mais elle peut, en même temps, être porteuse d’agents pathogènes responsables de maladies. Découverte de sept d’entre elles avec le Dr Christophe Lequart, chirurgien-dentiste et porte-parole national de l’UFSBD (Union française pour la santé bucco-dentaire). 

     

    La mononucléose

    C’est quoi : la mononucléose est causée par le virus d’Epstein-Barr, un virus qui fait partie de la famille des virus de l’herpès. C’est une maladie en général sans gravité, même si des complications peuvent survenir (enflure de la rate par exemple).

    La transmission : il est contagieux, mais moins que ceux qui provoquent la grippe, car il ne provoque pas d’éternuements ou de toux. Il se transmet par un contact direct avec la salive d’une personne infectée, par un baiser (d’où son surnom de maladie du baiser), mais aussi en partageant des ustensiles de cuisine (cuillères, fourchettes, verres…).

    Sachez-le : on estime que 90% des adultes de 40 ans seraient immunisés contre cette maladie.

     

    L’herpès labial

    C’est quoi : connu sous le nom de "bouton de fièvre", l’herpès labial est une infection causée par un virus, l’herpès simplex de type 1. Une fois infectée, le virus se loge dans les ganglions nerveux à la base du crâne et persiste toute la vie dans le corps, sans pour autant causer des symptômes permanents. "Le virus 'se réveille' et déclenche un bouton d’herpès dans certaines circonstances (stress, fatigue, soleil…)" explique le Dr Lequart.

    La transmission : celui-ci se transmet par la salive ou par contact avec des objets contaminés (ustensiles de cuisine, verre, canette…) lorsqu’une autre personne présente un ou des boutons de fièvre avec des vésicules éclatées. Les lésions sont contagieuses tant qu’elles ne sont pas complètement asséchées. Le virus peut aussi se transmettre en l’absence de symptômes mais cela reste rare.

    Sachez-le : un herpès labial peut entraîner un herpès génital.

     

    Les maladies carieuses et parodontales

    Lesquelles :

    - La carie : "la transmission d’un adulte à un autre adulte est très faible. En revanche, celle d’un adulte à un jeune enfant (jusqu’à l’âge de 3 ans) est très importante. En effet, les bactéries cariogènes qui entraînent la carie présentes chez l’adulte peuvent coloniser les bouches des jeunes enfants à travers une cuillère sucée ou une tétine nettoyée avec sa propre salive. Les parents doivent alors être vigilants sur ces petits gestes, mais aussi par l’importance d’avoir une bonne hygiène dentaire" explique le Dr Lequart.

    - La parodontite : "cela se caractérise par une infection de la gencive et de l’os qui entoure les dents. L’infection entraîne une destruction des tissus qui soutiennent les dents comme les gencives, les os de la mâchoire… La transmission des bactéries peut se faire par un simple baiser. Il est important que les personnes qui présentent des symptômes de l’infection (déchaussement des dents…), ainsi que les personnes proches se fassent suivre".

     

    La grippe

    C’est quoi : il s’agit d’une maladie infectieuse respiratoire très contagieuse, provoquée par un virus du genre Influenza. Elle évolue par épidémies, en général de novembre à avril (sous nos latitudes).

    La transmission : le virus de la grippe se transmet par l’inhalation de gouttelettes de salive, d’éternuements ou de postillons émis par une personne infectée. Celle-ci est contagieuse du jour précédant l’apparition des symptômes et jusqu’à 7 jours après.

     

    L’hépatite B

    C’est quoi : il s’agit d’une maladie d’origine virale qui se traduit par une inflammation du foie. Chez certaines personnes (10 % des personnes infectées), elle peut devenir chronique et entraîner des complications graves comme la cirrhose ou le cancer du foie.

    La transmission : "l’hépatite B se transmet par le sang et les rapports sexuels, mais cela peut arriver qu’il y ait transmission par un baiser entre deux personnes (l’une porteuse du virus, l’autre pas), qui présentent toutes deux des gencives abîmées et qui saignent" explique le Dr Lequart.

     

    L’angine à streptocoque

    C’est quoi : les angines peuvent être virales ou bactériennes. Les plus contagieuses sont celles à streptocoque (bactérie).

    La transmission : elle se fait par le contact avec les sécrétions respiratoires et la salive. "Quelques mesures d’hygiène sont alors indispensables comme éviter d’embrasser la personne malade, se laver les mains régulièrement, ne pas utiliser les mêmes couverts ou verres…" explique le Dr Lequart.

    Sachez-le : une fois que le traitement antibiotique est commencé, 24 à 48 heures suffisent pour que la personne ne soit plus contagieuse.
     
     
     

    La gastro-entérite

    C’est quoi : il s’agit d’une infection du système digestif. Il existe des gastro-entérites virales, bactériennes ou parasitaires.

    La transmission : cette maladie se transmet principalement par l’eau et les aliments. Elle se fait également par le contact, et notamment par les mains souillées de traces de selles (invisibles). Tout ce qui est touché par les mains comme les poignées de portes, téléphones, aliments…(mains qui sont ensuite portées à la bouche), devient un facteur de transmission en colonisant la salive.

    Un conseil : une des préventions les plus efficaces est le lavage des mains.

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sources : Remerciements au Dr Christophe Lequart, chirurgien-dentiste et porte-parole national de l’UFSBD (Union française pour la santé bucco-dentaire) - www.ufsbd.fr

    medisite.fr 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Une parole, une destinée

     

     

     

     

     

     

     

     
    "La vie et la mort sont au pouvoir de la langue."Proverbe 18.21
     
     

    Le pasteur Philippe Marcadier est parti rejoindre le Seigneur après 92 années sur cette terre. Son impact dans la région du sud-ouest de la France et au-delà est significatif. C’était un homme d’une autre sorte, un modèle, un père aimant, un mari attentionné et un puissant prédicateur de l’évangile.

    Lors des obsèques de Philippe, j’ai été bouleversé par le témoignage que lui a rendu son fils. Lorsqu’il était jeune adulte, il rentrait parfois alcoolisé chez lui et avait du mal à mettre la clé dans la serrure. Son papa allait lui ouvrir, puis l’aidait à trouver le chemin de la chambre. Là, il s’occupait de lui : le déshabillait, le lavait et le couchait. Puis, avant de repartir, Philippe prenait son fils dans ses bras et lui disait simplement : "Je t’aime". Alors son fils pleurait, bouleversé par tant d’amour.

    Philippe aurait pu lui faire la morale et lui expliquer le tort qu’il faisait à son ministère. Ou argumenter sans fin sur les effets néfastes de l'alcool pour la santé. Mais il lui disait simplement : "Je t’aime". Le fils donna sa vie à Jésus.

    Nos paroles sont fécondes, elles déclenchent des destinées. Certains mots enchaînent, culpabilisent, font du tort... mais d’autres produisent la vie, l’émancipation, la guérison. Nos paroles laissent des empreintes autour de nous. "Traitez un individu comme il est, il restera ce qu'il est. Traitez-le comme il doit et peut devenir, il deviendra ce qu'il doit et peut être." (Johann Wolfgang Von Goethe)
     

    Une prière pour aujourd’hui
    Seigneur, je veux réfléchir aux paroles qui sortent de ma bouche. Quelles puissent t’honorer et bénir ceux qui les reçoivent.

     
    Une parole, une destinée
     
     
    Source : topchretien.com
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • 6 puissants remèdes maison à base d’ail.

    Les connaissiez-vous ?

     

     

     

     

     

     

    Bien que nous ne devrions pas remplacer les traitements prescrits par le médecin, nous pouvons profiter des propriétés de ces remèdes à l'ail comme traitement complémentaire pour soulager et améliorer différents problèmes.

    6 puissants remèdes maison à base d’ail. Les connaissiez-vous ?

    Les remèdes avec de l’ail sont considérés comme des antibiotiques naturels depuis des temps immémoriaux.

    L’ail est originaire d’Asie centrale et son utilisation en médecine alternative est connue en Inde et en Égypte ancienne. De nos jours, il est encore bien connu et apprécié pour ses innombrables pouvoirs thérapeutiques.

    Il est également utilisé comme remède naturel pour traiter ou prévenir une grande variété de maladies.

    L’ail est l’une des plantes médicinales aux propriétés curatives les plus scientifiquement prouvées.

    C’est un antibiotique, ainsi qu’un antiseptique général grâce à sa forte teneur en soufre.

    Parmi ses autres composés, on peut signaler les suivants :

    • Glycoside sulfureux
    • Aluna
    • Enzymes
    • Vitamine A, B1, B2, B2, C
    • Niacine
    • Soufre

    Il possède une forte action bactéricide contre les staphylocoques, les streptocoques, les salmonelles et les champignons a été démontrée. Il aide également les défenses de l’organisme en augmentant la production de globules blancs.

    Remèdes maison très puissants avec de l’ail

    1. Pour guérir la grippe

    grippe

    Manger une ou deux gousses d’ail par jour peut être la solution pour prévenir la grippe.

    • Parmi les composés de l’ail, il y a un produit chimique appelé allicine, qui a un grand potentiel pour combattre les virus et les bactéries.
    • En mastiquant et en écrasant l’ail, les substances sont libérées et nous obtenons ainsi ses bienfaits curatifs.

    2. Traiter les varices

    Il vous sera d’une grande utilité pour contrôler les varices, mais il vous faut être persévérant pour voir l’effet positif.

    Ingrédients

    • 6 gousses d’ail
    • 3 cuillères à soupe d’huile d’olive (48 g)
    • Le jus d’un citron

    Préparation

    • Coupez les gousses d’ail en tranches et placez-les dans un récipient en verre avec l’huile d’olive et le jus de citron.
    • Bien mélanger, couvrez le contenant et laissez reposer pendant 12 heures.

    Application

    • Faites pénétrer la pommade en faisant des massages circulaires sur toute la zone.
    • Avec ce remède, vous serez en mesure d’activer la circulation sanguine et de réduire l’inflammation dans la région des varices.

    3. Sirop maison contre la toux

    ail

     

    L’ail est un antibiotique naturel pour soulager toute condition respiratoire, mais il est essentiel de savoir comment le consommer correctement.

    Lors de la préparation, il est important d’opter pour de l’ail frais.

    Ingrédients

    • 1 ail, préalablement cuit
    • 3 cuillères à soupe de miel (75g)
    • 3 cuillères à soupe d’huile d’olive (48 g)

    Préparation

    • Écrasez ou hachez l’ail que vous aurez cuit au préalable.
    • Mélangez-le avec le miel et ajoutez enfin l’huile d’olive.
    • N’oubliez pas de ne pas cuire l’ail au-dessus de 60 ºC, sinon il perdra ses propriétés.

    Le sirop obtenu va avoir un effet calmant, car il a la propriété de ramollir les muqueuses des bronches.

    Comme il est fait avec des ingrédients naturels, ce sirop n’aura donc pas d’effets indésirables ou de contre-indications, car il n’est pas fait avec des produits chimiques.

