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    LE MYTHE DU LAIT

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    Le lait fait énormément parler de lui depuis quelques temps et ce n’est certainement pas pour rien ! La médecine se rend compte qu’il cause beaucoup de troubles divers et variés : Allergies, indigestion, acné…

     

    De plus il a été constaté que plus de 75% de la population mondiale est intolérante au lait de vache ! Mais pourquoi selon vous ?

    Tout d’abord savez-vous que l’homme est le seul être vivant qui ingurgite le lait d’une autre espèce que la sienne! La vache nourrit le veau avec son propre lait et   celui-ci stoppera tout naturellement par lui-même de boire le lait de sa mère quand il sera prêt!

    Ce type de lait est conçu pour décupler considérablement le poids de naissance du Veau en un an, c’est pour cela qu’il est beaucoup trop riche pour nous !

     

    Mais alors pourquoi buvons-nous du lait de vache ?

    Boire le lait de notre mère à la naissance est une chose complètement normale et même vitale car en fin de compte le lait maternel n’est rien d’autre que la continuation de la fonction du placenta. Le placenta a un rôle nutritif et de mise en place d’information qui participe à l’embryogenèse, plus clairement cela veut dire que le lait maternel envoie au nouveau né de l’information pour sa croissance ! Il stimule son système immunitaire, il apporte beaucoup de nutriments énergétiques, il équilibre le système nerveux  par ses acides gras insaturés et sans l’oublier, il lie un lien d’amour unique entre une mère et son enfant !

    Jusqu’à là tout est parfaitement normal et même équilibré ! Ce qui l’est moins c’est de troquer le lait maternel contre du lait de vache et ce assez rapidement. Cela se produit  pour des raisons pratiques pour la mère qui est éreintée d’allaiter car dans l’idéal l’allaitement devrait durer 3 ans, ce qui est une période assez longue et inimaginable pour certaines mères ! Il faut savoir que réellement l’allaitement doit durer au minimum six mois, à partir d’ici le sevrage se fera naturellement en douceur en introduisant progressivement fruits, légumes, oléagineux, et protéines…

    Dans un autre temps l’humain décide de boire du lait pour ses besoins en calcium qui selon la pensée commune n’est trouvable qu’en quantité limitée dans les produits laitiers ! Un scandale quand on sait qu’une tête de brocolis par jour peut fournir les besoins recommandés en calcium pour une personne d’âge moyen ! Les végétaux suffisent amplement à satisfaire nos besoins (Choux de Bruxelles, chou frisé, chou chinois, brocolis), légumineuses, algues, …

    Ce qui est totalement fou c’est que malgré ce que l’on pense, le calcium des laitages est très peu « biodisponible » ce qui veut dire qu’il est peu absorbé, à hauteur de 32% seulement alors que pour certains légumes cela peut aller jusqu’à 65%.
    Par exemple les taux d’assimilation du calcium de certains légumes sont remarquables !

    • Chou=65%
    • Brocoli=61.3%
    • Chou Frisé=49.3%
    • Bette chinoise=49.3%
    • Chou de Bruxelles=64%

    Atteindre un apport suffisant en calcium quotidiennement est d’une facilité déconcertante, il suffit simplement de varier nos assiettes et d’adopter une alimentation équilibrée comprenant beaucoup de fruits et de légumes chaque jour !

    En ce qui concerne le calcium du lait de vache, il ne peut pas nous convenir et encore moins nous faire du bien car ses protéines sont censées nous transmettre une information nécessaire pour l’élaboration de l’osséine (filet sur cartilage pour retenir les minéraux) mais elles n’en seront jamais capables car elles ne sont pas adaptées à notre espèce, mais uniquement à celles du veau ! Ces protéines sont donc totalement inappropriées pour notre espèce ! En réalité boire du lait pour augmenter son taux de calcium aura tout bonnement l’effet contraire car la concentration de calcium dans le sang augmentera d’un coups et le corps ne comprendra pas ce choc ce pourquoi il essaiera de revenir à un niveau normal en excrétant le calcium par les reins dans l’urine.

    Voilà pourquoi le bébé, l’enfant ou l’adulte auront très peu d’osséine et de ce fait retiendront mal les minéraux entrainant une déminéralisation progressive.

    Evidemment l’Industrie laitière ne pourra jamais dire que le lait est néfaste pour votre santé, bien au contraire ! Depuis les années 20, les industriels du lait n’ont pas cessé de nous faire croire que le lait était exceptionnellement bénéfique pour nous mais ce qu’il ne faut pas oublier c’est que l’industrie laitière a toujours eu le contrôle sur l’ensemble des informations concernant la santé publique ! L’Industrie laitière a su s’infiltrer dans la plupart des organismes officiels de recherche et/ou de communication dans le domaine de l’alimentation et de la santé ! De plus cette propagande n’est pas pour déranger une industrie multimilliardaire en dollars qui serait déçue de voir ses profits baisser!

    La propagande fût si grande et si intense qu’aujourd’hui il est vraiment difficile de prouver le contraire aux accros persuadés que ce qu’ils ont toujours entendu ne peut être faux ! On appelle cela un mythe et rien d’autre !

    Si vous saviez à quel point la corruption est présente dans ce domaine, vous seriez certainement plus qu’abasourdis !

    Par exemple l’industrie laitière a fondé son propre « conseil scientifique ! Par exemple le « CERIN » (Centre de recherche et d’information Nutritionnelle), avec un nom si officiel, c’est difficile de se douter de ce qui se trame derrière et il en devient plus facile de tromper journalistes, commission Européenne et j’en passe…

    Autre exemple incroyable ! Savez vous que l’industrie laitière finance une large part du budget de « l’institut français pour la nutrition » IFN.

    Vous en voulez encore ! En 2005 par exemple sur les 29 membres du comité d’experts en nutrition humaine de l ‘AFSSA (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments) et bien 20 d’entre eux avaient des liens de collaboration avec l’industrie laitière, 13 travaillaient avec Danone et le président même siégeait au conseil scientifique de Nestlé France ! Très crédible tout ça !

    Ah vous en voulez plus! La direction du Programme National Nutrition Santé (PNNS), une émanation des ministères de la santé, de l’éducation nationale et de l’agriculture a été confiée en 1999 à un médecin siégeant à l’institut Candia. Bravo, quelle finesse !

    Les lobbyistes et autres costumes aux manches sâles ont beau nous dire que le lait est la seule possibilité pour bénéficier de suffisamment de calcium et nous permettre d’avoir des os en santé mais  comment peuvent-ils alors expliquer que les asiatiques qui a l’origine ne buvaient pas de lait de vache ont commencé à souffrir d’ostéoporose et d’autres problèmes osseux dès lors qu’ ils ont adopté le régime américain ! Comment expliquer aussi que 25 millions d’Américains développent de l’ostéoporose eux qui consomment tant de lait de vaches ?

    N’y a-t-il pas un malaise quelque part ? Ceux qui boivent beaucoup de lait souffrent d’ostéoporose et ceux qui n’en boivent pas n’ont aucun problème de ce genre ! Es-ce une vaste blague ? C’est un acte criminel que de continuer à faire croire à l’humain que le lait de vache est bénéfique pour lui!
    Le Lait de vache est vraiment néfaste pour votre santé quoi qu’on en dise et quoi qu’on puisse entendre!  Il est temps de se faire une raison !

    Beaucoup d’études et de recherches prouvent que le lait de vache augmente les risques de cancers, d’ostéoporose et de maladies cardiovasculaires !

    Mais pourquoi le lait est-il si mauvais ?

    ● Tout d’abord vu la demande, il faut produire en grosse quantité! De ce fait les vaches ont été transformées en usine à lait pour produire jusqu’à 10.000  litres de lait par an! Un rythme contre nature il va sans dire ! A force d’être surmenées et maltraitées, elles développent des infections à répétition qu’on appelle mammites ou mastite qui libèrent du pus (cellules somatiques) et des bactéries qui s’écoulent tout doucement avec le lait jusque dans les belles bouteilles que vous n’achèterez plus jamais de la même manière j’en suis certaine, enfin je l’espère !

    ● De plus, considérant l’augmentation continuelle des maladies et infections, l’humain leur administrera de grandes doses d’antibiotiques, d’anti parasitaires, d’anti inflammatoires… Et tout ça dans l’unique but de les faire tenir le plus longtemps possible alors évidemment tout ce cocktail de molécules chimiques se retrouvera dans votre lait. Donc plus votre consommation sera grande et plus vous  risquerez  une possible dépression de votre système immunitaire !

    ● Il y’a aussi une fameuse protéine, la Caséine (qui représente 80% des protéines du lait de vache) que l’on retrouve donc à profusion et qui crée beaucoup de dommages dans le corps humain tout comme la protéine du gluten avec le blé et d’autres céréales. Ces protéines peuvent déclencher une réponse auto-immune par une défaillance d’une enzyme incapable de faire son travail de digestion ce qui laissera un résidu non digéré reconnu directement par le système comme un VIRUS. Ces fragments non digérés (Peptides) ressemblent à des drogues du genre opium (Héroïne, Morphine, Codéine…) qui essaieront d’imiter les endorphines pour provoquer des changements de perception, d’humeur et de comportement. Voilà pourquoi tant de gens sont totalement dépendants des produits laitiers et du gluten ! C’est une Vraie Drogue !

    ● Il est aussi important de savoir que dans le lait de vache, nous trouvons du lactose, qui se compose en deux sucres simples : le glucose et le galactose. Le problème avec celui-ci vient du fait que certaines personnes ne possèdent pas l’enzyme capable de séparer ces sucres pour qu’ils puissent être absorbés dans le sang ! La flore intestinale doit alors consommer ce qui n’a pas été digéré et cela peut causer beaucoup de problèmes intestinaux…

    ● Il y’a aussi le problème de l’homogénéisation, c’est à dire l’égalisation des graisses dans le lait, pour que la crème et le lait ne fassent plus qu’un. Ce procédé provoque une infiltration d’air qui s’immisce dans le lait transformant les graisses en une substance grasse oxydée qui causera alors une grosse production de radicaux libres très nuisibles pour le corps humain.

    ● S’ajoutant à ceci, la pasteurisation et la stérilisation qui utilisent des températures trop élevées pouvant aller au dessus de 100 degrés Celsius! Ce qui n’hésitera pas à tuer toutes les enzymes pour vous laisser en fin de compte le pire du pire!

    Le lait détruit petit à petit votre flore intestinale en détruisant son équilibre et nous savons tous qu’une bonne santé démarre dans cette merveilleuse partie du corps !

    En fin de compte le fameux Lait tant acclamé n’est qu’un concentré de graisses, de cholestérol, d’antibiotiques, d’hormones, d’OGM, de pesticides, de bactéries et malheureusement ce n’est pas glorieux mais aussi de pus… Une vraie bombe à retardement causant divers troubles, maux et problèmes !

    Nombreuses sont les études qui relatent ce que l’ingestion de lait pourrait causer :

    • Flatulences et intolérance au lactose
    • Cancers
    • Cancer de la prostate
    • infection des oreilles
    • Obésité
    • Acné
    • Cancer du Sein
    • Arthrites
    • Infarctus et maladies cardiovasculaires
    • Diabètes
    • Allergies
    • Ostéoporose
    • etc.

    De quoi frissonner et sentir son cœur se serrer, n’est-ce pas ?

    C’est affligeant de voir à quel point il est facile de se faire berner et de faire croire n’importe quoi aux gens qui ne recherchent que le meilleur pour eux !

    Alors dès maintenant si ce n’est pas déjà fait, je vous en supplie, bannissez le lait de vache de votre maison, de votre vie et celles de vos amis, familles et proches… Adoptez le lait végétal fait maison qui est bien meilleur pour votre santé, délicieux et très simple à réaliser !

    Une petite vidéo sur les différentes manières de réaliser des laits végétaux vous ferait-elle plaisir ?

    De plus, si ce sujet vous intéresse, si vous voulez en savoir plus, voir les différents rapports et études sur le lait de vache, je vous recommande grandement « Laits, mensonges et propagande » ou « Vache a lait » ou encore « Le rapport Campbell » (The China study)

     

     

    Source : Echovivant
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  • sante-nutrition.org

    10 raisons pour lesquelles les appareils portables

    devraient être interdits pour les enfants de moins de 12 ans

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    L’Académie Américaine de Pédiatrie et la Société Canadienne de Pédiatrie ont déclaré que les nourrissons âgés de 0 à 2 ans ne devraient avoir aucune exposition à la technologie, que les 3-5 ans soient limités à une heure par jour, et les 6-18 ans soient limités à 2 heures par jour (AAP 2001/13, cps 2010). Les enfants et les jeunes emploient 4-5 fois la quantité recommandée de technologie, avec des conséquences graves et souvent potentiellement mortelles (Kaiser Foundation 2010, Active Healthy Kids Canada 2012). Les appareils portables (téléphones portables, tablettes, jeux électroniques) ont considérablement augmenté l’accessibilité et l’utilisation de la technologie, particulièrement par les enfants en très bas âge (Common Sense Media, 2013). En tant qu’ergothérapiste pédiatrique, j’invite les parents, les professeurs et les gouvernements à interdire l’utilisation de tous les appareils portables pour les enfants de moins de 12 ans. Voici les 10 raisons basées sur des recherches de cette interdiction. Consultez s’il vous plait zonein.ca pour voir la fiche de recherche référencée de Zone’in.

     

    1. Croissance rapide du cerveau

    Entre 0 et 2 ans, le cerveau du nourrisson triple de taille, et continue dans un état de développement rapide jusqu’à 21 ans (Christakis 2011). Le développement précoce du cerveau est déterminé par les stimulus environnementaux, ou leur absence. La stimulation d’un cerveau en développement causé par une surexposition aux technologies (téléphones portables, Internet, iPads, TV), s’est montrée être associée au déficit de l’attention, aux retards cognitifs, aux troubles de l’apprentissage, à une impulsivité accrue et à une diminution de la capacité à s’auto-réguler, ex. les accès de colère (Small 2008, pagini 2010).

    L’utilisation de la technologie limite les mouvements, ce qui peut entrainer un retard de développement. Un enfant sur trois entrent maintenant à l’école avec un retard de développement, ce qui impacte négativement l’alphabétisation et la réussite scolaire (HELP EDI Maps 2013). Le mouvement améliore l’attention et la capacité d’apprentissage (Ratey 2008). L’utilisation de la technologie pour les moins de 12 ans est préjudiciable au développement et à l’apprentissage de l’enfant (Rowan 2010).

     

    2. Retard de développement

    L’utilisation de la technologie limite les mouvements, ce qui peut entrainer un retard de développement. Un enfant sur trois entrent maintenant à l’école avec un retard de développement, ce qui impacte négativement l’alphabétisation et la réussite scolaire (HELP EDI Maps 2013). Le mouvement améliore l’attention et la capacité d’apprentissage (Ratey 2008). L’utilisation de la technologie pour les moins de 12 ans est préjudiciable au développement et à l’apprentissage de l’enfant (Rowan 2010).

     

    3. Epidémie d’obésité

    L’utilisation de la télévision et des jeux vidéo est en corrélation avec l’augmentation de l’obésité (Tremblay, 2005). L’incidence d’obésité augmente de 30% chez les  enfants qui sont autorisés à avoir un appareil dans leurs chambres (Feng 2011). Un enfant canadien sur quatre et un enfant américain sur trois est obèse (Tremblay, 2011). 30 % des enfants atteints d’obésité développeront le diabète, et les personnes obèses courent un risque plus élevé d’accident vasculaire cérébral et de crise cardiaque précoces, raccourcissant sérieusement l’espérance de vie (Center for Disease Control and Prevention 2010). En grande partie due à l’obésité, les enfants du XXIe siècle pourraient être la première génération dont beaucoup ne vivront pas plus longtemps que leurs parents (Professor Andrew Prentice, BBC News 2002).

    4. Manque de sommeil

    60 % des parents ne supervisent pas l’utilisation de la technologie de leur enfant, et 75 % des enfants sont autorisés à utiliser le technologie dans leurs chambres (Kaiser Foundation 2010). 75 % des enfants âgés de 9 et 10 ans manquent de sommeil au point que leurs notes sont négativement impactées (Boston College 2012).

    5. Maladie mentale

    La surutilisation de la technologie est impliquée comme facteur de causalité dans la hausse, chez l’enfant, des taux de dépression, d’anxiété, de trouble de l’attachement, de déficit de l’attention, d’autisme, de trouble bipolaire, de psychose et de comportement problématique de l’enfant (Bristol University 2010, Mentzoni 2011, Shin 2011, Liberatore 2011, Robinson 2008). Un enfant canadien sur six ont une maladie mentale diagnostiquée, beaucoup d’entre eux sont sous médicaments psychotropes dangereux (Waddell, 2007).

    6. Agressivité

    Les contenus violents des médias peuvent provoquer l’agressivité des enfants (Anderson, 2007). Les jeunes enfants sont plus exposés à l’incidence croissante de la violence physique et sexuelle dans les médias d’aujourd’hui. « Grand Theft Auto V » dépeint le sexe explicite, le meurtre, le viol, la torture et la mutilation, comme le font de nombreux films et émissions de télévision. Les États-Unis ont classés la violence dans les médias comme un risque pour la santé publique en raison de l’impact causal sur l’agressivité de l’enfant (Huesmann, 2007). Les médias rapportent une augmentation de l’utilisation des moyens de contention et des chambres d’isolement avec des enfants qui présentent de l’agressivité incontrôlée.

    7. Démence numérique

    Le contenu multimédia haut débit peut contribuer au déficit de l’attention, ainsi qu’à la diminution de la concentration et de la mémoire, du au raccourcissement des voies neuronales du cortex frontal du cerveau (Christakis 2004, Small 2008). Les enfants qui ne peuvent pas se concentrer ne peuvent pas apprendre.

    8. Addictions

    Alors que  les parents s’attachent de plus en plus  à la technologie, ils détachent de leurs enfants. En l’absence d’attachement parental, les enfants détachés peuvent s’attacher aux appareils, ce qui peut conduire à l’addiction (Rowan 2010). Un enfant sur 11 âgés de 8 à 18 ans sont accros à la technologie (Gentile 2009).

    9. Emission de rayonnements

    En mai 2011, l’Organisation Mondiale de la Santé a classé les téléphones portables (et autres appareils sans fil) comme un risque de catégorie 2B (cancérigène possible) dû à l’émission de rayonnement (OMS 2011). James McNamee avec Santé Canada en octobre 2011 a émis une mise en garde de prudence indiquant « les enfants sont plus sensibles aux divers agents que les adultes étant donné que leurs cerveaux et leurs systèmes immunitaires sont encore en développement, donc on ne peut pas dire que le risque serait égal pour un petit adulte que pour un enfant. » (Globe and Mail 2011). En décembre 2013, le Dr. Anthony Miller de l’école de santé publique de Toronto recommande en se basant sur de nouvelles recherches, que l’exposition aux radiofréquences devrait être reclassifié comme un 2A (cancérigène probable), non pas un 2B (cancérigène possible). L’académie américaine de pédiatrie a demandé un réexamen des émissions de rayonnements électromagnétiques provenant d’appareils technologiques, citant trois raisons concernant l’impact sur les enfants  (AAP 2013).

    10. Non durable

    Les façons dont les enfants sont élevés et éduqués avec la technologie ne sont plus durables (Rowan, 2010). Les enfants sont notre avenir, mais il n’y a pas d’avenir pour les enfants qui abusent de la technologie. Une approche en équipe est nécessaire et urgente afin de réduire l’utilisation des technologies par les enfants.

     

    Cris Rowan

    Ergothérapeute pédiatrique, biologiste, conférencière, auteur

    Contactez s’il vous plaît Cris Rowan à info@zonein.ca pour plus d’informations.

     

     

    Sources:

    Huffington Post

    Zone’in

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  • vivreaujourdhui.com

    COMMENT CELA S'APPELLE-T-IL ?

     
     
    30 Avril 2015
     
     

     

    Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent ; pleurez avec ceux qui pleurent. Ayez les mêmes sentiments les uns envers les autres.
    Romains 12.15-16

    Paul écrivait aux Philippiens : Rendez ma joie parfaite, ayant un même sentiment, un même amour, une même âme, une même pensée1. Avoir les mêmes sentiments, c’est partager les joies et les peines. S’il s’agit de peines, ce partage s’appelle “compassion”. Quel nom y donnera-t-on quand il s’agit des joies ? Et bien, sans doute, n’y en-a-t-il pas d’autre que “amour”.
    Cette pensée est fort bien résumée par ces mots de Michel Quoist : « Le jour où la joie des autres devient ta joie, le jour où leur souffrance devient ta souffrance, tu peux dire que tu aimes. »
    Je suis tenté de penser que se réjouir avec ceux qui se réjouissent est peut-être plus difficile que de pleurer avec ceux qui pleurent, même si les deux découlent d’une même source. Car pour se réjouir des joies d’autrui, il faut se détacher de ce qui, en notre vieille nature, se traduit en envie ou jalousie. N’est-ce pas d’autant plus difficile quand l’autre se réjouit d’une “chance”, d’une reconnaissance, d’une attention qui nous sont refusées alors qu’elles nous paraissent méritées ?
    C’est là aussi un aspect de l’amour que je ne pourrai vivre qu’en le puisant en Jésus, le parfait modèle, mais surtout le seul à pouvoir me transformer à son image.

    Richard Doulière

    1 Philippiens 2.2

     

    COMMENT CELA S'APPELLE-T-IL ?

     

    Lettre aux Romains 12. 9-16 : "Que votre amour soit vrai. Détestez le mal, attachez-vous au bien. 10 Aimez-vous de tout votre cœur comme des frères et sœurs chrétiens. Soyez toujours les premiers à vous respecter les uns les autres. 11 Servez le Seigneur activement, sans paresse et de tout votre cœur. 12 Soyez dans la joie à cause de votre espérance. Restez patients dans le malheur, continuez à prier fidèlement. 13 Aidez les chrétiens qui en ont besoin, recevez bien ceux qui viennent chez vous.

    14 Souhaitez du bien à ceux qui vous font souffrir, souhaitez du bien et non du mal. 15 Soyez dans la joie avec ceux qui sont dans la joie, pleurez avec ceux qui pleurent. 16 Soyez bien d’accord entre vous. Ne cherchez pas de grandes choses, mais laissez-vous attirer par ce qui est simple. Ne vous prenez pas pour des sages."
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  • TÉMOIGNAGE

    sante-nutrition.org

     

    Un homme guérit des cancers de la prostate et du côlon

    stade 3 avec l’alimentation crue

     

    alimentation-crue

     

     

    Joshua Strayer a été informé par sept spécialistes différents qu’il avait le cancer de la prostate et du côlon de stade 3 et que la chirurgie était nécessaire.(1) Sans cela, dirent-ils au nouveau marié, sa femme pourrait devenir veuve en six petits mois. Ce commentaire a mis en colère Joshua Strayer, qui pesait alors 165 kilos, et en même temps l’a poussé à adopter un mode de vie plus sain. Après avoir entendu ces nouvelles, lui et sa femme se sont engagés dans des recherches en vue d’adopter un mode de vie plus sain.

     

    Aujourd’hui, il s’est guéri du cancer, et il dit que ses médecins étaient si stupéfaits qu’ils ont non seulement vérifié et re-vérifié ses analyses sanguines plusieurs fois, mais maintenant ils soutiennent qu’ils s’étaient trompés de diagnostic. De plus, il a perdu 70 kilos, et pèse maintenant environ 95 kilos.

    Les changements d’alimentation qui ont guéri le cancer de stade 3

    « Je suis physiquement la moitié de la personne que j’étais avant, mais je suis beaucoup plus sur le plan spirituel et tous les autres plans de manière exponentielle « , dit-il au directeur de The Raw Food World (le Monde de l’alimentation crue), Matt Monarch, dans une interview décrivant en détail le parcours qui l’a aidé à développer une relation saine avec la nourriture.(1) Il explique que c’est une relation qui lui donne un sentiment de satiété, sans privation, parce qu’il existe tellement d’options saines et savoureuses.

