• Vous avez du mal à exprimer votre amour à votre partenaire ?

     

     

     

     

     

    Si vous avez du mal à exprimer l'amour que vous ressentez pour votre partenaire, peut-être devriez-vous regarder au fond de vous pour en chercher la raison. Cela est sûrement dû à une expérience du passé.

    Vous avez du mal à exprimer votre amour à votre partenaire ?

    Exprimer son amour pour l’autre peut être parfois très difficile. Ceci peut engendrer, sans aucun doute, divers problèmes au sein des relations amoureuses.

    Nous avons tous besoin que notre partenaire nous manifeste ses sentiments verbalement, et pas seulement avec des actions. Cela nous réconforte, nous permet de nous sentir bien et peut même nous permettre de gagner en sécurité.

    Mais, quel poids les mots ont-ils pour nous ? Si notre partenaire est capable seulement capable d’exprimer son amour avec des actes, pourquoi cela ne nous suffit-il pas ?

    Les raisons pour lesquelles il vous est difficile d’exprimer votre amour

    Il existe diverses raisons pour lesquelles il vous est difficile d’exprimer votre amour à votre partenaire.

    Pour les découvrir il nous faut remonter à l’enfance, à l’étape où se génèrent une grande majorité des problèmes que nous devons affronter à l’âge adulte.

    Mère et fille tristes

     

    Voici quelques unes de ces raisons :

    • Les mots d’amour ne sont pas pour vous des mots familiers
    • Vous avez peur de l’engagement
    • Vous avez vécu des expériences amoureuses décevantes
    • Vous souffrez d’alexithymie

    Sauf le dernier cas, tous les autres sont basés sur des expériences ou du vécu qui ont marqué les étapes que vous essayez désormais de franchir dans vos relations amoureuses.

    Si vos parents ne se disaient pas de mots d’amour, il est naturel que vous n’ayez pas appris à le faire au sein de votre couple.

    De la même manière, si vous avez souffert d’expériences douloureuses ou si pour vous les relations amoureuses vont de pair avec le mot « douleur », il est possible que cela provienne de votre peur de l’engagement.

    Même si tout cela vous a marqué, vous pouvez choisir comment agir dans vos relations amoureuses. Vous êtes adulte et responsable de votre vie. En étant conscient vous pouvez apprendre à exprimer votre amour à votre partenaire.

    Le dernier cas, celui de l’alexithymie, est exceptionnel. Si vous n’êtes pas capable d’exprimer votre amour à votre partenaire parce que vous souffrez d’un trouble neurologique, un professionnel sera la personne la plus indiquée pour vous donner les étapes à suivre.

    Le partenaire est d’une grande aide

    Si le problème de ne pas arriver à exprimer son amour est dû à un vécu douloureux, il est important que vous sachiez que votre partenaire joue un rôle très important.

    Le partenaire est d'une grande aide

     

    La tendance naturelle sera de vous blâmer pour les raisons pour lesquelles vous ne lui dîtes pas ce que vous ressentez. Il se fâchera même avec vous pour cela. Mais ça ne vous aidera pas.

    C’est pourquoi il est important que les partenaires soient conscients qu’ils ont rôle important à jouer. Ils peuvent aider la personne qui n’est pas capable d’exprimer ce qu’elle ressent, à le faire.

    Pour cela, il faut prendre en compte certains points :

    • Communiquez avec votre partenaire avec tendresse. N’utilisez jamais la colère pour lui reprocher quelque chose qui n’est pas facile pour elle-lui.
    • Choisissez un endroit tranquille, confortable, où vous vous sentez bien tous les deux. C’est la meilleure manière de parler d’un sujet aussi délicat que les émotions.
    • Soyez empathique et patient. Pour votre partenaire, exprimer son amour est quelque chose de très difficile. Mettez-vous à sa place.

    Le positif dans tout cela c’est que, même si l’un aide l’autre à exprimer son amour, l’autre personne apprendra également.

    Elle découvrira comment elle gère ses émotions, la manière dont elle les exprime, si elle est capable d’extérioriser sa colère ou sa rage de la bonne manière…

    Guérir le passé

    Bien que le partenaire soit d’une grande aide, il sera très important de consulter un professionnel afin qu’il puisse nous guider vers le bon chemin à prendre.

