• ATTENDEZ-VOUS AU MEILLEUR !

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    "L’Éternel est bon pour qui espère en lui, pour celui qui le cherche."Lamentations 3.25
     
     

    Parfois, lorsque vous avez connu une succession d'événements négatifs, vous pouvez tomber dans la très mauvaise habitude de penser que la série va continuer. Vous avez eu problème après problème et vous attendez simplement qu'il en arrive d'autres. C'était mon cas, mais j'ai découvert que ce n'était pas ainsi que Dieu voulait que nous vivions.

    Durant toute mon enfance, j'ai été victime de maltraitances de la part de mon père. À l'adolescence, j'ai épousé le premier venu. Or cet homme semblait encore plus perturbé que moi. Il me brutalisait et finit par m'abandonner, et ce fut la fin de notre mariage. Quand je fis la connaissance de Dave, j'étais un être négatif et désabusé, essayant simplement de survivre un jour après l'autre.

    Du fait de toutes les blessures que j'avais subies, j'en étais venue à attendre le pire dans chaque situation. Même une fois que j'avais découvert une relation étroite avec Dieu, cette mentalité m'a posé problème pendant un certain temps. Puis un beau matin, alors que je me trouvais dans ma salle de bain, je me souviens avoir pris conscience d'une pression, d'une présence mauvaise autour de moi. Ce n'était pas nouveau ; je me rendis compte que cette impression ne m'avait jamais quittée. Je songeai aussitôt : "Quel malheur va-t-il encore m'arriver ?"

    J'interrogeai Dieu sur qui se passait et il me montra que j'étais troublée par de "mauvais pressentiments". Par la suite, je lus Proverbes 15.15, où il est écrit : "Le malheureux vit sans cesse dans la peine. L'homme heureux vit dans une fête continuelle." 

    Je compris que ce verset faisait référence à la peur d'un malheur alors que tout allait bien. Regardant en arrière sur ma vie, je constatai combien cette peur m'avait perturbée à différents moments par le passé. Par exemple, le soir où Dave me demanda en mariage, il m'avait annoncé qu'il voulait me parler. Avec mon habitude d'imaginer le pire, je pensai aussitôt qu'il s'apprêtait à rompre avec moi. Or c'est exactement ce que cherche Satan : il veut vous faire vivre dans la peur de ce qui pourrait arriver.

    La peur est le contraire de la foi et il faut de la foi pour accepter de bonnes choses dans notre vie. Mon attente du pire me venait du diable. Si nous n'y prêtons garde, une telle mentalité peut ouvrir la porte aux plans mauvais de Satan. Mais si nous attendons de bonnes choses, nous sommes prêts à accueillir les plans de Dieu.

    Dieu est bon. Tout ce qu'il fait est bon et merveilleux. Tout ce qu'il nous donne est meilleur que ce que le diable nous donne. Ainsi, notre attente ne devrait-elle pas être en lui ? Dieu veut faire quelque chose de merveilleux dans votre vie à chaque instant de chaque jour. Mais vous devez être prêt à l'accueillir.

    Un encouragement pour aujourd'hui

    Dieu veut que vous croyiez qu'il va vous arriver quelque chose de bon. Il travaille dans votre vie en ce moment même et quand l'événement heureux se produira, ce sera le résultat de ce qu'il aura préparé de longue date. Que vous le sentiez ou non, continuez à prier et à espérer, parce que Dieu désire ardemment être bon et généreux envers vous.

     
    Attendez-vous au meilleur !
     
    Source : topchretien.com
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Vos enfants n’ont aucune raison d’être la cible de vos frustrations

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Avant de décharger votre colère sur vos enfants, vous devez savoir qu’ils ne sont pas la cause de vos problèmes et que vous devez leur éviter cette souffrance inutile qui peut miner leur estime d’eux-mêmes.

    Vos enfants ne méritent pas que vous déchargiez votre stress sur eux, votre anxiété, vos peurs et les mauvaises expériences que vous pouvez vivre au quotidien.

    C’est facile de leur hurler dessus, de se mettre en colère contre eux et même de les punir sans raison.

    Toutefois, vous ne vous rendez pas compte qu’ils ne sont pas responsables de votre mauvaise journée ou des frustrations que vous pouvez ressentir à cause des différences entre votre partenaire et vous, par exemple.

    Personne n’est responsable, et encore moins eux, de ce qui peut vous arriver.

    Le risque d’éclater contre la personne qui le mérite le moins

    Bien souvent, décharger vos frustrations sur vos enfants laisse entrevoir une accumulation d’émotions et de mots non dits qui doivent, d’une certaine manière, sortir.

    Que ce soit parce que vous souhaitez garder votre sang-froid face à votre chef et que vous ne vouliez pas lui dire tout ce que vous pensez par peur qu’il vous vire du poste, ou parce que vous avez supporté certains comportements de votre partenaire que vous désapprouvez.

    Tout cela provoque que vous éclatiez contre ceux qui le méritent le moins.

    De plus, vous choisissez ceux qui ne peuvent se défendre, sur qui vous pouvez exercer un certain pouvoir.

    Ils ne vous répondront pas, et s’ils le font, vous ferez preuve d’autorité sur vos enfants lorsqu’en réalité, vous n’êtes pas conscient que vous perdez le contrôle de la situation.

    Ce que vous gardez tant au fond de vous et que vous n’osez pas dire à votre patron-ne n’est pas forcément négatif. Cherchez les meilleurs mots, soyez respectueux et adaptez-vous au contexte, mais ne gardez pas pour vous ce que vous savez qui finira par sortir.

    De la même manière, cessez de supporter et de vous taire face aux agissements de votre partenaire.

    Vous faites ceci parce que vous abritez l’espoir qu’il change sa manière d’agir mais, si vous ne le manifestez pas verbalement, comment pourrait-il s’en rendre compte ? Il n’est pas devin…

    Les enfants souffrent des conséquences de vos frustrations

    Vous ne l’avez sûrement pas remarqué, mais cette décharge de peurs, de haines et de frustrations a un impact fort sur ces petites personnes innocentes qui entrent dans ce jeu de la vie.

    Moins vous solutionnerez vos problèmes, plus ils joueront un rôle dans vos moments négatifs sans savoir très bien pourquoi la moindre bêtise qu’ils font se transforme en drame.

    Si cette situation dure trop longtemps, si vous n’arrivez pas à y mettre fin et à vous rendre compte que votre manière d’agir ne résout pas la véritable origine du problème, vos enfants pourront souffrir de mauvaise estime d’eux-mêmes.

    L’estime de soi est très importante et si vous voyez tout en noir dans votre vie, vous verrez tout chez eux de la même manière.

    Soudain, vous choisirez le renfort négatif, en leur faisant voir et ressentir tout ce qu’ils font mal. Mais, et ce qu’ils font bien ? Vous l’oublierez.

    Même s’ils petits maintenant, ils auront de graves problèmes dans un futur proche, non seulement pour se sentir appréciés, aptes et capables de faire n’importe quel travail ou projet, mais également dans leurs relations personnelles.

    Ce n’est pas la faute des autres

    Pour revenir aux exemples mentionnés, il est possible que vous pensiez que c’est la faute de votre patron-ne qui ne se comporte pas de la bonne manière avec vous, ou de votre partenaire qui n’est pas assez respectueux envers vous.

    Toutefois, il est nécessaire que vous voyiez tout ceci d’un autre angle.

    Ce n’est pas la faute des autres, mais vous êtes la personne qui ne répond pas de la bonne manière à ce qui vous arrive.

    En ne vous exprimant pas, en vous taisant et en supposant la manière dont les autres vont agir, quelque chose qui ne va pas se passer comme vous le souhaitez.

    Si vous êtes en paix avec vous-même, alors vous n’aurez besoin de personne en guise de sac de frappe quotidien pour vous défouler.

     

    Vos enfants ne sont pas responsables, les autres non plus. Commencez à agir en lâchant vos peurs, les « et si… »et les attentes.

    Concentrez-vous sur le présent et agissez le moment voulu. Ne le gardez pas, ne le retenez pas, lâchez-le et vous vous sentirez libre.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Comment préparer du kéfir d’eau de coco

    pour être en meilleure santé ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si vous pouvez préparer notre recette avec de l'eau de coco industrielle, nous vous recommandons d'utiliser de l'eau de coco naturelle pour profiter d'un kéfir aux vertus parfaitement intactes.
     
    kefir d'eau de coco

     
    Le kéfir est un produit probiotique élaboré à partir d’un processus de fermentation qui permet le développement de bactéries bienfaisantes pour la santé.

    Ses grains ont un aspect similaire au chou-fleur, mais le kéfir est bien plus mou et gélatineux, en plus de disposer de propriétés médicinales exceptionnelles.

    Les principaux micro-organismes qui le composent sont issus de la bactérie Lactobacillus acidophilus et du champignon Kluyveromyces marxianus, même s’ils peuvent varier en fonction de la région dont le kéfir provient et de la manière dont il est préparé.

    La recette traditionnelle du kéfir se base sur du lait de vache, ce qui lui permet d’avoir une saveur et d’une texture similaire au yaourt.

    Cependant, vous pouvez également préparer du kéfir d’eau de coco. Vous obtiendrez, de cette manière, davantage de minéraux essentiels et moins de calories.

    Dans la suite de cet article, nous allons partager avec vous la recette du kéfir d’eau de coco, pour que vous puissiez profiter de tous ses bienfaits à la maison.

    Essayez-le dès aujourd’hui !

    Le kéfir d’eau de coco pour améliorer votre santé

    kéfir d'eau de coco

    Le kéfir d’eau de coco est un aliment fermenté préparé à base d’eau de coco biologique, qui ne doit pas être chauffée ou transformée pour conserver tous ses bienfaits.

    L’association du kéfir, un probiotique lactique, avec les électrolytes et les nutriments de l’eau de coco, nous permet d’apporter de nombreux bienfaits à notre corps.

    Durant le processus d’élaboration du kéfir d’eau de coco, les sucres naturels de la préparation se transforment en bactéries lactiques. Lorsque nous les absorbons, elles font beaucoup de bien à nos intestins.

    • Le kéfir d’eau de coco contient des minéraux essentiels comme le potassium, le sodium et le magnésium, qui sont nécessaires à notre organisme pour qu’il puisse bien hydrater les cellules qui le composent et pour le fonctionnement général de nos muscles et de notre cerveau.

    D’un autre côté, les bienfaits du kéfir d’eau de coco permettent d’améliorer le fonctionnement de notre système rénal, ce qui permet de faciliter l’élimination des toxines et des métaux lourds qui peuvent former des caillots, obstruant ainsi nos vaisseaux sanguins.

    • Les antioxydants contenus dans la préparation permettent d’améliorer la circulation du sang, optimisant ainsi le processus d’oxygénation cellulaire de notre corps et le fonctionnement de notre cœur.
    • De fait, grâce à son apport en vitamine E et en acides gras, le kéfir d’eau de coco est un excellent complément pour nous permettre de contrôler notre taux de cholestérol et notre pression artérielle.
    • Ses bactéries saines rééquilibrent la flore microbienne de nos intestins, fortifiant ainsi les défenses naturelles de notre corps et augmentant notre capacité à faire face aux micro-organismes nocifs qui attaquent en permanence notre corps.

    Comment préparer du kéfir d’eau de coco ?

    kéfir d'eau de coco

    Pour pouvoir profiter de tous les bienfaits du kéfir d’eau de coco, vous devez suivre quelques étapes très simples.

    Assurez-vous d’utiliser de l’eau issue directement d’une noix de cococar l’eau de coco industrielle n’a pas les mêmes propriétés.

    Ingrédients

    • 1 litre d’eau de coco
    • 100 grammes de grains de kéfir

    Ustensiles

    • Un bocal en verre

    Préparation

    • Introduisez les grains de kéfir dans un bocal en verre. Ensuite, il vous suffit simplement de verser l’eau de coco dans le bocal.
    • Fermez le bocal, puis stockez-le dans un lieu frais et à l’abri de la lumière, pendant 48 heures.
    • Après ce laps de temps, vous allez remarquer que les grains de kéfir vont remonter progressivement à la surface.
    • Filtrez le mélange obtenu avec un tamis très fin. Stockez les grains de kéfir au réfrigérateur, pour pouvoir recommencer l’opération.
    • Maintenez le bocal de kéfir fermenté à l’abri de la lumière pendant deux jours. Puis, ouvrez le bocal pour permettre d’évacuer les gaz produits durant la fermentation.

    Méthode de consommation

    • Vous pouvez consommer du kéfir d’eau de coco directement, ou vous pouvez lui ajouter des fruits secs et des baies, pour lui donner une saveur bien plus agréable.
    • L’idéal est d’en consommer à jeun car, de cette manière, ses propriétés nutritionnelles vont agir durant toute la journée.
    • Vous pouvez également en consommer lorsque vous sentez que vous êtes fatigué ou que vous avez un petit creux.

