• « On devrait faire quelque chose » "vivreaujourd'hui.com"

     
    31 Mai 2014
     

    Ainsi donc, tant que nous en avons l’occasion, faisons du bien à tout le monde…
    Galates 6.10

     

    Nous étions assis sous un magnifique manguier dans un village africain pour déguster un repas traditionnel. Tout à coup, les enfants ont commencé à crier, à gesticuler et à lancer des bâtons et des pierres.

    La cause de toute cette excitation était un chien tout maigre qui faisait vraiment pitié à voir. Ses oreilles déchirées, son nez qui saignait, ses côtes saillantes : une image de négligence totale et de désespoir. L’odeur de la nourriture l’avait attiré vers nous, mais l’intervention des enfants l’a fait repartir en se traînant et en gémissant doucement.

    J’ai demandé à mon hôte s’il connaissait le chien :
    – Bien sûr que je le connais. Tout le monde le connaît.
    – À qui appartient-il ?
    – À tout le monde, c’est le chien du village.
    – Si c’est le chien du village, pourquoi est-il en si mauvais état ?
    – Comme il appartient à tout le monde, personne ne se sent responsable de lui, personne ne s’occupe de lui, personne ne fait rien pour lui.

    Il est si facile de penser « on devrait faire quelque chose… ils devraient intervenir… ou nous… devrions agir », et puis de ne rien faire du tout.

    Je dois accepter ma responsabilité et agir.

    Silvano P.

     

     

     

    On devrait faire quelque chose

     

     

    Psaume 41. 2-4 : "2 Il est heureux, celui qui fait attention aux faibles. Le jour où cela va mal pour lui, le Seigneur vient à son secours. 3 Le Seigneur le garde en vie, il le rend heureux sur la terre, il ne le livre pas au pouvoir de ses ennemis. 4 Le Seigneur le soutient sur son lit de souffrances,il prend soin de lui pendant sa maladie."

     

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  • QUI SUIS-JE ?  

     

    (volet 1) 

    Il y a des questions, que l’on ne se pose guère ? Questions existentielles trop inquiétantes ? Méditatives ?  Incompréhensibles ? Complexes ? Perplexes ? Or ce sont celles-là qui sont fondamentales et sources de notre compréhension de la vie, de notre vie !  

    Alors si nous arrivions à y répondre, nous serions sur le chemin du sens de notre vie et les choses nous apparaîtraient sous leur vrai jour, leur vrai angle, leur vrai mobile, leur vraie couleur, leur vrai objectif !  

     

    Un être vivant !  

    De la racine de nos cheveux à la plante de nos pieds, nous respirons, la vie, la santé, grâce à nos cellules. En réalité nous sommes un énorme amas de cellules qui en leur cœur (noyau) renferme notre identité biologique, notre patrimoine génétique, que nous transmettons à nos enfants.  

    C’est dans ce patrimoine, que les recettes de notre vie se fabriquent, ce que l’on appelle protéines, grâce auxquelles nous respirons, marchons, sentons, construisons notre vie… 

    La cellule contient notre vie, notre histoire…Avec ses différentes facettes, tournants, rebondissements, recoins.  

    200 types de cellules, se regroupent pour former un tissu ou un organe et prennent le nom de cœur, poumons, yeux, estomac pancréas, etc.  Un seul organe, à lui tout seul,  peut  posséder des milliards de cellules, qui même si elles ne sont pas identiques, collaborent pour remplir une fonction spécifique.    Alors que les cheveux, les os, les ongles,  la parie dure de nos dents, sont des matériaux non vivants qui sont faits de cellules mortes, les organes vitaux sont faits de cellules vivantes. 

    Dans la cellule, paradoxalement, vie et trépas se côtoient sans se gêner, car la vie comme la mort nous habite dans un cycle harmonieux.  

    Les 20 milliards de cellules de notre corps qui meurent tous les jours (apoptose), ne meurent pas en vain. Elles meurent pour mieux renaître, se démultiplier et transmettre de manière efficace ce patrimoine génétique. La communication entre elles, permet à l’organisme d’ajuster le fonctionnement de chaque organe, afin de répondre aux besoins du corps tout entier et ainsi le maintenir en équilibre !  

    En réalité, ce que l’on considère comme étant une fin est un commencement pour la cellule : « L’apoptose, la mort naturelle de la cellule est la phase ultime de son développement et est de Fait indispensable. La construction de l’organisme se fait en passant par différents stades de développement, et les cellules utilisées pour former l’organisme à un stade donné, meurent pour laisser placer à d’autres, qui lui donnent une nouvelle forme plus aboutie. Chez l’adulte elle permet le renouvellement de l’organisme par l’élimination des cellules défectueuses. 

    Lorsque l’apoptose ne se produit pas, des affections apparaissent tel que le cancer où les cellules se répliquent sans fin et ne se détruisent plus. Lorsqu’à l’inverse elle se produit trop vite, l’organisme se dégrade comme c’est le cas dans la maladie de Parkinson. 

    L’apoptose est déclenchée par le métabolisme qui envoie un signal d’autodestruction à la cellule ou la prive de ses ressources. Elle se fragmente à l’intérieur et est assimilée par les macrophages. 

    Ainsi la mort naturelle des cellules est-elle nécessaire car elle permet d’éliminer les cellules détériorées et les remplacer par de nouvelles. Des milliards sont renouvelées chaque jour dans le corps humain. » SCE 

     

    Notre corps se refait tous les 15 ans !  

    De la naissance à notre mort, notre corps est en renouvellement permanent. Tous nos tissus, tous nos organes, toutes nos cellules seront entièrement renouvelés, tout au long de notre vie, parfois plusieurs fois à une fréquence différente, en fonction des organes. Si bien qu’en définitive, tous nos organes sont plus jeunes que nous, c’est le superbe travail des cellules souches. Les cellules de l’intestin se renouvellent tous les 5 jours, celles de la peau tous les 3 à 4 semaines, celles du foie ou du poumon, 400 à 500 jours etc.  

    Sur 100 000 milliards de cellules constituant notre corps, 20 milliards meurent tous les jours et sont bien sûr remplacées, alors que 20 millions se démultiplient pour continuer à propager la vie. Aussi ce n’est pas une réduction, un manque à gagner, mais au contraire une multiplication, un accroissement. Le corps se déleste des cellules défectueuses pour reproduire les meilleures.   

    Il est extraordinaire de comprendre le sacrifice que font certaines de nos cellules. Elles n’attendent pas de mourir vieilles et rassasiées de jours, se sachant malades et défectueuses. Non ! Elles se suicident (auto destruction par l’enzyme apopaïne), parce qu’elles savent être  dangereuses pour l’organisme. Une mort douce, non violente, orchestrée. Un travail extraordinaire, organisé en notre faveur.  

     

    Notre devoir vis-à-vis de nos cellules ?  

    Si tant de microorganismes se dévouent tout entier à notre bien-être nous devons radicalement les soutenir par une amélioration de notre mode de vie au quotidien et dans nos habitudes, notre hygiène de vie, notre alimentation et nos pensées.  

    Définition d'un mode de vie sain :  

    À l'échelon de la population en général, on entend par mode de vie sain des pratiques de divers groupes au sein d'une population qui sont destinées à soutenir, à améliorer, à maintenir ou à perfectionner son état de santé. À l'échelon des particuliers, un mode de vie sain consiste en la pratique par la personne de comportements favorisant une meilleure santé ou, dit plus simplement, l'adoption d'un mode de vie sain. Pour cela, une personne doit posséder la capacité physique, mentale et spirituelle de faire des choix sains. SCE 

      

    En quelque sorte c’est comprendre que notre mode de vie porte atteinte à notre santé, donc à  

    nos cellules, ou bien les éveillent correctement à la vie.  

    A l’instar de la maison que l’on bâti sur des fondations solides et sûres ; Les cellules, sont les unités de bases de notre corps et notre santé, Car c’est sur elles que reposent notre espérance de vie, notre énergie, notre développement, notre réussite. Et il n’est pas difficile de garder nos cellules saines, contrairement à ce que certains pensent.  

    5 principes de bases entourent la cellule :  

    1. La nourriture,  qui doit être, de qualité, fraîche, entière et naturelle. Complétée par les compléments alimentaires de haute qualité.  
    1. L’exercice, qui apporte du dynamisme à la cellule et lui permet d’éliminer les toxines. L'exercice fournit la force, l'endurance, la flexibilité, la célérité mentale et une lutte efficace contre le stress.  
    1. Le milieu de vie : l’air, l’eau, les personnes, nos activités, notre environnement, affectent en bien ou en mal notre santé.  
    1. La protection de la cellule par un renforcement de notre système immunitaire pour combattre les maladies : repos, nourriture, quiétude.  
    1. L’attitude positive, qui doit motiver chacune de nos journées. Une hygiène mentale et spirituelle créatrice.  

    Nous défaire de notre responsabilité quant à nos cellules, notre corps, notre santé, c’est programmer notre suicide, qui lui, n’est pas créateur mais destructeur.  

    Aujourd’hui, notre attention et notre désarrois sont concentrés sur les pathologies que l’on nous décrits, sur les symptômes pour lesquels nous souhaitons absolument être soulagés. Mais celle qui fera la différence et guérira nos blessures, les lésions de nos corps, déchargera notre sang et unifiera notre santé, c’est la santé de nos cellules et rien d’autre !  

    Alors quel est le soutien que nous leur apportons ?  

    Qu’avons-nous à leur offrir au quotidien ?  

    Quelle est l’état de santé de nos cellules ?  

    Nous prédisposons-nous au suicide organisé ou à une longévité de vie sans précédent ?  

    En définitive, qui suis-je actuellement, une cellule vivante ou morte ?  

    Ma réponse déterminera mes choix de vie, ma volonté de vie, mes prédispositions de vie et la qualité du patrimoine que je souhaite transmettre à ma progéniture !  

    Qui suis-je (Volet 1) ? La question la plus importante de toute ma vie ?  

    cvfg 

     

     

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  • Le bon chemin "vivreaujourd'hui.com"

    30 Mai 2014

     

    Voici ce que dit l’Éternel : Tenez-vous sur les routes, regardez ! Informez-vous des sentiers d’autrefois : « Quel est le bon chemin ? » Et puis, suivez-le donc et vous y trouverez du repos pour vous-mêmes.
    Jérémie 6.16

    « Je crois qu’une fois la vraie doctrine de la vie, qui consiste à remplir la volonté de Dieu et non la sienne, acceptée, il est impossible de se détourner du bon chemin. » Ainsi s’exprimait Léon Tolstoï en 1902 dans l’une de ses lettres.
    Prendre le bon chemin et ne pas s’en détourner, n’est-ce pas ce qui devrait motiver nos choix de vie ? Mais selon quels critères pouvons-nous discerner le bon chemin parmi tous ceux qui s’ouvrent devant nous ? Tout naturellement nous serions enclins à choisir le chemin agréable, celui qui satisferait nos désirs et nos ambitions… Mais si c’est seulement notre sagesse personnelle qui nous guide et le souci de faire notre propre volonté qui nous pousse, alors combien de désillusions nous rencontrerons sur notre route ! Bien des hommes pensent être sur le bon chemin, et pourtant, ils se trouvent sur une voie qui, finalement, mène à la mort.1
    Tolstoï avait compris, sans doute après nombre d’expériences amères, qu’en définitive nous sommes sur le bon chemin dès lors que nous avons à cœur de suivre la volonté de Dieu. Pourquoi ? Parce que c’est la volonté d’un Père aimant qui veut le bien de ses enfants. Ce qu’il veut pour nous est le meilleur de ce que nous pouvons souhaiter.
    Sommes-nous prêts à l’accepter ?

    Bernard G.

    1 Proverbes 14.12

    Léon Tolstoï

     

    Psaume 16 : "1 Ô Dieu, tu es mon abri, protège-moi ! 2 Je dis au Seigneur : « Tu es mon plus grand bonheur. » 3 Dans ce pays, ceux qui appartiennent à Dieu sont des gens de valeur, ils me plaisent beaucoup. 4 Ceux qui choisissent un autre dieu souffriront de plus en plus. Faire des offrandes de sang aux faux dieux ? Jamais ! Et ma bouche ne dira même plus leur nom. 5 Seigneur, c’est toi que je reçois en partage, tu es la part qui me revient, ma vie est dans ta main. 6 La part que tu me donnes, je l’apprécie. Pour moi, c’est un cadeau magnifique. 7 Je remercie le Seigneur qui me conseille. Même la nuit, ma conscience me parle. 8 Sans cesse, je me souviens du Seigneur. Puisqu’il est près de moi, je ne tombe pas. 9 Alors mon cœur se réjouit, je danse de joie, mon corps est totalement en sécurité. 10 Non, tu ne m’abandonnes pas dans le monde des morts, tu ne laisses pas ton ami fidèle pourrir dans la tombe. 11 Tu me fais connaître le chemin qui conduit à la vie. Quand tu es là, la joie déborde, auprès de toi, le bonheur ne finit pas !"

     

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  • Au revoir ! "vivreaujourd'hui.com"

     

    29 Mai 2014
     

    Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous là à scruter le ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l’avez vu aller au ciel.
    Actes des Apôtres 1.11

     

    Un dernier signe de la main, et le voilà parti. Philippe allait, la voiture chargée à bloc, pour son premier emploi dans une ville inconnue. Ses parents inquiets le suivent en pensée, et déjà se demandent : « Quand le reverrons-nous ? » Ah, les au revoir, dont on craint parfois qu’ils soient des adieux !…

    Jésus avait rencontré et quitté ses apôtres plusieurs fois, depuis le jour de sa résurrection. Mais ce jour-là tout était différent. Il a levé ses mains pour les bénir. Puis s’étant élevé dans les airs, un nuage l’a caché à leurs yeux. Quand ils sont rentrés en ville à Jérusalem, la joie les animait1. Saisissaient-ils la portée de l’Ascension, cet évènement unique ?

    Pierre et ses compagnons étaient forts des promesses de leur Maître. Et elles leur suffisaient : Je vais vous préparer une place. Et, lorsque […] je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi.2

    L’Ascension est plus qu’une date dans l’Histoire. Comme il est monté au ciel, auprès de Dieu, voilà 2000 ans, Jésus reviendra. Sa promesse demeure, inchangée. L’Ascension est l’annonce répétée de sa venue.

    Savez-vous que Jésus reviendra ? Le croyez-vous ? Il reviendra avec gloire pour établir son royaume. L’attendez-vous ? Il ne tarde pas, mais il use de patience, voulant que tous puissent se repentir de leurs péchés3. Vous y préparez-vous ? Quand il reviendra, les gens de toutes les nations seront réunis devant lui, et il nous jugera.

    Oui, Jésus reviendra de la même manière…

    Albert L.

    1 Luc 24.50-53    2 Jean 14.2-3    3 2 Pierre 3.9

     

    AU REVOIR !

     

     

    Actes des Apôtres 1. 3-14 : "3 Après sa mort, Jésus se présente à ses apôtres, et il leur prouve de plusieurs façons qu’il est bien vivant. Pendant 40 jours, il se montre à eux et il leur parle du Royaume de Dieu. 4 Un jour, pendant qu’il mange avec eux, il leur donne cet ordre : « Ne quittez pas Jérusalem, mais attendez ce que le Père a promis. Moi-même, je vous l’ai déjà annoncé : 5 Jean a baptisé avec de l’eau, mais vous, dans quelques jours, vous serez baptisés dans l’Esprit Saint. »

     6 Les apôtres sont donc réunis avec Jésus et ils lui demandent : « Seigneur, est-ce maintenant que tu vas rétablir le royaume d’Israël ? » 7 Jésus leur répond : « Vous n’avez pas besoin de connaître le temps et le moment où ces choses doivent arriver. C’est mon Père qui décide cela, lui seul a le pouvoir de le faire. 8 Mais vous allez recevoir une force, celle de l’Esprit Saint qui descendra sur vous. Alors vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’au bout du monde. »

     9 Après que Jésus a dit cela, il monte au ciel sous les yeux de ses apôtres. Ensuite, un nuage le cache, et ils ne le voient plus. 10 Mais pendant que Jésus s’éloigne, les apôtres continuent à regarder le ciel. Tout à coup, deux hommes en vêtements blancs sont à côté d’eux. 11 Ils disent aux apôtres : « Hommes de Galilée, vous restez là à regarder le ciel. Pourquoi donc ? Jésus vous a quittés pour aller vers le ciel. Et il reviendra de la même façon que vous l’avez vu aller vers le ciel. »

     12 Alors les apôtres quittent la colline appelée « mont des Oliviers » et ils retournent à Jérusalem. Ce n’est pas très loin, à un kilomètre environ. 13 Quand ils arrivent à Jérusalem, ils vont dans une pièce, en haut d’une maison, c’est là qu’ils ont l’habitude de se réunir. Il y a Pierre, Jean, Jacques et André, Philippe et Thomas, Barthélemy et Matthieu, Jacques le fils d’Alphée, Simon le nationaliste  et Jude le fils de Jacques. 14 Tous prient fidèlement d’un seul cœur. Avec eux, il y a quelques femmes, Marie la mère de Jésus, et les frères de Jésus."
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  • ASCENSION, pour élévation, progression  

    Quel CAP,  devez-vous franchir ?  

     

    L'ASCENSION

     

     

    L'Ascension est le Quarantième jour après Pâques. Dans l’histoire chrétienne, le « Vendredi saint », Jésus est crucifié 
    et le dimanche de Pâques Jésus est ressuscité soit le 3e jour, après sa crucifixion. Le jeudi de L'ASCENSIONl'Ascension Jésus monte au ciel, soit le 40e jour.  

    Fête religieuse catholique, comme tant d’autres : Le Carême est une période de quarante jours avant Pâques, Noël, annonce la naissance de Jésus; à Pâques, on annonce la bonne nouvelle de la résurrection de Jésus; à la Pentecôte, on annonce la bonne nouvelle de l'avènement du Saint Esprit. Mais l'Ascension est l’annonce d’un  évènement qui concerne Jésus, son départ de dessus la terre, en être vivant pour les chrétiens.  

    Mais ce départ n’est-il qu’un départ ?   

     L'Ascension de Jésus 

    Voilà comment les Actes des apôtres décrivent les faits (Actes I, 6):  

    Étant donc réunis, ils l'interrogeaient ainsi: "Seigneur, est-ce maintenant, le temps où tu vas restaurer la royauté en Israël ?"  

    Il leur répondit: "Il ne vous appartient pas de connaître les temps et moments que le Père a fixés de sa seule autorité. Mais vous allez recevoir une force, celle de l'Esprit Saint qui descendra sur vous. Vous serez alors mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre."  

    A ces mots, sous leurs regards, il s'éleva, et une nuée le déroba à leurs yeux. Et comme ils étaient là, les yeux fixés au ciel pendant qu'il s'en allait, voici que deux hommes vêtus de blanc se trouvèrent à leurs côtés; ils leur dirent: "Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous ainsi à regarder le ciel ? Celui qui vous a été enlevé, ce même Jésus, viendra comme cela, de la même manière dont vous l'avez vu s'en aller vers le ciel." 

    Lorsque l'évangéliste Luc, auteur de ce livre, relate ces faits, Il n’en parle pas comme si c’était 40 jours après tous les événements de la mort de Jésus.  Selon ce que l’on comprend,  Jésus est ressuscité le premier jour de la semaine, le dimanche; le même jour, il rencontre deux inconnus sur le chemin d'Emmaüs. Le soir même, ces deux hommes retournèrent à Jérusalem raconter leur rencontre aux disciples. Et Jésus se retrouve parmi eux, il les emmène à Béthanie, les bénit tout en étant élevé au ciel. (Luc 42.50) 

    A en juger par ce récit, Jésus aurait été élevé au ciel le jour même, ou encore le lendemain de sa résurrection. Ce qui n’explique pas le choix du 40è jour pour célébrer ce fait.  

    Le chiffre 40  

    Toutefois, le chiffre 40 est très présent dans la Bible :  

    Le déluge pendant 40 jours :  

    Moïse se retire dans la montagne pendant 40 jours : 

    Élie a aussi connu la retraite de 40 jours : 

    Jésus se retire dans le désert pendant 40 jours : 

    Jésus crucifié revient sur Terre pendant 40 jours :  

    Le peuple d'Israël marche pendant 40 ans dans le désert :  

    40 ans, c'est aussi la durée du règne de David et de celui de Salomon : 

     
    D’autres avant lui ont connu une ascension : Elie, par exemple, prophète de l’ancien testament qui n’est pas mort, Hénoc.  Celle de Marie, la mère de Jésus ; Que la tradition catholique appelle Assomption et que les protestants rejettent, n’est pas racontée par la Bible.  

     
     

    Symbolisme 

    La tradition catholique, définit l’ascension comme suit : du latin ascendere ; monter, s’élever 
    « L’Ascension du Seigneur », célèbre l’entrée du Christ dans la gloire de Dieu, c'est-à-dire la fin de sa présence visible sur terre ; elle préfigure notre vie dans l’Eternité. Son départ symbolise un nouveau mode de présence, à la fois tout intérieure, universelle et hors du temps, car le Christ reste présent dans les sacrements et tout particulièrement celui de l’Eucharistie. Croire que le Christ ressuscité est entré dans la gloire est un acte de foi. »Sce 

    Cette croyance reconnue dans le monde contraste avec les croyances de la tradition protestante : « qui lie quant à elle la fête de l'Ascension au message de Pâques. Ainsi, pour les protestants, cette fête met surtout en valeur la glorification de Jésus-Christ et sa Seigneurie sur terre et dans les cieux même si celle-ci ne s'est pas encore manifestée à vue humaine. » 

    Une croyance renforcée par le mouvement des Adventistes du 7è jour, décrite ici avec enthousiasme et poésie :  

    « 9 (Psaume 24:7 à 10; 47 :5 et 6; 68:17 et 18; Éphésiens 4:8). Christ monta au ciel en tant que Roi. 

    Christ vint sur la terre en tant que Dieu revêtu de l'humanité. Il monta au ciel en tant que Roi des saints. Son ascension fut digne de Son caractère élevé. Il s'en alla comme celui qui est puissant dans la bataille et vainqueur, qui mène en captivité la captivité. Il fut accompagné par l'armée céleste, entre les ovations et les acclamations de louange et les chants célestes… 

    Les disciples purent écouter seulement pendant quelques moments le chant des anges quand le Seigneur monta Ses mains étendues pour les bénir. Ils n'entendirent pas le salut qu'Il reçut. Il n'eut pas à supplier pour entrer. Tout le ciel fut honoré de Sa présence… 

    Le sceau du ciel a été appliqué sur l'expiation de Christ (MS 134, 1897). 

    9 à 11 (Luc 24:50 et 51). La gloire totale de l'ascension fut révélée. 

    Le succès le plus précieux pour les disciples lors de l'ascension de Jésus, fut qu'Il se sépara d'eux pour aller au ciel sous la forme tangible [personnelle] de leur divin Maître… 

    Les disciples ne virent pas seulement leur Seigneur monter, mais ils reçurent des anges le témoignage qu'Il était allé occuper le trône de Son Père dans le ciel. Le dernier souvenir que les disciples emportèrent de leur Seigneur était celui de l'Ami compréhensif et du Rédempteur glorifié. Moïse couvrit son visage pour cacher la gloire de la loi qui se réfléchissait sur lui, et la gloire de l'ascension de Christ fut cachée aux yeux humains. La splendeur de l'escorte céleste et l'ouverture des portes glorieuses de Dieu pour lui donner la bienvenue, ne devaient pas être contemplées par des yeux mortels. 

    Si le parcours de Christ vers le ciel avait été montré aux disciples dans toute sa gloire inexprimable, ils n'auraient pas pu supporter ce spectacle. S'ils avaient contemplé les myriades d'anges et entendu les exclamations de triomphe venant des merveilleuses murailles du ciel quand les portes éternelles furent atteintes, le contraste entre cette gloire et leur vie dans un monde d'épreuves aurait été si grand qu'ils n'auraient pas pu reprendre la charge de leur vie sur la terre, ils se seraient difficilement préparés à accomplir avec courage et fidélité la mission que le Sauveur leur avait confiée. Et même si le Saint-Esprit qui leur fut envoyé n'avait pas été apprécié comme il l'aurait dû, Il n'aurait pu parvenir à fortifier suffisamment leur cœur pour supporter les reproches, les outrages, la prison et la mort, si cela avait été nécessaire. 

    Les sens ne devaient pas être bouleversés par les gloires du ciel au point de perdre de vue le caractère de Christ sur la terre, qu'ils devaient imiter. Ils devaient garder clairement dans leur mémoire la beauté et la majesté de la vie de Christ, la parfaite harmonie de tous Ses attributs et la mystérieuse union dans Sa nature de la Divinité et de l'humanité. Il valait mieux que la relation terrestre des disciples avec leur Sauveur se termine dans la solennelle, paisible et sublime manière elle prit fin. Son ascension visible de ce monde fut en harmonie avec Sa vie humble et calme (3SP 254-255). 