    Guérir les blessures du passé n’est jamais facile et c’est ce sur quoi il faut insister. Si le passé ne se guérit pas, il sera très compliqué d’exprimer ses émotions.

    Dans tous les cas, nous devrions nous demander quel est le poids du fait que notre partenaire exprime l’amour qu’il ressent pour nous à travers des mots.

    Couple qui s'embrasse

     

    Peut-être le fait-il largement au travers d’actions, mais dans notre esprit nous accordons plus d’importance aux mots.

    Peut-être devrions-nous nous rappeler toutes ces relations dans lesquelles on exprime beaucoup plus son amour de manière verbale, mais dans la pratique il n’y a plus rien.

    Quelle est la chose qui a le plus d’impact ?

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • 7 astuces pour prévenir les maladies neurodégénératives

     

     

     

     

     

     

    7 astuces pour prévenir les maladies neurodégénératives

    En plus d’avoir une alimentation saine qui nous aide à obtenir les nutriments adaptés et à éviter ceux qui pourraient nous être nocifs, exercer le cerveau peut également nous aider au moment de prévenir les maladies dégénératives.

    Les maladies neurodégénératives les plus connues sont l’Alzheimer et le Parkinson, ainsi que les maladies de Huntington et la Sclérose Latérale Amyotrophique (SLA).

    Bien qu’il s’agit de maladies sans remèdes qui s’aggravent progressivement, il existe certains facteurs qui peuvent nous aider à les prévenir si nous avons des prédispositions génétiques à en souffrir.

    Découvrez dans cet article 7 astuces naturelles pour prévenir ou soulager les symptômes des maladies neurodégénératives avec l’alimentation, les plantes médicinales et quelques conseils très efficaces.

    En quoi consistent les maladies neurodégénératives ?

     

    Les maladies neurodégénératives sont des troubles graves de la santé qui affectent certaines fonctions de l’organisme, comme le mouvement, l’équilibre, la parole, la respiration ou le rythme cardiaque.

    Elles ont un fort composant génétique, bien que certains facteurs pourraient être décisifs, tels que :

    • L’accumulation de toxines dans le corps
    • La réaction face à certains produits chimiques
    • Les virus

    Parfois, il peut également y avoir un facteur psychologique conditionnant, comme par exemple un type de choc émotionnel qui pourrait avoir eu lieu avant que la maladie n’apparaisse.

    La détérioration progressive produite par les maladies neurodégénératives est très dure pour les personnes qui souffrent de la pathologie, mais également pour leur famille et leurs amis.

    Astuces pour les prévenir

    Ci-dessous nous allons vous donner 7 astuces pour prévenir les maladies neurodégénératives, ou pour soulager leurs symptômes et améliorer la mobilité au cas où vous en souffriez.

    1. Evitez les métaux lourds

    Les maladies neurodégénératives sont liées, entre autres, à la présence de métaux lourds dans l’organisme, surtout dans le cerveau.

    Ces métaux entrent dans notre corps de différentes manières :

    • Consommation de poisson bleu de grande taille, comme le saumon, le thon ou l’espadon. Il est préférable de consommer des poissons bleus de petite taille (maquereau, sardine, anchois, etc.) ou bien des poissons blancs.
    • Pollution de l’air.
    • Pesticides dans les aliments et dans l’environnement.
    • Cassure de produits comme des thermomètres à mercure ou des ampoules.
    • Eau du robinet de certains endroits.
    • Certains médicaments.
    • Casseroles et poêles fabriquées avec des métaux lourds, comme celles en aluminium.

    2. Dépurez-vous avec de la chlorelle

    L’algue chlorelle nous aide à éliminer ces métaux lourds et autres toxines qui s’accumulent dans l’organisme. Toutefois, nous devons être constants dans un traitement d’au moins 3 mois.

    Il existe des suppléments spécifiques qui incluent d’autres ingrédients efficaces comme l’ail, la coriandre ou le magnésium.

    3. Utilisez le cerveau

     

    La meilleure manière de prévenir la détérioration cérébrale consiste à activer cette fonction et à éviter la paresse.

    Lorsque nous commencerons à remarquer certains symptômes comme des problèmes de mémoire ou un manque de concentration, nous devons, plus que jamais, réaliser des exercices pour faire travailler le cerveau.