    N’oubliez pas !

    kéfir d'eau de coco

    Les grains de kéfir peuvent être réutilisés autant de fois que vous le désirez, car la fermentation permet de les garder dans un état parfaitement préservé.

    Lorsque vous avez fini de réaliser votre boisson, nous vous recommandons de suivre ces conseils :

    • Prenez les grains de kéfir et mettez-les dans un demi-litre d’eau, avec deux cuillerées de sucre.
    • Laissez reposer les mélanges entre 2 et 4 jours, en ouvrant le bocal de temps en temps, puis sortez-les.
    • Sortez les grains à nouveau, puis mélangez-les avec de l’eau de coco en suivant notre recette.

    Comme vous pouvez le remarquer, la préparation du kéfir d’eau de coco est extrêmement simple. Les bienfaits que cette boisson va vous apporter sont exceptionnels.

    Achetez rapidement les ingrédients dont vous avez besoin et préparez cette recette pour commencer à profiter de ses propriétés au quotidien.

    Si ses effets ne sont pas immédiats, vous allez commencer à vous sentir en meilleure santé en l’espace de quelques jours.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Les 4 maladies vasculaires cérébrales les plus communes

    que vous devez connaître

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Il existe de nombreux problèmes vasculaires cérébraux qui ne présentent pas de symptômes spécifiques, c’est pourquoi il est fondamental de se soumettre à des consultations régulières et d’avoir des habitudes de vie saines pour éviter les complications.

    Les maladies vasculaires cérébrales (MVC) font référence à tous ces problèmes liés à une circulation du sang difficile de manière momentanée ou permanente dans une zone concrète de notre cerveau.

    Nous connaissons tous, directement ou indirectement, quelqu’un qui a souffert d’un ictus, d’un anévrisme ou d’un petit épanchement cérébral.

    Toutes ces maladies peuvent nous laisser des séquelles permanentes voire nous ôter la vie.

    Dans le meilleur des cas, ce sera plus de peur que de mal, mais elle nous obligera à prendre soin de nos habitudes de vie.

    De la même manière, il faut également signaler que la majorité d’entre nous n’a pas assez conscience de ces maladies.

    A moins que nous ayons vécu l’une de ces expériences dans notre entourage, en général nous n’accordons pas assez d’importance à l’impact qu’ont sur notre santé cérébrale des facteurs comme la tension artérielle, le cholestérol élevé ou le surpoids.

    Une grande partie des morts qui surviennent chaque année à cause des maladies vasculaires cérébrales pourraient être prévenues.

    Le reste, comme les ictus qui affectent des patients encore très jeunes ou des personnes qui prennent grandement soin de leurs habitudes de vie, sont des réalités qui, sans aucun doute, échappent encore à notre compréhension voire à notre logique.

    Quoiqu’il en soit, il existe certains aspects sur lesquels nous devrions réfléchir : la prévention, le fait de nous soumettre à des consultations périodiques pour mesurer par exemple, notre pression artérielle et d’autres indices associés permettraient sans aucun doute, que bon nombre de ces tristes réalités aient moins d’impact sur nous.

    C’est un sujet à propos duquel il serait bon d’accorder du temps et avant tout de la volonté.

    Les 4 maladies vasculaires cérébrales les plus fréquentes

    Comme nous l’avons signalé au départ, toute maladie vasculaire cérébrale apparaît à cause d’un problème dans le flux sanguin.

    Aussi, n’importe quel problème dans le flux sanguin peut amener à deux types de maladies : les ischémiques et les hémorragiques.

    Il faut préciser que les ischémiques sont, sans aucun doute, les plus fréquentes et la majorité d’entres elles ont la même origine : l’artériosclérose.

    Nous vous avons déjà parlé à plusieurs reprises sur notre espace de l’artériosclérose : elle apparaît lorsque les niveaux de cholestérol sont très élevés et qu’à cela s’ajoute une inflammation des artères du cerveau.

    Tout cela amène à une maladie lente, progressive et très affaiblissante : l’accumulation de plaque dans les vaisseaux sanguins.

    Celle-ci engendre des problèmes de circulation sanguine vers le cerveau et, à long terme, peut provoquer des problèmes cognitifs et de démence.

    Nous ne sommes pas face à quelque chose de léger, que nous pouvons ignorer : la prévention et les bonnes habitudes de vie que nous pratiquerons aujourd’hui se remarqueront demain.

    maux de tête

    1. La thrombose cérébrale

    • La thrombose est un accident vasculaire cérébral ischémique.
    • Les ictus, dans 80% des cas, ont la même origine.
    • Elle survient après le rétrécissement de l’une des artères cérébrales à cause de l’apparition d’un thrombus qui bloque le flux sanguin.

    Il faut dire qu’en général ce type de maladie donne des petits signes avant que n’apparaisse la fermeture complète des vaisseaux cérébraux.

    C’est pourquoi il est vital que nous soyons attentifs face à ces symptômes :

    • Engourdissement d’une partie du visage ou d’un côté du corps.
    • Maux de tête très intenses.
    • Difficultés à communiquer et à comprendre.
    • Nausées et problèmes pour marcher.
    • Problèmes de vue.

    2. L’embolie cérébrale

    embolie cérébrale

    L’embolie cérébrale est un autre type de problème vasculaire cérébral d’origine ischémique. Mais si dans le cas précédent nous avions un « thrombus », l’origine se trouve dans une « embolie ».

    Pour mieux comprendre : un thrombus est une coagulation de sang qui se forme dans la paroi d’une artère importante et qui obstrue la circulation.

    L’embolie, se produit à cause d’une coagulation, c’est-à-dire qu’un morceau d’artère se détache et arrive au cerveau.

    Toutefois, à la différence de la thrombose cérébrale, cette embolie est ensuite à l’origine de l’obstruction en elle-même – normalement dans le cœur -.

    Quant à la symptomatologie, nous pouvons dire qu’elle est très similaire à la thrombose : engourdissement d’un côté du corps, difficulté à s’exprimer et à communiquer…

    Mais si l’on s’occupe d’un patient atteint d’embolie rapidement, il peut recevoir un médicament appelé « tPA » capable de dissoudre ces embolies. L’espérance de vie s’améliore donc notablement.

    3. Hémorragie cérébrale ou intracérébrale

    Nous avons parlé des deux maladies cérébrales d’origine ischémique les plus communes. Nous nous arrêtons désormais sur ces problèmes dont les éléments déclencheurs sont dus à une hémorragie.

    Les anévrismes sont les plus fréquents. Dans ce cas, nous sommes face à une dilatation anormale d’une zone fragile d’un vaisseau sanguin dans le cerveau.

    • Au moment ou un anévrisme se rompt, l’hémorragie cérébrale apparaît.
    • Malgré l’impact que peut avoir un anévrisme, il faut dire que les accidents vasculaires cérébrales sont toujours les plus nocifs, ceux qui laissent le plus de séquelles et ceux qui prennent le plus de vie chaque année.

    De la même manière, il faut dire que le plus gros problème d’un anévrisme c’est qu’il n’a pas de symptômes excessifs.

    Certaines personnes peuvent souffrir d’une dilatation dans certains vaisseaux sanguins du cerveau pendant des années et ne rien remarquer jusqu’à ce qu’à un moment donné, et à cause de la pression, il se rompt.

    4. Hémorragie méningée

    hémorragie méningée

    Les hémorragies méningées se produisent bien souvent à cause d’une pression artérielle non contrôlée : c’est une information que nous ne pouvons pas négliger.

    Dans ce cas nous avons également la rupture d’un vaisseau sanguin, bien que pour ce type de problème ils se situent toujours à la surface du cerveau.

    L’épanchement se situe sur l’espace existant entre le cerveau et le crâne, l’espace sous-arachnoïdien, sans arriver à s’introduire dans le cerveau.

    L’espérance de vie après avoir souffert de ce type d’hémorragie dépend toujours de la rapidité de l’attention médicale. Aussi est-il vital que nous sachions en reconnaître les symptômes :

    • Problèmes de concentration
    • Gêne sur les yeux avec une lumière brillante
    • Irritabilité, mauvaise humeur, changements de personnalité
    • Douleur dans le cou et les épaules
    • Vomissements, nausées
    • Convulsions

    Le symptôme le plus évident est sans aucun doute lié à la vision : nous pouvons perdre la vue pendant quelques minutes, voir des lumières intenses ou des phénomènes optiques.

    Face à n’importe quel problème ou petite anomalie, il ne faut pas douter : il est nécessaire de consulter immédiatement un professionnel de santé.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • DIEU NOUS DONNE DE BONNES CHOSES

     
     
    "Tout cadeau de valeur, tout don parfait, nous vient d’en haut, du Père qui est toute lumière."Jacques 1.17
     
     

    Quand quelque chose se passe mal dans votre vie, vous est-il déjà arrivé de vous écrier : "Pourquoi, Seigneur ?" Certains pensent que Dieu envoie des problèmes à ses enfants – la maladie, une affection chronique, la pauvreté – pour leur enseigner une leçon. Mais ce n’est pas ce que la Bible dit !

    Dieu n’est pas la cause de vos problèmes ; il est la solution !

    La Bible dit que Dieu nous donne de bonnes choses, pas des problèmes ! Je suis père de trois enfants adultes et grand-père de trois jeunes petits-enfants. Il ne me viendrait jamais à l’idée de les rendre délibérément malades pour leur enseigner une leçon ! Je ne leur refuserais jamais des choses dont ils ont besoin comme la nourriture, un abri ou des vêtements !

    Dieu est le Père parfait. Il ne donne que de bonnes choses. Aussi, quand il vous arrive un malheur, n’accusez pas Dieu. Regardez plutôt à lui pour être secouru. Il n’est pas la cause de vos problèmes ; il est la solution !

    Une action pour aujourd’hui

    Quand ça va mal dans votre vie, ne rejetez pas la faute sur Dieu ! Criez plutôt à lui. Il vous aime et n’a que de bonnes choses pour vous !

     
    Dieu nous donne de bonnes choses
     
    Source : topchretien.com
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Ce n’est pas que vous n’avez pas le temps,

    c’est que vous n’êtes pas intéressé

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Au lieu de faire semblant de vous intéresser, commencer à extérioriser réellement ce que vous ressentez. Cessez de mentir aux autres et surtout, à vous-même.

    On a toujours le temps pour ce que l’on veut faire. Mais parfois nous donnons l’excuse du manque de temps pour ne pas faire ce que nous n’avons pas envie de faire.

    Par exemple, il est possible que nous soyons invité à un dîner entre amis, mais que nous n’ayons pas envie d’y aller. Peut-être sommes-nous fatigués ou que nous avons davantage envie de faire autre chose.

    Alors nous disons « désolé, je ne pourrai pas venir, je n’ai pas le temps ! »

    Nos amis peuvent penser que c’est le cas, mais quand cette réponse devient une habitude, c’est qu’il se passe quelque chose.

    Ne faites pas semblant d’être intéressé

    Le fait de faire semblant de s’intéresser à quelqu’un ou à quelque chose pour ensuite donner une excuse de ne pas faire ce qui ne nous n’avons pas du tout envie de faire est la conséquence de vouloir donner une image qui ne correspond pas du tout à ce que nous sommes.

    Nous voulons faire bonne impression, c’est ce que l’on nous a appris, à ne pas dire « non », à ne pas refuser quelque chose qui est socialement bien vu.

    Toutefois, il y a ici un conflit entre ce qui est désirable et ce que nous souhaitons. Si nous ne voulons pas retrouver nos amis parce que nous n’en avons pas envie, qu’on leur dise ! Mais ne donnons pas l’excuse du temps qu’en réalité nous avons.

    Le pire dans ceci ce n’est pas que nous ne sachions pas faire semblant, mais que nous croyons ce mensonge que nous racontons aux autres et que nous transformons en notre manière de procéder.

    S’ils le découvrent, nous perdrons la confiance de ceux que nous aimons car nous n’avons pas su être sincères avec eux et exprimer nos besoins sans nous sentir mal à cause de cela.

    Toutefois, c’est quelque chose que nous devons pratiquer car depuis tout petit l’on nous a appris à satisfaire les besoins des autres, mais pas les nôtres.

    Vous pouvez dire « non » sans vous sentir mal

    On ne nous a pas éduqués pour dire ce que nous voulons, pour exprimer ce que nous désirons, pour dire « non » si c’est ce que nous pensons.

    On nous a éduqués dans le « oui » à tout et aux excuses quand cela ne correspond pas à nos besoins. Nous jouons à garder les apparences tout en nous trompant, mais en trompant également les autres.

    Dire « non » nous fait nous sentir mal, non seulement du fait de refuser quelque chose, mais également à cause de la peur de la réaction des autres.

    Car ce manque de refus de nos désirs provoque le fait que nous ayons créé un monde dans lequel nous savons que, quoi que nous demandions, la réponse sera toujours affirmative.

    Ceci cause de nombreux problème. Vous est-il arrivé d’avoir rendez-vous avec des amis et qu’ils vous disent ensuite qu’ils ne pouvaient pas ? Cela est-il arrivé plusieurs fois ? Ont-ils changé leurs plans ?