    4. Pour abaisser la tension artérielle

    L’ail contient également du potassium, qui réduit l’excès de sodium et agit comme un diurétique puissant. Il aide également à expulser les liquides et les empêche de rester dans le corps.

    Il s’agit donc d’un excellent traitement naturel pour la régulation de la tension artérielle.

    Ingrédients

    • 2 gousses d’ail, râpées
    • ½ tasse de sucre (100 g)
    • 1 verre d’eau (200 ml)

    Préparation

    • Mélangez l’ail râpé avec le sucre et le verre d’eau jusqu’à obtenir la consistance d’un sirop.
    • Il est recommandé de prendre deux cuillères à soupe par jour de ce sirop pour abaisser la pression.

    5. Éliminer les verrues

    ail coupé

     

    L’ail a des composés antiviraux et antitumoraux qui s’occupent du papillomavirus humain qui cause des verrues.

    Le traitement à l’ail aide à les sécher et à les enlever.

    Ingrédients

    • 1 gousse d’ail

    Ustensiles

    • 1 bandage

    Application

    • Écrasez l’ail pour en faire une pâte et appliquez-le directement sur la verrue.
    • Couvrez la zone avec un pansement et laissez-le dessus toute la nuit.
    • Le lendemain matin, enlevez le pansement, puis rincez à l’eau et appliquez de nouveau l’ail et couvrez.
    • Répétez chaque jour jusqu’à ce que la verrue se détache.

    6. Douleurs osseuses et articulaires

    L’ail est un ingrédient très bénéfique pour les personnes souffrant d’arthrite et de douleurs articulaires en raison de sa teneur en sélénium et en soufre.

    Il est d’une grande aide pour soulager les douleurs articulaires et l’inflammation, car le sélénium a des propriétés anti-rhumatismales. Les patients souffrant d’arthrite ont souvent de faibles taux de sélénium dans le sang.

    Ingrédients

    • 2 gousses d’ail
    • 2 cuillères à soupe d’huile de moutarde (30 g)

    Préparation

    • Faites revenir les gousses d’ail dans 2 cuillères à soupe d’huile de moutarde.
    • Quand elles deviennent noires, éteignez le feu.
    • Filtrer le contenu pour conserver l’huile.
    • Laisser refroidir, puis utilisez-la pour masser la zone affectée.
    • Laissez agir pendant au moins 3 heures puis rincez à l’eau.
    • Appliquez deux fois par jour et vous sentirez rapidement le soulagement dans la région.

    Rappelez-vous que :

    L’ail est un élément naturel très bénéfique pour les usages dont nous avons parlé. Cependant, si vous avez des doutes sur un problème de santé, il est préférable de consulter un médecin.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • MISE EN GARDE SUR 6 MÉDICAMENTS CONTENANT DES NANOPARTICULES CANCÉRIGÈNES

     

     

     

     

     

     

    Le magazine 60 millions de consommateurs révèle la présence de nanoparticules potentiellement cancérigènes dans 6 médicaments utilisés couramment, comme le Doliprane®, l'Efferalgan® ou encore le Nurofen®.

     

    Les nanoparticules sont considérées comme potentiellement dangereuses pour la santé. Après avoir détecté la présence de cette substance susceptible d'être cancérigène dans des confiseries ou des gâteaux , 60 millions de consommateurs a décidé de mener l'enquête parmi des spécialités pharmaceutiques suspectant la présence de dioxyde de titane sous forme de nanoparticule. Sur les six médicaments évalués, tous en contiendraient.

    Les nanoparticules de dioxyde de titane sont-elles nocives ?

    Parmi les médicaments analysé, des traitements contre la douleur et la fièvre chez l'adulte, contre l'allergie ou encore contre l'insomnie. Les résultats ont justement montré la présence de dioxyde de titane sous forme de nanoparticules dans les six médicaments et dans une dimension de l’ordre du milliardième de mètre, selon les informations du magazine. Les spécialités concernées sont :

    - Efferalgan® 1g - 8 comprimés pelliculés du laboratoire Upsa : "20% des particules de dioxyde de titane (TiO2) sont sous forme nano"

    - Spasfon® - 30 comprimés enrobés du laboratoire Teva : "16% des particules de dioxyde de titane (TiO2) sont sous forme nano"

    - Zyrtecset® 10 mg - 7 comprimés pelliculés sécables du laboratoire UCB Pharma : "36% des particules de dioxyde de titane (TiO2) sont sous forme nano"

    - Nurofen® 400 mg - 12 comprimés enrobés du laboratoire Reckitt Benckiser Healthcare France : "17% des particules de dioxyde de titane (TiO2) sont sous forme nano"

    - Doliprane® enfant en poudre - 12 sachets-dose de 200 mg du laboratoire Sanofi : "20% des particules de dioxyde de titane (TiO2) sont sous forme nano"

    - Euphytose® - 120 comprimés enrobés du laboratoire Bayer : "44% des particules de dioxyde de titane (TiO2) sont sous forme nano"

    Le problème ? Une étude datant de 2017 réalisée par l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) de Toulouse a identifié, chez le rat, un danger associé à un colorant alimentaire courant : le dioxyde de titane (E171). Les recherches ont montré que l’exposition chronique de rats au E171 par voie orale favorisait la croissance de lésions colorectales précancéreuses. "On ne peut pas extrapoler les résultats obtenus chez le rat à l’Homme. Cette étude constitue un premier élément de vigilance. Elle indique les directions à suivre pour les études ultérieures" nuance l'Inra.

    Une mention nano absente des notices

    La présence de dioxyde de titane est notifiée sur les notices de chaque spécialité car l'additif E171 est un colorant autorisé dans les médicaments. Néanmoins, la mention "nano" n'apparaît sur aucune des notices, rapporte 60 millions de consommateurs . Le magazine réclame une mention obligatoire pour avertir de la présence de nanoparticules dans les médicaments.

     

     
     

     

     

     

     

     

     

    Sources : 60 millions de consommateursMédicaments : des nanos dans l'Efferalgan et le Nurofen, 22 mars 2018
    INRA, E171 : un danger identifié chez le rat, un risque à évaluer chez l’homme, 1 février 2017

    medisite.fr 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Craignez-vous le lendemain ?

     

     

     

     

     

     
    "Car il est un avenir, et ton espérance ne sera pas anéantie." Proverbes 23.18 et 24.14
     
     
     

    Le titre de la pensée de ce jour n’a pas pour objectif de nous faire entrer dans des spéculations stériles concernant l’avenir, ni de nous angoisser avec des suppositions négatives sur ce qui pourrait se produire... Mais plutôt de nous faire sortir de cette façon de penser qui consiste à envisager l’avenir comme une suite logique de notre passé. 

    "Ne laissez pas votre passé vous dicter la pensée de ce que sera demain."

    Un grand nombre de personnes ont vécu des traumatismes dès leur enfance. Certains ont grandi dans des familles déstructurées ; la peur, la crainte ont été des éléments constants qui ont marqué les premières années de leur vie. Arrivés à l’âge adulte, ils pensent que leur futur sera toujours marqué par ce passé douloureux. Ils pensent qu’avec le passé qu’ils ont connu, ils ne pourront jamais connaître un futur heureux. De telles pensées empoisonnent leur existence. Ils n’envisagent pas un avenir différent de ce passé dans lequel ils s’enferment.

    Peut-être vous reconnaissez-vous dans ce rapide tableau ? Peut-être traversez-vous en ce moment des heures difficiles : vous envisagez l’avenir avec l’angoisse de vivre demain ce que vous avez connu hier… Mais je voudrais vous dire avec assurance : "Pensez à demain en considérant les promesses de Dieu pour vous. Entrez dans une nouvelle façon de penser au lendemain. Croyez que le meilleur est devant vous. Laissez le soin à Dieu de vous parler de votre avenir en vous accrochant à ses promesses."

    Pourquoi les Israélites ont-ils tourné pendant 40 ans dans le désert alors qu’il suffisait d’une dizaine de jours pour aller d’Egypte en Canaan ? Parce qu’ils ont pensé à leur avenir en fonction de leur servitude passée. Ils ont pensé que les géants de Canaan les vaincraient, et en feraient des esclaves. Ils ont cru que leur futur serait comme leur passé.

    Parfois, nous tournons en rond pendant des années. Pourquoi ? Parce que nous laissons notre passé formater nos pensées sur demain.

    Aujourd’hui est le jour où vous pouvez penser à votre avenir, non avec les échecs et les drames d’hier, mais avec la foi en celui qui est avec vous.

    Une décision pour aujourd’hui

    "Seigneur, je décide de ne plus laisser mon passé douloureux m’influencer dans mes pensées pour ce que sera demain. Avec toi, je confesse que le meilleur est devant moi."

     
     
    Craignez-vous le lendemain ?
     
     
    Source : topchretien.com
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • Zéro contact : le baume de la dépendance émotionnelle

     

     

     

     

     

     

    Bien que cela puisse paraître difficile et même si nous expérimentons des rechutes, rompre tout contact avec la personne dont nous dépendons sera bénéfique pour surmonter cette dépendance émotionnelle et commencer à nous valoriser.

    Zéro contact : le baume de la dépendance émotionnelle

    La dépendance affective nous amène à nous attacher à quelqu’un par peur d’être seul ou de ne trouver personne d’autre. Par conséquent, la pratique du zéro contact dans ces circonstances est plus que recommandée.

     

    Parfois, ce type de dépendance nous amène à choisir des partenaires qui peuvent nous nuire. Abus psychologique ou physique, manipulations, mensonges, infidélités…

    Cependant, cela peut aussi ne pas être le cas.

    Ce qui doit être clair, c’est que toute relation basée sur une dépendance émotionnelle de l’autre est toxique.

    La dépendance émotionnelle ou « Je ne peux pas vivre sans toi »

    deux personnes qui s'enlacent

     

    La peur d’être seul peut nous faire croire que nous ne pouvons pas vivre sans l’autre personne. Cependant, en réalité, ce n’est pas vrai.

    Si l’autre personne nous quitte, part et nous abandonne, il n’y a aucune possibilité de revenir avec elle. Que faisons-nous alors ? Nous commençons une nouvelle relation immédiatement.

    Les gens qui ont peur d’être seuls et qui dépendent des autres le font parce qu’ils croient que c’est seulement de cette façon qu’ils peuvent être heureux. Leur estime de soi est si faible que leur vie et leur personnalité sont celles de la personne avec laquelle ils s’attachent.

    Par conséquent, lorsqu’une rupture se produit, ils se sentent vides. Ils n’ont pas pris soin d’eux-mêmes, ils ne savent pas ce qu’ils aiment ou ce que sont leurs rêves. Ils sont perdus.

    La raison pour laquelle ils sont si attachés à quelqu’un n’est pas qu’ils considèrent que c’est pour la vie ou que sans cette personne ils ne peuvent pas vivre. C’est qu’ils ne peuvent pas vivre seuls !