    4. Consommez des noix

    La forme de la noix nous indique l’organe pour lequel elle est bonne : le cerveau.

    Elles ont d’excellentes valeurs nutritionnelles, car elles sont riches en vitamines et minéraux, acides gras essentiels et fibres.

    Ainsi, elles jouissent d’un fort pouvoir antioxydant qui prévient la détérioration oxydative du cerveau.

    5. Certaines infusions médicinales

     

    Il existe deux plantes médicinales qui améliorent la circulation et l’oxygénation cérébrale :

    • Ginkgo Biloba : Très efficace, mais il n’est pas bon d’en prendre pendant plus de deux mois à la suite.
    • Centella asiatica : Egalement connue sous le nom de gotu kola, nous pouvons en prendre de manière continue.

    Nous pouvons les consommer en infusions ou en capsules ou comprimés.

    6. Huiles essentielles

    L’aromathérapie est la méthode curative basée sur l’utilisation d’huiles essentielles de qualité pour traiter tous les types de problèmes de santé physique, mentale et émotionnelle.

    Nous pouvons utiliser les huiles en diffuseurs aromatiques, dans les produits ménagers ou dans nos lotions cosmétiques.

    Ainsi, nous pouvons imprégner un mouchoir et le mettre à côté de l’oreiller en allant nous coucher.

    Nous pouvons choisir parmi les huiles suivantes :

    • Romarin
    • Thym
    • Bois de santal
    • Basilic

    7. Equilibrer l’intestin

    L’intestin est en étroite relation avec la fonction cérébrale à travers la flore bactérienne, comme le démontrent certaines études, qui indiquent que ceux qui souffrent de certaines maladies, comme par exemple les dégénératives, auraient une flore perturbée.

    En plus d’avoir une alimentation équilibrée qui inclut des aliments fermentés comme le yaourt, le kéfir, la choucroute ou le vinaigre cru, nous pouvons également avoir recours aux suppléments à base de probiotiques.

    Il existe de nombreux types de probiotiques, c’est pourquoi nous choisirons ceux qui possèdent une plus grandes quantité et variété de souches.

    Ce remède simple améliorera notre qualité de vie.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Qu’est-ce que la maladie de Huntington ?

     

     

     

     

     

     

    La maladie de Huntington est un trouble neurodégénératif grave qui, aujourd'hui, mène irrémédiablement à la mort.

    Qu’est-ce que la maladie de Huntington ?

    La maladie de Huntington est un trouble neurodégénératif héréditairecaractérisé par l’apparition de symptômes moteurs, cognitifs et psychiatriques. Elle débute vers l’âge de 30 ou 40 ans, avec une progression plus ou moins rapide vers la mort.

    Les autres noms donnés à cette maladie sont « le mal de Huntington » et « la chorée de Huntington »; ce dernier terme désigne le type d’altérations motrices typiques de la maladie, les mouvements choréiques.

    Comment se transmet la maladie de Huntington ?

    La maladie de Huntington est dite de transmission autosomique dominante, c’est-à-dire que le gène modifié « a plus de force » que le gène non altéré.  Ainsi, la transmission d’un seul exemplaire défectueux de l’un ou l’autre des parents fera développer la maladie.

    D’autre part, le terme « autosomique » indique que l’altération ne se trouve pas sur les chromosomes sexuels. En fait, l’altération génétique responsable de la maladie se trouve sur le chromosome 4. Pour mieux comprendre cela, voyons l’exemple suivant :

    Dans un couple formé d’un homme atteint de la maladie de Huntington et d’une femme sans cette maladie, l’enfant aura les deux copies du gène normal, alors qu’il aura muté chez au moins un des deux.

    Et s’ils ont un enfant? Il y aura 50 % de chances que le gène sain du père rejoigne l’un des gènes de la mère. Dans ce cas, l’enfant n’héritera pas de la maladie. Et d’autre part, il y a 50% de chances que l’enfant hérite du gène muté. Dans ces cas, il développera la maladie.

    Il est à noter que dans la maladie de Huntington, la pénétrance est d’environ 95 %. Cela signifie que presque toutes les personnes présentant un allèle muté développent des symptômes de la maladie.