    Alors, qu’a-t-il fait?

    Plutôt que de suivre les recommandations des médecins sur les chirurgies et autres traitements, Joshua Strayer explique qu’il a détoxiné son corps avec des plantes médicinales, il a éliminé les aliments transformés pour favoriser les aliments entiers et qu’initialement, il restait à l’écart des personnes négatives.(1)

    Aujourd’hui il apprécie son mode de vie végétalien cru, une transition qu’il a choisie après quelques mois d’alimentation végétarienne. Il a également réduit de moitié sa consommation de sel et s’est arrêté de boire des sodas. Joshua Strayer dit qu’il n’a pas regretté. C’est une orientation à laquelle Monarch adhère pleinement, en disant que, pour guérir de maladies dégénératives et améliorer sa santé globale, la « clé est d’éliminer les aliments transformés ».(1)

    Aliments clés qui aident à guérir le cancer

    Les meilleurs aliments qui ont montré leur efficacité pour aider à guérir les cancers comme celui de la prostate incluent le thé vert, le brocoli et les tomates, le curcuma, la grenade, le chou-fleur et les choux de Bruxelles.(2) En fait, il a été montré que manger une combinaison de tomate et de brocoli avait un « effet synergique » pour réduire de façon impressionnante la tumeur de la prostate de 52%.(2)

    L’American Cancer Society remarque que le manque d’exercice, l’excès de poids, et une alimentation riche en viandes rouges transformées peuvent conduire à un risque plus élevé de cancer du côlon (3). En ce qui concerne le cancer de la prostate, l’American Cancer Society indique que les hommes qui mangent des produits laitiers et de faibles quantités de fruits et légumes ont tendance à avoir plus de risques que ceux qui mangent autrement.(4)

    « Si vous y croyez et que vous vous investissez », dit Joshya Strayer, « vous allez être en bonne santé et vous vous guérirez de tout ».(1)


    A propos de l’auteur:
    Michelle Raw est une blogueuse et chercheuse de santé naturelle, qui partage ses passions avec les autres, et utilise l’internet pour ce faire. Elle aborde les sujets d’une façon directe et franche, afin d’aider les gens de tous les horizons à atteindre une santé optimale et le bien-être. Elle a écrit et publié des centaines d’articles sur des sujets tels que l’alimentation crue, et la vie naturelle en général.

     

     

    Sources:
    (1) The Raw Food World
    (2) Natural News
    (3) Cancer.org
    (4) Cancer.org
    Natural News
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  • passeportsante.net

    L'ALIMENTATION MODERNE EST-ELLE TROP ACIDE ?

     

     

    A l’heure de l’abondance alimentaire et de la nourriture industrielle, notre alimentation n’a plus rien à voir avec celle de l’homme paléolithique, durant laquelle il se nourrissait essentiellement d’aliments chassés, pêchés ou cueillis : fruits, légumes, insectes, oléagineux, viandes, poissons… Quel est donc l’impact d’une alimentation qui fait la part belle aux céréales, aux sucres et aux aliments transformés sur notre organisme ? L’alimentation moderne est-elle trop acide ?

     

    Comment l’alimentation perturbe-t-elle l’équilibre acido-basique ?

    Comment l’alimentation perturbe-t-elle l’équilibre acido-basique ?

    L’équilibre acido-basique consiste à maintenir un équilibre entre l’acidité et l’alcalinité du corps. Le sang par exemple est légèrement alcalin, avec un pH de 7,4. Après digestion, absorption et métabolisation des aliments que nous ingérons, la majorité d’entre eux libère soit des acides, soit des bases dans la circulation sanguine. Ce ne sont donc pas les aliments en soi qui influencent notre équilibre acido-basique, mais leur métabolisation, qui peut varier d’un individu à l’autre.

    Au cours de la métabolisation, certains aliments génèrent des substances soit acidifiantes, soit alcalifiantes. Par exemple, les aliments générant des acides forts comme l’acide chlorhydrique, l’acide sulfurique, l’acide phosphorique ou encore l’acide urique ont tendance à acidifier l’organisme. C’est notamment le cas des aliments d’origine animale comme la viande, le poisson ou le fromage, mais aussi des céréales (surtout raffinées), des sucreries, des boissons industrielles et des plats préparés. En revanche, la richesse en minéraux (potassium et magnésium) des fruits et légumes en font des aliments alcalifiants pour la grande majorité d’entre eux.

    Un aliment peut avoir un pH acide ou basique sans nécessairement acidifier ou basifier l’organisme. Un exemple parlant est celui du citron : son goût est très acide et son pH est égal à 2,5, mais il est alcalifiant pour l’organisme. A l’inverse, la viande qui a un pH de 7,1, soit très légèrement basique, est acidifiante.

    Notre alimentation moderne, et notamment l’alimentation occidentale, plus riche en produits animaux, en céréales raffinées, en plats industriels, sucreries, au détriment des fruits et légumes, semble donc effectivement trop acide pour notre organisme.

    A défaut d’être la mesure la plus précise, la mesure du pH urinaire est une façon simple de déterminer si les habitudes alimentaires d’une personne tendent ou non à acidifier son organisme.

     

     

    Quels sont les risques d’une alimentation trop acidifiante ?

    Quels sont les risques d’une alimentation trop acidifiante ?

    Il faut savoir qu’à court terme, ce déséquilibre temporaire est rapidement compensé, notamment par les reins, et n’entraîne pas de problème majeur. Cependant, si l’on a habituellement une alimentation acidifiante, on peut à long terme souffrir d’une acidose chronique de faible niveau et être confronté à plusieurs problèmes de santé. A noter que les acidoses induites par l’alimentation sont très différentes des acidoses métaboliques, qui résultent d’autres facteurs contribuant à l’incapacité de compenser le pH sanguin. Les effets néfastes des acides métaboliques cliniques sont bien mieux connus que ceux d’un régime alimentaire acidifiant.

    Le risque le plus connu est lié à la santé osseuse : une alimentation très acidifiante favoriserait l’ostéoporose. En effet, pour compenser cette acidité, l’organisme puise dans ses réserves alcalines, les minéraux, et notamment le calcium, ce qui tend à fragiliser les os1,2. Cependant, toutes les études ne sont pas d’accord sur ce point3 et cette relation est encore controversée.

    On pense également qu’un terrain acide serait plus propice à l’apparition de cancers et au développement de métastases, mais aucune preuve n’existe encore à ce sujet4.

    Globalement, les risques liés à un excès d’acide dans le corps humain sont encore mal connus, mais dans le doute, il est préférable d’essayer de limiter l’acidité dans le corps.

     

     

    Des recommandations pour rétablir l’équilibre acido-basique

    Des recommandations pour rétablir l’équilibre acido-basique

    De la même façon que l’alimentation perturbe l’équilibre acido-basique, il faut modifier son alimentation pour le restaurer5. Pour prévenir une charge acide trop importante, le Guide alimentaire canadien préconise par exemple de : 

    • privilégier les fruits et les légumes avant tout autre groupe alimentaire
    • privilégier les protéines végétales (graines et légumineuses)
    • consommer une variété de céréales à grains entiers (sarrasin, quinoa, riz brun etc)
    • limiter la consommation de café, d’alcool, de boissons gazeuses, d’aliments raffinés et de viande rouge
    • consommer les produits laitiers avec modération.

    Des écarts à ce type d’alimentation sont évidemment possibles, mais l’essentiel est tout de même de préserver cet équilibre sur la durée. Il peut arriver cependant que l’alimentation ne fournisse pas suffisamment d’aliments basiques, comme pendant les périodes de fête, auquel cas des comprimés alcalifiants existent pour rétablir l’équilibre. Pendant le repas, il est important également de bien mâcher les aliments, car cela les rend plus alcalins6.

    Le stress est acidifiant, c’est pourquoi il est important de le contrôler, voire de le réduire en pratiquant des activités de relaxation.

    Le fait de pratiquer une activité sportive peut enfin aider dans la mesure où l’augmentation du rythme cardiaque permet d’éliminer des acides à travers l’expiration et la transpiration.

     

     

    Samira Leroux

     

     

    Référence

    C. Bonnafous, L’équilibre acido-basique, Grancher, 2015

    1. Macdonald HM, New SA, Fraser WD, et al., Low dietary potassium intakes and high dietary estimates of net endogenous acid production are associated with low bone mineral density in premenopausal women and increased markers of bone resorption in postmenopausal women, Am J Clin Nutr, 2005
    2. Tucker KL, Hannan MT, Kiel DP, The acid-base hypothesis: diet and bone in the Framingham Osteoporosis Study, Eur J Nutr, 2001
    3. Hanley DA, Whiting SJ, Does a high dietary acid content cause bone loss, and can bone loss be prevented with an alkaline diet?, J Clin Densitom, 2013
    4. C. Bonnafous, L’équilibre acido-basique, Grancher, 2015

    5. C. Bonnafous, L’équilibre acido-basique, Grancher, 2015
    6. P. David, L’Equilibre Acido-basique – une notion fondamentale, 2010

     

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  • VOTRE FOIE VOUS PARLE QUAND IL EST MALADE - PARTIE 3

     

    VOTRE FOIE VOUS PARLE QUAND IL EST MALADE - PARTIE 3

     

    VOTRE FOIE VOUS PARLE QUAND IL EST MALADE - PARTIE 3

     

     

    Quand une tumeur bénigne ou cancéreuse m’atteint…

    Moi, le foie, je suis épuisé ! C’est ma dernière lettre, mes ultimes conseils.

    C’est quand le cancer m’atteint que j’ai le plus d’angoisses.

    Heureusement, les chercheurs ont fortement progressé pour me traiter avec toujours plus d’efficacité. Je vais donc essayer d’être optimiste.

    Voyons d’abord les tumeurs bénignes : des « hyperplasies hépatiques » aux « adénomes du foie »

    On observe surtout les hyperplasies nodulaires focales du foie (10 fois plus fréquentes que l'adénome). Ces anomalies, très visibles sur scanner ou IRM de moi-même, s’étendent dans le foie sur de larges surfaces.

    L’hyperplasie nodulaire focale est le plus souvent silencieuse cliniquement mais peut de façon exceptionnelle se manifester par des douleurs, une augmentation de mon volume, voire une hémorragie.

    Son développement serait indépendant des contraceptifs oraux. Elle est pourtant observée essentiellement chez les femmes, démontrant ainsi son hormonodépendance, évidemment aux hormones féminines. Tous les cas observés par celui qui me permet de vous écrire concernaient des femmes ayant consommé la pilule durant de nombreuses années.

    Pourquoi cette distorsion ? Essentiellement parce que les médecins n’interrogent pas les patientes. Ils ne sont pas formés à poser la question essentielle de la durée de la consommation de la ou des pilules ; ils sont formés, formatés pour les prescrire aveuglément, sans être informés quant aux complications [1].

    L’adénome, petite tumeur qui se développe comme un noyau en moi, votre foie, peut apparaître après 7 ans de consommation de pilule. Il est donc recommandé de faire réaliser une échographie hépatique tous les ans à partir de 7 années de consommation de pilule. Mais aucun gynécologue ne le dit, tandis que certains généralistes se montrent plus méfiants, surtout les homéopathes.

    Celui qui me permet de vous écrire ces lettres m’a raconté avoir opéré plusieurs jeunes femmes atteintes de tumeurs bénignes volumineuses du foie, nommées adénomes du foie. Ces tumeurs sont en général assez superficielles dans le tissu du foie et furent découvertes au moins trois fois par rupture de la capsule à ma superficie. Cette rupture est à l’origine d’une grave hémorragie qui impose l’intervention chirurgicale en urgence pour sauver la vie.

    La fréquence des tumeurs bénignes du foie apparaît plus importante en cas de prise de produits contenant, comme œstrogène, du mestranol [2] plus que de l’éthinyl-estradiol seul.

    La lésion est généralement unique (dans 80 % des cas). Plus rarement, il existe deux ou trois zones lésées en moi, votre foie. La lésion est grossièrement arrondie, nodulaire.

    Une fois sur dix, la transformation en cancer

    Ces tumeurs bénignes (adénome du foie) peuvent se transformer une fois sur dix en cancer, du fait du radical éthinyl-CH2 sur le 17e carbone de la molécule que moi, le foie, je n’aime pas. Ce radical chimique m’irrite fortement.

    Ce radical est indispensable car, lors du passage hépatique de la pilule, l’hormone est libérée de son radical pour poursuivre son chemin dans l’organisme et aller bloquer au niveau de l’ovaire le phénomène de l’ovulation. C’est le radical CH2 qui est toxique à la longue pour moi, votre foie, comme le radical méthyl.

    L'adénome de moi-même, votre foie, concerne donc le plus souvent les femmes entre 30 et 40 ans. Sa fréquence a nettement augmenté ces derniers temps à cause de la consommation prolongée, plus de 10 ans en moyenne, de la pilule anticonceptionnelle.

    La révélation de la tumeur bénigne peut demander beaucoup de temps, attendant que la tumeur – en général solitaire – ne devienne volumineuse.

    La découverte peut être fortuite, par exemple lors d’une échographie de l’abdomen pour une autre cause : des douleurs plus moins diffuses, des troubles digestifs.

    Je peux devenir volumineux (hépatomégalie) jusqu’à ce que la capsule de mon adénome se rompe, créant presque simultanément une grande douleur dans la partie haute de l’abdomen et une hémorragie importante qui s’évacue dans le ventre et peut être très grave si l’on n’intervient pas en urgence. Le coup de frein brusque en voiture entraînant une forte pression de la ceinture de sécurité peut être responsable de cette rupture.

    Si la femme est enceinte, l’évolution peut être fatale pour la mère et l’enfant car le début de la perte sanguine par l’hémorragie s’ajoute à la fuite naturelle du sang vers le fœtus.

    Si à l’échographie on observe un flux artériel au centre de la tumeur, il y a déjà grand risque de cancérisation qu’il faudra opérer sans tarder.

    Comme pour les seins soumis à trop d’hormones, on parle donc d’« adénomes ». Ils atteignent surtout les femmes parce qu’ils dépendent des hormones qu’elles consomment sans le savoir.

    On sait donc comment les fabriquer, ces fibro-adénomes, mais chut !, il ne faut pas que les femmes le sachent – les laboratoires le leur cachent soigneusement et la plupart des gynécologues ne disent rien. Ce sont surtout les homéopathes et les naturopathes qui le disent ! Je les en remercie grandement. Ils me protègent.

    Si les femmes savaient [3] ! Elles prendraient la pilule moins longtemps. Elles la proposeraient aux hommes qui restent muets parce qu’ils n’en veulent pas, trop sensibles dans leur sexualité.

    Je vais donc vous expliquer comment, sans le savoir, vous pouvez fabriquer sans vous en rendre compte une tumeur bénigne en moi, votre foie.

    Pour que les hormones de la pilule bloquent les ovaires, les empêchent d’ovuler – c’est-à-dire de libérer au moins un ovule, qui pourrait rencontrer un seul spermatozoïde –, il faut que les comprimés-pilules suivent le trajet suivant : l’estomac, puis l’intestin grêle où ils sont absorbés par le tube digestif pour passer dans le sang, traverser le foie pour se libérer d’un radical chimique toxique nommé « éthynil », pour les spécialistes CH2. C’est ensuite que la double forte dose hormonale – étrangère à l’organisme –, œstrogène et progestatif, passant dans la grande circulation veineuse puis artérielle, parvient à fortes doses aux ovaires pour les mettre au repos.

    Au début de la maladie, c’est l'arrêt au plus tôt de la pilule qui permet la guérison à la fois des petites hyperplasies nodulaires et des petits adénomes.

    Quand le cancer se développe en moi, votre foie

    D’abord, sachez que même si je n’aime pas les cellules cancéreuses, je suis capable de jouer le rôle de filtre afin d’éviter qu’elles ne partent vers les poumons ou le cerveau. Je les fixe, je les garde et, grâce au système de défense immunitaire, je fais tout ce que je peux pour éviter qu’elles ne se développent en moi, votre foie.

    D’emblée je dois donc vous aider à distinguer le cancer qui m’atteint, dit « primitif », du cancer« secondaire », 20 à 50 fois plus fréquent. Celui-là provient d’une autre localisation cancéreuse, présente préalablement sur le tube digestif, estomac ou côlon-rectum le plus souvent, et moins souvent d’autres organes, la peau avec les mélanomes, le poumon, la thyroïde…

    Les cancers primitifs nommés carcinomes hépato-cellulaires (CHC)

    Le nombre de nouveaux cas a fortement augmenté depuis 30 ans, passé de 1800 cas en 1980 à près de 9000 en 2012. Sont atteints surtout des hommes entre 60 et 65 ans.

    Le cancer est la suite logique de la cirrhose, qu’elle soit due à l’alcool, aux séquelles de l’hépatite C ou B, de l’hémochromatose, d’une maladie auto-immune du foie ou des voies biliaires.

    À partir de la cirrhose j’évolue lentement vers le cancer. Il est très rare que le cancer se développe en moi alors que je suis en parfaite santé.

    L’augmentation du nombre de cas de cirrhose d’origine alcoolique ou virale est une des raisons de l’augmentation du nombre de cancers.

    Chez ces personnes, c’est le suivi du marqueur AFP (Alpha Foeto Protéine) qui dépasse les valeurs normales. Il donne l’alerte. Ce peut être une anomalie détectée sur l’échographie ou le scanner du foie quand je suis déjà malade et devenu cirrhotique.

    L’idéal est que l’échographie soit réalisée deux fois par an car elle permet 70 % des diagnostics. Le scanner permet de me visualiser mieux encore.

    Le diagnostic de certitude est fait sur un prélèvement réalisé par ce que l’on appelle une biopsie à l’aiguille fine qui me traverse sans trop de douleurs, et mieux encore si le corps tout entier est anesthésié, en visant sous échographie ou scanner une zone suspecte en moi de parfois quelques centimètres.

    Les résultats du microscope peuvent détecter un état précancéreux, ce qu’on appelle une « dysplasie de bas grade ou de haut grade de malignité », donc proche du cancer. La dysplasie ce n’est pas le cancer mais, en moi, c’est le chemin pour y arriver.

    Quand il y a dégénérescence cancéreuse, les prélèvements biopsiques savent dire l’origine précise des cellules cancéreuses. Elles proviennent des hépatocytes ou des cellules des voies biliaires. L’état des cellules, quand elles sont cancéreuses, est aussi utile pour fixer en partie le pronostic. En effet, ces cellules peuvent vraiment ressembler à celles du foie ; on les dit « différenciées » ou, à l’inverse, très « indifférenciées », ce qui est plus grave car alors elles se renouvellent plus vite.

    Même si la biopsie est négative, ce peut être une erreur. Il peut être utile de la refaire 3 à 6 mois plus tard si la lésion en moi augmente nettement de volume, au delà d’un centimètre.

    Parmi les signes cliniques dominent la fatigue générale, une perte d’appétit, des douleurs de la région où j’habite, parfois un peu de fièvre, un amaigrissement, un début de jaunisse davantage visible au niveau des yeux (conjonctives) que de la peau.

    À un stade plus avancé, je peux devenir énorme (hépatomégalie), l’eau remplit le ventre, les jambes gonflent fortement, le corps auquel j’appartiens ne sait plus que dormir de fatigue et s’éteint comme une bougie en fin de course.

     

    Les traitements proposés dépendent de l’état général du patient et de mon propre état, à moi, votre foie.

    • Les traitements à travers la peau, sous anesthésie générale, par radiofréquence, détruisent par la chaleur en 20 à 30 minutes les lésions de moins de 3 centimètres.

    • L’ablation-résection chirurgicale de la zone malade si le nodule cancéreux n’excède pas 5 centimètres et si le volume du foie restant sans tumeur correspond à au moins 40 % de ma masse globale. À 5 ans, la survie après une telle chirurgie varie entre 30 et 65 %.

    • La transplantation hépatique permet des taux de survie globale de 63 à 80 % et les taux de récidive sont de 4 à 20 %. Le cancer primitif du foie, le CHC, représente 30 % des 1000 remplacements de moi-même par transplantation en France. Mais sachez que ce sont seulement 10 % des cas pour lesquels les médecins discutent la transplantation, pour 3 à 4 % qui y ont droit.

    • Evidemment, il existe des traitements dits palliatifs quand les précédents ne sont pas possibles.

    • Les cancers secondaires, ou cancers métastatiques, représentent les deux tiers des problèmes de tumeur en moi, votre foie.

    Sachez qu’environ un malade sur deux atteint de cancer de la sphère digestive développe un jour ou l’autre des métastases en moi, votre foie.

    Cela n’est pas toujours un mauvais signe, car je fais barrage aux cellules cancéreuses pour qu’elles ne filent pas vers les poumons et même vers le cerveau, ce qui serait beaucoup plus grave.

    L’atteinte de moi-même, votre foie, provient d’une lésion cancéreuse de ce qu’on appelle un cancer primitif.

    Le plus souvent, la lésion cancéreuse primaire s’est développée, quel que soit son volume :

    • Dans le tube digestif ou ses annexes : l’œsophage, l’estomac, le pancréas, le côlon et le rectum.

    • Hors du tube digestif : ce peut être chez les femmes le sein, l’utérus, les ovaires ; chez les hommes la prostate, les testicules ; chez tous le poumon, chez les deux le système urinaire (rein, vessie…), et la peau.

    Je souffre vraiment quand je suis atteint à plus de 80 %. Je deviens gros, les tumeurs qui se développent n’importe où en moi peuvent comprimer les voies biliaires et empêcher la bile de rejoindre le tube digestif. Alors vous devenez jaune. Le fort grossissement du foie devient douloureux car, de surcroît, l’inflammation s’aggrave, la fièvre apparaît, des troubles digestifs sont de plus en plus gênants : nausées et vomissements.

    Les marqueurs dans le sang montent nettement : l’ACE marqueur général du cancer, le CA 19-9 plus spécifique du foie ou le marqueur issu du cancer primaire (CA 15-3 pour le sein, CA 125 pour l’ovaire, SCTA4 pour le col de l’utérus…).

    Les traitements doivent s’adapter à la tumeur primaire car les cellules qui m’envahissent me sont étrangères, elles ne m’appartiennent pas, elles ressemblent à celles d’où elles proviennent.

    Le traitement est évidemment fonction de la nature de la tumeur primaire. Si la lésion est unique en moi, l’exérèse est possible, associée en général à une chimiothérapie ou à une thérapie ciblée faite d’antifacteurs de croissance, pour éviter la récidive après avoir vérifié la sensibilité de la tumeur à ces traitements.

    Vous l’avez compris, je ne suis pour rien dans toutes ces maladies que vous m’infligez. Je fais de mon mieux pour vous protéger.

    Maintenant que vous savez tout ce que je suis capable de faire pour votre santé, je suis sûr que vous ferez tout pour la prévention.

    Je demande déjà à tous ces organes qui peuvent être atteints par le cancer de vous écrire à la fois tout ce en quoi ils vous sont nécessaires, et comment ils peuvent éviter cette maladie. La prévention des cancers est possible. Elle n’est jamais le fait du hasard et il faut le faire savoir au plus grand nombre.

     

    C’était ma 5ème et dernière lettre concernant le FOIE, c’est vous dire son importance. Respectez le, vous ne le regretterez pas !

    Dans ma prochaine lettre c’est votre RATE qui va se présenter.