    Par conséquent, il est normal qu’ils accumulent des relations les unes après les autres. Toutes échouent, mais ils ne savent pas pourquoi. La raison est qu’ils choisissent leur partenaire en fonction d’un besoin, et non parce qu’ils ressentent un véritable amour.

    Le malheur et l’insatisfaction ainsi que la répétition du même type de relation amoureuse sont ce qui fait que ces personnes aient besoin de l’aide d’un professionnel.

    La recommandation ? Le zéro contact.

    L’importance du zéro contact dans une dépendance affective

    personne regardant son téléphone portable

     

    Quand un psychologue recommande à une personne de mettre en pratique le zéro contact avec la personne dont elle dépend, cela semble impossible.

    Penser à bloquer le WhatsApp, ne pas répondre à ses appels ou lui dire «non» si elle nous téléphone, semble quelque chose d’impossible à réaliser.

    Parfois, la personne peut se sentir très coupable, parce qu’elle tombe dans son propre piège, et alors elle se sent mal. Le genre de relation de dépendance qu’elle maintient ne la rend pas heureuse et elle le sait.

    En effet, une personne dépendante a des moments de lucidité dans lesquels elle se dit «je dois partir», «je serais mieux seule qu’avec cette personne», «cette personne me fait du mal».

    Cependant, cette force qui peut l’envahir à certains moments peut la faire rechuter dans d’autres circonstances pour la reconduire sur le mauvais chemin.

    Patience, volonté et temps

    sablier

     

    Sortir de la dépendance affective même en mettant en pratique le zéro contact n’est pas quelque chose qui se passe du jour au lendemain.

    Comme pour toute autre dépendance, il faut du temps et de la patience, car il y aura des rechutes.  Nous arriverons à vaincre le zéro contact et nous aurons avancé d’un pas.

    Cette démarche va nous aider à prendre plus conscience de cette dépendance et à réaliser que nous ne sommes pas bien si nous continuons sur le même chemin. C’est très important.

    Toutes les personnes dépendantes émotionnellement rencontrent des rechutes et trébuchent sur la même pierre jusqu’à ce qu’elles parviennent à rendre ces moments de lucidité de plus en plus présents.

    Le moment venu, après une période de lutte contre nos propres démons, cette pratique peut nous ouvrir complètement les yeux et nous permettre de prendre une décision qui sera sans aucun doute bénéfique.

    On peut sortir de la dépendance émotionnelle. Il suffit de se débarrasser des croyances qui nous font croire que sans partenaire, nous échouonsou que nous ne pouvons pas être heureux.

    Une fois que nous avons mis un pied en dehors de la tendance à rentrer dans des relations addictives, nous pouvons commencer à nous aimer et nous respecter, afin d’établir des relations saines dans lesquelles nous ne dépendons ni n’avons besoin des autres.

    Pour être plus heureux, il faut apprendre à être optimiste. Cela ne consiste pas à ne jamais rien voir de mauvais, mais à savoir faire ressortir quelque chose de positif de chaque situation adverse et se réaffirmer comme un être capable.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 5 conseils pour éliminer les parasites intestinaux

     

     

     

     

     

     

    Les conditions d'hygiène, les habitudes et même la propreté de la maison sont indispensables pour évaluer la cause de l'infection et la prévention des parasites intestinaux.

    5 conseils pour éliminer les parasites intestinaux

    Les principaux agresseurs du système digestif sont, sans aucun doute, les parasites intestinaux. Ils sont responsables d’infecter l’organisme et de provoquer des maladies.

     

    Une fois à l’intérieur du corps, les parasites intestinaux rivalisent pour la consommation de substances alimentaires et s’adhèrent aux parois des l’intestin.

    L’apparition des parasites est influencée par plusieurs facteurs tels que : l’âge, et dans le cas des enfants, les conséquences sont plus sérieuses. Mais leur développement est aussi lié aux conditions d’hygiène et de santé des personnes affectées.

    Symptômes

    Le chiffre semble incroyable, mais pourtant, plus de 80% de la population mondiale est infectée par des parasites intestinaux. Le problème survient lorsque la quantité de parasites se multiplie et provoque de graves maladies. Malheureusement, dans certains cas, les infections entraînent la mort des patients.

    Les parasites intestinaux peuvent apparaître d’une manière asymptomatique chez de nombreuses personnes. Cependant, les personnes qui éprouvent certains troubles à cause des parasites intestinaux présentent généralement les symptômes suivants :

    • Fièvre
    • Fatigue
    • Diarrhée
    • Vomissements
    • Allergies
    • Peau sèche
    • Urticaire
    • Flatulence
    • Démangeaisons nasales
    • Hémorragie nasale
    • Douleur abdominale
    • Maux d’estomac
    • Mucus dans les selles

    Mode de contagion

    contagion des parasites intestinaux

     

    Les modes de contagion les plus fréquents des parasites intestinaux sont les suivants :

    • Contact sexuel
    • Transmission congénitale
    • Propagation par le contact des mains
    • Absorption d’eau contaminée
    • Consommation de viande ou de poisson cru
    • Contact avec des objets contaminés, des excréments humains ou animaux.

    Diagnostic

    Pour fournir un diagnostic qui confirme qu’il s’agit d’un cas d’infection par des parasites intestinaux, il est impératif d’effectuer un test de selles. Cela permet de détecter s’il existe des éléments anormaux (œufs, larves, parasites, bactéries) parmi les déchets.

    Il est très important de ne pas commencer à prendre des antibiotiques avant de réaliser le test pour ne pas altérer le résultat. Il est même recommandé de suivre un régime sans graisses ni fibres, au moins une semaine avant l’examen des selles.

    Comment éliminer les parasites intestinaux

    1. Graines de citrouille

    graines de citrouille pou réliminer les parasites intestinaux

     

    La pipérazine, une substance présente dans les graines de citrouille est très indiquée pour l’élimination des parasites intestinaux. Vous pouvez même la trouver comme médicament en pharmacies. C’est une ancienne technique de vermifugation, mais qui reste cependant très efficace.

    Ingrédients

    • 1 litre d’eau de coco
    • 80 graines de citrouille
    • 2 cuillères à soupe de miel (40 g)

    Préparation

    • Pelez d’abord les graines puis broyez-les.
    • Ajoutez ensuite l’eau de coco et mélangez bien.
    • Ensuite, ajoutez à ce mélange les 2 cuillères à soupe de miel.
    • Enfin, consommez ce liquide à jeun pour évacuer les parasites intestinaux.

    2. Bonne alimentation

    Il existe des aliments que nous devrions éviter si nous voulons éliminer les parasites intestinaux. Notez bien les principaux : les produits laitiers, les sucres, les farines et les aliments transformés.

    Heureusement, il existe d’autres aliments qui ne peuvent pas manquer à votre régime alimentaire. En effet, ces aliments vous aideront à éliminer les parasites intestinaux. Pour quelle raison ? Parce qu’ils sécrètent des acides qui ont des propriétés bactériennes et optimisent le fonctionnement de la vésicule biliaire.

    • Ananas
    • Coco
    • Mûres
    • Noix
    • Papaye
    • Grenade
    • Amandes
    • Huile de ricin
    • Jus naturels

    3. Jus de chou

    jus de chou pour éliminer les parasites intestinaux

     

    Lorsque vous souffrez d’une infection en relation avec le tube digestif, l’acide de l’estomac diminue et les organismes étrangers (tels que les parasites intestinaux) peuvent attaquer plus facilement.

    Le jus de chou aide le corps à sécréter de l’acide. De cette manière, la flore intestinale restera en bon état et empêchera la dispersion des parasites. Vous pourrez améliorer votre digestion en prenant une cuillerée de jus de chou avant chaque repas.

    4. Propolis

    Cette substance est un antibiotique naturel. L’idéal est de prendre de la propolis pendant une semaine à jeun. Sa préparation consiste simplement à en consommer un peu en diluant la propolis dans de l’eau ou dans un jus de fruit.

    Par ailleurs, la propolis n’a pas d’effets secondaires, de plus, elle n’est pas indigeste pour le corps car elle n’irrite pas le système digestif et est très efficace.

    5. Condiments

    condiments pour éliminer les parasites intestinaux

     

    Certains condiments peuvent également favoriser l’élimination des parasites intestinaux. Parmi les plus importants nous trouvons les suivants :

    • Clou de girofle
    • Cannelle
    • Thym
    • Estragon
    • Curcuma
    • Poivre

    Prévention

    • Conservez une bonne hygiène à la maison.
    • Évitez tout contact avec des endroits où il y a de la boue, du sable ou de la saleté.
    • Ayez une alimentation équilibrée, car cela vous aidera à augmenter les défenses immunitaires du corps.
    • Désinfectez très bien tous les fruits et légumes qui vont être consommés crus.
    • En l’absence d’eau potable, il faudra faire bouillir l’eau pendant 10 minutes.
    • Couvrez correctement les poubelles pour empêcher les rats et les mouches de se reproduire.
    • Lavez-vous les mains avec du savon et de l’eau avant et après avoir cuisiné, mangé et être allé aux toilettes.
    • Le parasite de l’ankylostome se trouve principalement dans des zones humides et tropicales, il est donc déconseillé de marcher pieds nus.

    Pour éviter la prolifération des parasites, il est très important de surveiller attentivement notre alimentation. Nous devons à tout prix éviter la consommation de sucre ou d’aliments transformés, et favoriser ceux qui contiennent des fibres, car ils favorisent le transit intestinal.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Découvrez les 8 premiers symptômes du diabète

     

     

     

     

     

     

    Si nous identifions certains de ces symptômes du diabète, il est important de consulter le médecin pour effectuer les tests pertinents et confirmer ou bien écarter le diagnostic.

    Découvrez les 8 premiers symptômes du diabète

    Le diabète mellitus ou sucré désigne les troubles qui affectent la façon dont l’organisme utilise le glucose dans le sang. Peu importe comment il se manifeste, l’apparition de diabète signifie qu’il y a une accumulation excessive de sucre dans le corps.

     

    Lorsque l’organisme ne parvient pas à traiter correctement le glucose, des conséquences graves peuvent survenir pour notre santé car celui-ci interfère avec les fonctions d’autres organes.

    La détection du diabète réalisée à temps est la clé de la réussite du traitement. Pour cette raison, nous examinerons dans cet article les causes et les symptômes précurseurs qui peuvent aider à identifier cette maladie.

    Quelles sont les causes du diabète ?

    les causes du diabète

     

    Le diabète se manifeste lorsque l’organisme ne produit pas assez d’insuline ou perd sa capacité à l’utiliser de manière optimale.

    L’insuline est une substance qui provient du pancréas, dont la fonction principale est de réduire la quantité de glucose dans le sang.