    Si c’est le cas, il est certain que vous voyez que cela peut arriver une fois, voire deux mais quand ça devient trop régulier, un grand manque d’intérêt se fait ressentir.

    Cela vous blesse mais… vous le faites aussi, n’est-ce pas ? Etre conscient de cela vous permettra d’agir d’une autre manière, de ne pas donner l’excuse d’un manque de temps pour votre peu d’intérêt pour quelque chose et de commencer à dire ce que vous souhaitez vraiment et ce que vous ressentez.

    Commencez à être vous-même

    Commencez à montrer votre manque d’intérêt pour un évènement social, une personne ou pour n’importe quelle autre occasion qui se présente si c’est ce que vous ressentez.

    Il n’est pas nécessaire de donner des excuses, parce que vous allez devoir faire très attention à ce qu’elle n’ait pas été répétée précédemment. Au contraire, on peut vous découvrir !

    Le manque de temps est très fréquent, mais n’est-ce pas le moment de commencer à être sincères ? Nous demandons toujours aux autres de l’être avec nous mais en revanche, nous faisons tout le contraire.

    Dites « non » si c’est ce que vous ressentez, refusez de faire quelque chose si vous n’en avez pas envie et surtout soyez honnête avec tous les personnes qui pourraient avoir envie de sortir avec vous ou être votre partenaire, pour éviter de les blesser.

    Personne n’est censé savoir que nous ne sommes pas intéressés. Nous n’avons pas non plus de raison de nous mentir en nous disant que nous n’avons pas le temps.

    Il vaut mieux commencer à être tel que nous sommes, sans peurs.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • 6 remèdes naturels pour le traitement de la calvitie

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Saviez-vous qu’il existe certains ingrédients naturels qui, grâce à leur apport en nutriments, peuvent vous aider à freiner la calvitie, combattre la chute des cheveux et favoriser leur croissance ?

    La chute de cheveux est très fréquente chez la majorité des gens, tôt ou tard dans leurs vies.

    Toutefois, il ne faut pas confondre ces épisodes de chute de cheveux avec l’alopécie ou la calvitie.

    Les causes de l’alopécie et de la calvitie

    femme qui perd ses cheveux

    Il existe différents types de perte de cheveux, et il n’est pas toujours simple d’en trouver la cause. Dans la majeure partie des cas, il ne s’agit pas d’une maladie.

    Il s’agira davantage d’un affinement de type physiologique du cheveu, qui arrive à partir de 30 ou 40 ans.

    Les origines de la calvitie peuvent être très variées.

    • Il peut s’agir de différentes situations ou d’expériences de la vie, de traumatismes ou d’épisodes d’intensité émotionnelle, une altération des protéines, des modifications hormonales, des maladies, etc.
    • Mais également certaines carences, comme l’anémie pour une déficience en fer, peuvent engendrer la perte de cheveu.
    • Certains traitements très invasifs, comme la chimiothérapie ou les médicaments appelés immunodépresseurs, produisent directement la perte de cheveu.

    Traitement de l’alopécie

    Lorsque la perte de cheveux est ferme, il n’existe que peu de traitements qui soient vraiment efficaces. Même si l’on annonce une grande variété de shampooings, de vitamines, différentes crèmes et après-shampooings, leur efficacité n’a pas été prouvée.

    Il existe de nombreuses options sur le marché, des cosmétiques alternatifs qui peuvent palier la chute de cheveux. Parmi elles nous trouvons :

    • Les poudres de fibre pour les cheveux
    • Quelques postiches
    • Des perruques synthétiques ou en cheveux humains
    • Des extensions
    • De la chirurgie
    • Du laser

    La chirurgie

    Qu’est-ce que la transplantation de cheveux ? Il s’agit d’implanter du cuir chevelu de la partie postérieure de la tête sur la partie frontale, ou sur d’autres zones plus dégarnies.

    • Il est également fréquent de réunir du cuir chevelu de zones chauves avec des zones plus fournies.
    • Enfin, les micro injections sont des techniques innovantes au cours desquelles le chirurgien transplante ce que l’on appelle les follicules pileux.

    Remèdes maison contre la calvitie

    Il existe de nombreuses astuces maison, même si elles n’ont aucune base scientifique réelle, pour freiner la chute de cheveux.

    Ail, citron et oignon

    ail, citron et oignon pour traiter la calvitie

    Cela peut être de manière séparée ou mélangée. Ces trois produits, que l’on utilise beaucoup en cuisine, peuvent nous aider de manière efficace contre les infections du cuir chevelu.

    Ingrédients

    • 1 gousse d’ail
    • Le jus d’un citron
    • 1 oignon

    Que devez-vous faire ?

    Pour profiter des composés actifs de ces ingrédients nous devrons en extraire le jus et l’appliquer sur le cuir chevelu.

    L’étape suivante consiste à le laisser reposer pendant 20 minutes, pour ensuite bien nettoyer et éliminer l’odeur qu’ils pourraient laisser.

    Lait de coco et carotte

    Un excellent remède naturel contre la calvitie et la chute de cheveux.

    La carotte nous apporte de la vitamine B6, B12 et des antioxydants, qui aideront à renforcer les cheveux et à avoir un aspect plus sain.

    Ingrédients

    • 2 carottes
    • 1 verre de lait de coco (200 ml)

    Que devez-vous faire ?

    • Extrayez le jus des carottes et combinez leur jus à un verre de lait de coco.
    • Répartissez le mélange sur toute la chevelure et laissez agir une demi-heure avant de vous lavez les cheveux comme à votre habitude.

    Le vinaigre de pomme ou de riz

    Nous avons beaucoup parlé des bienfaits du vinaigre contre la chute de cheveux. Elle peut survenir à cause de cheveux trop gras. Ce type de vinaigre favorisera la stimulation du flux sanguin dans le cuir chevelu.

    Ingrédients

    • 2 cuillères à soupe de vinaigre de pomme ou de riz (20 ml)

    Que devez-vous faire ?

    • Massez les cheveux avec le vinaigre et laissez reposer pendant 10 minutes.
    • Enfin, rincez à l’eau claire.

    Aloe vera

    aloe vera pour traiter la calvitie

    Les avantages de l’aloe vera sont très nombreux, non seulement pour la peau, mais également pour le cuir chevelu.

    Son gel a des bienfaits cicatrisants, hydratants et antiinflammatoires et c’est un remède naturel efficace pour hydrater et traiter le cuir chevelu.

    Ingrédients

    • 2 cuillères à soupe de gel d’aloe vera (30 g) (nous pouvons en ajouter davantage en fonction de la longueur de nos cheveux)
    • Eau (le nécessaire)

    Que devez-vous faire ?

    • Retirez le gel de l’intérieur d’une tige d’aloe vera et ajoutez-le dans un bol d’eau.
    • Mélangez avec une cuillère à soupe pour obtenir un liquide uniforme, bien dissout.
    • Comme dans les cas précédents, nous laisserons le mélange reposer sur le cuir chevelu pendant 10 minutes.
    • Ensuite, nous nettoierons la zone à l’eau tiède.

    Huile d’olive et poivre rouge

    Ingrédients

    • 1 tasse d’huile d’olive (200 g)
    • 2 cuillères à café de poivre rouge (10 g)

    Que devez-vous faire ?

    • Mélangez bien les deux ingrédients, appliquez-les sur le cuir chevelu et réalisez des massages.

    Thé vert

    thé vert pour traiter la calvitie

    Les propriétés du thé sont très bonnes pour de nombreuses zones du corps. Le thé vert est fortement bienfaiteur pour stopper la calvitie et la chute de cheveux chez les hommes.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • AVC CHEZ LES FEMMES :

    7 CHOSES QUI AUGMENTENT VOTRE RISQUE

     

     

     

     

     

     

     

    L'AVC représente aujourd'hui la première cause de mortalité chez les femmes dans le monde. Certains facteurs de risque de l'AVC sont différents chez les hommes et chez les femmes. 

     

    Un problème au coeur

    ©Istock

     "La fibrillation atriale est un facteur de risque d'AVC plus important chez les femmes que chez les hommes, en partie car plus de femmes ont une fibrillation atriale et en partie car les femmes qui en sont atteintes sont plus à risque que les hommes d'avoir des complications vasculaires" explique le Pr Charlotte Cordonnier. 
    En prévention : un traitement anticoagulant peut être prescrit si le score de risque qui calcule la probabilité d'avoir un problème embolique est élevé (à partir de 2).
     
     

    Ne pas assez bouger

     

    Le fait d'être sédentaire est un facteur de risque reconnu d'AVC.
     
    Or, les dernières données de l'étude Esteban, menée par Santé Publique France, montrent que seulement 53% des femmes atteignent les recommandations de l'OMS en matière d'activité physique. (3) 
    Les adultes âgés de 18 à 64 ans devraient pratiquer au moins, au cours de la semaine, 150 minutes d’activité d’endurance d’intensité modérée ou au moins 75 minutes d’activité d’endurance d’intensité soutenue, ou une combinaison équivalente d’activité d’intensité modérée et soutenue) 
    La prévention ? Une activité physique régulière. Le fait d'avoir une activité physique régulière diminue d'un tiers le risque de survenue d'un AVC. 
    Remerciements au Pr Charlotte Cordonnier, neurologue au CHU de Lille et chercheuse à l’Inserm.

    (1) Ken eld SA, Stampfer MJ, Rosner BA, Colditz GA. Smoking and smocking cessation in relation to mortality in women. JAMA 2008;299:2037-47.

    (2) Prof Valery L Feigin, MD'Correspondence information about the author Prof Valery L FeiginEmail the author Prof Valery L Feigin, Gregory A Roth, MD, Prof Mohsen Naghavi, MD, Priya Parmar, PhD, Rita Krishnamurthi, PhD, Sumeet Chugh, MD, George A Mensah, MD, Prof Bo Norrving, MD, Ivy Shiue, PhD, Marie Ng, PhD, Kara Estep, BA, Kelly Cercy, BA, Prof Christopher J L Murray, MD, Prof Mohammad H Forouzanfar, PhDfor the Global Burden of Diseases, Injuries and Risk Factors Study 2013 and Stroke Experts Writing Group†, Global burden of stroke and risk factors in 188 countries, during 1990–2013: a systematic analysis for the Global Burden of Disease Study 2013, The Lancet Neurology, 10 juin 2016

    (3) Étude de santé sur l’environnement, la biosurveillance, l’activité physique et la nutrition (Esteban 2014-2016) - Chapitre Activité physique et sédentarité

     

    Avoir du diabète

    ©Istock

     Le diabète est un facteur de risque reconnu d'AVC chez l'homme et chez la femme.
     
    "Mais l'effet de ce facteur de risque est plus fort chez la femme que chez l'homme" informe le Pr Charlotte Cordonnier, neurologue au CHU de Lille et chercheuse à l’Inserm.

    En prévention primaire du diabète et donc des AVC, il est important que les femmes aient une activité physique, fassent attention à ne pas prendre trop de poids et fassent vérifier leurs paramètres biologiques (glycémie et tension) de façon régulière. "Pour les femmes ayant du diabète, il est important que le contrôle du diabète soit extrêmement strict car le pouvoir de nuisance du diabète déséquilibré est plus important chez les femmes" recommande le Pr Charlotte Cordonnier.

     

    La prise de la pilule ou d'un traitement à la ménopause

    ©Istock

    "Le risque vasculaire est légèrement augmenté lorsqu'on prend un traitement à base d'œstrogènes" indique le Pr Charlotte Cordonnier.
     
    Pour autant, cela ne veut pas dire que toutes les femmes ne peuvent pas prendre la pilule ! " Certaines pilules sont déconseillés si une femme a des facteurs de risque vasculaires associés , comme le tabagisme ou la migraine" informe cette spécialiste. Cela peut être aussi le cas si vous avez des antécédents familiaux d'accidents vasculaires cérébraux. C'est la même chose pour le traitement hormonal substitutif. Il est totalement contre-indiqué chez les femmes ayant des facteurs de risque vasculaires, par exemple celles ayant déjà eu un infarctus cérébral.
     
     

    Une hypertension au cours de la grossesse

    ©Istock

    L'hypertension artérielle est un facteur de risque d'AVC chez les hommes comme chez les femmes.
     
    Mais chez les femmes, il y a une spécificité. "La grossesse est une période chez les femmes qui est un marqueur de risque d'AVC : les femmes ayant eu de l'hypertension artérielle pendant une grossesse ou une complication liée à l'hypertension artérielle (pré-éclampsie, éclampsie) ont un très haut risque d'AVC 20 ans plus tard" informe le Pr Charlotte Cordonnier. 
    Son conseil : les femmes ayant eu de l'hypertension artérielle pendant la grossesse doivent être très vigilantes sur le dépistage de l'hypertension artérielle tout au long de leur vie (prise de tension de manière régulière).
     
     

    Le tabagisme

    ©Istock

     Le tabagisme est un facteur de risque d'AVC indépendant des autres facteurs de risque cardiovasculaires, chez les hommes comme chez les femmes.
     
