• LES VOIES DU DESTIN

     

     

    Synopsis : Le lieutenant écossais Eric Lomax, a été fait prisonnier par les Japonais à Singapour durant la Seconde Guerre mondiale et envoyé dans un camp en Thaïlande. Là-bas, il a été forcé de contribuer à la construction du fameux pont sur la rivière Kwaï. Des années plus tard, il souffre toujours d'un stress post-traumatique. Sa deuxième femme, Patricia Wallace, décidée à l'aider à surmonter ses démons, découvre que le jeune officier japonais qui hante sa mémoire est toujours vivant. Doit-elle donner à Eric une chance de se confronter à celui qui l'a torturé ?

     

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    LE CALME DANS LA TEMPÊTE

     
     
    31 Janvier 2015
     
     

    À celui qui est ferme dans ses dispositions, tu assures la paix, la paix, parce qu’il se confie en toi.
    Ésaïe 26.3

    Une violente tempête ballottait le grand navire de croisière comme s’il était un bouchon de liège. Des dizaines de marins couraient dans tous les sens pour empiler et attacher les chaises du pont. Les passagers souffraient du mal de mer. La nuit parut interminable. Et enfin, au matin, la mer se calma.

    Le capitaine partagea un fait intéressant. Sachant qu’un de ses amis était dans un sous-marin, il l’avait appelé par radio pour lui demander comment il avait fait face à la tempête. « Quelle tempête ? Les turbulences sont un problème de surface. Aucune tempête ne peut descendre assez profond pour influencer un sous-marin en plongée. »

    Si seulement c’était aussi facile dans la vie de tous les jours ! Chacun doit y faire face à toutes sortes de tempêtes. Certaines sont superficielles et passent assez rapidement. D’autres, plus profondes, peuvent toucher tout notre être et avoir un impact sur notre vie présente et future.

    Mais la paix intérieure est possible en toutes circonstances. Dieu le promet : Quand les montagnes s’ébranleraient, quand les collines chancelleraient, mon alliance de paix ne chancellera pas.1

    Silvano Perotti
    Texte adapté par Charles Rick

    1 Ésaïe 54.10

     

     

    LE CALME DANS LA TEMPÊTE

    Psaume 31. 15-25 : "15 Mais moi, j’ai confiance en toi, SeigneurJe dis : « Mon Dieu, c’est toi. » 16 Mes jours sont dans tes mains, délivre-moi de mes ennemis, de ceux qui me poursuivent ! 17 Je suis ton serviteur, fais briller sur moi ton visage, sauve-moi par ton amour ! 18 Seigneur, quand je fais appel à toi, ne me laisse pas couvert de honte, mais remplis de honte les gens mauvais ! Qu’ils se taisent pour toujours dans le monde des morts ! 19 Ferme la bouche de ces menteurs ! Oui, ils parlent sans respect, avec orgueil et mépris, contre celui qui t’obéit. 20 Seigneur, ils sont grands, les bienfaits que tu réserves à ceux qui te respectent ! Devant tout le monde, tu les offres à ceux qui se réfugient en toi. 21 Eux, tu les caches à l’abri de ton visage, loin des attaques des gens, tu les protèges contre les paroles méchantes. 22 Merci au SeigneurJ’étais comme une ville attaquée, mais son amour a fait pour moi des actions étonnantes. 23 J’étais désespéré et je pensais : « Tu m’as chassé loin de tes yeux. » Mais tu m’as entendu quand je t’ai supplié, quand j’ai crié vers toi. 24 Aimez le Seigneur, vous tous, ses amis fidèles. Le Seigneur protège ceux qui croient en lui, mais il punit durement les orgueilleux. 25 Soyez forts, reprenez courage,vous tous qui comptez sur le Seigneur !"

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    IODE

     

    Iode


     

    Description de l'iode

    L’iode est un micronutriment qui est essentiel au fonctionnement du corps humain. En effet, l’iode est une des composantes principales des hormones thyroïdiennes qui ont un rôle au niveau de la régulation de la température corporelle, du métabolisme de base, de la reproduction, de la croissance, de la production de cellules sanguines  ainsi qu’au niveau du développement du système nerveux et du fonctionnement des muscles.

    L’iode est également utilisé de façon externe comme produit de contraste lors des examens radiologiques ou pour ses propriétés antiseptique et désinfectante.

    Besoins quotidiens en iode

    Voici les apports nutritionnels de référence pour l'iode.

    Âge

    ANR* (mg/jour)

    AMT** (mg/jour)

    Enfant 1 à 3 ans

    90

    200

    Enfants 4 à 8 ans

    90

    300

    Enfant 9 à 13 ans

    120

    600

    Adolescent 14-18 ans

    150

    900

    Adulte 19-30 ans

    150

    1100

    Adulte 31-50 ans

    150

    1100

    Adulte 51-70 ans

    150

    1100

    Adulte plus de 70 ans

    150

    1100

    Grossesse

    220

    - 18 ans : 900

    + 18 ans : 1100

    Allaitement

    290

    - 18 ans : 900

    + 18 ans : 1100

     *Apport nutritionnel recommandé
    **AMT : apport maximal tolérable

    Sources alimentaires d'iode

    La plus grande partie de l’iode consommé est transformée en iodure pour être ensuite absorbée dans les intestins. L’iodate, un additif présent dans le sel de table est également transformé en iodure et est ensuite absorbé. L’iode présent dans l’organisme est majoritairement géré par la glande thyroïde.

    Certains aliments contiennent naturellement de l’iode comme les fruits de mer, les poissons et certaines algues. Le lait et les produits laitiers contiennent également de l’iode à des quantités variables du à des produits de désinfection à base d’iode utilisés au moment de la traite. Le sel de table et le sel marin ne contiennent pas d’iode naturellement. L’iodation du sel de table est depuis de nombreuses années obligatoire au Canada et largement utilisée dans de nombreux pays comme la France et les États-Unis. Par contre, le sel de mer n’est pas obligatoirement enrichi en iode. Cet enrichissement en iode du sel de table a permis d’éliminer les carences en iode menant au goitre, caractérisé par le grossissement de la glande thyroïde au niveau du cou. Les aliments commerciaux salés comme le jambon, le bacon ou les noix vont également contenir de l’iode. On retrouve également de l’iode dans certains produits de boulangerie qui contiennent de l’iodate (conditionneur de pâte).

     

    Aliments

    Portions

    Quantités (μg)

    Sel de table, iodé

    5 ml (1 c. à thé/6 g)

    380

    Morue, cuite

    100 g (3 ½ oz)

    116

    Aiglefin

    100 g (3 ½ oz)

    116

    Fromage cottage

    250 ml (1 tasse)

    65

    Fèves de soja (soya)

    60 ml (1/4 tasse)

    60

    Yogourt, nature

    175 g (3/4 tasse)

    58

    Lait (entier, 2%, 1%, écrémé, chocolat)

    250 ml (1 tasse)

    52-62

    Biscuits soda

    10

    44

    Pain (seigle, blé entier, blanc)

    1 tranche (35 g)

    17-32

    Haricots (blancs, noirs), cuits

    175 ml (3/4 tasse)

    46-53

    Oeuf, cuit

    2 gros

    48-52

     

    Biodisponibilité

    L’absorption de l’iode par l’organisme est au-dessus de 90%. Par contre, il a été démontré que le soja (soya) inhibait l’absorption de l’iode. De plus, certains aliments dits «goitrogènes» sont en mesure de freiner la production et l’utilisation des hormones thyroïdiennes. Ces aliments comprennent le manioc, le millet, les légumes crucifères comme le chou, le brocoli, le chou-fleur ainsi que les patates douces, les arachides, les graines de soja (soya), le navet, le rutabaga, les radis ou les feuilles de moutarde. La cuisson inactive les effets goitrogènes de ces aliments.

    Carences en iode

    La carence est très rare en Amérique du nord due à l’iodation du sel de table. Les symptômes cliniques d’une carence en iode sont reliés à une production insuffisante d’hormones thyroïdiennes et comprennent le goitre, un retard mental, une hypothyroïdie, du crétinisme (troubles neurologies chez le fœtus) ainsi que des troubles de croissance et de développement.

    Excès en iode

    La plupart des gens seraient tolérants à un apport élevé qui provient des aliments. Par contre, un apport excessif provenant des aliments mais aussi de l’eau et de suppléments peut mener à dépasser l’apport maximal tolérable (AMT) et engendrer une thyroïdite, le goitre, une hypo ou une hyperthyroïdie, des réactions d’hypersensibilité ou un cancer capillaire de la thyroïde.

    Références

     

    Références

    Note : les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information désirée.

    Bibliographie

    Apports nutritionnels de référence, Institute of Medicine (IOM), National Academies Press, Washington D.C, 2006.

    Withney E., Rady Rolfes, S. Understanding Nutrition, 11 ième edition, Thomson Learning, 2008.

    Pennington, J. and Douglass, J., Bowes and Church's Food Values of Portions Commonly Used, 18 E. Lippincott Williams and Wilkins, 2005.

    Fiche rédigée par Audrey Cyr, nutritionniste.
    Créée : avril 2014

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    DEMAIN PEUT-ÊTRE JE CROIRAI...

     
     
    30 Janvier 2015
     
     

    Aujourd’hui, si vous entendez la voix de Dieu, ne vous endurcissez pas.
    Hébreux 4.7

    Dans les témoignages recueillis par G. Isely1 on peut lire, non sans émotion, le récit de troisjeunes gens descendant un soir la grande rue, chantant à tue-tête sous l’influence de la boisson. Au coin de la rue, quelqu’un leur remit un prospectus annonçant une conférence d’un évangéliste.
    – Allons-y, s’écria l’un, nous nous amuserons bien.
    Un deuxième répondit :
    – Allons où tu voudras, pourvu que nous puissions rire !

    Ils entrèrent, s’assirent au dernier rang tout en échangeant à haute voix des remarques si peu convenables, qu’on les pria de s’en aller.
    Deux d’entre eux quittèrent la réunion, le troisième resta, impressionné par les paroles de l’évangéliste, dont le thème était : « Tu vas presque me persuader de devenir chrétien ». Très ému, le jeune se leva et dit au portier :
    – Pas ce soir… Je reviendrai demain…

    Ses amis l’attendaient dans la rue, et tous trois continuèrent à se divertir et à boire. Quand enfin ils se séparèrent, il était complètement ivre. Au matin, le jeune homme sera retrouvé mort, la tête dans une flaque, non loin de la ville.

    Presque persuadé d’être sauvé, mais en réalité complètement perdu ! Personne ne connaît son lendemain.
    Tout homme est comme l’herbe des prés, toute gloire humaine comme la fleur des champs ; l’herbe sèche et la fleur tombe.2
    C’est donc « aujourd’hui » que Dieu attend notre réponse.

    Témoignage résumé par Charles Rick

    1 Ainsi sont nés nos cantiques, Ed. Reconnaissance      2 1 Pierre 1.24

     

    DEMAIN PEUT-ÊTRE JE CROIRAI...

    Livre des Actes des apôtres 26. 24-32 : "24 Paul est en train de se défendre de cette façon, quand Festus se met à crier : « Paul tu es fou ! Tu as trop étudié et tu deviens fou ! » 25 Paul lui répond : « Excellence, je ne suis pas fou, je dis des paroles sages et raisonnables. 26 Le roi est au courant de tout cela, c’est pourquoi je parle avec assurance devant lui. Je suis sûr qu’il connaît toutes ces choses. En effet, cela n’est pas arrivé dans un endroit caché. 27 Eh bien, roi Agrippa, est-ce que tu crois aux paroles des prophètes ? Tu y crois, je le sais. » 28 Agrippa répond à Paul : « Bientôt, tu vas me persuader de devenir chrétien ! » 29 Paul lui dit : « Ah, si seulement, cela arrivait, tôt ou tard, avec l’aide de Dieu ! Toi, et vous qui m’écoutez aujourd’hui, je souhaite que vous deveniez comme moi, ces chaînes en moins ! » 30 Le roi, le gouverneur, Bérénice et ceux qui sont avec eux se lèvent. 31 Ils sortent et se disent entre eux : « Cet homme n’a rien fait pour mériter la mort ou la prison. » 32 Agrippa dit à Festus : « On pourrait le libérer, mais il a fait appel à l’empereur. »

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    Les bienfaits du curcuma dans l'alimentation

     

    Curcuma


     

    Noms communs : curcuma, souchet des Indes, safran des Indes, safran de Bourbon, terre-mérite.
    Nom scientifique : Cucurma longa.
    Famille : zingibéracées.
     

    POURQUOI METTRE LE CURCUMA AU MENU?

    • Il donne une belle pigmentation jaune au riz, aux pommes de terre et autres plats peu colorés.
    • Il corrige l’acidité de certains mets.
    • Il parfume les soupes, les currys, les tajines, même les glaces.

    • Cette épice fortement antioxydante pourrait exercer des effets anticancer.
    • Le curcuma moulu est une source de fer et de manganèse, deux minéraux essentiels.

    Profil santé

     

    Le curcuma est utilisé autant comme épice que comme colorant dans les préparations alimentaires. Il est d’ailleurs l’un des principaux constituants du cari (curry), un mélange d’épices particulièrement employé en cuisine indienne. Encore peu d’études ont évalué les effets de la consommation de curcuma. De plus, la plupart d’entre elles ont utilisé du curcuma (ou ses principes actifs) en quantités supérieures à ce qui pourrait être consommé couramment, relevant alors davantage du supplément que de l’épice usuelle (à ce sujet, voir la fiche Curcuma (psn)).

    Principes actifs et propriétés

    Absorption de la curcumine
    Au moment de l’ingestion de curcuma, seulement une faible proportion de la curcumine est absorbée dans l’organisme30. Par contre, la consommation simultanée de poivre augmente grandement la biodisponibilité de la curcumine31. Ainsi, l’ajout de poivre à un mets contenant du curcuma est une façon simple d’accroître le potentiel thérapeutique de la curcumine.

     

    Antioxydants. Les antioxydants sont des composés qui protègent les cellules du corps des dommages causés par les radicaux libres. Ces derniers sont des molécules très réactives qui seraient impliquées dans le développement des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies liées au vieillissement1. Dans une étude, le curcuma se situe au cinquième rang quant à son contenu en antioxydants parmi plus de 1 000 aliments analysés2 (calculé à partir de 100 g d’aliment). Comme une portion usuelle de curcuma se situe plutôt autour de 2 g (5 ml), il contribue tout de même moins que d’autres aliments à notre apport quotidien en antioxydants. Le curcuma contient des flavonoïdes et des composés phénoliques3, mais c’est la curcumine qui est considérée comme étant son principal composé antioxydant.

    • Curcumine. La curcumine est un composé de la famille des curcuminoïdes4. Elle présente différentes propriétés qui ont principalement été démontrées par des études effectuées in vitro ainsi que chez l’animal5. Entre autres, l’effet antioxydant de la curcumine laisse entrevoir un effet protecteur contre les maladies reliées au stress oxydatif (telles les maladies cardiovasculaires et la maladie d’Alzheimer)5. La curcumine présente aussi des propriétés anti-inflammatoires et pourrait participer à la prévention du cancer à plusieurs étapes de son développement5. Ces effets bénéfiques n’ont pas tous été étudiés chez l’humain et les quantités de curcuma nécessaires pour les observer ne sont pas toujours précisées.

     

    Cancer. Le curcuma occupe une place importante dans l’alimentation des populations de l’Inde, qui en consomment jusqu’à 2 g par jour6. Bien qu’aucune étude ne le démontre directement, il semble y avoir un lien entre la consommation particulièrement élevée de curcuma et la faible incidence de certains cancers (comme le cancer colorectal) en Inde et dans d’autres pays asiatiques6. Chez des fumeurs, un essai clinique a démontré que la consommation quotidienne de 1,5 g de curcuma pendant 30 jours diminuait les composés cancérigènes présents dans l’organisme7. D’autres études préliminaires démontrent une potentielle activité anticancer de la curcumine lorsque consommée en quantités souvent supérieures à ce qui pourrait être consommé quotidiennement sous forme de curcuma4,8. Plusieurs études réalisées chez l’animal et in vitro appuient cet effet protecteur de la curcumine, particulièrement contre les cancers gastro-intestinal et colorectal9,10. Même si les mécanismes d’action restent encore à être élucidés9, c’est par ses propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires que la curcumine pourrait exercer ses effets anticancer11. Certains auteurs supposent que la consommation de 1 c. à thé (5 ml) de curcuma par jour pourrait fournir la quantité de curcumine nécessaire pour exercer un effet préventif contre le cancer6.

     

    Troubles gastro-intestinaux. Le curcuma est traditionnellement utilisé pour traiter différents troubles gastro-intestinaux, tels l’inflammation et les ulcères d’estomac. En ce sens, il a été démontré qu’un extrait de curcuma inhibe la sécrétion d’acide gastrique chez l’animal, pouvant ainsi diminuer la formation d’ulcères12. La curcumine ne semblant pas être responsable de ces effets, d’autres études devront être faites pour découvrir quels principes actifs contribuent à ces effets12. Par ailleurs, la consommation quotidienne de 3 g de curcuma pendant 12 semaines s’est soldée en une régression complète des ulcères d’estomac chez 75 % des sujets13. Par contre, cette étude n’a pas utilisé de groupe témoin (placebo) et d’autres études réalisées chez l’animal ont démontré des effets opposés14. Ainsi, des études cliniques mieux contrôlées devront être réalisées avant d’encourager la consommation de curcuma pour le traitement des ulcères d’estomac.

     

    Système cardiovasculaire. Quelques études ont démontré l’efficacité d’un extrait de curcuma dans la prévention de l’oxydation du cholestérol-LDL (« mauvais » cholestérol)15 ainsi que pour diminuer le cholestérol total chez l’animal15,16. Il est de plus en plus clair que la curcumine ainsi que sesmétabolites (obtenus durant la conversion de la curcumine en d’autres composés dans l’organisme) seraient en partie responsables de ces effets15,17,18. Ces résultats laissent présager que le curcuma pourrait prévenir l’apparition d’athérosclérose et d’autres facteurs de risque de maladies cardiovasculaires, mais davantage d’études chez l’humain sont requises15.

     

    Maladie d’Alzheimer. Des études épidémiologiques ont démontré que la prévalence de maladie d’Alzheimer était plus faible dans certaines populations de l’Inde comparativement à d’autres pays19,20. Une des raisons invoquées pour expliquer cette observation était la consommation plus élevée de curcuma en Inde, mais cette explication n’est toujours pas appuyée par des données scientifiques. Il a été démontré chez l’animal que la consommation de curcumine améliorait les déficits cognitifs reliés à la maladie d’Alzheimer, par des mécanismes encore peu connus21,22. Probablement que les différentes propriétés de la curcumine (telles les propriétés antioxydante, anti-inflammatoire et hypocholestérolémiante) pourraient être associées à cet effet23. Une étude est en cours chez des sujets atteints de la maladie d’Alzheimer afin d’évaluer l’efficacité de la curcumine pour le ralentissement de cette maladie23.

     

    Autres effets. Le curcuma est traditionnellement utilisé pour protéger le foie contre diverses agressions24. Certaines études ont démontré un effet hépatoprotecteur du curcuma in vitro et chez l’animal, mais aucune donnée chez l’humain n’est disponible actuellement25. De plus, des extraits de curcuma ont démontré des propriétés antimicrobiennes contre une variété de bactéries, parasites et champignons pathogènes, in vitro et chez l’animal24,26.

    Autres propriétés

    Le curcuma est-il antioxydant?

    Fortement : l’indice TAC du curcuma est de 1 593 umol.

    Le curcuma est-il acidifiant?

    Donnée non disponible

    Le curcuma a-t-il une charge glycémique élevée ?

    Donnée non disponible

    Nutriments les plus importants

    Voir la signification des symboles de classification des sources des nutriments

    Source Fer. Le curcuma moulu est une source de fer. Chaque cellule du corps contient du fer. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Il est à noter que le fer contenu dans les aliments d’origine végétale (comme le curcuma) est moins bien absorbé par l’organisme que le fer contenu dans les aliments d’origine animale. L’absorption du fer des végétaux est toutefois favorisée lorsqu’il est consommé avec certains nutriments, telle la vitamine C.

    Source Manganèse. Le curcuma moulu est une source de manganèse. Le manganèse agit commecofacteur de plusieurs enzymes qui facilitent une douzaine de différents processus métaboliques. Il participe également à la prévention des dommages causés par les radicaux libres.

     

    Que vaut une « portion » de curcuma?

    Poids/volume

    Curcuma moulu 2 g (5 ml)

    Calories

    8

    Protéines

    0,2 g

    Glucides

    1,5 g

    Lipides

    0,2 g

    Fibres alimentaires

    0,5 g

    Source : Santé Canada. Fichier canadien sur les éléments nutritifs, 2005.

    Précautions

    Il est bien démontré que certains composés contenus dans le curcuma possèdent un effetantiplaquettaire in vitro27. Ainsi, même si cela n’a pas été évalué chez l’humain, la consommation de grandes quantités de curcuma avec la prise de médicaments pour le sang (tels l’héparine, le coumadin ou l’aspirine) pourrait avoir un effet anticoagulant additionnel et augmenter les risques de saignement28,29. Il est fortement conseillé aux personnes sous anticoagulothérapie de consulter un professionnel de la santé pour connaître les interactions possibles entre leurs médicaments et certaines épices.

    De façon générale, la consommation usuelle de curcuma ne procure pas d’effet indésirable. Par contre, la consommation de curcuma sous forme de suppléments est contre-indiquée dans certains cas (grossesse, ulcère d’estomac). À ce sujet, voir la fiche Curcuma (psn).

     

    Curcuma

    Section Profil santé
    Recherche 
    : Annie Bédard, Dt.P., M.Sc., nutritionniste, Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), Université Laval

    Rédaction : Caroline Trudeau, Dt.P. nutritionniste, Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), Université Laval
    Révision scientifique : Sonia Pomerleau, Dt.P., M.Sc., nutritionniste, Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), Université Laval
    Collaboration : Jasmine Coulombe et Hélène Gagnon, étudiantes en nutrition, Université Laval
    Coordination : Louise Corneau, Dt.P., M.Sc., nutritionniste, Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), Université Laval
    (novembre 2006)

    Le curcuma au fil du temps

    Le terme « curcuma » vient de l’espagnol qui l’a lui-même emprunté à l’arabe kurkum, lequel désignait originellement le safran. Il est apparu dans la langue française en 1559.

    Une épice qui a du mérite
    En anglais, curcuma se traduit par turmeric, mot qui dérive du français « terre-mérite »; c’est ainsi qu’on appelait jadis cette plante, probablement par allusion à la poudre jaune, qui rappelle des pigments minéraux.

     

    Le curcuma est une épice qui fait l’objet d’échanges commerciaux depuis tellement longtemps que l’on ne peut déterminer avec certitude son centre d’origine. Mais on pense qu’il vient du sud ou du sud-est de l’Asie, peut-être plus spécifiquement de l’Inde, d’où il se serait diffusé dans toute l’Asie, de même qu’au Proche et au Moyen-Orient, il y a des milliers d’années. Son emploi en Inde remonte aux temps védiques, c’est-à-dire à 4000 ans, voire plus. Il servait en cuisine, en médecine, de même que dans les cérémonies religieuses. Les Chinois et les Arabes l’emploient également depuis longtemps. Par contre, en Occident, en dehors de ses usages médicinaux et tinctoriaux, son emploi n’a jamais été très répandu. Dans l’Europe médiévale, il n’y avait pratiquement que les Espagnols pour l’apprécier, peut-être sous l’influence des Arabes qui ont occupé leur pays pendant plusieurs siècles. Aujourd’hui, il est plus populaire, quoique généralement restreint à la cuisine indienne ou arabe.