    Professeur Henri Joyeux

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  • vivreaujourdhui.com

    LE BON CHOIX

     
     
    29 Avril 2015

     
     

    Choisis la vie afin que tu vives !
    Deutéronome 30.19

    « Avons-nous fait le bon choix ? » C’est la question que l’on se pose après avoir acheté une voiture, un meuble ou un objet de valeur… Et parfois l’on rajoute : « J’espère que je ne vais pas le regretter ! » Il m’est arrivé d’avoir mal choisi un objet ou un vêtement puis d’avoir à l’échanger. Mais il est bien plus grave de faire de mauvais choix de vie qui peuvent produire des conséquences désastreuses.
    Dans la lecture proposée, il est question d’une famille qui a fait un choix qui semblait bon, mais dont les conséquences sont devenues douloureuses pour plusieurs personnes. Plus tard pourtant, la vapeur sera inversée par Ruth, une étrangère. Elle a fait le bon choix de placer totalement sa confiance en Dieu pour son avenir et celui de sa belle-mère. Ceci a entraîné une suite et une fin heureuses. Ruth a pris le risque de la foi, ce qui a été le meilleur choix.
    Comme elle, il me faut parfois prendre des risques… Mais je n’ai jamais été déçue lorsque j’ai fait le choix de la foi. C’est pourquoi je veux continuer de faire entièrement confiance à Dieu pour mon avenir et celui de ma famille. Même si je ne vois pas la réalisation de ce que j’espère, je peux compter sur Lui !

    Martine Fleck

     

     

    LE BON CHOIX

    Livre de Ruth 1. 14-22 : "14 Alors les deux jeunes femmes recommencent à pleurer beaucoup. Puis Orpa dit au revoir à sa belle-mère en l’embrassant. Mais Ruth décide de rester avec elle. 15 Noémi dit à Ruth : « Regarde, ta belle-sœur est retournée vers son peuple et vers le dieu de son peuple. Fais comme elle, rentre chez toi ! » 16 Mais Ruth répond : « Ne me force pas à te quitter pour rentrer chez moi. Là où tu iras, j’irai. Là où tu habiteras, j’habiterai. Ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu. 17 Là où tu mourras, je mourrai, et là on m’enterrera. Que le Seigneur me punisse très sévèrement si ce n’est pas la mort qui me sépare de toi ! »

    18Quand Noémi voit que Ruth veut à tout prix venir avec elle, elle n’insiste plus. 19 Les deux femmes marchent ensemble jusqu’à Bethléem. Quand elles arrivent là, tous les habitants sont surpris de les voir. Les femmes du village disent : « Est-ce que c’est Noémi ? » 20 Mais Noémi leur répond : « Ne m’appelez pas Noémi, la femme heureuse. Appelez-moi Mara, la femme amère, car le Tout-Puissant a rendu ma vie très amère. 21 En partant d’ici, j’avais les mains pleines. Le Seigneur me fait revenir les mains vides. Il s’est tourné contre moi, le Tout-Puissant m’a fait du mal. Ne m’appelez donc plus Noémi, la femme heureuse ! » 22 C’est de cette façon que Noémi revient du pays de Moab, avec Ruth, sa belle-fille moabite. Elles arrivent à Bethléem au moment où la récolte de l’orge commence."
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  • medisite.fr

    Infarctus : les 7 aliments à éviter


    En évitant ou en limitant certains aliments, vous pouvez réduire significativement votre risque d'infarctus. La liste.

     

     

    1 : Reblochon, camembert, Roquefort

    Pourquoi : les fromages et le beurre sont des aliments à fortes teneurs en matières grasses saturées*, qui peuvent faire augmenter le mauvaischolestérol. Ils sont également très salés (le reblochon, camembert, les bleus comme le roquefort étant les plus salés) et peuvent favoriser l'hypertension.
    La consommation recommandée : le beurre est à limiter aux tartines du petit-déjeuner (10g). Quant aux fromages, réduisez leur consommation à 1 à 2 portions de 30g/jour.
    Que préférez : les laitages 0% si vous n’en consommez pas 2 fois plus. Sinon, prenez un yaourt au lait entier.
    Pensez-y : attention aux sauces trop riches en matières grasses comme celle au beurre blanc, la mayonnaise...

    * On distingue 2 sortes de cholestérol : le LDL ou mauvais cholestérol qui, en excès, peut s'accumuler contre les parois des artères, provoquant une athérosclérose, l'une des premières causes de l'infarctus ; et le HDL ou bon cholestérol qui récupèrent l'excès de cholestérol dans les organes et le rapporte au foie où il est éliminé.

     

     

    2 : Les saucisses

    Pourquoi : le sel et les mauvaises graisses sont en cause. L'excès de sel peut favoriser l'hypertension artérielle, facteur de risque de l'infarctus, quand les graisses saturées peuvent faire  augmenter le mauvaischolestérol responsable de l'athérosclérose*.
    Les charcuteries les plus grasses à déconseiller :les saucisses de Toulouse, saucisses à cuire, saucisses sèches, les rillettes et les pâtés.
    La consommation recommandée : 1 fois/semaine
    Que préférez : "le jambon ou le bacon, les terrines plutôt que les pâtés, car elles sont plus riches en viandes par rapport aux graisses", explique le Dr de Reynal.

    * On distingue 2 sortes de cholestérol : le LDL ou mauvais cholestérol qui en excès peut s'accumuler contre les parois des artères, provoquant une athérosclérose, l'une des premières causes de l'infarctus ; et le HDL ou bon cholestérol qui récupèrent l'excès de cholestérol dans les organes et le rapporte au foie où il est éliminé.  

     

     

     3 : L'huile de tournesol

    Pourquoi : On distingue les "bonnes" des "mauvaise" graisses* d'après les acides gras qu'elles contiennent. Les graisses riches en acides gras saturés augmentent le mauvais cholestérol, contrairement à celles riches en acides gras insaturés.
    A limiter : les huiles de tournesol, arachide, maïs, palme, coco, coprah, riches en acides gras saturés.

    Que préférez : les huiles végétales comme l'huile d'olive pour la cuisson, de noix, de soja, de noisettes ou de colza pour l'assaisonnement.
    La consommation recommandée : 1 à 2 c. à soupe/jour, et au moins 1 c à soupe par jour d’huile de colza, pour les oméga 3 qu’elle apporte

    * On distingue 2 sortes de cholestérol : le LDL ou mauvais cholestérol qui en excès peut s'accumuler contre les parois des artères, provoquant une athérosclérose, l'une des premières causes de l'infarctus ; et le HDL ou bon cholestérol qui récupèrent l'excès de cholestérol dans les organes et le rapporte au foie où il est éliminé.

     

     

    4 : Les quiches

    Quiches, chips, gâteaux apéritifs, pizzas... Oubliez-les pour vous protéger de l'infarctus ! 
    Pourquoi : lorsqu'une artère coronaire (qui vascularise le myocarde) est obstruée, le sang oxygéné n'arrive plus et les cellules du coeur en souffrance commencent à mourir. L'excès de sel et de graisses saturées que l'on trouve dans les snacks peut contribuer à une hypertension*, facteur de risque de l'infarctus. Cela peut également faire augmenter les dépôts graisseux dans les vaisseaux sanguins, qui peuvent finir par boucher les artères.  
    La consommation recommandée : 1 portion par semaine
    Que préférez : des légumes coupés en morceaux au moment de l'apéritif, des fruits secs non salés...

    * l'hypertension artérielle fragilise le système artériel, entraîne et/ou aggrave l'athérosclérose.

     

     

    5 : La viande rouge

    Selon une étude menée par des chercheurs de la Harvard Medical School en 2012* aux Etats-Unis, les personnes qui mangent de la viande rougequotidiennement (bœuf, porc) sont plus exposées aux infarctus du myocarde.
    Pourquoi : "Ces viandes sont accompagnées de graisses saturées qui sont en cause dans l’hypercholestérolémie et la triglycéridémie élevée**, facteurs de risque de l'infarctus" explique le Dr Béatrice de Reynal, nutritionniste.
    La consommation recommandée : 1 à 2 fois par semaine.
    Que préférez : "Des viandes maigres ou les moins grasses (filet de boeuf, filet mignon non bardé, volailles non grasses..). Limitez-en la consommation à une seule fois par jour."

    * Les scientifiques ont analysé les données de 120 000 personnes, hommes et femmes sur une période courant de 1980 à 2008.
    ** Il s'agit du taux de graisses dans le sang.

     

     

    6 : Les soupes en briques

    Soupes en briques, plats préparés, pâtisserie industrielles...  Tout ceci est mauvais pour votre coeur !
    Pourquoi : Ces préparations que l'on trouve dans les supermarchés sont bien souvent trop riches en graisses et en sel. L'excès de sel pouvant favoriser l'hypertension*, et l'excès de graisses, l'athérosclérose, les principaux facteurs de risque pour les infarctus.
    La consommation recommandée : 1 à 2 fois/semaine.
    Que préférez : préparez vous-même vos plats le plus possible. "Privilégiez une cuisson à la vapeur, ou poêlée sans matière grasse, plutôt qu'au beurre ou en friture, et pensez à varier", explique le Dr de Reynal.
    Sachez-le : le sel et les graisses sont des exhausteurs de goût économiques pour le fabricant qui permettent d'augmenter le poids des produits et leur prix au kilo.

    * l'hypertension artérielle fragilise le système artériel, entraîne et/ou aggrave l'athérosclérose.

     

     

    7 : L'alcool

    Pourquoi : "L’alcool provoque une hypoglycémieréactionnelle qui induit une consommation excessive de calories, induisant un surpoids et des risques de maladies cardiovasculaires, une vasodilatation (augmentation du volume des vaisseaux sanguins), et une perte en eau préjudiciable pour l'organisme", explique le Dr de Reynal.
    La consommation recommandée : 2 à 3 verres/jour pour un homme, 1 à 2 verres pour une femme.
    Que préférez : le vin rouge élevé en fût de chêne qui a des vertus antioxydantes et qui bu modérément protège le cœur et les artères. C'est le fameux paradoxe français !
    Pensez-y : évitez de boire trop de café, de thé, de coca, de "Red Bull"... afin d’empêcher votre cœur de battre trop vite ou de façon irrégulière.

     

    Publié par Florence Massin, journaliste santé et validé par Dr Béatrice de Reynal, nutritionniste

     

     

    Sources

    Remerciements au Dr Béatrice de Reynal, nutritionniste, directrice de l’agence Nutrimarketing et auteur du blog http://miammiam.mabulle.com/

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  • sante-nutrition.org

    La maladie des gencives: Le tueur silencieux,

    8 remèdes maison pour la guérir naturellement

     

    gencives

     

     

    Une alimentation saine peut être la clé dans la lutte contre les maladies des gencives, ce qui est non seulement important pour la santé bucco-dentaire, mais aussi pour la santé générale et le bien-être.

     

    85% des adultes souffrent d’une forme de maladie des gencives, et 50% ont une parodontite modérée à sévère. Parmi les personnes diagnostiquées, seulement 3% cherchent un traitement, toutes les autres s’exposent à de graves problèmes de santé – ainsi, vous risquez fort d’avoir cette maladie… sans le savoir.
    Prenez votre santé -votre vie- en main en vous renseignant sur les infections des gencives.(Référence)

    8 remèdes maison pour la traiter naturellement

    Bicarbonate de soude
    Mélangez du bicarbonate de soude avec suffisamment d’eau pour créer une pâte, et frottez-la le long de vos gencives avec vos doigts.

     

    Aloe Vera
    L’Aloe Vera est également mis en avant dans plusieurs remèdes pour les gencives enflées et sujettes aux saignements. Il suffit de frotter du gel d’aloe vera sur les gencives et de le laisser reposer. Renouvelez ce traitement jusqu’à ce que le problème disparaisse.

     

    Jus de citron
    Les propriétés anti-inflammatoires contenues dans le jus de citron pourraient être très utiles dans le traitement curatif des infections des gencives. En outre, les citrons contiennent de la vitamine C, ce qui peut donner la force suffisante à vos gencives pour éliminer cette affection. Pressez le jus du citron et ajoutez-y un peu de sel. Mélangez bien le sel et le jus de citron jusqu’à ce que ça se transforme en une sorte de pâte. Appliquez cette pâte sur vos dents et laissez-la pendant plusieurs minutes avant de vous gargariser avec de l’eau.

     

    Huile essentielle de tea tree
    L’huile essentielle de tea tree est vraiment un antiseptique exceptionnellement efficace que la nature nous offre. Frottez un peu d’huile essentielle de tea tree sur les gencives pour stopper la maladie des gencives et aussi pour vous aider à soulager les symptômes. Vous pouvez même trouver un dentifrice qui contient de l’huile essentielle de tea tree pour aider à combattre les bactéries lors du brossage.

     

    Huile essentielle de clou de girofle
    L’huile essentielle de clou de girofle est vraiment un ingrédient typique dans un bon nombre d’options naturelles de traitement pour les saignements des gencives. Certains praticiens de santé reconnus proposent de frotter de l’huile de clou de girofle sur les gencives affectées, mais préviennent que l’on peut avoir une sensation de brûlure au début. Cette sensation ne devrait pas durer trop longtemps. (Référence)

     

    Huile de moutarde
    L’huile de moutarde se trouve dans chaque maison. Elle est très communément utilisée pour la cuisson en raison de ses bienfaits pour la santé. Elle est riche en vitamines et a des propriétés antioxydantes. Prenez 1/2 cuillère à café d’huile de moutarde pure dans la paume de la main. Avec votre doigt propre, frottez vos gencives avec cette huile en effectuant un mouvement circulaire léger. Rincez avec de l’eau tiède. Cela va stimuler la circulation sanguine, les gencives et apaiser la douleur. Pour avoir des gencives fortes, faites cela tous les jours.

     

    Curcuma
    Le curcuma est un autre ingrédient courant que l’on trouve dans chaque maison. Sa puissance pour réduire l’inflammation et lutter contre l’infection est bien connue. Prenez une cuillère à café de poudre de curcuma et mélangez avec du miel pour former une pâte lisse et épaisse. Appliquez délicatement sur les gencives et les dents. Laissez pendant 3 minutes. Rincez à l’eau. Les gencives seront apaisées et vont se raffermir. Faites-le chaque soir avant d’aller vous coucher. (Référence)

     

    Huile de noix de coco
    L’huile de noix de coco est un puissant anti-microbien et possède également des propriétés apaisantes et anti-inflammatoires qui peuvent protéger naturellement les gencives des gingivites. Le bain de bouche à l’huile est un traitement efficace pour le recul des gencives. Pour la démarche complète, cliquez ici.

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  • vivreaujourdhui.com

    UN CHANT DANS LA NUIT

     
     
    28 Avril 2015

     
     

    Lui qui garde Israël sans se relâcher, sans dormir, il te gardera, il restera à tes côtés comme une ombre protectrice […], il préservera ta vie, et il te gardera de tout mal.
    Psaume 121.4,7

    Il est quatre heures du matin, la maison d’arrêt est maintenant endormie. Pourtant, dans la solitude de sa cellule, une femme est éveillée. Elle a décidé que cette nuit serait pour elle la dernière.
    Désespérée, elle casse discrètement le bol en verre qu’elle possède afin d’obtenir des débris coupants. Soudain, un oiseau vient se poser sur le bord de la fenêtre entrouverte. Il se met à chanter joyeusement. Son chant vigoureux impulse un vrai sursaut de vie. Pourquoi avait-il choisi cette fenêtre au milieu des mille autres de la prison, et au moment où elle se préparait à commettre son geste fatal ? Pour elle, c’était une évidence : Dieu avait choisi ce moyen pour arrêter ce funeste plan.
    Celui qui nous aime sait tout de nous. Il connaît nos limites et ne sommeille pas.

    Marylène Soler

     

    UN CHANT DANS LA NUIT

     

    Psaume 121 : "Je lève les yeux vers les montagnes. Qui pourra me secourir ? Le secours me vient du Seigneurqui a fait le ciel et la terre. Qu’il t’empêche de glisser, qu’il ne dorme pas, ton gardien ! Non, il ne ferme pas les yeux, il ne dort pas, le gardien d’Israël. Le Seigneur est ton gardien, le Seigneur te protège, il est auprès de toi. Pendant le jour, le soleil ne te frappera pas, pendant la nuit, la lune ne te fera aucun mal. Le Seigneur te protégera de tout mal, il veillera sur ta vie. Le Seigneur veillera sur toi depuis ton départ jusqu’à ton retour, dès maintenant et pour toujours !"

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  • passeportsante.net

     

    Environnement : 9 conseils pour manger responsable

     

     

    Nous faisons face aujourd’hui à un taux de gaspillage alimentaire qui ne cesse d’augmenter. Avec 38 kilos de déchets par personne et par an, il devient indispensable de revoir son mode d’alimentation. Nos achats ont un impact direct sur le mode de production des denrées alimentaires et sur la préservation de la biodiversité. Alors pourquoi ne pas décider de consommer autrement ? Voici donc neuf conseils pour manger responsable.

     

    Privilégier les produits issus de l’agriculture biologique

    Privilégier les produits issus de l’agriculture biologique

    L’agriculture biologique vise à établir un système de gestion durable de l’agriculture, à travers l’amélioration de la qualité du sol, de l’eau, des végétaux et des animaux. Il n’est donc pas permis d’avoir recours aux OGM (organisme génétiquement modifié) et aux pesticides dans le cadre d’une production biologique. Des conditions d’élevage sont aussi mises en place chez les agriculteurs et les pêcheurs afin d’améliorer le bien-être des animaux, qu’il s’agisse de poissons ou de viande. Décider de manger bio, c’est choisir des aliments qui sontcultivés sans engrais chimiques, sans pesticides, sans produits industriels de synthèse et sans OGM. Ils sont identifiables grâce à des logos spécifiquesdélivrés par les pouvoirs publics. On retrouve ces denrées dans des enseignes spécialisées, des grandes surfaces, directement chez les fournisseurs ou sur les marchés. Cependant, tous les produits ne peuvent pas êtres biologiques. Ainsi, seuls les produits agricoles non transformés (céréales, légumes, fruits, lait, œufs, animaux), les produits agricoles transformés destinés à l’alimentation humaine (pain, formage, plats cuisinés), les aliments destinés aux animaux et les semences et matériels de reproduction végétative peuvent êtres certifiés bio car leur mode de production ou de transformation a été contrôlé.

     

    Acheter des produits en vrac ou à la coupe pour plus d’économies

    Acheter des produits en vrac ou à la coupe pour plus d’économies

    Choisir d’acheter ses fruits et légumes en vrac, ou sa viande et son fromage à la coupe permet de réduire les emballages alimentaires (jusqu’à 20 kilos par an et par personne1), qui augmentent la production de déchets. De plus, on peut choisir la juste quantité du produit et éviter le gaspillage alimentaire. Ce mode d’achat est également avantageux pour notre porte-monnaie. En effet, lorsque l’on achète un produit emballé, on paye son emballage et des taxes sur les déchets. Il est donc plus intéressant de se rendre sur les marchés, aux rayons fruits et légumes en vracs des supermarchés, chez les charcutiers ou les poissonniers, où les produits seront de meilleure qualité. Il est également conseillé d’acheter ce dont on a besoin au fur et à mesure, afin d’éviter le gaspillage principalement lié aux dates de péremption dépassées. Le taux de déchets alimentaires de produits encore emballés s’élève à 7 kilos par an et par personne2. Il est important de prendre conscience que cela représente un prélèvement inutile de ressources naturelles, comme l’eau et les terres cultivables, mais que cela contribue aussi à des émissions de CO2 qui pourraient êtres évitables.

     

    Consommer des produits locaux et de saison

    Consommer des produits locaux et de saison

    Acheter près de chez soi permet de réduire les coûts énergétiques et la pollution engendrée par le transport, mais également d’encourager l’économie locale. On privilégiera donc l’achat de produits locaux lorsque c’est possible. On peut ainsi se rendre directement à la ferme, passer par des AMAP1(association pour le maintien d’une agriculture paysanne) ou d’autres organismes spécialisés, qui créent un lien direct entre les producteurs et les consommateurs. De plus, cela permet de se rassurer, en sachant d’où viennent les produits que l’on consomme, et la façon dont ils ont été récoltés. Préférer des fruits et légumes de saison garantit une meilleure qualité des produits. Il est donc conseillé de se renseigner sur un calendrier des fruits et légumes de saison2 afin de bien choisir ses denrées.

    Quels sont les fruits et légumes du mois d’avril ? Nous vous proposons une sélection de quelques produits de saison.

    Fruits

    Légumes

    Avocat

    Asperge blanche

    Banane

    Céleri

    Citron

    Radis rouge

    Pamplemousse

    Basilic

    Rhubarbe

    Pomme de terre

    Pomme

    Laitue

    Mangue

    Cresson

     

    Préférer le « fait maison » et limiter sa quantité de déchets

    Préférer le « fait maison » et limiter sa quantité de déchets

    Manger responsable, c’est aussi réduire sa quantité de déchets. Pour cela, il suffit d’adopter des gestes simples et économiques1. Par exemple, on peut prendre l’habitude d’avoir un sac réutilisable lorsque l’on fait des courses, cela évite de prendre des sacs en plastique à chaque fois. On privilégie également les emballages éco-rechargeables, qui sont plus économiques et moins encombrants. Par exemple, lorsque l’on achète du savon, du café, du sucre, des marques les proposent en plus grande quantité et dans des emballages moins esthétiques. L’objectif étant de reverser le contenu de ces produits dans un bocal ou un récipient prévu à leur effet. Certaines enseignes proposent également de venir avec sa propre bouteille et de la remplir directement de jus frais dans le magasin. A l’inverse, on évite l’achat de plats préparés, qui, d’un point de vue environnemental, ne sont pas économiques, et surtout mauvais pour notre santé. Il est nécessaire de retrouver le goût de préparer ses repas soi-même, car cela permet de réduire considérablement ses déchets. On peut cultiver son propre potager si l’on en a la possibilité. Cela permet de faire des économies, de manger des aliments avec plus de goût et d’être sûr qu’ils n’ont pas été exposés à des substances chimiques.

     

    Savoir quels sont les aliments les plus contaminés aux pesticides

    Savoir quels sont les aliments les plus contaminés aux pesticides

    La toxicité des pesticides sur notre santé est aujourd’hui indéniable. Malgré leur non utilisation dans les cultures biologiques, la contamination peut être possible par le biais de l’eau ou du vent. D’après une étude de l’agence américaine « Animal and Plant Health Inspection Service »1 voici la liste des denrées les plus exposées aux produits chimiques quand elles sont cultivées de manière industrielle :

    • La pomme : elle contiendrait plus de quarante pesticides différents. Elle est sujette aux champignons et aux insectes, c’est pourquoi les substances chimiques sont directement appliquées sur la peau. Il est donc recommandé de l’enlever, même si l’on perd la partie la plus nutritive du fruit.
    • Le céleri : les tests ont recensé plus de soixante pesticides dans ce légume.
    • La fraise : elle contiendrait également plus de soixante pesticides, dont un peu moins dans les fruits congelés.
    • La pêche : les pêches fraiches comptabilisent plus de soixante pesticides différents, tandis que les pêches en conserve en contiennent beaucoup moins.
    • Les épinards : ils sont exposés à environ cinquante pesticides, alors que ceux en boite en ont moins.
    • Les abricots : on a retrouvé aux alentours de trente trois pesticides dans ces fruits.
    • Le raisin : il contient environ trente pesticides. Le vin est par conséquent lui aussi riche en substances chimiques.
    • Le poivron : quelle que soit sa couleur, il a révélé une quantité de presque cinquante pesticides différents.
    • La pomme de terre : elle comptabilise trente cinq pesticides. La pomme de terre douce s’avère moins touchée par ces substances chimiques.
    • La myrtille : on a retrouvé sur les myrtilles environ cinquante pesticides.
    • La laitue : elle est touchée par plus de cinquante pesticides.
    • Le chou : même s’il est reconnu comme une des plantes les plus résistantes aux parasites et aux maladies, il a révélé d’importantes quantités de pesticides.
    • La viande de bœuf, le poulet, le porc : les animaux sont contaminés par le biais de leur alimentation (principalement l’herbe et les graines).