    Le fait de fumer multiplie le risque d'AVC par 2, particulièrement chez les personnes de moins de 55 ans.

    En prévention , il est donc important d'arrêter de fumer le plus tôt possible, car il faut plusieurs années de sevrage pour que le risque d'AVC diminue. Une étude de cohorte a montré que la mortalité par AVC chez les femmes était diminuée d'environ 50% après 5 à 10 ans de sevrage tabagique et qu'elle rejoignait celle des non-fumeuses après au moins 20 ans d'arrêt. (1)

     

    La pollution

    ©Istock

     "De nouveaux facteurs de risque de maladies cardiovasculaires émergent de plus en plus au niveau mondial.
     
    C'est notamment le cas de la pollution, notamment celle liée aux particules fines "informe le Pr Charlotte Cordonnier. Une étude publiée en 2016 a révélé que la pollution atmosphérique était devenue un des principaux facteurs de risque des accidents vasculaires cérébraux. (2) 
    En prévention : lorsqu'il y a des alertes à la pollution aux particuliers fines, pas d'activité physique à l'extérieur !
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Source : medisite.fr
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • LA PRIÈRE, ÇA MARCHE !

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    "Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé."Jean 15.7
     
     

    Il y a quelques années en arrière, alors que je me débattais avec de multiples problèmes qui nuisaient fortement à mon mariage, mon épouse avait décidé de se retrancher dans la présence de Dieu. C'est ainsi que tous les matins alors que je dormais profondément, elle posait délicatement sa main sur moi et commençait de longues prières silencieuses : "Seigneur, touche le cœur de mon mari, permets qu’il puisse arrêter de se faire du mal et qu’il devienne un bon père pour nos enfants et un bon mari pour moi…" 

    Vous savez quoi ? Ça a marché ! Ses prières ont été exaucées, Dieu lui a même accordé ce qu’elle n’avait pas demandé. "Le Seigneur donne volontiers le bonheur…" Psaumes 84.12

    Il n’est pas toujours facile de croire au bonheur lorsque nous vivons le contraire de ce que nous aurions aimé vivre. Très souvent des personnes viennent me parler de situations contraignantes qu’elles endurent au sein de leur foyer. Après les avoir écoutées, je leur donne toujours la même réponse : Continuez à prier !

    Pourquoi cette conclusion ? Et bien tout simplement parce que la prière ça marche. En fait, j’ai l’absolue conviction, que rien n’est inéluctable avec Dieu. Il peut changer les situations d’échec en victoires. "Voici, je suis l'Éternel, le Dieu de toute chair. Y a-t-il rien qui soit étonnant de ma part ?" Jérémie 32.27

    Le simple fait de vous tenir dans sa présence en lui présentant votre requête démontre qu’au fond de votre cœur, vous savez que la prière ça marche. Alors, continuez à l’invoquer et tant que vous n’avez pas été exaucé ne vous arrêtez pas. "Mais Dieu m'a exaucé, Il a été attentif à la voix de ma prière." Psaumes 66.19

    Une proclamation pour aujourd’hui

    Père, je crois que tu entends mes prières et que tu les exauces. Au nom de Jésus.

     
    La prière, ça marche !
     
     
    Source : topchretien.com
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Et si nous cessions de nous plaindre ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Bien qu’au départ cela peut être compliqué de ne pas manifester notre désaccord avec ce qui se passe autour de nous, en cessant de nous plaindre nous nous rendrons compte que nous pouvons être bien plus positifs.

    Et si nous arrivions à passer 24 heures sans nous plaindre ?

    Cela peut paraître un défi facile mais pas lorsque nous nous y mettons et que nous prenons conscience de la grande quantité de plaintes que nous émettons tous les jours. Elles sont trop nombreuses !

    Après avoir vécu le premier échec quand à cela, il nous viendra alors l’une des justifications les plus adaptées dans ce cas-là : « se plaindre n’est pas, en réalité, si mauvais, cela m’aide à me soulager ! ».

    Se plaindre ne nous permet de voir que le négatif

    Se plaindre est facile, mais cela ne nous permet de voir que le négatif dans ce qui nous arrive. Cela ne nous permet pas de voir l’autre côté de la pièce, d’observer ce qui nous arrive depuis d’autres perspectives.

    Cela finit par provoquer un mal-être, que nous pensions que tout le mal qui nous arrive nous ne pouvons rien faire pour l’éviter. C’est alors le moment où nous tombons dans le victimisme.

    Se plaindre nous empêche de prendre des décisions. Cela nous met dans une position confortable dans laquelle nous nous sentons bien, mais dans laquelle nous ne faisons rien pour sortir de cette situation.

    C’est à ce moment-là que nous adoptons le rôle de victime. Toutefois, nous ne sommes pas attachés, personne ne nous retient pour que nous supportions les circonstances dans lesquelles nous sommes submergés.

    Toutefois, prendre une décision est toujours difficile et parfois, cela provoque en nous une grande paresse. Il vaut mieux rester dans sa zone de confort, ne pas en bouger, et nous plaindre depuis notre position.

    Cependant, cette attitude ne nous permettra pas seulement de nous concentrer sur le négatif, mais également que, petit à petit, notre vie se remplisse de négativité de toutes parts.

    Les plaintes pour les choses les plus petites

    Lorsque les plaintes ont un rôle très important dans notre vie, nous commençons à en faire usage dans les situations les plus insignifiantes.

    Par exemple, qu’un verre tombe et se brise peut supposer une plainte. On en fait tout un drame ! Lorsqu’en réalité, si nous l’analysons d’un autre point de vue, cela n’en vaut pas la peine.

    Cela peut également nous arriver lorsque nous sommes dans une situation qui ne nous plaît pas. Par exemple, vivre chez ses beaux-parents ou supporter une chef qui n’agit pas de la manière dont il devrait avec ses employés.

    Comme nous ne faisons rien pour sortir de cette situation car nous avons peur, car nous trouvons des raisons qui, en réalité, sont le fruit de notre insécuriténous finissons par sauter et nous plaindre des choses les plus futiles.

    C’est une manière d’extérioriser notre grand mal-être. Le problème c’est qu’au lieu d’en être conscient-e, nous le considérons comme quelque chose de normal.

    Nous avons tendance à nous habituer aux choses, au lieu de les analyser et les voir de manière à les comprendre pour ainsi pouvoir prendre des décisions et rendre notre vie meilleure.

    En ne faisant pas cela, nous choisissons d’être malheureux.

    Nous nous plaignons également sans parler

    Osez accepter ce défi d’un jour entier sans vous plaindre. Mais attention ! Car vous devrez lutter contre les plaintes inattendues, celles qui ne se prononcent pas.

    Notre esprit se plaint aussi, tout comme il juge, récrimine ou critique. Mais nous ne leur donnons pas la même importance, car ce ne sont pas des plaintes prononcées par notre bouche.

    Toutefois, l’effet est le même et l’attitude face à la vie également. Aussi devons-nous être très attentifs pour cesser de nous plaindre dans tous les sens et de toutes les manières.

    Il se peut que vous essayez plusieurs fois, mais ne lâchez pas. Lorsque vous aurez réussi à passer 24 heures sans vous plaindre, vous vous rendrez compte que vous pouvez être plus positif-ve, que ce qui vous arrive n’est pas si dramatique et qu’il y a toujours un bon côté des choses.

     

    Ne jetez pas l’éponge une fois que vous aurez réussi à passer un jour sans vous plaindre. Essayez ensuite avec deux, trois… et ainsi de suite, jusqu’à tant que vous le pourrez ! Notre manière de penser et de voir ce qui nous arrive est très important.

    Une bonne partie de la négativité qui imprègne aujourd’hui votre vie s’en ira quand vous cesserez de vous plaindre…

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Les 10 incroyables propriétés de la cannelle pour la santé

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Autant de manière externe qu’interne, la cannelle peut nous aider à prévenir et à améliorer de nombreux problèmes de santé, en plus d’être d’une grande aide au niveau esthétique.

    Nous l’utilisons dans de nombreux desserts et infusions, que ce soit en poudre ou en bâtonnet. Toutefois, en plus d’être un ingrédient fondamental dans la gastronomie, la cannelle possède de nombreux bienfaits pour la santé.

    Vous aimeriez en connaître les plus importants ? Alors continuez de lire cet article.

    Cannelle : petite mais puissante

    Lorsque nous pensons à la cannelle, nous pensons automatiquement à ce délicieux gâteau et à un café réconfortant. Toutefois, en plus d’adoucir notre vie, cette épice de couleur marron contient de nombreuses propriétés médicinales.

    Bien que nous l’utilisions davantage en hiver, nous pouvons en profiter à n’importe quelle époque de l’année.

    Il existe différents type de cannelle, parmi lesquels nous trouvons celle de Cassia et celle de Ceylan.

    La première équilibre les niveaux de sucre dans le sang chez les personnes diabétiques et la seconde est en plus un antioxydant, plus qu’intéressant.

    Nous pouvons les différencier grâce à l’odeur, car il y en a une qui a une odeur plus forte et pénétrante que l’autre.

    Bienfaits de la cannelle

    cannelle

    Cette délicieuse épice est aussi bonne dans la cuisine que dans la médecine naturelle.

    D’origine asiatique (du Sri Lanka), elle est également cultivée dans d’autres pays chauds et humides comme l’Inde, le Brésil, la Chine, Madagascar ou les Seychelles.

    • La cannelle telle que nous la connaissons provient de l’écorce de l’arbre et est extraite après avoir pelé et frotté les branches.
    • Puis l’écorce est enroulée et séchée.

    Grâce à son apport en minéraux, vitamines B et C, la cannelle possède de multiples propriétés :

    1. Réduit le gonflement de l’estomac

    • Si vous souffrez de digestions lentes et que vous sentez que votre estomac est sur le point d’exploser, nous vous recommandons de boire une tisane à la cannelle après les repas. Elle vous aidera à prévenir le mal-être de l’estomac et à réduire l’inflammation. Ajoutez un peu de cette épice dans vos infusions et desserts.
    • De plus, elle permet d’éliminer les sels biliaires qui rendent le côlon malade, elle régule le rythme intestinal et stoppe les nausées et les vomissements (idéale pour les femmes au début de leur grossesse).
    • De plus, la cannelle ouvre l’appétit et diminue l’acidité.

    2. Equilibre les niveaux de glucose

    la cannelle aide à équilibrer les niveaux de glucose

    Les personnes qui souffrent de diabète de type 2 trouvent dans la cannelle un grand allié.

    • Consommer cette épice à jeun et après manger réduit les niveaux de sucre dans le sang.
    • Ses principaux composants stimulent les récepteurs d’insuline et inhibent l’enzyme qui les inactive.

    3. Traite le pied d’athlète

    Ceux qui souffrent de mycoses sur les pieds peuvent profiter des bienfaits de la cannelle.

    Vous pouvez trouver l’huile essentielle de cette épice dans les magasins naturels.

    • Répartissez-en sur le pied affecté préalablement lavé et séché.
    • Laissez le pied absorber l’huile essentielle toute la nuit.
    • Pour éviter de tacher vos draps, utilisez des chaussettes ou un linge propre.

    Elle fonctionne également comme un déodorant naturel pour les pieds.

    4. Réduit les problèmes respiratoires

    la cannelle aide à réduire les problèmes respiratoires

    Lorsque nous sommes enrhumés ou grippés nous pouvons consommer des infusions qui nous réconfortent et qui augmentent nos défenses.

    • Si vous ajoutez un peu de cannelle dans une infusion au gingembre vous réduirez la fièvre et la toux et vous vous sentirez mieux.
    • Cette épice a des propriétés antiinflammatoires et antibactériennes qui peuvent vous aider dans ces situations.

    5. Permet de perdre du poids

    Si vous faites un régime pour perdre du poids, n’hésitez pas à ajouter de la cannelle à vos jus, infusions ou smoothies.

    Comme elle rassasie et apporte une touche sucrée aux boissons vous éviterez les envies de chocolat et autres produits similaires.

    6. Prévient l’Alzheimer

    la cannelle aide à prévenir Alzheimer

    Si vous avez des antécédents de maladies neurodégénératives dans votre famille, nous vous recommandons de consommer de la cannelle tous les jours.

    Selon une étude réalisée en 2013, ses apports en épicatéchine et en aldéhyde cinnamique renforcent la santé cérébrale et retardent l’apparition de l’Alzheimer.

    7. Rajeunit

    La cannelle n’améliore pas seulement l’esprit, mais également la peau et les organes.

    Consommer une demi-cuillère à café de cannelle par jour (dans des infusions, par exemple) protège les cellules et réduit les signes du passage du temps grâce à ses propriétés antioxydantes naturelles.

    De plus, elles protègent la peau des agents externes, comme la pollution ou les rayons UV.

    8. Détend les muscles

    cannelle

    La cannelle est anti-inflammatoire et c’est la raison pour laquelle elle est beaucoup utilisée lors des massages décontracturants. Cette épice à l’arôme si caractéristique sert à détendre les muscles fatigués et endoloris.