    L’Inde est le plus grand producteur et le plus grand consommateur de curcuma au monde. La Chine, le Bengale, Taiwan, le Pérou, Java, l’Australie, les Antilles, l’Indonésie, les Philippines en cultivent également.

    D’autres espèces de curcuma sont cultivées dans le Sud-Est asiatique pour leurs jeunes pousses, leurs feuilles, leur inflorescence ou leur rhizome, dont on se sert en cuisine ou en herboristerie.

     

    Usages culinaires

    Pour accéder à d’autres recettes, vous pouvez vous rendre sur le site de recettes de cuisine CuisineAZ.com, qui propose entre autres, les recettes suivantes : recettes à base de curcuma, poulet au curcuma, riz au curcuma.

    Bien choisir

    Le rhizome frais est nettement plus savoureux que la poudre, mais on le trouve rarement en Occident. Chercher du côté des épiceries asiatiques. N’acheter la poudre qu’en petites quantités, car son arôme se dissipe rapidement.

    Comme beaucoup d’épices, le curcuma est de plus en plus irradié en vue d’augmenter sa durée de conservation et limiter les infestations d’insectes ou de maladies durant l’entreposage. Les personnes qui s’opposent à ce processus peuvent se procurer du curcuma issu de l’agriculture biologique dans les magasins de produits naturels ou dans la section des produits bio des épiceries.

    Apprêts culinaires

    • En Inde, on l’emploie libéralement dans le riz, les pommes de terre, les lentilles et les légumes, et il entre dans la composition de pratiquement tous les plats de curry ainsi que dans les chutneys.
    • À la Réunion, on s’en sert pour lier les sauces et corriger l’acidité de certains mets.
    • Nasi kuning (riz jaune) : ce plat festif de l’Indonésie se prépare avec du riz à long grain, du lait de coco, du bouillon de poulet (que l’on peut remplacer par du bouillon de légumes), du curcuma, de la citronnelle, de la cannelle, du clou de girofle, des feuilles de pandanus (vendues dans les épiceries asiatiques), des feuilles de salam (une plante de la famille des myrtacées, qu’on peut remplacer par du laurier) et du rhizome de galanga (frais ou en conserve dans les épiceries asiatiques). Mettre tous les ingrédients dans une casserole ou un cuiseur pour le riz. Retirer les feuilles avant de servir. Le riz est généralement présenté sous la forme d’un gros cône entouré de légumes et de viande, poisson ou fruits de mer.
    • Il peut colorer diverses préparations, comme la pâte à crêpes ou à gaufres, ou encore, du chou-fleur, qu’on aura d’abord cuit quelques minutes à l’eau bouillante, puis fait revenir avec des oignons. Ajouter un peu d’eau, un piment fort haché, de la noix de coco râpée, du curcuma, saler, poivrer et cuire jusqu’à tendreté. À la fin de la cuisson, arroser d’un filet de jus de citron.
    • Ou on en colorera les vinaigrettes et, pourquoi pas, les glaces ou les sorbets.
    • Piccalilli : cette marinade créée par les Anglais lors de leur occupation de l’Inde comprend divers légumes (petits oignons, concombre, chou-fleur, haricots verts, tomates vertes) qui sont mis à macérer 24 heures avec du sel, puis égouttés. On les fait ensuite cuire avec du vinaigre, de la farine, du sucre (ou du miel) et du curcuma, puis on les met dans des pots de conserve.
    • On en mettra également dans les marinades de concombre, avec des feuilles et des graines d’aneth.
    • Poulet à la marocaine : mélanger 1 c. à soupe de farine avec 1 c. à thé de cannelle, de cumin et de curcuma. En enrober des morceaux de poulet que l’on fera ensuite revenir cinq minutes de chaque côté dans un peu d’huile. Diluer 1 c. à soupe de farine dans du bouillon, ajouter au poulet avec des dattes et des amandes, couvrir et cuire une dizaine de minutes ou jusqu’à ce que le poulet soit à point.
    • Rendang indonésien : ce plat à base de fines tranches de boeuf se prépare en faisant mariner la viande 30 minutes dans une préparation composée de sauce soya, oignon, ail, gingembre, galanga, curcuma et eau. Passer tous les ingrédients au mélangeur. N’employer que la moitié de la sauce pour mariner la viande. L’autre moitié sera mélangée avec du lait de coco et de la citronnelle, puis chauffée à feu doux jusqu’à réduction de moitié. Puis, mélanger les deux préparations et cuire environ 50 minutes. Servir sur du riz.
    • On peut en assaisonner une soupe, une crème ou un velouté, par exemple une crème de courgette ou de courge. Pour lui donner un peu de consistance, y faire cuire du riz avant de passer la préparation au mélangeur, et pour lui donner une petite note acidulée, ajouter un filet de jus de citron à la fin de la cuisson.
    • Pilaf : en ajouter au pilaf de boulghour, quinoa, amaranthe, riz sauvage, etc.

    Conservation

    Conserver la poudre dans un contenant hermétique au frais, au sec et à l’abri de la lumière. Lerhizome frais se conservera une ou deux semaines au réfrigérateur dans un sac de plastique perforé.

     

    Jardinage biologique

    Toute l’année!
    On peut cultiver le curcuma en pots à l’extérieur pendant toute la belle saison et les rentrer lorsque le gel menace.

     

    Bien qu’il s’agisse d’une plante tropicale, on peut cultiver quelques pieds de curcuma chez soi si on les démarre à l’intérieur en janvier ou février pour les mettre en pleine terre une fois le risque de gel écarté.

    On plantera un morceau de rhizome frais ou l’on se procurera un plant chez un pépiniériste spécialisé.

    Pour la production en contenant, utiliser un gros pot à fleurs (au moins 30 cm de diamètre), rempli d’un très riche terreau, le curcuma étant très exigeant. Veiller à garder la terre humide sans qu’elle soit détrempée pour autant.

    La récolte se fait de neuf à dix mois après la plantation. Pour la conservation, on fait bouillir le rhizome, puis on le pèle et le fait sécher dans un déshydrateur ou un four réglé à très basse température jusqu’à ce qu’il ait perdu environ 75 % de son volume.

    Écologie et environnement

    Des chercheurs indiens ont découvert que la poudre de curcuma pouvait inhiber diverses maladies du riz transmises par la graine. Cette plante réputée pour ses propriétés antioxydantes pourrait donc permettre de diminuer, voire éliminer, les fongicides et bactéricides chimiques dans les plantations de riz.

     

    Sections Le curcuma au fil du temps, Usages culinaires, Conservation, Jardinage biologique, Écologie et environnement
    Recherche et rédaction : Paulette Vanier

    Coordination du contenu : Josiane Cyr, Dt. P., nutritionniste

    Fiche mise à jour : décembre 2006

     

    Références

    Note : les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information désirée.

    Bibliographie

    Dauzat Albert, Dubois Jean, Mitterand, Henri. Nouveau dictionnaire étymologique et historique, Librairie Larousse, France, 1971.
    Encyclopedia Britannica. Turmeric. Britannica.com [Consulté le 25 septembre 2005]. www.britannica.com
    George Mateljan Foundation. The World’s Healthiest Foods : Turmeric. Whfoods.com [Consulté le 25 septembre 2005]. www.whfoods.com
    Grieve Maud. A Modern Herbal : turmeric. In: Botanical.com [Consulté le 25 septembre 2005]. www.botanical.com
    Katzer Gernot. Turmeric. Gernot Katzer’s Spice Pages. Uni-graz.at [Consulté le 25 septembre 2005]. www.uni-graz.at
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    Mansfeld’s World Database of Agricultural and Horticultural Crops. Curcuma longa. Mansfeld.ipk-gaterleben.de [Consulté le 25 septembre 2005]. http://mansfeld.ipk-gatersleben.de
    Multilingual Multiscript Plant Name Database. Sorting Curcuma Names. Plantnames.unimelb.edu.au[Consulté le 25 septembre 2005]. www.plantnames.unimelb.edu.au
    Santé Canada. Curcuma – Ébauche.
    Santé Canada. Fichier canadien sur les éléments nutritifs, version 2005.[Consulté le 26 avril 2006].
    Tannahill Reay. Food in History, Three Rivers Press, États-Unis, 1988.
    The Epicentre. Encyclopedia of Spices: Turmeric. Theepicentre.com [Consulté le 25 septembre 2005]. www.theepicentre.com
    Toil’ d’épices. Curcuma. Toildepices.com [Consulté le 25 septembre 2005]. www.toildepices.com
    Toussaint-Samat Maguelonne. Histoire naturelle et morale de la nourriture, Bordas, France, 1987.
    USDA, ARS, National Genetic Resources Program. Germplasm Resources Information Network - (GRIN. National Germplasm Resources Laboratory, États-Unis. Ars-grin.gov [Consulté le 25 septembre 2005]. www.ars-grin.gov

    Notes

    1. Willcox JK, Ash SL, Catignani GL. Antioxidants and prevention of chronic disease. Crit Rev Food Sci Nutr 2004;44(4):275-95.
    2. Halvorsen BL, Carlsen MH, et al. Content of redox-active compounds (ie, antioxidants) in foods consumed in the United States. Am J Clin Nutr 2006;84:95-135.
    3. Tilak JC, Banerjee M, et al. Antioxidant availability of turmeric in relation to its medicinal and culinary uses. Phytother Res 2004 October;18(10):798-804.
    4. Sharma RA, Euden SA, et al. Phase I clinical trial of oral curcumin: biomarkers of systemic activity and compliance. Clin Cancer Res 2004 October 15;10(20):6847-54.
    5. Maheshwari RK, Singh AK, et al. Multiple biological activities of curcumin: a short review. Life Sci 2006 March 27;78(18):2081-7.
    6. Béliveau R, Gingras D. Les aliments contre le cancer. La prévention et le traitement du cancer par l'alimentation. Éditions du Trécarré ed. Outremont, Canada: 2005.
    7. Polasa K, Raghuram TC, et al. Effect of turmeric on urinary mutagens in smokers. Mutagenesis 1992 March;7(2):107-9.
    8. Garcea G, Berry DP, et al. Consumption of the putative chemopreventive agent curcumin by cancer patients: assessment of curcumin levels in the colorectum and their pharmacodynamic consequences.Cancer Epidemiol Biomarkers Prev 2005 January;14(1):120-5.
    9. Chauhan DP. Chemotherapeutic potential of curcumin for colorectal cancer. Curr Pharm Des2002;8(19):1695-706.
    10. Campbell FC, Collett GP. Chemopreventive properties of curcumin. Future Oncol 2005 June;1(3):405-14.
    11. Duvoix A, Blasius R, et al. Chemopreventive and therapeutic effects of curcumin. Cancer Lett 2005 June 8;223(2):181-90.
    12. Kim DC, Kim SH, et al. Curcuma longa extract protects against gastric ulcers by blocking H2 histamine receptors. Biol Pharm Bull 2005 December;28(12):2220-4.
    13. Prucksunand C, Indrasukhsri B, et al. Phase II clinical trial on effect of the long turmeric (Curcuma longa Linn) on healing of peptic ulcer. Southeast Asian J Trop Med Public Health 2001 March;32(1):208-15.
    14. Mukhopadhyay A, Basu N, et al. Anti-inflammatory and irritant activities of curcumin analogues in rats.Agents Actions 1982 October;12(4):508-15.
    15. Ramirez-Tortosa MC, Mesa MD, et al. Oral administration of a turmeric extract inhibits LDL oxidation and has hypocholesterolemic effects in rabbits with experimental atherosclerosis. Atherosclerosis 1999 December;147(2):371-8.
    16. Vanisree AJ, Sudha N. Curcumin combats against cigarette smoke and ethanol-induced lipid alterationsin rat lung and liver. Mol Cell Biochem 2006 August;288(1-2):115-23.
    17. Chen WF, Deng SL, et al. Curcumin and its analogues as potent inhibitors of low density lipoprotein oxidation: H-atom abstraction from the phenolic groups and possible involvement of the 4-hydroxy-3-methoxyphenyl groups. Free Radic Biol Med 2006 February 1;40(3):526-35.
    18. Durgaprasad S, Pai CG, et al. A pilot study of the antioxidant effect of curcumin in tropical pancreatitis.Indian J Med Res 2005 October;122(4):315-8.
    19. Vas CJ, Pinto C, et al. Prevalence of dementia in an urban Indian population. Int Psychogeriatr 2001 December;13(4):439-50.
    20. Chandra V, Pandav R, et al. Incidence of Alzheimer's disease in a rural community in India: the Indo-US study. Neurology 2001 September 25;57(6):985-9.
    21. Lim GP, Chu T, et al. The curry spice curcumin reduces oxidative damage and amyloid pathology in an Alzheimer transgenic mouse. J Neurosci 2001 November 1;21(21):8370-7.
    22. Frautschy SA, Hu W, et al. Phenolic anti-inflammatory antioxidant reversal of Abeta-induced cognitive deficits and neuropathology. Neurobiol Aging 2001 November;22(6):993-1005.
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    25. Luper S. A review of plants used in the treatment of liver disease: part two. Altern Med Rev 1999 June;4(3):178-88.
    26. Kim KJ, Yu HH, et al. Antibacterial activity of Curcuma longa L. against methicillin-resistant Staphylococcus aureus. PhytotherRes 2005 July;19(7):599-604.
    27. Shah BH, Nawaz Z, et al. Inhibitory effect of curcumin, a food spice from turmeric, on platelet-activating factor- and arachidonic acid-mediated platelet aggregation through inhibition of thromboxane formation and Ca2+ signaling. Biochem Pharmacol 1999 October 1;58(7):1167-72.
    28. Heck AM, DeWitt BA, Lukes AL. Potential interactions between alternative therapies and warfarin. Am J Health Syst Pharm 2000 July 1;57(13):1221-7.
    29. Abebe W. Herbal medication: potential for adverse interactions with analgesic drugs. J Clin Pharm Ther 2002 December;27(6):391-401.
    30. Sharma RA, McLelland HR, et al. Pharmacodynamic and pharmacokinetic study of oral Curcuma extract in patients with colorectal cancer. Clin Cancer Res 2001 July;7(7):1894-900.
    31. Shoba G, Joy D, et al. Influence of piperine on the pharmacokinetics of curcumin in animals and human volunteers. Planta Med 1998 May;64(4):353-6.

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  • PRÉVENIR LE CANCER DU SEIN

    Voici comment prévenir le cancer du sein

     



    Prévenir n'importe quelle localisation cancéreuse n'est possible que si on en connaît toutes les causes. C'est vrai pour le cancer du sein. Cette localisation cancéreuse touchera en France, rien que cette année, près de 60 000 femmes en plus – malheureusement de plus en plus jeunes. Le cancer du sein est responsable de 11 500 décès par an.

    Même si nous savons bien traiter et guérir le cancer du sein, mieux vaut l'éviter, car les traitements sont lourds. Il s'agit de la chirurgie totalement ou partiellement mutilante au niveau du sein, de la radiothérapie sur la paroi thoracique et souvent l'aisselle. Il y a aussi des chimiothérapies de première, puis deuxième, troisième et « énième » ligne, responsables d'alopécie (perte de cheveux) et de nombreuses autres complications : problèmes cutanés (peau) ou perte de sensibilité aux extrémités des membres. Ces complications peuvent persister définitivement, sans parler de la stérilité souvent irréversible même chez des femmes jeunes.

    En plus, ce qu'on ne dit pas aux femmes, c'est que la guérison définitive du cancer du sein ne peut être signée que 27 ans après les premiers traitements. Entre temps, une récidive est toujours possible, mais elle est évitable si l'on élimine les causes premières, qu'il est donc capital d'identifier. Pour cela il faut bien les connaître, les reconnaître et les faire découvrir à chaque femme atteinte afin qu'elle en tienne le plus grand compte pour éviter au maximum une récidive.

    Les causes du cancer du sein sont multiples et parfaitement identifiées. Elles se surajoutent et leur importance varie d'une femme à l'autre selon la durée d'exposition à telle ou telle cause.

    Voici les principaux risques :

    1. Risque génétique

    Le risque génétique n'est présent que chez 5 à maximum 8 % des femmes atteintes de cancer du sein.

    Deux gènes sont en cause : BRCA 1 et BRCA 2.

    BR est le sigle qui signifie BREAST, en anglais SEIN ; CA est le sigle du mot CANCER. Le premier gène, BRCA 1, augmente de 80 % les risques d'avoir un cancer du sein entre 20 et 80 ans, d'autant plus que les autres risques sont associés, d'où l'importance de les connaître. BRCA 2 augmente les risques de cancer du sein de moitié par rapport au précédent et en plus augmente les risques de cancer des ovaires de façon significative [1].

    2. Risque causé par les hormones artificielles (pilule)

    Les hormones de la pilule contraceptive, quelle que soit leur génération, sont reconnues officiellement comme cancérigènes. Mais les laboratoires pharmaceutiques – qui ont trop à y gagner – ne le disent pas et formatent les médecins, spécialistes comme généralistes, dans le but de les tranquilliser. Les risques sont minimes, leur disent-ils, comparés aux avantages. C'est faux, et cela d'autant plus qu'existent des alternatives qui évidemment rapportent moins d'argent et sont de ce fait le plus souvent ridiculisées ou considérées comme inefficaces.

    Les informations diffusées auprès du grand public sont encore plus mensongères. On lui dit et on lui répète sans cesse que la pilule contraceptive est sans danger. On lui parle même – suprême mensonge – de protection contre le cancer que craignent de plus en plus et à juste raison toutes les femmes. Plus les femmes ont peur, plus on les tranquillise en passant très largement par les journaux spécialisés, relayés fortement par les journaux pour le grand public.

    Ces informations fausses atteignent le milieu scolaire. Les livres de Science de la Vie et de la Terre en sont remplis. Professeurs, éducateurs, infirmières et même les parents – les mères évidemment – ne savent la vérité que lorsqu'elles ont été touchées elles-mêmes par cette localisation cancéreuse. Trop tard !

    Ces informations fausses sont aussi largement diffusées dans les magazines people. L'objectif des laboratoires pharmaceutiques est que les jeunes filles commencent tôt et consomment longtemps. Leurs campagnes publicitaires marchent très bien, et sont reprises par les agences de l'Etat indirectement sponsorisées.

    Les informations scientifiques sur ce sujet sont intégralement présentes dans notre livre « La pilule contraceptive – Dangers et Alternatives » écrit avec Dominique Vialard, journaliste scientifique de haut niveau. Il est à noter qu'aucun journal scientifique ou grand public à vocation médicale et de santé n'a osé parler de ce livre. Le sujet est trop dangereux. Ces journaux risqueraient de perdre de nombreuses pages de publicité, celles des laboratoires pharmaceutiques qui les font vivre, sans lesquelles ils mettraient la clé sous la porte. Avez-vous remarqué que la pilule Diane 35 a été d'abord retirée en France, face au scandale de santé et, quelques mois plus tard, elle revient avec l'accord de l'Europe ?!

    Soulignons aussi qu'autour et après la ménopause, ce sont les THS (Traitement Hormonal Substitutif) ou THM (Traitement Hormonal de la Ménopause) qui augmentent le plus les risques de cancer du sein – jusqu'à 30 % , surtout quand ils sont prescrits jusqu'à 60 ans. Au moins pendant 10 ans, dit la publicité et répètent certains confrères médecins, très liés directement ou plus astucieusement indirectement aux labos. Ils font croire à un rajeunissement rêvé par toutes les femmes et même à la protection ou à la détection précoce du cancer du sein pour un meilleur pronostic. L'argumentaire est très bien monté, mais il est faux.

    Ces THS et/ou THM pourraient être remplacés, sans aggraver le trou gigantesque de la Sécurité sociale, par le changement des habitudes alimentaires et une simple phytothérapie bien adaptée au cas par cas.

    3. Risque causé par les excès alimentaires

    Le troisième facteur de risques concerne les excès alimentaires, responsables de surpoids et de gras qui se stocke dans les glandes mammaires. Le gras dans les seins est en effet authentiquement cancérigène. Ce gras provient des sucres en excès, du gras caché dans les viandes animales et les produits laitiers qui contiennent encore trop de facteurs de croissance [2].

    4. Risque causé par le tabac et les drogues

    Le quatrième facteur est lié directement au tabagisme et à toutes les drogues, de plus en plus consommées par les jeunes filles à l'âge scolaire.

    Le tabagisme est catastrophique chez les femmes, qui ont une capacité respiratoire de 30 à 50 % inférieure à celle des hommes et fument autant qu'eux.

    Le haschich qui se répand partout dans les lycées et jusque dans les collèges fait des ravages. Pas question de dire aux jeunes que la teneur en THC (TétraHydroCannabinol, la molécule toxique) est concentrée jusqu'à 20 à 30 % pour les rendre addicts plus vite. On leur laisse croire qu'il faut faire ses expériences et qu'il s'agit d'une plante verte, donc très écologique. Tabac et drogues ont toutes sans exception des effets immuno-dépresseurs qui ne peuvent que préparer le corps à des catastrophes ultérieures, quand elles vont s'associer aux autres facteurs de risques.

    5. Risque causé par le stress chronique

    Le cinquième concerne les stress chroniques, beaucoup plus importants à prendre en considération que les chocs psychologiques auxquels nous sommes tous plus ou moins soumis : perte d'un être cher, éclatement familial, traumatismes de toute nature, burn-out…

    C'est un risque important, mais un risque parmi d'autres (le cinquième). Je le précise car nombre de psychologues peu compétents en cancérologie diffusent l'idée que les stress chroniques ou aigus sont quasiment seuls responsables des cancers du sein. Ces informations sont d'ailleurs régulièrement reprises, plutôt de manière indirecte, par les laboratoires pharmaceutiques, ce qui leur permet de se déculpabiliser à bon compte et de continuer d'inonder la planète de leur contraception chimique cancérigène. Si les femmes savaient [3] !

    6. Autres risques

    Les autres risques sont :

    • l'absence d'activité physique souvent associée au surpoids. La femme dit qu'elle marche pour aller au travail et aller chercher enfants ou petits-enfants à l'école, mais il ne s'agit en aucun cas d'une activité physique qui soit réductrice des risques de cancer du sein ;

    • la pollution atmosphérique, les pesticides, insecticides…, les souffrances sociales en tout genre : précarité, monoparentalité des femmes ne profitant pas des dépistages et suivis… [4]

    Un test en ligne gratuit pour évaluer votre risque

    Pour vous permettre d'évaluer précisément votre propre risque de cancer du sein, vous pouvez vous rendre sur la rubrique « Cancer-Risks » de notre blog www.professeur-joyeux.com. Vous pourrez, gratuitement, sans publicité, et sans être poussée à acheter quoi que ce soit, y évaluer votre risque. Ce test est conçu pour déterminer les risques de cancer du sein de n'importe quelle femme, quel que soit son âge. Nous avons présenté tous les risques les affectant d'un coefficient positif d'augmentation ou négatif de réduction de risques.

    Remplir ce questionnaire demande moins de 10 minutes et permet à toute femme de savoir où elle en est et quels sont les efforts qu'elle doit réaliser pour réduire sans tarder ses propres risques. Ce test est évidemment renouvelable autant de fois que nécessaire et toujours gratuitement.