    Quelle est la cause ?

    conséquences chromosomiques

    Elle est due à l’expansion anormale du trinucléotide CAG, dans le gène de l’huntingtine, situé sur le chromosome 4. Dans la plupart des cas, jusqu’à 39 copies sont produites, ce qui est révélateur de la maladie. La mutation entraîne l’apparition d’une protéine huntingtine mutante, qui provoque des lésions neurologiques directes et indirectes.

    Évolution de la maladie de Huntington

    La maladie fait généralement ses débuts entre 30 et 40 ans dans la plupart des cas. Pourtant, il y a des cas où la maladie se développe pendant l’enfance ou l’adolescence. D’autre part, il existe également des preuves de l’évolution de la maladie chez les personnes de plus de 55 ans. En somme, l’âge auquel les premiers symptômes apparaissent est variable.

    La chorée de Huntington évolue lentement, mais inexorablement, vers la mort. Au cours de sa progression, plus d’un type de symptômes ou d’autres peuvent prédominer, selon la personne.

    Premières manifestations cliniques

    insomnie
    Les premières manifestations cliniques ne sont pas particulièrement frappantes. L’insomnie, l’agitation, l’anxiété et même de petites altérations du comportement peuvent se produire. Les mouvements irréguliers de la main et du pied (coups soudains sur des objets) et les tremblements sont typiques de cette étape.

    Progression de la maladie

    Au fur et à mesure que la maladie progresse, les symptômes moteurs sont de plus en plus prononcés et difficiles à contrôler.

    • Mouvements choréiques. Il s’agit de mouvements involontaires des extrémités, ni rythmiques ni réguliers, bien qu’ils puissent vaguement se rappeler la danse. Ils s’aggravent avec le temps, empêchant la personne de développer ses activités quotidiennes.
    • Bradicinémie, c’est-à-dire la lenteur à initier et développer des mouvements volontaires.
    • Dysarthrie. Difficulté à articuler les mots et les sons.

    A ces problèmes s’ajoutent les altérations cognitives et psychiatriques. D’une part, sur le plan cognitif, diverses fonctions peuvent être modifiées. Entre autres problèmes, on peut distinguer:

    • Troubles du langage, avec difficulté à répéter, nommer, former des phrases complexes. Ces problèmes, comme les troubles moteurs, commencent très légèrement, presque imperceptiblement, à progresser.
    • Modifications dans la capacité de s’organiser et d’exécuter des tâches. Des problèmes surgissent également dans la reconnaissance et le traitement de ses propres émotions et de celles des autres.
    • Difficultés dans l’orientation spatiale. Il est relativement fréquent que les patients entrent en collision avec des objets (coins, tables, etc.).

    Enfin, les troubles psychiatriques sont presque constants et peuvent être présents même avant l’apparition des premiers symptômes de la maladie. Parmi ceux-ci, l’anxiété et la dépression sont très fréquentes, principalement associées à l’évolution de la maladie. Des formes de psychose et d’apathie peuvent aussi apparaître…

    Phase finale de la maladie

    femme en fauteil roulant

    Dans la phase finale de la maladie, il y a une perte totale de fonctionnalité. Les patients atteints de la maladie de Huntington à un stade avancé ont besoin de soins 24 heures sur 24. A ce stade, les malades sont incapables de communiquer ou même de penser, sauf pour de brefs moments de lucidité.

    Bien que la chorée dans ces cas ait habituellement disparu, elle est remplacée par la rigidité et la bradykinésie. Ils ont besoin d’aide pour se nourrir, de sondes vésicales, entre autres. A ce stade, le risque de pneumonie par aspiration est très élevé. La mort provient habituellement de complications de la maladie ou de suicide.

    Diagnostic

    Le diagnostic de cette maladie, comme dans d’autres, doit être fait selon un entretien avec le patient, avec examen physique (avec une attention particulière à l’examen neurologique). En même temps, il faut évaluer les antécédents cliniques, en particulier les antécédents familiaux.

    D’autre part, une évaluation psychiatrique est nécessaire, ce qui aidera le médecin à explorer davantage la santé émotionnelle du patient et de déterminer les difficultés possibles.