    De nombreux-ses sportifs se massent avec de l’huile de cannelle après les entraînements et les compétitions.

    Vous pouvez également profiter de ses bienfaits dans un bain d’immersion.

    • Vous n’avez qu’à remplir la baignoire d’eau chaude et ajouter une cuillère à soupe de cannelle.
    • Immergez-vous pendant 15 minutes (ou jusqu’à ce que l’eau refroidisse) tout en écoutant de la musique ou en lisant un livre.

    9. Calmez les douleurs menstruelles

    Les femmes qui souffrent beaucoup pendant leurs règles peuvent trouver un soulagement dans cette boisson de lait chaud et de cannelle avant de se coucher.

    • Elle apaise les maux de ventre et détend les muscles.
    • Elle peut également être consommée sous forme d’infusion et est parfaite pour dormir 8 heures de suite.

    10. Améliore la santé osseuse

    la cannelle améliore la santé osseuse

    Les personnes de plus de 60 ans sont davantage sujettes aux fractures ou aux fissures des os. Pour éviter ces problèmes typiques, on recommande de consommer de la cannelle en infusion tous les jours.

    Vous pouvez également faire des massages avec l’huile essentielle pour renforcer les articulations.

    La cannelle a bien d’autres utilités comme :

    • Combattre l’acné et nettoyer les impuretés de la peau.
    • Réduire le cholestérol et prévenir la formation de thrombus.
    • Elle possède également des propriétés anticoagulantes.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Qu’est-ce que la candidose ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Les infections provoquées par le champignon Candida sont opportunistes. C’est-à-dire qu’il est nécessaire qu’il y ait des altérations dans les défenses de l’organisme pour qu’elles se produisent.

    Les candidoses sont des mycoses, c’est-à-dire, des infections produites par des champignons qui appartiennent à l’espèce des Candida.

    • Il peut s’agir d’infections aigües, subaiguës ou chroniques.
    • Elles affectent la peau, les muqueuses et les tissus profonds.
    • La symptomatologie est très variable.
    • Le pronostique est également très variable. Depuis des infections légères muco-cutannées jusqu’à la vie du patient compromise dans des cas d’immunosuppression sévère.
    • Ce sont des mycoses opportunistes.

    Candida spp*

    Il s’agit d’un genre formé par des champignons à l’aspect de levure, majoritairement unicellulaires. Au sein du genre, les espèces d’intérêt clinique sont :

    • Candida albicans : c’est l’espèce la plus virulente et la responsable de plus de la moitié des cas.
    • Candida glabrata
    • C. parapsilosis : associée à l’utilisation de cathéthers, sondes et aiguilles.
    • C. krusei : associée à la prise de Flukonazole (c’est un antifongique)
    *Les sigles spp sont utilisés pour indiquer que l’on fait référence à toutes les espèces qui font partie du genre.

    différents genres de candidose

    Quels sont les éléments pathogènes opportunistes ?

    Les éléments pathogènes opportunistes sont ceux qui, dans des conditions normales, n’infectent pas une personne saine. Il doit y avoir une altération dans l’une des barrières biologiques du système immunitaire pour que cela arrive.

    Le genre Candida, tout comme la majorité des champignons et certaines bactéries, appartiennent à ce groupe d’éléments pathogènes. De fait, Candida fait partie de la flore normale de la peau et des muqueuses chez un grand pourcentage de la population.

    Comme se produit la candidose ?

    Par l’altération des barrières mécaniques : dommages sur la peau et les muqueuses (barrières primaires)

    C’est ce qui arrive chez des patients avec des cathéters, des sondes, des prothèses ou qui sont soumis à des dialyses. Cela explique également l’infection des consommateurs de drogues par voie parentérale (injectables).

    Si le champignon passe par la circulation sanguine, cela peut affecter n’importe quel organe. Il apparaît chez des patients souffrant d’immunodépression sévère (VIH mal contrôlé et en phase terminale de leucémie).

    Les dommages sur la peau ou les muqueuses empêchent que cette zone agisse comme une barrière et permet la colonisation par le champignon. C’est pourquoi les piqûres par seringue ou l’érosion de la muqueuse engendrée par un cathéter prédisposent à l’infection.

    A cause des altérations de la flore bactérienne

    Les dommages sur la flore bactérienne se produisent, bien souvent, à cause de la prise d’antibiotiques à large spectre. Ceci s’explique par leur très large champ d’action. Les antibiotiques « attaquent » autant les bactéries responsables de l’infection, que celles qui font partie de la flore. Au moment où disparaît cette barrière, la mycose est rendue possible.

    Par exemple, il est relativement fréquent de trouver des cas de candidose vaginale chez des jeunes femmes après la prise d’antibiotiques.

    Etats d’immunodépression

    Ils peuvent être provoqués par une maladie, comme c’est le cas des patients atteints du VIH, ou être d’origine pharmacologique, comme cela arrive chez les patients transplantés et traités avec des médicaments antirejet.

    comment peut-on contracter une candidose ?

    Clinique : candidoses superficielles

    Muguet (candidose oropharyngée)

    Elle se caractérise par l’apparition de pseudomembranes blanches qui recouvrent la langue, le palais mou et la muqueuse orale. Si elles s’enlèvent, elles laissent à découvert une surface rougie et usée. Elles peuvent devenir très douloureuses et compromettre la déglutition et la respiration.

    Elle apparaît essentiellement chez des patients atteints du VIH (jusqu’à 90%), car c’est l’une des premières manifestations de la maladie. Bien qu’il s’agisse de l’une des infections opportunistes les plus fréquentes qui affectent ces patient-e-s, l’incidence a dernièrement réduit.

    Elle affecte également des patients souffrant de cancer à cause de l’affaiblissement du système immunitaire et les nouveaux-nés pour leur immaturité.

    Vaginite et vulvovaginite par Candidose

    Elle est relativement fréquente. Elle se caractérise cliniquement par :

    • Brûlures vulvaires et vaginales très intenses, surtout au moment d’uriner
    • Aspect congestionné et très rouge de la muqueuse génitale
    • Apparition de plaques blanchâtres sur la muqueuse rougie
    • Sécrétions vaginales blanchâtres et denses, avec des grumeaux. Décrite comme « avec un aspect de fromage blanc« 

    sécrétions vaginales et candidose

    Balanite par Candida

    Elle est moins fréquente que la vaginite. Elle est normalement associée au diabète, chez des individus non-circoncis ou dont le partenaire a déjà souffert de Candidose.

    Sur le gland ou le prépuce des lésions rougeâtres apparaissent à l’aspect érodé ainsi que des pustules superficielles, normalement douloureuses. Elles peuvent s’accompagner de sensations de brûlure qui augmentent en urinant.

    Candidose cutanée

    Elle apparaît fondamentalement dans les plis cutanés et sur des zones où les vêtements très ajustés occluent la peau. Ceci est dû au fait que dans les deux cas, des zones chaudes et relativement humides sont crées.

    Elle se présente avec une éruption rougeâtre qui provoque des démangeaisons intenses et un mal-être. Elle se situe principalement sur les fesses, sous les seins, au niveau des organes génitaux et d’autres zones de la peau. De plus, les follicules pileux peuvent parfois s’infecter et des petits boutons apparaissent.

    La dermatite de la couche est relativement fréquente chez les nourrissons ; celle-ci se surinfecte par Candida, aiguisant les symptômes de la première.

    APECED : Polyendocrinopathie auto-immune de type 1

    Il s’agit d’une maladie très rare, d’origine génétique, due à une mutation du gène AIRE. La maladie débute dès l’enfance avec des candidose à répétition, orales et unguéales, sans motif apparent.

    Plus tard apparaît une dysfonction d’origine auto-immune dans plusieurs glandes. S’ajoutent alors des cadres d’hypoparatyroïdie, d’insuffisance surrénale et de maladie d’Addison.

    Clinique : candidoses profondes

    Œsophagite par Candida

    Elle est typique chez des patients immunodépressifs. Elle apparaît très fréquemment chez les patients atteints du VIH ou de lymphomes, et moins souvent, pendant des traitements aux corticoïdes. La symptomatologie est très particulière :

    • Sensation de brûlure rétrosternale
    • Difficulté à digérer (dysphagie)
    • Pyrosis

    De plus, des pseudomembranes blanchâtres apparaissent tout au long de la muqueuse œsophagique.

    Clinique : candidose invasive

    Dans ces cas-là le champignon passe dans la circulation sanguine et peut affecter presque n’importe quel organe. Elle apparaît chez des patients atteints d’immunodépression très sévère (VIH mal contrôlé et en phase terminale de leucémie).

    C’est un cas très gave, mal pronostiqué dans la majorité des cas.

    Diagnostic

    Le diagnostic est réalisé par l’obtention et l’analyse de cultures. Elles sont prélevées par un frottis sur la zone affectée et sont cultivées dans un milieu adapté. Ensuite, les cultures seront analysées au microscope.

    Prévention et traitement

    Il est important de maintenir une bonne hygiène personnelle. Après la douche, séchez bien les plis cutanés et prenez soin de la zone génitale. Dans le cas des femmes enceintes il est également conseillé de consommer des yaourts bioactifs qui favorisent l’entretien de l’acidité vaginale.

    hygiène intime et candidose

    Le traitement est différent selon les types de mycoses. Le plus commun est le traitement typique au Clotrimazole (voir le traitement de la candidose).

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • AYEZ LE COURAGE D'ÊTRE VOUS-MÊME !

     
     
    “Le jour où j'ai peur, je compte sur toi.”Psaume 56.4

     

    Êtes-vous fatigué de jouer un jeu, de porter un masque ou d'essayer d'être quelqu'un qu'en réalité vous n'êtes pas ?

    N'aimeriez-vous pas connaître cette liberté d'être accepté pour qui vous êtes, et vivre sans la pression de devoir être quelqu'un que vous ne connaissez même pas ? Voulez-vous apprendre à assumer pleinement votre personnalité unique et à résister à la tentation de vous fondre dans la masse ?

    Si vous voulez surmonter votre sentiment d'insécurité et être la personne que Dieu vous appelle à être, vous devez avoir le courage d'être différent.

    À chaque fois que nous rejetons notre singularité et que nous essayons de nous conformer aux autres, le mécontentement et la frustration surgissent. Vous devez tenter votre chance, celle d'être vous-même.

    Pour cela, il faut vous poser la question : “Suis-je quelqu'un qui cherche à plaire aux hommes ou à Dieu ?”

    Essayer de plaire aux hommes n'en vaut pas la peine, parce que Dieu ne vous a pas créé pour vivre de l'approbation des autres. Dieu savait très bien ce qu'Il faisait lorsqu' Il vous a créé. Vous êtes un individu unique – Dieu vous a créé tel que vous êtes ! Il est temps pour vous d'oser vous accepter tel que vous êtes, différent et singulier, et d'arrêter de vivre dans l'insécurité.

     

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, je ne veux pas craindre les hommes. Tu ne m'as pas créé pour rechercher l'approbation des autres. Aujourd'hui, j'ose être différent. Je veux chercher à te plaire et vivre comme l'individu unique et singulier que tu as toi-même créé.

     
     
    Ayez le courage d'être vous-même !
     
    Source : topchretien.com
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • 7 choses que vous ne devez jamais tolérer

    dans votre relation de couple

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Il est fondamental d'apprendre à identifier ces comportements toxiques dès le début de la relation et ne pas les laisser passer car ils peuvent devenir une constante et nous détruire psychologiquement.
     

    Quand nous prenons la décision de nous mettre en couple, nous cherchons à construire une expérience pleine d’émotions et de bonheur.

    L’attraction et la tendresse que nous avons pour cette personne nous encouragent à être meilleur-e et avec le temps, elles nous permettent de sentir qu’une partie de nous est comblée.

    Mais, nous savons qu’à un moment donné, nous devons affronter des situations difficiles qui peuvent renforcer les liens et déterminer si nous souhaitons vraiment continuer la relation.

    Même si les hauts et les bas sont normaux, il faut savoir identifier certains comportements et mauvaises actions, qu’il ne faut tolérer sous aucune circonstance.

    Les fameux « prédateurs émotionnels » sont partout et malheureusement, nous tombons souvent dans leur jeu jusqu’à atteindre des situations catastrophiques.

    C’est pour cela que nous voulons consacrer cet article à ces 7 choses qu’il ne faut jamais accepter dans une relation si l’on ne veut pas finir abîmé.

    Découvrez-les !

    1. Le contrôle

    Quand on accepte une relation, on souhaite partager sa vie avec cette personne, mais on n’accepte pas que l’autre prenne possession de nous.

    • Si vous permettez à l’autre de vous dire quoi faire et quoi ne pas faire, par exemple dans le choix des vêtements ou des amis, il pensera, avec le temps, qu’il aura tout le contrôle sur vos décisions.
    • Poursuivre ce type de relation peut détruire votre auto-estime et la liberté que vous avez à développer votre propre personnalité.