    Faites profiter votre entourage de ce message

    Vous avez lu, n'hésitez pas à relire, à diffuser à toutes vos amies. Vous pouvez aussi offrir cette lettre à votre gynécologue et à votre généraliste, même si je sais bien qu'elle a de grandes chances de finir rapidement à la poubelle, – avec une moue ou une explication du style « il est contre, ce n'est pas démontré » – sauf si votre gynécologue ou généraliste est homéopathe, ou si malheureusement elle sait elle-même en son corps de quoi il s'agit.

    Mais elle contient tout ce que les femmes jeunes ou moins jeunes, toutes les mères de famille devraient savoir.


    Professeur Henri Joyeux

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  • vivreaujourdhui.com

    INUTILE DE NOUS TRACASSER

     
     
    29 Janvier 2015
     
     

    Ne vous mettez pas en souci pour rien, mais, en toute chose, exposez vos besoins à Dieu…
    Philippiens 4.6

    Se tracasser, c’est se mettre en souci au point d’être agité jusqu’à en perdre le sommeil.

    L’exhortation ci-dessus de l’apôtre Paul nous enjoint de ne pas nous mettre en souci pour rien, que ce soit un problème matériel, ou une question relationnelle ou de santé. Avouons que ce n’est ni évident, ni facile. Faudrait-il devenir complètement insensible à tout ce qui, légitimement, peut nous arriver ?

    Certes non ! Il est bon de réfléchir aux causes, aux remèdes possibles, aux conséquences. J’ai le droit et même l’obligation d’examiner sereinement toutes les implications et les enjeux du problème qui me préoccupe. Cependant sans oublier que, avec ma propre sagesse, je ne trouverai pas toujours la bonne solution.

    C’est pourquoi l’apôtre nous propose de faire connaître, en toute chose, sans exception, ce besoin à Dieu. Non seulement par la prière, mais en le suppliant d’intervenir, sans oublier de le remercier pour son assistance quotidienne et aussi pour ce qu’il va réaliser.

    On aurait pu s’attendre à ce que l’apôtre conclût en disant par exemple : « Et alors, le problème sera résolu ». Mais il dit : Et la paix de Dieu […] gardera votre cœur et votre pensée sous la protection de Jésus-Christ. C’est-à-dire nos sentiments, nos émotions, ainsi que notre réflexion, nos raisonnements, nos décisions seront conduits par Jésus-Christ. Dieu lui-même remettra en paix tout notre être intérieur.

    Charles Rick

     

     

    INUTILE DE NOUS TRACASSER

    Lettre aux Philippiens 4. 6-9 : "Ne soyez inquiets de rien, mais demandez toujours à Dieu ce qu’il vous faut. Et quand vous priez, faites vos demandes avec un cœur reconnaissant. Ainsi la paix de Dieu, qui dépasse tout ce que nous pouvons comprendre, gardera vos cœurs et vos pensées unis au Christ Jésus.

    En tout cas, frères et sœurs, voici ce qui doit vous intéresser : tout ce qui est vrai et mérite d’être respecté, tout ce qui est juste et pur, tout ce qu’on peut aimer et approuver, tout ce qui est très bon et ce qui mérite des félicitations. Faites ce que vous avez appris de moi, ce que vous avez reçu et entendu de moi, ce que vous m’avez vu faire. Et le Dieu qui donne la paix sera avec vous."
     
     
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  • VOTRE FOIE VOUS PARLE

    VOTRE FOIE VOUS PARLE

    Cette lettre est destinée aux ados

    On va tout se dire !

    À l’adolescence, attention, je ne suis pas une éponge, ni pour l’alcool ni pour les autres drogues 

    Tout passe par moi, votre foie !

    Faites passer ce message à tous les jeunes, ils ne sont pas idiots… ils sont souvent trompés et exploités par les alcooliers et tant de coquins…

    Les jeunes s’alcoolisent de plus en plus ! Le Binge drinking [1] est tendance. Les sociologues observent en affirmant doctement qu’il fait un tabac.

    Ceux qui vendent l’alcool – heureux de leurs nouvelles cibles de marketing – font des choux gras et se moquent d’abîmer la jeunesse. Les pensées politiques, basées sur des modes qui n'ont rien de pensé mais fonctionnent plutôt sur le mode perroquet, à gauche comme à droite, sont obsédées par la liberté de laisser faire selon les désirs, quels que soient les risques, et se moquent tout autant de la jeunesse. Ils leurs promettent même des salles de shoot, pour se faire plaisir, quitte à ce qu'ils se détruisent.

    Pour le Dr Yann le Quéré, psychiatre addictologue, hôpital de jour jeunes consommateurs, CHU Paul Brousse, Villejuif :

    « On assiste à une banalisation de la consommation et on voit émerger de façon alarmante le phénomène d’alcoolisation ponctuelle importante (API) qui consiste en la consommation d’au moins 5 verres d’alcool en une occasion ».

    L’étude Escapad 2011 a montré que

    « l’usage régulier de cannabis est en baisse chez les jeunes de 17 ans, mais ceux du tabac et de l’alcool sont en hausse avec en particulier une augmentation notable des ivresses répétées et régulières aussi bien chez les filles que chez les garçons. (…) Plus de la moitié des jeunes de 17 ans disent avoir bu au moins cinq verres en une même occasion au cours du mois écoulé. L’API, qui s’apparente au binge-drinking anglo-saxon, concerne plus de la moitié des jeunes et est plutôt le fait des garçons (près de 60 % ont déclaré un épisode dans le mois) que celui des filles (46 %), mais l’écart aurait tendance à se réduire. »

    Dans les soirées de binge-drinking, le but n’est pas de faire la fête en buvant éventuellement, mais de boire un maximum d’alcool dans un temps très court.

    L’enquête démontre que seuls 6,6 % des adolescents de 17 ans n’ont expérimenté aucun de ces 3 produits : tabac, alcool, cannabis. 

    Y. le Quéré souligne :

    « La loi Evin ne semble plus adaptée. À mon avis les messages de prévention contre le tabagisme portent leurs fruits notamment chez les jeunes. Le tabac perd peu à peu son image subversive ou branchée. La notion est généralement acquise que fumer, c’est nocif, même chez les consommateurs. Concernant l’alcool, les campagnes de prévention sont rares, particulièrement à destination des plus jeunes, l’alcool est valorisé dans les publicités ».

    Un exemple : il suffit de taper sur Google « Heineken, James Bond » pour afficher Daniel Craig au lit avec une superbe brune et… une bière ! James Bond ne fume plus, il boit une Heineken.

    La publicité des boissons alcooliques est autorisée sur bon nombre de supports mais interdite depuis cinq ans sur les « services de communications en ligne », sous réserve qu’elle ne soit pas intrusive, et exclue des sites destinés à la jeunesse, dédiés au sport et/ou à l’activité physique.

    Que dire alors de la coupe d’Europe de Rugby à XV, dénommée H Cup (H de Heineken) jusqu’en 2014 ? Que dire des marques d’alcool qui, contrairement à celles du tabac, ont leur compte Facebook ? Heineken bénéficie de plus de 600 000 « like » en France, la vodka Poliakov, plus de 66 000… « Les alcooliers orientent délibérément leurs publicités vers les jeunes qui représentent un marché émergeant du point de vue des ventes d’alcool, insiste Y. le Quéré. Ignorent-ils que l’alcoolisme est la première cause des décès survenant chez les 15-34 ans (22 %), toutes causes confondues (coma, accidents de la route, accidents traumatiques, suicides) ».

    Aux USA, 2200 personnes meurent chaque année d’une intoxication alcoolique, soit en moyenne 6 personnes par jour. Le Dr Robert Brewer du Centre de contrôle des maladies à Atlanta, affirme

    « Plus de 38 millions d’adultes américains se livrent à ces “binge-drinking” quatre fois par mois en moyenne, absorbant pour chacune de ces occasions huit verres d’alcool. » Et la directrice adjointe ajoute : « Nous devons mettre en œuvre des programmes et des politiques visant à prévenir les beuveries et les nombreux préjudices sociaux et de santé qui sont liés à elle. »

    Vous l’avez compris, l’alcool chez les jeunes, ce n’est pas eux qui en sont les premiers responsables. C’est une information qui les exploite, managée par des exploiteurs qui gagnent de l’argent sans complexe sur le dos des jeunes.

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  • vivreaujourdhui.com

    LA BESACE

     
     
    28 Janvier 2015
     
     

    Ne remarques-tu pas la poutre qui est dans ton œil ?
    Matthieu 7.3

    Dans cette fable, La Fontaine fait venir devant Jupiter, le roi des dieux mythologiques, plusieurs animaux. Ils sont invités à dire librement au roi si quelque chose ne leur plaît pas en eux. Jupiter y remédierait. Les uns après les autres sont satisfaits d’eux-mêmes et ne trouvent rien à redire de leur état. Par contre, ils critiquent sans retenue l’un ou l’autre. Le fabuliste conclut la scène en constatant que les humains sont les plus « fous ». Nous sommes :
    « Lynx envers nos pareils, et taupes envers nous.
    Nous nous pardonnons tout,
    et rien aux autres hommes :
    On se voit d’un autre œil
    qu’on ne voit son prochain ».
    Le Créateur aurait pourvu chacun d’une besace, ce sac à deux poches porté sur une épaule :
    « Il fit pour nos défauts, la poche de derrière,
    Et celle de devant pour les défauts d’autrui. »
    Mais La Fontaine ne nous donne aucun remède pour corriger ce travers.
    Dans le Sermon sur la Montagne, Jésus avertit d’abord : C’est du jugement dont vous jugez qu’on vous jugera, de la mesure dont vous mesurez qu’on vous mesurera. Puis il nous propose la démarche inverse. Ne pas passer d’abord notre prochain à la loupe pour grossir ses peccadilles en poutres, mais examiner en priorité notre propre œil. Il est obstrué par nos propres défauts, ces “poutres” que nous refusons de reconnaître. Lorsque notre regard sera clarifié, nous verrons assez clair pour ôter la paille de l’œil de notre frère.

    Charles Rick

     

    LA BESACE

    Évangile selon Matthieu 7. 1-5 : "« Ne jugez pas les autres, et Dieu ne vous jugera pas. En effet, Dieu vous jugera comme vous jugez les autres. Et il vous donnera comme vous donnez aux autres ! Tu regardes le bout de paille qui est dans l’œil de ton frère. Mais le tronc d’arbre qui est dans ton œil, tu ne le remarques pas ! Pourquoi donc ? Comment peux-tu dire à ton frère : “Laisse-moi enlever le bout de paille qui est dans ton œil” ? Et toi, tu as un tronc d’arbre dans le tien ! Homme faux ! Enlève d’abord le tronc d’arbre qui est dans ton œil ! Ensuite, tu verras assez clair pour enlever le bout de paille dans l’œil de ton frère ! »

     
     
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    CITRON ET LIME

     

    Citron et lime


     

    Valeur nutritive du citron et de la lime

     

     

    Citron sans écorce, 1 moyen (5,4 cm de diamètre)/60 g

    Jus de citron frais, 63 ml (¼ tasse)/65 g

    Jus de lime frais, 63 ml (¼ tasse)/65 g

    Calories

    17

    16

    16

    Protéines

    0,6 g

    0,3 g

    0,3 g

    Glucides

    5,4 g

    5,6 g

    5,5 g

    Lipides

    0,2 g

    0,0 g

    0,0 g

    Fibres alimentaires

    1,6 g

    0,3 g

    0,3 g

     

    Charge glycémique : Donnée non disponible

    Pouvoir antioxydant : Faible

    Sources : Santé Canada. Fichier canadien sur les éléments nutritifs, 2010.

     

    Profil santé du citron et de la lime

     

     

    Le goût acidulé du citron et de la lime stimule les papilles gustatives, ce qui est excellent pour la digestion. Ils sont riches envitamine C et renferment différents composés qui préviendraient lecancer.

     

    Les bienfaits du citron et de la lime

    De nombreuses études indiquent que la consommation d’agrumes, dont le citron et la lime, exerce un effet favorable contre le cancer.

    • Cancer (prévention). Plusieurs études ont démontré que la consommation d’agrumesserait reliée à la prévention de certains types de cancers3,4,18,33, comme le cancer de l’oesophage, le cancer de l’estomac, le cancer du côlon, de la bouche et du pharynx. Selon l’une de ces étudess33, une consommation modérée d’agrumes (soit de 1 à 4 portions par semaine) permettrait de réduire les risques de cancers touchant le tube digestif et la partie supérieure du système respiratoire. En ce qui concerne le cancer du pancréas ou de la prostate, les études demeurent controversées32,39.
       
      Une étude populationnelle suggère que la consommation quotidienne d’agrumes jumelée à une consommation élevée de thé vert (1 tasse et plus par jour) serait associée à une plus forte diminution de l’incidence des cancers31.
    • Cancer (ralentir la progression). Les flavonoïdes, des composés antioxydants contenus dans les agrumes, ont démontré qu’ils pouvaient ralentir la prolifération de plusieurs lignées de cellules cancéreuses9,16,35 et diminuer la croissance des métastases34. Ces propriétés pourraient servir à l’élaboration de thérapies antitumorales8.
       
      D’autres composés contenus dans les agrumes (les limonoïdes) ont également démontré des effets anticancer in vitro ou sur des modèles animaux. Ils pourraient diminuer la prolifération de cellules cancéreuses12,13 du sein15, de l’estomac13, du poumon13, de la bouche12,17 et du côlon18.

    Citron et lime

    • Maladies cardiovasculaires. Plusieurs étudesépidémiologiques ont démontré qu’un apport régulier en flavonoïdes provenant d’agrumes est associé à une diminution du risque de maladies cardiovasculaires37. Les flavonoïdes contribueraient à améliorer la vasodilatation coronarienne, à diminuer l’agrégation des plaquettes sanguines et à prévenir l’oxydation du « mauvais » cholestérol (LDL).
    • Inflammation. Plusieurs études ont démontré que les flavonoïdes des agrumes avaient des propriétés anti-inflammatoires. Ils inhiberaient la synthèse et l’activité de médiateurs impliqués dans l’inflammation (dérivés de l’acide arachidonique, prostaglandines E2, F2 et thromboxanes A2)37.
    • Hypercholestérolémie. Les flavonoïdes et les limonoïdes des agrumes et de leurs jus pourraient avoir un potentiel de réduction de l’hypercholestérolémie. Des études réalisées chez l’animal ont démontré que certains d’entre eux abaissaient le cholestérol sanguin10,11,19. Cependant, ces études n’ont pas été effectuées à partir de composés extraits directement du citron ou de la lime. La biodisponibilité des composés issus des agrumes et leurs mécanismes d’absorption devront être étudiés chez l’humain avant que l’on puisse statuer sur leur efficacité clinique.
    • Autres. Parmi d’autres effets observés, deux limonoïdes présents dans les agrumes (la limonine et la nomiline) inhiberaient la réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), en plus d’inhiber l’activité de la protéase du virus20. De plus, certains limonoïdes du citron démontrent une activité contre certains champignons pathogènes21. D’autres limonoïdes22 et certaines protéines26 amélioreraient le système immunitaire chez l’animal. Ces résultats sont prometteurs, mais n’ont pas fait l’objet d’études cliniques contrôlées. Il est donc impossible pour l’instant de transposer ces effets chez l’humain.

    Plusieurs études prospectives et épidémiologiques ont révélé qu’une consommation élevée de fruits et de légumes diminuait le risque de maladies cardiovasculaires28, de certains cancers29 et d’autres maladies chroniques1,2,30.

    Que contiennent le citron et la lime?

    Le pouvoir antioxydant du citron et de la lime est considéré comme faible, car il est calculé en fonction d’une portion normale, qui est relativement petite. Néanmoins, le citron et la lime renferment divers composants qui peuvent avoir un effet favorable sur la santé et sur la préventionde plusieurs maladies.

     

    Flavonoïdes
    Le citron et la lime renferment différents types de flavonoïdes. Ces composés antioxydants permettent, entre autres, de neutraliser les radicaux libres du corps et, ainsi, prévenir l’apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies chroniques. Les principaux flavonoïdes contenus dans le citron et la lime sont l’ériocitrine et l’hespérétine. Des expériences menées sur des animaux ont démontré que l’ériocitrine et l’hespérétine, extraits de l’écorce (peau) du citron ou de son jus, pouvaient diminuer ou prévenir l’augmentation des dommages reliés austress oxydatif5,6. De plus, l’ériocitrine pourrait induire l’apoptose de cellules leucémiques. La partie blanche de l’écorce du citron est celle qui contient le plus de ces 2 flavonoïdes.

    La nobiletine, un autre type de flavonoïde contenu dans les agrumes, aurait des propriétés antiangiogéniques. Elle contribuerait à ralentir la croissance des tumeurs et desmétastases34. Enfin, selon une étude menée sur des cellules du pancréas, la capacité à inhiber la prolifération de cellules cancéreuses de la lime serait proportionnelle à son contenu en flavonoïdes ainsi qu’en limonoïdes36.

     

    Limonoïdes
    Les principaux limonoïdes que renferment les agrumes sont la limonine et la nomiline. On les retrouve principalement dans les pépins12, mais aussi dans le jus13. Les limonoïdes possèdent une certaine capacité antioxydante14. Ils pourraient aussi entraîner l’apoptose de cellules neuroblastiques cancéreuses (cellules nerveuses embryonnaires, se différenciant ensuite en neurones)16. Des études laissent présager qu’ils pourraient prévenir certains types de cancers chez l’animal. Par exemple, l’obacunone, un type de limonoïde, s’est avéré efficace pour diminuer l’incidence de tumeurs du côlon18 et pour diminuer le nombre de tumeurs de la bouche12.Mais il n’existe pour le moment aucune donnée quant à un effet similaire chez l’humain. L’action synergique de plusieurs limonoïdes entre eux, ou avec d’autres composés (comme les flavonoïdes), pourrait accentuer leur action sur les cellules cancéreuses.

     

    Fibres solubles
    Les agrumes sont riches en fibres solubles, principalement en pectine, que l’on retrouve dans l’écorce et dans la membrane blanche autour de la chair (albédo). Par leur aptitude à diminuer le cholestérol sanguin, les fibres solubles contribuent à réduire l’incidence des maladies cardiovasculaires23. Des chercheurs ont démontré que l’écorce de citron était efficace pour diminuer les taux de cholestérol sanguin et hépatique chez l’animal24. Cependant, en plus de la pectine, d’autres composés présents dans l’écorce du citron pourraient participer à ce processus.

    De plus, la pectine du citron, comparée à celle de 3 autres agrumes (pamplemousse, tangerine et orange), présente la meilleure capacité à inhiber la croissance de certaines tumeurs cancéreusesin vitro25. Par contre, ces données nécessitent davantage d’analyse avant de conclure à des effets bénéfiques de la pectine de citron ou de lime sur le cancer chez l’humain.

     

    Protéines
    Une équipe de chercheurs a découvert qu’un extrait de jus de lime pourrait améliorer la réponse immunitaire chez l’animal26. Cet effet serait attribuable à un ensemble de protéines présentes dans l’extrait de jus de lime. Ces mêmes composantes protéiques pourraient participer à l’arrêt de la prolifération de cellules cancéreuses observé in vitro27.

     

    Citron et perte de poids
    De nombreux régimes amaigrissants à la mode vantent l’utilisation du citron et de son jus pour son impact sur la perte de poids. Il a été démontré que les personnes obèses avaient des concentrations de vitamine C inférieures aux non-obèses et que de faibles taux de vitamine C étaient reliés à l’accumulation de graisse abdominale. En effet, les individus qui consomment suffisamment de vitamine C oxyderaient 30% plus de gras corporel au cours d’une séance d’exercice modéré comparativement aux individus ayant de faibles consommations vitamine C 40.  Bref, de faibles apports en vitamine C constitueraient une barrière à la perte de gras corporel chez les obèses. Tout de même, aucune étude clinique contrôlée  pour évaluer spécifiquement l’impact de la consommation de citron sur la perte de poids n’a été réalisée à ce jour. Il faudra donc attendre des études supplémentaires pour confirmer leurs effets potentiels.

    Vitamines et minéraux principaux

    > Classification des sources des nutriments

    Vitamines: leurs fonctions, les meilleures sources

    Minéraux: leurs fonctions, les meilleures sources

    Bonne source

    Vitamine C

    Le citron et le jus de citron sont de bonnes sources de vitamine C. La lime est une source de vitamine C.

    Source

    Cuivre

    Le jus de citron est une source de cuivre.

    Source

    Fer

    La lime est une source de fer pour l’homme seulement.

     

    Précautions

    On devrait éviter de consommer du citron ou de la lime, ou leurs jus, en même temps que desmédicaments antiacides. En effet, plusieurs agrumes augmentent l'absorption de l'aluminium contenu dans les antiacides. Il vaut mieux espacer de 3 heures la prise d’antiacides et de fruits citrins ou de leur jus.

    Le citron, la lime, ainsi que leurs jus, devraient également être évités par les personnes souffrant de reflux gastro-oesophagien, d'oesophagite peptique et de hernie hiatale (en phase aiguë de ces maladies). Ces aliments peuvent causer une irritation de la muqueuse de l’oesophage ou causer des brûlures épigastriques.

    Le jus de lime cause une diminution de l’activité anticoagulante de la warfarine38.

     

    Profil santé
    Recherche et révision scientifique
    sous la direction de Louise Corneau, Dt.P., M.Sc., nutritionniste, Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), Université Laval.
    Mise à jour : Décembre 2014

     

    Idées recettes

     

    Les agrumes sont plus juteux lorsqu'ils sont à la température de la pièce. Par conséquent, il est préférable de les sortir du réfrigérateur quelque temps avant de les consommer. Pour extraire un maximum de jus, roulez le fruit avec la main sur une surface de travail avant de le passer au presse-agrume.

    Jus

    avec des citrons
    • Dans les glaces, les sorbets, les granités.
    • Dans les crèmes, les tartes et les gâteaux.
    • Dans la vinaigrette, en remplacement du vinaigre.
    • En limonade, dans le thé, chaud ou glacé, ou dans les infusions.
    • En filet sur les poissons et les fruits de mer.
    • Sur les huîtres crues, pour en relever le goût en plus de détruire la majorité des bactéries qui pourraient s’y retrouver.
    • Pour déglacer une poêle.
    • Pour faire une crème sure maison, ajoutez un peu de jus de citron à de la crème fraîche, laissez prendre et égouttez.
    • Au Mexique, on boit la bière assaisonnée d'un filet de jus de citron ou de limette.
    • Beurre maître d'hôtel. Battez le beurre en crème, ajoutez sel, poivre, persil émincé puis, toujours en battant, ajoutez quelques gouttes de jus de citron. Nappez une viande grilléede cette sauce.
    • Le jus de la limette convient mieux à la salsa mexicaine que le citron. Essayez lasalsa cruda en mélangeant, en parts égales, oignon doux, feuilles de coriandre et tomatilles hachés. Ajoutez un piment jalapeno émincé et le jus d'une ou deux limes, selon la quantité de légumes.
    • Au Japon, on mélange jus de citron, sauce soya, dashi et ciboules pour préparer la saucePonzu qui accompagne les plats de viande grillée.
    • Préparez le poisson en ceviche, à la mode péruvienne, en le faisant simplement macérer dans du citron ou de la lime. Le jus acide a pour effet de « cuire » le poisson, que l'on peut manger sans autre préparation.

    Zeste

    Voyez la section Écologie et environnement pour connaître les précautions à prendre avant de consommer le zeste.