    11. La sainte humanité emmenée au ciel. 

    Christ monta au ciel en emportant une humanité sanctifiée et sacrée. Il emporta cette humanité avec Lui dans les cours célestes, et à travers les siècles éternels il la gardera, comme Celui qui racheta chaque être humain qui sera dans la ville de Dieu (RH 9/3/1905). 

    (Jean 12:45; Colossiens 1:15; Hébreux 1:3). Un Sauveur personnel. 

    Christ vint dans le monde en tant que Sauveur personnel. Il représentait Dieu personnellement. Il monta là-haut comme Sauveur personnel, et Il reviendra comme Il monta au ciel: comme un Sauveur personnel (MS 86, 1898). 

    (Matthieu 28:20; Jean 14:2 et 3; 16:24; Hébreux 9:24). Une nouvelle vision du ciel. 

    Quel motif de se réjouir pour les disciples de savoir qu'ils avaient un tel Ami dans le ciel pour intercéder pour eux! Grâce à l'ascension visible de Christ, tous leurs concepts et leurs spéculations au sujet du ciel changèrent. Antérieurement, le ciel avait été pour eux une région de l'espace illimitée, habitée par des esprits éthérés. Mais maintenant, le ciel était en relation avec la pensée de Jésus, qu'ils avaient aimé et honoré au-dessus de tous les autres, avec qui ils avaient conversé et voyagé, qu'ils avaient touché même après Sa résurrection, qui avait apporté l'espérance et la consolation à leurs cœurs, et qui, alors que ces paroles: "Voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde", étaient toujours sur Ses lèvres, avait été enlevé sous leurs yeux tandis que le son de Sa voix leur parvenaient alors qu'un char de nuées d'anges le recevaient. 

    Le ciel ne pouvait déjà plus leur paraître comme un espace indéfini et incompréhensible, plein d'esprits intangibles. Maintenant, ils le considéraient comme leur futur foyer, où leur bien-aimé Rédempteur était allé leur préparer des maisons. La prière revêtait un nouvel intérêt car elle était une communion avec leur Sauveur. Avec des émotions nouvelles et touchantes, et la ferme confiance que leurs prières seraient entendues, ils se réunirent dans la chambre haute pour offrir leurs requêtes et pour demander selon la promesse du Sauveur, qui avait dit: "Demandez, et vous recevrez, afin que votre joie soit parfaite." Ils priaient dans le nom de Jésus. 

    Ils avaient un Évangile à prêcher: Christ sous la forme humaine, un homme de douleur; Christ dans Son humiliation, arrêté par des mains impies et crucifié; Christ ressuscité et monté au ciel en présence de Dieu pour être l'Avocat de l'homme; Christ qui reviendra avec puissance et une grande gloire sur les nuées des cieux » SCE 

     

    Et vous, qu’est-ce pour vous  ? Un fait divers ? Une promesse  ?  

    Une pensée positive  ? Un miracle  ? Un trophée  ?  

    Toute bataille mérite élévation, et c’est l’une des plus puissantes et des plus extraordinaires !  

    L’ascension marque un cap à franchir. Cap spirituel, psychique, matériel, professionnel, personnel, familial. Un détachement de l’ambiant, de ce que vous connaissiez, qui vous retenait, maintenant que vous avez gagné la bataille sur ! Une nouvelle vie commence, un nouveau sacerdoce, une nouvelle direction, qui prend appui sur le socle d’une victoire certaine et acquise !  

    Jusqu’à maintenant, l’ascension s’est faîte de manière physique. Et certains s’étonneraient si elle se produisait encore à notre époque, de la même manière, Mais pourquoi pas ? Parce que la bataille est déjà gagnée par l’esprit, aussi si le corps physique suit, quel est le problème ?  

    Il n’empêche que la renaissance qui doit être la nôtre à divers caps de notre vie, est l’ascension des victoires acquises sur le mal, pour le bien, sur nos mauvaises habitudes, pour de meilleures, sur notre pauvreté pour l’abondance, sur l’inquiétude pour la foi, sur notre peur le courage, sur la maladie pour la santé, sur la rancœur pour le pardon, sur notre haine pour l’amour, et la liste pourrait être longue !  

    Car le message reste encore d’actualité et entier : le meilleur reste à venir !  

    cvfg 

     

    L'ASCENSION

     

     

     

     

     

     
     

     

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  • 28 MAI Journée mondiale de la sclérose en plaques 

    Sclérose en plaques

     Forme

     

     Sclérose en plaques

    Lancée en 2009, cette journée de la SEP (sclérose en Plaques) vise à informer le public sur cette maladie handicapante peu connue et sans traitement curatif.  

    Comment se manifeste telle ? Que veut-elle dire au malade ? Le psychique peut-il interférer dans le traitement de cette maladie ?  

     

    Touchant au système nerveux central, en particulier le cerveau, les nerfs optiques, le tronc cérébral, ses symptômes diffèrent selon les individus et selon la zone cérébrale atteinte : engourdissements de membres, troubles de la vision ou des mouvements, sensation de décharge électrique  dans le dos, ou dans les membres, perte de la mémoire ou de l’équilibre, troubles urinaires etc. 

      

    Comme elle évolue par poussée, les symptômes varient énormément et à la longue deviennent même permanents. L’inflammation altère surtout la gaine de myéline qui protège les fibres nerveuses,  la recevant comme étant un corps étranger, donc bonne à détruire. La SEP est donc une maladie auto-immune. Si bien qu’à certains endroits du système nerveux, les nerfs sont lents ou totalement bloqués. En dehors des poussées, la gaine de myéline se refait en partie, autour des fibres nerveuses et les symptômes disparaissent.  

    Les parties du système nerveux qui sont sclérosées, ressemblent à des plaques que l’on aperçoit lors d’un IRM.  

    Les scientifiques ont pu observer, que plus les pays se situent au nord de l’équateur, plus le nombre de malades est important. Le pays le plus touché serait le Canada. D’autre part il y a deux fois plus de femmes de touchées que d’hommes et plus de jeunes de 20 à 40 ans, alors qu’elle ne touche que 5% des enfants.  

    Facteurs génétiques, déficience en vitamine D, infection virale de l’enfance, facteurs héréditaires, sont autant de causes avancées par les scientifiques qui ne se l’expliquent pas et ne peuvent la prévenir. Chaque cas est unique. Chaque poussée inflammatoire l’est aussi !  

      

    Trois formes de la maladie qui restent inexpliquées (Sce) 

    • rémittente (première phase de la maladie qui évolue par poussées entrecoupées de périodes de rémission), 
    • secondaire progressive (cette forme apparaît au bout d'une dizaine d'années d'évolution chez environ 50% des malades), 
    • progressive d'emblée (apparaissant généralement chez des personnes de plus de 40 ans avec des symptômes qui progressent en quelques mois). 

     

    Les traitements à la cortisone par forte perfusion, sont les plus fréquents. Une réduction de la fréquence des poussées, est traitée de manière plus poussée, à base d’interférons Béta (une protéine humaine par biotechnologie)  qui oblige le système immunitaire à moduler et ne pas systématiquement réagir. D’autres traitements de fond par injection sous-cutanée, peuvent être proposés sous hospitalisation. Enfin le traitement des symptômes, eux-mêmes, est toujours possible pour soulager le malade en fonction de ce qu’il ressent.  

    Aucuns des traitements proposés jusqu’à maintenant n’ont guéri la maladie. Cependant la maladie est mieux connue, qu’il y a dix ans, et la recherche poursuit ses tests et conclusions.  

     

    Que veut-elle dire cette maladie ?  

    La sclérose en plaque, est une maladie dégénérative. Et comme toutes les maladies dégénératives, elle résulte d’une situation, un fait choc qui a pu générer un profond sentiment de dévalorisation. 

    Comme l’expliquent les partisans de la métamèdecine, « Ce sont souvent des personnes qui aimeraient que quelqu'un les prenne en charge, mais afin de ne pas paraître dépendante, elles sont dans l'effort continu. Ce sont des personnes qui vont tenter d'atteindre la perfection et pour cela elles s'en demandent beaucoup. N'arrivant pas à  leurs objectifs et vivant dans la peur de déplaire, elles peuvent se sentir dévalorisées et la maladie deviendra l'occasion pour elles de ne pas mener à bien leur tâche.Les personnes souffrant de sclérose en plaques ont tendance, pour éviter la souffrance à se durcir face à certaines situations. » SCE  

     

    Le Docteur Hamer, analyse que ces personnes ont aussi peur de tomber, autant au sens propre qu'au sens figuré, et craignent que cette chute entraîne la mort. Toutes ces peurs impliquent un déplacement vertical et qui peuvent les amener à croire que leur vie est en danger et elle déclencher la sclérose en plaques. Parce que persuadée de leur impossibilité à s’échapper, à continuer à vivre ou à avancer.  

     

    Quel  lien avec le système nerveux ? 

     Le système nerveux est notre ordinateur corporel, il reçoit des informations du milieu ambiant, les traite et réagit en fonction de ce qu’il perçoit. Il reçoit ces informations par tous les capteurs et récepteurs situés partout à la périphérie de notre corps. Mais aussi par les voies sensitives, qui transportent ces informations par influx nerveux, jusqu’aux centres nerveux qui les analysent et permettent aux voies efférentes de commander les réactions appropriées ou les adaptations qui conviennent face à la situation en présence. Ce que les organes effecteurs, à leur tour,  traduiront en actes physiques.  

    Responsable donc de la transmission d’influx nerveux et de l’analyse des données sensitives, il comprend l’encéphale, constitué, du cerveau, du cervelet et du tronc cérébral, qui est le haut lieu de la pensée, d’où part l’analyse de l’information et la commande motrice.  

    Il comprend aussi la moelle épinière, logée dans la colonne vertébrale, d’où partent les nerfs rachidiens destinés aux membres inférieurs et supérieurs, jouant un rôle autonome que l’on appelle réflexes et qui conduit les influx nerveux.  

     

    Ce système nerveux central est en étroite liaison avec le système nerveux périphérique, qui comprend tous nos nerfs, partant de l’encéphale et de la moelle épinière, qui véhiculent les influx nerveux (information) vers les organes.  

     

     

    Sclérose en plaques

     

     On comprend bien, que si chez certaines personnes, les informations du milieu ambiant, sont perçues de façon plus poussée, comme une menace, une défaite, une souffrance, un choc émotionnel apparaîtra, se traduisant par la peur et une dévalorisation importante, attaquant (inflammation) sans arrêt les nerfs qui reçoivent et transportent l’information choquante, comme pour s’autodétruire en essayant de faire toujours plus, de plaire, ou de réussir à contrer l’information.  

     

    La guérison est possible 

     Les personnes porteuses de la maladie qui veulent se soigner et en guérir, devraient se  rappeler que nous ne devons pas subir les dangers qui apparaissent sur notre chemin de vie, mais réagir ! Et c’est notre système nerveux qui nous donne cette capacité. C’est précisément la définition d‘un réflexe, qui est un acte rapide et incontrôlé, qui éloigne un danger.  

     

    De manière imagée, le nerf n’est qu’un fil téléphonique, qui traverse notre corps et par lequel passe un message du cerveau vers nos organes, nos muscles, nos glandes et se traduit par une réaction appropriée. Il n’est pas un ennemi, mais un gardien, un protecteur contre d’éventuelles agressions.  

     

    Elles ont aussi besoin de percevoir le monde qui les entoure, grâce à leur sens, sentir, toucher, voir, entendre, goûter, sont des informations que seuls les nerfs retransmettent au cerveau. Aussi ils ne doivent pas être détruits, mais protégés, pour nous permettre de prendre conscience du monde qui nous entoure. Pour en jouir, l’apprécier et le retranscrire. En laissant s'exprimer la douceur et en abandonnant les idéaux qui sont hors d'atteinte, elles offriront à leur corps une trêve, une manière de l’aimer dans le milieu ambiant où il se trouve, avec les personnes qu’il côtoie. Pour qu’enfin, ce corps ne s'exprime plus par tant de souffrance. 

     

    « Voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide ! »  Optimiste envers et contre tous ou contre tout !  

     

    cvfg

     

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    Stop au poids

    Paroles et paroles

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  •  Paroles et paroles "vivreaujourd'hui.com"

    28 Mai 2014
     

    Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole mauvaise, mais, s’il en est besoin, une bonne parole qui soit constructive et communique une grâce à ceux qui l’entendent.
    Éphésiens 4.29

    Le fils de Cathy traversait depuis un bon moment déjà des épreuves très dures sur les plans émotionnels et professionnels. Une nouvelle épreuve physique s’y rajouta. Cathy partagea ses sentiments de souffrance et d’impuissance au cours d’une rencontre avec ses amis.

    À peine la réunion terminée, plusieurs personnes, voulant consoler Cathy, l’entourèrent. L’une d’entre elles commença par dire : « Moi aussi, les médecins avaient craint cette maladie pour moi… (et blablabla) », détournant ainsi la conversation sur elle-même. Puis d’autres voulurent la rassurer, lui donner des conseils… De minute en minute, Cathy se sentit de plus en plus étrangère à cette petite foule. Les flots de paroles ne faisaient que l’isoler davantage.


    Lorsque toute cette agitation se calma, une amie s’approcha d’elle et lui dit : « Pour un cœur de mère qui voit son enfant aller de mal en pire, ça doit être terrible, je penserai bien à vous. » Cette parole lui alla droit au cœur, car cette personne l’avait réellement écoutée et était au diapason avec elle dans ce qu’elle éprouvait.


    Comment consolons-nous les gens en souffrance ? En centrant la conversation sur nos propres expériences ? En les assommant de conseils ? Ou simplement dans l’écoute compréhensive et par une parole douce qui calme et qui montre notre compassion ?

    Tcheng Y.L.

    La consolation demande sagesse


    Psaume 116. 1-9 : "1 J’aime le Seigneur, car il m’écoute quand je crie vers lui. 2 Il a tendu vers moi son oreille, et toute ma vie, je ferai appel à lui. 3 La mort me tenait déjà attaché, le monde des morts m’avait pris dans ses chaînes, j’avais très peur et j’étais très malheureux. 4 J’ai appelé le Seigneur par son nom : « Ah ! Seigneur, sauve-moi ! » 5 Le Seigneur a pitié, il est juste, notre Dieu aime avec tendresse. 6 Le Seigneur protège les gens simples, j’étais faible, il m’a sauvé. 7 Allons, je dois retrouver mon calme, car le Seigneur m’a fait du bien. 8 Tu m’as sauvé de la mort, tu as essuyé mes larmes, tu m’as empêché de tomber. 9 C’est pourquoi je marcherai sous le regard du Seigneur,sur la terre des vivants."

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  • L’épreuve "vivreaujourd'hui.com"

    27 Mai 2014
     

    Pourquoi donner la vie aux hommes accablés ?
    Job 3.20

    Pourquoi vivre encore quand tout va mal, que personne ne se soucie de nous, que les circonstances se liguent pour nous abattre ? Douleurs, incompréhensions, trahisons, deuils, échecs… N’en vient-on pas à se demander pourquoi Dieu permet la souffrance ? Interviewé, Yves Duteil a dit : « La souffrance de l’homme reste un mystère opaque. Mais, en acceptant malgré tout de se confronter à ces questions, on se met en chemin. On prend peu à peu conscience que la vie de tout homme est semée d’épreuves, que notre grandeur, c’est justement de tenter de rester debout, malgré la tempête qui s’abat. »

    Le mot “épreuve” a aussi le sens d’examen. Être éprouvé, c’est être contraint de faire ses preuves. Inutile ? Sûrement pas !

    De l’épreuve, Y. Duteil dit encore : « Elle conduit à se poser avec acuité les seules vraies questions, celles qui interrogent le sens de l’existence. “La face cachée du malheur” peut, paradoxalement, être une source de vie… C’est dans le désarroi, parfois, que l’on trouve les plus belles raisons de vivre. »

    La Bible ne dit pas autre chose. Oui, l’épreuve est souvent l’occasion de chercher l’essentiel, c’est-à-dire Dieu lui-même. C’est au sein de la souffrance que la vanité du reste nous apparaît et que nous acceptons de nous laisser rejoindre par le Créateur. Heureuse épreuve que celle qui nous permet de le rencontrer et de trouver enfin, avec sa consolation, un sens à notre existence ! Non, ce n’est pas sans raison ni volontiers que Dieu afflige les enfants des hommes.

    Richard D.

     

    L'ÉPREUVE

     

     

    Livre de Jacques 1. 2-4 : "2 Mes frères et mes sœurs chrétiens, quand vous rencontrez des difficultés de toutes sortes, soyez très heureux. 3 Vous le savez, si votre foi reste solide dans les difficultés, celles-ci vous rendent plus résistants. 4 Il faut que vous résistiez jusqu’au bout, alors vous serez vraiment parfaits et vous ne manquerez de rien." 

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  • LE PLUS BEAU DES COMBATS

    Synopsis : En 1971, dans la petite ville d'Alexandria, en Virginie, la population noire se retrouve intégrée au sein du lycée T.C. Williams jusque-là réservé aux Blancs. Mais les oppositions sont violentes. Dans une situation instable qui menace de dégénérer à tout moment, Herman Boone (Denzel Washington), un Noir, est nommé entraîneur principal de l'équipe des Titans. A ce poste, il devient le supérieur de Bill Yoast (Will Patton), un Blanc, un prédécesseur renommé. Malgré tout ce qui les oppose, Boone et Yoast apprennent à travailler ensemble et découvrent qu'ils ont davantage en commun que le seul amour du football. Tous deux partagent intégrité, sens de l'honneur et une solide éthique de travail. Bien qu'ayant des origines radicalement différentes, ils parviennent à transformer un groupe de jeunes gens haineux, divisés et incapables de se concentrer en une équipe soudée, volontaire et dynamique. Au-delà des matches et des victoires, ce sont les préjugés et l'intolérance que les deux hommes combattent.

     

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  • COMMEMORATION DE L’ABOLITION DE L’ESCLAVAGE EN GUADELOUPE 

    27 MAI 1848  

     

    ABOLITION DE L’ESCLAVAGE EN GUADELOUPE

    La liberté, c'est quoi ?

     

     

    Le deuxième décret de l'abolition de l'esclavage en France a été signé le 27avril1848 par le Gouvernement provisoire de la deuxième République[]. Adopté sous l'impulsion de Victor Schoelcher. (cf  article :  Abolition de l'esclavage à la Martinique)

    Contrairement à la Martinique devenue temporairement anglaise, pendant la première abolition de l’esclavage, la Guadeloupe a connu deux abolitions. D’abord en 1794, suite à la révolution française et les luttes intestines importantes, ensuite en 1848.  

      

    La longue marche vers la première liberté 

    On est en 1724, Sous le règne de Louis XV. Le Code Noir fait l’objet d’une révision spéciale pour la Louisiane et rend désormais difficile l’affranchissement d’un esclave. Les esclaves sont affamés et décident de se révolter. Mais les meneurs sont vite arrêtés et pendus. A ce moment il y a 10538 blancs et gens libres, contre 45653 esclaves, soit 56191 habitants.  

    Le Roi du Dahomey (actuel Bénin, appelé également « Côte d’esclaves) proteste même  de la qualité médiocre des armes qu’on lui échange contre des esclaves ! En Août 1777 le Roi renouvelle l’interdiction d’amener dans le royaume  français,  des esclaves noirs, mulâtres, ou autres gens de couleurs (« sangs mêlés » ou « mulâtres », métis ou noirs qui étaient libres, non esclaves et qui se différenciaient des noirs affranchis), de l’un ou l’autre sexe, sous peine de 3000 livres d’amende, et de renvoyer aux colonies les noirs et mulâtres qui se trouvent dans le royaume. On interdit même  aux gens de couleur libres de s’habiller comme des blancs.Les curés et officiers publics ont interdiction de qualifier les personnes de couleur libres du titre de « sieur et de dame ». 

    A ce moment, soit en 1785, on bat le record du 100è voyage négrier !  

    Naît alors le 19 février 1788, à Paris, un mouvement abolitionniste appelé « La Société des Amis des Noirs » dont font partis les marquis de Mirabeau, de Lafayette et de Condorcet, l’Abbé Grégoire, Étienne-Charles de Lomé nie de Brienne, le duc Dominique de La Rochefoucauld, Olympe de Gouges, Louis Monneron, Léger-Félicité Sonthonax et Jérôme Pétion de Villeneuve.Elle est dirigée par Jacques Pierre Brissot et présidée par Étienne Clavière. 

    1789 et La Révolution Française sont accueillies avec beaucoup d’enthousiasme comme en  France. Et paradoxalement, ce sont les planteurs, les plus fervents révolutionnaires, parce qu’assoiffés de pouvoir, ils pensent obtenir le pouvoir de se gouverner, comme les colons anglo-américains.A la Guadeloupe on en est à 13712 blancs et affranchis et 89523 esclaves, soit 106593 habitants et le 26 Aout 1789 on proclame  la Déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen : « Tous les hommes naissent libres et égaux en droits. » 

    Cette déclaration intervient pour tous les hommes !Mais aux  Antilles on compte 700 000 esclaves, aucunement concernés par celle-ci !  

    Alors le 22 Octobre 1789, La Société des Amis des Noirs, interpellée, présente les doléances des gens de couleur de Saint-Domingue. Mais en vain. Idem en Martinique et en Guadeloupe, où les embryons de révolte d’esclaves sont vite étouffés.  

    Le 11 Mai 1791, une avancée se produit, lors de la séance de l’Assemblée Constituante.Le député abolitionniste Viefville des Essarts abordele sujet de l’esclavage et le 15 mai L’Assemblée Constituante décrète que les gens de couleurs, nés de pères et de mères libres, et selon des qualités requises, jouiraient des droits des citoyens actifs et seraient admis comme les blancs, dans les assemblées paroissiales et coloniales. Son application est dévolue aux assemblées coloniales pour lesquelles devraient être organisées des élections. Les droits politiques des Libres et des députés, sont admis. Les blancs et les gens de couleurs libres sont à égalité politique. 
    On supprime alors en 1792 la prime d’encouragement à la traite, accordée par le Roi Louis XVI, en 1784. Il faut attendre le 4 Février 1794, à l’initiative des dantonistes, pour que  l’abolition de l’esclavage soit enfin votée par la Convention. 

     

    La liberté, aussi vite proclamée, aussi vite menacée !  

    Mais nouveau rebondissement,  21 Avril 1794, le Général anglais Dunbas, s’empare de Guadeloupe, suite à une fomentation des planteurs français qui refusent  l’abolition de l’esclavage et la perte de leurs privilèges. Les anglais débarquent sur les plages de Gosier, fondent sur le fort Fleur-d’Epée, occupé par des noirs et des  gens de couleur, qui alors tous tués.  

    Dès le début du mois de Juin 1794, les habitants de l’île se soulèvent avec l’aide de troupes venues de France avec les Commissaire de la Convention, Victor Hugues et Chrétien, et les généraux Cartier et Aubert et l’abolition de l’esclavage est une nouvelle fois proclamée. C’est aussi l’introduction de la guillotine 

    Fin 1794, les choses ne s’améliorent guère, la rémunération des anciens esclaves n’est pas résolue, des troubles recommencent, même s’ils sont sévèrement réprimés.  

    A la fin de l’année 1799, Le gouverneur Desfourneaux tombe en disgrâce par les lois des 25 Octobre 1797 et du 1er Janvier 1798 (Pélardy) qui reconnaissent comme citoyen français les noirs et hommes de couleurexerçant un métier, une profession, pouvant aussi prouver leurs moyens de subsistance et sachant lire et écrire.  

    Mais un changement politique fracassant, le 9 Novembre 1799, par le coup d’État du 18 brumaire an VIII de Napoléon Bonaparte, annule la représentation des colonies au corps législatif, sensé compter 300 membres constitués d’un citoyen au moins de chaque département de la République, mais il est stipulé que les colonies françaises, elles, relèvent de lois spéciales !  . 

    Les droits et liberté des noirs se réduisent. En Août 1801la population de couleur, exaspérée, se soulèvent,  les principaux chefs de couleur sont arrêtés, comme le Général de brigade Magloire Pélage, le Capitaine Gédéon et le Capitaine Ignace. Pélage, s’échappe  de justesse et se réfugie au fort de la Victoire, où se trouvait le Capitaine Ignace et sa compagnie de chasseurs noirs de ligne qui anéantit la garde blanche, mais les autres hommes de couleurs sont tous arrêtés.   

    Après des luttes de pouvoir incroyables et des pourparlers importants, Pelage devient le commandant militaire de l’île, maisBonaparte demande le désarmement des troupes noires et l’arrestation de leurs chefs afin d’imposer sa volonté. En France dès 1802, la loi interdit les mariages mixtes. 

    Tandis que des luttes de pouvoir créent une scission entre les blancs et les noirs. Tous les noirs furent relevés de leur fonction, notamment militaires. De la Grande-Terre à La Basse-Terre, tous les régiments noirs sont désarmés qui subissent d’importantes humiliations à Pointe-à-Pitre.  

     

    La liberté retirée… 

    Le 8 Mai 1802, les officiers de couleur se réunissent, menés par Louis Delgrès et écrivent une Proclamation contre les atteintes à leur liberté, appelABOLITION DE L’ESCLAVAGE EN GUADELOUPE ant à se battre et à résister.  Une flotte de 11 navires débarque 3500 soldats sous le commandement d’Antoine Richepance, pour mener la répression de cette insurrection menée par Louis Delgrès, officier de la révolution.   

