• monquotidienautrement.com

    HERBORISTE UN MÉTIER EN VOIE DE DISPARITION ?

     

    Des amis des plantes encore aux frontières de l'illégalité

    Herboristerie
     

    Interdite depuis 1941, la profession d'herboriste n'a pourtant pas dit son dernier mot. Le public, en quête de produits naturels, se tourne à nouveau vers ce métier ancestral. Or, pratiquer cette profession en concurrence directe avec les pharmaciens est sanctionné par la loi et peut mener jusqu'en prison. Certains irréductibles résistent et espèrent une évolution de la législation pour pouvoir pratiquer en paix. Enquête.

    « On ne s'invente pas herboriste », décrète Isabelle Saget, rédactrice en chef de Plantes et Santé. C'est elle qui, en juin dernier, a lancé la pétition récoltant 72000 signatures pour la reconnaissance du métier. « Nous avons affaire à des passionnés qui veulent avoir le droit d'ouvrir une boutique. Des écoles existent comme l'école des plantes médicinales de Lyon ou l'école de plantes de Paris. Mais aucun diplôme reconnu ne peut être délivré, pas plus que le droit de pratiquer ce métier en toute légalité ». Incroyable mais vrai, les herboristes que vous connaissez sont hors la loi !

    Herboriste, une querelle d'apothicaire ?

    Sous le régime de Vichy, le diplôme d'herboriste a disparu. Avec, comme conséquence, l'interdiction de pratiquer cette discipline ou d'ouvrir une boutique. A l'origine de cette mesure ? La pression de l'Ordre des pharmaciens qui, depuis, n'a toujours pas changé d'avis sur le sujet : les pharmacies veulent garder le monopole de la vente de plantes médicinales. A l'époque de Pétain, les diplômés d'avant 1941 avaient certes gardé le droit de pratiquer, mais ils se sont éteints les uns après les autres. La poignée d'herboristes exerçant aujourd'hui a un diplôme de pharmacien pour la plupart (avec 30 heures de formation sur les plantes) ou une formation sur les plantes médicinales. Ils exercent pourtant leur métier dans le flou juridique le plus total.

    Herboriste, un métier à haut risque ?

    A Paris, dans l'une des plus anciennes herboristeries de la capitale, les employés ont peur et préfèrent rester discrets. « Nous sommes menacés de fermeture très régulièrement et nos patrons risquent gros », nous dit Helena (son prénom a été changé). Pourtant, derrière ses flacons bien rangés sur les étagères, la boutique n'a pas l'air d'un repaire de hors la loi : « Nous vendons exclusivement des plantes légales ». Ces fameuses herbes dont parlent Helena, ce sont ces 148 plantes qui ont été "libérées" dans le domaine public en 2011 par décret et peuvent ainsi « être vendues par des personnes autres que les pharmaciens » (face à 338 plantes en pharmacie). Oui mais pas dans une herboristerie ! Surtout que si cette « libération » est une avancée, elle n'est pas suffisante pour obtenir la reconnaissance d'un savoir-faire et d'une passion ni celle d'un statut dans un cadre légal clair. Une astuce permettrait de mettre hors de danger les pratiquants. Il s'agirait tout bonnement de rebaptiser la boutique autrement. Mais il en est hors de question pour ces professionnels, attachés à leur titre.

    En France, défendus par Jean-Luc Fichet (sénateur PS de 2008 à septembre 2014), les herboristes ont bien eu droit a une proposition de loi, mais le projet a capoté quand cet homme politique n'a pas été réélu. Au niveau européen, la question reste en suspens. Et, face à un marché du complément alimentaire (à base de plantes) en pleine expansion, on a du mal à imaginer quelques centaines d'herboristes faire le poids face aux très puissants lobbys pharmaceutiques.