    • Osez le zeste (la couche extérieure de l’écorce) de lime ou de citron dans des pommes de terre en purée, du riz ou des pâtes.
    • La gremolata est un mélange aromatique italien composé en parts égales de zestes d'orange et de citron, d'ail et de persil finement hachés. Il s'ajoute, au moment de servir, sur un osso-buco, un gigot de veau ou toute autre viande braisée.
    • Au Japon, on coupe l’écorce de citron en fines lamelles et on l'ajoute à la toute fin dans les salades, sur des légumes ou du tofu grillé, dans des oeufs brouillés ou une soupe.

    Pulpe

    • La pulpe du citron et de la limette est rarement consommée, car elle est très acide. À l'exception, toutefois, des citrons confits, incontournables dans la cuisine nord-africaine. Un des classiques de cette cuisine est le poulet aux olives et aux citrons confits, cuits en tajine (voir le mode de préparation des citrons confits dans Choix et conservation).
    • On peut aussi servir la pulpe et le zeste avec du riz, du poisson ou de l'agneau.

    Feuilles

    • Les feuilles du combava (voir Choix et conservation) entrent dans la préparation de soupes et de currys à la thaïlandaise.
    • Ajoutez les feuilles finement ciselées aux salades.

    Choix et conservation

    Choisir

    La peau des citrons et des limes les plus juteux est fine et brillante, jamais grumeleuse. Les fruits doivent être fermes et lourds en main.

    Les feuilles du combava (le limettier de l’espèce Citrus hystrix) se trouvent fraîches, séchées ou congelées dans les épiceries orientales. Les feuilles séchées perdent rapidement leur arôme et présentent moins d'intérêt culinaire que les feuilles fraîches et les congelées. Parfois, on trouve aussi le fruit du combava, une limette à la peau bosselée.

    Conserver

    Les citrons se gardent 1 ou 2 semaines à la température ambiante, les limettes moins longtemps, car elles se dessèchent plus rapidement. En gardant citrons et limettes dans un récipient d'eau auréfrigérateur ou simplement dans un récipient bien fermé, ils se conserveront plus longtemps.

    Si l'on dispose de grandes quantités de ces fruits, on peut les presser et congeler le jus dans un bac à glaçons.

    Limes et citrons confits. Fendez les limes ou les citrons en quatre dans le sens de la longueur en les gardant rattachés à un bout, remplissez-les de gros sel (environ 125 ml - ½ tasse pour 4 citrons), mettez-les dans un pot de type Mason en les tassant bien et couvrez de jus de citron (ou de lime). Laissez macérer environ 1 semaine, puis mettez au réfrigérateur. Les fruits confits s'y conserveront facilement 6 mois, même plus longtemps.

    Écorces déshydratées. Séchées à la température ambiante, elles se conservent très longtemps dans un pot à épices. Elles perdront une partie de leur saveur au séchage, mais contribueront tout de même à agrémenter un plat. La partie blanche étant plus amère, on peut ne faire sécher que le zeste, que l'on prélèvera avec un épluche-légumes ou un zesteur.

    La petite histoire du citron et de la lime

     

    Nom commun : citron.
    Nom scientifique : Citrus limon.          
    Famille : rutacées.

     

     

     

    Noms communs : lime, limette.
    Nom scientifique : Citrus aurantifolia.   
    Famille : rutacées.

     

     

     

     

    Citron

    Le citron s'est d'abord appelé « limon », terme emprunté à l'italien limone, qui venait lui-même de l'arabo-persan limûn. Le mot est apparu dans la langue française en 1351. De là vient le mot « limonade » qui, contrairement à « limon », existe encore aujourd'hui. Le terme « citron », né en 1398, est dérivé du latin citrus. Il a graduellement remplacé « limon » dans la langue populaire.

    C'est dans les écrits chinois qu'on fait tout d'abord référence au citron. Une première mention date de 1175, tandis qu'une description détaillée figure dans un ouvrage publié en 1178. Ces mentions, de même que certains autres éléments relevés par les historiens, indiquent que le citron a probablement été introduit en Chine entre le Xe siècle et le milieu du XIIe siècle. On ne dispose pas de preuves archéologiques permettant de déterminer avec certitude son origine, mais les chercheurs croient pouvoir affirmer qu'il vient de l'est de la région himalayenne, au sud de la Chine, plus précisément de la Haute Birmanie.

    Le citron était peut-être cultivé par les Grecs et les Romains, voire par les Égyptiens, mais on ne trouve guère de traces de cette culture, sinon sur des mosaïques de l'époque. Il pourrait d'ailleurs s'agir du cédrat (Citrus medica), son ancêtre probable, connu de longue date, tant à l'est qu'à l'ouest, pour ses propriétés médicinales. Au fil des invasions et des fluctuations climatiques, il se peut que le citron ait disparu du sud de l'Europe à quelques reprises pour y être réintroduit plus tard. Après les invasions barbares (350 à 400 de notre ère), ce sont les Arabes qui reprennent les rênes du commerce. Ils diffuseront le citron, l'introduisant en Afrique du Nord, en Afrique et en Espagne, de même que dans tout le bassin méditerranéen, à l'exception des côtes italiennes et françaises. Enfin, lors des Croisades au Proche-Orient, les Européens de l'ouest, de l'est et du nord découvriront lesagrumes et développeront un goût pour ces fruits acides et juteux qu'ils rapporteront dans leur pays respectif. De là naîtront les premières serres, dites orangeries, dans lesquelles on cultivera d'abord des orangers et des citronniers, puis toutes sortes de plantes tropicales.

    Lime et limette

    Pelure ou écorce?
    La peau épaisse des agrumes se nomme écorce plutôt que pelure : une pelure de pomme, mais une écorce de citron.

    Le terme « lime » viendrait du provençal limo. Il est apparu dans la langue en 1555, tandis que « limette » l’a fait en 1782. Un grand nombre de noms vernaculaires (citron gallet, bou maïs, citrus-limette, citron-limette, citron-vert, limettier de Perse, limette d'Italie, limettier doux, lime acide) ont été donnés à ce fruit, selon les régions et les variétés. Le fruit qu'ils désignent appartient normalement à l'espèce Citrus aurantifolia, la vraie lime ou limette. Il peut également être rattaché à l'espèceCitrus limon (citron), Citrus reticulata (mandarine) ou Citrus hystrix, dite lime kaffir ou combava, un fruit à la peau bosselée. On emploie les feuilles de l’arbre ainsi que le zeste et parfois le jus du fruit dans la cuisine thaïlandaise.

    La lime désigne généralement le fruit amer et acide d'une variété de limettier. La limette fait plutôt référence à une variété dont le fruit possède une saveur douce.

    La première mention écrite de la limette daterait du XIIIe siècle et serait le fait d'un auteur arabe. Comme c'est le cas pour le citron, ce sont probablement les Arabes qui, à cette époque, en ont introduit la culture en Inde, en Perse, en Palestine, en Égypte et en Europe. Le limettier viendrait de l'archipel indien où il pousse à l'état sauvage. Bien que proche du citron dans certains de ses usages culinaires, il s'agit d'une espèce botanique tout à fait différente (Citrus aurantifolia). D'ailleurs, il exige des températures plus chaudes pour s'épanouir. Il se croise spontanément avec d'autres espèces d'agrumes, ce qui a donné naissance à quelques hybrides, la limonime et la limequat étant les plus connues.

    Citron et lime

    Le citron et la lime ont probablement été introduits dans le Nouveau Monde par Christophe Colomb, lors de sa deuxième expédition en 1493, tandis qu'il débarquait à Isabella (Haïti et République dominicaine) pour y constituer le premier établissement permanent. De là, les fruits gagneront rapidement l'Amérique centrale. À la même époque, les Portugais plantaient les premiers arbres à agrumes au Brésil. Au milieu du XVIe siècle, ces arbres poussaient dans toute l'Amérique du Sud. Puis, se ressemant à volonté, de grands vergers se sont établis pratiquement sans intervention humaine.

    Vers la fin du XVIe siècle, les premiers agrumes – citrons, limes, oranges – sont introduits dans la ville de St-Augustin, en Floride. Leur culture se répandra graduellement dans tout le sud-est des États-Unis et, plus tard, en Californie, à Hawaï et à Porto Rico. Aujourd'hui, le citron et la lime sont cultivés dans toutes les régions tropicales et subtropicales de la planète.

    Le parfum puissant des huiles essentielles

    L’écorce des agrumes renferme des huiles essentielles que l'on peut obtenir par pression ou par distillation. On les a toujours employées en parfumerie et dans la fabrication d’insecticides pour les potagers familiaux.
    Aujourd’hui, elles entrent dans la composition de bien d’autres produits : peintures, teintures, solvants, désodorisants et insecticides contre les puces des animaux de compagnie et les fourmis. Elles sont aussi incluses dans de nombreux nettoyants, savons pour la vaisselle et la lessive et désinfectants (les huiles ayant des propriétés germicides).
    On cherche d'autres usages industriels et domestiques à ces huiles. Elles sont plusécologiques que leurs équivalents chimiques et elles proviennent des déchets de l'industrie agroalimentaire – les usines de transformation du jus, notamment.

     

    Écologie et environnement

    Zeste et résidus de pesticides : attention!

    Après la récolte, les agrumes sont généralement traités avec un fongicide dans le but de diminuer les risques de moisissures, en particulier durant l’entreposage. Des analyses ont révélé que le taux de résidus d'imazalil (un des fongicides employés dans l'industrie) était 2 ou 3 fois plus élevé dans les écorces que dans la pulpe. Il n'est pas rare non plus qu'un autre fongicide (le thiabendazole) soit appliqué en même temps que l'imazalil, afin de limiter la formation de moisissures pour lesquelles ce dernier est inefficace.

    En outre, les agrumes doivent subir un lavage qui les prive de leurs huiles et cires naturelles. Pour compenser cette perte, on les recouvre la plupart du temps d'une cire qui ralentit l'évaporation et permet, par conséquent, d'augmenter leur conservation, en plus de leur donner plus belle apparence. Bien qu'approuvées par les autorités, ces cires ne sont pas naturelles – ou si elles le sont, leur processus de transformation ne l'est pas. De plus, elles peuvent provoquer des allergies.

    Pour toutes ces raisons, si l’on ne peut se procurer des citrons ou des limes issus de l'agriculture biologique, il est recommandé de les brosser et de les laver avec un peu de savon de Marseille ou de savon liquide à vaisselle, et de les rincer ensuite à grande eau lorsqu’on veut consommer lezeste. Cette pratique n'éliminera pas tous les résidus de pesticides, mais elle en réduira tout de même la concentration.

     

    Sections Idées recettes, Choix et conservation, La petite histoire du citron et de la lime, Écologie et environnement.
    Recherche et rédaction : PasseportSanté.net

    Mise à jour : décembre 2014

     

     

    Références

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    Bibliographie

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    Notes

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    2.Bazzano LA, Serdula MK, Liu S. Dietary intake of fruits and vegetables and risk of cardiovascular disease. CurrAtheroscler Rep. 2003;5:492-499.
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    4.Kim HJ, Chang WK, Kim MK et al. Dietary factors and gastric cancer in Korea: a case-control study. Int J Cancer. 2002;97:531-535.
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    12.Miller EG, Porter JL, et al. Further studies on the anticancer activity of citrus limonoids. J Agric Food Chem. 2004;52:4908-4912.
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    14.Yu J, Wang L, Walzem RL et al. Antioxidant activity of citrus limonoids, flavonoids, and coumarins. J Agric Food Chem. 2005;53:2009-2014.
    15.Tian Q, Miller EG, et al. Differential inhibition of human cancer cell proliferation by citrus limonoids. Nutr Cancer. 2001;40:180-184.
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    39. Bae JM, Lee EJ, Guyatt G. Citrus fruits intake and prostate cancer risk: a quantitative systematic review. J Prev Med Public Health. 2008 May;41(3):159-64.
    40. Carol S. Johnston. Strategies for Healthy Weight Loss: From Vitamin C to the Glycemic Response. Am Coll Nutr 2005 vol. 24 no. 3 158-16.

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  • vivreaujourdhui.com

    DEUX CASQUETTES POUR UN MARIN CHAUVE

     
     
     
    27 Janvier 2015
     
     
     

    Même vos cheveux sont tous comptés. N’ayez donc pas peur.
    Matthieu 10.30

    En solde à un prix imbattable, ces deux casquettes démodées vont prendre place dans le roof de mon bateau. Une casquette à la mer ce n’est pas un drame en soi, mais, sans elle, deux heures plus tard le crâne du marin chauve peut être confondu avec un poivron rouge ou un feu de bâbord.
    Ma calvitie n’est pas un problème, j’apprends à vivre avec. Je suppose que les apôtres n’étaient pas plus préoccupés que moi par le nombre de leurs cheveux. Mais pourquoi donc Jésus leur parle-t-il de l’intérêt que le Père céleste porte au moindre d’entre eux ? Jésus leur dit ceci pour leur assurer que, quelles que soient les difficultés qu’ils rencontreront dans leur vie de disciple, Dieu ne sera jamais pris au dépourvu.
    Vu que le Père céleste connait les détails de notre vie qui ne nous préoccupent même pas, pourquoi avoir peur de nous engager à le suivre ? Jésus ne présente pas la vie de disciple comme un chemin de facilité. Puisque Jésus a été insulté et crucifié, il serait naïf de penser qu’en devenant son disciple tout va nous sourire ! Cependant Jésus nous garantit que si nous le suivons, le regard bienveillant du Père sera constamment sur nous comme il l’a été sur lui, dans les jours faciles comme dans les jours difficiles.
    Puisque même nos cheveux sont comptés, n’ayons pas peur de nous engager à suivre Jésus-Christ.

    Alain Monclair

     

     

    DEUX CASQUETTES POUR UN MARIN CHAUVE

    Évangile selon Matthieu 10. 28-39 : "28 N’ayez pas peur des gens qui tuent le corps. Ils ne peuvent pas tuer la vie qui est en vous. Celui que vous devez respecter avec confiance, c’est Dieu. Lui, il a le pouvoir de vous faire mourir tout entiers dans le lieu de souffrance. 29 Est-ce qu’on ne vend pas deux petits oiseaux pour presque rien ? Pourtant, quand l’un d’eux tombe par terre, c’est votre Père qui permet cela. 30 Pour vous, Dieu connaît même le nombre de vos cheveux.31Donc, n’ayez pas peur ! Pour Dieu, vous êtes plus importants que beaucoup de petits oiseaux !

     32 « Si quelqu’un dit devant tout le monde : “J’appartiens à Jésus”, alors moi aussi, devant mon Père qui est dans les cieux, je dirai : “Cette personne m’appartient.” 33 Mais si quelqu’un dit devant tout le monde : “Je n’appartiens pas à Jésus”, alors moi aussi, devant mon Père qui est dans les cieux, je dirai : “Cette personne ne m’appartient pas.” »
     
     34 « Ne pensez pas que je suis venu apporter la paix sur la terre. Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le combat. 35 En effet, je suis venu séparer l’homme et son père, la fille et sa mère, la belle-fille et sa belle-mère. 36 On aura pour ennemis les gens de sa famille. »
     
    37 « Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi. Celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi. 38 Celui qui ne prend pas sa croix  et qui ne me suit pas, celui-là n’est pas digne de moi. 39 Celui qui veut garder sa vie la perdra. Celui qui perdra sa vie à cause de moi la retrouvera. »

     

     
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    William Reymond : « La malbouffe, c’est de la bouffe toxique »

    Publié le 1 mai 2010 par €ric

     

     

    « Au milieu des années 1980, sans aucune raison apparente, près de 20 millions d’Américains sont, brusquement, devenus trop gros. » Ainsi s’exprime William Reymond, journaliste français vivant aux Etats-Unis, au cœur de ce laboratoire géant de la malbouffe. Diabète, cancers, maladies cardio-vasculaires, tout y passe. Ce n’est plus un cours de cuisine, mais de médecine ! Quand la « junk food » – le mot anglais pour malbouffe – se transforme en « toxic food »…

    Entretien publié dans le n° 37 (mai 2010) du magazine Le Choc du mois, qui vient de paraître. En kiosques ou à commander ici.

    LA MALBOUFFE, C'EST DE LA BOUFFE TOXIQUE

    Le Choc du mois : Vous pensez qu’il ne faut plus parler de malbouffe, mais de «toxic food », pour reprendre le titre de votre dernier livre ? Pourquoi ?

    William Reymond : La « junk food » (malbouffe) est un terme réducteur qui nous installe dans un mensonge : celui de croire que la malbouffe, c’est ce que mange l’autre. Alors qu’en réalité, elle correspond aujourd’hui à 80 % de notre alimentation, soit la part de l’industrie agroalimentaire dans nos dépenses de table.

    Et elle est d’autant plus toxique qu’elle ne nous rend pas que gros. Car cette alimentation, surchargée en gras, sel et sucre, tous facteurs d’obésité, est aussi un vecteur essentiel dans le développement de certains cancers et des maladies cardio-vasculaires et cérébrales, l’obésité n’étant que la face visible de l’iceberg.

     

    Est-ce la raison pour laquelle vous avancez que la nourriture industrielle sera la cigarette du XXIème siècle ?

    Il a fallu plus de cinquante ans pour que la vérité sur la cigarette éclate. Pas par ignorance, mais du fait d’une stratégie de manipulation de l’information par des « génies » des relations publiques.

    Aujourd’hui, l’industrie agroalimentaire – dont le chiffre d’affaires est en France de 163 milliards d’euros, deux fois plus que le secteur automobile ! – s’inspire de ces méthodes pour camoufler sa responsabilité dans l’énorme crise sanitaire en cours, qui dépasse largement le cadre de la prise de poids.

    Notre alimentation crée le diabète de type 2, qui touchait jadis les vieillards et frappe aujourd’hui des enfants. Certains cancers comme ceux du colon, de la prostate, du sein – y compris chez l’homme – sont partiellement liés à notre mode alimentaire.

    Nous le savons d’autant mieux que les pays qui ne s’alimentent pas comme nous, ne sont pas confrontés à ces maladies. On a pu l’observer en Chine. Les zones rurales, pas concernées par notre modèle alimentaire, ne sont pas affectées. Pas les régions qui ont adopté notre régime alimentaire.

     

    Qu’y a-t-il dans ces aliments qui désarme à ce point nos défenses ?

    En 1976, un jeune chercheur, Anthony Sclafani, a laissé tomber par inadvertance une poignée de Fruit Loops, une céréale fortement sucrée, dans la cage d’un rat de laboratoire. L’animal (dont la structure ADN est très proche de la nôtre) s’est précipité dessus, sans s’assurer si les lieux étaient sûrs, ce que les rats font communément, étant une espèce très prudente. Sclafani a répété cette expérience avec toutes sortes de nourriture industrielle. Le résultat fut le même. Ignorant les risques, les LA MALBOUFFE, C'EST DE LA BOUFFE TOXIQUErats se précipitaient. Pire : alors que le poids de ces rongeurs s’autorégule, les rats de Sclafani devenaient obèses.

    C’est que l’alimentation industrielle « neutralise » les mises en garde de notre cerveau, entraînant une surconsommation et donc une prise de poids… malgré nous. Notre ADN a une faiblesse pour le gras et le sucré. C’est directement lié à l’évolution de l’espèce humaine et à notre instinct de survie.

    Les industriels investissent des centaines de millions de dollars en recherche pour concevoir des produits auxquels nous ne pourrons pas résister. Cela va du neuromarketing (des publicités qui s’adressent directement à notre pulsion d’achat) à la stimulation de ressorts biologiques.

    Ce qui préside aux choix de ces aliments, c’est d’abord la baisse des coûts de fabrication. On le vérifie avec le sirop de fructose-glucose et les acides gras trans. Késako ?

    Le sirop de fructose-glucose est un produit synthétique fabriqué à partir des excédents de maïs ou de blé. Il a un fort pouvoir sucrant, permet de conserver les aliments plus longtemps et de protégerLA MALBOUFFE, C'EST DE LA BOUFFE TOXIQUE les plats surgelés de la morsure du froid. Plus décisif encore aux yeux de l’industrie agroalimentaire : il ne coûte pas cher. Raison pour laquelle on le retrouve partout, du pain aux yaourts, en passant par la plupart des plats préparés.

    Le hic, c’est que son apparition a coïncidé avec la crise mondiale d’obésité. Non seulement ce « sirop » n’est pas assimilé par l’organisme, mais il contourne le sentiment de satiété de notre cerveau. En gros, notre cerveau ne le reconnaît pas et ne nous envoie pas de message de mise en garde lorsque nous le surconsommons. Des études démontrent aussi son rôle dans la formation du mauvais cholestérol. Un produit à éviter donc.

    Or, aujourd’hui, chaque Américain en ingurgite près de 40 kg par an. Les acides gras trans présents dans l’huile hydrogénée permettent de conserver certains aliments ou de les rendre plus croustillants. Peu coûteux, on les trouve dans les viennoiseries et les barres de chocolat. Ils sont responsables de problèmes cardio-vasculaires entraînant près de 100 000 morts par an aux Etats-Unis. Aujourd’hui, l’ado français en consomme autant qu’un ado américain.

     

    Il faut corriger deux impressions fausses, selon vous. D’abord la valeur nutritionnelle des produits…

    LA MALBOUFFE, C'EST DE LA BOUFFE TOXIQUELa valeur nutritionnelle d’un fruit ou d’un légume, ce sont les vitamines, minéraux et autres éléments essentiels qu’ils contiennent. Or, nous savons qu’elle est en baisse. Concrètement, cela veut dire que si vous voulez consommer la même quantité de vitamine C contenue dans une orange cultivée en 1960, vous devez aujourd’hui en manger… six.

    Aucun produit n’est épargné par cet appauvrissement directement lié au mode de culture intensif. La viande est devenue plus grasse et moins riche. Les produits laitiers, plus gras aussi, ont vu leur taux de calcium chuter. Tout décroît, sauf un élément : l’eau.

     

    Autre fausse impression : l’abondance de produits dans les grandes surfaces…

    On a référencé 575 variétés de pommes de terre. Or, on en cultive principalement deux. Pourquoi ? Le premier acheteur de pommes de terre au monde est McDonald’s. Il exige une seule variété de pomme de terre, la Burbank. Celle qui résiste le mieux à la congélation et à la friture à haute température. Le second est l’industrie des chips. La Ranger répond à ses besoins. C’est la pomme de terre la plus riche en sucres. Une fois cuite dans l’huile, puis trempée dans le sel, elle devient une arme fatale pour notre ADN.

    Résultat : les producteurs cultivent principalement ces deux variétés. Cet exemple n’est pas anodin. La pomme de terre, aujourd’hui le légume le plus consommé aux Etats-Unis, est à sa manière le symbole de la pandémie d’obésité.

     

    A qui faire confiance ? Les industriels sont juge et partie, ils financent désormais la recherche censée établir l’innocuité de leurs produits. Cela touche même des institutions publiques comme le Credoc…

    La confusion des genres est une stratégie délibérée de l’industrie alimentaire, comme elle a été employée par les géants du tabac.

    J’espère que mon livre sera un outil pour y voir plus clair. J’y raconte effectivement comment le Credoc (Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie), publiant une étude sur la nécessité de s’hydrater, recommande de boire de l’eau, mais pas seulement. Et pour cause ! Coca-Cola est partenaire de l’étude. Autrement dit, Coca-Cola n’est plus le fabricant d’une boisson saturée en sucre – et donc responsable de la pandémie d’obésité –, mais un spécialiste de l’hydratation !

     

    Que faire ? Vous avez adopté, quant à vous, un régime alimentaire de type « flexitarien». En quoi consiste-t-il ?