    • Jusqu’à présent, il n’existe pas de cause précise qui puisse expliquer le développement du diabète de type 1. Apparemment, cela est dû à un manque de contrôle du système immunitaire, qui conduit à l’autodestruction des cellules qui produisent l’insuline dans le pancréas.
    • Le prédiabète et le diabète de type 2 surviennent lorsque les cellules deviennent résistantes à l’insuline et que le pancréas n’en produit pas assez pour empêcher leur développement.
    • Les changements hormonaux de la grossesse produisent une résistance des cellules à l’insuline. Si le pancréas ne génère pas la quantité nécessaire d’insuline, le glucose s’accumule dans le sang et le diabète gestationnel peut se produire.

    Les premiers symptômes du diabète

    Une grande variété de manifestations initiales du diabète peut facilement se confondre avec d’autres maladies. Pour cette raison, une fois que nous les avons identifiés, il est conseillé de réaliser des examens médicaux pertinents pour confirmer le diagnostic.

    1. Soif excessive

    soif excessive et diabète

     

    Lorsque le glucose n’est pas utilisé correctement, son accumulation dans le sang peut entraîner une déshydratation. Cet état modifie la production normale de salive et augmente la sensation de soif.

    2. Miction fréquente

    Les patients atteints de diabète souffrent généralement de mictions fréquentes en raison de l’effort que les reins réalisent pour essayer de filtrer l’excès de sucre dans le sang.

    Cette substance retenue dans le corps diminue la capacité à décomposer les toxines et provoque des difficultés dans les fonctions du système urinaire.

    3. Troubles du sommeil

    Lorsque les taux élevés de sucre dans le sang ne sont pas contrôlés à temps, la personne commence à éprouver des troubles du sommeil continus.

    Le diabète de type 2 s’accompagne habituellement d’insomnie ou de certaines interruptions pendant la période de repos.

    4. Cicatrisation lente

    cicatrisation lente et le diabète

     

    L’un des principaux signes de diabète est l’apparition de lésions ou d’ulcères sur la peau. Celles-ci sont généralement très longues à cicatriser et ne cicatrisent même parfois pas du tout.

    5. Infections urinaires

    Si le corps réduit sa capacité à utiliser le glucose dans le sang, le système immunitaire s’affaiblit. Ceci, ajouté aux effets subis par les reins, augmente la possibilité de souffrir d’infections des voies urinaires.

    6. Problèmes des pieds

    Les diabétiques doivent faire extrêmement attention à l’état de leurs pieds. En cas de diabète, cette partie du corps est particulièrement sujette aux problèmes circulatoires, à la rétention d’eau et à d’autres types de symptômes qui les affectent petit à petit.

    7. Vision floue

    vision floue et diabète

     

    La déshydratation produite par un taux élevé de sucre peut aussi influencer l’apparition de problèmes de vision. En outre, cela endommage très souvent les vaisseaux sanguins et diminue également la capacité à se concentrer.

    8. Peau sèche

    Le développement du diabète provoque de manière parallèle des problèmes circulatoires qui affectent la santé de la peau. C’est pourquoi, les patients affectés souffrent souvent de sécheresse et de perte de fermeté de la peau.

    Comment diagnostiquer le diabète ?

    comment diagnostiquer le diabète

     

    Si vous craignez de souffrir de diabète, il est très important de consulter votre médecin dès que possible. Après avoir reçu un diagnostic, vous pourrez accéder à un traitement pour réduire l’impact négatif que le diabète produit sur l’organisme.

    Le médecin peut vous suggérer les tests suivants pour confirmer la maladie :

    • Test de de l’hémoglobine glyquée (A1C). Il s’agit d’une analyse qui indique le taux moyen de sucre dans le sang des deux ou trois derniers mois.
    • Examen aléatoire de sucre dans le sang.
    • Test du taux de sucre dans le sang réalisé à jeun.
    • Contrôle de la tolérance au glucose par voie orale.

    Une fois le diagnostic confirmé, la personne affectée doit s’engager à améliorer de manière globale son style de vie.

    De plus, les patients atteints de diabète devront suivre régulièrement les médicaments prescrits, ce qui leur permettra également de jouir d’une meilleure qualité de vie.

     

    Le diabète est une maladie qui peut affecter sérieusement la qualité de vie des personnes affectées. Avant d’apparaître en tant que tel, le diabète peut dévoiler certains symptômes que nous devons être en mesure de reconnaître afin d’obtenir un diagnostic précoce et d’accéder à un traitement adéquat.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Ce qui fait peur à la peur

     

     

     

     

     

    "Ne t'ai-je pas ordonné : Fortifie-toi et prends courage ? Ne sois pas effrayé ni épouvanté, car l’Éternel, ton Dieu, est avec toi où que tu ailles."Josué 1.9
     
     

    Josué faisait face à un grand défi : succéder à Moïse, un homme incroyablement patient, et faire entrer le peuple d'Israël dans la terre promise en affrontant de grands ennemis.

    Cet ordre, Dieu nous le donne à nous aussi. Nous n’avons pas à craindre quoi que ce soit : aucun ado en crise, aucune relation brisée, aucun emploi difficile, aucune erreur de notre part n’empêchera à Dieu de travailler… Il n’est limité en rien.

    La force du Seigneur est bien différente de celle des hommes : elle ne s’épuise pas et elle rend tout possible. C’est cette force qu’il désire vous communiquer!

    Comment vaincre ses peurs ?

    On commence par en reconnaître la source. Est-ce la peur des hommes qui nous empêche d’aller à l’endroit que Dieu a préparé pour nous ?

    Puis, on les confesse à Dieu ! N'oubliez pas : Ce qui fait peur à la peur, c'est la parole proclamée ! Prenez position, déclarez que Dieu est vainqueur sur toutes vos craintes, et qu’il est celui qui vous fortifie.

    Où que vous alliez, la bénédiction vous accompagne. Réalisez-le, croyez-le, visualisez-le, confessez-le, vivez-le. Continuez d’être à son écoute, de le servir et d’avancer. Dieu vous en fait la promesse, ses bénédictions vous suivront !

    Une action pour aujourd’hui

    Je vous invite à prendre un carnet et à noter toutes les promesses que Dieu a faites sur votre vie, tout ce qu’il dit que vous êtes, tout ce à quoi vous aspirez pour votre vie.

    Visualisez la vie abondante à laquelle vous avez non seulement droit, mais à laquelle vous êtes appelés. Relisez ce que vous avez écrit à chaque fois que vous en aurez besoin, et ne perdez plus l’objectif des yeux !

     

     
    Ce qui fait peur à la peur

    Source : topchretien.com 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • LES 6 PIRES ALIMENTS QUI FONT STOCKER LES GRAISSES

     

     

     

     

     

    Les graisses qui proviennent de l'alimentation sont digérées par les sécrétions de la vésicule biliaire puis transformées en acides gras. Elles sont ensuite absorbées par les intestins et arrivent dans le foie. En excès, ces graisses participent au surpoids et à diverses maladies. Voici les aliments à limiter absolument !

     

    Les viennoiseries : les industrielles sont moins caloriques

    Brioche, pain au lait, pain au chocolat, croissant, chausson aux pommes, pain aux raisins... Les viennoiseries sont de vrais petits plaisirs pour nos papilles. Le problème ? Pauvres en fibres, riches en graisses, elles sont sources de lipides et de glucides.

    Le processus de stockage des graisses : "Les graisses qui proviennent de l'alimentation sont digérées par les sécrétions de la vésicule biliaire et sont transformées en acides gras. Elles sont ensuite absorbées par les intestins et arrivent dans le foie" explique la diététicienne nutritionniste Charline Wirth. Elle ajoute : "Ces acides gras sont nécessaires pour apporter de l'énergie mais aussi pour intégrer la composition de nos cellules, de nos hormones... En revanche, l'excédent de graisses que l’on trouve dans les viennoiseries va être stocké dans les adipocytes, les cellules de réserves, sous forme de triglycérides."

     

    Une question de quantité : "Si vous mangez un pain au chocolat, vous n’êtes pas dans l’excès. Par contre, si vous mangez un pain au chocolat additionné à un pain aux raisins, vous êtes dans l’excès" explique la spécialiste. "Cette règle est aussi valable pour l'excès de glucides. Lorsque l'organisme a trop de sucres, il ne peut que stocker les glucides, soit sous forme de glycogène, soit sous forme de triglycérides dans les adipocytes, ce qui entraîne une augmentation du tissu graisseux."

    Viennoiseries industrielles moins caloriques que les artisanales : "Malheureusement, ce sont les viennoiseries industrielles pré-emballées qui présentent le moins de calories. Il faut compter 180 Kcal pour un pain au chocolat industriel contre 280 Kcal pour un artisanal". La cause ? "Ils sont de plus petite taille, 45g pour l’industriel contre 70g pour l'artisanal, mais ils sont aussi légèrement moins gras car les industriels ont tendance à économiser les ingrédients les plus chers, comme le beurre." Ils sont aussi moins bons, il faut l'avouer.

    Brioche et pain au lait sont moins caloriques : "Le pain au lait représente 125 Kcal dans sa forme industrielle contre 200 Kcal pour un artisanal. La brioche représente 115 Kcal pour une grosse tranche industrielle et 160 Kcal pour une grosse tranche artisanale" explique la spécialiste. Elle ajoute : "La brioche et le pain au lait sont beaucoup moins gras, deux fois moins gras pour les industriels, que le pain au chocolat ou le croissant". La viennoiserie la plus calorique reste incontestablement le pain au chocolat avec 280 Kcal.

    On remplace : "Remplacer les viennoiseries par du pain complet semble être une bonne solution" Pourquoi ? "Il est riche en fibres, son index glycémique est bas et il ne contient pas de graisses. Il sera donc digéré et assimilé beaucoup plus lentement, évitant tout stockage de graisses. De plus, il apportera une sensation de satiété sur une plus longue durée". Important : "Les viennoiseries doivent rester des plaisirs occasionnels pour le weekend."

     

    Les barres chocolatées : à éviter lors d’un effort

    Au goûter, en collation, quand on a un petit creux ou même en dessert. Toutes les occasions sont bonnes pour déguster une barre chocolatée bien gourmande. Le problème ? Elles sont très sucrées et grasses.

    Au niveau des calories : Les calories varient énormément d’une barre chocolatée à l’autre. "Dans une barre Ovomaltine, on trouve 85 Kcal. Pour une barre Snickers, les calories s’élèvent à 300."

    On remplace : "Dans la catégorie la plus 'similaire', il peut être intéressant de remplacer les barres chocolatées par les barres céréalières. Bien que très sucrées, ces gourmandises sont moins caloriques, on trouve environ 87 kcal par barre" explique la diététicienne. Elle ajoute : "Dans la catégorie la moins similaire, il est recommandé de remplacer les barres chocolatées par des fruits, 1 à 2 selon la taille, ou bien par des fruits séchés, 2 ou 3 maximum. Bien plus rassasiants, ce ne sont pas des calories vides, c’est-à-dire qu’ils apportent des fibres et présentent un index glycémique plus bas, des minéraux, vitamines" déclare-t-elle. La nutritionniste souligne également que les barres chocolatées peuvent être remplacées par une poignée d’amandes.