     

    Limiter sa consommation de viande

    Limiter sa consommation de viande

    On conseille de favoriser les aliments d’origine végétale car la production de denrées d’origines animale nécessite plus d’eau et induit à la pollution (transport, usines de transformation…). Il faut également plus de surface de terre pour produire une quantité égale de protéine animales par rapport aux protéines végétales. Il convient donc de choisir avec soin la viande que l’on achète, et de prendre en compte les labels qui améliorent le bien-être des animaux : par exemple « porc biologique », « porcs fermiers élevés en liberté Label Rouge », ou encore « porcs fermiers élevés en plein air Label Rouge »1. Il est alors important de bien veiller à ce que les mentions « élevé en liberté » ou « élevé en plein air » apparaissent sur les produits Label Rouge. En ce qui concerne les bovins, ils sont généralement élevés en plein air et ont un accès au pâturage. Mais il est conseillé de vérifier la présence des mentions « biologique » et « nourris à l’herbe » sur les étiquettes1. De plus, les produits certifiés bio seraient meilleurs pour notre santé, car ils contiendraient moins de matières grasses et plus de nutriments que les viandes issues des animaux élevés de façon intensive. Enfin, l’élevage des animaux est responsable de 18 % des gaz à effet de serre et requière d’énormes quantités de céréales et d’eau, des ressources rares et précieuses2.

     

    Se renseigner sur la provenance du poisson

    Se renseigner sur la provenance du poisson

    Il en est de même que pour la viande : les poissons d’élevage sont eux aussi soumis au label éco-responsable et aux Label Rouge (Aqualabel)1. Ces derniers vantent des méthodes d’élevage plus respectueuses. En ce qui concerne les poissons sauvages, leur certification éco-responsable est indiquée par le label MSC2 (marine Stewardship Council). Ce label a pour objectif de promouvoir les pratiques de la pêche durable. En élevage intensif, les poissons seraient chargés en métaux lourds et souvent intoxiqués aux pesticides. Ceci serait dû aux surcharges dans les bassins, qui les exposeraient davantage aux blessures et aux maladies, avec un taux de mortalité plus élevé3,4. Il est également très important de veiller à ne pas consommer d’espèces protégées ! Pour cela, l’organisation Greenpeace a mis en ligne une brochure indiquant « quel poisson peut-on encore servir ? »5. Ainsi, on apprend qu’il est recommandé d’éviter les espèces telles que l’anguille, le cabillaud, le colin, les crevettes, la dorade, le saumon, la sole, le thon et la raie.

     

    S’informer sur ce que l’on mange

    S’informer sur ce que l’on mange

    Il est important d’apprendre à lire les étiquettes nutritionnelles des produits que l’on a l’habitude de consommer. Cela permet de choisir ce que l’on décide de manger en fonction de la composition du produit, et d’être acteur de son alimentation. Ainsi, l’étiquetage nutritionnel est révélateur : il indique la valeur énergétique, les quantités en graisse, d’acides gras saturés, de glucides, de sucres, de protéines et de sel. On y retrouve également la liste des ingrédients, rangés par ordre décroissant d’importance. La longueur de cette liste est importante, car plus elle est courte, mieux c’est. En effet, une liste d’ingrédients à rallonge est souvent le signe d’une grosse quantité d’additifs et de conservateurs. Une fois que l’on comprend mieux les étiquetages, il est possible de comparer les prix afin d’acheter plus intelligemment. De plus, avant d’aller faire ses courses, faire le tri dans son placard et son congélateur aide à ne pas acheter inutilement. Enfin, lorsque l’on est chez le charcutier, le fromager ou sur le marché, il ne faut pas hésiter à demander plus de renseignements sur les aliments (durée de conservation, provenance).

     

    S’intéresser aux labels qui garantissent une alimentation saine

    S’intéresser aux labels qui garantissent une alimentation saine

    Il existe de nombreux labels relatifs à des spécificités différentes concernant les produits. Par exemple, celui du Commerce équitable assure une rémunération plus juste pour les petits producteurs de pays en développement. On leur garantit le juste prix pour leur travail. De plus, le nombre d’intermédiaires est considérablement réduit, ce qui revient également moins cher dans le panier de courses. On retrouve aussi le label AB (agriculture biologique) : c’est le plus connu des français. Ce type de label signifie que le produit est 100 % bio, ou s’il s’agit de produit transformé, qu’il contient au moins 95 % d’ingrédients issus de l’agriculture biologique. Au Canada, le label se présente sous l’appellation de « Biologique Canada Organic ». En ce qui concerne les produits issus de l’agriculture biologiques et locaux, ils retrouvent la mention « Bio solidaire ». Ce logo garantit une proximité entre les producteurs et les transformateurs. Au Canada, il s’agit de « Bio Québec ». D’autres labels vont plus loin, car ils dépassent les normes légales du cahier des charges européen. En effet, les produits AB peuvent parfois contenir des OGM (en Europe le Conseil Européen admet qu’un produit dit biologique peut contenir jusqu’à 0,9 % d’OGM1), tandis que ceux issus de label comme Nature&Progrès (association) ou Démeter (marque certifiée) en interdisent totalement la présence.

     

    Marion Amsellem
     
     
     
     
     

    Sources

    Acheter des produits en vrac

    1. Ministère de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement. Rapport intermédiaire de l’étude relative au gaspillage alimentaire. Juillet 2011.
    2. Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie. Je passe à l’action. Réduisons nos déchets.
    3. Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie. La lutte contre le gaspillage alimentaire. Prévention de la production des déchets. Décembre 2013.

    Consommer des produits locaux et de saison

    1. Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne. Annuaire national des AMAP.
    2. Institut national de prévention et d’éducation pour la santé publique. Calendrier des produits de saison. Manger Bouger.

    Préférer le « fait maison »

    1. Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie. Je passe à l’action. Réduisons nos déchets.

    les aliments les plus contaminés aux pesticides

    1. Animal and Plant health Inspection Service.States Department of Agriculture.

    Limiter sa consommation de viande

    1. Compassion in World Farming France. Quelles viandes choisir ?
    2. Compassion in World Farming France. Guide du consommateur responsable. 2013

    Se renseigner sur la provenance du poisson

    1. Compassion in World Farming France. Quels poissons choisir ?
    2. Marine Sterwardship Council. Marine Sterwardship Council – Label de la pêche durable.
    3. Compassion in World Farming France.Guide du consommateur responsable. 2013
    4. Protection mondiale des animaux de la ferme. L’élevage intensif des poissons, un marché en pleine expansion !
    5. Quel poisson peut-on encore servir ? Greenpeace.

    S’intéresser aux labels

    1. Info’GM. UE- Produits bio et alimentation sans OGM. Août 2007

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  • passeportsante.net

    France : ce que le projet de loi santé va changer

     
     
     
     

    L'Assemblée nationale a adopté mardi 14 avril en première lecture le projet de loi sur la modernisation du système de santé, porté par Marisol Touraine, ministre de la Santé. En attendant son examen par le Sénat en juin ou juillet prochain, voici les principales mesures prises par les députés.

     

    La généralisation du tiers payant

    Initialement prévu pour les ménages modestes et les actes médicaux coûteux, le tiers payant deviendra un droit pour tous les assurés dès le 30 novembre 2017. Concrètement, l’avance des frais médicaux ne sera plus une obligation quelle que soit la situation du patient.

     

    La lutte effrénée contre le tabagisme

    Déjà adoptés en Australie, les paquets neutres (même forme, même taille, même typographie, sans logo mais avec la marque en petit caractères) seront obligatoires à compter du 20 mai 2016. Le projet de loi inclut également diverses interdictions comme fumer dans les voitures transportant des mineurs, vapoter dans certains lieux publics (au travail notamment), ou faire de la publicité pour les produits de tabac ou de cigarettes électroniques dans les points de vente. Les arômes artificiels comme le menthol seront également proscrits à partir de 2020.

     

    La protection des plus jeunes

    Diverses mesures comme l’interdiction de la mise à disposition des cabines de bronzage pour les mineurs tout comme leur publicité ont pour but de protéger la santé générale des plus jeunes. L’incitation à une consommation excessive ou habituelle d’alcool pourra être sanctionnée d’une lourde amende de manière à prévenir l’ivresse des jeunes. L’instauration d’un parcours éducatif en santé de la maternelle au lycée est également l’une des mesures phares.

     

    Contre la maigreur excessive

    L’exercice d’une activité de mannequin sera interdit dès lors que l’Indice de Masse Corporelle (IMC) sera inférieur à une limite qui n’a pas encore été définie. Par ailleurs, la mention « photographie retouchée » devra accompagner les publicités en cas d’apparence corporelle modifiée d’un mannequin. L’incitation à la maigreur excessive sera également punie d’un an d’emprisonnement.

     

    Opération anti-malbouffe

    La mise en place de « logos » de couleurs différentes en fonction de la qualité nutritionnelle du produit, sera assurée mais elle ne sera que facultative. Les fontaines à sodas en libre service, disponibles notamment dans certains lieux de restauration rapide, ne seront plus que de l’histoire ancienne.

     

    Don du sang, don d’organes

    Désormais, les personnes homosexuelles pourront donner leur sang. Nul ne peut, en effet, être exclu en raison de son orientation sexuelle. En ce qui concerne le don d’organes, la famille d’une personne décédée ne pourra plus s’opposer à un prélèvement par le corps médical. Le registre national de refus sera le moyen pour toute personne d’exprimer son opposition à l’avance.

     

    IVG, drogue et activité physique

    Le délai de réflexion de 7 jours imposé aux femmes souhaitant une IVG sera supprimé. Les fameuses « salles de shoot », où seront expérimentées les consommations de drogue à moindre risque, verront le jour et seront destinées aux toxicomanes précarisés. Enfin, les médecins pourront désormais prescrire aux personnes souffrant d’affections longue durée, comme l’arthrose par exemple, de l’activité physique.

     

    La navette parlementaire entre députés et sénateurs apportera-t-elle de nouveaux changements à ce programme déjà bien chargé ? Réponse au cours de l’été prochain.


     
     
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  • vivreaujourdhui.com

    QUE JE SACHE...

     
     
    27 Avril 2015
     
     

    Éternel, dis-moi quel est le terme de ma vie […] que je sache combien je suis éphémère.
    Psaume 39.5

    Que ce soit Moïse au psaume 90 ou David au psaume 39, tous deux soulignent la nécessité de prendre conscience de ce que la vie a d’éphémère ou de fragile. Il est difficile de ne pas y penser avant d’aborder une année nouvelle. Même si nous ne sommes pas au nombre des plus robustes, elle pourrait être pour nous la dernière. On ne meurt pas seulement de vieillesse. Et le nombre de nos jours n’est pas en notre pouvoir. Qui de vous, disait Jésus, peut, par ses inquiétudes, ajouter une coudée à la durée de sa vie ?1
    Bien compter nos jours, c’est d’abord savoir qu’ils sont comptés et prendre la décision d’utiliser au mieux ceux qui nous restent.
    Et le meilleur usage que nous puissions en faire, c’est investir dans l’au-delà, dans ce qui ne passe pas, d’y mettre notre cœur, plutôt qu’à ce qui est passager : Ne vous amassez pas des trésors sur la terre […], mais amassez-vous des trésors dans le ciel où la teigne et la rouille ne détruisent point et où les voleurs ne percent ni ne dérobent.2
    Ne pas courir le risque de gaspiller ce qui nous reste à vivre ici-bas, c’est prendre la résolution de vivre chaque jour pour Dieu, et d’accepter d’en chercher le sens auprès de lui et les directives dans sa Parole. Ce faisant, nous ne saurions être déçus.

    Richard Doulière

    1 Matthieu 6.27           2 Matthieu 6.19-20

     

    QUE JE SACHE...

    Psaume 90. 9-12 : "Oui, à cause de ta colère, notre vie dure peu de temps. Le temps d’un soupir, voilà nos années finies ! 10 La durée de notre vie ? Soixante-dix ans, quatre-vingts pour les plus forts. Une longue vie apporte seulement fatigue et souffrance. Les années passent vite, et nous nous envolons. 11 Qui connaît la force de ta colère ? Elle est aussi grande que notre respect pour toi. 12 Notre vie est courte, fais-nous comprendre cela. Alors notre cœur sera rempli de sagesse."

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  • sante-nutrition.org

     

    Le gluten, 100% inflammatoire ?

    gluten

     

    Propos du Dr Philippe Fiévet1 aux 32èmes Rencontres des Médecines Alternatives et Complémentaires à l’Hôpital Tenon, Paris, le 11 octobre 2014, et restranscrits par  aïssa Blankoff, naturopathe-aromathérapeute, www.naturoparis.com

     

    On assiste aujourd’hui à une pandémie mondiale de maladies liées à l’alimentation, au premier rang duquel on retrouve le syndrome métabolique, l’inflammation et les cancers. La question du gluten n’est pas étrangère à cette dégradation de la santé de l’humain.

    Dans 1 cas sur 3345, le diagnostic de maladie clinique avec présence d’anticorps anti- gluten est posé. Dans 1 cas sur 266, on ne peut pas parler de maladie, mais néanmoins d’une intolérance ou d’une hypersensibilité au gluten. Par exemple, il y a 20 fois plus de maladie cœliaque chez les patients souffrant de diabète insulino-dépendant. Les maladies auto-immunes sont, en général, améliorées par l’arrêt de la consommation de gluten. Quand il y a allergie, il y a toujours une inflammation cellulaire. Malheureusement, il y a peu d’études sur ces sujets et pour cause : à chaque coin de rue, il y a des boulangeries, et dans chaque assiette, il y a du gluten.

     

    Voici des maladies qui sont directement liées à la consommation de gluten (liste non exhaustive) :

    • Les maladies auto-immunes : la maladie coeliaque, l’ostéopénie, les retards de puberté, l’arthrite, la dermatite herpétiforme…
    • Les allergies, l’asthme des boulangers (4 à 8%), les allergies alimentaires pouvant générer un choc  anaphylactique, les réactions allergiques cutanées (même la cosmétique contient du gluten)
    • La sensibilité au gluten non coeliaque : actuellement, on ne dispose pas encore de marqueur biologique de la sensibilité au gluten : par contre, la clinique est parlante : on retrouve des douleurs abdominales, des allergies cutanées, de la dépression, de l’anémie, de la fatigue (chez l’enfant), des douleurs articulaires. Il faut également savoir que si les anticorps spécifique de la paroi intestinale (IgA) sont déficitaires, les anticorps anti-gliadine ne sont pas retrouvés.
    • Parmi d’autres : les fausse couches à répétition, l’hypertension artérielle, le reflux gastro oesophagien, l’ostéoporose, les maladies inflammatoires.
    • Le syndrome du côlon irritable : 77% des gens qui arrêtent gluten n’ont plus de syndrome côlon irritable.

     

    Pourquoi le gluten est-il toxique ?

    C’est la protéine nommée gliadine qui pose le plus de problème : sa forme est indigérable car il est impossible de rompre la liaison peptidique de ses acides aminés. Le gluten stimule la production d’interleukines (IL 8 et IL 15) qui déclenche la production de zonuline qui crée de l’inflammation.  La zonuline, sécrétée de façon constitutionnelle, stimule la  défense du corps ; on la retrouve augmentée dans l’asthme, la SEP, les MICI, le diabète de type 1, son chromosome de fabrication le 16, peut assurer la transmission de sa production de génération en génération. Le diabète est constamment amélioré par l’arrêt du gluten, même en se limitant à cette mesure uniquement, il en va de même du diabète de type 2.

    Ces attaques immunitaires créent et entretiennent, à force, une hyperperméabilité intestinale, état qui laisse passer dans le sang des macromolécules en principe indésirables, et qui, par effraction, activent d’autres familles immunitaires comme les lymphocytes. La consommation de gluten entretient l’hyperperméabilité, l’inflammation et l’état de défense chronique de l’organisme. Ce mécanisme a lieu chez 100% des individus. Chez certains, les symptômes feront leur apparition, chez d’autres pas. L’arrêt du gluten améliore constamment la sévérité de toutes les pathologies. Le Dr Fabienne Rancé avait déjà mis en évidence le rôle de l’hyperperméabilité dans les allergies2.

    Il faut savoir qu’aujourd’hui le gluten est partout, non seulement dans nos assiettes, mais dans de nombreux produits. Il est de plus en plus modifié. Jadis, les blés avaient une hauteur de 1m 50.  Depuis, ils ont été manipulés génétiquement, et on observe que la part de gluten dans le blé a été multipliée par trois depuis 50 ans. On en retrouve même dans le vin ! Il sert de colle dans les aliments industriels et est de plus en plus utilisé dans des centaines de produits de toutes sortes car il est extrêmement économique.

     

    Raïssa Blankoff, naturopathe-aromathérapeute, www.naturoparis.com

     

     

    Sources:

    1. www.intestins-carrefour-de-mon-destin.fr

    2. http://www.lesallergies.fr/1/fabienne-rance-0 voir aussi sur le microbiote, les conférences du Professeur Sansonetti http://www.college-de-france.fr/site/philippe-sansonetti/#course

    Passeport santé

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  • sante-nutrition.org

    8 signes avant-coureurs du cancer de l’ovaire

    que vous ne devriez pas ignorer

     

    cancer-de-lovaire

     

     

    Le cancer de l’ovaire a été surnommé « le tueur silencieux ». Comme de nombreux cancers, il ne montre pas de symptômes pendant une longue période. Quand des symptômes se manifestent, ils ne sont pas spécifiques, et peuvent pointer vers diverses affections, à la fois graves et bénignes. La triste réalité est que lorsqu’on diagnostique enfin le cancer de l’ovaire, la plupart du temps il s’est déjà propagé, ce qui limite vos options de traitements.

     

    Il y a quelques signes avant-coureurs que vous ne pouvez pas manquer. Mais vous devez associer vos observations à d’autres facteurs pour ne pas tirer de conclusions trop hâtives.

    Maintenez un bon équilibre entre le déni et l’hypocondrie

    Tout d’abord, ne paniquez pas. Comme mentionné précédemment, les symptômes peuvent signifier beaucoup de choses différentes. Il y a très peu de chances pour que vous ayez un cancer rassurez-vous. L’Ovarian Cancer National Alliance souligne que pour 100 femmes dont les symptômes correspondent à ceux du cancer de l’ovaire, une seule avait effectivement un cancer à un stade précoce.

    Cela dit, si vous sentez qu’il y a quelque chose de bizarre, vous ne devriez pas l’ignorer. Les gens ont peur du cancer et le considèrent toujours comme une maladie incurable, donc souvent ils veulent cacher le fait que quelque chose ne va pas à l’intérieur de leur corps. Mais bien sûr cela ne fait qu’empirer les choses, car vous perdez un temps précieux. MedicineNet indique que seulement 20 pour cent des femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire sont diagnostiquées à un stade précoce, lorsque la maladie est plus guérissable. Donc si vous sentez que certains symptômes persistent et qu’ils sont inhabituels pour vous , prenez rendez-vous pour vous faire examiner. Mieux vaut prévenir que guérir.

    Le type de cancer ovarien le plus commun inclut les tumeurs épithéliales, qui se forment dans la mince couche de tissu qui recouvre l’extérieur des ovaires. Ces tumeurs surviennent dans 90 pour cent des cas. Les types les plus rares sont les tumeurs stromales, qui se développent dans le tissu de soutien des ovaires, les tumeurs des cellules germinales qui commencent dans les cellules productrices d’ovules.

    Les huit signes avant-coureurs les plus importants du cancer de l’ovaire

    Les ballonnements abdominaux ou les gonflements: La taille de votre abdomen augmente, vous vous sentez ballonnée et pleine de gaz. Vous remarquerez peut-être que certains vêtement vous serrent plus au niveau de la taille et des hanches.

     

    La constipation et d’autres changements dans vos selles.

    La douleur pelvienne: Vous ressentez une gêne ou une douleur dans la région pelvienne, et parfois aussi dans l’abdomen. Si la douleur persiste, vous ne devriez pas simplement l’éliminer, ou la masquer avec des analgésiques. Votre douleur veut généralement vous faire passer un message important.

     

    Des douleurs au bas du dos, surtout si elles irradient dans la région pelvienne.

     

    Besoins urgents ou fréquents d’uriner: Vous sentez un besoin urgent d’aller faire pipi et vous avez du mal à vous rendre aux toilettes à temps, et/ou vous avez besoin d’y aller souvent. C’est courant chez beaucoup de femmes, cela peut souvent être un signe que le périnée n’est pas assez musclé, ou vous pouvez avoir une infection urinaire. Mais gardez un œil dessus, car ça peut être signe qu’il se passe quelque chose de plus grave.

     

    Perte d’appétit ou sensation d’être rassasiée rapidement quand vous mangez: Vous observez également une perte de poids inexpliquée. Les femmes sont généralement heureuses quand elles perdent quelques kilos, mais ce n’est pas toujours bon signe.

     

    Douleurs lors des relations sexuelles

    Fatigue: Se sentir excessivement fatigué et faible en énergie peut signaler une affection sous-jacente.

    Cela ne signifie pas que vous devez avoir tous les symptômes ci-dessus. Parfois, un seul peut être suffisant pour signaler qu’il y a quelque chose d’anormal qui se passe. Si les symptômes persistent pendant deux semaines ou plus, il serait temps de consulter votre médecin pour vous faire examiner.

    Les facteurs de risque

    On ne connaît pas la cause exacte du cancer ovarien, mais il existe certains facteurs de risques qui augmentent les risques d’avoir un cancer ovarien, donc vous devriez en tenir compte.

    L’âge: les femmes âgées de plus 50 ans sont plus exposées au cancer de l’ovaire. Environ 50% des cancers sont diagnostiqués chez les femmes de plus de 60 ans. Bien sûr cela ne signifie pas que les jeunes femmes n’y sont pas exposées. Par exemple, les tumeurs des cellules germinatives sont plus fréquentes chez les jeunes femmes, mais elles sont très rares.

     

    Les antécédents familiaux: Si dans votre famille vous avez des antécédents de cancer de l’ovaire, cancer du sein ou cancer du côlon, vous augmentez les risques de développer un cancer ovarien. D’après la clinique Mayo, les gènes qui augmentent le risque de cancer ovarien sont appelés gène du cancer du sein 1 (BRCA1) et gène du cancer du sein 2 (BRCA2). Ils ont d’abord été reliés au cancer du sein, d’où le nom, mais on a maintenant découvert qu’ils étaient également responsables du cancer de l’ovaire (http://www.mayoclinic.org/diseases-conditions/ovarian-cancer/basics/risk-factors/con-20028096).

     

    La grossesse et les menstruations: Les femmes qui n’ont jamais donné naissance ont un risque plus élevé de développer un cancer ovarien, ainsi que les femmes qui ont eu leurs menstruations à un âge précoce (avant 12 ans), et/ou ont eu la ménopause tardivement (après 50 ans). Il semble qu’il y ait un lien entre le nombre de périodes que vous traversez et vos chances d’avoir un cancer. Par exemple, les femmes qui ont plus d’enfants ont moins de risques de développer cette maladie.

     

    Certains médicaments: La prise d’un traitement hormonal après la ménopause, ou l’utilisation d’un traitement de fertilité (sur le long terme et à fortes doses) peut augmenter le risque de développer un cancer de l’ovaire. En revanche, certaines études montrent que les pilules contraceptives réduisent le risque.

     

    Autres facteurs de risque: Ils incluent le tabac, l’obésité, l’utilisation d’un stérilet et le syndrome des ovaire polykystiques.