    Cela consiste à reprendre le contrôle de nos assiettes. Initier nos enfants aux plaisirs de la table, des courses jusqu’à la dégustation, en passant par la préparation. Le flexitarisme est un mode alimentaire où, si la viande est présente, elle ne tient pas la place principale. Des fruits, des légumes, des produits complets et un peu de viande pour compléter le tout.

     

    ———————-

    A lire :

    • William Reymond, Toxic food – Enquête sur les secrets de la nouvelle malbouffe, Flammarion, 2009

    • William Reymond, Toxic – Obésité, malbouffe, maladies : enquête sur les vrais coupables, Flammarion, 2007

    Novopress

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    BOIRE 1,5 LITRE D'EAU PAR JOUR, UN MYTHE ?

     

    Diverses études démontrent qu’il faudrait boire environ 1,5 litre d’eau par jour, soit 8 verres quotidiens. Cependant, les chiffres diffèrent selon les recherches, et les différents types de morphologies observées. L’eau est un besoin essentiel pour le corps, sa consommation est donc indispensable. Mais se limite-t-elle vraiment à 1,5 litre par jour ?


     

    Les besoin en eau du corps sont propres à la morphologie d’une personne, son mode de vie et au climat. L’eau représente environ 60% du poids du corps. Mais chaque jour, une quantité importante s’échappe de l’organisme. Des études démontrent que le corps d’une personne de taille moyenne dépenserait plus de 2 litres d’eau par jour. Les excès sont principalement éliminés par les urines, qui servent à évacuer les déchets produits par l’organisme, mais aussi par le biais de la respiration, la transpiration et les larmes. Ces pertes sont compensées par l’alimentation, qui représente aux alentours d’un litre, et des liquides que l’on boit.

     

    Il est donc nécessaire de s’hydrater tout au long de la journée, même lorsque la soif ne se fait pas ressentir. En effet, avec le vieillissement, les personnes ressentent moins le besoin de boire et des risques de déshydratation sont possibles. De même qu’en cas de fortes températures (la chaleur provoque une perte d’eau supplémentaire), d’effort physique, d’allaitement et de maladie, il est conseillé de veiller à la bonne hydratation du corps. Le risque de déshydratation se définit en fonction du poids corporel, et peut être dû à une consommation d’eau insuffisante et prolongée. Les premiers signes de déshydratation chronique peuvent se traduire par une urine de couleur foncée, des sensations de sécheresse au niveau de la bouche et de la gorge, des maux de tête et des étourdissements, ainsi qu’une peau très sèche et une intolérance à la chaleur. Afin d’y remédier, il est conseillé de boire autant que possible, même si certaines études ont démontré qu’absorber une trop grande quantité d’eau pouvait être dangereuse.

    Boire trop serait mauvais pour la santé

    Une consommation trop importante et trop rapide de liquides dans le corps, appelée hyponatrémie, pourrait être néfaste. Ces derniers ne seraient pas pris en charge  par les reins, qui ne peuvent réguler qu’un litre et demi d’eau par heure. En effet, boire trop d’eau ferait gonfler les cellules dans le sang, ce qui pourrait provoquer un trouble des fonctions cérébrales. La concentration de l’ion sodium intra plasmatique est fortement diminuée à cause de la présence importante d’eau dans le plasma. Toutefois, l’hyponatrémie résulte le plus souvent de pathologies comme la potomanie ou un excès de perfusions : les cas de ce trouble restent rares et ne concernent qu’un nombre infime de personnes.

    Des recommandations variables

    Des études ont été menées afin de définir quel serait le réel besoin en eau du corps. Les chiffrent variant entre 1 et 3 litres par jour, il est conseillé de boire environ deux litres quotidiennement. Mais comme nous l’avons vu précédemment, cela dépend de la morphologie, de l’environnement et du mode de vie de la personne. Cette affirmation doit donc être nuancée, et replacée dans les contextes auxquels elle appartient. Ces deux litres ne comprennent pas l’eau au sens propre du terme, mais l’ensemble des liquides qui passent par l’alimentation et les boissons à base d’eau (thé, café, jus). La théorie des 8 verres  désignent donc la totalité de liquides consommés au cours d’une journée. Cette recommandation trouve son origine dans une étude de l’Institute of Medicine, qui avait suggéré que chaque calorie d’aliment ingérée était égale à un millilitre d’eau. Ainsi, une consommation de 1 900 calories par jour équivaut à 1 900 mL d’eau (soit 1,9 L). La confusion s’est faite lorsque les personnes ont oublié que les aliments contenaient déjà de l’eau : il ne serait donc pas nécessaire de boire 2 litres d’eau supplémentaire. Cependant, d’autres études affirment le contraire : il faudrait, selon elles,  en consommer entre 2,5 et 3 litres en plus de l’alimentation.

     

    La réponse reste alors vague et impossible à définir, car beaucoup de recherches se contredisent et donnent chacune des résultats différents. La recommandation de boire 1,5 litre d’eau par jour peut être considérée comme un mythe, mais il reste nécessaire de veiller à sa bonne hydratation tout au long de la journée pour le bien de son organisme.

     

     

    Sources

    British Nutrition Foundation (Ed.). Nutrition Basics - Liquids for life, nutrition.org.uk.www.nutrition.org.uk

    Conseil Européen de l’Information sur l’Alimentation (EUFIC). Hydration - essentielle à votre bien-être, EUFIC. . www.eufic.org

    Noakes, T. Nutrition Issues in Gastroenteroly (Août 2014), Sharon Bergquist, Chris McStay, MD, FACEP, FAWM, Directeur des opérations cliniques, Département des urgences médicales, Ecole de Médecine du Colorado.

    Mayo Foundation for Medical Education and Research (Ed). Food and Nutrition Center - Water: How much should you drink every day?,  MayoClinic.com http://www.mayoclinic.org/healthy-living/nutrition-and-healthy-eating/in-depth/water/art-20044256?pg=2

    Dominique Armand, Chargée de recherché au CNRS. Dossier scientifique: l’eau. (2013).http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/doseau/decouv/usages/eauOrga.html

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  • vivreaujourdhui.com

    "MOI, JE..."

     
     
    26 Janvier 2015
     
     

    Vous vous glorifiez dans votre présomption. Toute gloriole de ce genre est mauvaise.
    Jacques 4.16

    Dans sa fable « Le coche et la mouche », La Fontaine dénonce l’aspect ridicule et repoussant de la vantardise :

    Alors que six forts chevaux « suaient et soufflaient » pour faire avancer un coche, dans « un chemin montant et malaisé », une minuscule mouche prétendait faire avancer l’attelage en piquant tour à tour chacun des chevaux. Après d’ultimes efforts, le char arrive au haut de la côte, et sans tarder, la mouche se vante d’y avoir efficacement contribué : « Ça, Messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine ».

    À l’image de cette mouche, que de gens font les fanfarons, se vantent de leurs exploits, étalent leurs capacités, gonflés par l’orgueil, pour éblouir autrui.

    Le géant Goliath vantant sa force extraordinaire1, le roi Néboudkadnetsar prétendant être plus puissant que Dieu2, tous deux ont été publiquement repris pour leurs paroles prétentieuses.

    En étalant ses exploits ou ses projets présomptueux, l’homme démontre quel orgueil réside dans son cœur. L’apôtre Paul nous met en garde : Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? Et si tu l’as reçu, pourquoi te glorifies-tu comme si tu ne l’avais pas reçu ?3 L’homme oublie trop vite qu’il ne vit que par grâce. Se vanter, c’est exalter sa propre personne, se mettre à la place de Dieu à qui doit revenir toute gloire. Car : tout don excellent et tout cadeau parfait viennent d’En-Haut du Père des Lumières.4

    Charles Rick

    1 1 Samuel 17.4     2 Daniel 4     3 1 Corinthiens 4.7     4 Jacques 1.17

     

     

    "MOI, JE..."

    Actes des Apôtres 8. 9-13 : "Un homme appelé Simon habite dans cette ville depuis un certain temps. Il pratique la magie et il étonne beaucoup les gens de Samarie. Il dit qu’il est quelqu’un d’important, 10 et tous, les plus jeunes comme les plus vieux, l’écoutent avec attention. On dit : « Cet homme, c’est la puissance de Dieu, celle qu’on appelle la “Grande Puissance” ! »

    11 Depuis longtemps, Simon étonne beaucoup les gens avec sa magie, c’est pourquoi ils l’écoutent avec attention. 12 Mais maintenant, Philippe leur annonce la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ et du Royaume de Dieu. Tous ceux qui le croient, des hommes et des femmes, se font baptiser. 13 Même Simon devient croyant, il se fait baptiser et il ne quitte plus Philippe. En voyant les miracles et les choses extraordinaires qui arrivent, c’est lui qui est très étonné !"
     
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  • passeportsante.net

    HUILES VÉGÉTALES

     
    Huiles végétales

     

    Nom commun : huiles végétales.

     

    POURQUOI METTRE LES HUILES AU MENU?

    • Les bonnes huiles rehaussent la saveur de tous les aliments, qu’ils soient chauds ou froids.
    • Simplement servies dans une coupelle avec une note de vinaigre balsamique et un bon pain de ménage, elles révèlent toutes leurs qualités gustatives.
    • Elles permettent d’émulsionner une soupe minestrone ou une sauce au poivron rouge.

    • Les huiles d’olive et de canola renferment des gras monoinsaturés, bénéfiques pour la santé cardiovasculaire.
    • L’huile de canola est une source de vitamine E et d’acide alpha-linolénique, un gras essentiel de la famille des oméga-3.

    Profil santé

     

    Toutes les huiles sont composées, en proportions variables, de trois types d’acides gras : saturés, monoinsaturés et polyinsaturés. On les classe selon les acides gras prédominants. Les huiles d’olive et de canola (ou de colza), de plus en plus populaires en Amérique du Nord, sont composées en grande partie de gras monoinsaturés. Ceux-ci sont reconnus pour exercer plusieurs effets bénéfiques sur la santé. D’autres composés actifs présents dans ces huiles peuvent apporter des bienfaits pour la santé.

     

    Principes actifs et propriétés

    Les huiles d’olive et de canola sont composées à plus de 85 % d’acides gras insaturés (monoinsaturés et polyinsaturés). Les gras insaturés exercent des effets positifs sur les lipides sanguins (par exemple le taux de cholestérol), lorsqu’ils remplacent les gras saturés et les gras trans dans l’alimentation1,2. Ils diminuent en effet le risque de maladies coronariennes3.

    Aux États-Unis, l’étiquette apposée sur les bouteilles d’huiles d’olive et de canola et sur certains produits qui en contiennent peut souligner les effets bénéfiques des gras monoinsaturés contre les maladies coronariennes. La Food and Drug Administration (FDA), l'agence américaine responsable du contrôle des aliments, a autorisé de telles allégations santé4,5. Au Canada, ces allégations ne sont pas permises.

     

    L’huile d’olive

    L’huile d’olive occupe une place importante dans l’alimentation traditionnelle des pays méditerranéens (Grèce, Italie, Sud de la France, Tunisie, Maroc...). C’est là leur principale source de matières grasses6. Des études ont rapporté une réduction du risque d’infarctus du myocarde7, de la mortalité par maladie coronarienne et de la mortalité totale8 chez les gens consommant unediète méditerranéenne, incluant la consommation d’huile d’olive.

    L’impact précis de l’huile d’olive sur le risque de maladies coronariennes reste tout de même controversé. En effet, sa consommation a parfois été associée9, d’autres fois non10,11, à une diminution du risque d’infarctus du myocarde dans différentes cohortes.

    Par ailleurs, la consommation d’huile d’olive est reliée à l’amélioration de différents facteurs de risque de maladies cardiovasculaires12 : meilleur contrôle de la tension artérielle13, diminution des taux sanguins de triglycérides, de glucose14, de cholestérol total et de cholestérol-LDL (« mauvais » cholestérol)15,16 ainsi qu’un effet anticoagulant17.

    Certaines études indiquent un lien entre l’apport en huile d’olive (ou en acides gras monoinsaturés provenant, entre autres, de l’huile d’olive) et la prévention des cancers du sein18-22 et du côlon23.

    Acides gras monoinsaturés. L’huile d’olive contient une quantité particulièrement élevée de gras monoinsaturés, qui représente 80 % de son contenu en lipides. Une alimentation riche en gras monoinsaturés est liée à une diminution du risque de maladies cardiovasculaires24. Ces gras possèdent le potentiel d’abaisser les taux de cholestérol total et de cholestérol-LDL (« mauvais » cholestérol) dans le sang, lorsqu’ils remplacent les acides gras saturés dans l’alimentation1. De plus, ils pourraient également augmenter les taux de cholestérol-HDL (« bon » cholestérol) lorsqu’ils remplacent une partie des glucides de l’alimentation25. Aussi, les gras monoinsaturés protégeraient contre l’oxydation26 du cholestérol-LDL, permettant ainsi de prévenir l’athérosclérose.

    Presque tous les acides gras monoinsaturés de l’huile d’olive sont constitués d’acide oléique. Même si les Nord-Américains consomment beaucoup moins d’huile d’olive que les habitants des pays méditerranéens, leur apport en acide oléique serait tout de même semblable à celui de ces populations27. Dans l’alimentation nord-américaine, cet acide gras provient principalement de la viande et de la volaille (tels le porc et le poulet), plutôt que de l’huile d’olive28.

    Antioxydants. Les antioxydants sont des composés qui protègent les cellules du corps des dommages causés par les radicaux libres. Ces derniers sont des molécules très réactives qui seraient impliquées dans le développement des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies liées au vieillissement29. Toutes les huiles végétales contiennent naturellement des antioxydants, en plus ou moins grandes quantités. C’est ce qui les protège contre l’oxydation30. De façon générale, plus une huile est insaturée, plus elle est riche en antioxydants.

    • Composés phénoliques. L’huile d’olive (vierge ou extra-vierge) contient une quantité importante de composés phénoliques, dont les principaux sont l’hydroxytyrosol et l’oleuropéine31. Il est bien démontré que les composés phénoliques de l’huile d’olive possèdent une activité antioxydante in vitro32 et qu’ils sont absorbés efficacement dans l’organisme33. Par contre, leur véritable effet antioxydant chez l’humain reste encore controversé33. Selon certains auteurs, la quantité de composés phénoliques dans l’alimentation serait trop faible pour protéger le cholestérol-LDL (« mauvais » cholestérol) contre l’oxydation33. Par contre, d’autres études révèlent que la consommation d’huile d’olive riche en composés phénoliques pourrait diminuer le stress oxydatif dans l’organisme34-36, une protection supplémentaire contre l’apparition de certaines maladies, incluant le cancer37 et les troubles cardiovasculaires34.
    • Squalènes. Comparativement aux végétaux et aux autres huiles végétales, l’huile d’olive contient des quantités élevées de squalènes38,39, ces derniers faisant partie de la grande famille des lipides. Une fois absorbés, les squalènes sont convertis en cholestérol. Ils pourraient être en partie responsables de l’augmentation du cholestérol sanguin parfois observée à la suite de diètes riches en huile d’olive39. L’effet à long terme des squalènes présents dans l’huile d’olive devra faire l’objet d’études chez l’humain.

    L’huile de canola

    Le canola est une variété de colza, une plante de la famille des crucifères. Le canola est largement cultivé au Canada, particulièrement pour l’huile qui en est extraite. Comparativement à l’huile d’olive, l’huile de canola a un goût plus neutre et son prix est plus abordable.

    Selon les résultats d’une étude d’envergure menée auprès d’hommes souffrant de troubles coronariens, une alimentation méditerranéenne combinée à une margarine à base d’huile de canola pourrait réduire de 50 % à 70 % les récidives d’incidents coronariens, comparativement à une diète faible en gras40. La plupart des études cliniques révèlent que l’huile de canola diminue les taux sanguins de cholestérol-LDL (« mauvais » cholestérol) et total26,41,42 et de triglycérides43, comparativement à une diète riche en gras saturés.

    Acides gras monoinsaturés. Tout comme l’huile d’olive, l’huile de canola est particulièrement riche en acides gras monoinsaturés. Ces derniers représentent près de 60 % du contenu en lipides de l’huile de canola. Les effets reliés à la consommation d’acides gras monoinsaturés ont été décrits précédemment.

    Acides gras polyinsaturés. L’huile de canola se démarque de l’huile d’olive et de certaines autres huiles par son contenu élevé en acides gras polyinsaturés qui représentent près du tiers de ses lipides totaux. De façon générale, ces acides gras ont pour effet de diminuer le cholestérolsanguin, particulièrement le cholestérol-LDL (« mauvais » cholestérol), lorsqu’ils remplacent les acides gras saturés dans l’alimentation44. Ils contribuent ainsi à diminuer le risque de maladies coronariennes24,45-47.

    • Acide alpha-linolénique. L’acide alpha-linolénique (AAL) fait partie de la famille des acides gras polyinsaturés oméga-3. Comme cet acide gras ne peut pas être fabriqué par l’organisme, on le dit essentiel, car il doit essentiellement être fourni par l’alimentation. Dans le corps, il peut se transformer en acides gras à longue chaîne, bénéfiques pour la santé cardiovasculaire. L’huile de canola fait partie des huiles riches en acide alpha-linolénique (soit 9 % de son contenu total en lipides), avec l’huile de lin (56 %), de noix (10 %) et de soya (7 %). L’effet protecteur des acides gras oméga-3 contre les maladies coronariennes est bien connu. Certaines études d’observation ont révélé l’efficacité de l’acide alpha-linolénique à cet égard48. Pour profiter de ces bienfaits, l’apport quotidien optimal en acide alpha-linolénique pourrait représenter jusqu’à 2 g (une portion de 15 ml ou 1 c. à table d’huile de canola fournit 1,3 g d’acide alpha-linolénique)49.

    Antioxydants. Tout comme la plupart des huiles végétales, l’huile de canola contient des antioxydants. Essentiellement, ses composés antioxydants diffèrent de ceux de l’huile d’olive.

    • Vitamine E. L’huile de canola contient de 7 à 17 fois plus de vitamine E que l’huile d’olive, soit environ 17 mg par portion de 15 ml, dont plus de la moitié est sous forme degamma-tocophérol30. Les étapes de raffinement et de désodorisation de l’huile réduisent en partie le contenu en vitamine E des huiles végétales. On compense souvent cette perte en ajoutant des tocophérols synthétiques dans l’huile. D’après une étude, une diète riche en huile de canola augmente de façon significative les concentrations de gamma-tocophérol dans le sang, comparativement à une diète standard ou riche en gras saturés50. Certaines études démontrent que des taux élevés de gamma-tocophérol dans le sang pourraient avoir un effet protecteur contre le cancer de la prostate51. Davantage d’études seront nécessaires avant d’établir un lien entre la consommation d’huile de canola et la prévention du cancer.
    • Canolol. Un antioxydant nommé canolol a récemment été découvert dans l’huile de canola non raffinée52. Ce composé prévient l’oxydation des lipides et des protéines in vitro. De nouvelles études devront être menées pour déterminer si ces effets peuvent se produire dans l’organisme. Il faut préciser que la plupart des huiles de canola sur le marché sont raffinées : elles pourraient ainsi présenter une capacité antioxydante inférieure53.

    Phytostérols. L’huile de canola contient environ 100 mg de phytostérols par portion de 15 ml, soit deux à sept fois plus que l’huile d’olive38,54. D’après certaines données publiées dans la littérature scientifique, la quantité de phytostérols dans le sang est plus élevée après la consommation d’huile de canola que d’huile d’olive38,54.

    En raison de leur structure chimique proche, les phytostérols entravent l’absorption du cholestérol dans l’intestin. D’où un effet sur les taux de cholestérol sanguin. Une méta-analyse de 41 essais cliniques a révélé que la prise quotidienne de 2 g de phytostérols réduisait de 10 % le taux decholestérol-LDL (« mauvais » cholestérol). Cette réduction pouvait atteindre 20 % dans le cadre d’une diète faible en gras saturés et en cholestérol55. Cette quantité de 2 g par jour est pratiquement impossible à atteindre seulement par l’alimentation. À l’heure actuelle, Santé Canada ne permet pas la commercialisation d’aliments enrichis en phytostérols. Les aliments qui en contiennent naturellement comme l’huile de canola demeurent intéressants pour la santé cardiovasculaire.

     

    Autres propriétés

    L’huile est-elle antioxydante?

    On sait que les huiles possèdent un potentiel antioxydant, mais leur indice TAC n’est pas disponible actuellement.

    L’huile est-elle acidifiante?

    Non, elle est neutre : L’indice PRAL.de l’huile d’olive est de 0. Donnée non disponible pour l’huile de canola

    L’huile a-t-elle une charge glycémique élevée?

    Donnée non disponible.

    Nutriments les plus importants

    Voir la signification des symboles de classification des sources des nutriments

    Bonne source Vitamine K. L’huile de canola est une bonne source de vitamine K tandis que l’huile d’oliveen est une source. La vitamine K est nécessaire pour la synthèse (fabrication) de protéines qui participent à la coagulation du sang (autant à la stimulation qu’à l’inhibition de la coagulation sanguine). Elle joue aussi un rôle dans la formation des os. En plus de se trouver dans l’alimentation, la vitamine K est fabriquée par les bactéries présentes dans l’intestin, d’où la rareté des carences en cette vitamine.

    Source Vitamine E. L’huile de canola et l’huile d’olive sont des sources de vitamine E. Il est à noter que le contenu en vitamine E est généralement plus élevé dans les huiles de première pression à froid que dans les huiles raffinées. Antioxydant majeur, la vitamine E protège la membrane qui entoure les cellules du corps, en particulier les globules rouges et les globules blancs (cellules du système immunitaire).

    Que vaut une « portion » d’huile?

    Poids/volume

    Huile d’olive, 14 g (15 ml)

    Huile de canola (colza), 14 g (15 ml)

    Calories

    121

    125

    Protéines

    0,0 g

    0,0 g

    Glucides

    0,0 g

    0,0 g

    Lipides

    13,7 g

    14 g

     -saturés

    1,8 g

    1,0 g

     -monoinsaturés

    10,1 g

    8,4 g

     -polyinsaturés

    1,4 g

    4,2 g

     -oméga-3*

    0,1 g

    1,3 g

    Cholestérol

    0 g

    0 mg

    Fibres alimentaires

    0 g

    0 g

    Source : Santé Canada. Fichier canadien sur les éléments nutritifs, 2005.
    *AEP, ADH et acide alpha-linolénique

     

    Le canola et les OGM


    La majeure partie du canola cultivé au Canada serait génétiquement modifiée. Cette pratique est destinée à rendre le canola résistant aux herbicides pour faciliter le contrôle des mauvaises herbes. Elle contribuerait à maintenir l’huile de canola à un coût relativement bas. Les huiles extraites du canola génétiquement modifié ne sont toutefois pas considérées comme des OGM, car les composantes typiques des OGM (ADN modifié et protéines associées) ne s'y retrouvent pas, sinon à l'état de traces. Les huiles dérivées de cultures génétiquement modifiées sont donc identiques, en pratique, aux huiles extraites et purifiées des variétés traditionnelles que l’on retrouve dans les produits courants ou bios. Néanmoins, les gens qui préfèrent éviter de consommer des produits issus de cultures génétiquement modifiées peuvent maintenant trouver sur le marché de l'huile de canola biologique.

