• 18 mai Journée mondiale de la maladie coeliaque

    18 mai Journée mondiale de la maladie coeliaque 

     

     

    Notre intolérance

    au gluten cacherait

    une accumulation de colère !



     

     

     

     

     

    Derrière ce nom rare se cache une maladie très invalidante... plus connue sous le nom d'intolérance au gluten, la coeliaquie se caractérise par une intolérance aux glutens et protéines assimilées contenus dans de nombreuses céréales (blé, seigle, orge, épeautre, avoine). 

    Il en résulte unedifficulté d'absorption et donc des carences alimentaires. Les personnes atteintes de la maladie cœliaque doivent s'abstenir à vie de consommer les produits contenant ces glutens. Sce  

     

    Connaissez-vous la coeliaquie ? 

    0,5 % de français en souffrent 

     

    La maladie cœliaque (parfois appelée cœliaquie ou intolérance au gluten est une maladie auto-immune, caractérisée par l’atrophie, voire la destruction de la paroi de l'intestin grêle. Cette maladie résulte d’une intolérance permanente à différentes fractions protéiques du gluten contenu dans différents types de céréales : blé (froment, épeautre, Kamut®), l'orge, le seigle et le triticale (hybride du blé et du seigle). Une mauvaise assimilation se fait alors de certains nutriments (vitamines, fer, calcium…), d’où des carences alimentaires.  

    Techniquement, Le mot gluten d'origine latine signifie « colle » (et a donné naissance au mot français « glu »). En termes simples, c’est l'association, après hydratation, et le pétrissage de deux types de protéines: les prolamines et de globuline et d'albumine. Or les protéines toxiques dans la maladie cœliaque sont les « prolamines »[réf. souhaitée] ,  

    Protéine présente dans beaucoup de céréales, le glutense transforme en gliadine dans le tube digestif. Une fois dans la paroi intestinale, il  provoquerait, chez des sujets prédisposés,  une réaction inflammatoire entraînant la destruction des cellules composant les muqueuses de l’intestin grêle[]. Conséquences : une malabsorption de la vitamine B12.  Le taux sanguin de est alors très abaissé, provoquant une macrocytose

     

    Les symptômes dépendent des individus, mais les plus fréquents sont : 

    • Fatigue et manque d'énergie ; 
    • Douleurs abdominales et une diarrhée (selles graisseuses), amaigrissement et dénutrition
    • Gaz intestinal ; 
    • Aphte buccal ; 
    • Sensibilité au lactose ; 
    • Irritabilité du colôn ; 
    • Risque accru du cancer de l'intestin grêle et du lymphomes
    • anémie associée à une carence en fer, folates, vitamine B12 ; 
    • déficit enfacteurs de la coagulation (facteurs II, VII et X) ; 
    • Baisse de la concentration sanguine en protéine avec hypo-albuminémie ; 
    • Déficit en calcium (hypocalcémie), en magnésium, en zinc ; 
    • Diminution de la concentration sanguine en cholestérol (hypocholestérolémie). 
    • Troubles menstruels tels qu'une aménorrhée primaire ou secondaire ou une stérilité ; 
    • des avortements à répétition ; 
    • Hypotrophie fœtale ; 
    • Epilepsie ou une ataxie ; 
    • Dépression et manque de confiance en soi; 
    • Douleurs osseuses ou articulaires inexpliquées ; 
    • Ostéoporose sans cause retrouvée, associée ou non à des fractures ; 
    • Dyslexie, trouble de la mémoire et l’apprentissage problèmes d’écriture, problèmes scolaires ; 
    • Troubles du sommeil diminution à la socialisation ; 
    • Maladie de Crohn ; 

     

    Les personnes ont alors le teint très pâle ; les joues et ventre gonflés (chez le nourrisson le plus souvent) ; une mauvaise haleine due à la mauvaise absorption du gluten ; une nervosité (chez l'adolescent surtout) importante et inexpliquée. 

    Cette intolérance au gluten concerne le fonctionnement de notre système immunitaire, mais sans réaction d'hypersensibilité. Ce n'est donc pas une allergie. Il faut distinguer les personnes faisant une intolérance au gluten sans souffrir cependant de coeliaquie. 

    Aujourd'hui, aucun traitement médicamenteux n’existe. Longtemps considéré comme l’aliment de base de la société, le blé omniprésent dans notre alimentation est entrain de perdre son heure de gloire, malgré sa nécessité indéniable au sein de notre alimentation. Le gluten aussi longtemps utilisé par les fabricants, dans le pain, les charcuteries, les gâteaux, les tartes, les plats cuisinés, les sauces, le chocolat, les frites, pour donner plus de tenue et d’onctuosité est entrain de créer une nouvelle gamme marketing du « gluten free ».  