    2. L’agressivité

    Attention ! Homme ou femme, les comportements agressifs, physiques ou émotionnels doivent être complètement rejetés quelles que soient les circonstances dans lesquelles ils se présentent.

    • Les attaques verbales, les bousculades et dans le pire des cas, les coups, sont des raisons suffisantes pour décider que cette personne ne doit plus faire partie de votre vie.
    • Si quelqu’un attaque votre intégrité car il n’aime pas certaines choses de votre vie, ou car il croit qu’il résoudra les problèmes ainsi, les choses peuvent s’aggraver rapidement.

    Ces conjoints sont assez manipulateurs et puisqu’ils connaissent vos fragilités, ils chercheront un moyen de vous convaincre pour que vous restiez auprès d’eux.

    3. Le manque de confiance

    L’une des principales qualités de toute relation de couple est la confiance.

    Cet ingrédient permet aux deux personnes de se sentir sûres du conjoint qu’elles ont à leurs côtés et même si elles ne peuvent pas être ensemble, il leur permet de savoir qu’ils sont là l’un pour l’autre.

    • L’absence de cette qualité, que ce soit chez les deux ou l’un des deux conjoints, conduit forcément à une jalousie asphyxiante et à des disputes récurrentes. 

    4. Le chantage émotionnel

    Les personnes qui ont tendance à manipuler leur conjoint analysent généralement à fond pour, plus tard, faire du chantage en les utilisant.

    En général, elles cherchent à construire un concept d’amour toxique, dans lequel toutes leurs actions et comportements sont valides car « elles vous aiment ».

    • Il est très important de résister au chantage car n’importe quelle démonstration de fragilité leur permettra de sentir qu’elles ont le contrôle.

    5. Les moqueries sur le physique

    Nous avons tous des défauts physiques qui, d’une certaine manière, nous donnent des complexes et altèrent notre confiance en nous, aussi bien dans les relations de couple que dans l’environnement social.

    Cependant, quand nous partageons notre vie avec quelqu’un, nous cherchons à ce qu’il nous aide à rendre minime ce qui ne nous plaît pas, tout en stimulant notre estime de nous-même et notre confiance en nous.

    • Si un conjoint se moque de votre corps, vous met la pression à cause de votre poids ou cherche à vous détruire en insistant sur vos défauts, quittez-le.
    • Ne vous sentez pas dans l’obligation de « respecter » des stéréotypes de beauté, et encore moins de plaire à l’autre.

    6. Les mensonges

    Les mensonges font partie des pires ennemis des relations de couple, non seulement car ils affectent la confiance, mais aussi car ils se transforment en un outil de manipulation.

    Si un mensonge ridicule peut parfois sembler inoffensif, en faire une philosophie de vie peut complètement détruire la relation.

    Les mensonges sont souvent interprétés comme des infidélités et quand ils sont récurrents, ce sont des déclencheurs qui montrent que la personne n’est pas celle qu’elle dit être.

    7. Le mépris

    Aussi triste que cela paraisse, il y a certaines personnes qui donnent tout pour rendre leur conjoint heureux et qui en échange, reçoivent du mépris et des humiliations.

    Si votre conjoint ne met pas en valeur vos caractéristiques, cherche à vous inférioriser ou essaie de vous ridiculiser face aux autres, mieux vaut que vous le quittiez dès que possible.

    Sinon, vous le laissez adopter ce type de comportement qui lui donne l’impression d’être supérieur ainsi que le droit que vous attaquer à chaque fois qu’il le souhaite.

    Vous avez identifié l’un de ces comportements chez votre conjoint ? Attention ! Ne permettez pas à cette situation de prendre l’avantage, car vous pourriez le regretter.

    Votre relation doit être respectueuse et doit vous apporter tous les composants nécessaires pour ressentir le bonheur.

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Comment perdre votre graisse abdominale en 7 étapes : commencez dès aujourd’hui !

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Si nous voulons éliminer la graisse de l'abdomen, nous devons associer une alimentation saine à une activité physique localisée pour perdre du volume et tonifier la zone.
     

    Ainsi, il est vital de savoir que ces kilos stockés au niveau du centre peuvent provoquer du diabète et certains maladies cardiaques graves.

    Alors, comment éliminer rapidement ce problème ? Tout d’abord, il faut être réaliste. La graisse abdominale ne va pas disparaître en deux semaines.

    Il ne faut pas non plus oublier que chaque personne a un métabolisme propre et que nous devons être conscients qu’il va falloir nous impliquer. 

    Perdre du poids demande de la constance et de la volonté.

    Alors, pouvons-nous y arriver ? Bien sûr. Aujourd’hui, dans cet article, nous allons vous proposer de commencer dès aujourd’hui à suivre ces 7 étapes.

    1. Oui au fruits tropicaux pour réduire la graisse abdominale

    Les fruits tropicaux comme l’ananas ou la papaye contiennent des enzymes digestives. En plus d’être anti-inflammatoires, ils nous permettent de réduire l’accumulation des liquides et de mieux digérer les aliments.

    Il ne faut pas oublier qu’une bonne digestion est synonyme de bonne santé. Ainsi, nous prenons soin de nos intestins pour qu’ils soient plus propres et nous favorisons ainsi la perte de graisse.

    Manières de consommer les fruits tropicaux

    • Consommez de l’ananas frais en salades, et ajoutez des épinards et des noix.
    • Le matin, préparez une macédoine de papaye fraîche et d’autres fruits.
    • Préparez-vous des jus naturels d’ananas ou de papaye.

    2. Des fruits et des légumes de couleur pourpre

    Les fruits et les légumes de couleur pourpre sont merveilleux pour notre santé et pour réguler notre poids. Cependant, il est important de les choisir en accord avec vos particularités et de savoir s’ils vous conviennent.

    • Les fruits de couleur pourpre contiennent de la lutéine, de la zéaxanthine, du resvératrol, de vitamine C, des fibres, des flavonoïdes de l’acide ellagique et de la quercétine. Leurs nutriments nous aident à réduire le mauvais cholestérol ou LDL.
    • Ils augmentent l’activité du système immunitaire.
    • Ils améliorent notre digestion et nous aident à purifier l’organisme.

    jus de raisin et de menthe pour perdre la graisse abdominale

    Parmi les fruits et les légumes de cette couleur, on trouve les suivants :

    • Les raisins
    • Les myrtilles
    • Les aubergines
    • Les betteraves

    3. Oui aux graisses mono-insaturées

    Les graisses mono-insaturées pour réduire la graisse de abdominale ? Peut-être que cela vous semble contradictoire mais, de fait, ce type de graisses sont indispensables pour notre santé et notre ligne. 

    • Il existe des acides gras sains qui nous permettent de « bouger » les graisses pour, précisément, les empêcher de s’accumuler.
    • Les graisses mono-insaturées mettent en marche une série de mécanismes capables d’agir sur la zone de l’abdomen pour briser cette chaîne de graisses résistantes.
    • Les aliments riches en oméga-9 sont essentiels pour nous car nous ne pouvons pas les produire. Ils prennent soin de notre cœur et préviennent les accidents cardiovasculaires.

    graisses mono-insaturées pour perdre la graisse abdominale

    Nous allons ici vous donner une série d’aliments que vous pouvez intégrer à votre régime :

    • Les noix
    • Les graines de lin
    • L’huile d’olive vierge extra
    • Le saumon
    • Le maquereau
    • Les avocats

    4. Consommez des fibres solubles

    Les fibres solubles sont celles qui nous aident à éliminer la graisse de l’abdomen. Parmi leurs propriétés, on trouve celle d’absorber l’eau pour la transformer en gel pendant la digestion.

    Cela ralentit le processus digestif, nous rassasie et élimine les toxines des intestins. Ainsi, n’hésitez pas introduire ces aliments dans votre quotidien.

    • L’avoine, le son, le seigle…
    • Les carottes, les poireaux et les asperges.

    5. L’infusion de sauge

    Vous trouverez de l’infusion de sauge prête à consommer dans n’importe quelle herboristerie. On l’appelle souvent « la plante des femmes » grâce à ses multiples bienfaits pour la santé féminine :

    • Elle soulage les symptômes des menstruations ou de la ménopause.
    • De plus, l’infusion de sauge nous aide à éliminer les toxines, à lutter contre la constipation et même à éliminer les graisses accumulées dans la zone de l’abdomen. 
    • Pour qu’elle soit efficace pour combattre la graisse de l’abdomen, il faut prendre cette infusion chaque matin à jeun.

    infusion de sauge pour perdre la graisse abdominale

    6. Marchez 30 minutes chaque jour

    Marcher est un exercice essentiel que nous devons pratiquer au quotidien. En plus d’améliorer notre santé cardiaque, cela permet de mettre en marche notre métabolisme pour brûler des graisses plus facilement.

    7. Travaillez la zone de l’abdomen pendant une demi-heure chaque jour

    Nous savons qu’il faut faire attention à son alimentation, consommer de l’eau en abondance, éliminer la nourriture riche en graisses saturées et en boissons sucrées.

    En plus de toutes ces règles basiques, il en reste une essentielle : les exercices destinés à endurcir cette zone. Il faut que les muscles alentour se renforcent et que la graisse petit à petit disparaisse.

    exercices physiques pour perdre la graisse abdominale

    Prenez note de certains exercices faciles que vous pouvez réaliser pendant une demi-heure :

    • Montez et descendez les escaliers.
    • Faites la position de la « planche » et travaillez la zone du tour de taille :

       

      • Allongez sur le ventre sur un tapis de sol et appuyez-vous avec les avant-bras et les points des pieds.
      • Les hanches doivent être en hauteur, le dos droit et le cou relaxé.
      • Maintenez la position pendant 15 ou 20 secondes et reposez-vous.
      • Faites 3 séries.
    • Les flexions de jambes.

    Cet exercice demande un peu plus de résistance mais est vraiment très efficace :

    • Asseyez-vous sur le bord de la chaise, avec le dos penché vers l’arrière et les jambes tendues.
    • Ensuite, commencez la flexion des genoux en rapprochant les cuisses de l’abdomen.
    • Gardez les muscles contractés pendant toute l’activité et essayez de faire entre 8 et 10 répétitions.
    • Faites 3 séries.

    Souvenez-vous que danser, faire du yoga et des étirements tout simplement qui impliquent la zone du ventre sont également des activités très positives pour éliminer la graisse.

    Que pensez-vous de commencer dès aujourd’hui à appliquer ces 7 étapes ?

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • La ténosynovite :

    l’inflammation des mains et des pieds à connaître

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Puisqu'elle peut être particulièrement incapacitante, il faut apprendre à identifier les symptômes de la ténosynovite le plus tôt possible pour favoriser un diagnostic précoce et un traitement adapté.
     

    La ténosynovite est une inflammation du revêtement de la gaine qui entoure le tendon. C’est douloureux, incapacitant et touche surtout sur les pieds et les mains.

    De petites protubérances peuvent apparaître, la peau rougit et le patient ne sait pas bien à quoi cela est dû. Il ne s’est pas cogné et la douleur est intense, même au repos. On peut également perdre une partie de sa mobilité.

    Les expert-e-s indiquent qu’il est important d’obtenir un diagnostic précoce. Il n’y a qu’ainsi que l’on peut éviter que l’inflammation nuise encore plus aux tendons et à leurs revêtements, et de souffrir de problèmes plus graves.

    En cas de gênes, n’hésitez pas à consulter un bon spécialiste. Dans cet article, nous allons vous expliquer les données essentielles sur la ténosynovite.

    La ténosynovite, une douleur articulaire incapacitante

    Pour bien comprendre ce qu’est la ténosynovite, imaginons un tendon. Cette structure parfaite qui unit n’importe quel muscle de notre main à l’os.

    Ce tendon a également un revêtement, la gaine synoviale, qui le protège et l’isole. C’est précisément ici que se produisent l’inflammation et la douleur.

    Ce qui peut interpeller en cas de ténosynovite, c’est qu’elle affecte les muscles fléchisseurs, c’est-à-dire que l’on remarquera les premiers symptômes de cette affection lorsqu’on bouge la main ou que l’on marche.

    Au début, c’est une simple gêne mais petit à petit, l’inflammation apparaît, ainsi que l’engourdissement et la fièvre.

    Qui a un risque de souffrir de ténosynovite ?

    La ténosynovite des extrémités supérieures affecte surtout les femmes. Ainsi, les personnes qui font du sport ou des travaux manuels, comme les couturiers, les bouchers ou les dentistes en souffrent souvent.

    Quels sont les symptômes de la ténosynovite ?

    • La douleur dans les poignets, les chevilles ou la plante des pieds, du talon…
    • En peu de temps, apparaissent les rougeurs ou l’inflammation. Quand cela arrive, la douleur peut également apparaître au repos.
    • Les doigts et les orteils craquent lorsqu’on les bouge.
    • De même, il peut y avoir de petites protubérances sur les orteils ou les mains à cause de l’infection.
    • Il peut être difficile de manipuler des objets, de marcher, de réaliser n’importe quelle activité quotidienne… et cela en devient très gênant.