     

    L’huile d’olive et la prise de poids


    D’après les résultats d’une étude, consommer de l’huile d’olive dans le cadre d’une alimentation de type méditerranéen ne serait pas associé à une prise de poids après deux ans de suivi57. L’huile d’olive rehaussant le goût des salades et des légumes cuits, on associe souvent son ajout à uneconsommation plus élevée de légumes58. Cela pourrait contribuer à minimiser l’impact des calories contenues dans l’huile d’olive. Un gain de poids, faut-il le rappeler, résulte d’un apport en calories plus élevé que les dépenses en énergie. Si l’huile d’olive remplace d’autres sources de calories dans l’alimentation et n’est pas ajoutée en surplus, il est possible de profiter de ses bienfaits santé sans craindre une prise de poids. Une conclusion semblable pourrait être émise pour l’huile de canola. En effet, dans une étude menée auprès d’hommes atteints de troubles coronariens, il n’y a pas eu de variation significative du poids à la suite de l’ajout d’une margarine à base d’huile de canola dans leur alimentation40.

    Santé cardiovasculaire : huile d’olive ou de canola?

    L’huile d’olive et de canola seraient équivalentes quant à leurs effets bénéfiques sur leslipides sanguins, selon plusieurs études d’interventions26,59,60 comparant ces deux huiles. D’autres soulignent que l’huile de canola serait un peu supérieure38,61. Leurs différentes proportions en acides gras (notamment en acide alpha-linolénique), phytostérols et squalènes pourraient expliquer en partie les meilleurs résultats de l’huile de canola62.

    Par ailleurs, la consommation d’huile d’olive prévient davantage l’oxydation du cholestérol-LDL (« mauvais » cholestérol)26 et la coagulation du sang17, deux facteurs de protection contre les maladies cardiovasculaires.

    En résumé, les deux huiles sont bénéfiques pour la santé cardiovasculaire.

    Précautions

    L’huile de canola peut être hydrogénée ou partiellement hydrogénée afin de pouvoir supporter des températures de cuisson élevées. Une telle huile peut être utilisée dans des margarines, pour la friture ou dans différentes préparations alimentaires (pâtisseries, croustilles, craquelins, etc.), parfois en combinaison avec d’autres huiles, hydrogénées ou pas. Il est important de déceler la présence d’huiles hydrogénées ou partiellement hydrogénées, afin de limiter la consommation d’acides gras trans, connus pour leur effets néfastes sur la santé cardiovasculaire56.

     

    Huiles végétales

    Section Profil santé
    Recherche et rédaction 
    : Caroline Trudeau, Dt.P. nutritionniste, Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), Université Laval
    Révision scientifique
     : Julie Goulet, Dt.P., M.Sc., candidate au doctorat, Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), Université Laval
    Collaboration
     : Jasmine Coulombe et Hélène Gagnon, étudiantes en nutrition, Université Laval
    Coordination
     : Louise Corneau, Dt.P., M.Sc., nutritionniste, Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), Université Laval
    (décembre 2006)

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  • vivreaujourdhui.com

    LES CAISSONS REMPLIS D'OR

     
     
    25 Janvier 2015
     
     

    Que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perd son âme ?
    Marc 8.36

    « Il neigeait. On était vaincu par sa conquête,
    Pour la première fois, l’aigle baissait la tête. […]
    Deux ennemis ! Le tsar, le Nord. Le Nord est pire.
    […]
    On s’écrasait aux ponts pour passer les rivières,
    On s’endormait dix mille, on se réveillait cent. »
    Victor Hugo a retracé dans ces vers mémorables, tout le drame que connut la Grande Armée de Napoléon dans sa retraite de Russie, en 1812. La situation devint si tragique, que l’ordre fut donné d’abandonner le butin, des caissons remplis d’or ; car leur poids ralentissait la marche de ceux qui espéraient encore s’en sortir. Mais cet ordre eut un effet néfaste : tels des vautours fonçant sur leur proie, des nuées de soudards se livrèrent au pillage. N’ayant plus la force d’avancer eux-mêmes, sous le poids des lingots, ils tombaient pour ne plus se relever. Les lingots ramassés par un soldat passaient de main en main, faisant autant de victimes. Les plus sages surent jeter à temps leur butin pour conserver la vie.
    Image saisissante de l’homme luttant pour sa situation, son pain, son avenir, sa vie. Les valeurs trompeuses et passagères, l’argent, la gloire, ses talents même, sa situation sociale ou professionnelle ne lui sont d’aucun secours pour obtenir la paix intérieure et la réconciliation avec son Créateur.
    Quels noms portent les « lingots d’or » qui alourdissent votre marche et vous empêchent d’avancer vers votre Sauveur ? Que Dieu vous donne le courage de les jeter pour acquérir un trésor inestimable : le pardon et la paix !

    Charles Rick

     

    LES CAISSONS REMPLIS D'OR

     

    Livre de Job 22. 24-27 : "24 Jette ton or par terre ou abandonne ton or pur parmi les pierres du torrent. 25 Le Tout-Puissant sera pour toi une montagne d’or et d’argent. 26 « Alors tu trouveras ta joie dans le Dieu tout-puissant et tu le regarderas avec confiance. 27 Quand tu le prieras, il t’écoutera, et tu pourras faire pour lui ce que tu as promis."

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  • passeportsante.net

    FIBRES ALIMENTAIRES

     

    Fibres alimentaires


     

    Les meilleures sources de fibres alimentaires

     

     

    Aliments

    Portions

    (g)            

    1

    Légumineuses cuites

    250 ml (1 tasse)

    12-17

    2

    Céréales à déjeuner, 100 % son de blé

    30 g (1 oz)

    10

    3

    Haricots de soya frais (edamame), bouillis

    250 ml (1 tasse)

    8

    4

    Framboises

    125 ml (1/2 tasse)

    4-6

    5

    Artichaut bouilli

    1 moyen (120 g)

    5

    6

    Pruneaux séchés, cuits

    75 ml dénoyautés (80 g)

    5

    7

    Poire avec pelure

    1 moyenne (166 g)

    5

    8

    Pois verts, cuits

    125 ml (1/2 tasse)

    4-5

    9

    Mûres

    125 ml (1/2 tasse)

    4

    10

    Citrouille en conserve

    125 ml (1/2 tasse)

    4

    11

    Dattes ou figues séchées

    60 ml (1/4 tasse)

    4

    12

    Pomme de terre avec la pelure, cuite au four

    1 moyenne (150 g)

    4

    13

    Épinards bouillis

    125 ml (1/2 tasse)

    4

    14

    Amandes rôties dans l’huile ou à sec

    60 ml (1/4 tasse)

    4

    15

    Patate douce bouillie

    1 moyenne (151 g)

    4

    16

    Pomme avec la pelure

    1 moyenne (138 g)

    3

    17

    Courges d’hiver, cuites

    125 ml (1/2 tasse)

    3

    18

    Papaye

    ½ fruit (153 g)

    3

    19

    Choux de Bruxelles, cuits

    4 choux (84 g)

    3

    20

    Bleuets

    125 ml (1/2 tasse)

    2-3

    Choix des aliments : voir nos critères

    Vos besoins quotidiens en fibres alimentaires

     

                   

    Apport suffisant (AS)

    Bébés 0-6 mois

    ND

    Bébés 7-12 mois

    ND

    Bébés 1-3 ans

    19 g

    Enfants 4-8 ans

    25 g

    Garçons 9-13 ans

    31 g

    Filles 9-13 ans

    26 g

    Garçons 14-18 ans

    38 g

    Filles 14-18 ans

    26 g

    Hommes 19-50 ans

    38 g

    Femmes 19-50 ans

    25 g

    Hommes 50 ans et +

    30 g

    Femmes 50 ans et +

    21 g

    Femmes enceintes

    28 g

    Femmes qui allaitent

    29 g

     

     

     

    Recherche et rédaction : Extenso
    Mise à jour :
    mars 2011

    Références

    Note : les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information désirée.

    Bibliographie

    Desaulniers M., Dubost, M. Table de composition des aliments. Volumes 1 et 2. Département de nutrition, Université de Montréal. c2003.
    Santé Canada. Fichier canadien sur les éléments nutritifs, version 2001 b.
    U. S. Department of Agriculture (USDA). National Nutrient Database for Standard Reference. (19 janvier 2011).
    Santé Canada, Fichier canadien sur les éléments nutritifs, version 2005.
    Santé Canada. Fichier canadien sur les éléments nutritifs, version 2010
    Houde-Nadeau, Michèle, Apports nutritionnels de référence. (2004) Dans: Chagnon Decelles D, Daignault Gélinas M, Lavallée Côté L et coll. Manuel de Nutrition Clinique, 3e éd. Montréal, Ordre professionnel des Diététistes du Québec, 1997.
    Institute of Medicine and Food and Nutrition Board. Dietary Refrence Intakes for Energy, Carbohydrates, Fiber, Fat, Fatty acids, Cholesterol, Protein, and amino acids. National Academy of Sciences, Washington D.C. 2002. Pre-publication copy.
    Santé Canada, Bureau de la politique et de la promotion de nutrition, Direction générale des produits de santé et des aliments. Guide du consommateur pour les ANREF (apports nutritionnels de référence).
    Santé Canada. Apports nutritionnels de référence, version 2008.

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  • vegactu.com

    Les frites McDonald’s : arôme de bœuf, lait hydrolysé, antioxydants…

    Les frites McDonald’s : arôme de bœuf,  lait hydrolysé, antioxydants… 

    Bon, quand on fait des frites maisons on met quoi comme ingrédient ? Du sel, des pommes de terre, et de l’huile ? On savait que McDonald’s n’y allait pas avec le dos de la cuillère mais la liste d’ingrédients est longue ! Dans une vidéo publiée sur son compte Youtube, McDonald’s indique utiliser pas moins de 4 huiles différentes sont utilisées,  auquel on ajoute du blé et du lait hydrolysé, et plusieurs additifs1 .

    Au total ce sont 14 ingrédients différents qui sont utilisées, dont certains interviennent lors des deux fritures (celle de l’usine et celle du restaurant).

    Histoire de la frite McDo

    Blanchies et coupées, les pommes de terres sont enduites d’huile de canola, d’huile de soja hydrogénée, d’arôme de boeuf, de lait hydrolysé, de blé, d’acide citrique et de diméthylpolysiloxane.

    Du dextrose (sucre naturel) est pulvérisé sur les bâtonnets pour aider les frites à fixer leur couleur dorée. Pour éviter qu’elles ne virent au gris, est ajouté de l’acide de sodium pyrophosphate (E450i). Sorties de l’usine, les frites ainsi traitées sont livrées aux restaurants, où elles passent encore une fois à la friteuse.

    La liste de ingrédients des frites McDo :

    • Pomme de terre
    • huile de canola
    • huile de soja
    • huile de soja hydrogénée
    • arôme de bœuf
    • blé hydrolysé
    • lait hydrolysé
    • acide citrique
    • diméthylpolysiloxane (E900)
    • dextrose
    • acide de sodium pyrophosphate (E450i)
    • sel
    • huile de maïs
    • BHQT (Butylhydroquinone tertiaire ou E319 : un antioxydant chimique)

     

    Et en France alors ?

    On apprend par l’intermédiaire de TerraEco que McDonald’s France s’est exprimé et que « le processus de fabrication est le même »2  Il n’y aurait pas d’arômes d’origine animale, mais les additifs E900, E450 et dextrose sont toutefois utilisés dans le but d’ « obtenir une couleur dorée et uniforme, éviter la mousse et les tâches grises ». Rien de très rassurant donc pour de simples frites.

     

    Nicolas Van Lennepkade

     

    Précisions :

    1. https://www.youtube.com/watch?v=x6RBtx4JU3c []
    2. http://www.terraeco.net/Promis-jure-les-frites-McDo-sont,58265.html []
     
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    UN TESTAMENT SURPRENANT

     
     
    24 Janvier 2015
     
     

    La foule entière se mit à crier : « À mort ! Fais-le disparaître ! »
    Luc 23.18

    Il y a bien des années vivait à Marseille un vieillard, connu pour avoir été travailleur et même ambitieux. Cependant il vivait très chichement. Est-il étonnant qu’on le qualifiât de riche avare et qu’il fût rejeté même par les pauvres ?
    Qui aurait pensé qu’à sa mort, son testament aurait de quoi interpeller ceux qui le détestaient ? Celui-ci stipulait en effet : « Depuis mon enfance j’ai remarqué qu’à Marseille les pauvres souffrent de la pénurie d’eau qu’ils doivent payer très cher. C’est pourquoi, durant toute ma vie, j’ai énormément travaillé pour pouvoir leur offrir ce grand bienfait, à savoir que toute ma fortune soit utilisée pour leur installer une conduite d’eau. » On imagine la surprise de ceux qui l’avaient toujours repoussé !
    Jésus n’a-t-il pas également été méprisé et accusé injustement ? Pourtant toutes ses œuvres et ses paroles prouvent combien il voulait du bien, même à ses pires ennemis.
    Sa vie durant, le vieillard marseillais n’avait pas recherché de gloire personnelle. Son comportement avait été conforme aux directives du Seigneur Jésus : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent ; appelez la bénédiction sur ceux qui vous maudissent.1
    La conclusion de Jésus tient en peu de mots : Votre père est plein de bonté, soyez donc bons comme lui. Tout un programme que seule la grâce de Dieu peut nous aider à mettre en pratique !

    Charles Rick

    1 Luc 6.27-28

     

    UN TESTAMENT SURPRENANT

    Évangile selon Luc 6. 31-34 : "31 Faites pour les autres tout ce que vous voulez qu’ils fassent pour vous. 32 Si vous aimez ceux qui vous aiment, il n’y a pas de quoi vous dire merci ! En effet, même les pécheurs aiment ceux qui les aiment. 33 Si vous faites du bien à ceux qui vous font du bien, il n’y a pas de quoi vous dire merci ! Même les pécheurs font comme vous ! 34 Et si vous prêtez de l’argent à ceux qui vont sûrement vous le rendre, il n’y a pas de quoi vous dire merci ! Même les pécheurs prêtent de l’argent aux pécheurs, pour qu’on leur rende la même somme."

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    FIBRES

     

    Fibres


     

    Description

    Les fibres alimentaires représentent les glucides et la lignine qui sont présents naturellement dans les aliments végétaux et qui ne sont pas digérés et absorbés par le système digestif. Il existe également un autre type de fibre appelé fibres fonctionnelles qui sont en fait des glucides qui ont été isolés, extraits et/ou purifiés. Pour faire partie de la gamme des fibres fonctionnelles, celles-ci doivent exercer des effets bénéfiques au niveau de l’organisme. Les fibres fonctionnelles ne sont pas absorbées ni digérées par le système digestif au même titre que les fibres alimentaires.  

    Les fibres ont différents rôles à jouer au niveau physiologique y compris la régularisation de la fonction gastro-intestinale, la diminution des taux de cholestérol ainsi que la gestion de la glycémie (taux de sucre dans le sang). Elles contribuent également au sentiment de satiété ce qui peut aider à la gestion du poids en diminuant l’apport énergétique. Il y a également de nombreuses études, mais pas toutes, qui affirment qu’un apport en fibres adéquat protégerait contre le cancer du colon.

    Il y a deux types de fibres dans les aliments végétaux : les fibres solubles (visqueuses) et les fibres insolubles. Ce sont les fibres solubles qui ont la propriété de diminuer les taux de glucose sanguin et de cholestérol. Les fibres insolubles quant à elle, augmentent le volume fécal afin de régulariser la fonction intestinale. La plupart des aliments d'origine végétale contiennent les deux types de fibres. Toutefois, la quantité de chaque type de fibre varie selon les aliments.

    Aliments à prédominance de fibres insolubles

    Aliments à prédominance de fibres solubles

    Son de blé et céréales de blé

    Psyllium et céréales enrichies

    Grains entier et dérives

    Son d'avoine et céréales à l'avoine (gruau)

    Légumes : chou-fleur, chou Kale, pois verts, épinards, navet, haricots verts

    Légumineuses : haricots rouges, pois

    Fruits : framboises, pomme, poire, banane, bleuets, fraises

    Fruits : orange, pamplemousse, mangue, pruneaux séchés

    Noix et graines : amandes, arachides

    Légumes : asperges, choux de Bruxelles, carottes, oignon

    Légumineuses en général

    Orge

     

    Besoins quotidiens en fibres

    Les besoins en fibres totales ont été établis selon un apport qui, selon les données scientifiques, constitue une protection contre les maladies cardiovasculaires et le diabète. 

    Âge

    Apport suffisant (AS)

    Bébés 0 - 6 mois

    ND

    Bébés 7 - 12 mois

    ND

    Bébés 1 - 3 ans

    19 g

    Enfants 4-8 ans

    25 g

    Garçons 9 - 13 ans

    31 g

    Filles 9 - 13 ans

    26 g

    Garçons 14 - 18 ans

    38 g

    Fille 14 - 18 ans

    26 g

    Hommes 19 - 50 ans

    38 g

    Femmes 19 - 50 ans

    25 g

    Hommes 50 ans et +

    30 g

    Femmes 50 ans et +

    21 g

    Femmes enceintes

    28 g

    Femmes qui allaitent

    29 g

     *Apport nutritionnel recommandé
    **AMT : apport maximal tolérable

     

    Sources alimentaires de fibres

    Les principales sources de fibres sont les légumes et fruits ainsi que les produits céréaliers, les légumineuses et les noix. 

     

    Aliments

    Portions

    Quantités (μg)

    Légumineuses cuites

    250 ml (1 tasse)

    12 - 17

    Céréales à déjeuner, 100 % son de blé

    30 g (1 oz)

    10

    Haricots de soya, frais (edamame), bouillis

    250 ml (1 tasse)

    8

    Framboises

    125 ml (1/2 tasse)

    4-6

    Artichaut bouilli

    1 moyen (120 g)

    5

    Pruneaux séchés, cuits

    75 ml dénoyautés (80 g)

    5

    Poire avec pelure

    1 moyenne (166 g)

    5

    Pois verts, cuits

    125 ml (1/2 tasse)

    4-5

    Mûres

    125 ml (1/2 tasse)

    4

    Citrouille en conserve

    125 ml (1/2 tasse)

    4

    Dattes ou figues séchées

    60 ml (1/4 tasse)

    4

    Pomme de terre avec la pelure, cuite au four

    1 moyenne (150 g)

    4

    Épinards bouillis

    125 ml (1/2 tasse)

    4

    Amandes rôties dans l'huile ou à sec

    60 ml (1/4 tasse)

    4

    Patate douce bouillie

    1 moyenne (151 g)

    4

    Pomme avec la pelure

    1 moyenne (138 g)

    3

    Courges d'hiver, cuites

    125 ml (1/2 tasse)

    3

    Papaye

    1/2 fruit (153 g)

    3

    Choux de Bruxelles, cuits

    4 choux (84 g)

    3

    Bleuets

    125 ml (1/2 tasse)

    2-3

     

    Trucs pour augmenter son apport en fibres :

    • Remplacer les produits céréaliers raffinés par du riz brun, des pâtes ou du pain faits de grains entiers.
    • Consommer plus de fruits contenant des fibres : pommes et poires avec leur pelure, framboises et mûres, fruits séchés (pruneaux, abricots et dattes).
    • Choisir plus souvent des légumes riches en fibres : artichauts, petits poisbetteraves, carottes, brocolichou, choux de Bruxelles, maïs, navet, pommes de terre avec la pelure.
    • Manger plus souvent des légumineuses, excellentes sources de fibres alimentaires : haricots blancs ou rouges, lentillesharicots de Lima, pois chiches.
    • Ajoutez des lentilles ou des haricots secs dans les soupes, les plats en casserole et les salades. Cuisiner un chili végétarien.
    • Étalez de l’hummus sur une tranche de pain à grains entiers ou des craquelins riches en fibres en collation.
    • En collation, choisir des céréales riches en fibres (4 g de fibres par portion et lus) ou un muffin riche en fibres fait maison.
    • Lorsque vous faites des recettes de muffins, remplacez la farine blanche par de la farine de blé entier. Ajouter des graines de lin moulues ou du son de blé ou d’avoine.
    • Ajouter du son de blé ou d’avoine, des graines de lin ou de chia à vos yogourts et compotes.
    • Ajoutez des fèves de soya dans les soupes, les sautés ou les salades
    • En collation, manger une petite poignée de fruits séchés et de noix.
    • Lisez les étiquettes des aliments et choisissez des pains, des bagels, des pitas, des tortillas et des craquelins qui contiennent de 2 à 4 g de fibres par portion.

     

    Il est très important d’augmenter son apport en fibres graduellement et de boire beaucoup d’eau afin d’éviter certains symptômes gastro-intestinaux.

     

    Interactions potentielles

    Un apport très élevé en fibres pourrait nuire à l’absorption de différents nutriments notamment le calcium, le magnésium, le fer et le zinc. Par contre, lorsqu’il n’y a pas de carence en ces nutriments dans l’alimentation, un apport adéquat en fibres ne semble pas compromettre les réserves de ces nutriments.

     

    Carence en fibres

    Comme les fibres ne  constituent pas un nutriment essentiel, un faible apport n’apporte pas de symptômes de carence. Par contre, un apport insuffisant en fibre peut mener à la constipation dû au faible volume fécal.

     

    Excès de fibres

    Un apport excessif en fibres ne comporte pas d’effet délétère mis à part certains symptômes gastro-intestinaux comme des ballonnements ou des gaz. Une surconsommation est très peu probable. 

    Références

    Références

    Note : les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information désirée.

    Bibliographie

    Apports nutritionnels de référence, Institute of Medicine (IOM), National Academies Press, Washington D.C, 2006.

    Withney E., Rady Rolfes, S. Understanding Nutrition, 11 ième edition, Thomson Learning, 2008.

    Fiche rédigée par Audrey Cyr, nutritionniste.
    Créée : juin 2014

     

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    NE MURMUREZ PAS...

    23 Janvier 2015

     
     

    Ne vous répandez pas en plaintes les uns contre les autres.
    Jacques 5.9

    J’ai relevé une inscription écrite sur le mur d’une maison, datant d’au moins 150 ans : « Les hommes disent toujours que les temps deviennent de plus en plus durs. Mais les temps restent pareils ; ce sont plutôt les gens qui empirent. »
    Le chroniqueur mentionne qu’à l’époque, les employés sont mécontents de leur salaire, les commerçants se plaignent de la langueur des affaires, les ouvriers rouspètent d’avoir un salaire de misère, les maîtresses de maison déplorent le laisser-aller du personnel.
    Certes, toutes ces plaintes n’étaient sans doute pas sans fondement. Mais le tableau actuel est-il plus optimiste ? Il n’y a rien de nouveau sous le soleil.1
    Au fil du temps, s’installe de plus en plus l’habitude d’être mécontent de quelque chose, de son sort, de ses chefs, de son travail, de tant de pratiques de moins en moins acceptées. De particulières, ces doléances sont devenues collectives, avec force démonstrations publiques, voire violentes, à grand renfort de décibels.
    Se plaindre de son sort, c’est renforcer, aggraver notre mécontentement. Au contraire, rien ne ranime et ne fait prospérer la vie spirituelle comme l’action de grâce. La Parole de Dieu nous ordonne de ne pas nous plaindre les uns des autres, mais de nous supporter, même de nous pardonner mutuellement si nous avons quelque chose à reprocher à l’autre2. Pour cela il nous faut beaucoup d’humilité, de douceur, de patience, c’est-à-dire aimer le prochain comme il est. Nous avons besoin d’un cœur changé !
    Désirons-nous que Dieu nous fasse cette grâce ?

    Charles Rick

    1 Ecclésiaste 1.9           2 Colossiens 3.13

     

     

    NE MURMUREZ PAS

    1ère lettre aux Corinthiens 10. 9-12 : "Ne provoquons pas le Seigneur, comme certains parmi eux l’ont fait, et des serpents les ont fait mourir. 10 Enfin, ne nous plaignons pas, comme certains parmi eux l’ont fait, et l’ange de la mort les a détruits.