    A éviter lors d’un effort intense : "Les barres chocolatées doivent rester des plaisirs très occasionnels. Mieux vaut les consommer pendant une activité de long effort mais peu intense, type randonnée" explique la spécialiste. "Si vous les consommez lors d’un effort intense, cela peut présenter un risque de mauvaise digestion et de diminution des performances car elles sont très riches en graisses" précise Charline Wirth.

     

    La charcuterie : privilégier celles qui sont maigres

    Saucisse, saucisson, mortadelle, jambon fumé, salami... La charcuterie nous assure le plaisir, le partage et la convivialité lors d’un apéritif. Le problème ? Elles sont très riches en graisses et doivent donc être consommées avec modération.

    Au-dessus des recommandations : "Pour 100g de charcuterie consommée, on ingère en moyenne plus de 40 g de matières grasses, soit plus de la moitié de la consommation journalière recommandée en lipides. Les recommandations sont d’environ 70g de graisse par jour pour les femmes et 90g pour les hommes, contenue dans les aliments et par les huiles, le beurre… " explique Charline Wirth.

     

    Les charcuteries maigres à privilégier : "Il est important de bien distinguer les charcuteries maigres des autres. Le jambon blanc découenné, le jambon de Bayonne découenné, le bacon, la viande des grisons, la coppa ou encore le saucisson extra maigre sont des charcuteries maigres. Elles ont moins tendance à faire stocker les graisses" précise la diététicienne.

    Une consommation occasionnelle : Pour la nutritionniste : "Les charcuteries comme le salami, la mortadelle, le saucisson, le pâté, la saucisse, la rosette, le boudin ou encore le cervelas présentent une teneur importante en matières grasses et sont donc fortement caloriques."

     

    Conseil : "Soyez particulièrement vigilant sur les taux de sel contenus dans la charcuterie industrielle. Egalement, évitez au maximum les charcuteries présentant des polyphosphates." Ces additifs chimiques sont en train de disparaître de nombreux produits charcutiers.

     

    Les quiches : tout dépend de ce qu’elles contiennent

    Les recettes de quiches peuvent varier mais les principaux ingrédients restent généralement les mêmes. Sans même parler des autres éléments, la pâte feuilletée, la crème liquide, le fromage et les œufs constituent déjà un apport calorique relativement important.

    Pour avoir une idée : "Comptez environ 400 Kcal pour une quiche lorraine" informe la nutritionniste.

     

    Bien sélectionner les ingrédients : "Encore une fois, tout dépend des ingrédients que l’on choisit et de la quantité consommée. Cependant, la quiche reste un plat complet qui contient des protéines grâce aux œufs et des féculents grâce à la pâte" explique Charline Wirth. Il faut juste faire attention à ne pas trop garnir la quiche d’ingrédients trop riche en matière grasse.

    Alléger votre recette : Il existe différentes solutions pour alléger votre quiche et donc réduire votre apport en graisses. "Vous pouvez remplacer la pâte par 3 ou 4 feuilles de brick, sans matière grasse. Au lieu d’utiliser une crème fraîche à 30%, optez pour une crème à 15%, une crème de soja ou même du fromage blanc, toujours moins calorique" déclare la nutritionniste. Concernant les ingrédients, là encore, il est possible de limiter l’apport en calories : "Remplacer les lardons par des légumes. Outre leur très faible valeur énergétique, les légumes possèdent une grande richesse en fibres qui permet de limiter l'absorption intestinale des graisses contenue dans la pâte et le flan de la quiche."

     

    Les aliments frits comme les beignets ou les frites : riches en mauvais gras

    Pour être croustillants, les aliments frits sont complètement plongés dans une friteuse contenant une grande quantité d’huile. Le problème ? L’huile est un corps gras extrêmement calorique.

    Une cuisson problématique : "La cuisson à haute température de l'huile modifie la structure des acides gras" explique Charline Wirth.

     

    Conseil : "La meilleure façon de consommer des aliments frits est d’opter pour des petites portions, à accompagner avec des légumes, de façon à compenser le reste de l'assiette avec des aliments faiblement énergétiques" précise la nutritionniste.

    Privilégier la cuisson au four : "Plutôt que de plonger vos aliments dans une friteuse, utiliser un pinceau pour les badigeonner d'huile en petite quantité et les faire dorer au four" explique la diététicienne. Elle ajoute : "Pour une cuisson à la friteuse, tailler les aliments en gros morceaux afin qu'ils absorbent moins d'huile possible et venir éponger avec du papier essuie-tout, directement après cuisson."

     

    Comment réduire les impacts négatifs de la friture ? Une étude de 2008, réalisée par le Centre d’expertise et de recherche en hôtellerie et restauration du Québec , s’est penchée sur la teneur en matières grasses des frites. Les recherches révèlent que la température de cuisson, la quantité de frites, le format de coupe, le contact de la frite avec l’huile sont tous des facteurs qui peuvent affecter l’absorption d’huile au cours de la friture de la pomme de terre. Il existerait trois solutions pour réduire les impacts négatifs de la friture : - Maintenir des températures de friture inférieures à 200°C. - Changer l’huile de friture avant qu’elle ne présente des signes de détérioration. - Conserver les pommes de terre au frais (8-10°C) et à l’abri de la lumière.

     

    La semoule blanche : un index glycémique élevé

    Pour avoir une idée : "La semoule présente 140 Kcal sur poids cuit pour environ 4 cuillères à soupe" rappelle Charline Wirth.

    Le processus de stockage des graisses : "La semoule, au même titre que pain blanc, le pain de mie blanc ou encore les pâtes blanches possèderait un index glycémique relativement important. Lorsqu'elle est consommée, elle élève de façon rapide le taux de glucose dans le sang. L'organisme va alors produire de l'insuline, entraîner le stockage des nutriments, donc favoriser la transformation d'une grande partie du glucose en réserve de graisse" explique la nutritionniste.

     

    Un mode de cuisson recommandé : "Néanmoins, tout dépend du type de semoule, complète ou blanche, et du mode de cuisson utilisée. Par exemple, il est possible de faire gonfler la semoule dans l'eau chaude mais cela lui conférera un index glycémique plus important, c'est donc le mode de cuisson de la semoule à éviter" précise Charline Wirth. "Au contraire, on peut aussi faire gonfler la semoule dans de l'eau froide, ce qui permet de diminuer son index glycémique car l'amidon sera moins vite digéré" suggère la diététicienne.

    A savoir : "La semoule de blé complet possède un index glycémique plus bas que la semoule blanche. Elle confère moins de stockage abdominal et garantit une satiété plus longue."

     

    Conseil : "Consommer maximum 200g (cuits) de semoule complète et al dente ou alors laissez-la gonfler dans l’eau froide, avec du jus de citron, un coulis de tomate et des légumes, principe du taboulé."

     

    Publié par Chloé Parisse, journaliste santé et validé par Charline Wirth, diététicienne nutritionniste

     

     

     

     

     

     

    Source : medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les types d’infections vaginales et leurs causes

     

     

     

     

     

     

    Les infections vaginales sont dues à plusieurs causes que l'on peut identifier par des symptômes spécifiques. Pour cela il est fondamental de reconnaître les symptômes afin de réaliser un diagnostic rapide ainsi qu'un traitement.

    Les types d’infections vaginales et leurs causes

    Le vagin est un organe génital peu profond et est donc exposé à plusieurs types d’infections. Les infections vaginales génèrent des mal-êtres qui varient selon le type. C’est pourquoi les sécrétions peuvent être différentes selon leur odeur, leur couleur et la consistance, en plus des démangeaisons ou de la douleur que peuvent provoquer certaines infections.

    Les principaux types d’infections vaginales et leurs causes

    Les mal-êtres ou symptômes spécifiques aident à diagnostiquer le type d’infection vaginale, ainsi que leurs causes. Parmi les infections vaginales les plus communes et leurs causes se trouvent :

    1. Candidose vaginale

    Candidose vaginale

     

    Ce type d’infection, en plus d’être très fréquent, se caractérise par des symptômes du type :

    Cause

    La cause est clairement mycosique. Elle est causée par le champignon Candida Albicans, même s’il fait partie de la flore du vagin, du système digestif et de la cavité buccale. Quand ce champignon augmente dans les tissus vaginaux, il provoque cette symptomatologie caractéristique à travers des sécrétions.

    Il apparaît en général à la suite d’une dépression du système immunitaire provoquée par des maladies comme le diabète, la leucémie, entre autres. Bien qu’il puisse également apparaître à la suite d’un contact sexuel.

    2. Vaginose bactérienne

    Cette infection est l’une des autres infections vaginales les plus communes. Les caractéristiques des sécrétions qu’elle génère sont déterminantes pour le diagnostic. Le flux sécrété en conséquence d’une vaginose bactérienne se caractérise par :

    • Odeur de poisson à cause des amines qui émanent
    • Démangeaison vaginale intense
    • Couleur blanc-jaune
    • Dyspareunie ou vaginisme

    Cause

    Elle est causée par une combinaison de bactéries qui grandissent de manière incontrôlée dans la flore vaginale, ce qui rompt complètement l’équilibre vaginal. La vaginose bactérienne ne se transmet pas par le contact sexuel mais il a été prouvé que son apparition à répétition touche les femmes sexuellement actives.

    3. Trichomonas

    Infections vaginales : Trichomonas

     

    Elle génère de nombreuses gênes chez les femmes qui en souffrent. C’est une infection d’intensité modérée et doit donc être traitée à temps. Dans le cas contraire, elle peut provoquer une maladie inflammatoire pelvienne, qui peut déclencher une septicémie ou une infection généralisée.

    La sécrétion que provoque ce type d’infection vaginale se caractérise par :

    • Couleur verdâtre
    • Odeur intense nauséabonde
    • Totalement liquide
    • Démangeaison vaginale
    • Douleur en urinant

    Cause

    Elle est causée par un parasite appelé Trichomonas Vaginalis qui se transmet par contact sexuel. Ce parasite peut se trouver autant sur les parties génitales masculines que féminines. Sa sécrétion  a des caractéristiques très spécifiques, ce qui contribue à un bon diagnostic et ainsi à un traitement adapté.

    4. Vaginite à chlamydiae

    Vaginite à chlamydiae

     

    C’est une autre des infections vaginales les plus communes. Elle est très fréquente chez les femmes entre 18 et 35 ans. Au départ, elle peut être une affection asymptomatique, mais elle finit par provoquer les symptômes suivants :

    • Douleur vaginale
    • Léger saignement pendant les relations sexuelles
    • Douleur dans le bas du ventre
    • Démangeaison au niveau de la vulve

    Cause

    Le microorganisme à l’origine de cette infection vaginale s’appelle Chlamydia Trachomatis, qui se transmet par contact sexuel. Cette infection vaginale peut être asymptomatique. C’est une infection vaginale à haut risque qui provoque des lésions microscopiques au niveau du col de l’utérus, ce qui peut avoir des répercussions sur la capacité à concevoir. C’est pourquoi un traitement adapté est fondamental.