    Qu’est-ce qui cause la ténosynovite ?

    Les principales causes de l’inflammation de la gaine du tendon sont les mouvements répétés des mains ou des pieds, ainsi que les mauvaises postures que nous adoptons sans nous en rendre compte.

    Dans chacun de ces mouvements répétitifs et continus, on souffre d’une excessive friction du tendon avec l’os. Apparaît alors l’usure et de petites lésions dans la gaine qui entoure le tendon, jusqu’à ce que petit petit, l’inflammation s’aggrave.

    La maladie de De Quervain

    L’une des lésions les plus connues liées à la ténosynovite est la maladie de De Quervain.

    Il s’agit d’une maladie inflammatoire des tensons qui affecte les pouces des mains.

    • Il est inquiétant, par exemple, que des faits aussi banals que soulever un enfant, coudre, taper à l’ordinateur ou même faire du piano provoque ce type de ténosynovite.
    • De même, il peut arriver la chose suivante : nous nous cognons le pouce. Nous souffrons d’une petite lésion au niveau du tendon et nous ne nous en rendons pas compte. Nous ressentons de la douleur mais, avec le temps, ce tissu se cicatrise.

    Cependant, ce tissu cicatrisé peut empêcher le tendon de fonctionner correctement. C’est quelque chose que nous devons prendre en compte et qui peut provoquer cette fameuse maladie de De Quervain.

    ténosynovite

    Traitement courant pour la ténosynovite

    Le principal objectif du traitement pour la ténosynovite est de réduire l’inflammation. Et c’est toujours le médecin qui vous proposera la meilleure stratégie.

    Le plus courant est d’associer un traitement pharmacologique à de la rééducation. 

    • Il faut garder la main ou le pied immobilisé pendant quelque chose avec une atèle ou un bandage.
    • La thérapie chaud-froid est également très efficace dans ces cas.
    • Il est aussi intéressant de se faire des bains tièdes d’eau de romarin. Elle est anti-inflammatoire et relaxante.
    • Les infusions au gingembre sont très recommandées. Elles nous permettent de réduire la douleur et les processus inflammatoires. 
    • Les physiothérapeutes sont également d’une grande aide pour traiter la ténosynovite. Ils peuvent nous expliquer quels types d’exercices nous pourrions réaliser chez nous pour récupérer de la mobilité et de la force.

    Pour finir et ce n’est pas moins important, il faut savoir que la ténosynovite peut réapparaître, alors il faut prendre soin de ses postures et de ses mouvements. 

    L’idée de base est de diminuer le stress et la pression sur nos tendons.

    Demandez conseil aux professionnels, évitez les surcharges et avant tout, sachez que vos tendons et vos articulations sont de merveilleuses structures dont vous devez prendre soin.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • LE TEMPS EST EN VOTRE FAVEUR !

    "J’enverrai la pluie au moment voulu. Ce seront des pluies de bénédictions."Ezéchiel 34.26
     
     

    Jésus aimait enseigner les gens sous forme de paraboles. Aux agriculteurs par exemple, il parlait d’agriculture. Et pour cause, la vie agricole a de quoi nous apprendre sur notre vie intérieure.

    En général, lorsqu’un agriculteur sème des graines, il espère qu’il pleuve afin d’obtenir un résultat excellent. Parfois, ces pluies tardent, voire n’arrivent pas du tout dans certains cas. Les graines finissent alors par sécher et semblent comme mortes aux yeux de l’agriculteur, emportant avec elles tout espoir d’une récolte fructueuse.

    Comme cet agriculteur, chacun(e) de nous met en terre des projets de vie personnels et professionnels en comptant sur la faveur de Dieu, afin qu’ils croissent et produisent un résultat excellent. Mais le temps semble souvent long entre la mise en terre et la manifestation du résultat. Et cette attente peut, parfois, être insupportable.

    Quelle est votre réaction quand "ça ne se passe pas comme prévu" et que vous devez continuer à patienter ? Pouvez-vous croire que le Seigneur est au contrôle de tous les aspects de votre vie ?

    Comme cet agriculteur, vous êtes invité(e) aujourd’hui à faire confiance à Dieu. Soyez assuré(e) qu’au moment voulu, Dieu enverra sur votre vie SA PLUIE de bénédictions. Prenez courage et attachez-vous aux promesses qu’il vous a faites. Dieu ouvrira les écluses des cieux pour faire croître vos projets. Il tiendra parole.

    S’il vous est arrivé récemment de dire à Dieu : "Seigneur j’en ai marre, je laisse tomber !", j’aimerais que vous sachiez que vous n’êtes pas seul(e). Dieu est votre forteresse. Une forteresse dans laquelle vous pouvez prendre du temps, une pause, loin des tumultes que vous rencontrez, et vous décharger pour mieux repartir rempli(e) de son courage, et de sa force.

    Dieu est votre refuge, vous pouvez venir à lui tel(le) que vous êtes, répandre ce qui bout dans votre cœur, partager vos douleurs pour qu’il les apaise et vos blessures pour qu’il les guérisse.

    Dieu est votre libérateur et il vous donne la victoire. Fixez vos yeux sur lui et sur la pluie de bénédictions qui est en route.

    Une prière pour aujourd’hui

    "Seigneur, je te remercie pour la pluie céleste que tu envoies sur ma vie. Cela ne se passe pas toujours comme je m’y attendais, mais je crois que tu es fidèle, que tu ne changes pas et que tu ne mens pas. Merci encore pour tout ce que tu vas faire en moi et au travers de moi. Au nom de Jésus".

     

     
    Le temps est en votre faveur !

    Source : topchretien.com 

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Ce qui arrive lorsque l’on se décide à mettre fin

    à une relation toxique

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Même si la sensation de soulagement n'arrive pas immédiatement à la fin de la relation toxique, la dernière chose à faire est d'en débuter une nouvelle pour combler ses vides.
     

    La relation toxique use, altère l’identité, dilue l’estime de soi et déforme le concept même d’amour authentique, le respect le plus noble et du sens de la coexistence.

    Nous savons que le mot « toxicité » est à la mode. Nous l’utilisons « à vau-l’eau » pour désigner des comportements abusifs, contrôlés ou à l’origine de mal êtres émotionnels vis à vis des autres.

    Il faut analyser avec soin chaque personne avant de tomber dans le piège de la « psychologie de comptoir ».

    Parfois, derrière un comportement ponctuel, il peut se cacher un trouble affectif ou de la personnalité qui aurait besoin d’attention et de considération.

    Nous voulons dire, avant tout, qu’il faut être prudent.

    Les personnes complexes et les relations compliquées abondent de nos jours.

    Mais une relation où l’autre agit concrètement comme l’épicentre des mal êtres, des abus et même des maltraitances psychologiques est une relation typiquement toxique.

    Si vous avez déjà traversé cela et que vous avez réussi à sortir de cette dynamique, vous savez que le processus n’est pas facile.

    Dans cet article, nous allons vous parler de ce sujet.

    Nous voulons, avant tout, vous dire que le simple fait de couper ce lien nocif avec un conjoint toxique ne suppose pas de vivre un bonheur et un bien-être immédiats.

    Le processus n’est ni facile ni rapide.

    Derrière une relation toxique, il y a une blessure

    Imaginons un moment qu’une personne se fait emmener par la main dans une forêt très dense, pleine de branches et de ronces.

    Cette personne se laisse entraîner car elle a confiance en l’autre. Mais elle sait que ce voyage est épuisant, qui lui manque de l’air, que les branches blessent sa peau.

    Rien de ce qu’elle voit dans cet environnement ne lui semble beau, ni encourageant.

    Finalement, elle décide de se défaire de cette main, de s’éloigner pour se sentir libre, pour récupérer son bonheur et laisser l’autre prendre un autre chemin.

    Quand elle le fait, elle vit des choses très intenses, et en même temps contradictoires :

    • Elle se reconnaît à peine elle-même : de ce voyage traumatisant, elle garde de nombreuses cicatrices et blessures encore ouvertes.
    • Elle se sent fatiguée, épuisée… Elle manque de souffle et n’a pas d’autre remède que de rester un moment tranquille pour récupérer.
    • Elle se trouve perdue dans un endroit de la forêt et est désorientée. Elle ne sait pas quelle direction prendre.

    Avec cette image simple, vous comprendrez quelque chose de très simple et intéressant à creuser :

    • Quand on sort d’une relation toxique, on ressent du soulagement, sans aucun doute. Mais la sensation de bien-être n’est jamais immédiate.

    Ce que l’on ressent avant tout, c’est un besoin de recueillement, de se retrouver soi-même, de localiser ses blessures, de réfléchir, de penser à ce moment de notre vie. Et à ce que l’on va faire à présent.

    Du temps pour guérir, du temps pour se recueillir

    La dernière chose que doit faire une personne qui vient de quitter une relation toxique, c’est de s’engager dans une nouvelle relation, qui n’est rien d’autre qu’un baume apaisant.

    • Personne ne peut guérir en se laissant emporter par une relation immédiate. Ce n’est ni thérapeutique ni sain.
    • Car personne n’est obligé de raccommoder nos blessures, de jouer le rôle de l’anesthésiste, de nourrir nos rêves et notre confiance en nous.
      Nous devons laisser de côté nos haines, nos peurs et nos frustrations pour faire émerger nos carapaces d’intimité beaucoup plus fortes.
    • Que nous le voulions ou pas, nous devons « officialiser » le deuil concrètement, ce qui nous permet de nous libérer de nos émotions, de canaliser notre colère et petit à petit, de développer cette attitude résiliente qui nous rappelle ce que nous valons et ce que nous méritons.

    Il n’y a qu’une fois que nous nous aimerons à nouveau que nous serons prêt à nous laisser porter pour trouver la bonne personne.

    Ma dignité n’accepte ni « discount » ni nouvelles relations toxiques

    Nous sommes sûrs que vous connaissez plus d’une personne qui, après une relation toxique, en a débuté une autre.

    Tomber dans les mêmes dynamiques abusives et usantes est plus courant que ce que nous pensons.

    • Cela répond à un fait très concret sur lequel réfléchir : nous devons « rassembler » notre estime de nous-même et nous rappeler que notre dignité n’est pas ni vendre, ni à acheter, ni à laisser traîner dans les poches des autres. Elle n’admet pas de « discount »…
    • Peu de principes de bien-être psychologique sont aussi importants que de se souvenir que nous méritons le meilleur, qu’aimer, ce n’est pas souffrir et qu’une solitude harmonieuse sera toujours préférable à un amour mal sain, égoïste et nocif.

    Pour conclure, souvenez-vous que le simple fait de quitter une relation toxique ne va pas vous donner le bonheur immédiat.

    Vous avez avant tout besoin de vous réparer, de guérir votre estime de vous-même et votre dignité pour ne pas tomber à nouveau dans des dynamiques affectives usantes.

    Faites que toute expérience vous permette d’apprendre à dire « Plus jamais » à l’amour toxique.

     

    Image principale de © wikiHow.com

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Ce que vous devez manger si vous souffrez du côlon irritable

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Même si chaque personne doit vérifier les meilleurs ou les pires aliments, ce qui est sûr c’est que certains, comme les fruits et légumes, sont davantage recommandés pour les personnes souffrant de ce problème.

    Cette maladie provoque des changements dans le transit intestinal et des douleurs abdominales. Elle peut alterner entre diarrhée et constipation et est plus que liée à l’alimentation.

    C’est pourquoi dans cet article nous vous dirons ce que vous devez manger si vous souffrez du côlon irritable et, bien évidemment, les aliments que vous devrez éviter.

    Qu’est-ce que le côlon irritable ?

    Le nom correct de ce problème est le syndrome de l’intestin irritable et il peut avoir différentes incidences selon l’endroit où nous vivons.

    Par exemple, dans les pays industrialisés il peut directement être lié au stress et à notre alimentation.

    Il peut également être dû à l’humeur, car elle influe sur les sécrétions intestinales. Par exemple, si nous sommes anxieux, en colère ou tristes le corps sécrète davantage de bille.

    Cet élément a pour fonction de digérer les graisses, mais il agit également comme laxatif. C’est pourquoi il peut déboucher sur une diarrhée.

    Il y a encore quelques années, le profil des patients souffrant de côlon irritable correspondait à celui des femmes d’âge moyen qui travaillaient à l’extérieur et qui devaient également s’occuper des enfants.

    Mais désormais le problème affecte des personnes de tous âges et même des jeunes et des plus petits.

    S’il peut être momentané, le syndrome de l’intestin irritable est une maladie chronique qui peut apparaître et disparaître sans prévenir. Il se caractérise essentiellement par une distension abdominale, de la constipation, de la diarrhée et des flatulences.

    Toutefois, il n’est pas si simple à diagnostiquer car il a des symptômes semblables à l’indigestion, par exemple.

    Afin de déterminer qu’il s’agit de ce problème, la douleur abdominale doit apparaître 3 jours par mois pendant 3 mois et être également accompagné d’au moins l’un des signes suivants :

    • Augmentation des symptômes selon la forme ou l’apparence des selles.
    • Apparition des symptômes après les changements dans la fréquence des selles.
    • Amélioration des symptômes après l’évacuation.