    Le problème est qu’il n’y a pas de méthode de dépistage fiable du cancer ovarien. Voilà pourquoi il est si important de ne pas hésiter à consulter votre médecin si vous avez des inquiétudes. Et le médecin doit prendre en compte vos inquiétudes. Pour détecter le cancer on peut utiliser les examens pelviens, l’échographie et les analyses de sang.

     

    Les scientifiques continuent à travailler sur une meilleure méthode de dépistage pour détecter le cancer de l’ovaire à un stade précoce. D’ici là, prenez le temps d’apprendre à connaître votre corps, occupez-vous de lui, écoutez-le et essayez de sentir quand quelque chose ne va pas. Ce sera probablement l’un de vos meilleurs atouts pour combattre n’importe quelle maladie à un stade précoce.

     

     

    Sources:
    OvarianCancer.org
    MedicineNet
    Mayo Clinic
    Cancer Schmancer
    Cancer.org
     
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  • vivreaujourdhui.com

    SI FRAGILE

     
     
    26 Avril 2015
     
     

    Éternel ! Dis-moi quel est le terme de ma vie, quelle est la mesure de mes jours, que je sache combien je suis fragile.
    Psaume 39.5


    Notre civilisation s’efforce de faire comme si la mort ne concernait que les autres. Elle n’en est pas moins partout – guerres, assassinats, conflits ethniques ou religieux –, nous rappelant que la vie, bien souvent, ne tient qu’à un fil. Si nous sommes parmi les privilégiés qui atteignent un âge avancé, c’est pour découvrir, jetant un regard en arrière, que la vie a été telle un souffle, courte, éphémère, fragile ! « Nous sommes, un court instant, plongés dans le temps et déjà s’annonce la fin. Quel mystère ! »
    Nous ne sommes vraiment rien, moins qu’un atome au sein d’un univers dont les limites ne cessent de reculer devant nos télescopes… et un atome qui s’évanouirait à peine entrevu. Mais cette petitesse, loin de résoudre les questions philosophiques, les rend d’autant plus pressantes. Pourquoi sommes-nous là, et pour une minuscule fraction de temps seulement ? L’existence, avec tout ce que peut contenir cette parenthèse pourtant ridicule, peut-elle n’avoir d’autre signification que ce passage éphémère ? Serait-elle vraiment sans lendemain ?
    Nous savons bien, au-dedans de nous, qu’elle a une autre dimension que nous recherchons avidement ou qui nous fait peur, mais dont nous ne pouvons nous débarrasser.
    Or, il y a une réponse. Dieu lui-même l’a proposée à travers les pages d’un livre vraiment pas comme les autres : la Bible.

    Richard Doulière

     

    SI FRAGILE

     

    Psaume 39. 5-14 : "5Seigneur, apprends-moi le moment où ma vie va finir, oui, fais-moi connaître le temps qui me reste. Ainsi, je saurai combien je suis peu de chose. La largeur d’une main, voilà le temps de ma vie. Devant toi, elle ne dure presque pas. Même si l’homme est bien vivant, il n’est qu’un souffle. Il va et il vient, mais il n’est qu’une ombre. Il se fatigue beaucoup, mais tout part en fumée. Il amasse des richesses, mais qui en profitera ? Il n’en sait rien. Maintenant, Seigneur, qu’est-ce que je peux attendre ? Je compte sur toi : délivre-moi de toutes mes fautes, ne laisse pas les gens stupides m’insulter. 10 Maintenant, je reste muet, je n’ouvre pas la bouche, puisque c’est toi qui agis. 11 Arrête de me frapper, tes coups m’enlèvent toutes mes forces. 12 Pour corriger l’homme, tu punis sa faute. Comme un insecte, tu ronges ce qu’il a de précieux. Oui, tous les humains ne sont qu’un souffle. 13 Écoute ma prière, Seigneurouvre l’oreille à mes cris, entends mes larmes. Chez toi, je suis un étranger, un passant, comme tous mes ancêtres. 14 Ne me regarde plus, alors je pourrai sourire avant de m’en aller et de disparaître."

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  • sante-nutrition.org

    5 Bienfaits du thym sur votre santé

    thym

     

     

    Le thym est très apprécié pour ses saveurs uniques qu’il rajoute aux plats. Mais cette petite herbe verte a aussi d’énormes bienfaits sur la santé. Le thym est bon pour soigner la bronchite et a un fort pouvoir anxiolytique.

     

    Voici 5 bienfaits de cette plante incroyable :

     

    Il agit contre la perte de cheveux

    Le thym est soupçonné d’avoir des effets bénéfiques sur la repousse des cheveux après une pelade.

    Ajoutez 2 gouttes d’huile essentielle de thym à thymol directement dans votre shampooing et lavez-vous les cheveux avec.

    Sinon, dans un flacon vide, mélanger 6 goutes d’huile essentielle de lavande, 6 gouttes d’huile essentielle de thym et 100 ml d’huile végétale d’amande. Massez votre cuir chevelu avec ce mélange et laissez reposer 20 minutes avant de vous laver les cheveux.

     

    Il agit contre l’anxiété

    Le carvacrol, un des constituants du thym, a des effets relaxants, ce qui peut avoir un effet positif sur les gens souffrant d’anxiété.

    Infusez de 2 g de thym séché dans 150 ml d’eau bouillante pendant 10 minutes. Boire plusieurs tasses par jour, au besoin.

     

    Il soigne la bronchite

    Le thym est souvent utilisé dans le traitement des maladies respiratoires. Certaines études ont démontré qu’il a un effet très positif sur la fluidification des sécrétions bronchiques et le soulagement de la toux.

    Pour vous soulager ajoutez 2 cuillères à soupe de thym dans une casserole d’eau bouillante et placez votre tête par-dessus en vous couvrant d’une serviette. Respirez doucement pendant quelques minutes.

     

    Il agit contre la plaque dentaire

    Le thym contient du thymol qui a des effets très bénéfiques sur la santé de notre bouche, notamment les caries et les bactéries qui causent la gingivite.

    A la place de votre rince-bouche ordinaire, faites infuser 5 gr de thym dans 100 ml d’eau bouillante pendant 10 minutes. Filtrez le mélange et laissez refroidir. Rincez-vous la bouche avec cette concoction.

     

    Il soulage les inflammations cutanées

    Le thym a des propriétés antiseptiques, antimicrobiennes et antifongiques remarquables. Il agit aussi comme un anti-inflammatoire ce qui le rend un remède efficace pour toutes sortes de problèmes de peau. Avec la même concoction préparée plus haut, appliquez des compresses sur les régions concernées.

     

     

    SourcePotentiel magazine
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  • sante-nutrition.org

    La vérité sur les cigarettes d’aujourd’hui :

    ce qu’ils ne veulent pas que vous sachiez

    cigarettes

     

     

    Les cigarettes d’aujourd’hui contiennent la bagatelle de 600 ingrédients, ce qui correspond à plus de 4000 produits chimiques. En plus des ingrédients toxiques connus retrouvés dans les cigarettes comme le goudron et la nicotine, beaucoup de gens sont surpris d’apprendre que les cigarettes contiennent de nombreux autres ingrédients hautement toxiques, comme le formaldéhyde, l’ammoniac, le cyanure d’hydrogène, l’arsenic, le DDT, le butane, l’acétone, le monoxyde de carbone, et même le cadmium.

     

    Saviez-vous que le National Institute on Drug Abuse a estimé qu’aux États-Unis seulement, le tabagisme est responsable de plus de 400 000 décès par an, et que d’ici les années 2030 on prévoit environ 10 millions de décès liés au tabac dans le monde?

    Ce n’est pas surprenant que ce cocktail chimique soit responsable de tant de morts résultant de deux des principales causes de mortalité aux États-Unis: les maladies cardiovasculaires et le cancer. Mais il y a d’autres problèmes de santé courants qui sont également liés au tabagisme et à l’exposition au tabagisme passif, notamment les troubles articulaires et de la colonne vertébrale.

    Parce que le tabagisme diminue la capacité du sang à transporter l’oxygène, le corps compense en augmentant la fréquence cardiaque et la pression artérielle, ce qui finit par entraîner une mauvaise circulation. Une mauvaise circulation entraîne une diminution de la capacité des vaisseaux sanguins à transporter les nutriments aux tissus vivants, y compris les os et les disques de la colonne vertébrale. À long terme, cela peut compromettre la physiologie osseuse et articulaire, la capacité du corps à guérir les blessures et un manque de nutriments pour les disques vertébraux, ce qui peut en fin de compte conduire à la douleur chronique et la perte de mobilité.

     

    Il y a un côté positif!

    Sur une note positive, en raison de la résilience du corps humain, les effets néfastes du tabagisme peuvent s’annuler. Quand un individu s’arrête de fumer, les effets de la guérison commencent instantanément. En quelques minutes, la pression artérielle diminue et la fréquence cardiaque se normalise. En une journée environ, les niveaux dangereux de monoxyde de carbone diminuent et les niveaux finissent par ne plus être détectables. L’inflammation commence progressivement à diminuer à mesure que davantage d’oxygène est mis en circulation dans tout le corps, et même les poumons peuvent guérir à un certain degré en fonction du nombre d’années qu’un individu a fumé. Les statistiques montrent que, après qu’une personne a cessé de fumer depuis dix à quinze ans, le risque de développer un cancer du poumon devient le même qu’une personne qui n’a jamais fumé.

    Les cigarettes électroniques, un bon substitut des cigarettes?

    Une étude allemande récente dit que non. Malgré le fait qu’elles contiennent des substances moins nocives, on a constaté que cinq minutes après l’utilisation de cette cigarette alternative, des signes de constriction et d’inflammation des voies aériennes se développent. En outre, même si les e-cigarettes produisent beaucoup moins de particules ultra-fines que les cigarettes, lorsqu’elles sont fumées à l’intérieur, les particules émises s’accumulent et peuvent avoir un impact sur les utilisateurs et les fumeurs passifs, un peu comme l’exposition chronique aux désodorisants artificiels.

    Bien que les produits pharmaceutiques et de remplacement de la nicotine sont des options réalistes pour vous aider à cesser de fumer, ils ne sont pas sans effets secondaires et sans risques. Les options naturelles telles que l’acupuncture, l’exercice, la nutrition (la vitamine C et les vitamines B – Saviez-vous chaque cigarette fait baisser la vitamine C de 25 mg dans le corps), la méditation, les promenades dans la nature, et les groupes de soutien se ont également révélés efficaces pour réduire les envies et les les symptômes de sevrage.

     

     

    Source : wake up world
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  • vivreaujourdhui.com

    QUOI D'IMPOSSIBLE ?

     
     
    25 Avril 2014
     
     

    À Dieu tout est possible.
    Matthieu 19.26

    Nous vivons un siècle étonnant. Quasi tout semble possible aux hommes. On fait le tour de la terre en quelques heures ; on mesure les astres ; on découvre les trous noirs baladeurs ; on est en contact avec une foule de gens du monde entier en quelques secondes ; on peut stocker des centaines de livres sur une petite clé d’ordinateur ; on pénètre dans l’infiniment petit des particules subatomiques…
    Qu’est-ce que l’homme, avec un peu de temps, n’inventera ou ne maîtrisera-t-il pas ?
    Un jeune homme plein de qualités et de piété vint trouver Jésus et lui demanda ce qu’il pouvait faire pour hériter la vie éternelle. Jésus l’invita à donner ses biens aux nécessiteux ; il partit tout triste, parce que très riche !1
    Échapper à ses passions est impossible à la nature humaine. Depuis que l’homme existe, la preuve en est faite, il est incapable de ne pas tomber dans l’une ou l’autre passion morbide.
    Aimer trop ses biens représente l’un des pires esclavages. L’apôtre Paul écrivait : L’amour de l’argent est une racine de tous les maux ! Tout ce qui détruit l’homme en découle : drogues, pornographie, guerres, etc.
    Qui peut donc être sauvé ? demandèrent les disciples ? Jésus fut catégorique : Aux hommes cela est impossible… malgré leur habileté à tant de choses extraordinaires ! Mais voilà, rien n’est impossible à Dieu. Quelle que soit la chose qui nous domine et nous enchaîne, nous asservissant inexorablement, Dieu – Lui à qui tout est possible – peut nous en délivrer.

    Richard Doulière

    1 voir la lecture ci-dessous

     

    QUOI D'IMPOSSIBLE ?

     

    Évangile selon Matthieu 19. 16-26 : "16 Tout à coup, un homme s’approche de Jésus et lui demande : « Maître, qu’est-ce que je dois faire de bon pour avoir la vie avec Dieu pour toujours ? » 17 Jésus lui répond : « Pourquoi est-ce que tu m’interroges sur ce qui est bon ? Un seul est bon, c’est Dieu. Si tu veux entrer dans la vie avec Dieu, obéis aux commandements. » 18 L’homme lui dit : « Quels commandements ? » Jésus répond : « Ne tue personne. Ne commets pas d’adultère. Ne vole pas. Ne témoigne pas faussement contre quelqu’un. 19 Respecte ton père et ta mère. Aime ton prochain comme toi-même. »  20 Le jeune homme lui dit : « J’ai obéi à tout cela. Qu’est-ce que je dois faire encore ? » 21 Jésus lui dit : « Si tu veux être parfait, va, vends ce que tu as, et donne l’argent aux pauvres. Alors tu auras des richesses auprès de Dieu. Ensuite, viens et suis-moi. » 22 Mais quand le jeune homme entend cela, il s’en va tout triste parce qu’il possède beaucoup de choses.

    23 Jésus dit à ses disciples : « Je vous le dis, c’est la vérité : pour quelqu’un de riche, c’est très difficile d’entrer dans le Royaume des cieux. 24 Je vous dis encore ceci : est-ce qu’un chameau peut passer facilement par le trou d’une aiguille ? Eh bien, pour un riche, c’est encore plus difficile d’entrer dans le Royaume de Dieu ! » 25 Quand les disciples entendent cela, ils sont très étonnés et ils disent : « Mais alors, qui peut être sauvé ? » 26 Jésus les regarde et leur dit : « Pour les hommes, c’est impossible, mais pour Dieu, tout est possible. »
     
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  • sante-nutrition.org

     

    Comment faire des infusions de plantes pour nettoyer votre corps

    infusions5

     

     

    Comment faire une infusion pour nettoyer votre corps?

    Les infusions que vous allez découvrir vous aiderons à nettoyer votre corps et à stimuler vos organes pour se débarrasser de diverses toxines, comme les polluants, la graisse qui s’accumule dans les tissus, les minéraux en excès et les métaux lourds.

    Le foie contribue à l’élimination des déchets toxiques et métaboliques, le côlon est une partie du système digestif qui élimine les toxines et les reins pompent régulièrement de l’urine pour éliminer les déchets métaboliques.

    Infusion pour nettoyer le côlon (1 litre)

    Cette infusion contient des plantes qui sont légèrement laxatives et amères afin de stimuler le système digestif.

    2 parts de feuilles fraîches de pissenlit
    2 parts de feuilles fraîches d’ortie
    2,5 cm de gingembre frais, haché
    1 part de racine de rumex (yellow dock), coupée en morceaux de 2 cm
    1 cuillère à soupe de racine de réglisse, émincée
    1 litre d’eau bouillante
    Du miel

    Hachez les plantes fraîches. Ajoutez la racine de rumex, la racine de réglisse et le gingembre. Versez l’eau bouillante, couvrez la casserole et laissez infuser pendant 15-20 minutes. La boisson a un gout amère, donc ajoutez du miel et buvez 3 à 5 tasses chaudes par jour de cette infusion pendant un maximum de trois jours.

    Infusion pour nettoyer les reins (1 litre)

    Cette infusion nettoie les reins, nourrit les voies urinaires et stimule la circulation de la lymphe ce qui aide à prévenir les infections. N’utilisez pas cette infusion si vous êtes enceinte ou allaitante.

    2 cuillères à soupe de feuilles séchées de pissenlit (ou 4 càs de feuilles fraîches de pissenlit )
    1 cuillère à soupe de persil séché (ou 2 càs de persil frais)
    1 cuillère à café de fleurs séchées de trèfle rouge
    Du miel

    Mélangez les plantes dans un bocal en verre de 1 litre. Remplissez le bocal d’eau bouillante. Laissez infuser pendant 10 minutes. L’infusion sera amère, donc ajoutez du miel. Buvez 2 à 3 tasses chaudes par jour.

    Infusion pour nettoyer les poumons (3 tasses)

    Cette tisane est efficace pour soulager la congestion des voies respiratoires, les rhumes et les bronchites. Elle apaise les bronches irritées et élimine l’excès de mucus dans les poumons.

    1 cuillère à soupe de fleurs de molène
    1 cuillère à soupe de menthe poivrée
    1 cuillère à soupe de racine de réglisse (facultatif)

    Dans trois tasses d’eau laissez mijoter la racine de réglisse pendant environ 10 minutes. Ajoutez la menthe poivrée et la molène et laissez mijoter 10 minutes de plus.

    Infusion pour nettoyer le foie (3 tasses)

    Les graines de chardon-Marie sont considérées comme un nettoyant puissant du foie. Elles contiennent des composés phytochimiques qui stimulent la sécrétion de bile provenant du foie et de la vésicule biliaire.

    1 càs de graines de chardon-Marie

    Écrasez les graines de chardon-Marie en une poudre fine avec un mortier et un pilon. Versez de l’eau bouillante sur les graines broyées et laissez infuser pendant 20 minutes. Filtrez le mélange avec une passoire et jetez les graines. Buvez une tasse trois fois par jour: deux fois avant le repas et une fois avant d’aller vous coucher.

    Infusion pour nettoyer la lymphe (3 tasses)

    Le système lymphatique est un réseau de drainage des fluides, d’organes et de vaisseaux qui sont responsables de l’élimination des déchets cellulaires et des agents étrangers tels que bactéries, virus, toxines, etc. La lymphe est le liquide qui circule à travers le système lymphatique. La lymphe se déplace à travers les ganglions lymphatiques où ils sont détruits.

    2 parts de calendula
    2 parts de gaillet gratteron
    1 part de molène

    Mélangez les plantes dans un bocal en verre. Remplissez le bocal d’eau bouillante. Laissez infuser pendant 10 minutes. Buvez 2 à 3 tasses par jour pendant 2 à 3 semaines.

     

     

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  • passeportsante.net

    Vrai / Faux : le végétarisme peut-il vraiment nuire à la santé ?

     

     

    Le régime végétarien compte de plus en plus d’adeptes. Et si le phénomène reste encore timide en France, il se développe à vitesse grand V outre-Atlantique et dans différents pays européens. La motivation principale découle souvent de principes éthiques, en particulier du bien-être animal et de la protection de l’environnement. Une interrogation demeure néanmoins : un tel choix se fait-il au mépris de leur santé ? Carences en fer, vitamine B12, protéines végétales... PasseportSanté fait le tour des idées reçues sur la question.

     

    Les végétariens et les végétaliens sont en moins bonne santé que les autres - Faux

    Vrai / Faux : le végétarisme peut-il vraiment nuire à la santé ?

    Un régime végétarien entraîne en moyenne des apports plus bas en acides gras saturés et en cholestérol, et à l’inverse, des apports plus élevés en fibres et en substances phytochimiques1. Cela est lié à la consommation plus importante de fruits, de légumes, de céréales à grains complets, de légumineuses et de noix. Les végétariens ont donc en moyenne un IMC plus bas, des taux de cholestérol plus faibles et une pression sanguine moins élevée1. Comparativement aux non-végétariens, les végétariens ont également des taux réduits de mortalité liée aux maladies cardiovasculaires. Il n’y a pas de différences significatives en ce qui concerne les autres motifs de décès mais les végétariens seraient tout de même moins sujets au diabète, à l’hypertension et à certains cancers2. S’il est convenablement équilibré, le régime végétarien joue même un rôle dans la prévention de certaines maladies comme l’ostéoporose, les maladies rénales, la démence et l’arthrite rhumatoïde3.

    Quid des végétaliens ?

    En ce qui concerne le régime végétalien, il existe encore peu d’études démontrant son impact sur la santé. Les apports diminués en acides gras insaturés oméga-3 et en vitamine B12 suscitent l’interrogation, mais les dernières études montrent que le régime végétalien conférerait une protection supplémentaire contre l’obésité, l’hypertension et les maladies inflammatoires par rapport au régime végétarien4. Ajoutons également que les raisons qui poussent à choisir un régime végétarien ou végétalien influent souvent directement sur le bien-être des principaux intéressés.

     

    Les protéines animales sont plus recommandables que les protéines végétales - Faux

    Vrai / Faux : le végétarisme peut-il vraiment nuire à la santé ?

    L’idée selon laquelle la qualité des protéines animales serait largement supérieure à celle des protéines végétales, court toujours. S’il est vrai que les protéines animales sont généralement plus riches en acides aminés indispensables que les protéines végétales, on sait que les besoins sont aisément satisfaits dès lors que les sources protéiques végétales se complètent (céréales et légumineuses par exemple). D’ailleurs, ces associations ne doivent pas nécessairement être faites au même repas comme on l’a longtemps pensé. En ce qui concerne la digestibilité, les protéines animales présentent une digestibilité très légèrement supérieure (95 % contre 90 % pour les protéines végétales).

    Les protéines animales, mises en cause ?

    Pour autant les protéines animales ont de plus en plus mauvaise presse. D’abord, les études montrent que le fait de consommer plus de produits animaux a pour effet d’augmenter sa consommation de protéines. On parle même de plus en plus de surconsommation : alors que la recommandation est de 0,83 g de protéines par kg de poids corporel et par jour, la consommation dans les pays occidentaux est très largement supérieure, en moyenne 1,4 g de protéines par kg de poids corporel. Plusieurs travaux ont mis en avant un lien entre l’obésité et la surconsommation de protéines chez les enfants et adolescents.

    Par ailleurs, peut-on raisonnablement associer les protéines animales avec les pathologies chroniques modernes comme on peut parfois l’entendre ? La recherche scientifique ne permet, en tout cas, pas d’en établir le lien. S’il a été prouvé qu’une forte consommation de viande rouge augmentait modérément le risque de cancer colorectal, le lien entre protéines animales et ostéoporose reste très controversé. En conclusion, lorsque le régime végétarien est équilibré, les protéines végétales ne semblent pas de qualité inférieure aux protéines animales, lesquelles ne peuvent pas être associées aux pathologies chroniques au regard des connaissances disponibles.

     

    Les végétariens sont à risque de carence en vitamine B12- Vrai

    Vrai / Faux : le végétarisme peut-il vraiment nuire à la santé ?

    L’un des problèmes indiscutables que pose le régime végétarien (et a fortiori le régime végétalien) est la question de la vitamine B12. Cette vitamine, également appelée cobalamine, est indispensable au fonctionnement adéquat de toutes les cellules du corps et à l'équilibre du système nerveux. On la trouve principalement dans la viande, les œufs, le lait, les poissons et les crustacés. Elle est bien connue pour être la seule vitamine à être absente du monde végétal.

    Des études ont montré que les végétariens étaient à risque de carence en vitamine B12 comparativement aux non-végétariens2. Chez certaines populations, comme les femmes enceintes, les enfants et les sujets âgés, le risque est même décuplé3. La carence découle d’une mauvaise couverture des apports journaliers recommandés (2.4 μg / jour) : elle survient généralement à la longue après des années de végétarisme. Les végétaliens, qui ne mangent ni œufs ni produits laitiers, sont plus à risque, mais la différence n’est pas flagrante. En effet, la teneur en vitamine B12 n’est pas importante dans un œuf (entre 0,9 et 1,4 μg/100 g)5 et sa biodisponibilité oscille entre 4 et 10 % seulement6. Elle est encore plus faible dans le lait (entre 0,3 et 0,4 μg/100 g7) et dans les produits laitiers (20 à 60 % de la teneur initiale présent dans le lait8).