    En conclusion, toutes les infections vaginales requièrent un traitement immédiat à cause des complications qu’elles peuvent supposer à long terme. Si vous souffrez de l’un des symptômes précédents, consultez votre spécialiste afin qu’il vous prescrive un traitement le plus rapidement possible, selon le type d’infection vaginale que vous présentez.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Pardonner ? Pas toujours facile !

     

     

     

     

     

     
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  • 8 conseils neurobiologiques pour vous aider à être heureux

     

     

     

     

     

     

    Il y a beaucoup d'actions qui, malgré leur simplicité, ont un grand effet sur notre organisme. Découvre-les !

    8 conseils neurobiologiques pour vous aider à être heureux

    Voici 8 conseils neurobiologiques pour vous aider à être plus heureux. Comment est-ce possible ? Très facile, grâce à votre cerveau. Oui, en tenant compte des actions qui peuvent vous aider, vous apporterez des changements positifs dans votre organisme.

    Lorsque nous parvenons à équilibrer nos fonctions corporelles et à jouir d’une bonne santé, nous jouissons également d’un sentiment de bien-être qui nous aide à être heureux.

    Découvrez avec nous comment vous pouvez utiliser votre propre cerveau pour promouvoir ces processus biologiques qui génèrent, parmi de multiples réactions , la sécrétion des hormones du bien-être.

    8 conseils neurobiologiques pour être plus heureux

    1. Soyez toujours reconnaissant

    reconnaissance

     

    La gratitude n’est pas seulement une expression verbale. C’est un geste qui s’accompagne d’une émotion bénéfique, tant pour ceux qui la ressentent que pour ceux qui reçoivent les remerciements.

    Quand nous remercions une personne, nous nous mettons du côté positif de la vie. Cela stimule la production de sérotonine dans le cortex cingulaire antérieur. Il s’agit d’une méthode qui est déjà utilisée dans certains cas pour combattre la dépression.

    2. Soyez proactif et prenez des décisions

    Lorsqu’une personne a un problème et qu’elle veut trouver une solution possible, le cerveau essaie d’y travailler. Pour trouver une solution, le cerveau a besoin d’énergie. Par conséquent, la dépense énergétique peut causer de l’anxiété et de l’irritation chez la personne.

    Cependant, lorsque le cerveau prend la décision d’effectuer une action, les neurotransmetteurs qui servent à calmer le système limbique sont activés. Cela aide à voir le monde sous un jour plus positif.

    Par conséquent, il est nécessaire de mener des actions qui aident le cerveau à libérer le stress causé par la recherche de solutions à un conflit.

    La neurobiologie nous dit que nous devons être proactifs, parce que de cette façon nous pouvons trouver des solutions sans affecter l’organisme.

    3. Exprimez-vous ! Libérez-vous de la négativité

    échanger

    Un autre des conseils neurobiologiques les plus efficaces qui existent est la verbalisation ou l’expression de notre monde intérieur. Lorsque nous libérons nos pensées, nous nous sentons mieux dans notre peau et nous n’avons pas d’émotions négatives qui peuvent nuire à notre organisme.

    Rappelez-vous que le fait de garder la négativité en nous peut mener notre corps à somatiser les problèmes, comme cela arrive pour l’anxiété et le stress.

    En exprimant vos pensées et en relâchant la tension à travers elle, votre cerveau commencera à produire de la sérotonine et sera même capable de voir le côté positif de certaines situations désagréables. D’autre part, de multiples zones du cerveau seront activées.

    4. Interaction sociale

    Pour l’être humain, l’interaction sociale est très importante. En particulier, ce dont nous avons le plus besoin, c’est de soutien social, surtout des caresses et des câlins. Ces gestes sont ceux qui nous aident à récupérer plus rapidement de nos souffrances et après des maladies.

    Si nous ne pouvons pas profiter du contact humain dans notre vie, notre cerveau percevra cette perte comme une douleur physique parce que cela affecte les mêmes zones du cerveau. Par conséquent, cela peut amorcer des processus qui influent sur l’humeur et qui pourraient mener à la dépression.

    5. N’arrêtez pas d’apprendre

    toujours apprendre

     

    Donnez constamment de nouvelles informations à votre cerveau. Cela amènera le cerveau à percevoir un changement constant dans l’environnement auquel il devra essayer de s’adapter.

    Chaque fois que le cerveau subit ce processus d’adaptation, il continue à se développer et se récompense avec la dopamine, l’hormone du bonheur. Tout cela se fait par la réception et le traitement de nouvelles informations. Donc, si vous voulez être ou ressentir quelque chose de plus heureux, vous savez quelle pourrait être la solution.

    6. Exercice physique

    Lorsque nous faisons de l’exercice, des endorphines sont libérées. L’hypophyse produit cette hormone comme une récompense et le cerveau perçoit un effet similaire à celui de la morphine. De cette façon, elle réduit la sensation de douleur et favorise le bien-être. Avec une seule longue marche, vous pouvez déjà ressentir cet effet.

    7. Passez de bonnes nuits de sommeil

    bien dormir

     

    Lorsque nous dormons dans l’obscurité, le cerveau produit de la mélatonine. Cette hormone ralentit tous les processus dans l’organisme, et aide le corps à se rétablir. En d’autres termes, cela provoque une augmentation de la sérotonine dans l’hypothalamus.

    Par conséquent, si le cerveau sent qu’il y a un changement dans l’éclairage de la chambre à coucher, il commencera à sécréter l’hormone du stress et finira par réveiller le corps. Donc, il est préférable d’essayer de dormir 6 à 8 heures par jour dans une pièce sombre si possible.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Comment tirer le meilleur parti de la levure de bière

     

     

     

     

     

     

    La levure de bière est le produit de la décomposition de l'orge, en particulier du gluten. C'est un produit fermenté.

    Comment tirer le meilleur parti de la levure de bière

    La levure de bière est un champignon que l’on fait fermenter pour ensuite obtenir de la bière, du vin et du pain. Elle contient une quantité importante de vitamines (complexe B) et de protéines. C’est pourquoi elle produit des résultats étonnants sur la peau et sur notre santé en général.

    La levure de bière est généralement consommée en capsules, c’est-à-dire comme supplément alimentaire disponible dans le commerce. Cependant, le mieux est de consommer la levure de bière sous forme de poudre ou de flocons, bien que son goût ne soit pas très agréable.

    La levure de bière peut être consommée mélangée à d’autres aliments, comme le yaourt, les jus, les smoothies, les céréales et même les salades. Il est pratique de l’avoir dans votre cuisine et de l’ajouter à un plat de votre choix plusieurs fois par semaine pour en percevoir les bienfaits.

    Propriétés de la levure de bière

    levure de bière

     

    Les nutriments contenus dans la levure de bière sont reconnus comme produits de grande valeur biologique. Sa haute teneur en protéines surpasse celle des autres aliments. Par exemple, elle surpasse la viande animale pour ce qui est de l’apport nutritionnel.

    Les vitamines du groupe B sont un autre des composants les plus appréciés de la levure de bière. Ceux-ci sont essentiels au métabolisme des nutriments et au bon fonctionnement des systèmes nerveux et immunitaire.

    La levure de bière est également connue pour fournir certains éléments (acides gras) qui régulent les triglycérides :

    • Zinc
    • Calcium
    • Chrome
    • Fer
    • Potassium
    • Lécithine
    • Glucides

    La levure de bière est sans gluten et sans gluten, ni lactose ce qui la rend idéale pour les cœliaques.

    Les moyens de tirer le meilleur parti de la levure de bière

    Il existe de nombreuses façons de profiter des bienfaits que cette levure apporte à notre organisme, parmi lesquelles on peut remarquer les suivantes :

    Elle renforce les ongles

    ongles sains

     

    La levure de bière contient une forte concentration de fer, de calcium, de zinc et de potassium. Ainsi que d’autres minéraux qui donnent de la force aux ongles fragiles. Ainsi, si vous l’utilisez régulièrement, vous aurez les ongles dont vous avez rêvé en un rien de temps.

    Elle fortifie les cheveux

    Grâce à la grande quantité de vitamines B1 et B6, la consommation de levure de bière donne à vos cheveux une brillance exceptionnelle et les rendra plus forts.

    Ces vitamines aident à maintenir la kératine naturelle aux niveaux appropriés en prévenant la chute des cheveux et en leur donnant un aspect soyeux et sain.

    Elle régule le cholestérol

    dépurer le sang

     

    D’autres composants de la levure de bière en concentrations élevées sont les graisses insaturées et la lécithine, éléments parfaits pour contrôler le mauvais cholestérol et réduire les triglycérides.

    Elle est également idéale pour les personnes hypertendues en raison de sa faible teneur en sodium, qui apporte des bénéfices importants à votre système cardio-vasculaire.

    Elle régénère la peau

    La levure de bière contient des acides aminés essentiels. Notre organisme peut ainsi développer ses propres enzymes et hormones dans les quantités nécessaires. De plus, elle contient de la biotine.

    La biotine est un composant qui agit comme régénérateur naturel des tissus, ce qui aide à la cicatrisation des plaies. De plus, elle agit comme un antidote au vieillissement prématuré, gardant la peau jeune et saine.

    Elle contrôle la flore intestinale

    flore intestinale

     

    Source de fibres et de probiotiques, la levure de bière permet donc de réguler la flore intestinale en réduisant la constipation.

    Nous vous recommandons de la prendre fréquemment, surtout à jeun. Cela sera bénéfique pour votre système intestinal puisque la levure de bière équilibrera les selles et rétablira les fonctions enzymatiques qui favorisent une bonne digestion.

    Elle est utile pendant la grossesse

    La teneur élevée en acide folique de la levure de bière est une excellent apport pour les femmes enceintes.

    Elle offre de nombreux avantages nutritionnels à votre bébé. Les médecins recommandent la prise d’acide folique pendant la lactation, mais aussi en tant que supplément au stade de croissance de l’enfant.

    Elle lutte contre la fatigue chronique

    fatigue chronique

     

    Lorsque notre corps ne produit pas les vitamines et les minéraux dont il a besoin pour son bon fonctionnement, nous devons l’aider. La consommation régulière de levure de bière fournit des vitamines et des protéines de bonne qualité. Rappelez-vous qu’il est conseillé de l’associer judicieusement avec des légumineuses, des fruits secs et des céréales complètes.

    De nombreux athlètes choisissent d’inclure la levure de bière dans leur alimentation quotidienne. Car elle leur fournit le supplément d’énergie nécessaire à leur mode de vie exigeant.