     

     

    L'interaction entre notre psychisme et nos maux est prouvée.

     

    Ce qui en ressort c’est que la coeliaquie, vient bien du terme  grec "koeliakos" qui signifie "souffrance dans les intestins". 

    Des études scientifiques modernes ont fourni une nouvelle conception de l’intestin humain. Il n’est plus l’appareil qui nous sert simplement à digérer et à métaboliser la nourriture. « Les cellules argentaffines de notre intestin produisent 90 % de la sérotonine présente dans notre organisme, hormone essentielle à un fonctionnement correct des synapses de notre système nerveux central ».Quirino Zangrilli © Copyright 

     Or cette sérotonine joue un rôle important dans la régulation du sommeil, de l’humeur, de la sexualité, de l’appétit et de la température corporelle. A l’inverse, migraine, trouble bipolaire,  dépression et anxiétéen dépendent parce qu’il existe un lien intime et évident entre « panse » et « psyché ».Non seulement cela mais des études récentes montrent comment notre intestin contient une extension du système nerveux, connu comme « système nerveux entérique ». 


    Entre ce « second cerveau » c’est ainsi qu’il a été efficacement baptisé par des scientifiques qui l’étudient et le « premier cerveau », il existe des échanges d’informations et de profonds feedback ; ce qui survient dans le psychisme (stress, émotions, conflits, désirs, peurs, récompenses) influence l’état de santé de l’appareil intestinal et vice-versa!Quirino Zangrilli © Copyright 

    Physiologiquement, l'intestin grêle dissocie le bol alimentaire afin de laisser passer dans le sang les nutriments utiles. Selon Sylvain Bélanger et Fabrienne Scott (L’Écoute Imaginaire de Sylvain Bélanger et Fabienne Scott, Édition Quintessence, 2004) « Les troubles de l'intestin grêle peuvent s'expliquer par une incapacité d'assimiler une charge énergétique qui pourrait favoriser une nouvelle organisation. Dans tous les cas que j'ai observés, les troubles de l'intestin grêle s'accompagnent de difficultés à discerner ce qui est favorable pour soi de ce qui ne l'est pas. 

     
    Par Écoute Imaginaire, j'ai constaté que l'intestin grêle hyperactif tend à produire un transit beaucoup trop rapide, ce qui nuit à l'assimilation des aliments. L'hyperactivité de cet organe est souvent associée à une incapacité d'assimiler une expérience de vie ayant un potentiel expansif. Pour éviter ce potentiel expansif, l'intestin élimine la charge énergétique en l'expulsant. Ceci entraîne souvent une impression d'impuissance vis-à-vis de sa vie.L'intestin grêle hypoactif produit un transit intestinal beaucoup trop lent.

    Ce ralentissement est un moyen d'éviter de digérer une expérience de vie. Un ralentissement de longue durée peut endommager le filtre des muqueuses intestinales laissant pénétrer dans le courant sanguin des toxines. Il peut en résulter une intoxication qui reflète l'incapacité de la personne de s'ouvrir à une nouvelle expérience de vie. Elle préfère inconsciemment reproduire l'expérience de vie qu'elle a tant de difficulté à digérer, ce qui lui donne une fausse impression de contrôle sur sa vie. »  

    Quirino Zangrilli, explique que «Quelques études effectuées sur des malades de coeliaquie ou intolérance alimentaire ont mis en exergue le fait que la dimension psychologique au moment du diagnostic était caractérisée par des sentiments d’anxiété et de tristesse, mais que l’émotion prédominante qui se rapporte à l’observation de la diète est la rage. 


    A l’âge scolaire et chez l’adolescent, dans certains cas, la cœliaquie a été suspectée justement sur la base de troubles du comportement.Quelques études à ce sujet tendraient à connecter de tels troubles avec la réduction du métabolisme des monoamines (sérotonine in primis), responsables du ton de l’humeur, au niveau du Système Nerveux Central (SNC). L’amélioration du ton de l’humeur et des activités mentales après une période de diète privée de gluten, confirmerait cette donnée. » 

    Cette profonde interactivité entre notre psychisme et notre alimentation ou notre mal-être, est indéniable ! Canaliser notre colère, guérir de nos blessures du passé, accepter nos émotions et les travailler ne serait-ce pas l’une des pistes de notre rééquilibre intestinal ?  

    A bon entendeur salut !  

    cvfg 

     

     
     

     

     

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