    Quels symptomes pour la carence en vitamine B12 ?

    En l’absence de toute source alimentaire apparente, l’homme adulte développe généralement les symptômes d’une carence au bout de cinq ans. Certains commencent à éprouver des problèmes au bout d’un an seulement. La plupart des végétaliens consomment assez de B12 pour éviter l’anémie et la dégradation du système nerveux, mais beaucoup n’en prennent pas suffisamment pour éviter le risque potentiel de maladies cardiaques et de complications lors de la grossesse.

    N'existe-t-il vraiment aucun végétal ou champignon riche en vitamine B12 ?

    En réalité, il existe quelques rares végétaux et champignons contenant de la Vitamine B12. On compte notamment le Nori (qui rassemble plusieurs espèces d’algues comme l’Aonori), utilisé dans la cuisine japonaise et notamment dans l’élaboration des Makizushi et des temaki. Le soja ne contient pratiquement pas de vitamine B12, mais un des produits dérivés, le tempeh9, en compte de manière importante. C’est grâce à la fermentation des graines de soja que l’on ensemence avec un champignon du groupe des zygomycètes. On trouve également de la vitamine B12 en quantité très faible dans les brocolis, les asperges, les germes de haricots mungo et les feuilles de thé10. Plusieurs champignons comestibles comme la Trompette de la Mort, la Chanterelle Ciboire ou le champignon Shiitake en contiennent en grandes quantités (de 1,1 à 5 μg/100 g)11.

    Cependant, la présence chimique de vitamine B12 dans un aliment « naturel » ne constitue jamais une preuve de biodisponibilité pour les humains. La présence d'analogues à la vitamine B12 en quantité égale à la vraie vitamine, peut la rendre inefficace. L'expérience de nombreux végétariens et végétaliens ont montré que la consommation d'algues ou de champignons ne constituait pas une source de vitamine B12 fiable. Deux produits, souvent utilisés par les végétariens, doivent retenir l’attention. Les tablettes de Chlorelle (un type d’algue verte) semblent contenir de la vitamine B12 biologiquement active mais la teneur n’est pas régulière (elle oscille de 0 à une dizaine de μg pour 100 g)12. La spiruline et toutes les cyanobactéries comestibles, ne contiennent que des pseudovitamines B1213, inactives chez l’homme. Elles ne doivent donc pas être considérées comme des sources de vitamine B12 pour les végétariens.

     

    Comment se substituer sans consommer de produits animaux ?

    Au regard des connaissances disponibles et de l'expérience clinique, les seules sources fiables de vitamine B12 sont les produits alimentaires enrichis (parmi lesquels figurent certains laits végétaux, quelques produits au soja et des céréales de petit-déjeuner) ainsi que les compléments de B12. Il convient de choisir parmi ces trois propositions pour éviter la carence :

    - Manger 2 à 3 fois par jour des produits enrichis afin d’obtenir au moins 3 microgrammes (μg ou mcg) de B12.

    - Prendre un supplément qui fournit 10 microgrammes quotidiennement.

    - Prendre un supplément hebdomadaire qui fournit 2000 microgrammes.

     

     

    Les régimes végétariens et végétaliens sont dangereux pour la femme enceinte - Faux

    Vrai / Faux : le végétarisme peut-il vraiment nuire à la santé ?

    Il existe plus de 262 textes scientifiques étudiant les effets de ces régimes sur la grossesse1 : aucune n’a mis en évidence une augmentation de malformations majeures chez l’enfant, et une seule a montré une légère augmentation du risque d’hypostadias (malformation du pénis) chez l’enfant masculin d’une maman végétarienne. Cinq études ont montré un poids de naissance plus faible chez les enfants de mamans végétariennes mais deux études ont montré des résultats inverses. La durée de la grossesse, en revanche, reste identique que l’on soit végétarien ou non.

    Neuf études mettent tout de même en lumière les risques de carence en vitamine B12 et en fer chez la femme enceinte végétarienne. En définitive, les régimes végétaliens et végétariens peuvent être considérées comme sûrs, dès lors qu’une attention particulière est portée aux besoins en vitamines (surtout la vitamine B12) et en oligo-éléments (et plus particulièrement le fer). D’autres recherches ont montré que les femmes enceintes végétariennes avaient de bien meilleurs apports en magnésium, ce qui permet de réduire significativement la fréquence des crampes de mollet au troisième trimestre2.

     

    Les végétariens souffrent de carences en fer - Faux

    Vrai / Faux : le végétarisme peut-il vraiment nuire à la santé ?

    Les végétariens qui mangent de façon équilibrée n’ont pas plus de risque de souffrir de carences en fer (qui mène notamment à l’anémie ferriprive) que les non-végétariens1. Un régime riche en légumineuses, noix, grains, fruits secs, céréales et légumes à feuilles vertes permet un apport journalier adéquat en fer. En réalité, les végétariens consomment même plus de fer que les non-végétariens2 ! Mais alors, d’où vient cette idée reçue ?

    Il existe 2 types de fer : le fer héminique, que l’on retrouve dans la viande et le poisson, et le fer non héminique, que l’on retrouve dans les produits laitiers, les œufs et les végétaux. Le fer héminique est généralement mieux absorbé (15 à 35 %) que le fer non héminique (2 à 20 %), et c’est la raison pour laquelle on a longtemps suggéré que les végétariens étaient sans doute plus à risque de carence en fer. En réalité, la situation est plus complexe. L’absorption du fer (et surtout celle du fer non-héminique) dépend d’un grand nombre de facteurs comme sa forme chimique, la quantité consommée mais aussi la composition du repas ingéré.

    Ainsi, les polyphénols3 et les phytates4 sont connus pour se lier au fer non-héminique, ce qui réduit son absorption. Le thé, le café, les céréales à grains entiers, les noix et les graines sont donc des aliments qui vont freiner son absorption. En revanche, la vitamine C, et tous les autres acides organiques de différents fruits et végétaux vont améliorer l’absorption du fer5 et même annuler les effets inhibiteurs des phytates6.

    Au final, la concentration hémoglobine des végétariens se révèle similaire à celle des non-végétariens7,8. Par ailleurs, les personnes végétaliennes n’ont pas à se sentir plus menacées que les végétariens car le lait n’est pas une bonne source de fer tandis que celui contenu dans les œufs est peu assimilable.

     

    Le régime végétarien conduit à des manques de minéraux essentiels - Faux

    Vrai / Faux : le végétarisme peut-il vraiment nuire à la santé ?

    Des études ont montré que les adultes végétariens avaient des apports en zinc et en sélénium moins importants, mais des apports en cuivre et en manganèse supérieurs à ceux des non-végétariens. Au-delà de ces apports inégaux, se pose la question de la biodisponibilité des minéraux ingérés. En effet, les grandes quantités de phytates (que l’on retrouve dans les noix, les graines et les grains entiers) et de fibres alimentaires (que l’on retrouve dans les légumineuses, les fruits et les légumes) sont connues pour réduire l’absorption de minéraux comme le zinc, le cuivre et probablement le sélénium. Or, ces aliments sont la base d’un régime végétarien !

    Cependant, malgré ces différences d’apports et le problème posé par l’absorption, les teneurs en oligo-éléments et minéraux apparaissent, en moyenne, identiques chez les deux types de populations. Les chercheurs pensent que l’organisme s’adapterait au régime en augmentant de lui-même l’absorption de ces oligo-éléments. Les enfants, en revanche, apparaissent plus vulnérables du fait de leurs besoins élevés en zinc (indispensable à la croissance).

     

    Les personnes végétaliennes auraient une meilleure flore intestinale - Vrai

    Vrai / Faux : le végétarisme peut-il vraiment nuire à la santé ?

    Le microbiote intestinal désigne l’ensemble des micro-organismes (bactéries, levures, champignons, virus) qui peuplent l’intestin. Ils seraient environ 100 000 milliards, soit deux fois plus que le nombre de cellules de l’organisme. Même si l’on ne connaît pas encore tous les secrets de cette flore énigmatique, on découvre peu à peu les nombreux rôles qu’elle joue sur la santé humaine. Or, cette flore diffère en fonction de l’alimentation !

    Quelques études ont montré que le régime végétalien conférait un microbiote intestinal différent de celui des personnes mangeant régulièrement de la viande, du lait ou des œufs. Celui-ci présentait davantage d’espèces protectrices et moins de pathobiontes, ces organismes pathogènes qui logent dans nos intestins1. Cela expliquerait peut-être pourquoi on retrouve chez les personnes végétaliennes, des niveaux d’inflammation réduits. Pour l’heure, on ne connaît pas encore le lien exact entre la composition microbienne de l’intestin et les maladies inflammatoires (comme la maladie de Crohn par exemple).

     

    L’Homme n’est pas fait pour manger de la viande - Faux

    Vrai / Faux : le végétarisme peut-il vraiment nuire à la santé ?

    Les études scientifiques parues sur le sujet ne laissent pas de place au doute : Homo Sapiens, la seule espèce d’hominidés encore existante, est bienomnivore1. Cette capacité à digérer les produits d’origine animale découle d’une évolution rapide liée à la sélection naturelle : l’avantage procuré par cette capacité a permis aux individus une descendance plus importante que les individus n’ayant pas cette faculté. Car à l’origine, les Australopithèques, dont la lignée humaine est probablement issue,  ne mangeaient que de très petites quantités de produits animaux. Leur alimentation était alors proche de celle des chimpanzés d’aujourd’hui. Il y a plus de 2 millions d’années, les premiers représentants du genre Homo comme Homo Erectus et Homo Abilis se tournent peu à peu vers une diète qui leur confère davantage d’énergie : la part de la viande dans l’alimentation augmente. Cela leur est possible grâce à différents changements physiologiques et morphologiques comme une dentition plus gracile.

    Le rôle joué par la viande dans le processus évolutif est aujourd’hui mal connu, voire controversé2. Il reste que les recommandations alimentaires d’aujourd’hui s’appuient sur la consommation de produits animaux comme la viande, le poisson, le lait ou les œufs compte tenu des besoins nutritionnels de l’homme moderne (la vitamine B12 essentiel pour le fonctionnement de notre cerveau et qui se trouve presque exclusivement dans les produits carnés en est un exemple).

    Aujourd’hui, il est largement possible de se passer de produits animaux, tout en ayant une excellente alimentation, mais la plupart des alternatives (comme les légumineuses ou les céréales) n’étaient pas disponibles pour nos ancêtres. Ces derniers mangeaient ce qu’ils trouvaient en fonction de l’environnement dans lequel ils évoluaient : certains avaient une alimentation très majoritairement carnée, tandis que d’autres se nourrissaient en grande partie de produits végétaux4. Cette diversité est le témoin de l’extraordinairefaculté d’adaptation de l’organisme humain face à son environnement. 

     

      

    Martin Lacroix

     

     

    Sources

    Question 1
    1. Li D. Chemistry behind vegetarianism. J. Agric. Food Chem. 2011;59:777–784. doi: 10.1021/jf103846u.[PubMed] [Cross Ref]
    2. Craig W.J. Nutrition concerns and health effects of vegetarian diets. Nutr. Clin. Pract. 2010;25:613–620. doi: 10.1177/0884533610385707. [PubMed] [Cross Ref]
    3. Key TJ, Appleby PN, Rosell MS. Health effects of vegetarian and vegan diets. Proc Nutr Soc. 2006 Feb;65(1):35-41.
    4. Le LT1, Sabaté J2. Beyond meatless, the health effects of vegan diets: findings from the Adventist cohorts. Nutrients. 2014 May 27;6(6):2131-47. doi: 10.3390/nu6062131.

    Question 2
    1. Claire Gaudichon, Protéines animales et santé : entre vrai et faux, Doi : 10.1016/j.pranut.2013.09.008

    Question 3
    1. Watanabe F. Vitamin B12 sources and bioavailability. Exp. Biol. Med. 2007;232:1266–1274. doi: 10.3181/0703-MR-67. [PubMed] [Cross Ref]
    2. Millet P., Guilland J.C., Fuchs F., Klepping J. Nutrient intake and vitamin status of healthy French vegetarians and nonvegetarians. Am. J. Clin. Nutr. 1989;50:718–727. [PubMed]
    3. Pawlak R., Parrott S.J., Raj S., Cullum-Dugan D., Lucus D. How prevalent is vitamin B12 deficiency among vegetarians? Nutr. Rev. 2013;71:110–117. doi: 10.1111/nure.12001. [PubMed] [Cross Ref]
    4. Shibata K., Fukuwatari T., Imai E., Hayakawa H., Watanabe F., Takimoto H., Watanabe T., Umegaki K. Dietary reference intakes for Japanese 2010: Water-soluble vitamins. J. Nutr. Sci. Vitaminol. 2013;59:S67–S82.
    5. Squires M.W., Naber E.C. Vitamin profiles of eggs as indicators of nutritional status in the laying hen: Vitamin B12 study. Poult. Sci. 1992;71:275–282. [PubMed]
    6. Doscherholmen A., McMahon J., Ripley D. Vitamin B12 absorption from eggs. Proc. Soc. Exp. Biol. Med.1975;149:987–990. doi: 10.3181/00379727-149-38940. [PubMed] [Cross Ref]
    7. Watanabe F. Vitamin B12 sources and bioavailability. Exp. Biol. Med. 2007;232:1266–1274. doi: 10.3181/0703-MR-67. [PubMed] [Cross Ref]
    8. Arkbage K., Witthoft C., Fonden R., Jagerstad M. Retention of vitamin B12 during manufacture of six fermented dairy products using a validated radio protein-binding assay. Int. Dairy J. 2003;13:101–109.
    9. Kittaka-Katsura H., Watanabe F., Nakano Y. Occurrence of vitamin B12 in green, blue, red, and black tea leaves. J. Nutr. Sci. Vitaminol. 2004;50:438–440. doi: 10.3177/jnsv.50.438. [PubMed] [Cross Ref]
    10. Nout M.J.R., Rombouts F.M. Recent developments in tempe research. J. Appl. Bacteriol. 1990;69:609–633.
    11. Watanabe F., Schwarz J., Takenaka S., Miyamoto E., Ohishi N., Nelle E., Hochstrasser R., Yabuta Y. Characterization of vitamin B12 compounds in the wild edible mushrooms black trumpet (Craterellus cornucopioides) and golden chanterelle (Cantharellus cibarius) J. Nutr. Sci. Vitaminol. 2012;58:438–441.[PubMed]
    12. Fumio Watanabe, Yukinori Yabuta & al. Vitamin B12-Containing Plant Food Sources for Vegetarians, Nutrients. 2014 May; 6(5): 1861–1873.
    13. Teng F., Bito T., Takenaka S., Takenaka H., Yamaguchi Y., Yabuta Y., Watanabe F. Characterization of corrinoid compounds in the edible cyanobacterium Nostoc flagelliforme the hair vegetable. Food Nutr. Sci.2014;5:334–340.

    Question 4
    1. Piccoli GB, Clari R, Vegan-vegetarian diets in pregnancy: danger or panacea? A systematic narrative review. BJOG. 2015 Apr;122(5):623-33. doi: 10.1111/1471-0528.13280. Epub 2015 Jan 20.
    2. C Koebnick, R Leitzmann, & al. Long-term effect of a plant-based diet on magnesium status during pregnancy, European Journal of Clinical Nutrition (2005) 59, 219–225. doi:10.1038/sj.ejcn.1602062 Published online 29 September 2004

    Question 5
    1. Saunders AV, Craig WJ & al. Iron and vegetarian diets. Med J Aust. 2013 Aug 19;199(4 Suppl):S11-6.
    2. Calkins BM, Whittakar DJ & al. Diet, nutrition intake and metabolism in populations at high and low risk for colon cancer. Nutrient intake. Am J Clin Nutr 1984;40:896-905
    3. Brune M, Rossander L, Hallberg L. Iron absorption and phenolic compounds: importance of different phenolic structures. Eur J Clin Nutr 1989;43:547-58.
    4. Hallberg L. Bioavaailability of dietary iron in man. Annu Rev Nutr 1981:1:123-47.
    5. Derman DP. Ballot D, Bothwell TH, et al. Factors influencing theabsorption of iron from soya-bean protein products. Br J Nuts 1987:57:345-53.3
    6. Macfarlane BJ, Bezwoda WR, Bothwell TH, et al. Inhibitory effect of nuts on iron absorption. Am J Clin Nutr 1988:47:270-4. 3
    7. Latta D, Liebman M. Iron and zinc status of vegetarian and nonvegetarian males. Nutr Rep Int 1984;30;141-7
    8. Anderson BM, Gibson RS, Sabry JH. The iron and zinc status of hong-term vegetarian women. Am J Clin Nutr 198 1:34:1042-8.
    9. Hallberg L. Bioavailability of dietary iron in man. Annu Rev Nutr 1981:1:123-47.

    Question 6
    1. Rosalind S. Gibson, Content and bioavailability of trace elements in vegetarian diets, Am J Clin Nutr May 1994vol. 59 no. 5 1223S-1232S
    2. Saunders AV, Craig WJ, Zinc and vegetarian diets. Med J Aust. 2013 Aug 19;199(4 Suppl):S17-21.

    Question 7
    1. Glick-Bauer M, Yeh MC. The health advantage of a vegan diet: exploring the gut microbiota connection. Nutrients. 2014 Oct 31;6(11):4822-38. doi: 10.3390/nu6114822.

    Question 8
    1. Ströhle A, Wolters M & al. Human nutrition in the context of evolutionary medicine, Wien Klin Wochenschr. 2009;121(5-6):173-87. doi: 10.1007/s00508-009-1139-1.
    2. Katharine Milton, The critical role played by animal source foods in human Evolution, Department of Environmental Science, Policy & Management, Division Insect Biology, University of California, Berkeley, CA 94720-3112, The Journal of Nutrition, 2003.
    3. Verginelli F, Aru F & al. Nutrigenetics in the light of human evolution. J Nutrigenet Nutrigenomics. 2009;2(2):91-102. doi: 10.1159/000228251. Epub 2009 Jul 10.
    4. Ungar PS, editor. Evolution of the Human Diet: The Known, The Unknown, and the Unknowable. Oxford University Press; New York: 2007.

     

     

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  • vivreaujourdhui.com

    QUE CHERCHEZ-VOUS ?

     
     
    24 Avril 2015

     
     

    Quand les gens virent que Jésus n’était pas là, et ses disciples non plus, ils montèrent dans ces bateaux […] à la recherche de Jésus.
    Jean 6.24

    Dans le supermarché, un couple de parents inquiets cherche fébrilement leur fils qui a échappé à leur attention. Tout à coup, on entend dans les haut-parleurs : « Le petit Maxime attend ses parents à l’accueil du magasin. » Ouf ! Quel soulagement !
    Chercher un être aimé disparu peut être angoissant. Diverses sont les raisons et motivations de chercher quelque chose ou quelqu’un.
    Des gens étaient partis à la recherche de Jésus1. Avec quelles motivations ? Jésus le savait et leur dit : Vous me cherchez… parce que vous avez mangé des pains et que vous avez été rassasiés.
    Il les invita à chercher la nourriture spirituelle qu’il est lui-même.
    Et vous, que cherchez-vous ? La réussite, la popularité, être aimé ou reconnu ? Il y a des recherches qui sont vaines, qui ne mènent nulle part et qui ne satisfont pas.
    Cherchez-vous Jésus ? La Bible dit que Jésus se laisse trouver par celui qui le cherche de tout son cœur. Peut-être cherchez-vous à retrouver une relation avec lui que vous avez laissée de côté un certain temps. Celui qui cherche de tout son cœur trouve2 !

    Danièle Delépine

    1 voir la lecture proposée           2 Matthieu 7.7-8

     

     

    QUE CHERCHEZ-VOUS ?

    Évangile selon Jean 6. 22-27 : "22 La foule est restée de l’autre côté du lac. Le jour suivant, les gens voient qu’une seule barque est partie. Ils le savent, Jésus n’est pas monté dans la barque avec ses disciples. Les disciples sont partis seuls. 23 Mais d’autres barques viennent de Tibériade. Elles arrivent près de l’endroit où les gens ont mangé le pain après la prière de remerciement du Seigneur. 24 La foule voit que Jésus et ses disciples ne sont pas là. Alors ils montent dans les barques et ils vont à Capernaüm pour chercher Jésus.

    25 Les gens trouvent Jésus de l’autre côté du lac et ils lui demandent : « Maître, quand est-ce que tu es arrivé ici ? » 26 Jésus leur répond : « Oui, je vous le dis, c’est la vérité : vous me cherchez seulement parce que vous avez mangé autant de pain que vous avez voulu. Mais vous ne me cherchez pas parce que vous avez vu des signes étonnants. 27 Ne travaillez pas pour la nourriture qui s’abîme. Mais travaillez pour la nourriture qui dure et qui donne la vie avec Dieu pour toujours. Cette nourriture, le Fils de l’homme vous la donnera. En effet, le Père, qui est Dieu lui-même, a donné son pouvoir au Fils. »
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  • sante-nutrition.org

     

    CONCOMBRES, 10 AVANTAGES POUR LA SANTÉ

     

    Cucumber on White

     

     

    Les concombres sont les quatrièmes légumes les plus cultivés dans le monde et connus pour être l’un des meilleurs aliments pour la santé globale de votre corps, souvent désignés comme un super-aliment. Les concombres sont souvent pulvérisés avec des pesticides, il est important d’acheter bio ou encore mieux, les cultiver vous-même.

    Voici 10 avantages pour la santé des concombres:

     

    Voici 10 bonnes raisons du concombre :

    1. Une source de vitamines et d’oligoéléments
    Les concombres sont riches en vitamine A, B1, B6, B9, C, D, E et K, bêta-carotène, acide folique, calcium, magnésium, phosphore, sodium et potassium.

     

    2. Réhydrater l’organisme
    Les concombres sont composés de 95 % d’eau, ils permettent de réhydrater l’organisme, de se désaltérer et de se rafraîchir.

     

    3. Un secret de beauté
    La peau du concombre peut être utilisée pour apaiser les irritations de la peau, les démangeaisons, les piqûres d’insectes et les coups de soleil. Sur les paupières, ses propriétés anti-inflammatoires et hydratantes aident à réduire les cernes. Le silicium et le soufre contenu dans les concombres contribuent à stimuler la croissance des cheveux, mais sont également intéressants pour les peaux à problèmes (acné, eczéma, psoriasis…). Sa richesse en silice et en antioxydants en font un allié des peaux matures et un excellent antiride naturel ! De plus, le concombre est apaisant, rafraîchissant, reminéralisant, astringent, cicatrisant et favorise la régénération cellulaire.
    Il peut être appliqué en masque ou lotion directement sur la peau et les cheveux.

     

    4. Prévention du cancer
    Le concombre contient de la cucurbitacine C, une substance chimique qui a des propriétés anti-inflammatoires, inhibe la croissance tumorale et réduit les risques de cancer, notamment le cancer du sein, de l’ovaire, de l’utérus et de la prostate.

     

    5. Drainer son organisme
    Le concombre est un très bon diurétique. Il augmente le flux d’urine et permet de détoxifier l’organisme. Il est conseillé d’en consommer en cas d’engorgement du foie, de calculs rénaux, d’infection urinaire et de troubles du pancréas.

     

    6. Favoriser la digestion
    Contenant une grande quantité d’eau, il favorise l’élimination des toxines et aide à la digestion.
    La consommation quotidienne de concombres est un remède contre la constipation chronique .

     

    7. Éviter la gueule de bois 
    Manger quelques tranches de concombre après un repas lourd et bien arroser permet de réduire l’intensité des troubles digestifs et des maux de tête.

     

    8. Un atout minceur
    En raison de sa faible teneur en calories (12 calories pour 100g), le concombre est un aliment idéal pour perdre du poids. Composé à 95% d’eau, il entraîne rapidement un sentiment de satiété, et il a un effet diurétique et draineur.