    Des études génétiques sont également nécessaires. Ils doivent être effectués si le patient présente des symptômes moteurs typiques de la maladie. Le résultat de ces tests doit être communiqué au patient, en recommandant que la famille soit également informée, compte tenu des implications.

    Traitement

    Actuellement, il n’existe aucun traitement pour guérir la maladie. Le traitement vise à agir sur les symptômes et à améliorer la qualité de vie de ces patients. A cet égard, il est essentiel que les patients, leur famille et leurs aidants reçoivent un soutien psychologique.

    Des médicaments comme la tétrabénazine, qui réduit les mouvements choréiques, sont utilisés pour traiter les problèmes de mouvement, toutefois, ils peuvent aggraver les troubles psychiatriques. Pour traiter les aspects psycho-émotionnels du patient, on emploie :

    • Des antidépresseurs
    • Des anxiolytiques
    • Des stabilisateurs d’humeur

    Il convient de noter que certains médicaments comme l’halopéridol ont également des effets positifs sur les troubles du mouvement.

    Recherches en cours

    Au cours des 20 dernières années, près de 100 essais cliniques ont été réalisés avec plus de 49 principes actifs différents. Cependant, moins de 4 % de ces essais ont donné des résultats encourageants.

    Aujourd’hui, les résultats les plus prometteurs peuvent provenir d’une thérapie ciblée contre l’ADN ou l’ARN de la protéine mutante qui est à l’origine de la maladie.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • VENDRE CE QUE L'ON A DE PLUS PRÉCIEUX

     

     

     

     

     

    "Pour l’amour de Christ, je me suis dépouillé de tout."Philippiens 3.8-9
     
     

    Découvrir l’amour de Dieu pour sa propre vie est un trésor inestimable qui a une valeur supérieure à tout ce que nous pourrions posséder. Voici la lettre qu’a reçue un membre de l' association des Gédéons :

    "Mon père était alcoolique et dépensait tous ses revenus pour boire. Nous habitions un quartier pauvre de Belfast. Lorsque je faisais mes études, en secondaire, j’avais reçu un Nouveau Testament de la part des Gédéons. Je ne l’ai pas lu. Je me suis lancé à la recherche de plaisirs et de sensations, essayant tout ce que le monde peut offrir. Mais je n’y ai trouvé aucune satisfaction. Je ressentais de plus en plus le vide de mon existence et je menais une vie agitée. C’est à ce moment-là que je me suis souvenu du Nouveau Testament reçu au collège. Je l’ai retrouvé. En feuilletant les pages d’introduction, j'ai lu : "Secours en cas de besoin" suivi d’une série de versets bibliques.

    Au cours de la lecture des textes proposés, l’amour de Christ m’a atteint et j'ai reçu le salut en l’acceptant comme Sauveur personnel.

    Je me devais de vous écrire pour vous dire tout ce que ce Nouveau Testament m’a apporté et ce qu'il a signifié pour moi. Je joins à ma lettre un petit don, pour vous assister dans l’aide que vous pourrez apporter à d’autres."

    Un membre de l’Association des Gédéons est allé voir ce jeune homme pour le remercier. Lorsqu’il lui a demandé où il avait pris cet argent pour faire ce don, le jeune homme a répondu qu’il n’avait pas d’argent, donnant tout à sa mère pour la nourriture, mais qu’il avait vendu ce qu’il avait de plus précieux : sa collection de CD. Il l’avait fait pour que d’autres garçons et filles puissent apprendre à connaître Jésus-Christ.

    Et vous, comment avez-vous connu Dieu ? Grâce à votre famille peut-être, ou même à une personne que vous ne connaissiez pas ? Bien que Dieu se révèle à chacun personnellement, il utilise bien souvent des personnes qu’il place sur notre chemin. Comment ne pas leur en être reconnaissant  ?

    Par ailleurs, nous qui avons découvert ce trésor, quel témoignage en donnons-nous ? Acceptons-nous de payer un prix pour que d’autres, à leur tour, trouvent ce trésor ?

    Une action pour aujourd’hui

    Désirez ardemment que par notre vie, d’autres trouvent le salut, même si c’est au prix de ce qui est cher encore à vos yeux.

     
    Vendre ce que l'on a de plus précieux
     
     
    Source : topchretien.com
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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