    Les troupes françaises de Richepance, à leur apparition, embrasent la population de couleur.  

     « Vivre libre ou mourir ! » est leur cri de ralliement. 

    Le 10 Mai 1802 à midi, les troupes de Delgrès se battent  avec acharnement faisant dans les rangs adverses de lourdes pertes, mais à la fin de la journée, les troupes de Richepance occupaient une partie de la ville, quelques grandes habitations, comme celle de Bellevue et Belost. Au matin du 12 Mai 1802,  le colonel Delgrès menait une des plus terribles des batailles, attaquant tant la ville que les habitations. Cette bataille  marque l’entrée sur le champ de bataille des femmes qui encourageaient les troupes noires. L’annonce le  20 Mai 1802, de Napoléon Bonaparte, qui dirige la France et l’Empire colonial, du  rétablissement  de  l’esclavage et de la traite des noirs, affaiblit la résistance et les abolitionnistes qui les soutiennent, perdant leurs positions, ils fuient dans les mornes du Vieux-Fort, car à Basse-Terre les violences contre les gens de couleur se multiplient.  L’un des plus vaillants insurgés, Ignace, meurt ainsi que 675 autres noirs, près de 250 hommes, femmes et blessés sont emprisonnés. Le 26 Mai 1802Cent prisonniers furent fusillés place de la Victoire, à Pointe-à-Pitre.le 27 Mai 1802Cent cinquante prisonniers furent fusillés au lieu dit « Fouillote ». Le 2 Juillet 1802, un arrêté renouvelle la déclaration royale de 1777, interdisant le territoire continental aux individus de couleur sous peine de déportation. 

    le 16 Juillet 1802 la loi du 4 février 1794 qui avait abolit l’esclavage est abrogée. La population esclave, s’élève alors à 102989 personnes

    La règlementation entre blancs et noirs se durcit. Le mariage entre blanc et noir est strictement interdit, au profit des colons qui récupèrent leurs biens et pour qui les dettes sont annulées. En 1807, Un arrêté Préfectoral condamne même à 1620 francs, toute personne donnant asile à un esclave « Marron ». Les esclaves étaient au nombre de 122895 personnes. 

    Une déclaration du Pape Pie VII, lors du congrès de Vienne(1814), interdit aux ecclésiastiques et laïcs de soutenir le commerce négrier., Napoléon est contraint,le 29 Mars 1815, de décréter l’abolition de la traite négrière (traité de Paris). Mais les antithèses se poursuivent, les noirs ne peuvent plus porter de chaussures. 

    Parallèlement, le 2 Novembre 1830, l’affranchissement moral de la classe des gens de couleur libres est promulgué; abolissant les règlements qui leurs ôtaient les droits de citoyen, en les assimilant pleinement à la classe blanche. Le 8 Mars 1832, une loi déclare libres, les noirs qui seraient trouvés à bord de navires négriers. On simplifie l’affranchissement des esclaves, on abolit les peines de ABOLITION DE L’ESCLAVAGE EN GUADELOUPE la mutilation et de marquage des esclaves. Sous l’instigation de la Charte coloniale de Victor Schoelcher et des anti-esclavagistes. Les esclaves, homme ou femme, amené par un colon en France seraient affranchis selon l’ordonnance du 12 Juillet 1832 et un nom et prénom leur serait donnés.  

    Les premiers signes de libération commencent à poindre en France. Le roi ordonne le recensement de tous les esclaves des colonies alors que le Pape, Grégoire XVI condamne fermement en 1839, la traite négrière, la qualifiant d’inhumaine.Le patronage des esclaves est institué afin que les esclaves ne subissent aucuns sévices.  

     

    La seconde liberté en marche  

    S’affrontent alors deux grands antagonistes chez les planteurs, des colons émancipateurs, qui veulent abroger l’esclavage et les pro-esclavagistes qui défendent l’esclavage, comme utile aux esclaves et bien sûr à leurs privilèges. Ils font de la propagande au travers des journaux de l’époque et durcissent même le système esclavagiste. Plus nombreux au Conseil que les abolitionnistes, leur cruauté envers les esclaves est sans pareil. Les châtiments corporels deviennent de plus en plus inhumains, allant jusqu’à la mort d’esclaves et de nombreuses minutes judiciaires racontent ces faits horribles, dont la justice a connaissance,  mais pour lesquels elle ne fait rien, malgré les lois existantes.  (lois Mackau) 

    Des faits qui sont rapportés en haut lieu et soutiennent la cause des abolitionnistes comme Victor Schoelcher, Victor Hugo, Lamartine ou Ledru-Rollin, et qui pèseront lourdement dans le vote du décret abolitionniste du 27 avril 1848.  

    Les planteurs en colère décident de se venger sur les libres de couleur en leur interdisant l’accès à certains cafés, où l’on refuse de les servir. Les cafés deviennent même des clubs privés, suite à la grosse altercation avec quatre libres de couleur, qui éclate à Pointe-à-Pitre le 1er mai 1846. Une forte ségrégation et une terreur palpable sévit sur toute l’île.  

    Les esclaves se rebellent, se défendent, n’en pouvant plus, le marronnage se multiplie. Les esclaves affrontent désormais leur maîtres allant jusqu’à les frapper, les tuer ou les empoisonner. Certains planteurs, par peur et par crainte de tout perdre, vendent leurs esclaves dans les îles avoisinantes afin d’en tirer un bon prix, car ils sentent le vent tourner. 

    ABOLITION DE L’ESCLAVAGE EN GUADELOUPE Entre 1847 et 1848 les empoisonnements de planteurs et de leur famille entière, même de leurs esclaves domestiques, des incendies de champs de canne, de cases, de bâtiments administratifs, pullulent, tandis que les esclaves fuient vers les autres îles de la Guadeloupe ou se cachent en forêt.  

    Certains esclaves s’informent des avancées de l’abolition outre-Atlantique, et cela les galvanise dans leur lutte et leur espoir.  

    Des marins pêcheurs et des libres de couleur propriétaires de bateaux, servent de passeurs à de nombreux esclaves fuyant les plantations vers les autres îles dont l’équilibre démographique inquiètent l’administration.  

    Quand les esclaves apprennent la signature du décret à la fin du mois d’avril, la Guadeloupe devient une véritable poudrière surtout que l’application de celui-ci tarde, le décret n’étant pas encore arrivé dans l’île.  

    Un autre fait vient accélérer les choses : Le nouveau gouverneur Layrle, arrivant dans l’île, informe les esclaves qu’il faut qu’ils soient patients et continuent à travailler, parce que c’est à cause de leurs agissements que la première abolition a été abrogée et l’esclavage restauré. En même temps, il incite les colons à émanciper les esclaves et à commencer à organiser le travail libre pour ne pas perdre leur main-d’œuvre, leurs privilèges et richesse.  

    Ainsi quand les planteurs apprennent les événements d’insurrection en Martinique le 22 mai, et la proclamation de l’abolition le 23 mai, ils comprennent que les choses ne vont plus attendre. Le Gouverneur Layrle réunit rapidement le Conseil qui vote unanimement le 27 mai l’abolition de l’esclavage. Ensuite commence une vague d’émancipation très cadrée au profit du pouvoir colonial. On célèbre une fête le 29 mai à Basse-Terre et une messe à l’Eglise de Saint-François. Sont présents, les colons, les autorités politiques, coloniales et militaires. Les esclaves plantent un arbre de la liberté à côté d’un drapeau tricolore qu’ils confectionnent. Ils sont adoucis, presque apprivoisés.  

    « Contrairement à la Martinique, l’abolition en Guadeloupe a été un bouleversement régulé en quelque sorte, par le pouvoir colonial, les colons quant à eux, ont opté pour une décision opportune dans un souci stratégique de survie, ils ont su au pied levé préparer à leur avantage le changement de régime.  

    Indéniablement l’abolition de l’esclavage du 27 mai 1848 en Guadeloupe est un aboutissement maîtrisé, le fruit d’un processus inéluctable. 

     
    Différents facteurs ont permis que cette abolition se fasse, à la fois dans et à l’extérieur de l’île, avec une interaction des uns sur les autres, les esclaves même si contrairement à ceux de la Martinique n’ont pas fait une révolte, il n’en demeure pas moins, que les esclaves guadeloupéens ont été acteurs de leur émancipation. » Emmanuelle  Bramban (blog Balawou).  

     

    Une liberté cadrée, sous tutelle 

    ABOLITION DE L’ESCLAVAGE EN GUADELOUPE le 8 Novembre 1848, Le nouveau Gouverneur, Adolphe Ambroise Gatine, prend  un arrêté sur le recensement. Toutes personnes qui ne seraient pas employée à une exploitation agricole ou industrielle; seraient tenues de faire une déclaration annuelle, les quinze premier jours de Janvier, en mentionnant son état civil et ses activités;

     

    sous peine d’une amende. Les lois particulières continuent à régir la vie des anciens esclaves. Le travail devient obligatoire pour maintenir son statut de libre.  

    Les premiers travailleurs indiens arrivent, en décembre 1854, engagés pour travailler dans les champs de canne à sucre. Ensuite arrivent les Africains (1857). Les Chinois arrivent en 1859,  en Martinique comme en Guadeloupe. Puis en 1859, Napoléon décide l’arrêt des recrutements d’africains, sur la côte atlantique de l’Afrique, au profit de l’Inde.  
     

    En Guadeloupe, 7334 nouveaux travailleurs arrivent,  parmi eux, 4155 coolies(Indiens), 2995 Africains et 184 Chinois.  

    Le 1er Octobre 1870, deux députés guadeloupéens sont élus.  
    En 1876, les premiers immigrés libanais et syriens arrivent volontairement aux Antilles, investissant l’économie et le commerce de vêtements et de tissus.  

    En, 1884, l’immigration indienne est arrêtée par le Conseil Général de la Martinique, qui comptait depuis 1852, 25 500 personnes,  dont 4 551 indiens, au terme de leur contrat d’engagement, ont demandé à être rapatriées. En Guadeloupe, en 1904, les immigrants indiens considérés comme sujets britanniques, sont radiés des listes électorales de la Guadeloupe ; si bien, qu’on leur accorde la nationalité française à partir de 1923.  

    En 1946 les lois coloniales sont définitivement abolies. D’abord département français puis régions françaises en 1982, la Guadeloupe, tout comme la Martinique, ont les mêmes institutions politiques que la France hexagonale.  

    En 1992, le Pape Jean-Paul II en visite sur l’île de Gorée, déclare le caractère honteux des souffrances infligées aux  noirs africains par des baptisés qui n’ont pas vécus leur foi. 

    Enfin, après de nombreuses revendications, le 10 Mai 1998, les départements d’Outre-mer reçoivent le Reconnaissance de l’esclavage comme crime contre l’Humanité !  

    Que de luttes !  

    Cette histoire de la libération de la Guadeloupe, faîte d’un va et vient perpétuel entre la liberté et l’esclavage, les droits et l’oppression, la cohabitation et l’exclusion, relève une formidable leçon de lutte pour ses convictions et droits intrinsèques. Comme pour signifier le non-abandon, la détermination envers et contre tout.  

    C’est aussi le message fort et universel des inégalités de la démocratie qui sont toujours latentes et pour lesquelles il nous faut rester vigilants, quelles que soient nos origines, races ou peuples.  

    Car du noir, on passe à l’indien, puis au chinois, jusqu’à l’entrée libre des orientaux.  

    « L’homme est un loup pour son frère » (Thomas Hobbes). Avide de pouvoir et de privilèges, il n’hésite pas et n’hésitera pas un seul instant à empiéter sur la liberté de son voisin, de sa femme ou ses enfants, se prenant des droits de régisseur que seul le créateur détient, au grand désarrois de certains « systémistes » !  

    La liberté s’est longtemps conçue dans le domaine de l’action et de la politique, mais il existe une autre liberté, que les Guadeloupéens, et le peuple antillais de manière générale, nous inculquent, celle de l’intérieur, qui reste inaliénable. En dépit des aspects extérieurs, des brimades, des restrictions, des lois !  

    C’est celle de la pensée, comme un guide de la vérité que l’on cherche à exprimer. Liberté de vouloir, d’être devant des choix, sans soumission à autrui, même si le subliminal du système, reste un débat important…C’est celle d’un combat pour et avec ses convictions, pour la préservation et la restauration de ses droits naturels. 

    L’homme, la femme sont condamnés à être libres, selon la paraphrase de Jean-Paul Sartre, par voie(x) de création divine. Car même Dieu, lui laisse son libre-arbitre et n’empiète pas sur ses choix (cf. Bruce, Tout-puissant).  

    Et même si la liberté intérieure dépend en grande partie de la liberté extérieure, que l’on accepte ou pas, par idéologie ou aliénation sécurisante, celle qui sera la plus efficace ne sera pas celle du « tout faire ce que je veux », mais celle qui s’harmonise autour de la raison, de la sagesse, de la clairvoyance et de la conscience des besoins de notre foyer, ville, société, pays, humanité.  

    cvfg 

     

    ABOLITION DE L’ESCLAVAGE EN GUADELOUPE

     

      

    lire aussi : L'épreuve

                    Libéré de mes kilos

    voir aussi : Le plus beau des combats

     

     

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  • « La fête des mères »,

     

    LA FÊTE DES MÈRESune tradition moderne,

    qui cache une vraie problématique

     

     

    Tradition très ancienne, ce sont les Grecs, qui organisaient chaque année, au printemps, une cérémonie en l’honneur de Rhéa et Cybèle, les divinités mères de tous les Dieux. Ensuite les romains vont garder la tradition et l’élargissent aux mères de familles tous les 1er mars, parce que Mars étant le dieu de la guerre. L’histoire raconte que ce sont les femmes sabines qui ont mis fin à la guerre entre les Romains et les Sabins en se mettant sur le champ de bataille entre les deux camps.( les femmes qui ont mis fin à la guerre entre Romains et Sabins du temps de Romulus!). Dans les premières années de notre ère, les religions monothéistes mettent fin à cette fête et pendant des siècles on ne fête pas les mamans.

     

    Petite histoire de la fête des mères

    Arrivent les Anglais et le le Mothering Sunday (littéralement, le dimanche des mères) au XVIe siècle, On en fait un jour férié de manière à ce que les familles se réunissent au moins une fois dans l’année.

    En 1806, Napoléon aurait évoqué l’idée d’une fête nationale consacrant les Mamans au Printemps, mais personne ne l’a suivi immédiatement. En France, l’idée vient de lui dans le but surtout d’honorer les mères de familles nombreuses.

    La version moderne de la fête des mères, que nous connaissons, nous vient directement des Etats-Unis. Le second dimanche du mois de mai. 1907, au moment du décès de sa maman, une américaine a demandé aux autorités d’instaurer une journée en l’honneur de toutes les mamans du monde le deuxième dimanche de mai. Et depuis les petits américains honorent leur maman le deuxième dimanche de mai depuis plus de 100 ans.

     

     

    LA FÊTE DES MÈRES

     

    C’est en 1906, à Artas, petite ville du Nord-Isère, qu’est célébrée officiellement la toute première fête des Mères.

    La tradition ne s’étendra à l’ensemble du territoire qu’à la première Guerre Mondiale qui servira d’accélérateur à la tradition. Le 16 juin 1918, on célébrera la journée des Mères en hommage à toutes les femmes ayant perdu un fils ou un mari dans les tranchées.

    Dix ans plus tard, en 1929, cette journée servira à encourager la natalité. Il faut cependant attendre le 20 avril 1926, pour que la première  "journée des mères" nationale ait lieu. Il s'agissait alors d'honorer les mères de familles nombreuses, avec remise de "Médailles de la Famille française". Pas très populaire jusqu’en 1941, Pétain, déclare la famille, comme valeur essentielle pour la France, cherchant à officialiser cette fête mettant l’emphase sur le rôle de la femme au foyer. Certains lui ont reproché sa vision de "femme-objet".  Mais le gouvernement de Vichy a continué dans cette voie, fêtant les mères et laissant la charge de cette festivité aux enfants encadrés par les maîtres d'école.


    En 1950, la fête très populaire est officiellement fixée au 4ème dimanche de mai. Si ce dernier est le dimanche de Pentecôte, la fête des mères est reportée au premier dimanche de juin.

    « La journée nationale des mères » est ainsi « créée » le 25 mai 1941.

    Neuf ans plus tard, le 24 mai 1950, c’est le président de la République Vincent Auriol qui en fixe définitivement la date au dernier dimanche de mai.

    La fête des mères est devenue une fête internationale, la Belgique, le Danemark, la Finlande, l’Italie, la Turquie, la Russie et bien d’autres pays, pratiquent la tradition américaine de fêter leurs mamans

    Ce tracer de l’origine de cette fête nationale montre bien qu’on est bien loin de la stratégie commerciale qui bat des mois et semaines durant, sur les médias, les espaces commerciaux, les magasins, avant le jour officiel !

    DOSSIER FÊTE DES MERES

     

    La plus grande problématique de la maternité

    Deux tendances aux antipodes !

    D’abord celles qui ne veulent pas d’enfant parce qu’elles envisagent en effet l’enfant comme « un engagement à vie, une responsabilité énorme, une dépendance affective totale », éprouvant du même coup « l’angoisse d’être prises dans un lien aliénant ».selon l’analyse de la psychiatre Geneviève Serres.

    Pour ces femmes être femme ne rime pas forcément avec maternité.

     

    Quelques chiffres

    En France, 10 % des femmes nées en 1940 n’ont pas d’enfants. 12 à 16 % des femmes nées en 1980 n’en auront pas.


    En Allemagne, 30 % des femmes en âge de procréer sont sans enfant.

    Au Royaume-Uni, le nombre de femmes sans enfant a augmenté de 100 % en vingt ans.

    Au Japon, 56 % des femmes de 30 ans n’en ont pas (contre 24 % en 1995).

    Source : Ined (2006)

     

    Dans le monde

    Les Nations unies s’inquiètent du sort des 7,3 millions d’adolescentes qui deviennent mères chaque année essentiellement dans les pays en développement, dans un rapport rendu public en octobre 2013.

    D’un autre côté plusieurs milliers d’adolescentes deviennent mères en France chaque année. Environ 18 000 adolescentes tombent enceintes en France, 4500 mènent à terme leur grossesse, dont 500 de moins de 16 ans. Il y a 30 ans, on était à 10 000. Les chiffres sont multipliés par 4 en Grande-Bretagne, par 10 aux Etats-Unis, où la mode du « teenager mom » réalise des shows télévisés impressionnants et populaires.

    En Éthiopie, la jeune fille devient mère dès l'âge de 12, 14 ou 15 ans, et pourra avoir plus de sept enfants à l'âge de 25 ans[]; à l'opposé, dans certains États des États-Unis (Texas notamment), le seul fait d'avoir un rapport sexuel avant la majorité est passible de prison pour un garçon s'il a déjà atteint la majorité et de travaux d'intérêts généraux pour la fille. En Angleterre, pays européen connu pour son taux élevé de mères adolescentes, les taux varient entre cent pour mille[] dans le quartier londonien de Lambeth et vingt pour mille dans le comté de Rutland. Sce

     

    En Europe

    « La région de la Thiérache, collée à la frontièrebelge, se remet à peine d'avoir été baptisée « Chômeurland », avec ses 17,9 % de sans-emploi. Et les « grossesses précoces », deux fois plus nombreuses qu'ailleurs. Au début, on parlait de « problème ». On évite maintenant. « Problème pour qui ? La plupart de ces jeunes filles disent désireravoir un enfant », explique Véronique Thuez, infirmière et conseillère au rectorat d'Amiens »Sce.

     

    Dans les DOM

    Ces grossesses précoces qui se multiplient inquiètent les parents et les institutions, surtout si elles sont revendiquées. A l’âge du brevet ou du BAC, certaines tombent enceintes dès le premier rapport sexuel, non protégé, et choisissent de ne pas se faire avorter.

    Dans les départements d’outre-mer, les femmes font plus de bébés et sont mamans plus tôt qu’en métropole, selon une récente étude de l’INED (Institut National des Etudes Démographiques). En 2010, le nombre de naissances a ainsi atteint les 2,4 enfants par femme dans ces départements, contre 2 enfants en moyenne en métropole. En 2008, la Guadeloupe et la Martinique ont eu des taux de fécondité proches de ceux du territoire métropolitain (2,2 et 2,1 respectivement), tandis qu’à La Réunion, il était de 2,5 enfants et, en Guyane, de 3,6 bambins par femme.
    En comparant les DOM et la métropole, on remarque également que les femmes tombent enceintes relativement jeunes. En effet, jusqu’à 23 ans, le nombre de naissances est deux fois plus élevé en outre-mer qu’en métropole. Il n’est pas rare d’ailleurs que ces femmes aient leur premier enfant avant 20 ans. L’âge moyen était de 28,5 ans en 2010 pour les mamans dans les DOM et de 30 ans en métropole. L’INED révèle un autre phénomène : plus des trois quarts des naissances ont eu lieu hors mariage en 2010 (77 %), contre un peu plus de la moitié en métropole (54 %). Enfin, la mortalité infantile est deux fois plus élevée dans les départements d’outre-mer, et l’écart avec le Continent est en augmentation depuis une dizaine d’années. Entre 2005 et 2009, on comptait environ 8,4 décès d’enfants de moins d’un an pour 1 000 naissances, contre 3,6 en métropole. Source : INED

    Juste derrière la Guyane, l’île de la Réunion est le deuxième département français en termes de grossesses précoces. Le nombre d’accouchements de jeunes filles mineures est 7 fois plus important à la Réunion qu’en métropole. Il reste toutefois relativement stable au cours du temps. En revanche, la proportion des interruptions volontaires de grossesse (IVG) dans cette tranche d’âge est passée de 6,2% en 1996 à 12% en 2008 dans ce département. Soit deux fois plus qu’en France métropolitaine.

    En Martinique, 20 grossesses menées à terme recensées au collège, 13 en lycée général, 81 en lycée professionnel.

     

    Qu’est-ce qui explique ces grossesses précoces ?

    Les abus, l'inceste, la pédophilie, sont responsables de nombreuses grossesses d’adolescentes, mais l'ignorance ou la naïveté, sont aussi des facteurs auxquels on ne pense pas toujours, mais que le corps médical autour de la maternité reconnaît bien. Ces jeunes filles démontrent une impressionnante méconnaissance de leur corps. La croyance que l'on ne peut pas tomber enceinte lors du premier rapport sexuel est encore très vivace. Et souvent, parmi les adolescentes concernées, elles sont dix fois plus nombreuses à être sorties du système scolaire, thermomètre évolutif de base, du passage vers l'âge adulte. La grossesse apparaît comme un moyen de quitter l'enfance. De plus en plus de jeunes filles ont leur premier rapport sexuel dans un contexte très alcoolisé. Inconscientes de ce qu'elles font, elles ne prévoient pas de moyens de contraception.

    « Ce qui est difficile dans notre travail, c’est de les faire redevenir femme, et non mère. Françoise Dolto disait qu’une mère, c’était une femme avec des enfants. La femme, c’est le sujet. Les enfants, c’est le complément. » Explique le psychologue Jacques Michel.

     

    La plus grande problématique :

    Être femme pour se préparer à être mère,

    et Être à la fois femme et mère

     

     

    Il serait trop facile de définir le statut de la fille et de la femme par l’âge. « On ne naît pas femme mais on le devient » disait Simone de Beauvoir, car jusqu’à la préadolescence, les filles sont aussi garçonnières que les garçons se déguisent encore en fille. L’éducation de la fille la prépare à être femme, puis à être mère. Le passage obligatoire doit être aidé.

     

    1. D’abord en lui apprenant à faire face.« Plus ils sont dans l’affectif et matériellement présents, moins le jeune a de chance de construire son parent intérieur, c’est-à-dire d’intérioriser le bon parent pour lui », observe Anne-Catherine Pernot-Masson, auteure de Découvrez le parent qui est en vous (Payot, “Petite Bibliothèque”, 2010). Faire face, faire les bons choix pour soi, développer une pensée autonome, se respecter et respecter les autres… Tout cela pour attendre un même but : savoir prendre soin de soi sans oublier les autres. « Il s’agit d’être capable d’évaluer ses capacités et ses limites pour faire des choix qui seront eux-mêmes des compromis entre ses propres idéaux et la réalité », résume le pédopsychiatre Patrice Huerre. Une manière de considérer et poser les conséquences directes ou indirectes de ses actes.

       

    2. En marquant les étapes symboliques : l’apparition des règles, des seins, les premiers flirts, le brevet, le bac, le permis de conduire, sont les étapes symboliques de la maturité qu’acquiert la fille et que les parents marquent d’une petite fête, d’un discret cadeau, d’une attention particulière pour l’amener à mesurer le passage. Un peu comme les rites initiatiques dans d’autres cultures. Chez la fille, sa mère lui apprend, tout en évitant tout tabou, à conserver une certaine pudeur, une part de mystère qu’elle devrait conserver, pour devenir un jour l’objet du désir. Instruire sur la féminité est le rôle de la mère. Répondre à l’intérêt de la fille pour la coquetterie et les affaires de femme, tout en la limitant gentiment. Oser la laisser choisir d’autres modèles, tout en la guidant à comprendre et définir ses objectifs inconscients.

       

    3. En la confrontant à la réalité. Une immersion dans la vie réelle. Ne pas faire à sa place ses démarches administratives ou de santé, ses papiers administratifs, lui demander de tenir un budget, de se trouver un stage ou un job de vacances, lui montrer le sérieux de ses études….Payer les études de nos enfants c’est bien et même un devoir, mais quand les résultats ne sont pas là, et les errances se multiplient, il suffit de les mettre devant leur responsabilité et leur devoir pour qu’ils comprennent qu’ils doivent se prendre en charge tout seul financièrement et matériellement, tout en leur faisant ressentir que c’est pour leur bien, pour que la dure réalité leur apprenne les bonnes leçons de vie qu’elle est entrain de construire.

       

    4. En posant des cadres. Définir la maison familiale qui n’est ni un hôtel, ni un internat. Il y a des règles de cohabitation qui ne sont ni trop libérales, ni celles du couvent. On participe aux tâches domestiques, on se respecte tant dans les propos que dans les comportements, on s’excuse d’un retard, d’une absence... En vérifiant qu’elle sache cuisiner, tenir une maison, se comportant en fille responsable. On ne redéfinit pas les règles en fonction de son évolution, mais on les préserve pour sa maturité de femme en devenir. Et les sanctions, ne doivent pas être épargnées, sous prétexte, de la majorité, de l’âge, de la taille. « Tu amoches la voiture, tu paies les réparations, ou tu ne conduis plus pendant un certain temps, en plus de tes plates excuses ».

     

    Un parcours initiatique qui variera selon les mères, les familles et la jeune fille. Choix, réalité, cadres, sont les piliers nécessaires du passage de la fille à la femme.

     

    Le passage de la femme à la mère ne dépend pas de l’horloge biologique, il s’agit avant tout d’une envie, d’une préparation mentale intérieure propre à chaque femme, quel que soit son âge : quelles sont mes motivations ? Est-ce un bébé de l’amour ? Serai-je une mère de la réparation de l’enfance malheureuse que j’ai subie ? Avoir un enfant serait-ce l’accomplissement de ma carrière réussie ?

     

    Les motivations de la maternité et l’image que l’on se fait de son futur bébé sont capitales.

    Les mamans de 14.15, 20, 30 ou 40 ans, n’abordent pas la naissance et les principes d’éducation de la même manière. Si avant 20 ans, on s’inquiète de se que l’on saura ou pas s’occuper de son enfant, tout en continuant à vivre une vie d’adolescente, mais on se sent plus mature ; A 20 ans, on s’inquiète de bien alimenter son enfant et des difficultés financières, mais on se sent plus mature surtout par rapport au père ; A 30 ans, les questions de santé, les rythmes de vie, préoccupent alors qu’à 40 ans, les questions matérielles, financières, professionnelles, préoccupent quant à leur compatibilité avec sa maternité et son temps d’être femme.

     

    Les défis de la mère moderne

    En définitive, les plus grands défis de la femme-mère moderne se situent dans son travail, son organisation, son indépendance financière, son émancipation, l’implication ou non du père, sa capacité à associer sa présence dans l’éducation, la transmission des valeurs éthiques et humaines et son émancipation en tant que femme.

     

    Alors, fêter les mères d’aujourd’hui et de demain, ne se relègue pas à un parfum, une montre, une sortie au restaurant, un petit-déjeuner au lit, un bibelot, mais une interrogation au quotidien de tous les membres de la famille dans leur implication, positionnement, volonté, à laisser vivre le rôle de la mère dans toute sa beauté. Mais aussi de la maturité suffisante à investir ce rôle !

     

    Quelle mère êtes-vous ? Quelle mère voulez-vous être ?

    Celle qui distille tendresse, douceur, patience, compassion,

    qui s’occupe de son enfant. Protège et organise la vie de famille, tout en sécurisant son enfant.

    Seule la mère sait aimer de manière inconditionnelle, sans attente. Seule elle, sait donner tout simplement. Elle soigne sa famille intérieurement et extérieurement.

    Elle a un rôle divin qui consiste à aimer et enseigner son enfant pour le préparer à aimer à son tour et enseigner.

     Si c’est là l’objectif profond de cette journée de la « fête des mères » ! honorer le rôle profond de la mère dans sa tâche au sein de la société, Alors Bonne Fête Mamans !

     

    LA FÊTE DES MÈREScvfg

     

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  • Un conseil de vieux "vivreaujourd'hui.com"

    26 MAI 2014
     

    Jérémie répondit : Si je te donne un conseil, tu ne m’écouteras pas.
    Jérémie 38.15

    En tant que pasteur, je suis amené à conseiller des personnes, chrétiennes ou non, ce qui n’est pas toujours aisé à faire.
    Un jour, un jeune homme est venu me demander conseil. Il avait entamé une relation avec une fille. Par économie, il voulait mettre fin à sa location
    d’appartement pour intégrer celui de son amie. À l’unisson avec d’autres personnes consultées, je lui ai déconseillé de le faire, même si sa situation financière était alors préoccupante. Quelques semaines après, je le revois, tout joyeux. Il n’avait pas écouté mon conseil et trouvait sa situation heureuse. Mais voilà qu’un jour il me téléphone : la relation est rompue et son amie a mis ses affaires dans le hall. Il a trouvé refuge chez un ami juste pour une nuit… Il est devenu SDF. Comme il ne savait pas où aller, je lui ai trouvé une solution transitoire.
    Lors d’un nouvel entretien, nous sommes revenus sur le conseil que je lui avais donné. Il m’a dit : « Je pensais que c’était un conseil de pasteur ou de vieux, mais vous aviez raison ! »
    Il est étonnant de voir combien de personnes demandent conseil – et c’est bien –, mais n’en tiennent pas compte. Elles ne recherchent qu’une approbation de ce dont elles ont envie !
    Ces derniers temps, avez-vous demandé conseil ? Ou bien avez-vous prié Dieu de vous éclairer sur vos choix par sa Parole ? Pensez-vous aussi que les réponses apportées sont d’un autre âge ? Si c’est le cas, pourriez-vous les reconsidérer et revenir sur votre idée ?

    Bernard D.

     

     

    Un conseil de vieux

     

     Livre du prophète Jérémie 38. 14-18 : "14 Le roi Sédécias a envoyé quelqu’un chercher le prophète Jérémie et il l’a fait venir à la troisième entrée du temple. Il lui a dit : « Je veux te poser une question, ne me cache rien. » 15 Jérémie a répondu à Sédécias : « Si je te dis la vérité, tu vas me faire mourir. Et si je te donne un conseil, tu ne le suivras pas. » 16 Mais le roi Sédécias a fait en secret ce serment à Jérémie : « Par le Seigneur vivant qui nous a donné la vie, je le jure : je ne te ferai pas mourir. Et je ne te livrerai pas aux gens qui veulent ta mort. » 17 Alors Jérémie a dit à Sédécias : « Voici les paroles du Seigneur, Dieu de l’univers et Dieu d’Israël : “Si tu sors pour te rendre aux officiers du roi de Babylone, tu sauveras ta vie et celle de ta famille. Et Jérusalem ne sera pas brûlée. 18 Mais si tu ne sors pas pour te rendre aux officiers du roi de Babylone, Jérusalem sera livrée aux Babyloniens. Ils y mettront le feu et toi, tu ne leur échapperas pas.” »

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  • La fleur et le fruit "vivreaujourd'hui.com"

    25 Mai 2014
     

    Regardez les oiseaux du ciel…
    Matthieu 6.26

     

    J’ai été interpellé, l’autre jour, par la leçon d’un petit oiseau.
    Au retour d’un déplacement, je retrouvai les tournesols, que j’avais laissés pousser autour de la maison, dans un état pitoyable.
    Je fus vraiment chagriné par l’aspect de ces longues tiges aux feuilles fanées qui avaient peine à porter ce qui ressemblait davantage à de lourds fruits en décomposition qu’aux belles fleurs de l’été.
    J’ai donc entrepris de tailler dans le vif quand j’ai aperçu par la fenêtre un superbe petit oiseau. Accroché, la tête en bas, à l’une de ces grandes fleurs fanées, il se délectait des graines qui constituaient désormais le cœur de la fleur. Je l’ai identifié plus tard : c’était un chardonneret élégant.
    Grâce à cette vieille fleur “affreuse”, j’ai eu le spectacle de cet oiseau au masque rouge et aux ailes bordées de jaune vif, heureux de trouver sa subsistance…
    Nous sommes trop souvent superficiels, nous n’allons pas assez au cœur des choses. Seul Dieu voit notre cœur tel qu’il est sans s’arrêter aux premières impressions. Il faut que la fleur fane pour que le tournesol devienne réellement utile, ceux qui les cultivent par champs entiers le savent bien.
    Sommes-nous encore trop sensibles à l’apparence ? Et en recherche de l’admiration des autres ? Sommes-nous nés pour séduire ou pour “nourrir” ? Dieu veut des personnes réellement utiles.
    L’homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l’Éternel regarde au cœur.1

    Bernard S.

    1 1 Samuel 16.7

     

    1er livre de Samuel 16.1-12 : "1 Le Seigneur dit à Samuel : « Est-ce que tu vas pleurer Saül encore longtemps ? C’est moi qui l’ai rejeté, et il ne sera plus roi d’Israël. Prends de l’huile et va à Bethléem. Je t’envoie là-bas, chez Jessé. En effet, j’ai choisi parmi ses fils le roi qui me plaît. » 2 Samuel demande : « Comment est-ce que je peux faire cela ? Si je vais à Bethléem, Saül va l’apprendre et il va me tuer ! » Le Seigneur lui répond : « Prends avec toi un veau. Tu diras : “Je viens offrir un sacrifice au Seigneur.” 3 Invite Jessé à la cérémonie. Je te dirai ce que tu dois faire. Je te montrerai celui que j’ai choisi, et tu verseras de l’huile sur lui pour le faire roi. »

     4 Samuel fait ce que le Seigneur a dit. Quand il arrive à Bethléem, les anciens de la ville sont inquiets. Ils viennent à sa rencontre et lui demandent : « Est-ce que tu viens nous annoncer une bonne nouvelle ? » 5 Samuel répond : « Oui. Je viens offrir un sacrifice au Seigneur. Rendez-vous purs pour la cérémonie et venez ensuite avec moi. »
    Samuel dit aussi à Jessé et à ses fils : « Rendez-vous purs, je vous invite au sacrifice. » 6 Quand Jessé et ses fils arrivent, Samuel voit Éliab et pense : « C’est sûrement lui que le Seigneur a choisi. » 7 Mais le Seigneur lui dit : « Cet homme est beau et il est grand. Mais ne fais pas attention à cela ! Ce n’est pas lui que j’ai choisi. Je ne juge pas comme les êtres humains. Les gens font attention à ce qui se voit, mais moi, je regarde le fond du cœur. »
     8 Ensuite Jessé appelle Abinadab. Il le fait passer devant Samuel, mais Samuel dit : « Ce n’est pas non plus cet homme-là que le Seigneur a choisi. » 9 Jessé fait passer encore Chamma, mais Samuel dit : « Ce n’est pas lui non plus. » 10 Jessé fait passer ainsi sept de ses fils devant Samuel. Samuel lui dit : « Le Seigneur n’a choisi aucun d’eux. » 11 Puis il ajoute : « Est-ce que tes fils sont tous là ? » Jessé répond : « Non, il y a encore David, le plus jeune. Il garde les moutons. » Samuel lui dit : « Envoie quelqu’un le chercher ! Nous ne commencerons pas le repas du sacrifice avant son arrivée. »

     12 Aussitôt Jessé fait venir David. David a le teint clair, avec de beaux yeux et un beau visage. Alors le Seigneur dit à Samuel : « C’est lui ! Verse de l’huile sur sa tête pour le faire roi ! »

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  • 25 MAI Journée mondiale de la thyroïde 

     

     

    EXPRIMEZ-VOUS ! 

     

     

     

     

     

    Sce 

     

    6 MILLIONS DE FRANÇAIS ONT DES PROBLEMES DE THYROÏDE 

     

    La thyroïde, une glande de 30 g , en forme de papillon, située à la base de notre cou, en arrière de la pomme d’Adam. Elle régit, notre humeur, notre poids et notre vie sexuelle en fabricant les hormones T3 et T4 qui régulent la vitesse de fonctionnement de tous nos organes vitaux.  6 millions de Français ont des problèmes de thyroïde. « Cette glande est formée de groupe de cellules qu'on appelle des vésicules. Ces vésicules sont traversées par des vaisseaux sanguins dans lesquels le sang transporte de l'iode. C'est le principal ingrédient pour fabriquer les hormones thyroïdiennes. Ces cellules vont absorber l'iode et le transformer en hormones. Ces hormones vont être emmagasinées dans les vésicules, puis libérées dans la circulation sanguine dès que l'organisme en a besoin. Mais pour que no organes puissent avoir un bon rythme de fonctionnement il faut la bonne dose d'hormones thyroïdiennes. Cette dose est gérée par le cerveau et plus exactement par le chef d'orchestre des glandes de l'organisme, l'hypophyse. Quand il n'y a pas assez d'hormones thyroïdiennes, l'hypophyse envoie un message à la thyroïde pour qu'elle fabrique plus d'hormones. Quand il y en a trop, l'hypophyse freine la production de la thyroïde. Mais parfois ce système de régulation fonctionne mal. Résultat quand la thyroïde est trop paresseuse, on dit qu'on est en hypothyroïdie. Le corps fonctionne au ralenti, on réfléchit moins vite et on a du mal à mémoriser. À l'inverse, quand la thyroïde s'emballe, c'est l'hyperthyroïdie. Le corps est en super fonctionnement, le cœur bat plus vite, la respiration s'accélère, la digestion est trop rapide, on a la diarrhée, on tremble et on a des troubles de l'humeur. On devient irritable. Les troubles de l'humeur peuvent donc être dus à un problème de thyroïde »Sce. 

    Elle peut se déformer, grossir et créer une protubérance disgracieuse à la base du cou : c’est le goitre. D’autre fois elle est bosselée et formes des petites boules sur la glande thyroïde, ce sont des nodules qui peuvent être cancéreux ou non. 

    Les symptômes d’un dysfonctionnement de la glande thyroïdienne sont : une grande fatigue ou une hyperactivité soudaine, cancer, agressivité, irritabilité, frilosité, crampes, pâleur, ralentissement du rythme cardiaque, perte de motivation, faiblesse, léthargie et épuisement qui peuvent parfois dégénérer à un état émotionnel plus inquiétant et débilitant. Il arrive que le manque de concentration, les sautes d’humeur, une sensation de tristesse sans fondement, une peur irraisonnée, les pertes de mémoire, la confusion, l’irritabilité, la nervosité, l’anxiété, les attaques de panique mènent à la dépression.  

    D’une façon générale et scientifique, il s’agit d’une carence en iode. LE tabac aggrave la maladie et donne des yeux exorbités au malade, les polluants, le stress, l’ablation de la thyroïde, la maladie d’hashimoto, sont aussi des facteurs importants.  

     Nous avons déjà démontré qu’il y a une relation certaine entre les émotions conflictuelles et les organes touchés. voir la vidéo 

     Quelles émotions et quelles circonstances de la vie sont susceptibles d'occasionner des problèmes à la glande thyroïde ? 

    Thyroïde : sentiment d’impuissance 

    • Une Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu'on aurait voulu. 
    • Un Sentiment d'être trop lent par rapport à ce qu'on attend de nous. 
    • L’Impuissance, le sentiment d'être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse. 
    • Être bloqué dans la parole ou dans l'action, être empêché d'agir. 
    • Pas le droit de parler, de s'exprimer. Ne pas se sentir écouté. 
    • Difficultés à s'affirmer. 
    • Une déception ou une injustice n'a pas été "avalée" et est restée en travers de la gorge. 
    • Chagrin non reconnu par l'entourage.  

    Hyperthyroïdie

    • Désir de vengeance, besoin de prouver ses capacités. 
    • Trop en faire pour être aimé. 
    • Croire que tout est urgent, il faut tout "faire vite". 
    • Colère et tristesse de ne pas avoir dit ce qu'on aurait aimé ou voulu dire à une personne, ou dans une situation. Dans ce cas, on peut essayer de faire la thérapie de la lettre à brûler  
    • Se sentir dépassé par les événements. 
    • Non-dits accumulés.  

    Hypothyroïdie

    • Profond découragement, à quoi bon ? 
    • Aimerait en faire plus mais ne se demande pas quels sont ses vrais besoins. 
    • Personne ne nous comprend. 
    • Rancune tenace et nourrie pendant des années. 
    • Résignation, abandon de la vie. 
    • Désir de fuir les réalités, se mettre en retrait. 
    • Rancune ancienne non réglée. 

    En résumé les maladies de la thyroïde témoignent soit d’un sentiment d’étouffement et de victime de la vie ou bienL’individu ne se sent pas en droit d’exiger ce qu’elle désire vraiment, de créer sa vie. Elle a le goût d’abandonner la bataille à force d’insatisfaction, de découragement à attendre son tour en vain. Elle passe son temps à ressasser les problèmes de sa vie, les échecs, les peurs; le négatif ainsi généré épuise la glande thyroïde et l’entraîne progressivement vers le déséquilibre. 

    (Voir le livreL'hypothyroïdie expliquéede Gisèle Frenettepour plus d'informations)  

    Voulez-vous soigner votre thyroïde 

    En préventif comme en curatif ?  

    En plus du traitement naturel que je vous invite à consulter : SOIGNER MA THYROIDE , nous comprenons que de la même manière que les émotions attirent la maladie, elles influencent profondément le processus de guérison. Or la thyroïde plus que toutes les autres glandes, contrôle le métabolisme et affecte le développement physique et mental. De plus sa situation physiologique au niveau de la gorge, concerne les éléments de la parole contrôlés et créés d’abord par l’esprit. C’est dans l’art de nous exprimer que nous mesurons la « supériorité positive » de notre esprit. Remarquons bien, lorsque nous sommes en colère nous marmonnons et grognons, quand nous sommes heureux nous chantonnons, ronronnons, poussons des petits cris, quand nous sommes tristes ou insatisfaits, nous soupirons, quand nous avons peur, nous n’arrivons plus à parler. C’est notre gorge qui exprime nos émotions d’esprit. La guérison du mental, donc de l’esprit, dans le traitement de la thyroïde, glande de la gorge, c’est : Exprimer ses sentiments en s'exprimant soi-même: crier, rire et dire que l'on n'est pas heureux, bien ou content. Exprimer la vérité ouvrira son individualité. Dire la vérité, ne pas se livrer à des commérages, des mensonges ou des exagérations sont les premières clés. Une thérapie qui tourne autour de l’expression. La suppression des sentiments " négatifs". La vigilance à être poli et engagé dans ses paroles. Prendre conscience que ce que l'on dit est important p,eu importe ce qu’en pensent les autres. Ce qui développera sa confiance en soi. Le parler franc sera privilégié, surtout si l’on vient d’une famille qui nous dénigrait. Ce type d’attitude enlève tout environnement hypocrite. Une leçon de vie que notre thyroïde nous exprime afin d’apprendre à exprimer notre volonté indépendant des autres, avec respect et assurance.  

    Ne plus subir ce qui bloque notre énergie ou se mettre sous le joug pesant de la médication, ne dépendent que de nos choix. Saviez-vous que l’expression de vos sentiments et vérité intérieurs pouvaient guérir votre thyroïde ? Que vous en soyez convaincu ou pas, n’oubliez pas que L’esprit prime sur le corps pour tout réussir  dans votre vie. Car notre corps n’est que la visibilité de notre esprit. qui est le garant de notre résilience face aux agressions que subit le corps. 

     

    cvfg

     

     

     

     

     

     

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  • Un Monde Meilleur

    Durée 1h 57min, Film Américain Réalisé en 2000 par Mimi Leder
    Avec: Kevin Spacey, Helen Hunt, Haley Joel Osment
    Synopsis : Un jeune garçon tente de faire du monde un meilleur endroit, grâce à son professeur…

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  • Lettres à Dieu (VF)

    Synopsis : Tyler, 9 ans, souffre d'un cancer. Plutôt que de se résigner à son sort celui-ci décide de vivre une vie normale et d'aider ceux qu'il aime à trouver le bonheur. Le jeune garçon commence alors à écrire des lettres à Dieu, lui demandant d'apporter son secours à ceux qui, comme lui, souffrent. Lues par le facteur, les prières de Tyler trouvent un écho chez cet homme et la vie de la communauté se trouve ainsi bouleversée par la foi d'un jeune garçon...

     

     

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  • Guéri pour l’éternité "vivreaujourd'hui.com"

    24 Mai 2014
     

    Éternel, aie pitié de moi ! Guéris mon âme ! Car j’ai péché contre toi…
    Psaume 41.5

    Durant le temps d’incubation d’une maladie, il n’y a souvent ni fièvre ni douleur. Pourtant les microbes ou les virus sont en nous, se multiplient et finissent par manifester leurs dégâts.
     Il en va de même avec le péché. Il semble n’être qu’un concept vieillot dont notre société actuelle s’est affranchie. On ne voit rien, donc pas de problème à agir comme on l’entend, en dépit des conseils de Dieu.
    Mais la maladie du péché est bien réelle. Combien d’âmes détruites ? Combien de personnes tristes et désemparées face au vide où leur attitude les conduit ? Combien de familles brisées, et de cortèges de difficultés chez les enfants ? La société tout entière va mal parce que le péché règne d’autant mieux qu’il est nié et négligé.
    Au Psaume 41, David parle de ses problèmes, mais, prenant conscience de son péché, il y lance aussi ce cri à Dieu : Guéris mon âme !
    Ne négligeons pas le mal du péché. Que ces conséquences se voient dès à présent ou non, il nous condamne tous à la mort éternelle. Seul Dieu peut nous en guérir. Jésus-Christ était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.1
    Oui, Dieu guérit ceux qui crient à lui !

    Francis R.

    1 Ésaïe 53.5

     

    Psaume 41 : "2Il est heureux, celui qui fait attention aux faibles. Le jour où cela va mal pour lui, le Seigneur vient à son secours. 3 Le Seigneur le garde en vie, il le rend heureux sur la terre, il ne le livre pas au pouvoir de ses ennemis. 4 Le Seigneur le soutient sur son lit de souffrances, il prend soin de lui pendant sa maladie. 5 Je dis : « Seigneur, aie pitié de moi, guéris-moi, car j’ai péché contre toi. » 6 Mes ennemis parlent mal de moi : « Sa mort, c’est pour quand ? Nous pourrons enfin l’oublier ! » 7 Si quelqu’un vient me voir, c’est pour dire des mensonges. Il remplit son cœur de choses méchantes, et quand il est dehors, il les répète. 8 Tous ensemble, ceux qui me détestent parlent tout bas contre moi. Ils imaginent le mal qui va m’arriver : 9 « C’est une sale maladie qu’il a attrapée là ! Maintenant qu’il est couché, il ne pourra plus se relever ! » 10 J’avais confiance dans mon meilleur ami, il partageait ma nourriture. Eh bien, même lui, il est devenu mon ennemi. 11 Mais toi, Seigneur, aie pitié de moi, relève-moi ! Alors je leur rendrai ce qu’ils méritent, à ces gens-là. 12 Si mon ennemi ne crie plus victoire contre moi, alors je reconnaîtrai ton affection pour moi. 13 Et moi, tu m’as soutenu, tu m’as rendu la santé, tu me gardes pour toujours devant toi. 14 Merci au Seigneur, Dieu d’Israël, depuis toujours et pour toujours ! Oui, oui, qu’il en soit ainsi !"

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • La 15è édition de la fête des voisins a démarré 

     hier soir vendredi 23 mai 2014 !  

     

     

    En France, 5 Millions de personnes souffrent de solitude. 

     

    La Fête des voisins, également nommée Immeubles en fête, est une fête à l'origine française, qui se donne pour but de permettre à des voisins de se rencontrer de façon conviviale, afin de rompre l'isolement qui, selon ses organisateurs, gagne de plus en plus les villes[1], et de tenter de créer un sentiment d'appartenance au quartier

    Cette fête est due à l'initiative d'Atanase Périfan, en 1999 dans le 17e arrondissement de Paris, avec l'association qu'il avait créée quelques années plus tôt, Paris d'Amis. 

    Avant 1999 dans de multiples communes belges des initiatives similaires avaient lieu sous le nom de Barbecue de quartier, Fête de rue, Dîner des voisins

    Dès 2000, l'Association des maires de France, puis les bailleurs sociaux (organismes HLM), ont appuyé cette initiative qui s'est ensuite développée dans toute la France. De 2000 à 2009, elle a lieu le dernier mardi du mois de mai de chaque année. À partir de 2010, cette fête est organisée le dernier vendredi du mois de mai ou le premier vendredi du mois de juin

    En 2008, après la création de Voisins Solidaires à la fin de l'année 2007, la Fête des Voisins devient une action du programme de l'association. 

    Cet événement a maintenant dépassé les frontières de son pays d'origine, d'abord avec l'extension de la fête à la Belgique et 10 villes européennes pour l'édition 2003, puis avec l'organisation à partir de 2004 de la Journée européenne des voisins (Europeanneighbours' day), qui se déroule dans plus de 150 villes d'Europe, et même au-delà avec le Canada, la Turquie et l'Azerbaïdjan.  

     

    L’isolement que crée la ville 

    La ville a la particularité d’accueillir des personnes qui vivent seule. Mais vivre seul ne veut pas nécessaire dire se « sentir seul » ! Or de nombreuses personnes vivant en ville se disent se sentir seules, isolées. Une personne qui subit un déracinement géographique, peut rapidement ressentir la solitude physique et mentale, si elle n’est pas entourée de personnes amicales et notamment face à des incidents de la vie. La situation peut s’avérer très grave et peut mettre en péril cette personne. C’est le même cas de personnes sans leur famille, d’un certains âge ou déplacées pour des raisons professionnelles. Tout le monde peut être touché, pour des raisons différentes mais bien réelles, jeunes, plus âgés, professionnels...  

    Certains ont évoqué la toile pour rapprocher, rencontrer, par le biais, du téléphone, des réseaux sociaux, mais cette cyber-communication est-elle vraiment efficace, suffit-elle face à son écran ?  

    La configuration actuelle de nos habitats moderne devrait permettre le rapprochement, contrairement aux grandes propriétés des temps anciens, pourtant c’est l’inverse qui s’installe et gagne toutes les grandes métropoles.  

    Du latin vicinus, par une forme dialectale *vecinus qui donne aussi vecino en espagnol qui signifie « qui est proche, auprès de, qui approche ».  le terme « voisin » semble de plus en plus bafoué.  

    Un vieux dicton prétend que ‘Qui a un bon voisin, vit en repos et sans inquiétude ». Or derrière les portes clauses on ne sait ce que devient l’autre, ce que vit l’autre et ce qu’il devient.  

    « Le souci de l’autre » se perd et on s’étonne des chiffres de la solitude rendus public par la Fondation de France : 5 millions de personnes en France souffrent de solitude :   

    50% n’échangent plus qu’un « bonjour » avec leurs voisins 
                       40% des familles monoparentales ressentent la solitude  
                       39% des personnes voient peu ou pas leur famille et proches 
                       13% des personnes isolées fréquentent les réseaux virtuels 
                       12% des Français souffrent de solitude 

    Parmi les 61,8 millions d’habitants de la France métropolitaine figurant dans ce recensement, 8,764 millions étaient recensés comme «vivant seuls»; soit  5,2 millions de femmes et 3,6 millions d’hommes. Depuis cinquante ans, cette proportion n’a cessé d’augmenter de manière régulière passant de 6% à 14%. Ce phénomène a triplé chez les hommes (de 4 à 12) et doublé chez les femmes (de 8 à 16). 

    Nous parlons ici de vivre seuls. Pas d’être seul sentimentalement. Car dans ce cas le chiffre monte à 18.000.000. Soit pour avoir un ordre de grandeur autant que de fumeurs. Vous le voyez la solitude en France se développe. 

    « Et pour revenir au calcul des personnes vivants seuls, il faut tenir compte du fait que les personnes vivant en ménage collectif (foyer de travailleurs, cité universitaire ou foyer d’étudiants, maison de retraite, hôpital de long séjour, communauté religieuse, centre d’hébergement, établissement pénitentiaire, caserne) sont recensées à part. Tout comme les personnes vivant dans des habitations mobiles, les mariniers et les sans-abris. » (Sce. La solitude en France

    L’individualisme se développe et ne cesse d’augmenter !  

     

    Déclinaison de l’attitude éthique ?  

    Le souci de son épanouissement personnel, le besoin de réussite à tout prix, le souci de la prudence vis-à-vis de l’autre, la peur de l’autre organise l’individualisme au dépend de la relation avec l’autre. La lecture péjorative de cette évolution pour que chacun existe par lui-même, est renversée par certains.  

    En effet, Aujourd’hui le manque de solidarité, d’échanges et de communication dont on parle doit être inversé en faveur du lien social, grâce aux moyens de communication rapides et performants que nous avons, les transports de proximité et les habitats colocatifs en densité.  

    L’individu doit être acteur et auteur de sa vie sociale. Le monde professionnel l’a très bien compris en multipliant le co-working, cette façon de travailler décloisonné sans empiéter l’espace de l’autre. Le développement des markétings de réseau en est aussi la preuve frappante, d’un besoin du « vivre ensemble ».  

     

    « Les actes qui sont en accord avec la Nature, comme aider les autres, portent en eux-mêmes leur propre récompense. 
    Comment, dans ce cas, peux-tu te lasser d’aider les autres quand, en aidant les autres, tu t’aides toi-même ? » disait Marc-Aurèle.Pensées pour moi-même. Sce 

     

    L’être humain est un être social, il ne peut vivre seul, sans les autres. C’est dans son développement éthique et physique. Mais paradoxalement,  il est difficile de vivre avec. Comment s’en sortir ?  

     

    Décider d’aimer l’autre 

     

    C’est d’abord être attiré par l’autre de telle manière que je désire son bonheur, sa réussite, son bien, quel qu’il soit. Je ne l’aime pas seulement pour ce qu’il peut m’apporter, mais je l’aime en premier lieu parce que c’est lui (ou elle). Ce qui fonde la relation, c’est la personne elle-même, au-delà de ses qualités , défauts, positions sociales, origines, et apparences physiques.  

     

    En réalité, aimer l’autre, aller vers lui, le côtoyer, implique donc de ma part un choix libre : « c’est décider d’aimer l’autre », de me tourner librement et résolument vers lui sans le fuir ou le bouder. C’est quelque part opter, par ma liberté, d’être en lien avec lui.  

     

    Le naturel allant vers l’autre est quelque peu faussé aujourd’hui, je dois créer les circonstances, les occasions. C’est décider de participe, par exemple,  à cette fête des voisins, pour faire honneur à l’autre. Car c’est en connaissant l’autre que je m’appréhende moi-même dans toute ma complexité, que le véritable moi se révèle.  

     

    L’autre révèle qui je suis… 

     

    cvfg

     

     

     

     

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  • Stop  au POIDS ! 

     

    Certains se découragent et se lamentent du peu d’effet de certains régimes, habitudes, exercices, régimes alimentaires, peu efficaces à lutter contre la prise de poids et l’amélioration du sentiment de bien-être.  

    Quelques conseils judicieux vous seront profitables !  

    Nous avons réunis les  5 meilleures astuces pour vous y aider  

     

    1. AERATION – OXYGENATION ET EXERCICE PHYSIQUE 

    Pas question de courir le marathon ! De multiplier les heures en salle de sport sur le tapis roulant ! Une simple de marche active de 30mn tous les jours vous permettra de :  

    •  Réduire  le risque de maladies du cœur et d'accident vasculaire cérébral;  
    • Baisse la tension artérielle;  
    • Diminue le taux de cholestérol sanguin;  
    • Augmente la densité osseuse, ce qui prévient l'ostéoporose;  
    • Atténue les conséquences négatives de l'arthrose;  
    • Soulage des maux de dos. 
    • Réduit les risque de dépression et anxiété, surtout si vous le faîte sur un parcours agréable et nature et êtes bien accompagné. 

     30 minutes, vous permette de parcourir 2,0 à 2,5 km. En 30mn vous brûlez environ 125 calories (520 kilojoules) x par 5 jours dans la semaine = 32 000 calories/an, donc 5 kg de gras. La vitesse le plus souvent recommandée est un rythme dynamique qui correspond à environ 90 à 110 pas à la minute, ou 4 à 5 km à l'heure. Marchez lentement pendant 5 minutes, puis à un rythme modéré pour ensuite accélérer graduellement avant d'atteindre votre vitesse de croisière. À la fin du parcours, ralentissez pendant 3 à 5 minutes.  

    Marcher changera votre vie 

    1. AGREMENTEZ VOTRE ALIMENTATION CORRIGEE ET SAINE AVEC DES PLANTES NATURELLES ET VOUS VERREZ LA DIFFERENCE !  

    Chlorella, spiruline, acérola, acaï, aloe-vera, citron, ortie, gingembre etc. 

     CLIQUEZ  ici : LES PLANTES QUI VOUS AIDENT A  PERDRE DU POIDS 

     

    1. LES COMPLEMENTS ALIMENTAIRES, VOS MEILLEURS COMPAGNONS D’ARME !  

    Le SILICUM - magnésium - sélénium.  Permettent de lutter contre le stress et remonte le moral. Une aide très précieuse, notamment en période prémenstruelle ou à la ménopause, et en période de perte de poids. Prenez des comprimés (40 à 50mg) 3 fois/ semaine ou buvez une eau qui en contient beaucoup (Contrex, Hepar…) un jour sur deux. Dans tous les cas, il faut aider le magnésium à entrer dans la cellule. Dans ce but, on l'associe à de la silice liquide  SI21 qui agira aussi sur le collagène, qui a une action importante de conférer aux tissus une résistance mécanique à l'étirement. Elle interviendra donc de façon efficace lors des vergetures, l’effet peau d’orange, mais aussi la reminéralisation des cellules dans le cadre notamment de la reprise de poids. Tout sur le silicium organique

     

     

     

     

     

     

    Lorsqu'on l’on décide de se prendre en main au niveau de son alimentation, il y a une baisse de la T3, une hormone thyroïdienne impliquée dans la dégradation des graisses, si bien que dès qu'on remange un peu plus, le corps stocke et les kilos reviennent.Le sélénium  est là pour  contre-attaque en transformant une autre hormone thyroïdienne (T4) en T3 et permet d'atténuer la reprise de poids. Optez pour une ampoule de granion de sélénium (en pharmacie) en  cure de 2 semaines sur 4. Ou les complexes antiradicalaires avec vitamines A, C et E associées. 

     

    Le calcium et le chrome. Vous avez du mal à stabiliser votre poids une fois que vous l’avez perdu, alors il vous faut renforcer les tissus adipeux qui assure la fabrication des oestrogènes. Certainement les difficultés à dormir ou les douleurs de dos vous révéleront que vous manquez de calcium qui facilite l’amincissement. Consommez 450 à 500mg de calcium chaque jour, en comprimés par exemple. Le fait de manger moins quand on veut perdre du poids entraîne une perte de vitamine et minéraux. Vous ressentez de la fatigue, un manque d’énergie et un besoin irrésistible de sucre, ce qui est un piège ! Prenez du chrome, c’est un bon régulateur de l’action de l’insuline  qui vous évitera le grignotage.  200 microgrammes par jour. De chrome chaque matin, vous ferons du bien. 

     

    Le potassium et le fer. Vous vous sentez gonflé et donc gros et donc une faiblesse musculaire ? Il vous manque du potassium, qui  redonne de l'énergie, facilite l'élimination rénale (permettant de dégonfler) et entretient la bonne humeur ! Forcez les fruits et légumes, principaux pourvoyeurs.

     

     

     

     

    Les personnes qui ont une carence en fer ressentent souvent une compulsion alimentaire. Or le fer améliore le métabolisme de base en brûlant plus de calories ! En favorisant  l'oxygénation. Favorisez donc les  lentilles… et mangez parallèlement des aliments riches en vitamine C pour le fixer.  

    Le top du top ! 

    L'algue aux 115 nutriments : L'AFA,est une denrée naturelle d'une richesse nutritive exceptionnelle. Elle contient tous les nutriments nécessaires à l'être humain y compris ceux devenus rares dans l'alimentation moderne. Avec plus de 115 micro-nutriments  dont vitamines B1, B12, K , minéraux, oligo-éléments, acides aminés, protéines(3,5 fois plus que le bœuf ou les œufs), oméga3... L'AFA fait figure de véritable complément alimentaire naturel pour maintenir l'organisme en bonne santé.  

    Une algue anti-stress : Elle contient naturellement de la phenyléthylamine (PEA) , substance également produite par le cerveau qui stimule les centres de plaisir. Elle augmente l'effet d'une joie intense, de l'amour ou encore d'un effort sportif.  

    L'Algue des femmes ménopausées : Les  troubles de l'humeur,  bouffées de chaleurs, fragilité osseuse, instabilité émotive, sensation de fatigue , prise de poids etc... L'AFA est une réponse naturelle à ces gênes par sa richesse nutritive en vitamine K1 (coagulation sanguine et ostéoporose) B12 (permettant le bon fonctionnnment du sytème immunitaire) , PEA et phycocianine (pigment bleu de l'algue aux propriétés anti-oxydantes et anti-radicalaires). 

    L'indispensable des végétariens : L'algue est riche en vitamine B12 qui joue un rôle essentiel dans le bon fonctionnement du cerveau. Elle est antianémique. La vitamine B12 étant essentiellement présente dans les produits d'origine animale, il est recommandé aux végétariens et végétaliens d'en consommer en supplément

     L'algue klamath contient naturellement de la phycocyanine qui contribue au bon fonctionnement du système immunitaire. Elle contient aussi de la phenyléthylamine(PEA) ,  alcaloïdes monoaminés,  qui favorise la bonne humeur. Très utile pour les femmes ménopausées pour une amélioration des troubles du climatère (santé osseuse, bien-être émotionnel, fatigue).

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Par-dessus-tout, un complément sérieux à votre correction alimentaire par un apport de protéines pour la minceur.  

    4. La perte de poids est un processus beaucoup plus compliqué qui implique à la fois le psychisme, le physique, et le mode de vie. 

    • Le psychisme, parce que la motivation n’est pas quelque chose d’inné, mais quelque chose qui se travaille et s’améliore.  
    • Le physique, parce que pour maigrir il est indispensable d’effectuer une activité physique.  
    • Le mode de vie, parce qu’il est souvent nécessaires de modifier ses habitudes alimentaires mais aussi d’hygiène. 

    Outre l’exercice physique et mental, dont nous avons parlé, l’alimentation corrigée : protéines végétales plutôt qu’animales, éliminer les sucres et farines, Eviter les stimulants comme le café, dormir 7 à 9 heures par nuit, enfin aimer sa propre personne, les autres et la vie, sont les meilleurs moyens de perdre du poids de manière durable et efficace. 

    1. Approchez-vous et fréquentez les associations, les événements, les conférences liées à la santé, au bien-être, aux découvertes naturelles, vous y découvrirez des apprentissages et des personnes qui vous encourageront, vous stimuleront.  

    L’association Pro’Pulse qui organise des conférences-dégustations et des ateliers de cuisine 

    Le Restaurant Le Palais bio et Nature qui mène une activité traiteur végétalien sont autant de pistes sérieuses dans votre accompagnement partout où vous êtes.  

    Vous n’avez rien à y perdre tout à y gagner… 

    cvfg 

     

     

    Pour plus d’information ou un besoin d’aide contactez le 0787142335 ou propulsefrance@gmail.com ou lepalaisbioetnature@gmail.com ou gvfmedia@gmail.com

     

     

     

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  • La foi et la santé "vivreajourd'hui.com"

    23 Mai 2014
     

    Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme.
    3 Jean 1.2

    « Avoir la foi serait bon pour la santé. C’est ce qu’affirment deux chercheurs britanniques. Les croyants seraient plus optimistes et feraient mieux face à la vie. On observerait chez eux moins de suicides, de dépressions, ou de dépendances à la drogue ou l’alcool. » (Magazine “Addictions”)
     

    Nous avons une tendance bien compréhensible à accorder une priorité à notre santé. Mais la bonne santé n’apporte pas automatiquement la foi, tandis que la foi contribue à améliorer la santé et à garder le moral dans les vicissitudes de l’épreuve. Il est sage d’accorder une priorité à la santé de son âme, car elle influence la santé physique et mentale. De nombreuses maladies sont dues à notre manière de vivre.

    Ce qui ne relève pas des responsabilités du médecin n’échappe pas aux yeux de Dieu. Dieu connaît nos fautes et leurs répercussions sur notre santé. Il a le pouvoir de nous guérir de nos fautes et de nous guider dans une nouvelle façon de vivre. J’ai vu ses voies, dit-il, et je le guérirai ; je lui servirai de guide, et je le consolerai, lui et ceux qui pleurent avec lui.1
    Ne négligeons pas notre santé, mais accordons une priorité à l’état de notre âme et à notre foi.

    Alain M.

    1 Ésaïe 57.18

     

     

    Livre du prophète Ésaïe 57. 14-21 : "14 Le Seigneur a dit : « Réparez la route, vite, ouvrez un chemin, enlevez les obstacles sur le chemin de mon peuple. » 15 Voici ce que dit le Dieu saint, lui qui est au-dessus de tout et qui a une habitation pour toujours : « Moi, le Dieu saint, j’habite là-haut. Mais je suis aussi avec les gens qu’on écrase et qui ont un cœur de pauvre. Je veux rendre la vie à ceux qui ont un cœur de pauvre, je veux rendre la vie à ceux qu’on écrase. 16 En effet, je ne veux pas faire des reproches sans fin ni être en colère pour toujours. Sinon, ceux que j’ai créés perdraient le souffle de la vie. 17 Israël s’est rendu coupable en désirant tout avec envie. Cela m’a mis en colère, et dans ma colère, je l’ai frappé. Je ne voulais plus le voir. Or, il est têtu et il a continué à suivre son propre chemin. 18 J’ai bien vu son comportement, mais je le guérirai. Je le guiderai, je lui rendrai courage. À ceux qui sont dans le deuil, 19 je mettrai dans la bouche des chants de louange. » Le Seigneur dit : « Paix à celui qui est loin, paix à celui qui est proche ! Oui, je guérirai mon peuple. » 20 Mais les gens mauvais sont comme la mer agitée qui ne peut pas se calmer, ses vagues soulèvent la boue et la saleté. 21 Mon Dieu a dit :« Il n’y a pas de paix pour les gens mauvais. »

     

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  • 23 MAI Journée européenne de l'obésité

     

     

    1.4 Milliard de personnes obèses dans le monde,

    2.8 millions de personnes en meurent chaque année

     

     

     

     

    « La journée européenne de lutte contre l'obésité existe depuis 2010. Elle s'adresse à tous les publics concernés (patients et personnels de santé) et propose comme mot d'ordre 2013 "stop aux diktats".

     

    Le slogan de cette année « Stop aux Diktats » ! Fait référence à la multiplication des régimes, infructueux et ravageurs qui conduisent parfois à la mort. Or comme tout diktat, terme d’origine allemande signifiant « chose dictée », on réussit guère ce que l’on ne conscientise pas, n’intègre pas et donc n’aime pas !

     

     

     

    Au-delà de l’aspect physique, les troubles psychologiques semblent prévaloir : une mésestime de soi, une culpabilité, un dégoût, un sentiment d’exclusion et un état dépressif vis-à-vis de son corps, mais surtout à force de régimes plus ou moins stricts et répétés. Or l’épidémie gagne du terrain, parce que traite les symptômes apparents, l’aspect physique qui rebute et que l’on veut changer, sans s’attaquer et soigner les causes de la situation qui aboutit à cet état...

     

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  • 22 MAI JOURNEE NATIONALE DU MARIN

     

     

    22 MAI JOURNEE DEPARTEMENTALE DE COMMEMORATION DE L’ABOLITION

     

     

    DE L’ESCLAVAGE EN MARTINIQUE

     

     

     

     

     

     

     

    Il est étonnant que cette journée de mise à l’honneur des marins, jouxte le 165è anniversaire de l’abolition de l’esclavage, comme pour rappeler une relation à la mer particulière.

    En 2013, le ministère de la défense annonçait la première édition d'une journée spéciale dédiée aux marins, pour une mise à l’honneur des marins ; d’abord au niveau national.

    110 jours en mer, 45 pays visités en une année. Etroitement lié à la mer, être marin est avant tout un mode de vie. Car face aux conditions de vie particulières et dangereuses, sa famille est l’équipage, dont il est le garant par son autonomie professionnelle et par la cohésion du groupe qu’il assure individuellement. Chacun est respecté dans son savoir-faire, car tous dépendent des uns des autres ! Univers de discipline et de vigilance, où le respect des règles est primordial pour la survie de tous et du matériel, le marin, est d’abord militaire, donc au service de son pays, reste un être humain à part entière, disposant de son espace d’intimité, de ses gourmandises copieuses en restauration, de loisirs divers et variés allant du jeu de cartes, au sport en passant par les livres, les BD et autres, de soins de santé…

    Habillé, Nourri, logé, blanchi, le marin bénéficie de privilèges, de services à la personne pour lui et sa famille (logement, transport) et son salaire varie selon son grade et sa mission.

    En clair c’est un homme ou une femme qui a choisi un savoir-vivre différent, dans un cadre différent, dans un milieu différent, par choix conscient et qui s’assimile simplement à l’informaticien s’asseyant à son bureau pour remplir ses tâches quotidiennes.

    Si le marin vit sa vie avec responsabilité, parce que par choix, celle qui l’attend en permanence n’a pas le même regard, quelques témoignages nous en disent long de quelques forums de femmes de marins :

     

    « Bonjour, bienvenue à bord d'une tendre galère!! Je suis dans une situation similaire... C'est la première fois que je vis cette situation et pour ne pas sombrer il y a de toutes petites choses précieuses telles que les familes, tenir un journal... L'entourage familial et amical est primordial. Cela ne dure qu'un temps : il faut se raccrocher à cette idée! Allons! Hauts les coeurs!!



    Posté le 10-11-2006 à 11:25:55   « bienvenue au club!!! moi cela fait bientôt 11 ans que je suis femme de militaire. et bien que vous dire d'autre que de tenir le coup!! pendant 8 ans je l'ai connu embarqué dans des bateaux qui partaient tout le temps. il a failli être absent pour notre mariage (il est partie 2 mois en lune de miel à Dakar 15 j après notre union!), a suivi par tél mon 2ème trimestre de grossesse (et il a su que c'était un garçon en escale à Djibouti!) et pendant les 3 premières années de la vie de notre fils ne l'a vu que 6 mois (la dernière mission a duré 7 mois avec 5 coups de fil!)!!! bon ben on s'y fait et quand on en a assez on fait comme nous on demande une mutation à terre! cela fait 3 ans que l'on est en plein coeur du berry et il a même réussi à prolonger d'un an mais en redemande encore!
    je crois qu'il faut avoir
    une occupation (moi j'étais femme au foyer et des fois je m'ennuyais ferme!) -boulot, sport, asso- et surtout profiter des moments où ils sont à terre. moi l'avantage c'est qu'il n'était pas sous-marinier car là je sais que quand ils partent c'est le silence! mais tenez bon! bon courage »



     

    Posté le 17-11-2006 à 12:18:51   « Moi aussi je vois mon mari deux fois par an depuis 3 ans, nous avons deux enfants, et 8 ans de mariage. on finira par s'habituer le début c'est plus difficile, souvent je suis au bord des larmes , mais les enfants me comblent Bon courage les filles »



     

    Posté le 30-03-2007 à 21:56:07   « Salut les filles, Moi aussi mon homme est marin, j'ai 28 ans et nous avons deux enfants. Quand il a fait sa première mission sur le porte avion j'ai créé un forum pour les femmes de marins, l'adresse est www.femmes-de.bbgraph.com si vous voulez faire un tour vous y serez les bienvenues »

     

     L’Horrible histoire de 3 siècles

    L’histoire qui a conduit à l’abolition de Trois siècles d’esclavage, est un peu une caricature de la vie de marin. Issus du continent africain, il s’enrôlait à contre cœur, par force et sous la contrainte et les menaces sur un bateau négrier(Le plan d'un bateau négrier) bien loin du luxe actuel, mais où étaient parqués, emboîtés, enchaînés, de 100 000 à 600 000 esclaves noirs dans la cale d’un bateau passant deux à trois mois en mer en direction des Antilles françaises ; Avec comme unique mission d’être la main-d’œuvre, non rémunérée de maîtres de plantations et de grandes familles dont le sang trop pur et trop riche ne pouvait supporter le climat tropical des Antilles.   Une rafle humaine opérée sans respect et sans égards pour leur famille, enfants, épouses, amis, traditions familiales ou culturelles, très fortes en Afrique, qu’ils laissaient sans aucun espoir de retour ou de «permissions ».

    Ils découvraient un apprentissage à survivre, à rudes épreuves, à une vie de dur labeur dans les champs de canne à sucre, de coton, d’indigo, de tabac etc. Une traversée de l’Atlantique à laquelle 10 à 11 millions d’Africains survivaient, sur 12,5 millions, pour certains, 32 millions pour d’autres, embarqués de force entre le XIVè et le XIXè siècles. Un travail forcé qui ne leur apporterait ni galons, primes, grades ou carrières, mais brimades, annihilation de leur patronyme, langue maternelle, personnalité, dignité set histoire ancestrale.

    Ils constitueront pendant plus de trois siècles, les souffre-douleur d’homme et de femmes persuadés d’être investis par une volonté divine d’une mission visant à civiliser, évangéliser et recréer des êtres simplement différents d’eux-mêmes, parce que d’une autre couleur, une autre terre, une autre corpulence, d’une autre culture. Mais surtout assoiffés de pouvoir, de conquête territoriale et d’appropriation exacerbée, de domination en tous genres et en tous lieux parce qu’une race élue ! Supérieure ! Mais cette histoire on la connaît et on ne doit pas l’oublier pour qu’elle ne se reproduise plus jamais ! (LA FRANCE NEGRIERE)

     

    La longue marche vers la liberté ?

     

    La seconde République en France, abolit l’esclavage dans toutes les colonies françaises, le 27 avril 1848 sous l’impulsion du grand abolitionniste, âgé de 44 ans, Victor Schoelcher. Et si l’on parle souvent de cette initiative des hommes de loi du gouvernement de l’époque, on évoque et connaît mal le contexte local exact de cette abolition.

    Dès la fin du XVIIIè siècle, les révoltes et la pénurie alimentaire dont souffre la Martinique préparent le terrain de l’abolition. Entre 1822 et 1826 la dégradation de la situation économique liée à la taxation des sucres à l’entrée en France, puis au début de l’industrie betteravière, qui remplace la canne, entraîne des résistances. Mal acceptée par les Français et surtout les commerçants français de Bordeaux ou de Nantes, qui espèrent reprendre leur fructueux négoce, interrompu, depuis 1793, officiellement la traite négrière est interdite. Mais le ministre de la Marine le comte Portal, ancien armateur bordelais, et le comte Villèle, premier ministre et parent de planteurs de l'Ile Bourbon (La Réunion) sont volontairement très laxistes dans l'application de la législation.

    En 1831, la loi du 4 mars 1831 vise à une abolition définitive, sous l’impulsion des membres de la Société de morale chrétienne, une organisation d'oppositionnels libéraux engagés dans le combat contre la traite. Une infraction punie de vingt à trente ans de travaux forcés, la réclusion pour l'équipage du navire et un engagement de sept ans dans les colonies pour les esclaves libérés lors de la prise du navire

    Certains pensent que les esclaves doivent être « préparés à la liberté » avant de prétendre pouvoir en jouir pleinement : éducation et conversion religieuse apparaissent comme étant indispensables. L'adoption des lois Mackau en 1845, interviennent juste avant l'abolition de 1848. Elles rendent obligatoire une durée minimale d’instruction des esclaves. Elles limitent à quinze le nombre de fouets administrés par les propriétaires sans autorisation judiciaire. Les esclaves mariés, mais de maîtres différents, obtiennent le droit de réunion.

    En juillet 1846, le roi Louis-Philippe Ier abolit l'esclavage dans les domaines royaux de la Martinique et de la Guadeloupe et dans l'île de Mayotte qui vient d'être acquise par la France. Mais la liberté s’arrête là !

    Les abolitionnistes locaux, dénoncent l'inutilité de législations successives qui ne sont jamais appliquées. Une sélection des élèves par les maires vise à exclure encore les esclaves des écoles et dans divers aspects de la vie.

    Depuis 1831, Victor Schoelcher, revenant de Cuba, écrivait dans La Revue de Paris, que les esclaves sont des hommes donc sont libres de droit. En 1833, dans De l'esclavage et de la législation coloniale, il propose une libération progressive, pour éviter toutes violences, et permettre aux esclaves d'acquérir l'autonomie économique et intellectuelle. Puis en 1838, il préconise une libération immédiate sans période transitoire. Il visite les Antilles entre 1840-1841, et à la fin de février 1848, pendant son voyage d'enquête au Sénégal, il regagne Paris, contacte François Arago, ministre de la Marine et des Colonies qui le nomme sous-secrétaire d'État chargé des colonies et des mesures relatives à l'esclavage. Le 4 mars 1848, le décret, qui nomme Schoelcher, président de la commission d'abolition de l'esclavage chargée de préparer l'émancipation, est signé par le gouvernement provisoire de la seconde République. Le 5 mars, la commission pour l’abolition de l’esclavage voit le jour ; présidée par Schoelcher. Elle tient sa première réunion le 6 mars, et le 27 avril, elle propose une série de douze décrets6 qui émancipent les esclaves (un article leur octroie le statut de citoyen, ils sont désormais appelés « nouveaux citoyens » ou « nouveaux libres »). Des ateliers de discipline pour la répression de la mendicité ainsi qu'une caisse d'épargne ; un décret agence l'impôt personnel, les taxes sur les tafias, vins et spiritueux ; un autre institue une fête du Travail dans les colonies ; un décret organise les hypothèques ; les commissaires généraux de la République sont créés et envoyés dans les colonies pour y appliquer les décrets ; la liberté de la presse est étendue aux colonies ; un décret précise les modalités du recrutement militaire, de l'inscription maritime, de la garde nationale (extension des dispositions ayant cours en France) ; le sort des vieillards, des infirmes et des orphelins est pris en charge ; des jurys cantonaux sont créés.

    Parallèlement, en Martinique, depuis la fin du mois de mars, les esclaves attendent impatiemment la promesse de l’abolition du décret du 27 avril pour la libération de 250 000 esclaves ou métis, dans un délai de deux mois. Mais le décret n’arrive dans l’île, par bateau, porté par François auguste Perrinon, que cinq à six semaines plus tard. Encore en mer le 22 mai, l’impatience gagne. Une émeute populaire éclate d’abord à Saint-Pierre, la Capitale politique, et au Prêcheur, mais aussi dans de nombreux ateliers du sud, au Robert et au François, les esclaves se révoltent violemment. Le mouvement atteint rapidement Grande anse(Lorrain), le Gros-Morne, le Marin, le Lamentin, Sainte-Marie, jusqu’au Lendemain 23 mai à Fort-de-France, contraignant le Gouverneur, le Général Rostoland, à proclamer immédiatement, soit le 23 mai, l’abolition de trois siècles d’histoire horrible, sans attendre l’arrivée des décrets dans l’île. Les planteurs blancs avaient eux-mêmes compris que l’abolition était inéluctable et multipliaient les affranchissements. Ainsi près de 248 500 esclaves sont libérés (plus de 87 000 en Guadeloupe, près de 74 450 en Martinique, plus de 62 000 à La Réunion7, 12 500 en Guyane, plus de 10 000 au Sénégal d'après les demandes d'indemnisation présentées par les propriétaires).

    Même s’ils reçoivent une indemnité de près de 6 millions de francs, compte tenu de leur perte de main-d’œuvre, les planteurs font le forcing pour que les anciens esclaves prennent un contrat de travail. L’esclavage prend une nouvelle forme : les autorités locales instaurent des « polices du travail » et imposent des passeports intérieurs.

     

    Que nous a apporté l’abolition ?

     

    L’abolition définitive de l’esclavage a abolit l’application du CODE NOIR, nom qui est donné au milieu du XVIIIe siècle à un ensemble de textes juridiques réglant la vie des esclaves noirs dans les îles françaises.

    Il a fallut identifier les noirs libres en leur donnant des noms de famille, que nous retrouvons jusqu’à maintenant. Esclaves, ils n’avaient que des prénoms, surnoms, sobriquets, ou matricules, qui sont enregistrés dans des « registres d’individualités » alors que les registres d’état civil existaient en France depuis 1792. Selon l’auteur, Guillaume Durand, dans sa thèse, Les noms de familles d’origine africaine de la population martiniquaise, d’ascendance servile (2002), environ 30% des noms donnés aux Martiniquais sont des noms français, 27% sont de la catégorie des surnoms, 12% des anagrammes ou des modifications des prénoms, 13% des noms africains. Pour cette dernière catégorie, 60% ont été attribués à des Africains (personnes nées en Afrique) et 40% à des Martiniquais. Par exemple, les noms de familles Hippocrate, Gordien, Barabas, sont inspirés de la Bible ou de l’histoire ancienne, Anelka, Zuma, Angloma, viennent de l’Afrique, Les familles Nitram, Beloiseaux, ont été créées de toute pièce, par hasard, Les familles ciseaux, boulanger, Rosier, viennent de noms de la flore et de métiers, alors que d’autres viennent noms injurieux ou péjoratifs comme Crétinoir, Coucounne, Macabre, qui existent encore aujourd’hui. Parfois des personnes de la même habitation reçoivent toutes le même nom, sans qu’il y ait nécessairement de lien de parenté, c’est-à-dire de mères différentes, ce qui crée les familles très nombreuses, comme les Etifier au Prêcheur. 25 400 patronymes ont été attribués aux Martiniquais sur onze ans. Beaucoup d’erreurs de transcription de noms ont modifié les noms de personnes apparentés. Par exemple les Vertenil et les Verteuil sont de la même famille, mais portent deux noms de famille différents. Famille basée sur l’identification de la mère pas du père, ce qui explique beaucoup de choses…

    La nomination, l’inscription sur des registres et le droit de vote sont les plus grandes avancées de la construction identitaire des individus suite à l’esclavage.

     

    Mais concrètement, figure de rhétorique ou réalité ? Car le corps noir reste sujet à répulsion et racisme, les droits politiques et L’accès à la visibilité sont encore muselés, l’économie post-esclavagiste est encore dans la dépendance, le déni de cette histoire reste encore frappant, comme une partie honteuse de l’histoire française.

    Mais l’esclave ne sera jamais le maître, même s’il n’est plus l’esclave d’hier et l’inverse est aussi vrai !

     

    Alors concrètement, que nous a apporté cette abolition ? Une libération collective indéniable, Abats les chaînes, le travail forcé et la déportation ! Mais individuellement suis-je exposé à une telle influence subliminale que je ne me rends même pas compte de mes réactions, paroles, attitudes ? En tant que maître, en tant qu’esclave ?

    Comme descendants d’esclave ou descendant d’esclavagiste.

     

    Sentiment de supériorité d’un côté ou d’infériorité, de l’autre,

    Culpabilité d’en parler ouvertement de peur de réveiller de vieilles blessures

    Crise identitaire de la couleur de peau

    Rejet du métis, comme la honte du pacte avec le diable, sans trouver sa place, ni blanc, ni noir,

    Colère et peur d’être assimilé aux populations immigrées clandestines ou légales,

    S’effacer en la présence de la communauté noire, ou s’exhiber en présence de personnes de race blanche,

    Le néocolonialisme, qui impose encore dans les écoles des anciennes colonies, l’histoire, la langue, la religion des pays européens. Comme pour appuyer encore la hiérarchisation des races,

     

    Aujourd’hui, la réparation de l’époque esclavagiste est individuelle. La démarche de pardon est capitale et libératrice, pour une reconnaissance de la faute et de la dette, le souci de refuser d’oublier pour ne pas banaliser, se maîtriser et veiller à la culture d’un regard de reconnaissance de l’autre comme un être humain à part entière.

     

    En tout et pour tout, la clé de cette commémoration et de cet héritage, quel que soit notre position, notre statut, notre couleur de peau, est entre nos mains, selon que nous considérions que « …La pire barbarie peut surgir de la plus haute culture. Du moins, si nous laissons aller l’histoire comme si elle ne dépendait pas de nous.» Benjamin WALTER 

    cvfg

     

     

     

     

     

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  • Liberté chérie "vivreaujourd'hui.com"

    22 Mai 2014
     

    C’est pour la liberté que le Christ nous a libérés.
    Galates 5.1

    L’aspiration à la liberté est universelle. Les révolutions tunisienne et égyptienne nous l’ont rappelé. Image de Dieu, l’homme n’est pas fait pour la servitude ou la camisole, mais pour la liberté. La liberté n’est cependant pas donnée. Elle appartient, disait André Malraux, à ceux qui l’ont conquise. Considérés comme des héros, les combattants de la liberté, tels Spartacus ou Martin Luther King, ont payé le prix fort pour la défense de leur liberté. Pour eux, mieux valait mourir libre que de vivre asservi !
    Au-dessus du panthéon des héros morts pour la liberté, trône Jésus-Christ. De tous les êtres humains vivant sur terre, il fut le seul qui, du premier jour de sa vie au dernier, fut libre. La première tyrannie combattue par Jésus n’est pas d’ordre politique. Elle s’exerce à l’intérieur du cœur de tout homme. C’est la tyrannie du péché qui enchaîne, aliène tout homme aux désirs et tendances de sa nature mauvaise. Aucun de nous n’y échappe : chacun est l’esclave de ce qui triomphe de lui. Pour nous libérer, Jésus a procédé à un échange. Il offre de prendre sur lui nos chaînes pour nous donner sa liberté.
    Cet échange a eu lieu sur la croix où, cloué, Jésus agonise pieds et poings liés. Trois jours après, en homme libre, vainqueur de toutes les servitudes, Il ressuscite. Sa liberté est pour vous ! La saisirez-vous ?

    Gilles G.

    libéré

     

    Psaume 107. 10-16 : " 10 D’autres étaient en prison dans une cellule sombre, ils étaient très malheureux, attachés avec des chaînes. 11 Ils ont refusé d’obéir aux commandements de Dieu, ils ont méprisé le projet du Dieu très-haut. 12 Dieu les a brisés par la souffrance, ils sont tombés, et personne n’est venu les aider. 13 Alors dans leur malheur, ils ont crié vers le Seigneur, et le Seigneur les a sauvés de leur peur. 14 Il les a fait sortir de leur cellule sombre, il a cassé leurs chaînes. 15 Qu’ils remercient le Seigneur pour son amour, pour ses actions étonnantes envers les humains ! 16 Oui, il a brisé les portes de bronze , il a fait sauter les verrous de fer."

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  • Misérable canaille "vivreaujourd'hui.com"

    21 Mai 2014

     

    Celui qui cache ses transgressions ne prospère point, mais celui qui les avoue obtient miséricorde.
    Proverbes 28.13

    Un diplomate distingué visitant Toulon fut invité à accorder sa grâce à l’un des galériens de son choix. Il y a trois siècles, les criminels pouvaient s’y trouver entassés et contraints à ramer dans les pires conditions, parfois à perpétuité.
    Le diplomate parla avec eux. Chacun – à ce qu’il disait – se trouvait là à la suite d’une erreur judiciaire, d’une accusation calomnieuse, d’une méprise, d’une criante injustice. Il en trouva un, cependant, qui lui dit : « Je suis un criminel endurci ; je mérite la mort. C’est à la seule grâce de Dieu que je dois d’être encore vivant. »
    « Misérable canaille ! lui dit le diplomate, votre présence ici contamine tous ces braves et honnêtes gens. Vous ne resterez pas ici un jour de plus ! »
    Se tournant vers son escorte, le sourire aux lèvres, il dit : « Voici l’homme que je veux gracier. »
    Le pardon est lié à l’aveu de nos fautes. La délivrance de la puissance du péché en dépend aussi. L’apôtre Paul, rappelant une expérience alors dépassée, disait sa détresse en ces mots : Misérable que je suis ! Qui me délivrera ?1 C’est cette attitude de profonde humiliation qui lui permettait d’ajouter avec assurance : Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ1
    Oui, par Jésus-Christ, si nous cessons de nous trouver des excuses, la libération, la délivrance nous sont accordées.

    Richard D.

    1 Romains 7.24-25

     

    1ère lettre de Jean 1. 5-10 : " 5 Voici le message que nous avons entendu de la bouche de Jésus-Christ, et nous vous l’annonçons : Dieu est lumière, en lui, il n’y a pas de nuit. 6 Nous disons peut-être : nous sommes unis à Dieu. Mais si, en même temps, nous marchons dans la nuit, nous mentons et nous ne faisons pas sa volonté. 7 Dieu est dans la lumière. Alors, si nous aussi, nous marchons dans la lumière, nous sommes unis les uns aux autres, et le sang de Jésus, son Fils, nous purifie de tous les péchés.

     8 Nous disons peut-être : « Nous n’avons pas de péché. » Mais nous nous trompons, et la vérité n’est pas en nous. 9 Dieu fait ce qu’il promet et il est juste. Alors, si nous avouons nos péchés, il nous les pardonnera et il enlèvera tout le mal qui est en nous. 10 Nous disons peut-être : « Nous n’avons pas commis de péchés. » Dans ce cas, nous faisons de Dieu un menteur, et sa parole n’est pas en nous."
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  • 21 Mai - Journée Mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement

     

     

                                           La diversité vous dérange-t-elle ?

     

    Quelle est la portée de votre dialogue ?

     

    Votre développement a-t-il des limites ?

     

     

     

     

     

    Le 2 novembre 2001, l’UNESCO adoptait sa Déclaration universelle sur la diversité culturelle, comme "héritage commun de l'humanité" et « un impératif concret et éthique inséparable du respect de la dignité humaine ». A son tour, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 21 mai, la "Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement" afin d’approfondir nos réflexions sur les valeurs de la diversité culturelle pour apprendre à mieux "vivre ensemble".

    Cette journée donne l’occasion de mieux connaître et apprécier ce que nous devons aux autres cultures et, à prendre la mesure de la diversité de leurs apports, de leur unicité, de leur complémentarité et de leur solidarité. Car connaître et reconnaître nos différences, les respecter en ce qu’elles fondent notre propre identité, c’est donner la chance aux siècles qui s’annoncent de s’épanouir enfin hors des conflits identitaires de tous ordres. La diversité culturelle est un droit humain fondamental lutter pour sa promotion c'est lutter contre les stéréotypes et le fondamentalisme culturels. Les autorités publiques sont de plus en plus sensibles à la nécessité de développer le dialogue interculturel, en vue de renforcer la paix, la sécurité, et la stabilité au niveau mondial. L’ONU lui donne une orientation importante en plaçant le dialogue mutuel – au-delà du sexe, de l’âge, de la nationalité, de l’appartenance culturelle et de la religion – au centre de tous les efforts pour parvenir à un monde de paix, capable de faire face à l’avenir. „Seul le dialogue peut servir de base à une société pluraliste et culturelle“, déclare Elsbeth Müller, secrétaire générale d’UNICEF suisse et l’intégration, de même que la compréhension mutuelle entre les cultures, jouent là un rôle essentiel“ Source

     

    Où en sommes-nous avec la diversité, le dialogue, le développement ?

    Cette journée met en exergue trois notions capitales pour l’avancement économique, social, politique, culturel de tous les pays et de tous les peuples :

    « Diversité » Du latin diversus, qui signifie « pluralité, divergence », et s'applique aujourd’hui de plus en plus, en France, comme la valorisation de personnes, issues de l'immigration extra-européenne, ultramarine et dont les origines se situent hors de l'hexagone, ou plus généralement, des minorités ethniques, dites également minorités visibles, ce qui fait polémique actuellement au sein du monde politique, médiatique ou cinématographique. Jusqu'au Moyen Âge le terme désignait plutôt ce qui est « bizarre », exprimant une notion de méchanceté. Dans l'actualité le seul sens courant est celui de « variété ».

    La notion de « dialogue » du grec ancienδιάλογος - composé du préfixe « διά » : « au travers, par, entre », et du radical « λόγος » : « parole, raison, verbe » -, littéralement : « une parole raisonnée et agissante, qui pénètre, tranche et traverse complètement et méticuleusement » est un type de communication entre plusieurs personnes ou groupes de personne.

    Enfin, la notion de « développement » de l’ancien français « desvoleper » comme l'action d'une avancée ou le résultat de l’action de faire sortir quelque chose ou quelqu’un de ce qui l’enveloppe. Transformer, répandre, étendre, pousser aussi loin que possible. Souvent employé dans la comparaison du degré d'avancement des pays, et popularisé par le président des États-UnisHarry S. Truman en 1949 dans son discours sur l'état de l'Union.


    Trois notions très importantes dans ce qu’elles font la richesse (variété, diversité), le lien, entre les individus, les états, les entreprises, les visionnaires ou porteurs de projets (dialogue, communication) pour atteindre un niveau de déploiement, d’amélioration, à plus ou moins grande échelle (développement, avancée).


    Diversité, dialogue, développement,

    Pour vivre la tolérance, la sécurité, la stabilité au niveau mondial


    Kyrielle de sommets, de conférences, de rencontres de chefs d’Etats, pour l’instauration d’une paix durable, de consensus internationaux, d’esprits de tolérance et d’acceptation de cultures ou de couleurs de peau différentes, et pourtant le combat n’est pas gagnée.

     

    • La France, seul pays européen à figuré dans le top 10 des pays les plus racistes du monde ! Et il s’agit du pays européen le moins tolérant et le seul à atteindre un taux de plus de 20%. Le racisme augmente depuis 20 ans en France, selon la commission consultative des Droits de l’Homme. Selon les résultats, du sondage de la TNS Sofres et publié dans Le Parisien, près de 56% de Noirs en France se déclarent "personnellement victimes de discrimination raciale dans leur vie de tous les jours"(extrait de l’Express publié le 31/01/2007 « racisme : il nous faut des chiffres »).

       

    Le top 10 mondial, des pays extrêmement intolérants :

    • + 40% : Inde, Jordanie

    • 30 – 39.9% : Egypte, Arabie Saoudite, Iran, Vietnam, Indonésie, Corée du Sud

    • 20 – 39.9% :France, Turquie, Bulgarie, Algérie, Maroc, Mali, Zambie, Thaïlande, Malaisie, Les Philippines, Bangladesh, Hong Kong

    Seul pays européen à figurer dans cette liste !

    A contrario, les pays les plus tolérants sont :

    • 0 – 4.9% : USA, Canada, Brésil, Argentine, Colombie, Guatemala, Grande-Bretagne, Suède, Norvège, Lettonie, Australie, Nouvelle Zélande

    • 5 – 9sur les.9% : Chili, Pérou, Mexique, Espagne, Allemagne, Belgique, Biélorussie, Croatie, Japon, Pakistan, Afrique du Sud

    • 10 – 14.9% : Finlande, Pologne, Ukraine, Italie, Grèce, République Tchèque, Slovaquie

    • 15 – 19.9% : Venezuela, Hongrie, Serbie, Roumanie, Macédoine, Ethiopie, Uganda, Tanzanie, Zimbabwe, Russie, Chine

      • Selon l'Insee, près de 40 % des nouveau-nés en France entre 2006 et 2008 ont au moins un grand-parent né étranger à l’étranger (11 % au moins un grand-parent né dans l'Union européenne, 16 % au moins un grand-parent né au Maghreb et 12 % au moins un grand-parent né dans une autre région du monde). 15 % des nouveau-nés ont quatre grands-parents nés étrangers à l’étranger et 25 % ont à la fois des grands-parents nés étrangers à l’étranger et des grands-parents qui ne le sont pas[

      • 28 conflits en cours de 1947 à 2014, la majorité étant des guerres civiles ou tribales.

      • 117 PRIX NOBEL DE LA PAIX attribués entre 1901 et 2013, pour quel résultat ?

      • "Le tourisme du 21ème siècle ne sera pas seulement le premier secteur d'activité au monde mais il sera - et de loin - le secteur le plus important que le monde ait jamais connu. Mais parallèlement, il devra assumer davantage de responsabilité quant à l'ampleur de ses impacts. Outre des répercussions économiques, le tourisme a sur l'environnement, sociétés et sur les sites culturels des incidences qui sont de plus en plus étroitement surveillées par les pouvoirs publics, les associations de consommateurs et les voyageurs eux-mêmes » SCE extrait de l'article de Francesco Frangialli, Secrétaire général de l'OMT in Le Courrier de l'Unesco n° 175 mai-juin 1999

      • Fuite des cerveaux, migration importante des compétences et des jeunes diplômés. Nous rappelle que le monde bouge et ses habitants aussi ! « Un article publié par le quotidien Le Monde et intitulé « Immigration : la funeste myopie européenne«, expose les raisons pour lesquelles il est impératif que l’Europe se positionne de manière plus courageuse sur le sujet. Primo, l’article avance que l’immigration est nécessaire pour remédier à la tendance négative de la démographie européenne et pour supplier aux besoins de main-d’œuvre des économies européennes. Deuxièmement, l’article rappelle que les migrations sont un phénomène durable et qu’elles seraient vouées à augmenter »sce

    Les efforts institutionnels pour la sensibilisation des Chefs d’Etat à reconnaître les bénéfices de la diversité culturelle pour une meilleure communication, de meilleurs échanges et un « développement durable » des mentalités, économies, compétences,, sont appréciables, mais aujourd’hui un travail de fond, est plus que nécessaire, voire crucial, pour que les choses aillent plus loin.

    L’impact d’aujourd’hui se veut économique, professionnel et numérique. A l’heure des nouvelles technologies, des flux touristiques importants, du métissage et de l’exode des compétences et des formations, Les premiers acteurs de développement du dialogue et de la diversité pour nous permettre d’aller plus loin de manière positive sont les professionnels, les initiateurs de projets, les acteurs économiques, les leaders eux-mêmes, qui utilisent au quotidien ces trois notions géo-economico-ethniques. Le monde de demain est celui d’aujourd’hui fait de nos actes quotidiens et de la vision que nous en avons.

    cvfg



    4 chefs d'entreprises, initiateurs de projets ou leaders témoignent et répondent aux questions de GVFmédia, dans leurs champs de compétences et d’actions pour la diversité, le dialogue et le développement…



    Euloge KOSSOUHO

     

     

    MIWA AFRICA, Tourisme, Bénin+229 97617719 et + 229 95865577, koseuloge@yahoo.fr

    Promoteur touristique de, MIWA AFRICA dont les ramifications atteignent l’Europe, en réalité Euloge Kossouho et toute son équipe, proposent des itinéraires mettant directement ses clients au contact des populations, afin de vivre leur réalité, tout en favorisant les échanges culturels. Ils mettent l’accent sur des voyages ethnoculturels dans le Golfe de Guinée (BENIN, TOGO, BURKINA FASO, GHANA, COTE D,IVOIRE, NIGER, NIGERIA…) « afin de pérenniser les pratiques culturelles ancestrales comme symboles de fierté identitaire et en même temps comme vecteur d’intégration des populations. » Explique t-il.

    • En quoi MIWA AFRICA favorise la diversité culturelle ?

    EK. Elle favorise la diversité culturelle en ce sens que chaque voyage que nous organisons constitue, aux dires des voyageurs, une immersion dans la vie socioculturelle de l’autre, un rendez-vous du donner et du recevoir non motivé par le lucre. Ce sont avant tout des moments de partage qui nous font nous rendre compte de nos différences et de nos similitudes, faisant de nous des êtres totalement complémentaires.

    • Quelle est votre meilleure définition du dialogue et du développement ?

    EK. Pour moi le dialogue est cette alchimie qui évite aux êtres, entités, cultures, religions, etc. de rentrer en conflit. Le développement est l’expression d’un mieux-être physique, économique psychologique, technologique qui permet aux peuples de trouver des réponses plus adaptées aux nouveaux défis auxquels ils pourraient se confronter.

    • Comment les termes « dialogue » et  « développement » dans leur sens étymologique « dialogue » Et développement, sont-ils une priorité concrète au quotidien au sein de MIWA AFRICA ?

    EK. Les grandes définitions faites par des Grands Hommes resteront toujours de vains mots s'ils n’impactent pas les populations dans leur vie quotidienne, c’est pour ça qu’au sein de MIWA AFRICA nous nous évertuons à traduire le dialogue dans les actes en le pratiquant tous les jours. Le développement devient alors pour nous une résultante logique de ce dialogue intelligemment mené

    • Un message au monde entier en cette journée de sensibilisation ?
      EK. TRAVAILLONS AU DEVELOPPEMENT DES PEUPLES POUR UN DIALOGUE SANS FRONTIERES....



    Ulric CRETINOIR

     

    Ent. Construire, BTP, Martinique, 0696 29 05 52, ets-ulric2@wanadoo.fr

    Ulric CRETINOIR dirige une entreprise de construction de maison individuelle. Son Entreprise Ent. CONSTRUIRE, a pour activité principale la mise en place des gros œuvres d’un bâtiment, jusqu’à la conception de la charpente traditionnelle et de la toiture sur des constructions neuves ou anciennes. Nous l’avons rencontré…

    • En quoi une Entreprise de BTP favorise t-elle la diversité ?

    Ulric Crétinoir. La construction en elle-même est un vecteur de différences. En quoi me direz-vous ? Et je vous comprends. Mais très franchement, quand nous considérons les constructions à travers le monde, elles sont en réalité bien différentes d’un continent à l’autre et d’un peuple à l’autre. Vous conviendrez avec moi que cette diversité, bien présente dans la construction, dépend de notre groupe d’appartenance. Des toits en ardoise ou en chaume, des murs en bois, en béton ou en brique, en terre battue etc.…En fait la construction ne génère pas la diversité culturelle mais la diversité culturelle engendre des constructions différentes, des modes de construction différentes. Cet état de fait, rend cette diversité, décriée par beaucoup, très appréciable. En effet quand on voyage à travers le monde c’est avec grand plaisir que l’on s’exclame devant les différentes formes de bâtisses, que nous n’avons pas chez nous.

    • Auriez-vous une définition du dialogue et du développement  en lien avec la journée spéciale d’aujourd’hui ?

    UC. Dialoguer c’est échanger de manière bilatérale avec des interlocuteurs, sur des idées. C’est entrer dans une discussion de manière cohérente avec une tierce personne ou un groupe de personnes. Dans un dialogue les deux antagonistes s’écoutent pour s’entendre, deux verbes qui donnent tout son sens au verbe « dialoguer ». C’est dans le dialogue que nombre de problèmes ce sont décantés autour de nous. Quant au développement, il reste avant toute chose, un progrès vers une meilleure situation. C’est la faculté pour un homme de faire progresser ce qu’il a ou ce qu’il est. Maintenant s’agissant des pays, c’est la possibilité pour ce pays de se mettre au niveau de normes dictées par les lois du progrès.

    • Comment l’Entreprise Construire, participe t-elle de ces deux notions ?

    UC. Au sein de «  Ent. CONSTRUIRE » Le dialogue a toujours prévalu pour développer l’entreprise mais aussi et surtout pour rendre l’entreprise pérenne. D’autre part, Elle vise à permettre aux ouvriers de chantiers de s’épanouir au sein de l’entreprise, car l’épanouissement crée la productivité… Il faut pour cela les amener sur des sujets qui les passionnent, les langues se délient et on garde malgré tout ses objectifs hebdomadaires.

    • Un message pour aujourd’hui ?

       UC. Mon message est celui-ci : Ne laissons pas les différences miner notre vie, mais permettons aux diversités de briser ce qui serait une monotonie, à savoir l’uniformité. La différence de l’autre devrait nous rendre curieux de le connaître et non furieux de le connaître…. ?!?

     

     Hervé HEULLY

    New3s, NTIC, IDF France, +33-(0)1-41-74-95-47 (Bureau) / contact@new3S.com

    Hervé Heully, est le PDG de New3s. Ses associés et lui-même traitent des problématiques d’absence, de faiblesse ou encore de volonté d’amélioration de visibilité sur Internet, de partage de contenus, de dématérialisation depuis le réel vers le digital ou numérique. « L’activité de New3S vaut essentiellement dans l’écoute des problématiques soulevées par nos clients et prospects, pour formuler en retour des propositions de solutions numériques qui déboucheront souvent sur de nouveaux services, fondés sur de nouveaux systèmes (la nouveauté venant de la combinaison d’éléments existants ou de notre seule capacité inventive). Nous plaçons nos clients jusqu’à la 1ere position sur Internet restituée par les moteurs de recherche, accessible par tous, … accompagnant la présentation jointe par une valorisation sous forme de texte et image (statique, animée, interactive, 3D). Objectif en faire des B’Leader !»

     

    • En quoi votre activité favorise t-elle la diversité culturelle ?

    HH. Une image vaut 1000 mots. Une 3D vaut 100.000 mots.

    • Quelle serait votre meilleure définition du dialogue et du développement?

     HH. (Ecouter, reformuler, écouter, confirmer, développer, soumettre les fruits de l’étude) : un protocole en quelque sorte.

    • Les termes dialogue et développement dans leur sens étymologique sont-ils une priorité quotidienne au sein de NEW3S ? Comment concrètement les rendez-vous parlant?

     HH. Pas une semaine ne s’écoule, sans que chez New3S, nous n’ayons au moins un cas concret de dialogue nécessaire et de développement. Du dialogue nait le développement. Du développement nait nécessairement le dialogue. Concertation, mise au point, consensus, décisions, prises de responsabilité sont les actes au quotidien chez New3S : nécessairement nées du dialogue et du développement.

    • Votre message au monde entier en cette journée de sensibilisation ?

    HH. Internet est intrinsèquement une opportunité majeure pour que les individus puissent tous changer de mode de fonctionnement. L’évaluation des incidences sur les plans ‘dialogue’, ‘aptitudes à écouter sinon entendre, et répondre’ portées par ce phénomène tout nouveau, n’en est qu’à son balbutiement. Car il faut bien considérer qu’Internet doit être vu comme une nouvelle façon de communiquer, comme un nouveau prétexte pour apprendre de nouvelles notices d’emploi, tout comme un générateur de nouveaux cerveaux. Allez savoir ce qu’il en découlera à moyen terme, tant l’individu est capable de progresser comme de se forger des motifs de résistance et donc de nouvelles aptitudes.

     

     

     

    Pascale GUILLAUME

     

    Plaisirs Nature, Décoration d’intérieur, Martinique, 0696263897 plaisirsnature@wanadoo.fr

     

     Née il y a 11ans, Plaisirs Nature, est une entreprise pluridisciplinaire conjuguant la décoration, le design végétal et l’hortithérapie (la thérapie par le jardin) dans une optique de mieux-être. « C’est dans la nature, avec la nature, au rythme de la nature, que se partagent et se transmettent « les possibles » . Accompagnement, Coaching, Créativité » souligne Pascale Guillaume.

      Plaisirs Nature s’implique t-elle dans la diversité culturelle ? 

    PG. Pour une même activité pratiquée, notre richesse patrimoniale, notre localisation géographique, notre savoir-être, notre expérimentation de la nature nous invitent à la découverte permanente d’autres curiosités. Enrichie des autres pratiques, nous nous surprenons à découvrir combien notre culture est belle et nous invite à la rencontre de l’autre.

     Quelle serait votre meilleure définition du dialogue et du développement ?

     PG. Le dialogue et le développement sont deux concepts interchangeables, un peu à l’image d’une pièce de monnaie (pile/face). Dans un langage plus nature et plus poétique, telle une fleur avec pétales.

     

     Les termes « dialogue » et « développement » dans leur sens étymologique vous parlent-ils dans votre milieu professionnel ?

     PG. Au sein de la structure, un temps non négligeable est consacré à la recherche et au développement. Ce temps créatif indispensable à notre survie, nous permet de nous arrêter, d’observer, de découvrir, de recommencer sans préjugés, animés par le désir d’anticiper et de répondre aux besoins.

     

    La journée de sensibilisation d’aujourd’hui vous évoque t-elle un message ?

      PG. La nature est un lieu universel favorisant le dialogue, invitant à la sérénité et au dépaysement, profitons-en pour nous ressourcer nous reconnecter avec nous –mêmes, avec les autres, prévenant ainsi tout stress et dérives pathologiques. Semons aujourd’hui les fruits de notre héritage commun et sauvegardons notre unicité pour une diversité culturelle planétaire.

     

    Cvfg

    GVFmédia

     

     

     

     



     

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  • Le découragement "vivreaujourd'hui"

     
    20 Mai 2014
     

    Remets ton sort à l’Éternel, confie-toi en lui, et c’est lui qui agira.
    Psaume 37.5

     

    Certains, quand ils sont découragés, se mettent devant la télé, d’autres lisent un roman, d’autres se couchent au lit. Et vous, que faites-vous alors ?
    David, pourchassé par le roi Saül, avait établi son campement à Tsiklag. Or, un jour en rentrant au camp avec ses soldats, il le trouva incendié. Les Amalécites avaient emmené femmes et enfants et tous les biens. David et le peuple qui était avec lui sanglotèrent… David fut dans une grande détresse… Que fit-il alors ? Il reprit courage, en s’appuyant sur l’Éternel.1
    C’est la meilleure solution. En toute difficulté, en toute détresse, appuyez-vous sur Dieu. Il est bon, juste, plein d’amour. Il soutient tous ceux qui se confient en Lui. Celui qui s’attend à sa bonté ne sera jamais déçu.
    Dieu agit pour David. David poursuivit les Amalécites avec une partie de ses hommes et les trouva en train de festoyer. Il délivra tous ceux que les Amalécites avaient kidnappés. Il ne leur manqua personne, ni petit ni grand, ni fils ni fille, ni aucune partie du butin ; David ramena tout.1
    Il vaut la peine de se confier en Dieu : je le fais depuis plus de 50 ans et il ne m’a pas déçu ! Il est fidèle, il exauce les prières, à cause de Jésus-Christ.
    Vous aussi, cherchez son aide en toute circonstance. Parlez-lui de vous, de vos soucis, de vos craintes, dépression, tristesses… Jésus-Christ vous donnera sa paix surnaturelle et agira en votre faveur.

    Théophile H.


    1 1 Samuel 30.4-6 et 19

     

     

    Psaume 115. 9-18 : "9 Tribus d’Israël, ayez confiance dans le Seigneur. Leur secours et leur bouclier, c’est lui ! 10 Famille d’Aaron, ayez confiance dans le Seigneur. Leur secours et leur bouclier, c’est lui ! 11 Vous qui respectez le Seigneur, ayez confiance dans le Seigneur. Leur secours et leur bouclier, c’est lui ! 12 Le Seigneur se souvient de nous, il nous bénira. Il bénira les tribus d’Israël, il bénira la famille d’Aaron, 13 il bénira ceux qui le respectent, les petits et les grands. 14 Que le Seigneur vous rende nombreux, vous et vos enfants ! 15 Que le Seigneur vous bénisse, lui qui a fait le ciel et la terre ! 16 Le ciel est le ciel du Seigneur, mais la terre, il l’a donnée aux hommes. 17 Non, les morts ne chantent pas la louange du Seigneur, eux qui descendent dans le monde du silence. 18 Mais nous, nous remercions le Seigneur, dès maintenant et pour toujours. Chantez la louange du Seigneur !"

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  • Liberté Réelle ou Virtuelle ?

     

    Sommes-nous libres ou esclaves ?

    Notre liberté est-elle réelle ou virtuelle ?

     

     

     

    Selon Wikipédia : « De façon générale, la liberté est un concept qui désigne la possibilité d'action ou de mouvement.

    Pour le sens commun, la liberté s'oppose à la notion d'enfermement ou de séquestration. Une personne qui vient de sortir de prison est dite libre.

    Le sens originel du mot liberté est d'ailleurs assez proche : l'homme libre est celui qui n'appartient pas à autrui, qui n'a pas le statut d'esclave.

    En philosophie, en sociologie, en droit et en politique, la liberté est une notion majeure : elle marque l'aptitude des individus à exercer leur volonté avec — selon l'orientation politique des discours tenus — la mise en avant de nuances dont chacune n'épuise pas le sens intégral :

    formulation négative : où l'on pointe l'absence de soumission, de servitude, de contrainte, qu'elles soient exercées par d'autres individus (comme pour l'esclavage), ou par la société (c'est-à-dire par la Loi).

    formulation positive : où l'on affirme l'autonomie et la spontanéité du sujet rationnel ; les comportements humains volontaires se fondent sur la liberté et sont qualifiés de libres.

    formulation relative : différents adages font ressortir l'équilibre à trouver dans une alternative, visant notamment à rendre la liberté compatible avec des principes de philosophie politique tels que l'égalité et la justice. Ainsi : La « liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui » (art. 4 de la Déclaration des droits de l'homme), ce qui implique la possibilité de « faire tout ce qui n'est point interdit, comme ne pas faire ce qui n'est point obligatoire » (art. 5), la « liberté de dire ou de faire ce qui n'est pas contraire à l'ordre public ou à la morale publique » (droit administratif) ou encore « La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres » (de John Stuart Mill). Dans une telle formulation, la liberté est étroitement liée au concept de droit, allant jusqu'à confondre les deux notions.

    Cette notion renvoie à une double réflexion :

    d'une part sur la liberté en tant que questionnement sur la capacité de choisir et de faire , d''autre part comme questionnement sur l'exercice concret de ce pouvoir de choisir et de faire.» fin de citation

    Depuis la nuit des temps, l'homme a mené différents combats, y laissant parfois sa vie, pour défendre sa liberté. Droits de l'homme, émancipation de la femme, abolition de l'esclavage, apartheid, liberté de la presse, liberté religieuse, liberté d'expression, liberté de conscience, liberté sexuelle, et la liste est encore bien longue. Autant de libertés exprimées qu'il y a d'hommes et de femmes à la surface de la terre. Mais l'homme est-il réellement libre ? Ou jouit-il d'une pseudo liberté, ou d'une liberté virtuelle ? Cette liberté, serait-elle contrôlée par des hommes ou par un pouvoir dans l'ombre ? Toute la technologie mise en place depuis plusieurs décennies, serait-ce l'instrument utilisé pour mieux asseoir cette main mise et nous laisser miroiter une vraie fausse liberté ?

    Un article sur le site http://www.syti.net/BigBrother.html, relate ce qui suit :

    « Notre liberté est en permanence sous haute surveillance électronique. Les technologies informatiques ont permis d'augmenter ce que les spécialistes appellent notre "traçabilité". Nos activités, nos conversations, nos goûts et nos centres d'intérêts laissent des traces dans les multiples systèmes informatiques qui gèrent notre vie quotidienne. Toutes ces données sont collectées, centralisées et mémorisées par des organisations publiques ou privées qui peuvent connaître à tout moment le "profil" de chaque individu.

    Fichiers informatiques, téléphones portables, internet, association de la carte de crédit et du code barre, réseau Echelon, voici les moyens par lesquels notre liberté est devenue très surveillée…

     

    LES FICHIERS

    Les fichiers des administrations et des sociétés privés rassemblent de nombreuses données personnelles sur des millions de citoyens ou de consommateurs. Ces données sont inoffensives tant qu'elles sont éparses, réparties dans de multiples systèmes informatiques. Mais en utilisant des techniques familières aux pirates informatiques, des "organisations" qui s'en donnent les moyens peuvent facilement pénétrer ces systèmes, afin de collecter et centraliser toutes ces informations.

    De nombreuses sociétés fondées ces dernières années (principalement aux Etats-Unis) sont spécialisées dans la collecte d'informations individuelles, officiellement à des fins commerciales. Mais ces fichiers privés commencent à rassembler des millions de profils individuels très précis de consommateurs répartis dans l'ensemble des pays occidentaux. Les informations de ces fichiers sont vendues à quiconque souhaite les acheter.

     

    LES CARTES DE CRÉDIT

    Les dépenses effectuées avec une carte de crédit permettent de retracer nos déplacements, mais aussi de connaître très précisément les produits achetés par une personne.

    Pour optimiser la gestion des stocks et la comptabilité, les systèmes informatiques des magasins mémorisent de façon conjointe les numéros de carte et les codes-barre des produits achetés. Si par exemple le produit est un livre, le code barre permet de savoir QUEL livre, et ainsi de connaître le profil culturel ou politique de l'acheteur.

    L'association du code-barre et du numéro de carte de crédit signifie l'association automatique de produits identifiés avec des consommateurs identifiés.

     

    LES MOBILES

    Tout le monde sait qu'avec un récepteur de type scanner (dont l'usage est illégal mais dont la vente est autorisée), il est très facile pour n'importe qui de réaliser des écoutes téléphoniques sur les portables.

    Ce que l'on sait moins, c'est que le portable permet de localiser à tout moment son propriétaire, même hors-communication, en position de veille.

    Car pour recevoir un appel, il est techniquement indispensable que les systèmes de l'opérateur puissent localiser l'abonné, pour déterminer la cellule locale qui lui transmettra l'appel. Les téléphones portables émettent donc en permanence un signal pour indiquer leur présence aux cellules les plus proches.

    Toutes les données sur votre localisation sont conservées par les opérateurs et sont transmises sur demande aux polices et services de renseignement des états. Il est ainsi possible de retracer automatiquement tous vos déplacements sur une carte. Il en est de même pour chaque citoyen dans tous les pays occidentaux. Avec les smartphones qui intègrent un GPS, la localisation a une précision de 1 mètre.

    Le téléphone portable est donc un véritable collier électronique. Un collier volontaire, et payé par celui qui le porte.

    Il faut enfin savoir que le micro du portable peut être activé à distance par les services de police grâce à un simple code de 4 chiffres, même quand le portable est éteint. N'importe qui peut être ainsi espionné à tout moment à son insu. (Voir cette vidéo : http://www.dailymotion.com/video/x6tewo_vos-telephone-portable-sont-des-mic_news)

     

    RÉSEAU ECHELON

    Le réseau Echelon est un système automatisé d'écoute des communications, quel que soit leur support: téléphone, fax, eMail, satellites.

    Le réseau Echelon a été mis en place depuis 20 ans et dans le plus grand secret par 5 pays anglo-saxons: les Etats Unis, la Grande Bretagne, le Canada, l'Australie, et la Nouvelle Zélande. Le réseau Echelon est principalement gérée par la NSA, l'agence de renseignement électronique américaine.

    L'idée géniale d'Echelon est d'utiliser les technologies de reconnaissance vocale pour repérer automatiquement des mots-clés dans les conversations écoutées. Les mots-clés à repérer sont choisis par les officiers d'Echelon en fonction de l'actualité et des objectifs du moment.

    La technique d'écoute étant automatisée, un très grand nombre de communications dans le monde peuvent être enregistrées et traitées chaque jour. Seules les communications contenant les mots-clé sont sélectionnées pour une écoute humaine.

    Echelon peut ainsi analyser 2 millions de conversations par minute. Chaque jour, Echelon intercepte 4,3 milliards de communications, soit presque la moitié des 10 milliards de communications échangées quotidiennement dans le monde.

    L'existence de ce réseau n'a été révélée par les médias qu'en 1998, à l'occasion d'un rapport du Parlement Européen, qui reprochait à Echelon de violer "le caractère privé des communications de non-Américains, dont des gouvernements, des sociétés et des citoyens européens".

     

    LA VIDÉOSURVEILLANCE

    Toujours sous le prétexte de la sécurité, les caméras de surveillance se multiplient dans la plupart des villes. Rien qu'en Grande-Bretagne, on compte plus de 4 millions de caméras de surveillance, installées dans les rues, les gares, le métro, devant les édifices publics ou les immeubles. A ces caméras s'ajoutent les appareils photo des radars automatiques sur les routes. Techniquement, rien n'empêche qu'ils soient utilisés pour une identification systématique de tous les véhicules.

    L'identification des individus dans une foule est désormais possible en raccordant les caméras à des logiciels de reconnaissance des visages. Ces logiciels sont capables d'identifier simultanément de multiples visages dans une foule en les comparant avec des visages dont l'image est stockée dans une base de données. Ainsi, le processus de surveillance peut être entièrement automatisé, et donc systématisé.

    Dans un premier temps, l'image des caméras sera comparée avec les visages des personnes fichées par la police: terroristes, criminels, malfaiteurs, mais aussi militants politiques ou syndicaux, journalistes, etc. Avec la généralisation des cartes d'identité biométriques, le visage de chaque personne sera enregistré numériquement dans une base de données. Dans un futur proche, le visage de chaque citoyen pourra être identifié par les caméras de surveillance et il sera possible de suivre entièrement le déplacement d'une personne donnée dans une ville (l'ordinateur passant automatiquement d'une caméra à l'autre afin de la garder toujours présente sur l'écran).

    Une fonction encore plus dangereuse est actuellement intégrée dans les logiciels d'analyse des images. Aux Etats-Unis et en Europe, des centres de recherche travaillent à la mise au point de logiciels qui permettent d'identifier des "comportement suspects" d'individus dans une foule, et de transmettre automatiquement une alerte avec localisation aux policiers. Le logiciel permet de distinguer des personnes qui convergent et se rassemblent en un lieu, une personne qui dépose un objet à terre (qui peut donc potentiellement être une bombe), un rôdeur qui s'arrête et change de trajet continuellement au lieu de marcher régulièrement dans une direction précise, ou encore une personne dans un hall qui semblerait attendre à l'écart.

    On peut imaginer les conséquences des alertes déclenchées par ce type de logiciel. Tous ceux qui ont un comportement un tant soit peu différent du "troupeau" risqueront d'être abattus par des policiers ayant l'ordre de tirer directement à la tête pour éviter tout risque d'attentat, comme ce fut le cas à Londres en Juillet 2005 (lorsque des policiers anti-terroristes à Londres avaient exécuté de 6 balles dans la tête un innocent identifié à tort comme terroriste potentiel).

     

    LES PUCES RFID

    Les puces RFID sont incorporées par les multinationales dans certains de leurs produits pour en assurer la traçabilité. La puce permet ensuite de localiser le produit pendant sa distribution, mais aussi après son achat.

    La puce RFID étant identifiée au moment du passage à la caisse du supermarché, elle peut être associée à la carte de crédit ou au chèque de l'acheteur, et donc à son identité. Chaque produit acheté devient ensuite un "mouchard électronique" qui permet de localiser son utilisateur.

    Par ailleurs sur certaines versions de la RFID, les dessins formés par les circuits de la puce sont assez étranges, avec une sorte de croix gammée, ou un quadruple "Tau" (un symbole franc-maçon que l'on retrouve dans l'excellent film "Equilibrium").

    La puce a déjà été utilisée notamment par Gilette, pour "tracer" ses rasoirs jetables. Elle est fabriquée par une société américaine dénommée... Matrics, ainsi que par les sociétés japonaises NEC et Hitachi. Elle a été inventée par Gemplus, une société française rachetée par des investisseurs américains.

    Les puces RFID mesurent un peu moins de 1 millimètre. Malgré cette miniaturisation, elles intègrent une mémoire de 1 kbit et une antenne qui émet dans la bande de fréquence des 2,5 GHz.

     

    INTERNET

    Il n'y a pas plus transparent que le réseau internet. Avec les logiciels adéquats, n'importe qui peut pister les informations consultées par un internaute. L'utilisateur d'internet est par ailleurs facilement identifiable grâce aux données personnelles stoquées par le navigateur et le système. Les données sur notre identité sont "interrogeables à distance", ainsi que le contenu du fameux fichier "magic cookie". Ce fichier garde la trace de certains sites visités qui y inscrivent des informations afin d'identifier les utilisateurs et mémoriser leur profil.

    De plus, depuis les attentats du 11 Septembre 2001, la plupart des pays occidentaux ont adopté des lois qui autorisent la surveillance de l'ensemble des communications sur Internet: les mails, mais aussi les sites visités, les pages consultées, le temps passé sur chaque site, ou encore les participations à des forums. Les informations mémorisées sont extrêmement détaillées, beaucoup plus que ne le nécessiterait la lutte contre d'éventuels terroristes. Par contre, les informations recueillies correspondent exactement à ce qui serait nécessaire pour établir le "profil" de chaque citoyen.

     

    MICROSOFT ET INETL

    La palme du Big Brother électronique revient incontestablement à Microsoft, avec son système Windows et son navigateur Internet Explorer, qui renferment un numéro d'identification de l'utilisateur, le GUID (Globally Unique Identifier). Ce numéro d'identification est ensuite inscrit dans tous les documents créés avec les applications de Microsoft Office. Il peut être consulté à distance par Internet grâce à des commandes spéciales prévues par Microsoft.

     Le système Windows et Internet Explorer intègrent d'autres commandes spéciales qui permettent de sonder le contenu du disque dur de l'utilisateur, à son insu, durant ses connexions à Internet. Microsoft a reconnu l'existence de ces commandes spéciales et du GUID.

    Selon un rapport réalisé en 1999 pour le ministère français de la Défense, il existerait des liens entre Microsoft et les services de renseignements américains, et des membres de la NSA travailleraient dans des équipes de Microsoft. Ce rapport parlait aussi de la présence de programmes espions ("back-doors") dans les logiciels de Microsoft.

    De son coté, Intel a également placé un numéro d'identification consultable à distance dans les puces Pentium III et Xeon. » fin de l'article.

     

    Sommes-nous donc réellement libres ou en liberté conditionnelle ? Aurions-nous été formatés, moulés dans un système dont nous n'avons plus le droit de sortir ? Sinon, pourquoi toute cette débauche d'énergie à épier, voire contrôler, nos faits, gestes, pensées, paroles ?

    Nous achetons une télé pour regarder des programmes que nous n'avons pas choisi. Nous déposons de l'argent dans une banque qui nous remet une carte en nous précisant le montant que nous pouvons retirer sur notre propre compte. Nous portons des vêtements ou chaussures parce qu'on nous dit que c'est la tendance actuelle. Nous travaillons dans des secteurs non par choix mais parce qu'on nous a dit que c'est une filière qui embauche. Nous mangeons d'une certaine manière parce que on nous a encore dit qu'il valait mieux éviter certains aliments. Nous avons un permis de conduire que nous avons payé mais on nous a dit qu'il ne valait que 12 points. Et la liste pourrait continuer sur plusieurs pages.

    Si comme le dit l'adage, « la liberté des uns s'arrête où commence celle des autres », alors il devient important de savoir ou s'arrête la liberté de ce « on » qui impacte notre vie en nous suggérant fortement, voire même en nous imposant, quoi faire, quoi penser, quoi dire.

    La question se pose à nouveau, sommes-nous réellement libres ou sommes-nous des esclaves modernes d'un système ?

    Que chacun réponde pour lui-même...

    RPG

     

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  • Quand je craque… "vivreaujourd'hui.com"

    19 Mai 2014
     

    Prends courage !
    Actes 23.11

    La vie n’est certainement pas un long fleuve tranquille et bien souvent nous avons besoin d’entendre cette parole de Jésus : Prends courage ! Paul, le grand apôtre, a eu besoin lui aussi d’entendre ces mêmes paroles de réconfort. Être convoqué à Jérusalem par les responsables religieux, se voir rejeté par les siens, quelle douleur ! Nous comprenons pourquoi le Seigneur Jésus lui est apparu à ce moment-là pour le consoler et le soutenir.
    Nous avons tous nos heures difficiles, des heures sombres quand de lourds nuages noirs s’accumulent sur notre tête, des moments où les forces nous manquent pour poursuivre la route. Il y a des crises morales, des conflits familiaux, des problèmes de couple, la perte ou la recherche désespérée d’un emploi, des fins de mois difficiles, des inimitiés… Que c’est dur alors, quand on est au bout du rouleau, de se sentir incompris et critiqué !
    Venez alors vous jeter aux pieds de Jésus, demandez-lui de vous venir en aide. Il est le seul à pouvoir vous comprendre. Si vous avez le sentiment de ne pas avoir fait ce que vous auriez du faire, dites-le-lui : il pardonnera. Il ne fait pas de reproche, son oreille sera toujours attentive à votre cri.
    Quand un malheureux crie, l’Éternel entend et le sauve de toutes ses détresses.1

    Albert N.

    1 Psaume 34.6

    Psaume 34. 4-10 : "4 Dites avec moi : « Le Seigneur est grand ! », chantons tous ensemble son nom.  5 J’ai cherché le Seigneur et il m’a répondu, je n’ai plus peur de rien.  6 Ceux qui regardent vers lui brillent de joie, et leur visage n’est pas couvert de honte. 7 Quand un malheureux crie, le Seigneur entend, il le sauve de tout ce qui lui fait peur. 8 L’ange du Seigneur monte la garde autour de ceux qui respectent Dieu, il les délivre. 9 Goûtez et voyez comme le Seigneur est bon. Il est heureux, celui qui s’abrite en lui ! 10 Vous qui appartenez au Seigneur, respectez-le ! Rien ne manque à ceux qui le respectent."

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  • 19 MAI  - Journée mondiale des MICI 

     

    Où en est votre colère ? Contre qui ? Pourquoi ?  

     

     


    Vous ignoriez ce qu'étaient les MICI jusqu’à maintenant. Désormais, vous saurez qu’une journée mondiale leur est consacrée, afin de mieux les connaître et aider les personnes autour de nous qui en souffrent : 6 millions dans le monde, 3 millions en Europe, 200 000 en France 

    L’initiative d’une telle journée est américaine. Pour en connaître son origine et but précis il faudrait se rendresur le site officiel (anglophone) consacré à ces maladies inflammatoires chroniques de l'intestin(MICI).  

    Les MICI regroupent la maladie de Crohn et la recto-colite hémorragique, qui se caractérisent toutes deux par l’inflammation de la paroi d’une partie du tube digestif et provoquent des ulcères destructeurs. 

    Les causes de ces maladies sont encore assez mal connues, bien qu'on ait pu isoler un certain nombre de facteursdéclenchants, qu'ils soient génétiques, environnementaux (notamment le tabac) ou immunologiques. 

    Très invalidantes, voire honteuses, ces maladies se manifestent par des douleurs abdominales, de la fatigue, de la fièvre, des diarrhées, parfois sanglantes ou des lésions rectales.  Selon un DOSSIER réalisé en mai 2011 par Pierre Desreumaux, Directeur de l’Unité de l’INSERM 995(Lille), « Dans la maladie de Crohn, elle(l’inflammation), peut être localisée dans tout le système digestif, de la bouche à l’anus (le plus souvent au niveau de l’intestin) tandis que dans la rectocolite hémorragique, elle est localisée au niveau du rectum et du colôn. Ces maladies évoluent par poussées inflammatoires de durée et de fréquence extrêmement variables en fonction des patients, alternant avec des phases de rémission.   

    Les MICI sont le plus souvent diagnostiquées chez des sujets jeunes âgés de 20 à 30 ans mais peuvent survenir à tout âge ; 15 % des cas concernent des enfants. Leur fréquence varie considérablement d'un pays à l'autre mais les taux les plus importants sont retrouvés dans les pays industrialisés et notamment en Europe du Nord-Ouest et aux Etats-Unis. En France, environ 5 nouveaux cas de maladie de Crohn et autant de rectocolites hémorragiques sont diagnostiqués chaque année pour 100 000 habitants. »  

    Jusqu’à maintenant les traitements sont ponctuels et gèrent plus ou moins les symptômes lorsqu’ils apparaissent : soulager des douleurs lorsque les poussées arrivent le plus rapidement possible, cicatriser au plus vite les lésions intestinales.  

     

    Que peuvent me dire ces inflammations chroniques de l’intestin ?  

    Nous avons déjà définit grâce au dossier complet de SylvainBélanger et Fabienne Scott dans  L’Écoute imaginaire de, édition Quintessence, 2004 (Copyright 2008, Sylvain Bélanger, Écoute Imaginaire, ww.ecouteimaginaire.com, Montréal, Québec, Canada)

     

     

     
     
     

    Que les maladies liées à l’intestin ont un lien étroit et prouvé avec le sentiment de colère et de profonde tristesse, d’irritabilité, de rancune et de frustration. (cf La maladie coaliaque - http://lifestance.eklablog.com/accueil-c25090812

    Que le psyché interagit sur notre corps qui en est l’expression, afin de nous interpeller et mettre des mots sur notre mal-être plus profond, afin que nous allions mieux, voire même guéri ! Car nous sommes faits pour la vie, le bonheur et le bien-être !  

    Aussi, Comprendre les sentiments et émotions qui nous habitent, sont les premières pistes et les premiers pas vers la guérison de notre être tout entier.  

     

    Claudia Rainville, fondatrice de la Métamédecine, tire ses conclusions de 25 années d’expériences et de recherches. Dans ses ouvrages le Grand Dictionnaire de la Métamédecine, ou La guérison à votre portée, elle explique que Les personnes atteintes d'iléite (inflammation de l’iléon, dernière partie de l’intestin grêle) se sentent souvent dévalorisées par rapport aux personnes autoritaires et dominantes qu'elles s'attirent. Ces personnes se soumettent aussi fréquemment à des situations déplaisantes qui les dérangent et qui leur provoquent de fortes colères intérieures. Elles sont souvent en crainte de ne pas être assez bien et vivent avec peur et angoisse. 

    Sylvian Bélanger et Fabienne Scott, expliquent à leur tout que  Le côlon a pour rôle d'extraire les dernières substances utiles pour l'organisme et d'expulser par un processus réflexe les résidus inutilisables ou non assimilés. Il joue donc un rôle immunitaire important et dans la capacité d'un individu à se sentir en sécurité. Une élimination adéquate signifie que la personne est à l'aise dans sa capacité à ressentir une charge dans son colon et à l'éliminer. Un individu ayant de la difficulté à reconnaître ses besoins aura tendance à développer, soit une hyperactivité pour fuir ses besoins de sécurité, soit une hypoactivité pour apprendre à reconnaître ses besoins. Ainsi, continuent-ils en expliquant que  L'hyperactivité du côlon produit des réflexes continus d'expulsion.

    Cette hyperactivité peut être produite par un déséquilibre de la flore intestinale qui, pour se rétablir, produit un transit intestinal trop rapide. Ce mouvement est favorisé par l'activité du parasympathique qui permet une élimination. Commeles matières transitent trop rapidement, l'assimilation des substances nutritives se fait mal. C’est souvent le cas chez les personnes nerveuses et un peu speed. Leur vie doit être rapide et elles détestent les obstacles. L'assimilation des expériences est souvent déficiente car la vie va trop vite pour prendre le temps de s'arrêter. Un côlon moins rapide obligerait ces personnes à devoir prendre le temps de digérer et éliminer les expériences de la vie, ce qu'elles ne souhaitent pas.

    Enfin, continuent-ils, quand le côlon est congestionné par des déchets non expulsés, ce qui inhibe le transit intestinal,celui-ci est ralenti et les matières restent plusieurs jours en contact avec les muqueuses du colon. Elles fermentent et se putréfient agressant les parois du côlon qui affaiblissent entraînant la pénétration de substances toxiques et de microbes vers les organes voisins. Psychiquement, l'individu est peu enraciné et ressent le besoin de se sécuriser en conservant une charge dans son colon. Cette charge devient en quelque sorte un ancrage lui permettant de reconnaître ses besoins de sécurité.

    L'envahissement de toxines reflète l'incapacité de la personne à répondre à ses besoins de sécurité. La personne se sent insécurisée et a constamment l'impression d'être sale et a besoin des autres, ce qui lui génère une forte colère.  

    Colère tournée vers soi-même, vers ce que l’on n’arrive pas à faire ou affronter

    Du latin angere, le mot colère signifie « étrangler ». Ce sentiment fort de déplaisir se manifeste lorsque l’on ne se sent pas respecté, mais traité injustement, manipulé, voir lorsqu'on nous manque de respect, surtout si c'est délibéré.

    Lorsque nous nous sentons non apprécié, menacé, ou que nos frontières émotionnelles ou physiques sont transgressées. Lorsque quelqu'un ose nous dicter ce que nous devons faire ou être...

    Dans toutes ces situations nous sommes en rogne ! Et les situations au quotidien peuvent être légion ! Le collègue dérangeant, l’adolescent désobéissant et insolent, la trahison de votre meilleure amie, l’infidélité de votre conjoint, le racisme, les injustices de tous ordres, les factures impayées. Et plus notre espace sera menacé, plus notre colère ira crescendo et peut prendre une expression de violence extrême, de rage.

    Nous sommes souvent des colériques refoulés, au bureau, dans les transports, chez soi, et un jour ou l’autre cette colère explose, parfois lors d’une provocation totalement mineure mais symptomatique d’un refoulement plus ancien. Le désastre peut prendre des proportions mineures mais parfois inimaginables d’abord pour soi (symptômes physiques), ensuite envers les autres (agressions verbales, humiliations, manque d’affection, méchanceté, médisance ; critiques sournoises, dénigrement des autres !) 

    L’auto-guérison de ma colère 

    Judith Orloff, dans L’éveil de la conscience, propose une culture de la compassion peu commune, mais efficace pour s’auto-guérir de sa colère et guérir de ces maux physiques, telle la maladie de Crohn. Savant mélange d’amour et de pardon, la compassionest une vertu par laquelle un individu est porté à percevoir ou ressentir la souffrance d'autrui, et poussé à y remédier. Proche de l'empathie, la compassion qui avait pour synonymes originels « Pitié » et « apitoiement » revêt une symbolique plutôt péjorative aujourd’hui tout comme la « miséricorde » et son synonyme la « commisération ».  

    Cultiver la colère et les symptômes qui s’y rattachent, est dangereux. Car on perd sa paix intérieure et extérieure. Aussi pour s’auto-guérir il faut reconnaître d’abord notre colère, notre état colérique, et reconnaître les situations qui nous font l’éprouver. Ensuite, éviter d’agir ou de s’exprimer en état de colère, prendre le temps de la calmer un temps soit peu, en s’éloignant, et s’aérant, afin d’éviter d’agir ou de parler sous l’effet de la passion, ou avec passion non maîtrisée. Visualiser ensuite les dommages que vous feriez si vous ne cherchez absolument pas à vous calmer. Si malgré tout on s’est emporté, chercher à réparer la blessure que l’on a causé en s’excusant ou en demandant pardon, même si on n’est pas encore totalement maître de soi.

    Chercher à faire, au quotidien, des actes continuels de douceur, d’amabilité, d’humilité, cherchant à rendre les gens heureux, afin que cela devienne un automatisme en situations plus stressantes et ainsi cultiver la douceur. Être vigilant, se tenir sur ses gardes, dans ses réactions, ses impressions, ses pensées, Corriger sa propension à donner tort aux autres, à se victimiser, à se sentir menacer et éviter les pensées négatives vis-à-vis des autres.  

    L’un des sentiments le plus rebelle et le plus difficile à maîtriser, la colère maîtrisée, n’est pas synonyme d’écrasement, mais d’une propension à s’affirmer dans le respect, un langage de ma liberté à ne pas me laisser mener par les situations, une culture de la colère vertueuse, qui ne combat pas ma raison, mais qui s’associe à la justice et à l’amour, ce que l’on pourrait appeler la « sainte ou la saine colère », dans la pureté d’intention, et la maîtrise gestuelle.  

    Prévenir la colère, s’interdire de se mettre en colère, cultiver la douceur, d’abord envers soi-même, en se pardonnant ses erreurs, afin qu’elle devienne une conduite envers les autres. Réparer le plus tôt possible nos fautes, ne pas garder des impressions négatives de cœur, mais cultiver des pensées  et des paroles charitables envers soi et les autres sont des pistes sûres de guérison des inflammations les plus virulentes qui nous embrasent et nous font mal.  

     

     

    Analysez aujourd’hui où en sont vos colères ? Comparez-les avec vos poussées inflammatoires de l’intestin et partagez les résultats, vous serez surpris des changements et des victoires obtenues.  

    Rien n’est impossible à qui veut comprendre et s’arme de bonne volonté.  

    cvfg

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  • 18 mai Journée mondiale de la maladie coeliaque 

     

     

    Notre intolérance

    au gluten cacherait

    une accumulation de colère !



     

     

     

     

     

    Derrière ce nom rare se cache une maladie très invalidante... plus connue sous le nom d'intolérance au gluten, la coeliaquie se caractérise par une intolérance aux glutens et protéines assimilées contenus dans de nombreuses céréales (blé, seigle, orge, épeautre, avoine). 

    Il en résulte unedifficulté d'absorption et donc des carences alimentaires. Les personnes atteintes de la maladie cœliaque doivent s'abstenir à vie de consommer les produits contenant ces glutens. Sce  

     

    Connaissez-vous la coeliaquie ? 

    0,5 % de français en souffrent 

     

    La maladie cœliaque (parfois appelée cœliaquie ou intolérance au gluten est une maladie auto-immune, caractérisée par l’atrophie, voire la destruction de la paroi de l'intestin grêle. Cette maladie résulte d’une intolérance permanente à différentes fractions protéiques du gluten contenu dans différents types de céréales : blé (froment, épeautre, Kamut®), l'orge, le seigle et le triticale (hybride du blé et du seigle). Une mauvaise assimilation se fait alors de certains nutriments (vitamines, fer, calcium…), d’où des carences alimentaires.  

    Techniquement, Le mot gluten d'origine latine signifie « colle » (et a donné naissance au mot français « glu »). En termes simples, c’est l'association, après hydratation, et le pétrissage de deux types de protéines: les prolamines et de globuline et d'albumine. Or les protéines toxiques dans la maladie cœliaque sont les « prolamines »[réf. souhaitée] ,  

    Protéine présente dans beaucoup de céréales, le glutense transforme en gliadine dans le tube digestif. Une fois dans la paroi intestinale, il  provoquerait, chez des sujets prédisposés,  une réaction inflammatoire entraînant la destruction des cellules composant les muqueuses de l’intestin grêle[]. Conséquences : une malabsorption de la vitamine B12.  Le taux sanguin de est alors très abaissé, provoquant une macrocytose

     

    Les symptômes dépendent des individus, mais les plus fréquents sont : 

    • Fatigue et manque d'énergie ; 
    • Douleurs abdominales et une diarrhée (selles graisseuses), amaigrissement et dénutrition
    • Gaz intestinal ; 
    • Aphte buccal ; 
    • Sensibilité au lactose ; 
    • Irritabilité du colôn ; 
    • Risque accru du cancer de l'intestin grêle et du lymphomes
    • anémie associée à une carence en fer, folates, vitamine B12 ; 
    • déficit enfacteurs de la coagulation (facteurs II, VII et X) ; 
    • Baisse de la concentration sanguine en protéine avec hypo-albuminémie ; 
    • Déficit en calcium (hypocalcémie), en magnésium, en zinc ; 
    • Diminution de la concentration sanguine en cholestérol (hypocholestérolémie). 
    • Troubles menstruels tels qu'une aménorrhée primaire ou secondaire ou une stérilité ; 
    • des avortements à répétition ; 
    • Hypotrophie fœtale ; 
    • Epilepsie ou une ataxie ; 
    • Dépression et manque de confiance en soi; 
    • Douleurs osseuses ou articulaires inexpliquées ; 
    • Ostéoporose sans cause retrouvée, associée ou non à des fractures ; 
    • Dyslexie, trouble de la mémoire et l’apprentissage problèmes d’écriture, problèmes scolaires ; 
    • Troubles du sommeil diminution à la socialisation ; 
    • Maladie de Crohn ; 

     

    Les personnes ont alors le teint très pâle ; les joues et ventre gonflés (chez le nourrisson le plus souvent) ; une mauvaise haleine due à la mauvaise absorption du gluten ; une nervosité (chez l'adolescent surtout) importante et inexpliquée. 

    Cette intolérance au gluten concerne le fonctionnement de notre système immunitaire, mais sans réaction d'hypersensibilité. Ce n'est donc pas une allergie. Il faut distinguer les personnes faisant une intolérance au gluten sans souffrir cependant de coeliaquie. 

    Aujourd'hui, aucun traitement médicamenteux n’existe. Longtemps considéré comme l’aliment de base de la société, le blé omniprésent dans notre alimentation est entrain de perdre son heure de gloire, malgré sa nécessité indéniable au sein de notre alimentation. Le gluten aussi longtemps utilisé par les fabricants, dans le pain, les charcuteries, les gâteaux, les tartes, les plats cuisinés, les sauces, le chocolat, les frites, pour donner plus de tenue et d’onctuosité est entrain de créer une nouvelle gamme marketing du « gluten free ».  

     

     

    L'interaction entre notre psychisme et nos maux est prouvée.

     

    Ce qui en ressort c’est que la coeliaquie, vient bien du terme  grec "koeliakos" qui signifie "souffrance dans les intestins". 

    Des études scientifiques modernes ont fourni une nouvelle conception de l’intestin humain. Il n’est plus l’appareil qui nous sert simplement à digérer et à métaboliser la nourriture. « Les cellules argentaffines de notre intestin produisent 90 % de la sérotonine présente dans notre organisme, hormone essentielle à un fonctionnement correct des synapses de notre système nerveux central ».Quirino Zangrilli © Copyright 

     Or cette sérotonine joue un rôle important dans la régulation du sommeil, de l’humeur, de la sexualité, de l’appétit et de la température corporelle. A l’inverse, migraine, trouble bipolaire,  dépression et anxiétéen dépendent parce qu’il existe un lien intime et évident entre « panse » et « psyché ».Non seulement cela mais des études récentes montrent comment notre intestin contient une extension du système nerveux, connu comme « système nerveux entérique ». 


    Entre ce « second cerveau » c’est ainsi qu’il a été efficacement baptisé par des scientifiques qui l’étudient et le « premier cerveau », il existe des échanges d’informations et de profonds feedback ; ce qui survient dans le psychisme (stress, émotions, conflits, désirs, peurs, récompenses) influence l’état de santé de l’appareil intestinal et vice-versa!Quirino Zangrilli © Copyright 

    Physiologiquement, l'intestin grêle dissocie le bol alimentaire afin de laisser passer dans le sang les nutriments utiles. Selon Sylvain Bélanger et Fabrienne Scott (L’Écoute Imaginaire de Sylvain Bélanger et Fabienne Scott, Édition Quintessence, 2004) « Les troubles de l'intestin grêle peuvent s'expliquer par une incapacité d'assimiler une charge énergétique qui pourrait favoriser une nouvelle organisation. Dans tous les cas que j'ai observés, les troubles de l'intestin grêle s'accompagnent de difficultés à discerner ce qui est favorable pour soi de ce qui ne l'est pas. 

     
    Par Écoute Imaginaire, j'ai constaté que l'intestin grêle hyperactif tend à produire un transit beaucoup trop rapide, ce qui nuit à l'assimilation des aliments. L'hyperactivité de cet organe est souvent associée à une incapacité d'assimiler une expérience de vie ayant un potentiel expansif. Pour éviter ce potentiel expansif, l'intestin élimine la charge énergétique en l'expulsant. Ceci entraîne souvent une impression d'impuissance vis-à-vis de sa vie.L'intestin grêle hypoactif produit un transit intestinal beaucoup trop lent.

    Ce ralentissement est un moyen d'éviter de digérer une expérience de vie. Un ralentissement de longue durée peut endommager le filtre des muqueuses intestinales laissant pénétrer dans le courant sanguin des toxines. Il peut en résulter une intoxication qui reflète l'incapacité de la personne de s'ouvrir à une nouvelle expérience de vie. Elle préfère inconsciemment reproduire l'expérience de vie qu'elle a tant de difficulté à digérer, ce qui lui donne une fausse impression de contrôle sur sa vie. »  

    Quirino Zangrilli, explique que «Quelques études effectuées sur des malades de coeliaquie ou intolérance alimentaire ont mis en exergue le fait que la dimension psychologique au moment du diagnostic était caractérisée par des sentiments d’anxiété et de tristesse, mais que l’émotion prédominante qui se rapporte à l’observation de la diète est la rage. 


    A l’âge scolaire et chez l’adolescent, dans certains cas, la cœliaquie a été suspectée justement sur la base de troubles du comportement.Quelques études à ce sujet tendraient à connecter de tels troubles avec la réduction du métabolisme des monoamines (sérotonine in primis), responsables du ton de l’humeur, au niveau du Système Nerveux Central (SNC). L’amélioration du ton de l’humeur et des activités mentales après une période de diète privée de gluten, confirmerait cette donnée. » 

    Cette profonde interactivité entre notre psychisme et notre alimentation ou notre mal-être, est indéniable ! Canaliser notre colère, guérir de nos blessures du passé, accepter nos émotions et les travailler ne serait-ce pas l’une des pistes de notre rééquilibre intestinal ?  

    A bon entendeur salut !  

    cvfg 

     

     
     

     

     

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