    Autre avantage dans un régime minceur, le concombre est long à mastiquer et la mastication permet la libération d’histamine qui entraîne la satiété et permet de favoriser le déstockage des graisses.

     

    9. Cholestérol et diabète 
    Le concombre contient une hormone favorisant la production de l’insuline ainsi que des stérols qui réduisent le taux de cholestérol. Il contient beaucoup de potassium, de magnésium qui régulent la pression artérielle.

     

    10. Concombre et maladies articulaires
    Le concombre est une excellente source de silice, qui renforce les tissus conjonctifs des articulations. De plus, son action drainante permet d’éliminer l’acide urique responsable de l’arthrite, la goutte, l’arthrose et les rhumatismes.

     

     

    Sources:
    http://www.gardeningchannel.com/the-health-benefits-of-cucumbers/
    http://www.healthonlinezine.info/15-health-benefits-of-cucumber.html
    http://www.eatingwell.com
    http://www.naturalnews.com/035719_cucumbers_anti-aging_vegetables.html

     
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  • medisite.fr

    LES MÉDICAMENTS QUI PEUVENT RENDRE AVEUGLE

     

     

    Cortisone,  traitements de l'arthrite, du coeur... Certains médicaments peuvent détériorer la vision, de manière temporaire ou permanente. Voici ceux dont vous devez vous méfier et les précautions à prendre.

     

    Les corticoïdes, surtout par voie topique

    Qu'ils soient donnés par voie orale ou par voie topique, les corticostéroïdes (comme la cortisone) pris de manière prolongée peuvent induire une cataracte, soit une baisse progressive de la vision pouvant aller jusqu'à la cécité si elle n'est pas opérée. "Et, surtout lorsqu'ils sont utilisés par voie topique (sous forme de collyres ou d'injections au niveau des yeux), ils peuvent entraîner une augmentation de la tension oculaire et un glaucome chronique, sans symptôme jusqu'à une perte sévère et irréversible de la vision" ajoute le Pr De Smet, ophtalmologiste et membre de la Société française d'ophtalmologie. Le risque existe également avec les corticoïdes par voie orale, mais surtout si le traitement dure plusieurs mois.

    Pour éviter la perte totale de vision, il faut arrêter le médicament et si nécessaire recourir à un traitement ou une chirurgie afin de stopper l'évolution du glaucome selon son avancée. Les personnes les plus à risque sont celles qui présentent déjà un glaucome ou des facteurs de risques (âge, hypertension oculaire...). En parallèle de ces traitements, la surveillance de la pression oculaire doit être régulière (une fois par mois). Et il ne faut jamais utiliser un collyre antiallergique à base de corticoïdes sans avis médical.
     
     

    Certains traitements de l'arthrite

    La chloroquine et l'hydroxychloroquine (Plaquenil®), prescrits autres autres pour la polyarthrite rhumatoïde ou le lupus erythémateux, peuvent entraîner une atteinte de la rétine, avec des symptômes réversibles mais aussi parfois une perte de vision qui peut être définitive. "La sensibilité est très variable d'une personne à l'autre mais le plus souvent, le problème survient lorsque les doses prescrites sont élevées ou lorsque l'usage est prolongé, avec une prise pendant plus de 5 ans" précise le Pr De Smet.

    En prévention, un suivi chez l'ophtalmologiste dès le début du traitement et un contrôle annuel (ou plus fréquent dans certains cas particuliers) est obligatoire en parallèle du traitement, pour être sûr de l'arrêter à temps en cas d'atteinte oculaire.

    Attention : "Ces traitements sont également prescrits pour la prévention et le traitement de la malaria. Dans ce cas, il faut bien veiller à ce que l'hydroxychloroquine ne dépasse pas 6,5 mg par kilo de poids et par jour pour une personne non obèse, et 1000 g au total sur toute une vie", ajoute le spécialiste.
     
     

    Des médicaments pour le cœur parfois responsables d'une neuropathie

    L'amiodarone et d'autres anti-arythmiques prescrits en cas de troubles cardiaques peuvent entraîner des problèmes oculaires tels qu’une vue qui se trouble, une altération de la vision des couleurs (un halo bleu-vert autour de points lumineux) ou des infiltrations dans la cornée. Le plus souvent, ces symptômes sont réversibles avec l'arrêt du médicament. "Mais, de manière beaucoup plus rare, jusqu’à 2% des patients sous amiodarone notent une perte progressive de la vision des deux yeux durant la première année du traitement. Celle-ci est causée par une neuropathie au niveau du nerf optique, souvent irréversible si elle est décelée tardivement" prévient l’ophtalmologiste. L’arrêt du médicament permet à la vision de récupérer, bien que lentement. Cependant, il ne faut arrêter de tels médicaments que suite à un examen complet et sur avis de ses médecins car ils sont parmi les médicaments les plus prescrits pour des arythmies du cœur en raison de leur efficacité.
     
     

    Les médicaments pour les troubles érectiles à hautes doses

    Les médicaments prescrits pour favoriser l'érection (Viagra®, Cialis®, Lévitra®), lorsqu'ils sont utilisés à des doses supérieures à 200 mg, peuvent assez fréquemment créer une vision bleutée, généralement transitoire et qui disparaît au bout de 4 heures environ. "Un possible risque de neuropathie ischémique avec une circulation sanguine interrompue au niveau du nerf optique, entraînant une perte définitive de la vision, a également été évoqué, même s'il n'est pas démontré clairement à l'heure actuelle" précise l'ophtalmologiste.

    Si on prend ce type de médicament, il vaut mieux utiliser la dose efficace la plus faible et si l'on note une modification ou une baisse de la vision qui dure plus de 4 heures, consulter en urgence un ophtalmo.
     
     

    Certains antidépresseurs et anxiolitiques

    Certains antidépresseurs (Effexor®, Cymbalta®, Zoloft®...) et anxiolytiques (comme le Lexomil®) peuvent causer un glaucome aigu, avec une augmentation rapide de la tension oculaire, et le risque serait plus élevé dans les premières semaines d'utilisation. Il se manifeste par des halos lumineux, une vision qui se brouille, des nausées et des douleurs. "Celui-ci est réversible si on arrête immédiatement le médicament en cause et que l'on suit un traitement anti-glaucomateux. En revanche, s'il n'est pas traité, l'oeil finit par s'y habituer, il ne fait plus mal. Si la tension oculaire reste élevée, celle-ci peut mener à la cécité au bout d'un certains temps. D'où l'importance de consulter en urgence" rappelle le Pr De Smet.
     
     

    Les antituberculeux

    "Certains médicament utilisés dans le traitement de la tuberculose (INH®, Ethambutol®...) peuvent causer une neuropathie touchant le nerf optique et entraînant une perte de vision qui peut être irréversible si les doses sont très élevées, en usage prolongé, ou si le médicament n'est pas arrêté assez tôt" explique le Pr De Smet. L'effet est aléatoire et on considère qu'environ 10% des patients auront ce type de symptômes. Ce risque augmente chez les personnes diabétiques, souffrant de maladies rénales et chez les plus de 60 ans. Un suivi renforcé par un ophtalmologiste, tous les 6 mois à un an (selon les indications de l'infectiologue), est donc indispensable lorsqu'on prend ce type de traitement.
     
     

    D’autres médicaments aussi risqués…

    La liste énoncée ci-dessus ne fait mention que d’un certain nombre de médicaments en usage courant. D’autres peuvent affecter la vision, en particulier les médicaments utilisés dans le traitement des cancers. Les agents biologiques qui servent dans le traitement des maladies rhumatoïdes et immunologiques sont également impliqués. La notice fournie avec le médicament contient une liste des effets secondaires : en cas de doute, un ophtalmologue peut vérifier que l'on ne souffre pas d'un de ces effets secondaires.
     
     

    Prudence avec tout nouveau traitement, dont les génériques !

    "Les problèmes oculaires ne sont pas rares avec les médicaments, qu'ils aient des effets indésirables au niveau de la vision, de la rétine, de la cornée ou du nerf optique. Heureusement, le problème est la plupart du temps transitoire et réversible mais il peut aussi y avoir des pertes de vision définitives. Les médicaments les plus dangereux étant ceux qui entraînent des neuropathies ou atteignent la zone maculaire. Certains de ces effets sont connus mais il faut être particulièrement prudent lorsqu'on utilise de nouveaux médicaments ou de nouvelles molécules" estime le Pr Marc de Smet, ophtalmologiste. Il est donc important, lorsqu'on entame un nouveau traitement et que l'on constate des changements dans la vision, de le mentionner immédiatement à son médecin et de consulter rapidement un ophtalmologiste en lui précisant quels médicaments on prend, ainsi que la dose et la durée du traitement. Certains effets indésirables n’apparaissent que lorsque des génériques sont introduits, il est donc important de signaler également toute substitution.
     
     
     
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  • vivreaujourdhui.com

    "CHOISIS ENTRE DIEU ET MOI !"

     
     
    23 Avril 2015
     
     

    Ceux qui se déclareront pour moi devant les hommes, je me déclarerai aussi pour eux devant mon Père céleste. Matthieu 10.32

     

    Mon père, un libre-penseur convaincu, me dit un jour : – Jean, tu sais que je suis ennemi de la religion : je ne veux pas que tu pries chez moi. 

    Mais je savais qu’il vaut mieux obéir à Dieu qu’aux hommes et je continuai à prier. Il me dit alors :

    – Choisis entre Dieu et moi. Si tu ne renonces pas à la prière, je jure que tu ne passeras plus le seuil de cette porte. Je te donne jusqu’à demain pour réfléchir.

    Je passai la nuit à implorer le secours de Dieu. Le matin venu mon père m’aborda brusquement :

    – Eh bien, as-tu fait ton choix ?

    – Mais père, je ne peux pas désobéir à Dieu…

    – Dans ce cas, quitte cette maison sur-le-champ et ne reparais plus devant mes yeux ! Pars immédiatement !

    Je me dirigeai vers la porte. Au moment de sortir, je me retournai et je dis à mes parents :

    – Avant de m’éloigner de vous pour toujours, je vous demande de m’accorder une grâce, une seule.

    – Parle, répondit mon père ; il ne sera pas dit que nous avons refusé à notre enfant sa dernière demande ; mais sache qu’après cela, tout sera fini entre nous.

    – Eh bien, laisse-moi prier ici même pour vous deux.

    Mes parents, qui s’attendaient à tout sauf à cela, restèrent interdits et muets. J’en profitai pour me mettre à genoux et prier avec ferveur et amour pour eux, pour leur salut, de sorte qu’ils tombèrent tous deux à genoux. Lorsque je me relevai, mon père me dit :

    – Ne t’en va pas, Jean. Reste avec nous, mon fils, reste avec nous !

    La foi et la prière avaient remporté la victoire.

    rapporté par Alfred Kuen

     

    "CHOISIS ENTRE DIEU ET MOI !"

     

    Évangile selon Matthieu 10. 28-39 : "28 N’ayez pas peur des gens qui tuent le corps. Ils ne peuvent pas tuer la vie qui est en vous. Celui que vous devez respecter avec confiance, c’est Dieu. Lui, il a le pouvoir de vous faire mourir tout entiers dans le lieu de souffrance. 29 Est-ce qu’on ne vend pas deux petits oiseaux pour presque rien ? Pourtant, quand l’un d’eux tombe par terre, c’est votre Père qui permet cela. 30 Pour vous, Dieu connaît même le nombre de vos cheveux. 31 Donc, n’ayez pas peur ! Pour Dieu, vous êtes plus importants que beaucoup de petits oiseaux !

    32 « Si quelqu’un dit devant tout le monde : “J’appartiens à Jésus”, alors moi aussi, devant mon Père qui est dans les cieux, je dirai : “Cette personne m’appartient.” 33 Mais si quelqu’un dit devant tout le monde : “Je n’appartiens pas à Jésus”, alors moi aussi, devant mon Père qui est dans les cieux, je dirai : “Cette personne ne m’appartient pas.” »
    34 « Ne pensez pas que je suis venu apporter la paix sur la terre. Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le combat. 35 En effet, je suis venu séparer l’homme et son père, la fille et sa mère, la belle-fille et sa belle-mère. 36 On aura pour ennemis les gens de sa famille. »
    37 « Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi. Celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi. 38 Celui qui ne prend pas sa croix  et qui ne me suit pas, celui-là n’est pas digne de moi. 39 Celui qui veut garder sa vie la perdra. Celui qui perdra sa vie à cause de moi la retrouvera. »
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  • sante-nutrition.org

    Le brocoli aide à dégager les poumons endommagés

    brocoli

     

     

    Voici une autre raison de manger vos légumes verts. En plus d’aider à prévenir le cancer, le brocoli peut aussi aider le système immunitaire à nettoyer les bactéries nocives dans les poumons. Un composé qui se trouve dans le légume est actuellement testé comme traitement pour les personnes souffrant de maladies pulmonaires.

     

    Pour s’assurer que les poumons fonctionnent correctement, des globules blancs appelés macrophages éliminent les débris et les bactéries qui peuvent s’accumuler dans les poumons et causer une infection.

    Ce système de nettoyage est défectueux chez les fumeurs et les personnes atteintes de maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) – une combinaison de l’emphysème et la bronchite – qui souffrent d’infections fréquentes.

    Maintenant, les chercheurs ont découvert qu’une voie chimique dans les poumons appelée NRF2, impliquée dans l’activation des macrophages, est anéantie par le tabagisme. Ils ont également constaté que le sulforaphane, un phytonutriment fabriqué par le brocoli, le chou-fleur et les autres légumes crucifères, quand il est détérioré, comme lors de la mastication, peut restaurer cette voie.

    Shyam Biswal de l’Université Johns Hopkins aux Etats Unis, et ses collègues, ont exposé des macrophages défectueux des poumons de 43 personnes atteintes de MPOC à deux souches bactériennes qui sont des causes fréquentes d’infections associées à la MPOC.

    En présence de sulforaphane, la voie NRF2 a été renforcée et l’aptitude des macrophages à reconnaître et à engloutir les bactéries a été restauré.

    Les chercheurs ont ensuite exposé des souris à la fumée pendant une semaine ou six mois. Dans les deux groupes, la colonisation bactérienne dans les poumons a augmenté, analogue à celle observée dans la MPOC. Après avoir traité les souris avec du sulforaphane, ils ont constaté que l’élimination bactérienne a augmenté. Plutôt que d’activer plus de macrophages, le sulforaphane semblait améliorer la fonctionnalité des cellules déjà présentes.

    Le sulforaphane est présent dans le brocoli sous la forme de son précurseur et est converti en composé actif par des enzymes présentes dans la salive et les bactéries intestinales, dit Christopher Harvey, co-auteur de la recherche.

    Les niveaux d’enzymes varient entre les gens, et on peut donc s’attendre à ce que la quantité de sulforaphane obtenue par l’alimentation puisse aussi varier entre les gens. Des études supplémentaires sont nécessaires pour établir les effets bénéfiques d’un régime riche en sulforaphane sur les défenses immunitaires, dit-il.

    L’équipe de Biswal a commencé la phase 2 des essais cliniques pour tester le composé chez les personnes atteintes de MPOC pour voir si cela améliore leur fonction pulmonaire, mais dit qu’il faudra trois ans avant d’avoir des résultats. « Il y a beaucoup de maladies dans lesquelles la fonction pulmonaire est défectueuse en raison d’une augmentation de la fonction bactérienne dans les poumons, » dit-il, « donc cette étude peut être extrapolée à ces maladies aussi. »

    Référence de la publication: Science Translational Medicine, DOI: 10.1126/scitranslmed.3002042

     

     

    Source: PreventDisease.com

     

     
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  • CANCER DU PANCRÉAS

    CANCER DU PANCRÉAS

    Quelles sont les causes du cancer du pancréas ?

    Le cancer du pancréas est responsable de la mort de plus de 300 000 personnes par an dans le monde. Il atteint un peu plus de 10 000 personnes par an en France et malheureusement de plus en plus. 

    Le nombre de malades atteints est en augmentation nette depuis 30 ans, touchant hommes ou femmes entre 60 et 80 ans, mais aujourd’hui de plus en plus tôt, dès 40 ans. Nous voyons dans notre pratique médico-chirurgicale trop de patients atteints par ce type de tumeur. Ils arrivent encore souvent à un stade avancé de la maladie qui ne permet que des traitements palliatifs. 

    Parmi les nouveaux traitements, il faut d’emblée signaler l’efficacité de plus en plus grande des anti-facteurs de croissance. Ce sont les thérapies dites “ciblées” qui, à la différence de la chimiothérapie, agissent prioritairement sur les cellules malades et perturbent moins les cellules normales (globules blancs et autres cellules normales en division). 

    Les thérapies ciblées “ciblent” la famille des récepteurs de facteur de croissance [1]. L’interaction négative entre le récepteur de l’EGF (EGF pour Epidermal Growth Factor) ou HER1 et HER2 (HER pour Human Epidermal Growth Factor Receptor 1 ou 2) lorsqu’ils sont co-exprimés à la surface de la membrane des cellules cancéreuses, et leur coopération pour induire des signaux toxiques intracellulaires, semblent être responsables d’une plus grande agressivité tumorale et font de ces deux récepteurs des cibles thérapeutiques majeures. 

    L’objectif des thérapies ciblées est évidemment l’inhibition de la multiplication cellulaire incontrôlée [2], de l’angiogénèse (construction anormale de vaisseaux qui nourrissent la tumeur) et du processus métastatique. 

    Les causes sont d’autant plus faciles à comprendre et à éviter que l’on sait de plus en plus aujourd’hui comment “agresser” le pancréas. 

    La glande pancréatique est un organe fragile. L’agresser c’est l’irriter, l’enflammer pour la conduire en quelques années au cancer. Pour cela, les chercheurs pensent qu’une douzaine d’années sont nécessaires pour passer d’une pathologie bénigne difficile à diagnostiquer à une pathologie cancéreuse très grave. 

    Par contre, le temps d’envahissement ganglionnaire est beaucoup plus rapide, 1 à 3 mois suffisent comme nous avons pu le vérifier nous-mêmes chez plusieurs patients. 

    Sur 100 malades atteints au niveau des cellules des canaux pancréatiques, nous ne guérissons que 5 % d’entre eux, mais nous parvenons à guérir 10 à 20 % de ceux qui sont opérables (en général sans atteinte cancéreuse des ganglions autour du pancréas). Chez ces derniers, le diagnostic a été fait précocement.

    Où est situé le pancréas et à quoi sert-il ?

    Pour bien comprendre comment le pancréas peut être atteint par le cancer, il faut savoir où il est situé dans notre corps et à quoi il sert. 

    Le pancréas est une glande à double action digestive et hormonale majeure, cachée au fond du ventre, derrière l’estomac. Il s’étend horizontalement de la région profonde derrière le nombril jusque vers la gauche, avec trois parties distinctes mais qui se suivent : la tête pancréatique encadrée par le duodénum à la sortie de l’estomac, le corps pancréatique, et la queue du pancréas très proche de la rate. 

    Le pancréas est entouré d’un important réseau lymphatique de protection immunologique, mais qui peut être rapidement atteint par les cellules cancéreuses, ce qui grève considérablement le pronostic. 

    Il est également placé en avant du plexus nerveux autour des vaisseaux qui l’irriguent. Ainsi, lorsque la glande est enflammée, le patient se plaint de douleurs très difficiles à supporter, localisées au fond du ventre et irradiant en arrière dans le dos avec impression d’être douloureusement serré dans un étau au niveau de la partie basse du thorax et haute de l’abdomen. La position antalgique la plus classique est dite courbée en avant ou « allongée en chien de fusil » et ne peut être calmée que par des antalgiques puissants de type morphinique. 

    Le pancréas a deux fonctions essentielles : 

    • Le pancréas endocrine est le régulateur hormonal essentiel du taux de sucre [3] dans le sang. Le taux normal est de 1 g/litre. Il est donc capable de fabriquer au moins deux hormones, l’insuline qui abaisse le taux quand on consomme trop de sucre, et le glucagon à l’inverse qui fait remonter le taux quand le sucre manque. 

      Des tumeurs bénignes ou cancéreuses peuvent se développer aux dépens des cellules qui fabriquent ces hormones. On parle alors d’insulinome, de glucagonome… 

    •  Le pancréas exocrine  est un co-acteur puissant de la digestion, en particulier des graisses, en fabriquant 1 litre par jour de liquide pancréatique qui est clair comme de l’eau mais contient de nombreux pré-enzymes inactives et enzymes destinés surtout avec ceux de la bile et du suc gastrique auxquels il se mélange à digérer les graisses et les protéines ”dures” des bons repas.  

    Les localisations cancéreuses dans la glande pancréatique

    La tumeur cancéreuse peut donc se situer dans la tête pancréatique encadrée par le duodénum, dans le corps du pancréas ou dans la queue du pancréas proche de la rate. 

    Il faut aussi préciser que la tête du pancréas est traversée de haut en bas par un canal biliaire – (nommé cholédoque, c’est-à-dire conducteur de la bile) – qui reçoit la bile fabriquée par le foie. Ce canal rejoint le tube digestif dans la deuxième partie du duodénum en s’associant à son extrémité au canal pancréatique. Ainsi la bile et le liquide pancréatique se déversent au même endroit dans le duodénum pour, ensemble, participer à la digestion des aliments venus de l’estomac. 

    On comprend pourquoi les tumeurs de la tête du pancréas peuvent avoir trois origines : les cellules des canaux pancréatiques, le cholédoque ou les cellules qui fabriquent les 2 hormones pancréatiques, insuline et glucagon

    On comprend aussi que le développement tumoral dans la tête du pancréas peut comprimer, envahir le cholédoque et être à l’origine d’une obstruction du passage de la bile, d’où l’apparition d’un ictère (jaunisse) qui jaunit d’abord les yeux (ictère conjonctival) puis tout le corps. La bile ne pouvant s’évacuer dans le tube digestif, stagne dans le foie et les canaux biliaires et passe jusque dans le sang et de là sous la peau lui donnant sa teinte jaune-verdâtre.

    Parmi les causes, la susceptibilité génétique 

    Nous citons en premier la susceptibilité génétique liée à un ou des cas de cancer du pancréas dans la famille, au 1er ou 2e degré. 

    Avec une telle information, il est évident que les facteurs en cause doivent être au plus vite éliminés des habitudes de vie chez tout descendant d’une personne atteinte par ce type de cancer. 

    Les chercheurs statisticiens nous disent qu’environ 10 % des cas de cancer du pancréas auraient une origine familiale. Ils incluent les inflammations pancréatiques familiales chroniques qui aboutissent au cancer du fait des mêmes mauvaises habitudes respiratoires et alimentaires en particulier. 

    Il y aurait aussi des gènes associés aux cancers du sein, au mélanome malin familial, au cancer du côlon héréditaire, au syndrome de Peutz-Jeghers (maladie génétique associant des polypes intestinaux, gastriques à haut risque de dégénérescence cancéreuse, avec une pigmentation anormale de la peau et des muqueuses sous forme de taches de rousseur sur les mains, à l’intérieur de la bouche et autour des orifices naturels). 

    Si votre ascendant a donc été atteint de cancer du pancréas avant 50 ans, une consultation en génétique du cancer (oncogénétique) est conseillée dans l’un des 22 centres anti-cancéreux régionaux.  

    Il y a aussi, bien que rares, les Pancréatites Héréditaires (PH) qui nous ont beaucoup appris quant à la construction d’un cancer du pancréas.

    Les causes “épigénétiques” qui peuvent agresser votre pancréas

    Le cancer du pancréas comme toutes les localisations cancéreuses met du temps à se construire. Les mauvaises habitudes ne se payent pas immédiatement. Le corps garde en mémoire ses intoxications, d’ado ou d’adulte jeune.