    Malgré les bienfaits de la levure de bière, rappelez-vous qu’il n’existe pas de suppléments miracles. La meilleure façon d’assurer une vie saine est de maintenir une alimentation variée et équilibrée. En consommant des aliments naturels et frais qui fournissent les nutriments dont votre corps a besoin.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 10 symptômes qui alertent d’un ulcère gastrique

     

     

     

     

     

     

    Bien que l’ulcère gastrique puisse provenir d’autres problèmes de santé, si nous présentons plusieurs symptômes, nous devons consulter le spécialiste pour réaliser un examen et obtenir un traitement adéquat.

    10 symptômes qui alertent d’un ulcère gastrique

    Un ulcère gastrique est une lésion qui se produit dans la paroi interne de l’estomac. C’est un type de lésion qui est provoquée par une production excessive de jus acides qui peuvent être altérés par de multiples facteurs.

     

    Sa principale cause est l’infection par la bactérie H. pylori, un micro-organisme qui parvient à proliférer dans certaines conditions particulières. C’est aussi le résultat d’une consommation excessive de médicaments et de nombreuses autres maladies digestives.

    Bien que la consommation d’alcool, d’aliments irritants et le tabagisme ne soient pas une cause directe, leur consommation régulière peut aggraver les symptômes et augmenter la tendance à souffrir d’autres complications.

    Bien que l’ulcère gastrique ne se manifeste pas toujours par de forts symptômes, sa détection et son traitement à temps sont essentiel pour éviter que d’autres problèmes ne se développent postérieurement.

    Pour cette raison, dans cet article nous voulons partager avec vous en détail les 10 symptômes qui alertent d’un ulcère gastrique pour vous aider à les identifier à temps.

    Découvrez-les tous !

    1. Inflammation abdominale

    inflammation abdominale et ulcère gastrique

     

    Il existe plusieurs causes d’inflammation abdominale. Cependant, nous ne devrons pas la négliger car c’est l’un des premiers symptômes des ulcères gastriques.

    • L’inflammation abdominale se manifeste par un gonflement important du ventre, et s’accompagne presque toujours de lourdeurs d’estomac ou d’inconforts.
    • Elle provient d’une réponse inflammatoire déclenchée comme mécanisme de lutte contre les agressions provoquées par l’acidité.

    2. Brûlure et douleur abdominale

    Une sensation de brûlure inconfortable dans l’estomac peut indiquer le développement d’un ulcère gastrique. Ce symptôme, également interprété comme une douleur, est le résultat de la lésion qui affecte la muqueuse gastrique.

    • Une sensation d’inconfort se produit entre le sternum et le nombril. Parfois, selon l’emplacement de l’ulcère gastrique, cet inconfort se fait ressentir également sur les côtés du corps.
    • De plus, il empire généralement lorsque vous mangez des aliments épicés ou trop chauds.

    3. Perte d’appétit

    perte d'appétit et ulcère gastrique

     

    De nombreux patients atteints d’ulcères gastriques souffrent de perte d’appétit en raison des effets qui se produisent dans le système digestif lors des repas.

    • La brûlure et l’inflammation qui se produisent après avoir mangé deviennent une raison d’arrêter d’ingérer des quantités normales.
    • Parfois, cela devient un problème chronique, étant donné que le manque d’appétit entraîne certaines carences nutritionnelles.

    4. Nausées ou vomissements

    Comme c’est le cas avec de nombreux autres problèmes digestifs, les ulcères gastriques peuvent se manifester accompagnés par des nausées et des vomissements.

    • La production excessive de sucs acides irrite la muqueuse de l’estomac et déclenche un mécanisme de défense que les personnes affectées perçoivent comme le besoin de vouloir vomir.
    • Parfois, la lésion peut même se compliquer et produire des vomissements en consommant certains aliments.

    5. Indigestion

    indigestion et ulcère gastrique

     

    Une mauvaise association d’aliments ou des plats trop copieux peut être la cause de l’indigestion. Cependant, ce problème est plus fréquent lorsque l’on souffre d’un ulcère gastrique.

    • Les lésions dans l’estomac produisent des irritations et des douleurs lors de la consommation d’aliments acides ou difficiles à digérer.
    • Les patients affectés par un ulcère gastrique peuvent ressentir des gaz, des maux d’estomac et d’autres symptômes associés à cette maladie.

    6. Modifications des selles

    Si un changement de couleur ou de consistance des selles se produit, une analyse doit être réalisée. Ces modifications n’indiquent pas toujours la présence d’un ulcère gastrique, mais elles peuvent se développer en raison de nombreuses maladies du système digestif.

    • Dans ce cas, il est possible de remarquer des selles foncées et denses. Lorsque la lésion est plus grave, les selles peuvent également contenir du sang.

    7. Intolérances alimentaires

    intolérances alimentaires et ulcère gastrique

     

    Les personnes souffrant d’ulcères gastriques peuvent éprouver certaines intolérances alimentaires, même lorsqu’elles n’ont jamais eu ce type de problème. Cela s’explique par la grande sensibilité que développe l’estomac à cause des lésions provoquées.

    • De plus, certains aliments contiennent des composants qui aggravent l’inflammation, ce qui augmente encore plus la douleur et provoque d’autres inconforts.
    • Généralement, les personnes affectées développent une intolérance aux graisses, aux aliments épicés et aux repas sucrés.

    8. Perte de poids importante

    Lorsque les ulcères gastriques ne sont pas détectés et opérés à temps, les personnes qui en souffrent subissent une perte de poids importante et alarmante.

    • Ce symptôme est souvent lié à un manque d’appétit qui empêche les patients de manger correctement.
    • Par ailleurs, une perte importante de poids requiert une analyse approfondie, car elle peut parfois provenir d’autres maladies chroniques telles que le cancer.

    9. Mal-être général

    mal être général et ulcère gastrique

     

    Très souvent, les symptômes des ulcères gastriques se confondent avec ceux de la grippe. Bien qu’ils n’aient pas de relation, beaucoup de personnes pensent que ce malaise général est lié à un problème respiratoire.

    • Les manifestations cliniques comprennent une sensation de fatigue, une faiblesse musculaire et une légère fièvre.

    10. Sensation de faim

    Alors que chez certains patients, il provoque un manque d’appétit, chez d’autres en revanche il peut provoquer une sensation de faim, même après avoir terminé un repas.

    • Ce symptôme n’est pas vraiment la faim, mais la réaction du corps à l’augmentation des sucs gastriques.

    Si vous remarquez plusieurs des symptômes mentionnés dans cet article, c’est une raison suffisante pour consulter votre médecin. Il est important de traiter ce problème le plus rapidement possible, surtout si la douleur réapparait après avoir reçu un traitement initial.

     

    Bien que très souvent, on sache quels sont les aliments les plus adaptés pour combattre ce problème, nous vous présentons dans cet article les plus recommandés en cas d’ulcère gastrique.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Craignez-vous le lendemain ?

     

     

     

     

     

     
    "Car il est un avenir, et ton espérance ne sera pas anéantie." Proverbes 23.18 et 24.14
     
     

    Le titre de la pensée de ce jour n’a pas pour objectif de nous faire entrer dans des spéculations stériles concernant l’avenir, ni de nous angoisser avec des suppositions négatives sur ce qui pourrait se produire... Mais plutôt de nous faire sortir de cette façon de penser qui consiste à envisager l’avenir comme une suite logique de notre passé. 

    "Ne laissez pas votre passé vous dicter la pensée de ce que sera demain."

    Un grand nombre de personnes ont vécu des traumatismes dès leur enfance. Certains ont grandi dans des familles déstructurées ; la peur, la crainte ont été des éléments constants qui ont marqué les premières années de leur vie. Arrivés à l’âge adulte, ils pensent que leur futur sera toujours marqué par ce passé douloureux. Ils pensent qu’avec le passé qu’ils ont connu, ils ne pourront jamais connaître un futur heureux. De telles pensées empoisonnent leur existence. Ils n’envisagent pas un avenir différent de ce passé dans lequel ils s’enferment.

    Peut-être vous reconnaissez-vous dans ce rapide tableau ? Peut-être traversez-vous en ce moment des heures difficiles : vous envisagez l’avenir avec l’angoisse de vivre demain ce que vous avez connu hier… Mais je voudrais vous dire avec assurance : "Pensez à demain en considérant les promesses de Dieu pour vous. Entrez dans une nouvelle façon de penser au lendemain. Croyez que le meilleur est devant vous. Laissez le soin à Dieu de vous parler de votre avenir en vous accrochant à ses promesses."

    Pourquoi les Israélites ont-ils tourné pendant 40 ans dans le désert alors qu’il suffisait d’une dizaine de jours pour aller d’Egypte en Canaan ? Parce qu’ils ont pensé à leur avenir en fonction de leur servitude passée. Ils ont pensé que les géants de Canaan les vaincraient, et en feraient des esclaves. Ils ont cru que leur futur serait comme leur passé.

    Parfois, nous tournons en rond pendant des années. Pourquoi ? Parce que nous laissons notre passé formater nos pensées sur demain.

    Aujourd’hui est le jour où vous pouvez penser à votre avenir, non avec les échecs et les drames d’hier, mais avec la foi en celui qui est avec vous.

    Une décision pour aujourd’hui

    "Seigneur, je décide de ne plus laisser mon passé douloureux m’influencer dans mes pensées pour ce que sera demain. Avec toi, je confesse que le meilleur est devant moi."

     
    Craignez-vous le lendemain ?
     
    Source : topchretien.com
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • Conseils pour augmenter le taux de bon cholestérol

     

     

     

     

     

     

    Les lipoprotéines de haute densité sont celles qui éliminent l'excès de cholestérol. Par conséquent, elles sont connus sous le nom de : bon cholestérol.

    Conseils pour augmenter le taux de bon cholestérol

    Pour augmenter le taux de bon cholestérol, il n’est pas nécessaire de recourir à des médicaments ou à des régimes alimentaires stricts. En fait, il nous est difficile de penser que le bon cholestérol existe.

    Lorsque nous pensons au cholestérol, nous croyons automatiquement qu’il est mauvais pour notre santé et que nous devrions abaisser ses niveaux par le biais d’une alimentation saine et de la pratique régulière d’exercice physique. Mais en réalité, il y a un bon cholestérol qu’il est même conseillé d’augmenter.

    Pourquoi augmenter le taux de bon cholestérol ?

    Tout d’abord, il faut savoir qu’il existe deux types de cholestérol : le « mauvais », ou LDL ,et le » bon », ou HDL. Ce dernier circule dans le sang et est transporté par des lipoprotéines de haute densité. Ces lipoprotéines passent par les artères jusqu’au foie et nettoient les vaisseaux. Elles permettent ainsi de libérer le métabolisme des graisses.

    Le bon cholestérol protège contre les maladies cardiovasculaires et prend soin du cœur.

    Contrairement au « mauvais », il est essentiel d’avoir des taux élevés de HDL (pas moins de 40 mg/dl chez les hommes et 50 mg/dl chez les femmes).

    Les graisses que nous consommons tous les jours affectent notre santé et notre taux de HDL.