    Le public en prend de la graine

    L'enjeu majeur de l'encadrement de la profession d'herboriste va d'abord en faveur de son public. Méfiance grandissante face à des molécules qu'ils ne connaissent pas, frilosité face aux pilules « miracles » mais aussi désir de profiter au maximum des bienfaits de médecines plus naturelles, l'engouement face à la prévention par les plantes est grandissant. D'autant plus que celles-ci coûtent moins cher que les médicaments. Quant aux éventuels dangers d'une mauvaise prescription, Isabelle Saget se veut rassurante. « Les plantes sont peu transformées, elles sont majoritairement utilisées en tisane. Au pire, on vous conseillera de la menthe pour un mal de ventre. Mais c'est tout ce que vous risquez ».

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  • passeportsante.net

    Des cheveux beaux et sains au naturel

     

    Masques, shampoings, bons gestes… découvrez comment prendre soin efficacement de vos cheveux… au naturel !

    Si vous ne souhaitez pas avoir recours aux produits capillaires qu’on trouve dans le commerce, des méthodes naturelles simples pour avoir de beaux cheveux existent et sont très efficaces.  L’argile donne par exemple de très bons résultats sur les cheveux à tendance grasse, et l’huile d’argan, sur les cheveux secs.

    Pour les cheveux à tendance grasse…

    Dans un bol, mettez 2 cuillères à soupe (ou à thé) d’argile verte. Incorporez un peu d’eau et mélangez jusqu’à l’obtention d’une pâte légèrement épaisse et homogène. Ajoutez ensuite 2 gouttes d’huile essentielle d’ylang-ylang pour ses propriétés fortifiantes. Faites ensuite une raie sur le milieu des cheveux et appliquez le masque directement sur le cuir chevelu. Massez pour bien répartir le produit. Faites ensuite une autre raie sur le côté et répétez l’opération. Continuez jusqu’à ce que le masque soit appliqué sur tout le cuir chevelu. Laissez poser 15 minutes et rincez abondamment. Faites ensuite vos shampoings habituels.


    Pour les cheveux secs…  

    L’huile d’argan a d’excellentes vertus nourrissantes, ce qui convient parfaitement aux cheveux plutôt secs.  Il suffit d’appliquer l’huile d’argan directement sur les pointes. Attachez vos cheveux et laissez poser 30 minutes au minimum. Rincez et faites vos shampoings habituels.

     

    En poudre ou en comprimés, la levure de bière est excellente pour les cheveux. Riche en vitamines du groupe B (B1, B2 et B9), en vitamine E, en zinc et en sélénium, elle permet de fortifier les cheveux et d’apporter de la brillance. Ces vitamines et nutriments permettent également de limiter la chute de cheveux si cette dernière est liée à une carence.

    Comment la consommer ?

    En poudre, prenez 2 g de levure de bière, trois fois par jour pendant le repas. Vous pouvez la saupoudrer sur vos plats ou la mélanger avec un peu d’eau. Vous pouvez également la prendre sous forme de capsules ou en comprimés, à raison de trois, trois fois par jour.

     

    Eviter de se laver les cheveux tous les jours. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, laver ses cheveux tous les jours accélère la production de sébum, ce qui rend les cheveux gras plus rapidement. L’idéal est de les laver au maximum deux fois par semaine.

    Se couper les cheveux toutes les 6 à 8 semaines. Couper ses cheveux régulièrement permet d’avoir une pousse plus nette et d’éliminer les fourches disgracieuses.

    Rincer abondamment à l’eau tiède afin de ne pas alourdir les cheveux après le shampoing. Finissez à l’eau froide pour lisser les écailles de la fibre capillaire et donner à vos cheveux plus de brillance.

    Ne pas mettre le sèche-cheveux trop près car il risque de les brûler. Séchez vos cheveux si possible à l'air froid.

    Bannir les brosses synthétiques qui abîment et cassent les cheveux, et préférer les brosses en poils naturels ou en picots en bois.