    Citons les facteurs de risque certains qui peuvent irriter, enflammer le pancréas. 

    1. Le tabagisme chronique récent ou ancien, actif ou passif. Le risque de cancer pancréatique est multiplié par 2,7 chez les fumeurs réguliers et le tabagisme retrouvé dans plus de 20 % des cas. Les substances toxiques présentes dans le tabac sont bien connues des spécialistes. Elles circulent dans tout l’organisme, parvenant aux extrémités des plus petits vaisseaux de nos organes et tissus. Cela est parfaitement visible sur la peau qui peut prendre une teinte légèrement grisâtre, audible avec la voix rauque, la respiration haletante à l’effort et, plus tard, si l’on arrive au grand âge, il ne faut pas s’étonner des trous de mémoires ou de la démarche guindée des parkinsoniens. 

    Contrairement à ce que disent les lobbies du tabac et certains collègues qui les croient, l’intoxication tabagique même ancienne ne disparait jamais. J’ajoute que le tabagique, homme comme femme, paye la facture un jour ou l’autre. L’idéal est donc de ne pas fumer ou de s’arrêter le plus tôt possible.

    Rappelons l’essentiel des substances toxiques de la fumée du tabac (quelle que soit la marque) :

    • Le monoxyde de carbone (CO) issu de la combustion incomplète du tabac, très toxique pour le cœur et les vaisseaux.

    • Des composés organiques volatils comme l’ammoniac, les hydrocarbures, certains aldéhydes et des cétones également cardiotoxiques.

    Pratiquement toutes les particules libérées dans la fumée sont inhalées et nombreuses sont celles qui passent dans le sang : les goudrons au pouvoir cancérigène certain, se déposent en premier dans les nombreux ganglions qui entourent les vaisseaux de chaque poumon. Les agents très cancérigènes sont les benzopyrènes, les anthracènes, des métaux lourds (cadmium, nickel, plomb, chrome, des produits radioactifs tels radium, polonium), des dérivés de nitrates cancérigènes et des radicaux libres qui réagissent avec l'oxygène de l’air pour former des substances oxydantes toxiques pour l'organisme. 

    Si les fumeurs savaient ! Malheureusement, ils ne savent pas la nocivité absolue de l’acroléine (utilisée par les CRS dans leurs bombes ou leurs pchitts lacrymogènes), de l’acide cyanhydrique et des nombreux additifs – près de 600 et jusqu’à 10 % du poids des cigarettes – dont certains sont directement destinés à les rendre dépendants. 

    2. De mauvaises habitudes alimentaires comprenant trop de graisses animales, avec les viandes rouges et leurs graisses cachées trop cuites (barbecue horizontal) qui forcent le pancréas exocrine, et trop de sucres raffinés ou cuits (sucres cachés) qui forcent le pancréas endocrine. D’où l’association avec des signes de la série diabétique : face à un diabète récent, il faut voir le pancréas par l’imagerie. 

    Le risque lié à la consommation excessive de café, évoqué il y a 20 ans, n’est plus retenu actuellement, sauf quand la personne en consomme de grandes quantités car il s’agit d’un produit torréfié, c’est-à-dire brûlé, qui contient l'acrylamide, une substance potentiellement cancérigène chez l'homme. Pour éviter tout risque, l’idéal serait d’en rester à deux bons petits cafés par jour, et bien sûr sans les sucrer ! 

    Toutes ces mauvaises habitudes (graisses en particulier), en plus des susceptibilités génétiques, peuvent être à l’origine de la constitution d’une bile épaisse, qui peut se concentrer en microlithiase et être éliminée par les voies biliaires. Ces lithiases ou microlithiques en obstruant partiellement ou totalement la voie biliaire à l’endroit où elle rejoint le canal du pancréas, sont des facteurs déclencheurs de pancréatites subaiguës ou aiguës. Associés au facteur alcool (lithiase biliaire et alcool dans 40 % des cas), c’est le plus sûr chemin vers la pancréatite chronique. 

    3. Des consommations excessives d’alcools forts aiguës ou chroniques responsables de pancréatites aiguës ou subaiguës puis chroniques. Elles se voient de plus en plus souvent chez les jeunes avec le binge drinking ou biture expresschaos éthylique ou alcool défonce. C’est la beuverie effrénée stupide qui est devenue malheureusement, chez des jeunes désinformés, un mode de consommation excessif de grandes quantités d’alcools forts ou de vin sur une courte période de temps, par épisodes ponctuels ou répétés. 

    Ces intoxications se voyaient autrefois chez les militaires lors de la quille [5]. Elles s’observent aujourd’hui lors des fêtes de fin d’étude, de bizutages et aussi d’anniversaires, en privé ou même sur la voie publique… En plus de cas de coma éthylique mortel, on a rapporté – nous en avons vu plusieurs cas encore récemment – des pancréatites aiguës typiques, nécessitant parfois une intervention chirurgicale en urgence. 

    Dans 80 % des cas de pancréatites chroniques, on retrouve l’alcool en excès. 

    4. D’autres intoxications sont rapportées dans la littérature épidémiologique par des liens statistiques : l’obésité, le diabète, l’exposition régulière à certains solvants et produits industriels. 

    5. On soupçonne de plus en plus les facteurs de croissance des produits laitiers de vache consommés en excès. 

    Nous sommes extrêmement sollicités par les publicités pour consommer le maximum de produits laitiers, essentiellement issus des vaches. Il ne faut pas oublier que les vaches laitières sont forcées à donner leur lait (24 milliards de litres par an en France). Pour cela, la vache doit avoir mis bas, donc avoir eu son veau, lequel n’est que très peu de temps mis sous sa mère. Car le lait de la vache aujourd’hui, cela ne vous surprendra pas, est davantage destiné aux humains qu’à son petit. 

    De plus, à peine arrivée au 3e mois post-mise bas, la vache est artificiellement ré-inséminée, tandis qu’elle continue à donner du lait. Ainsi nous consommons du lait qui peut contenir les facteurs de croissance hormonaux d’une vache à nouveau pleine, sans compter les hormones administrées pour réussir à faire prendre une insémination autrement impossible, et ainsi de suite. 

    Enfin, il est en outre évident que le lait de la vache contient des facteurs de croissance destinés prioritairement à la croissance de son petit qui normalement prend 365 kg en une année, soit 1 kg par jour. Ainsi je suis devenu très réticent pour conseiller la consommation des produits laitiers de vache sous quelque forme que ce soit. J’oriente vers les produits laitiers des petits animaux, chèvres et brebis, à raison d’une petite portion par jour de fromage à mastiquer longuement, qui est largement suffisante y compris pour son apport en calcium. 

    N’oublions pas que le meilleur calcium est végétal si l’on mastique bien les végétaux, fruits-légumes-légumineuses. Il est absorbé jusqu’à 75% par le tube digestif, tandis que le calcium animal est absorbé au grand maximum à 40%

    Les produits laitiers de vache contiennent des molécules solides qui sont des facteurs de croissance au nombre essentiellement de 3 en dehors des hormones de la gestation. 

    Ce sont IGF, EGF et TGF dont les formules chimiques sont parfaitement connues puisqu’on est capable de synthétiser en laboratoire des anti-facteurs de croissance. Des ponts disulfures S-S donnent à chaque molécule sa force et son efficacité. Seule une chaleur forte et prolongée permet de les détruire pour rendre le facteur de croissance inefficace.

    • L’IGF = Insulin Growth Factor a 3 ponts S-S

    • L’EGF = Epidermal Growth Factor a 4 ponts S-S

    • Le TGF = Transforming Growth Factor a 9 ponts S-S

    La stérilisation à Ultra Haute Température (UHT : 3 à 4 secondes à 130 ou 140°C) est un choc thermique qui détruit les germes mais ne détruit pas complètement la molécule du facteur de croissance (GF) et peut-être même la renforcerait. 

    Pour les spécialistes, il faut lire les résultats de la saisine que nous avons officiellement obtenue au nom des familles comme président de Familles de France (www.familles-de-France.org) auprès de l’Anses (Agence nationale de sécurité d’environnement et de santé). Nous demandions des taux précis des facteurs de croissance dans divers produits laitiers de vache, de chèvre et de brebis… Nous avons obtenu une excellente bibliographie, surtout destinée à rassurer les consommateurs. Mais quand on lit le rapport de manière détaillée et entre les lignes on est beaucoup plus réservé. 

    (AVIS et rapport de l’Anses relatif à l’évaluation des risques de cancers liés aux facteurs de croissance du lait et des produits laitiers  - Avis signé le 20/04/2012

    Attention, nous ne sommes pas plus favorables aux margarines et autres beurres végétaux qui contiennent des graisses hydrogénées, lesquelles ne sont pas utiles à notre santé. Elles stimulent la formation des cellules graisseuses et sont à l’origine de complications cardiovasculaires. Évidemment, ce n’est pas écrit sur l’emballage !


    De lésions bénignes à lésions malignes : les TIPMP

    Il existe aussi des lésions bénignes du pancréas qu’il faut savoir repérer assez tôt car elles peuvent se transformer en cancers. 

    Ce sont les TIPMP (Tumeur Intracanalaire Papillaire Mucineuse du Pancréas) observées chez des hommes ou femmes ayant atteint 60 ans. 

    Ce type de tumeur, surtout située dans la tête du pancréas, naît des cellules qui tapissent les canaux pancréatiques, le principal ou les secondaires. Elle fabrique une quantité importante de mucus qui dilate les canaux et peut les obstruer. 

    La tumeur peut être bénigne ou maligne (surtout développée dans le canal principal et comportant des bourgeons) ou “borderline”, cela veut dire “frontière” (limite) avec le cancer. L'examen au microscope permet de connaître le degré d'altération des cellules et de classer la tumeur. Le pronostic de cette tumeur du pancréas est en général nettement plus favorable que celui des cancers classiques du pancréas (adénocarcinomes). 

    Le diagnostic se fait à partir de petits signes peu évidents, ou de petites poussées de pancréatite ou même de signes d’insuffisance pancréatique par troubles de la digestion des graisses (selles graisseuses et huileuses). 

    C’est le scanner, ou mieux l’IRM du pancréas qui permettront de faire le diagnostic et de décider d’une surveillance régulière ou de l’intervention chirurgicale. 

    Dans une autre lettre, nous parlerons à la demande des tumeurs endocrines du pancréas beaucoup plus rares : les insulinomesles glucaconomes, et aussi les vipomes,gastrinomes et somatostatinomes. 

    Retenez surtout que le cancer du pancréas ne tombe pas du ciel. On peut en guérir si le diagnostic est fait très précocement. On peut surtout le prévenir en arrêtant de fumer car il n’est jamais trop tard pour le faire, et en changeant ses habitudes alimentaires vers le « Manger Mieux et Meilleur ».  (voir CHANGEZ D’ALIMENTATION - Ed ROCHER)

    N’hésitez pas à tester votre risque de cancer du pancréas en allant sur mon site à la rubrique « cancer-risks », c’est un bon moyen, pas de se faire peur, mais de réduire vos risques pour vous-même ou vos proches. 

    Bonne lecture et relecture pour bien appliquer les conseils de cette lettre. N’hésitez pas à les diffuser largement à toutes les familles. 

    Professeur Henri Joyeux

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  • vivreaujourdhui.com

    ENTOURÉS D'ANGES

     
     
    22 Avril 2015

     
     

    L’ange de l’Éternel monte la garde autour de ceux qui le révèrent ; c’est lui qui les libère.
    Psaume 34.7

    Le missionnaire Van Affelt fut envoyé à Sumatra à une époque où les indigènes étaient encore cannibales. Les deux premières années avaient été terribles : il se sentait constamment entouré d’hommes hostiles et cerné par des puissances des ténèbres. Aussi, lui et sa femme s’étaient-ils souvent levés de nuit pour s’agenouiller et supplier Dieu de les délivrer de cette oppression.
    Un jour, Van Affelt vit venir un indigène vers lui. Celui-ci le pria de lui montrer les hommes qu’il disposait la nuit autour de sa maison.
    – En dehors d’un petit boy cuisinier et d’un berger, je n’emploie personne.
    Le visiteur demanda à inspecter la maison, mais ne trouva rien. Puis il lui dit :
    – Lorsque tu es venu chez nous, nous étions très en colère et nous avons décidé de vous tuer, ta femme et toi. Mais à notre arrivée, nous avons trouvé ta maison entourée d’une double rangée d’hommes armés. Alors nous nous sommes adressés à des tueurs. Ils sont revenus paniqués parce qu’ils avaient vu des hommes forts dont les armes luisaient comme du feu !
    Alors, Van Affelt comprit que Dieu avait certainement posté autour de sa maison des anges pour les protéger.
    Oui, si tu as fait du Très-Haut ton abri, aucun mal ne t’atteindra, nul malheur n’approchera de la tente où tu demeures, car il chargera ses anges de veiller sur tes chemins.1

    Alfred Kuen

    1 Psaume 91.10-11

     

    ENTOURÉS D'ANGES

     

    Psaume 34. 6-17 : "Ceux qui regardent vers lui brillent de joie, et leur visage n’est pas couvert de honte. Quand un malheureux crie, le Seigneur entend, il le sauve de tout ce qui lui fait peur. L’ange du Seigneur monte la garde autour de ceux qui respectent Dieu, il les délivre. Goûtez et voyez comme le Seigneur est bon. Il est heureux, celui qui s’abrite en lui ! 10 Vous qui appartenez au Seigneur, respectez-le ! Rien ne manque à ceux qui le respectent. 11 Les riches peuvent connaître le besoin et la faim, mais ceux qui cherchent le Seigneur ne manquent d’aucun bien. 12 Venez, mes amis, écoutez-moi ! Je vais vous apprendre le respect du Seigneur. 13 Est-ce que tu aimes la vie ? Est-ce que tu veux connaître des jours heureux ? 14 Alors ne dis pas de mal des autres, évite les mensonges. 15 Fuis le mal et fais le bien, recherche la paix et poursuis-la. 16 Les yeux du Seigneur se tournent vers ceux qui lui obéissent, ses oreilles entendent leurs cris. 17 Mais il s’oppose à ceux qui font du mal, il veut rayer leur nom de la terre."

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  • sante-nutrition.org

    LE SUCRE, CET ENNEMI...

     

     

    Faisons le point sur le sucre

    Tout le monde aujourd’hui s’accorde sur le fait que le sucre est à l’origine de très nombreux problèmes de santé de civilisation. La consommation de sucres raffinés est  excessive dans les sociétés occidentales.

    Il ne s’agit pas que du sucre à proprement parler, mais de toutes les céréales, et les produits dérivés à base de farine de blé surtout, mais aussi les féculents et les pâtes alimentaires que l’on appelle les sucres lents.

    Certes ceux-ci fournissent au corps de l’énergie, mais consommés en excès ils font plus de mal que de bien. Rajoutons que la consommation de céréales cultivées est relativement récente dans l’histoire de notre civilisation. De nombreux spécialistes font le lien entre ce changement majeur dans l’alimentation humaine et les problèmes de maladies chroniques.

     

    Notons qu’à la base d’un terrain affaibli et fragilisé par la maladie on trouve souvent une candidose, infection bactérienne qui se nourrit de sucres et d’antibiotiques et d’autres produits raffinés. Et derrière tout cancer, il y aurait une candidose. Enfin, les cellules cancéreuses, elles aussi, se nourrissent de sucre et se multiplient facilement en présences de sucres.

    Faut-il s’en passer ?

    Une personne malade ou en convalescence serait avisée de se passer de sucre, y compris de fruits sucrés. Mais toute personne en bonne santé peut en consommer, modérément. Voici une échelle des produits sucrants utilisés en alimentation vivante, de la solution la plus pure et naturelle à la plus raffinée.

    • Les fruits secs, entiers ou en purée (dattes, abricots, raisins, etc.)
    • La stevia non raffinée (feuille verte)
    • Le xylitol (écorce de bouleau)
    • Le miel (attention, indice glycémique élevé)
    • Le sucre de noix de coco

    Les autres options qui ne sont pas crues :

    • Le sirop d’agave (indice glycémique bas mais très raffiné)
    • Le sirop d’érable (aussi souvent raffiné ou chauffé)
    • La mélasse
    • Le sucre de canne, brun

     

    Bien entendu, le sucre blanc raffiné est à éviter, car il a un effet immédiat et puissant sur le taux de sucre sanguin et il n’apporte rien de bon. Ainsi il est recommandé de choisir l’option en fonction de sa situation (indice glycémique bas en cas de problèmes de sucre dans le sang), ou de la recette (selon le goût et la texture des produits sucrants). Tous les édulcorants artificiels sont à proscrire absolument, ce sont de véritables poisons pour l’organisme (par ex. aspartame).

    En faisant les bons choix, on peut profiter de la douceur de nos mets sans mettre en péril notre équilibre et notre santé. Je parle d’équilibre, car ce sont toutes nos hormones qui sont malmenées lorsque l’on consomme des sucres raffinés en trop grande quantité. Mais ça, c’est pour un autre article !

     

     

    source: simplementcru

     

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  • santenatureinnovation.com

    4 ARNAQUES EN PHARMACIE

     



    Voici quatre médicaments vendus en pharmacie qui sont des arnaques :

    Le Guronsan pour les lycéens fatigués

    4 ARNAQUES EN PHARMACIE

    Selon la légende, une pastille de Guronsan contient autant de caféine que 27 tasses de café. Ce serait un produit prodigieux pour aider les adolescents fatigués à réviser et stimuler les employés démotivés !

    Mais c'est une fable. Le Guronsan ne contient que 50 mg de caféine [1], bien moins qu'une tasse de café (95-200 mg) [2].

    Et son prétendu pouvoir dopant ne vient certainement pas de ses autres ingrédients !

    À part un peu de vitamine C, il ne contient que :

    • du sucre de table (saccharose)

    • du sel (sodium)

    • 400 mg de glucuronamide, un composé chimique qui n'a aucune propriété médicale démontrée [3]

    • de l'arôme de « Gin fizz » pour donner l'impression d'un produit « actif » (aussi parce que ça pétille), et des additifs.

    Désinfectants et antiseptiques pour les bobos

    4 ARNAQUES EN PHARMACIE

    Quel parent ne se sentirait pas coupable, indigne même, de ne pas avoir de « pschitts » et de bouteilles de désinfectant pour soigner les blessures, le « qui pique » étant toujours considéré comme le plus efficace contre l'infection ?

    Produits phare de la vente libre en pharmacie, les désinfectants et antiseptiques sont pourtant inutiles. Aucun n'est aussi efficace, et à usage universel, que l'eau chaude du robinet (dans nos pays).

    Le mercurochrome, toxique, est désormais interdit. L'alcool ne doit jamais être utilisé sur la peau, mais uniquement à la désinfection des instruments (thermomètre, aiguille). L'eau oxygénée brûle atrocement les plaies. La chlorhexidine laisse persister de nombreux germes. La teinture d'iode tache et peut provoquer des allergies.

    Reste le chlorhydrate d'octenidine, qui est très efficace contre une large palette de micro-organismes infectieux (bactérie, virus, mycoses). Toutefois, il n'est réellement utile qu'en milieu hospitalier, pour les grosses plaies et brûlures à fort risque d'infection. C'est le cas également des antibiotiques à mettre sur la peau. Laissez les médecins manipuler ces produits.

    Pour les blessures sans gravité, le mieux de loin est de laver abondamment la plaie avec de l'eau chaude. Il faut un peu de courage au départ mais le miracle est que ce traitement peut supprimer complètement la douleur en un temps record, et accélère considérablement la cicatrisation. Et pour les enfants qui ont surtout besoin d'être rassurés, un bon « bisou magique » de Papa ou de Maman sur le bobo fera encore mieux que les « produits ».

    Pour les plaies qui saignent, appliquer ensuite un pansement gras qui n'arrachera pas la croûte quand vous l'enlèverez. (Vous pouvez aussi vous reporter à l’une de mes précédentes lettres pour savoir en détail comment traiter les petites blessures.

     

     

     

    Médicaments contre le rhume

    4 ARNAQUES EN PHARMACIE

    Si vous attrapez un rhume, c'est parce que votre système immunitaire est affaibli.

    Normalement, il aurait dû éliminer le virus avant que vous ne ressentiez les symptômes (nez qui coule, oreilles bouchées, mal de tête, yeux larmoyants).

    Toutefois, même s'il a été lent au démarrage, votre système immunitaire est désormais le seul maître à bord. C'est lui qui va éliminer le rhume et vous ne pouvez rien faire pour accélérer la guérison. Cela prendra entre une semaine et dix jours.

    Par contre, pour la prochaine fois, prenez de la vitamine C, de la vitamine D, des probiotiques pour votre flore intestinale (centre très important de l'immunité), redoublez d'attention sur votre nourriture, en évitant toute malbouffe.

    N'imaginez pas que vous obtiendrez un quelconque effet positif des médicaments contre le rhume.

    Bien qu'il en existe des dizaines sur les étagères des pharmacies (Humex, Drill, Fervex, Actifed, Nurofen…), tous ont des effets indésirables qui surpassent leurs maigres avantages.

    Il faut bien être conscient de leur mode d'action : en fait de vous « guérir du rhume », la plupart contiennent simplement du paracétamol ou de l'ibuprofène, des produits qui font baisser la fièvre et suppriment la douleur, ce qui n'est pas souhaitable car la fièvre est un mécanisme naturel d'élimination des virus.

    Pour vous déboucher le nez ou les oreilles, ils contiennent des produits qui resserrent les vaisseaux sanguins. La conséquence est de vous exposer à des risques d'accident vasculaire cérébral, d'infarctus du myocarde ou de problèmes neurologiques sévères [4]. Ils sont donc à proscrire formellement chez les moins de 15 ans et chez les personnes souffrant de troubles cardiovasculaires ou neurologiques.

    Enfin, troisième possibilité, ils contiennent des antihistaminiques, des produits qui réduisent les réactions immunitaires, supprimant les symptômes mais laissant ainsi la voie libre aux virus !

    Mieux vaut prendre un bon grog bien chaud (citron, miel et une goutte de rhum), du bouillon de poule (avec les os, chargés en moelle), et faire des inhalations d'eucalyptus.

     

    Médicaments contre l'ostéoporose

    4 ARNAQUES EN PHARMACIE

    Les femmes sont incitées à prendre de plus en plus de médicaments contre l'ostéoporose (maladie des os poreux), et il est vrai que, après la ménopause, leurs os ont tendance à se fragiliser.

    Toutefois, le nombre de fractures observées chez les femmes âgées ne connaît aucune diminution.

    Ce n'est pas étonnant : aucune étude n'a montré que les biphosphonates (médicaments contre l'ostéoporose) renforcent la solidité des os.

    Il faut savoir que les biphosphonates sont des produits qui viennent de l'industrie de la lessive, qui les utilise pour empêcher le magnésium et le calcium de se redéposer sur le linge [5].

    Ils fonctionnent en bloquant la capacité de notre corps à détruire les vieilles cellules d'os.

    A priori, cela peut sembler une bonne chose. Sauf que la raison pour laquelle nous avons ce mécanisme de destruction de nos vieilles cellules d'os, c'est pour leur permettre d'être remplacées par de nouvelles cellules, plus solides !

    Si vous empêchez ce processus naturel d'avoir lieu, ne soyez pas surpris que vos os deviennent de plus en plus fragiles.

    La solution : les os sont comme les muscles, ils se renforcent lorsque vous poussez et tirez dessus. Ils fondent quand vous ne vous en servez pas. Pour garder des os solides, il faut donc les soumettre à l'effort, en faisant de l'exercice physique. Et vous trouverez tous les sels minéraux nécessaires à leur entretien en mangeant beaucoup de légumes, surtout les légumes verts.

    À votre santé !

    Jean-Marc Dupuis

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