    11 Ces choses-là sont arrivées à nos ancêtres pour nous servir d’exemples. On les a écrites pour nous avertir, nous qui sommes bientôt arrivés à la fin des temps. 12 C’est pourquoi celui qui se croit solide doit faire attention à ne pas tomber."
     
     
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    6 ALIMENTS POUR AMÉLIORER SON BIEN-ÊTRE

     

    Il est essentiel de se faire plaisir en mangeant sans oublier d'allier le plaisir à la santé et au bien-être. De nombreux aliments aideraient à se sentir mieux, à combattre le stress et redonneraient de l’énergie. Découvrez notre sélection d'aliments spécial bien-être.

    Les graines de sésame sont riches en vitamine B6. Egalement appelée pyridoxine, la vitamine B6, joue un rôle important dans la synthèse de neurotransmetteurs comme la sérotonine (= hormone du plaisir) ou la dopamine (= hormone du bonheur). Par conséquent, la consommation de graines de sésame favoriserait le processus chimique de la "bonne humeur". Une étude1 affirme d'ailleurs qu'une carence en vitamine B6 entraînerait un excès d’irritabilité. De plus, les graines de sésame possèdent aussi des vertus antioxydantes qui jouent un rôle capital dans le ralentissement du vieillissement cellulaire. 

     

    Le saumon contient 0,5 à 1,5 g d’oméga-3 pour 100 g. En plus de lutter contre l'excès de ​cholestérol grâce à leurs vertus anti-inflammatoires, les oméga-3 rendraient optimiste. Une étude1 affirme que les personnes qui consomment du saumon seraient moins déprimées et seraient moins touchées par la dépression.
    Les oméga-3 du saumon font également de lui un aliment bénéfique à la santé cardiovasculaire. En plus d'être un aliment santé, le saumon est très peu calorique avec seulement 200 kcals pour 100 g. Une bonne raison de le mettre au menu !

     

    Comme les protéines et les lipides, les glucides sont des nutriments essentiels qui fournissent de l’énergieà l’organisme. Les lentilles, grâce à leur teneur importante en glucides (100 g de lentilles cuites = 13 g de glucides) permettent de stimuler l'organisme en augmentant le tonus et en améliorant l’humeur. En raison de leur teneur en fibres (4,5 g de fibres pour 1 portion de 125 ml), les lentilles permettraient de lutter contre certaines types de cancer, comme le cancer du côlon, le diabète de type 2 ou la constipation. De plus, les lentilles contiennent des antioxydantsqui protègent les cellules du corps des dommages causés par les radicaux libres (= substances produites au cours du fonctionnement normal de l’organisme). Enfin, les lentilles font partie des légumineuses dont la consommation régulière est recommandée. 

     

    Les noix sont des fruits à écale comme les noisettes, les amandes ou les pistaches. Elles sont connues pour leur teneur importante en magnésium  avec 133 mg pour 1/4 d’une tasse g de noix. L’apport quotidien recommandé en magnésium afin de permettre à l’organisme de bien fonctionner est d’environ 350 mg. Le magnésium joue un rôle important dans le métabolisme de l’énergie et il joue un rôle essentiel dans la transmission nerveuse et dans la relaxation, un processus vital pour la fonction cardiaque. Une carence en magnésium serait associé à la spasmophilie, un trouble également appelé hyperexcitabilité neuromusculaire. Pour favoriser la détente et le bien-être, n’hésitez pas à mettre la noix au menu de vos collations ! 

     

    Les nutriments contenus dans le chocolat entraînent une augmentation du tryptophane​, un acide aminé qui, lorsqu’il passe dans le cerveau, se transforme ensérotonine. Cette hormone détient un rôle important dans les changements d’humeur. Une carence ou un déséquilibre de sérotonine pourrait provoquer un état anxieux. Le chocolat, qu’il soit noir, au lait ou blanc, rendrait heureux mais avec modération car le chocolat est calorique avec 530 kcals pour 100 g soit la moitié d'une tablette de chocolat. 

     

    Connu pour ses bienfaits sur la santé, le soja ousoya contient de la tyrosine, un acide aminé important pour l’organisme. La tyrosine, en arrivant dans le cerveau, est transformée en dopamine (= hormone du plaisir). Elle agit alors comme régulateur de l’humeur et permettrait de réduire le stress.
    Le soja pourrait avoir un effet préventif sur les maladies cardiovasculaires car il contient des acides gras. Il serait également bénéfique sur le taux de "mauvais" cholestérol LDL. L’Agence française de Sécurité des Aliments recommande une consommation de soja, sous toutes ses formes, d’au moins 30 g par jour aux personnes souffrant d’excès de cholestérol. 

     

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    BIEN GARDÉES

     
     
    22 Janvier 2015

     
     

    Si l’Éternel n’avait pas été avec nous […] ils nous auraient engloutis tout vivants.
    Psaume 124.1,3

    Deux jeunes chrétiennes européennes, actives dans un dispensaire en Thaïlande, ont vécu, de façon inopinée, une expérience extraordinaire. Sur le chemin de retour vers leur station, elles ont été surprises par la subite nuit tropicale. Sans éclairage à leurs vélos, elles n’ont eu d’autre solution que de passer la nuit à la belle étoile, dans un coin abrité, au flanc d’une colline boisée.
    Elles se sont confiées aux soins de leur Père céleste, et, vaincues par la fatigue, elles ont dormi jusqu’au lendemain matin. Elles sont finalement arrivées saines et sauves chez elles.
    Quelques jours plus tard, un homme se présente à leur dispensaire :
    – Vous ne me reconnaissez pas ? Moi, je vous reconnais. Vous avez couché, tel soir, dans la forêt, à tel endroit. Eh bien, nous étions à plusieurs, cachés dans les buissons, avec la ferme intention de vous dévaliser durant votre sommeil. Mais nous avons aperçu 16 soldats armés montant la garde autour de vous, si bien que nous avons pris la fuite.
    Pas de doute pour les deux jeunes femmes : Dieu avait envoyé ses anges pour les préserver des assaillants.
    Elles ont appris par la suite que, ce même soir en Angleterre, leurs amis, réunis pour la prière, avaient eu spécialement à cœur de demander à Dieu de les protéger durant leur déplacement.

     

    adapté par Charles Rick, d’après le journal : « Millions de la C.I.M. »

     

     

    BIEN GARDÉES

    2ème livre des Rois 6. 14-20 : "1il envoie une troupe nombreuse de soldats, avec des chars et des chevaux. Ils arrivent de nuit et entourent la ville. 15 Le jour suivant, le serviteur d’Élisée se lève tôt le matin et il sort de la ville. Il voit les soldats, les chevaux et les chars qui entourent la ville. Il crie : « Quel malheur, maître ! Qu’est-ce que nous allons faire ? » 16 Élisée répond : « N’aie pas peur ! Ceux qui sont avec nous sont plus nombreux que ceux qui sont avec eux. » 17 Ensuite Élisée prie en disant : « Seigneur, ouvre les yeux de mon serviteur pour qu’il voie clair. » LeSeigneur ouvre ses yeux, et le serviteur peut voir que tout autour d’Élisée, la montagne est couverte de chevaux et de chars brillants comme du feu.

    18 Les Syriens descendent vers Élisée. Le prophète prie de nouveau : « Seigneur, ferme les yeux de tous ces soldats. » Et le Seigneur leur ferme les yeux, comme Élisée l’a demandé. 19 Alors Élisée dit aux soldats : « Vous n’avez pas pris le bon chemin, et ce n’est pas la bonne ville. Suivez-moi, et je vous conduirai auprès de l’homme que vous cherchez. » En fait, Élisée les conduit à Samarie. 20 Quand ils entrent dans la ville, Élisée prie encore : « Seigneur, ouvre leurs yeux pour qu’ils voient clair. » Le Seigneur leur ouvre les yeux, et ils voient qu’ils sont en pleine ville de Samarie."
     
     
     
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    GLUCIDES

     
     

    Glucides


     

    Description des glucides

    En résumé 

    Il existe deux types de glucides : les glucides simples et les glucides complexes.
    Les glucides simples comprennent le glucose, le fructose et le saccharose qui peuvent à leur tour former du sucrose (= sucre de table), du lactose ou du maltose.
    Les glucides complexes comprennent l’amidon, le glycogène ainsi que les fibres.

    Un sucre simple est le plus petit maillon de la famille des glucides. C’est lui qui est responsable du goût sucré des aliments. Le fructose, le galactose et le glucose sont composés d’une seule molécule. Associés, ils forment des molécules plus complexes. Par exemple, le saccharose (sucre blanc) renferme du fructose et du glucose et le lactose (sucre du lait), du galactose et du glucose.

    Un peu de vocabulaire

    Les sucres simples intrinsèques sont naturellement dans les aliments, comme le fructose des fruits et le lactose du lait.

    Les sucres simples ajoutés ou extrinsèques,sont ajoutés aux aliments et aux boissons par les fabricants, les cuisiniers ou les consommateurs eux-mêmes : sucre blanc ou brun, miel, sirop d’érable, concentré de jus de fruits, sirop de maïs, glucose, etc.

    Les sucres simples fournissent quatre calories par gramme. Qu’ils soient intrinsèques ou extrinsèques, purifiés ou non, raffinés ou non, tous, à l’exception du fructose, ont le même effet sur le taux de sucre dans le sang en le faisant augmenter rapidement : ils ont un index glycémique élevé. Pour en savoir plus sur l’index glycémique, voir notre texte à ce sujet.

    Employé par l’Organisation mondiale de la santé, le terme « sucres libres », englobe les sucres ajoutés ET les sucres des jus de fruits. Notez que cette classification est propre à l’OMS et que la plupart des autorités de santé publique ne font pas cet amalgame (voir encadré plus loin).

    • L’amidon est un glucide complexe, car il est constitué d’une chaîne de sucres. Il est notamment présent dans les pommes de terre, certains légumes, le pain, les pâtes et dans les céréales. L’amidon fournit aussi quatre calories par gramme. Il n’a pas de goût sucré. Il est absorbé plus lentement que les glucides simples et ne fait donc pas augmenter le taux de sucre dans le sang aussi rapidement : son index glycémique est moins élevé que celui des sucres simples. Pour en savoir plus sur l’index glycémique, voir notre texte à ce sujet.
    • Les fibres, font aussi partie des glucides complexes. En fait, comme elles sont constituées d’une chaîne de sucres très complexe, elles ne sont pas absorbées par l’organisme. Elles ne fournissent donc pas de calories. De plus, elles ralentissent l’absorption des autres glucides : voilà pourquoi manger un fruit, fait augmenter moins rapidement le taux de sucre dans le sang que boire un jus de fruit. Seuls les aliments d’origine végétale fournissent des fibres : céréales complètes, fruits et légumes, etc. Elles n’ont pas de goût sucré.

    Le principal rôle des glucides est de fournir de l’énergie aux cellules du corps humain (1g de glucides fournit 4 calories). Lorsque nous les mangeons, ils se transforment plus ou moins rapidement en glucose, qui est le carburant de certaines cellules du corps. C’est le cas des cellules du système nerveux central (=cerveau). Notez que le glucose est le carburant exclusif du cerveau, qui en a besoin d’environ 140 g par jour !

    Le glucose est soit utilisé immédiatement par l’organisme, car ce dernier a constamment besoin d’énergie, soit stocké sous forme de glycogène dans le foie et dans les muscles pour une utilisation ultérieure. Voilà pourquoi les sportifs, avant une compétition, cherchent à augmenter leurs réserves de glycogène en mangeant des aliments riches en glucides.

    Les fibres alimentaires contribuent à la satiété et servent à maintenir l’appareil digestif en bonne santé en régularisant le transit intestinal.

    Besoins quotidiens en glucides

    Les besoins en glucides sont fondés à partir de la quantité minimale moyenne utilisée par le cerveau.  Il n’existe pas d’apport maximal tolérable au niveau des glucides car les données scientifiques sont insuffisantes.

    Par contre, l’Institute of Medicine conseille de limiter l’apport de sucres ajoutés à moins de 25% de l’apport énergétique total de la journée car au-delà de cette quantité, les individus tendent à consommer moins de nutriments essentiels. Les boissons gazeuses, les friandises, les gâteaux, les biscuits, les boissons aux fruits, les produits laitiers sucrés ainsi que les céréales pour petit déjeuner constituent les premières sources de sucres ajoutés dans la population.  

    Nos besoins quotidiens en glucides

     

    BME*

    ANR**

    Bébés 0-6 mois

    Bébés 7-12 mois

    Bébés 1-3 ans

    Enfants 4-8 ans

    Garçons 9-13 ans

    Filles 9-13 ans

    Garçons 14-18 ans

    Filles 14-18 ans

    Hommes 19-50 ans

    Femmes 19-50 ans

    Hommes 50 ans et +

    Femmes 50 ans et +

    Femmes enceintes

    Femmes qui allaitent

    ND***

    ND***

    100

    100

    100

    100

    100

    100

    100

    100

    100

    100

    135

    160

    ND***

    ND***

    130

    130

    130

    130

    130

    130

    130

    130

    130

    130

    175

    210

    *BME : besoin moyen estimatif qui représente l’apport quotidien moyen de nutriments permettant de satisfaire les besoins de la moitié des sujets en santé.

    **ANR : apport nutritionnel recommandé qui représente l’apport nutritionnel quotidien moyen permettant de satisfaire les besoins en nutriments de 97 à 98% des individus en santé.

    ***ND : non défini  

    De plus, on sait que les glucides devraient fournir entre 45 et 65% des calories totales de la journée. 

    Sources alimentaires de glucides

    Les principales sources de glucides sont  les produits céréaliers, les fruits, certains légumes ainsi que les légumineuses. De façon générale :
    • 1 portion de produits céréaliers contient : 15 g de glucides
    • 1 portion de fruits contient : 15 g de glucides
    • 1 portion de légumes contient : 5 g de glucides
    • 1 portion de produits laitiers fournit : 12 à 15 g de glucides
    • 1 portion de légumineuses fournit : 15 g de glucides
    • 1 portion de sucre ajouté contient : 15 g de glucides

    Voici en détails la teneur en glucides de certains aliments :

    Aliments

    Portions

    Quantités (g)

    Pâtes alimentaires, cuites

    Bagel

    Boisson gazeuse type cola

    Riz, cuit

    Muffin anglais

    Épi de maïs

    Patate douce en purée

    Pois chiches, cuits

    Gruau nature préparé

    Boisson de soja au chocolat

    Yogourt, fruits au fond

    Pain

    Craquelins

    Quinoa, cuit

    Céréales à petit déjeuner

    Courges d’hiver, cuites, en cubes

    Panais

    Pois verts

    Pomme de terre

    Haricots cuits

    Lentilles cuites

    Ananas

    Cerises

    Clémentine

    Dattes séchées

    Fraises, mûres

    Jus d’orange

    Biscuits aux pépites de chocolat

    Confiture, miel, sirop d’érable

    Lait écrémé, 1%, 2%, entier

    Légumes frais, surgelés, en conserve

    Jus de légumes

    Légumes feuillus (laitue, épinards)

    250 ml (150 g)

    1

    1 cannette (355 ml)

    125 ml (100 g)

    1

    1

    ½ tasse (135 g)

    125 ml (85 g)

    175 g (1 sachet)

    250 ml

    1 contenant (100 g)

    1 tranche (30g)

    4 à 7 (20g)

    125 ml (75 g)

    30 g

    250 ml (215 g)

    175 ml (115 g)

    250 ml (170 g)

    1 petite ou 125 ml (110 g) en purée

    125 ml (90 à 95 g)

    125 ml (105 g)

    125 ml (80 g)

    15

    2

    3

    500 ml (150 g)

    125 ml

    2

    15 ml

    250 ml

    125 ml

    125 ml

    250 ml

    45

    45

    35

    30

    30

    30

    30

    25

    23

    20

    18

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    15

    13

    5

    5

    5

    Indice glycémique des aliments

    L’indice glycémique (IG) est une échelle qui classe les aliments riches en glucides selon l’augmentation de la glycémie par rapport à un aliment de référence, soit le glucose ou le pain blanc. Plus l’indice est élevé, plus la consommation de cet aliment cause l’augmentation du taux de sucre dans le sang. Il y a plusieurs avantages à consommer des aliments à faible indice glycémique dont le contrôle de la glycémie et du taux de cholestérol sanguin, le contrôle de l’appétit ainsi que la réduction du risque cardiovasculaire. Une revue de la littérature très rigoureuse réalisée en 2007 avait également démontré que les diètes à faible indice glycémique, comparativement aux diètes faibles en lipides, avaient de meilleurs taux de succès au niveau de la perte de poids.

     

    Voici un tableau résumant l’indice glycémique de certains aliments :

    IG BAS (égal ou inférieur à 55)
    À consommer plus souvent

    IG MOYEN (56-69)
    À consommer plus souvent

    IG ÉLEVÉ (égal ou supérieur à 70)
    À consommer moins souvent

    PAINS :
    Grains entiers broyés à la meule
    Grains lourds mélangés
     

    PAINS :
    Blé entier
    Seigle
    Pita

    PAINS :
    Pain blanc
    Petit pain empereur
    Bagel blanc

    CÉRÉALES :
    All Bran®
    Son d’avoine

    CÉRÉALES :
    Gruau
    Gruau à cuisson rapide

    CÉRÉALES :
    Flocons de son
    Flocons de maïs

    PRODUITS CÉRÉALIERS:
    Orge
    Boulgour
    Pâté alimentaires / nouilles
    Riz étuvé

    PRODUITS CÉRÉALIERS:
    Riz basmati
    Riz brun
    Couscous

    PRODUITS CÉRÉALIERS:
    Riz à grain court

    AUTRES :
    Patate douce
    Igname
    Lentilles
    Pois chiches
    Haricots rouges
    Pois cassés
    Haricots de soya
    Fèves au lard
     

    AUTRES :
    Pommes de terre nouvelles/blanches
    Maïs sucré
    Maïs soufflé
    Soupe aux haricots noirs
    Soupe aux pois
     

    AUTRES :
    Pommes de terre au four
    Pommes de terre frites
    Bretzels
    Galettes de riz
    Craquelins
     

     

    Carence en glucides

    Un régime alimentaire très faible en glucides (en dessous de la quantité minimale requise pour le cerveau) peut entraîner l’augmentation de la production de cétones et donc, une perte de densité minérale osseuse, l’hypercholestérolémie, l’augmentation du risque de lithiases urinaires et même nuire au développement et au fonctionnement du système nerveux. Des apports très bas en glucides peuvent également altérer la sensation de bien-être (malaise, fatigue).

     

    Excès de glucides

    Un apport excessif en glucides (surtout en sucres raffinés) a démontré des effets néfastes notamment en augmentant le risque de caries dentaires, de certains types de cancer, de surpoids et d’obésité et de taux élevés de triglycérides sanguins.

    Bibliographie

     

    Références

    Note : les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information désirée.

    Bibliographie

    Apports nutritionnels de référence, Institute of Medicine (IOM), National Academies Press, Washington D.C, 2006.

    Association canadienne du diabète,  page consultée le 15 novembre 2013 : http://www.diabetes.ca/files/GlycemicIndexFrench_08_FINAL.pdf

    Brinkworth GD, Noakes M, Buckley JD, Keogh JB, Clifton PM. Long-term effects of a very-low-carbohydrate weight loss diet compared with an isocaloric low-fat diet after 12 mo. Am J Clin Nutr. 2009 Jul;90(1):23-32. doi: 10.3945/ajcn.2008.27326. Epub 2009 May 13.

    Thomas DE, Elliott EJ, Baur L. Low glycaemic index or low glycaemic load diets for overweight and obesity. Cochrane Database Syst Rev. 2007 Jul 18;(3).

    Fiche rédigée par Audrey Cyr, nutritionniste
    Créée : novembre 2013

     

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  • vivreaujourdhui.com

    DEMANDEZ ET VOUS RECEVREZ

     

     21 Janvier 2015
     
     

    Donne-nous aujourd’hui le pain de ce jour…
    Matthieu 6.11

    Veille de Noël, dans un pays ravagé par la guerre. À l’épicerie du village, plusieurs clientes attendent. L’une d’elles, visiblement fatiguée, demande à l’épicier de quoi préparer un repas de Noël à ses enfants. Intrigué, le commerçant désire savoir de combien d’argent elle dispose.
    – Mon mari n’est pas revenu de la guerre. Je n’ai rien à offrir qu’une petite prière…
    – Écrivez-la sur un papier.
    À la grande surprise de l’épicier, elle tire une feuille de papier de son corsage et la lui tend :
    – Je l’ai écrite cette nuit en veillant mon bébé malade.
    Sans lire le papier, le vendeur le pose sur la balance Roberval, en déclarant devant tous :
    – Nous allons voir quel poids de nourriture votre prière représente.
    Il dépose d’abord une miche de pain, puis d’autres denrées. Stupéfait, il constate que le fléau reste immobile. Confus devant ses clients, il ajoute encore d’autres denrées. Mais le bras de la balance ne bouge toujours pas. Son visage rougit.
    – Tenez, mettez tout dans ce sac, je suis occupé.
    Un sourire de reconnaissance brille dans les yeux de la cliente.
    Après son départ, le commerçant examine sa balance : mais, elle est cassée ! Pourquoi la femme est-elle venue juste au moment où sa balance ne fonctionnait pas ? Et pourquoi, lui, ne s’en est-il pas aperçu avant ? « Après tout, se dit-il, c’est un miracle. » En lisant la prière écrite, il comprend : « S’il vous plaît, Seigneur, donnez-nous aujourd’hui le pain de ce jour. »

    Charles Rick

     

    DEMANDEZ ET VOUS RECEVREZ

    Évangile selon Luc 12. 22-24 : "22Jésus dit à ses disciples : « C’est pourquoi je vous dis : Ne vous faites pas de souci pour votre vie ni pour votre corps. Ne vous demandez pas : “Qu’est-ce que nous allons manger ? Avec quoi est-ce que nous allons nous habiller ?”23Oui, votre vie est plus importante que la nourriture, et votre corps est plus important que les vêtements.24Regardez les oiseaux ! Ils ne sèment pas, ils ne récoltent pas, ils n’ont pas de réserve ni de grenier, mais Dieu les nourrit ! Et vous valez beaucoup plus que les oiseaux !"

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    SODIUM

     

    Sodium


     

    Description

    Le sodium est un minéral qui joue un rôle important dans l’état d’hydratation de l’organisme. Il est présent dans le sang et dans le liquide extracellulaire dans lequel baignent les cellules. Le sodium aide également à maintenir l’équilibre acido-basique et est essentiel dans la transmission des influx nerveux ainsi que la contraction musculaire.

     

    Contrairement aux nutriments, les aliments figurant dans cette liste devraient être consommés avec modération.

    Le sodium contribue à faire augmenter la tension artérielle chez certaines personnes. Comme il est difficile de déterminer qui y est sensible et qui ne l’est pas, la plupart des gens devraient consommer du sodium avec modération.

    En effet, une alimentation trop riche en sodium (plus de 2 400 mg par jour) peut augmenter la pression artérielle, même chez ceux qui ne souffrent pas d’hypertension, en plus d’augmenter les risques de maladies cardiovasculaires, de maladies des reins et d’ostéoporose chez certaines personnes.