    Si nous mangeons du jaune d’œuf, des saucisses ou du beurre ainsi que des aliments d’origine animale contenant des graisses saturées, nous augmenterons donc les taux de mauvais cholestérol, mais pas les bons. Même les graisses trans réduisent les niveaux de HDL.

    Il est donc recommandé de ne pas manger de pâtisseries, de chips, d’aliments industriels, de sucreries ou de snacks.

    Par contre, il est bon d’ajouter à notre alimentation les aliments qui contiennent des acides gras mono-insaturés comme l’huile d’olive, les noix et l’avocat. Car ils élèvent le taux de bon cholestérol dans le sang.

    Conseils pour augmenter le bon cholestérol

    Nous vous recommandons de consommer les aliments suivants pour équilibrer les niveaux des deux cholestérols :

    1. Aliments riches en oméga 3 et 6

    omega 3

     

    Les huiles ou acides gras oméga 3 et 6 sont essentiels pour la santé du cœur.

    Grâce aux acides gras, le foie peut fabriquer des prostaglandines. Il s’agit de substances ayant de nombreuses propriétés (anti-inflammatoires, vasodilatatrices et antithrombotiques) qui améliorent la circulation et augmentent également le cholestérol HDL.

    Parmi les aliments riches en cet élément nutritif se trouvent :

    • Les graines de chia
    • Le quinoa
    • Les noix
    • Les graines de lin
    • Les poissons gras (saumon, sardine, maquereau, thon)

    2. Légumineuses

    Il est conseillé de manger ces aliments riches et sains entre deux et trois fois par semaine. Les légumineuses contiennent aussi beaucoup de lécithine et aussi des acides gras oméga-3.

    Ils peuvent être consommés de différentes manières, chauds ou froids, et accompagnés de légumes. Les plus recommandés sont :

    • Les lentilles
    • Les pois chiches
    • Les haricots
    • Les petits pois

    3. Légumes

    légumes

     

    Les légumes verts de couleur foncée sont les meilleurs pour augmenter le bon cholestérol. Le bêta-carotène, la chlorophylle et, dans de nombreux cas, les glucosinolates (présents par exemple dans la roquette)fournissent des dizaines d’antioxydants.

    Certains des légumes que nous vous recommandons de manger sont :

    • Le chou
    • Le brocoli
    • La roquette
    • Les blettes
    • Les radis
    • Les épinards
    • Les carottes

    4. Fruits à coque et fruits secs

    Pour qu’ils puissent fournir tous leurs nutriments et leurs propriétés, il est essentiel qu’ils ne soient pas frits ou qu’ils n’aient pas de sel ajouté. Ces aliments riches sont idéaux pour un goûter, une collation ou lorsque nous sommes pris par une envie de grignoter.

    Une poignée de fruits à coque par jour est le maximum recommandé, car elles contiennent suffisamment de calories. Ceux qui sont conseillés sont les suivants :

    • Les amandes
    • Les noisettes
    • Les noix
    • Les cacahuètes
    • La pistache

    5. Céréales complètes

    céréales complètes

     

    Les céréales complètes sont plus saines que les raffinées (blanches) parce qu’elles conservent toutes leurs propriétés. Elles satisfont aussi davantage l’appétit. Nous vous conseillons de consommer :

    • Du millet
    • Du riz
    • De la farine d’avoine
    • Du seigle

    6. Huiles de bonne qualité

    Il est très important que vous optiez pour des huiles qui sont pressées à froid, aussi appelées »extra vierge ».

    En plus de l’huile d’olive, vous pouvez aussi utiliser de l’huile de chanvre. Il est préférable de les consommer avant qu’ils n’aient atteint une certaine température.

    Nous vous conseillons de prendre 1 cuillère à café (5 grammes) d’huile de germe de blé pressée à froid par jour pour recevoir une bonne dose d’acides gras oméga 3 et 6, ainsi que de vitamine E (qui agit comme un puissant antioxydant des graisses).

    7. Condiments et vinaigrettes

    citron

     

    L’avocat peut aussi être un excellent choix pour augmenter le bon cholestérol grâce à ses huiles essentielles. Vous pouvez aussi l’utiliser en remplacement d’assaisonnements tels que la mayonnaise ou coupé en tranches et assaisonné avec du jus de citron dans les salades.

    8. Fruits

    Les meilleurs fruits que nous pouvons choisir si nous voulons augmenter le bon cholestérol sont ceux qui fournissent de la vitamine C. C’est pourquoi les agrumes ne peuvent pas manquer au petit-déjeuner (un bon jus d’orange pour commencer la journée est fantastique). Quelques possibilités :

    • L’orange
    • Le citron
    • La mangue
    • La papaye
    • La pêche
    • L’ananas
    • La mandarine

    Et rappelez-vous qu’en plus d’une bonne alimentation, il est essentiel d’éviter les excès et les addictions.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • DON DE MOELLE OSSEUSE :

    QUI, QUOI, COMMENT, QUELS RISQUES ?

     

     

     

     

     

    Qui peut donner, comment se passe le prélèvement, est-ce que ça fait mal, quels sont les risques pour le donneur ? Le don de moelle osseuse souffre de nombreuses idées reçues. Il est pourtant simple à réaliser, comporte peu de risques et permet de sauver des vies. Voici ce qu’il faut savoir sur la greffe de moelle osseuse. 


     

     

    Le don du sang, le don d’organes, c’est assez clair. Mais le don de moelle osseuse , en quoi ça consiste vraiment ? Première confusion à éliminer : qui dit moelle osseuse ne dit pas moelle épinière . Oubliez donc tout de suite l’image d’une grande aiguille qui viendrait s’insérer dans votre colonne vertébrale, le don de moelle osseuse est le plus souvent indolore et se fait soit par un prélèvement sanguin, soit par un prélèvement dans l’os du bassin.

    Trois conditions pour pouvoir donner sa moelle osseuse

    Avant toute chose, pour faire don de votre moelle osseuse, vous devez remplir trois critères : avoir plus de 18 ans et moins de 51 ans au moment de l’inscription (mais vous pouvez donner votre moelle jusqu’à 60 ans ), être en parfaite santé (pas de problème cardiaque ou respiratoire, pas d’hypertension, pas d’antécédents de cancers, pas de diabète, pas de surpoids important, pas de troubles circulatoires, pas de comportements sexuels à risque…) et accepter de répondre à un questionnaire de santé et de faire une prise de sang .

     

    Outre ces conditions, le don de moelle osseuse est régi par trois principes : l’ anonymat du donneur et du receveur, le consentement à faire valider auprès du Tribunal de Grande Instance de son domicile et la gratuité(prise en charge de tous les frais médicaux et indemnisation de la perte de rémunération subie par le donneur pendant la période du don). Au 31 décembre 2017, le registre français des donneurs de moelle osseuse comptait 278 125 inscrits , répartis inégalement entre 35% d’hommes et 65% de femmes . L’objectif 2018 annoncé par l’Agence de la Biomédecine, qui régit les dons en France, est de recruter 20 000 nouveaux donneurs.

    Une chance sur un million de trouver deux personnes compatibles entre elles

    Une fois inscrit sur la liste des donneurs, vous serez contacté par un centre donneur lorsqu’un patient compatible avec vous aura besoin d’une greffe. Cela peut prendre du temps, car la probabilité de trouver deux individus compatibles entre eux (en dehors des frères et sœurs) n’est que d’une chance sur un million . Le prélèvement sera fixé un à trois mois plus tard et, trois semaines avant le don, vous passez un examen médical et des examens sanguins pour s’assurer de l’absence de contre-indications.

    Quand vous donnez votre moelle osseuse, vous donnez en réalité des cellules appelées cellules souches hématopoïétiques : ces cellules vont elles-mêmes produire les cellules sanguines à savoir les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes, mais aussi les lymphocytes, des globules blancs particuliers qui jouent un rôle dans le système immunitaire. Les cellules souches hématopoïétiques sont présentes en grande quantité dans les os plats comme les os du bassin.

    Prise de sang ou prélèvement dans l’os du bassin

    C’est pourquoi une des deux méthodes possibles de prélèvement est le prélèvement par ponction dans les os postérieurs du bassin . Cette action nécessite 48 heures d’hospitalisation : le donneur est placé sous anesthésie générale , et le prélèvement a lieu dans un bloc opératoire. Le second prélèvement est appelé prélèvement par aphérèse . Dans ce cas, le donneur reçoit quelques jours avant le don un médicament par injection qui va stimuler la production de cellules souches hématopoïétiques et les faire passer des os vers le sang. Le prélèvement aura alors lieu par voie sanguine, en une ou deux prises de quatre heures environ . A noter : ce n’est pas le donneur qui décide de la méthode de prélèvement, mais le médecin greffeur, selon les conditions exigées par l’état de santé du malade receveur.

    Aucun risque de paralysie

    Pendant le prélèvement, il n’existe pas de risque particulier pour le donneur en dehors des risques liés à toute anesthésie générale dans le cas de la méthode par ponction. En aucun cas le donneur court un risque de paralysie car la colonne vertébrale n’est jamais touchée et la santé du donneur n’est pas mise en danger car les cellules de la moelle osseuse se reconstituent rapidement. Certains donneurs comparent la sensation qui suit le prélèvement par ponction à un "gros bleu" et la sensation liée à la technique par aphérèse à des symptômes grippaux, mais ils ne sont pas systématiques.

    Leucémie, anémie, aplasie médullaire… Le don de moelle osseuse sauve des vies

    Une fois le prélèvement effectué, qui va recevoir ce don ? La moelle osseuse ne se conserve pas longtemps, elle est donc transférée du donneur au receveur dans un délai de 12 à 36 heures. La moelle osseuse contenant les cellules capables de se différencier en cellules sanguines, elle est d’un grand recours pour toutes les personnes souffrant d’une maladie du sang ou du système lymphatique. Un don de moelle osseuse pourra ainsi sauver la vie de patients atteints de leucémie (ou cancer du sang), d’ aplasie médullaire (un arrêt du fonctionnement de la moelle osseuse), d’ anémie de Fanconi (une maladie génétique entraînant une défaillance sévère de la moelle osseuse), de déficits immunitaires (par exemple les enfants-bulles), de drépanocytose (anomalie héréditaire des globules rouges) ou encore de bêta-thalassémie (déficience héréditaire de la fabrication de l’hémoglobine). Ainsi, en France, 193 donneurs ont été prélevés en 2017 et 999 patients ont déjà reçu une greffe de moelle osseuse grâce à un don anonyme.

    Et après ? Une fois le don de moelle osseuse effectué, vous aurez trois questionnaires à remplir : le jour du prélèvement, un mois après et un an plus tard. Le don est généralement unique, il n’existe que deux situations dans lesquelles vous pourrez donner votre moelle osseuse plusieurs fois : si l’état du malade nécessite un second don ou si un membre de votre famille avait besoin d’une greffe de moelle osseuse, sous réserve bien sûr que vous soyez compatibles.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : medisite.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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