     


    Un masque naturel antipelliculaire…

    Dans un bol, mélangez un peu d’eau et 2 cuillères à soupe (ou à thé) de vinaigre de cidre. Appliquez directement sur le cuir chevelu et enroulez vos cheveux dans une serviette propre et sèche. Laissez poser 15 minutes, rincez abondamment et appliquer un shampoing antipelliculaire.

    Un shampoing antipelliculaire…

    Dans une noisette de shampoing neutre, ajoutez 2 à 3 gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus ou de tee-tree (arbre à thé), connues pour leurs vertus apaisantes et assainissantes. Massez le cuir chevelu et laissez poser deux minutes au maximum, le temps de laisser l’huile essentielle agir. Rincez abondamment.

     


    Il est conseillé de faire 2 shampoings. Le premier élimine les impuretés, ce qui permet au deuxième shampoing d'avoir une plus grande efficacité.

    Alterner un shampoing adapté à votre type de cheveux avec un shampoing neutre et doux. Les shampoings ont des principes actifs de plus en plus complets. Néanmoins, ils peuvent à la longue agresser le cheveu et perdre en efficacité.

    Après lavage, ne pas essorer les cheveux trop fort, ni les brosser la tête à l’envers, au risque de casser les cheveux.

    Shampoing naturel : comment faire ?

    Il est de plus en plus facile de trouver dans le commerce des produits capillaires sans parabènes, sans sulfates et sans silicones, des substances chimiques.

    Il existe également des shampoings neutres à base de produits naturels. Il suffit de rajouter 2 à 3 gouttes d’huile essentielle (HE) pour obtenir un shampoing bio adapté à votre type de cheveux :

    • Cheveux gras : HE de bergamote ou de citron
    • Cheveux secs : HE géranium
    • Cheveux normaux : HE d’ylang-ylang
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  • STUPÉFACTION "vivreaujourd'hui.com"

     
     
    5 Novembre 2014
     

    Si quelqu’un… veut prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau.
    Matthieu 5.40

    Le père de l’évangéliste italien Erino Dapozzo avait réussi à monter une petite entreprise de construction, en région parisienne, peu avant la guerre de 1939.
    Grande fut la surprise du jeune Erino, en rentrant un soir chez lui, de constater que des inconnus étaient en train de charger sur leur camionnette, planches et madriers dont son père se servait pour des coffrages de béton.
    Que faire ? Christ son maître, n’a-t-il pas préconisé de répondre dans un tel cas par une attitude apparemment illogique ?1 Ne pas résister au méchant, ne pas l’empêcher de se servir, d’ajouter même un cadeau supplémentaire ? Erino vit là une excellente occasion d’appliquer les ordres du Christ. Non seulement il donna un coup de main aux voleurs, mais il les invita à descendre avec lui dans sa cave pour leur servir à boire.
    – Comment connais-tu si bien cette maison ?, le questionnèrent-ils.
    – Eh bien, je suis chez moi, leur répondit-il, à leur grande stupéfaction.
    L’un d’eux en eut le cœur touché, il devint croyant et même plus tard serviteur de Dieu.
    Notre façon d’agir est-elle inspirée par l’amour, et non par la pensée de défendre nos droits ou nos intérêts ? Avouons que ce n’est pas facile. Dieu seul peut mettre un tel amour dans notre cœur.

    D’après un témoignage de E. Dapozzo, adapté par Charles Rick
    1 cf. verset de l’en-tête

     

    STUPÉFACTION

    Évangile selon Matthieu 5. 38-42 : "38 « Vous avez appris qu’on a dit : “Œil pour œil et dent pour dent.”  39 Mais moi, je vous dis : si quelqu’un vous fait du mal, ne vous vengez pas. Au contraire, si quelqu’un te frappe sur la joue droite, tends-lui aussi l’autre joue. 40 Si quelqu’un veut te conduire au tribunal pour prendre ta chemise, laisse-lui aussi ton vêtement. 41 Si quelqu’un te force à faire un kilomètre à pied, fais-en deux avec lui. 42 Quand on te demande quelque chose, donne-le. Quand on veut t’emprunter quelque chose, ne tourne pas le dos. »

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  • enseignemoi.com

    Donner plus de valeur aux choses de la vie de tous les jours

     

    4 Novembre 2014

     

    Dans notre désir légitime de toujours vouloir vivre plus et mieux nous oublions, souvent, de donner suffisamment de valeur aux choses de la vie de tous les jours et surtout aux gens qui la composent ainsi qu'à nous-même.
    Voilà un message qui m'a trotté dans la tête durant tout une nuit et que j'ai mis en place le matin en me levant. Il est important de donner plus de valeur aux choses de la vie de tous les jours. Justement parce qu'elles forment notre vie de tous les jours. Nous sommes plus confrontés aux petites choses de la vie dans une journée qu'à de grandes envolées spectaculaires. Nous sommes souvent tellement obnubilés par le but que nous voulons atteindre, que nous en oublions facilement, soit d'apprécier ou de valoriser les choses qui font notre vie en attendant d'atteindre ce but. Notre but peut être d'avoir un meilleur travail, ce peut être de gagner plus d'argent, peut- être d'avoir plus de temps pour servir Dieu, d'être en meilleure santé, ce peut être aussi de guérir nous-mêmes les malades en grand nombre et de ressusciter les morts, d'être un témoin puissant de Jésus-Christ. Et, alléluia, chacun de ces objectifs est légitime et à rechercher ! Mais ils peuvent nous prendre tellement la tête au bout d'un moment qu'on en devient obsédés et que nous avons l'impression que tant que nous n'en sommes pas là nous n'avons pas réussi grand- chose.

    Pire,on va négliger et compter sans grande importance les choses, voir les gens, qui sont sur le chemin qui mène où nous voulons arriver. Plusieurs prédicateurs, visionnaires, obsédés par réussir dans leur ministère, en ont oublié que leur premier ministère c'était leur femme et leurs enfants. Certains obsédés par être un jour à une place où ils pourront donner pour bénir un grand nombre en ont oublié de donner les 10 € qui auraient pu bénir quelqu'un pour la journée. 

    Le monde chrétien est rempli de gens qui ont de grandes visions pour « demain » et qui sont complètement inefficaces et improductifs dans ce qui fait leur vie aujourd'hui. Ils vivent avec « un jour.... ». Et d'ailleurs, pour un grand nombre ce jour ne vient jamais.

    Cette attitude, qui devient facilement la nôtre à chacun, Si nous ne veillons pas, engendre rapidement une déception continuelle et amène à la dépression. Nous ne sommes jamais contents avec ce que l'on a, car notre esprit est trop pris par ce que l'on voudrait avoir. Bref on se retrouve à oublier ce que l'on a, trop déçus par ce que l'on n'a pas encore! Attention, car si on n'atteint jamais le but, on se retrouvera à n'avoir ni profité de ce que l'on n'a pas eu ni de ce que l'on avait. On va oublier de voir Dieu aujourd'hui, trop pris par le désir de le voir agir demain. Surtout, ce qui va développer le sentiment d'inutilité et de découragement est qu'on ne verra pas le regard que Dieu a sur nous aujourd'hui, sur ce que nous faisons. Vous voulez tellement vivre un réveil que vous ne valorisez pas la valeur des petits témoignages pourtant si importants. Si vous vous occupez d'une personne handicapée dans votre famille, par exemple, l'idée qu'elle pourrait ou devrait être guérie (qui n'est pas remise ici en question) peut vous donner le sentiment de faire juste un travail palliatif à ce but. L'adversaire va essayer de vous donner le sentiment que Dieu vous regarde un peu avec condescendance, avec un raisonnement culpabilisateur même, du style : « tu n'as pas assez de foi pour la guérison donc on va faire avec ». Or, la réalité est que Dieu va considérer, apprécier, notersi je puis dire le don de vous-même que cela nécessite. L'effort, la souffrance que vous devez gérer, le fait que vous ne l'accusez pas d'être le fautif de cette situation (comme Satan tente chaque jour les gens de croire), le sacrifice que cela entraîne, etc.

    Dieu valorise votre fonction! Il la montre en exemple aux anges (qui sont instruits à travers l'Eglise nous dit un verset). Changer votre regard par celui de Dieu sur vous! Car nous avons tous besoin d'être valorisés pour pouvoir avancer. Prenons un autre exemple : vous n'avez pas ou plus de mari et votre solitude vous pèse tellement que vous faites subir votre mauvaise humeur à votre enfant, qui lui est avec vous tous les jours. Ou bien, vous n'avez pas de travail et c'est votre femme qui subit toutes vos frustrations. Ce que vous n'avez pas vous empêche d'apprécier ce que vous avez ! Et attention, car la frustration de ce que vous n'avez pas risque de vous ôter ce que vous avez si vous ne veillez pas. La mauvaise manière dont vous gérez ce que vous avez risque de vous le faire perdre. Si bien, que vous risquez de finir sans ce que vous vouliez avoir, mais aussi sans ce que vous aviez parce que vous l'aurez perdu.

    Être un bon mari, un bon père, c'est tout un programme et un défi. C'est glorieux d'y travailler chaque jour. Réussir ce défi ce n'est pas juste avoir fait de la figuration sur l'échiquier de la vie. C'est avoir gagné la terrible lutte qui fait rage contre notre égoïsme, notre stupidité innée d'homme, c'est noble !

    Avoir rendu quelqu'un heureux, avoir pris soin du conjoint ou des enfants que Dieu nous a confiés, leur avoir manifesté un amour indéfectible a beaucoup de valeur vu du ciel et sera récompensé. Ne pas l'avoir fait, entraîne des conséquences graves dans la vie des chrétiens, un jugement de Dieu. Beaucoup ne l'ont pas réalisé, alors même qu'ils sont  regardés par les gens comme de "grands serviteurs de Dieu". On peut-être une femme au foyer qui est un rayon de soleil pour ses voisins, pour sa famille et être considérée comme une vaillante guerrière. Pourquoi ? Parce qu'être un rayon de soleil dans un monde de tant de ténèbres, c'est un exploit, c'est le fruit d'un combat spirituel puissant. Un verset dit : « Que sert-il a un homme de gagner le monde s'il perd son âme ». Sur le même schéma de pensée on peut dire : « Que sert-il à un homme d'avoir un grand ministère s'il a perdu sa femme et ses enfants en cours de route ? » « Que sert-il à quelqu'un de vouloir sauver le monde, parler de l'amour de Dieu à tous s'il ne maîtrise pas son propre caractère ».  Que sert-il à quelqu'un de chercher Dieu dans de grandes choses s'il ne sait pas le reconnaître dans les petites choses de la vie de tous les jours. Que sert-il de chercher l'approbation de Dieu pour un grand projet si on n'arrive pas à discerner cette approbation pour les petits de chaque jour.

    La vie est un combat, vous avez remarqué ? Ce combat il est chaque jour : contre nos mauvais penchants, notre caractère, notre égoïsme, les évènements, les paroles, le manque, etc. C'est un exploit de surmonter tout cela et d'être vainqueur. N'oubliez pas aujourd'hui de donner plus de valeur à votre vie de tous les jours, ainsi qu'aux choses et surtout aux gens qui la composent, ainsi qu'à vous-même.

    Claude & Julia Payan

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  • LES PINCEAUX D'UN MANCHOT "vivreaujourd'hui.com"

     
     
     
     
    3 Novembre 2014
     

    Mieux vaut pour toi entrer dans la vie boiteux ou manchot, que d’avoir deux pieds ou deux mains et d’être jeté dans le feu éternel.
    Matthieu 18.8

    « Je vais mourir d’orgueil. C’est la première fois de ma vie que je trouve que j’ai fait quelque chose de beau », disait Yves de Kerouallan aux amis qui avaient organisé une exposition de ses peintures. Cependant, ce modeste peintre breton est un exemple de courage pour tous. À l’âge de 21 ans, en 1916, il perd son bras droit lors de la bataille de la Somme. C’est donc manchot qu’il va entrer dans la vie après la guerre. Enfant, il voulait être sculpteur, mais il faut deux bras pour tenir le ciseau et le marteau ! Malgré son handicap, il s’inscrit à l’école des beaux-arts. Puisqu’une main suffit pour tenir un pinceau, il sera peintre et transmettra la passion de son art à ses élèves. L’amputation d’Yves de Kerouallan lui valut d’échapper au feu meurtrier de la guerre et d’y survivre.
    Nos mauvais comportements, à leurs débuts, ressemblent à de vilaines verrues. Mais ils finissent par prendre la place d’un membre gangréneux qui infecte toute notre vie. L’amputation est alors nécessaire.
    Jésus nous invite à rompre radicalement avec tout péché pour ne pas être jetés dans le feu d’un éternel regret. Puisons donc dans la Bible le courage de rompre avec ces habitudes qui nous rendent esclaves, et nous découvrirons une nouvelle vie avec Jésus.

    Alain M.

     

    LES PINCEAUX D'UN MANCHOT

    Évangile selon Matthieu 18. 1-9 : "1 À ce moment-là, les disciples s’approchent de Jésus et lui demandent : « Qui est le plus important dans le Royaume des cieux ? » 2 Jésus appelle un enfant, il le place devant eux 3 et il dit : « Je vous l’affirme, c’est la vérité : si vous ne changez pas pour devenir comme des enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des cieux. 4 Donc, si quelqu’un se fait petit comme cet enfant, il sera le plus important dans le Royaume des cieux. 5 Et si quelqu’un reçoit un enfant comme celui-ci, à cause de moi, c’est moi qu’il reçoit. »

     6 « Supposons ceci : quelqu’un fait tomber dans le péché l’un de ces petits qui croient en moi. Eh bien, il vaut mieux qu’on attache une grosse pierre au cou de cette personne et qu’on la jette au fond de la mer. 7 Quel malheur ! Dans le monde, il y a tant d’occasions de tomber dans le péché ! Bien sûr, ces occasions existeront toujours. Mais malheur à la personne qui provoque ces occasions !
     8 « Si ta main ou ton pied te font tomber dans le péché, coupe-les et jette-les loin de toi. Pour toi, il vaut mieux entrer dans la vraie vie avec une seule main ou un seul pied. C’est mieux que de garder tes deux mains et tes deux pieds et d’être jeté là où la souffrance brûle toujours comme un feu. 9 Si ton œil te fait tomber dans le péché, arrache-le et jette-le loin de toi. Pour toi, il vaut mieux entrer dans la vraie vie avec un seul œil. C’est mieux que de garder tes deux yeux, et d’être jeté dans le feu du lieu de souffrance. »
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  • JE N'Y ARRIVERAI JAMAIS ! "vivreaujourd'hui.com"

     
     
    2 Novembre 2014

     

    Je vous donnerai un cœur nouveau et je mettrai en vous un esprit nouveau, j’enlèverai de votre être votre cœur dur comme la pierre et je vous donnerai un cœur de chair.
    Ézéchiel 36.26

    J’avais sept ans. Suite au cours d’histoire sur les Normands, l’institutrice nous avait demandé de dessiner un drakkar dans notre cahier, comme devoir à faire à la maison. Mes coups de gomme succédaient à mes essais maladroits. Tout à coup, j’ai éclaté : « Je n’y arriverai jamais ! »
    Qui n’a pas dans, un moment de découragement, prononcé ces mots après des efforts répétés demeurés stériles ? Mais parfois il suffit de se l’avouer et de se tourner vers quelqu’un de plus compétent pour trouver l’aide utile, pour être conseillé ou tout simplement tiré d’affaire…
    Qui n’a pas fait aussi tous ses efforts pour vivre sans retomber toujours dans les mêmes travers, pour ne plus pécher, mais en constatant sa totale incapacité ? L’apôtre Paul l’a exprimé ainsi : Je ne fais pas le bien que je veux, mais le mal que je ne veux pas, je le commets. Malheureux que je suis ! Qui me délivrera de ce corps voué à la mort ?1
    Mais il n’y a pas là de fatalité. Une chose est sûre : nous ne pouvons pas y arriver par nous-mêmes. Nous avons besoin d’être changés.
    Si nous reconnaissons notre faiblesse devant Dieu, il nous accorde son secours. Celui qui croit en Jésus-Christ reçoit la vie nouvelle par son Esprit. L’apôtre s’est écrié : Dieu soit loué : c’est par Jésus-Christ notre Seigneur !1

    Albert L.

    1 Romains 7.19,24,25

     

    JE N'Y ARRIVERAI JAMAIS

     

    Job 22. 21-28 : "21 « Fais donc la paix avec Dieu, et tout ira bien. Tu connaîtras de nouveau le bonheur. 22 Accepte l’enseignement que Dieu te donne, et mets ses paroles dans ton cœur. 23 « Si tu reviens vers le Tout-Puissant, il te rendra le bonheur. Éloigne-toi de tout ce qui est mauvais. 24 Jette ton or par terre ou abandonne ton or pur parmi les pierres du torrent. 25 Le Tout-Puissant sera pour toi une montagne d’or et d’argent. 26 « Alors tu trouveras ta joie dans le Dieu tout-puissant et tu le regarderas avec confiance. 27 Quand tu le prieras, il t’écoutera, et tu pourras faire pour lui ce que tu as promis. 28 Tout ce que tu décideras de faire réussira, et ta route sera bien éclairée."

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  • PAS DE PANIQUE, CE N'EST QU'UN TEST  !



    1er Novembre 2014

     

    PAS DE PANIQUE, CE N'EST QU'UN TEST

     Mes frères et mes sœurs chrétiens, quand vous rencontrez des difficultés de toutes sortes, soyez très heureux. Vous le savez, si votre foi reste solide dans les difficultés, celles-ci vous rendent plus résistants. Il faut que vous résistiez jusqu’au bout, alors vous serez vraiment parfaits et vous ne manquerez de rien. Jacques 1. 2-4

     

    Il existe un texte dans la Bible qui dit : "Dans le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions" (Jean 16:33, Parole vivante). Je suis sûre que la plupart des gens seraient d’accord avec cette affirmation. La partie encourageante se trouve dans la suite du verset, où Jésus nous invite à prendre courage, parce qu’il a vaincu le monde. La vérité est que nous traversons tous des moments difficiles, et nous devons apprendre à les surmonter en Christ.

    Parfois, Dieu permet ou même provoque des circonstances douloureuses dans notre vie, parce que c’est dans ces moments que nous grandissons dans notre foi et dans notre ressemblance à Christ. Les épreuves révèlent ce que nous croyons réellement et ce qui est véritablement au fond de notre cœur. Elles agissent comme un test. Et tant que nous ne sommes pas au pied du mur, nous n’avons aucune idée de ce que sera notre réaction.

    Jacques 1:2 (Colombe) nous dit de considérer "comme un sujet de joie complète" les épreuves ou les tentations auxquelles nous sommes confrontés. Le verset 3 poursuit en affirmant que "la mise à l’épreuve de [notre] foi produit la patience" (Colombe). Qui n’aimerait pas être patient et résistant au milieu des épreuves ? 

    Je me souviens de l’époque où je me fâchais et me plaignais dès que les choses ne se passaient pas comme je le voulais. Je n’avais pas la paix et j’étais émotionnellement instable. Les épreuves que je traversais faisaient ressortir la jalousie, la confusion et les attitudes négatives de mon cœur. Mais au fil des ans, alors que j’étudiais la Parole et apprenais à faire confiance à Dieu, les qualités et la nature de Christ ont grandi en moi. Je suis aujourd’hui beaucoup plus patiente et mon attitude au milieu des difficultés n’est pas très différente de ce qu’elle est en temps normal. Mais il m’a fallu de nombreuses épreuves pour en arriver là.

    La volonté de Dieu est que nous demeurions dans la paix et que nos décisions soient empreintes de sagesse dans toutes les situations. Nous pouvons faire face à nos épreuves avec joie si nous comprenons que c’est grâce à elles que nous apprenons à vivre dans la paix, la joie et la sagesse de Dieu en tout temps – quelles que soient les circonstances.

    Alors, comment passer nos tests avec succès ? Quelles tentations pouvons-nous rencontrer lorsque nous traversons une situation vraiment difficile ? En voici quelques-unes des plus courantes :

     

    1. Nous pouvons être tentés de revenir à une vieille habitude ou dépendance dont Dieu nous avait libérés. Quand j’ai arrêté de fumer, j’ai traversé une période où le besoin de cigarette se faisait sentir chaque fois que j’étais contrariée ou tendue. Si vous avez été délivré de certaines attitudes ou assuétudes, le diable essaiera de vous faire retomber dans ces anciens travers lorsque vous vivrez des moments difficiles. Soumettez-vous à Dieu, humiliez-vous devant lui et il vous donnera la force de résister à la tentation.


    2. Nous pouvons être tentés de nous mettre en colère contre Dieu ou d’en vouloir à ceux qui n’ont pas les mêmes problèmes que nous ou qui possèdent des choses que nous aimerions avoir, surtout si nous pensons qu’elles nous rendraient la vie plus facile. Nous sommes alors amenés à nous plaindre. Or Dieu ne veut pas que nous nous plaignions, parce qu’une telle attitude est plus destructrice que nous ne l’imaginons. Aussi, quand vous êtes tenté d’en vouloir à Dieu ou aux autres et de vous plaindre, décidez plutôt de le louer et de le remercier pour sa bonté dans votre vie.


    3. Les épreuves peuvent nous amener à nous indigner et à prononcer des paroles comme : "Pourquoi cela m’arrive-t-il ? Je ne comprends pas, pourquoi moi !" Nous ne réagissons pas ainsi lorsque ce sont les autres qui ont des problèmes, et nous avons tôt fait de leur dire : "Faites simplement confiance à Dieu et tenez bon." Au lieu de nous lamenter et de demander pourquoi nous subissons telle épreuve, pensons plutôt : "Pas de panique… ce n’est qu’un test." Sachons que ce mauvais moment finira lui aussi par passer. Et nous le vivrons de façon plus sereine et plus stable si nous croyons que Dieu agit selon ce qui est le meilleur pour nous, au bon moment et à sa manière.


    4. Nous pouvons également être tentés de prendre les choses en main. Vous est-il déjà arrivé de penser : "Je ne vais plus supporter ça une minute de plus ! Je vais faire quelque chose pour que ça cesse !" En décidant d’agir par nous-mêmes, nous retardons ou passons à côté de la bénédiction de Dieu. Soyons plutôt déterminés à faire confiance à Dieu et à attendre son intervention.

     

    Dieu vous aime et il a un plan merveilleux pour votre vie. Lorsque survient un moment difficile, croyez qu’il a le contrôle de la situation et qu’il fera tourner toutes choses à votre bien. La prochaine fois que Dieu vous mettra à l’épreuve, dites-lui : "J’ai confiance en toi. Ce que je vis est bon pour moi. Je n’aime pas ça, mais je sais que tu en feras sortir du bien." Votre attitude vous rapprochera de Dieu et une fois l’épreuve derrière vous, vous le remercierez de vous l’avoir envoyée pour faire grandir l’image de Christ en vous.

    Joyce Meyer

     

     

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