    Que faire si je souffre de côlon irritable ?

    Bien que l’alimentation devra être différente pour tous les patients, il existe certaines règles que la majorité des patients atteints du côlon irritable devront suivre :

    Equilibrer la consommation de fibres

    équilibrez la consommation de fibres si vous souffrez du côlon irritable

    • D’une part il faut réduire la consommation de fibres insolubles (venant des aliments complets) pour ne pas contribuer à davantage de déséquilibres du transit intestinal.
    • D’autre part il faut augmenter la consommation de fibres solubles, qui améliorent la production de selles et leur fréquence.

    Eviter les graisses et les sucres

    Les aliments riches en graisse, les sucres raffinés et le fructose (le sucre qui se trouve dans certains fruits) peuvent augmenter les symptômes du côlon irritable.

    Faire attention aux boissons

    buvez beaucoup d'eau si vous souffrez de côlon irritable

    • Le café et le thé doivent être consommés avec modération. Eviter l’alcool au maximum.
    • De la même manière, nous ne pouvons pas oublier les 2 litres d’eau par jour. Cela garantit l’hydratation de tout le corps mais surtout la formation des selles. L’eau ou les infusions aux herbes (comme le tilleul) combattent la constipation.

    Contrôler le stress

    Il est très important de contrôler les préoccupations, les nerfs et l’anxiété. Même si cela peut paraître facile à dire, nous devrions faire notre possible pour ne pas laisser le stress nous gagner.

    Bien souvent il est question d’attitude et de la manière dont nous prenons chaque situation. Ne vous inquiétez pas trop, ne ramenez pas les problèmes professionnels chez vous, prenez du temps pour faire ce que vous aimez et dormez bien.

    Si vous ajoutez à cela une bonne alimentation, en peu de temps vous arriverez à réduire les symptômes du côlon irritable.

    Aliments bons pour le côlon irritable

    consommez de l'avocat si vous souffrez du côlon irritable

    Les habitudes alimentaires sont plus que liées à ce problème. Les facteurs qui affectent le plus sont la fréquence et la quantité de nourriture ingérée.

    C’est pourquoi l’on recommande de manger plus souvent, mais en moindre quantité à chaque fois.

    Par exemple, si avant vous mangiez 3 repas copieux, essayez maintenant de faire 6 petits repas (divisez par moitié chaque ration).

    N’oubliez pas de bien mastiquer chaque bouchée et de manger lentement. Le fait d’être pressé ne fait que générer des gaz et des indigestions. Prenez le temps de manger. Ne terminez pas votre assiette en 5 minutes et ne mangez pas en travaillant.

    Il serait également bon que vous gardiez des horaires réguliers pour vos repas. Cela signifie que vous devez prendre votre petit-déjeuner, votre déjeuner et votre dîner plus ou moins à la même heure tous les jours.

    L’irrégularité dans les habitudes changent le fonctionnement de l’intestin et peuvent provoquer des douleurs et des gênes.

    Nous vous recommandons également de choisir des aliments mous ou écrasés, car ils sont plus faciles à digérer.

    De nombreuses personnes pensent que le côlon irritable est provoqué par la consommation de gluten, mais ce n’est pas le cas. S’il existe bien des patients cœliaques qui souffrent également de problèmes intestinaux, ils ne doivent pas tous éliminer le blé de leur alimentation.

    Pour être sûr, il vaut mieux réaliser une étude médicale.

    Parmi les aliments acceptés par l’intestin irritable nous trouvons :

    Les fruits

    Nous vous de les consommer sans peau et dans la mesure du possible, bouillis ou cuits.

    Vous pouvez manger des pommes, de la pastèque, des poires, des pêches et de la banane.

    Les légumes

    Cuisinez-les à la vapeur afin qu’ils ne perdent pas leurs nutriments et qu’ils soient plus faciles à digérer. Les meilleurs sont la laitue, les asperges, l’oignon et l’ail.

    Légumineuses et céréales

    consommez des légumineuses et des céréales complètes si vous souffrez du côlon irritable

    Les petits pois, les lentilles et le soja peuvent être de grands alliés si vous souffrez de colon irritable.

    Pour les céréales nous vous recommandons le blé, le seigle et l’orge.

    Produits laitiers

    Si vous êtes intolérant au lactose, vous pouvez consommer des laits végétaux. Sinon, les produits laitiers écrémés sont bons.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Qu’est-ce que la maladie de Crohn ?

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Il y a quelques mois à peine fut célébré la « Journée Mondiale de la Maladie Inflammatoire Intestinale » (EII).

    On estime qu’au niveau mondial, il y a près de 5 millions de personnes touchées par ces maladies affaiblissantes et qui affectent énormément le mode de vie.

    C’est pourquoi il faut donner davantage de visibilité à ce problème et de fait, la prise de conscience doit être le point de départ grâce auquel la science, les institutions médicales et les politiques sociales soient capables de se réunir pour offrir de nouveaux traitements et espoirs à cette partie de la population.

    Pour les personnes qui n’ont jamais entendu parler de la maladie de Crohn, il faut préciser que nous sommes face à l’un des problèmes les plus complexes et les plus méconnus.

    • Il s’agit d’une maladie inflammatoire chronique qui peut affecter n’importe quelle partie du système gastro-intestinal, c’est-à-dire, de la bouche à l’anus.
    • Elle affecte fréquemment l’extrémité inférieure de l’intestin grêle et le début du gros intestin.
    • On ignore ses origines et ses éléments déclencheurs, mais elle est liée aux problèmes génétiques qui affectent les fonctions immunitaires, et provoquent une réaction inflammatoire en réponse à la présence de certains agents nocifs.

    Facteurs liés à la maladie de Crohn

    Cette pathologie fait partie de ce que l’on appelle les maladies auto-immunes, car le système immunitaire attaque par erreur l’organisme, en l’enflammant et en générant des dommages dans les tissus sains du système digestif.

    Ce gonflement, qui survient de manière permanente lorsqu’il n’est pas traité, fait grossir les parois intestinales et affecte les fonctions gastro-intestinales.

    Parmi les facteurs qui influent sur son apparition nous trouvons :

    • Les gênes et antécédents familiaux : il existe jusqu’à 10 fois plus de probabilités d’en souffrir si un proche au premier degré en souffre également.
    • Facteurs environnementaux : la consommation de tabac et les toxines dérivées de la pollution sont liées à la tendance à souffrir de cette maladie.
    • Virus et bactéries : la croissance excessive de virus et de bactéries dans le système digestif active les mécanismes du système immunitaire.
    • Alimentation : l’organisme n’est pas capable, ou a des difficultés à digérer, certains types de protéines provenant des aliments.
    • Age : bien qu’elle peut survenir à n’importe quel âge, elle est souvent diagnostiquée chez les personnes entre 15 et 35 ans.

    Symptômes de la maladie de Crohn

    Les symptômes de cette maladie peuvent varier chez chaque patient, en fonction de la partie du tube digestif atteinte.

    Ils varient de légers à graves et, bien qu’ils sont parfois permanents, ils apparaissent et disparaissent en général avec des périodes plus aigues que d’autres.

    Une personne peut souffrir de la maladie de Crohn si elle perçoit :

    • Des douleurs abdominales fortes
    • Une sensation de fatigue
    • Perte d’appétit
    • Sensation de déféquer, même quand les intestins sont vides
    • Diarrhée aqueuse, parfois avec des saignements
    • Perte de poids
    • Fièvre

    Bien entendu ils doivent être analysés par un-e spécialiste, car ils sont également liés à d’autres problèmes digestifs.

    De plus, dans certains cas les symptômes peuvent également inclure :

    • Des périodes de constipation
    • Une inflammation et des douleurs articulaires
    • Des ulcères buccaux
    • Des saignements rectaux
    • Des protubérances rouges et sensibles sous la peau
    • Des ulcères cutanés

    Examens et diagnostics

    les douleurs abdominales de la maladie de Crohn

    En plus de l’évaluation des symptômes par le médecin, le diagnostique de la maladie de Crohn s’établit grâce à des examens du type :

    • Lavement opaque ou transit oeso-gastro-duodénal
    • Colonoscopie ou sigmoïdoscopie
    • Tomographie de l’abdomen
    • Endoscopie par capsule
    • Résonance magnétique (RM) de l’abdomen
    • Entéroscopie

    Traitement de la maladie de Crohn

    Même si dans de nombreux cas la maladie de Crohn amène les patients vers une chirurgie pendant laquelle on extrait la partie malade de l’intestin, la majorité des patients arrivent à la surmonter grâce à quelques médicaments et à un changement de mode de vie.

    Médicaments

    • Les traitements pharmaceutiques incluent des anti diarrhéiques et des anti-inflammatoires.
    • Les suppléments en fibre aident à réduire la sévérité des symptômes.
    • La paracétamol peut réduire les douleurs légères. On ne doit pas consommer d’aspirine, d’ibuprofène ou de naproxène, car ils empirent les symptômes.

    Alimentation

    Une alimentation équilibrée, contrôlée en calories et qui inclut tous les groupes de nutriments peut améliorer la qualité de vie des patients souffrant de ce problème.

    En général, on recommande :

    • Eviter la consommation d’aliments transformés, des fritures et des produits raffinés
    • Augmenter la consommation d’eau
    • Eviter la consommation excessive d’aliments riches en fibres
    • Limiter la consommation de produits laitiers si vous souffrez d’intolérances
    • Réduire la consommation d’aliments qui provoquent des gaz comme les condiments et les légumes

    Comment puis-je collaborer avec l’initiative de Janssen en soutien à la maladie de Crohn ?

    La campagne de Janssen a pour but de nous faire prendre conscience de ces réalités aussi intimes que difficile que nous pouvons voir à travers les vidéos testimoniales réalisées avec de vrais patients, associés à l’ACCU Espagne, la Confédération des Associations des Malades de Crohn et de la Colique Ulcéreuse de notre pays.

    La compagnie pharmaceutique, leader en innovation en Immunologie, recherche également à renforcer son accord sur des initiatives qui améliorent la qualité de vie des patients atteints par la Maladie Inflammatoire (EII).

    Nous pouvons tous le faire, nous pouvons tous donner davantage de visibilité à la « Maladie Inflammatoire Intestinale » (EII) à travers le hashtag #1minutepourEII. Prendre une minute de notre temps pour eux représente beaucoup.

    Si nous promouvons un peu plus ce type d’initiatives, nous aiderons également les institutions à investir davantage de fonds, à faciliter le diagnostic précoce et à permettre à ces personnes de faire un peu plus face à leur charges sociales et psychologiques…

    Mettons notre grain de sable, partageons cette information et offrons un souffle d’espoir aux milliers de personnes qui souffrent en silence de cette maladie chronique, douloureuse et qui ont tant besoin de la science pour avoir une meilleure qualité de vie.

     

     

     

     

     

     

    Source : amelioretasante.com

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • UN "DÎNER" EN TÊTE-À-TÊTE AVEC DIEU

     
     
    "Laissez Dieu vous transformer et vous donner une intelligence nouvelle."Romains 12.2
     
     

    André Maurois aimait à dire : "Si vous créez un acte, vous créez une habitude. Si vous créez une habitude, vous créez un caractère. Si vous créez un caractère, vous créez un destin." D.L. Moody, grand évangéliste du 19ème siècle, disait également: "Si je m'occupe de mon caractère, ma réputation s'occupera d'elle-même."

    "Les habitudes deviennent des destins. "Comment vivre une transformation durable et profonde dans votre caractère ? Simplement en passant du temps avec Dieu chaque jour, en sondant les Saintes Ecritures qui rendent sages et en priant pour que ces vérités lues deviennent réalité dans votre marche quotidienne. 

    Choisissez un endroit calme et privé où vous pourrez "dîner" avec Dieu en tête-à-tête. Cela peut se faire chez vous ou lors d'une ballade ou encore dans votre voiture quand vous êtes stationné dans un endroit isolé. Bref, choisissez un lieu pour rencontrer le Seigneur loin de toute agitation.

    Lisez un passage de la Parole, quelques versets seulement et méditez-le dans un esprit de prière. Demandez à Dieu que ces versets deviennent concrets dans votre vie... Essayez d'avoir une lecture suivie, selon le programme de la Bible en un an par exemple.

    Pendant ces moments, Dieu vous révèlera ce qui n'est pas à sa gloire dans votre vie : mais que cela ne soit pas une source de culpabilité mais au contraire que cela vous encourage à prendre des victoires. Si vous restez dans la culpabilité, vous vous découragerez très vite. Apprenez à vous appuyer sur Dieu et non sur votre propre force. Lui seul est digne !

    N'oubliez pas : "Les habitudes deviennent des destins".

    Une décision pour aujourd'hui 

    Décidez de prendre quotidiennement un temps pour rencontrer Dieu. 

     
    Un "dîner" en tête-à-tête avec Dieu
     
    Source : topchretien.com
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire