• Quels sont les bienfaits des graines ?

     

    Graines de chanvre, de sésame, de lin et de chia... Bien que différentes, ces graines ont toutes un point commun : elles possèdent des vertus thérapeutiques et diététiques. Découvrez quels sont les bienfaits de ces graines…

    La graine de sésame : une petite graine aux grands bienfaits

    La graine de sésame : une petite graine aux grands bienfaits

    Utiles pour décorer les plats et les pâtisseries, les graines de sésame sont très appréciées pour leurs vertus et leurs bienfaits. Cultivées en Asie, c’est au Moyen-Orient qu’elles ont le plus de succès.
    Leur petite taille rend insoupçonnable l'excellente teneur en vitamines, en fer, en antioxydants et en protéines qu'elles renferment. Le sésame est une plante oléagineuse, cela veut dire que ses graines sont riches en lipides et en acide gras essentiels qui ne sont pas synthétisés naturellement par l'organisme.

    Les graines de sésame participent alors à la protection des membranes cellulaires vis à vis des radicaux libres liés au stress oxydatif. Elles préviennent l’organisme des maladies cardiovasculaires, de certains cancer et du diabète de type 2. Leur pouvoir antioxydant est rendu possible grâce à leur composition en gamma-tocophérol. Aussi, leur teneur en vitamine E pourrait réduire les risques de certains cancers.

    Leur richesse en lignanes (= elles appartiennent à la famille des phytoestrogènes) a un impact sur les oestrogènes, les hormones sexuelles féminines.  Elles pourraient diminuer le risque de certains cancers en réduisant le taux de ces hormones durant la période post-ménopause des femmes1.

    Riches en fibres alimentaires, les graines de sésame optimisent le transit intestinal et jouent un rôle dans l’absorption des glucides et des lipides, ce qui pourrait influencer la baisse du cholestérol.

    On peut profiter des bienfaits des graines de sésame en agrémentant ses salades, poissons ou viandes et les ajouter à de nombreuses pâtisseries. Il existe ainsi des quantités de recettes à base de graines de sésame.

    Il faut cependant être vigilant, le sésame est recensé comme étant un des dix principaux allergènes alimentaires2. Si vous observez une réaction allergique, n’hésitez pas à vous rendre auprès de votre professionnel de santé.

    Sources
    1. Cancer, extenso.org, consulté le 13/06/14
    2. Sésame : un des dix allergènes alimentaires, santé canada.
    3. Oléagineux. Encyclopaedia Universalis
    4. Végétarisme, Santé et Service sociaux Québec, santé canada

     

     

    Les bienfaits de la graine de chanvre

    Les bienfaits de la graine de chanvre

    Les graines de chanvre sont issues de la plante que l’on nomme « la plante de la marijuana ». Cela dit, les graines destinées à la consommation ne sont pas concentrées en THC (Tétrahydrocannabinol) et il ne s’agit pas de substances comestibles psycho-actives.

    Par ailleurs, leurs vertus sont nombreuses. Leur teneur en fibres alimentaires insolubles fait qu’elles se digèrent facilement.

    Les acides gras essentiels insaturés ne sont pas synthétisés naturellement par l’organisme et pourtant ils sont vitaux. Il est donc primordial de les trouver dans l’alimentation. Les graines de chanvre sont une bonne option car elles contiennent des acides gras essentiels polyinsaturés, parmi lesquels des oméga-3 et des oméga-6. Elles contribueraient alors à baisser le taux de cholestérol, à prévenir les maladies cardiovasculaires, à renforcer le système immunitaire et à préserver les membranes cellulaires du système nerveux. Aussi, leur composition en acides aminés essentiels favoriserait la production de protéines qui assistent les fonctions de l’organisme et le renouvellement cellulaire.
    L’apport en lipides de ces graines de chanvre optimiseront le bon fonctionnement de l’énergie et veilleront à son stockage et à sa régulation.

    Au menu, la texture croquante et leur goût noisette se marieront très bien avec des salades de saison. En cuisine, les graines de chanvre se marient avec de nombreux plats, n’hésitez donc pas à concocter vos propres recettes.

    Sources
    1. Rue du chanvre, le portail de l’industrie du chanvre
    2. Le chanvre industriel au Québec : un guide de production
    3. Autres aliments, le chanvre, extenso.org, consulté le 13/06/14

     

     

    La graine de lin, la graine dédiée aux femmes

    La graine de lin, la graine dédiée aux  femmes

    Le lin est déjà reconnu pour ses fibres textiles, mais saviez-vous que les graines de lin possèdent encore bien d’autres avantages ?
    Leur richesse en fibres optimise le transit intestinal et leur capacité d’absorption d’eau augmente la taille des selles, ce qui favorise l’évacuation fécale.

    Laxatif naturel, la graine de lin peut soulager les douleurs abdominales et les troubles intestinaux.
    L’huile de graine de lin est largement concentrée en acide gras insaturés oméga-3. Cette source est vitale et elle serait bénéfique pour réduire le taux de cholestérol, préserver les cellules du système nerveux et prévenir les troubles cardiovasculaires.

    De plus, sa composition en acide gras essentiels oméga-6, dont la plupart appartiennent à la famille de l’acide linoléique, améliore l’élasticité de la peau et son hydratation.

    Les lignanes, des phytoestrogènes contenus dans les graines de lin, réduiraient l’augmentation du taux d'œstrogène des femmes après la ménopause. Ainsi, elles préviendraient les risques de développer un cancer du sein. Les lignanes sont également bénéfiques au maintien du cœur.

    Après toutes ces informations, il n’y a que des bonnes raisons d'ajouter les graines de lin à l’alimentation du quotidien !

     

    Sources
    1. La phytothérapie de A à Z, la santé par les plantes, éditions alpen.
    2. Cancer, les graines de lin protègent les femmes post-ménopausées du cancer du sein, extenso.org, consulté le 13/06/14

     

     

    La graine de chia est riche en oméga 3

    La graine de chia est riche en oméga 3

    Les graines de chia proviennent de la plante Salvia Hispanica. Il existe des graines claires et foncées et leur goût varie en fonction de l’intensité de la couleur.  Elles sont notamment connues en Amérique Latine. Mais, quelles sont leurs valeurs nutritives ?

    Les oméga-3 ne sont pas synthétisés naturellement par l’organisme, on doit alors les trouver dans l’alimentation. En général, les aliments consommés quotidiennement apportent plus d’oméga-6 que d’oméga-3. Pour équilibrer leur apport, il faut savoir identifier quels aliments sont riches en oméga-3.
    Les graines de chia en font partie. Pour 15 ml de graines de chia, on obtient ainsi 2,45 grammes d’acides gras alpha-linolénique (AAL).1

    Seules, les graines de chia n’apportent pas l’ensemble des types d’oméga-3 essentiels à l’organisme. C’est pourquoi, il est important de varier sa consommation en aliments riche en oméga-3 et d’opter pour les poissons gras comme le saumon, le thon ou encore le maquereau sans trop en abuser, au risque d’augmenter l’apport en matières grasses.

    Leur teneur en fibres alimentaires solubles et insolubles aide le transit intestinal et la prévention des maladies cardiovasculaires, du diabète de type 2 et de certains cancers. Pour 15 ml de graines de chia, on obtient 4 grammes de fibres alimentaires1.

    En matière de cuisine, les graines de chia peuvent être utilisées pour des mets multiples et variés…

    Sources
    1. Le chia : la graine miracle, extenso. Org consulté le 13/06/2014

     

    Source : passeportsanté/quels sont les bienfaits des graines ?

    Pour plus d'infos, visitez le site : http://www.passeportsante.net/

     

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  • La révolution de Dieu "vivreaujourd'hui.com"

    30 Juin 2014
     

    Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait.
    Romains 12.2

     

    L’histoire de l’humanité c’est une suite de révolutions. Elles se sont produites non seulement dans le domaine politique, mais aussi culturel, économique, social. Le mot “révolution” implique l’idée de transformation profonde, de bouleversement, de remise en question de certaines valeurs.
    Notre époque est celle de la contestation, de la remise en question de la société elle-même. Ce n’est pas notre rôle de prendre parti.
    Ce que nous soulignons, c’est qu’il y a une révolution voulue par Dieu. Elle est la vraie révolution. Elle ne concerne pas les structures de la société, mais les individus – tous les individus. Elle nous concerne personnellement. La vraie révolution a une exigence : “JE dois changer” ! Ce qui doit changer, ce ne sont pas nos opinions religieuses ou la forme de culte que nous rendons à Dieu. Mais notre cœur doit changer.
    Pour cela, il faut d’abord voir clair en soi-même. Il faut, pour reprendre une expression de Jésus, redevenir comme un petit enfant. Il ne s’agit pas de renoncer à la réflexion ou de mettre de côté notre intelligence, mais de reconnaître nos limites et d’accepter que Dieu a le droit de nous dire ce qu’il pense de nous.
    Si nous nous laissons transformer par l’Esprit Saint nous verrons tout autrement et nous vivrons aussi d’une vie nouvelle digne d’être vécue.

    Francis Bailet

    Jésus dans ton coeur, révolution dans ta vie !

     

    Lettre aux Éphésiens 4. 17-24 : "17 C’est pourquoi, je vous dis ceci et j’insiste au nom du Seigneur : ne vivez plus comme ceux qui ne connaissent pas Dieu. Leurs pensées ne mènent à rien. 18 Leur intelligence est dans la nuit, et ils ne participent pas à la vie de Dieu. En effet, ils sont ignorants parce que leur cœur est fermé. 19 Ils ne savent plus ce qui est bien et ce qui est mal, et ils se conduisent n’importe comment. Toutes les actions immorales qu’ils ont envie de faire, ils les font sans se gêner.

     20 Vous, ce n’est pas de cette façon que vous avez appris à connaître le Christ. 21 Mais est-ce que c’est bien du Christ que vous avez entendu parler ? Est-ce que c’est lui qu’on vous a enseigné, selon la vérité qui est en Jésus ? 22 Si oui, vous devez laisser votre vie d’autrefois. Avant, vous étiez pleins de désirs trompeurs qui vous détruisaient. Eh bien, ce que vous étiez avant, il faut vous en débarrasser comme d’un vieux vêtement. 23 Comprenez les choses d’une façon nouvelle, selon l’Esprit de Dieu. 24 Et, comme si vous mettiez un vêtement neuf, devenez une personne nouvelle. Cette personne nouvelle est créée comme Dieu veut : la vérité la rend juste et sainte."
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  • Il sait conduire nos vies "vivreaujourd'hui.com"

    29 Juin 2014
     

    Je changerai devant eux […] les endroits tortueux en terrain plat.
    Ésaïe 42.16

     

    Quand j’étais jeune, les enseignants et mes parents m’ont aiguillée dans des études qui n’étaient pas celles que j’aurais choisies. Plus tard, j’ai exercé
    plusieurs métiers avant d’arriver à celui pour lequel j’avais étudié. Plusieurs fois je me suis dit que j’avais perdu mon temps en travaillant dans tel ou tel domaine. Jusqu’au jour où Dieu, le Seigneur, m’a appelé à le servir, et là je me suis rendue compte que je pouvais mettre au service des autres ce que j’avais appris dans ces différentes activités.
    Je me rappelle cet ancien cantique qui dit : « Tout chemin qu’on t’impose peut devenir le sien1. »
    Rappelez-vous Joseph, le patriarche. Il reçoit des visions concernant son avenir. Ses frères en deviennent jaloux, le jettent dans une citerne. Puis il est vendu comme esclave acheté ensuite par Potiphar, un haut fonctionnaire du Pharaon. On le jette en prison sur une fausse accusation. Enfin réhabilité il devient le bras droit du Pharaon pour réaliser ce que Dieu avait prévu pour lui.2
    Quel parcours ! Il fallait qu’il passe par là. Et il l’a bien reconnu en disant à ses frères : « Ce n’est pas vous qui m’avez envoyé ici, c’est Dieu ! »3
    « Confie à Dieu ta route. Dieu sait ce qu’il te faut », dit encore ce cantique. Même si nos chemins semblent tortueux, son désir est de les aplanir, et il a tout prévu pour cela.

    Danièle D.

    1 c.-à-d. celui de Dieu           2 Genèse 37 à 41           3 Genèse 45.8

     

    tous les détours ne sont pas inutiles

    Psaume 25. 8-15 : "8 Oui, le Seigneur est bon et juste, il montre aux pécheurs la route à suivre. 9 Il guide les gens simples sur le chemin juste, il leur apprend à faire ce qu’il veut. 10 Chaque enseignement du Seigneur montre son amour fidèle à ceux qui suivent les règles de son alliance. 11  Seigneur, pour montrer ta gloire, pardonne ma faute qui est si grande. 12 Si quelqu’un respecte le Seigneur, le Seigneur lui montre quel chemin choisir. 13 Il vivra dans le bonheur, et ses enfants posséderont le pays. 14 Le Seigneur confie ses secrets à ceux qui le respectent, il leur fait connaître son alliance. 15 Mes yeux regardent toujours le Seigneur. Oui, il me sortira du piège où je suis."

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  • Gracié "vivreaujourd'hui.com"

    28 Juin 2014
     

    Invoque-moi au jour de la détresse : je te délivrerai, et tu me glorifieras.
    Psaume 50.15

    Le colonel M. croupissait déjà depuis plusieurs années dans la forteresse de Glatz dans les montagnes des Sudètes en Silésie. Il était accusé de haute trahison et de lèse-majesté envers le roi Frédéric-Guillaume III qu’il avait attaqué. Les jours s’écoulaient mornes et invariables. On ne lui avait laissé qu’une Bible. Pour tuer le temps, il l’ouvrait parfois, mais il ne nourrissait que haine envers le Dieu qui l’abandonnait à un sort si cruel.
    Une nuit de novembre, l’orage faisait rage autour de la forteresse ; le torrent de la Neiss grondait.
    Le colonel ne parvenait pas à trouver le sommeil. Dans son cœur, un autre orage faisait écho à celui du dehors : sa vie gâchée défilait devant lui. Il savait que tous ses malheurs avaient commencé par sa décision d’abandonner Dieu. Pour la première fois, des sentiments de regret le submergèrent. Il ouvrit sa Bible au hasard et ses yeux tombèrent sur les mots du Psaume 50 cités ci-dessus. Saisi au plus profond de son cœur, il se jeta à genoux en implorant la grâce de Dieu et son pardon.
    Dans la même nuit, le roi ne parvenait pas non plus à dormir, secoué par de violentes douleurs intestinales. Il supplia Dieu de lui accorder ne fut-ce qu’une heure de sommeil réparateur. Il fut exaucé. Au réveil, il dit à son épouse : – Dieu s’est montré gracieux envers moi. Je voudrais l’en remercier et témoigner de la grâce à quelqu’un. Qui est, à ton avis, celui qui m’a le plus gravement offensé ? – C’est le colonel M. qui se trouve en prison à Glatz. – C’est juste. Je veux le gracier.
    Tôt le matin, un courrier partit en direction de la Silésie pour annoncer au condamné sa libération.

    Alfred K.

    Frédéric Guillaume III

     

    Psaume 107. 10-16 : "10 D’autres étaient en prison dans une cellule sombre, ils étaient très malheureux, attachés avec des chaînes. 11 Ils ont refusé d’obéir aux commandements de Dieu, ils ont méprisé le projet du Dieu très-haut. 12 Dieu les a brisés par la souffrance, ils sont tombés, et personne n’est venu les aider. 13 Alors dans leur malheur, ils ont crié vers le Seigneur, et le Seigneur les a sauvés de leur peur. 14 Il les a fait sortir de leur cellule sombre, il a cassé leurs chaînes. 15 Qu’ils remercient le Seigneur pour son amour, pour ses actions étonnantes envers les humains ! 16 Oui, il a brisé les portes de bronze , il a fait sauter les verrous de fer."

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  • N’attendez pas la crise ! "vivreaujourd'hui.com"

    27 Juin 2014
     

    Les disciples le réveillèrent et lui crièrent : Maître, nous sommes perdus, et tu ne t’en soucies pas ?
    Marc 4.38

     

    Jean Monnet, le “père de l’Europe”, a dit : « Pour réfléchir au changement, il faut qu’il y ait nécessité ; pour opérer le changement, il faut qu’il y ait crise ! »
    La crise ? Elle nous environne depuis quelques années sous différentes formes. Pour autant, suivant l’avis de J. Monnet, les vrais changements sont-ils en route ? Certains en doutent…
    Les disciples de Jésus sont au milieu de la tempête, la barque menace de sombrer, leur fin est proche : « Nous sommes perdus ! »1 Tout marins qu’ils sont, ils comprennent la gravité de leur situation.
    Au-delà des incertitudes économiques, des troubles politiques, des inquiétudes financières – toutes compréhensibles sinon légitimes –, qui, aujourd’hui, sait où il en est vraiment… avec Dieu ? N’attendons pas d’être dans la nécessité pour y réfléchir ; ne laissons pas filer les jours jusqu’à la crise profonde pour enfin réagir !
    Les disciples ont appelé leur maître. Et il a calmé les éléments déchaînés. Onze de ces douze ont mis leur entière confiance en Jésus. Et il leur a donné la vie éternelle, la joie et la paix2 pour traverser toutes les crises.
    Jésus-Christ les donne encore aujourd’hui. Alors, osons appeler, comme Pierre et ses compagnons : « Sauve ! Nous périssons ! »

    Albert Lentz

    1 cf. la lecture proposée 2 Jean 14.27

    N'ATTENDEZ PAS LA CRISE !

     

    Psaume 46. 2-8 : "2 Dieu est pour nous un abri solide et sûr, il est toujours prêt à nous aider dans le malheur. 3 C’est pourquoi nous n’avons pas peur, même si la terre se met à bouger, si les montagnes tombent au fond de la mer. 4 Son eau rugit et soulève l’écume, les vagues de la mer se dressent et font trembler les montagnes. 5 Mais une rivière coule et réjouit la ville de Dieu, la plus sainte des habitations du Très-Haut. 6 Dieu est dans cette ville, elle ne tombera pas. Le jour se lève, et déjà, Dieu est là pour l’aider. 7 Des pays rugissent, des royaumes tremblent, Dieu élève la voix, et la terre disparaît. 8 Il est à nos côtés, le Seigneur de l’univers, il nous protège avec puissance, le Dieu de Jacob."

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  • Salée ou sucrée ? "vivreaujourd'hui.com"

    26 Juin 2014
     

    Demandez, et l’on vous donnera, cherchez, et vous trouverez.
    Matthieu 7.7

    Combien sont-ils ceux qui affirment que Dieu n’existe pas ! En sont-ils si sûrs ?
    Imaginez : je vous tends un verre d’eau, et je vous affirme qu’elle est sucrée. Cependant, vous pourriez penser qu’elle est salée ou neutre. Quelle preuve puis-je vous fournir pour étayer mon affirmation puisque le sucre comme le sel sont incolores dans l’eau ? Aucune. La seule chose que je puisse vous demander c’est de vous approcher, de porter le verre à vos lèvres et d’y goûter. Alors vous saurez avec certitude si cette eau est véritablement sucrée, comme je le prétends.
    Dans le domaine de la foi, Jésus-Christ, lui-même, vous invite à faire cette identique démarche lorsqu’il affirme : Demandez, et l’on vous donnera, cherchez, et vous trouverez ; frappez et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l’on ouvre à celui qui frappe.1
    Dieu ne se prouve pas, il se rencontre. Et la rencontre avec lui sera d’autant plus forte et convaincante que vous aurez pris la peine de le chercher sincèrement. Sachez que Dieu est venu le premier à votre rencontre en la personne de Jésus-Christ. Il a fait le premier pas vers vous, alors que vous étiez encore loin de lui, pour que vous puissiez goûter à son amour et à son pardon.

    Frédéric T.

    1 Matthieu 7.7-8

     

     

    Évangile selon Luc 11. 9-13 : "9 « C’est pourquoi, moi, je vous le dis : demandez, et on vous donnera. Cherchez, et vous trouverez. Frappez à la porte, et on vous ouvrira. 10 Oui, celui qui demande reçoit. Celui qui cherche trouve, et celui qui frappe à la porte, on lui ouvre. 11 Chez vous, quand un enfant demande du poisson à son père, le père ne lui donne pas un serpent à la place du poisson ! 12 Et quand un enfant demande un œuf, son père ne lui donne pas un scorpion ! 13 Vous, vous êtes mauvais, et pourtant vous savez donner de bonnes choses à vos enfants. Alors ceci est encore plus sûr : le Père qui est au ciel donnera l’Esprit Saint à ceux qui le lui demandent ! »

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  • Dernières volontés "vivreaujourd'hui.com"

    25 Juin 2014
     

    Enseigne-nous à bien compter nos jours, que nous conduisions notre cœur avec sagesse !
    Psaume 90.12

    Sur le point de mourir, Alexandre le Grand convoqua ses généraux et leur communiqua ses dernières volontés, ses trois ultimes exigences :
    1. Que son cercueil soit transporté à bras d’homme par les meilleurs médecins de l’époque.
    2. Que les trésors qu’il avait acquis (argent, or, pierres précieuses…) soient dispersés tout le long du chemin jusqu’à sa tombe.
    3. Que ses mains restent à l’air libre, se balançant en dehors du cercueil à la vue de tous.
    L’un de ses généraux, étonné de ces requêtes insolites, lui en demanda les raisons. Alexandre lui expliqua alors ce qui suit :
    1. Je veux que les médecins les plus éminents transportent eux-mêmes mon cercueil pour démontrer ainsi que, face à la mort, ils n’ont pas le pouvoir de guérir.
    2. Je veux que le sol soit recouvert de mes trésors pour que tous puissent voir que les biens matériels, ici acquis, restent ici-bas…
    3. Je veux que mes mains se balancent au vent pour faire voir que nous arrivons dans ce monde les mains vides, et nous en repartons les mains vides quand s’épuise pour nous le trésor le plus précieux de tous : LE TEMPS.
    Alexandre le Grand n’a peut-être pas lu la Bible. Mais, dans sa perception de la vanité de la condition humaine, sa sagesse rejoint celle du Livre. Nus, nous sommes entrés dans le monde, nus aussi, nous en sortirons.1
    Nous n’emporterons d’ici-bas que ce qui se trouve dans notre cœur. Jésus y a-t-il une place ?

    Gilles G.

    1 Job 1.21

     

    1ère Lettre à Timothée 6. 6-19 : "6 C’est vrai, la foi en Dieu est une grande richesse, à une condition : il faut se contenter de ce qu’on a. 7 Nous n’avons rien apporté sur cette terre, et nous ne pouvons rien emporter non plus. 8 Alors, si nous avons de quoi manger et nous habiller, cela doit nous suffire. 9 Mais ceux qui veulent devenir riches tombent dans la tentation. De nombreux désirs stupides et dangereux les prennent au piège. Ils conduisent les gens vers la mort et les détruisent. 10 Oui, la racine de tous les malheurs, c’est l’amour de l’argent. Plusieurs l’ont trop cherché, c’est pourquoi ils se sont perdus loin de la foi. Ils ont beaucoup souffert, et c’est leur faute.

     11 Mais toi, homme de Dieu, évite ces choses-là. Cherche à être juste, sois fidèle à Dieu. Vis avec foi, amour, patience et douceur. 12 Combats le beau combat au service de la foi, afin de vivre avec Dieu pour toujours. C’est pour cette vie qu’il t’a appelé. Tu as reconnu cela le jour où tu as affirmé clairement ta foi devant beaucoup de témoins. 13 Et maintenant, je te donne un ordre en présence de Dieu, qui donne la vie à toutes choses. Je le fais aussi en présence du Christ Jésus qui a rendu un beau témoignage devant Ponce Pilate. 14 Garde le commandement que tu as reçu, en restant sans tache et sans défaut, jusqu’au jour où notre Seigneur Jésus-Christ paraîtra. 15 C’est Dieu qui fera paraître le Christ au moment qu’il a fixé. Il est la source du bonheur et le seul maître de tout, le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs. 16 Il est le seul qui ne meurt pas. Il habite une lumière que nous ne pouvons pas atteindre. Personne ne l’a vu, personne ne peut le voir. À lui honneur et puissance pour toujours ! Amen.
     
     17 Recommande aux riches de ce monde de ne pas être orgueilleux. Qu’ils ne mettent pas leur confiance dans une richesse qui ne dure pas, mais qu’ils la mettent en Dieu. C’est lui qui nous donne toutes choses généreusement pour que nous en profitions. 18 Dis-leur de faire le bien, d’être riches en actions bonnes. Qu’ils donnent de bon cœur et partagent avec les autres. 19 Ainsi ils mettront en réserve pour l’avenir un trésor beau et solide et ils pourront posséder la vraie vie."

     

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  • Journée mondiale des veuves 

      
     

     

    245 MILLIONSJOURNÉE MONDIALE DES VEUVES

    DE VEUVES

    DANS LE MONDE

     

     

    "Lorsqu’elle perd son mari, la femme ne devrait pas perdre ses droits. Pourtant, 115 millions de veuves vivent dans la pauvreté et 81 millions ont été victimes de violences physiques. Les filles mariées à des hommes beaucoup plus âgés sont particulièrement vulnérables." M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l'ONU (SCE). Cette journée a été instaurée par la Première Dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba en 2011 dans son combat en faveur des droits des personnes fragilisées. 

     

    Le veuvage en France 

    « En 2008, la France comptabilise 3 356 609 veuves et 678 844 veufs[1], soit 4 035 453 personnes frappées par le veuvage[2]. Ainsi, les personnes veuves issues d'une union maritale représentent 6,3 % de la population française. Si l'on rajoute les cas de remariages et les concubins endeuillés, le nombre de veufs/veuves atteint alors 5 000 000. 
    Chaque année, 235 000 personnes environ perdent leur conjoint, parmi lesquelles 24 000 veuves et 6 000 veufs le deviennent avant l'âge de 55 ans, dont 80 % de femmes. Près de 420 000 jeunes adultes perdent un conjoint avant 55 ans. 
    Chaque jour comptabilise 580 nouveaux cas de veuvage, 27 % auront moins de 67 ans. 

    • Les veufs ( hommes et femmes confondus) qui ont des enfants en bas-âge — moins de 6 ans — sont ceux qui se remettent le plus souvent en couple. 

    Selon la DREES [3], après trois années de veuvage, 30 % d'entre eux ont vécu en couple contre 6 % des veufs ayant des enfants de plus de 18 ans au moment du décès. Les hommes ayant un niveau social élevé refont plus facilement leur vie. Selon l'INDED [4], 42 % des cadres retraités de 65-74 ans ont fondé une nouvelle union contre 25 % des ouvriers. Chez les femmes, le niveau social n'a guère d'influence sur les remises en couple. 
    Les chances de fonder un nouveau couple sont d'autant plus faibles que le veuvage a lieu à un âge tardif. 

    • Un ou plusieurs enfants, désormais orphelins, accompagnent le parent dit "survivant". Ils sont 500 000 orphelins de moins de 21 ans, selon une estimation de l'Ined [5]
    • La Fédération d'Associations de Conjoints Survivants (FAVEC) accueille, écoute, informe, accompagne les conjoints survivants et défend leurs droits. Elle se mobilise également en faveur du veuvage précoce et de la cause des orphelins, deux priorités largement ignorées. »SCE 

     

    La problématique du veuvage 

    Le veuvage déséquilibre le projet de sa vie que l’on envisage à deux. Elle entraîne une situation financière, familiale affective très difficile, et pourtant elles assument seules une tâche qu’elles avaient projetées à deux. On croit souvent que cette situation de veuvage intervient à un âge très avancé. Mais de plus en plus de veuvages précoces interviennent de manière inattendue, accidentelle. Quand aux étapes du deuil, elles sont difficiles à vivre et diffèrent selon les personnes entre le déni, la colère, le domptage de la douleur, la dépression, l’acceptation.  

    Si aujourd’hui la problématique principale du veuvage reste la réversion, savoir si oui ou non les femmes vont encore bénéficier de la moitié de la retraite de leur époux défunt, ou savoir si celle-ci ne sera plus versée une fois qu’elles se remarient, ou comment continuer à payer cette réversion quand elle pèse sur les retraites ou comment la proratiser en fonction de la durée du mariage ! Analyser les disparités quand le conjoints ne sont pas mariés et que l’un décède… Autant de problématiques qui s’imbriquent les unes aux autres et continuent à demander l’assistance d’organismes pour maintenir certains droits.  

    Autant de questionnement qui perdurent pendant que les vrais concernés se débattent avec un apprentissage de la vie, une acceptation de la vie, au quotidien… 

    Alors, sans savoir véritablement, ce par quoi passent ces veufs et veuves nous voudrions leur rendre un hommage sans équivoque et sans fard pour leur courage, leur détermination et leur volonté à continuer à vivre, à donner de leur personne et à croire, malgré la douleur, le vide et l’absence. Alors qu’ne journée leur est consacrée, le 23 juin, nous en ajoutons une seconde pour mieux être à leurs côtés et tenter de comprendre l’incompréhensible, en sachant que cette situation de fait peut arriver à chacun d’entre nous… 

    cvfg 

     

    JOURNÉE MONDIALE DES VEUVES

     

     

     

    JOURNÉE MONDIALE DES VEUVES

     

     

     JOURNÉE MONDIALE DES VEUVES

     

     

     

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  • Le fond du cœur humain "vivreaujourd'hui.com"

    24 Juin 2014
     

    Dieu connaît le fond de votre cœur.
    Luc 16.15

    De tout temps, les hommes ont discuté pour connaître la nature du cœur humain : est-il bon ou mauvais ? Voici l’avis de quelques grands penseurs de l’Antiquité qui, eux, ignoraient totalement la vérité de l’Évangile.
    * Platon (429-347 av. J.-C.) : « La corruption fait partie de la nature humaine, à cause de la culpabilité non expiée. »
    * Sophocle (496-406 av. J.-C.) : « Pécher est commun à tous les hommes. »
    * Plutarque (46-125 apr. J.-C.) : « Les passions ? Elles sont innées à l’homme, elles ne lui sont pas attribuées de l’extérieur. »
    * Sénèque (4 av. J.-C. – 65 apr. J.-C.) : « Nous sommes tous mauvais. »
    Et voici ce qu’en disent les Écritures Saintes : Le cœur de l’homme est porté au mal dès son enfance.1 Le cœur est tortueux plus que tout autre chose.2 C’est du cœur que proviennent les mauvaises pensées qui mènent au meurtre, à l’adultère, à l’immoralité.3
    Mais Dieu a proposé aux hommes une solution pour changer ce cœur tortueux. Lui, notre Créateur, nous aime. Nous avons du prix à ses yeux – et quel prix ! – puisque Jésus, son Fils, a été jusqu’à donner sa vie pour nous réconcilier avec Dieu le Père. Alors que nous étions encore des pécheurs, le Christ est mort pour nous.4 Il peut et veut changer notre cœur.
    Et vous, qu’en pensez-vous personnellement ?

    Charles R.

    1 Genèse 8.21           2 Jérémie 17.9           3 Matthieu 15.19           4 Romains 5.8

     

     

    Psaume 139. 23-24 : "23 Ô Dieu, regarde au fond de mon cœur et connais-moi, examine mes pensées et vois mes soucis. 24 Regarde si je suis sur un chemin dangereux,et conduis-moi sur ton chemin, ce chemin qui est sûr pour toujours."

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  • Le découragement "vivreaujourd'hui.com"

    23 Juin 2014
     

    Remets ton sort à l’Éternel, confie-toi en lui, et c’est lui qui agira.
    Psaume 37.5

    Certains, quand ils sont découragés, se mettent devant la télé, d’autres lisent un roman, d’autres se couchent au lit. Et vous, que faites-vous alors ?
    David, pourchassé par le roi Saül, avait établi son campement à Tsiklag. Or, un jour en rentrant au camp avec ses soldats, il le trouva incendié. Les Amalécites avaient emmené femmes et enfants et tous les biens. David et le peuple qui était avec lui sanglotèrent… David fut dans une grande détresse… Que fit-il alors ? Il reprit courage, en s’appuyant sur l’Éternel.1
    C’est la meilleure solution. En toute difficulté, en toute détresse, appuyez-vous sur Dieu. Il est bon, juste, plein d’amour. Il soutient tous ceux qui se confient en Lui. Celui qui s’attend à sa bonté ne sera jamais déçu.
    Dieu agit pour David. David poursuivit les Amalécites avec une partie de ses hommes et les trouva en train de festoyer. Il délivra tous ceux que les Amalécites avaient kidnappés. Il ne leur manqua personne, ni petit ni grand, ni fils ni fille, ni aucune partie du butin ; David ramena tout.1
    Il vaut la peine de se confier en Dieu : je le fais depuis plus de 50 ans et il ne m’a pas déçu ! Il est fidèle, il exauce les prières, à cause de Jésus-Christ.
    Vous aussi, cherchez son aide en toute circonstance. Parlez-lui de vous, de vos soucis, de vos craintes, dépression, tristesses… Jésus-Christ vous donnera sa paix surnaturelle et agira en votre faveur.


    Théophile H.


    1 1 Samuel 30.4-6 et 19

     

    Psaume 115. 9-18 : "9 Tribus d’Israël, ayez confiance dans le Seigneur. – Leur secours et leur bouclier, c’est lui ! 10 Famille d’Aaron, ayez confiance dans le Seigneur. – Leur secours et leur bouclier, c’est lui ! 11 Vous qui respectez le Seigneur, ayez confiance dans le Seigneur. – Leur secours et leur bouclier, c’est lui ! 12 Le Seigneur se souvient de nous, il nous bénira. Il bénira les tribus d’Israël, il bénira la famille d’Aaron, 13 il bénira ceux qui le respectent, les petits et les grands. 14 Que le Seigneur vous rende nombreux, vous et vos enfants ! 15 Que le Seigneur vous bénisse, lui qui a fait le ciel et la terre ! 16 Le ciel est le ciel du Seigneur, mais la terre, il l’a donnée aux hommes. 17 Non, les morts ne chantent pas la louange du Seigneur, eux qui descendent dans le monde du silence. 18 Mais nous, nous remercions le Seigneur, dès maintenant et pour toujours. Chantez la louange du Seigneur !"

     

     

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  • Tricher ou jouer cœur "vivreaujourd'hui.com"

    22 Juin 2014
     

    Que le Seigneur dirige vos cœurs vers l’amour de Dieu.
    2 Thessaloniciens 3.5

     

    « Dans la vie, pour réussir, il n’y a que deux solutions : tricher ou jouer cœur » (Jean Cocteau). Mais attention ! On peut tricher avec les hommes, mais pas avec Dieu.
    Tricher avec Dieu, c’est vivre comme s’il n’existait pas. C’est vivre sur le plan matériel seulement, pour l’apparence, l’argent, le plaisir immédiat. Tôt ou tard on le constate : c’est le vide, l’impression d’avoir raté sa vie. Tricher avec Dieu, c’est refuser d’entendre sa voix.
    Ne trichons pas avec Dieu. La dernière partie, Lui la gagnera de toute manière.
    Alors pour réussir il ne nous reste que l’amour : il faut jouer cœur. Les cartes du cœur ? Dieu a les plus fortes, mais c’est aussi Lui qui les donne. Pour gagner, il est nécessaire d’être de son côté, d’accepter Son amour qu’il nous fait connaître. Il nous aime et l’a prouvé, non par des mots seulement, mais par des actes : la venue de Jésus-Christ dans ce monde et sa mort sur la croix pour ôter nos péchés.
    Les cartes que nous avons en main sont sans valeur devant Dieu. N’attendons pas qu’il soit trop tard pour nous en apercevoir. Recevons l’amour, Son amour. Toute notre vie sera transformée, car l’amour change tout. Il nous fait gagner, tout gagner : la vie présente et celle qui est à venir, même s’il fallait tout perdre.

    Francis B.

     

    1ère lettre de Jean 4. 7-12 : "7 Amis très chers, aimons-nous les uns les autres, parce que l’amour vient de Dieu. Tous ceux qui aiment sont enfants de Dieu et ils connaissent Dieu. 8 Ceux qui n’aiment pas ne connaissent pas Dieu, parce que Dieu est amour. 9 Voici comment Dieu nous a montré son amour : il a envoyé son Fils unique dans le monde, pour que nous vivions par lui. 10 Alors, l’amour, qu’est-ce que c’est ? Ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, c’est lui qui nous a aimés. Il nous a tellement aimés qu’il a envoyé son Fils. Celui-ci s’est offert en sacrifice pour nous, c’est pourquoi Dieu pardonne nos péchés.

     11 Amis très chers, puisque Dieu nous a aimés de cette façon, nous aussi, nous devons nous aimer les uns les autres. 12 Personne n’a jamais vu Dieu, mais si nous nous aimons les uns les autres, Dieu vit en nous, et son amour en nous est parfait."
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  • Les « affaires » "vivreaujourd'hui.com"

    21 Juin 2014
     

    Le cœur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant : Qui peut le connaître ?
    Jérémie 17.9

    Les journaux écrits ou télévisés ne cessent de parler de corruption, d’immoralité, d’excès et de sombres histoires qui concernent des dignitaires et des responsables de nos pays modernes…
    Les dérives d’une minorité semblent se généraliser au sein de la classe dirigeante. Alors qu’on attendrait d’eux qu’ils soient des exemples !
    Il faut constater hélas que les valeurs se perdent. La « morale » est effacée par une soi-disant « liberté ». Les garde-fous sont abattus : on va jusqu’à normaliser l’usage des drogues douces, une sexualité débridée, l’abus de biens sociaux et d’autres travers.
    « C’était mieux hier ? » Pas si sûr, car une bonne partie des choses était cachée. Le cœur de l’homme est méchant par-dessus tout, qui peut le connaître ?
    La seule vérité, la vraie réponse à la faiblesse humaine, nous la trouvons dans la Bible : Dieu veut opérer la transformation de notre cœur.
    Nos travers s’appellent péchés, et la conséquence du péché, c’est la mort1. Mais Dieu veut que nous vivions. Il a envoyé Jésus son fils unique comme substitut : il a payé à notre place ! C’est lui qui donne un vrai sens à notre vie, une espérance nouvelle !

    Bernard D.

    1 Romains 6.23

     

     

    Livre du prophète Jérémie 17. 5-13 : "5 Voici ce que le Seigneur dit : « Celui qui éloigne son cœur de moi, qui met sa confiance dans les hommes et cherche sa force dans les moyens humains, qu’il soit maudit ! 6 Il ressemble à un buisson sur un sol stérile : il ne verra pas le bonheur arriver. Il restera parmi les pierres du désert, sur une terre salée où personne n’habite. 7 Mais celui qui met sa confiance en moi et qui s’appuie sur moi, moi, le Seigneur, je le bénis. 8 Il ressemble à un arbre planté au bord de l’eau, qui étend ses racines vers une rivière. Quand la chaleur arrive, il n’a peur de rien, ses feuilles restent toujours vertes. Même une année de sécheresse ne l’inquiète pas, il porte toujours des fruits. 9 « Le cœur humain est plus trompeur que tout ! Personne ne peut le guérir, personne ne peut le comprendre. 10 « Moi, le Seigneur, j’examine les pensées et les désirs de tous. Ainsi, je peux traiter chacun selon sa conduite, selon le résultat de ses actions. 11 Celui qui devient riche de façon malhonnête ressemble à une poule qui a couvé des œufs qu’elle n’a pas pondus. Au milieu de sa vie, ses richesses l’abandonnent, et à la fin, il est là, stupide. » Le Seigneur seul donne la vie 12 Un siège royal plein de gloire domine le monde depuis le commencement : c’est le lieu de notre temple saint.  13 Seigneur, Israël met son espoir en toi. Tous ceux qui t’abandonnent, qu’ils soient couverts de honte ! Ceux qui se détournent de toi, qu’ils soient comme des noms inscrits dans la poussière ! En effet, ils t’ont abandonné, Seigneur, toi, la source qui donne la vie."

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  • HÔTEL RWANDA

     

      Realise par       Terry George

         Avec              Don Cheadle, Joaquin Phoenix, Nick Nolte

    Synopsis : L'histoire vraie, pendant le génocide rwandais, de Paul Rusesabagina, un hôtelier responsable du sauvetage de milliers de personnes.

     

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  • 20 JUIN  Journée Mondiale des réfugiés 

     

    JOURNÉE MONDIALE DES RÉFUGIÉS

     

    JOURNÉE MONDIALE DES RÉFUGIÉSDepuis de nombreuses années plusieurs pays célèbrent une journée en faveur des réfugiés, indépendamment d’une initiative mondiale commune. Notamment en Afrique, continent où ils sont les plus nombreux. Ce n’est qu’en 2001 que l’AG des Nations Unies, a adopté une résolution fixant le 20 juin comme Journée mondiale des réfugiés.  

     

    Le 19 juin 2013, L’ONU publie un rapport estimant le nombre de personnes déplacées dans le monde, demandant l’asile ou déplacées en interne, à 45 Millions ! Le chiffre a doublé en dix ans.  

    21 300 d’entre eux sont des enfants voyageant seuls. 

    Il existe 100 réfugiés français dans le monde, qui sont tous des enfants. 

    55% de ces réfugiés sont issus de zones de conflit comme les Palestiniens, l’Afghanistan, la Somalie, l’Irak, le Soudan, La Syrie, Le Mali, Le Congo (RDC). sce 

    Les pays accueillant le plus de réfugiés sont : le Pakistan depuis 32 ans, l’Iran, Les Etats-Unis, le Canada, l’Allemagne. Les meilleurs à respecter les critères de terre d’asile sont : le Bénin, le Gabon, le Brésil. Les 25 pays accueillant le plus de réfugiés sont tous des pays en voie de développement ! 

    Qui est le réfugié ? 

    « Un réfugié – au sens de la Convention relative au statut des réfugiés et des apatrides – est une personne qui se trouve hors du pays dont elle a la nationalité ou dans lequel elle a sa résidence habituelle ; qui craint avec raison d’être persécutée du fait de sa "race", de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, et qui ne peut ou ne veut se réclamer de la protection de ce pays ou y retourner en raison de ladite crainte[1]. Les personnes essayant d'obtenir le statut de réfugié sont parfois appelées demandeurs d'asile. Le fait d'accueillir de telles personnes est appelé asile politique. Les demandes d'asile faites dans les pays industrialisés se fondent le plus souvent sur des critères et des motifs politiques et religieux. 

    Le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR ou HCR dans l'espace francophone) a pour but de défendre les droits et la sécurité des réfugiés. Cette organisation onusienne estime que fin 2006, il y avait 8 661 994 réfugiés dans le monde[2] » (Sce). 

    Selon le droit international, nul pays ne peut refouler ou interdire l’accès à son territoire à un réfugié. Qu’il fuit son pays vers un autre ou qu’il soit chassé du sien, les pays du monde entier lui doivent asile et ont interdiction de le renvoyer dans son pays. Mais de nombreux pays ne respectent pas ce code !  Ils sont sensés lui devoir sécurité, bien-être, droit à la circulation libre, droit aux besoins normaux de tout individus, en travaillant,  recevant un salaire, créant même des entreprises dans le pays d’accueil !  

    Or l’Europe est peu encline à recevoir ces réfugiés, taxés par les états occidentaux de « migrants illégaux ». L’image du réfugié est dès plus péjorative ! Et le manque d’accueil de plus en plus flagrant fait qu’une nouvelle problématique voit le jour : « Comment rester en sécurité dans son propre pays » ? C’est la nouvelle stratégie de protection des réfugiés créée par la démocratie ?  

     

    Comment rester en sécurité dans son propre pays ? 

    Bien souvent le statut de réfugié intervient quand on ne nous a pas laissé le choix de rester ou de partir, mais que cette nécessité s’impose, si l’on ne veut pas perdre sa vie, ou ses droits fondamentaux.  

    En 1994 on a connu le génocide rwandais.  En Bosnie Herzégovine, les choses vont mal depuis longtemps. Les Ukrainiens affluent et insistent aux frontières françaises, sans pitié… Le conflit de la Syrie, crée des situations ingérables pour le Lybie et la Jordanie. Et partout les conflits, les guerres civiles, les massacres, les viols, la destruction de vie, se multiplient sans que nous n’en soyons vraiment ni responsables, ni concernés ! Louanges à la Syrie, à la Lybie, le Pakistan, qui s’occupent de nombre de réfugiés, après tout ils sont leurs voisins, ils peuvent bien s’en occuper !  

    Les terres d’asiles consciencieuses continuent à le faire, malgré toutes les contraintes et difficultés économiques, sociales, sécuritaires, générées, car elles savent qu’elles peuvent à tout moment se retrouver dans la même situation ! Aucun Etat n’est à l’abri.  

    Qui dans sa vie, un jour ou l’autre ne s’est retrouvé déraciné, pour quelques mois, années, jours ou heures ?  

    Comment vous êtes-vous senti ?  

    Petit retour sur l’histoire française 

    Les 2 000 000 de réfugiés français issus des départements occupés de la Grande Guerre 1914-1918, de la Guerre d’Espagne et de la seconde guerre mondiale, ont bien existés !  

    Non seulement la France a accueilli plus de 325 000 réfugiés belges, et de toute l’Europe, mais aussi 2 000 000 de nationaux, issus du Nord et de l’Est de la France, occupés par les Allemands ou militairement menacés, fuyant vers l’intérieur du pays (La Seine-saint-Denis, le calvados,  l’Oise, le Nord-pas-de Calais). S’ajoutent ceux qui fuient les bombardements, comme ceux de Reims, ou les rapatriés de Suisse, ceux qui fuient la nouvelle occupation allemande. Beaucoup de réfugiés français, ne souhaitent pas trop s’éloigner de chez eux. Mais les autorités administratives et militaires, ne cessent de les déplacer pour éviter la densification aux frontières.  

    La situation dépasse rapidement les autorités, qui ne se sont jamais organisées dans cette éventualité et demande le concours des populations libres, des associations, pour subvenir aux premières nécessités tout en créant la première allocation aux réfugiés de 1franc 25 par jour par adulte et 0,50 ct par jour par enfant. La prise en charge est matérielle mais aussi psychologique car les traumatismes sont énormes : invasions, réquisitions, déportations, pénurie alimentaire, fouille humiliante, transport dans des wagons à bestiaux, exil, mauvais accueil dans la France libre !  

    Car après une période de compassion puis de tolérance, nombreux sont les réfugiés qui se plaignent du rejet dont ils sont victimes de la part de leurs propres compatriotes, qui les affublent d’insultes du genre : « Boches du Nord », « lâches », « fuyards » et leur font subir des discriminations notoires. 

    La France de 1914 est superficiellement unifiée culturellement, si bien que les différences de régions sont importantes, explique Philippe Nivet dans son excellent livre Les Réfugiés français de la Grande Guerre. L’opposition Nord-Sud est palpable. Le contact avec les Allemands d’une partie des français fera toujours tiquer certains jusqu’à aujourd’hui… 

    Ne tirons-nous donc pas leçon de notre histoire ?  

    Serons-nous toujours à l’abri  encore en 2014 ? Même dans nos pays super-développés !  

    cvfg 

     

     

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  • Encore bien pire ! "vivreaujourd'hui.com"

    20 Juin 2014
     
     
    Ce que je crains, c’est ce qui m’arrive. Ce que je redoute, c’est ce qui m’atteint. Je n’ai ni tranquillité, ni paix, ni repos, et le trouble s’est emparé de moi. Job 3.25-26

     

    Un jeune écrivain se plaignait d’avoir des tas d’ennuis qui ne pourraient que s’aggraver encore.

    – Bah ! répondit le romancier Marcel Aymé. Ce qu’on redoute n’arrive jamais.

    – Vous croyez ?

    – Ce qui arrive est bien pire ! …

    Et vous, qu’en pensez-vous ?

    Job, l’un des hommes les plus éprouvés au monde, venait de subir une succession de malheurs épouvantables que Satan lui avait infligés : ses troupeaux sont anéantis, ses enfants tués dans une catastrophe épouvantable, une terrible maladie le fait souffrir atrocement. Des amis venus lui rendre visite sont incapables de prononcer la moindre parole de consolation. Job ne peut qu’exhaler ses plaintes. Il en vient à affirmer que ce qu’il craint, c’est ce qui lui arrive. Ne l’en blâmons pas. Il est affligé au plus haut point : en son cœur de père, en ses biens, en sa santé… Nous ne pouvons que compatir à ses souffrances sans nombre. Cependant, en fin de compte, Dieu le délivre, le guérit, le comble de biens. Non, Job n’est pas pour toujours la victime d’un destin implacable.

    La Bible déclare que Dieu sait délivrer de l’épreuve les hommes pieux1. Placez donc toute votre confiance en Dieu. Ne croyez pas que le pire doive survenir, mais croyez que, quand un malheureux l’appelle au secours, Dieu l’entend et le délivre de toutes ses détresses2.

    Lucien Clerc

    1 2 Pierre 2.9

    2 Psaume 34. 18

    ENCORE BIEN PIRE !

    Psaume 66. 8-20 : "8 Peuples, dites merci à notre Dieu, chantez à pleine voix sa louange ! 9 Il nous donne la vie et nous empêche de glisser. 10 Ô Dieu, tu voulais savoir ce que nous valons. Aussi, comme on purifie l’argent au feu, tu nous as purifiés par la souffrance. 11 Tu nous as fait tomber dans un piège, tu nous as écrasés de malheur. 12 Tu as permis aux cavaliers de passer sur nos têtes. Nous sommes entrés dans le feu et dans l’eau, mais tu nous as fait sortir pour reprendre notre souffle. 13 J’entre dans ta maison avec des sacrifices, je veux tenir les promesses que je t’ai faites. 14 Ma bouche les a prononcées quand j’étais dans le malheur. 15 Je t’offre en sacrifice des bêtes grasses et des béliers, je prépare des taureaux et des boucs. 16 Vous tous qui respectez Dieu, venez, je vous raconterai ce qu’il a fait pour moi. 17 J’ai crié vers lui et j’ai chanté sa louange. 18 Si j’avais eu de mauvaises intentions, le Seigneur ne m’aurait pas écouté.  19 Mais Dieu a écouté, il a fait attention à ma prière. 20 Merci à Dieu ! Il n’a pas repoussé ma prière, il ne m’a pas privé de son amour !"

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  • 19 JUIN Journée Mondiale de la drépanocytose 

     
     

    JOURNÉE MONDIALE DE LA DRÉPANOCYTOSE 

    50 millions

    Ou

    300 millions

    d'individus atteints ?



    La drépanocytose est une maladie génétique du sang, qui affecte plus particulièrement les populations de race noire. Cette particularité explique qu'elle est, sur le continent africain, la première maladie génétique affectant, dès la naissance, des milliers de malades. Une lutte prioritaire au quatrième rang dans les priorités en matière de santé publique mondiale, après le cancer, le sida et le paludisme. 

    C’est quoi la drépanocytose ? 

    Du grec drepnos, (la faucille), également appelée hémoglobinose S, sicklémie, ou anémie à cellules falciformes (sickle-cell anemia en anglais), la drépanocytose est une maladie héréditaire qui se caractérise par l'altération de l'hémoglobine, la protéine assurant le transport de l'oxygène dans le sang. 

    La drépanocytose est particulièrement fréquente dans les populations d'origine africaine subsaharienne, des Antilles, d'Inde, du Moyen-Orient et du bassin méditerranéen. Maladie chronique et particulièrement handicapante, la drépanocytose peut provoquer différents types d’épisodes aigus et graves: des anémies profondes, des infections bactériennes majeures et des accidents vasculaires occlusifs particulièrement douloureux. L’espérance de vie des malades est nettement inférieure à la moyenne.   

    « Une transmission héréditaire 

    L’histoire de la drépanocytose illustre pleinement celle des progrès de la médecine et de la biologie dans le champ des maladies génétiques. La première description de la maladie est faite à Chicago au début du XXe siècle chez un étudiant noir. Il souffre d’une grave anémie et un examen sanguin montre que ses globules rouges présentent d’étranges formes. On les compare, au choix, à des faucilles ou à des feuilles d'acanthe. D’où de gène « S » 

    Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la démonstration est apportée que cette maladie sanguine se transmet, comme les thalassémies, sur un mode héréditaire et qu’elles sont elles aussi la conséquence d’une anomalie moléculaire de l’hémoglobine.  

    On découvre bientôt (1956) la nature précise de cette anomalie puis (1978) le gène qui, en amont, est impliqué. En 1980, enfin, un test génétique de la drépanocytose est mis au point qui permettra de faire le diagnostic de la maladie avant la naissance et, le cas échéant, de pratiquer un avortement.  

    Entre-temps, des spécialistes ont mis au point et développé un dépistage de la maladie dès la naissance (dépistage néonatal) et ainsi, une orientation adaptée et une prise en charge médicale spécialisée des petits malades, une amélioration de leur qualité et de leur espérance de vie. Le dépistage précoce permet en effet de faire l’économie des errements dans la démarche diagnostique et de prévenir les complications graves de la petite enfance. »(SCE) 

    Mais ce dépistage est inégalitaire en France, chez qui seules les populations à peau noires sont systématiquement dépistées. Seuls les pays comme les USA, le Brésil, la Belgique, le Royaume-Uni le pratiquent quelle que soit la couleur de la peau.  

    Une maladie de noirs ! 

    En fait la drépanocytose est qualifiée de « maladie de noirs » de par son histoire, comme citée plus haut, mais de nombreux cas au sein de la population blanche ont été décelés. Pour la médecine occidentale la drépanocytose est héréditaire, il faut que les deux parents transmettent à l’enfant un allèle (gène) S. Ce n’est que récemment que l’on a découvert que ce gène était fréquent chez les populations noires, mais les études n’ont été plus poussées chez les personnes de races blanches. De même que de nombreuses pathologies chez les personnes de races blanches, ont des symptômes similaires à la drépanocytose  et dont le diagnostique porte un autre nom !  

    « La drépanocytose illustre bien la domination de l’esprit scientifique occidental par l’idée de race depuis le milieu du 19s est évidemment contemporain de la suprématie de l’Occident sur le reste du monde. Il a commencé à se désagréger à la fin de la seconde guerre mondiale, au vu de ce que le racisme « politiquement incorrect », principalement avec le changement de génération à partir des années 70. Mais les mentalités gardent aujourd’hui encore cette idée de « pathologie des Noirs » : il n’y a pas de maladie plus racialisée que la drépanocytose. » Drépa News dec 2011

    Une discrimination, qui n’a pas sa raison d’être puisque  si l’on comprend que le trait drépanocytaire par la détection de l’hémoglobine S. chez un certain type de population, ne peut être le seul critère identitaire d’une maladie, surtout si les recherches ne se sont guère intéressées aux autres races ! Identifié aussi au Moyen Orient en 1953, en Inde, les recherches ne sont guère allées plus loin… 

    Pourtant, après les années 70, plusieurs études génétiques ont prouvé que la maladie résultait de plusieurs mutations indépendantes les unes des autres, et encore aujourd’hui ont la taxe de « maladie de noirs » ! Au risque important et suicidaire de passer à côté d’une maladie qui peut être détectée chez n’importe qui quelle que soit sa couleur de peau ! 

    50 000 000 ou 300 000 000 de personnes atteintes ? 

    Il semblerait que les chiffres prônés sur le web et les organismes médicaux mondiaux soient erronés. Ce ne seraient pas 50 MILLIONS de malades mais 300 MILLIONS ! En Martinique comme en Guadeloupe, où les tests et dépistage sont chiffrés, notamment lors des examens prénuptiaux, les nombre de malades est de 150 000.  

    « La Drépanocytose se traduit par : « une anomalie de l'hémoglobine contenue dans les globules rouges. L'hémoglobine est responsable du transport de l'oxygène dans les tissus. L'hémoglobine anormale (l'hémoglobine S), (…) va rendre les globules rouges rigides, ceux-ci perdant leur capacité normale à se déformer pour passer dans les tout petits vaisseaux sanguins» On peut dire que l'altération de hémoglobine S affecte les globules rouges qui se rigidifient et n'assument plus leur rôle de transporter l'oxygène dans le corps.  

    •  « anomalie de l'hémoglobine va entraîner plusieurs conséquences :  
    Les globules rouges sont fragiles et sont détruits en excès : le taux d'hémoglobine est bas, définissant l'anémie chronique. Les enfants sont donc anémiques en permanence, mais s'adaptent généralement très correctement. Les seuls signes visibles peuvent être la fatigabilité et une couleur jaune des yeux (car en se cassant les globules rouges libèrent un pigment jaune, la bilirubine).  
    Les globules rouges sont rigides : ils vont former des bouchons et obstruer les vaisseaux sanguins. Ces accidents sont appelés « crises vaso-occlusives ». Certains facteurs déclenchants sont parfois identifiés mais pas toujours : le froid, la déshydratation, le stress, l'infection. Certaines mesures préventives diminuent le risque de survenue d'une crise, mais les crises restent imprévisibles. Il existe des localisations préférentielles de ces crises vaso-occlusives :  
     
    - Au niveau des vaisseaux des membres et des extrémités (pieds, mains). Leur occlusion est responsable de douleurs parfois sévères ; le membre concerné peut être chaud, gonflé, sa mobilisation peut devenir douloureuse.  
     
    - L'occlusion des vaisseaux nourrissant la rate est très précoce. Celle-ci perd sa fonction de défense anti-bactérienne. Les enfants drépanocytaires sont ainsi très vulnérables à certaines infections. Ce risque est maximal chez les enfants âgés de moins de 3 ans, puis diminue mais perdure toute la vie. Les infections les plus fréquentes sont pulmonaires, mais des infections osseuses sont aussi possibles.  » Voilà une synthèse de la maladie, ayant fait l'objet de plusieurs thèses tant qu'en France hexagonale, qu'en Guadeloupe où il existe un service traitant de cette maladie, classé au niveau mondial.  

    •  Les porteurs d'un seul gène bénéficié d'une protection contre le paludisme, ils ne sont pas affectés par cette maladie. Certains parlent d'évolution, une mutation génétique permettant à des gens de vivre dans milieu « impropre » à la vie. Je préfère parler d'adaptation plutôt qu'évolution, car ce phénomène n'est pas rare, il y a la maladie des Celtes , une mutation dont les chercheurs pensent qu'elle date de 3 000 ans, et d'autres maladies du même type, liées soient au milieu physique, soit à une carence alimentaire, soit au rejet d'une protéine »  explique avec clarté Tony Mardaye. Juriste, économiste, diplômé en histoire des techniques. Responsable de la rédaction de pyepimanla.  

     

    Drépanocytose ou  hémoglobinose S, sicklémie ou anémie à cellules falcifoJOURNÉE MONDIALE DE LA DRÉPANOCYTOSErmes est tout simplement une maladie héréditaire du sang. 

    Donner la vie et la maladie au même moment, semble incroyable, inconcevable, voire presque qu’inhumain et meurtrier. Or c’est le message que  semble donner la drépanocytose.  

    Le sang est porteur de nos émotions, de la vie, de la fécondité, de la joie. Il est l’âme du corps physique. Avoir le sang malade est dangereux, mortel, mais plus encore c’est comme porter un  secret dont sa famille souffre !  On perd dès sa naissance, un sens de l’affection, on porte un sentiment de peur du rejet de l’autre, un manque de joie et le sentiment que les idées, le bonheur ne circule pas !  

    Souvent les personnes atteintes de ces maladies sont tristes, anémiées et en totale dévalorisation d’elles-mêmes  « L'anémie touche les personnes qui souffrent de solitude, de manque d'intérêt pour la vie et pour les autres envers qui elles ne ressentent souvent que peu de sentiments. Ce sont des personnes qui subissent leur propre dévalorisation, qui vivent avec hésitation, elles cherchent l'appui  de leur entourage. Elles ont peu de motivation car  peu de désir et d'envie, elles ne projettent pas leur bonheur dans l'avenir puisqu'elles le perçoivent comme illusoire et flou. Une personne souffrant d'anémie se sent souvent à coté de sa vie. Il sera intéressant pour cette personne de remonter l'histoire de sa vie et de rechercher si dans son enfance, elle n'a pas interprété certains évènements de manière très négative et aurait placé une grande dévalorisation d'elle-même. »(SCE

    De plus si cette maladie sanguine  est héréditaire, qui vient donc de  « ce dont on hérite », on est en droit de se demander de quoi hérite t-on de génération en générations dans ma famille ?  

    Si on se rappelle bien que la maladie est la dysharmonie dans notre façon de penser, dire et agir, et qu’elle ne peut se guérir que par une approche holistique, on comprend bien que le passé historique des populations noires de manière générale, n’est pas étranger au développement d’une pathologie, telle que la drépanocytose, dont le sang est malade, s’imprègne d’une perte totale de joie, de bonheur, d’estime de soi et de valeur. Mais que ce sentiment peut se retrouver chez n’importe qui et qu’il n’est  pas plus une caractéristique raciale. 

    Le sang étant ce qui nous enracine au monde, à la terre, qui nous lie à « là d’où l’on vient », à notre mère, à la Mère, à Mère Nature, à la Terre, aux personnes, à notre famille. Il contient les croyances traditionnelles de notre groupe socioculturel, de notre famille. Il gère la relation avec le corps,  la matière, le concret, le matériel, l’activité physique, l’aspect pratique mais aussi la nourriture, l’habitat et l’acceptation de nous-mêmes. Il est notre point de liaison avec l’énergie et en même temps le moyen de renforcer notre sécurité de base.  

    Les personne qui souffrent dans leur âme, dont le sang est atteint, en analysant bien leur vie dès la naissance, se rendent très vite compte qu’elles ont sans cesse été en survie physique, et cultive cette conscience de la survie ; comme un SDF de la vie !  

    L’impact du mieux-être interviendra dès qu’elles auront pris conscience de leur lien profond avec la Terre et les personnes qui les entourent pour une vie harmonieuse ! Elles se mettront au travail avec une grande énergie. Elles développeront un courage dans l’action. Toujours intègres avec  elles-mêmes et leurs émotions parce qu’elles développent désormais une ressenti  de sécurité individuelle et non de survie ! Mais aussi dans leur famille et ensuite dans le groupe social. Enfin elles se sentent chez elles ! En accord avec els règles sociales et familiales, qu’elles ne subissent plus comme une tare, un secret ou un leg imposé.  Une confiance en elles-mêmes qui fait envie.  

    « Ce gène que je pensais malade, est en réalité un message de mon unicité et de ma valeur dans cette vie et dans cette famille, à qui je peux redonner joie, bonheur et vie pour renverser le cours transgénérationnel ! » S’écrient-elles ! 

    cvfg

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  • Il peut tout réparer "vivreaujourd'hui.com"

    19 Juin 2014
     

    Je réparerai leur infidélité. J’aurai pour eux un amour sincère.
    Osée 14.4

    Jadis, un réparateur de faïence et de porcelaine avait placé devant sa boutique cette pancarte : « Aucune porcelaine n’est trop brisée pour être réparée. » On venait lui apporter les vaisselles en morceaux et, quand on revenait, il était impossible de reconnaître la moindre trace de brisure des récipients qui avaient été endommagés.

    La Bible montre qu’aucun homme, aucune femme, aucun jeune devenu un “pot cassé” n’a eu sa vie si brisée qu’elle ne puisse être restaurée. Personne n’est tombé si bas qu’il ne puisse être relevé. Toute victime de passion tentaculaire peut en être libérée, qu’il s’agisse de drogue, d’alcool ou de toute autre chaîne qui retient prisonnier. Aucun deuil n’est si profond qu’il ne puisse bénéficier de la consolation. Il n’est aucun découragé qui ne puisse être relevé et retrouver du courage s’il fait appel à Dieu.

    Dieu peut tout réparer : des vies gâchées, des foyers en ruines, des familles disloquées, des cœurs déchirés, des consciences bourrelées de remords, des esprits abattus… Le baume de son amour peut tout cicatriser.

    Il suffit de lui faire pleinement confiance, de lui apporter toute votre vie, sans rien vouloir en garder.

    Nous n’avons rien à payer. C’est lui qui a payé la note lorsque Jésus est mort sur la croix pour nos péchés et qu’il s’est chargé de nos maladies.

    Ne manquez pas de venir à lui, de lui faire pleinement confiance, de lui abandonner votre vie. Adressez-vous à lui dans une prière simple et sincère. Il tient en réserve de si grandes bénédictions pour vous !

    Lucien C.

     

    Livre des Lamentations 3. 1-26 : "1 Je suis l’homme  qui a connu le malheur sous les coups de la fureur du Seigneur. 2 Il m’a poussé devant lui, il m’a fait marcher non dans la lumière mais dans la nuit. 3 Oui, tous les jours, il fait peser sa main sur moi, et sur moi seul. 4 Il m’a usé de la tête aux pieds, il m’a brisé les os. 5 Il m’a enfermé en m’entourant de peine et de difficultés. 6 Il m’a fait habiter dans l’obscurité, comme ceux qui sont morts depuis longtemps. 7 Le Seigneur m’a entouré d’un mur pour m’empêcher de sortir, il m’a chargé de lourdes chaînes. 8 Même quand je crie et appelle au secours, il ferme ses oreilles à ma prière. 9 Il m’a barré la route avec de grosses pierres, il m’a conduit sur une fausse piste. 10 Le Seigneur est pour moi comme un animal sauvage prêt à bondir, comme un lion caché dans un buisson. 11 Il m’a fait perdre mon chemin, il m’a déchiré et détruit. 12 Il a tendu son arc et dirigé ses flèches contre moi. 13 Il a planté toutes ses flèches dans mes reins. 14 Tout mon peuple rit de moi. Tous les jours, les gens chantent des chansons pour se moquer de moi. 15 Le Seigneur m’a rempli d’une souffrance amère, il m’a donné du poison à boire. 16 Il m’a obligé à briser des cailloux avec les dents, il m’a écrasé dans la poussière. 17 Il m’a enlevé la paix, j’ai oublié le bonheur. 18 Alors je dis : Je n’ai plus d’avenir, je n’attends plus rien du Seigneur. 19 Je suis dans le malheur et je ne sais pas où je vais. Penser à mon malheur est pour moi comme un poison amer. 20 J’y pense sans arrêt, je ne peux pas oublier, et je suis abattu. 21 Mais voici la pensée qui me vient à l’esprit, voici pourquoi j’espère : 22 La bonté du Seigneur n’est pas épuisée, il n’a pas fini de montrer son amour. 23 Chaque matin, sa bonté et son amour sont tout neufs. Oui, ta fidélité est immense ! 24 Je me dis : « Le Seigneur est mon trésor. » C’est pourquoi je compte sur lui. 25 Le Seigneur est bon pour celui qui met sa confiance en lui, pour celui qui le cherche. 26 C’est une bonne chose d’attendre en silence le secours du Seigneur."

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  • M’entends-tu ? "vivreaujourd'hui.com"

    18 Juin 2014
     

    Et voici, il s’éleva sur la mer une si grande tempête que la barque était couverte par les flots ; et lui, il dormait. Matthieu 8.24

     

    La partie de pêche en mer battait son plein, et nous nous régalions déjà en pensant aux repas futurs. Nous faisions des signes aux camarades sur les autres bateaux pour indiquer les tailles des morues attrapées… C’était à qui prendrait la plus grosse !

    Soudain mon père nous interpelle brutalement : « Allez, on range tout, vite ! Un grain se prépare. » En effet de gros nuages noirs arrivaient rapidement, le vent se levait et la mer se hérissait de gros moutons gris. Notre petit canot breton de sept mètres commençait à rouler sérieusement.

    La manœuvre fut rapide : les cannes rangées, l’ancre remontée, le moteur mis en marche… Les copains avaient fait de même et nous naviguions de concert. Cependant la mer gonflait. Et de plus en plus souvent, le bateau de nos amis disparaissait derrière la crête des vagues de plus en plus fortes. Alors nous nous appelions régulièrement : « Ho hé! Ça va ? » Avec le vent, le bruit montait ; le cri alors devint : « M’entends-tu ?… » Après une heure d’efforts, nous parvînmes au port, soulagés.

    La vie est ainsi faite de temps calmes et de tempêtes, de moments de plaisirs et de moments de craintes. Nous le savons, le bonheur est une chose relative.

    Dans la tempête nous cherchons un refuge, un endroit pour se mettre à l’abri, quelqu’un pour nous soutenir… Alors nous pouvons crier vers Dieu : « M’entends-tu ? »

    Il est ce père fidèle qui nous regarde vivre. Il nous aime et nous soutient si nous nous confions à lui. Encore faut-il l’appeler !…

    Bernard D.

     

    M'ENTENDS-TU ?

    Évangile selon Marc 4. 35-41 : "35 Le soir de ce jour-là, Jésus dit à ses disciples : « Allons de l’autre côté du lac ! » 36 Ils quittent la foule, et les disciples font partir la barque où Jésus se trouve. Il y a d’autres barques à côté d’eux. 37 Un vent très violent se met à souffler. Les vagues se jettent sur la barque, et beaucoup d’eau entre déjà dans la barque. 38 Jésus est à l’arrière, il dort, la tête sur un coussin. Ses disciples le réveillent et lui disent : « Maître, nous allons mourir ! Cela ne te fait rien ? » 39 Jésus se réveille. Il menace le vent et dit au lac : « Silence ! Calme-toi ! » Alors le vent s’arrête de souffler, et tout devient très calme. 40 Jésus dit à ses disciples : « Pourquoi est-ce que vous avez peur ? Vous n’avez donc pas encore de foi ? » 41 Mais les disciples sont effrayés et ils se disent entre eux : « Qui donc est cet homme ? Même le vent et l’eau lui obéissent ! »

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  •  CRY FREEDOM

     

     

      Realise par       Richard Attenborough

         Avec                 Kevin Kline, Penelope Wilton, Denzel Washington

     Synopsis :

    En 1975 en Afrique du Sud, le journaliste blanc Donald Woods se lie d'amitié avec Stephen Biko le leader d'un mouvement extrémiste : "Black Consciousness" qu'il rencontre au cours d'un reportage. De plus en plus proches, Woods est témoin d'actes de violence de la part de la police contre la communauté noire et s'implique de plus en plus dans la lutte anti-apartheid...jusqu'à l'arrestation de Biko et sa mort dans des conditions que les autorités tentent de dissimuler...  

     

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  • Des charbons ardents "vivreaujourd'hui.com"

    17 Juin 2014
     

    Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger. S’il a soif, donne-lui à boire, car ce sont des charbons ardents que tu amasses sur sa tête.
    Proverbes 25.21-22

     

    À la caserne, dans la chambrée, un soldat chrétien s’agenouillait chaque soir au pied de son lit pour prier. Un soir qu’il était en prière, un de ses voisins, par moquerie, empoigna sa botte maculée de boue et la lança sur son camarade. Elle aboutit sur sa tête, la faisant vaciller.

    Le lendemain matin, quand l’utilisateur de cette botte voulut la reprendre, il la trouva nettoyée et cirée.
    – J’en fus stupéfait, avoua-t-il plus tard. J’ai été amené à rechercher qui était celui qui pouvait pardonner à un gars tel que moi.

    En fait, le comportement de sa victime l’avait laissé mal à l’aise, comme si celui-ci avait laissé tomber des brandons de charbon incandescents sur sa tête. Maintenant, mal à l’aise, il en souffrait. Il ne pouvait plus rester ainsi. Il ressentait un sentiment insupportable de honte et de regret. C’est ainsi qu’il alla trouver son camarade, sa victime, pour lui demander comment il avait pu manifester une telle attitude et une telle mesure de pardon. Il s’humilia de tout son cœur devant son voisin de chambrée et devant Dieu, et il ouvrit son cœur à Jésus.

    Ne laissons pas les charbons ardents s’accumuler sur notre tête et nous faire souffrir si nous sommes écrasés par le remords. Au contraire, pour en être libérés, réglons notre problème au plus tôt. Nous serons délivrés de tout remords.

    Lucien C.

     

    DES CHARBONS ARDENTS

    Livre des Proverbes 25. 21-28 : "21 Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s’il a soif, donne-lui à boire. 22 En faisant cela, tu le gêneras comme s’il avait des charbons brûlants sur sa tête, et le Seigneur te récompensera. 23 Le vent du nord amène la pluie, les mensonges appellent la colère des autres. 24 Il vaut mieux habiter dehors que loger avec une femme qui aime les disputes. 25 Une bonne nouvelle venue de loin, c’est de l’eau fraîche pour quelqu’un qui meurt de soif. 26 Une personne qui agit bien mais qui tremble devant un homme mauvais, ressemble à une source ou à un puits qu’on a sali. 27 Il n’est pas bon de manger trop de miel, ni de rechercher trop d’honneurs. 28 Une personne qui ne domine pas sa colère est comme une ville ouverte, sans murs de défense."

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  • 16 JUIN Journée Mondiale de l'enfant Africain 

     

     JOURNÉE MONDIALE DE L'ENFANT AFRICAIN
     

    Le 16 juin, les coalitions africaines de l'action mondiale contre la pauvreté organisent des actions simultanées pour la Journée de l’Enfant Africain. Cette Journée de l’Enfant Africain est un événement annuel qui commémore le massacre des enfants de Soweto de 1976 par le régime de l’apartheid. Les coalitions de l’action mondiale contre la pauvreté ont choisi cette occasion pour en faire la Journée Africaine du Bandeau Blanc et pour faire une demande régionale auprès des dirigeants des pays concernés afin qu'ils agissent immédiatement pour éradiquer la pauvreté extrême qui cause la mort d'un enfant toutes les 3 secondes en moyenne.sce 

    Que s’est-il passé à Soweto ?  

    16 juin 1976, nous sommes à Soweto, une banlieue noire située au sud-ouest de Johannesburg en Afrique du Sud. 1 millions d’habitants, dont 54% sont au chômage, 86% des logements sans électricité, 93% sans installation sanitaire. Nous sommes encore sous le régime de l’Apartheid, mot afrikaans qui désigne la séparation raciale. Les grands leaders de l’opposition noire, comme Nelson Mandela, sont en prison depuis des années ou en exil. Le sont les syndicats étudiants, comme l’African Students Movement, qui essaient de résister au système puissant de l’homme blanc qui le traite en sous-homme. Une nouvelle génération s’engage dans la lutte contre la ségrégation.  

    Les écoliers et étudiants, avec le soutien du mouvement de conscience noire, se rassemblent alors ce 16 juin 1976, pour protester contre la décision administrative, qui leur donne obligation de suivre leur enseignement en afrikaans, la langue des boers(paysans) ou afrikaners, principale communauté blanche qui a fondé en 1949 l’apartheid. Cette langue est parlée depuis trois siècles par les blancs qui habitent le pays. En réalité c’est de l’hollandais créolisé par les colons hollandais.  

    Nous sommes alors en pleine période d’examen. Depuis trois semaines, certains élèves du lycée technique de Phefeni, observent une grève. Car les matières principales comme la géographie, l’histoire, les mathématiques, leur sont imposées en afrikaans au lieu de l’anglais. Les jeunes noirs refusent cette discrimination. Peu d’entre eux la maîtrise et aucun ne veut se cultiver avec la langue du possesseur !  

    Entre 8h et 9h30 du matin, des milliers de jeunes commencent à se réunir silencieusement devant l’école Morris Isaacson, autour des banderoles, qui disent non à l’afrikaans, ayant reçu des consignes non violentes de leur leader, Tiestsi Mashinini. Ils sont peut-être 10 000 estime, l’un des manifestant à l’époque. Les jeunes ont l’intention de marcher dans tout  Soweto avant de rejoindre le stade d’Orlando. Mais c’est sans compter avec la police qui elle, a reçu l’ordre du ministre de la justice, de rétablir l’ordre à tout prix et par tous les moyens possibles !   

    La police, à peine une cinquantaine, somme la foule de  jeunes de se disperser. Bien sûr ceux-ci refuse. Elle lance d’abord les chiens, puis les grenades lacrymogènes,  et sans plus attendre, nerveux et peu préparés, ouvre le feu à balles réelles, sur les jeunes désarmés.  

    Des centaines de jeunes tombent sous les coups de tir, plus de 570 selon les témoignages, alors que le bilan officiel fait état de 23 morts et 220 blessés. De nombreux tirs ont été portés dans le dos. Des enfants de 12 ans ont été froidement abattus. Les chefs des partis noirs sont arrêtés. Steve Biko, chef du mouvement de la Conscience noire, est arrêté et tué suite à d’importants et violents coups portés à la tête. C’est un vrai bain de sang !  

    Les émeutes se répandent alors dans toutes les banlieues pendant 6 jours. La police surarmée (renforts, fusils à pompe et munitions leur arrivent par hélicoptère), contre une foule en colère, avec comme seules armes des cailloux, bouteilles et des bricoles. Le mouvement de révolte s’étend rapidement à tout le pays pendant 15 mois.  

    Les étudiants et élèves blancs manifestent à Johannesburg pour apporter leur soutien aux émeutiers noirs que la police continue à abattre froidement. Les ouvriers se sont joints à la révolte. Le massacre est d’autant plus important. Tous les symboles de la ségrégation sont mis à feu, écoles de l’apartheid, bus de transport des ouvriers noirs vers leurs lieux d’exploitation… 

    Un vrai massacre qui oblige le gouvernement à retirer sa circulaire administrative. Leur violence est telle, qu’elle alerte l’opinion internationale. L’ONU en 1977 émet un embargo sur les ventes d’armes à destination de l’Afrique du Sud. Il faudra attendre 17 ans plus tard pour l’abolition de l’apartheid.  

    Les émeutes de Soweto ont été mises en scène à la fin du film Cry Freedom de Richard Attenborough et en 1992 dans la comédie musicale Sarafina! de Darrell Roodt. Elles apparaisssent aussi au début du film Une saison blanche et sèche de Euzhan Palcy en 1989

     

    MASSACRE DES ENFANTS DE SOWETO  

    jeudi 17 juin 2010  

    JOURNÉE MONDIALE DE L'ENFANT AFRICAIN

    L’image a fait le tour du monde. A elle seule, elle a conscientisé le monde sur l’enfer que vivaient les Noirs sud-africains sous le régime de l’apartheid. C’est la photo de cet écolier tenant dans ses bras un autre plus jeune, fauché par une balle, avec à côté une fille en larmes. Cet innocent enfant est une des nombreuses victimes de la barbare répression des émeutes de Soweto, le 16 juin 1976. En ces années de braise-là, refuser d’adopter l’afrikaans, la langue de l’apartheid, pouvait vous valoir la mort. C’est ce refus conscient qui a amené les élèves à manifester et à se faire massacrer. 

     

    Une nouvelle génération lutte  

    Les insurrections ne s’arrêtent pas pendant 15 mois, les jeunes sont volontaires pour l’insurrection et la lutte pour la liberté et leurs droits. Mais là où le bas blesse, c’est dans le manque de structuration.  

    Partout en Afrique australe le colonialisme bat en retraite. Du fond de sa prison, Nelson Mandela, tente de comprendre les événements de Soweto. Deux générations se croisent, une plus courageuse, hostile et agressive, avec comme slogan « un colon, une balle ». L’autre modérée et pacifique. Si la révolution de conscience de masse est une bonne chose, la canaliser et l’optimiser en est une autre.  

    Quand en 1980 commence la grande campagne de libération de Nelson Mandela, grâce à l’influent quotidien le Post, c’est un espoir de rassemblement, de canalisation, de structuration qui voit le jour, au travers des « comités Mandela » qui pullulent à travers tout le pays. Quand enfin en 1991, Mandela est libéré, après bien des péripéties, c’est enfin la lutte organisée qui met fin aux révoltes spontanées pour la construction de la nouvelle Afrique du Sud !  

     

    Que nous apprennent les enfants de Soweto ?  

    Tous les conflits vers la liberté sont sanglants et extraordinaire parce qu’ils marquent la prise de conscience !  

    C’est l’accélération de la dynamique sociale qui marque le changement et donne une nouvelle impulsion aux idées que l’on défend et aux besoins d’application de ce changement. A un moment donné les mouvements socio-intellectuels spontanés des plus jeunes, imposent un rythme aux attitudes latentes, de changement organisé, traditionnel et continuel basée sur l’expérience des plus grands. Des points de rupture font jour, au point, qu’il faille une nouvelle unité structurante, qui associe l’accélération de la dynamique sociale et le bouleversement socio-intellectuel de prise de conscience et c’est de là que naît le changement  !  

    Tous nos changements historiques sont partis de là et continueront à partir de là. Car il faut que les conflits de générations s’estompent pour que prenne place la force créatrice des générations.  

    Le mouvement des anciens, s’est accéléré par la hardiesse des plus jeunes, pour qu’enfin l’unité structurante fasse jaillir une nouvelle société, voire un nouveau pays.  

    Dans nos mouvements, quelle qu’en soit l’échelle, familiale, professionnelle, sportive, associative, les générations demeurent une force, non une tare, mieux s’entendre pour mieux visualiser et enfin mieux créer, c’est le passage obligé du renouveau.  

    cvfg

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  • Un compte-pas ? "vivreaujourd'hui.com"

    16 Juin 2014
     

    Tu comptes les pas de ma vie errante.
    Psaume 56.9

    En moyenne, paraît-il, un adulte fait entre 8 000 et 10 000 pas par jour. Ce qui équivaut à parcourir durant toute une vie quatre fois le tour de la terre.

    La marche nous est une activité tellement naturelle que nous n’y prêtons pas attention jusqu’au moment où, pour une raison ou une autre, nous butons sur un obstacle, nous trébuchons.

    Dieu connaît tout ce qui concerne notre vie. Il sait tout. Il n’a pas besoin de l’instrument nommé podomètre pour connaître le nombre des pas que nous avons effectués et la distance que nous avons parcourue.

    Mais par ailleurs, pour employer une expression courante, Dieu sait où nous mettons les pieds. Il aimerait, par exemple, que nous les dirigions dans la bonne direction pour contribuer au bien des personnes qui ont besoin de notre aide.

    Alors que leurs enfants effectuent les premiers pas, les parents voudraient leur éviter la moindre chute. De la même façon, Dieu veille sur nos pas, voulant nous empêcher de succomber à la tentation. Il désire nous relever si nous tombons, et nous remettre en marche. Nous devons lui demander de nous guider afin que nous allions là où il le désire, de sorte que nous ne mettions les pieds que là où Jésus irait.

    Dans une simple prière, disons-lui : « Ô Dieu ! je ne veux plus mettre mes pieds n’importe où. Montre-moi où je dois diriger mes pas. Apprends-moi à éviter les embûches et à marcher sur le chemin de la vie. »

    Lucien C.

    Psaume 56. 2-14 : "2 Ô Dieu, aie pitié de moi ! Des gens me poursuivent, tous les jours, ils m’attaquent, ils m’écrasent. 3 Tous les jours, mes ennemis me poursuivent, ils sont très nombreux à m’attaquer, ces orgueilleux. 4 Mais quand j’ai peur, je mets ma confiance en toi. 5 Je chante la louange de Dieu à cause de sa parole, j’ai confiance en Dieu, je n’ai pas peur. Qu’est-ce qu’un homme peut faire contre moi ? 6 Tous les jours, ils me disent des paroles blessantes, ils pensent seulement à me faire du mal. 7 Ils se réunissent, ils m’observent en cachette, ils surveillent mes allées et venues. Oui, ils veulent me tuer. 8 À cause de ce crime, ils ne peuvent pas s’en sortir. Ô Dieu, dans ta colère, fais tomber ces gens-là ! 9 Toi, tu as compté le nombre de fois où j’ai dû fuir. Souviens-toi toujours de mes larmes, tu les as sûrement comptées. 10 Alors, quand j’appellerai au secours, mes ennemis reculeront. Dieu est pour moi, je le sais. 11 Je chante la louange de Dieu à cause de sa parole. Oui, à cause de cette parole, je chante la louange du Seigneur. 12 J’ai confiance en Dieu, je n’ai pas peur. Qu’est-ce qu’un homme peut faire contre moi ? 13 Ô Dieu, je vais tenir mes promesses, je t’offrirai des sacrifices pour te dire merci. 14 Oui, tu m’as sauvé de la mort, tu m’as empêché de tomber. Alors je marche devant toi, dans la lumière de la vie."

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  • Fête des Pères  

     

    FÊTE DES PÈRES

     

    La fête des Pères trouve son origine, comme toutes les fêtes entre une histoire personnelle et une  opération commerciale. Mais derrière tout ce que construit l’homme existe bien un mobile, quel qu’il soit et une problématique qui prend plus ou moins de l’importance avec le temps et au fil de l’évolution des mentalités et des générations.  

     

    Une histoire simple de tradition 

     

    Tout comme La fête des mères, la fête moderne des pères est originaire des Etats-Unis,  instituée par le président Calvin Coolidge en 1910 sous l’instigation de Sonora Smart Dodd. Sa mère étant morte, c’est le père de Sonora, Henry Jackson Smart, un fermier, qui éleva seul ses 6 enfants dans la petite ville de Spokane, dans l’Etat de Washington.  Sa fille entreprend alors des démarches en 1909 pour que tous les pères des Etats-Unis soient honorés en l’honneur de son propre père né au mois de juin..  

     

    La première célébration de la fête des pères s'est déroulée le 19 juin 1910 dans l'état de Washington. En 1924, le président Calvin Coolidge propose que cette fête devienne nationale, mais il faudra attendre 1966 pour que le Président Lyndon Johnson signe une déclaration présidentielle qui institue le troisième dimanche de juin jour de fête des pères au plan national. 

    En France la fête des pères à été lancée par une marque commerciale de briquet, la société Flaminaire avant d'être officialisée en 1952.  

     

    Mais aussi loin que l’on se souvienne, on a toujours célébré les pères de familles dès le Moyen Âge, le 19 mars ‘jour de la Saint-Joseph” dans la tradition catholique, en souvenir bien sûr du Père puratif de Jésus.  Date gardée encore aujourd’hui par certains pays.  

     

    Mais plus encore on se surprend à fêter l’homme ou le Père, comme en Allemagne où l’on célèbre en réalité “le jour des hommes, ou des messieurs”  au jour férié de l’ascension. Dans d’autres pays, comme le Canada, le Japon, la Nouvelle-Zélande, l’Australie, Singapour et bien d’autres encore,  la fête des pères n’est pas un jour férié.  

     

    Jamais officialisée comme celle des mères, la fête des pères est davantage une célébration rentrée dans les moeurs, une tradition. Rien de plus !  

     

    Mais qui est vraiment le « Père » ? 

     

    Père vient du latin "pater", qui désigne à la fois le représentant de l'autorité, le père de famille et le géniteur. Aujourd'hui le terme père a un sens davantage sociétal plus proche du géniteur , mais le rôle du père a évolué au fil du temps, pour passer de l'autoritaire pater familias de l'antiquité, qui avait même le pouvoir de vendre ses enfants, au papa d'aujourd'hui ! 

     

    De tout temps, l’image du Père est associée au Dieu créateur, définit comme Dieu le Père. Puis ce fut les Pères de nations, de peuples, qui prennent le pas, comme Abraham, reconnu comme père des croyants  juifs, arabes et chrétiens. Les Empereurs romains deviennent les Pères de la Patrie. Les Pères se retrouvent au sein de l’Eglise, jusqu’au titre de Très saint Père attribué au Pape par les catholiques !  

     

     Mais qui est vraiment le Père ?  

     

    Chantal Zaouche Gaudron, a défini, grâce à des psychologues, psychanalystes, historiens et sociologues le Père d’aujourd’hui,  à quoi sert-il ? Son  rôle ?  

    Mis à part la période de l’antiquité, du Père traumatisant par son autorité, les avancées du XXè siècle, telles que le travail des femmes, l’importance du chômage, la légalisation de l’avortement, la contraception, la révolution de la jeunesse ont redéfini les choses :   

    « Au-delà de cette problématique, les auteurs nous conduisent à réfléchir d'une manière plus large sur les changements de l'identité masculine, plus particulièrement au sein de la famille. Le psychanalyste Serge Lebovici nous rappelle que « la paternité est une invention humaine ». France Frascarolo, docteur en psychologie, évoque toute la palette des figures paternelles (du père démissionnaire au père-mère, en passant par le père fouettard) qui s'oppose, selon elle, à une vision monolithique de la mère. 

    De ces confrontations de points de vue ressort une vision large du père, qu'il soit adoptif, homosexuel ou maltraitant, ou plus simplement et fréquemment de l'homme qui découvre que la transmission du nom s'accompagne de nombreuses obligations. « Le déclin social de l'image du père » constaté par Jacques Lacan n'est pas pour autant une fatalité, mais peut permettre la redéfinition des rôles du père, de la mère et de l'enfant. »Auteur(s): Sous la direction de Chantal Zaouche-Gaudron - éd. érès, 2001, (208 p. ; 22,87 €) 

     

     

    Selon cette même étude : Trois modèles de père vont cohabiter :  

    Le modèle aristocratique, paysan et citadin. Qui affine les liens affectifs du père moderne à l’égard de son enfant. Il lui transmet des savoir-faire, savoirs et talents. Une manière de décloisonner le rôle de la vie qu’à la mère, et la « sphère publique » du père. « Le patrimoine transmis par le père compte, bientôt, bien moins que les diplômes validés par l’école. Longtemps, le père fut au sommet du triangle dont la base était occupée par la mère et l’enfant. Dorénavant, c’est bien l’enfant et son intérêt qui occupent ce sommet, la base étant répartie entre les parents et l’État. » Aujourd’hui, on peut difficilement attribuer une valeur intemporelle et universelle à la fonction paternelle. Et de citer les nombreuses formes de paternité : papa poule (interchangeable avec la mère), père copain, père absent (du fait de sa suroccupation professionnelle), père fouettard, père courage (qui se bat pour obtenir la garde de ses enfants), père démissionnaire, père spécialiste (dans certaines tâches), non père (qui a fui ses responsabilités) ? multiplicité rendant difficile la réduction à un seul moule » Jacques Trémintin 

     

    Le Père d’aujourd’hui 

     

    Aujourd’hui, on le taxe d’être absent ou présent, voire trop présent, car trop proche de ses enfants, trop dirigiste pour ceux-ci. Malgré tout, le Père incarne et incarnera toujours le guide. Les nombreux témoignages d’enfants en quête de père, parce qu’en quête de repères, et quête de remplacement de ce père dérobé. C’est lui qui a le rôle d’ouvrir l’enfant au monde, après la période de coocooning d’avec la mère.  

     

    C’est davantage le père qui doit définir sa paternité pour un vécu relationnel qui s’inscrit soit dans l’autoritarisme, le copinage, l’absentéisme ou que sais-je encore…Mais aussi le sentiment de sécurité qu’à l’enfant de trouver un père capable de répondre à ses questions, ses besoins, qui sache prendre des décisions le concernant dans une communication mais une justice partagée avec la mère.  

     

    En réalité les schémas de paternité se transmettent de père en fils, mais chacun a quand même le choix de choisir sa route et d’incarner la paternité qui sied à l’ambiance de sa famille, la personnalité de son enfant, l’objectif de sa vie.  

    C’est pourquoi le père n’est pas seulement le géniteur ou celui des liens du sang, mais peut convenir à toute autre personne qui entre dans ce schéma de la paternité, à travers ses propres idéaux et en comprenant, avec le recul qui sied à cette gymnastique de l’esprit ancestral, que le Père ne prend de l’importance dans sa vie que par son rôle, sa fonction, plutôt que par la personne elle-même.  

     

    Cette philosophie de vie, enlève le poids défavorable que peuvent ressentir les familles monoparentales. Et permet aux hommes, quels qu’ils soient d’être pour n’importe lequel de ces êtres chers, des repères, des guides. On rompt totalement avec le Père freudien, tout-puissant, autoritaire, omniscient, même si cette autorité reste nécessaire et présente aujourd’hui pour un sage équilibre. Mais il n’est pas qu’autorité, il sait dire non, mais il sait aussi laisser faire, pour laisser grandir, pour le bien de l’enfant et sa construction. Même si on n’a pas eu de père, on le recherchera toujours en quelqu’un-symbole, -mentor, -guide !  
     

    Pendant longtemps l’enfant ne portait pas le nom du père, mais n’avait qu’un prénom. Ce n’est qu’au XVè voire au XVIè sièvle que le nom du père sert à l’enregistrement à l’état civil et ce n’est pas la règle partout comme l’a prouvé l’histoire du recensement des habitants dans les colonies. « En France, avant 1539, seuls les nobles avaient un nom de famille héréditaire, les autres n'avaient qu'un prénom de baptême auquel on associait un surnom afin de différencier les nombreux homonymes (« du pont », « le grand », « le doyen », « sans peur »...). Cependant, la plupart des noms de famille étaient devenus commun depuis Charlemagne et la fin de l'empire Carolingien. Ils consistaient pour la plupart du temps dans l'acceptation de l'utilité sociale comme étant de famille. Exemple Bouchard en carolingien germanique Buckart signifiait celui qui ferme, ou la clef. Et les noms de famille se sont imposés par souvenir de ce que faisait le père « C'est le fils de la clef de x » ou « C'est le fils du boucher de x ». Ainsi, petit à petit, cet usage s'est il imposé à l'ensemble des individus en Europe. 

    Depuis la loi no 2003-516 du 2003-06-1818 juin 2003 relative à la dévolution du nom de famille, la transmission du nom de famille ne fait plus aucune distinction entre le nom de la mère et celui du père. L'enfant peut recevoir aussi bien le nom de l'un que le nom de l'autre, voire les deux noms accolés dans l'ordre choisi par les parents. Aussi porter le nom de son père n’est même plus un repère. Le nom de famille devient une marque de sa personnalité, de son patrimoine et un choix. Il peut même la céder à un tiers qui utilisera le prestige de ce nom pour promouvoir ses activités. L'exploitant ne doit toutefois pas l'utiliser d'une manière qui porte préjudice à l'honneur de la personne qui porte ce nom. (sce) » 

     

    Ce qui prouve bien, que Le PERE, restera avant tout celui qui guide et amène vers, bien plus que le géniteur… 

     

    Quel est ton père ? 

     

    Bonne fête au PERE, le VRAI !  

     

    cvfg

     

    FÊTE DES PÈRES

     

     

     

     

     

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  • Tic-Tac "vivreaujourd'hui.com"

    15 Juin 2014
     

    Rachetez le temps.
    Colossiens 4.5

     

    Il y a quelques années, j’ai passé un week-end inoubliable chez des amis, dans une belle région de Suède. Leur chalet était un bâtiment rustique, équipé de tout le confort moderne nécessaire pour assurer un agréable séjour. Mon lit se trouvait sur une plate-forme en bois au-dessus d’une partie du salon. Il me convenait parfaitement, sauf quand je me levais “du mauvais côté du lit”…
    Je dois avouer que je n’ai pas beaucoup dormi, et cela pour deux raisons. La première : mon lit était éclairé comme en plein jour 22 heures sur 24, car les nuits au centre de la Suède sont très courtes en juillet. La deuxième : il y avait à la hauteur de mes yeux une grande horloge sur le mur du salon ; le bruit du tic-tac suffisait amplement à me garder éveillé en permanence, même sans lumière.
    L’horloge avait une particularité : elle n’avait plus d’aiguilles, elles avaient disparu ou s’étaient cassées. Le temps s’écoulait joyeusement, mais l’horloge n’indiquait pas l’heure. Impossible de dire s’il était deux ou six heures… tout ce qu’elle communiquait, c’était les secondes qui passaient.
    L’horloge de notre existence sur terre fait, elle aussi, « tic… tac… » inlassablement. Telle l’horloge de mes hôtes suédois, elle n’indique pas l’heure au cadran de notre vie. Il est impossible de dire combien de temps il y reste…
    Ce que nous faisons du temps à disposition est beaucoup plus important que de nous demander à quel moment il touchera à son terme. Le temps passe, et nous ne le rattraperons pas.
    Comment utilisez-vous votre temps ?

    Silvano P.

    TIC-TAC

    Psaume 90. 1-6 : " 1 Seigneur, de génération en génération, tu as été notre abri. 2 Avant que naissent les montagnes, avant que tu crées la terre et le monde, depuis toujours et pour toujours, tu es Dieu ! 3 C’est toi qui dis aux humains : « Redevenez de la poussière. » Alors ils meurent et redeviennent poussière. 4 Pour toi, mille années passent aussi vite que la journée d’hier, ou quelques heures de la nuit. 5 Tu emportes la vie humaine : elle dure le temps d’un court sommeil. Elle ressemble à l’herbe qui pousse. 6 Le matin, elle fleurit, elle grandit, le soir, elle se fane, elle est sèche !"

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  • Aimer, bénir "vivreaujourd'hui.com"

    14 Juin 2014
     

    Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent.
    Matthieu 5.44

     

    La guerre est l’une des pires choses, sinon la pire, qui puissent exister dans notre monde. Pour galvaniser les troupes de part et d’autre, on suscite et entretient la haine de l’ennemi. Il se trouve pourtant au sein des conflits des gestes d’amour.
    Au cours de la dernière guerre, dès le début des hostilités, mon père fut fait prisonnier et interné dans un camp à Nuremberg. Cette belle ville a été de nombreuses fois bombardée et les prisonniers n’avaient apparemment pas la possibilité de se mettre à l’abri. Un garde du camp avait signalé aux prisonniers que le barreau de l’une des fenêtres n’était pas bien scellé et pouvait laisser passer une personne. En cas de danger les prisonniers pourraient facilement quitter le baraquement. Un geste d’amitié, d’amour, de compassion, c’est pactiser avec l’ennemi ? Si la chose était parvenue aux oreilles des autorités, ce soldat aurait encouru une grave sanction. Certaines personnes sont capables de tels actes.
    Si nous voulons suivre Jésus-Christ, il nous demande, non seulement d’aimer nos ennemis, mais de les bénir, de prier pour ceux qui nous haïssent, nous maltraitent ou nous persécutent. À cause de notre foi, nous pouvons être traités en ennemis par certains, mais sont-ils les nôtres ?
    C’est le “plus” que Jésus demande aux siens et, n’en doutez pas, il leur en donnera la force.

    Jack M.

     

    Évangile de Matthieu 5. 43-48 : "43 « Vous avez appris qu’on a dit : “Tu dois aimer ton prochain  et détester ton ennemi.” 44 Mais moi, je vous dis : aimez vos ennemis. Priez pour ceux qui vous font souffrir. 45 Alors vous serez vraiment les enfants de votre Père qui est dans les cieux. En effet, il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons. Il fait tomber la pluie sur ceux qui se conduisent bien et sur ceux qui se conduisent mal. 46 Si vous aimez seulement ceux qui vous aiment, quelle récompense est-ce que Dieu va vous donner ? Même les employés des impôts font la même chose que vous ! 47 Et si vous saluez seulement vos frères et vos sœurs, qu’est-ce que vous faites d’extraordinaire ? Même les gens qui ne connaissent pas Dieu font la même chose que vous ! 48 Soyez donc parfaits, comme votre Père dans les cieux est parfait ! »

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  • Capitulation "vivreaujourd'hui.com"

    13 Juin 2014
     

    Venez à moi, vous tous qui êtes accablés sous le poids d’un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos.
    Matthieu 11.28

     

    Spurgeon raconte qu’un ouvrier qui avait souvent entendu l’Évangile avait du mal à croire qu’il puisse venir sans préalable au Christ. Son patron, un chrétien convaincu, voulait l’aider. Un jour il lui envoya un billet lui demandant de venir chez lui immédiatement après le travail. L’ouvrier obéit et sonna à la porte du patron. Celui-ci sortit et lui dit rudement :
    – Que me voulez-vous ? Pourquoi me dérangez-vous à cette heure ?
    – Monsieur, j’ai reçu un billet de votre part me demandant de venir après le travail.
    – Vous voulez dire que, puisque je vous ai dit : “Venez !”, vous pouvez venir me déranger après les heures de travail ?
    – Mais oui, Monsieur ! Je ne vous comprends pas : vous m’avez demandé de venir immédiatement après le travail. J’en ai conclu que je pouvais venir vous déranger à cette heure-ci.
    – Venez, entrez ! J’ai quelque chose que j’aimerais que vous lisiez. Asseyez-vous et lisez ces mots : Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés. Je vous donnerai du repos. Vous avez eu confiance en moi lorsque je vous ai dit : “Venez”. Pensez-vous qu’après cette invitation du Christ, vous auriez tort de venir à lui ? »
    L’homme capitula devant cet argument et saisit par la foi l’invitation de Jésus de venir à lui.

    Alfred K.

    CAPITULATION

     

    Évangile selon Jean 6. 36-40 : "36 Mais je vous l’ai dit : vous m’avez vu, et pourtant vous ne croyez pas. 37 Tous ceux que le Père me donne viendront à moi, et celui qui vient à moi, je ne le mettrai pas dehors. 38 Oui, je suis descendu du ciel pour faire la volonté de celui qui m’a envoyé. Je ne suis pas venu pour faire ce que je veux. 39 Voici la volonté de celui qui m’a envoyé : je ne dois perdre aucun de ceux qu’il m’a donnés, mais je dois les relever de la mort, le dernier jour. 40 Voici la volonté de mon Père : tous ceux qui voient le Fils et qui croient en lui vivront avec Dieu pour toujours. Et moi, le dernier jour, je les relèverai de la mort. » 

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  •  

    12 Juin Journée Mondiale contre le travail des enfants 
     

     

     

    Journée Mondiale Contre le Travail des Enfants

     

     

     

    Journée Mondiale Contre le Travail des Enfants246 MLLIONS D’enfants entre 5

    et 17 ans travaillent, essentiellement dans l’agriculture

    Soi 1 enfant sur 6 à l’échelle planétaire

     

     

    Les pays signataires de la convention de l'Organisation Internationale du Travail, se sont engagés à agir pour interdire et éliminer les pires formes de travail des enfants. Son objectif est à long terme d'obtenir l'abolition effective du travail des enfants.  

     

    Environ 179 millions, soit un enfant sur 8 - sont soumis aux "pires formes de travail", qui mettent en péril leur bien-être moral, mental ou physique  et 8,4 millions sont assujettis à des activités "intrinsèquement condamnables" - esclavage, servitude pour dettes, enrôlement dans des forces armées, prostitution ou pornographie

     

    5,7 millions de jeunes sont asservis ou sont forcés de travailler, ils ne possèdent aucun certificat de naissance ou papiers officiels et donc quasi inexistants. C’est la nouvelle forme d’esclavage !  

     

    Sept enfants sur dix travaillent dans des exploitations agricoles familiales. 10 millions d'enfants (en Asie, en Afrique, en Amérique du Sud) travailleraient pour une activité d'exportation, en faveur des entreprises occidentales, notamment dans le textile, la fabrication des tapis, la récolte de tabac ou de cacao à destination des grands groupes internationaux. 

    Le travail des enfants concerne également les pays développés : 2,5 millions d'enfants y travailleraient : surtout l'agriculture aux Etats-Unis, les services à la personne en Grande-Bretagne et le textile et le bâtiment en Europe du Sud... 

     

    SCE 

     

    Surprenant non !  

     A l’occasion de cette journée de sensibilisation, nous avons choisi de relayer sur deux jours des témoignages poignants, notamment ceux de l’UNICEF. Un appel à nous-mêmes remettre en cause une inconnue qui à bien y regarder reste choquante et intolérable dans un monde à la pointe de tout… 

     cvfg 

     

    Reportage 

    De la carrière de pierre à celle de futur docteur… 

    David a 13 ans, vit au Bénin. Élève studieux, il caresse aujourd’hui le doux rêve de devenir docteur, alors qu’il y a encore quelques années, David était un enfant forçat dans une carrière de pierre. À l’occasion de la Journée mondiale contre le travail des enfants, le 12 juin, nous vous racontons l’histoire de David, symbole du droit à l’éducation. 

     

    Journée Mondiale Contre le Travail des Enfants

    Victime d’abus, d’apprendre.                                            © UNICEF/Daimon Xanthopoulos

     

      
    Afin de rembourser les dettes familiales, Iqbal Masih, un petit garçon de 4 ans, a été réduit en esclavage. Il fut assassiné à l’âge de 12 ans.. 

    Au fond de la classe, David s’applique pour faire ses exercices. De nature timide, il n’hésite pas malgré tout à lever la main pour répondre à l’instituteur lorsqu’il a la bonne réponse. Avide de connaissances, passionné de mathématiques, il aime l’école car c’est son chemin tout tracé pour accomplir son rêve : devenir docteur. 
      
    À 13 ans, David est l’un des élèves les plus âgés de sa classe. Il est en dernière année à l’école primaire de Za-Kpota au sud du Bénin. Ce retard dans son parcours scolaire connait des raisons assez sombres… 

    Casser des pierres en plein soleil 

    Deux ans auparavant, David vit une tragédie familiale : son père décède, plongeant spontanément sa mère seule dans les responsabilités du foyer, à la recherche de ressources pour subvenir aux besoins. Dépassée par la situation, la mère de David est contrainte de confier provisoirement la garde de ses deux enfants à l’oncle de David qui vit au Nigéria, le temps des vacances. Le temps de trouver des solutions. 
    Initialement, David et son petit frère Job devaient aider la femme de leur oncle aux tâches ménagères du quotidien. Mais rapidement, à la fin des vacances, leur mère s’inquiète de ne pas retrouver ses deux garçons à la maison. Pire encore pour une maman, elle demeure sans nouvelle. Elle alerte alors des partenaires de l’UNICEF, spécialisés dans la protection de l’enfance contre les abus et les exploitations. 
      
    Grâce au travail d’identification de l’ONG Terre des Hommes, soutenue par l’UNICEF, David et son frère sont repérés en plein travail dans des carrières de pierre au Nigéria. Leur oncle avait troqué leur liberté contre ce labeur insupportable pour des enfants : casser des pierres en plein soleil, sous de fortes chaleurs. 
    Après deux semaines de négociation avec l’oncle, les travailleurs sociaux de l’UNICEF finissent par obtenir le retour de David et son frère chez leur mère au Bénin. 

    Le traumatisme d’un ancien enfant forçat 

    De retour à la maison, David est un enfant traumatisé. Il bégaye, tremble, n’arrive plus à s’exprimer, ni à extérioriser les souffrances qu’il a vécues. La dureté des conditions de travail dans la carrière l’hante tous les jours… 
      
    Avec son petit frère, David participe à un programme de réinsertion de l’UNICEF. En plus d’un accompagnement psychologique, il reçoit tout un équipement de matériel éducatif : un uniforme d’écolier, un cartable, un cahier et un stylo qui deviendra dorénavant son plus fidèle instrument de travail. David n’espérait pas suivre une scolarité régulière, depuis deux ans, grâce à l’action de l’UNICEF, David apprend, progresse, et bâtit des rêves dont celui d’être un futur docteur. 

    Pour l’UNICEF, le retour à l’école est le meilleur remède 

    L’histoire de David est exemplaire : celle d’un jeune garçon qui représente le symbole du droit à l’éducation pour des milliers d’enfants. Au Bénin, le travail des enfants est une préoccupation majeure, car 34 % des enfants de 5 à 17 ans sont exploités, soit 664 500 filles et garçons ! Parmi ces enfants, 67 500 ont été victimes de trafic. Comme David et son petit frère. 
      
    Dans le monde, on estime qu’environ 150 millions d’enfants travaillent. Pour l’UNICEF, les actions les plus durables contre le travail des enfants doivent être menées au niveau des gouvernements. L’UNICEF aide les pays à élaborer et mettre en œuvre de vastes programmes d’insertion dont le meilleur remède est le retour à l’école. Les enfants ont droit à l’éducation, l’UNICEF plaide donc pour un enseignement primaire gratuit. 
      
    Mais il ne faut pas occulter que le travail des enfants est souvent le seul moyen pour des familles de subvenir à leurs besoins. C’est pourquoi l’UNICEF souhaite en priorité éliminer les pires formes d’exploitation, et mettre en place des projets d’insertion professionnelle pour les adolescents. 
      
     

    Témoignages d'enfants

     
     
    VOTRE DON EN ACTION
    "J'ai fait des erreurs… Mais j'ai changé grâce au sport"
    La nouvelle vie de Fiyaaz, 17 ans, grâce à un programme soutenu par l'UNICEF dans son quartier, autrefois en proie aux gangs.
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    L'ACTUALITÉ DES ENFANTS DU MONDE
    Soudan du Sud
    Nigéria : libérez les lycéennes enlevées !
    Suite au kidnapping de plus de 200 jeunes filles au Nigeria, l’UNICEF appelle à leur libération immédiate et inconditionnelle – et invite le grand public à rejoindre le mouvement #BringBackOurGirls.
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  • Le vieil homme et la mer "vivreaujourd'hui.com"

    12 Juin 2014
     

    Vanité des vanités, tout est dérisoire.
    Ecclésiaste 1.2

     

    L’autre soir, j’ai vu le film « Le vieil homme et la mer » pour la première fois. Pour un film produit en 1958, j’en ai mis du temps, me direz-vous. Mais là n’est pas la question.
    C’est l’histoire du vieux Santiago, un pêcheur cubain. Après 84 jours de pêche infructueuse, il accroche un énorme espadon qui le tire vers le large pendant trois jours et deux nuits. Enfin, il en est victorieux et entame le retour au port, le poisson attaché à son bateau. Mais sa prise attire les requins, et une lutte âpre s’ensuit entre le vieux et les requins. Finalement, éreinté, il rentre au port avec l’arête et la tête de l’énorme espadon, maigre consolation pour tant de combats.
    Quelle parabole de la vie ! Voici l’homme qui se fait une place sous le soleil. Il se découvre une mission et part à la pêche. Mais quand tout est dit et que le rideau se baisse sur sa vie, il ne ramène que l’arête. Tout est perdu. Éreinté, déçu, désillusionné il s’en va à la mort.
    Nous sommes tous, quelque part, dans cette aventure. Les uns sont encore au port avec leurs rêves. Certains ont peut-être accroché leur espadon et voient leurs rêves devenir réalité. D’autres encore sont en plein combat contre les requins de la vie. Et les derniers sont de retour au port… et ne rêvent plus.
    Christ nous délivre des rêves de gloire. Il nous sauve du péché, de nous-mêmes et d’une existence futile. Il fait de ceux qui l’aiment ses serviteurs et leur donne la vie éternelle. Aucun requin ne peut leur enlever cela.

    Egbert E.

     

    Livre de l’Ecclésiaste 1. 1-11 : "1 Voici les paroles du Sage, fils de David et roi à Jérusalem . 2 Le Sage dit : Tout part en fumée, rien ne sert à rien, rien ne mène à rien. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil 3 Les êtres humains travaillent durement sur terre. Mais qu’est-ce que cela leur rapporte ? 4 Une génération passe, une génération naît, et le monde est toujours là. 5 Le soleil se lève, le soleil se couche, puis il court vers l’endroit où il se lève. 6 Le vent souffle vers le sud, puis il tourne vers le nord. Il tourne, tourne et s’en retourne, puis il recommence à tourner. 7 Tous les fleuves se jettent dans la mer, pourtant, la mer n’est jamais remplie. Les fleuves coulent vers un endroit et, là, ils reviennent aussitôt. 8 Tout cela est ennuyeux, on ne pourra jamais le dire assez. Les yeux voient et ils veulent voir toujours plus, les oreilles entendent et elles veulent entendre toujours plus. 9 Ce qui a existé existera encore. Ce qui a été fait se fera encore. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil. 10 On peut dire de quelque chose : « Voyez, c’est nouveau ! » Pourtant, cela existait longtemps, longtemps avant nous. 11 Nous, nous oublions ce qui s’est passé autrefois. Et ceux qui viendront ensuite oublieront à leur tour ce qui va se passer après nous."

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  • Manger avec votre saison crée la symbiose entre la nature et votre santé !

     

    L'ÉPINARD

     

    La petite histoire de l’épinard

     

    Nom commun : épinard.
    Nom scientifique :
    Spinacia oleracea.                                                                 
    Famille :
    chénopodiacées.

    Apparu dans la langue française en 1256 sous la forme d’« espinarde », le terme « épinard » est une adaptation de l’espagnol espinaca, altération de espina, « épine », qui est dérivé de l’arabe d’Espagne isbinâkh. La référence à l’épine vient de la forme du fruit qui contient les graines : ceux des premières variétés à être connues étaient tous épineux. Ce n’est que plus tard dans l’histoire qu’on a découvert des variétés à fruits lisses et ronds.

    Originaire de l’Asie centrale, l’épinard ne s’est échappé de son aire de croissance qu’au début de l’ère chrétienne. Contrairement à bien d’autres plantes comestibles, il n’était connu ni des Grecs ni des Romains, ou alors seulement de façon marginale. Aucune mention n’en est faite avant le VIIe siècle, et cela dans un ouvrage chinois.

    Il aurait été introduit en Sicile à la suite de l’invasion des Sarrasins d’Afrique du Nord au VIIIe siècle. Il faudra cependant attendre le XVe siècle avant que des ouvrages de cuisine n’en fassent mention, soit parce qu’il aura mis tout ce temps à se répandre dans le reste de l’Europe, soit parce qu’il n’avait jusque-là guère d’importance culinaire. On sait toutefois qu’il était cultivé dans les potagers des monastères au XIVe siècle.

    On ne sait pas quand exactement il a été introduit en Amérique, mais on pense que c’était avant le XIXe siècle. Un siècle passera avant qu’il acquière une certaine popularité.

    Quelques mots sur l’épinard
    L’épinard appartient à la famille des chénopodiacées, qui comprend d’autres plantes comestibles comme la betterave, la bette à carde, le chénopode (ou chou gras), l’arroche, le quinoa et la salicorne. Selon les variétés, ses feuilles sont frisées ou plates, les premières étant souvent vendues à l’état frais, les secondes mises en conserve ou congelées.

    Dans la langue populaire, diverses autres plantes à feuilles vertes comestibles prennent le nom d’« épinard », ce qui entraîne une certaine confusion : épinard de Malabar (baselle), épinard de Nouvelle-Zélande (tétragone), épinard d’eau du sud-est de l’Asie (ipomée), épinard de Chine (amarante), etc. En principe, seule la plante appartenant au genre Spinacia, et dont il est question dans la présente fiche, devrait porter ce nom.

     

    Valeur nutritive de l’épinard

     

     

    Épinards crus, 1 tasse (250 ml)/ 32 g

    Épinards bouillis, égouttés, ½ tasse (125 ml)/ 95 g

    Calories

    7

    22

    Protéines

    0,9 g

    2,8 g

    Glucides

    1,2 g

    3,6 g

    Lipides

    0,1 g

    0,3 g

    Fibres alimentaires

    0,7 g

    2,3 g

     

    Charge glycémique : Donnée non disponible

    Pouvoir antioxydant : Élevé

    Source : Santé Canada. Fichier canadien sur les éléments nutritifs, 2010.

    Profil santé de l’épinard

     

    Bien connu pour sa haute teneur en fer, l’épinard fournit aussi une quantité exceptionnelle d’autres vitamines et minéraux. Certains de ses antioxydants seraient particulièrement bénéfiques pour les yeux. Et on peut l’apprêter de mille et une façons.

     

    Les bienfaits de l’épinard

     
    Épinards à feuilles frisées et à feuilles lisses
    • Cancer. Des chercheurs ont observé que la consommation régulière d’épinards (au moins une portion de ½ tasse par semaine) était associée à un risque plus faible de cancer du sein3. Une étude prospective a également indiqué que la consommation d’épinards était reliée à un faible risque du cancer de l’oesophage19. Deux études, in vitro et chez l’animal, ont démontré que, parmi plusieurs végétaux, les épinards avaient la plus forte capacité à inactiver certains enzymes associés à l’apparition du cancer de même qu’à empêcher la croissance de cellules cancéreuses13-14.
    • Santé oculaire. Un apport régulier de caroténoïdes, pouvant provenir d’une consommation régulière d’épinards, serait associé à un risque plus faible de dégénérescence maculaire7, de cataracte7 et de rétinite pigmentaire20. Les principaux caroténoïdes des épinards (la lutéine et la zéaxanthine) ont la capacité de s’accumuler dans la macula et la rétine de l’oeil7,8, le protégeant ainsi d’un stress oxydatif23 qui pourrait lui être dommageable.
    • Stress oxydatif. Une étude clinique chez l’humain a conclu que la consommation quotidienne d’épinards cuits (environ ¾ tasse) entraînait une meilleure résistance des globules blancs au stress oxydatif, démontrant ainsi un potentiel antioxydant4.

    Plusieurs études épidémiologiques ont démontré qu’une consommation élevée de légumes et de fruits diminuait le risque de maladies cardiovasculaires16, de certains cancers17 et d’autres maladies chroniques1,2,18. La présence d’antioxydants dans les légumes et les fruits pourrait jouer un rôle dans ces effets protecteurs.

     

    Que contient l’épinard?

    Les épinards cuits sont plus nutritifs
    Pour des portions équivalentes, les épinards cuits contiennent près de 6 fois plus de lutéine, de zéaxanthine15 et de bétaïne11 que les épinards crus. De plus, les épinards bouillis fournissent généralement plus de vitamines et minéraux par portion que les épinards crus.

    Antioxydants
    L’épinard contient différents antioxydants, notamment de grandes quantités de lutéine et de zéaxanthine, des composés de la famille des caroténoïdes6,7,21. Les antioxydants, en général, permettent de neutraliser les radicaux libres du corps et, ainsi, de prévenir l’apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et de diverses maladies chroniques5,22.

    La lutéine et la zéaxanthine auraient des effets bénéfiques sur la santé de l’oeil7,8,20 et pourraient aider à prévenir certains cancers, notamment ceux du sein et du poumon7. Cependant, davantage de recherches sont nécessaires afin de confirmer la contribution spécifique de la lutéine et de la zéaxanthine à la prévention de ces maladies.

    L’épinard contient aussi de l’acide férulique, un composé antioxydant qui protégerait les cellules humaines contre le stress oxydatif et, éventuellement, la formation de certains cancers9. Selon les chercheurs, une grande proportion de l’acide férulique (ou d’autres antioxydants de la même famille) présent dans les aliments atteindrait le gros intestin, ce qui permettrait de protéger les cellules du côlon contre le cancer.

    Bétaïne
    La bétaïne est un composé azoté naturellement présent dans plusieurs espèces du règne végétal et animal. La consommation de bétaïne pourrait notamment aider à traiter certaines maladies du foie, comme la stéatose hépatique (« foie gras »). Elle réduirait également la concentration sanguine d’homocystéine, un acide aminé qui, lorsque sa concentration est trop élevée dans le sang, constitue un facteur de risque de maladie cardiovasculaire. La consommation de bétaïne pourrait aussi améliorer la performance athlétique, notamment grâce à une meilleure endurance à l’effort12. L’épinard serait l’un des aliments qui renferment le plus de bétaïne.

    Chlorophylle
    Environ 1 % de la matière sèche de l’épinard est constituée de chlorophylle10, un pigment vert présent dans plusieurs légumes feuillus. Selon une étude, la chlorophylle aurait la capacité d’inhiber la croissance de cellules cancéreuses humaines10. Toutefois, on en sait encore peu sur l’effet potentiel de la chlorophylle de l’épinard chez l’humain.

    Glycolipides
    L’épinard serait l’un des végétaux qui contiennent le plus de glycolipides (après le thé vert et le persil27,28). Ces composés auraient un certain potentiel anticancer13,14,24-26, mais également des propriétés contre l’inflammation25,26. La plupart des recherches effectuées à ce jour ayant été des études in vivo et chez l’animal, plutôt que des études cliniques, il est difficile d’affirmer si ces propriétés peuvent s’appliquer à l’humain par la consommation alimentaire d’épinard.

    La légende de Popeye : manger des épinards rend-il plus fort?
    On se souvient de ce marin qui devenait exceptionnellement fort après avoir avalé une boîte d’épinards.
    Encore aujourd’hui, plusieurs associent cet aliment à un regain d’énergie. Cette idée pourrait provenir de son contenu en fer, un minéral qui aide à protéger contre certaines formes d’anémie et les symptômes de fatigue qui s’ensuivent.
    Cependant, même si l’épinard en renferme une bonne quantité, le fer des aliments végétaux est moins bien assimilé que le fer provenant d’une source animale.
    On peut cependant augmenter l’assimilation du fer des végétaux en consommant au même moment des aliments riches en vitamine C (agrumes, poivrons, etc.) ou des protéines (voir la fiche Fer).

     

    Vitamines et minéraux principaux

    > Classification des sources des nutriments

    Vitamines: leurs fonctions, les meilleures sources

    Minéraux: leurs fonctions, les meilleures sources

    Excellente source

    Vitamine A

    L’épinard bouilli est une excellente source de vitamine A tandis que l’épinard cru en est une bonne source.

    Excellente source

    Vitamine B9 (folate)

    L’épinard bouilli est une excellente source de vitamine B9 tandis que l’épinard cru en est une bonne source.

    Excellente source

    Vitamine K

    L’épinard est une excellente source de vitamine K.

    Excellente source

    Fer

    L’épinard bouilli est une excellente source de fer pour l’homme et une bonne source pour la femme. L’épinard cru en est une source pour l’homme seulement.

    Excellente source

    Magnésium

    L’épinard bouilli est une excellente source de magnésium pour la femme et une bonne source pour l’homme. L’épinard cru en est une source.

    Excellente source

    Manganèse

    L’épinard bouilli est une excellente source de manganèse tandis que l’épinard cru en est une bonne source pour la femme et une source pour l’homme.

    Bonne source

    Vitamine B2 (riboflavine)

    L’épinard bouilli est une bonne source de vitamine B2 tandis que l’épinard cru en est une source pour la femme seulement.

    Bonne source

    Vitamine B6 (pyridoxine)

    L’épinard bouilli est une bonne source de vitamine B6.

    Bonne source

    Cuivre

    L’épinard bouilli est une bonne source de cuivre.

    Source

    Vitamine B1 (thiamine)

    L’épinard bouilli est une source de vitamine B1.

    Source

    Vitamine C

    L’épinard est une source de vitamine C.

    Source

    Vitamine E

    L’épinard bouilli est une source de vitamine E.

    Source

    Calcium

    L’épinard bouilli est une source de calcium.

    Source

    Phosphore

    L’épinard bouilli est une source de phosphore

    Source

    Potassium

    L’épinard bouilli est une source de potassium.

    Source

    Zinc

    L’épinard bouilli est une source de zinc.

    Précautions

    Calculs rénaux
    Les personnes à risque de lithiases urinaires (pierres aux reins constituées d’oxalate et de calcium, aussi appelées calculs rénaux) devraient limiter leur consommation d’aliments riches en oxalate. Les oxalates sont des composés qu’on retrouve naturellement dans plusieurs aliments, incluant les épinards. Dans certains cas, on recommande à ces personnes d’éviter de consommer des épinards.

    Vitamine K et anticoagulants
    L’épinard contient une quantité élevée de vitamine K. Cette vitamine, nécessaire entre autres à la coagulation du sang, peut être fabriquée par l’organisme en plus de se trouver dans certains aliments. Les personnes prenant des médicaments anticoagulants (Coumadin®, Warfilone® et Sintrom® par exemple) doivent adopter une alimentation dont le contenu en vitamine K est relativement stable d’un jour à l’autre. L’épinard fait partie d’une liste d’aliments qui doivent être consommés au maximum 1 fois par jour et chaque fois en quantité maximale de 250 ml (1 tasse) s’il est cru, ou environ 60 ml (¼ tasse) s’il est cuit. Il est fortement conseillé aux personnes sous anticoagulothérapie de consulter un diététiste-nutritionniste ou un médecin afin de connaître les sources alimentaires de vitamine K et de s’assurer d’un apport quotidien le plus stable possible.

     

    Épinard

    Profil santé
    Recherche et révision scientifique
    sous la direction de Louise Corneau, Dt.P., M.Sc., nutritionniste, Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), Université Laval.
    (mai 2011)

     

    Idées recettes

    Cuisson

    Faire cuire très légèrement les épinards. L’idéal est de simplement les blanchir en les passant à la vapeur 1 ou 2 minutes afin qu’ils conservent une certaine fermeté. On les essore rapidement et le tour est joué. Pour en mettre dans les soupes ou les plats en sauce, pas besoin de les faire cuire à l’avance.

     
    Délice aux épinards
    • Servez les jeunes feuilles crues en salade avec une simple vinaigrette à l’huile d’olive et au jus de citron. Les feuilles plus âgées et plus grosses seront passées à la poêle dans l’huile d’olive 1 minute avant d’être apprêtées en salade.
    • Servez de jeunes épinards, des suprêmes de mandarine et de l’oignon vert hachés, avec une vinaigrette à l’huile d’olive et au vinaigre balsamique.
     
    avec des épinards
    • Des soupes toutes simples. Faites cuire des épinards dans du bouillon.
       
    • Soupe aux lentilles et aux épinards. Faites revenir de l’ail et de l’oignon émincés dans de l’huile d’olive, ajoutez des épices au choix (cumin, coriandre, paprika). Faites cuire 1 ou 2 minutes et ajoutez des épinards grossièrement hachés, du bouillon de légumes et des lentilles. Faites cuire 1 heure, assaisonnez de jus de citron et d’un peu de purée de tomates, salez, poivrez et servez.  
    • Un accompagnement simple et original. Faites fondre des épinards dans la poêle avec des raisins secs préalablement trempés dans de l’eau, et des amandes effilées. Assaisonnez à la noix de muscade, salez, poivrez et servez.  
    • Faites revenir des dés de pommes de terre (préalablement cuites) dans de l’huile avec du paprika, de l’oignon, une gousse d’ail et, si désiré, du piment de Cayenne. Quand les pommes de terre sont bien dorées, ajoutez des épinards tout juste blanchis et faites cuire 1 ou 2 minutes. Au moment de servir, ajoutez une cuillerée de vinaigre de vin et salez.  

    Choix et conservation

    Choisir

    L’épinard est offert à l’année dans la plupart des épiceries, généralement en sachet de plastique, plus rarement en bouquets frais. Choisissez des feuilles craquantes, vert foncé et brillantes, lisses ou pas (cela dépend des variétés). Évitez les feuilles fanées, abîmées, tachées de noir ou de jaune.

    On peut aussi trouver dans le commerce des épinards congelés ou en boîte de conserve. Choisissez de préférence les premiers aux seconds, qui sont souvent trop cuits et prennent un goût métallique.

    Conserver

    Réfrigérateur. Quelques jours dans un sac de plastique perforé.

    Congélateur. Faites blanchir à la vapeur 1 à 2 minutes, essorez et mettez dans des sacs à congélation où ils se garderont quelques mois.

     

    Source : http://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/EncyclopedieAliments/Fiche.aspx?doc=epinard_nu

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