    En contre partie, une alimentation trop faible en sodium (moins de 500 mg par jour) ou des pertes considérables de sodium (par la transpiration, l’excrétion augmentée de sodium dans l’urine ou en présence de vomissements importants) peuvent causer la nausée, la déshydratation, des crampes musculaires et même des vertiges.

     

    Besoins quotidiens

    Il n’y a pas d’apports nutritionnels recommandés (ANR) pour le sodium. C’est plutôt des apports suffisants (AS) et des apports maximaux tolérables (AMT) qui ont été établis.

     

    Vos besoins quotidiens en sodium

                                  

    Apport suffisant (AS)

    Bébés 0-6 mois

    120 mg

    Bébés 7-12 mois

    370 mg

    Bébés 1-3 ans

    1 000 mg

    Enfants 4-8 ans

    1 200 mg

    Garçons 9-13 ans

    1 500 mg

    Filles 9-13 ans

    1 500 mg

    Garçons 14-18 ans

    1 500 mg

    Filles 14-18 ans

    1 500 mg

    Hommes 19-50 ans

    1 500 mg

    Femmes 19-50 ans

    1 500 mg

    Hommes 50 ans et +

    1 300 et 1 200 mg si 70 ans et +

    Femmes 50 ans et +

    1 300 et 1 200 mg si 70 ans et +

    Femmes enceintes

    1 500 mg

    Femmes qui allaitent

    1 500 mg

     

                           

    Apport maximal tolérable en mg par jour

    Bébés 0-6 mois

    ND

    Bébés 7-12 mois

    ND

    Bébés 1-3 ans

    1 500 mg

    Enfants 4-8 ans

    1 900 mg

    Garçons 9-13 ans

    2 200 mg

    Filles 9-13 ans

    2 200 mg

    Garçons 14-18 ans

    2 300 mg

    Filles 14-18 ans

    2 300 mg

    Hommes 19-50 ans

    2 300 mg

    Femmes 19-50 ans

    2 300 mg

    Hommes 50 ans et +

    2 300 mg

    Femmes 50 ans et +

    2 300 mg

    Femmes enceintes

    2 300 mg

    Femmes qui allaitent

    2 300 mg

     

    Sources alimentaires de sodium

    Les principales sources sont les aliments préparés et préemballés. En fait, plus de 75% du sodium que nous consommons provient d’aliments transformés tels que les fromages, produits de charcuteries, pizzas, sauces et soupes ainsi que les aliments séchés ou fumés.

     

    Aliments

    Portions

    (mg)          

    1

    Miso, produits fermentés

    175 ml (3/4 tasse)

    7 583 mg

    2

    Boeuf salé déshydraté

    100 g (3 ½ oz)

    2 790 mg

    3

    Sel de table

    5 ml (1 c. à thé)

    2 373 mg

    4

    Bacon grillé

    100 g (3 ½ oz) - 4 tranches

    2 310 mg

    5

    Jambon régulier, 11 % MG, tranché

    100 g (3 ½ oz)

    1 500 mg

    6

    Sauce de poisson prête à servir

    15 ml (1 c. à table)

    1 408 mg

    7

    Bicarbonate de soude

    5 ml (1 c. à thé)

    1 284 mg

    8

    Sauce soya, shoyu et tamari

    15 ml (1 c. à table)

    914-1 038 mg

    9

    Légumineuses en conserve

    250 ml (1 tasse)

    718-873 mg

    10

    Hareng de l’Atlantique, mariné

    100 g (3 ½ oz)

    870 mg

    11

    Saumon fumé

    100 g (3 ½ oz)

    784 mg

    12

    Sauce teriyaki prête à servir

    15 ml (1 c. à table)

    700 mg

    13

    Sauce tomate en conserve

    125 ml (1/2 tasse)

    678 mg

    14

    Sauce soya réduite en sodium

    15 ml (1 c. à table)

    608 mg

    15

    Anchois en conserve

    4 anchois (16 g)

    588 mg

    16

    Cornichons à l’aneth

    1 cornichon (65 g)

    569 mg

    17

    Fromage féta

    50 g

    558 mg

    18

    Sardines en conserve

    100 g (3 ½ oz) (8 moyennes)

    505 mg

    19

    Choucroute en conserve

    125 ml (1/2 tasse)

    496 mg

    20

    Fromage cottage, 2 % MG

    125 ml (1/2 tasse)

    485 mg

    Avec le chlore (Cl), le sodium (Na) devient du sel de table, ou chlorure de sodium (NaCl). En fait, 5 ml (1 c. à thé) de sel de table contient 2 400 mg de sodium.

    Il n’existe pas d’apports nutritionnels recommandés (ANR) pour le sodium. On parle plutôt d’apports suffisants (AS) et d’apports maximaux tolérables (AMT) afin d’éviter les effets indésirables d’une surconsommation ou d’une consommation insuffisante de sodium.

     

    Carence en sodium

    Une carence en sodium est très rare. Même lorsque les apports alimentaires en sodium sont faibles, l’organisme s’adapte habituellement en réduisant les pertes par l’urine et la sueur. Par contre, une carence peut survenir  lors de vomissements répétés, une diarrhée prolongée, une transpiration excessive. Un apport trop faible en sodium peut entraîner certains effets secondaires néfastes. Les symptômes d’une déficience en sodium sont des crampes musculaires, une perte d’appétit, une déshydratation, une chute de pression et de la confusion.

     

    Excès de sodium

    À l’inverse, une consommation excessive de sodium, bien plus fréquente, peut également entraîner des effets indésirables dont l’hypertension artérielle et la perte de masse osseuse (ostéoporose). L’hypertension artérielle constitue un important facteur de risque d’accident vasculaire cérébral, de maladie cardiaque et de maladie rénale. La population générale consomme beaucoup plus de sodium que son réel besoin. Effectivement, la consommation moyenne de sodium sous forme de sel chez les Canadiens varie de 2 200 à 4 100 mg par jour et chez les Français de 2000 à 4800 mg par jour.

    Les individus souffrant d’hypertension, de diabète ou de maladie rénale chronique ainsi que les personnes âgées sont plus susceptibles que le reste de la population de voir leur tension artérielle augmentée à la suite d’un apport élevé en sodium car ils ont une sensibilité au sel plus élevée.

    Fait intéressant, un apport important en potassium augmenterait l’excrétion de sodium dans les urines et atténuerait donc la hausse de la tension artérielle découlant de l’apport excessif en sodium.

    Bien que le chlorure de sodium soit la principale source de sodium alimentaire, d’autres formes se trouvent souvent dans les aliments en tant qu’additifs (glutamate monosodique, benzoate de sodium, nitrite de sodium, pyrophosphate disodique etc.). Le bicarbonate de sodium et le citrate de sodium se trouvent dans de nombreux médicaments de types antiacides.

     

    Réduire son apport en sodium

    • Achetez autant que possible des aliments non salés ou faibles en sodium. Recherchez les mots « sans sodium », « faible en sodium » ou « sans sel ajouté » sur l'emballage.
    • Comparez les étiquettes et choisissez les produits qui contiennent le moins de sodium.
    • Recherchez des aliments dont la teneur en sodium d'une portion est inférieure à 360 mg ou moins de 15%.
    • Achetez des légumes frais ou surgelés autant que possible.
    • Recherchez des légumes en conserve faibles en sodium ou fait sans sel ajouté.
    • Préférez les jus de légumes et de tomates faibles en sodium.
    • Préférez le pain, les céréales pour le petit déjeuner et les craquelins qui sont faibles en sodium.
    • Dégustez divers types de grains, comme l'orge, le quinoa et le riz, qui sont naturellement non salés. 
    • Privilégiez le lait, les boissons au soja enrichies et le yaourt. Ils sont faibles en sodium. 
    • Préférez les viandes, la volaille, le poisson, les fruits de mer et le tofu non assaisonnés.
    • Optez pour des noix non salées.
    • Procurez-vous des haricots secs en conserve faibles en sodium ou essayez les haricots secs, les pois et les lentilles séchés.
    • Choisir des eaux minérales faibles en sodium (˂20 mg  de sodium/litre).
    • Éviter la salière à table. Restreindre le sel et les épices salées à la cuisson (ex : sel d’oignon, sel marin, sel végétal, épices à steak, sauce soya ou tamari, glutamate monosodique).
    • Évitez les repas surgelés et les repas de type fast-food car ils contiennent une très grande quantité de sodium.

    Condiments suggérés pour ajouter du goût

    • Moutarde sèche, poivre
    • Poudre d’oignon ou d’ail
    • Gingembre frais
    • Vinaigre balsamique
    • Fines herbes (basilic, origan, etc.)
    • Épices sans sel
    • Jus de citron

    Références

     

    Recherche et rédaction : Audrey Cyr, nutritionniste
    Fiche créée : octobre 2013

    Références

    Note : les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information désirée.

    Bibliographie

    The American Dietetic Association, Duyff, Roberta Larson. The American Dietetic Association’s Complete Food and Nutrition Guide. Chronimed Publishing, Minneapolis. c1998.
    Institute of Medicine and Food and Nutrition Board. Dietary Reference Intakes for Water, Potassium, Sodium, Chloride, and Sulfate. National Academies Press, Washington. c2004. (www.nap.edu)
    Extenso, Centre de référence sur la nutrition humaine. Le sodium. (18 mai 2005)
    U. S. Department of Health and Human Services. National Institutes of Health, National Heart, Lung, and Blood Institute. JNC 7 Express. The Seventh Report of the Joint National Committee on Prevention, Detection, Evaluation, and Treatment of High Blood Pressure. NIH Publication No. 03-5233. December 2003.
    Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Avis de l’Anses Saisine n°2012-SA-0052).
    Apports nutritionnels de référence, Institute of Medicine (IOM), National Academies Press, Washington D.C, 2006.
    Santé Canada-Vie saine-Sodium. Page consultée en ligne, le 13 septembre 2013 : www.hc-sc.ga.ca
    Statistiques Canada- Consommation de sodium à tous les âges, Rapport sur la santé, volume 18, numéro 2.
    Withney E., Rady Rolfes, S. Understanding Nutrition, 11 ième edition, Thomson Learning, 2008.

     

     
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    5 EXERCICES POUR LUTTER CONTRE LA CELLULITE

     
    S’étirer tous les matins

    9 femmes sur 10 sont touchées par la cellulite. Bien qu’elle soit reconnue depuis plus de 150 ans dans différents ouvrages scientifiques, les causes de cette adiposité ne sont pas encore clairement établies. Plusieurs facteurs sont à prendre en considération pour limiter l’apparition de la cellulite, et notamment la sédentarité car l'activité physique permet de lutter contre le stockage de la masse graisseuse.

    S’étirer tous les matins

    L’une des causes de la cellulite est la rétention d’eau qui se produit lorsque l’organisme emmagasine davantage de liquide qu’il n’en élimine. Le corps d'une personne faisant de la rétention d'eau contiendra plus de 65 % d’eau, alors qu'une personne qui n'en souffre pas en contiendra 50 ou 60%.

    Pour lutter contre la rétention d'eau, certains étirements sont recommandés car ils permettent de drainer les liquides corporels.
     

    La taille. Tenez-vous debout, jambes à la largeur des épaules, puis balancez doucement le torse de la gauche vers la droite puis l’inverse.

    Les fesses et les cuisses. Plusieurs exercices sont possibles. Tout d’abord, asseyez-vous par terre, jambes tendues, et allez saisir les orteils avec les mains. Ensuite, écartez les jambes au maximum de façon à étirer l’intérieur de la cuisse.

    En plus de favoriser le drainage, les étirements allongent les muscles ce qui aura pour effet de répartir la cellulite sur une plus grande surface pour en atténuer l’apparence.

     

    Adopter la méthode Pilates

    Inspiré du yoga, de la danse et de la gymnastique, le Pilates vise à faire travailler les muscles stabilisateurs du corps. Même si les mouvements sont complexes à exécuter, ils sont doux et sans impact sur les articulations. L’ensemble des muscles du corps est utilisé, mais plus particulièrement les abdominaux, les dorsaux et les fessiers. Le Pilates permet d’améliorer la posture tout en définissant la silhouette. L’activation des muscles du bas du corps favorisera la circulation du système lymphatique (= vaisseaux permettant l’écoulement des déchets toxiques) et de l’oxygène, deux problèmes des régions ciblées par la cellulite, selon une étude menée par le Dr Sergio Curri du Centre de biologie moléculaire de Milan (Italie)1.

     

    Tonifier les jambes, les fesses et les abdominaux avec des techniques de musculation

    Une autre arme pour lutter contre la cellulite est la musculation qui raffermit l’ensemble du corps. Des exercices simples permettent de s’y initier à la maison ou en salle de sports. Les principales parties du corps touchées par la cellulite sont les cuisses, les fesses et le ventre. Il faut donc miser davantage sur le raffermissement de ces zones, bien qu’un programme complet d’entraînement musculaire soit à privilégier.

    Voici quatre mouvements à intégrer aux activités quotidiennes :

    Tonifier les fesses. Placez-vous à quatre pattes au sol puis, en alternance, soulevez une jambe en pointant le talon vers le plafond. L’exercice doit être effectué 2 fois à raison de 15 répétitions par jambe.

    Muscler les jambes. Au départ, tenez-vous debout puis descendez les fesses comme si vous vouliez vous asseoir sur une chaise basse. Ensuite, remontez en effectuant un saut. L’action de sauter favorisera la circulation du système lymphatique. L’exercice doit être effectué 2 fois à raison de 15 répétitions.

    Découper les abdominaux. Allongez-vous au sol et tendez les jambes en prenant soin de les soulever légèrement du sol. Ramenez une jambe vers la poitrine en gardant l’autre tendue et ainsi de suite. L’exercice doit être effectué 2 fois à raison de 15 répétitions par jambe.

     

    Faire du vélo régulièrement

    Tous les sports qui stimulent le rythme cardiaque sont recommandés pour contrer la cellulite. Le vélo en fait partie puisqu’il permet à la fois d’améliorer l’endurance cardiovasculaire tout en travaillant les muscles du bas du corps qui sont fortement sollicités lors de ce type d’activité. L’accélération des battements cardiaques favorise une meilleure circulation de l’oxygène et des liquides lymphatiques dans l’organisme, ce qui aidera à diminuer la cellulite à condition de poursuivre cette activité de manière très régulière.

     

    S’adonner à une activité aquatique

    Les activités aquatiques sont nombreuses : aquabike, aquagym, natation, etc. Parmi leurs bienfaits, on note l’absence de transpiration et de chocs sur les articulations ainsi que les propriétés drainantes de l’eau. Les mouvements effectués dans une piscine créent un contre-courant avec l’eau qui produit un massage sur les muscles en activité. Les circulations sanguine et lymphatique sont activées ce qui favorise le déstockage des masses graisseuses indésirables, à condition de poursuivre une activité aquatique 2 à 3 fois par semaine, pendant plusieurs mois.

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  • vivreaujourdhui.com

    HASARD OU INTERVENTION DIVINE ?

     
     
    20 Janvier 2015
     
     

    Sur le moment, une correction ne semble pas être un sujet de joie, mais plutôt une cause de tristesse. Mais par la suite… elle produit un fruit paisible de justice.
    Hébreux 12.11

    Au cours d’un naufrage en pleine mer, un seul survivant échoua sur une île déserte. Il s’ingénia à construire une hutte ; il y abrita tout ce qu’il avait pu sauver. Comme il était chrétien, il suppliait Dieu quotidiennement de le sauver. Il scrutait constamment l’horizon pour signaler sa présence aux navires de passage.
    Un jour, au retour de la chasse, il fut saisi d’horreur : sa hutte était en flammes avec tout ce qu’il possédait. Pouvez-vous réaliser son désespoir ?
    Or, le lendemain, surprise ! Un navire s’approchait de l’île. Arrivé à portée de voix, le capitaine, s’adressant au naufragé, lui dit : « Hier, nous avons aperçu le feu de votre signal. »
    Imaginez la joie du pauvre naufragé ! Le désastre qu’il venait de vivre était en réalité une bénédiction pour lui. Ce que nous pouvons percevoir sur le moment comme un malheur peut cacher la main de Dieu transformant la douleur en grande joie. Nous nous glorifions même dans nos afflictions, sachant que la tribulation produit la persévérance, la fidélité éprouvée et l’espérance.1

    Charles Rick

    1 d’après Romains 5.3-4

     

    HASARD OU INTERVENTION DIVINE ?

    1ère lettre de Pierre 1. 6-7 : "C’est pourquoi vous êtes remplis de joie, même si toutes sortes de difficultés doivent vous rendre tristes pendant un peu de temps. Ces difficultés servent à montrer la qualité de votre foi. L’or peut s’abîmer, pourtant on le met dans le feu, pour voir s’il est pur. C’est pareil pour votre foi. Elle est plus précieuse que l’or, mais elle aussi est mise à l’épreuve. Alors, quand Jésus-Christ paraîtra, vous recevrez honneur, louange et gloire, à cause de la qualité de votre foi."

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  •  passeportsante.net

    Vitamine C

     

     

     
    Vitamine C

    Les meilleures sources de vitamine C

     

     

    Aliments

    Portions

    (mg)        

    1

    Goyave

    125 ml (1/2 tasse)

    199 mg

    2

    Poivron rouge, cru ou cuit

    125 ml (1/2 tasse)

    101-166 mg

    3

    Poivron vert, cru ou cuit

    125 ml (1/2 tasse)

    54-132 mg

    4

    Papaye

    ½ papaye (153 g)

    94 mg

    5

    Kiwi

    1 fruit moyen (76 g)

    71 mg

    6

    Orange

    1 fruit moyen

    70 mg

    7

    Jus d’orange

    125 ml (1/2 tasse)

    43-66 mg

    8

    Mangue

    1 fruit moyen (207 g)

    57 mg

    9

    Brocoli, cru ou cuit

    125 ml (1/2 tasse)

    42-54 mg

    10

    Choux de Bruxelles cuits

    4 choux (84 g)

    52 mg

    11

    Fraises

    125 ml (1/2 tasse)

    52 mg

    12

    Jus de pamplemousse rose ou blanc

    125 ml (1/2 tasse)

    36-50 mg

    13

    Chou-rave cuit

    125 ml (1/2 tasse)

    47 mg

    14

    Pamplemousse rose ou blanc

    ½ pamplemousse

    42 mg

    15

    Jus de légumes

    125 ml (1/2 tasse)

    35 mg

    16

    Ananas

    125 ml (1/2 tasse)

    34 mg

    17

    Cantaloup

    125 ml (1/2 tasse)

    31 mg

    18

    Carambole

    1 fruit moyen (88,9 g)

    31 mg

    19

    Pois verts crus

    125 ml (1/2 tasse)

    31 mg

    20

    Chou-fleur cuit

    125 ml (1/2 tasse)

    29 mg

     

     

    Vos besoins quotidiens en vitamine C

     

                               

    Apport nutritionnel recommandé (ANR)

    Bébés 0-6 mois

    40 mg*

    Bébés 7-12 mois

    50 mg*

    Bébés 1-3 ans

    15 mg

    Enfants 4-8 ans

    25 mg

    Garçons 9-13 ans

    45 mg

    Filles 9-13 ans

    45 mg

    Garçons 14-18 ans

    75 mg

    Filles 14-18 ans

    65 mg

    Hommes 19-50 ans

    90 mg

    Femmes 19-50 ans

    75 mg

    Hommes 50 ans et +

    90 mg

    Femmes 50 ans et +

    75 mg

    Femmes enceintes

    85 mg

    Femmes qui allaitent

    120 mg

    *Apports suffisants

     

    Important

     

    • Les fumeurs devraient augmenter leur apport en vitamine C de 35 mg par jour.
    • Pour plus de précisions concernant l’apport nutritionnel recommandé en vitamine C, consultez la fiche Vitamine C, dans Produits de santé naturels.

     

     

    Recherche et rédaction : Extenso

    Références

    Note : les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information désirée.

    Bibliographie

    Desaulniers M., Dubost, M. Table de composition des aliments. Volumes 1 et 2. Département de nutrition, Université de Montréal. c2003.
    Santé Canada. Fichier canadien sur les éléments nutritifs, version 2001 b.
    U. S. Department of Agriculture (USDA). National Nutrient Database for Standard Reference. (19 janvier 2011).
    Santé Canada, Fichier canadien sur les éléments nutritifs, version 2005.
    Santé Canada. Fichier canadien sur les éléments nutritifs, version 2010
    Houde-Nadeau, Michèle, Apports nutritionnels de référence. (2004) Dans: Chagnon Decelles D, Daignault Gélinas M, Lavallée Côté L et coll. Manuel de Nutrition Clinique, 3e éd. Montréal, Ordre professionnel des Diététistes du Québec, 1997.
    Institute of Medicine and Food and Nutrition Board. Dietary References Intakes for Vitamin C, Vitamin E, Selenium and Carotenoids. Washington, DC: National Academy of Sciences, 2000.
    Santé Canada, Bureau de la politique et de la promotion de nutrition, Direction générale des produits de santé et des aliments. Guide du consommateur pour les ANREF (apports nutritionnels de référence).
    Santé Canada. Apports nutritionnels de référence, version 2008.

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  • vivreaujourdhui.com

    NE PAS SOUFFLER SUR LA BRAISE

     
     
    19 Janvier 2015
     
     

     

    Autant que possible et dans la mesure où cela dépend de vous, vivez en paix avec tous les hommes.
    Romains 12.18

    Apprenons à être conciliants !

    Lorsque la famine sévissait en Israël, Isaac se rendit dans le pays des Philistins, chez le roi Abimélek. L’Éternel le bénit si bien que ses récoltes et son troupeau furent centuplés. Mais les Philistins, jaloux de cette prospérité, lui cherchèrent querelle, contestèrent ses puits et les bouchèrent. Alors Isaac, propriétaire d’un grand troupeau, sans aggraver les disputes, fit creuser plusieurs fois de nouveaux puits. Les Philistins furent bien obligés d’admettre que l’Éternel était avec lui. Isaac leur offrit même un grand festin pour conclure une alliance.
    Qu’aurions-nous fait à sa place ? Aurions-nous recommencé cinq fois le travail sans leur répondre ? De nos jours, chacun est prêt à affirmer ses droits, à les défendre, quitte à sacrifier la paix avec son voisin, son collègue, son frère.
    Un fermier était en mauvais termes avec son voisin chrétien. Celui-ci en souffrit bien que lui ayant offert la paix à plusieurs reprises. Un jour, le voisin découvre la vache dans son jardin, piétiné et brouté par l’animal. Que faire ? Il ramène la vache au fermier :
    – Voilà ta vache et si je la trouve encore à brouter mes choux…
    – Eh bien quoi ? interrompt l’autre excité et croyant à une menace.
    – Eh bien !… je te la ramènerai encore.
    Plus jamais la vache n’entra dans le jardin du voisin et la paix fut conclue entre les deux hommes.

    Charles Rick

     

    NE PAS SOUFFLER SUR LA BRAISE

    Lettre aux Romains 12. 17-21 : "17 Ne rendez à personne le mal pour le mal, cherchez à faire le bien devant tous.18 Autant que possible, si cela dépend de vous, vivez en paix avec tous. 19 Amis très chers, ne vous vengez pas vous-mêmes, mais laissez la colère de Dieu agir. En effet, dans les Livres Saints, le Seigneur Dieu dit : « À moi la vengeance ! C’est moi qui donnerai à chacun ce qu’il mérite ! »  20 Mais il dit aussi : « Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s’il a soif, donne-lui à boire. Alors, si tu fais cela, c’est comme si tu mettais des charbons brûlants sur sa tête. »  21 Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais sois vainqueur du mal par le bien."

     
     
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